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43 A RTE Magazine 20 octobre > 26 octobre 2001 Absolutely Live Cheb Mami & Susheela Raman en concert dans “Music Planet 2Nite” Le nouveau rendez-vous de la musique live, mardi présenté par Ray Cokes

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  • 43A RTE Magaz ine20 octobre > 26 octobre 2001

    A b s o l u t e l y

    L i v eCheb Mami & SusheelaRaman en concert dans“Music Planet 2Nite”Le nouveau rendez-vous de la musique live, mardi

    présenté par Ray Cokes

  • 14.00 > 19.00 Programmes d’ARTE en numérique sur CanalSatellite et TPS19.00 > 03.00 Programmes d’ARTE sur le réseau hertzien, le câble et le satellite en numérique sur CanalSatellite et TPS

    43Semaine du 20 octobre au 26 octobre 2001

    amedi 20 Dimanche 2 1 Lundi 22 Mardi 23 Mercredi 24 Jeudi 25 Vendredi 26

    4.00ola

    4.30es jeux travers

    e monde (3)

    5.15es infidèles

    6.40racks

    7.25ourt-circuite magazine)

    9.00orum

    9.45RTE Info

    0.05e dessous es cartes

    0.15esign (4)

    0.45aventureumaineux et moi

    1.50etropolis

    2.45ictioni on faisaitonnaissance...

    0.15a lucarneighway

    1.10épulsion

    14.00Les choses de la vie

    14.30Fès et Meknès

    15.15Les bêtes

    16.3017 octobre1961, unejournée portéedisparue

    17.25Que la barquese brise, que la jonques’entrouvre

    19.00MaestroElla Fitzgerald(2)

    19.45ARTE Info

    20.15DanseNacho Duato

    20.45-01.05ThemaCes gentilsbandits

    20.45L’arnaque

    22.50Les enfantsd’Arsène Lupin

    00.05Mon ami Paul

    01.05Les glaneurs et la glaneuse

    02.25Bob etMargaret

    14.00Voilà l’Europe

    14.30BiographiesIsabellaRossellini

    15.15Metropolis

    16.10Les livres du désert

    17.10Voyage vers le soleil

    19.00NatureForêts et montagnesde Bavière

    19.45ARTE Info

    20.15La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pomgirls (1)

    20.45CinémaLe derniermétro

    22.55Grand formatCasting

    00.25Court-circuit(le magazine)

    01.10Est-Ouest

    14.00Cuisines des terroirsL’Écosse

    14.30Forêts et montagnesde Bavière

    15.15Père inconnu

    16.50Design (3)

    17.25Le couteaudans l’eau

    19.00Archimède

    19.45ARTE Info

    20.15La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pomgirls (2)

    20.45-23.00ThemaL’Afghanistan,un pays aux abois

    23.00Music Planet2NiteCheb Mami et SusheelaRaman

    00.00La nuit s’animeBob et Marg a re t

    00.25Ayez donc des gosses ! (3)

    00.55Y aura-t-il de laneige à Noël ?

    02.25Design (2)

    14.00Bob et Marg a re t

    14.30La Volga

    15.15Ella Fitzgerald( 1 )

    16.00Ella Fitzgerald(2)

    16.45Un vétérinairepas comme les autres

    17.30L’adieu

    19.00ConnaissanceLa diva et le cochon

    19.45ARTE Info

    20.15La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pomgirls (3)

    20.45Les mercredisde l’histoireDes Polaks en Pologne

    21.40MusicaBarbaraHendricks

    22.35Ciné-découverteBeyrouthfantôme

    00.30L’arnaque

    02.35Bzz

    14.00Hippocrate

    14.30Fidalium Joly

    15.15Heimatfront (1)

    16.10Sur le fil du Refuge

    17.30Y aura-t-il de laneige à Noël ?

    19.00Voyages, voyagesTénériffe

    19.45ARTE Info

    20.15La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pomgirls (4)

    20.45Première séanceVoyages

    22.35-01.00ThemaGeorgesBrassens

    22.35GeorgesBrassens

    00.05GeorgesBrassens, chez lui à Paris

    01.00Le jour se lève

    02.25Design (3)

    14.00Design (4)

    14.30Album de famille

    15.15Gabin, gueuled’amour

    16.35Highway

    17.30Les infidèles

    19.00Tracks

    19.45ARTE Info

    20.15La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pomgirls (5)

    20.45FictionVeux-tum’épouser ?

    22.15La vie en faceSam, de la lumièreà l’ombre

    23.30CinémaMaldone

    01.10Le dessous des cartes

    01.20Touchez pas au grisbi

  • Les grands rendez-vous P. 16 L’enjeu afghan Comment l’Afghanistan, dont les habitantspratiquaient un islam libéral, est-il devenu lesymbole de la terreur et de l’obscurantisme ?Histoire et perspectives. Thema

    L’Afghanistan, un pays aux abois

    Mardi 23 octobre à 20.45

    P. 20 Black divaDe Mozart à Gershwin, du Sud profond aux grandes scènes du monde, la cantatriceBarbara Hendricks mène une carrière exemplaire.Portrait inédit d’une artiste humaniste. Musica

    Barbara Hendricks

    Mercredi 24 octobre à 21.40

    P. 24 Chez GeorgesVingt ans après la mort de Georges Brassens, le 29 octobre 1981, “Thema” rend hommage à un grand homme avec un documentaire riche en images intimes. Corne d’aurochs ! Thema

    Georges Brassens

    Jeudi 25 octobre à 22.35

    Les films de la semaineRépulsionde Roman Polanski Samedi 20 octobre à 01.10

    L’arnaquede George Roy HillDimanche 21 octobre à 20.45

    et mercredi 24 octobre à 00.30

    Les glaneurs et la glaneused’Agnès VardaDimanche 21 octobre à 01.05

    Le dernier métrode François TruffautLundi 22 octobre à 20.45

    Y aura-t-il de la neige à Noël ?de Sandrine VeyssetMardi 23 octobre à 00.55

    et jeudi 25 octobre à 17.30

    Beyrouth fantômede Ghassan SalhabMercredi 24 octobre à 22.35

    Voyagesd’Emmanuel FinkielJeudi 25 octobre à 20.45

    Le jour se lèvede Marcel CarnéJeudi 25 octobre à 01.00

    Maldonede Jean GrémillonVendredi 26 octobre à 23.30

    Touchez pas au grisbide Jacques BeckerVendredi 26 octobre à 01.20

    De très émouvants Voyages, jeudi.

    À ne pas manquer également :

    le casting du film (Casting,

    lundi à 22.55 dans “Grand format”).

    Un homme nommé guitare, jeudi.

  • 14.00

    LolaRediffusion du 2 octobre)

    14.30

    Les jeux à travers e monde (3)Rediffusion du 17 octobre)

    15.15

    Les infidèlesRediffusion du 14 octobre)

    16.40

    racksRediffusion du 19 octobre)

    17.25

    Court-circuit le magazine)

    19.00

    Forum

    19.45

    ARTE Info

    20.05

    Le dessous des cartesMagazine géopolitique

    e Jean-Christophe Victors Tsiganes aux Nations unies ?

    20.15

    DesignRéalisation : Heinz-Peter Schwerfel

    . La Swatch

    20.45

    ’aventure humaineEux et moiUn ethnologue enPapouasie occidentaleDocumentaire de Stéphane Breton

    21.50

    Metropolis

    22.45

    FictionSi on faisait connaissance...

    éléfilm de Lisanne Skyler

    00.15

    La lucarneHighwayDocumentaire

    e Sergueï Dvortsevoy

    01.10

    RépulsionRediffusion du 8 octobre)

    19.00ForumRéalisation : Guy SaguezRédaction en chef : Bruno Le Dref(France, 2001-40mn)Coproduction : Compagnie des Phares et Balises, ARTE FranceARTE FRANCE

    Chaque samedi à 19.00,

    le forum des Européens.

    La nouvelle émission de réflexion et dedébat sur les grands thèmes qui préoccu-pent les Européens. Présentée en alternan-ce par Romaine Jean et Lorenz Gallmetzer.Politique, science, culture, société, écono-mie, sport… : chaque semaine un sujet dif-f é rent lié à l’actualité, avec un grand invitéet des re p o rtages tournés à traversl ’ E u rope. Lieu de découverte, de confro n-tation et de réflexion, F o ru m a p p o rte lesinformations et les éclairages indispen-sables pour comprendre les enjeux del’actualité européenne. L’ é m i s s i o nest présentée en altern a n c epar Romaine Jean et Lore n zGallmetzer dans un décorqui fait appel aux techno-logies virtuelles les plusrécentes.Contact presse :

    Isabelle Courty 01 55 00 72 90

    20.05Le dessous des cartesMagazine géopolitique de Jean-Christophe Vi c t o rRéalisation : Frédéric Ramade (2001-10mn)ARTE FRANCE

    Les Tsiganes aux Nations unies ?

    Le Dessous des cart e s suit l’histoire du der-nier peuple nomade d’Europe, les Ts i g a n e s ,connus aussi sous le nom de Gitans,

    Bohémiens ou Roms. Ils n’ont ni État ni ter-r i t o i re, mais cherchent aujourd’hui à se fairere c o n n a î t re comme nation en obtenant unereprésentation aux Nations unies.

    En partenariat avec

    20.15DesignSérie documentaireRéalisation : Heinz-Peter Schwerfel (France, 2001-26mn)Coproduction : ARTE France, Lapsus, Artcore Films, Blue Space Media, en association avec La CinquièmeARTE FRANCE

    Du TGV à la Vespa,de la Swatch au Lounge-chair, la série

    D e s i g n explore les objetscultes du siècle. Un voya-ge dans le temps où latechnique se mêle subti-lement à l’imaginaire età l’histoire.

    4. La Swatch

    (Rediffusion du 10 décembre1999)

    Elle cache une technologie novatri-ce qui a permis de baisser les coûts dep roduction et de la fabriquer en très gran-de quantité. Mais son succès quasi immé-diat est surtout dû à une adéquation parfai-te entre l’objet et son époque. La Swatchreflète les années 80. À travers des sloganshabiles et un look soigneusement étudié, laSwatch s’est érigée en symbole de l’indivi-dualité et, surtout, du temps personnaliséet de la rapidité qui caractérisent cettedécennie.

    s a m e d i 20 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    Un objet

    parfait po

    comprend

    le design

    contempo

  • n’aiment pas qu’on leur marche sur lespieds, c’est d’arriver à compre n d re lesrègles du jeu et la valeur des choses.Combien vaut un filet de patates ? Combiendois-je payer celui qui porte mon sac ?Quel cadeau puis-je faire sans être tro pg é n é re u x ? Qu’est-ce que je peux re f u s e rsans être radin ? Ce film raconte ma re l a-tion avec eux, nos négociations, leurspetites arnaques, ma richesse venued’ailleurs, d’homme vêtu et qui ne marc h epas pieds nus. Il est question d’argent, d’in-térêt, de tout ce que l’on cache dans lesfilms d’aventures qui veulent nous faire croi-re à la pureté et à l’amitié instantanée.L’ethnologue, devenu épicier malgré lui, quiaurait préféré que les choses se passenta u t rement et qu’on ne le prenne pasd ’ a b o rd pour un tiro i r-caisse, finit pars ’ a p e rcevoir que le fric est ce qui l’a lié àces gens. C’est qu’il fallait bien commen-cer à s’entendre sur quelque chose. To u tce qu’il n’aime pas et dont il a honte, il com-p rend enfin que cela vaut la peine d’êtreo b s e rvé de plus près par la caméra.”(Stéphane Breton)

    20.45 Eux et moiUn ethnologue en Papouasie occidentale

    Stéphane Bre t o n

    p a rtage la vie

    d’une tribu de

    N o u v e l l e - G u i n é e .

    Mais les rapport s

    avec ses voisins

    ne sont pas toujours

    simples... Une

    délicieuse comédie

    d o c u m e n t a i re

    sur la face cachée

    de l’ethnologie.

    Documentaire de Stéphane Breton (France, 2001-52mn)Coproduction : ARTE France, Les Films d’IciARTE FRANCE

    Stéphane Breton a fait de nombreux séjourschez les Wodani des hautes terres d’IrianJaya, en Nouvelle-Guinée. Il parle la languede ces gens qui se promènent nus avecleur arc, qui vivent en disputant des jardinsà la forêt et qui ont la tête près du bonnetcomme des paysans de chez nous. Peu àpeu, il s’est fait accepter, même s’il n’estpas évident pour les Wodani de com-p re n d re pourquoi il s’intéresse à eux. Est-ce un missionnaire ? Vient-il du pays desm o rts ? En tout cas, ils le font participer àla vie du village et à leurs conflits inces-sants. Stéphane Breton a filmé ses rapportssouvent cocasses avec la tribu. Des dis-putes – souvent liées aux questions d’ar-gent –, des incompréhensions, de laméfiance, et parfois de francs éclats derire... Voici l’envers du métier d’ethnologue,ce dont les livres ne parlent pas, ce que tai-sent les articles savants.

    Le prix des patates

    “Le plus difficile quand on se re t rouve unbeau jour chez ces gens, qui sont pauvres,qui ne mangent pas toujours à leur faim, qui

    “Le propos de ce film

    est d’inverser le regard

    qui nous est trop

    souvent servi

    à la télévision dans

    les films de voyage

    ou d’aventures,

    et de montrer comment

    la tribu ‘sauvage’

    voit celui qui la

    regarde.”

    (Stéphane Breton)

    En filmant ses rapports avec les Papous, Stéphane Breton découvre que ces “sauvages” nous ressemblent.

    Ils sont comme des voisins de palier matois et intéressés, mauvais coucheurs et bons vivants, envahissants

    et mystérieux.

  • Un brelan de jeunes acteurs

    qui montent, comme Heather

    Matarazzo (Judith)

    et Michael Weston (Jimmy).

    De petites histoires

    tendres ou dures

    interprétées par

    des comédiens

    américains renommés.

    21.50MetropolisMagazine culturel européen coordonné parPierre-André Boutang et Peter Wien(France, 2001-1h)Rédaction en chef : Dominique RabourdinCoproduction : A RTE France, On Line ProductionsARTE FRANCE

    > Rentrée littéraire :Michel Braudeau

    Réalisation : Annie Chevallay et Pierre-André Boutang

    Michel Braudeau nous parle del’Interprétation des singes (Stock), son der-nier roman de 680 pages. Roman d’aven-tures ? de science-fiction ? Roman philoso-p h i q u e ? Roman d’initiation ? Romanromanesque ? Il évoque aussi le Monarqueet autres sujets aux Éditions Le Promeneur.

    > Festival d’Automne : Tête d’OrRéalisation : Guy Demoy

    Paul Claudel règne au théâtre depuis plusd’un siècle, au-delà des modes passa-g è res. Il va être beaucoup joué cette saison : l’Échange dans une mise en scènede Jean-Pierre Vincent au Théâtre deN a n t e rre-Amandiers et Tête d’Or a uThéâtre des Bouffes du Nord dans le cadredu Festival d’Automne, mis en scène parClaude Buchvald. Guy Demoy a filmé le tra-vail de Claude Buchvald lors des répéti-tions (le rôle titre est tenu par AndréMarcon).

    > Fabrice HybertRéalisation : Gilles Coudert

    E n t retien de Pierre-André Boutang avecFabrice Hybert (Lion d’or du meilleurPavillon à la Biennale de Venise 1997) surson itinéraire, ses projets, son entre p r i s eUR (Unlimited Responsability) et surtout surson attitude face à l’histoire de l’art, au mar-ché ou au contexte mondial. Fabrice Hybertexpose “Mex-Mist” jusqu’au 3 novembre àla galerie Anne de Villepoix à Paris.

    (Getting to Know You)

    Téléfilm de Lisanne Skyler(États-Unis, 1999-1h28mn) - VFScénario : Lisanne Skyler, Tristine Skyler,d’après Joyce Carol OatesAvec : Heather Matarazzo (Judith), Zach Braff(Wesley), Michael Weston (Jimmy), BebeNeuwirth (Trix), Mark Blum (Darell), Bo Hopkins(Caminetto), Tristine Skyler (Irene), Sonja Sohn(Lynn), Christopher Noth (Sonny), Kevin Balck(Brady), Mary McCormack (Leila Lee)Image : Jim DenaultSon : Antonio L. ArroyoMontage : Julie Janata, Anthony SherinMusique : Michael BrookProduction : Shadow Catcher Entertainment,Search Party FilmsARTE FRANCEInédit

    Judith et Wesley reviennent de l’hôpital psy-chiatrique où est internée leur mère. À lag a re ro u t i è re, We s l e y, étudiant en médeci-ne, se plonge dans ses livres alors queJudith est abordée par un étrange adoles-cent qui dit attendre le bus pour New Yo r ket prétend connaître son frère. Pris à témoin,Wesley nie, puis re t o u rne à ses livre s .Jimmy se met alors à raconter à Judithd’étranges histoires qui se rapportent cha-cune à une personne présente dans la salled’attente. Il lui raconte, entre autres, celle

    samedi 20 octobre

    22.45 Si on faisait connaissance...

  • du policier Eddy, dont le coéquipier a ététué lors d’une arrestation. Mais Jimmy estfréquemment interrompu par We s l e y, quivoit d’un mauvais œil cette intimité s’instal-ler entre ce garçon sorti de nulle part et sas œ u r. Pourtant, Jimmy a un charme évidentet met Judith en confiance. On apprend queles parents de Wesley et Judith, Trix etD a rrel, vivaient comme des bohèmes et

    buvaient beaucoup.Jusqu’au drame...

    Les vies croisées

    Lisanne Skyler tisseavec art plusieursnouvelles de JoyceC a rol Oates, racon-

    tant les histoires singulières de diff é re n t spersonnages réunis dans une salle d’atten-te. Sous l’apparente banalité du prétexte,la construction très subtile ménage l’intérêtde ces tranches de vie américaines qui nesont pas sans évoquer le cinéma chorald’Altman (S h o rt Cuts) ou d’Anderson(Magnolia). L’histoire principale fait son mieldes dysfonctionnements de la famille deJudith et We s l e y. L’interprétation, confiée àdes acteurs très connus aux États-Unis, estextrêmement juste jusque dans lesseconds rôles. Mais c’est surtout la jeuneHeather Matarazzo, à qui Tod Solondz avaitconfié le premier rôle dans Bienvenue dansl’âge ingrat, qui est véritablement troublan-te. On l’a vue aussi dans S c ream 3 e tl’Associé du diable.

    Lisanne Skyler

    Née à New York en 1969, elle fait desétudes de cinéma et de photographie. Elleréalise trois documentaires dont No LoanTo d a y en 1998, sélectionné au Festival deSundance. Elle devient sélectionneuse defilms documentaires à ce même festival. S ion faisait connaissance... est son pre m i e rfilm de fiction.

    00.15HighwayDocumentaire de Sergueï Dvortsevoy(Russie,1999-1h)Coproduction : Dune, ARTE, ZDF, BBC, YLE,NRK, France 3ZDF(Rediffusion du 6 octobre 1999)Grand Prix (ex aequo), à Vue sur les

    Docs, Marseille 1999

    Meilleur documentaire, Lisbonne 1999

    Prix Tarkovski 1999, Premier Prix à

    St-Pétersbourg et au Festival NIKA 2000

    Sergueï Dvortsevoy a filmé les pérégrina-tions du cirque de la famille Ta d j i b a j e v, auKazakhstan. Un film splendide et fascinant.À bord d’un minibus déglingué, le père, lam è re et leurs cinq enfants sillonnent lessteppes pour présenter leurs numéros à unepoignée de villageois. À chaque spectacle,le paysage vide se transforme en mondeenchanté. La représentation finie, la famillere p a rt aff ronter les cahots de la piste…

    Magic Circus

    Dès les pre m i è res images, H i g h w a y e m p o rt ele spectateur. D’abord incrédule, puis émer-veillé, on se rend compte que le moteur duminibus finit toujours par démarrer ; que lesenfants, ballottés en tous sens, parv i e n n e n ttoujours à s’endormir ; que les spectateurs,mêmes s’ils se comptent sur une main, sonttoujours au rendez-vous ; qu’il y a toujoursquelques grains de riz à partager... Ici, lamagie, le rêve font partie du quotidien – jus-qu’à donner à l’atmosphère une touche sur-réaliste. Par exemple lorsque l’un des gar-çons découvre un jeune aigle au bord de laroute. Les enfants en font leur mascotte ;l’aigle devient aussitôt un personnage à partentière : il partage la gamelle des chiens,monte la garde tout se tenant à l’écart del’agitation familiale qu’il observe avec hauteur.Quand vient la nuit, installé avec les autresdans le camion, il écoute la mère qui chanteune berceuse au dern i e r- n é . . .

    Père et fils répètent un numéro.

    Trois adolescents attendent

    dans une gare ro u t i è re

    aux États-Unis. Chacun

    à sa manière se confie

    et exorcise ses démons…

    Une adaptation sensible

    des nouvelles de Joyce

    C a rol Oates avec Heather

    Matarazzo (Bienvenue dans

    l’âge ingrat, Scream 3). La lucarne

    Ce très beau film

    sera en salles le

    28 novembre 2001

    (distribution :

    Héliotrope Films).

  • 14.00

    Les choses de la vieLe néonRediffusion du 4 octobre)

    14.30

    Fès et MeknèsRediffusion du 18 octobre)

    15.15

    Les bêtesRediffusion du 14 octobre)

    16.30

    17 octobre 1961, une journée portée disparueRediffusion du 17 octobre)

    17.25

    Que la barque se brise, que la jonques’entrouvreRediffusion du 5 octobre)

    19.00

    MaestroElla FitzgeraldSomething to Live For (2)Documentaire de Charlotte Zwerin

    19.45

    ARTE Info

    20.15

    DanseNacho DuatoPor vos mueroRéalisation : Thomas Grimm

    20.45-01.05

    Themaes gentils bandits

    20.45

    ’arnaqueilm de George Roy Hill

    22.50

    Les enfants d’Arsène LupinDocumentaire d’Elke Sasse

    00.05

    Mon ami PaulDocumentaire de Jonathan Berman

    01.05

    Les glaneurs et la glaneuseRediffusion du 1er octobre)

    02.25

    Bob et MargaretRediffusion du 9 octobre)

    19.00Ella FitzgeraldSomething to Live For (2)Documentaire de Charlotte Zwerin(États-Unis/France, 1999-2x43mn)Coproduction : American Masters (WNET), Ex Nihilo, WinStar TV & Video, en associationavec ARTE France, France 3 et MezzoARTE FRANCE(Rediffusion du 28 novembre 1999)

    Ella Fitzgerald (1918-1996) restera toujoursla First Lady du jazz, la plus grande chan-teuse américaine du XXe siècle… CharlotteZwerin signe un portrait aussi riche enarchives qu’en musique de celle qui fit aimerle jazz au monde entier.Cinquante-huit ans, treize “GrammyAw a rds” et plus de 40 millions de disquesvendus : c’est probablement la plus longue,sinon la plus glorieuse carr i è re musicaleque l’Amérique ait connue. De ses débutsavec le groupe du batteur Chick We b b ,ébloui par sa voix à la fois chaude et cris-talline, généreuse et précise, jusqu’à sond e rnier concert en passant par la mémo-rable année 1938 (quand son titre “A-TisketA - Tasket” reste en tête du hit-parade pen-dant dix-neuf semaines) ou par cesmoments de complicité avec les plusgrands jazzmen, Ella n’a jamais cessé des w i n g u e r, avec son art inimitable du scat.Double CD des musiques du film

    disponible chez Universal Jazz.

    20.15Nacho DuatoPor vos mueroRéalisation : Thomas Grimm(Royaume-Uni, 2001-26mn)WDR/ARTE

    Le Ballet national espagnol présente unenouvelle chorégraphie de son directeurartistique Nacho Duato, sur des musiquesespagnoles des XVe et XVIe siècles. Por vos muero i l l u s t re la fonction essentiel-le occupée par la danse dans tous les évé-nements de la vie sociale de l’époque etpour toutes les couches de la société. Leballet est construit autour d’un poèmed’amour de Garcilaso de la Vega (1501-1536) sur des “canciones y danzas” espa-gnoles des XVe et XVIe siècles.

    Nacho Duato

    Né à Valence (Espagne), ancien élève deMaurice Béjart et d’Alvin Ailey, il a travailléavec le Cullberg Ballett de Stockholm, puisaux côtés de Jiri Kylian avec le NederlandsDans Theater. Depuis 1990, il est dire c t e u ra rtistique du Ballet national espagnol deMadrid. Son œuvre a été maintes foisrécompensée, entre autres par le GoldenDance Aw a rd, aux Pays-Bas en 1987, etpar la Médaille d’or espagnole pour sonengagement en faveur des beaux-arts en1998.Rendez-vous la semaine prochaine avec

    le Bahia Ballet.

    En partenariat avec

    et

    d i m a n c h e 21 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    MaestroDanse

    Cycle“Black Divas”

    Cycle“Danse du Sud”

    Por vos muero : “Pour vous, je vais mourir.”

    Ella dans des standards incontournables

    ou en duo avec Bing Cosby, Louis Armstrong,

    Nat King Cole, Frank Sinatra...

    Film

  • ZDF

    20.45L’arnaque(The Sting)

    Film de George Roy Hill(États-Unis, 1973-2h04mn) - VFScénario : David S. WardAvec : Paul Newman (Henry Gondorff/Mr Shaw), Robert Redford (JohnnyHooker/Kelly), Robert Shaw (Doyle Lonnegan), Charles Durning (Lt William Snyder), Ray Walston (J. J. Singleton), Eileen Brennan(Billie), Harold Gould (Kid Twist)Image : Robert SurteesMontage : William ReynoldsCostumes : Edith HeadMusique originale : Scott Joplin, arrangée parMarvin Hamlisch7 Oscars dont ceux du meilleur film,

    meilleur réalisateur, du meilleur scénario,

    des meilleurs costumes, de la meilleure

    musique...

    Dans le Chicago des années 30, deux sym-pathiques escrocs se vengent d’un gang-ster... Un divertissement brillamment enlevépar le tandem Newman-Redford et une petite musique inoubliable.

    H e n ry Gondorff est un escroc dont l’heurede gloire est passée et Johnny Hooker unpetit loubard sans grande enverg u re. Ilss’associent pour régler son sort au super-caïd de la pègre Doyle Lonnegan, qui a surla conscience la mort d’un de leurs amiscommuns. De parties de poker en paris tru-qués sur les courses, ils vont l’entraînerdans une arnaque redoutable...

    Sur un air de ragtime

    Q u a t re ans après le succès de B u t c hCassidy & the Sundance Kid (B u t c hCassidy et le Kid), le trio formé par le réali-sateur George Roy Hill et les deux starsmasculines les plus craquantes desannées 70, Paul Newman et RobertRedford, remet le couvert et obtient l’un desgrands succès populaires de l’époque. Cefilm, qui en six chapitres enlevés tro m p eson monde jusqu’au bout – le méchantLonnegan comme les spectateurs –, estsans conteste l’une des comédies de gang-sters les plus réussies de l’histoire du ciné-ma. Tout y concourt : le scénario est régléà la perfection, les décors et les costumesévoquent à merveille les années de laD é p ression, le trio d’acteurs (mention spé-ciale à Robert Shaw) s’amuse sans cher-cher midi à quatorze heures. Et, bien sûr,

    20.45-01.05 Ces gentils bandits

    Avouons-le : sans être

    aussi sympathiques que

    ceux de Robin des Bois,

    les “exploits” de cert a i n s

    bandits nous font parf o i s

    j u b i l e r. Cette admiration

    secrète pour les héros

    qui tiennent la police

    en échec est tout sauf

    moralement correcte...

    Y aurait-il un escroc

    qui sommeille en chacun

    de nous ?

    Le duo de charme Newman-Redford

    dans un classique de la comédie

    policière.

    Film

    ●●●

  • Avec Laurence

    et Patrick Brice,

    le gentleman-braqueur

    qui refusait la violence.

    l’entêtante petite musique, un ragtime deScott Joplin arrangé par Marvin Hamlisch,est dans la mémoire de tous les specta-teurs, même ceux qui découvriront ce soirce divertissement aussi abouti que sansprétention.

    22.50Les enfantsd’Arsène LupinDocumentaire d’Elke Sasse(Allemagne, 2001-1h12mn)

    Histoire de la vie mouvementée dequelques bandits européens devenus les“chouchous” du public.

    Le Berlinois Arno Funke,alias Dagobert, spéciali-sé dans le racket desgrands magasins, amené la police par lebout du nez pendantdes mois sous l’œilamusé du public. S’il a

    p u rgé sa peine, il n’a cessé de faire parlerde lui, notamment en publiant ses mémoire set en devenant le héros d’un épisode de lasérie Ta t o rt. Archives, interviews de l’intére s-sé et de ses adversaires et micro - t ro t t o i r sretracent cette épopée modern e .Son équivalent hongrois Attila Ambus nemanquait pas, paraît-il, de boire posémentun verre avant chaque attaque de banque,ce qui lui avait valu le surnom de Whisky.Dénoncé par un complice, il a été arrêté enjanvier 1999. Son évasion au mois de juilletsuivant a donné lieu à la chasse à l’hommela plus coûteuse de toute l’histoire de la police hongroise et a fait de lui un héro snational qui a même eu droit à sa page surI n t e rnet. Aujourd’hui, il écrit ses mémoire sen prison et a d’ores et déjà signé un contratd’adaptation cinématographique avec unemaison de production américaine.À partir de ces exemples et d’autres pris enFrance et en Angleterre – notamment l’his-t o i re de Patrick et Laurence Brice –, le docu-m e n t a i re tente de débusquer ce qui suscitechez nous la sympathie pour telle ou tellef i g u re de bandit. Bien sûr, ceux que nousp r é f é rons, ce sont les braqueurs façonRobin des Bois, qui dérobent des millionssous la menace d’un pistolet en plastiquepour en faire don ensuite à une œuvre cha-ritable. Le genre David contre Goliath n’estpas non plus pour nous déplaire. Mêmed ’ a u t res gredins moins désintéressés peu-vent gagner notre sympathie, pourvu qu’ilssoient assez rusés et respectent cert a i n e sr è g l e s …

    d i m a n c h e 21 octobre

    Ces gentils bandits

    ●●●

    Rois de l’arnaque, Henr y

    (Paul Newman) et Johnny

    (Robert Redford) trichent

    au poker comme aux courses.

  • 00.05Mon ami PaulDocumentaire de Jonathan Berman(États-Unis, 1999-57mn)

    Enfants, ils jouaient ensemble au gendar-me et au voleur. Jonathan est devenucinéaste, Paul braqueur de banque…Enfant, Jonathan Berman jouait au banditavec son ami Paul, dans le jardin de la mai-son familiale à New York. Ensemble (et àgrand re n f o rt de ketchup), ils mettaient enscène des hold-up saisissants de vérité,qu’ils filmaient en Super 8. Vingt ans plustard, le jeu n’en est plus un : Paul est deve-nu bandit, et Jonathan cinéaste. Avec sacaméra, le cinéaste tente de se rapprocherde Paul qui est maintenant en prison et decomprendre son itinéraire. Il lui fait raconter

    les attaques de banques et reconstitue lesscènes : Paul, un pistolet en plastique dansla poche intérieure de son blouson, entredans l’agence et fait passer sous la vitre duguichet un papier qui précise à l’employéela somme exigée... Jonathan tente, dansdes interviews, de pénétrer le monde extra-vagant de Paul, rend visite à sa famille et àses amis d’enfance et accompagne Paullors d’une permission. Ces images, mêléesà celles tournées dans leur enfance, tracentun portrait saisissant des deux amis et deleurs parcours.

    FaxLa météo sur ARTEÀ partir du 29 septembre, la météosur ARTE sera diffusée après le journal ARTE Info vers 20.13 (et non plus à 19.45). La premièrediffusion de la météo continue à avoir lieu tous les jours à 18.55sur les bouquets numériques TPS et Canal Sat.

    Mourir primé au Festival du filmmédicalMourir, un documentaire réalisé par Michaëlle Gagnet dans le cadredu De quoi j’me mêle ! “À la vie, à la mort !” diffusé sur ARTE le 19 avril 2001, a reçu le 3e Prixdans la catégorie “Émissions à thème médical” au FestivalTéléfilmed à Amiens.

    Massoud l’Afghan

    Jeudi 20 septembre, en raison de l’actualité, ARTE proposait une Thema spéciale Afghanistan au cours de laquelle était rediffuséle documentaire Massoud l’Afghande Christophe de Ponfilly.Ce documentaire est égalementressorti dans les salles de cinéma.Le livre Massoud l’Afghande Christophe de Ponfilly, coéditépar ARTE Éditions, prolonge et enrichit le film. ARTE consacreune nouvelle soirée à l’Afghanistanmardi 23 octobre à 20.45.

    ARTE récompenséeau Festival de Saint-Tropez…

    Le 3e Festival de la fiction TV de Saint-Tropez a décerné le Prixdu meilleur téléfilm à la fiction les Petites Mains, de Lou Jeunet,avec Mireille Perrier et Patachou.Ce téléfilm, inspiré d’un fait divers à Calais, est coproduit par Fit Productions, France 2 et ARTE France, d’après un scénario de Lou Jeunet et Camille Taboulay.Il sera diffusé sur ARTE en 2002.

    Contact presse ARTE France :Virginie Doré / Grégoire Mauban 01 55 00 70 46

    …et au Festival d’Ascea VeliaOran Oraï, le documentaire de Claude Santiago et BouzianeDaoudi diffusé le 3 juillet dernierdans la Thema “Algéraï”, a étérécompensé par un Prix Spécial au Mediterraneo Video Festival

    d’Ascea Velia (Italie). Oran Oraïest une coproduction ARTE France,Producteurs Indépendants Associés.

    L’histoire vraie de Paul, ou comment attaquer

    une banque avec un pistolet en plastique.

    Les Petites Mains

  • 14.00

    oilà l’Europe

    14.30

    Biographiessabella RosselliniRediffusion du 4 octobre)

    15.15

    MetropolisRediffusion du 20 octobre)

    16.10 (PDC : 16.15)

    Les livres du désertRediffusion du 13 octobre)

    17.10 (PDC : 17.15)

    oyage vers le soleilRediffusion du 18 octobre)

    19.00

    NatureForêts et montagnesde BavièreDocumentaire de RobertAnzeneder et Günter Goldmann

    19.45

    ARTE Info

    20.15

    La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pom girls

    euilleton documentaire ’Alice Agneskirchner. Casting, training, discipline

    20.45

    CinémaLe dernier métro

    ilm de François Truffaut

    22.55

    Grand formatCastingDocumentaire d’Emmanuel Finkiel

    00.25

    Court-circuit le magazine)

    Rédaction en chef : Luc Lagier

    01.10

    Est-OuestRediffusion du 2 octobre)

    19.00Forêts et montagnes de BavièreDocumentaire de Robert Anzeneder et Günter Goldmann (Allemagne, 1999-43mn)NDR(Rediffusion du 30 novembre 1999)

    Visite guidée dans le parc national de la forêtbavaroise, où des lynx ont été réintroduits.

    La Bavière s’enorgueillit du plus ancienparc national d’Allemagne. Situé le long dela fro n t i è re tchèque, le NationalparkBayerischer Wald a été créé en 1970. Ilc o u v re 25 000 hectares de forêts qui doi-vent rester à l’état naturel, toute interventionde l’homme – en particulier pour l’exploita-tion du bois – étant bannie. Ici, les arbre speuvent vieillir en toute quiétude... Cetimmense espace de liberté a permis deréimplanter des espèces animales dispa-rues, le lynx par exemple. À l’époque desamours, la forêt s’anime avec les feule-ments des grands félins et les parades descoqs de bruyère.

    20.15À l’école des pom-pom girlsFeuilleton documentaire en cinq parties d’Alice Agneskirchner (Allemagne, 2001-26mn)Coproduction : ARTE, Hope and GloryARTE G.E.I.E.Inédit

    Elles sont jolies, adorent la danse et le foot-ball américain : ce sont les pom-pom girlsde l’équipe des Thunder de Berlin. Pourpouvoir soutenir leur équipe, elles ont suivipendant six mois une formation intensive ettrès sérieuse… Suivez leurs aventures tousles soirs à 20.15, jusqu’à vendredi.Il n’existe que six équipes pro f e s s i o n n e l l e sde football américain en Europe. Pourre n d re ce sport plus populaire, les diri-geants du club des Thunder, à Berlin, ontimaginé d’envoyer des ambassadrices dec h a rme dans les stades. Chaque année, lesé p reuves de sélection pour devenir pom-pom girls attirent près de 400 jeunesBerlinoises. À l’issue d’un casting marathon,le jury retient trente jeunes filles pour leurbeauté et leurs talents de danseuses.Pendant six mois, elles vont se soumettre àun entraînement intensif (trois à cinq fois parsemaine). En avril, elles devront être par-faites pour l’ouvert u re de la saison…

    1. Casting, training, discipline

    C’est naturellement à une Américaine,Amber Wisneski, que revient la tâche def o rmer les nouvelles re c rues. Mandy, Susi,Anaïs et Lucy ont entre 17 et 23 ans. Ellessont enthousiastes, certes, mais ont parfoisdu mal à se conformer aux mots d’ordre deleur coach qui veut faire d’elles l’incarn a-tion du rêve américain. Mandy, notamment,a d’autres soucis : sa balance lui annoncequelques kilos de trop…

    l u n d i 22 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    Nature

    La vie en feuilleton

    Ce n’est pas le costume qui fait la pom-pom girl...

    mais ça aide !

    Le lynx, qui avait disparu depuis 150 ans,

    est maintenant le roi du parc.

  • Film de François Truffaut(France, 1980-2h10mn)Scénario : François Truffaut, Suzanne SchiffmanAvec : Catherine Deneuve (Marion Steiner),Gérard Depardieu (Bernard Granger), Jean Poiret (Jean-Loup Cottins), Heinz Bennent(Lucas Steiner), Andréa Ferreol (Arlette Guillaume), Paulette Dubost (Germaine Fabre), Sabine Haudepin (Nadine Marsac), Jean-Louis Richard (Daxiat),Richard Bohringer (le gestapiste)Photographie : Nestor AlmendrosSon : Michel LaurentMontage : Martine BarraquéProduction : Les Films du Carrosse, SEDIF S.A., TF1, SFPARTE FRANCEDix Césars (un record !) : meilleurs film,

    réalisateur, scénario, acteur (Gérard

    Depardieu), actrice (Catherine Deneuve),

    photographie, montage, décors, musique

    et son

    Lucas Steiner, juif allemand réfugié à Parisdepuis l’avènement du nazisme, a dû quit-ter la France, laissant à sa femme Marionla direction et la responsabilité du pre s t i-gieux Théâtre Montmart re. Marion s’eff o rc ede maintenir le théâtre en état de marc h e ,mais cela ne va pas sans difficultés. Danscette période troublée, qui sont les amis etles ennemis ? A-t-elle raison de confier lamise en scène d’une nouvelle pièce à Jean-Loup Cottins, que ses accointancestous azimuts rendent suspect aux yeux detous ? Que doit-elle penser du jeune acteurB e rn a rd Granger qui courtise toutes lesfemmes et qui donne de curieux re n d e z -vous au café d’en face ? Enfin, pourq u o iMarion elle-même disparaît-elle si souventsans qu’on sache où la joindre ?

    Ciné-théâtre

    Le Dernier Métro est une histoire d’amouret d’aventures, située en 1942 à Paris, dansle milieu du théâtre. La France est alors

    occupée, la zone libre est sur le point d’êtreenvahie. Depuis longtemps, FrançoisTru ffaut désirait montrer dans un film lescoulisses d‘un théâtre. L’idée du D e rn i e rMétro lui vient après avoir lu le livre de sou-venirs de Jean Marais. Il s’aperçoit que lec h a p i t re le plus passionnant est celui quiconcerne la période de l’Occupation. C’estainsi qu’avec Suzanne Schiffman il écrit unscénario permettant de mêler les coulissesdu théâtre et l’occupation nazie. Là se croi-sent résistants et collabos (délicieux Jean-Louis Richard), comme un micro c o s-me de la France de 1940. Mais Tru ff a u tajoute à cela les jeux de l’amour et de l’ar-tifice. Marion est déchirée par la souffranced’un mari qu’elle n’aime plus, mais qu’ellese doit de pro t é g e r, et par son attirancepour Granger. Tru ffaut, homme de cinéma, honore le théâtre en s’amusant des liens etdes diff é rences entre les deux arts. Cethommage à la fois joyeux (l’élégance fluidede la mise en scène) et grave (les dangersde l’époque) culmine dans la très bellescène finale, apothéose du mélange desg e n res et tableau d’honneur d’une tro u p ede comédiens ici saluée comme il convient.

    SpécialFrançois TruffautLe dernier métroLundi 22 octobre à 20.45

    La femme d’à côtéLundi 29 octobre à 20.45

    20.45 Le dernier métroDans Paris occupé, la troupe de Marion et Lucas Steiner tente de jouer une pièce

    de théâtre. L’un des derniers films de François Tru ffaut, avec Catherine Deneuve

    et Gérard Depardieu, et l’un des plus grands succès du cinéma français.

    En partenariat avec

    Marion (Catherine Deneuve) engage Granger, un jeune comédien prometteur (Gérard Depardieu).

  • Documentaire d’Emmanuel Finkiel(France, 2001, 1h30mn)Coproduction : ARTE France, Les Films du PoissonARTE FRANCE

    E n t re 1994 et 1998, pour la préparation deses films Madame Jacques sur la Croisetteet Vo y a g e s, Emmanuel Finkiel organise uncasting “sauvage” de non-pro f e s s i o n n e l sau sein de la communauté ashkénaze fran-çaise. L’annonce est ainsi rédigée :“ R e c h e rchons pour un tournage de film sed é roulant dans la communauté Yi d d i s hFrançaise des hommes et des femmesentre 60 et 90 ans, parlant le yiddish.” Desentretiens aux essais de comédie, des bal-butiements de la première lecture à la maî-trise quelquefois parfaite de la scène, cha-cun s’approprie le texte, colore lesdialogues avec son accent, commente,

    d i g resse, raconte sa vie, nourrit le person-nage de sa pro p re expérience. Très vite,réalité des récits et fiction des scènes àjouer se confondent. À travers la mosaïquefoisonnante des visages et des personnali-tés qui se succèdent se dessine alors uni t i n é r a i re quasi unique, une seule histoiredite à plusieurs voix. L’ e m p reinte de cettevieille génération aujourd’hui, dans sonquotidien, avec sa culture qui fout le camp,ses blessures encore visibles. Ultimesdétenteurs d’un tour d’esprit, d’un accentet d’un destin uniques, pour toujours accro-chés au yiddish, langue de l’enfance, re m p a rt incertain et fragile contre l’oubli.Dotés d’une farouche énergie de vie et d’unhumour indestructible, certains se révèlentde sublimes acteurs.

    ARTE diffuse le film Voyages d’Emmanuel

    Finkiel jeudi 25 octobre à 20.45.

    Le DVD, comprenant aussi le court

    métrage Madame Jacques sur

    la Croisette est édité par ARTE Vidéo.

    lundi 22 octobre

    22.55 CastingPour son film Vo y a g e s, le réalisateur

    Emmanuel Finkiel re c h e rche

    des vieux juifs ashkénazes.

    Voici le résultat de son casting :

    des portraits émouvants,

    bouleversants et drôles d’une

    communauté vouée à disparaître.

    “Qu’est-ce que vous croyez ?

    Je la regarde dans les yeux ?

    Je fais l’amour encore.

    Il faut. Ça fait partie

    de la vie. Et le docteur, il

    m’a dit de ne pas arrêter.”

    “Vous savez, nous sommes

    très difficiles à vivre

    parce qu’il y a tout ce passé

    qui travaille.

    Oublier n’est pas possible.”

    Devant la caméra,

    ils cabotinent,

    ils séduisent,

    ils racontent...

  • 00.25Court-circuit (le magazine)Rédaction en chef : Luc LagierRéalisation : Philippe Truffault(France, 2001-45mn)Coproduction : ARTE France, MK2TVARTE FRANCE

    Un nouveau rendez-vousTous les lundis autour de minuit, le magazine européen de courts métrages,reflet de la production du film courtet des nouvelles tendances. Dynamique et interactif, ce magazine est en liaisondirecte avec le site Internet d’ARTE :www.arte-tv.com

    ● Portrait de Patrick BokanowskiIl est l’auteur de courts métrages (la Femmequi se poudre, Au bord du lac, la Plage,F l a m m e s…), d’un long métrage (l ’ A n g e) etde très nombreuses peintures. Portrait dePatrick Bokanowski à partir d’images deses toiles, de son visage, de ses mains et,bien sûr, des extraits de ses films.

    ● Chambre froideCourt métrage d’Olivier Masset-Depasse(Belgique, 2000-27mn)Scénario : Olivier Masset-Depasse, Pierre PennemanAvec : Francine Blistin (Nicole), Anne Coesens (Rita), Jo Coesens (Léo), Marie-Madeleine Masset (Mme Dewilde)Image : Tommaso FiorilliSon : David Golin, Vincent DemanetMontage : Damien KeyeuxProduction : Alexis Films

    À la boucherie, il ne fait pas bon vivre.Nicole et sa fille Rita tiennent une petiteboucherie au bord de la faillite. Depuis lam o rt du père, Léo, Nicole vit dans le sou-venir et l’amertume. Rita, pour la provoquer,menace de quitter la maison...

    ● The Twilight Zone (La Quatrième Dimension)Parmi les séries télévisées américaines desannées 60, The Twilight Zone occupe uneplace part i c u l i è rement importante. Av e cplus de 150 épisodes d’une vingtaine deminutes chacun, la série réussit à exploitertoutes les possibilités du cinéma fantas-tique, influençant toute une génération decinéastes (Steven Spielberg, Joe Dante,John Landis, John Carpenter…) qui lui ren-dent régulièrement hommage.

    Un moyen métrage enrichit

    la diffusion de Court-circuit

    (le magazine) tous les samedis

    à 17.30 sur le câble numérique

    et le satellite. Samedi 27 octobre :

    Madame Jacques sur la Croisette,

    d’Emmanuel Finkiel.

    >

    Un univers glauque où les rapports humains

    se congèlent. Brr...

    Fax5 films copro d u i t spar ARTE France

    C i n é m asélectionnés pour le Prix

    européen du ciném

    Parmi 300 films proposés pardiverses associations, institutionspublications européennes, 44 sonsélectionnés pour la compétition.Parmi les 11 films français, 5 sont des coproductions d’ARTE France Cinéma. Le Prix européen du cinéma seraremis le 1er décembre à Berlin.

    Les 5 films sélectionnés sont :

    Intimité de Patrice Chéreaucoproduit avec ARTE-WDR,Téléma, Studio Canal, France 2Cinéma, Azor Films, Mikado Film

    Éloge de l’amour

    de Jean-Luc Godardcoproduit avec Peripheria,Avventura Films, Vega Film, DF1,TSR, Canal +

    La pianiste de Michael Hanekecoproduit avec WegaFilmproduktions GmbH, MK2 SA,Les Films Alain Sarde

    Martha... Martha

    de Sandrine Veyssetcoproduit avec Ognon Pictures,Rhône-Alpes Cinéma, GimagesDéveloppement

    Sous le sable de François Ozoncoproduit avec Haut et Court,Fidélité Productions, Euro Space

    Nous nous réjouissons aussi de la présence dans cettecompétition de Contrôle d’identide Christian Petzold, coproduit par ARTE, Schramm Film KoerneWeber, HR

    Contact presse : Anne Sachot / Martina Bangert 01 55 00 70 47 / 73 43

    “Vous venez

    d’entrer dans

    la 4e dimension…”

    Tout ce que vous

    avez toujours

    voulu savoir sur

    le grand rendez-

    vous de l’étrange !

  • 4.00

    Cuisines des terroirs’Écosse

    Rediffusion du 30 septembre)

    4.30

    orêts et montagnese Bavière

    Rediffusion du 22 octobre)

    5.15

    Père inconnuRediffusion du 19 octobre)

    6.50

    Design (3)Rediffusion du 13 octobre)

    7.25

    e couteau dans l’eauRediffusion du 10 octobre)

    9.00

    chimèdeagazine scientifique européen

    9.45

    ARTE Info

    0.15

    La vie en feuilletonÀ l’école

    es pom-pom girlseuilleton documentaire Alice Agneskirchner Mises en formes

    0.45-23.00

    Thema’Afghanistan, n pays aux abois

    3.00

    Music Planet 2NiteCheb Mami t Susheela Raman

    0.00

    La nuit s’animeBob et Margaret

    0.25

    yez donc es gosses ! (3)

    0.55

    Y aura-t-il de la neige Noël ?

    Rediffusion du 18 octobre)

    2.25

    Design (2)Rediffusion du 6 octobre)

    19.00ArchimèdeMagazine scientifique européen (France, 2001-41mn)Coproduction : ARTE France, Ex Nihilo, AuneProductions, avec la collaboration du CNRSImages Média/FEMISARTE FRANCE

    > SoieGros plan sur un ver à soie.

    > Ver fluoA u j o u rd’hui, on modifie génétiquement lesvers à soie pour produire un fil aux qualitésnouvelles et étonnantes.

    > Miss NightingaleL’ h i s t o i re de Florence Nightingale, infirm i è-re britannique de la fin du XIXe siècle et pre-mière femme à utiliser les statistiques.

    > Un orme nommé LutèceLes ormes sont menacés par une maladief o re s t i è re nommée graphiose. Commentre n d re les arbres plus résistants ?

    > Vieilles cornuesÀ la fin du XIXe siècle, une discipline cris-tallisait tous les espoirs et tous les eff rois :

    la chimie. Lesj o u rnaux illus-trés ont gardé latrace des boule-versements del’époque.

    20.15À l’école des pom-pom girlsFeuilleton documentaire en cinq parties d’Alice Agneskirchner (2001-26mn)Coproduction : ARTE, Hope and GloryARTE G.E.I.E.Inédit

    2. Mises en formes

    Les pom-pom girls vont faire leur pre-m i è re prestation en public. Pre m i è rec o n d i t i o n : connaître parfaitement lesdanses et rythmes retenus. Deuxièmec o n d i t i o n : avoir un tour de poitrineavantageux. Dans le cas contraire, ilfaut apprendre à tricher…

    20.45-23.00L’Afghanistan, un pays aux aboisARTE / MDR

    Comment ce royaume jadis florissant, dontles habitants pratiquaient un islam libéral,est-il devenu le symbole de la terreur, de l’obscurantisme et de l’oppression ?“Thema” retrace l’histoire de l’Afghanistanet esquisse des perspectives d’avenir pourtoute la région.C’est un exode sans fin. Par centaines demilliers, les Afghans fuient leur pays que lesTalibans affament, réduisent à la misère eta s s e rvissent avec une brutalité inouïe, touten se livrant eux-mêmes à un commerce flo-rissant de stupéfiants. Pendant trop long-temps, le monde a détourné ses re g a rds dece pays exsangue. Le voici aujourd’hui dansla ligne de mire des puissances occidentalespuisque les Talibans y abritent le principalaccusé des attentats sur le World Tr a d eCenter et le Pentagone. Mais ces Ta l i b a n sseraient-ils jamais arrivés à la tête de ce mal-h e u reux pays sans l’aide des États-Unis etdu Pakistan ? Le trafic de drogue, l’Occidentne pouvait-il tenter de le circ o n v e n i r ? LaRussie, ainsi que d’autres États de la CEI,avait-elle un intérêt dans l’aff a i re ? Et que direde l’Arabie Saoudite, aux relations commer-ciales florissantes avec les États-Unis et quifinance le terro r i s m e ? À qui profitent lescrimes dont les Afghans sont aussi les victimes, non moins innocentes que cellesdes attentats du 11 septembre ?Le contenu de cette soirée est

    susceptible d’évoluer en fonction

    de l’actualité.

    Contact presse : Françoise Landesque /

    Rima Matta - 01 55 00 70 42/43

    m a rd i 23 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    La vie en feuilleton

    Thema

    Amber est venue

    des États-Unis pour

    entraîner les filles.

  • > Susheela RamanNée en 1973 en Angleterre de pare n t stamouls, cette jeune chanteuse marie de savoix puissante et sensuelle la musique del’Inde et les sonorités occidentales. Sonpremier album, Salt Rain, est une pure mer-veille de grâce et d’équilibre : dépouillé,acoustique, mélancolique et magique...Chanté en anglais et en plusieurs languesindiennes, il réussit une fusion admirabledes styles de trois continents. La perf o r-mance de Susheela Raman dans “MusicPlanet 2Nite” est à la hauteur de l’attente :à découvrir absolument ! Premier album Salt Rain (Virgin)

    Tournée en France en novembre

    (à Paris au Café de la danse les 21 et 22)

    Mardi prochain dans

    “Music Planet 2Nite” :

    Reamonn et Heyday

    au Gum Club de Hambourg,

    présenté par Patrice

    Bouédibéla.

    À venir : Schiller, Titiyo,

    Placebo...

    Cheb Mami, le roi du raï,

    un documentaire

    d’Éric Sandrin, sortira

    en DVD le 4 décembre

    chez ARTE Vidéo.

    Réalisation : Richard Valverde(France, 2001-1h)Coproduction : ARTE France, KMARTE FRANCECheb Mami interprète “Viens Habibi”, “Meli Meli”, “Zarartou” et “Parisien du Nord”. Susheela Raman interprète “Bolo Bolo”, “Maya” et “Ganapati”.

    > Cheb MamiNé en 1966 dans une famille modeste deSaïda, en Algérie, le jeune (“cheb”) Mamicommence à chanter à l’âge de 12 ansdans les fêtes de mariage. En 1982, il rem-p o rte le deuxième prix d’un concours à latélévision algérienne. Il est l’une des sen-sations du Festival de Bobigny en 1986 quifait découvrir cette musique populaire algé-rienne au public français. Partisan d’uneo u v e rt u re raisonnée sur les autre smusiques, Cheb Mami enre g i s t re l’albumLet Me Raï (1990) à Los Angeles. SuiventSaïda (1994), Meli Meli (double Disque d’or,1998) et un grand documentaire sur ARTE.Cheb Mami est sollicité par les plusgrandes stars pop (Zucchero, Aswad), etson duo avec Sting “Desert Rose” lui ouvreles portes du marché américain. Son nou-vel album, D e l l a l i, mêle le raï authentiqueaux fusions reggae, funk et chansons. Nouvel album Dellali (Virgin)

    En concert à Bercy le 29 décembre

    Le DVD Cheb Mami, dans la collection

    “Music Planet” (ARTE Vidéo),

    sort le 4 décembre.

    2 3 . 0 0 Cheb Mami et Susheela Raman

    La nouvelle émission

    de musique live

    d ’ A RTE ! Deux mard i s

    par mois, “Music

    Planet 2Nite” réunit

    un groupe invité

    et son invité pour un

    c o n c e rt exceptionnel.

    Ce soir, Ray Cokes

    (ex-MTV) reçoit la star

    du raï-pop Cheb Mami

    et la révélation

    a n g l o - i n d i e n n e

    Susheela Raman.

    2 artistes, 2 villes,

    2 clubs, 2 animateurs,

    2 mardis par mois.

    Cheb Mami

    avec Ray Cokes.

    Susheela Raman

  • 14.00

    Bob et MargaretRediffusion du 9 octobre)

    14.30

    La VolgaRediffusion du 11 octobre)

    15.15

    Ella Fitzgerald (1)Rediffusion du 14 octobre)

    16.00

    Ella Fitzgerald (2)Rediffusion du 21 octobre)

    16.45

    Un vétérinaire pascomme les autresRediffusion du 14 octobre)

    17.30

    ’adieuRediffusion du 12 octobre)

    19.00

    ConnaissanceLa diva et le cochon

    u ffes, argent et convictionDocumentaire de Piet Eekman

    19.45

    ARTE Info

    20.15

    La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pom girls

    euilleton documentaire ’Alice Agneskirchner. Bons et mauvais plans

    20.45

    Les mercredis de l’histoireDes Polaks en PologneDocumentaire d’Erwann Briand

    21.40 (PDC : 21.35)

    MusicaBarbara HendricksDocumentaire de Catherine Tatge

    22.35 (PDC : 22.30)

    Ciné-découverteBeyrouth fantôme

    ilm de Ghassan Salhab

    00.30 (PDC : 00.25)

    ’arnaqueRediffusion du 21 octobre)

    02.35

    BzzRediffusion du 15 octobre)

    19.00L a d i v a e t l e c o c h o nTru ffes, argent et convictionDocumentaire de Piet Eekman(Allemagne, 2001-45mn)ZDF

    Quand le groin d’un cochon débusque del’or noir, on est au pays de la truffe…La diva que nous présente Piet Eekmanp r é f è re les profondeurs aux feux de larampe. Elle s’épanouit en hiver à l’abri desracines et ne s’off re qu’à quelques élus,chiens ou cochons. C’est leur odorat qui, leplus souvent, aide les chasseurs de truffesà débusquer ce précieux champignon sou-t e rrain. Une méthode de re c h e rche nonexclusive pourtant : Michel, lui, ne jure quepar son bâton ! La variété la plus re c h e r-chée est le Tuber melasporum du Périgord,mais d’autres régions de France ont aussides marchés pro s p è res comme celui deR i c h e renches près de Carpentras. C’est làque grossistes et restaurateurs viennentl’acheter au kilo, tandis que les particuliersdoivent se contenter de quelques grammesdu mets le plus cher du monde. L’ u l t i m eétape est la table des grands chefs commecelle de Bruno à Lorgues, connu des gourmets dans le monde entier, qui annon-ce la couleur : “J’aime la tru ffe comme lesfemmes...”

    19.45ARTE Info Le journal de la rédaction d’ARTE (2001-28mn) ARTE G.E.I.E.

    Tous les soirs, de 19.45 à 20.15, le journ a lA RTE Info p ropose l’essentiel de l’actualitéd’un point de vue européen.

    La météo sur ARTEÀ partir du 29 septembre, la météo sur ART Eest diffusée après le journal A RTE Infoà 20.13 (et non plus à 19.45). La pre m i è red i ffusion de la météo continue à avoir lieutous les jours à 18.55 sur les bouquetsnumériques TPS et Canal Sat.

    20.15À l’école des pom-pom girlsFeuilleton documentaire en cinq parties d’Alice Agneskirchner (Allemagne, 2001-26mn)Coproduction : ARTE, Hope and GloryARTE G.E.I.E.Inédit

    3. Bons et mauvais plans

    Susi défend depuis trois ans les couleursde l’équipe des Thunder de Berlin, maiselle doit partir à Hong-Kong. Pas facile dedire adieu à sa vie de pom-pom girl et à sonpetit ami Max. Quant à Mandy, le cœurl o u rd, elle vient de décider de mettre unterme à son rêve. Il semble par contre queLucy soit en passe de réussir. Un castingpour la télévision vient à point nommé.

    m e rc re d i 24 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    Connaissance

    La vie en feuilleton

    Le cochon truffier Minette en pleine concentration :

    son flair vaut de l’or.

    Lucy se

    démène sur

    le bord du

    terrain...

    Mais elle rêve

    surtout

    de réussir à

    la télévision !

  • Documentaire d’Erwann Briand(France, 2000-52mn)Coproduction : ARTE France, Le PoissonVolant, AMIP, Le CRRAVARTE FRANCE

    Juin 1945, deux bataillons de la 1re a rm é eRhin et Danube entrent dans Varsovie. Lap l u p a rt des soldats sont des mineurs oudes fils de mineurs d’origine polonaise émi-grés en France dans les années 20. Ilsd é c o u v rent un pays en ruines. Beaucoupdécident alors de re s t e r. Ils sont les pre-miers des 150 000 mineurs polonais qui,entre 1945 et 1949, choisissent de “rentrer”au pays. En France, ils ont joué un grandrôle dans la lutte syndicale, puis dans larésistance communiste. Mais au lendemainde la guerre, les “Polaks” se sentent dupéspar les syndicats et les partis politiques (lesgrèves sont durement réprimées malgré lap a rticipation des communistes au gouver-nement). Alors, par convois entiers, les plusjeunes décident de partir re c o n s t ru i re laPologne et de participer à l’édification dusocialisme. On leur a promis des maisons,du travail, la liberté…

    Polaks et Francuzis

    Après une semaine de voyage en wagonsà bestiaux, les mineurs et leurs familles arr i-vent en Silésie où ils sont accueillis en sau-veurs. Ce qu’ils ignorent, c’est que le gou-v e rnement les a fait venir pour “re p o l o n i s e r ”la région jusqu’alors occupée par despopulations allemandes. Les maisons ont

    été vidées, leurs habitants déportés enSibérie… Les Polonais de France s’instal-lent, commencent à travailler, mais re s t e n te n t re eux. Beaucoup ne parlent que le fran-çais et n’ont jamais vu la Pologne. Très peumême ont la nationalité polonaise : ils ontpour la plupart émigré à l’époque où laSilésie était un terr i t o i re allemand ! Leurmode de vie, leurs occupations, leur façonde s’habiller : tout chez eux rappelle laFrance. Ils ne se sentent aucune aff i n i t éavec les Polonais déplacés de l’Est, etceux-ci le leur rendent bien... Mais les“Francuzis”, majoritairement marqués àgauche, bénéficient de l’appui du pouvoir :c’est à eux que les communistes du nou-veau gouvernement confient les rôles clésdans les villes minières – places dans l’ad-ministration des usines et des villes, aup a rti, dans la police politique ou dans l’ar-mée. Plus fiables que les Polonais dePologne (soupçonnés de nationalisme), lesrapatriés jouent un rôle important dans l’édi-fication de la Pologne ouvrière, puis dans laliquidation de l’opposition. Mais la situationse re t o u rne totalement en 1949. Après lerefus du plan Marshall, l’économie polonai-se est en crise. Si le socialisme ne marc h epas, c’est forcément qu’il y a des saboteursvendus à l’Ouest. Coupables aussitôt dési-gnés : les rapatriés…

    Beaucoup de “Francuzis” re t o u rn e ro n t

    en France vers la fin des années 60.

    20.45 Des Polaks en PologneDe 1945 à 1949, 150 000 Polonais du Nord de la France sont re t o u rnés dans leur

    patrie d’origine. Venus part i c i p e r, de façon souvent zélée, à l’édification de la

    Pologne ouvrière, ils furent en définitive les pre m i è res victimes de la guerre fro i d e .

    Présenté par

    Alexandre Adler

    En partenariat avec

  • En dévoilant toute

    la richesse de la voix

    intérieure au-delà

    des prouesses vocales,

    en montrant la curiosité

    et l’énergie de Barbara

    Hendricks au delà

    de sa réserve naturelle,

    ce portrait sensible

    et vrai possède

    la résonance

    d’une œuvre musicale.

    Documentaire de Catherine Tatge(France, 2001-1h)Coproduction : ARTE France, Cinétévé, Babson ProductionARTE FRANCE

    Ce portrait dédié à Barbara Hendricks estun opéra filmé dont chaque scène contri-bue à dessiner de façon palpable, tou-chante, vivante, une femme également par-tagée entre son humanité et sa créativité.Par une succession de touches, CatherineTatge nous familiarise pro g re s s i v e m e n tavec la vérité de Barbara Hendricks, del’enfance à l’apprentissage, de la révélationde l’art à l’action humanitaire. Peu à peu, lapetite fille sage élevée dans le vieux Sudaméricain à l’heure de la lutte pour lesd roits civiques des Noirs cède la place àune jeune femme au regard incroyablementlucide. Marquée par l’austérité de ses ori-gines protestantes, habitée par la rigueurde Jennie To u rel – la figure inspiratrice quil’a initiée autant à l’exigence individuelle eta rtistique qu’à la grandeur de la voix –,Barbara Hendricks finit par trouver lemoteur de son destin dans la prise deconscience de ce qui aurait pu être un

    double handicap : le fait d’être noire, etcelui d’être une femme. Au tempo rapide de la pre m i è re moitié dece portrait succède un rythme apaisé quip e rmet de percevoir plus intimement la per-sonnalité profonde et le talent de cette art i s-te universelle : jamais elle ne perd le capdans un parcours souvent atypique ; onnotera le respect empreint d’affection re t e-nue qui toujours la lie à son entourage pro-fessionnel, l’éclectisme de ses choix, quil’amène par exemple à célébrer la réunifica-tion allemande avec Mozart, à découvrir lecinéma avec Puccini, à honorer ses racinesavec les Moses Hogan Singers, à pre n d redes risques avec une composition inédite deSven-David Sandström et à faire son métierle plus sérieusement du monde tout en évi-tant de se pre n d re au sérieux. Autant depistes à explore r, autant d’univers queBarbara Hendricks marque de sa force tran-quille et qu’irradie la sérénité lumineuse deson visage.Nouvel album Hommage à Gershwin

    (EMI Classics).

    Concert “Hommage à Gershwin”

    à l’Olympia le 29 septembre 2001.

    Le site off i c i e l : www. b a r b a r a h e n d r i c k s . c o m

    m e rc redi 24 octobre

    Cycle“Black Divas”

    21.40 Barbara Hendricks

    Artist of life

    Cantatrice de renom intern a t i o n a l ,

    Barbara Hendricks est autant

    appréciée dans Mozart

    ou Debussy que dans Gershwin

    ou les negro spirituals.

    Sensible à sa rigueur, à son

    engagement et à son charisme,

    le public lui voue une aff e c t i o n

    exceptionnelle. Un portrait inédit,

    sensible et vrai.

  • 22.35Beyrouth fantômeFilm de Ghassan Salhab(France/Liban, 1998-1h56mn) - VOSTFScénario : Ghassan SalhabAvec : Aouini Kawas (Khalil), Darina Al Joundi(Hanna), Rabih Mroueh (Kamal), Carol Aboud(Nada), Hassan Farhat (Fouad), Younes Aoude(Omar), Ahmed Ali Zein (Youssef)Image : Jérôme PeyrebruneSon : Patrick AllexMontage : Gladys Joujou, Vincent CommaretProduction : Idea Productions, GH FilmsARTE FRANCE

    En partenariat avec

    La guerre du Liban a-t-elle pris fin ? Mêlantfiction et témoignages, Ghassan Salhabprospecte les ruines de Beyrouth et s’inter-roge sur le sens de la vie, de la guerre, del’identité, de la mémoire… Le Liban, à la fin des années 80. Khalil,ancien combattant enfui à l’étranger, resur-git après dix ans d’absence. Son retour àB e y routh sème l’émoi, le doute et la colèrechez les siens, parmi ses amis et ses com-pagnons de lutte…

    La vie suspendue

    “Après seize années interminables, la guer-re a pris officiellement fin en en 1991. Je n’aipas voulu aborder cette guerre fro n t a l e-ment, c’est-à-dire par le biais du drame ;mon approche s’est faite à partir d’indivi-dualités. Il s’agit de grossir à la loupe dest r a j e c t o i res, les tranches de vie d’hommeset de femmes qui pour la plupart n’avaientpas 20 ans en 1975. Le personnage deKhalil n’est pas pour autant un symbole. Ilpose seulement la question de la perd i t i o nd’un individu pris dans l’engrenage d’unconflit dont il est l’un des maillons. Il poseaussi la question de la mémoire, ou, pourê t re plus précis, du travail d’une mémoire .C’est un peu l’ambition du film que de lutterc o n t re l’amnésie générale qui tend à enve-lopper tout le pays. Cela, bien évidemment,doit être perçu à la lumière des témoi-gnages recueillis aujourd’hui : répartis enune dizaine de courtes séquences, lesrécits des comédiens, témoins réels decette guerre, donnent un relief tout à faitp a rticulier à la fiction. Ces longues annéesne furent pas seulement des années deb ruit, de fureur et de violence. Derr i è re lafaçade spectaculaire de la guerre, la viebattait son plein, s’organisait tant bien que

    mal. Des amitiés, des amours se nouère n tet se dénouèrent, des projets de toute sort ef l e u r i rent. Les périodes de trêve furent bienplus nombreuses et plus longues qu’on nele croit, ce qui d’ailleurs rendait cette guer-re encore plus intolérable. C’est donc dansun Beyrouth en pleine trêve que nous re n-c o n t rons Hanna, Omar, Fouad, Yo u s s e f ,Soraya, Ghassan, Kamal, Nada… Dans uneville coupée en deux, certes, mais où lesactes les plus simples comme pre n d re unv e rre dans un café, se promener sur la cor-niche, sont accomplis. Des femmes et deshommes qui sont plus que conscients d’êtreen sursis, prisonniers du présent, et quisavent bien qu’ils doivent, tel un cycliste,continuer à pédaler pour ne pas tomber. ”(Ghassan Salhab)

    “Mon film a deux défauts

    majeurs pour les

    Libanais : il donne

    l’impression que la

    guerre n’est pas finie, et

    il ne dit pas que nous

    sommes des martyrs.”

    (Ghassan Salhab)

    Entre documentaire et fiction,

    un film qui parle simplement de la

    guerre en général, et de son impact

    sur les hommes et les femmes.

    Ciné-découverte

  • 14.00

    HippocrateRediffusion du 1er octobre)

    14.30

    Fidalium JolyRediffusion du 15 octobre)

    15.15

    Heimatfront (1)R e d i ffusion du 17 septembre 1999)

    16.10

    Sur le fil du RefugeRediffusion du 15 octobre)

    17.30

    Y aura-t-il de la neigeà Noël ?Rediffusion du 18 octobre)

    19.00

    oyages, voyagesTénériffe

    ocumentaire de Jan-Manuel Müller

    19.45

    ARTE Info

    20.15

    La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pom girls

    euilleton documentaire ’Alice Agneskirchner. La première fois

    20.45

    Première séanceoyages

    ilm d’Emmanuel Finkiel

    22.35-01.00

    ThemaGeorges Brassens

    22.35

    Georges Brassense suis d’la mauvaise herbe

    Documentaire d’Alain Poulanges t Guillaume Vincent

    00.05

    Georges Brassens,chez lui à ParisDocumentaire musical

    e François Chatel

    01.00 (PDC : 00.55)

    Le jour se lèveRediffusion du 7 octobre)

    02.25

    Design (3)Rediffusion du 13 octobre)

    19.00TénériffeUn paradis entre le feu et l’eauDocumentaire de Jan-Manuel Müller(Allemagne, 2001-41mn)ZDF

    De par la variété de ses paysages, l’île deTénériffe est un véritable continent à échel-le réduite. Le voyageur est fasciné par l’altern a n c ee n t re des vallées à la végétation subtro p i c a-le et des montagnes désertiques couvert e sd’étranges formations de lave. Le sud de l’îlea t t i re les adeptes de baignade venus detoute l’Europe, tandis que le nord est leparadis des randonneurs. L’une des excur-sions les plus appréciées est l’ascension duvolcan Pico de Teide, dont on ignore sou-vent qu’il est le plus haut sommet d’Espagneavec près de 4 000 mètres d’altitude. Dans la petite ville de La Orotava, le jour dela Fête-Dieu donne lieu à de nombre u s e smanifestations. La place de l’hôtel de villeest alors re c o u v e rte d’une compositiongéante de près de 1 000 m2 faite de sablesde laves de diff é rentes couleurs. La pro c e s-sion se déroule ensuite dans les ru e l l e savoisinantes décorées de tapis de fleurs.

    19.45ARTE Info Le journal de la rédaction d’ARTE (2001-28mn) ARTE G.E.I.E.

    Tous les soirs, de 19.45 à 20.15, le journ a lA RTE Info p ropose l’essentiel de l’actualitéd’un point de vue européen.

    20.15À l’école des pom-pom girlsFeuilleton documentaire en cinq parties d’Alice Agneskirchner(Allemagne, 2001-26mn)Coproduction : ARTE, Hope and GloryARTE G.E.I.E.Inédit

    Elles sont jolies, adorent la danse et le foot-ball américain : ce sont les pom-pom girlsde l’équipe des Thunder de Berlin. Pourpouvoir soutenir leur équipe, elles ont suivipendant six mois une formation intensive ettrès sérieuse… Suivez leurs aventures tousles soirs à 20.15, jusqu’à vendredi.

    4. La première fois

    Lucy été engagée pour jouer dans une sérietélévisée. Anaïs, elle, s’interroge sur sonavenir professionnel. La saison de footballaméricain commence : les filles découvre n tenfin sur le terrain les solides gaillard squ’elles sont censées encourager et pourlesquels elles ont subi des mois d’entraîne-ment. Mais voilà que les joueurs ont la mau-vaise idée de perd re …

    j e u d i 25 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    Voyages, voyagesLa vie en feuilleton

    Paysages et traditions

    d’une île espagnole.

    La saison a commencé :

    allez les filles !

  • Film d’Emmanuel Finkiel (France, 1999-2h04mn)Scénario : Emmanuel FinkielAvec : Shulamit Adar (Riwka), Nathan Cogan(Graneck), Liliane Rovère (Régine), Esther Gorintin (Véra), Moscu Alcalay (Shimon),Maurice Chevit (Mendelbaum), Michaël Shillo,Abraham Leber, Alain Zylbering, Patrick Lizana,Magdalena Czartoryjska, Freddy EarleImage : Hans Meier, Jean-Claude LarrieuMontage : Emmanuelle Castro Coproduction : Les Films du Poisson, Le StudioCanal+, ARTE France Cinéma, Héritage Films,Paradise Films, Canal+ Polska, FCC, YMCARTE FRANCEPrix Louis-Delluc 1999

    Prix de la jeunesse, Cannes 1999

    Prix de la meilleure fiction, Jérusalem 1999

    César de la meilleure première œuvre

    et César du meilleur montage 2000

    Au cours d’un voyage organisé en Pologne,une femme âgée, Riwka, s’attarde dans lec i m e t i è re juif de Varsovie. Le lendemain, leg roupe se rend à Auschwitz, où ont périn o m b re de parents des participants. À Paris, on visionne le film de ce voyage. Lesoir même, Régine reçoit un coup de fil deson père qu’elle croyait mort dans lescamps. Mais, une semaine après les re t ro u-vailles, elle s’eff o rce encore de le re c o n-n a î t re : est-il vraiment son père ? Véra a suivi ses voisins de palier de Moscouen Israël. À 80 ans passés, elle se re t ro u v eseule et perdue dans Te l - Av i v, abasourdie parla chaleur et son impuissance à s’orienter danscette capitale où l’on parle peu le yiddish.

    Le fil tenace du destin

    Voyages réussit le prodige d’évoquer ledrame historique des juifs d’Europe de l’Esten s’attachant aux micro-incidents du quoti-dien. Ainsi, une banale panne de car dansla campagne polonaise ravive les angoissesles plus douloureuses. Du génocide,Emmanuel Finkiel ne filme que les tracescontemporaines, ce qui vient parfois re s s u r-gir chez les anciens déportés ou leurs des-cendants et qui marque à jamais leur histoi-re. Cela, le film le raconte avec une sobriété,une justesse e x e m p l a i re s . La prestation desp rotagonistes de ces trois voyages est d’uneauthenticité bouleversante. Aucun d’euxn’est acteur professionnel, mais, issus de lacommunauté ashkénaze, ils ont enrichi parleurs souvenirs le scénario de la fiction (cf.C a s t i n g, un documentaire sur leur re c ru t e-ment diffusé sur ARTE le 22 octobre). Lacaméra s’arrête longuement sur les visagesde ces personnes âgées, cherche à capterleur respiration, s’adapte à la cadence deleur démarche, au tremblement de leurm é m o i re. Peu à peu, le spectateur re n o u eles fils de ces divers destins dans le bru i s-sement des paroles en yiddish, polonais,russe, français, hébreu. À travers l’espaceet le temps, voici l’émerveillement de la viequi continue malgré tout, et renoue enfin lefil des histoires brisées.

    “Il me semble qu’en

    Israël il n’y a plus

    de juifs, il y a que

    des Israéliens.” (Véra)

    Voyages est édité en DVD

    par ARTE Vidéo, avec

    notamment en bonus

    le moyen métrage Madame

    Jacques sur la Croisette .

    Un voyage organisé

    en Pologne, le retour d’un

    p è re qu’on croyait mort ,

    l ’ a rrivée à Te l - Av i v... En

    t rois histoires distinctes

    et subtilement liées,

    Emmanuel Finkiel évoque

    l ’ o m b re du génocide

    sur la communauté

    des survivants. Une

    fiction sobre, émouvante,

    m a g n i f i q u e m e n t

    interprétée par

    des non-professionnels.

    20.45 Voyages

    Un banal voyage en car fait ressurgir

    des douleurs enfouies.

  • En partenariat avec

    “Je suis

    d’la mauvaise herbe

    Braves gens,

    braves gens

    C´est pas moi

    qu’on rumine

    Et c´est pas moi

    qu´on met en gerbes

    La mort faucha

    les autres

    Braves gens,

    braves gens

    Et me fit grâce à moi

    C´est immoral

    et c’est comm’ ça.”

    (“La mauvaise herbe”)

    ARTE FRANCE

    22.35Georges BrassensJe suis d’la mauvaise herbeDocumentaire d’Alain Poulanges et Guillaume Vincent (France, 2001-1h21mn)Coproduction : ARTE France, Atta ProductionsAvec : Pierre Onteniente, dit “Gibraltar”,secrétaire et meilleur ami ; Agathe Fallet,épouse de René Fallet ; Joël Favreau, secondeguitare ; Pierre Perret, témoin privilégié et ami ;Maxime Le Forestier, interprète, etc.

    Brassens par lui-même et par ses copains :des témoignages inédits, des archives éton-nantes. Brassens est devenu chanteur par accident ;p a rce que ses chansons étaient tellementoriginales, tellement inédites que personne

    d ’ a u t re que lui ne pouvait les chanter.Homme public malgré lui, il a subi en touteconscience les trompettes de la re n o m m é esans jamais se laisser éblouir par les éclatsde la gloriole. P i e rre Onteniente, dit Gibraltar, est re s t éprès de lui de 1945 jusqu’à 1981. Ami, frère ,s e c r é t a i re, chauff e u r, administrateur, il s’estemployé à dégager Brassens de toutes lesentraves matérielles, de tout ce qui aurait pul’empêcher de créer. C’est lui qui nousraconte le vrai Brassens, l’individu cachév o l o n t a i rement derr i è re la statue que lepublic et les critiques lui ont érigée de sonvivant. Il nous guide dans le quotidien aty-pique de cet artiste qui n’a vécu que pourson art. Il nous emmène vers d’autre stémoins pertinents : René Fallet, l’écrivainauprès de qui Brassens se rassurait àchaque nouvelle chanson ; Agathe Fallet,une des rares femmes admises dans lec e rcle rapproché ; Püppchen, la femme qui

    jeudi 25 octobre

    22.35-01.00 Georges Brassens

    Il y a vingt ans, le 29 octobre

    1981, Georges Brassens cassait

    sa pipe. Il avait tout juste 60 ans

    et 180 chansons. “Thema”

    h o n o re le bonhomme

    avec un grand documentaire

    riche en archives rares,

    en images intimes

    et en témoignages d’aff e c t i o n .

  • p a rtagea discrètement, presque secrète-ment, sa vie… On découvre un Georg e sBrassens pressé de questions, essayant der é p o n d re le plus sincèrement possible. UnBrassens souvent provocant, s’appliquant àn ’ ê t re jamais là où on l’attend, se justifiantsur les malentendus générés par ses chan-sons, dépassant ses réticences pour expli-quer comment il a écrit “Le testament”, don-nant quelques éclairages sur sa vision dumonde. Brassens l’anarchiste face auxgénéraux-vedettes chez Bern a rd Pivot,Brassens le séducteur face à Denise Glaser,Brassens admiratif en duo avec CharlesTrenet, Brassens l’amoureux fou des motsen conversation intime avec René Fallet...

    Je suis un voyou

    Brassens “monte” de Sète à Paris en 1940,poussé par l’ambition de faire carrière dansla chanson, avec pour seul bagage sonamour des mots et des notes. Issu d’unmilieu modeste – père maçon, mère femmede ménage –, il baigne dans une atmo-sphère où l’on chante de façon naturelle etquotidienne. Il en gardera une connaissan-ce exceptionnelle de la variété, pouvant àtout moment restituer les refrains et les cou-plets de Mireille, Jean Tranchant, RayVentura, Georges Milton ou Charles Trenet.Il s’installe dans le XIVe a rro n d i s s e m e n t ,impasse Florimond, chez Jeanne et Marcel,un couple un peu en marge qui l’accueillecomme le grand enfant qu’il n’a pas eu.G e o rges a 20 ans. Il partage leur pauvre t éet se reconnaît dans leur propension ànourrir tous les chats et chiens égarés. Il nequittera cet îlot que longtemps après êtredevenu une vedette. Car au-delà de l’artis-te brillant, provocateur et fulgurant,G e o rges Brassens cultive l’honnêteté.Fidèle, généreux, dégagé des contin-gences matérielles, il passe le plus clair deson temps à travailler : lire les poètes pourc o m p re n d re la poésie et écrire des textescomme l’artisan fabrique un meuble faitpour dure r. Derr i è re l’image publique secache un être sensible et en colère. Unhomme regarde le monde du fond de cetteimpasse et, entre les quatre murs de sac h a m b re aux allures de cellule monacale,crée une œuvre forte d’enseignements etde richesses. C’est dans cette impasse,dans l’intérieur de Brassens, que ce filmnous ramène constamment. Il y était totale-ment lui-même avec ses contradictions,ses habitudes, ses questions, ses aff i n i t é s .C’est là qu’après les longues semaines det o u rnées, il se re t rouvait tel qu’il souhaitaitvivre.

    00.05G e o rges Brassens,chez lui à ParisDocumentaire musical de François ChatelProduction : INA(France, 1978-47mn)

    Brassens donne un récital... chez lui ! Chez lui, dans sa maison de Paris, seul ouaccompagné de ses musiciens (contre b a s-se, deuxième guitare), Georges Brassensinterprète “Dans l’eau de la claire fontaine”,“Une jolie fleur”, “Histoire de faussaire s ” ,“Les amours d’antan”, “Le testament”, “Lemodeste”, “À l’ombre du cœur de ma mie”,Je me suis fait tout petit”, “Les ricochets”,“Pénélope”, “Boulevard du temps quipasse”, “Oncle Archibald” et “Le vieux lion”.Un Brassens intime, sur canapé.

    Brassens tel qu’on ne l’a

    jamais vu : des images

    privées, confiées par

    son neveu, le montrent

    dans des situations qui vont

    amuser, étonner, déranger

    ses admirateurs. Des

    images en couleur qui

    permettent d’entrer dans

    son intimité, de le découvrir

    potache, déconneur,

    heureux de vivre loin des

    exigences de son métier.

    1 9 8 1 -2 0 0 1De nombreux événementssaluent ce 20e a n n i v e r s a i re :

    ● Le coff ret 13 CD l aMauvaise Réputation c h e zUniversal. ● Les Oiseaux de passage,hommage de la nouvellescène rock française (Noir Désir, Yann Ti e r s e n ,Têtes raides, etc.) chez Universal. ● Trois ouvrages édités

    chez Textuel (avec FranceBleu) : les Manuscrits de Brassens, l’album le Temps ne fait rien à l’aff a i repar Alain Poulanges et les Lettres à To u s s e n o t. ● L’album Télérama Hors Série.● De nombreux spectacles, hommages, rééditions, inédits...

    “Brassens avait

    plus la notion

    du temps que celle

    de l’argent. Pour

    lui, quinze jours de

    tranquillité avaient

    plus de valeur

    que 2 millions de

    francs.”

    (Pierre Onteniente)

  • 14.00

    Design (4)Rediffusion du 20 octobre)

    14.30

    Album de familleRediffusion du 2 octobre)

    15.15

    Gabin, gueule d’amourRediffusion du 7 octobre)

    16.35

    HighwayRediffusion du 20 octobre)

    17.30

    Les infidèlesRediffusion du 13 octobre)

    19.00

    racksMagazine musical

    19.45

    ARTE Info

    20.15

    La vie en feuilletonÀ l’école des pom-pom girls

    euilleton documentaire ’Alice Agneskirchner. Le grand jour

    20.45

    Fictioneux-tu m’épouser ?

    éléfilm de Kai Wessel

    22.15

    La vie en faceSam, de la lumièreà l’ombreDocumentaire de Branwen Okpako

    23.30

    CinémaMaldone

    ilm de Jean Grémillon

    01.10

    Le dessous des cartesRediffusion du 20 octobre)

    01.20

    ouchez pas au grisbiRediffusion du 7 octobre)

    19.00TracksMagazine musicalRédacteurs en chef : Jean-Marc Barbieux et David Combe (France, 2001-45mn)Coproduction : ARTE France, Program 33ARTE FRANCE

    En partenariat avec

    > Tribal : Gamers À Dunkerque, comme dans toutes lesgrandes villes de France, ont lieu tous lesweek-ends des LAN parties (local are n ap a rt y). Des centaines d’adolescents seréunissent pour disputer des tournois dejeux vidéo. On les appelle les “gamers”.

    > Dream : Cui Jan C’est le père du rock chinois. À 40 ans, CuiJan est la bête noire des autorités du pays.Consacré par sa perf o rmance sur la placeTianan men en 1989, en soutien au combatdes étudiants en faveur de la démocratie, ilest l’idole de la jeunesse chinoise.Rencontre exclusive dans Tracks !

    > Backstage : Philly soundÀ la fin des années 70, la soul et le funkdominent la musique noire américaine et s’engagent dans des voies de plus en plus radicales ou expérimentales. ÀPhiladelphie, deux producteurs, Leon Huffet Kenny Gamble, inventent le Philly Sound.Mélodies sucrées, tempos ralentis etb i n a i res : c’est le creuset où se forgera ladisco. Aujourd’hui, avec des art i s t e scomme Bilal, Jill Scott ou The Roots,Philadelphie est la capitale de la nu-soul.Est-ce vraiment un hasard ?

    > Vibration : FEDS

    Un soir, dans une boîte de nuit du Bro n x ,Antoine Clark se fait tirer dessus. Bilan :t rois balles dans le corps et dix-huit moisde paralysie. Dans son fauteuil, il a l’idéede monter F E D S (Finally Every Dimension

    of the Streets), un magazine de la rue avecdes interviews de gangsters et de prison-niers. Aujourd’hui tiré a 100 000 exem-p l a i res, c’est le magazine préféré des prisons américaines et des rappeurs. Sonfan club : Snoop Dogg, Eminem... FEDS oule côté obscur du gangsta rap.

    20.15À l’école des pom-pom girlsFeuilleton documentaire en cinq parties d’Alice Agneskirchner (Allemagne, 2001-26mn)Coproduction : ARTE, Hope and GloryARTE G.E.I.E.Inédit

    Elles sont jolies, adorent la danse et le foot-ball américain : dernière soirée en compagiedes pom-pom girls des Thunder de Berlin.

    5. Le grand jour

    Anaïs re c h e rche désespérément une for-mation. Elle espère pouvoir intégrer unhôtel. Lucy, elle, ne pense pas encore à unfutur métier : elle vit à fond son activité depom-pom girl. L’équipe des Thunder col-lectionne désormais les victoires. Toutes lesfilles sont de la partie pour une grandiosefinale à Amsterdam.

    v e n d re d i 26 octobre

    es horaires correspondent ux codes PDC, auf indication contraire.

    La vie en feuilleton

    F E D S, le magazine favori des rappeurs et des taulards.

    Le bouquet final.

  • (Hat er Arbeit ?)

    Téléfilm de Kai Wessel(Allemagne, 2001-1h30mn) - VFScénario : Beate LangmaackAvec : Wotan Wike Möhring (Karl Hansen), Mina Tander (Kitty Pawelek), Kai Ivo Baulitz(Thorsten Minkwitz), Julia Richter (Tessa)Image : Holly FinkMontage : Tina FreitagMusique : Ralf WienrichCoproduction : ALLMEDIA, ZDF, ARTEZDF

    Karl, jeune soudeur dans un chantier navalde la côte baltique, est très attaché à sontravail. Mais ce qui compte par-dessus tout,c’est Kitty, l’amour de sa vie. Ils se sont juréde rester ensemble quoi qu’il arrive. Autourd’eux, pourtant, le bonheur semble de plusen plus difficile. Le beau-frère de Kitty, au chômage depuis de longs mois, sombredans la dépression et se suicide.H e u reusement, Karl a du travail, se dit Kittydevant la douleur de sa sœur. Les ru m e u r ssur les difficultés financières des chantiersn’inquiètent pas non plus le jeune homme,tout à son bonheur. Lorsque sa lettre delicenciement arrive, son premier réflexe estde cacher la vérité à Kitty. Elle finit bien sûrpar l’appre n d re. Comment cro i re encore augrand amour et à un avenir commun ? Aprèsbien des tourments, ils tro u v e ront pourt a n ten eux la force de réagir…

    Kai Wessel

    Né en 1961, Kai Wessel tourne depuis 1980pour le cinéma et la télévision où il s’est faitc o n n a î t re entre autres en réalisant deuxépisodes de la série policière S p e r l i n g e tl’adaptation en treize épisodes du J o u rn a lde Victor Klemperer de 1933 à 1945. Tro i sde ses longs métrages, M a rtha Jellneck(1988), Ein letzter Wille (1994) et Mon frère,cet idiot (1999), ont déjà été réalisés en col-laboration avec la scénariste BeateLangmaack et diffusés sur ARTE.

    20.45 Veux-tu m’épouser ?

    Karl et Kitty vivent

    un amour comme

    on n’en fait plus.

    Le licenciement

    économique

    de Karl, ouvrier

    au chantier naval,

    va-t-il tout

    d é t ru i re ?

    Drame social au chantier naval.

    Karl (Wotan Wike Möhring)

    et Kitty (Mina Tander)

    au temps du bonheur.

  • Le film est jalonné

    des poèmes de Sam,

    tels que celui-ci :

    “J’ai grandi dans un

    camp de concentration

    De RMIstes et de junkies

    Le cimetière proche

    ressemblait à une

    invitation

    Dans ce trou,

    Dieu n’existait pas.”

    Documentaire de Branwen Okpako(Allemagne, 2000-1h13mn)Image : Susanne SchueleZDFMeilleur film, First Steps 2000

    Prix de la ville de Duisbourg

    Prix bavarois du meilleur documentaire

    2001

    Un “Saxon” : tel était le qualificatif inscrit en1992 sur l’affiche montrant le jeune SamM e ff i re en uniforme de police. Né en 1970d’un père africain et d’une mère allemande,Sam Njankouo Meff i re a grandi en RDA. En1992, il devient le premier policier “de cou-leur” de Saxe. Il est aussitôt présentécomme un symbole de tolérance et d’ouver-t u re. Dans le cadre de la campagne contrela xénophobie, Sam est très demandé parles hommes politiques, la télévision et lap resse, appelé à incarner un pays devenuprétendument multiculturel. L’ascension dujeune homme semble irrésistible. Mais sou-dain, en 1994, Sam quitte la police etdéfraye à nouveau la chronique : cette fois-ci, il s’agit d’un procès spectaculaire pourattaque à main armée et chantage…

    Un bon Allemand

    Sam, de la lumière à l’ombre retrace le par-cours original et inquiétant d’un jeunehomme qui fut érigé en symbole de la tolé-rance de la nouvelle Allemagne, mais quin’a pas assumé le rôle de bon citoyen “noiret allemand” que lui ont imposé les médiaset les politiques. Pour retracer cet itinérai-re, la réalisatrice Branwen Okpako a inter-rogé Sam Meff i re et fait appel aux témoi-gnages de sa mère, de ses ancienscollègues de la police, d’ex-complices dumilieu du banditisme et de journalistes. Au-delà du parcours d’un individu, elle brossele portrait de l’Allemagne des années 90.

    Branwen Okpako

    Née en 1969 à Lagos d’un père nigérian etd’une mère galloise. Elle étudie lessciences politiques en Grande-Bre t a g n e ,puis s’installe en 1992 à Berlin. Elle yintègre l’Académie allemande de cinéma etde télévision. Sam, de la lumière à l’ombreest son film de fin d’études.Sam, de la lumière à l’ombre

    sera présenté à l’Institut Goethe de Paris

    le mardi 23 octobre à 16h.

    v e n d redi 26 octobre

    22.15 Sam, de la lumière à l’ombreEn 1992, alors que l’Allemagne réunifiée est en proie aux incidents xénophobes,

    un jeune policier germano-africain est érigé en symbole de la tolérance.

    Deux ans plus tard, Sam Meff i re quitte la police… et participe à un braquage.

    Que s’est-il passé ? Un inquiétant portrait de l’Allemagne des années 90.

    Sam Meffire

    purge aujourd’hui

    une peine

    de dix ans

    de prison.

  • 23.30

    MaldoneFilm de Jean Grémillon(France, 1927/2001-1h24mn)Noir et blanc - StéréoScénario : Alexandre ArnouxAvec : Charles Dullin (Olivier Maldone), Marcelle Charles-Dullin (Missia), Génica Athanasiou (Zita), André Bacqué (Juste Maldone), Roger Karl (Levigné), Georges Séroff (Léonard), Geymond Vital(Marcellin Maldone), Annabella (Flora)Image : Georges Périnal, Christian MatrasDécors : André BarsacqMusique (1927) : Marcel Del