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«La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment» Swiss Tech Convention Center, Mardi 3 octobre 2017

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Page 1: «La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»Manager BIM sur le chantier du bâti-4 ment de jonction de l’aéroport d’Orly. Depuis novembre 2016, il rejoint le Groupe

«La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»

Swiss Tech Convention Center, Mardi 3 octobre 2017

Page 2: «La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»Manager BIM sur le chantier du bâti-4 ment de jonction de l’aéroport d’Orly. Depuis novembre 2016, il rejoint le Groupe

La numérisation prend une place de plus en plus importante dans notre mon-de et représente un défi de taille pour les secteurs de la construction et de l’immobilier. Ces secteurs sont en effet confrontés à de nouveaux besoins et de nouvelles exigences compte tenu de nos structures organisationnelles bien connues et de notre modèle culturel de coopération. Ce virage culturel transformera profon-dément l’industrie du bâtiment dans les années à venir.

Nouveaux modèles commerciaux, nou-velles formes de contrats, nouveaux acteurs: voilà les éléments qui contribuer-ont à façonner ce changement.

Le Building Information Modeling (BIM) va s’intégrer à long terme aux projets et permettre d’augmenter consi-dérablement productivité et efficacité.Cette méthode permet de réduire les coûts tout en améliorant la qualité de la réalisation. Après une courte introduction au sujet, découvrez les processus de coo-pération optimisés qui sont envisageables, le tout pré-senté par des utilisateurs. Quels sont les résultats obte-nus et quels sont les avantages en matière d’utilisation, que ce soit pour les entreprises gérant la planification et la mise en œuvre ou pour les utilisateurs, en aval du processus?Allez plus loin que la théorie grâce à la conférence «La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment», qui mettra l’accent sur la mise en pratique.

Date Mardi, 3.10.2017 Localité Swiss Tech Convention Center, Quartier Nord de l’EPFL, Route Louis-Favre 2, 1024 Ecublens Coûts hors TVA Partenaire de Bâtir digital Suisse CHF 80.00 Non partenaire CHF 120.00 Formulaire d’inscription Pour de plus amples informations et l’inscription http://bauen-digital.ch/fr/blog/post/245/

voie d’accès https://www.stcc.ch/contact-acces/acces/

«La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»

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Page 3: «La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»Manager BIM sur le chantier du bâti-4 ment de jonction de l’aéroport d’Orly. Depuis novembre 2016, il rejoint le Groupe

16.00 Introduction Accueil et introduction par Bernd Domer, Conseil d’administration Bâtir digital Suisse

16.15 Plan par étapes de la transition numérique dans l’industrie du bâtiment Bâtir digital Suisse. bauen-digital.ch

16.30 Partie 1

Pourquoi commander un projet en BIM. la plus value pour les maîtres d’ouvrages Projet(s)

L’expérimentation BIM au service de la réflexion de projet au sein des transports publics genevoisRedouane Boumaref, Hichem Niss, Alain Borruat

Le BIM pour les aéroports; un nouvel envol?Olivier Hohl

16.50 Partie 2

L’utilisation du BIM dans les phases de planification d’un ouvrage

Le BIM, une évolution inévitable vers la planification 4.0Matthias Achermann

Les ingénieurs CVS en route vers le sommet du BIMJörg Meyer

17.10 Partie 3

L’utilisation du BIM dans les phases de planification d’un ouvrage

De l’utilité de la 4D dans la préparation et le déroulement d’un chantier pour une entreprise de construction, de transformation et de rénovation.Kopec Christophe

BIM et CVSE – Cohérence de l’informationKevin Durepaire

17.30 Partie 4

Le rôle de l’industrie dans la méthodologie de BIM

L’industrie et la méthodologie de BIMDany Zahn

17.50 Partie 5

L’interface entre le BIM et l’exploitation d’un ouvrage

Anticipez votre BIM Exploitation!Stéphane Divoux

18.10Séance questions – répon-ses avece les orateurs

19.40 Apéritif et réseautage

20.00 Fin de la réunion

Programme

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Programme et intervenants

Partie 1Pourquoi commander un projet en BIM. la plus-value pour les maîtres d’ouvrages Projet(s)

L’expérimentation BIM au service de la réflexion de projet au sein des transports publics genevois

Les transports publics genevois pour-suivent des niveaux de performance obligatoirement élevés, leur patrimoine immobilier actuel et futur n’est pas en reste. Dans cette vision, les transports publics genevois ont initié depuis quelques années une collaboration de recherche appliqué avec l’HEIA pour l’expérimentation des portées de la maquette numérique BIM dans la réfle-xion architecturale de leurs projets.

Redouane BoumarefArchitecte diplômé à l’institut d’archi-tecture de l’université de Genève. Professeur HES en informatique appliqué pour l’architecture à la haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg et à l’école technique de la construction de Fribourg. Chercheur en transition numérique et déploiement BIM à l’institut Transform à la haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg. Res-ponsable du CAS en coordination

BIM à la haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg.

Hichem NissArchitecte - Responsable de la conception - Projet En Chardon – Transports publics genevois

Alain BorruatExpert architecte des infrastructu-res IT - manager de projets chez Transports Publics Genevois, Diplôme d’ingénieur, électronique et informa-tique technique, HES Bienne

Le BIM pour les aéroports; un nouvel envol?Dans le cadre de la gestion des don-nées liées aux systèmes d’Informations Géographiques et plus précisément les données aéroportuaires, Genève Aéroport, avec ses quelque 16 millions de passagers par an, ses plus de 100 bâtiments à gérer et ses installations à exploiter 365 jours par an, il est con-fronté constamment à l’amélioration de ses infrastructures. Cette dernière demande fait naître naturellement la question de l’intégration de la réflexion «BIM» pour nos grands projets, tout en analysant en parallèle si le fait de commander un projet en BIM apporte une plus-value pour le Maître de l’Ouvrage?

Olivier HohlArchitecte au sein de la Direction Infrastructure depuis 1995 et en tant que coordinateur du Système d’Information du Territoire de l’Aéroport de Genève (SITAG) depuis 5 ans, travaille de concert avec Alexandre PILLONEL. Il est lui-même responsable des applications SIG et c’est avec cette fonction, qu’il occupe depuis 2012, qu’il participe active-ment, avec le coordinateur SITAG, à la cellule géomatique de Genève Aéroport.

Partie 2L’utilisation du BIM dans les phases de planification d‘un ouvrage

Le BIM, une évoluti-on inévitable vers la planification 4.0La quatrième révolution industrielle est là et engendre une digitalisati-on de nos services d’ingénierie. Le Building Information Modeling est un prodigieux moteur du changement. Ce processus numérisé perfectionne la vision du planificateur tout en facilitant les flux de travail intermandataire. Ainsi, la création d’un jumeau virtuel de chaque projet de construction con-tribuera à son efficacité énergétique, sa flexibilité et sa modularité.Présentation des objectifs et moyens pour profiter de ces innovations dans la technique du bâtiment.

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Matthias AchermannTitulaire d’un diplôme d’ingénieur HES en ingénierie CVC et d’un post-grade à l’HEC de Genève, Matthias Acher-mann est, depuis 2009, directeur du bureau Amstein+Walthert Genève. En 2011, il a été élu au conseil d’administration du Groupe du même nom, qui compte aujourd’hui 850 col-laborateurs. Pour l’ensemble du Grou-pe comme pour la société de Genève, le BIM est une très grande opportunité d’innovation. C’est avec cet objectif que Matthias Achermann a initié, en 2015, le tournant digital au sein de sa société et a découvert le potentiel d’optimisation des processus internes, gain de cohérence dans les projets, l’interconnectivité des applications tout comme les nouveaux métiers qui en résultent. Il accompagne de près ses spécialistes BIM et les aide à perfec-tionner les outils et à transformer les idées créatives en produit de services applicables dans le domaine.

Les ingénieurs CVS en route vers le sommet du BIMDepuis 2005, Weinmann-Energies SA s’intéresse à la digitalisation de ses méthodes de travail. C’est dans cette optique que j’ai été mandaté par ma direction afin de développer ces aspects. Il nous est rapidement apparu que la digitalisation allait transformer et améliorer l’ensemble des méthodes de travail liées à la construction. L’intégration de ces méthodes BIM, confrontent les ingénieurs CVS à d’importants changements. Ces derni-ers nous apparaissent parfois comme des montagnes à gravir et ce qui suit, décrit notre ascension vers le sommet du BIM.

Selon nos observations, nous cons-tatons qu’une évolution progressive de nos outils sera nécessaire chez Weinmann-Energies SA. L’intégration par étapes servira à attiser la curiosité et à motiver nos collaborateurs à remplir leur sac à dos pour emboîter le pas de la première cordée. Ainsi équi-pé, et même si de nombreuses étapes sont encore à gravir, nous pouvons l’affirmer, Weinmann-Energies SA est bel et bien lancé vers les sommets du BIM.

Jörg MeyerTitulaire d’un diplôme d’ingénieur HES en systèmes industriels de la HEIG-VD et après avoir effectué 2 apprentissages de projeteur en chauf-fage et sanitaire en Suisse allemande, M. Jörg Meyer a débuté sa carrière en 2001 chez Weinmann-Energies SA à Echallens en tant que projeteur en chauffage-sanitaire.En 2005, il prend en charge le poste de responsable informatique et en 2010 devient représentant BIM de la direction de Weinmann-Energies SA.M. Jörg Meyer continue à gravir les échelons pour devenir en 2011, chef de groupe CV3 et prend en charge di-vers types d’ouvrages (industriels, ad-ministratifs, scolaires, hôteliers, etc.) tels que le JTI à Genève, la Maison Olympique (CIO) ou encore l’Ecole Hôtelière à Lausanne et bien d’autres. Ensuite, en 2013, il devient membre de la direction opérationnelle et dès 2015, responsable de la succursale Weinmann-Energies SA à Meyrin.

Partie 3L’utilisation du BIM dans les phases de planification d’un ouvrage

De l’utilité de la 4D dans la préparation et le déroulement d’un chantier pour une entreprise de construction, de transformation et de rénovation.

Qualité de réalisation, garantie des délais, sécurité accrue des chantiers: les outils et processus BIM les assurent.La démarche BIM entamée depuis près d’un an au sein du Groupe Zuttion - entreprise de construction, de transformation et de réhabilitation comptant 300 collaborateurs en Suisse romande - en est l’illustration concrète.

Kopec ChristopheManager BIM au sein du Groupe Zuttion

Titulaire d’un brevet de technicien supérieur d’études en constructions métalliques à l’A.F.P.A. (France), Christophe Kopec commence sa carrière comme projeteur/calculateur au sein d’Arcora-Ingerop (France) - bureau d’ingénierie d’études spécialisé en structures métalliques et façades complexes- où il évolue vers la fonc-tion de référent 3D sur des projets à géométrie complexe (le Grand Stade Lille –Métropole & la «Canopée» des Halles).Puis, en intégrant Vinci Construction France, il travaille sur le terrain comme coordinateur BIM en synthèse géomé-trique d’exécution sur le chantier de la «Canopée» des Halles puis comme Manager BIM sur le chantier du bâti-

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Page 6: «La plus-value du BIM dans la technique du bâtiment»Manager BIM sur le chantier du bâti-4 ment de jonction de l’aéroport d’Orly. Depuis novembre 2016, il rejoint le Groupe

ment de jonction de l’aéroport d’Orly.Depuis novembre 2016, il rejoint le Groupe Zuttion pour y implémenter le BIM.

BIM et CVSE – Cohérence de l’informationLa méthode BIM, qui s’appuie sur des objets paramétriques et non sur le dessin, permet de dissocier la donnée de la géométrie et de créer un vecteur d’information: le support n’est plus le plus important, seule la donnée compte! Comment cela peut-il se retranscrire dans les techniques de bâtiment?

Kevin DurepaireTitulaire d’un diplôme d’ingénieur en spécialités Génie Civil et Management de Projets de l’Ecole Centrale de Nantes (France), Kévin Durepaire a débuté sa carrière en 2010 chez Losinger Construction (groupe Bouygues – Suisse) comme ingénieur valorisation de projets pour les lots architecturaux. Au sein de la Direction Technique, il prend en charge le chiffrage et l’optimisation de tout type de projets en Suisse romande tels que le Centre des Arts de Genève (GE), l’extension des prisons d’Orbe (VD) ou encore l’écoquartier Eikenott à Gland (VD). Il est également responsable de la base de prix de l’entreprise.En 2016, il intègre la cellule BIM de Losinger Marazzi. Son travail est orienté sur la recherche de solutions techniques et sur la mise en place du travail collaboratif basé sur le BIM pour les ouvrages courants ou com-plexes, avec un accent prononcé pour

la gestion collaborative des données. Il a participé activement à la mise en place de la stratégie BIM et son appli-cation sur des projets tels que l’hôtel Palexpo à Genève (GE) et le quartier Oassis à Crissier (VD).

Partie 4Le rôle de l’industrie dans la méthodologie de BIM

L’industrie et la méthodologie de BIM Les prémices de l’ère industrielle 4.0 et l’inéluctable numérisation qui l’accompagne obligent l’industrie en général et le bâtiment en particulier à lever les freins du progrès et les invite à accélérer leur adhésion à cette nou-velle méthodologie et à ce nouveau mode de communication collaboratif et interdisciplinaire qu’est le BIM.C’est bien parce que nous définissons aujourd’hui notre fonctionnement de demain que nous devons saisir les chances offertes par le BIM. Le stade où l’on se demande si oui ou non l’on doit adhérer à cette méthodologie est bien révolu. La question n’est plus de savoir si l’on doit prendre le train en marche, mais bien quand l’on pourra fournir les modèles BIM au marché, tant au niveau local et national qu’à une échelle internationale.

Dany ZahnDany Zahn dirige le département de communication technique au siège de la société Belimo à Hinwil (ZH).Belimo est le leader mondial de la technologie des servomoteurs et des

vannes pour le chauffage, la ventilati-on et la climatisation.À la pointe de l’innovation et cher-chant systématiquement à répondre de manière avant-gardiste aux besoins du marché, Belimo se devait évi-demment d’intégrer le BIM pour ac-compagner au mieux ses partenaires planificateurs, architectes ou autres ingénieurs et bureaux d’études.

Partie 5L’interface entre le BIM et l’exploitation d’un ouvrage

Anticipez votre BIM Exploitation!De plus en plus de bâtiments sont livrés par les constructeurs en BIM. Rarement ces maquettes ont été pensées pour l’exploitation, ce qui engendre des difficultés d’intégration dans les environnements de gestion du Facility Management, ainsi que des pertes d’information regrettables.Les causes de cette situation sont multiples et AREMIS a identifié sept points de rupture entre les mondes conception/construction et exploita-tion. Les connaître, c’est se donner les moyens de les dépasser et de vivre pleinement une des grandes promesses du BIM: la conservation des informations durant l’intégralité du cycle de vie du bâtiment.Le «remède»? l’anticipation! Idéale-ment, la future gestion (technique et organisationnelle) du bâtiment devrait être prise en compte dès les premières phases de la conception. Désormais, la réception numérique de la maquette BIM devient une (nou-velle) étape capitale et doit être cor-rectement planifiée au plus tôt dans la conception. De nouveaux rôles, tel que «BIM Manager exploitation» voient le jour pour orchestrer tout ceci.

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Stéphane DivouxStéphane Divoux est en charge de la division consulting et gestion «métier FM» de la filiale suisse d’AREMIS, leader européen du conseil, des ser-vices et des technologies de gestion de l’immobilier et de l’environnement de travail. AREMIS accompagne ses clients dans la définition de leur modè-le BIM et la réception des maquettes et données en vue de leur intégration dans un système de gestion du Facili-ty Management.

Séance questions – réponses avece les orateurs Construire est un processus très précis s’appliquant à un lieu, et qui se détermine par des exigences toujours plus nombreuses. La numérisation influe sur le type d’évaluation et sur les décisions concernant le projet, modifie de plus en plus les processus de planification et de construction établis et a un impact immédiat sur la chaîne de valorisation. Aujourd’hui et de plus en plus, construire, ce n’est plus seu-lement assembler des matériaux: c’est aussi de combiner avec les éléments de construction préfabriqués.Le débat consistera en un échange sur la façon dont les parties prenantes peuvent, d’une part, tirer profit des avantages de la numérisation et de la modularisation de leur entreprise et, d’autre part, optimiser la transition au sein de l’entreprise comme avec les planificateurs et les entreprises impli-qués, les maîtres d’ouvrage ainsi que les exploitants des bâtiments.

Modération par Bernd Domer, du Conseil d’administration de Bâtir digital Suisse

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