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Yves Charcossey, quant à lui, exerce depuis une quinzaine d’années comme enseignant et connaît bien l’école élémentaire des Grésillons A. Il succède à Jean-Luc Faïsse, trop tôt disparu. « Je me dois de continuer le travail et l’esprit qui ont inspiré  mes  prédécesseurs », dit-il. Il précise que l’école des Grésillons A appartient à la Zone d’éducation des Grésillons. « A ce titre, nous disposons de moyens supplémentaires et de  bonnes  conditions  de  travail  même  si  les moyens  mis  en  œuvre  ne  sont  pas  toujours suffisants  pour  faire  progresser  nos  élèves ». L’homme tient tout particulièrement au travail en équipe des enseignants, avec le soutien des parents, « éléments moteurs dans la vie de nos écoles ». De même, il estime que « la politique volontariste de la municipalité - avec la rénovation urbaine importante du quartier, la  rénovation  et  construction  d’écoles,  la mise à disposition d’équipements de quartier, 

Lui, c’est Pascal Labussière. Il est dans l’enseignement depuis six ans et directeur d’école depuis

deux ans. Avant d’être nommé à l’école maternelle des Grésillons, il connaissait déjà Gennevilliers : sa femme, enseignante, y a travaillé l’an dernier. Il n’arrive donc pas en terre totalement inconnue. «  Il ne s’agit pas d’un très grand changement pour  moi  sur  le  plan  personnel  et professionnel, dit-il. Car j’étais déjà directeur d’une école importante (en nombre de classes), dans  un  quartier  complexe,  en  réseau  d’aide prioritaire,  sur  une  autre  commune  du  nord des  Hauts-de-Seine ». Son premier regard sur l’école qu’il dirige désormais ? Il souhaite que la maternelle des Grésillons « poursuive sa  voie  telle  qu’elle  a  été  initiée  par  l’équipe enseignante  et  (mes)  prédécesseurs ». Il apprécie ici une équipe stable depuis des années, où de nombreux projets ont été mis en place, « visant  au  progrès  de  tous  les élèves ». En conclusion, « nous  continuons donc à travailler dans cette perspective ».

le  dispositif  de  l’Après 16 heures –  fait beaucoup pour améliorer  la vie des habitants du  quartier ». Attention, insiste-t-il, « tout est loin d’être parfait. Il y a des insuffisances et  des  manques  ici  ou  là.  Mais  les  équipes enseignantes se montrent motivées et engagées dans  le  processus  de  réussite  des  élèves ». Le nouveau directeur tient au dialogue établit entre les élèves, enseignants, parents, administration de l’Education nationale et mairie. « La  vie  moderne  est  très  morcelée et  l’école  constitue  un  des  derniers  endroits d’échanges, de partages et d’apprentissages. Il faut le préserver et lui donner des ailes afin que l’école à laquelle j’appartiens reste elle-même, ne  renie  en  rien  ses  ambitions,  des  doutes, tout en continuer à améliorer la qualité d’êtres humains en devenir ». Joli programme. ¶

Propos recueillis par Nathalie Effoudou

Grésdito Démocratie, ça continue !

La mosquée se visite. Elle a été inaugurée le 10 octobre. La mosquée de Gennevilliers, érigée au 81, rue Paul Vaillant Couturier, a été pensée par l’architecte d’origine égyptienne Ramzi Mahalaoui. Dans les deux grandes salles, la mosaïque ornant les murs vient du Maghreb. Le minaret, vu de l’intérieur, vaut aussi le détour. La mosquée se visite chaque matin, sur rendez-vous, sauf le vendredi. L’après-midi étant réservé aux prières. Renseignements : 01 47 90 86 26

la photo du mois

octobre 2009

Ce quinzième numéro de votre journal de quartier ouvre la saison 2009/2010.

Octobre, c’est aussi le mois de la consultation, des dialogues pour élabo-rer la Charte de la vie démocratique. Une suite logique, dans une ville qui ne compte plus ses actions de démocraties locales ; des référendums locaux aux rencontres publiques en passant par les réunions de quartier…

La Lettre  des Grésillons, journal entière-ment pensé par les habitants du quar-tier, fait partie de cette démocratie là. L’équipe est composée d’habitants de tous âges, soucieux de rapporter les nouvelles du coin La porte est ouverte à tous. A vous de faire évoluer ce jour-nal. Nous vous attendons* !

La rédaction !

La lettre des Grésillons #15

Halte garderie les Ptits Grés a ouvert ses portes aux Grésillons en septembre 1984 grâce au soutien de tous : habitants, ville de Gennevilliers, CAF, Conseil général, PMI, FAS, services de l’Etat et associations diverses. A l’ouverture, deux salariées, issues du groupe de femmes, furent embauchées, le reste du travail étant assumé par les bénévoles. Aujourd’hui, l’équipe compte huit salariés. L’association n’a cessé de grandir et quatre autres lieux d’accueil ont vu le jour, avec 45 postes salariés. Pour la plupart, ce sont des mamans bénévoles ou des stagiaires. Après leur expérience de bénévolat, ces mamans se forment aux métiers de la petite enfance, passent des examens (CAP Petite enfance, BEP Carrières sanitaires et sociales, préparation de l’examen d’entrée en école d’auxiliaire de puériculture, ou encore VAE d’auxiliaire de puériculture…). A l’occasion des 25 ans de Plein Grés, la directrice Annick Poulain a reçu la médaille de l’Ordre national du mérite. Elle lui a été remise par Roselyne Titour, présidente de l’association, chevalier de la Légion d’Honneur ». ¶

Roselyne Titour et Annick Poulain

Les Ptits Grés : 25, rue Louis Castel, tél : 01 47 90 46 48

la tribune libre

Suite aux nombreuses demandes des habitants, portées par les élus de la ville, la RATP propose la création d’une ligne de bus reliant le métro « Les Agnettes » à la ZAC des bords de Seine à Asnières via le RER « Les Grésillons ». Et ce « avec un objectif de mise en place dès 2009 ». À suivre, donc.

À quand la ligne de bus ?

Bienvenueaux nouveaux directeurs

L’école maternelle des Grésillons et l’école élémentaire Grésillons  A 

accueillent deux nouveaux directeurs. Regards croisés. 

les grés en têtes

« … tout en continuer à améliorer la qualité d’êtres humains en devenir »

« …visant au progrès 

de tous les élèves »

* Prochain comité de rédaction :

mardi 10 novembre à 18h30

à l’antenne des Grésillons

30-40, rue François Kovac.

Les Ptis Grès ont 25 ans

« L e 17 octobre, on fêtait les 25 ans d’ouverture de la Halte garderie (les Ptits Grès) au 25,

rue Louis Castel. Premier lieu d’accueil des petits enfants ouvert par l’association, ce fut le début de riches aventures. L’histoire a commencé en 1982, à l’aube du développement social de quartier, grâce à la mobilisation d’un groupe de femmes de la cité des 3F qui avaient déjà les mêmes besoins et envies qu’aujourd’hui : que leurs enfants soient accueillis dans de bonnes conditions, par un personnel formé et compétent, dans un lieu adapté, et avoir du temps pour penser et mettre en place leur insertion sociale et professionnelle à partir de leurs acquis. C’est ainsi que l’association Plein Grés est née. La

La ludothèque suggère :

.

Ce travail s’inscrit dans un projet global culturel, entamé depuis plus d’un an. L’objectif est de permettre aux enfants d’avoir accès à des expositions plastiques dans les musées de

la capitale et ainsi découvrir différents modes d’expression artistique (dessin, peinture, sculpture…). La programmation de nos sorties culturelles doit permettre à chaque enfant de visiter un lieu culturel au mieux une fois par mois. Après le musée du Louvre pour une découverte d’Arcimboldo, les enfants iront à Versailles pour y découvrir les sculptures, puis au musée Beaubourg,

pour une approche ludique de Matisse, Picasso et Miro. Ce projet d’exposition « Reg’art d’enfants » est organisé et géré au sein du service de la direction de l’enfance et de la préadolescence, ainsi que l’ensemble du travail fait dans tous les lieux d’accueil de loisirs de la ville. ¶

Isabelle Nadal

« Reg’art d’enfants » à voir en mairie du 22 octobre au 4 novembre.

Entrée libre et gratuite.

Elle datait de 1969… L’ancienne piscine sera démolie. Un appel d’offre va être lancé début 2010 à cet effet. Les travaux de démolition devraient débuter en mai et durer 2 mois. Le désamiantage des conduits de fumée sera effectué avant la démolition. La parcelle, d’une surface de 1955 m², sera livrée à niveau zéro. Elle accueillera le prolongement du parc Camille Ronce.

Que va devenir l’ancienne piscine ?

Ce n’est pas un poisson d’avril mais le bornage de la rue Jaf-feux a bel et bien été effectué le 1er avril 2009.

Les riverains du 1er au ter peuvent être satisfaits car la

circulation dans cette portion de rue va enfin pouvoir s’effectuer dans des conditions normales. Le trottoir qui

était régulièrement envahi par le stationnement illicite des véhicules a été rendu aux riverains et aux piétons. Saluons cette

réalisation et souhaitons que le problème ne se déplace pas sur le trottoir de la rue François Kovac comme, hélas, cela semble déjà se

présenter de plus en plus souvent par des automobilistes irrespectueux. ¶

Guy Leprieur

Coup de gueule

Maison de l’Enfance

et la culture ?Ce début d’année

scolaire voit déjà arriver des

projets importants que les enfants vont vivre à la Maison de l’enfance dans le cadre des activités de loisirs.

La culture et les arts plastiques seront à l’honneur en ce mois d’octobre, à travers la deuxième édition de l’exposition « Reg’art d’enfants » à la mairie de Gennevilliers.

Pour se préparer au mieux à ce rendez-vous, les enfants travaillent depuis cet été sur le thème de Paris, à travers l’architecture de la ville. Ils ont également découverts différents artistes lors de visites de musées et ont réinvesti ce qu’ils ont pu observer. Par le biais de sorties, de visites, d’ateliers ou de jeux, ils ont pu être initiés à des oeuvres d’art.

on en parle

Un trottoir

rendu aux

piétons

Depuis août 2008, l’Affiche, entre-prise de restauration-traiteur, s’est installée entre les rues Corète et

Laurent Cely. Elle distribue des plateaux repas livrés par environ 25 camions, garés sous les fenêtres de l’immeuble de la rue Corète, à peine à 5

mètres. Cette société n’aurait jamais dû être implantée aussi près ! L’activité

démarre à 4 h 30, elle fonctionne 7 jours sur 7. Et entre 4 h 30 et 6 h 30, les camions font

tourner leurs moteurs. Ce bruit incessant, les vibrations, les émanations de carburant, une ventilation bruyante et les hurlements des chauffeurs sont insoutenables. Cela fait un an que nous ne pouvons plus dormir après 4 heures. Suite à la visite des membres de l’amicale des locataires, accompagnés de

deux élus, en décembre dernier, des efforts ont été faits par la direction. Mais le problème du bruit persiste, occasionné par certains chauffeurs

qui ignorent totalement les nuisances qu’ils provoquent. Les habitants et leur amicale envisagent une nouvelle pétition et un dépôt de plainte au commissariat. ¶

Nathalie Effoudou

halte aux

Comme chaque été depuis plus de dix ans, la bibliothèque s’installait dans la rue en juillet et août.

Plus précisément au parc Camille Ronce et au square 74/115. L’objectif ? Partir à la conquête d’un nouveau public, notamment les plus jeunes. C’est ainsi qu’un beau jour, Antoinette Djadje, maman de quatre enfants, habitante de l’avenue Gabriel Péri depuis 2003, découvre l’équipe des bibliothécaires. « J’ai  été  subjuguée  par  ces  enfants  si  sages, assis sur la pelouse, captivés par les histoires qui  leur  étaient  racontées», se souvient-elle. « Mes enfants venaient déjà à la bibliothèque, grâce  à  l’école  ». Antoinette Djadje en veut plus. Elle franchi les portes de cet antre de la lecture, elle qui ne sait pratiquement pas lire le français. « J’ai été si bien accueillie que je me suis tout de suite sentie chez moi », ra-conte-t-elle. Et lorsque les bibliothécaires ne la voient plus, elles s’en inquiètent, deman-dent des nouvelles. « Pour moi  qui n’ai pas de famille ici, c’est très important, toute cette attention ». Grâce à ses enfants, elle progresse en lecture. Elle a même lu un roman de Bal-zac. « Je  veux  que  mes  enfants  sachent  bien lire,  pour  pouvoir  évoluer  mieux  que  moi ». Assidue, elle conduit Jonathan, l’aîné de 11 ans avec Christelle, 7 ans, Marie-Ange, 5 ans et la petite dernière, dans le landau, chaque mercredi et samedi. Alors que Jona-than se rue sur les derniers Naruto, Christelle apprécie la collection « J’apprends à lire » et Marie-Ange regarde les Petits ours bruns. Ils restent parfois l’après-midi entière. Car ici, on ne voit pas le temps passer. ¶

Nadège Dubessay

« On  peut  venir  quand  on  veut, y’a  pas  besoin  de  s’inscrire, c’est  le  mardi  soir  et  c’est 

gratuit. Chaque  atelier  est  unique. On  écrit ou  pas.  C’est  comme  on  veut.  Aucun  thème n’est  imposé», résume Kamach. L’homme sait de quoi il parle, fidèle de la première heure des ateliers d’écriture du théâtre de Gennevilliers.

« C’est un laboratoire où l’on brasse des idées. On parle, on écoute, on écrit », poursuit-il. Il se plaît à raconter les exclamations de Pascal Rambert, directeur du théâtre, metteur en scène et animateur de ces ateliers. De ces « Ouvrez ! Ouvrez ! » retentissants lorsque ce dernier sent un enfermement dans les textes, dans les corps. « Il  n’intervient  pas  dans les  écrits,  mais  il  a  une  façon  singulière  de 

Adieu, monsieur le directeurLes habitants du quartier ont été très émus d’apprendre le décès de Jean-Luc Faïsse, directeur de l’école primaire Grésillon A, survenu en mai dernier. Il est arrivé à Gennevilliers en 1979 et aux Grésillons en 1981 où il a enseigné aux Grésillons A dans toutes les classes jusqu’en 1998, date à

laquelle il est devenu coordinateur de la ZEP des Grésillons. Ensuite, il est devenu directeur de l’école en 2003. Il était toujours disponible pour les enfants et leurs parents. Un cerisier a été planté dans la cour de l’école pour nous rappeler le souvenir de son passage et tout son engagement.

Que va devenir l’ancienne piscine ?

par ces enfants si sages… »

coup de chapeau

découverte Atelier d’écriture : « on parle, on écoute, on écrit… »

La bibliothèque Robert Doisneau vous propose une sélection de livres. ¶

Sélection de Sylvie Solana

tourner la page

L’homme qui m’aimait tout bas d’Eric Fottorino. Editions GallimardEric Fottorino a été adopté à 9 ans par Michel Fottorino, kinésithérapeute. Et s’il a plus tard renoué des liens avec son père biologique, lui-même avoue « être né une seconde fois » ce jour là. Dans cet hommage au père, Eric Fottorino nous raconte l’histoire d’un homme qui ne savait pas exprimer ses sentiments avec des mots mais dont l’amour transparaissait dans chacun de ses gestes. Cet homme a choisi de se donner la mort. Eric Fottorino lui rend hommage de la plus juste manière sans en rajouter. Dans le registre de la pudeur, ce livre simple et beau est fort, fort comme l’évidence.

Les autres, c’est rien que des sales typesde Jacques A. Bertrand. Editions Julliard.Voici un catalogue (non exhaustif !) de ces enquiquineurs qui troublent notre vie quotidienne. Vous y reconnaitrez le touriste (insupportable), le Parisien (odieux), le médecin (indispensable, mais pourtant …), le jeune (il y en a partout !) et même l’Agélaste qui, comme chacun sait, est celui qui ne rit jamais. Les Chroniques de J. A. Bertrand qui ont déjà fait le bonheur des auditeurs des « Papous dans la tête » sont rassemblées ici. Un vrai régal.

La pluie, avant qu’elle tombede Jonathan Coe. Editions Gallimard.Imogen reçoit un enregis-trement de Rosamond à titre posthume. Les paroles emmènent le lecteur dans l’histoire de trois générations de femmes, de 1940 à aujourd’hui, dont les destins s’entrecroisent, chargés de désir, de chagrin et d’émotion.

« J’étais subjuguée

« Ouvrez ! Ouvrez ! »

Les ateliers d’écriture animés par Pascal Rambert. Tous les mardis à partir de 19 heures au Théâtre de Gennevilliers 41, avenue des Grésillons. Tél : 01 41 32 26 10.http://mardisoirdut2g.blogspot.com/

parler, de diriger ». Tous les mardis soir, une quarantaine d’hommes, de femmes, de jeunes et moins jeunes issus de toutes les catégories sociales hantent le théâtre pour un exercice de style qui mènera une trentaine d’entre eux à participer, en janvier, au nouveau projet de Pascal Rambert, la création et la réalisation d’« Une  (micro)  histoire  économique  du monde, dansée ». Une vaste fresque historique qui narre l’aventure humaine d’une foule d’existences ordinaires prises dans les remous du marché mondial. Un spectacle qui fait appel à l’imagination physique et verbale de chaque participant. Nous ne sommes jamais bien loin des ateliers d’écriture. A moins que ce ne soient les ateliers qui flirtent avec le théâtre, sans en avoir l’air. ¶

Nadège Dubessay

les deux compères. Vient ensuite le temps du repos, pour les cuisiniers notamment, « le stress est  très  fort pour eux ». Ensuite, il faut faire les courses si besoin, avec les ingrédients qui pourraient manquer. Car sur place, on prépare la pâte à pain, la pâte à pizza et les pâtes fraîches. A 18h30, place aux couverts du soir. C’est reparti pour l’effervescence. Jusqu’à 23 heures. « Sur le quartier, le bouche à oreille fonctionne  bien », se réjouissent les deux associés. « Il n’y a pas besoin de publicité, ou presque ». Prochainement, la pizzeria devrait s’enrichir d’une terrasse chauffée. ¶

Eric Chayot et Esther Serrano

la vitrine

4, rue de la Sablière.

Ouvert du lundi au samedi

de 12 h à 14 h 30 et de 19 h et 23 h.

Prochainement, la pizzeria devrait s’enrichir d’une terrasse chauffée.

Nouvelle arrivée dans notre quartier, la pizzeria Esmeralda, au 4, rue de la Sablière. Ouvert depuis septembre

dernier, le restaurant n’a pas attendu pour afficher salle comble. Les clients affluent, et visiblement, le contact avec les habitants a été immédiat. Les propriétaires de l’établissement, deux frères, Essam Attaïa et Hicham Yacoub, ont aimé ce quartier de Gennevilliers, en pleine expansion avec l’arrivée de nouvelles entreprises. Les deux associés décident de s’implanter ici. Passionnés, ils ont tous deux une vingtaine d’années d’expérience dans la restauration. Leurs origines égyptiennes permettent un subtil mélange des cultures que l’on retrouve dans l’assiette. « Notre  journée  débute  vers  10h30, avec la réception des marchandises et la mise en place des table », disent-ils. Ils sont aidés par trois personnes, cinq quand il le faut, suivant l’affluence. « Les premiers clients arrivent vers 12 heures et le coup de feu se poursuit jusqu’à 14h30, en deux vagues environ », poursuivent

Comment trouvez-vous ce journal ? Qu’aimeriez-vous y voir figurer ? Vous voulez nous adresser un article ?Toutes vos suggestions sont les bienvenues.

Contactez-nous au : 01 40 85 60 40antenne.gresillons@ville-gennevilliers.fr

Antenne des Grésillons : 30-40, rue François Kovac tél : 01 40 85 60 43.Agent de développement local : Laïla Melaz.

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La pizzeria Esmeralda vient d’ouvrir ses portes, et c’est déjà 

l’affluence. 

Produits à la carte.

Entrées et salades de 4 à 12 euros. Pizzas de 8 à 12,50 euros.

Pâtes de 7 à 11 euros. Viandes de 11 à 13,50 euros.

Pour les tous petits (3 -5 ans) : Beppo. Teste ton adresse dans ce jeu de parcours. /// Pour les plus grands (6-11 ans) : Le labyrinthe magique. Lequel d’entre vous mémorisera le mieux le trajet de son magicien ? /// Pour les adultes : Montego bay : Dockers ! Chargez les bateaux de vos tonneaux avant qu’ils ne partent.

La ludothèque suggère :

Vous connaissez le comité de quar-tier des Grésillons ? On y débat de notre environnement, de la vie quo-

tidienne, des améliorations à apporter au quartier. Voulant accentuer la démarche de démocratie de proximité, la municipalité met en place avec vous la Charte de la vie démo-cratique. Ce document collectif retracera la philosophie et le mode de fonctionnement des instances de participation (conseils de quartier, conseil de la jeunesse, conseil éducatif local…). Pour comprendre et prendre part à la définition gennevilloise de la démocratie participative, la compagnie Naje (Nous n’abandonnerons jamais l’espoir) vient proposer une pièce de théâtre-forum pour jouer ensemble des mises en situation de démocratie participative. ¶

Alors venez nombreux vendredi 13 novembre à 20 heures à l’Espace des Grésillons – salle polyvalente.

Démocratie participative,

mode d’emploi

(((|)))en direct de l’antenne

Toute l’année, l’antenne des Gré-

sillons vous propose des sorties, ani-

mations et ateliers créatifs. Soyez

attentifs à l’affichage ou passez nous voir

pour connaître la programmation. Nous

sommes aussi ouverts à toutes vos pro-

positions.

Pour les prochains mois, le Point info fa-

mille vous propose :

• Un groupe de parole « Entre parents »

avec l’école des parents et des éducateurs. Au-

tour d’un café ou d’un thé, les participants

échangent sur leur quotidien de parent.

Ces rencontres sont mensuelles et se déroulent

à l’espace des Grésillons (auditorium de la bi-

bliothèque Doisneau). Dates à retenir : les 14 novembre et 12 dé-

cembre de 9h30 à 11h30. Garde d’enfants pos-

sible. Prévenir l’antenne au 01 40 85 60 40.

• Des rencontres entre parents d’élèves

élus du 1er et du 2e degré. Des rencontres

bimensuelles sont proposées aux parents

d’élèves élus sur les différentes écoles du quar-

tier, du collège et du lycée pour créer un lien

entre eux, échanger sur leur place et leur rôle,

répondre à leurs questions.

• Une rencontre sur le thème « Sens et fi-

nalité de l’école » à l’école Berthe Mori-

sot. Une animation interactive animée par un

intervenant pour faciliter l’expression de cha-

cun. Rendez-vous samedi 7 novembre de

9h30 à 11h30. Animation ouverte à l’ensemble

des parents du quartier.

• Sortie familiale pendant les vacances de

la Toussaint. Mercredi 29 octobre : jour-

née au château de Fontainebleau autour

du conte. Départ en car à 8h30 et retour vers

18 heures. Inscription le mercredi 21 octobre

de 18 h à 19 h à l’antenne des Grésillons. Tarif

unique : 4 euros.

Sortieset ateliers créatifs

Et vous, qu'en pensez-vous ?

Chaud chaud la pizza !