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La revue agricole des gens d’ici Septembre - Octobre - Novembre 2016

Coop des Montérégiennes

La première bannière BMR page 16

www.lacoop.coopwww.lacoop.coopLa Coop est une marque de commerce de La Coop fédérée.

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Mot du directeur généralBonjour à tous, chers membres,

Mère nature malgré ses caprices ne nous a pas trop négligés en ce début d’année. Les cultures sont très bien parties, cela nous laisse entrevoir une excellente récolte. Toutefois il est trop tôt pour s’en assurer, car celle-ci peut toujours nous surprendre et être imprévisible.

Il en va de même pour les marchés, bien que la gestion de l’offre protège une bonne partie de nos productions, nous sommes aussi soumis aux caprices du marché mondial qui lui aussi est souvent imprévisible et nous oblige à être de plus en plus compétitif.

Et votre coopérative elle, doit-elle continuer de faire les choses de la même façon dans ce contexte de changement et d’évolution ? Bien certainement pas… elle doit aussi s’ajuster afin de réduire les coûts de plus en plus grandissants et à rencontrer les exigences du marché.

Vous les membres, vous devez vous adapter aux changements et répondre à cette compétitivité, votre coopérative en est bien consciente et avec notre réseau, ce qui inclut les autres coopératives et La Coop fédérée, nous travaillons actuellement à une réorganisation de nos façons de faire.

Ce chantier, vos administrateurs y ont contribué, ils ont dû brasser les idées, les valeurs, et confronter nos vieilles habitudes qui ne peuvent plus tenir la route.

Pour la suite, le réseau se dotera bientôt d’une « vision » qui nous permettra d’atteindre les objectifs en tant qu’entreprise coopérative, qui sera plus agile plus moderne et surtout plus adéquate pour répondre aux besoins de ses membres, qui eux aussi se modernisent.

Ce printemps, les membres et les employés ont été invités à répondre à un sondage sur les services, les forces, les faiblesses de votre coopérative. Ainsi, vous avez été plusieurs à répondre et vous nous avez donné les pistes où nous avons place à amélioration et sur lesquelles nous allons travailler.

Ces sondages seront la base de notre planification stratégique que nous amorcerons cet automne. Nous pouvons vous dire que nous ferons tout en notre pouvoir pour trouver les façons de faire afin de répondre à la plus grande majorité de vos demandes. Nous travaillerons à nous améliorer et continuerons de vous donner l’offre à laquelle vous vous attendez.

Il ne me reste qu’à vous souhaiter les plus belles récoltes en quantité et qualité. Au plaisir !

Coop des Montérégiennes

LE SOMMAIRESeptembre – octobre – novembre 2016

13 Agroenvironnement La cible : la pointe des racines…

3-4 Mot du directeur général

5-8 Vie associative Mon parcours Entrepreneuriat agricole Activités sociales

9-11 Productions animales Faire le point sur le sevrage Alimentation en fin de saison de compétition

14-15 Service des grains Il faudra être patient, mais…

16-17 Quincaillerie Unimat Acton Vale devient BMR Carte Ma remise Privilège

18 Aviculture Réorganisation du travail

Christian Massé, T.P Directeur général

La Coop des Montérégiennes

Septembre - Octobre - Novembre 2016 l La Coop des Montérégiennes 3

Nomination - Annie RobertJe vous annonce la nomination de Mme Annie Robert au poste d’ajointe administrative. Elle a débuté le 18 juillet dernier.

Relevant du directeur général, elle aura à travailler en étroite collaboration avec les membres de la régie interne, elle utilisera et développera des outils de communication, de marketing et de ressources humaines, en collaboration avec le réseau La Coop. Elle verra à l’organisation des évènements corporatifs, promotionnels et commerciaux ainsi qu’aux activités de communication interne et externe, à maintenir à jour le site internet, Facebook, à faire la promotion du sociétariat et de ses avantages auprès de la clientèle.

Avec le bagage qu’elle détient, celle-ci possède toutes les qualifications pour relever le défi qu’il lui est confié.

Au nom de tout le personnel, de notre coopérative, je lui souhaite la bienvenue et l’assure de la collaboration de tous.

Partagez une photo de votre plus beau champ

avec le mot-clic #CheckMonChampELITE

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Par Annie RobertAdjointe administrative

Mon parcours jusqu’à vous

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Bonjour !

Officiellement arrivée en poste avec vous le

18 juillet dernier, il me fait grandement plaisir de me

présenter et de vous parler de mon cheminement

professionnel.

En terminant, j’ai pu assister parmi vous à deux activités estivales soit le Tournoi de golf en juillet, suivi de la Journée familiale au Zoo en aôut derniers et c’est avec joie, que je vous en rédige le compte-rendu, que vous retrouverez à la page 8.

Merci à tous les membres, au conseil d’administration, à tout le personnel de La Coop des Montérégiennes et de La Coop fédérée pour votre chaleureux accueil et pour votre précieuse collaboration apportée dans mes nouvelles fonctions.

Passez un très bel automne !

D’abord, je suis une personne dynamique, respectueuse, positive, généreuse et déterminée. Mon objectif est de réussir le plus possible dans toutes les sphères de ma vie et, pour ce faire, je crois qu’il est indispensable d’avoir une bonne communication et de pouvoir s’entourer de collègues et d’amis afin d’atteindre les meilleurs résultats souhaités.

De par mes expériences professionnelles antérieures, j’ai eu la chance d’apprendre sur les autres, de partager leurs visions et de collaborer aussi en réseau avec des gens merveilleux : des membres de comité organisateur d’évènements, des partenaires financiers, des bénévoles et de précieux collègues de travail.

C’est avec ce beau bagage de connaissances et de relations humaines que je me joins à votre grande équipe afin de vous connaître vous aussi, de partager vos idées et vos valeurs…. Tout en vous offrant mon expertise et mes désirs de rayonner dans votre réseau.

Je suis donc vraiment heureuse de faire partie de votre équipe et n’hésitez pas à communiquer avec moi pour toutes questions en ressources humaines, marketing et évènementiels.

Par Nadine KadéLa Coop fédérée

Le Fonds coopératif d’aide à la relève agricole (FCARA) est

fier de s’associer pour une deuxième année consécutive au programme de Formation

en entrepreneuriat agricole de l’Université Laval !

À travers le coaching, le mentorat et les cellules d’échanges, le participant découvrira également différents types d’encadrement.

Ces dix (10) jours de formation seront reconnus dans le cadre des formations obligatoires du FCARA, à la hauteur de 14 crédits (à l’exception des formations sur le thème de la coopération).

Grâce à cette formation, vous pouvez également acquérir jusqu’à 7 unités d’éducation continue (UEC) de l’Université Laval.

À combien est chiffrée l’aide financière ?

L’aide financière équivaut à 50 % des droits d’inscription de 7000 $, soit 3500 $.

Un montant additionnel de 500 $ est aussi disponible pour compenser les frais afférents aux formations (kilométrage, repas, hébergement, stationnement, etc.).

Quelles sont les conditions d’admissibilité ?

Pour être éligible à l’aide financière du FCARA, vous devez :

- être un producteur ou productrice ayant un minimum de cinq (5) années d’expérience comme propriétaire ou copropriétaire d’une entreprise agricole;

- avoir complété un diplôme d’études collégiales; et

- être un membre ou un ancien membre en règle du FCARA.

Dans le cadre de cette inscription, le FCARA offre la chance à sept (7) membres ou anciens membres du Fonds d’obtenir une aide financière pour suivre la Formation en entrepreneuriat agricole de l’Université Laval.

Qu’est-ce que la Formation en entrepreneuriat agricole ?

La Formation en entrepreneuriat agricole est conçue pour les propriétaires d’entreprises agricoles qui souhaitent se doter d’outils de développement adaptés à leur réalité. Sous forme de cohorte, ce programme permet aux agriculteurs de développer leur fibre entrepreneuriale agricole dans un environnement d’apprentissage propice afin d’accroître leurs compétences entrepreneuriales et de leader de l’industrie. Le participant sera en mesure de transposer les notions acquises à son projet d’entreprise.

Avec ces cinq sessions de 2 jours de formation, de partage et de coaching, le membre du FCARA pourra :

- cerner son environnement d’affaires et les tendances de consommation;

- améliorer le positionnement stratégique de son entreprise ;

- expérimenter sa créativité pour saisir les opportunités ;

- évaluer ses risques et adapter ses solutions;

- communiquer et négocier efficacement et

- comprendre les réalités de l’entrepreneur et mobiliser son entourage

Cultivez vos rêvesFormation en entrepreneuriat agricole

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Que dois-je faire pour m’inscrire et pour faire le demande d’aide financière ?

Vous devez remplir un questionnaire au : http://www.lacoop.coopfcara, ainsi que rédiger une courte lettre de motivation en indiquant les raisons qui vous motivent à vous épanouir en affaires, en coopération et à développer votre sens de l’entreprise (maximum 800 mots), au plus tard le 30 septembre 2016.

Quelles sont les dates importantes pour avoir la chance d’obtenir une aide financière ?

La date limite pour faire la demande d’aide financière est le 30 septembre 2016.

Les candidats ayant déposé leur candidature seront informés du résultat de la sélection durant la semaine du 10 octobre 2016.

Les candidats retenus seront automatiquement inscrits au programme de formation. L’Université Laval entrera en communication avec eux dans les jours suivants.

Notez que les candidats qui ne seraient malheureusement pas choisis parmi les sept (7) dossiers retenus et qui souhaiteraient tout de même suivre le programme, seront invités et encouragés à nous faire part de leur désir lorsque que nous communiquerons avec eux durant la semaine du 10 octobre 2016. Le FCARA appuiera ces démarches, le cas échéant

Comment seront évalués les candidatures pour l’aide financière du FCARA ?

Le Comité d’éducation coopérative de La Coop fédérée procédera à la sélection de sept (7) dossiers qui se démarquent.

La sélection des candidatures sera établie sur la qualité de la candidature et de la lettre de motivation soumise.

N.B : Les dossiers de candidature seront soumis de manière anonyme afin d’évacuer tout conflit d’intérêt possible auprès des membres qui évalueront lesdits dossiers.

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Cultivez vos rêvesgrâce au Fonds coopératif d’aide

à la relève agricole en participant à la Formation en entrepreneuriat agricole

offerte par l’Université Laval.

Le FCARA offre une aide financière importante !

Détails et inscription au www.lacoop.coop/fcara

Date limite : 30 septembre 2016

2016

Si j’ai d’autres questions ? Si vous avez des questions relativement au

traitement de votre dossier, au processus de sélection ou sur l’aide financière comme telle, vous pouvez nous écrire à l’adresse suivante : [email protected], ou encore contacter Mme Nadine Kadé par téléphone au 514 384-6450 (poste 3710).

Pour plus d’information sur le programme et les sessions de formation, veuillez consulter le site web du programme de formation à l’adresse suivante :

http://www.fsaa.ulaval.ca/programmes-d e t u d e s / f o r m a t i o n - e n - l i g n e - e t -perfectionnement/perfectionnement/formation-en-entrepreneuriat-agricole/.


De retour cette année sous une nouvelle formule, le Tournoi de golf organisé par votre coopérative le 7 juillet dernier au Club de golf Acton Vale a rassemblé 135 participants et s’est déroulée avec succès. Malgré un soupçon de pluie en matinée, les ondes positives et la bonne humeur de nos golfeurs ont permis au soleil de refaire surface pour les accompagner tout au long de cette journée.

De plus, ils ont pu participer à plusieurs défis afin de mettre leurs talents de golfeur à l’épreuve, tout en s’amusant avec leurs proches et amis.

En terminant, nous aimerions remercier tous les golfeurs présents ainsi que les nombreux commanditaires de cette belle activité !

Journée familiale au Zoo de GranbyÀ nouveau cette année, c’est le 19 août dernier que l’activité tant attendue de la Journée familiale au Zoo s’est déroulée avec succès.

Organisée par votre coopérative, ce sont plus de 500 personnes qui ont franchi les portes du Zoo de Granby pour passer de précieux moments avec leur famille. Tous ont eu accès au Zoo, au parc aquatique l’Amazoo avec les nouvelles glissades d’eau et au dîner BBQ À VOLONTÉ sous le chapiteau le Havre du Nouveau Monde.

Par cette activité rassembleuse et familiale, La Coop des Montérégiennes est fière d’avoir contribué monétairement à cette journée et ainsi d’avoir pu offrir à ses membres producteurs un rabais très avantageux sur les prix d’entrée. De plus, nous avons pu compter fièrement sur la participation de La Coop fédérée en tant que commanditaire de l’évènement.

Nous vous remercions d’avoir participé en si grand nombre !

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Tournoi de golf 2016

Faire le point sur le sevragePR

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Par Marie-Christine Fauteux, M.Sc., agr. Experte-conseil en production équine et bovine

Cellulaire : 418 806-6675


C’est connu, le sevrage est une étape difficile pour le veau et pour sa mère. La pire situation est celle où le veau est sevré le jour où il quitte la ferme.

Comme il faut souvent beaucoup de temps aux veaux vendus après le sevrage pour s’adapter aux conditions d’un parc d’engraissement, cette stratégie provoque des pertes monétaires importantes pour l’ensemble de la filière. L’idéal est donc de sevrer à la ferme dans le cadre d’un programme complet de préconditionnement pour la vente ou pour la semi-finition.

Avec un bon préconditionnement et une bonne méthode de sevrage, le gain de poids des veaux n’est pas affecté négativement et la réduction du stress diminue les répercussions négatives sur leur santé et leur développement. C’est pourquoi un sevrage bien préparé peut apporter beaucoup à la filière.

L’uniformité : le principal avantage du sevrage

Pourquoi planifier un sevrage et un préconditionnement au lieu de simplement envoyer les veaux à l’encan pour les sevrer? La réponse qui peut vous intéresser le plus est sans aucun doute : pour uniformiser l’apparence du lot de veaux vendus !

Il est vrai qu’à la suite du sevrage, la courbe de croissance individuelle de chacun des veaux peut diminuer momentanément. Par contre, de bonnes conditions de préconditionnement aideront à amoindrir les différences dans le lot et permettront d’obtenir un meilleur prix moyen.

La préparation au sevrageL’idéal est de sevrer les veaux lorsque le gain

sous la mère n’est plus suffisant (inférieur à 2 lb/j) ou que les coûts pour permettre ce gain sont trop élevés. L’impact de la perte du lien avec la mère dépendra de la méthode utilisée. Il existe des méthodes plus douces et d’autres plus directes. Ces méthodes sont décrites plus en détail sur notre site internet www.optiboeuf.coop.

Par contre, avant de sevrer les veaux, il faut prévoir de pouvoir poser certaines actions comme :

• La vaccination des veaux • L’adaptation à la nouvelle ration

Ainsi, le moment du sevrage doit être planifié à l’avance.

Vaccination : 1 mois avant le sevrageL’immunisation qui résulte de la vaccination

n’est possible que chez un veau non-stressé et bien alimenté. Malgré le fait que ce soit plus pratique de manipuler les animaux une seule fois pour faire plusieurs interventions, il est mieux de ne pas ajouter tout autre élément de stress à cet évènement.

Adaptation à la nouvelle ration : 2 à 3 semaines avant le sevrage

L’idéal est d’aménager un espace accessible uniquement aux veaux afin de leur apprendre à manger leurs nouveaux aliments de façon autonome et à bien préparer le rumen aux changements qui arrivent.

L’utilisation du supplément Opti Bœuf PSP 028

Avant le sevrage, le veau a accès à un aliment facilement digestible et à haute teneur en énergie : le lait ! Cet aliment doit alors être remplacé par un concentré. Le Supplément Opti Bœuf PSP 028 est spécialement formulé pour favoriser la consommation volontaire de matière sèche (CVMS) des veaux tout en aidant à réduire les effets du stress vécu à ces moments spécifiques. C’est un aliment facilement digestible et à haute teneur en énergie. Il est destiné à l’alimentation des veaux lors de certaines périodes critiques de leur vie (sevrage et arrivée en parc d’engraissement). On recommande de le servir de 15 jours avant le sevrage et jusqu’à 3 semaines après le sevrage.

L’objectif de la planification du sevrage et du préconditionnement est d’augmenter la valeur commerciale du veau, et non juste son poids. L’application de bonnes méthodes avant et après le sevrage vous aidera à atteindre cet objectif. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter votre expert-conseil OptiBœuf.

Alimentation en fin de saison de compétitionPR

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Tableau 1 Différents niveaux

d’exercice du cheval à l’entraînement

NIVEAU D’EXERCICE DESCRIPTION

LÉGER1-3 HEURES/SEMAINE40% PAS, 50% TROT, 10% GALOP

MODÉRÉ3-5 HEURES/SEMAINE30% PAS, 55% TROT, 10% GALOP,5% PETITS SAUTS OU AUTRES

INTENSE4-5 HEURES/SEMAINE20% PAS, 50% TROT, 15% GALOP,15% GALOP INTENSE, SAUTS OU AUTRES

TRÈS INTENSEVARIE SELON TYPE D’ENTRAÎNEMENT1H/SEMAINE HAUTE INTENSITÉ OU6-12 H/SEMAINE TRAVAIL LÉGER

Au Québec, la fin des mois de compétitions équestres arrive habituellement avec l’arrivée de l’automne. Ces mois de transition sont le moment idéal pour réévaluer le programme alimentaire de notre cheval afin de l’adapter aux entraînements plus légers et de le préparer pour la saison hivernale.

Tout d’abord, il est essentiel de réévaluer adéquatement le niveau d’activité de notre cheval par rapport à sa nouvelle intensité de travail. Pourquoi ? Parce que plus le niveau d’exercice est élevé, plus les besoins nutritionnels le sont aussi. Et l’inverse est vrai ! Par exemple, lorsqu’un cheval passe d’un d’entrainement intense à léger, les besoins en protéine diminuent d’environ 20 % et les besoins caloriques diminuent d’environ 25 % par jour. Pour catégoriser correctement le niveau de travail de notre cheval, il est recommandé de se référer aux standards établis par le Conseil National de Recherches (tableau ci-dessous).

En règle général, à foin égal, on diminue la quantité de moulée servie d’environ un kilogramme/jour par niveau d’exercice en moins. Par exemple, un cheval qui mangeait 2kg/jour de Célébrité Versa à l’exercice modéré, pourrait recevoir 1 kg/jour du même aliment à l’exercice léger. Évidemment, on doit ajuster cette quantité par rapport à la condition de chair actuelle de notre cheval et à notre objectif (perte, maintien ou prise de poids). Il est également essentiel de balancer la ration avec un supplément de vitamines et minéraux selon la qualité de notre foin et de la quantité de moulée servie quotidiennement. Plus on réduit la quantité de moulée complète servie, plus l’on doit augmenter la quantité de supplément (ex : Tonix, Fort-Eq) pour compenser pour la diminution de vitamines et de minéraux dans la ration.

Par Noémie Fugère-Létoile, T.P. Experte-conseil ruminants et équin



Dans certains cas, il peut être également nécessaire de servir un foin légèrement moins riche. On passe par exemple d’un foin de deuxième coupe contenant un certain pourcentage de légumineuses (trèfle, luzerne) à un foin de graminées de première coupe à mi-épiaison.

Finalement, certains autres points doivent être considérés à la fin de la saison de compétition :

• L’utilisation d’électrolytes peut être arrêtée ou grandement réduite si l’intensité de travail diminue au point de ne plus causer de sudation à l’effort. Cependant, un bloc de sel et de l’eau fraîche et propre doivent être accessibles en tout temps.

• La condition de chair doit être réévaluée régulièrement pour s’assurer de conserver une cote entre 5 et 6/9 en prévision des grands froids de l’hiver. Légèrement plus pour les chevaux garder à l’extérieur. Au besoin, ajuster la quantité de fourrage et de moulée en conséquence.

• Pour certains chevaux, l’arrêt ou la diminution de travail peut causer de l’ennui et éventuellement mener à des troubles comportementaux. Assurez-vous d’offrir à votre cheval un environnement intéressant à partager avec ses congénères et de lui servir suffisamment de fourrage pour lui changer les idées.

• Le type de moulée servi peut également être changé pour répondre aux besoins nutritionnels de notre cheval sans toutefois contribuer à lui donner un surplus d’énergie. Par exemple, on privilégie les aliments contenant moins d’amidon et de sucres en période de repos.

À retenir :

Développez le réflexe de surveiller constamment la condition de chair. Touchez le cheval pour plus de précision, assurez-vous que l’épaisseur de la toison ne masque pas une perte de condition.

Choisissez la source de minéraux-vitamines qui complète le mieux le fourrage servi (Tonix, Fort-EQ, Pro-Bloc cheval)

Veillez à ce que les chevaux élevés dehors en hiver aient accès à un abri ainsi qu’à un bon fourrage, appétant et bien conservé. Tous les chevaux, même ceux élevés dehors doivent avoir accès à de l’eau potable en tout temps. La neige ne doit pas être utilisée comme un substitut à l’eau.

Pour plus d’information sur les aliments Célébrité, ou pour obtenir une ration adaptée spécifiquement à votre cheval, référez-vous à votre expert-conseil La Coop.

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Attache dequeue

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Arrière de l’épaule Côtes

Évaluation de la condition de chair du cheval

Évaluation de la condition de chair du cheval

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*Adapté de Body Condition Score, Back to basics, Chad Mendell, 2006 *Adapté de Body Condition Score, Back to basics, Chad Mendell, 2006

Garrot Arrière de l’épaule Bas du dos Côtes Attache

de queue

Extrêmement maigre 1 Os très

visibles Os très visibles

Vertèbres très saillantes Très visibles Très saillante

Très maigre

2Os visibles Os visibles

Vertèbres saillantes facilement palpables

Très visibles Saillante

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3 Os encore visibles

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Vertèbres saillantes

non palpables

Facilementvisibles Mince

couche de gras

Saillantemince couche

de gras

Modérément maigre

4 Mincecouverture

de gras

Mincecouverture

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Vertèbres non saillantes non palpables

À peine visibles

facilement palpables

Visible gras

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Modérée5

Arrondi Plane Plat Non visibles palpables

Grasspongieux

Légèrement gras6 Léger dépôt

de gras Léger dépôt

de gras Légèrement

arrondi

Palpables gras

spongieux

Grasspongieux

Gras

7 Dépôt de gras

Bon dépôt de gras Arrondi

Difficilement palpables

Grasspongieux

Gras très spongieux

Très gras

8 Rempli de gras

Rempli de gras Très arrondi

Très difficilement

palpable


Extrêmement gras

9 Grasextrême

Grasextrême Très arrondi Plaques de

gras

Grasspongieux excessif

-9-7 -5 -3 -2 -1

-9-7 -5 -3 -2 -1

Adapté de Don Henneke Scoring System, Don Henneke, PhD

Vertèbre lombaire antérieure du cheval et lignes d’évaluation de condition de chair*

*Adapté de Évaluation de l’état de chair des chevaux, AGDEX 460/28, Dr. Bob Wright, MAAARO, Ontario

CRF Cooperative Research Farms – Better Nutrition for a better horse, 2009

Garrot Arrière de l’épaule Bas du dos Côtes Attache

de queue

Extrêmement maigre 1 Os très

visibles Os très visibles Vertèbres très saillantes Très visibles Très

saillante Très maigre

2Os visibles Os visibles

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Modérément maigre

4 Mincecouverture

de gras

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À peine visibles

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7 Dépôt de gras

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*Adapté de Évaluation de l’état de chair des chevaux, AGDEX 460/28, Dr. Bob Wright, MAAARO, Ontario

Réf. : The University of Maine Cooperative extension, Equinefacts, Bulletin #1010, Perdue University, Animal Sciences Horses, Buleltin AS-552-W, 10/02

Réf. : The University of Maine Cooperative extension, Equinefacts, Bulletin #1010, Perdue University, Animal Sciences Horses, Buleltin AS-552-W, 10/02

CRF Cooperative Research Farms – Better Nutrition for a better horse, 2009



[Inscrire le nom de votre coopérative]

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Par Louis-Mathieu Gagnon, agr.Conseiller en agroenvironnement

Cellulaire : 450-502-1459

La Cible : La pointe des racines

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Que vous soyez producteur de grande culture ou jardinier amateur, la qualité du sol sur lequel vos plantes se développent est importante. D’un côté, vous prenez des analyses de sol fréquentes pour savoir quoi y ajouter. Ceci permet de s’équiper avec les bonnes munitions, mais sait-on quelle est la cible ? Cet article la présentera, avec un petit survol du mécanisme par lequel la nutrition souterraine des plantes est faite.

Prospection rime avec nutrition

Le dessin montre un diagramme simplifié de la pointe d’une racine. Cette pointe, c’est la partie la plus importante de la racine et la zone dans laquelle la plus grande partie de la nutrition est faite. Elle doit constamment progresser dans le sol pour nourrir efficacement la plante.

Ceci est dû au fait que les nutriments ne proviennent pas tous directement des particules du sol. Une grande partie est fournie par les micro-organismes autour de la racine. Le passage d’une pointe de racine dans un morceau de sol modifie beaucoup l’activité dans cette zone. La pointe libère des sucres, appelés exsudats racinaires, qui avec l’eau du sol forment une gelée qui permet à la racine de glisser vers l’avant. Cette gelée déposée autour de la pointe cause un développement rapide de bactéries dans le sol, lequel est la base de toute une chaîne alimentaire qui se développera juste derrière la coiffe, là où se trouve les poils absorbants.

C’est là que tout se produit. L’avancement de la racine dans le sol permet à la pointe de sécréter une ‘’nourriture’’ pour la vie du sol, qui fournira à son tour une nourriture pour les plantes directement dans la zone de poils absorbants. Cette zone, c’est la porte d’entrée de tous les fertilisants appliqués au sol. Par

conséquent, la progression des racines dans le sol est directement liée à une entrée massive de fertilisants et d’eau vers l’intérieur de la plante.

C’est la raison pour laquelle ce n’est pas seulement la quantité de racines qu’une plante porte qui y détermine l’entrée des fertilisants, c’est aussi la vitesse à laquelle le système racinaire se développe. C’est pourquoi avant tout effort de nutrition de la plante, il faut d’abord s’assurer que les racines peuvent pénétrer rapidement et sans effort dans le sol.

La seule façon d’y arriver, peu importe votre type de sol, est de porter une attention constante à la structure du sol. Vos méthodes culturales, la réduction de la compaction, un drainage adéquat et une bonne gestion de la matière organique permettent au sol de se structurer de façon à permettre une colonisation agressive du sol par les racines de vos cultures : c’est la clé de l’efficacité de tout ce qui est appliqué sur un sol agricole.

Développement bactérien et absorption par les poils

Sécrétion de sucre et avancement de la racine

Micro-organisme bénéfiquedu sol


Il faudra être patient, mais…SERV

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Par Bruno Simard, T.P.Directeur du service des grains


Cette chronique est écrite alors qu’il reste encore plus d’un mois avant que les récoltes américaines et québécoises inondent les marchés, écrasant comme toujours au passage les prix à la récolte. Et, cette année, à moins d’un brusque changement aux pronostics actuels, du grain, il y en aura à nouveau beaucoup plus qu’il n’en faut pour répondre aux besoins des consommateurs.

En fait, il est même possible que les récoltes américaines atteignent de nouveaux records avec des stocks qui, du coup, seront encore exceptionnellement élevés pour une autre année.

Et, comme l’illustrent les graphiques ci-joints, la relation entre stocks de grains élevés et faibles prix est difficile à ignorer. Déprimant vous-dites? Par comparaison des incroyables années de prix historiques 2011 et 2012, en effet. Par contre, il y aura encore cette année des manières de bien tirer son épingle du jeu.

Quand le marché à Chicago est en déprime, que les prix proposés aux producteurs sont

faibles, les consommateurs et utilisateurs de grains doivent régulièrement tenter d’inciter les producteurs à sortir du grain de leurs silos en proposant des meilleures « bases ».

Pour les plus habiles dans leur commercialisation qui connaissent bien les bases et sont habitués de travailler avec cet outil, il devient alors possible avec un peu de patience de faire des combinaisons « gagnantes ». Saisir l’opportunité de bonnes « bases » plus élevées qu’à la normale, de patienter un peu ensuite en attendant que le marché à Chicago s’emballe, et propose un contrat à terme plus élevé. Ainsi, une bonne « base » combinée à un bon contrat

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Nombre de jours de réserve de maïs depuis 2000-2001

Aux États-Unis Dans le monde Prix Chicago $US/tonneSource: USDA


à terme offre alors une occasion de se sortir bien souvent la tête de l’eau avec un bon prix, même lors d’année difficile.

L’un des grands avantages du marché à Chicago d’aujourd’hui par comparaison d’il y a plus d’une dizaine d’années est sa grande volatilité. Autrement dit, les prix des grains avaient beaucoup moins pour habitude de s’emballer brusquement à la hausse comme à la baisse au début des années 2000 par exemple.

Aujourd’hui, comme l’aura d’ailleurs très bien rappelé le rallye important du printemps/début d’été dernier, il en faut beaucoup moins pour voir rapidement les prix à Chicago grimper sans crier gare. Et, même depuis que les prix se sont effondrés dès leurs sommets de 2012, il ne se sera pas passé une année où ceux-ci n’ont pas à une ou plusieurs reprises bondi.

Pour ceux qui savent travailler avec la « base », il s’agit d’une très belle occasion de faire des coups de circuit. Ceux qui sont moins confortables avec la « base » ne sont pas démunis pour autant, puisque généralement les rallyes des prix permettent quand même d’obtenir aussi bien souvent des prix plus intéressants. La clé est alors cependant d’avoir des objectifs de vente bien précis et de les respecter, sans quoi plus souvent qu’autrement, l’opportunité de vendre à un meilleur prix nous passe sous le nez à défaut d’avoir attendu trop longtemps en espérant encore davantage.

Et, pour cette année, qu’est-ce qui pourrait bien nous permettre d’espérer de nouveaux rallyes des prix et de meilleures ventes? Comme toujours, la balance est dans le camp de Dame Nature. À cet égard, la mondialisation des marchés qui se poursuit joue d’ailleurs en notre faveur.

En effet, lorsque se termineront les récoltes en Amérique du Nord en octobre et novembre, le début de saison s’amorcera en Amérique du Sud. L’Argentine et le Brésil étant à eux seuls responsable aujourd’hui de 50% de la production mondiale de soya, et de 10-12% de celle du maïs, nul besoin de dire que déjà à la fin de 2016, les marchés seront en état d’alerte au moindre imprévu météo qui menaceront les prochaines récoltes sud-américaines.

Une nouvelle belle opportunité de profiter d’un autre possible rallye comme nous en avons connu un avec le début de saison au printemps dernier aux États-Unis. Les marchés ne dorment jamais, et il faut rester aux aguets.

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Nombre de jours de réserve de soya depuis 2000-2001

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2003/2004

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2013/2014

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2015/2016

2016/2017

Aux États-Unis Dans le monde Prix Chicago $US/tonneSource: USDA

Produits solides et liquides Produits solides et liquides || Grains et moulées | Produits industriels et agricoles Grains et moulées | Produits industriels et agricoles

488, Haut Rivière St-Damase, Québec

Canada, J0H 1J0

Tél : (450) 797-2352 www.damco.ca [email protected]


En collaboration avec Jean-Philippe Boucher agr., MBA, Consultant en mise en marché des grains, Grainwiz

Bruno Simard, T.P. Directeur du service des grains

Renée Lévesque Agente à la commercialisation

Réal Beauregard Agent à la commercialisation

Le Centre de rénovations Unimat d’Acton Vale devient BMR !Q

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La Coop des Montérégiennes est heureuse d’annoncer que son Centre de rénovations Unimat situé au 950, rue Landry à Acton Vale arborera la bannière BMR à partir du 29 septembre 2016.

« Nous sommes très heureux de nous associer avec BMR, un quincailler québécois reconnu et solide dont l’expertise dans le domaine de la quincaillerie et de la rénovation n’est plus à démontrer. La force de sa marque de commerce et la confiance que lui portent les consommateurs constituent des avantages concurrentiels dont sauront tirer profit nos membres et nos clients. », mentionne le directeur général de La Coop des Montérégiennes, Christian Massé.

Le Centre de rénovations a depuis quelques années investi en réaménagement et achat d’équipements (Camion Girafe, etc…) et par l’embauche de personnel qualifié pour un meilleur service. Pour tous vos projets de construction, de rénovation, de décoration et agricole, notre équipe se fera un plaisir de vous servir.

La population de la région est invitée à venir en magasin dans le cadre de la grande vente d’ouverture qui aura lieu le 29 septembre 2016, à compter de 11 heures. L’homme fort et ambassadeur de BMR Hugo Girard sera présent de 10 h à 14 h pour rencontrer les clients. Plusieurs promotions et rabais spéciaux seront en vigueur.

Passez nous voir pour connaître nos promotions et rabais en vigueur.

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Informez-vous !


Par Stéphane Lepage Gérant de la quincaillerie BMR d’Acton Vale


Carte « Ma Remise Privilège D’Unimat »Un avantage exclusif aux membres de La Coop des Montérégiennes

La Coop des Montérégiennes est fière de vous inviter à bénéficier de la carte Ma Remise Privilège D’Unimat, un programme exclusif de doublage de point pour chaque achat en quincaillerie accordés aux membres de La Coop des Montérégiennes.

Le principe est simple…

1. Visitez une quincaillerie de La Coop des Montérégiennes;

2. Présentez votre carte Ma Remise Privilège d’Unimat à la caisse;

3. Accumulez des points pour chaque achat fait en quincailleries;

4. Échangez vos points contre des produits* ou un crédit-voyage Transat**.

PASSEZ À UNE DES QUINCAILLERIES UNIMAT DE LA COOP DES MONTÉRÉGIENNES POUR ACTIVER VOTRE CARTE « MA REMISE PRIVILÈGE D’UNIMAT ».

Pour connaitre la quantité des points ramassés et les montants accumulés, rendez-vous sur www.maremise.unimat.ca/fr/ .

SANS FRAIS NI ENGAGEMENT

Pour de plus amples informations sur le programme, renseignez-vous en succursale. Nous vous remercions de la confiance que vous accordez à La Coop des Montérégiennes.

* Non applicable lorsque les produits sont en promotion avec l’accélérateur de points en circulaire. Les points relatifs à l’achat d’aliments pour animaux de ferme non-inclus ne sont pas applicables au programme La Remise.

** Échangeables dans les agences offrant des forfaits Vacances Air Transat ou Nolitours participantes.

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Réorganisation du travail en aviculturePR

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À titre de directeur des ventes avicoles pour le regroupement Montérégie – Centre-du-Québec, il me fait plaisir de vous présenter la nouvelle équipe des ventes.

Ainsi, outre ma supervision de l’ensemble du département commercial avicole, notre force de vente se compose de Audrey Martel T.P. experte-conseil avicole. Forte de plusieurs années en représentation, elle est dédiée aux productions de poulets de chair, de dindons et de poules pondeuses. Elle voit aussi à la supervision de la ferme corporative (COQ DE BRUYERE) propriété de Vivaco ainsi qu’à la construction prochaine d’un nouveau bâtiment de production de poulets.

De plus, M. Jean-Yves Lavoie, directeur des productions monogastriques de La Coop fédérée nous a assuré de la très grande implication de Messieurs Dion et Noel afin d’assurer le support nécessaire à la satisfaction de notre clientèle et au succès commercial de notre territoire.

- Patrick Noël, MBA, conseiller spécialisé poussins. Relevant maintenant de La Coop fédérée, il assurera le lien entre les acheteurs de poussins et le couvoir. Monsieur Noel a un fort bagage en production avicole et sera très impliqué au soutien et au développement dans notre marché Montérégie – Centre-du-Québec.

- Éric Dion Agr, conseiller spécialisé dindons et pondeuses. Également de La Coop fédérée, kil assurera le soutien et la force de vente de ce secteur d’activités. On ne compte plus les années d’expérience et les compétences de M. Dion. Il est bien reconnu dans l’industrie avicole et son expertise ne fait nul doute.

Également, nous amorçons bientôt la reconstruction de notre dindonnière détruite par le feu. D’une superficie de 50 pieds par 350 sur deux étages, ce bâtiment sera ultra moderne et aux normes récentes de l’industrie. Ce sont des technologies éprouvées, efficaces et performantes qui ont été privilégiées et retenues.

NOMINATIONSNORMAND MESSIERJe vous annonce la nomination de M. Normand Messier qui agira à titre de gérant par intérim du complexe avicole de La Coop des Montérégiennes. Monsieur Messier possède une longue expérience en tant que producteur avicole. Ainsi, il a les compétences pour assurer le bon fonctionnement de ce complexe et d’obtenir les résultats attendus.

PATRICE VIENSÉgalement, je vous annonce la nomination de Monsieur Patrice Viens au poste de « Expert-conseil secteur avicole », et ce pour le regroupement Montérégie-Centre-du-Québec. Relevant du directeur des ventes avicoles, il s’occupera des activités reliées à la promotion et à la mise en marché des produits d’alimentation, des poussins auprès de la clientèle avicole. Il aura à travailler en étroite collaboration avec les intervenants du réseau, afin que par notre offre, nous nous démarquions de nos compétiteurs. Détenteur de diplôme de L’ITA St-Hyacinthe, M. Viens, oeuvre depuis 20 ans pour différentes organisations de l’industrie agricole principalement en aviculture. Avec le bagage qu’il détient, celui-ci possède toutes les qualifications pour relever le défi qu’il lui est confié.

Nous leur souhaitons la meilleure des chances dans leurs nouveaux mandats et les assureront de la collaboration de tous!

Patrick Noël, Daniel Mercier, Audrey Martel et Éric Dion


Par Daniel MercierDirecteur des ventes avicoles

Montérégie – Centre-du-Qué[email protected]

Cellulaire : 450-278-0198


entrePrendre la relève agricoleBénéficiez des conseils d’une équipe de directeurs spécialisés en agriculture et en transfert d’entreprise pour vous appuyer lors de cette importante transition.

Le Prêt Relève agricole Desjardins est adapté à vos besoins :

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• Parmi les 10 plus grandes coopératives agricoles de la province;• Avec plus de 100 000 000 $ de chiffre d’affaires;• 873 membres producteurs;• 1 169 membres auxiliaires;• Employant plus de 100 citoyens de la région, La Coop des Montérégiennes est la propriété

et la fierté des producteurs agricoles de la région.

U.S.A. U.S.A.HampshireNew

New York Vermont U.S.A.

Drummondville

Sherbrooke

St-Hyacinthe

sur-RichelieuSt-Jean

Victoriaville

Sorel-Tracy

Granby

Joliette

Montréal

Laval

OrfordEastman

Acton ValeDurham-Sud

Roxton Falls

Valcourt

Stuckley-Sud

Saint-Césaire

Saint-Joachim-de-Shefford

Saint-Alphonse-de-Granby

Napierville

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ACTON VALE 950, rue Landry 450 546-2791

DURHAM-SUD 50, rue Principale 819 858-2228

GRANBY (siège social) 61, rue Ste-Thérèse 450 378-2667

HENRYVILLE 212, rue St-Georges 450 299-2856

MARIEVILLE 1060, rue Girouard 450 460-7112

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NOS ÉTABLISSEMENTS

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