la forêt 1.000 ; prîso de katyn avec m. ante pavelitci · france, que le règlement des...

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J. ô M. .maniai, a forestière M. Sartl a été af- istiôre de rndes, M. r à Fleu- affeoté à a Grand- ixence. par André éditeur). — it les ouvrit s font auto* volume art- table doetri* veau et Ü>u- Tage, bourré > ému de la itérêt' ethnl- nnaldre uoa ne*. U nous rons établir i auxquelles rfté dé faire ren pratique uk. Et dans ippel à nos sé le moyen Iparer l'ave* rouve toutes «iencleux et ! IÇarlcourt fectueux des indeur et la ulent prépa* 8 frs). E S !■* * ORTS W E LOIS DE MENA- uraée. B’adr. . (Visa «178 7448 DIKB COB- iratlon. Tra- M. RINQE- rue du Oon- la 8878 I.T . FILLE w i références, nagèr*. niants Biyv i*. Ste-llaxence Beauvals). 7888 M A II JAB- , éclairé. — eau du Jour* . Beauvals). 7884 R. à VUlers- 8es JEUNES LES pourvus s ou -études re employas Se présen- onnel. (Visa 1880 nandée peur ndré adresse 63-14 x. 7579 it demandée aire du Dis* I. 6, avenue î. (Visa 6371 7578 rlété, à Sen- RDIENS. de ou FEMME nt conforta- ), 4, rue du is (7«). Ur* . Beauvals) 7577 CABBIEBES jus apprenes orrespondan* ve n* 15 T inée de 8 fr. ’. J., 88, rue 7489 r particulier : neuf, ul transmet- 7819 WAGONNET s rail. 8'adr. 7831 i un essaim s le mur de re sans frais 8 miel. KCr. ette, Paris. 7583. 1ERE POUR mTE, v il * 7871 tefclte loge* pièces pr sa si'-'à' la eam- 109, r. de 7888 CE«m FUITMM Régiraient deprestétlonsfaltas aux Autorités allemandes st qui Mon trant pss dans le oadro du loge ment et du eantoftiMmant. M. le M inistre, Secrétaire d'Etat à l'Economie Nationale ; et aux Finances, vient dé rappeler, A' ,» demande de II.. le Commandant m ilitaire allemand en France, que le règlement des fournitures faites aux troupes et services de l'armée allemande, à l'exceptldn des prestations de logement et de cantonnement dont le paiement est assuré par l’Etat Français, doit (tre dcqiandé par/ les intéressés aux unités ou services allemands bénéficiaires, aussitôt après l'exécution de la presta tion. En cas dé départ prématuré de l'auto rité requérante, les factures Impayées doi vent être transmises i la Feldkomman* dantur qui les acheminera sur les unités et services Intéressés aux fins de règle ment. CERTIFICAT DE TRAVAIL. — Profes sions connexes à l'Agriculture. — Le dé cret du 87 mars 1943 ne s'applique pas à certaines professions connexes à l'agricul ture, A savoir ; , 1° Exploitations forestières : bûcherons, bûcherons charbonniers et bûcherons cà- bleurs i conducteurs d'animaux de trait uUlJféa polir le débardage des bols ; con ducteurs de camions foceitlers; muletiers, résiniers; scieurs sur le parcours de la coupe. 8° Entreprises de battages et de travaux .égrtcôlei ^ t leur personnel. Par contre, les artisans ruraux, maré chaux ferrants, forgerons; réparateurs de machine*, outils et Instruments agricoles, bourreliers. saboUefs, charrons, tonne liers,, doivent être mun|s du certificat de tryW i- Pour que le classement dans lès profes sions conneres A l'agriculture soit recon nu, les intéressés devront exercer leur ac tivité dans leur profession au moins depuis le l«t octobre 1948. LES DETAILLANTS DOIVENT RECOM MANDER LEUBS ENVO-S DE POINTS TEXTILES, — Une décision du réparti teur des textiles contraint les détaillants non, • titulaires de comptes de points A ^ k e ysago directement des titres qu'ils reçoivent *de leur clientèle pour leur | réapprovisionnement. En cas de perte lors! du transfert, seuls les titres acheminés sous pli recommandé seront remboursés par leur ,équlvalence. j ‘ BACCALAUREAT DE L'ENSEIGNE- ! MENT SECONDAIRE. — Dates des .épreu ves II" section 1948). - Série classique A, « 18 et 17 Juin. Série classique B, 18 et 19 Juin. Série classique C, 81 e t 38 Juin. . Série tnodème, 83 et 84 Juin. Série philo sophie-sciences, 89 et 88 Juin; Série philo-; sophle-lettres, 38 Juin. Série mathématl-1 ques, 89 et 30 Juin. j LES LANGUES AU BACCALAUREAT. ( — Jüsqu'lèi, seuls l'anglais et l'allemand étalent admis comme langues ali bacca lauréat. Dorénavant, les candidats pour ront choisir entre1 l ’a l l e m a n d , l'anglais l'espagnol, l’Italien, l’arabe, le russe et le portugais! .. j ^A VENTE DES STYLOS ET PORTE- MINES. — , Les qtylographes. porte-plu- mes réservoir, les porteimlnes, ne peuvent depuis le i*» mars, éùe vendus par les et le* importateurs que revêtus d’ut! pblnçon Cette ofcUratttn est étendue. A .panlt du 1*» Juillet détaillants.^ > ^R iit ’AU hannetonnage. — Oom-I ~ " . -i ?- - : ’ :•■*;■; i fête du travail des hannetons et attribue Une prime de i ramassage de 8 fr. par kilo. D'aeeord' . ' * ; avec l'Union Régionale Corporative Agrl-j BllC Sera jOUméC payée cole. chaque Syndic va recevoir des 1ns- , , - tractions a ce sujet. ■■ | aux ouvriers et employés Il est rappelé que la Péte du Travail, même célébrée un diman che, est une journée de chômage qui doit être payée aux ouvriers et aux employés. Le paiement de cette Journée est effeotué sur la hase du sixième du salaire moyen hebdomadaire de • la période de paye qui a précédé le premiep mai. Dans le cas où, en raison de la nature du travail, celui-ci ne pour rait être Interrompu, les travail leurs recevront double salaire. Les Prisonnier/ reconnaissants Les-prisonniers de la 9* trânchc de la Relève ont, à'-leur arrivée' à Complègne, adressé au Maréchal de France, chef de l’Etat et au président Laval, les télégrammes suivants ; .. - Le 10 avril 1948. —- A- M. le président Laval, ohef du Gouver nement. Deux médecins capitaines et 1.859 prisbÏÏnlers de guerre rapatriés des Stalags m A, B, C et D, expriment leur vive reconnaissance au Président Laval pour l'œuvre (Ju’il a entreprise qui* leur permet aujourd’hui de re trouver leur travaU, leurs familles et leur Patrie. , ;.(.:t * > , VLe 17 avril 1848. — A M. le Maréchal de France, ohef de l'Etat. Prisonniers du Stalag 4 G très émus par le bon accueil reçu A Complègne, au moment où nous retrouvons.de nou veau le sol de France, vous adressons notre salut le plus respectueux, nous vous remercions de votre sollicitude A notre égard et vous assurons' de notre loyalisme et. du désir de servir sous vos ordres pour relever notre chère et belle France. >. Vire >Ja France. Vive PUTAIN.<1 Le 20 avril 1943. -*■ X W. le Maréohal de Franoe, ohef de l’Etat. Les prisonniers rapatriée <|es Stalags ,8 Ad B, O,. D, F, J, très ému* par l'accueil qu'ils ont reçu A. Complègne, vous, adressent leur salut le plus res pectueux et vous remercient de votre sollicitude et vous assurent qu'ils . - - y -|- i - - • , tiendront le serment qu'ils font de ïî'TTrttb " fi i- - y vous obéir et de vous suivre. Imprlmérles Réunira ds Saillis vive la France i fr IA nc QUATRIEME ANNEE — N* SAMEDI 1 » MAI 1943 JOURNAL DE LOISE ÈTT DE L'ILE MMIa - lierlairii : », flm lari-g SSJI - l Ê 'l M PARAIT LE SAMEDI (4 éditions) La forêt de Katyn Il y b dra forêts célébrés... Il y s la Gratine de Ronsard, dont le nom seul fait ohanter dans la mémoire des vers aussi doux que le mur mure de ses souroea. Il y s la forêt sinistre Dante suspend aux branohagra les corps sanglants de ses damnés. Une plus slnlstr^ en- oore vient de surgir à l’horizon des steppes : la forêt de Katyn, qup hantent les fantômes de mijllèrs de jeunes hommes assassinés dans son ombre. Mon, rien de tel ne s'était encore vu. Les meurtres d« la Révolution française ee couvraient de pré textes et se perpétraient en plein Jour. C'est dans U fond des caVes ou des bois que l'U. R. 8. 8. aohève ees victimes. Et pour des milliers que le hasard fait découvrir, com bien de centaines de fnille autres à Jamais doublement enfouis dans le mystère de leur mort ! Plus se dévoile le vrai caractère de la révolution bolchevique, plus elle apparaît différente de toutes les autres. Ce n'était que Jeu et slmulaore * côté d'elle. Oelle-ol va au fond des ohoses. Celle-ci né s’attaque p^s seulement' à tout oe que de Jongs slèoles d'efforts ont à peu près réussi : oe sont les idées, les principes, les crQyanoes, les sentiments même d’où l'ordre et le progrès sont sortis qu'elle veut dé* traira. Justice, pudeur, pitié: bonté, générosité, magnanimité, honneur sont bannis. Les simples mesure du fauve les remplacent. C'est aux fthtra que le bolohevisme s'en prend. .. •"“j K Wf Ignorâno., fwi,- «>m., Illuminiame, attandwit 8U- IMp oomme Mule, fardent bien de mMtter un peu *ur lee cadavres de Ifntirn. ................. , LES BATIONS DE 8AVON EN MAI. -1 Les valeurs attribuées aux tickets don nant droit à perception de prodtlts déter- : slfs rationnés sont les suivantes : ticket*: de m*l de la feuille de) tickets c produits détersifs » n« 1 des catégories E. J-l e t, autres : 100 gr de savon de toilette ou! 100 gr. de savon pour soins corporels. LIBERAT!ÔN DE NOUVEAUX POINTS! DE LA CARTE DE TEXTILE. — Une libé- ' ration de peints- des cartes de vêtements et d’articles textl’es aura lieu d'ici peu. j Il n'est pas possible de préciser actuelle-! ment le nombre de points qui seront ainsi : validés. Toutefois 11 est prévu une Ubé- • ration plus Importante de points pour le*1 cartes des catégories E et J que pour les cartes de la catégorie A. ♦ Les épreuves du concours d'admls- alon dans les Ecoles Nationales Profes sionnelles auront Heu le 17 Juin 1943. Les listes d’inscription seront closes le 10 nui 1943 au lieu du 85 mai. 8* Les bureaux artisanaux de matières sont actuellement habilités A sous-répartlr aux artisans un grand nombre de sous- prodults de première nécessité. La Commission supérieure de la Caisse Nationale de* retraites pour la vieillesse a décidé de doter de 5.000 fr. un certain nombre dés Jeûnes Ailes choisies parmi les enfants des pensionnés A la Caisse ayant élevé une famille nombreuse. Renseignements aux mairies. ♦ ' Un décret range le* cabinets d'archi tectes dans la famille professionnelle du bfttlment et des travaux publics créée le 11 février 1942. . + Lorsque la consommation d'électricité dépassera le contingent, autorisé, les con sommateurs seront sévèrement pénalisés. Le courant pourra être coupé temporaire ment, et complètement, en cas de réci dive. 1 La nouvelle ration des fumeurs Ainsi que- nous l’avions laissé entendre, les fumeurs ne touche ront, en mai et juty, que les deux premières -décades; «oit celles affé rentes aux période* du au 10 et du il au 20. LA troisième sera supprimée.’ Rappelons que ips, retardataires ne pourront, en aUgiin cas, touoher leurs lots après le )0. ou le 20 dans leurs bureaux d’ingorlption. chef i I. s dhftanche, c o n g é , . IQ L . ,ltaM ^ : |0 fr,ar a. . tt,Ih(• laUpaM*tn f i l * — tt.tairaitI ©n 1.000 ; tra y a | prîso de les douceurs du foyer f^trouvé Depuis le ^Imdnohê de Pâques, mille familles’ françaises jouissent ^relies avaient ou- .de'' trois, ans. Pour heure merveilleuse qé. ils sont arrivés igne où le» accueil li' personnalités lo fes, MM. de Brinon, France, secrétaire chef du gouver- d’un bonheur-;',g biié depuis prés mille captifsVJ* du retour a son samedi Corapil lirent, outre Jèj cales et régional ambassadeur de d’état auprèsfd fïëment ; Bruneton, directeur . du i&rvleu^ du français en Alle- magne; Maèsort, ohef du Mouve ment prisonnier, ainsi que M. le ministre Schlèfer, consul général d’Allemagne; la colonel von Gcm- mingen, commapdant le Heilag, etc. < Vont Me» tenx qui avec souffert, médité, compris... » dit M. de Brinon Dans son allocution de bienvenue, M. de Brinon Hvra à ses auditeurs oe qu’il anpela>lui-même des •« flexions d’évidence » ; « Alors quelles voix étrangères, dit-il, prétendeftt nous restituer les Institutions ct.jes hommes qui ont fait de la Franjbe une nation vain- oue et de vous les victimes de leur guerre insensé*), vous. représenter, pour notre PAfrle là rude mais fé conde école dè/jp réalité. Vous êtes ceux qui ave*, souffert, médité et compris. VouAjêtes les témoins et vous êtes l’exemple ». Après lui, M: Bruneton, déclara notamment ! «^Vbus allez vûvre dé jà /même vie que celle ““urs français libres; us serez suivis et B B ç f t t e l ^ r OBB le concours fet l’aîde si efficace du Front allemand du Travail, qui a la oharg^ ^/toup.les travailleurs en Allemagne et dont vous savez le ffrapd les belles réalisations sociales' ». • . EN NEUF JOURS ' 1 8 : ' 4k 1‘ ' [ • ' m ' près de 12.000 prisonniers définitivement libéré» sont pané» par Cômpiégne Vendredi matin, l’avant dernier train de la neuvième tranche de la Relève est arrivé à Complègne, ra menant 1.212 prisonniers libérés des stalags X A, B et C. Samedi, avec le dernier train ra menant 700 rapatriés du stalag VIII. c’est près de 12.000 prison niers définitivement libérés au titre de la Relève qui sont passée à Complègne, en neuf jours. En dépit des mensonges des ra dios étrangères, les résultats de la collaboration franco - allemande sont là et qui. parlant d'eux-mê- mos, se passent de commentaires superflus. « Von» serez to u k Compièjne, le 9 mai * affirme André Masaon Parlant ensuitô lu nom du « Mouvement prisonnier » et des « Jeunes de France », M. André Masson dit que le bonheur des per missionnaires qu'il saluait ne pou vait se comparer à celui des libérés de la Relèive... « Toutefois cette penqission de quatorze jours, tant sùuhaitée durant la captivité, rien, dit-il, ne la rendait obligatoire. L annistioe est signé depuis juin 1.940, mais ce n’est pas encore la paix... Une autre politique n’empê cherait pas des centaines de mil liers Je Français d’aller travailler en Allemagne, mais empêcherait les prisonniers de; rentrer... » Tous écoutent émus, certains Jusqu’au bord des larmes, les pa roles du Je d’entre le 9 ma tous les teraient Après av çais de Com et leur ord missionnair ie, chef qui poursuit : nviotion que . pas un e manquera à l’appel hâter Iç moment où tais, enfin réunis, fê- urrection de la Par PARIS reçu au camp fran- ■gne un complet civil de transport, les per- rirent le train pour la gare du M rd. Dès» 21 héures, à Paris, une fdu- le émue attendait, contenue avec peine par un important service d’ordre. Le- convoi n’arriva qu'une heure plus tard, aooueilli par de longues ovations. Et bientoLdes autobus s’ébran lèrent vers tes gares Saint-Lazare, d’Austerlitz f,çt de Montparnasse, emmenant vers leurs foyers les permissionnaires de provinep. jbjv A j r o a p a ±>u iroüi> Les Combats en Tunisie fevèténl un rare acharnement 193 chars anglo-amé: .......... Les cOmbats en-Tunisie, déclare t-qu à Berlin,’ ont atteint un degré d’acharnement encore inconnu à ce jour. Au zèle offensif des Anglo- Américains, les troupes de l’Axe opposent une volonté de défense non moins violente. L’extension relativement petite de l’espace du théâtre des combats augmente encore la violence des rencontres, de sorte que la bataille de i Pâqùes peut être considérée comme la bataille la plus sanglante de toute la campagrio d’Afrique du Nord. Le centre de gravité de ces attaques se trouve près de la i" Armée, dans les secteurs de Med- jez-El-Bab et de Pont-du-Fahs. Dans l’espace, à l’ouest de cette looallté, itoute une armée blindée (au moins trois divisions) a été anéantie. Le nombre des divisions qui ont participé à l’attaque ne peut être indiqué qu’approximati- vement mais on suppose, à Berlin, que les Britanniques étaient quatre à oinq fois plus nombreux que les troupes de l'Axe. Les pertes des alliés sont ex trêmement lourdes. La destruction de 193 chars pendant une. séule semaine oonstituc uu record Sur le du Miôus et de Kouban. 26 Dans la .rég nale du L a . QxmFtnLs su r mjer Le porte-avions “ Ranger ” de la marine américaine torpillé et coulé dans l’Atlantique Un oohuBunlqraé du G. 0 - G. du Fflhrar « annoncé lundi tju’un «dus- marin'allemand, oommandé par le lieutanant'ide vaisseau von Bulow, a coulé, dans la partie eentrale de l'Atlaùtlque nord, le porte-aviops américain « Ranger », détaché pour assurer la surveillance des routes fréquentées par les oonvois de l'At- lantiqué. Le FOhrer a déoerné au lieute nant de vaisseau von Bulow les in signes de ohevaller de la Croix de Fer aveo fejuilles de ohéne. . Le porte-avions américain « Ran ger » Jaugeait 14.500 tonnes. II filait 3Q nœuds et son armement se composait de $ canons antiaériens do ,127 mm., ainsi qtie de 54 canons antiaériens de 40 imq. et des mi trailleuses dè D. G. A. Il transpor tait 50 avions et avait à bord 1.788 hommes d’équipage. Les submersibles du Reicb envoient à nouveau par le fond 16 navires soit 121.500 tonnes Parmi lea bâtintsnts coulés Se trouvaient plusieurs transporté chargés de troupes f rf: ::!/ . D'après un communiqué publié samedi à Berlin, la flotte de com merce alliée a subi à nouveau, en Méditerranée et dans l'Atlantique, de lourdes pertes. Des sous-marlns livrant oombat à des oonvoia fortement protégés, ont- ooulé 16 bêtlments de oom- meroe Jaugeant 481.000 tonnes. Parmi oes bâtiments se trou vaient, plusieurs transporta chargés de troupes. , , .;! Deux oontre-torpllleurs et un sous-marin ennemis ont été ooulés. Deux autres bâtiments ont été at teints par des torpilles. j africain. Go dé r.. j millèüx mllitatres de lAxe, que *les pertes en hpmmcs Bont égaléfhènt très élevées et on ajoute qu’au cours des J ouir écou lés, le nombre des troupes améri caines engagées . dans la bataille était relativement faible. Selon les mômes milieux, la seule opération des Américains consiste dans le fait que le général Eisenhowcr a entre ses mains le haut commande ment... de l’armée britannique. w w é é é m é m é w m ' rouge à Gibraltar L'Angleterre Introduit les 8oviets en Méditerranée Selon une dépêohe de La Linea, un détachement de troupes bolche viques serait caserné à Gibraltar, où flotterait ainsi le drapeau so viétique. Au moment où les Espagnols de bonne volonté souhaitent la paix, le gouvernement de M. Churchill sou ligne ainsi à la face du monde que son accord aveo les Soviets ne con cerne pas seulement l’Est européen mais qu’il menace le continent en tier. L’Europe est engagée dans une lutte inexpiable contre le bolohe visme : la présence de troupes rouges sur un territoire enlevé par l'Angleterre à l'Espagne est la preuve qu’il n0 lui faut pas seule ment vaincre à l’Est, mais aussi partout où le bolchevisme a trouvé des concours inconscients et des complicités actives. Depuis le 1er janvier l’aviation anglo-américain a perdu 739 appareils an-dessus dn Reich et des territoires occupés Pendant les trois premiers mois de l’année 19.43, l’aviation anglo- américaine a perdu 491 bombar diers au-dessus des territoires oo- oupés et du Reioh. Le D. N. B. an nonce qu’il faut ajouter à ce chlfTre la destruction de 248 appareils qui ont été desoendùs par la D. C. A. allemande entre le !•* et le 20 avril, ce qui porte, pour cette an née. lee pertes totafeè des Anglo- Amérioains, au-dessus de ces ter- ' ritoires à 739 appareils. UNE ENTREVUE du FüÉrer , avec M . Ante Pavelitci Le FOhrer a reçu le Dr Antê pavclitçh, ohef de l’Etat crôaté, avec lcquel.il a eu des entretiens au sujet de la situation politiqué' militaire intéressant les deux pays dans leur lutte commune contre le bolohevisme et la ploutocratie an glo-américaine: V Ces conversations auxqüélles as sistaient M. vpn Ribbentrop et 28 I>r BudaR, respectivement ministre des Affaires étrangères, du Reich at de Croatie, Tê général feldmarschall Keitel et le. général Begio, ont per mis aux personnalités' en ■ pbésence de se documenter mutuellement, sous le signe d’une .cordiale amitié et d’une parfaite compréhension de» l’Allemagne pour le; jeune Etat croate. Le Dr Paj'elitch a manifesté la fertïte volonté dé' 'son pays du défendre son Indépendance âiix côtés des pulissnncps de l’Axe, Jùs- qu’à la victoire complète sur ren- nemi commun. ■A l’est européen La l u r t l i t ligna dû front Le calmo persisté sur tout M •oht où l’On ne signalé' que 'dete OtiOns locales dAns lés se( ........ <ure de 20*, ce qUl est absolu-*. raènt exceptionnel, de-même que les 10* constalcs •«dans les sec teurs centraux. Avant beu le bour bier russe va prendre fin. 1 ; Un jourriaf allemand publié une carte îcprôduisant l'ensemble du front de. l’Est. Partant de l’est du golfe de Fin lande, la ligne s’avance jusqu’au sud-est de Léningrad en direction ouest-est, puis suit le VolchftP après avoir fait un coude à angle droit vers le sud. Novgorod est situé directement devant la ligno du Ç*ont. Celle-ci longe la rive oc cidentale du lac Ilmen, puis passe à Staraya-Rmfssâ cf' rejoint VelfkU Louki après avoir longé la rivière Lovât. A •Vélfltf-Loüki, le front prend alors la direction sud-est. 1 Vitcbsk, Smolertsk et Briansk se trouvent loin à l’intérieur des li gnes allemandes. Près d’Orob la ligne du front recule jusqu’à Rylsk d’où elle rc-r nart vers le, Donetz, qu’elle longé jusqu’à la longitude ue Taganrog pour se diriger vers la mer d’Azov; Sur la tête de pont du Kouban, les lignes allemandes s’étendent do Temriouk, sur la mer d’Azov Jus qu’à Novorossiisk. Ainsi, Rjcv, Viazma, Koursk, Vo- roohilovgrad et Rbstov sont entré les mains des Soviets. ; Par contre, Stalino, Taganrog» Karkov et Orel se trouvent dans Ie« lignes allemandes. CEUX QUI NOUS ON MENTI... ? . Lc,..)9 .'?vril m °. >a Chambi* des Députés. réun:e en comité se- cret, accordait à Paul Rcynaud sa oonflance, par 515 voix, « pour oonUniier. Jusqu'il la victoire, sa politique de guerre * (sic). Une semaine plus tôt, le même Paul Reynaud avait, du haut de la . ÏÎP du Sénat, annoncé • ùrbl et orbl » que .. la route du fer était vj^dcmcurait coupée pour l’AUema- Alors que le ohef du Gouverne* ment osait cette affirmation publié quo devant la haute assemblée) Nnrvlk élan aux mains des trouneu du Reich et nous ne délions laHiniU parvenir à nous y installer. Enfin. . avni ( trots jourS après id vote de confiance de la Chambre), un Conseil suprême se tenait à Paris. Il devait y êtro déoidé le rembarquement du corps expédi tionnaire franco-anglais de Norvè ge 1

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Page 1: La forêt 1.000 ; prîso de Katyn avec M. Ante Pavelitci · France, que le règlement des fournitures faites aux troupes et services de l'armée allemande, à l'exceptldn des prestations

J . ô M. .maniai, a forestière M. Sartl a é té af-

istiôre de rndes, M. r à F leu-

affeoté à a G rand- ixence.

p a r A n d ré é d i te u r ) . —

it le s o u v r i t s f o n t auto* vo lu m e art-

ta b le doetri* v e a u e t Ü>u- T age, b o u rré > é m u d e la i t é r ê t ' e th n l- n n a ld re u o a ne*. U n o u s ro n s é ta b l i r i au x q u e lles r f t é d é f a ir e ren p ra tiq u e uk . E t d a n s ippel à n o s s é le m oyen Ip a re r l'ave* rouve to u te s « ien c leu x e t ! IÇ a rlc o u rt fec tu eu x d es in d eu r e t l a u le n t p répa* 8 f r s ) .

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M A I I JA B -, é c la iré . — eau d u Jour* . B e a u v a ls ) .

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R . à VU lers- 8e s JE U N E S LES pou rv u s s o u -é tudes re em ployas

S e p résen- o n n e l. (V isa

1880

n an d ée p e u r n d ré ad re sse

63-14 x.7579

it dem an d éea ir e d u Dis* I. 6, aven u e î. (V isa 6371

7578

rlé té , à Sen- R D IE N S. de ou FEM M En t c o n fo rta - ) , 4, ru e du is (7 « ). Ur* . B eauva ls)

7577

C A B B IE B E S ju s a p p re n e s orrespondan* ve n * 15 T in é e d e 8 fr . ’. J . , 88, ru e

7489

r p a r t ic u l ie r : n eu f , u l tra n s m e t-

7819

W AGONNET s r a i l . 8 'a d r .

7831

i u n essa ims le m u r de re s a n s f r a i s8 m ie l. KCr. e tte , P a r is .

7583.

1E R E P O U Rm T E , v i l *

7871

te fc lte loge* pièces p r sa si'-'à' l a eam - 109, r. de

7888

CE «m FUIT MMRégiraient d ep restétlon sfa ltas aux

Autorités allemandes s t qui Mon­trant p ss dans le oadro du loge­ment et du eantoftiMmant.

M . le M in is tre , S e c ré ta ire d 'E t a t à l 'E co n o m ie N a tio n a le ; e t a u x F in a n c e s , v ie n t d é r a p p e le r , A' , » d e m a n d e d e I I . . le C o m m a n d a n t m ili ta ire a lle m a n d e n F ra n c e , q u e le rè g le m e n t d e s fo u rn itu re s f a i te s a u x t ro u p e s e t se rv ice s d e l 'a rm é e a lle m a n d e , à l 'e x c e p tld n d e s p re s ta t io n s d e lo g e m e n t e t d e c a n to n n e m e n t d o n t le p a ie m e n t e s t a s s u ré p a r l ’E t a t F ra n ç a is , d o it ( t r e d c q ia n d é p a r / le s in té re s s é s a u x u n i té s o u se rv ice s a lle m a n d s b én é fic ia ire s , a u s s i tô t a p rè s l 'e x é c u tio n d e l a p r e s ta ­tio n .

E n c a s d é d é p a r t p ré m a tu ré d e l 'a u to ­r i t é r e q u é ra n te , le s fa c tu re s Im payées d o i­v e n t ê t r e tr a n s m is e s i l a F e ldkom m an* d a n tu r q u i le s a c h e m in e ra s u r le s u n ité s e t se rv ices In té re s sé s a u x f in s d e rè g le ­m e n t .

C E R T IF IC A T D E T R A V A IL . — P ro fe s ­s io n s con n ex es à l 'A g r ic u ltu re . — L e dé­c r e t d u 87 m a r s 1943 n e s 'a p p l iq u e p a s à c e r ta in e s p ro fe s s io n s c o n n ex es à l 'a g r ic u l­tu re , A sa v o ir ; ,

1 ° E x p lo ita tio n s fo re s tiè re s : b û ch e ro n s , b û c h e ro n s c h a rb o n n ie r s e t b û c h e ro n s cà- b le u rs i c o n d u c te u rs d 'a n im a u x d e t r a i t u U lJ fé a p o lir le d é b a rd a g e d e s b o ls ; co n ­d u c te u rs d e c a m io n s fo c e i t le rs ; m u le tie rs , ré s in ie r s ; s c ie u rs s u r le p a rc o u rs d e l a coupe. •

8° E n tre p r is e s d e b a t ta g e s e t d e tr a v a u x .ég r tc ô le i ^ t le u r p e rso n n e l.

P a r c o n tre , le s a r t i s a n s ru r a u x , m a r é ­c h a u x f e r r a n ts , fo rg e ro n s ; r é p a r a te u r s de m ach in e* , o u t i ls e t I n s tru m e n ts a g rico le s , b o u rre lie rs . sab o U efs , c h a r ro n s , to n n e ­lie rs ,, d o iv e n t ê t r e m u n |s d u c e r t i f ic a t de t r y W i -

P o u r q u e le c la s se m e n t d a n s lè s p ro fe s ­s io n s c o n n e re s A l 'a g r ic u l tu r e s o i t re c o n ­n u , le s in té re s s é s d e v ro n t e x e rc e r le u r a c ­t iv i té d a n s le u r p ro fe ss io n a u m o in s d ep u is le l« t o c to b re 1948.

L ES D ETA IL L A N T S D O IV E N T RECOM ­M A N D ER LE U B S EN V O -S D E PO IN T S T E X T IL E S , — U n e d éc is io n d u r é p a r t i ­t e u r des te x t i le s c o n t r a in t le s d é ta i l la n ts n o n , • t i tu la i r e s d e co m p te s d e p o in ts A ^ k e ysag o d ire c te m e n t d e s t i t r e s q u 'i ls re ç o iv e n t * d e le u r c lie n tè le p o u r le u r | r é a p p ro v is io n n e m e n t. E n c a s d e p e r te lo rs ! d u t r a n s f e r t , seu ls le s t i t r e s ach e m in é s so u s p li re c o m m a n d é s e ro n t rem b o u rsé s p a r le u r ,équ lva lence . j

‘ BA CCALAUREAT D E L 'E N S E IG N E - !M EN T SE C O N D A IR E. — D a te s d es .ép reu ­ves I I " s e c tio n 1948). - S é r ie c la ss iq u e A , «18 e t 17 Ju in . S é r ie c la ss iq u e B , 18 e t 19 J u in . S é r ie c la ss iq u e C , 81 e t 38 Ju in . .S é r ie tn o d è m e , 83 e t 84 Ju in . S é r ie p h i lo ­soph ie -sc iences, 89 e t 88 Ju in ; S é r ie p h i lo - ; so p h le - le ttre s , 38 Ju in . S é r ie m a th é m a tl-1 ques, 89 e t 30 Ju in . j

L E S LA N G U ES A U BA CCALAUREAT. (— Jü sq u 'lè i , se u ls l 'a n g la is e t l 'a l le m a n d é ta le n t a d m is com m e la n g u e s a l i b ac c a ­la u ré a t . D o ré n a v a n t, le s c a n d id a ts p o u r­r o n t c h o is ir e n t r e 1 l ’a lle m a n d , l 'a n g la is l 'e sp a g n o l, l ’Ita l ie n , l’a ra b e , le ru s s e e t le p o r tu g a is ! .. j

^ A V EN TE D E S STY LO S E T PO R T E - M IN E S. — , L e s q ty lo g rap h es . p o r te -p lu - m e s ré se rv o ir , le s p o r te im ln e s , n e p e u v e n t d ep u is le i*» m a r s , é ù e v e n d u s p a r le s

e t le* im p o r ta te u r s q u e re v ê tu s d ’ut! p b ln ço n C e t te o fc U ra tttn e s t é te n d u e .A . p a n l t d u 1*» Ju ille t d é t a i l l a n t s .^ >

^ R i i t ’A U h a n n e t o n n a g e . — O om -I ~ " . - i ? - - : ’ :•■*;■;

i f ê t e d u t r a v a i ld es h a n n e to n s e t a t t r ib u e U ne p r im e d e ir a m a s s a g e d e 8 f r . p a r k i lo . D 'a e e o rd ' . ' * ; ‘a v ec l 'U n io n R é g io n a le C o rp o ra tiv e A g r l- j B llC S e r a jO U m éC p a y é e cole . ch aq u e S y n d ic v a re c e v o ir d e s 1ns- , , -tractions a ce sujet. ■■ ■■ | a u x o u v r i e r s e t e m p l o y é s

Il e s t rappelé que la P éte du Travail, même célébrée un dim an­che, est une journée de chôm age qui doit ê tre payée aux ouvriers et aux em ployés.

Le paiement de ce tte Journée est effeotué s u r la hase du sixième du salaire moyen hebdom adaire de • la période de paye qui a précédé le prem iep mai.

Dans le cas où, en raison de la na tu re du travail, celui-ci ne pour­ra it ê tre Interrom pu, les travail­leu rs recevront double salaire.

Les P risonnier/ reconnaissantsLes-prisonniers de la 9* trânchc

de la Relève ont, à '-leu r arrivée' à Complègne, adressé au M aréchal de France, chef de l’E ta t e t au président Laval, les télégram m es suivants ; .. -

Le 10 avril 1948. —- A- M. le président Laval, ohef du Gouver­nement.

D eux m éd ec in s c a p i ta in e s e t 1.859 p r isb ÏÏn le rs de g u e r re r a p a t r ié s des S ta la g s m A, B, C e t D, e x p rim e n t le u r v iv e r e c o n n a is sa n c e a u P ré s id e n t L a v a l p o u r l 'œ u v re (Ju’il a e n tre p r is e qui* le u r p e rm e t a u jo u rd ’h u i de r e ­tro u v e r le u r tra v a U , le u rs fa m ille s e t le u r P a tr ie . , ;.(.:t * > ,

V Le 17 avril 1848 . — A M. le Maréchal de France, ohef de l'Etat.

P r is o n n ie rs d u S ta la g 4 G t r è s é m u s p a r le b o n accu e il re ç u A C om plègne , a u m o m e n t o ù n o u s re tro u v o n s .d e n o u ­v eau le so l de F ra n c e , v o u s a d re s so n s n o tr e s a lu t le p lu s re sp ec tu eu x , n o u s vous re m e rc io n s d e v o tre so llic itu d e A n o tr e é g a rd e t v o u s a s s u ro n s ' d e n o tr e loy a lism e e t . d u d é s ir d e s e rv ir sous vos o rd re s p o u r re le v e r n o tr e c h è re e t b e lle F ra n c e .>. V ire >Ja F ra n c e . V ive PU TA IN .<1

Le 20 avril 1943. -*■ X W. le Maréohal de Franoe, ohef de l’Etat.

L es p r is o n n ie rs r a p a t r ié e <|es S ta la g s ,8 Ad B , O,. D , F , J , t r è s ém u* p a r l 'a c c u e il q u 'i l s o n t r e ç u A . C om plègne, vous, a d re s s e n t le u r s a lu t le p lu s r e s ­p e c tu e u x e t vous re m e rc ie n t d e v o tre so llic itu d e e t v o u s a s s u re n t q u 'i ls

■ ■ . - - y -|- i - - • , t ie n d r o n t l e s e rm e n t q u 'i ls f o n t deï î 'T T r t t b ■■ " f i i- - y • vous o b é ir e t d e v o u s su iv re .

Imprlmérles Réunira d s Saillis v iv e l a F ra n c e i

f r IAn cQUATRIEME ANNEE — N* SAMEDI 1» MAI 1943

JOURNAL DE LOISE ÈTT DE L'ILE MMIa - lierlairii : », flm lari-g SSJI - lÊ 'lM PARAIT LE SAMEDI (4 éditions)

La forêt de Katyn

Il y b dra forêts célébrés... Il y s la Gratine de Ronsard, dont le nom seu l fait ohanter dans la mémoire des vers aussi doux que le mur­mure de ses souroea. Il y s la forêt sinistre où Dante suspend aux branohagra les corps sanglants de ses damnés. Une plus slnlstr^ en - oore vient de surgir à l’horizon des steppes : la forêt de Katyn, qup hantent les fantômes de mijllèrs de jeunes hommes assassinés dans son ombre.

Mon, rien de tel ne s'était encore vu. Les meurtres d« la Révolution française ee couvraient de pré­textes e t se perpétraient en plein Jour. C'est dans U fond des caVes ou des bois que l'U. R. 8. 8 . aohève ees victimes. Et pour des milliers que le hasard fait découvrir, com­bien de centaines de fnille autres à Jamais doublement enfouis dans le m ystère de leur mort !

P lus se dévoile le vrai caractère de la révolution bolchevique, plus elle apparaît différente de toutes les autres. Ce n'était que Jeu et slmulaore * côté d'elle. Oelle-ol va au fond des ohoses. C elle-ci né s ’attaque p^s seulement' à tou t oe que de Jongs slèoles d'efforts ont à peu près réussi : oe sont les idées, les principes, les crQyanoes, les sentiments même d’où l'ordre e t le progrès sont sortis qu'elle veut dé* traira. Justice, pudeur, pitié: bonté, générosité, magnanimité, honneur sont bannis. Les simples mesure du fauve les remplacent. C'est aux fthtra que le bolohevisme s'en prend.. . • " “ j K Wf Ignorâno., fwi,- «>m., Illuminiame, attandwit 8U- IMp oomme M ule, fardent bien de mMtter un peu *ur lee cadavres de Ifntirn. ................. ,

L ES B A T IO N S D E 8 AVON E N M A I. - 1 L es v a le u rs a t t r ib u é e s a u x tic k e ts don ­n a n t d ro i t à p e rc e p tio n d e p r o d t l t s d é te r - : s l f s ra t io n n é s s o n t le s s u iv a n te s : t ic k e t* : d e m * l de la fe u ille de) t ic k e ts c p ro d u its d é te rs if s » n« 1 d es c a té g o rie s E . J - l e t , a u t r e s : 100 g r de sav o n d e to i le t te o u ! 100 g r . d e s a v o n p o u r so in s co rp o re ls .

L IB E R A T !Ô N D E N O U VEAUX P O IN T S ! D E LA C A R TE D E T E X T IL E . — U n e lib é - ' r a t io n d e p e in ts- d e s c a r te s d e v ê te m e n ts e t d ’a r t ic le s t e x t l ’e s a u r a lieu d 'ic i p e u . j I l n 'e s t p a s p o ssib le de p ré c is e r a c tu e lle -! m e n t le n o m b re d e p o in ts q u i s e ro n t a in s i : v a lid és . T o u te fo is 11 e s t p ré v u u n e Ubé- • r a t io n p lu s Im p o r ta n te d e p o in ts p o u r le* 1 c a r te s des c a té g o rie s E e t J q u e p o u r les c a r te s d e la c a té g o r ie A.

♦ L es ép re u v e s d u c o n c o u rs d 'a d m ls - a lon d a n s le s E co les N a tio n a le s P ro fe s ­s io n n e lle s a u r o n t Heu le 17 Ju in 1943. L es l is te s d ’in s c r ip t io n s e ro n t c lo se s le 10 n u i 1943 a u l ie u d u 85 m a i.

8 * L es b u re a u x a r t is a n a u x d e m a tiè re s s o n t a c tu e lle m e n t h a b ili té s A so u s - ré p a r tlr a u x a r t i s a n s u n g ra n d n o m b re d e sous- p ro d u lts de p re m iè re n é c e ss ité .

♦ L a C o m m ission s u p é r ie u re d e la C a isse N a tio n a le de* r e t r a i t e s p o u r la v ieillesse a d é c id é de d o te r d e 5.000 f r . u n c e r ta in n o m b re d é s Jeû n es A ile s ch o is ies p a rm i les e n f a n ts d e s p e n s io n n é s A la C a isse a y a n t é lev é u n e f a m ille n o m b reu se . R en se ig n e m e n ts a u x m a ir ie s .

♦ ' U n d é c re t r a n g e le* c a b in e ts d 'a r c h i ­te c te s d a n s l a fa m ille p ro fe s s io n n e lle d u b f tt lm e n t e t d e s tr a v a u x p u b lic s c réée le 11 fé v r ie r 1942.

. + L orsque la c o n so m m atio n d 'é le c tr ic ité d é p a s se ra le c o n tin g e n t, a u to r is é , le s con ­so m m a te u rs s e ro n t sév è re m e n t p é n a lisé s . L e c o u ra n t p o u r r a ê t r e coupé te m p o ra ire ­m e n t , e t c o m p lè te m e n t, e n c a s d e ré c i­d iv e . 1

La nouvelle ration des fumeursAinsi que- nous l’avions laissé

entendre, les fum eurs ne touche­ront, en mai e t juty, que les deux p rem ières -décades; « o it celles affé­ren tes aux période* du au 10 e t du i l au 20. LA troisièm e se ra supprim ée.’

Rappelons que ips, retardata ires ne pourront, en aUgiin cas, touoher le u rs lo ts ap rès le )0. ou le 20 dans leu rs bureaux d ’ingorlption.

c h e f i I .

s dhftanche,c o n g é

, . I Q L . ,l ta M ^ : |0 fr,ar a.. tt,Ih(• laUpaM*tn f i l * —tt.tairaitI

© n1.000 ;

t r a y a |

prîsod e

les douceurs du foyer f^trouvéD epuis le ^Imdnohê de Pâques,

mille fam illes’ françaises jou issen t ^relies avaient ou- .de'' trois, ans. P ou r

heure m erveilleuse qé. i ls son t arrivés igne où le» accueil­li' personnalités lo­fes, MM. de Brinon,

France, secrétaire che f du gouver-

d ’un bonheur-;',g biié depuis prés mille captifsVJ* du re tou r a son samedi Corapil lirent, outre Jèj cales e t régional am bassadeur de d’é t a t aup rèsfdfïëment ; Bruneton, d irec teu r . du i&rvleu^ du français en Alle-m agne; Maèsort, ohef du Mouve­m ent prisonnier, ainsi que M. le m inistre Schlèfer, consul général d’Allem agne; la colonel von Gcm- mingen, com m apdant le Heilag, etc.

< Vont Me» tenx qui avec souffert, médité, compris... »

d it M. de BrinonDans son allocution de bienvenue,

M. de Brinon Hvra à ses aud iteu rs oe qu’il anpela>lui-même des •« r é ­flexions d’évidence » ;

« Alors quelles voix étrangères, dit-il, prétendeftt nous re s ti tu e r les Institutions c t .je s homm es qui ont fa it de la Franjbe une nation vain- oue e t de vous les victim es de leu r guerre insensé*), v o u s . représenter, p o u r no tre PAfrle là rude mais fé­conde école dè/jp réalité . Vous ê tes ceux qui ave*, souffert, m édité e t compris. VouAjêtes les tém oins et vous êtes l’exemple ».

A près lui, M: B runeton, déclara notam m ent ! «^Vbus allez vûvre dé­

jà /même vie que celle ““u rs français lib res;

u s serez su iv is e t B B ç f t t e l ^ r OBB

le concours fet l ’aîde s i efficace du Front allemand du Travail, qu i a la oharg^ ^ / t o u p . l e s travailleu rs en Allemagne e t don t vous savez le ffrapd les belles réalisationssocia les ' ». • .

E N N EU F JO U RS' 1 8 : ' 4k 1‘ ' [ • ' m 'près de 12.000 prisonniers

définitivement libéré» sont pané» par CômpiégneVendredi matin, l’avant dern ier

train de la neuvième tranche de la Relève es t arrivé à Complègne, ra ­m enant 1.212 p risonniers libérés des stalags X A, B e t C.

Samedi, avec le dern ier train ra ­m enant 700 rapatriés du stalag VIII. c ’e s t près de 12.000 prison­niers définitivement libérés au titre de la Relève qui son t passée à Complègne, en neuf jours.

En dép it des mensonges des ra ­dios étrangères, les résu lta ts de la collaboration franco - allem ande son t là e t qui. parlan t d 'eux-m ê- mos, se passent de com m entaires superflus.

« Von» serez to u k Compièjne, le 9 mai *

affirme André MasaonP arla n t ensuitô l u nom du

« M ouvement prisonnier » e t des « Jeu n es de F rance », M. André Masson dit que le bonheur des per­missionnaires qu 'il saluait ne pou­vait se com parer à celui des libérés de la Relèive... « Toutefois cette penqission de quatorze jo u rs , tan t sùuhaitée duran t la captivité, rien, d it-il, ne la rendait obligatoire. L annistioe est signé depuis juin 1.940, mais ce n’e s t pas encore la paix... Une au tre politique n ’em pê­chera it pas des centaines de mil­liers J e Français d’aller travailler en Allemagne, mais em pêcherait les prisonniers de; ren trer... »

T ous écoutent ém us, certains Jusqu’au bord des larm es, les pa­

roles du Je

d ’entrele 9 matous lesteraient

Après avçais de Comet leu r ordmissionnair

ie, chef qui poursu it : nviotion que . pas un

e m anquera à l’appel hâ te r Iç mom ent où

tais, enfin réunis, fê- urrection de la P a r

P A R I Sreçu au camp fran -

■gne un com plet civil de transport, les per-

riren t le tra in pour la gare du M rd .

Dès» 21 héures, à P aris, une fdu- le émue attendait, contenue avec peine par un im portant service d’ordre. Le- convoi n ’arriva qu 'une heure plus tard, aooueilli par de longues ovations.

E t b ien toL des autobus s’ébran­lè ren t vers tes gares Saint-Lazare, d’A usterlitz f,çt de M ontparnasse, em m enant vers leu rs foyers les perm issionnaires de provinep.

jbjv A j r o a p a ±>u ir o ü i>

Les Combats en Tunisie fevèténl un rare acharnement

193 c h a r s a n g lo -a m é:

..........Les cOmbats e n -Tunisie, déclare

t-qu à Berlin,’ o n t a tte in t u n degré d ’acharnem ent encore inconnu à ce jou r. Au zèle offensif des Anglo- Américains, les troupes de l’Axe opposent une volonté de défense non moins violente.

L’extension relativem ent petite de l ’espace du théâtre des com bats augm ente encore la violence des rencontres, de sorte que la bataille de i P âqùes peut ê tre considérée comme la bataille la plus sanglante de to u te la campagrio d ’A frique du Nord. Le cen tre de gravité de ces attaques se trouve près de la i " Armée, dans les sec teu rs de Med- jez-E l-B ab e t de P on t-du-F ahs.Dans l’espace, à l’ouest de cette looallté, itoute une arm ée blindée (au moins tro is divisions) a été anéantie. Le nom bre des divisions qui ont participé à l’a ttaque ne peut ê tre indiqué qu ’approxim ati- vem ent mais on suppose, à Berlin, que les B ritanniques étaient quatre à oinq fois p lus nom breux que les troupes de l'Axe.

Les pertes des alliés so n t ex­trêm em ent lourdes. La destruction de 193 chars pendant une. séule semaine oonstituc u u record Sur le

du Miôus et deKouban.26 Dans la .rég nale d u

L a . Q x m F t n L s s u r m j e r

Le po rte-av ions “ Ranger ”

de la marine américaine torpillé et coulé dans l’Atlantique

Un oohuBunlqraé du G. 0 - G. du Fflhrar « annoncé lundi tju’un «dus- marin'allemand, oommandé par le lieutanant'ide vaisseau von Bulow, a coulé, dans la partie eentrale de l'Atlaùtlque nord, le porte-aviops américain « Ranger », détaché pour assurer la surveillance des routes fréquentées par les oonvois de l'At- lantiqué.

Le FOhrer a déoerné au lieute­nant d e vaisseau von Bulow les in­signes de ohevaller de la Croix de Fer aveo fejuilles de ohéne.. Le porte-avions am éricain « Ran­g er » Jaugeait 14.500 tonnes. II filait 3Q nœuds e t son arm em ent se com posait de $ canons antiaériens do ,127 mm., ainsi qtie de 54 canons antiaériens de 40 imq. et d es mi­trailleuses dè D. G. A. Il tran spo r­ta it 50 avions e t avait à bord 1.788 hom m es d ’équipage.

Les submersibles du Reicb envoient à nouveau

par le fond 16 navires soit 121.500 tonnes

P a r m i l e a b â t i n t s n t s c o u l é s S e t r o u v a i e n t

p l u s i e u r s t r a n s p o r t é c h a r g é s d e t r o u p e s

f r f : ::!/ .D'après un communiqué publié

samedi à Berlin, la flotte de com­merce alliée a subi à nouveau, en Méditerranée e t dans l'Atlantique, de lourdes pertes.

Des sous-marlns livrant oombat à des oonvoia fortem ent protégés, ont- ooulé 16 bêtlments de oom- meroe Jaugeant 4 8 1 .000 tonnes.

Parmi oes bâtiments se trou­vaient, plusieurs transporta chargés de troupes. , ,.;! Deux oontre-torpllleurs et un sous-marin ennemis ont été ooulés. Deux autres bâtiments ont été at­teints par des torpilles.

j africain. G o dér.. j m illèüx mllitatres de

lA xe, que * les pertes en hpmmcs Bont égaléfhènt trè s élevées e t on ajoute qu’au cours des J o u ir écou­lés, le nombre des troupes am éri­caines engagées . dans la bataille é ta it relativem ent faible. Selon les mômes milieux, la seu le opération des Américains consiste dans le fait que le général Eisenhowcr a en tre ses mains le hau t commande­m ent... de l’arm ée britannique.

w w é é é m é m é w m '

rouge à GibraltarL'Angleterre Introduit les 8oviets

en Méditerranée

Selon une dépêohe de La Linea, un détachem ent de troupes bolche­viques serait caserné à Gibraltar, où flotterait ainsi le drapeau so­viétique.

Au moment où les Espagnols de bonne volonté souhaitent la paix, le gouvernem ent de M. Churchill sou­ligne ainsi à la face du monde que son accord aveo les Soviets n e con­cerne pas seulem ent l’E st européen mais qu ’il menace le continent en­tier.

L’Europe est engagée dans une lu tte inexpiable contre le bolohe­visme : la présence de troupes rouges su r un territo ire enlevé par l'A ngleterre à l'Espagne es t la preuve qu’il n0 lu i fau t pas seule­m ent vaincre à l’Est, mais aussi partou t où le bolchevisme a trouvé des concours inconscients e t des com plicités actives.

Depuis le 1er janvier l’aviation anglo-américain

a perdu 739 appareils an-dessus dn Reich

et des territoires occupésPendant les tro is prem iers mois

de l’année 19.43, l’aviation anglo- am éricaine a perdu 491 bom bar­diers au-dessus des territo ires oo- oupés e t du Reioh. Le D. N. B. an­nonce q u ’il fau t a jou ter à ce chlfTre la destruction de 248 appareils qui ont é té desoendùs par la D. C. A. allem ande entre le !•* e t le 20 avril, ce qui porte , p o u r cette an ­née. lee pertes totafeè des Anglo- Amérioains, au -dessus de ces te r- ' rito ires à 739 appareils.

UNE ENTREVUE du FüÉrer ,

avec M. Ante Pavelitci

Le FOhrer a reçu le D r Antê pavclitçh, ohef de l’E tat crôaté, avec lcquel.il a eu des en tre tien s au su je t de la situation politiqué' m ilitaire in téressan t les deux pays dans leu r lu tte commune contre le bolohevisme e t la ploutocratie an­glo-américaine: V

Ces conversations auxqüélles a s ­sistaient M. vpn Ribbentrop e t 28 I>r BudaR, respectivem ent m inistre des Affaires étrangères, du Reich a t de Croatie, Tê général feldm arschall Keitel e t le. général Begio, ont p e r ­mis aux personnalités' en ■ pbésence de se docum enter m utuellem ent, sous le signe d ’une .cordiale am itié et d ’une parfaite com préhension de» l’Allemagne pour le ; jeune E ta t croate. Le Dr Paj'elitch a m anifesté la fertïte volonté dé' 'son pays du défendre son Indépendance âiix côtés des pulissnncps de l ’Axe, Jù s- qu ’à la v ictoire com plète s u r r e n - nemi commun.

■A l’e s t européen

La lu r t l i t ligna dû front

Le calmo persisté s u r to u t M •oht où l’On ne signalé' q u e 'dete OtiOns locales dAns lés s e ( ........

<ure de 20*, c e qUl est absolu-*. raèn t exceptionnel, d e-m êm e que les 10* constalcs •« dans les sec ­te u rs centraux. Avant beu le bour­b ie r russe va prendre fin. 1 ; Un jourriaf allem and publié une

ca rte îcp rôduisant l'ensem ble du f ro n t de. l’Est.

P arta n t de l’est du go lfe de Fin­lande, la ligne s’avance ju sq u ’au su d -es t de Léningrad en direction ouest-est, puis su it le VolchftP après avoir fait un coude à angle d ro it vers le sud . Novgorod es t s itué d irectem ent devant la ligno du Ç*ont. Celle-ci longe la rive oc­cidentale du lac Ilmen, puis passe à S taraya-Rm fssâ cf' re jo in t VelfkU Louki ap rès avoir longé la rivière Lovât. A • Vélfltf-Loüki, le fron t prend alors la direction sud -est. 1

Vitcbsk, Smolertsk e t Briansk se trouvent loin à l’in térieur des li­gnes allem andes.

P rès d’Orob la ligne du fron t recule ju sq u ’à Rylsk d’où elle rc-r na rt vers le, Donetz, qu’elle longé ju sq u ’à la longitude ue Taganrog pour se diriger vers la m er d ’Azov;

S ur la tê te de pont du Kouban, les lignes allem andes s ’étendent do Temriouk, su r la m er d’Azov Ju s­qu ’à Novorossiisk.

Ainsi, Rjcv, Viazma, K oursk, Vo- roohilovgrad et Rbstov son t en tré les mains des Soviets. ;

P a r contre, Stalino, Taganrog» Karkov e t Orel se trouvent dans Ie« lignes allem andes.

CEUX QUI NOUS ON MENTI...

?. Lc, . . )9 .'?vril m °. >a Chambi* des D éputés. réun:e en com ité se -

cret, accordait à P aul Rcynaud sa oonflance, par 515 voix, « pour oonUniier. Jusqu'il la victoire, s a politique de guerre * (s ic ) .

Une semaine plus tô t, le même P aul Reynaud avait, du h au t de la

. Ï ÎP du Sénat, annoncé • ùrbl e t orbl » que .. la rou te du fe r était vj^dcmcurait coupée pour l ’AUema-

Alors que le ohef du Gouverne* m ent osait ce tte affirm ation publié quo devant la haute assemblée) Nnrvlk élan aux mains des trouneu du Reich et nous ne délions laHiniU parvenir à nous y installer. Enfin.

. avn i ( trots jourS après id vote de confiance de la C ham bre), un Conseil suprêm e se tenait à P aris . Il devait y êtro déoidé le rem barquem ent du corps expédi­tionnaire franco-anglais de Norvè­ge 1

Page 2: La forêt 1.000 ; prîso de Katyn avec M. Ante Pavelitci · France, que le règlement des fournitures faites aux troupes et services de l'armée allemande, à l'exceptldn des prestations

Pag* 2 L a L i a i i o n

Après les massacres de Katyn

La rapturi ouvre «ne br

" desD’ap rès l’agence Reuter, la radio

de M oscou a annoncé, dlm anclie, que le gouvernem ent soviétique a décidé la rup tu re des relations di­p lom atiques avec le gouvernem ent polonais du général Sikorski: La nouvelle a oausé unê profonde ém otion dans les cercles diploma­tiques de L ondres et de W ashing­ton .

D’autre port, la déolaration faite lundi à la radio de Moscou par M. Molètov, oommlssalre du peuple aux Affaires étrangères de l'ü . R. 8 . 8 ., aocusant le gouvernement polonais de porter un ooup perfide à TU. R. 8 . 8 ., au profit de l’Alle­magne, a causé dans les milieux officiels de Berlin une vive réao- tion. Ces milioux soulignent les déclarations britannique» et am é­ricaines, selon lesquelles la rup tu re e n tre Moscou et Sikorski sera it due à la propagande altem ande. Dans

Ordonnance tnr un inventaire ées produits d’huiles minérales

du 20 avril 1943L e s p ro p r ié ta ire s , po ssesseu rs ou déposi­

t a i r e s de p ro d u i ts d ’h u ile s m in é ra le s à la d * te d u 15 a v r i l 1943, s o n t te n u s d ’e n fa ire l a d é c la ra tio n , e t e e la ju sq u ’a u 19 mM 1943, d a n s le s p ré fe c tu re s d o n t d é p en d le d é p è t . D és re n s e ig n e m e n ts ex a c ts s u r la n a tu r e d e s m a rc h a n d is e ^ le s q u a n tité s , les l i e n s d e m a g a si n a ge d e v ro n t ê tre do n n és, a in s i q u e le s c o n d itio n s de p ro p rié té e t de p o ssess io n . .

A n c a s «rit le p ro p r ié ta ire , possesseu r ou d é p o s ita ire e n f a i t usage- e u le* t r a n s f o r ­m e , U d e v ra d é c la re r la m oyenne u tilisée m e n su e lle m e n t d u r a n t ’ l a d e rn iè re a n n é e . L e s q u a n t i té s e n co u rs de t r a n s p o r t p a r f e r o u p a r e a u n e d e v ro n t ê t r e d éc la rées q u e p a r le se u l p ro p r ié ta ire .

; I IS o n t co n s id é ré s , p a r feette o rd o n n a n c e ,

e é m a e p ro d u i ts d 'h u i le s m in é ra le s : 1» E ssen ces de to u te s so r te s ; 2° B enzols de to n te s s o r te s ; ! • Aloool p u r ; 4* M élange d e u n tle r a ; t * A lcool c a r b u r a n t (a lcoo l c o n te n a n t d e P n i n ) ; ,8 » C a rb u ra n t D iesel ( g a s e t h a l le s m o tr ic e s d é to n s g e n re s ) 3* P é tro le ; * • H u ile s de g ra is sa g e ; 9e H u i­l e s d e ohan ffè ; 19* H u ile s b ru te s ; 11» As­p h a l te e t b itu m e ; 12° P a ra f f in e ; 11° P ro ­p a n e e t b u ta n e ; 14* G a s do v ille , c a rb u ­r a n t p o u r m o te u rs ; 15° G a s n a tu re l , car-

.111 .N e s o n t p a s s o ta n ls à c e t te d é c la ra tio n : 1* L es q u a n t i té s d e m i n a d e 199 l i t r e s

o u 1 N k ilo s e t d e aso in s de 54 k ilo s p o u r

oes déclarations, Berlin volt une tentative de minimiser les m assa­cres de Katyn.

Il est indéniable, a jou te -t-o n a Berlin, que les Soviets, aprè» avoir oaoupé une partie de la Pologne, ont déporté au moins un million et dehii d’hommes, dont on n’en a retrouvé que 300.000. Ce sont ces 300.000 homm es dont le re to u r en Pologne a ôté refu sé e t dont un certain nombre se ra it arrivé récem ­m ent en Iran.

Les alliés de l’U. R. S. S. n’ont pas été consultés

On m ande de Londres à l’agence United P ress » que le gouverne­

ment soviétique a p ris la décision de rom pre les relations diplomati­ques avec le gouvernem ent polo­nais émigré «ans avoir consulté, au préalable, les gouvernem ents des pays avec lesquels il e s t allié, y compris ceux de la G rande-Breta­gne e t des E tats-U nis;

Ceux sont en Allemagne"IW1

NOS PRISONNIERS

MAISON DU PRISONNIERL à Maison départem entale du

Prisonnier, 2, rue d é Vernèull, à Creil, m et en garde les famille» de prisonniers contre les agissem ents de certains individus qui, se disant permissionnaire» venant d’Allema­gne, au raien t reçu mission, de la part de l’absent, de faire une visite à la famille e t de sollioiter pour lui un colis l

Les fam illes de prisonniers qui se trouveraien t ainsi sollioltées par ces aigrefins doivent, non seulem ent leu r opoo6er un refus, mais signa­le r im m édiatem ent leu r passage, so it à la Maison du Prisonnier, soit à la gendarm erie la p lu s voisine.

S eeU on N * r4 -A fric» ln j

EN V O Y EE DES L IV R E S .. AUX LLEU RS FRA N ÇA IS E B l/A L L E -

L es ex p éd iteu rs d e v ro n t « d re s ­ser,- ,■SU r e p ré s e n ta n t d é p a r te m e n ta l du O o à u p ls sa r ia t g é n é ra l à l a M r in -d ’œ fra n ç a is e e n A llem agne ,, l a llete des v ra g e s d o n t l ’èn v o l e s ) en v isag é , e n y f a is a n t f ig u re r le s t i t r é s , a u te u r s e t éd i­te u rs . C es ’i s te s s e ro n t ré to u rn é e s a u x in­té re ssé s a p rè s v isa d e s a u to r i té s a lle m a n ­des, o u avec le u rs b b se rv â tlo n s . L es l is te svisées s e ro n t jo in te s a u x . co’i s « u m êm e t i t r e q u e le s p a p ie rs de- douane.

n o t b z q u b iÀ L ’A sso c ia tio n N a tio n a le des, A m is des

T ra v a ille u rs f r a n ç a is eh* A llem agne a ide e t c o n se il 'e lè s fa m i’le s /d e ces d e rn ie rs . O elies-ct p e u v e n t S 'ad re sse r h to u s les légués d u C o m m issa r ia t g é n é ra l & M ain -d 'œ u v re f ra n ç a is e é h ' A llem agne .

9* L es d is t r ib a te u r s se t r e n v a a t e a ser- \ i e a e t le s q a a a t t té s d isp o n ib le s d a n s les a n g n l s i d u poo l.. L e d é fo n t de d é c la ra tio n o n la d é c la ra ­

t i o n in s u f f is a n te p a r ceux q u i y s o n t te n u s S e ro n t p u n is d ’a p rè s le p a ra g ra p h e de l ’o rd o n n a n c e s a r l a sa u v e g a rd e de i ’in - d a s t r le de l ’a ra s e m e n t d u 8-19-1942 (V oblf 8 . 441). D ’a u t r e p a r t , les s to c k s q u i de­v a ie n t l ’ê t r e m a is n ’a u ra ie n t p a s é té dé­c la r é s p o u r ro n t ê t r e s a is is s a n s in d e m n ité e a c o n fo rm ité d u p a ra g ra p h e de l ’o rd o n ­n a n c e p o u r la sa u v e g a rd e de l a tro u p e d ’o c c u p a tio n d u 18-12-1942 (V oblf 8 . 457).

FMr d e n M illta e rb e fe h lsh a b e r D e r C h e f d e r M lllla e rv e rw a ltu n g .

AVISDes r e c o m m a n d a tio n s q u i su iv e n t

s o n t d e n o u v e a u ra p p e lé e s à l ’a t ­te n t io n d e l a p o p u la tio n :

H e s t d é fe n d u de c a c h e r , d ’h éb e r- g e r o n d’a id e r , d e que lque fa ç o n q u e ce so it, to u t m em bre d ’u n équ i­p a g e d’a v io n e n n e m i ou to u t p a r a ­c h u t is te e n n e m i. T o u te c o n tra v e n ­t i o n e s t p u n ie de m o rt.

Q uiconque tro u v e d u m a té r ie l d ’a v ia t io n o u n ’im p o rte q u e l o b je t j e té d ’u n a v la n e s t o b lig é ’ d ’in fo r­m e r Im m é d ia te m e n t le se rv ice de l ’a rm é e a lle m a n d e le p lu s p ro c h e e t

lu i f o u r n i r le s re n se ig n e m e n ts à l ’e n d ro i t e t a ue u a e ts r e la t i f s

m o m e n t d e l a déco u v e rte .T o u t m a té r ie l d ’a v ia t io n e t to u t

o b je t j e té d*un a v io n d o it ê tre la is sé In ta c t à l ’e n d ro it o * U a é té

Q uiconque s e s e r a a p p ro p r ié d u m a té r ie l d ’a v ia t io n o u to u t -a u tre o b je t que lco n q u e la n c é d ’u n a v io n OU p ro v e n a n t d ’av io n s a b a t tu s ou d ’av io n s f a i s a n t u n a t te r r is s a g e fo rc é , s e r a t r a d u i t d e v a n t u n C o nse il de g u e r re a lle m a n d ; H e n s e r a d e m êm e p o u r qu ico n q u e a u ra n ég lig é d ’a v e r t i r im m é d ia te m e n t le se rv ice de l ’a rm é e a lle m a n d e le p lu s p ro c h e o u a u r a d é t r u i t le d i t m a ­t é r ie l o u le s d l ts o b je ts .

Q u le ite n te n t à l ’a u to r i té m il i ta i r e a lle ­m a n d e l a p lu s p ro c h e , av ee to u s le s re n s e ig n e m e n ts r e la t i f s à l ’e n d ro it « t à l ’h e u re de s a d éco u v e rte , l a p ré s en m d ’a v io n s a b a t tu s o u a y a n t f a i t u n a t te r r i s s a g e fo rc é o u de p l i s s a d 'a v io n s , p erm et t a n t d e con ­c lu re av ec c e r ti tu d e à la c h u te d ’u n a v i s a , s e r a r écom pens é d a n s l a m e­s u r e o * l ’a v i s a a u r a p u ê t r e lo c a ­l is é g râ c e à « e s re n se ig n e m e n ts . D e

sa sera assuré de la personne < tout parachutiste

i d’un équipage d’avion ect- » co n tr ib u é à le u r a r ­

i a F ra n k re ic tt .

Emotion à Londres

U n se rv ic e - d e lia iso n F r a n c e - A frique N ord s ’e s t c o n s titu é à P a r is a u « M ouve­m e n t P r iso n n ie r », sous l ’a u to r i té d e M . A ndré M asson , com m iss i r e g é n é ra l a u x p r iso n n ie rs r a p a t r ié s e t a u x fa m ille s de p r iso n n ie rs de g u e rre .

Ce se rv ice a u n double b u t :1“ R a ssu re r le s fa m il.e s d e m e u ra n t e n

A frique d u N ord s u r l ’é t a t d e s a n té des a u tr e s m em bres de le u r fa m ille h a b i ta n t e n F ra n c e .

3* O b te n ir p a r 1 in te rm é d ia ire des p r i ­s o n n ie rs r e n t r é s e n F ra n c e des re n se ig n e ­m e n ts s u r u n c e r ta in n o m b re de c a m a ra ­des de le u r sec tio n , com p ag n ie , b a t te r ie , p e o to n , e sc a d ro n , e tc .. .

N o tre b u t e s t e sse n tie lle m e n t de r e n d re se rv ice e t d ’a t té n u e r d a n s la m esu re du possib’e les an g o isse s t r è s ju s tif iée s p u is ­que la p lu p a r t de n o s c o rre sp o n d a n ts so n t s a n s nouve lles dés le u rs d ep u is e n v iro n q u a tre m ois.

S ’ad re sse r & la M a iw n D é p a rte m e n ta le d u P riso n n ie r , a , ru e de V erneu il, à C reil, q u i f o u rn ir a to u s ren se ig n e m e n ts com plé­m en ta ire s .

La p resse britannique d ’aü jo u r- d’hui, déplorant avec am ertum e la rup tu re (les relations diplomatiques en tre l’U. R. S. S. e t la Pologne, considère que c’es t là une victoire pour l’Allemagne.

Le < Daily Telegraph » éorit :« A moins que cette rupture ne soit rapidement réparée, on peut crain­dre qu’elle n’ait des répercussions malheureuses parmi les autres na- tions d’Europe. Une fissure dans la i Ké de jjbération, solidarité des pays antiaxiaux peut f,Etat trop facilement en amener une au­tre »•Le rédac teu r diplomatique du « Ddily Mail » annonce que M.Eden, secrétaire d ’Çtal aux Affaires étrangères, envisage de ten ir im ­m édiatem ent s u r ce su je t une série de consultations.

+ L e p a ie m e n t de. l ’In d em n ité d ’élo lgne- m e n t d o it ê t r e pH eotqé p a r l ’em ployeu r qi-l o c c u p a it lp sa la ç té e n F ra n c e im m é­d ia te m e n t a v a n t je - :d é p a r t de ce lu i-c i p ou r 'A llem agne .

+ Les o u v rie rs t r a v a i l la n t e n A llem agne q u i v ie n n e n t e n p e rm iss io n p o u r u n évé­n e m e n t de fa m ille d o iv en t e ffec tu e r voyage à le u r f rh is .

+ P o u r o b te n ir d e s b o n s de ch a u ssu re s e t de v ê te m e n ts , les o u v rie rs f r a n ç a is p a r ­t a n t é n A L em agne. d o iv en t p ré s e n te r le u rs c a r te s d e te x t i le '.aux. c e n tre s d ’h a b ille ­m e n t e t de d istrlb i^ tlo n .

Q E n c a s de décès d ’u n o u v rie r f ra n ç a is e n A llem agne , il e s t possib le â u n m em ­b re de s a fa m ille d ’o b te n ir u n p^sse-pp rt a in s i q u e l a g r a tu i té diir-Voyage. Se « h - so ig n e r a u . C om m issaria t-, .g én é ra ? de la M a in -d ’œ u v re f ra n ç a is e en.- A -lem agne, 18, ru e d e M ad rid , P a r is (8e)

libérationIndemnité et oongé deEn vue de perm ettre aux prison­

niers de guerre rapatriés de pren­dre un congé à leu r re tou r en Franoe, la loi du 19. aoû t 1942 leu r attribue une indemnité dite de con-

‘ “ * la charge de

UN NOUVEAU c KATYN »

5.000 Roumains assassinéspar

seraient ensevelis près d’Odessa

Une fosse commune de 100 m è­tres de long s u r 20 m ètres de large a é té découverte à 7 kilom ètres d ’Odessa, su r la rou te m enant à Tatorka. La population rapporte que ce tte foese a été creusée, il y a quatre ans, pa r le Guépéou, pour y en te rre r s e s victim es. Les au to ­rités roum aines supposent que cette fosse contient les res te s d’un grand nombre dç Roumains assassinés par les Bolcheviks au cours de l’été 1940, au ss itô t après l’occupation de la Bukovine e t de la Bessarabie.

Les travaux de déblaiem ent et d’exhum ation entrepris im médiate­m ent ont perm is de découvrir les prem iers squele ttes ainsi que des m em bres e t débris hum ains môlés à des res te s de vêtem ents.

On estim e, dès à présent, à 4.000

Cette indemnité es t égale à la moitié d u salaire moyen mensuel départem ental en v igueur dans la localité où ils sont dém obilisés; elle équivaut approxim ativem ent au sala ire de deux semaines.

N’y ont pas droit les officiers e t sous-offloiers à solde mensuelle, non plus que les agents des serv i­ces publics auxquels a été assu ré le maintien de leu r tra item ent. En dehors de ces cas, l ’indemnité est dûfe à tous les prisonniers de g u e r­re rapatriés, libérés aprèk le 31 novem bre 1941; oeu* qui ont été libérés dan» la période allan t du l*r ju ille t au 31 décem bre 1941, n’ont dro it qu ’à la moitié.

L’indemnité de congé de libéra­tion peut se cum uler avec les dro its éventuels à un congé payé ouverts au libéré, en, vertu de son con tra t de travail.

P o u r tous renseignem ents com plémentaires, s ’ad resser à la Mai­son départem entale du Prisonnier, 2, rue de Verneuil, à Creil.

A P R O P O S D ES ST YL O S E X P L O SIF S

Des méthodes de guerre qui méritent vengeanceLe journal « Tevere » consacre

un article aux a ttaques des avia­tions anglaise e t am éricaine contre la population civile italienne, et

a.GOtMe* nombre1 ̂ dtes^cadavres Æ 8. £ S S Sque renferm e ce charnier.

Les au to rités roum aines se po­se n t la question de savoir si cette fosse contient les cadavres des d é ­tenus de la prison politique d’Odes­sa ou si on doit les reoherchcr dans d ’au tres fosses des environs.

d 'explosifs lanoés p a r les appareils ennemis.

« Il n ’es t pas nécessaire — éorit le « Tevere » —• de faire une en­quête auprès des p ilo tes capturés, comme l ’ont fait les Japonais, pour faire resso rtir les intentions de l’ennemi. En effet, les victim es de ces obje ts truqués son t surtout, des enfants, qui son t susceptibles de les ram asser, dans leu r innocence de tels objets. Une a ttaque à la m i­trailleuse peu t être le ré su lta t d’une erreur,, mais lo prooédé de lancer des stylos chargés d ’explosifs ne saurait ê tre que le f ru it d’une in tention criminelle ». .

Lo jou rna l italien propose en­suite de procéder à l’insta r dés Japonais e t de condam ner à m ort les pilotes ennem is faits prison niers.

Le nouTêto régime d’inscription

des consommateursLe nouveau régim e d ’insoription

des consom m ateurs en tre ra en vi­g u eu r pour la délivrance d 'un oer- tain nom bre de denrées dès le l*r Juin prochain. Il s ’étendra en prin oipe a tou te* les com m unes.

Les personnes devan t sé jou rne r un oertaln tem ps ho rs de le u r do- mioilo habituel devron t se faire d é ­liv re r 4 la m airie d e celul-oi u n certificat d e radiation pour se faire réinscrire ohé* les com m erçants d u lieu d e le u r séjour, e t effec tuer l’opération inverse à le u r re tou r.

TRAVAILLERASCarnet de nalsi

Mine George» Lézii d e vous faire part de leu r fils Jean.

Senlis, le 23 avrifcJtJ43.Messe anniversaire.Y-r- La messe

de i l ’ h , 15, le 'd f lH e h e 2 mai. à là Cathédrale de $0nlls, sera dite à la mémoire de Mme Gaston Ja n t- xen.. Médaille de là Famille. — Pardécre t de M. le M aréchal de France» chef de PEtat, en date .du !6 avril 1943/j>ris s u r la /proposi­tion de M. Jttv Secrétaire d’K lat à la Santé e t à la Famille, la médaille do là FamUJe Française, a é té dé-* cernée, en témoignage- 'de recon­naissance nationale a- i

Mines Tesson,’ née Bouchiiiet J u ­lienne; P illot, née Luhaye M arie; Muronat, née Villain Fernande; M archais, née Bouvier Louise ; Hu- tin, née Courbet M arie; Cottinet. née Mazille M arthe; F erret, née Léoaillon A rthürine; Fenaux de Maismont, née Langlois M arie; Favre, née Caron Jeanne; Bougon, née Romazzotti M adeleine; Blon- del, née Herpln Aglaé; Bavard, née Bourlet Suzanne ; C ottereau, née Boudeville A lbertlne; Chéry, née Blln M arie-Louise; P etit, née Luc Ruflne; Jallois, née Bunel Fernan­d e; Caron, née Dutriaux E rnestine; Gillion, née Féray C harlo tte ; Po.- tard. uée Lüc M arie; Dumoulin, née Lnuse A ndrée; Dumcsnil de M ari- court, née Soholl B lanche; Des- oroix, née Cappè Yvonne; Dele- cluse, née«Baflfy Suzanne; Rous- selle, née Launc M arguerite; Ron­delle, née D ecreseat O dette; D éjar­dins, née Louohez Solange.

Tous nos oomplimcnts à ce» belles fam illes de chez nous.

RAVITAILLEMENTNOS RATIONS DE MAI2B0 grammes de sucre

en supplément pendant trois mois pour toutes le s catégories

Le m inistère du Ravitaillement a annoncé que pendant le» mois de mal, ju in e t ju ille t, les eonsom- m ateurs de toutes catégories béné­ficieraient d’une augm entation ex­ceptionnelle de la ration Ue sucre, de 250 gram m es par mois.

P o u r le mois de mai, ce supp lé­m ent se ra alloué CQntre rem ise du coupon num éro 2 de mai, à une date qui sera fixée pa r arrê té pré fectoral.

La brioche de Fleurlnes. — Soüs le titre « Folklore de P âques en Ile-de-France » notre confrère Roger V aultler rapporte, dans « Les Nouveaux Tem ps », qu’on pouvait observer, 11 y a une d izaine-d’an­née», à Fleurines, p rès de Senlis, un fo rt curieux usage. Le lundi de Pâques, to u t Jeune m énage m arié dans l’année est tenu d’offrir un repns aux jeunes gens du pays. Le Jeune m arié monte dans un arb re tenant au bout d’une corde, ficelée À une <perohe, une brioche que ohaoun,' en sautant, doit s ’efforcer d’a ttrap er. Celui qui réu ss it a le dro it d’offrir son bras & la Jeune m ariée pour la conduire & la salle du. banquet. Beaucoup de . couples préféraient, a jou te-t-il, donner une somme d’argen t poud ne pas sacri­fier à la coutume I

C’est dommage I Gageons qu’en l’an de disgrâce 1943 on verra it ren a ître aveo faveur l’aimable tra ­dition. rien que pour m anger la. brioche.

A IImâtiné Jeanne soolairi succès le pro Claudedepuii

itriépatirôperb applau magie; b ris te ; qui in Rigau> Thêâti »es to

Le t nrersé laires le plus Amyot

L a p o t i n d o l a s o m a i n o

Un nouveau cambriolage a é té commis A la Maison du-Prisonnier. On signal» oette fois la disparition d'une centaine d» bottes de pâté, d’une quinzaine de paquets de pâtes de fruits, d» deux douzaines ~ boites de pâtes alimentaires.

O’est le quatrième vol en peu de temps, tous les quatre commis dans les mômes conditions.

Il serait Injuste d’en tenir rigueurà la police oar, avec les faiblesmoyens dont elle dispose, ell» ne peut assuref une surveillanoe deJour et de nuit à tout instant, mais «

Légumes seos e t . conserves de légumes. — La d is tribution de lé­gum es seos e t de conserves de légum es au titre (lu prem ier tr i­m estre 1943 se ra effectuée dans les looalités à supplém ents natio­naux e t régibnau»PfiUV filr e t à m esure de la ihlSeVen -place des approvisidhncm ents.y •

Les restrictions sur l’électricité.— La consommation m ensuelle, autorisée pour les divers usages dom estiques, e s t ram enée ju sq u 'au 30 septem bre aux maxima ci-des­sous dans le cas où la consomma­tion autorisée actuelle sera it supé­rieure à ce chiffre :

P a r une personne, 6 k w h ; par 2 personnes, 8 kw h ; pa r 3 -person­nes, iO kw h ; par 4 ou 5 personnes, 15 kw h ; p a r 6 ou 7 personnes, 21 kw h ; par 8 ou 9 personne». 27 kw h ; par 10 ou 11 personnes, 33 kw h ; par 12 personnes e t plus, 36 kw h.

Ces maxima son t augm entés de 7 kw h par personne el pa r mois pour les usagers u tilisant un chauf­fe-eau ou un frigidaire électrique e t en ayant fait la déclaration. La consommation autorisée des abon­nés ayant un appareil de cuisine de

on peut s'étonner de ne pas voir mieux préservées, dans le looal de la rue du Puits-Tiphalne, les den­rées destinées aux prisonniers.

Quand on oonnalt les difficultés qu’éprouvent les familles pour constituer I» colis mensuel, Quand on oonnalt le dévouement qu'ap­portent les personnes qui se char­gent bénévolement de composer le colis mensuel du Comité, il semble que les responsables de la garde des denrées devraient prendre plus de précautions contre les exploits des malfaiteurs.

Confiserie. — Le ticket de con­fiserie se ra DH au lieu de DL. Et

1 kw ou p lus q t ne disposant pas d 'appareil perm ettan t de faire lacuisine au trem en t qu’à l'é lectricité res te fixée à 50 .% de le u r consom­mation .de base.

les bonbons son t tou jours réservés aux E, J l , J2 e t V. '

P â te s, -r— Le ticket D Z donne encore d ro it à 250 gram m es de pâtes alim entaires, mai» d’au tres distributions seront certainem ent faites dans les looalités à supplé­m ents nationaux ou régionaux.

Crème de riz. — En raison de la faiblesse des stooks ë t de la néces­sité de réserver oe produit aux en­fants e t plus ' particulièrem ent à oeux a tte in ts de m aladies infantiles, nécessitan t l’emploi de la crèm e de riz, il a ô té décidé de restreindre là consomm ation de ce produit e t de le réserver exclusivem ent à la catégorie E. En conséquence, ce

Eroduit p o u rra seulem ent ê tre ob- enu en échange do tickets de pain

de la catégorie E. Aucun au tre coupon ou ticket ne perm ettra dono d ’obtenir ce produit.

Pqmmes de terre. — Une d is tri­bution de 3 kilos de—* pommes de te rre p eu t être effectuée contre rem ise des tickets i l , i 2 e t 13 de mai de la feuille de tickets spéciale, chaque tiokct ayant la valeur de un kilo. Les tickets 6, 7 e t 8 son t tou ­jo u rs valables ju squ ’au 30 avril. Les tickets 9 e t 10 son t périmés.

Eaux-de-vifi rhumée. — Une dis­tribution d ’un q u art d ’eau-de-vie rhum ée pour le» consom m ateurs des catégories T et G des localités à supplém ents nationaux e t régio­naux se ra effectuée huK jo u rs après lé d éb u t «te la prise des inscrip­tions e t contre rem ise du coupon 5 de m ars de la feùlllb trim estrielle, inscriptions reoueillle» dèe main­tenan t ohez les fournisseurs.

P â q u ea 1848. — M algré la date tardive q t la -précooo apparition: du

frin tem ps, les - Journées pâscalës- urent, ce tte année encore, mornes

e t grises.- Suocédant aux giboulées des Jours sain ts; une bise aigre faisait > tourbillonner , les jeunes feuilles e t neiger les arb res des vergers. Dans l’après-m idi de lundi, le soleil daigna sourire... S auf à l’heure des office» e t à celles de l’arrivée des trains, nos rue» ne fu ren t guère plus animées qu ’à l’ordinaire.

Cependant la ville a reçu quel-

aues v isiteu rs qui trouvèrent asile ans les hôtels. Dans les forêts

d ’alen tour, on a pu cueillir le mu g u e t « porte -bonheu r » dont les oloohettes em baum ent le» sous- bols.

Du bonheur, il y en e u t dans quelques foyers scnlisiens où l’on fê ta it Je re tou r des oaptifs ren trés grâoe à la Relève. Souhaitons que d’au tres pu issen t accueillir bientô t les premiers. « perm issionnaire» ».

Ainsi s ’en e s t allée la Pâques de 1943. Souhaitons à tous les bébés qui son t nés en ce t an de disgrâce de vivre ju squ ’à l’âge de 95 ans e t p lus pour ivoir un second jo u r de Pâque» célébré un 25 avril, en 2038 1

Pain grillé. — P o u r ten ir oompte du degré de dessiccation rée l du pain, l e taux d ’équivalenoe paingrillé-pain a é té ram ené à T5 ^ r .de pain grillé pour 100 g r . de I ke ts de pain.

Ravitaillement en oàfé des débitants de boissons

L a Cham bre professionnelle de l’Industrie hôtelière inform é ses resso rtissan ts s ’approvisionnant en m élange de café chez des fournis­seu rs rés idan t en dehors d u dépàr- tem ent de l’Oise, qu’ils dolvént faire oonnattre Imm édiatement au siège d e la Cham bre, nom e t adredse de oes fournisseurs en Vüe de la désignation de nouveaux, to r- ré fa d e u r» auxquels ils aü rôn t à rem ettre leu rs coupons.

Chaussures sur mesures A. LIENARD

8, impasse Courtillet SENLIS

Foyl ,r nu de 13

fiour 1 es éU

ren t j matinc

Sen intérêt voir 1< mouve

8ooLa dl lieu c 8 heu 18 he Sd mi jardin

Lades

Après le vol de la Maison du Prisonnier. — L’enquête se p o u r­su it activem ent au su je t du nou­veau ivol de denrée» commis dans l ’immeuble de la rue du P u its - Tiphaine. Après le- vol précédent, des sonneries avaient été installées à certaines portes donnant aocès à la maison, mais, ce tte fois, les mal­faiteu rs ont pénétré à l’in térieu r pa r la rue des V étérans, là où il n ’y avait pas de sonnerie.

M. Givry, procureur de la Répu­blique, M. Durieux, juge d’in s truc­tion. légitim em ent émus de la m ql- tiplioité des vols^au préjudice des prisonniers, se son t rendus s u r les, lieux. Des'dnspeqteuns de la police mobile sont su r place e t poursui­ven t inlassablem ent leu rs actives recherches en vue de la décou­verte des cambrioleurs.

Espérons que nous n ’aurons pas un cinquième vol à en reg istrer.

NOS ABSENTSOette semaine, la pensée et

a prime vont vers M. LËROY laoques, route d’AumonL

100 francs offerts par les mis de 8aint-8ébastlen.

Au T héâtre. — L’im presario Jeokson a donné m ercredi soir, au théâtre , une représentation très réussie de la pièce de P ie rre De- courcelle : « Les Deux Gosses ». La salle était archi-oom ble et un public enthousiaste ne m énagea pas ses applaudissement» à l ’excellente troupe du Mélodrame Français. ♦

M. Jeokson annonce pour bien*- tô t : « Roger-la-Honte »; est-il besoin de dire qu’il sera p ruden t de re ten ir ses places longtem ps à l’avance.

♦ P a r a rrê té du 24 m ars, e s t approuvée la délégation tem poraire des pouvoirs de d ireo teur i*égional des antiquités historiques ( l r# c ir­conscrip tion), M. Georges M athe- ra t, archéologue à Chantilly, l’ai­mable conférencier de la Société d’histoire e t d’archéologie de Sen­lis. •

rufoibuinia ;

D im anso irée

C a r e t t avec l

CHE ta ir e .

F B I

Les

(ohiver

PI2 m ;

EN FRANCE ET DANS LEV EN D R E D I 2 t . — L es 1.090 p r is o n n ie r s

e n «ongé d e t r a v a i l o n t q u i t té B e r lin p o u r 1* F r a n c e . — A p rès a v o ir lo n g u e m e n t co n ­fé ré av ec le M a ré c h a l, le p ré s id e n t L a v a l q u i t te V ichy p o u r P a r is . — D a n s le M or­b ih a n , u n autocar- e t u n t r a in e n t r e n t e n c o llis io n à u n p a s sa g e à n iv e a u , p lu s ie u rs e n f a n ts s o n t tu é s . — U n a r r ê té p u b lié a u i j . O . i fix e l a com iloe ltlon d u C om ité d ’é tu d e s d e s p e t i te s e t m o y en n es in d u s ­t r ie s . — L e L o ire t v a recev o ir 20.000 r é fu ­g ié s d e l a r é g io n C h e rbourgeo lse . — A H a n o i, M . A okl, m in is t r e d e s a ffa ire s é t r a n g è re s d e l a G ra n d s A sie co n fè re avec l ’a m ira l D eeoux . — C o n tre le s a v ia te u rs a m é r ic a in s c a p tu ré s , q u i b o m b a rd è re n t T ok lo , l e g o u v e rn e m e n t n ip p o n p re n d de sévères sa n c tio n s .

8 A M ED I 24 A V R IL l t t t . — D a n s la m é d i ta t io n e t le t r a v a i l , l e M a ré c h a l a p a s sé l a jo u rn é e d e so n 87* a n n iv e rs a ire , r e o e v a n t d ’in n o m b ra b le s le t t r e s , té lé g ra m ­m e s e t c a d e a u x q u i lu i té m o ig n e n t l a g r a ­ti tu d e d e t o u t u n p e u p le . — U n ch e m in o t d e O lv o rs tro u v e u n p a q u e t c o n te n a n t •07.000 f r . q u ’i l f a i t r e m e t t r e à s o n p ro ­p r ié ta i r e , u n n é g o c ia n t L jro ttflâ le ;. — , L e p a p e a a s s is té 4 l ’office d u v e n d re d l-e s ln t

à l a c h a p e lle S lx tln e . — L e so u s-m a rin S u éd o is « U lven », cou lé p a r 80 m è tre s de fo n d , e s t co n sid é ré com m e p e rd u .

D IM A N CH E 25. — L e M a ré c h a l a s s is te à l ’o ffice p a sc a l d a n s l ’ég lise d e B u sse t, p rè s d e V ichy e t v is ite l ’ex p o s itio n de l ’école m é n a g è re . D es c a m b rio le u rs v o ­le n t 8 m illio n s à A u teu ll e t . . . 4 m illio n s à P assy . — A 80 a n s , u n e p a y s a n n e de l ’A llie r so llic ite l ’h éb e rg e m e n t d ’u n p e d t- p a r is ie n s in is t r é . -*• L e D uce a re m a n ié le s o rg a n ism e s d ir ig e a n ts d u p a r t i fa sc is te .

L U N D I 24. — D es évacu és d e D ieppe e t d u H a v re s o n t a r r iv é s à N o g en t-le -R o tro u . — L es In f ra c tio n s e n m a tiè r e d e b lé , f a ­r in e e t p a in s o n t re n fo rc é e s — L e P a p e a cé léb ré l a m esse p a sca le a u V a tic a n . — A A lg e r, G ira u d c o n fè re d e n o u v e a u avec C a tro u x . — A ux U . 8 . A . le m o u v em en t g ré v is te p r e n d d e l ’ex te n s io n , c e p e n d a n t q u e 105 fa b riq u e s d e W h isk y s o n t t r a n s ­fo rm é e s e n u s iè e s d e g u e r re .

M A R D I 27 . ■— A A m iens, M .' A do lphe P o in tle r , sy n d ic n a t io n a l d e s A g ric u lte u rs d é c la re q u e < l a so u d u re d u b lé n ’e s t p a s e n c o re a s su ré e s . — A M also n s-L a ffltte , le ç h e v â l .« ,D o lfu s s » r a p p c r te 1.939 f r s p o u r

f r a n c è . — A -là p o r te d e l a m a ir ie de

V ienn se mi g én é r am érl vemei m o r t

ME te n ta — é m ltra tr ib u p re m d u t r de 1

L ’Isli d ép e i

J E Jusqu boleb é c r i t n u e l le co

Page 3: La forêt 1.000 ; prîso de Katyn avec M. Ante Pavelitci · France, que le règlement des fournitures faites aux troupes et services de l'armée allemande, à l'exceptldn des prestations

\

lL — M. ot ont heureuxJu naissance

43.t - La messe Soho 2 mai. Ils, sera dite ja ston Ja n t-

II l e . — P a f[aréchal de

en dçite du

e d ’iS t à t à l ala médaille

ie-a é té dé^ -de recon-

ouchinei J u - haye M arie;

Fernande ; Louise; Hu- le ; G oltinet. F erret, née Pénaux de

;lois Marie ; ine; Bougon, leine ; Blon- B avard .née

tte reau , née Ghéry, née

dit, nee Luc unel Fernan- ix E rnestine; ta rlo tle; P 07 lumoulin, née mil de Mnrl- anche; Des- ronne; Dele- :anne; Bous- juerite ; R011- d etto ; P é ja r- ange.icn ts à ces s nous.

• l’é l e c t r i c i t é .1 m ensuelle, livers usages ;née ju sq u au ixima ci-des- a consomma- : sera it supé-

6 k w h ; par aar 3 -person- ‘ 5 personnes, jersonnes, 21 ersonnes, 27 1 personnes, mnes e t plus,

lugm entés de et pa r mois

m t un chau f- Ire électrique ici^ratiQn. La ée des abon­de cuisine de disposant pas

de faire la à l’électricité leu r oonsom-

[aigré la date apparition: dulées pascalesi icore, mornes aux giboulées te bise aigre , les jeunes

s arb res des midi de lundi, rire... S auf à t à celles de nos ruce

animées qu’à

a reçu quel auvôrent asile as les forêts ucillir le m u- r » dont les at les souB-

en e u t dans [siens où l’on laptifs ren trés auhaitons que ueillir bientô t ssionnaircn 5e la Pâques j à tous les en ce t an de iqu’à l’âge de roir un second ’é un 25 avril,

U briooh* de Fleurlnes. — Sotis le titre « Folklore de Pâques en Ile-de-France » notre confrère Roger V aultlcr rapporte, dans « Les Nouveaux Tem ps », qu’on pouvait observer, 11 y a une d izaine-d’an­nées, à Fleurines, p rès de Senlis, un fo rt curieux usage. Le lundi de Pâques, to u t Jeune m énage m arié dans l’année est tenu d’offrir un repas aux jeunes gens du pays. Le jeune m arié monte dans un arb re tenant au bout d’une oordc, ficelée â une <perohe, une brioche que ohaoun,' en sautant, doit s ’efforcer d’a ttrap er. Celui qui réu ss it a le droit d’offrir son bras à la Jeune m ariée pou r la conduire à la salle du. banquet. Beaucoup de . couples préféraient, a jou te-t-il, donner une somme d’argen t poud ne pas sacri­fier à la coutume I

G’est dommage ! Gageons qu’en l’an de disgrâce 1943 on verra it ren a ître aveo faveur l’aimable tra ­dition. rien que pour m anger la. brioche.

La potin do U s»ni»ln»Un nouveau cambriolage a été

oommis à la Maison du Prisonnier. On signale oette fois la disparition d'une centaine d» boites do pâté, d’une quinzaine de paquets de pâtes de fruits, de deux douzaines ~ boites de pâtes alimentaires.

O’est le quatrième vol en peu de temps, tous les quatre oommis < les mêmes conditions.

’nTF-

mesuresRDlurtillet

C P B W

TRAMO DC VIANDELe T ribunal spéolal d’Amiens

viont de p rononcer les condamna- Uon8 suivantes p o u r trafic de viande dans la région.

R oquetanstré A ndré, m archand forain & Bois-Colombes (S eine), un an de prison e t 80.000 francs d’a ­m ende; Naaz André, m archand de bestiaux, à RouseeToy, h u it m ois de prison e t 100.000 francs d’am ende; G uesnet René, industriel, à Neullly- sur-Seine, six mois de prison et 30.000 francs d’amende ; vannlhâr M arcel, bouoher à P aris quatre mois de prison e t 30.000 francs

Il serait Injuste d’en tenir rigueur à la police oar, aveo les faibles moyens dont elle dispose, e lle nepeut assuref une surveillanoe de ptoohain 4 mai, à 14 h. 30, Jour et de nuit è tout instant, mais nUC Foch. on peut s’étonner de ne pas voir mieux préservées, dans le looal de la rue du Puits-Tiphalne, les den­rées destinées aux prisonniers.

Quand on oonnait les difficultés qu’éprouvent les fam illes pour constituer le oolis mensuel, quand on oonnaît le dévouement qu’ap­portent les personnes qui se char­gent bénévolement de oOmposer le colis mensuel du Comité, il semble que les responsables de la garde des denrées devraient prendre plus de précautions contre les exploits des malfaiteurs.

Après le vol de la Maison du Prisonnier. —- L’enquête se pour­su it activem ent au su je t du nou­veau vol de denrées commis dans l ’immeuble de la rue du P u its - Tiphaine. Après le- vol précédent, des sonneries avaient été installées à certaines portes donnant aocès à la maison, mais, ce tte fois, les mal­faiteu rs ont pénétré à l’in térieu r p a r la rue des V étérans, là où il n ’y avait pas de sonnerie.

M. Givry, procureur de la Répu­blique, M. Durieux, juge dMnstruc- tion, légitim em ent émus de la m iil- tiplioité des vols "au préjudice des prisonniers, se son t rendus s u r les, lieux. Des'iinspoqteuns de la police mobile son t su r place e t poursui­ven t Inlassablem ent leu rs actives recherches en vue de la décou­verte des cambrioleurs.

Espérons que nous n ’aurons pas un cinquième vol à en reg istrer.

A la salle Jeanne-d ’Arc. Lamatinée dofinée Jeudi après-m idi à Jeanne-d’Arc, au profit ues oolonies scolaires de Sënlis, a obtenu u n bon succès. L es petits colons ouvrirent le program m e puis la charm ante Claude Valéry, qu ’on' connaissait depuis le concert offert par -lès ra ­patriés. se fit en tendre dans Sbn réperto ire . T our à to u r se firent applaudir Frcddy Fah, prince de la magie ; Y vette M augard, équlli- brisfte; Georges Baudouin, le mômq qui Imite, mais le clou fu t Jçan Rigaux, le roi des chansonniers, du T héâtre de, Dix heures, qui lança- ses tou tes dern ières créations.

Le bénéfice d e ce tte m atinée se ra versé à l’œ uvre d es oolonies sco­laires à laquelle se consacre avec le plus grand dévouem ent M: l’abbé j ^ V ï ”

boucher à Mcllo, e t Châtelain An- Foyer Notre-Dame. — Samedi ! dré, boucher à Clermont, ohaoun

l*r mai, 5, rue du P uits-T iphaine, i quatre mois de prison e t 3.000 de 13 heures W 16 heures, location ] francs d ’am ende; Üirioh Louis, re -

fiour la séance que les jeunes e t : tra ité du chemin de fer, de R ousse- es élèves du Rayon Sportif p répa- llojr, trois mois de prison e t 3.000

ren t pour le dim anche 9 mai, e n j francs d’am ende; V igneron Henri, m atinée e t en soirée. - de Saint-Claude, com mune de Bu-

Senlisiens qui vous êtes tou jours ry, e t Legrand Joseph, mécanioien in téressés à leu rs activités, venez^-'à • G ires-fes-M ello, ohaoun deux voir les danses folkloriques e t les mois de prison e t 3.000 francs m ouvem ents rythm iques. = d’am ende; deux mois de prison e t

T2.000 francs d’am ende à la dame 8ooiété des Jardins ouvriers. —» -Lucienne Naaz.

La distribution des engrais au ra -lieu demain dim anche 2 mai, de ■* u D u n v n v m T t d8 heures à midi et de 14 heures h C K r a n n u n V I L L l l18 heures, 13, rou te de Chantilly .’Sd m unir de sacs e t de la ca rte de jardinage.

La Consultation départemental» des nourrissons arijnL,' lieu mardi ;

• - - - 16, aVë- :

«ibis, P arra in ag e OM vtaiHard v iv re s

♦r’s id s ; 145 m ttU oftsde ra tions

NOS ABSENTSOette semaine, la pensée et

a prime vont vers M. LËROY laoques, route d’AumonL

100 francs offerts par les mis de 8aint-8ébastlen.

Au Théâtre. — L’im preeario Jeokson a donné m ercredi soir, au théâtre , une représentation très réussie de la pièce de P ie rre De- courcelle : <• Les Deux Gosses ». La salle était archi-oom ble et un public enthousiaste ne m énagea pas ses applaudissem ents à l ’excellente troupe du Mélodrame Français. *

M. Jeokson annonce pour bien- tô t : « Roger-la-Honte »; est-il besoin de dire qu’il sera p ruden t de re ten ir ses places longtem ps à l’avance.

♦ P a r arrê té du 24 m ars, e s t approuvée 1$ délégation tem poraire des pouvoirs de d ireo teur reglonal des antiquités historiques ( l r# cir conscription), M. Georges Mathe- ra t, archéologue à Chantilly, l’ai­mable conférencier de la Société d’histoire e t d’archéologie de Sen lis. .

Deux gangsters attaquent un chiffonnier

pour le voler______________________________ Dans la nu it de Jeudi à vendredi,

M. Charles Leymarie, 57 ans, m ar- La Maison TROCHU-BUDIN, chand de peaux de lapins, habitan t

rue Rougemaille, à 8enlls, in- d’une cabane isolée au ham eau deforme sa olientàle que la distri- Montaby, p rès de M ortefontaine,bution de pommed de terre <1" fu t réveillé pa r deux individus, insoription) se w a le LUNDI' « Nous venons ohercher les la - 8 l|A I. pins que tu as prom is de- nous

. ; vendre, l’au tre Jou r », d it l’un ....... . d’eux.

S . Leymaire se leva e t vin t en tre- S bâille r sa porte . Il reconnu t alors» un bûcheron d ’Ermenonville, Au-■ guste Bouviêr, 32 ans, qu’accom-S pagnait le jeune René Vibert, 17S ans, commis boucher à Fontafne-• Chaftüs.S « Entrez le s gars, d it-il, je vais S voir si Je peux vous satisfaire ».» C’est alors qu’au m om ent où U ; avait le dos tourné .pour allum erI une lampe. Bouvier so r tit de sa• poche un m arteau aveo lequel II• frappa Leymarie. Mais l’arm e

. s é tan t dém anchée, l’ag resseu r fu t__ vivement réd u it à l’im puissance.

D im an ch e J . deu x m a tin é e , k 14 « 17 h . ; Q. ^ S , S, ^ ' ( P e U r - I c 8 d c U I g a n g s t e r s so iré e à 20 h . i» . 8 e n n i l r e n t .

M a r tin e F o u g è re , J e a n D avy , L a rq u e t et L® gendarm erie de Senlis ne tar* c a r e t t e d a n s u n e e t o i l e a u s o l e i l , da it pas, l e lendemain m atin, à les avec P asq u a li . .^arrêter.

c h e m i n s 8a n s OKNIEBE8, docum en- ‘ « Je savais, déclara Bouvier queÏ L n C * A CTU A LITES. , , d .

•" 1 . , : ' V* Dimanche, m e trouvan t avecEtat-civil du 23 a n 28 A v ril 1943 >JuDdans un café, j ’avais essayé de

C e a p a g n i e d e s G r e f f i e r s d e l ' O i i e

i Les greffiers des justices de Paix de l'O ise se son t réunis à Creil p o u r la reconstitution de leu r compagnie départem entale. O nt été élus : président, M. Périn , de Beauvais; vice-président, M. P ra - dôre, de Complègne; secrétaire , M. F leury, de C lerm ônt; tréso rier, M. Lelong, de Senlis; m em bres : MM P ierre , de Crévecœ ur-le-G rand, Gégousse, de C reil; Dum ortler, de Chaum ont-en-V exin; Bacciochini, de Maignelay; Grégeois, de Noyon,

V ELODROM E D E SE N L IS

BEU N IO N D ’OUV ERTU RE d em a in D im an ch e

W arte l-R oyM orphyre-L esp illez

L ave iss lè re -R eb lèreB re u re -P ra tA rllg u ie -T lx ie r

L ete llle r-S o lau x V a n H y fte -P o u le tte

O u d a r t , L éon C h a rle s e tc .. . , e tc .. .

T H E A T R E M U N IC IPA L CINEM A (T é lép h o n e : 380)

S a m e d i 1 * ' M al, so irée à 20 h . 15.

SPORTS

N aissan ces . — M . Jean -G eo rg es-M au rlce s a o û l e r , p o u r p o u v o i r l ’a t t a q u e r L éz ie r, 3 , p la c e S a ln t-M a u rlc e ; 26. J e a n * . “ s o n r e t o u r c h e z l u i .F ra n ç o is P ic a rd . 21, ru e BeU on. | - » N’ayant pu réu ss ir ce so ir-là

M a ria g e . — E n tr e O eorges-R ené R o s ln , : j ’avais décidé de l’a ttaq u er chez luia i o r a « » « p »

D écès. — 23. A n d ré -A d rlen -R o lan d T o p - p ln a r t , ru e d u H a u t de V lllev e rt, 9 m ois, décédé 1, fg S t-M a r t ln ; 25. C laude-M ar-ceUe P rév o s t, 4 m o is, 1, fg S t-M a r t ln . 26 M arceau - H ip p o ly te D em ay , 46 a n s . ch a u ffe u r , 49. r u e d e M èaux, décédé 1, fg 8 t-M a r tin ; 26. H e n r ie t te - J u lie R en tiè re ,

V ibert ».Les deux chenapans ont é té mis

a la disposition du P arq u e t de Sen­lis.

Le contrôleéconomiqueL a D ire c tio n D é p a rte m e n ta le «ht C o n trê le

E conom ique com m unique :

P o u r p ré v e n ir to u te s d ifficu lté* l ’a p p lic a tio n de l a lé g is la tio n économ ique, ü e s t ra p p e lé q ue d es a g e n ts d u Serv ice G é n é ra l d u C o n trô le E conom ique se t ie n ­n e n t ré g u liè re m e n t a u x lieu , Jo u r e t h e u re in d iq u és e l-dessous, à U d isp o s itio n d u P u b lie p o u r lu i f o u rn ir bénév o lem en t to u s ren se ig n e m e n ts u ti le s c o n c e rn a n t l ’a p p li­c a tio n de ta lég is la tio n s u r le s p r ix e t s u r Je r a v ita il le m e n t.

SEC TEU R D E B EAUVAI8 , 81, ro u te de C a la is , à N O TRE-DAM E-DU T H IL , le s lu n d i d e 14 à 17 h . e t sa m e d i do 1S i 12 h .

SEC T E U R D E C O M PIEG N E : 18, ru e de L an e rjr , à CO M PIEG N E, le s lu n d i e t m e r ­c re d i de 18 A 18 h .

SEC TEU R D E CLER M O N T : 28, m e Ju le s -F e rry , à FIT Z rJA M E S, le s lu n d i e t m ercre d i de 1S à 12 h e u re s .

SEC TEU R D E C R EIL : 2 , a v e n u e Ju le s - G uesde , à C R E IL , le s m e rc re d i q t sam ed i «le S â 11 h e u re s *

SEC T E U R D E CREPY-EN-VALOI8 : 28, ru e S t-L a sa re , à CREPY-BN-VALOI8 , le s m a rd i e t v e n d re d i d e l t * 18 h e u re s .

SEC TEU R D E NOYON * H ô te l de V ille d e N O Y O N , le s m e rc re d i e t s a m e d i d e 12 à 12 h e u re s .

U ne c o llec tio n d u B u lle tin O ffic ie l d e s S erv ices d es p r ix e s t p a r a il le u rs m ise à la d isp o s itio n d u p u b lic , p o u r ê t r e con ­su lté e s u r p la c e to u s les Jo u rs (d im a n c h e s e t fê te s e x e e p té s ) , de 16 à 12 h e u re s , d a n s le s b u re a u x d e la D ire c tio n D ép a rtem en ­t a le d u C o n trô le E conom ique r N O TR E- D A M E-D U -TH IL, 81, r o u te d e C a la is .

L e D ire c te u r D é p a r te m e n ta l S ig n é : D ELPO N T.

■ "

FOOTBALLLe Tournoi de PAquea

U A N C O C K T ENLEVE LE TO O B N O I DE L ’EN TEN TE

L e to u rn o i d e P âq u es d e s p r is o n n ie rs d e g u e rre g ro u p a n t le s clifbs de O rell, L la n c o u r t e t M o n ta ta lre . _ le p lu s v i f succès e t le s c a m a ra d e s d es s ta la g s p o u r ro n t a in s i recev o ir e n o o n que lques co lis de le u rs b o n s am lg sp o rtifs .

A C h a n til ly , le d im an ch e , le s m a tc h e s é lim in a to ire s f u re n t d isp u té s av ec a rd e u r . L la n c o u rt e t M o n ta ta lre d u re n t a v o ir r e ­co u rs a u x p ro lo n g a tio n s e t â ' l a f in de celles-ci le r é s u l ta t é t a i t e n o o re n u l , g râ c e , d isons-le à l a be lle fo rm e d u g o a l L ia n - c o u rto is D a riu s . L e t i r a g e a u s o r t f u t f a v o ra b le a u O. S . L la n c o u r t q u i f u t a in s i d é signé p o u r d is p u te r l a f in a le d es v a in q u eu rs .

L es C a n tll le n s t r io m p h è re n t d e s C reil- lo is a u seco n d m a tc h , ces d e rn ie rs n ’a y a n t p a s su p ro f ite r d e le u r a v a n ta g e te r r i to ­r ia l assez m arq u é

C ’e s t a u S ta d e V élodrom e d e O re ll q ue s i d is p u ta ie n t le lu n d i le s f in a le s .

C elle m e t ta n t a u x p r is e s M o n ta ta lre e t so n v ieux r iv a l C reil, se te rm in a p a r u n d raw . Les. C reU loi* m e n a ie n t p o u r ta n t p a r l i e à l a m l- t m p s , m a is M o n ta ta lre p ro ­f i ta i t à s o n to u r de M essire E ole e n s e ­conde m i-tem p s e t d ’u n e e r re u r a d v e rsa ire de te lle s o r te q ue d o m in a n t m a n ife s te m e n t le s c Ja u n e e t n o ir s r é u s ­s i r e n t à ég a lise r .

L a f in a le C h a n til ly - L la n c o u r t t i n t le p u b lic e n h a le in e p e n d a n t t o u t le m a tc h . E n p re m iè re m i-tem p s, L la n c o u r t bénéficie d u v e n t e t do m in e assez n e t te m e n t n e réu ssis sa n t cep e n d a n t q u ’à m a rq u e r u n e seu le fo ls.

À la re p r is e le s Jeunes C a n tll le n s (5 Ju ­n io rs e t c a d e ts re m p la c e n t le s b lessés e t Ind isp o n ib les de l a v e ille ) p r e n n e n t J a d ire c tio n d es o p é ra tio n s , é g a lis e n t e t m a r ­q u e n t le u r second b u t . M ais L la n c o u r t p r a - è t iq u a n t le seu l Jeu u t i le ( le r a s de te r r e ) p a rv ie n t 10 m in u te s a v a n t l a fin à é g a ­lise r e t 4 m in u te s a v a n t le co u p de s if f le t , à m a rq u e r le b u t v a in q u e u r .

I f . A rao u ld , m a ire d e C re il, r e m it l a C oupe Favereau- a u O. 8 . L la n c o u r t o t f é lic ita e n quelques m o ts v ib ra n ts v a in ­qu eu rs , v a in c u s e t o rg a n is a te u rs de c e tte b e lle m a n ife s ta tio n d e so lid a r ité .

0H A M H LY S’IM PO SE A PBECY -SU R-

OALENDRIER DE8 8E88ION8DE B. 8 . N. 1848

Le» épreuves se dérouleront sur 9e terrain de la société sportive

2 M A I 1948 D e 9 h e u re s â 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ç o n s s i à p a r t i r d e U h e u re s p o u r la s f i l le s : A ttlc h y , A uneu ll, B eau v a is (O , 8 . M a risa e l) , B etz , C le rm o n t. C om plègne (8 ta d e C om pté»no is), O re ll T A . 8 . C re il- N o g e n t) . C rèv ecœ u r (R a d n g -O lu b ) , F o r-

M aig n e lay , S e n lis (stad e -v é lo d ro ­m e ) .

D e 14 h . 30 ~â 16 h . 20 p o u r le s g a rg o n e e t à p a r t i r d e 16 h . 30 p o u r le s fille s t N oyon ( t e r r a in c o u rs D ru o n ) . /

9 M A I 1948 D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ço n s e t â p a r t i r de 11 h e u re s p o u r le s fille s : C h a n til ly ( s ta d e d es B o u rg o g n es), C h au m o n t-en -V ex in , C répy - e n - Valois» M ouy, S a n d r ic o u r t, S t-Ju st-en -C h au ssée .

D e 14 h . 30 à 16 h . 20 p o u r le s g a rg o n s e t à p a r t i r d e 16 h . 30 p o u r le s fille s : R s trée s -S a ln t-D en ls , F ro issy , G u isc a rd .

20 J U IN 1943 D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ço n s e t à p a r t i r de 11 h e u re s p o u r le s flUes : B re te u tl, G ran d v llU ers , L a C hap e l- le -aux -P o ts , L la n c o u rt, N an teu ll-le -H au* do u in , N oalllés, P on t-S te -M axence , R lbé- co u rt.

D e 14 h . 30 à 16 h . 30 p o u r le s g a rç o n s e t à p a r t i r de 16 h . 30 p o u r le s fille s : C h am b ly , C rllio n , M areu ll-su r-O urcq , H sf- so h f-su r-M a tz

U JU IL L E T 1943 D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ç o n s e t â p a r t i r d e 11 h e u re s p o u r le s fille s : C h a n tilly .

18 JU IL L E T 1943 D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ç o n s e t â p a r t i r de 11 h e u re s p o u r les f ille s : A ttlc h y . C le rm o n t, C rèvecœ ur, F o rm e lle , S en lis .

D e 14 h . 39 à 16 h . 30 p o u r les g a rç o n s e t à p a r t i r d e 16 h . 30 p o u r le s f ille s : N oyon.

25 JU IL L E T 1943 D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ç o n s e t à p a r t i r d e 11 h e u re s p o u r les flU m :: C h a u m o n t, C répy , C re il ( t e r r a in d e l ’A . 8 . C . N .)

D e 14 h . 30 à 16 h . 30 p o u r le s g a rç o n s e t â p a r t i r d e 16 h . 30 p o u r le s fille s : S o n g eo n s.

8 A O U T 1943 D o 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r ­

ç o n s e t à p a r t i r de 11 h e u re s p o u r le s f ille s : B eauvais, C om plègne, S a n d rlo o u rt , M ouy; S a in t- J u s t-en -C haussée.

O ISE . — B elle ré u s s ite «les d e u x Jo u rn ées . 22 A OUT 1943de s p o r t e t de b ie n fa isa n c e . I c i au ss i, le D e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s gar- p u b llc s p o r t i f a té m o ig n é s a s o l id a r i té , ç o n s e t â p a r t i r de 11 h e u re s p o u r le s en v e rs le s a b se n ts . D im a n c h e C ham bïy f i l le s , : .B re teu ll, G ran d v ill ie rs , N & nteuli- é llm in a O ouvieux p a r 4 à 2 e t E reu i* : le -H au d o u in , Pont-S te -M axence , R lb é c o u rt. b o u ta . P récy p a r 5 à 0. L es fin a le s d u j D e 14 h . 30 à 16 h . 30, p o u r le s g a rç o n s len d em a in v ire n t l a v ic to ire d e C h am b ly e t â p a r t i r de 16 h . 30 p o u r le s fille s : su r E rcu ls p a r 4 à 2, t a n d is q ue les b a t tu s M areu ll-su r-O urcq , C h am b ly , R e sso n s-su r- de la v e ille fa is a ie n t m a tc h n u l (2 à 2 ) . | M a tLC ’e s t u n p r iso n n ie r to u t ré c e m m e n t l ib é ré ! ' 10 O C TO BRE 1943

( D e , 3 h e u re s â 11 h e u re s p o u r le s g a r -

A H E T H IS Ï-S IP IE R R E _ E n m a t c h » r r S n d . " i T ’ l11 T J ?Im in sto lre s , VcnctU , , b , H u lA g m -te -

a n s , d o m ic ilié â V e rt-G a la n t, décédé 1, fg X , *a P r é 8 6 n c o d u n e s s a i mm. . 1- - . n i n i l a p a n i n n D p A irn n in .1 .. « «

L a P rem ière Communion est p roche . . . .

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. dans la région; P réven ir d ’urgence, I dans la journée même. M. P aul DAVERDIN. Ferm e de M ermont, à CREPY-EN-VALOIS. Téléph. 207.

Pharmaoien de ̂ arde : dim anche 2 mai, M. Ravaud.

-RANCE ET DANS LE MONDE1.000 p r is o n n ie r s

[Ultté B e r lin p o u r lo n g u e m e n t con-

! p r é s id e n t L a v a l — D a n s le M or- t r a ln e n t r e n t e n n iv e a u , p lu s ie u rs a r r ê té p u b lié a u

s l t lo n d u C om ité m o y en n es in d u s- e v o ir 20.000 ré fu - bourgeolse. — A r e d e s a ffa trg s A sie c o n fè re avec t r e le s a v ia te u rs u l b o m b a rd è re n t n ip p o n p r e n d de

143. — D a n s la , l e M a ré c h a l a 87» a n n iv e rs a ire ,

l e t t r e s , té lé g ra m - h n o tg n e n t l a g r a - . — U n c h en il >aquet c o n te n a n t l e t t r e â ' sob p ro - L y o n n a is — L e A i v e n d re d i-sa in t

à l a c h a p e lle S lx tln e . — L e so u s-m a rin Su éd o is « U lven », coulé p a r 50 m è tre s de fo n d , e s t co n sid é ré com m e p e rd u .

D IM A N CH E 25. — L e M a ré c h a l a s s is te à l ’o ffice p a sc a l d a n s l ’ég lise d e B u sse t, p rè s d e V ichy e t v is ite l ’ex p o s itio n de l ’école m é n a g è re . D es c a m b rio le u rs vo ­le n t 8 m illio n s à A u teu ll e t . . . 4 m illio n s à P assy . -— A 80 a n s , u n e p a y s a n n e de l ’A lite r so llic ite l 'h é b e rg é m e n t d ’u n p e f it p a r is ie n s in is t r é . -*• L e D uce a re m a n ié le s o rg a n ism e s d ir ig e a n ts d u p a r t i fa sc is te .

L U N D I 26. — D es évacu és d e D ieppe e t d u H a v re s o n t a r r iv é s à N o g en t-le -R o tro u . — L es In f ra c tio n s e n m a tiè r e d e b lé , f a ­r in e e t p a in s o n t ren fo rc é e s . — L e P ap e a cé léb ré l a m esse p a sc a le a u V a tic a n . — A A lg e r, G lra u d c o n fè re d e n o u v e a u avec C a tro u x . — A ux U . 8 . A . le m o u v em en t g ré v is te p r e n d d e l ’ex te n s io n , o e p e n d a n t q u e 105 fab r iq u e s d e W h isk y s o n t t r a n s ­fo rm é e s e n u s in e s d e g u e rre .

M A R D I 27 . A A m iens, I L A do lphe P o in tle r , sy n d ic n a t io n a l d e s A g ric u lte u rs d é c la re q u e < l a so u d u re d u b lé n 'e s t p a s e n c o re a s su ré e s . — A M also n s-L a ffltte , le ç h s v â l ,c .D o l fu s s r» 'r a p p o r te 1.930 firs p o u r t 6 f r a n e é . — A là p o r te d e l a m a ir ie de

V ienne , u n f a c te u r In d é lic a t q u i v e n a i t de se m a r ie r , e s t a r r ê té p a r la po lice . — L e g é n é ra l M ac N ell, co m m a n d a n t le s fo rce s am é ric a in e s t e r r e s t r e s e n T u n is ie , e s t g r a ­v e m e n t b lessé . — L e d uc de O o n n a u g h t e s t m o r t à O tta w a .

M E R C R E D I 28. — L es a u te u rs de l ’a t ­t e n t a t c o n tre M . M arce l D é a t s o n t a r r ê té s .— A A sn lères , c in q b a n d i ts a rm é s de m i t r a i l le t te s a t ta q u e n t u n c e n tr e d e d is ­t r ib u t io n d e c a r te s d ’a lim e n ta tio n . — L a p re m iè re ifro m o tlo n d a n s l ’o rd re n a t io n a l d u t r a v a i l p a r a î t r a le 2 m a l. — L a s ta t io n de M égève e s t a ffec tée à l ’h é b e rg e m e n t deft e n f a n ts d es rég lo n s bo m b ard ées. ~ - L ’Is la n d e s e c o n s tltu e n R ép u b liq u e in ­d é p e n d a n te s a n s c o n su lte r le D a n e m a rk .

JE U D I 29. — c L e c o m b a t s e r a co n tin u é Ju sq u ’à c e q ue l ’E u ro p e s o it sau v ée d u bo lchev ism e e t d e l ’a m é r ic a n is a tio n s) é c r i t M . v o n R lb b e n tro p , d a n s le « M a­n u e l e u ro p é e n ». — M . S a la x a r dén o n ce le com m u n ism e com m e le p lu s g r a n d d a n ­g e r e t r é a f f irm e la n e u t r a l i t é d u P o r tu g a l .— 450.000 m in e u rs a m é r ic a in s m e n a c e n t d e f a i r e g rè v e . L ’év a c u a tio n d e B r e s t e s t to rm ln é e . — Oe s o ir , t i r a g e d é l a L o te r ie N a tio n a le .

Dans les communes! COURTEUIL. — Un inoendie

chez M. Alépée. — Dana l’ap rès- , midi de dimanche, vers 14 h . 30,: un incendie qui au ra it pu, en raison ; du ven t qui soufflait, prendre de graves proportions, s ’es t déclaré

I dans un hangar a ttenan t à la ferm e | de M. Francia Alépée, maire de i Courteuil. La paille qui s’y trouvait • en tassée a é té la proie des flammes e t il n’a pas fallu moins de l’in ter­vention des habitan te de Courteuil e t d ’A villy-Saint-Léonard e t des sapeurs-pom piers de Senlis, dont la prom ptitude e s t to u t particu lière­m ent à signaler, pour se rendre m aître du, sinistre qui m enaçait dangereusèm ent les bâtim ents vol-, sins. Les dégâts son t évalués à 15.000 francs e t son t couverts pa r une assurance.

M., F . Alépéo rem ercie vivement les hab itan ts de C ourteuil e t d ’A villy-Saint-Léonard e t les sa­peurs-pom piers de Senlis qui ont ooonéré aveo tan t d’em pressem ent e t de dévouem ent à l'extinction de d ’inoendie du 25. avril.

COURTEUIL - 8T - NICOLA8. —M. le m aire e t les m em bres du Comité com munal d ’aide aux P ri­sonniers de guerre rem ercient M. e t Mme Normand, de Saint-Nloolas, pour leu r nouveau don de 1.000 frapos en faveur des prisonniers de' Ta .obtnmune.

VBRNEUII P o u r trafic deviande, M. Touohet Henri, cultiva­te u r à V em eull, vient de se voir dnfllger £.000 franos d’am ende p a r le G roupem ent d 'achat e t de ré - ̂partition de l’Oise»

L,e combat de la civilisation

contre le bolchevisme

FRA N ÇA IS,Vous avez c ru à I» m en ace bolchevique

e n 1918 e t voua la red o u tiez .Voua avez fré m i aux ré c i ta dea m aaaa -

crea p e rp é tré» e n Ruaale, e n H o n g rie , e n E sp ag n e .

Voua avez vécu l a pério d e dea g rèv es co m m u n iâ tes q u i, dès 1936 p ré c ip itè re n t l a d échéance de n o tr e r a y a .

Voua avez , de to u s vos vœ ux , so u ten u , e n 1940, l ’h é ro ïq u e F in la n d e q u i r é s is ta i t a u x a s s a u ts dea B a rb a re s .

V ous av iez ra is o n !Les B o lchev lcks n ’o n t p a s c h a n g é . L e u rs

b u ts s o n t Id en tiq u es tE x te rm in a tio n des c la sse s p o sséd an tes .I n s ta u r a t io n de la d ic ta tu r e B olchevi­

que s u r le c o n tin e n t E u ro p éen d ’ab o rd , s u r le m o n d e e n t ie r e n su ite .

L es L ég io n n a ire s F ra n ç a is c o m b a tte n t à l ’E s t p o u r p ré se rv e r l a F ra n c e , vos fo y e rs , vos fa m ille s , vos b ie n s , d u p é r il ro u g e .

A ldex-les. V enez re n fo rc e r le u rs ra n g s .Ou le bo lchev ism e s e ra é c ra sé m ilita ire ­

m e n t pas? le s E uropéens, o u 11 b ro ie ra n o ­t r e P a tr ie .

P o u r to ü s e n g a g e m e n ts o u ren se ig n e ­m e n ts , ad ressez-vous à :

C R E IL , 38, ru e Ju le s -Ju llle t .' B EA U V A IS, r u e S ad i-C a rn o t.

CO M PIE G N E , ru e d e s T ro ls -B a rb eau x .

M. BLOQUET Répgràtour d» machines sgriooles

«T-LEU -D ’E88ERENT (O ise) T é l . 2 2

prévient les ag riou lteu rs que, oom me les années préoédentes, 11 se tien t à le u r disposition pour la r é ­paration de leu r m achine. Il les prie de ne pas a ttendre, ayant de nom breuses difficultés, su rto u t en m ain-d’œ uvre.

Stock im portan t de pièoea • Mao Oormlok <s - -

Sec p a r 9 b u ta à 0, le C . O . I le -d e -F ran ce S t ^ ^ m ^ é o n ô l s i tr io m p h a d e l ’A m icale B é th iay en n e p a r 3 ^ t n v ï i ià 0 . EU fin a le d e s b a t tu s , B é th lsy tr io m p h a 9 h(Jd e L ag n y (10 à 1) ta n d is q ue V en e tte e n - ! ® i . n twvVle v a it l a coupe e n b a t t a n t le s P a r is ie n s « i S i * h e u re s p o u rp a r 2 b u ts 1 1 . | n uc i! • C " 11*

L ’U. S . S t-R IE U L T R IO M P H E A O R R Y .I n a ta t io n e s t o b lig a to ire p o u r le s— L ’U . B. O rry-la-V llle , o rg a n is a u n to u r - “ *>cl» tlo n s sp o rtiv e s , p o u r le s so o la lres n o ! à q u a tre q u i r é u n i t le s o n ze d e S a in t . J L S S - * 2 ^ ^R leu l S en lis . B o ran A o re m o n t e t l a f ^ . r,' '* n t e s , A m blainvU le, A ndbville , A vllly , m a tlo n loca le . E n f in a le , 1*U. R . 8 t - R le u l : ^ tt lc l\ J ’ C h a n til ly , Choi-b a tU t de Ju stesse l ’U . s . A p r S n o n L ^ sv -a u -B æ . o ia im ix n o m n » « u . n m U à v

L IS RBNCONTRE8 DU 2 MAI F l n g t o du C h a m p i o n n A t

d a p r e m i è r e d i v i s i o n _________ ________A . S . M illy -H erch les c C 8 L la n c o u r t M ax Im ln . &****• S en lis , T h o u ro tte , Ve- rb i t r e _ : M . L assa lle . J u g e s de to u ch e : S a ln t - Æ m in 111, VUler8^ a ln t ' p *u1’ V ineu fi.

L es .In sc r ip tio n s s e ro n t re ç u e s s u r le te r r a in .

. , LES LICENCESL e s ilc en ces de to u s le s s p o r tif s a p p a r ­

t e n a i t a u x ca té g o rie s d ’âg e p révues poux ------— — - . v c u - n i ^ c u i . i le B . 8 . N . d o iv e n t ê t r e v alidées p a r le

A rm ure : M . D elan n o y . Ju g e s d e to u c h e : . D ire c te u r D é p m te m e n ta l d u C o m m issa r ia t

NOVEM BRE 1943B e 9 h e u re s à 11 h e u re s p o u r le s g a r -

sy -au -B ac, O lalro lx , C om plègne , O oulolsy, J a n v ille , Ja u lz y , L a rd lè re s , L o rm a lso n , L e P lésais-B rIon , L es A geux, L o n guell-A nnsl. M argny-les-C om plègne, M éru , M o n tm acq . P o n t- l’Evêque, P o n tp o ln t, P on t-S te -M axen-

R ieux , S a ln t-P le rre - le s -B ltry , S a ln i-

A rb ltre : M . L assa lle . Ju g e s M M . C heva lie r e t Po ix .

Promotion S . M arisse l c. V . O. B eau v a is . A rM - M . U b e rtln . J u g e s d e to u ch e : » « s

M o n tay e t P u lte a u x .C om plégnols c . A . S . C rell-N ogen t. re : M . D elan n o y . Juoei

M M . V a rlo t e t B o n n a rd .

LE8 CHAMPIONNATS DE L’OI8E Juniors

Classement final G roupe N o rd

J . G . N . F . P . P .1. A . B é th isy en n e . . . . . 8 5 2 12. C . S . L la n c o u r t 8 5 1 23. S . C om plégnols . . . . 8 4 » 44. S . A. O M o n ta ta lre 8 1 2 55. A . S . C re ll-N o g e n t.. 8 2 1 3 2 11

G roupe Sud1. C . O . C ham bly-M .-N . 62. U . 8 . C h a n til ly . . . . 6 ;3. U . S . D S a n d r ic o u r t 6 :

A. S . Précy-sur-O lse 6 :

G roupe O u est1. U . 8 . M ouy ......... 6 52. G . S . M aris se l 6 3S .A . S . M a ig n e la y . . . . 6 2

U . S . B eau v a is __ 6 1

1 1 2 11 32 4

6 15

CYCLISMEREO U V ERTU RE O FFIC IE L L E , A SEN ­

L IS . — D em ain d im a n c h e , ré u n io n d ’ou­v e r tu re offic ie lle d u V élodrom e avec uni f o r t Joli p ro g ram m e d e co u rse s com por­t a n t : le P r ix d ’O u v e rtu re , V itesse 1.000 m ., H a n d ic a p 1.000 m ., In d iv id u e lle 20 to u rs , C onso la tion rése rv ée a u x b a t tu s de la v itesse e t d u h a n d ic a p . B ra s s a rd P o u r­s u i te de l ’O ise (12 to u rs ) , d é te n te u r L a ­c ro ix (P . O .), e t G ra n d P r ix T u rq u e t de la B olsaerle, a m é ric a in e 40 k m s , avec le s P a r is ie n s W arte l-R oy , M orphyre-L esp illez , L aveisslère-R eblère , B re u re -P ra t, les M on- ta rg e o ls A rllgu le -T lx le r, les r é g io n a u x Le­te llle r-S o lau x , V an H y fte -P o u le tte , Lebes- 8ues, O u d a r t , L éon C h a rle s . P ie r r ln , R a b - bé , L a b ltte , e tc . T ro is p r ix sp éc iau x a u x co u reu rs d e l ’O ise.

BASKETLA 8 ELEC T IO N C R EILLO I8 E

V A INQUEUR D E8 IN T E R - R E G IO N S B o n n e ré u n io n d im a n c h e à C reil, o ù le

D is tr ic t d e l ’O ise a v a i t r é u n i le s « c in q a re p ré s e n ta t i f s d e se s d iv e rse s rég lo n s .

R é s u lta ts :O re ll b a t N oyon .................................. 24-13C om plègne b a t B eau v a is ................ 26-16N oyon M t B eau v a is .......................... .2 8 -1 4O rell M t C om plègne .............. 37-16A w e oea sé le c tio n n é s d e l ’O ise , le

s c in q » d e l à - r é g io n C reillo lse s ’im p o sa

a u x S p o rts .D a n s le c a s o ù u n c a n d id a t d o it c h a n g e r

de c a té g o rie d a n s le c o u ra n t de l ’a n n é f sp o rtiv e . U e s t a u to r is é à p a s se r les ép reuves d e la c a té g o rie Im m éd ia tem en t su p é rie u re à l a s ie n n e .

A U D IS T R IC T O ISE D E FO O TBA LL

__ L e B u re a u s ’e s t r é u n i sam ed i so ir à 19 O rell, so u s la p ré s id en ce de M . G eorge»- 10 i P ico t. E ta le n t p ré se n ts : M M . M a ille t, 12 De b rie , B a lo ch a rd , B rèch e e t M ad ele in e ,

n a ad re s sé se s fé lic ita tio n s a u x Joueu rs s é lec tio n n és .de l ’O ise a in s i q u ’a u x équ ipes fin a lis te s de la coupe P ie rre -P a to u x e t p ré p a ré l ’o rg a n isa tio n d u m a tc h O uest- E s t q u i d o it se Jouer le 16 m a l, à M arisse l.

L a re n c o n tre O ise -P a rls q u i é t a i t fixée a u 9 m a l, a é té an n u lée .

L e B u re a u s ’e s t occupé de la cérém on ie d u s e rm e n t d e l ’a th lè te e t a p r i s to u te s d isp o s itio n s u tile s .

a e n s u ite é tu d ié l’o rg a n isa tio n d ’u n s ta g e d e d ir ig e a n ts à C reil. à C om plègne e t à B eau v a is , avec le co ncours d es m o­n i te u r s e t d ir ig e a n ts de l ’O ise.

L a p ro c h a in e ré u n io n d u b u re a u e s t fixée a u 16 m a l, à B eauvais.

U n V i l l e r s o i s d » 12 a n s r e m p o r t e l e c o n c o u r s d u j e u n e f o o t b a l l e u rU n e q u in z a in e de c o n c u rre n ts se p ré ­

s e n tè r e n t d im an ch e a u co ncours d u Jeune fo o tb a lle u r o rg a n isé p a r le D is tr ic t O ise d e la F . F . F . avec le co ncours d u F , O. V U lers-R leux. C ’e s t S m éko, ü n Jeune jo u e u r de 12 a n s e t d em i q u i l ’e m p o r ta n e t te m e n t e n m o n tr a n t de rée lle s q u a li­té s .

1. S m éko (F . C. V U lers-R leux), 33 p ts ;2. B u d zln sk y (S t-R leu l-S en lis), 31 p t s 3 ;3. P a o n (S ta d e C om plégno ls), 30 p t s 1 ; 4 T o u ta in (G . S . O. N .) , 27 p t s 9 ;6 . C rév it ( J . S . C a te n o y ) . 27 p t s 5 ;6 . G u in e t (A . S . C . N .) , 22 p t s 25 :7 . N o jb o r (F . O. V . R .) , 18 p t s 8 :8 . L e F ez (F . C. V . R ) , 16 p t s 8 î9 . G u ay (F . C. V . R .) , ; 10. 8 o llg n a c (F . O V . R . ) ; 11. S im o n ( J . 8 . C a te n o y ); 13. B edzleckow sky ( j . 8 . C a ten o y ) ; 14. M ar­t i n (S . A. C . M o n ta ta lre ) .

r O I G N E E D E N O U V a L E S♦ D im an ch e , à St-D en ls . le S ta d e O o m -

p lég n o ts a o b te n u u n Jo li suecès e n t r io m ­p h a n t «le l ’O l. S t-D e n ls p a r 3 b u ts à l .

t E n b a t t a n t l e R . O. R o u b a lx p u r t le S ta d e d e R e im s p e u t ê t r e «"«‘" t î - n a n t co n sid é ré com m e le f a v o r i d u c h a a -

Ï9U et M K * * * qU’Ü remporU <*** «9

Page 4: La forêt 1.000 ; prîso de Katyn avec M. Ante Pavelitci · France, que le règlement des fournitures faites aux troupes et services de l'armée allemande, à l'exceptldn des prestations

L E i ü M è r f M j | # rDE LA BARBARIE

LeftfrHIfte de l a t r i e . Nationale

Le num éro 754.053, série B, g a ­gne 40.000 francs. T ous les num é­ros se te rm inant pa r 357, série A, çagnen t 400 francs. P roohain tirage

p a r .a r r é té s pariis au I . 0 ., M. Gauvatn Henri, g arde domanial, a é té affeoté & la malson forestière de S aint-Léger-aux-B ois. M. Sartl G eorges, garde domanial, a é té af­feoté à Ta maison fo restière de V ivier-du-G rés, à Rethondes. M. Ponoet Edgard, brigadier à F leu- rlnes, non installé , a é té affeoté & la maison forestière d u G rand- M altre, & Pont-Saintc-M axcnce.

Au oourt du m ois d ’octobre. ü a é té procédé, danè le département, au recensem ent 4es*bléyolett«8 u ti­lisab les; toutefois; certains- proprié­ta ires o n t oru vdeyoir s ’ab sten ir de déc larer le u r b léyelétte. -

Il e s t rappelé que oette obliga­tion s ’impose à tous les dé ten teurs de bioyolette u tilisable, sans excep­tion. , v t ' •

Un dern ier délai, çxpirant le1 15 mal;: e s t laissé aux retardata ires pour effec tuer le u r déolaratiob A la m airie. P assé ce tte ' date, des véri­fications seron t effectuées pa r la gendarm erie e t la police.

Le ré su lta t deS vérifications sera transm is à la P ré fec tu re et to u t d é ten teu r de bioyolette dont le nom ne .figurera pas s u r leç listée de recensem ent sè ra désigné d ’offfee en arue:d’une réquisition éventuelle.

Il Mirait contraire & la p lus é lé­m entaire équ ité que 4a réquisition n e '.frap p â t que ceux qui se sont souinis aux p rescrip tions de l’a u ­to rité . .

n m u i a m i * * ----------O ttB D IT FO N CIER

DE FRANCEi J , L . . . T T T s î -,

Frôtg amortissablesaux propriétaire* d’Immeubtee,

Ô M w n tr t» * * ’ EUhlIasemeftta publies

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de M a rlb o u rt (P . L e t h te l leux , é d i te u r ) . — N o tre é m in e n t concitoyerf, d o n t le s ouvrit* g e s h is to r iq u e s e t a n ecd o tlq u es f o n t a u to - ri té , n o u s do n n e e n u n p e t i t v o lu m e orl* g in a l e t p itto re sq u e , u n e v é r ita b le d o c tr i­ne , exposée so u s u n jo u r n o u v e a u e t to u ­jo u rs a t t a c h a n t . D a n s c e t o u v ra g e , b o u rré d e . f a i t s , i l se f a i t le c h a n t r e é m u d e la PfuniU e. H n o u s d é m o n tre l ' i n t é r ê t < e th n i ­q u e qui* n o u s a v o n s à c o n n a î t r e n e * a ïe u x , à re c h e rc h e r n o s . o r ig in e s . U n o u s e tp U q ü e co rfim en t, n o u s p o u r ro n s ' é ta b l i r n o s généa lo g ie s , le s so u rces au x q u e lles no u é dev o n s re c o u r 'r , l a n é c e ss ité d e f a i r e « c a u s e r n o s v ieu x », le m o y e n p ra tiq u e d e r e s s e r r e r le s l ie n s fa m ilU u k . E t d a n s u n p a th é t iq u e e t é lo q u en t a p p e l à n o s m o r ts , i l c h e rc h e d a n s le p a s sé le m oyen d é . M r v i f l e p r é s f u t e t d e P ré p a re r l 'a v e ­n i r . p e t o u v ra g e o u l 'o n r e tro u v e to u te s Içs qüa iitC s d ù c h a r l is te co n sc ien c ieu x e t d is e r t , q u ’e s t M . A n d ré d e M arico u rb a s a p la c e d a n ç le s fo y e rs re sp e c tu e u x d es tra d itio n » q u i o n t f a i t l a g r a n d e u r e t l a v i ta l i t é d e l a F ra n o e e t q u i v e u le n t p ré p a ­r e r s o n re lè v e m e n t (P r ix : 15 f r s ) .

- ir. bi 5 " VI i' ' 1. 111C A M I O N N A G E S - - ,- - - - T R A N S P O R T S

Pierre CORNEem lM lrm n . « a i l * «rénM

1 l l f H H i * * * Télépheee H t

CAM ION H T A OAROOVWF

Numéros «péolmene g reluit* •ur demande

23, rue Ohauohat, PARI8 (Z .O .) 28, tfal de la nféjpubllqu*

MAR8KILLE (Z . n. O.)

Lutte oontre le doryphoreEn raison d es conditions clima-

tériques do n t nous bénéficions, il e s t -'tnalheureusem ent & craindre3uç le dofyphbre fasse son appari-

on de trè s bonne heure. Les dé­gâts -su r le s jeunes cu ltu res de pomm es de te rre se ro n t d ’au tan t plus im portants.

D’au tre j>art, tous les produc­te u rs ’ de -pommes de te rre doivent se m unir des produ its arsenicaux qui le u r son t nécessaires p o u r la lu t te ; les g rossistes ont été invités, au- co u rs de l’hiver; à s’approvi­s ionner en' ces m atières. Il e s t in­dispensable que ohaoun prenne, dès m a in tenan t,'se s préoautions.

p a r le s a v a n ta g e s qu i M . so n t a tta c h é s i i m é r ê t 3 %

y n e t d 'im pôt* sur. l e s va leu rs ( m ob iliè res , fac ilité s d e rem- , boyrieroen» a n tic ip é , e t c . Constitue le p incem ent

f ie plue a v a n tag eu x a» l e p l u e c o m m o d e . P l a c e s v o s d i s p o n ib i l i t é s P o u r tous renseignem ents,

s ’ad resse r à ■ NL P ie rre BOULET, d ireo teur , départem ental

provisoirem ent à Clermont t , rue du G énéral Porshlng

E tu d e d e M* L A N G LO IS, n o ta ir e , à S en lls .

D E U X PIE C E S D E T E B B E à S E N L IS '

l 'u n e c i J a r d in A V EN D R E P A R A D JU D IC A TIO N L E S I M A I 194S, à l é h e u re s Sé

( a u l ie u d u l é l i a i )S e f a i r e a u to r is e r d e su ite . C o n su lte r a ff ic h e s e t N o ta ire .

7411

b q u n d e rie e t c a v e . -Ai) p re m ie r é ta g e ( f o r m a n t rex -de-chaussée, p a r d e r r iè re ) : c o r r id o r é t d n q - p ièces d 'h a b i ta t io n . O n accède à c e t é ta g e p à r d e u x e sca lie rs , l 'u n à l 'I n té r ie u r , l 'a u t r e à l ’e x té r ie u r . G re n ie r s u r le to u t , c o u v e rt e n a rd o ise s . C our e t ja r d in d e v a n t e t p a r cô té . A u tre J a rd in e n eOté, p a r d e r r iè re , : a l l a n t J u s q u 'à la fo rê t . L 'en sem b le d 'u n e su p e rfic ie d e 29 a r e s é S . c a e n v iro n e s t c a ­d a s t r é se c tio n - .A . n«* 1558, 155». 1550, 1561, 1542 p ., .1547 P .. 1543 p .; 1557 p . e t . 1647. p . .e t t i e n t p a r de­v a n t l a ru e , a u fo n d la fo r ê t de R e u , d 'u n c ô té L e ro u x e t d 'a u t r e cô té I I . B o u rré .

OFFRES D'EMPLOISANNONCES LEGALESE tu d e s d é M* C H A STA IN G

. a v o u é à S en tis e t d e M* P ILLEB O U T

n o ta i r e à C répy-en-V alo ls

VE N TE s u r l ic i ta t io n d 'u n e H A Ié O N , à BO N N EU IL-EN -V A LO IS, ch e m in d es U sa g e s ou ru e l le d u R o sa ire , p rè s l a p la c e B u R o sa ire .

L 'a d ju d ic a t io n a u r a l ie u le J E U D I 17 . J U IN 1943, à 15 h e u re s , m l a M a ir ie d e B o n n eu li-en -V si lo is p a r le m in is tè re d e M a P ille ­b o u t , f n o t a i r e l T c r é p y - e n - V a lo is ,|n » n m l« * c e t f f le t .

O n f a i t s a v o ir à to u s ceu x aM’i l ' a p p a r t ie n d r a : q u 'e n exé- o d t to h d 'u n ju g e m e n t r e n d u s u r s é tih f te , le 39 ja n v ie r 1943, e n re -

p a r le T r ib u n a l c iv il d e StiHUfc ’ b s e ra , a u x req u ê te s , pdu rsu itfes e t d ilig e n ces d e î J * J g O cb rg es-L o u ls O O U TH ERA U D , cU H tfis te , d e m e u ra n t à 8 e n s « Y o n n e ) , r u e de P a r is , n u m é ro a ô lx ah te -a ix ; 3 ° M m e Sim one* J i l l ie - O O U TH ER A U D , in s t i tu tr ic e , d ém ise d e M . G abrle l-O U b ert DU- M O N T , o u v r ie r a g rico le av ec leque l ^11» d em eu re à E m év ille e t ce d e r­n i e r t a n t e n so n n o m p e rso n n e l a n b e so in q u e p o u r a s s is te r e t a u ­to r is e r so n ép o u se ; 3° M m e R enée- M fA .ij.im » O O U TH ER A U D , g é ra n te

co b ife ra tiv e , épouse d e M . R o- b e r t-P le r re FR EM O N T. g é r a n t de o b o p é ra tiv e , av ec q u i e lle dem eure h V ailly -su r-A iane , e t ce d e rn ie r t a n t e n so n n o m p e rso n n e l a u b f f rü n q u e p o u r a s s is te r e t a u to ­r i s e r s o n é po u se ', 4» M . R < ^ e rt- M a rc e l O O U TH ER A U D , c é lib a ­ta ire ,' s a n s p ro fe ss io n , d e m e u ra n t à B onn eu il-en -V alo ls ; 6° M m e G e rm a in e R O B E R T , épouse de M R o b e r t BRO U STA L, m aço n ,a v e c le q u e l 'e l le d em eu re à Ville* n eu v e -B t-B eo rg es , t u a t r e - v in g t - s ix , a v e n u e A rls tld e -B ria n d . a g is ­s a n t e n q u a l i té de su b ro g ée tu ­t r i c e d e la m in e u re M arcelle-i A n d ré e O O U TH ER A U D , Ii ft.. . àA le x a n d rie (E g y p te ) , le q u a to rz e j u i l l e t m il n e u f c e n t v in g t-n e u f f a i s a n t fo n c tio n s de tu tr ic e p a r s u i te de l ’o p p o s itio n d 'in té r ê t s e x is ta n t e n t r e M . L ou is O O U - T H E R A U D , s o n f r è r e susnom m é, tu te u r d a t i f de la d i te m in e u re e t la d i te m in e u re , M m e B R U 8T A L n o m m ée à c e t te fo n c tio n p a r d é ­l ib é ra t io n d u con se il d e fam ille d e la d i te m in e u re , te n u e so u s la p ré s id e n c e de M . le J u g e d e p a ix d u c a n to n de C répy-en-V alo is, le on ze m a r s m il n e u f c e n t q u a ra n - te -d eu x .• P o u r s u iv a n ts l a v e n te . A y a n t

L C h a s ta in g p o u r avoué c o n s iitu é .

E n p ré se n c e o u lu i d û m e n t a p p e lé d e : M . Y ves BOULAN- G E R , em ployé de b an q u e , d em eu ­r a n t à E m év ille , p r is a u n o m e t e n s a q u a l i té de sub rogé tu te u r « a d 'h o c s d e l a m in e u re G O U - T H E R A U D susnom m ée.

U s e r a p rocédé a u x Jou r, h e u re e t l ie u su sln d iq u és, p a r le m in is ­t è r e d e M* P illeb o u t, n o ta i r e à O rép y , co m m is à c e t e ffe t, à la v e n te s u r l ic i ta t io n , a u x e n c h è re s «mblPpum, a u p lu s o f f ra n t e t d e r ­n i e r e n c h é r is se u r de la m a iso n d o n t l a d é s ig n a tio n su it .

D ’u n Ju g em en t r e n d u p a r d é fa u t, p a r le T r ib u n a l C iv il d é f ié n lls , e n

: d a te d u v in g t no v em b re 1443, e n re ­g is t r é .

E n tr e : M o n sieu r 8E R V À E 8 Q eor- ges-H en ri; d e m e u ra n t c i-d e v a n t à V ilie rs -8 t-P * u l (O ise ), e t a c tu e lle ­m e n t à O eh iaz (A in ) .

D em an d eu r : M * L O IR .E t - t M adam e T h é rè se - A uré lie

PR IM O T , ép o u se d e M o n sieu r O e o rJ g e s-H e n rl 8KRV A ES, d e m e u rà h t à V ille rs -8 t-P au l. 11, ru e d e l ’E g lise , c i-d e v a n t e t a c tu e lle m e n t s a n s do­m ic ile n i ré s id en ce o o n n u s . e n F r a n c e ': (P . : V . d e . 'p e rq u is itio n de M* S a b a t ie r . -h u is s ie r à C re il, e n d a te d u .Y 'a o û t 1943, e n re g is t r é ) .

IL a p p e r t l :Q u eM e ' d iv o rce a é té p ro n o n c é

d ’e n t r e leSdlta ép o u x 8E R V A E 8- P R IM O T , 4 l a re q u ê te e t a u p ro f it d e M onsieu r 8E R V A ES.

P o u r e x t r a i t p u b lié c o n fo rm é ­m e n t à l ’a r t ic le 3471 d u*G ode C iv il e n v e r tu d ’u n e o rd o n n a n c e d e M on­s ie u r le P ré s id e n t d u T r ib u n a l C i­v i l d e S en lis , e n d a te dU 33 a v r il 1943, e n re g is tré e , pO ur fa ir e c o u rir le s d é la is d 'o p p o s itio n à l ’é g a rd d e M ad am e SBRV A ES, le d it ju g e m e n t n ’a y a n t p u ê t r e s ig n ifié à s a p e r ­so n n e .7572 S ig n é : J . L O IR .

E tu d e d e M* C O R N ET, c o m m issa ire -p r iseu r à S e n l is (O ise)

. V EN TE r.,j:- a u x E n c h è re s P u b liq u es

p a r s u ite d ’ao cep ts tlQ n b é n é fic ia ire . . ■ M E U B L E S ■

O b je ts M sb ü ie rs - L ia g e

AGN U S P E R E 14, r u e , O oqullllère , PA R IS O n d ém an d e u n O U V R IE R C O R ­

D O N N IE R , p o u r la r é p a r a t io n . T ra ­v a il a ssu ré . S ’ad re s se r M . R IN G E - VAL, c h a u ssu re s , 99, r u e d u C on­n é ta b le ; C h a n til ly . (V isa 4376 I . T . B e a u v a is ) . 7934

S u iv a n t . ,a c te , d u 36 m a rs 1943, ê h re g is t r é 4 C re il , l e 3 a v r il 1943 s u iv a n t , fo lio 53, c a se 10. M o n sieu r H e n ry C H EV A LIER, d e m e u ra n t à L a m o rla y e (O ise ) , a v en d it je f e n d s d e C h àren te rle» • C om estib le» , .qu’U ex p lo ite à c e t te adresse,* ‘à’ M onsieu r ' P a u l CH A B A U P. d e m e u ra n t à P a ­r i s (fiÛ X *); r a e d e l ’O u rcq . n * 117.

O p p o s itio n » f e tp s a d a n s lee v in g t J l u n d e la p r é s e n te - in s è r t ib n , e n l’é tu d e d e M* L e n o ir . h u lM le r, à 8 e n lis .

L ’in s e r t io n a u B u lle tin O ffic ie l ' d e s V érités è t ce ssio n s d é fo n d s d é com m erce a e u l ie u le 17 a v i l i 1943. ' : ' 1 - - f

P o u r deux ièm e ' p u b lic a tio n : E ta b lis se m e n ts A G N U S P E R E .

7444

Oà 'd em an d é JE U N E F IL L E • « FEM M E S E U L E ; a v e è ré fé re n c e s ,

lessive e t r o c c u p e r e n f a n t s d a n s m a iso n d e co m m erce . B o n s 'g é tfé r . B e n n e n o u r r i tu r e . Vlè d e fa m ille . 'S ’adresser-''* : M . B IB B T , I4 , r w C ha rie s-L eso o t, P o n trS te -M ax en ce (O ise ) . (V isa 4379 X. T . B e a u v a is ) . ' 7533

D etA aàde Un M énage, M A R I JA R ­D IN IE R , lo g é , c h au ffé , é c la iré . •— P re n d re ad re s se a u b u re a u d u J o u r ­n a l . (V isa 6352 I . T . B e a u v a is ) .

7544

L s S oc ié té FR A N C O LO R . à V lllers- S a in t-P a u f . re c h e rc h e d es JE U N E S G EN S e t JE U N E S F IL L E S p o urvus d u B rev e t E lé m e n ta ire o u é tu d es éq u iv a len te s , p o u r ê t r e em ployés com m e a ld es-ch lm is te s . S e p ré se n ­t e r a u B u re a u d u P e rso n n e l. (V isa 6340 I . T . B e a u v a is ) . 1560

LEV EE D E 8 U 8P E N 8IO ND E S D E L A IS ,

L * p ré s e n te in s e r t io n q u i t i e n t liqu de p u b lic ité léga le .,, p o n s titu e é g a le m e n t l ’in s e r t io n p re s c r ite p a r M . le P ré s id e n t d u t r i b u n a l c iv il de S e n lis , le 10 a v r i l 1943, enr*< g ls tré e , e n e x écu tio n d e l’a r t . 4 d u d é c re t du. 29 no v em b re 1939. D a n s le m o is d e l a p ré s e n te i n ­se r t io n , to u t in té re s sé a p p a r t e ­n a n t à l ’u n e fies ca té g o rie s visées à l ’a r t ic le premier* d u d é c re t d u l* r s e p te m b re 1939 e t à l’é g a rd d u q u e l 11 n e s e r a i t p a s d é jà i n ­te rv e n u u n e o rd o n n a n c e le v a n t l a su sp e n s io n d es d é la i s , . p o u r r a fo r ­m e r op p o sitio n - m o tiv ée à l a levée d e * e e tte su sp e n s io n p a r s im p le l e t t r e re co m m an d ée ad re ssé e à M . le O re ille r d u T r ib u n a l c iv il d e S en lls .

D ESIG N A T IO N S a lle à m a n g e r .en c h ê n e c la ir

s c u lp té . B u ffe t é ta g è re . 8 ix c h a ise s siège e t d o ss ie r c u ir . D eu x a u tr e s c h a ise s c u ir C a rillo n . P e n d u le e n m a rb re av ec c a n d é la b re s . Coupes e n b ro n z e . V aisse lle d iv e rse . V er­re r ie . S e rv ice à th é e t à c a fé . S e r ­v i ce^à déco u p e r. C o u teau x . C o uverts e n ru o ls . D iv a n -lit. L i t d e fq r u n e p e rso n n e . T à b le - to i le tU .’> F a u te u i l vekmrA. -T ab o u re t. T ro is c h a ise s chau ffeu ses . P e tite ta b le . T a b le dè Jeu. O u é rid o n . V a se s 'd e C h in e . B i­b e lo ts V ê tem en ts . D ra p s . L in g e d i­vers . V a lise s . M alle . P oê le à bo is . C offre . C h iffons.

F p u m e a u c u is in iè re .' F o u rn e a u à g a z . B u ffe t de cu is in e . B a t te r ie de cu is in e . P la ts , c a sse ro le s a lu m i­n iu m . H a c h e -v ian d e . M o u lin à lé ­gum es. C o co tte m a rm ite .

A p p a re il D ousso-L ux. O u til la g e e t q u a n t i té d ’a u tr e s o b je ts q u i se­r o n t p ré se n té s a u m o m e n t de l ’a d ­ju d ic a tio n .

C o n d itio n s o rd in a ire s P a ie m e n ts c o m p ta n t.F r a i s e n su s 20 %

E x p o sitio n le m a t in d e l a v en te d ^ 10 h e u re s à m id i.

C E SSIO N D ES P O R T E F E U IL L E S D E CO U R TA G E D ’A 8SU RA N CE8

C a b in e t J : M A LA TIR E 92, -B ou levard H a u ssm a n n

T é lé p h . ; E u ro p e 48-64

D E U X IE M E PU B LIC A TIO N8 u iv a n t a c te so u s s ig n a tu re s p r i ­

vées,' e n d a té ' à S E N L IS (O ise), d u 5 A v ril 1943, e n re g is t r é à SE N ­L IS , le 7 A vril 1943, fo lio 99, ca se 10.

M o n sie u r G eo rg es LOM BA RD , C o u rtie r d ’A ssu ran ces, d e m e u ra n t à S E N L IS (O ise ), 6, p la c e S a ln t- F ra m b o u rg .

A cédé à . M o n sieu r A n d ré -P au l C H A N G E R , em ployé d ’A ssu rances, d e m e u ra n t à SE N L IS (O ise ), 2 b is, ru e d u M oulin S a in t-E tie n n e .

Le F o n d s de C om m erce de P o rte ­fe u ille de C o u rtag e d ’A tsu ré n c e s te r r e s t r e s q u 'i l ex p lo ite à SE N L IS (O ise ) , 5, p la c e S a in t-F ra m b o u rg , Im m a tr ic u lé a u G re ffe d u T r ib u n a l de C om m erce de S e n lis , so u s le n» 7.667.

L 'e n tr é e e n jo u is sa n c e a é té fixée a u p re m ie r A v ril 1943.

L es o p p o s itio n s ,, s i l y a lieu , d e v ro n t ê t r e f a i te s d a n s les v in g t jo u r s q u i s u iv ro n t l a p ré se n te in ­s e r t io n a u d om ic ile de l'a c q u é re u r , 3 b is , r u e d u M ou lin S t-E tle n n e , à SENLIS,- o ù dom ic ile a é té é lu p o u r la ré o e p tlo n d e s i o p p o s itio n s .

L 'in s e r t io n a u B u lle tin O ffic ie l des V e n te s de F o n d s d e C om m erce, a e u lieu le 24 a v r i l 1943.

' E n ex écu tio n ..d e 4 ‘a r t lc le 495 d u Code de C om m erce, les c ré a n c ie rs d e l a ' f a i l l i te SIM O N , anfcien e n ­tre p re n e u r d e s e r ru re r ie , à N o g en t- su r-O ise . s o n t av isé s q u e le S y n d ic v ie n t d e d ép o se r a u G reffe d u T r i ­b u n a l de C om m erce d e S en lis , l ’é t a t d e s c réan ces vérifiées; e t q u ’ils o n t u n d é la i de h u i ta in e p o u r fo rm u le r le u rs c o n tre d its e t réc lam a tio n » .

P assé ce d é la i , le Ju g e C om m is­s a i r e a r r ê te r a d é f in itiv e m e n t l’é t a t d e s c réan ces.

Le G re ff ie r d u T r ib u n a l : 7573 M M O N N IER .

8T E N O - D A CTYLO e s t d em an d éep a r V.. D E B R IE , se c ré ta ire d u D is­t r i c t O ise d e F o o tb a ll, 6 , av en u e d e C ondé, à M o n ta ta ire . (V isa 4371 I. T . B e a u v a is ) . 7578

O n d em an d e p o u r p ro p rié té , à S en ­tis , M ENAGE D E G A R D IE N ^, dep ré fé re n c e r e t r a i té , o u FEM M E VEUVE. B eau lo g e m e n t c o n fo r ta ­b le . E c rire G U ILM A R D , 4, ru e du M aréch a l H a risp e , P a r is (7 « ) . U r­g e n t (V isa 4370 I . T . B eauvais)

7577

S eu le s .le s p e rso n n e s a y a n t o b ­te n u l ’a u to r is a t io n p ré a la b le de M . le P ré fe t d» l ’O ise p o u r ro n t se r e n d re a d ju d ic a ta ire s . P o u r ob te ­n i r x c e t te a u to r is a tio n , le s a m a ­te u rs d o iv e n t se p r é s e n te r aui n o ­ta i r e v en d eu r, u ri m o is a u m o in s a v a n t l ’a d ju d ic a tio n ;

V EN TE D E B IEN S a p p a r te n a n t à des Is ra é l i te s

V IL L E D E PO N T-Ste-M A X EN C E e t C om m une de 8A R R O N

E tu d e d e M« CRA M PO N , n o ta ireà O om plègne (O ise)

16, r u e d e la Sous-E^-éfecture, 16.

A V ENDRE p a r A d ju d ica tio n P ub lique

E n la M a irie d e B IE N V IL L E (O ise) L e L n q d l 12 J u ille t 1943, à 15 h .

(h e u re lég a le )U N E P E T IT E M AISON, à usage

d 'h a b i ta t io n , s ise à BIEN V ILLE, avec d ép en d an ces e t 4 a r e s 53 ca . de so l e t te r r a in ;

7 a . 91 de te r r e avec po m m ie rs e t bo ls , s is m êm e te r ro ir .

L e to u t d é p e n d a n t d e s su cces­s io n s de M . e t M m e RO Q U EN - C OURT-BOCHAND e t l ib re d 'oecu- p a t io a .

P o u r to u s re n s e ig n e m e n ts e t ’ p o u r les a u to r is a t io n s p ré fe c to ra le s à d e m a n d e r a v a n t le 25 m a l, s ’a ­d re sse r à M* C R A M PO N , n o ta ire à C om piègne. 1478

F a i t e t réd ig é p a r l ’avoué p o u r­s u iv a n t so u ssig n é , à S en lls , le 28 a v r i l 1943.

S ig n é : L . C H A ST A IN G . E t e n re g is tré .

DIVERSB E L IM M EU BLE D 'H A B IT A T IO N

s ix e n b o rd u re de l ’O ise

C o m p o rta n t :M aison d 'h a b i ta t io n , é levée su r

cav e e t sous-sol, d 'u n rez-d e-ch au s­sée e t d e deux é ta g e s c o m p re n a n t e n v iro n 20 p ièces d o n t s a lle de b a in , e a u , g a z , é le c tr ic ité e t c h a u f ­fa g e c e n tr a l p a r c a lo rifè re .

G r a n d p a rc e t J a rd in p o ta g e r .M a iso n de g a rd ie n , g a ra g e , b a s ­

se-cou r, c o m p re n a n t : vo liè re , pou- la l l l ie r e t c la p ie rs , e tc .

l a to u t c lo s d e m u rs 's u r tro is c ô té s e t s u r u n q u a tr iè m e , e n g r i l ­lag e m é ta lliq u e e t d ’u n e su p erfic ie d e 1 H a . 58 a . 25 ca .

M ise à P r ix : 456.004 f r s .

A d m in is tra te u r p ro v iso ire : M on­s ie u r H e n r i LEGAUX, C o n se il J u ­r id iq u e à V erb e rie (O ise ) . T élé­p h o n a '': 22.

Pçmr to u s re n se ig n e m e n ts , v is ite r e t p ièces à fo u rn ir , s ’a d re s s e r à M. H e n r i LEGAUX, a d m in is tr a te u r p ro v iso ire , à V e rb e rie e t à M» H ô IL e T , n o ta i r e à P o n t-S a tn te - M axence . (T é lé p h o n e : 2 4 ) . 7542

L A PLU S B R ILLA N TED E8 C A R R IE R E S

v au s s e ra ré se rv é e s i vous a p p re n e z l a C o m p ta b ilité p a r c o rre sp o n d a n ­ce. B nochure ex p lic a tiv e n * 15 T s u r d em an d e , acco m p ag n ée d e 3 f r . p o u r en v o l. O durs T F . J . , 65, ru e d e la V ic to ire , PA R IS . 7429

P IA N O à V EN D RE p a r p a r t ic u l ie r à p a r tic u lie r . E u t d e n eu f .

E c r ire a u J o u rn a l q u i tr a n s m e t­t r a ^ ____________________ 7519

J è c h e rc h e à a c h e te r W A G O N N ET avec e n v iro n 194 m . de r a i l . S ’a d r . M . M E R E N 8, S en lis . 7521

M I B L . S i vous av ez u n essa im d 'ab e ille s q u i loge d a n s le m u r de v o tre m a lso n , j e l ’en lèv e s a n s f r a i s e t l ’é c h a n g e c o n tre d n m ie l. E è r . ADAM, 181, r . L a fa y e tte , P a r is .

7543.

S ’ad re s se r p o u r le s re n se ig n e ­m e n ts à :

M* CH A STA IN G , a v o u é . à S e n ­lis , p o u rsu iv a n t l a v e n te ;

M» PIL LEB O U T, n o ta ir e à C répy-en-V alo ls, c h a rg é d e la v e n te e t d é p o s ita ire d u c a h ie r d e s c h a rg e s .

E tu d e d e M* SA B A T IE R , h u is s ie r à C re il.

D E U X IE M É AVISS u iv a n t a c te 8 . s . p . e n d a te

à M o n ta ta ire , dix 10 a v r il 1943, e n re g is t r é à C reil, le 13 a v r i l 1943, .fo lio 64, c a sé 3 m „ M onsieu r C h a r le s Z IN C K , / im p r im e u r ,' 'd e ­m e u ra n t à M o n ta ta ire , 6. r u e dé la G a re , a cédé à M o n sieu r J e a n - J o s e p h V ENTURA, d e m e u ra n t à C re il, 95, ru e J e a n -J a u rè s , u n F o ü d s A r t is a n a l d 'Im p r lm e r le , q u e Mon* s ie u r Z in c k e x p lo i ta i t e t f a l l a i t v a lo ir à M o n ta ta ire , 6 , ru e de la G a re ;

L a p r is e d e po ssess io n a é té fixée a u 15 a v ril.

L es o p p o s itio n s , s ’il y a lieu , s e ro n t reçu es d a n s le s v in g t Jôu rs d e l a p ré se n te in s e r t io n , a u fo n d s v en d u .

L ’in s e r t io n a u B u lle tin O ffic ie l a e u l ie u d a n s le n u m é ro d u 21 a v r i l .

■ P o u r d eux ièm e a v is :7506 SA B A T IE R .

E tu d e s de M" CRA M PO N , n o ta ir e à C om piègne,

e t . le M« FAUVEAU, n o ta ir e à R esso n s-su r-M atz .

A V EN D R E P A R A D JU D IC A TIO N

L e J e u d i 15 J u i l le t 1943, à 15 h . (H e u re légale}

à C O M PIEG N E, e n l ’é tu d e d e M * C ra m p o n , n o ta ir e

12 P IE C E ti D E T E R R E , P R E 8 E T B O IS (P e u p lie rs )

s u r M O N CH Y -H U M IER E8, BA U G Y e t COUDUN

A u to r is a tio n s p ré fe c to ra le s à d e ­m a n d e r a v a n t le 30 M a i 1943.

P o u r le s a u to r is a t io n s p ré fec to ­r a le s e t tôu» ren se ig n em en t» , s ’a d r . a u x N o ta ire s .■ V o ir 1 s a ff ic h e s . 7560

D E 8IG N A T IO N e de B « nnen il-en -V aU ts E tu d e d e M* M au rice D A U V ERG N E

n o ta ir e à B é th lsy -S t-P ie rre (O ise) (T é lép h o n e : 11.)

A D JU D IC A TIO N V O LO N TA IR E L e 11 J u in 1943, à 14 h e u re s 30

e n J a M a ir ie ' d 'O R R O U Y de

J O L IE M A I8 0 N D E CAM PA G N E avec J a r d in

A u to r is a tio n p ré fe c to ra le à de­m a n d e r a v a n t le 11 M a l 1949.

S ’a d re s s e r à M* D a u v e rg n e .7558

U n e M A ISO N c o n s tru i te e n p ie r r e s d e U ll le e t co u v e rte e n a rd o ise s , s i tu é e à B onneuU , c h e ­m i n d e s U sag es o u ru e lle d u ■ « a s tr e , p rè s l a p la c e d u R o sa ire , im n ji« in n » n t' : a u p re m ie r é ta g e ( q o l ' s e tro u v e e n co n tre -b a s d u j a r d in , d e r r iè re , e t fo rm e sous- o a l ( p a r r a p p o r t à ce J a rd in ) : « a n d v eè tlb u le d ’e n tré e , s a lle à m a n g e r , c u is in e , w a te r-c lo ss ts , q » n « d e b a in s av ec a p p a re i ls .

R ECH ER C H O N S G L A C IE R E P O U R CA N TIN E, i - F E R R E T T IT E , V IL- LE R S-S t-PA U L . < 7671

ECONOMISEZ L E P A P I E R

O U V R IE R '" R . ' P . , cherche loge- m ént ' taenbl. 2 ou 3 p ièces p r sa 'fa m ille ; p r 2 OU 3 mots, à l a cam­pagne. B E R R O U ET, :109, r . de : G ren e lle , P a r i s (7« ). 75821