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COSMETIC VALLEY France – www.cosmetic-valley.com

BUREAU DE PRESSE CAROLINE CRABBE – 33 (0)6 10 19 36 31 – [email protected]

Dossier de presse

La chaîne logistique au coeur de la compétitivité internationale

Mardi 6 décembre 2016 au Havre

Lancement du projet COSVAPEX

COSmetic VAlley Performance EXport

Leader mondial sur un marché en plein croissance, l’industrie française de la parfumerie

cosmétique est le deuxième secteur exportateur de l’économie nationale après l’aéronautique :

80 % des produits cosmétiques produits sur le territoire français sont exportés aux quatre coins

du monde entier donc la plupart transitent par la Vallée de la Seine et le port du Havre. « Chaque

année, nos exportations sont équivalentes à 150 airbus ou 400 TGV » rappelle Marc Antoine Jamet,

Président de la Cosmetic Valley. Une meilleure compétitivité des entreprises passe donc non

seulement par la performance et la sécurité des produits mais aussi par l’optimisation de la chaine

logistique, la sécurisation des flux exports et une parfaite connaissance des différentes pratiques et

réglementations internationales.

La COSMETIC VALLEY a donc décidé de lancer la projet collaboratif COSVAPEX (COSmetic VAlley

Performance Export) visant à améliorer la chaine logistique export des entreprises de la

Filière française de la parfumerie-cosmétique.

Labellisé par les pôles de compétitivité Nov@log et Cosmetic Valley, ce projet mobilise un

consortium d’entreprises de la parfumerie-cosmétique, DIOR, GUERLAIN, SEPHORA, HERMES,

LAMPE BERGE, ainsi que plusieurs grands partenaires : HAROPA/Ports de Paris Seine Normandie,

l’ISEL/Institut des Sciences et Etudes Logistiques, le CRITT T&L, Logistique Seine-Normandie

et l’IDIT/Institut du Droit International des

Transports.

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Nous sommes heureux de vous inviter à participer au lancement du projet qui aura lieu :

Mardi 6 décembre 2016, de 14h à 15h30

au Port du Havre Espace Graillot , 47-51 Chaussée John Kennedy (plan joint)

en présence de :

Marc-Antoine JAMET, président de la Cosmetic Valley

Jean-Baptiste GASTINNE Vice-Président de la Région Normandie en charge des

transports et des ports.

Jean-Pierre MARTIN, Chargé de mission "développement économique et culture", Délégation

Interministérielle au développement de la Vallée de la Seine

Nicolas HESSE, Secrétaire Général pour les Affaires Régionales de Normandie.

Une entreprise du consortium viendra témoigner (en attente du nom du représentant de la société

qui sera présente).

Hervé CORNEDE, Directeur commercial et marketing d’HAROPA

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Partenaires techniques du projet présents :

Cosmetic Valley :

Marc Antoine Jamet, Président de la Cosmetic Valley

Stéphanie Henry, responsable antenne Normandie

CRITT Transport et Logistique :

Claire Bouvier, chargée de mission

Robin Poté, Directeur

ISEL (Institut Supérieur des Etudes Logistiques):

Thierry Derrey, professeur

Edouard Reepert, Directeur

Institut du Droit International des Transports (IDIT) :

Ludovic Couturier, Directeur Administratif

Michel GOUT, Président

HAROPA :

Nathalie Wagner, Responsable division marketing

Hervé Cornede : Directeur Commerciale et marketing Haropa

Logistique Seine Normandie :

Florence Guentcheff, Directrice

Alain VERNA, Président

Contact sur place : Stéphanie Henry, Directrice antenne Normandie de la Cosmetic Valley

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Consolider et faire croître le « made in France » à l’export

par la compétitivité logistique

Projet soutenu par

Réalisé par

projet labellisé par les pôles Cosmetic Valley et Nov@log

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COSVAPEX (COSmetic VAlley Performance Export) est un projet collaboratif dont

l’objectif est d’amplifier la compétitivité à l’export des entreprises de la filière

cosmétique en France

Ce projet est porté par Cosmetic Valley et mobilise un consortium d’entreprises du

secteur de la parfumerie-cosmétique :

DIOR, GUERLAIN, SEPHORA, HERMES, LAMPE BERGE

Projet COSVAPEX - Cosmetic Valley Performance Export

Contexte et enjeux

La cosmétique : un marché mondial en pleine croissance

Le marché mondial des parfums et de la cosmétique est estimé à plus de 425 milliards d’euros, et est

en hausse de 4 à 5 % par an, selon Euromonitor International. Par ailleurs, l’industrie cosmétique

devrait voir son nombre de consommateurs augmenter de 40% d’ici à 2030 pour atteindre 6,3

milliards de consommateurs. Si la France garde ses parts de marché, la filière créera de 50 000 à

60 000 emplois. Les dépenses par client devraient également augmenter partout : de 100 à 120

euros dans les pays développés, de 11 à 40 voire 50 euros en Chine (Source Cosmétique mag, janvier

2014). Enfin, on constate une unification des demandes. Les pays où l’on n’utilisait que du parfum ou

du maquillage se sont convertis aux soins. Tout ceci constitue une marge de progression

considérable.

La France, leader mondial des exportations

Présente sur le marché de masse et dans le luxe, la France est le leader mondial des exportations

avec plus de 23% de parts de marché, devant l’Allemagne, les Etats-Unis ou le Royaume-Uni, pour un

montant total d’exportations de 11,9 milliards d’euros

(Source : Douanes françaises, données 2011). Il s’agit du

deuxième secteur exportateur de l’économie française

(après l’aéronautique, données 2012). 80 % des produits

cosmétiques développés sur le territoire français sont

exportés dans le monde entier.

Les soins et les parfums représentent les 3/4 des

exportations françaises de cosmétiques (42,3 % pour les

soins et 33,8 % pour les parfums). Ils sont suivis par les

shampoings et les préparations capillaires, qui représentent

cumulés 6,6 % des exportations françaises de cosmétiques,

et les produits de maquillage pour les yeux et les lèvres, qui

représentent 6,5 % de ces exportations. Le reste des

exportations du secteur varie entre 2% et 0,02% selon le

« L'industrie cosmétique figure parmi les

secteurs où la France demeure leader mondial.

Cette croissance est portée par le dynamisme de

tout un secteur et un tissu divers d’entreprises,

TPE, PME, ETI et grands groupes. Les résultats du

secteur à l’export en 2014 sont le signe que la

renommée et la qualité des cosmétiques

originaires de France, souvent à la pointe de

l’innovation, demeurent universellement

appréciées. C'est un véritable atout pour

l'économie française et il doit être pleinement

reconnu en tant que tel ».

Patrick O'Quin, Président de la Fédération des

Entreprises de la Beauté (FEBEA).

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produit (les crèmes dépilatoires et les préparations pour le rasage, les déodorants et les anti-

transpirants, les vernis, les dentifrices, les savons…).

Ainsi, l’enjeu est de taille pour que la France conserve sa place de leader mondial de la beauté sur le

marché international, malgré la concurrence des mastodontes américains et japonais, et les moyens

déployés par les nouveaux entrants brésiliens, coréens et chinois.

Image d’excellence de la Cosmetic Valley

Le pôle de compétitivité de la Cosmetic Valley est aujourd’hui le premier centre mondial de

ressources en parfumerie-cosmétique. Moteur d’une filière française leader sur le marché

international, la Cosmetic Valley incarne aujourd’hui le «Made in France» de demain en matière de

parfumerie-cosmétique : innovation, sécurité des produits, traçabilité, respect de l’environnement.

La Cosmetic Valley rassemble près de 800 entreprises dont 80% de PME et quelques 70 000

emplois, 7 universités, le CNRS et une quinzaine d’établissements de formation engagés dans une

démarche partenariale autour d’une dynamique d’innovation et de conquête des marchés

d’exportation. Le pôle a contribué à structurer la filière, avec une cinquantaine d’implantations

nouvelles depuis 2005, et 520 millions d’Euros investis depuis 1994. Quand on achète un produit de

beauté dans le monde, il y a une chance sur dix qu’il ait été fabriqué au sein de la Cosmetic Valley.

La vallée de la Seine : un axe logistique majeur

Le périmètre géographique de la vallée de Seine repose sur la cohésion de territoires métropolitains

plus ou moins denses s’étendant le long de la Seine, depuis la région Île-de-France, jusqu’à l’entrée

maritime de l’estuaire de la Seine.

On estimait en 2008 à plus de 182 000 le nombre d’emplois directs dans la filière transport-

logistique sur ce périmètre (Source : INSEE – DADS 2008) avec une part pouvant atteindre 80% des

emplois sur le lieu de travail dans de nombreuses communes (principalement dans la région du

Havre et sur le « croissant logistique francilien » allant du Nord de Roissy jusqu’à Melun-Sénart). De

plus, les grands ports de la vallée de Seine (Le Havre, Rouen et Paris) ont uni leurs efforts en

constituant un groupement d’intérêt économique au service de la logistique portuaire, baptisé

HAROPA. Ainsi, les territoires de la vallée de Seine ont su déployer un haut niveau de service

logistique ainsi qu’une connexion au « Monde » qui lui confère des leviers d’innovation et de

compétitivité en logistique autour du corridor naturel qu’est la Seine. La forte concentration des

entreprises de la Cosmetic Valley sur ces territoires et sur les territoires connexes, mais aussi la

proximité géographique du pôle mondial du flaconnage de luxe de la vallée de la Bresle, la Glass

Vallée, confirme la cohérence de la démarche innovante entreprise.

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Objectifs et résultats attendus

Les problématiques

Bien que la France soit le leader mondial des exportations en cosmétique, elle doit faire face à une

concurrence accrue des pays émergents où la demande augmente fortement. La stratégie de gestion

de la marque est un déterminant principal du succès à long terme pour les entreprises concernées.

Cela implique des bonnes pratiques managériales et une maîtrise complète de la supply chain pour

atteindre l’excellence logistique. Les marques doivent s’assurer qu’au-delà de la qualité intrinsèque

du produit (process industriel), les externalités du produit rendu au consommateur sont

irréprochables.

De plus, le secteur est fortement impacté par la contrefaçon. En effet, les dommages causés par la

contrefaçon et la copie ne se limitent pas aux ventes perdues mais aussi à la dégradation de l’image

et des valeurs portées par le produit. Cette perte d’image attaque directement le modèle

économique de marque sur lequel est fondé le produit puisqu’elle réduit les dispositions du client

final à payer le « prix du luxe ».

De même, les ruptures dans l’approvisionnement sont mal ou ne sont pas tolérées par les clients

qu’il s’agisse d’un produit nouveau en phase de lancement ou d’un produit haut de gamme déjà

implanté.

Logistiquement parlant, les produits cosmétiques ne constituent pas une catégorie spécifique de la

classification internationale des produits échangés. Toutefois, ils n’en constituent pas moins une

filière spécifique et particulière qu’il faut appréhender comme telle, où la recherche de

compétitivité n’est pas spécifiquement la même que celle d’exportateurs d’autres biens de

consommation.

En effet :

Ce secteur accorde moins de place aux économies d’échelle et les exportateurs apparaissent

moins sensibles à la distance, à l’éloignement de leurs consommateurs.

La compétitivité peut être aussi bien recherchée pour dégager des marges permettant de

financer la politique de marque et d’image (ou d’exports plus lointain) que pour diminuer le

coût du produit rendu au consommateur.

Plus la variété de produits est grande (donc plus il y a de références), plus l’activité est

croissante.

L’avantage compétitif de la forte image de marque permet au « made in France » d’exporter

plus loin et vers des marchés jugés difficiles pour d’autres types de produits.

La valeur des produits nécessite une sécurité accrue, notamment lors des phases

d’acheminement.

Les objectifs

Pour consolider la filière cosmétique à l’export et assurer la pérennité du « Made in France » face

aux concurrents asiatiques, américains ou européens, la Cosmetic Valley se propose d’entamer une

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réflexion globale sur la logistique / supply chain et de monter un projet de recherche collaboratif

permettant de fédérer certains de ses membres pour leur apporter plus de compétitivité, par des

solutions adaptées plus économiques, plus sécuritaires et plus écologiques.

Il s’agit de conforter la position de leadership de l’industrie française dans ce secteur et d’apporter

des solutions permettant d’ancrer la filière cosmétique sur son territoire en écartant le risque de

délocalisation. Le projet COSVAPEX se fixe pour objectifs :

Avoir une maîtrise complète de la supply chain export pour atteindre l’excellence logistique.

Fédérer des industriels en leur apportant toujours plus de compétitivité, par des solutions

plus économiques, plus sécuritaires, et plus écologiques via les ports d’HAROPA et de la

Vallée de la Seine.

Sécuriser la supply chain cosmétique (réduire les vols et la contrefaçon).

Anticiper et faciliter le report modal : proposer des axes d’amélioration de ces reports

modaux en fonction de l’analyse de la supply chain des entreprises participantes, sans

proposer des modèles rigides applicables aux sociétés.

Fiabiliser la supply chain export de la Cosmetic Valley avec l’étude d’une plateforme

spécifique (flux physiques et/ou d’information).

Répondre à la problématique de la reverse logistics (logistique des retours / recyclage).

Améliorer l’impact environnemental du transport de marchandises à l’export par des

propositions de solution de mutualisation ou de massification

Permettre à des salariés de découvrir de nouveaux métiers logistiques (via une potentielle

plateforme logistique cosmétique et parfum) et de travailler sur des produits de qualité, en

intégrant les valeurs que renferment ces produits : la qualité, la sécurité, la marque France

L’objectif final est de consolider et faire croître un champion du « made in France » à l’export.

Les leviers

Afin d’atteindre un haut niveau de performance de la supply chain export des produits cosmétiques

et parfums des entreprises du pôle, le projet COSVAPEX se décompose en trois lots de travail :

Construire un outil d’aide à la décision permettant de (lot 1) :

o Tester des sensibilités ou des schémas alternatifs logistiques de la supply chain

export des entreprises de la Cosmetic Valley.

o Optimiser la compétitivité et les processus logistiques des entreprises de la Cosmetic

Valley, suivant des critères de performance différenciés et concurrentiels.

o Tester des scénarios de mutualisation de services.

o Tester la réalisation d’une plateforme export mutualisée.

Sécuriser les transferts et les mouvements de marchandises (lot 2) :

o Maîtriser les flux d’informations (transport, traçabilité/tracking).

o Fluidifier les opérations portuaires.

o Organiser une gestion intelligente des informations relatives aux chaînes logistiques

export des entreprises de la filière cosmétique.

o Garantir une offre de service de qualité et consolider l’excellence française dans le

domaine des produits cosmétiques.

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Proposer un modèle d’organisation des collectes et de valorisation des packagings (lot 3) :

o Analyser les flux de collectes existants (en verre et PLV).

o Etablir un état des lieux de la règlementation sur les collectes obligatoires de

packaging usagés.

o Proposer un modèle d’organisation de collectes mutualisées de packaging verre,

plastiques, cartons.

Le partenariat

Les principaux partenaires

COSVAPEX est un projet d’étude collaboratif mobilisant les acteurs économiques de la filière

cosmétique mais également des experts et des institutionnels autour d’axes d’amélioration.

Les relations entre les acteurs les plus impliqués dans le projet et leurs engagements seront

formalisés par un accord de consortium dont les signataires seront :

Le porteur et maitre d’ouvrage du projet :

o Cosmetic Valley

Des entreprises « sponsorisées » par la Cosmetic Valley :

o Guerlain

o Puig (Paco Rabanne)

o Lampes Berger

o D’autres entreprises sont également en cours de réflexion pour rejoindre la

démarche

Partenaire du projet (facilitateur d’accès aux données logistico-portuaires) :

o HAROPA

Experts mobilisés pour les différents thèmes d’études :

o ISEL – Comptoir de la logistique (Institut Supérieur d’Etudes Logistiques – Université

du Havre)

o IDIT (Institut du Droit International des Transports et de la logistique)

o Cosmetic Valley sous-traitera le pilotage global du projet ainsi qu’une partie des

études du Lot 2 à un expert.

Le projet est accompagné par le pôle de compétitivité Nov@log dans le cadre de son processus de

labellisation des projets innovants.

Les contributeurs

D’autres acteurs seront mobilisés autour du cercle opérationnel restreint des signataires de l’accord

de consortium et participeront au projet par l’apport de données, de connaissances, la participation

à certains comités ou groupes de travail, etc. Parmi ces acteurs, nous pouvons déjà citer (liste non

exhaustive) :

Les organismes financeurs (Région, Etat).

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La Douane.

SOGET SA.

Le pôle Glass Vallée.

Le pôle packaging (LSN / CLAP).

Organisation fonctionnelle

Cosmetic Valley est le maitre d’ouvrage du projet, il sera assisté du CRITT T&L pour la maitrise

d’œuvre et la coordination générale du projet.

Les pilotes par lot de travail sont les suivants :

Lot 1 : ISEL – Comptoir de la Logistique

Lot 2 : Cosmetic Valley

Lot 3 : ISEL – Comptoir de la Logistique

Un comité de suivi sera réuni trois fois pendant la durée du projet afin de rendre compte de

l’avancement du projet (travaux réalisés et avancement budgétaire), il sera composé de :

Cosmetic Valley

HAROPA

Etat

Région Haute-Normandie

Autres financeurs éventuels

Nov@log

IDIT

ISEL

Un comité de pilotage opérationnel se réunira tous les trimestres avec les acteurs du projet et des

intervenants à la demande.

Enfin, selon les sujets traités, des groupes de travail seront mis en place réunissant les publics

concernés.

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Détails des travaux Le projet commencera par un état des lieux effectué conjointement par les partenaires. Cette phase

permettra de recueillir les besoins et les données permettant d’alimenter les trois lots de travail

suivants :

ISEL Cosmetic Valley ISEL

HAROPA HAROPA Cosmetic Valley

Cosmetic Valley Entreprises Glass Vallée

Entreprises SOGET Entreprises

Douanes LSN / Pôle packaking

IDIT IDIT

L’optimisation de la chaine logistique en développant un modèle d’optimisation dans lequel

il sera possible de faire varier les indicateurs sensibles afin de tester des scénarios (nouveaux

schémas logistiques, plateforme mutualisée…). Cet outil d’aide à la décision permettra de :

o Tester des sensibilités ou des schémas alternatifs logistiques de la supply chain

export des entreprises de la Cosmetic Valley.

o Optimiser la logistique des entreprises de la Cosmetic Valley, suivant des critères de

performance différenciés et concurrentiels.

o Tester des scénarios de mutualisation de services.

o Tester la réalisation d’une plateforme export mutualisée.

La sécurisation des flux exports en identifiant les spécificités et les contraintes

administratives, réglementaires et juridiques puis en mettant en place des actions pour lever

les verrous et fluidifier les flux d’information. Un travail de réflexion sur les technologies

permettant de maitriser les vols et la contrefaçon sera également mené. Il s’agit de sécuriser

les transferts et les mouvements de marchandises afin de :

o Maîtriser les flux d’informations (transport, traçabilité/tracking).

o Fluidifier les opérations portuaires.

o Organiser une gestion intelligente des informations relatives aux chaînes logistiques

export des entreprises de la filière cosmétique.

o Garantir une offre de services logistiques de qualité et consolider l’excellence

française dans le domaine des produits cosmétiques.

Le développement de la reverse logistique (logistique des retours) en identifiant les

pratiques et les réglementations à venir sur la gestion des packaging, contenants et PLV pour

proposer un modèle de collecte et de valorisation optimal :

o Analyser les flux de collectes existants (en verre et PLV).

Optimiser la supply

chain export

Sécuriser les flux

exports

Développer la reverse

logistique

Collecte des données

Co lle ct e de s do

nn

ée s

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o Etablir un état des lieux de la règlementation sur les collectes obligatoires de

packaging usagés.

o Proposer un modèle d’organisation de collectes mutualisées de packaging verre,

plastiques, cartons.

Le projet mobilisera également des acteurs tels que la Douane ou SOGET. Il aura une durée de 18

mois pour un budget total de 577 249 €, financé à 47% par l’État, la Région Normandie et l’Europe

(fonds CPIER et FEDER).

Présentation des partenaires

Cosmetic Valley

La Cosmetic Valley est le premier centre mondial de ressources en parfumerie cosmétique. Ce pôle

de compétitivité réunit 800 entreprises dont Dior, L’Oréal, Guerlain, Hermès, Coty, Paco Rabanne,

Shiseido, Yves Saint Laurent, Chanel et 78% de PME qui participent au rayonnement du « Made in

France » à travers le monde, 7 universités, CNRS, INRA, 136 organismes de formation, 226

laboratoires de recherche qui développent en partenariat avec les entreprises des projets industriels

innovants, performants et éco-responsables pour la Beauté de demain.

La Cosmetic Valley propose plusieurs services à ses adhérents dont les actions suivantes :

Mise en réseau/business network :

o Favoriser les contacts entre industriels de la parfumerie cosmétique :

débat mensuel

visites d'entreprises

groupes de travail

o Recherche et innovation

Accompagner les projets de recherche et d'innovation en parfumerie cosmétique :

o Ingénierie de projets

o Connexions R&D

o Congrès Scientifiques

o Lettre de veille : lancement de produits, ingrédients et formulation, emballage,

réglementation.

Aide à l'exportation / accompagner les entreprises à l'international :

o Salons professionnels internationaux

o Missions Economiques

Formation continue / améliorer la qualification des salariés :

o Formations métiers (BPF, REACH, Microbiologie...)

o Formations générales (Ressources humaines, Commercial, Marketing et

Communication...)

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HAROPA

5e port européen, HAROPA se positionne comme un système logistique attractif et durable

intégrant la chaîne logistique de bout en bout avec une desserte compétitive, efficace et

écologique de l’hinterland. Connecté au monde entier grâce à une offre maritime internationale sur

600 ports à travers le monde, HAROPA génère un total de près de 120 millions de tonnes de trafics

maritimes et fluviaux. 1er port français pour les conteneurs et 1er hub logistique de France, les

retombées économiques de cet ensemble portuaire sont très importantes, notamment en termes

d’emplois avec près de 200 000 emplois directs et indirects et plusieurs projets de développement.

A titre d’exemple, le projet de Port Seine-Métropole à Achères sera synonyme, à terme, de 5 000

emplois directs et 10 000 emplois indirects.

Le système logistique structuré autour d’HAROPA s’inscrit dans les orientations de la Cosmétic

Valley et de ses membres ; performance économique, optimisation des coûts, qualité et excellence

environnementale.

La qualité et la performance maritime de cet ensemble (port fiable et accessible 24/7 et 362j/365

aux géants des mers) pose les conditions d’une large connectivité vers les zones de sourcing et de

distribution des entreprises de la cosmétique ; 56% des parts de marché du port du Havre avec

l’Asie dont 34% avec la Grande Chine, 11% des parts de marché avec les Etats-Unis. La qualité des

prestations des acteurs portuaires (entreprises de transport, manutentionnaires, logisticiens,

commissionnaires de transport) favorise la maîtrise des délais « time to market » et la réduction des

coûts logistiques. Elle permet aussi de s’entourer de partenaires eco-responsables et d’engager des

actions en faveur de la mutualisation logistique et du report modal.

Enfin, Le Havre est le 1er port d’Europe à avoir été certifié ISO 28000 pour le management de la

sûreté avec une approche dynamique et opérationnelle engageant tous les acteurs portuaires.

Elément de plus en plus nécessaire dans le commerce international, en particulier pour les

opérateurs certifiés OEA et pour les échanges avec les Etats-Unis. Mais aussi, exigence fondamentale

pour les entreprises de la parfumerie-cosmétique pour la protection des marchandises, de leurs

marques et dans la lutte contre les marchés parallèles et la contrefaçon.

ISEL

Par ailleurs, L’ISEL (Institut Supérieur d’Etudes Logistiques), école d’ingénieurs en logistique basée

le long de l’axe Seine au Havre, Evreux et Puteaux, a su créer les conditions nécessaires à la

valorisation de ses potentiels d’études, de recherche et d’expertises. Devenue plateforme

d’ingénierie logistique unique en France en modélisation des flux, des réseaux et des processus

logistique, l’ISEL conçoit pour ses clients et ses partenaires des solutions et des outils d’aide à la

décision stratégique et tactique logistique. Dans le cadre de projets collaboratifs en performance

logistique initiés par HAROPA et associant des grands comptes et/ou des PME, des laboratoires et

des centres de ressources l’ISEL a su rechercher les solutions compétitives pour les clients et

partenaires du consortium.

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Nov@log

Le pôle de compétitivité Nov@log s’appuie sur une expérience dans l’accompagnement de plus de

150 projets, et sur l’expertise de ses 120 partenaires, dont la majorité est située dans les régions de

la Vallée de la Seine. Le pôle propose aux projets de R&D logistiques et Supply Chain une approche

spécifique dans le montage de projets collaboratifs centrée sur la demande client de la filière

concernée.

Loin des stratégies volume-prix, les facteurs clés de succès de la filière cosmétique sont

essentiellement orientés vers une stratégie de concentration et de différentiation. Ainsi,

l’accompagnement par Nov@log s’adapte parfaitement et les quatre Domaines d’Actions

Stratégiques de Nov@log sont pleinement aux services de cette vision stratégique. Par exemple :

La compétitivité logistique et Supply Chain des filières industrielles :

o Développement des marchés à l’exportation pour le maintien de l’emploi sur le

territoire et la promotion du « made in France »

o Maîtrise complète de la sureté, sécurité et fiabilité des flux Supply Chain (flux

physiques, SI et financiers)

o Evolution des outils juridiques, contractuels et réglementaire pour défendre la

robustesse systémique de la filière

o Consolidation de l’analyse S&OP et « Demand Planning » pour améliorer la gestion

des risques et des aléas

Les systèmes et infrastructures de transport multimodal :

o Piloter la qualité irréprochable du passage portuaire

o Développement d’infrastructures de gestion portuaires spécifiques aux produits de

haut de gamme (ex : zones de surveillance renforcées pour lutter contre le vol)

La logistique dématérialisée, l’interopérabilité et la traçabilité des flux :

o Outils de traçabilité et de lutte pour la limitation de la contrefaçon

o Système d’Information portuaire en liaison avec les SI de l’hinterland de la vallée de

la seine

o Synchronisation des flux physiques, informationnels et financiers

Logistique durable et cycle de vie des produits :

o Supprimer par une logistique durable les ruptures dans la chaîne

d’approvisionnement

o Service haut de gamme en référence à l’image de marque de l’entreprise

o Conception des produits intégrant la « reverse logistic »

o Gestion de la Supply Chain intégrant son l’impact écologique, économique et social

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IDIT

L’Institut du Droit International des Transports - IDIT, organisme unique en France, créé en 1969, est

spécialisé dans la recherche en droit des transports, de la logistique et de la mobilité, s’inscrivant

dans un cadre national et international (transport terrestre routier, ferroviaire ou fluvial, transport

maritime, transport aérien, assurance transport, transport de personnes, mobilité urbaine…).

Constitué sous forme associative, l’IDIT compte actuellement 120 membres (entreprises de transport

et logisticiens, fédérations professionnelles, avocats, magistrats, organisations internationales…) et a

mis place un réseau de correspondants étrangers (Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Royaume-

Uni…).

La qualité de ses travaux d’études est reconnue auprès de nombreux partenaires nationaux et

internationaux, tels que le Ministère de l’Ecologie, la Région Haute-Normandie, HAROPA, la Cour de

cassation, des organisations internationales (Union Internationale des Transport routiers – IRU,

Comité International des Transports ferroviaires, Institut international pour l'unification du droit

privé – UNIDROIT, les fédérations professionnelles de transporteurs, la Fédération Française des

Sociétés d’Assurances, le pôle de compétitivité NOV@LOG, la filière LSN - Logistique Seine

Normandie, l’Université de Rouen et du Havre, NEOMA, etc.).

L’IDIT participe à de multiples projets collaboratifs de recherche et d’innovation et réalise des

analyses au profit d’entreprises ou d’institutionnels. Les thématiques de recherche portent sur

l’ensemble des modes de transports et de la chaîne logistique.

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LSN

Réseau d’excellence des acteurs de la logistique en Haute-Normandie

Créée en 2003 par les professionnels et les décideurs publics, Logistique Seine-Normandie (LSN)

fédère 185 acteurs économiques du transport et de la logistique de Haute-Normandie : prestataires

logistiques, transporteurs, industriels chargeurs, syndicats professionnels du transport, organismes

de formations et institutions.

Pilier structurant de l'économie régionale, la filière logistique est ancrée sur les ports du Havre, de

Rouen, Paris, Dieppe et Fécamp, à proximité immédiate du Bassin parisien. Avec pour mission de

valoriser la filière logistique haut-normande, LSN intervient auprès des TPE et PME régionales pour

renforcer leur compétitivité et les aider à monter en compétences.

Véritable pôle de ressources et d’expertise territoriale, LSN participe activement aux réflexions sur la

réglementation et les projets d'aménagement du territoire aux côtés des responsables des politiques

publiques. Son Observatoire Logistique Paris Seine-Normandie fournit des indicateurs de

performance aux entreprises, aux partenaires institutionnels, aux élus, aux ports et aux investisseurs

susceptibles de s’implanter.

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