la g énéricité en l2

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La généricité en L2

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La g énéricité en L2. La DRT. La DRT. La DRT. Hans Kamp. Uwe Reyle. Irene Heim. Id ée de base: Enrichir la logique classique pour rendre compte des anaphores. La DRT. r éférent de discours. x femme(x) se promener (x) y=x content(x) z=x Jeanine(v) rencontrer(x,v) femme(w) w=x - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: La g énéricité en L2

La généricité en L2

Page 2: La g énéricité en L2

La DRT

Page 3: La g énéricité en L2

La DRT

Idée de base:

Enrichir la logique classique pour rendre compte des anaphores.

Uwe ReyleHans Kamp Irene Heim

La DRT

Page 4: La g énéricité en L2

x

femme(x)

se promener (x)

y=x

content(x)

z=x

Jeanine(v)

rencontrer(x,v)

femme(w)

w=x

ravi(x)

Une femme se promène dans le parc.Elle est contente.Elle rencontre Jeanine.La femme est ravie.

référent de discours

DRS (Discourse Representation Structure)

Condition

Univers

Interprétation: x(femme(x)&content(x)&rencontrer(x,j)&ravi(x))

zy v w

La DRT

Page 5: La g énéricité en L2

x z

Jean(x)

z=??

Jean n’a pas rencontré une seule étudiante.Elle n’était pas là.??

y

étudiante(y)rencontrer(x,y) Règle pour la reprise de RDs:

On peut regarder dans la propre ‘boîte’ et dans les ‘boîtes’ plus grandes.

Interprétation: x(femme(x)&rencontrer(j,x))

La DRT

Page 6: La g énéricité en L2

y

y=??

Chaque prof est venu.?? Il était content.

x

prof(x)

Règle pour la reprise de RDs:

On peut regarder dans la propre ‘boîte’, dans les ‘boîtes’ à gauche et dans les boîtes plus grandes

venir(x)

Interprétation: x(prof(x)venu(x))

La DRT

Page 7: La g énéricité en L2

Tous les fermiers qui ont un âne le battent.

x yfermier(x)âne(y)avoir(x,y)

battre (x,y)

Interprétation: xy(fermier(x)&âne(y)&avoir(x,y) battre(x,y))

La DRT

Page 8: La g énéricité en L2

De Swart & Farkas

Page 9: La g énéricité en L2

• Dinosaurs are extinct.• ?? The dinosaurs are extinct.• Les dinosaures ont disparu.• ?? Des dinosaures ont disparus. • D’où vient cette variation? Est-ce qu’elle

tient à la sémantique des articles?

Le défi (première version)

Page 10: La g énéricité en L2

• La sémantique des articles est identique dans les deux langues.

• Les contextes génériques sont des contextes dans lesquels il y a conflit entre deux ingrédients de la définitude.

• Un modèle apte à rendre ce conflit et à rendre compte de toutes les données est la Théorie de l’Optimalité.

L’approche

Page 11: La g énéricité en L2

• Les données.

• La littérature.

• L’Arrière-plan: généricité, nombre et le contraste entre définitude et indéfinitude.

• L’analyse

• Les prédictions de l’analyse.

Ce qui va venir

Page 12: La g énéricité en L2

1. Les données

Page 13: La g énéricité en L2

• The moon is round. English• La lune est ronde. French• A hold kerek. Hungarian

• The stars are shining. E• Les étoiles brillent. F• A csillagok csillognak. H

Les définis dans les contextes épisodiques

Page 14: La g énéricité en L2

Les définis dans les contextes épisodiques

• A mani and a childj came in. The mani was tall. E

• Un hommei et un enfantj sont entrés. L’hommei était très grand. F

• Bejött egy férfii és egy gyerekj. A férfii magas volt. H

Page 15: La g énéricité en L2

Les définis dans les contextes épisodiques

• Childreni and dogsj were playing in the street. The childreni were noisy. E

• Des enfantsi et des chiensj jouaient dans la rue. Les enfantsi faisaient du bruit. F

• Gyerekeki és kutyákj játszottak az utcán. A gyerekeki hangosak voltak. H

Page 16: La g énéricité en L2

• ‘Direct kind reference’: l’article défini.

• The dinosaur is extinct. E

• Le dinosaure a disparu. F

• A dinoszaurusz kihalt. H

L’expression de la généricité (sg)

Page 17: La g énéricité en L2

• Les généralisations génériques: l’article indéfini.

• A dog is dangerous when it is hungry. E

• Quand il a faim, un chien est dangereux. F

• Egy kutya veszélyes mikor éhes.H

L’expression de la généricité (sg)

Page 18: La g énéricité en L2

• L’anglais: le pluriel nu est employé tant pour la ‘direct kind reference’ que pour les généralisations génériques.

• Le français / le hongrois: le défini pluriel est employé tant pour la ‘direct kind reference’ que pour les généralisations génériques.

L’expression de la généricité (pl)

Page 19: La g énéricité en L2

• Dinosaurs are extinct. E• Les dinosaures ont disparu F• Gli elefanti di colore bianco sono estinti.

Italian• Dinosaurii au dispărut. Rumanian• A dinoszauruszok kihaltak. H• Oi asproi elephantes echoun

exaphanisthei. Greek

L’expression de la généricité (pl)

Page 20: La g énéricité en L2

• Dogs are dangerous when they are hungry. E• Quand ils ont faim, les chiens sont dangereux.

F• Gli ucelli di zone paludose sono intelligenti. I• Cînii sînt inteligenti. R• A kutyák veszélyesek mikor éhesek. H• Ta skillia einai eksipna. G

L’expression de la généricité (pl)

Page 21: La g énéricité en L2

Pourquoi – malgré l’uniformité dans les contextes épisodiques – y a-t-il de la variation à travers toutes ces langues?

Le défi (seconde version)

Page 22: La g énéricité en L2

2. La littérature

Page 23: La g énéricité en L2

• Vergnaud & Zubizarreta (1991): l’article défini dans les contextes génériques est explétif dans les langues romanes.

• Longobardi (1994, 2001): les définis dans les langues romanes sont comparables aux pluriels nus en anglais.

• Problèmes: que faire des contextes épisodiques? que faire des génériques singuliers? que faire des langues qui se comportent comme les langues romanes?

La littérature

Page 24: La g énéricité en L2

La littérature

CHIERCHIA

DAYAL

Page 25: La g énéricité en L2

• Question: n’y a-t-il pas moyen de maintenir une analyse universelle des définis?

La littérature

Page 26: La g énéricité en L2

• But: rendre compte de l’uniformité et de la variation dans une théorie universelle du nombre et de l’(in)définitude.

• Hypothèse: les contextes génériques imposent des contraintes opposées aux articles pluriels; les langues peuvent résoudre ce conflit de deux façons.

But et hypothèse

Page 27: La g énéricité en L2

3. L’arrière-plan

Page 28: La g énéricité en L2

• Farkas (2002): les définis sont marqués pour la référence déterminée: dans n’importe quel contexte les définis signalent qu’il n’y a pas de choix concernant leur référent.

• Ce choix forcé se fait sur la base de la maximalité ou de la familiarité.

• Par implicature: les indéfinis sont non-maximaux et non-familiers. (de Swart 2005).

(In)définitude

Page 29: La g énéricité en L2

• Farkas & de Swart (2003), Farkas (2005): les singuliers sont singuliers par défaut.

• Les pluriels sont morphologiquement et sémantiquement marqués comme pluriels.

Nombre

Page 30: La g énéricité en L2

• les espèces (au singulier) renvoient au domaine des espèces

• l’histoire de la bouteille de coca-cola

The coke bottle has a narrow neck.

The green bottle has a narrow neck.

‘Direct kind reference’

Page 31: La g énéricité en L2

• les espèces (au pluriel) renvoient au sommet d’un treillis intensionnel (Ojeda ’93, Chierchia ’98, Dayal ’04).

• Les dinosaures ont disparu / Dinosaurs are extinct

xk, yPl(xk)xk = s,w Dinosaur(y,w)Extinct(xk)

‘Direct kind reference’

!xk, yPl(xk)xk = s,w Dinosaure(y,w)Disparu(xk)

Page 32: La g énéricité en L2

enfant

enfants

Page 33: La g énéricité en L2

Comment concevoir les espèces ?Une espèce peut être conçue comme la somme de tous les éléphants qui existent, ont existé, existeront ou pourraient exister.

ESPECE

PASSE PRESENT FUTUR POSSIBLE

Page 34: La g énéricité en L2

...

...

...

...

Page 35: La g énéricité en L2

• La généricité implique la quantification sur les situations ( de Swart 1991, 1996).

• L’opérateur GEN est pour les situations ce qu’est l’article défini pour les prédicats; il sélectionne la somme maximale.

La DRT

Page 36: La g énéricité en L2

• Un chien est intelligent.

x,schien(x)x dans s

Gen s

intelligent(x,s)

Les généralisations génériques

Page 37: La g énéricité en L2

• Dogs are intelligent.

x,s,zchien(x)Pl(x)z xz dans s

Gen s

intelligent(z,s)

Les généralisations génériques

Page 38: La g énéricité en L2

• Les chiens sont intelligents.

!x,s,zchien(x)Pl(x)z xz dans s

Gen s

intelligent(z,s)

Les généralisations génériques

Page 39: La g énéricité en L2

4. L’analyse

Page 40: La g énéricité en L2

• Les espèces atomiques sont uniques et familiers: l’article défini est employé.

• Pourquoi unique?• Pourquoi familier?• Le dinosaure a disparu.

(K)

• Un dinosaure a disparu. (*K,

taxonomique)

Les SN génériques singuliers

Page 41: La g énéricité en L2

• Les généralisations génériques se font avec GEN.

• Les référents de discours que lie GEN ne sont pas familiers.

• Pourquoi pas?• Réstriction pragmatique: GEN doit être différent

de HAB (de Swart 1991, 1996).• Le chien est dangereux quand il a faim.

(spec, ?GG)• Un chien est dangereux quand il a faim.

(GG)

Les SN génériques singuliers

Page 42: La g énéricité en L2

• Référence directe aux espèces:– pas de choix– domaine des espèces bien établies– article défini

• Généralisation générique:– pas de choix– GEN doit se distinguer de HAB– article indéfini

Les SN génériques singuliers

Page 43: La g énéricité en L2

• Hypothèse: deux contraintes qui sont en conflit

• Les SN génériques pluriels sont [+Max], mais [-Fam].

• Pourquoi [+Max]?• Pourquoi [-Fam]?

Les SN génériques pluriels

Page 44: La g énéricité en L2

• FMax (sois Fidèle à la Maximalité)Si tu as une sémantique en tête qui – de façon directe ou indirecte renvoie à la totalité de l’ensemble dénoté par un SN – il faut marquer le SN en question comme définis.

• *Def/-FamNe marquez pas les SNs comme définis s’ils ne réfèrent pas à des référents familiers.

Deux contraintes

Page 45: La g énéricité en L2

Les dinosaures ont disparu.

Dinosaurs are extinct.

Les chiens sont intelligents.

Dogs are intelligent.

Deux contraintes

Page 46: La g énéricité en L2
Page 47: La g énéricité en L2
Page 48: La g énéricité en L2
Page 49: La g énéricité en L2
Page 50: La g énéricité en L2

• Les contraintes sont violables.• Les langues choisissent leur propre

hiérarchie des contraintes.• Deux contraintes donc deux hiérarchies

possibles:• FMax >> *Def/-Fam• *Def/-Fam >> FMax

La théorie de l’optimalité

Page 51: La g énéricité en L2

Dogs are intelligent

Meaning form *Def/-Fam FMax

Genx(Dgx, Intx)

[+Max][-Fam]

Dogs are intelligent

*

The dogs are intelligent

*

Page 52: La g énéricité en L2

Les chiens sont intelligents

Meaning form FMax *Def/-Fam

Genx(Chx, Intx)

[+Max][-Fam]

Chiens sont intelligents

*

Les chiens sont intelligents

*

Page 53: La g énéricité en L2

Dinosaurs are extinct

Meaning form *Def/-Fam FMax

Dinxk & Extxk

[+Max][-Fam]

Dinosaurs are extinct

*

The dinosaurs are extinct

*

Page 54: La g énéricité en L2

Les dinos ont disparu

Meaning form FMax *Def/-Fam

Dinxk & Disxk

[+Max][-Fam]

Des dinos ont disparu.

*

Les dinos ont disparu

*

Page 55: La g énéricité en L2

• (i) Il devrait y avoir des génériques indéfinis dans les langues du type français si la sémantique qu’on a en tête ne renvoie pas à la totalité de l’ensemble dénoté par le SN dit générique.

• (ii) Dès qu’on a introduit une espèce, on devrait être capable d’y référer avec un SN défini, même en anglais.

• (i) la pseudo-généricité (ii) genericité anaphorique

Deux prédictions

Page 56: La g énéricité en L2

• Des enfants malades sont grincheux.• Des jeunes filles doivent se montrer

discrètes.• En général, si on a une situation qui

contient un enfant et l’enfant est malade l’enfant sera grincheux.

• En général, si on a une situation qui contient une jeune fille et elle se comporte comme il faut elle se montrera discrète.

français: la pseudo-généricité

Page 57: La g énéricité en L2

• Paidia arrosta einai enochlitika.

enfants malades être grincheux

• Asproi elefantes mporoun na prokalsoun periergia.

blancs éléphants peuvent engendrer curiosité

grec: la pseudo-généricité

Page 58: La g énéricité en L2

• Saurischian Bipeds – The Saurischians were the first of the two great groups to assume prominence. […] From certain of these forms, the Saurischians were certainly derived. (Encyclopedia Brittanica, 1972, p. 456).

anglais: la généricité anaphorique

Page 59: La g énéricité en L2

• Une seule sémantique pour les indéfinis et définis dans tous les contextes, dans toutes les langues.

• Conflit entre défini et indéfini uniquement au niveau des génériques pluriels.

• Deux cas de généricité non-standard confirment l’hypothèse centrale.

• Pas besoin de dire que l’article défini dans les langues romanes est explétif.

Conclusion

Page 60: La g énéricité en L2

La généricité anaphorique

Page 61: La g énéricité en L2
Page 62: La g énéricité en L2
Page 63: La g énéricité en L2
Page 64: La g énéricité en L2
Page 65: La g énéricité en L2

Ionin & MontrulPérez-Leroux et al.Gelman & Raman

Page 66: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

This series of studies demonstrated that young children (2,3, and 4 years of age) have begun to distinguish generic from nongeneric utterances in their semantic implications. Not only are children hearing generics from an early age, but they are also interpreting generics in a manner consistent with that of adults.

Gelman & Raman (2003)

It is [...] clear that [children] are failing to exclude plural definites from [a generic] interpretation.

Pérez-Leroux et al. (2003)

L1

Page 67: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

Page 68: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

Page 69: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

Page 70: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

L2

Page 71: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

Page 72: La g énéricité en L2

L’acquisition des SN génériques

> Si on en croit Pérez-Leroux et al. et Ionin & Montrul il y a – semble-t-il – un modèle d’apprentissage universel.

> On passe par un stade dans lequel la forme définie peut être employée pour la généricité.

> Question: faut-il se fier aux résultats de Pérez-Leroux et al. et Ionin & Montrul?

Page 73: La g énéricité en L2

Gelman & Raman

Page 74: La g énéricité en L2

Pérez-Leroux et al.

Page 75: La g énéricité en L2

Pérez-Leroux et al.

Page 76: La g énéricité en L2

Ionin & Montrul

Page 77: La g énéricité en L2

Petit questionnaire néerlandais

Zippy de zebra en Suzy de zebra zijn gevlekt. De giraf vraagt zich af waarom ze er anders uit zien. Laat me je nu enkele vragen stellen.Zijn de zebra’s gevlekt?

> Zijn Zippy en Suzy gevlekt?

Er waren eens twee gevlekte zebra’s. Ze waren erg grappig en de giraf speelde graag met hun vlekken. Nu ga ik je enkele vragen stellen over de zebra’s.

> Nu ga ik je enkele vragen stellen over deze zebra’s.

Page 78: La g énéricité en L2

Petit questionnaire néerlandais

En général, dans une histoire, on préfère les démonstratifs, les pronoms ou les noms propres pour référer aux individus qui viennent d’être introduits.

Page 79: La g énéricité en L2

Les définis dans les contextes épisodiques

• A mani and a childj came in. The mani was tall. E

• Un hommei et un enfantj sont entrés. L’hommei était très grand. F

• Bejött egy férfii és egy gyerekj. A férfii magas volt. H

Page 80: La g énéricité en L2

Raisonnement

En général, dans une histoire, on préfère les démonstratifs, les pronoms ou les noms propres pour référer aux individus qui viennent d’être introduits.

> Ceci pourrait expliquer la différence entre les résultats de Gelman & Raman d’une part et Pérez-Leroux et al. d’autre part.

Page 81: La g énéricité en L2

Gelman & Raman

Page 82: La g énéricité en L2

Pérez-Leroux et al.

Page 83: La g énéricité en L2

Raisonnement

En général, dans une histoire, on préfère les démonstratifs, les pronoms ou les noms propres pour référer aux individus qui viennent d’être introduits.> Ceci pourrait expliquer la différence entre les résultats de Gelman & Raman d’une part et Pérez-Leroux et al. d’autre part.

> Si cette explication est correcte, on s’attend à ce que l’expérience de Pérez-Leroux engendre en espagnol toujours des réponses génériques.

Page 84: La g énéricité en L2

Pérez-Leroux et al.

Page 85: La g énéricité en L2

Raisonnement

En général, dans une histoire, on préfère les démonstratifs, les pronoms ou les noms propres pour référer aux individus qui viennent d’être introduits.> Ceci pourrait expliquer la différence entre les résultats de Gelman & Raman d’une part et Pérez-Leroux et al. d’autre part.

> Si cette explication est correcte, on s’attend à ce que l’expérience de Pérez-Leroux engendre en espagnol toujours des réponses génériques.

> Les expériences qui contiennent une histoire sont à méfier. Pérez-Leroux et al. + Ionin & Montrul

Page 86: La g énéricité en L2

Raisonnement

En général, dans une histoire, on préfère les démonstratifs, les pronoms ou les noms propres pour référer aux individus qui viennent d’être introduits.> Ceci pourrait expliquer la différence entre les résultats de Gelman & Raman d’une part et Pérez-Leroux et al. d’autre part.

> Si cette explication est correcte, on s’attend à ce que l’expérience de Pérez-Leroux engendre en espagnol toujours des réponses génériques.

> Les expériences qui contiennent une histoire sont à méfier.

> Les faits de l’acquisition L2 restent en suspens.

Pérez-Leroux et al. + Ionin & Montrul