jd 35 coordinations
TRANSCRIPT
« Dispositifs de coordination en santé mentale? »
Rencontre Départementale
Carrefour 18 Rennes
Le 6 septembre 2012 14h30 à 17h
Déroulement
Introduction
Qui est là ?
Ateliers / questions
Restitution
Échanges
« DISPOSITIFS DE COORDINATION EN SANTE MENTALE ?»
Selon vous, pourquoi les coordinations en santé mentale deviennent-elles une priorité actuellement?
Quels sont les espaces de coordination que vous mobilisez dans vos pratiques?
Pourquoi, pour quoi faire?
Quels sont les facteurs de fonctionnements et/ou
disfonctionnements?
Pourquoi les coordinations deviennent-elles une priorité actuellement ?
Circulation, échanges, points de
vue complémentaires, regards croisés.
Parcours complexes, besoin d’identification, et interconnaissance
des acteurs multiples sur un
territoire. Besoin de cohérence, fluidité,
orientation, sécurisation
Pluralité des approches validée,Respect des professions.
Multiplicité des espaces, complexité des
systèmes : rationalités diverses (économiques)
Nécessité de collaboration,
réponse/prévention à l’isolement des professionnels: changement de
pratiques – acquis de l’échange
Accompagner les
changements de regards
citoyens, déstigmatisation
Limites de la coordination : pour qui et par qui?
Définir les rôles, missions, limites acteurs et institutions
Optimisation des ressources
Impact place de l’usager dans les textes.
Quels sont les espaces de coordination que vous mobilisez dans vos pratiques ?
Acceptions larges ou étroites
des « coordinations »
Multiplicité des dispositifs
Intra / extraAmont /aval
3 types :Fonction de coordination et animation (AS)
Espaces d’appui aux professionnels (CDAS, centre hospitalier Guillaume Régnier)- Instance politique : identifier procédures, besoins, situations non résolues
Coordination omniprésente dans
les pratiques
Evolution des freins à la coordination : ex : vers le partage du
secret
Instances de concertation/espaces de coordination/ coopération
Nécessité de supports synthétiques matériels au niveau du département, et
pas limités à la dimension ville
Pourquoi, pour quoi faire ?
.
Limiter la souffrance en limitant l’exclusion
Pour moins s’ennuyer
Améliorer la qualité:
Pour les professionnels : pour avoir plus de ressources, ouvrir sur d’autres coopérations,
destigmatisation entre professionnels, donner du sens à son action
Pour les personnes : sens, lisibilité, approche globale, cohérence – plus de
choix, acteur du parcours
Recherche de synergie : ouvre vers idées, solutions nouvelles, créateur d’innovations
Accompagnement des usagers:Mobilisation des ressources
Tenant compte de la variabilité psychiquePrise en compte des difficultés spécifiques au handicap psychique
Insertion professionnelle reste « le mur le plus haut »
Identifier et porter collectivement l’expression d’un besoin
Facteurs de fonctionnements et/ou disfonctionnements ?
Culture partagée et culture du partage :Minimum essentiel
Un porteur
Volonté d’institution:- Moyens
- permanence
Outils de coordination : Répertoire
Temps de réunion…
Climat de confiance, non-jugement, accepter les conflits, la confrontation
Taille : plus on est nombreux, plus c’est difficile, problème de lisibilité
Temps : besoin de temps pour sortir du « perso-dépendant », par une structuration
Question : quelle pertinence des rapprochements? De structures, de
territoires…
Nécessité d’une volonté politique : à quel niveau? Qui impulse? Superposition des niveaux?
Légitimité des uns et des autres
Sens et éthiqueDignité et liberté des personnes?
Responsabilité partagée
Moyens financiers et resocialisation?
Places, pouvoirs, maitrise
Ouverture à d’autres types de réponses (associations)
Se donner des règles (mais pas
trop)Humour
Echanges
• Actualités locales : échanges, mises en perspective
• Infos régionales : 25 octobre et 4 décembre
• Groupe de travail « milieu rural »