ii1 n i[i] - toulouseimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1870/b315556101... · 2010-03-05 ·...
TRANSCRIPT
66' Année. ---'
Drnxelles, 16 novembre.L'Inddpieidavice publie eue dépéolto de
Vienne, lU novembre, disent quel'Augle-4mre, la pT¢ryuie, I'Autrioha et l'Italied'accord our garder nue attitude com-muuo envers la 110501e, rédigent 000 note'vu.
lie00'50 00eéCnR-
Tours, 16 novembre.0 heures du soir.
Un décret dn 14 parte formation de 19nouveaux régiments de marche.
U. autre décret proroge jusqù au 31décembre l'outrée en franchise de toutesmunitions de guerre.
ge )usqu su 15Un autre décret prorogedécembre la suspension es prote desetf.te de commerce souscrits avant le 11,000t.
II1 N I[I]POLITIQUE ET LITTERAIRE
ABONNIMBNT3:HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRITHES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS (F7e4). {
TOULOUSE Un au, b0 f.; 6 mois, et L; S mois, Il f. Un. aa -asxuz. Dopons Arrivées r Lient D3 ,01x:DÉPARTEMENTS - 50 f.; - 26 . lb f. IMatiO l0 -t. W Madn 8 h. rr5
Dépare; AnfvéuDéparte: Amvéee : [soir (exprta) Y W Matin(expeHO b6
ÉTRANGER Las fraie supplémentires de pat en sas. '.Soir 3 GO Soir ig Souri 9 ar 20 Matin 8 hr StlMatin 6 h. 30 Matte Agen 8 h. 68 Soir 3 OU Soir (mazLà.) 5 35soi Caveau. 6 16 Soir b 5i
On repoli les Abonoemente et lest Anneeees: Matin (expr.)11 le36 So 3
soit, (express) l 45Soir ii 30 Soir f0 IXI Sou (march0 5 05 Soir B W
Sov 1 20A TOULOUSE : Aux bureaux du Journal, me St-Rome, bb. Soir Agen 6 20 Sou 10
40LWRB [a Bdlomm. WGNa D'ORLitAae, taxoa.sial:
A PARIS : elle. M. Havas; rue J: J. Romaeau, 3, Soir (march.)10 30 Malin 8 h. 00 Matin 8-b. 301... 6 h, 40 Matie 8 h, 13et'ahea MM. Laffitte-Bullier et Ce, place de t Bourse, 8; Matin (.P,.) il 45 Soir t 3 Soir 1 55 Soi, 3 67
M. Fontine, me de Trévise, 22,WGna Da CCrra. Soir tiuPan 2
20Sol, 5 58 Soir 5 IO Sou 8 51
Seuls Correspondants peur la Annoaoea. { Matie 6-b. OS Matin(msreh.)3 h. là S Mortel;. 5 40 Seul IO 201 Sou it 25 {
318 BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44.m
17 Novembre. Elle a résulta enfin dinviter le gouver La République a obtenu 0 suffrages,ontToulouse, moment autrichien à reoannaftra et à s les led ee do M penxiar 27,
tenir la république française par tous lesduo de
Moletpri e Alphoosa 2, la cilla du- e ..._ÿ moyens.
ll y a eo 1 J e
oinlleHns
blancs,BOURSE DE TOULOUSE. curas 5000 a !
In'y a aucun désordre.
eu 16 Novembre Tours, l0 novembre,CaaeP' f h. 5, m. soircarloms. M51. les Abonnés dont l'abonnement
Autrichiensmal
50000 Dépêches da éfiois10,0' expire le i5 Novembre, sont priésMob. Espagnol. Plus de 10,000 Prussiens, cavalerie et
rie ont réoccupé Dfon le 14. Pi le renouveler s'ils ne veulent' pannvoiBOURSE DE LYON. { L
intact'es troupes frauyaisas out oâ, co pé éprouver d'intutxmption dans i o
Cours du 15. Brouet. du Journal.
Rente52,90 Esps'ool SOSl Lyon, 810;
Autrichien, 755 0; amtierds .c.., a
BOURSE DE BORDE AUX.
Cours du CI.
Londres, 11, novembre.Le Times publie une di1'oSe da Viennerestaient qu'il
estbeaucoup question
dune alliance do ISingleteere, l'Autriche,l'ttelie et la'raequle.
Chronique Locale.
Ronto : (f iel; Orléans, 000,.,;Pleut1870: 52, 25 Midi, 530, ..
E.
BOURSE DE MARSEILLE.
Cours du 15.
Rente: :lt,00 Lyon, 0'0,00).. as
Autrichiens-tae'
Dépéehes TMa.lrrephlgnes.Dlpéohes poosi;ennea
- fortin, 10 novembre, minait.Des déserteurs échappés de Paria di.
gent que le général Troche prépare unegrand, sortie, dont l'objet serait de ra-lever aan prestige ans yeux de la popula-
tion.
Los Allemande out coudrrut de en-vellas batteries sur las hauteurs de Rain-e
de Notsy, sur les hauteursSaim-Denis,de Mon, vis-à.vis bd.
à B-c"xet Près
U. nombre considérable d'officiers suis.ses d, l'armée papale ont pris service sousles ordres de AI. de Charette. I.e comtede Chmnbord a donné une autorisationformelle à ce dernier et à d'nulles parti-sans des Bourbons de se
rallierallier au dra-
peau républicain pour combattre l'Alle-magne.
âE.5 APEUEIT POMT®tPH
Tours, le 10 novembre.
Londres, 13 novembre.On assure que le gouvernement anglais
uite des déclarations de la tluseie, acrdon,,é de préparer la flotte et en a aver-ti tes cabinets de Vienne et de t?torence.
Vienne, 15 novembre.Une réunion populaire a su lieu anjour-
d'hni pour exammor l'at[itvde à prendreduo le cou llit frnnao-pruseiea.
L'assemblée a voté plusieurs ondoiesqui protestent contre la contiraatien des
hostilités par la Prusse, coutre la barba-rie prose tonne et contra le droit do con-
quête.
FEUILLETON DU JOURNAL DR TOULOUSE.
aa 17 Novembre 1870.
L'Invasion.crier
dans tee oreilles: . Seau.Claude!.., u cr ou d ailleurs,n
é[mt à reoomme¢-l'observait, et, malgré ('e- !, Catherine!... Jéreme! Ils ne répco- ter.
nivrement du triomphe; malgré la certi- tlg:ent pas. Gaepard Lofévra voyant sa Marc Divès fut ohligé de raconter plusLents d'avoir échappé à la famine, la vieux mare et Louise immobiles et Ies devis ter de vingt
fais
l'h,atoiee de sou oyage à-soldat ne pouvait ev défendre d'un sen é s duà Marc que si elles n'en revu- Plual ours. Le brave contrebandier
" ' avr
tinrent td'admrratrou : o t pus, il se ferait sauter la tète avec vt e eu de titanes a ès a oire Regarde, disait-il à Jérôme, il fait a n fusil. Marc répondit que chacun était échappé par miracle aux halles des hae.
comme nous autres en revenant du Do. libre, mais que, pour sa part, et ne se errtieôc, il était allé tomber, dans la val.brdleeaft as la cervelle à canne de Hexe- lie de S oetz rod, au milieu
o
d'une bandeet dcède
Grepas à : il reste le dernier p p P
et as cède que pas pas. n s ment IL 50Bsiml. Enfin, le vfenx Clon ayant ter e fo d en coca, qui l'avaient. dévalisé dey a des hommes de aman de ns tous les
sese sa battu sur ..a pierre, Easper élaterne fond en omble rn lui avait fallu rôder
Pays mils tout à ognp, ouvrit les yeux, et, ensuite durant deux semaines autour des
Mura Dtvéa et Pleurite, témoins de en voyant les vivres, te mit à claquer dos pestes russes qui conrefeni la ville, ercoup de fortune, descendaient alors au dents comme un renard à la chasse. gant le feu de leurs sentinelles, et rie-
milieu des sapinières, pour essayer de Alors n omprit ce que cela voulait quant vingt fais d'être arrêté comme ea-
conper la entraiteau général ennemi, mais dire, et Marc Divés, allant de l'un à l'ou- i pion, avant de pouvoir pénétrer dans lai!s ne purent y parvenu. Le bataillon, ire, leur passa simplement sa gourde sous place. Solin, le commandant Meunieréduit de moitié, Tonna le carré derrière le ses, ce qui suffisait pour les 'cas - lléguant la faiblesse do la garnison, avaitr
le village des Cha me, et remonta lente- ter. Il. voulaient tout avaler à la fois; d'aboni refusé tout aur uses, tee n'eut
ment 1, vallée de la Sarre, hiess'arrêtant mais le douteur Lorquin, malgré ea crin. qu'a la sollicitNoa Qeessants des bnnr-e is er cou-d vei oorale bon s ét suca g 9 Pàa, dté villePorme u¢ eau lie r c ni leeu
µce ryoriels g
ens e rle roin
ls reliede tacher do
ui1ux cou
avaita
fi nimise.gg e pas les écouter et u m nM p 8le.a o-te ue h mues arckte à la mai.., lors detait m rit Harda écoutant ae récite Chat Le edru étnD'ameut les furait 8Isbour g esse. Périr.gqliede pillait,, on oeua Y
i Durq uni chacun ue reçut un p5µ dn admiraient le aouraga de Mara, a persé.yaient de le serrer trop prés, p
o
AinsiIncision
t la
a
ye
Ain ee termina grande bacille du polo, un ,,ai et mi verra do
evin, ne qqi ' Véraua aµ gfiliaµ due dangnia,
alkeneteinr aonnµe dans la ul atagne [anima sitguliérentept leur moral; pela I a Lh) répandait le grand wukolaµdtsp
Un antre décret nomme substitut à laCour d'appel de Toulouse, M. CharlesBigot.
aura. m9rLr.Ha.
Tours, 10 novembre, 0 h. eoirVersailtos, 15 novembre.
(Dépêche prussienne).
Aucun mouvement des Franenfe n'estsignalé ni à Paris ni sur la Loire.
Bombay, 1f, novembre.Selon des nouvelles de Chine, de nou
x entreges contre les Praeoais au-rafent eu lieo à l;a-ton.
Les exécutions des meurtriers ont été
ajeurrrées.
Dernière Dépêche.Tours, 17 novembre.
7 heures 30 m. afin.Amsterdam, Il; novembre.
L'f7aneteistled Publie un télégremmede Londres disant que lord Granville edéclarécatégoriryuement que l'Angleterre
cmiamse es cor:1.0050.
Confection do la Liste du Jury.
AVIS.
Le Président de la Commission dmi-nisleative Municipale de Toulouse al'hon-ae,d'informer ses ad,oirlillies gùenexécution des décrets des 7 sont 1848 tf' octohre 1870, il vient d'être procédéà la oonteciion de la liste communale dujury pour l'année 1871.
Cette liste est déposée à l'Uôtel-de.Villebureau des Élections, ou tous intresséspourront en pHmidre ooni 's ante, et1 u s'il y e lie , fours réclamationsécrites pendant trois jours, à partir du 17novembre courant.
La communication de la liste aura lieude 1 tJ heures da rnatim à 5 heures du soir.
Filas Capitole, à Toulouse, le 1n ce-vembre, 1870.
Le président de la Csmmissionedrlfniateative municipale,
O. Cous es.
Les citoyens gardes 'nationaux de la2e compagnie, canton Sud, sont prévenusqu'ils devront prendre la garde de tousIes postes de la ville, le 18 novembre, à7 heures 111 du soir.
L'adjudant major,
Les sit ,yen s gardes nationaux de la 7ecampagui dn canton centre, sont préve-
,s qu'ale devront prendre la garde detous les posts de la ville, le 19 novembreà 7 heures et demie précises de soir.
L'adjudant major,
Vallée.
GARDE NATIONALE. MOBILISÉE.
avis.
En conséquence, taus les citoyens ap-poeteaemt à ces deux catégories qui eési.dent dans la commune de foulouse sontinvités, sous los peines de droit, à se pré-senter, d'ici eu 20 de en is, à l'Hdtel.de-Ville, salle des Pas.Perdus, pour sefaire inscrire sur les centrcles de la gardenational, mobilisée.
Ils devront faire unaltre leurs noms,prénoms, profoaton, demeure, lieu et datede la
naissanrce
, dont l'administrationfera, s'Il y a lien, vérifier l'exactitude.
[la devront aussi déclarer s'il ont déjàsils ont appoeten u a 1 Por-
Gons due tinçents, d,qu 1 psenquehlsont été alfecléo, et,le c s ébbéant,le grade qù de avniecO.
fous .les citoyens qui se trouvent dansles limites d'àgo indiquées ci-dessus doivent se présenter, lors mémo gùila araient été déjà exemptés on laissés dansleurs foyers à titre do soutien de famille.tel n'y d'eaoeption que pour les individusefroppés d'esclnsion Par l'article 9 do la loidu 13 juin 1850.
Irait au Capitole, à Toulouse, le 15 ça-ve,ubre 11,70.
I.e Prdsident de la Commission admi-n6efratieomoeseipcli,
G. Cous,v.
Om a pensé deus plusieurs départe.ments qù aux termes du décret du S no-vcmheo 0o Pont, il y avait lieu de four.
ter le matériel des douve nouvelles bat-teries de canons à balles, instituées parlad it 3écre,. Les prescriptions dont ils'agit s;ippliquent excros,vemcet à l'or.ganisation du personnel, le matériel cons-
lova les ateliers de l'El[, devantétro livré par la mintste, de la guerreaux lieus de
rassemblemeint
des basterfes,et les batteries devant elles-nsémes êtrealtchéa à l'armée active.
snrv,oR saarAt P.un mats.
Le Moniteur universel pohlie Ponts dela direction générale des télégraphes etdes postl'aes!
A venir, les lettres à expédier à
Paris par ballon monté, pourront êtreadressées directoment à l'administration
ntrale des télégraphes et des postes, àfours.
. Cas lettres devront être renformies
dame une enveloppe portant la suscrip-tien suivante;
A Monsieurle directeur tendent des lelégraphes
et des postes,A Tours,
(Pour Parts, par ballon monté).
. Le directeur général ayant la franchi.
se iltimitée,l'enveloppe pot tact son adres-se ne devra pas être munie do timbres-post La lettre à expédier à Paris sora
is soumse aux droits demdél
Jeudi, 17 Novembre
PARI? DFS 1NNONGU :
Annonces, 1a ligue 0 ,r. 50Réclames, te ligne 0 50Fait divers, la ligue 1 00
BUREAUX : Rue Saint.Rome, u, sa premie .
Touloaae, Imprimerie Philippe Montabia, petit rue Bt'Rame
Les timbrec.ppat appliqués sur lestaures venant de 9tete, sans fond grisImrdés eu bleu clair dans le foud grison lit: Porte EO ecnlimea (sana autre iode..cation.) Il est aessi à découpures-
Le timbre postot porte : secte, 1'. leode, 0 novembre, - 55 (Chiffre du dépar-tement français).
Lettre reçue à Toulouse, le 15 novem-bre.
AVIS.
Les hommes qui ont l'habitude de clin-val pourront ères ad rets à s'engager dansla cavalerie s'ils produisent le co sente.
de Figeac en remplacement da 3f. Maigresde Sarrasac, décédé.
M. Baylac, licencié-ds-lettres, aaireran
Auxiliaire au lycéade oulouse,a été nou-é professeur de Rhétorique au Collées
de Figeac en remplacement de MI. Fréta.fan appelé à d'autres fnnatiuas.
Agen, IO novembre.Un de nos concitoyens dent notre ville
élit justement fidre, M- de Carssade, qé-lérnl de divfalon, vient, dit la progrèsde G ll de c I à tes; -su,qu 3 p pl 'e,àP I accroità la défens' denté I- a p t- I
orieuz ceu
de neta
ni, it le ement du chef du dans le uel ils aeecorps 4 is par sortie par sa
lacils,iss
veut^at enLeer. ae ah
mis et par la. patrie, à laque!Ie ealatente et son dévouement étaient si utilesenjeu d'Imi,
es l'audience d'hier, le tribunal sauce. Indamné le nt d T lb -onne e ou ouse a co om
me Espirac, marchand sellier 'à l'on'ouse,puer délits d'abus de oo,fianoe et bznau'J-ante simule à trots mois de p.^.sov ei 1f
le. d'amende,
A la mémo audience la plainte eu dif.(émotion do M. Sales, profeaso0r de décla
lion, contre le n éB
omm aété appelée et renvoyés à huitaive-
OBSERVATOIRE DE TOULOUSEDireele,ir : M. Daon
Bxtmit des Oh,nevatiens Météorologiques.
Du 1 O Novembre.
Thermom. centtg. a pour,
aeuRas. oaaoa. Arsr ou tien.Altitude 19à m.
9 b. m. 0°',7362 --; nuag.
midi. Om,7300 - -3 h. s Om,73:i0 - beau
Un convoi de 500 p01': ton nu bavaroisest arrivé hier matin à l'au. On Ies a fo-is à la caserne co sont en rendu ortie
gis beaux jmnea cens riayari pas I'âppa-e d'avoir Drap éprouvé Ies sonOrances
deela guerre. Ils ne parussent pas tropaffectée par leur oaptieité; quelques-uus
portent des déeoeotions.Le déteohement comptait deux mata.
des, qui ont été conduits l'hospice.III ioar,ul).
Lvou, 11 novembre,Les journaux des localités à proximité
5.1, de celles Occupées par les troupes de \6er-f08, ciel continnnnnt aujourd'hui les ru,ase(-vam.. gnament que voici :
O'après les npüvelles qui nous arriventce matin, Chagay n'eet pas ancore me-nanb,
JI se pourrait même que la position tdtévitée partes Prussiens, qui prendraientune autre dieection,dans leur mouvementsur Lyon, sf mouvement Il y a.
Il reste à savoir quelle direction ilshoisiront quaod ils auront franchi la
Saoae à Saint-Jeaa-de-LosneOn entendait hier de ae côté nue fortet nnade: donc il y avait une actionsé-
L use.Une dépêche nue par Màcon, nous
apprend que des éclaireurs prussiens ontparu à Nuits, annonçant la martres d'uneforte acommus sur Beau 'Vennenais,nf
a été vu àt'favanx (fera).
- SOt. faib.
SOt. faible.
NOL lath.
Le haes vines continue de baisser trèslentement,
Ii est tombé pendant te nuit et dans fameli0éa 2 mil.:[ de pluie.
Moyenne thermométrique de te journéed'hier i 00,6.
Pour la chronique et touter qui précède.
A. Pinot
Par décret en date du 9 novembre, M. Aucun mouvement se prononceraMaury, de St-Girons, élève de l'école da probablement du coté de l'Alsace avantsanté militaire de Strasbourg, a été
moi..
la prise de BOlfort et de Resaneon , snié chevalier de la Légion d'honneur, cette ville n'est tournée par les colonne
yant fait preuve d'um aile et prussiennes.d'umdévmremeut remarq ôtes dans l'an. Nul renseigm nt mi peu sûr n'estomplissement de sa périlleuse mission encore parvenu à Bourg.
aupMrèmmdtes blesssésfile de l'honorable ira.
peesowcs enues de Dijon,, LIpecteur
pyrimai
re ade l'aeroed,senmem tla9arrlait, ville n'est pire oo-
cupee que p p uun ctit c segai-St-Girons, pas euemies. Le gros de I canes qui y
était o0uaant il y alie
e es leurs,s',at porté
auto
tour 10010 laprenne
et sur plu-Per arràté de M. le Recteur de l'acadS- é s peints où il isole la passage de la
mie de Toulouse: Siedne.M. Petit , lioenoié.es-lettres , aitre De Dijon en entendait, avant.hier, le
Auxiliaire au lycée de Toulouse a été nom. canon. Les uns penser[ qu'un mhat ame Professeur de philosophie au Col a, I en lieu avec les troupes de l'Est; d
sor acuFrisident Commissionaura rocours au es plutdt que de Le de la talonnais.a
sosie.SontPtien munie[ ale de Toulouse a l'hon-toahuit ir 9ue la reculealité de la Sler Noire P [relents Ies antres condt-soit annulée. de rappeler e ers administrés qti un 1 rions qui ont été indiquées dans un pré
.gacrr
des dn 1 novembre s Tant a rendu cèdent avis pour l'expédition de terres.il, 1 ru,mbre. gardes n nlidcudmobi0 1 tons les pondante par ballon..u sc ut
nIe s, pa été
élélr, à u seul hommes o cola 21 à
440
a ans,
, mariés outour
de
escrutinin,
par 191suffrage
es. veufs avecenfantes
ts.
sous le nom de bataille des Baehies. I an chargea Catherine, Louise et Ies autres
YCV[sur desschlius, et l'on redescendit au vil.log
I_ A peine le coulai terminé, vers huit Quant à peindre maintenant ours aou-hnnres, Marc Divés, Gaepard et nos teen- ` iesma ee 1 attendrissement de loura amieLaine da montagnards, avec deshottes 1,,gL,onles vit r, nir, plus maigresvivres,
etnoméeent au FallLensteiu. Quel que Lazarus debout dame sa fosse, test
apeotcle les attendait là-haut! Tous les I chose impossible. en ao regardait , onass égés, étendus à terre, semblaient i s'embrassait, et à chaque nouveau enumarts. On avait beau les se leur d'Abeeschwiller, de Dagsbueg, de Saint.
d'un air de bonne humeurs cava qui lefélicitaient, je n'ai fait que mon devoir;estoc quo te pouvais laisser périr Ies ou-
aerda13 Je sais bief, que ce n'était pasf mile; s sue x de Cosaques sont plusfins que les douanier'; ils vous flairentd'us lieue coiwme ls corbeaux; m .jec'est égal, nous Ies avons dépistes toutde mémo.
Au bout do cinq ou six jours, tout lemonde fut ai,, pied. Le capitaine 'oidal,de Phalebourg, avait laissé vi gt-cinyhommes au pour gardon lisp d G .I d 1 f hait dn vl tel g l I 1 1 . -i 't tous les ma-tins au vila". I llié avaient topa
me l tuapasté en Le, ait po Alaaee qu entour
voydes places fortes.
Bientôt on apprit tee victoire-s da Champ-AVbert venu Ohmtmirail; main Ies temIeps
étaient venus d'un grand nralhem : salliés, malgré l'hérdtsme de notre arméeentrèrent à Parie.
Ce fut un coup terrible pour lcan-C.leo,de , Catherine , Materne , Jérôme etlento la montagne; nmfs le récit de
i entre pua sana notreana énén"et'histoirq d'autres ont raconté ces choses-
( La paix faite, av privtempa, ot r reblltitte ferme du Bois-deClones; les liOahe-nous, lasabotie.re, Ies maçons, les flotteurset tue tee ouvriers du pays y mine,O lamain,
ersl m o d e ua l'a méa a aV a é c stm P q Yéc licenciée as ard ac cou a tee mette.O P P
'ia a anec Loui$etaule eot en t ual eub 4
lien. ' )es fanai sauter sur rues genoux, je leurCe jourlà arrivèrent tous les combat- 1 apprendrai ma vieille cbansou, et puis
lents du FHlkenstein et ou Donon, et la i j irai rojotndro les anforme Ies reçut portes it tonétrea ouvertes t Cola dit, il embraseae Louise; et, brasà deux ha,tants. Chacun apportait ses dessus, bras de=sous, avec f31,00 Divés 0tprésente ans ar)és ; 7éromo, des petits 7éeôme, il descendit à sa oaésine, suivi ditsouliers pour Louise ;Materas et ses file, tonte la unau; que répétait eu chmnr !otin coq de beuyèeo, le plus aur Peux des chaut sublfmo. Ou n âvau jamais 'u deoiseaux, oummo chacun suit; Dives, des plus belle nuit : des étoiles fmmnLranlespaquets do tabac de contrebande pour ballaient a,, ciel dans l'ozur 00,nhre ; IesGaepard et le docteur Lorquin, une lu. buissons au bas de la c11',, ou l'on avaityette de fine toile blanche. enterré tant de braves gens, frissonnaie,1
Il veut table ouverte jusque dans les mut bas.Chaeun ne sentait j,yeus rtae-rm,ges et sous les hangars. Ce qu'an I tendu. Sur le seuil de la petite baraqua,
dv, d p fe d d m ae serra la muni, on s, leta [es et de d o ) ! /j') p s l l' e , bo sur ; et tuas, les uns à droite, leé
b s t Jeau- ' autresce que )e a auc,l aq otites trou eg P rP ps, senClaude, fort sombre mdepuison, l'entrée des retour0èrenta leurs villages.alliés à Paris, se e o ma ce jour-lè an Bonne unit, Materne, ldeSme, Uivés,Chantant le vieil air de sa jeunes., aussi Pio[ette, bonne nuit ! =criait Jemi-Clau--allègrement que, lorsqùil était parti, lu de.fusil sur l'épaule, pour VRlmy, Jemmapes Ses vieux amas se retürnaient
i,et Fleures. Les échos du Falkenstetn en tut leurs feu[res, et tous so d,aimit énface répétèrent :,u loin ce [ux chant po. , émesvictoire ; le plus grand, le plus neblo eU. Il y a ;partant des jny, s ofi l'on estqua flemme ait jamais entendu nous le bien heureux d'être au monde AIL ! s'ilme.l. 'atberine Lefévre frappait ta mesure u'y niavait jamais guerres, niue la thl, avec le manche da son c
'
ou. famines, - silesni
ont s oi-ma ai
tenu, et sil est vrai, enrnme plusieurs le `tendre, s'atmeç et sese000e r, a- s'il mi[sent, que les Porte viennent écoutoC r s'élevait point d'injustes défiances entred l d' lquao on par a es nôteos durenteuxi
être ouatent,, et le Ra de CBrese dut écu.mer dans sa barbe rousae.
Vers miuuft, Hullin sa leva, s'adre6aaaàeux ,pariés, fl leur dil :
1 Vaue hee braves enfants ; e
Encart " CoipaiAn
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
9, -...+..b Gm', e te .S î`43. #2 E, .a. '1 3 Th 2` ",&na. ai -.
In L .e v r s Pelait ta pins J nv i les et ris d corps et les m- d 18 Elle déclare que cette proprsr dormait d mail dujuste, ch un 1 t I u d'eux, d nt l'avant-bras avait été i le boulevard 1i nt toc
1l d s nt qu I mégi d Au. o rsndauts ter t us a app ter tous tien doit Pieu écartée. bitant où il avait prie logement depuis brisé par un éclat d'obus, trot I n eme ( E lin llaza e a tait sa lancine. aveu
6 I s sains à ecce téter l'instruction des i Pour extrait, A. P",.,.. suc quin.mne. la 6ongm pour éolaver 'opérateur galM.
Iahon'eus avez d0 apprendre en erovivc,
1 t t
dl
f x d fut V u,a u ,rl f t mvo a r `a nai aisaiG [ 1 4 t I,Is t peu approvi- J trou 'a àPovr inaulp 1 p t t j
Ilavml enjoint do la mani,e la plus le coup grotesque de Planeras, Blangm sbrossu, le ne pas le ré assez ma4tre delm pou s'inquiéter de
-- -
°"" "" absolue, à tétleu
smnree rl y a 1 I mes. les habitaile.s ,mlitairas, a leu p
L'est elle mmux anjcaed hue lla
etbel,
sortent cuite forte discipline qui cet , pidbans, 1h novembre.veiller, le u lacenn à , lia è l- dirger la lumière de façon à farrbter
ho mouvem t 1 t d faire pull. la base dus ar é 11 1 t 4 1 Comeuo n s l'avons delà annoncé,,
esclavefode
lacoétairlaesisom.aile
à le o tamment le travail le ebmérité d
s réa dAfm uc nsto h !Sic a .on glorieux'l "murs du pantalon, était là immobile o L'armée de la Loue a lrev mérité de la
amble i l , - , n , I-wLeen let et chercb,raait b évite, la position
q fi. rire jour,soirs
Gambettaest -ms s- à la porte do son capitaine, n'osant sos- patrie, la France recorarsanie, n.Pos' Fus m e de oa ,r au quartier-génér'l uses r- f ier et éooutaet avec mélancolie les dur- litres lamais que ô eat à celle armée,de Chagny, le compte ,lenteurs sur le dévoue- nnée de la taira Il est arrivé de l'unes
uen
m,,,b bruits de la retraite dos Prussiens qu'est dd le premier sucul.ès qui soit o-les lrainsJ à partir c i , - ut absolu de tous au principe é= train spécial sers 11 heures dit mutin, traient la ville et les nterrompre la cours de nos mat e¢rs,et jusquà Lhagny. Sous peu, nous publicain , le seul qui puisse veneur deS Rer, son chef eu- qui quittaient premiers dit
re-t ou, ils irairt jmq'ià Beau ie. la France de sos humiliations, t -as, egné pue bruits des tambours français qui fa,sa,cnt Gloire dooc à elle, et glaira aussi au chef
bcomi,t du de d u n', u"idélégudé'e
du tapi centrée. Tout à coup, le bourgeois qui le commande et a sa la mener al'un,remi, après les échecs qu'il a rss,yéa rer, dans l'a. unir, sa force et
à lsa
egran
as-
ténu de la g , de M. St àkars, chez logeait l'officer Porno dans la 'il tomo. Monde ur).t à Brase - d LB L draancon, e eus an re. ene et liredireoteur-général des télégraphes et des chambre brusquement sans ae faire en- g
orlaine
.a.verrait obf géà une emmen- Vive la République ! postes. poncer, et, repoussant In brosseur de la
-l àAl l 70é é uoger, erantratimr de sac forces. Au quartier g àL le p éfut du Loiret était venu l'as' o marcha droit au lit, pais frappant11,Le bruit e circulé que la petite place vembre 1870. tendre i la gare et l'a conduit dans aa sur t'épaule du capitaine
'l'Antenne, investie par les troupes Le général de direséon, remmgndant vacance a quarter.général rte Villenau- -Monsieur, lui ait-il, veuillez msprussiennes, aurait repituld. Ce beaitdest des ('onces de terre et de mer.
n
vud'Ingr6. C'est de là qu'après avoir lac. cer de vous réveiller de la sorte ,en
pas confirmé. us
Un
guement confdré avec les généraux, SI t' mais voici dont il s'agit : hier les
Undijonnais arrivé hipli, à Chà'mas, _--.. Gxmbelta
ilssé ana soldats de l'ue-
Prussiuisanens
upaient Orléans , et vousdonné des détails sur la sranomie de mégi de la Loire, la proclamation que étiez mon hôte. Aujourd'hui les FrançaisDijon depuis son occupattun par les prus- 'l e ssancxs. nous avons publiée. ont repris la ville, et vous êtes mon pri-nous - a mobilisation de la garda satin- conter,
Le chiffre des morts, tant de la troupe Madrid, l2 novembre 1870, nais sédentaire cet déjà entièrement ac- - Ah baht fit l'officier stupéfait,régulière que des gardes nationaux mu- Il court à Madrid de mauvais bruits sur plie dans les deus areondissomems étendant les bras et en baillant a se dé-biles ou sédentaires, a été de 540 envi- l'attitude que vont rendre le 17 de t du département qui dont pas été en rocher la machoire , vous Pies bien
l d il dL'ennemi a perdu à peu prés 1,500
nommas!
t
500 seulement ont été inhumésmetiére de la ville; près de mille au-
tres out été ensevelis drus les villages tprés des lieus mà le combats commencé:
Il a été ezpédié par [e commissaire deBellegarde uoe dépéahe anneuçaut xchefs de gare du département de l'Ain,que les prussiens ont formé le projet decouper la lige fende sur un pointentre la Suisse et Lvon; le préfet de l'Acemite les chefs de' S,,,,, à exoreer pueeus-mémea et par tous les agents de laompagni' la surveillance la . plus rigou-
taire la plus vo, eenta-tive, à la réprimer aussitôt
par
la force,
reuse, àavertir
,,,,,.,,,u""-."-,",,,"L
mili-
Geribaldi, avec une partie de sua trou-pes, a traversé Chàlor, cette nuit, e-nant d'Autan et se rendant à... nue des-tination inconnus.
Dans sa séance du 7 novembrercourant,la cour marli ale du :fie bataillon de mar-he, siégeant à Gournav, c damné à
la peine de mort le nomn;é BerL (Etieune),soldat de .corps, déclaré coupable d'ezct-tation à la
révolta.
Ce jugement a été exécuté le leude-main mati n.
Marseille, Il novembre.M. de l'ex-
Commune évolutiounaira, bat parti lu.,matin peur, Gères, par la voie de mer,avec as faille.
- flou dame ruarseillaise, s'étant trou-vée àMetz au moment de l'investisse-ment do cette place forte, fut obligée dy
andaet tonte la durée ils sié-cc ' acéslu trahison de Razaive, elle lit
ifies démarches pour obtenir la permissionde rave. iii, dans notre fille. L'uflicier,pPression auquel elle s'adresse fiait paragréer
sasra soas, mais a nue condition.
a Les dindes que l'on mante dans votter pav, lot exoe lfentas, .est oe pas
Ii, s 7 paire à les godu,r eh"s pour lus tètes do Nia'!
F[ mmla dame
I regardait avec dis
ve ét :erré I ajoutc Si je pais y bleu à natta époque, l'i-
nmovsvans offrir des dragées pour'uni de l'anle laid
répmse a- friandises de c von.tard tracas es réserve, le cas écimant'les dragées de nos arsenaux,
Marseille, 1D novembre.
c
tos, meva-maessDa 15
alnambre 1870.
Le dépoullament général des votes a ététerminé hier au soir. En voici le résultat:
Nombie des ascrits 6c"525:des -t bots 11147
Les candidats du comité epul litem, ends de la demi franchise avec laquellequi l'ont empporté sur l'autre liste, ont eu ils avalant avoué l'échec subi par tua On-de YII mille À 21,rili0 voix. oos. Une cuvelle dGpécho du 12 dit
Les candidats particuliers de la liste de que Van der Tain ne sent replié qu'après.rançais etl'égalit ont eu de 8,176 à 7,565 vois. va e oomplétement battu les
bL'éleé
ction de dimanche causera une sa- leur avoir fait éprouver des pertes énor-'tisfaction générale : le parti do l ordre mes,
ions de s'affirmer d'une maviére éclaten- D'après lino autre explication qu'ilste, parle rétablissement du Conseil mu- ont donnée sua carresoudants de joui+,ici pel quo la commune eénclutionnaire eau anglais accrédités au quartier gbné-
vait audaciénsement renversé, et par rat de Versailles, la défaite de Von durl'exclusion des hommes qui avaient pris Tann était préméditée, ou avait aban-part au mouvement révolutionnaire, donné ce glacial à ses propres forces pour
Le général Lallemand, eu r celant pes-sasaion du commandement des forces de p ,terre et do mer en Algérie, a publié et une chose reseortévidervment des reusei-ordre général quo none trouvons dans les gomnents qui nous arrivent c'est latid'Al i é s ce mager arr vjuuenauz n, teBigence entre la Prusse et le Bavière qui
c campagne, .m.coppa cuenaun latente u débit[ de laase faire jour de plus en plus.menu à
Appelé ppar la confiance du gouverne. Plusieurs journaux paillent même à cement dePla République eemmande- sujet mm bilés
suvelle assez singulière :Les
officiers bavarois refusent de servir Plusment u supérieur des forces ils terre et deronds aujourd'hui
cei possession de longtemps P
r,filets vontcomloma
louerodes maisons
veutns
as luslco mmand ement* ail dans
's fil llee
fils occupent et yAu moment où la Franco soutient ai lesvis leu villages qun asian à une solo gigantesque, aire vivra te leurs deniers pdaIs, ourusqu'à
bleran.
mission nous, soldats de l'armée d!Afri- la paix. Quant à leurs soldats, pour éviterque, est de sauvegarder la Colonie d'y qu'ils ne meurent de faim au par la ballemaintenir 1a sécurité. Nous disposons , des francs-tireurs, ils les rendons, avecpour cela, de forces Distraites ; les ré- leurs armes, au commandant français le
'est ce qui est arrivé nbtem-geents de la gode mobile, dans leur ah- plus voisin, ci,égation patriotique, sont venus grossir ment à Maintenait dors le déperteinert
aegs ; de ombreux aentingents ,ILureet-Loire,nxsteut daine les dépôts des corps spé Une ddpéche du Jura avance que les
x d'Aleigne, Prussiens auraient évolué Dijon quise-Maspou
e,aeairs se bornent exclusivement rit occupé de noucenu par las Peauçuis.
au ammendoment des forces militaires, 31dhearessement la nouvelle nions arriveet je suis bien réao,u à ne point m'immis- d'une manière iodmecte etsi peu explicitecol dans les attributions du pouvoir ci- qu'on no sait trop si on doit y ajoutervil. foi.
A c son ambleurs et celui des la moi. LSucident russe semble outrer dans lapahtés, le puis compter aussi, je le sais, plaise d'apaisement qui était facile à pré-au, Perde annapee des milices de non villes voir.
.
pe do nos pour mnea. Aussi, e no obéit- D'après la Pressa, de Vienne, la princegarai rien p k n prie nous une Gortsehak"' aurait ailplemeet air ailé
o pléto ha d e l'uprospérité
de la d'obtenir le révision de Perbcit ra fiédéfense du territoiremoire et de
laa prospérité de e relatif au ombre
do de valsieanx
da l'Algérie. de guerre quo la Russie part entrchenir'Il Tous nous sommes animés de l amour dans la mer N De son ocré,
PAngla-boo. gaJe pair t tous lie ferons terne 11111,é 1 1 er suc la d6ala-
e ll ilfi l R d ldi l Héce de puenoti
devait peur le serv
plique, -.
e province bis,
Ssanta'gis
etmois, es gran es v es
r
Gies, On s'occupe acti- ,ArcvMadrid également, dés que le télégraphe eurent de son organisatioa deus Perron. - Oui, ea itsise, parfaitement rie.informé du résultat de l'élection du dissement d'Orléans et deux celui do Pi- - Alors, cest inutile de résister?
ro par les Cortès, Ce qu'il y a de positif, miviers. -Parfaitement inutile.c'est qua les caisses de fusils et d'armes - Les Prussiens, au nombre de 1,000 Frana, dit en allemand l'officier à sonblanches ecce ençent à voyager dada ont occupé Ne.mours autre se- brasseur toujours immobile et qui con-tons les sana. Quelques unes sont tombées maire lis sont partis jeudi matin dans la t t de an qui sendisalt,entre les mains des agents de l'autorité. direction de loontereau,
gobait un matPlus de 50 députés de l'union libérale La nouvelle da nos souris; amas Orléans
darne mon sabre à Marié ,nous sbm-lier
se saut tournés vers le candidat de géné- aprise lie ta
urat Prïm. D'un autre côté les partisans
serait p up lire pas étrangère à cette milles il se ren nue. du côté de la mretraite éci rée. raille, et reprit son somme où il l'avait
d'Espartero se croyant,déliés de tout -
Duel
matin, les personnes C séelle laissé.l'la
engagement envers lui, vont oter es aie à la niasse de 0 heures à la ulhieu
Ilbéraux de l'union qui suivent les nu4d' oral ont eu une douta surprise. Au lieut 'i du go vernemenrat ons sienne qui envahissait àde formé,;,;Les ministériels ne ce dissimulent ppas pamille heunys'!',i'. jours auparavIant, le
bldee d duo basilique, elles puarriver uu totonqq leeaele
s 20,1 voismettras[qu'obtiasàenl'dararid'Aort"'Fl d'un régimui E aocafi , escortant j'etat-,,sauroépreuves, rs espèrent que le-
.ver n jor, à latAt
e duqûel set, ouvait le lié.ve
lé.
résistera tout l'hiver
."alDar .
eus lattaques du clergé, de le noblesse, Durant tout l'office, l'eaeelleele muat-des modérés (lisez alphonsistes) et des 11- que du a P da ligna a exécuté des sym-
ux de l'union, euxquetav dront phonies voit tenace, et quand la brillantesa jambes naturellement les républicains faufaro dos clairons et des tambours ce-detouteslescouleurs. tentiesait o elle cru que les pierres,
Le parti modéré est enfin parvenu à cliesmémea du aanetuairo se dJoms-tendre au sujet date rédaction du ma- soient de voir la France reprendre poa-
nifeste qu'il va adresser à la nation pour session de ce temple ù i si souventprotester contre la oamlidatues et l'01m - r tapit les louanges de l'hérome ,inspi-uoe d'un roi étranger, fils d'une famille rée qui nous a délivrés de la doutioationquia mis le saint père dans une position de l'Angleterre.
pare laquelle protestant las eevbme.ta _ Dans la journée, l'animation de notrede la chrétienté. ville était des plus grandes e la musiqueJ'ai entendudes députés assurer que du 35' de ligne se fineait s tendre sur fiesi, deux las trois .aie qui s'écouleront place du Maillot où tous les Orléanaisaprès son avènement au trône, le roi suit s étaient empressés de s'y rendre! On seles errements du gauvcrnsment issu de la rail pelle que, devant l'occupation pesa-eévnlutiou de septembre, il sera en butte sien e, les habitants de la ville c'étaientà une opp iliau on puissrmante qui triomphe- curieuse d'aller écouter la musique bo-ra de , Si, bteme, le roi ne veut ise fuilui était pour
on-,'supplice.
pas suivra a veuglément las inspirationsn v fluoiquc ont dituncalumuiateurs
du Prlm et de sos amis, IL arrive' d'Oe,éaus, nous u i dl'et, cinfailliblement qu'ils se toumoenut me le disait t,,abicnr, nue de nos campa-
coutre lui, aomme il s t tourné coutre trilles, que la musique française, etla reine Christine et sa fille dent il a tri. s détestons les fanfares qui .a. rap-amphé, p.' !lent l'oppression,
'f'out annonce que le princsae A,nédée .Cette nais, combat avantageux àm é le 1G au soir, Sr uter tau- Arlouer.
teeles probabilités, il ne `é sissaia ries - Les troncs.éclaireurs du fiai corpsl f
7 3
x qui lui sont p d" L t sent battus depuis dimanchep die la couronne, j r j 1 lundi malin rouira lus tanlais "a lave'lie dépéons à fia sorite de la trrbuua ronges et b.eos prussiens, sous lesdes journalistes ou je serai. Sans pouvez ordres du sergent major Calas. 1G tuésconsidérer mon aile.. d'us la liait da 1f, et 6 prisonniers.u 17 comme uno preuve que l'dluction a sous tesla résume,
eu heu. (Impartial du Loiret)A la bourse on ne fait pas d'opérat[oos.
Le ï p. 100 reste à 37 20. Les bons du .Les indications eucueihfics de diversTiésoe à la 80, Loa bligutious due rarl- cotés fout ohaq¢e jour mesurer davantageosais (émission de l'État), à 51 55. fia,go, tance du suosés iiGlo,eo obvenuEdgard Pooame. b0us Orléans et le dloniteur prussien lui-
(Courrier de la Gironde), môme, par,lis calculs qdR exposait la
-,__ ) nitre l'issue, en fait apprécier toutes les
uences,..rosé
(Corresnondanee particuliers Le journal officiel de Redis, après
Torrs, 15 novembre 1870. p D , ot Îe général d 1 qan,Les
Prussiens semblent avoir rudes re ..paf, Orléans, dwmer-t ,,,.ê.. r, ajuu
faire ssentir aux Bavarois qu'ils ve peuventv les Prussiens. La mensonge est
aussi guidant dans astre explication que
dédans la écha de Versailles dit 12 mais
tait :Orléans est le point de joubliun des
ohmains de Tours et de Ilourges; la pre-miérn de ces deus villes, au sud-ouest- lino certaine valeur eu ce mbmeue ann-mn siège de la délégation du gouverne.ment actuel de Paris, Ix secnndn, es sud,est¢nés-importente comm place damnes,
a Les villes de Dijonet de fourgua sautsiWGas r ue àlumame hauteur: entreelles sesrouvevt des parties deallies te-ments de 15 none et de la Nièvre, et douxrivières ,autant du sud an nord, l'Voimeet la Lsiee dort le passage ne forme pointd'obetable militaire,
.Si les deuxvilles que nous venons de
usont ussce, éloignées l'une de l'ait. + ea blesse plusieurs hommes, et Jette le
cePend .lit la coopération du corps Vain trouble dois Ics rangs. Pondeur uu instanttr,tler 'Yann
ù elledeaven
vienledraitcorpsnédecessaiWererder, ouraus j lessoldats hésitan4;maislavoizetl'exem
P ' de leurs officiers les roui,
és a
plude
ompléte dé sevisatfo desle
apex eu- i aine qu'ils ui foren les retran ,ceariaabordentos qvi
su
a boivent il,,. le pays, mot de l,nneini qu furent enlevésaaxaux cris
celles c dans l'impossibiliLb de s'y op- de: .Vivo la France. .poser.... Pour arriver sur le champ de bataille,
p, Journal d'Jnrlre-et.boira annonce où i l s devuicnt perticuliérement se dis-t L Darde Smo mobiles,que sl'on a saisi dans les derniers combats in uer rdda.,
a
,f'j ruéemarohefoavouent ad c ou su
devant Uiléo ns Pune pièce fore imp
suortante icC'est la csuCrieurarra
fie matin, il maugréaient conte fia pluie,
de
l'invasioniudiyumrt lus points snobs- la b ne et le mauvais état dos routes; la
I é l f 'tescgigms à occper.Ni Illors ni l'urs ne sont indiqués, non
pins que Romerantin et Vendline; lav Ils do Saint-Aignan est le seul point in-diqué dors le d p t. t do I 4
Cher,Dans le CI B g' Il vieilo. sont
na rq I du i 11 1 St' tA,guan un t Il i L I sponts extrévres de l'invasion p jeté, de
1tés.D lesud-ostellesëtendjrsgaa Dijona as
LES PRUSSIENS A ORLGANS.
La barbarie et la cruauté à froid fer-ment à tel point la tend du caractèrePrussien, qq e lou au trouve des marquesépouvantables .âme dans leurs servicesd humanité. Leurs médecins ne soignentles blessés que tout orant qu'ils sappe-sent peuvmr les guérir rapidement: sles blessures semblent mortelles, si ellesparaissent devoir e figer des sains tropjougs ou trop dispendieux, ils lie songentplus qu'à uoe chose, à accélérer le dé-uclernrnt final. C'estce que per ¢u eu-phémisme effroyable, ils appellent e épar-gner des souffrances inutiles. A Orléans,die de leurs soldats gravement blessés astroavèrent ateelnts du typhus ; le méde-'n jugea que cette complication devait
Aire fatale pour ces malheureux, il les fitplacer daus e salle séparée, et l'a fitenfermer après avoir laissé à leur dispositlui un verre rempli d'un breuvage sa-vamment préparé et contenant un narco-si
à leurs ausi-tique destiné à mettre
sa-
leatces. Le lendein in zoos les dix ôtaientmoifs; on leur avait n re u soi: i,ci
n.s, et le médecin,lui,, allait évitéla fatigue de soigner des m alades no luiprésentant pas assez de chances de guéri-
e our que cela en valdt la peine.s
llpn'est passas médecin français
dei o.qui
o1AtIl
poser t e de la vieemblaale è s
'Tir' i'dispu-
terait pied à pid à la moc4 la vie du ma-Lido contré à ses soins, et souvent la na-ture, venant en aide è sa science., se char-g,.rail de justifier la raison humanimireda son peoeé lé, il cet viii que le Fran-çais écoute san odeur, taudis que l Allc-maud écouta sa tète, l'an sent, l'antrecompte. - Volla toute la différence,
Dans la bataille de Conimires les .a-
lit,, du Padiuydo DJme et de lu Doedoge,ont fait l'uiration de farinée; il, out
us le feu avec uv ,,,%_,,, iddigue des plus vieilles troupes, et voirla préoison de lents mouvements, on a .
rait pu crorro qu'ils étamnt à use sinopleparad,
Les Bavarois, retranchés dans les bois
de ,a Renardière, dirigeaient su nos
Iroupes aa feu a mousqucterte des pluseu trlm6; il
dfol Ait les eu déloger; u n
bataillon da mobrlas sélanoa, et, sanadaigr répondre au f qui le décimait ,euil
arrineva
sur l'ennemi à la baiomelta, etpar une 'orge des plus brillantes il
e para i fia position,s' était retranché dans le vil-L'ennemi s
lage de Coulmiers: il avait élevé à l'en-trée dos rues de fortes barricades défen-dues par du canon; l'inl'antbr:o s'était pl.-,bu ,l'abri Jans les maisons et les fermesdont elle avait crénelé les murs, et d'oùIls pavait sana risque juster nos sol-
dats. ll fallaitependanat ..uper ce ta
position pour décider le succès de la leur.née, lia régiment s'élance: fil est accueillipar ana pille da balles et d'ehus quitus
boit n es ma tdont la bataillé,
toute
te trace e de fatiguevair dispar u, ,;haas6 par lo plaisir aunccés; et ne lut cu chmdant qu'ils se re.
t marobolourallie camp,, eusP
Un f t l' f t I tut çaantrn.tl q0' I I - nsldate etf l I t q i eaosant:
11 n C i l t 1 latent. nI- eureuse. rsfiua de ao pie -
t à (ces .s h-[niaet Resmiçon, Dans le nord-ouest. jusqu'à ' n élan
,set u.s
} t1
', Losn t rrl.,
- Lnést avomurc si triste duPemsj depus yu','
, ut., l'opoa d; L ,im,ioui fnousd'Orléans, l'ana
out 1 ma
Au moine, t 1e
o lie d'évazuer la , ,ile aqu e son a a
vert qu'usa proposition de révisée le traité très.latigué, et par su
t nt I
ors qAntan
il I-t lis Lrùle6c
,..s édualie
ce. mies xr U b.11111- o'oatànvs.
Nous lisons dans le limes du 12 no-vembre l'article suivant, dont nous n a-
ns pas besoin de faire ressortir l'imper.tance:
On doit adresser des
pevtulahans à
pes viennent dela France, car ses trou
s
romp une vi toue véritable. Mar-c di dernier l'armée de la Loire et le gé-néral Ab, der Tana se sont rencontrésprés d'Orléans. Salon les dépêches prus-si nues upe recoonai suivre d'une
,omportanee
ce a eu lieu. Il denta0'ai sans ipas d reitn deions
discernerelaevérité
cachéec
s
s ces assert vagues. Les Allemandsre-admettent qua le général Von dur eTann
lier attaqud les Français, le dûsse re
de en combattant jusqu'à une distancede 25 milles
d'Orléans,
La concl¢sioa à tirer de ces donnéeso est pas douteuse, d'autant plus que les
t.etemen racris qui a oonpco liaont
avec les Ballesillaie, envahi 1115-tel deVille, proclamé la Commune, aàaloles cultes, ordonné que les vivres et l'ar-gent soient mis en commas, etc., e a
Le leudemaiv e a trouvé, meublesde
l'Hôtel-de.Ville
en miettes, des ordurespartout, tous les tableaux étaient crevés.
Mais ce qui "est pas le moins c rieur,c'est que ces u d,,sels épubhaaiusavaient préparé des décrets dont ils de-vaient inonder Paris. Parmi ces décrets,l'un perlait ces mots :
Fait â d'autel (sic) de ville le 51 octobru 1270!,
Heureusement qua la République est
assez forte pour résister à des fous de cetteespèce,
Nais avouez la, il faut qu'elle saitbien forte, car si l'an croyait vraiment
air de pareils hommes pon, ceréligionnaires tous les sera,eles ethmidités républicains déserteraient leurparti-
Attendez-vous à des sorties vigoureusesde la garnison de Paria.
(Liberté.)
- On écrit de Paris : Une de nos pla;splendides promenades , le jardin duLuxembourg, est le seule à peu prés yinait conserva ea physionomie behrtueiltaus est frais et sonné comm pur lepassé
y;les fleurs mémo garnissent les pal
terres, et la collection unique des casier,de ce jardin continue à donner ses magni-fiqus rases de soute esp8ce-
Cepend'.'.",a dans le massif à gauche,oa à fait rc à moutons, évacué de-puis déjà quelque temps, et l'es e jusqu'àMent négligé de faire disparaltre la
litière de ces animaux. Aussi de ces coinsia jardin s'échappe nia odeur de fouie,des plus fartes et des moins saines, quis'étendjusqu'aux maisons dela rueMédiclset du boulevard Saint-Germain. balaie,le vent porte, cola peut môme aller jus-qu'anx bâtiments co struits sur les an-ciens terrains de la pépiaiàre pour cétablir des ambulances; et vraiment e, Lair n'est pas favorable pour des blessé,.Un fort coup de balai seraitnécessaire,
-A l'Académie des selenees,M.le docteuraJules Gà
mettre et dmmùtenir en ,,.,ra-propremacinstiontélégraphique
départements,`e
moyen consisterait àfaire partir d'un ballon bo tif ne fil télé-graphique, entealné tatterdéroulé par mballon libre jusqu'à l'rissement deae dernier. La parti.. intermédiaire deas fil serait maimmue en l'air, à la hau-teur voulue par une série de petits va4Ions attachés de distance en distance
U. autre procédé du mémo genrensistor en an tuba reufennl'a e,ait
IR condricteur, lequel tube, fractionné par ----,-une série d'intersectious et rempli de g z
deGydengéue, constituerait nue sorteballon tubulaire, qui se déroulerait' eem-mi le précédent, du pied de l'amarre luI Il captif pour suivra le ballon lit n
jusqu'à son arrivée.
La Cour d'appel de Paris daassemblée générale du - de evoté un so pale de 6,000fc à t tde nationale pour la fabrication et lde canons desfmés à le défense de la .
pitale,
- Le bruit courait depuis deux joursque l'armée de Paria, à la suite d'unc,..,-te victorieuse, serait arrivée jusqù a !i-vi
Des anus elles du 10 navembeo e.
i,ueut cette rumeur, eu faisant1 l'incident beureux qui su a ,aux douta ei:
l'origine.Ce jour-là, lie ,soucis se sont étabi'
d'eue mamére inexpugnable an' fie pla-
rapp ç ,qui neparaissent jus
aarts (rait aie..gérés, sous btesos Cmae'accordquant
aux résultats obtenus. Croyant que la s-ipline et
l'orgamsatiou.doyl'armée
dedila
hofro étalent défectueuses le général Vande TIl e
trouvé.n comptait sur
une
e victoire ile.ll a trouvé au contraire qu ïl avait
aifeffaire
à trop forte partie, et en homme prudenta cédé le terrain.
Cette victoire st un rayon de soleilpour la France. Un succès quelconque batété très important en relevant le moraldu pays ;mais la vctoire actuelle a uneimportance exceptionnelle, car elle prou-ve que les Prussiens ne pourront pas cuu-tieuer à encager la France sacs deapuserà des échecs sérieux. Ils forceront lesFrançais à se samettre à toutes leursexigences, la s'ils peuvent maintenir intacts leurs communications avec l'Allema-gne et le cercle U a fer et de feu dans le-quel ils out celle.é Paris ; et 2- s'ils peu-entenvoyer des colonnes lantesressr
disperser les forces réunies dans les pro-
vinces de la France.A moins de remplir bas deux conditions
troc succéa riest pas ssu,auraient
quoiqu'ilstoujours des
chancrées
de réussiteaintenaut nréme la première. Car si
de paris et les communi-cations avec l'Allemagne restent intacts,Paris doit unccombar. O. fort corps de nu-saleriefra e,nacé sur les oommuniealieux des Peoueici I ajouterait énormémentau difficultés de leur position. Sf le pris-e Frédéric Charles et les générons Von
der Tana et Sou wneder avalant continuéà marcher do sms,ès o. a. s, ao auraitdû désespéra d 1 f ngmse.. couse
léus Ici P.Qre
à 0 r° nts étalent
é1ouuantq eucaes nomvelles levéesadeusgsent pas pu rdms[ee au choc des troupes
es de la Presse; mais selon les dé-Il .a.pechou françaises, l'élan dea soldats a été
arable et les positions de l'em out ontaété vigoareusemm.t eulevécs,
A' I' uey ln général Wiuiah, le princeAlbert et le duo de 5lecklemboues ont re-joint le général Von der' fans, et on s'ai.leu, à u gronde bataille entre les trou-
p vsuenries réunies et !armée de laLmre. 'fous les amis d' la Prince doivent
isegae avec .ugmétude le possibilitéd'un
P"' ilcombat.
11 t d t quo jet- que la Pros",jmu^ .il
cal de nicher do diviser les ée de vingt canaux de gras calibre, et i [à
I^ba
forces de !ennemi, c nv,{ont toujours' ont c.nslrurt une autre redoute entretoute batailla ean03ée.ll faut suivra la stra-tégie do F abius Cmmmtor, lorsque, aven
V illej¢io et Vit,,,
de nouvelles lovées, on veut combattre yCes deux red,ï¢tes ont été couvertes de
des kovpes aguerries; mais celui qui vouetranchées douvrags pareils à oenx do
oin d'
;ébastopol m
en 1855.retenir la ra rse. be. s
ar tète et due main de fer,A Paris, la gén6ral'Proch¢ a su attein-
dre ce but, et on dit gdheseeusement legénéral d'Aurelles de Paladin comprendgurl ne doit agirqûaveo a plus grande
onspectila
oo. Il a eondud ses soldats àrviolo. o, ruais il reste à savoir mainte-
nant s'il pourra modérer leur ardeu cautrement la victoire pourrait ee changeren
défaite cor une grande échelle,
dsus ..a redoute arfd V'llt
LA MARCHE DE L'ENNEMI. .
L'armée prossieane continue les mlents stratégiques dont le rénultetdoit
être mie grande concentration de forcesn face de l'armée de la Loire. La marche
du prince Frédério-Gharles a Pré protégéeor la gauche parle 9e régiment d infan-
terie qui .'est avancé jusqu'aux environsde Chaument où il a rencontré et repuas-sé les mobiles. Le général de Werder est
NOUVELLES DE PARIS depuis plusieurs jours ea communication '- 1avec 1 armée du panne; les uouvelfesqui
Nous recevons à l'instant la lettre sui. ' viennaxl do cette médian po onvent ,nie
vante qui anus arrive (par ballon), avec que les doux généraux binant lents
quelque retard : i péeabons.ont sur tNous aParis 7 novembre. ans hier l'arrivée
... Nous voilà au cinquante e[ uniras l'Coune de l'avant-garde ded'Frédéric-
j on signale la mre rché un
ean do ";ries Sauf le beurre, , qui est fine. Charles;,sie n vev4 de
Chauament
quifcororms
ee, rien ne manque et nous vivons i
parus
b'-1 eu ce momomt l'exLr@me gauche du princep i
,e,osou r r.
de Cassure qu'il y a des vivres au mainsjusqu'à la hl il,, février,
Qu'ettund le province pour venir à ao-treN
a
uu nian
n
à lire mpatients. Ourait },as ssiéI,é , es nues
anutavbii a talées que sf devant et les11, s
1 l q 1' i la journée. Lesoirée t peu ciste, les cafés fermentà dix hameset demie.
Cependant l'opéra manant avant-
liier et e fait salle comble-On chantait le 2e cte de Gmllaume
le duo de la Muette et la Bénédiction despoignarde,
Ce pauvre Baequée (du ttaibe lyrique)tété tué à orage.Cidifi
Lee II
md aldtaitbattu
laveasse
an.c
heureuxt
deux nessofin te.
-Les prétentions de Bismark o t exaapere Par s, Nans sommes décidés à vain-
par-
tab'I t
eén rgie,li,se lassu chloroformer,
creiL'espnL parisien va toujours son train,
t se dirigead sur 'tannerie par Chatcaun.Cillain et L'lratillon.
Les dépéehes les plus récentes nous
pprenmm quo l'ememi s'avane vecezlilas grantinaisde
estlitrapitdiéraÎenlementd epuis d u
e Gd sauventjde coureurs premiers. Il en a passé àNemoursà Malesherbes, a environsde
Slmp ,et do Chàteau Landon. Un
corps ps de e
GO
40 Im. 45,000 hommes, qui arri-ve par
Vtiles
eneuve-I Archee sait àmarc lies forcées cette première avant-
ga0n s guale, d'autre part , le présencede troupes ennemies sur la droite de par-aléa prussienne de la Beauce; les éclai-
s aGemm,ds ont psret à Bonneva,.151,000 hommes, envoyés e Versailles ,ont passé samedi à bourdes et ont prisla roule d'Orléans.D'après les demies que nous fonroes-
se t les correspondances étrangères, l'ar-
mde du général Thaan, après, les affaires .
23 0001 oroà 22 ou esOn fait encore des mots. Parmi eus, J al d Orléans, s émue
récolté urina-ni, lancé par un gamin sur Wttich et la j einca Albert lui ou a¢$
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
amené environ ?.000; le prince do Me- o Amena et iu et d le assage suants. Après la ruere de la race latine , Les taules arautagos quo les PL oasiens guerre C'est pourquoi je voua prie de L
r l t q l é d 10p I I 1 t ver l,xéo Lion de l oj,é. e y I d I t ,., 1 u .pan ont v i r a ras le monde diplomatque eu peu d a trouep bon souvom', IL, 4. me êL jmi ara
l'anuit l,. thé,.,a de an ,t, nca n.,ln réita urdtir ém é-! tRlEO. nelln .1
( q
surEt
jj'aiml'henneur d'être
le[Voiciila
t t I , t t i DR
t à f 'éS L I ép d i t1 -
L l t ras n'absorbent't II I é iéur L
k for-réponse de Napoléon III
G cet Il f I L de I poil y t 1 I- I I t t 1. 1 à Plut- ( 1 I1
t l tir thon publique, lle'rescbow, .Mon cher capitainepou,l é r out dame N J d i m i t é t parti. les la d I s q la uo. L a u. Gén l e manda [
ciels
jes t l é d votreé n Il il . ce
n offiner a dit t xtuell remmd d:ck,mhourg 2:i,m011; ces divers corps for- est ;mnuocé et peparé a Heurts et à Iseau- IL éclatera uifailliblement une latte déni- ont reioportés de ce tété ont prouvé seu- vouloir lies faire covra1tre deus las fimi-p ssi pour ouvai des habita fie uent doue un i i I f ' 0 000 auxquels I ve entra la ra I et la race lament l'ün bihie dos bandes s de v q Ides prum vrais Puss
`vgut pa oré éme commandées per lui quit t j -noir joinqui dans p 'o é. I e ne. journal, :a manmavo- n } ê 1. t celui qui I p i I m
q I. j 7' 000 t s qui arn- q cu Mrtz net chargée anse epa, a- mrsicle
t dDt e è I J rot s d p ( bl Id d'arrêter une armés bien
teesemeur à
portértée
e de non .... s ter écrasent sols merci,nitre e dos Prussiens et te guerre sera tôtq
P"",-
t qu'un
s pp a des n d ves Q i ils tues;il,. 1
lu rish Lh I s d I st t t p e t t leur l d g sa vin en danger. Les propriétaireslace et de
p écu 1 d I é:. d \ d t t t Pl I I t s é u i I é a
ota d pas à se I massons mluéea ire la place et la ligne I
o,our cru,
L l'0 d 1 U et C F I t I pcc tla
il ci
voyant l e. t I pét h toi e t re pl s f t it d'investissementdoir sse buter de met- Nous trouvons dans le Dnreet Cnnnor , a:I i i' io t, t t L sûr,i t f . f t s q t r s e Cre mer Me t ,I B at ton et sur Lv e s t t e tout leur mat I
e
lie. re o car,
I
fy CAroninle une courte loure que le pn-l p out tffwtu a tempo cette t I t les p g .t I n Le tend àce
lle- 1 A t .i p 1
douxmena r d tin moment à l' t j Poil être obligé fff saluer de R'dhelmer, a écrite avd on réduira e¢ tond es leurs maisons. [aine anglais Damer, fils d'un oral bre
solt t , II t tt te P f
1 I " t B .t :: t u'I priparer à i I t : n ç, a..a at par la Nu- ; on, I L SI q p
jg. d l' n
departame de ses p re- = Ja saisie cette ocvasmu pour vous as du parlemet, qui lui avait adressé a
embats. Le, co ions laites à pluu rue e lf ne r, ste plus à la race Slave qu'à Il riest plus guère permis aujourd'hui I On ne saurait être un pins parfait gent chez madame votre mère ainsi yue Î' mis , a) J. Bourgeo ? joa n Ivispar fou and. n e s'armer eu i aesu, tort co le soient d en douter : le cabinet de Saint'Péters- leu et co ce dos eut peint bleu tié quo a témoignée le eo1mel B",our
le 1
I t d t i s ^.ll . 1 par
'et
I.gv'ella a ét1 la 1 . 1 bourg d l . la révision des trou I CIWs d qu est la gurre outra celle- dites Denier. Je prends bée bonne part les
-^ ---- p' t t d t i Ir étire et 1'elle ce I a fa l 1 'u 18.'I e oe qtn conter 1 aisées : on commence par des prenons. boss ntimensequ us t z à mon
d nécessité absolue, 11 s r it tonIl { é e 1 tir I t d la m N I t pair. e de respect IL d'estime' et huit égard.LA SIl'UAT[ON EN CHAMPAGNE U p d de Lille ajoute les qalorsua
La
la pmssanue slave fat I seule j voire, g - t, t. t q 'I 1 plaira s Par le bombardement, l'mcend et la . L q s pass F nca est tirés-or la al
' dét 1 i 1 que la teutonique n'aurai
pas forces I d tan mer, en permet. tuer triste 1 - ion n est pas le pue dospuissanceistB1 ll f t L'
te etri goer, cr yo i) 1 èrr, La te et j ni, so e 1 tant, il est vrai à la e commandant de 1. place de Belfort man dont gouffreit ndira pauvre pa}s-Cardai de vied 1 4 l C I
IL 1 Il 11, 'U'n t q t t 3 t F l',, t - r de la - Il Aide-t, e set, des n bort, Ça dit .1 vi
semple et d y lancer autant d ua a répondu dors le même style. que le chie fart ocra plus de ravagesLtia , s han N s ,anse. 1 fco-,, ir l.uae rt d activité r, olom atio. Aide tin, et Dieu Ceiderz! + es la le e Imoraront so médmor.a Volet sa réponse que IeYUSR à uieufile.
u e.a d fiée qui n' [ t d t ie L e Vu aile ...o u n alors- Leesarestéquitable t e rê eG6uéral,me, o on - . ttecevez avec mas remercimeats,
P
st, ta I p I t _r- 1 complot la t t -P E tt I p bl q [a an. I ne ipas de Pnvilige . J'ai lu avec toute l'attention elle l'assurance de mes meilleurs sentfinents-
m fi s e t 1 [ bal jour bl t tous l autres [ yens bord, 1, de ,tire l'effet qu'a produit à mérite le lettre que vous 'aqz lent Neemeon..
1 d f ta i l t 1 L 't a morcer p p f ondins cette égarté soudmne Uu ressert l{ t il la est ç0 06 r t h I hgnd de m 6 rua avant de m.e d 1 I d1 f t 1 Ii;. p1 r. - fi d abinet à été tene immédiatement, et ver l e hostilités. E. pesant dansma
IL l I! I P tilt 1 d t
t ,r t u rl é: do 1 apporter les f r t un 21 o natc anglais, MI Odo ttnssell a été ..suencrab s ràmms que voua me dévaB ! i 8.. sont d s u t ris
"a"antes: s a
il,t de atout C t p bl à Versailles loppez, je .e pua m'empêehar fin trouver
S t i if B 1 n.mtes sa b et $ Lilométes ; nous q I bg Y n ét t ,t q e de la sur, Nous allons donc savoir enfin ce qu'il yue la retrata de l'armée prussienne este
I 1 Vitry, t fais- av ns revu des artilleurs de Méderes et norité somalo étouffât ch. la majorité do faut penser du bruit qui a couru depuis le seul moyyen que eooscillant à 1. forsVire deu All nagno, pour avoir délivré de la Fera. nca meilleure citoyens l conscience de le uommeneemeet de la guerre, d'art trai- l'fi .nordi l'humanité, pour éviter à la
des certificats a des 'ruera gens qui par. leur devoir pat [ q ?Est il p s blé té secret passé entre IaRus'in et la Proses papufauou de Belf rt las horreurs d'unturent s'engager à Troyes --- que fileurs c t y os ne p é t Nous abolis savoir juaqùo va l ntimué siéga.
est nNv'rr,r ier à ,anse de rails enlevée sacsoa tare to re
i ..{'I n ont écrasantes dans la
Il l < ,dlseament. Le 18 octobre,ait à vitry sah qu envoy pqu t pa t t n iruposé audépdu,g C tl Publication et fit aign:bea-
compris lasnomma
fil moment t commentaire trèsnam""I' non en ceversées p e villes
Au,t sn eenr lote des gravese nouvelles qui
rrrvi
x réclamations Wujou l 1 ut de StPétr
esbourg.vrac la réponse des prusmms Yio's ôtée
ous[iéparare densuve uatiou l'weeb-gen-
et vos f r d p Ses glori. uses de son histoire estne paÿs coegnis ; vos
P"""",b n ppargeurent I nous pour- + p lies les plus importantes de
g r davantage ; la garnison et les a m éd t morale.ld-t mbz, sont nourris par les Ilép d dans l'année la cmmais-
habitants auto des grmds exploits militaires, pourbas règne dans le gareteon de 1. las rendre famd,ers à chaque soldat, cet
1.
IL
v sept à huit rta par jour, ",i partie la plus importance de l'éducanouLe typhus règne ausi sur des troupeaux ,tame de Cariée. Plus le souvenu dem: Inès a CUàlons-sur MSarna taus ont ces pages historiques et da ces exploitsété abattus. . mit avec est vicier ,
pglus 11ma o des
Il y a dese s de soldats qui an- 'rra.ds hommes et des grandsfaits
h stnursp en t
qui
o leurs femmes et leurs s rfquos est nette bp l' ill ace!eaueut de faim. Oo pl é de ? morole trouve un élément puissant Bans
t dl déf dda
anes communes, enfff h_s ans a I Col amst modernes, la défense de Sévas-sen,donner à manger a soldats français topo' est pour nous autres liasses u de
ns peine de more Des mira ont u ces grands événamanie. Sa fil ira e estld f i d r s 'l acare a re p e tee sa rlc
dansd leur,ét
s plusieurs endroits de leursc
D Id 'Il échappés de Sedan,,ont de fallu et de fatigue, out été ce-
.... sPs par got le terrorisme règnent ;
le mronnara. et les marchés sont epprevf-p r des marchandises tirées d'AI
lemegne. Lesemimunications parcb'mbosde fer sont rétablies sur toute la ligneus ùàE r
1 Il y a r=setan contre l'ennemi dans lesdépartements limitrophes. ils prennentlent : les chevaux de luxe sont pris pou,promener les ollioiers et pour les plaisirsde le chasse.
lis. préfets leseau
a-préfI', saut Prue-ns. Bans
les
sdépurlem artemerrnla
ts les mairesvont obligés, sous peine de mort, de fournie dea re"manue-eots exacts sur le dé-noard a., do la population, noms,
tePré
es
noms, 8fou han a La Los parents sontesponsables do l'abseuco de leurs en-
fants:
M. Iluot, vieillard, maire de Serge}',croc il ter d'arrondissement, a été attachéderrière une voiture et promené pendantquinto jours de village en village pour miHêtre pas immédiatement soumis surré,; initions exigées. Iété envoyé après.,air payé ;l mille 1,2-
Lesnde.
rassemblements au-dessus de troispersonnes sont interdira; plus de aa-qu'aa personnes sont déjà, pour ialractien à est arrêté, en prison en Allemagneou à Nancy
'félin est la situation des pays occupéspar ces hordes barbares.
fur sain. l'. caca.
LA RUSSIE SR, PRCPABE.
Nous trouvons dons le hieessyer du
genrrea,mcnt la ..te sufvente, publiée
ar ordre fin gran-duc bénit en de Bus.
l'sepeeseiou do toute une époque, pendantlaquelle te patriotisme des mfiliale de dé.feuseurs de Sévastopol se manifeste com
fiction inébranlable et un eau.se traduit pa e un dé-fumant Vrefond et
u sans bornes IL a, ou lent.mont t clair, farine et élevé du devoir. Ces
l sndéfenseûrsroimsemntâaaieq enture
fautait chayue jour sur les bastions doSévastopol de nouveaux héros et de eo
exploits, et dans toute (étenduedede
l'empire soutenait t'as les liasses. Aujound'bu, [a tache do ce patriotisme cet peut-'ire plus sainte et pins grande eucoe. Ildoit rédiger des oua tes complètes, ame-na que tons tant que ... s sommes, qua
ana file IL nos petits-filsoivent lire et )m-ire pour y apprendre comment on faitaou devm!
Il a de- ans, à la réunie. des défm-urs de Sévastopol à St-Péteesbom-g, a
'envoyer ne mu-pris neisamace 1 idée dseto tous l iev
sde 3évas p n gue-
uents que l'on a
se
ur le siéga. cette hclla
peusée se église e omet et, àl'heure qu'il est, le mus' nipossàde déjà
ie quantité assez considérable de decu-monts manuscrits et d'ouvragca Imprimés
relatifsau siéga. Mais uu grand .ombre
de souvenirs et do renseigne lentsPré;encore à natte collunhao;
yl y a des personnes qui pouvaiantignorerle but da en musée, et cependant le tempss'éaaale ! S'm'lu ut de ces sentiments etde ces considérations, et fermementcon-
eu que tous las défenseurs de Sévas-topol s'empresseront d'y répond re, S. A.I.lo grand-duc héritier sadresse, avecl'autedsatmn do l'Empereur, à toutes les
Un grand émoi régna à Lille, off l'onparait emfseger ma s éce comme fmmf-
mt; aussi l'autorité s'occupe t-cile avenénergie des préparatifs do défense.
On vient de publier an avis du mairequi en présence del'inveatiesemmtpro-baLle et prochain, engage ves concitoyensà ee fournir, deus le plus bref délai possi-ble, de vivres pour trois mais.
Le même avis recommande aux mar-chands e. gros et aux détaillants de sepourvoir de ces denrées en quantité suffi.sante pour satisfaire aux besoins de con-sommateurs qui n âuraient Pua approvi-sionner par eux-mêmes.
Un utre avis 'adresse aux habitantsdes campagnes; il regage les cultivateursdes environs de Lille à amena, en villeleurs
i e
chevaux, bestfauz et céréales, pourles soustraire. ans déprédations de l'euoo
o s d'invasion de leurs villages,yy en éviter aussi la destrmtiev par lasFrasça,I mêmes, ni a marcha des Pruo'siens mur bills rendait nécessaire ile foirele vide devant les envahisseurs, commeon l'e fait aux environs de paris.
L publication de s doux avis acausé partout une vive émotion.
0. oit dans la plus complète ignorancesur les ro mets do gérérai Mfauanf-f I, dont onv ...once la marche sur leSied; mais en s'occupe beaooonpd'aine
reripendonee adressée de Metz à laCologne, et d'après goelle unGazelle de la
corps de troupes allemandes en pioncepour le Nord; aurait défilé devant l'état-major généra., étendards déployés, anscris de : A Lille! à Lille ! e
Qetto atome ne composait do ter ceps(3e .ièa) liomines et fin deuz divisions du6 corps (20,000 hommes). Ceci sans pré.judion de 80,000 hommes qui marchant
M. Salleton, maire de Leisy sur Mlarne, pas 1 E p ren o lut adressant spmtde- de ces don. puissances, et s ils st vrai r. Noua savons quelle sanction vousè
personnes qui vent quelque chose
nément 1 humble mais ardeur, pri re o ommeou 1'a prétendu, que le cabinet de donnerez à vos entons, et nous crottaeh
go't ut s I et s s d , las iété , ait promis à ceim de attendons, général, à toutes tee violencesp[ soccon, da soin de dé. Derlin de ne poi tconirarier se politique tue vousjugerez aéueeeairea pour errr-
tendre l I d i- patrie r Ou bleu y n Oocfdent, à la condition que celuboi `ver à votre but Mais n oanaissonss -garons-uous que lorsque évId ara le Im rendrait la parailleeu llrien{. aussi l'étendue de nos devoirs envers lato ? Na ace pas trop tord? Je fi 1q I n sut La }' ev nt à France et la H6pubtiqua, et nous sciassesp 1 a e passée, cari s no, ses v IC s our I P s décfd6s à Ims remplir.m UnesJ p phIe et roi v mgt troi'0an i
St I spère que la nouvel empire d All ma -I-r Vealllez agréer, général, l'assomme
m r o ne
- La Gazette de Meacou compare l'étatactuel de la ''rance grec ce qui s'est Pro-duit en Russie pendant l'invasion de Nepoléo. te',
e L'ennemi, dit oa journal, c,te,it desvictoires qu'il venait de remporter, suasoffrit la paix Mais l'enrpvruai Alexan-dre lé, répondu qu'il o0 voulait entrerdoua aucune nég L et s Français,tant que ceua ci nt p s repassélev fronnérna de t
cropir^éàrand Mos-
nufut pris, AI d ..d da au euloue' llmdmvsk q i énmt Im apporterdes'rdépêohes, m les Musses avarent étéhumiliés par cette triste nouvelle.
- Non, fut la réponse, lacr seulecrainte, c'est que Votre Majesté tance lapaix,
N'ayez as cette crainte'et
pdi dua
l'empereuRei urnez à l'arméeet
tes
à lui Peuplee que je fous de voua dé-
elarcoae Pintât
qoc de faillir, j aius est me réfugier en Sibéne quorare
desi
brio, u. acte qui déshonorerait mon
pa, Si c'est, ajoute la Gazette de Moscou,ce go'on appelle uue criminelle obstioa-tfon, c'est an moins a premiêee des loisqui font exister les grandes cations.
Comme aateefofs Alexandre J=r, 1ago'--caillou, Peoocis a bien mélite de la
patrie, an faisant aux insolentes préteo-tioosde la Prusse la seule réponse qù ,laaméritassent. A. sort des armes de faim-internait triompher le bon droit. A
s braves défenseurs de repoudre àImr tour eus exigences et a mua:hisssments de la Prusse. Dureste, laFranc. est bien uisposée à soutenirjus-ga'au but la lutte qui est engagée.
- Le Golos du 29 octobre dit : w LesFrançais désirent la pair et vont disposésà la conclure ; tuais il faut pour cela quoles conditions e¢ sour acceptables. Sela cession territoriale exigée par les.fous mi l'est point ; si bleu que NapoléonIII Iur-méme approuve le gouveruomentdata Dlie.. nationale de se refuser àcette condition.
Enou mot, aucun gon-
vernementea France n'osera signer unepair au pris de l'Alsace et de la Lnrrai-nn : autant vaudrait souscrire à l'arrêt demort politique de la France.
M. de Rismerk joindra résolument son + Colonel commandant la place deveto à celui de laid Granv,ue paor erre. Bstlnrt. eter La marche des Russes vers Cmstan{ine' Ale Jacta rat, le sort eu est jeté, et l
parole net mai tenant aux, man us H.P
Nous sommes donc fort curieux de voir parleront, et parleront bien langage
quel accueil va trouver, à Versailles, Mi tout ira.çaia. Nous en posaéde.a mieOd R L aie put dés à présent 161f Ils t et ! su t deees re parco dé présage est. fà des tilt u de la bit de 1à Ha te+
h apgu jo I t an las 1 peu Ga ut qui compte d xcallenLa pde q in aAré Ym Nt
{?osq
ic t8m - Leurgué I s t tés p s s. Files l i 4 Liegare:ean net é lys et la popula-nt fait cendre trois j ors le sauf cou- LTm hérorgd'aerata4aigné67-s .,p
duit qù il leur avait demandé pan, se ,Tus nous ferons noir devgfr. -- Vicerendre au quartier général du coi Gait- la France 1 tXi..loure.
-- L'fndlpendano' du 7 octobre, eu rerettant la
rupture 'lasé at ns
u, jou M1 d B mer kayant ref
refusést lq re t b t d P s t
est bien clair qua Il Il'
t Pas luitape qu'il dé . Iv aocordar, ma'v une
capitulationon déguisée qu'il s voulu
obstine. 11 mn p geovpass'auattenradrepaur-
tant à ce quelele esuvemamou de la Dé,finale
et ..aie renoavolét pour la capitalede la Fraude la triste histoire de Ilasirme àMax.
- Le Journal deGenèce termine nommesuit au article conocrnant las forces res-pealfves de la Fronce et de l'Allemagnequi sont actuellement on présence : -e Il q a dons le patriotisme entsde force morale dont il cet
idmes
possibleélémd'é-
valoae l'importanoo a priori et qui sotparfois déjoué las plus savants calculs.
M.Igré tant de rev rs, la P..- neparais point déceoeoy33e ; elle persiste àespérer
un trfompLo anal qui la dédom-m rat de tous ses deuils et de testesse^
ufnes. Une semblablemnvieLie.
, unefoi si profonde dans l'avenir, a souventforcé la main à la fortune.
Mais quand cette espérance devrait êtreencore u.e lofs déçu
on
mea est pasoins
uu
sentiment généreux entre tous,et taus-là même qui ne sauraient le par-tager ne refuseront pas) à tao de uns'rage l'hommage da leur respect et de leurssympathies.
ls membre d¢ gouvernement de laD6r usa mai anale M tr da I nté-
Imm"En v tu d s p uv s à loi délég ési le
crin,@a dé rat Bats
à Paris du 1,r ..adore 1870Attendu qu'en présence des a.,,,,, de
la pptri. et devant la nécessité gan ted'aagmonter la puissance de narre arp1-Férie, un grand nombre de paroisses et do
o istoires ont offert spontanément lescloches d'a églises et des t'roples peut
servir à la fonte des canonsAttendu que des offres d'un patriotisme
aurai élevé doivent Atre encouragées partons les moyens et profondément Hono-ces , Da
Art.LLes préfets sont autoriséslour
leurà ececpter les offres de cloches qui t
seront faites par les paroisses et tes cbn-
sis, lu detuer à jamais aauvenleAli d perpé le
d'actes aussi aéss
les
on des pa suresbronze des "".a les noms des
paroisses
ma des ...ribAnires qui auront fourni les
cloches.
Fait à Tous, le 10 novembre 1870.QeuvetmementLe membre du
de la défense natiadate Mi-nistre de de laguerre,
L. Gambette.
- Voici un reriseignement qui a sonimlirr se? d
66 i de Prusse, à Versailles ,l.g pas au rbdteau, comme ou l'avaitdit.
tl babils la demeure princière d'uoomadame André, fort emnue pour ses at-taches allemandes Culte an opriété est située à ans eztrémité de Versailles entrela gare des Chantiers et les bétail, Satoryflrit
acou à Bbté d a
grilla
d't t L é porte de
Il ya duos autres portez donnant sur lesbois.
Le pr yal demeure égalementchez Mme André.
M. la"., avocat, parti de Paris le7 novembre, aven une mission au gau.-maillot, dans un ballon eooetrnu parles aune de 4f. piper, fournisseur de l'ar-m4e t descendu ¢ 'Cam'e.Rober,
m nidifiai, des lige sà p s feaoes. Aprèsavoir échapp6 eux plus grands dan
gara ,,il a pu gagner Tours sans ac-
famille Far-Ne.$ appren as quMIoy, 6dàat fin da 1 Li, attaché cequai t6 d p t iaà I dtat ajer de Go-titillai, a re1 vaillamment
coo
doit dansles journées du IL et du 6 novembre useavrruna de Nuits. Il s eat battu à la têtede 1100 francs-tireurs rostre des farcesbeaucoup plus considérables, a tué de smata uu capitaine badois, et .,« opérésa retraita 4ue fars4'ils Y. été ctraitPr Le nombre ofossai ot des ce-a
sauras.
-Voici, dit ia Ilank-f.osre, mon anee-dot qui
intait hier an coin dufatalnie
tan, et dontoncooous
garantit l'exac-.
M. de.... habitant de la Haute-Loireétait .!Id voir son file et sou gendre,blessés, dit-, et prisonniers. Dans sonvoyage, il eut plusieurs fois Ibooars e de
rsation avec fiast
offioie0 ale-mande. aion
dudevisait aven l'un d'eux
surrinvasio
du midi et du centre de laFrane.
- Vous o viendrez a.. doua pasdans la Haute-Loire 7 interrogea M.da....
- Pardon, fit son fntedoouteury Wcasdevons forcément aller à Saint-Etfennet une fois là, nous Partisane.. une
pointe
tedans la Hautt-Loire.
- Mate, fit observer te de.i.. Parie ve-nir chez noas, unes êtes chutée de pas-ser par 1. vallée il. la Loire et, autre lesdifficultés de la rond, le passage ne seraitpas sur
Pl.'voua.
- Non pas, répondit le grisaille, nousnone garderais bien de prendra ce elle.m'ai nous irons chez vous par Çrepoaaset Saint-Paulien.
Ces paroles turent pronessées en t'esbon français et da tee d'un homme quasonnait parfaitement la carte do Franee-
Quiuvlot stupéfait, ce fut M de. ., quine pouvais arasa que
colaenuemfa fusent
aussi bien renseignés sur las moindreslocalités du pays quels vaudraient anéan-urN
ns désirerieus que ce fait, qqù nousa éte racontê par une paraenne de bonnefoi, dessilla enfin las yeux des habitantsde nos campaguea.'
Il est temps qu'ils se pénètr..t bleu decette vélite, que nés manageas ne nous-Beauté pas à l'abri de l'envehiesement,et que dès }ujourd'bui ils se mottent enmesure de préparer une Initiatique ré-sistance.
- Une affaira qui inaresse au pieshart pofet l'industrie scmnrière c'est dé-roulée devant la première chambre dutribunal de Liège. 0. sait que beaucoupd'armes ".ont
de Océan ont été empar-tees à LOge, là elles tant 1'ebjet d'un
'
On écrit de Belfort, é novembre, au Sa.ut publie :
Avant l'investiesemest de Belfort parles prussiens, éooestiesement qui est au-jourd'huf un tait accompli, nous Huons eu
Les organes officieux du cabinet dehierlinn'eut pas encore r oncé à
ma-vaincre l'Europe de la nrodérationdu gou-vainement prnesien- La Correspondanceproomciale, qui sa dévoue jcurd'hui àcette tacha ingrate, cherche à éal:lir que,par ce seul fait
IL.il avait consenti à un
armistice, M. de Bismark avait prouvéauraboadamment son désir de la pais.
Nous suce doutons, quant à nous, nul-lement. L'armistice tel qua le conrevoitl'illustre chancelier, l'armistice sans ravitaillement pour Paris, assurait, en rIPet,la prochaine conclusion de la paix, car ilmettait la Franco dans la presgoe i pos-sibilité de continuer
Ï.guerre, gaelques
conditions qu'on lui fit; plus crfioaoeqù un bombardement do quinze jours ouda
une autrecopine
latfou de Bedon, ilnous livrait pieds et poings liés à nos en-
mis et nous novions plus qu'à baiserla main du vainqueur.
Nous n'amena pas la paf. tout quecela.
Les [milles "son a partent d'ail-leurs d'un
point
t d, vue fort opposé au nô-tre, et c'est ce qui xpifque pourquoi ilnous est si difficile de nous entendre avecelles Elles sont persuadées, et la Corres-pondanaaprovinoisle men fait pas mys-tère, que la Franco est complètementabattue et lions d'état d'opposer désor -
aislamnoindre résistance. Nous eroyoos,
us, que nous avons
rce;
encore des forcesS, dos ressou immrnsee, et
mars conservons l'espoir de prendre noirenre
Le ébloui,,ec;nder combat d'Orléans vfe.t de
entrer qui de nous ou de .os emtemis sefait davantage illusion.
Les eonséqumoes de cette victoire sont
d'exact relativement à la délecte de Sévas-topol, en
'cepriant d'envoyer, à son nom,
tous les ronseigenmmts écrits qù ellespeuvent avoir, ainsi qua toutes les autresiforma[ions et tous les souvenirs qu'elles
peuvent consigner par écrit. Les jour-.au. tenus et les notes prises pendant lesiége,
les lettres relatives an effigie, lesimple récit du moindre épisode ou dutrait de courage le plus obscur,tous lassouvenirs conservés par les témoins oculuiras, transmis sans s'embarrasser dela forme et sans formalités,-voilà ce qu'ilfaut.
Boa seule condition doit être sévère-
ment observée, - la vérité.
Que ceux qui ont eu l'honneur d'êtredécorée de l'ordre Saint-Georges ou d o'b-tenir
quelqueautre
récompense pourleur bravoure à Sévastopol envoient uni pie récit des actes par lesquels ils ont
mérité ces marques de distfuctfon.Que chacun adresse par écrit les e
posséda : A S. A.I. leseigrements qu'ilde héritier. Gn niaise r . d- ad
Saint-i'éterabourp. De la partod'un dé-(ens ne de Séuaenepal. Cet appel a pourbarde rsssemble, cous Ics renseignement.qu'il est encore possible do réunir sur lagiorianse défense de Sévastopol. S. A. 1.le grecd-duc héritier désire clossea et uti-liser les matIrfaux historiques qui sormainsi
tprécieuxoyés et les
nsmna qLvue
posséda déjà a musée de Sé-vastopol, pour les publier sous nos formeet dans des couditfons qui'ui permettent àhaquo Russe fatal c'.,aque soldat de faire
de est cavage ma hure usuel.
La Gazelle de Jtoscou publie la lettresuivante, qui lui' est adressée de cotteville
e Les forces bu bar. sontimpufssa.-tes pour arrêter
mala marche des éréne
aez grondes pour .nus permettre desuccès auxpros pp." bientét avec
grès du général \Verder en Franche-Comtéet en Bourgogne.
y yp . 1 gris ne sera pas pour l'Aog :terre ma allié de ma oonsidérahon lres ataauaguée.,rraius fidèle que ie le Ioda France, IL ces
hquelques engagements e eux avec 1 eu.nervi : le département du Rhêoe peut êtrefier, de ses enfants.
Voici, en effet, un ordre du jour des
plus flatteurs pour nousoxnn. r,¢ninan.
I Le fer bataillon du 16e régiment dearche a soutenu dea. jours de suite
des cenrbats contre l'ennemi, le 2 no uan.tore à Rappo, le premier jour, et entreEloy et Veldoyo, la deuxiémejour.
. Dans ces deus affaires, ce bataillon aentré de la fermeté et infligé des pertes
sérieuses à l'ennemi.. Le eolo.Il commandant supérieur ee
plaît à lui en rendre témoignage et luiexprime sa satisfaction par la voie deordre.
La présent sera lu à toute. les trou-pes de la garnison.
Signé : Denef eu. .nous naVous voyez que c'est là panr,
encollent début.
-M. Pierre Merfu, cemmaadaet nchef des garde' natia.alas de la Loire-Ira.férieure, a reçu la lettre saivaase de M.Frédéric Pansy
Vainc, 'J novembre 4870.e Je m'étais trempé, j avais cru Bfs-rk capable d'.. retour de bon sens, à
défaut d un retour d'humanité.. Décidément, c'est un feu furieux; il nu
resta I 'à le mettre à Bfcétre sel à End,lai. R me semble que les poi sazers seu-trea, dont 1 patfa.ce a drap duré pose'raient bien y songer et tant aimj+lemantdéclarer que, d'au commun accord, et aunom du made civilis6, elles mettent cot-a
laitsbrut. hors la loi! Une société fait
enfermer ceua de ses membres dont laraisons égarée
devis"un dauger- L'Es-
pe est, certes, aussi fondée à déclarerBfsmark et Grailla- atteint. et eonvafn..a de m..emanie Incendiaire et bomioi-de, et à les décréter de prise de corps euconséquence.
Qù en dits'.vous?Mille complimente.
Frédéric Paesy.e
- Lorsque les premiers prissnsiIrabaverais arrivèrent à Blois, ils étaienttrèseffeinsée et ne dissimulaient P. leurterreur,
Selon l'usage, leurs chefs leur avaientfait croire que s'ils étaient pris, ils seraientfusillés. Ces malliance.. s'attendaientdonc à être passes par les armes d'.nmoment à l'autre.
C'est alors qque M. le Préfet de Loir-et-Char leur e adr ssé une courte allocution.doue lagselle il s'est attaché à les raaea-
r et à leur faire comprendre que laFrance na cesserait jamais d'étrela nationgénéreuse, même w.tra des ennemia bar-bares, ma.teurs et perfides.
Los prisonniers, amendant ces pa-roles, se sont livrés à la joie la plus bra-Vante, et se sont mie an marche au sri de
Vivo la France!- Un témafn oculaire de cette scène
nous raconte qua les Bavarois ne désitout que la fia de la guerre.
ssamant de Belfort a suivantl'usage, été pprécédé des sommeomm pré:lim' aires. `'oici le texte de la sommationde la penser :
a Devant Belfort, 6 novembre 1870.Tréa timoré et noble commandant,
n Je me fais l'honneur de porter à vo-tee connaissance la déclaration suivant :
e lo n'ai pas l'intention de voua prierde rue rendre 1. pi... de Belfrt, mais jevans laisse le soi. de juger s'il ne mon.viendrait pas d'éviter à la place toutes lesHorreurs d'un siège, et si votre devoir etvotre oonsoieuce ne dons permettraientpas do me livrer la forteresse dont voueavez le eommsndement.
. Je ii ai; d'autre intention, en vousmmuniquant cet écrit très respectueux
que de préserver autant que possible lapopulation du pays des horreurs de lé
portant. Cas fusils sonttrafic assez
tous fin système eheasepot. Ils portantgénéralement l'estampilla des mannfac-tures impériales, mafia vont dépourvus dupeiocon de l'inventeur chassepot ou de
ses repprésenana.MM. Cahen, Lyon et Cie, poaseseesea
des brevets Chassepot, ont fait saisir chezquelque, hbrimnts de Liégé osequan-tisé seasdérabla de sas armes. En safoudeat sur ça que ces es Chassepotne peuvoui circuler en Belgique et y étirelavrées au commerce sa.s être munies du
de l'inventeur, ils eeneluent.devant
le tribunal, à 1. aenfscetiou dess saisies , l'a fabricants ayant
disent- ila, été avertis des poursuitesausquelles ils s'exposaient an ne sou-mettant P. ces armas au pmnço...go.
Les saisis sut soutenu, en termes dedéfense que 1 Geuvamement françaisayant fabriqué légitimement ces armes,la cuoulotien ne peut en être subordonnéeen Belgique à ..e nouvelle autorisation
à un pospçonnage quelconque; go'unatelle prétentiontserait eahorbitante de la
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
part des brevetés. Ce raisonnement, ré- des mitrailleuseo, inventé en quelque cor' La oie andaa Laperehe , ode d°n do lusDe.
A t MM. Cahee, Lyon et n'est pas et des canonne Las arsenaux laissés vides, ar p du général Bourbt' en p
1 le gouvernement frangars ne pou- t hs casernes dépeuplées par l'muni e ardents promoteurs de ces réuuious, n'a-
vait t'abrigver des basais cLassu!ot que gouvernement qui s'est e dxns voit pn réais. rà la honteuse nécesI ft I s lia urruption,
u se
eSontseul trou- 'té de pif I I 28 u r 1l paire
ce,oison. 1 p 1 s gour enn .sa eg ppci,Ais armées françaises; le 1 (la ,,s.
lui attribuaient co, droit ; Bah, qu'il f ut hso u d'anwrleattnn dos , en sur rou éyuent, vous ne pouvez plus ira Iiquer
en sitelgiq e de ces armes quo si Bilesavaient été fabrigséee dans un pays dé-pourvu de législation protectrice des bre-vets.
Le mtnistére publie, par ura des.le s stitet Delwaide;
is da eeuo1. dans le
sens des demandas de MN, Cahee, Lyonet Cr.
DEBOUT
A une autre épsquo, et dans d'autrescirconstances que avaient aussi leur ra-vité, u¢ publiciste bien connu M. , de
G raidie, a'éaeiait i Coufiaace I malienne!Deus re mot il y a toute uns leçon. ll eu-seigne èrelever la téta et à regarder d'enmil l'arme; droit devant soi, les ebateales
et les ohanoea q i' e de les surmonter.Ce l'est plue l'heure des réeriminatiana
taquines, Di d'envisager les questionsil s'agit de résoudre par (le petit
-ôté.
se plaçant à ua peint de vue plus élu-
é e{ sans vouleir faire acte d'une cairnforfanterie, les raisaes d'espérer sont aug-mentées, et chaque joue en acerelt lapreuve.
Qus les hommes de bonne foi veuillenthie. se rappelle De qu'était Tours e oeu-
e t où la délégation da gouvernementd défense nationale est venge ey s
talle
ler. Le désordre était partout, at lusa le désordre, la aaisatïon. U a
hôte sa etranouvelle
elle et hoiste à lahalte se
trouvouva
i,en ris d e de difficultés
'naessantes;les débrisd'en
une armée vatn-
une, et cocu restait d'une armée tcahieOotteiout au hasard dans les dépôts etsur les routes, des fermente de dseuedaéclataientp riants toutchucelait, cour-
yait, s étfondrafA et, daus Dette ruine,il fallait tout créer. sue q¢'il sonnait par[anement comme
A la raoee que Semblait Poussés v rs t ton soin habité ll'Asace.FAsae
ait à ra sri 1 1 - q ly fl rryoéi ir tous 1 t rs de 1 d [ p 1 ( Marie Jea e-Fra cmsou
r fhc, rs e[ e Id ts t, erse I t te n,atér 14 4 u I andrs , 711 d ne Pharaon,De, 9 71,'ltout, y 1 dans I tq t t noté p
s
m
l avant p,. te et à N i ra rél é égdfr tou las pas- 1 s ingsurt soumis et tonet
9 h es e[ demie du SENTEtes pro Unes,,
Quelq s uns de ces braves auraientpeutêtro réussi à passer les ligues pros-
e si uue deraièro trahison ue lesavaieat livrée d'avenec,: il étaient at-
tevdusl Quoique n'étant que einquaute,ils essayèrent de combattre; mais ils fu-reutrepoussés dans l'enceinte du campretranché.
Le comma.daet Lepercbe qui était par-ier à Ars-sur-Dfosalleà so réfu ,gvenu
osait, deux jours après, sa retraite tra- vis des administrations publiques et deshie et était conduit dons n e des cas.- particuliers avec lesquels elle aura à cormates du fort de Plapperille. Son sortactuel, nous l'ignorons; murs qüil ait étése. mépris du dru,t des gens passé parles armes eu qui il subisse. une étroite etdure captvitison souve,ir restera gravédans le mémoire de taus, comme hé à
o d ces actes légendaires qui .atoutdoux l'histnra.
Décrète: àfalcurt (:1nne-Marguerite.), couturière, lapes. 9 édition, par le Docteur lunesArt. 1.r, -La délégation instituée par 41. ans, épouse Izaliers, rue Comparas, Born , - On recuis cet ouvrage franco
arr@té lu ministre de I'iutéeieor dn 8 n ei 6.e Mande
adre ont 1 en timbees-pposte, anueuil- IS7n p , urra, peur l'exécution de 'Fauté (leavne-Marie), v D Jrees sBo,e,, 05, bonlevart lfxatgeola,Gent-81 u.S c e depin iemnit6 ultérirnra sent u à él. libreud at et sa l 23,B le
ponts et phaussées, les iugémeurs des minos et garde-mises, les ingénieurs civils
et tous les contre-maltres et ouvriers renons aptes à concourir aux travauz de
l'armement. Il est dalleurs uwndu quee droit de réquisition est p imé en toutes
Craonstences, par le droit de réquisition.,dé au ministre de la guerre, par les
décrets antérieure ou à venir.Art. S. - L délégation jouira d'une
franchise octale et télégraphique vis-à-p
respondre.
A ,t. .- Les administrations des cLe-'ns de fer, à tentes les stations de leurs
lisgons seront tenues dobtempérer à touteséquisisiovs qui leur seront faites par la
délégation, pour le transport de person-nel ou de matériel d'armement.r
Art. 4.-Pendant toute la durée detravail des ateliers, les patrons, les -Ployés, chefs d'artillerie seront considé-rés comme faisant un Service militaire, et
Agen, 15 Novembre, par suite dispensés de tout autre servicei de' re etnu auxiliaarmée activ uos I i tee de la Haute-Garonne, de l'Ariège,Hier, vers queue heures et demie, m dans lIl téd entaire. s - du Tac. et de Tin n-et Garonne, des listes,coovai de 5110 prisonniers bavarois diri- la garde s
gés sur Pan et oeeortés par des hiles
,embrigaedésmnation alilitairement.
par lettrede
Tae,iétiquo des proscrits,de la Chaude, s est errété en gare d'ego. Art ;; - Le Ministre, su
lu p
opos-
mtemés, srvelllés, ean, etc., desditsne foule considérable de eurrcux s'é- lion des Préfets, créera des o tssions dé eeés ents.
tait transportés longtemps à l'avance. pédales pour l'organisation et l'exécutma prix du volume, format CharpentierDes rafratchissements de vivre de i des travaux statifs à l'artillerimembrese la f fr. 50 ent., et par la poste : 1 fr. 70 c,
l'argent et du tabac ont été distrlbnés eu garde nationale mobilisée. Lesd es fimrluot fier investis
abondance à ces prisonniers, dont la plu-part étaient des hommes jeunes de 18 à15
..B environ,sea n couvenableinent
vélos etparaissants
en bo..0 00nté.L'uudeuz apercevant ua enravt tenu
sur les bras de sa mère l'embrassa et fon-fd' uimage lointainedit en larmes. L oyer la fabrlcatiev de tuons ou maté-ait de lot passer devant
ce nx.veCettescène Louchante a tue t at tel g, des pouvons excapnonnel
Oruerre
r, ssmu pourront sire ao ordbepars
tendntous taux que en cet été témoins.
p
de répde
(J. de Lot e6Garonne). le Altmstre, 1 la délégaton et à la comscion chargée de ia eurvmllanco Ses fier
.-, vapar uue implaesble fatalité, il p oü entourode fut as surprise l1 hl eait qù uu point d'appui solide, Paris; d t 1 s prétendus italiens épO.dB avec
t qu'un il `esp' M tat resté i brenlabf
s st Oe gd
1 diéme. Soupçon-Iis poigt a u' ll ho, il sa bote demal q .e,iu' a4 1 ss ot tt garda Morale.-
de
Il .'f', l l u la plus nais L iq de c 1 a P L dté . Onit a r ait à gai lai
el les f aille c [,es Cî. rg et In ildaat l'I r
Dernières' t5UVclleS.a
_
souvenirp liàcrjdala ire c put gecc art ksd t h d La Db'.égation du gouvernement établiePeut Ptre éwn d à
craiondrere
alors y heu d'dtre des mendiants doutre raout à l'ours[ont s'éerou!A[. Avent celte épouveotable
FranÉqLaient des messieurs abemands, v nus Vu le décret en date du novembre
sain es mvertehe 1l dus une intention autrenstro e e dce a que 1870 z c'6pons pu s deou
t Y asentireerct, on pourrait Presque d e allie de u@ter des ras sousà laid
pr ne vl q g I er batterie
ont aud'artlienepar centuuenee p. mille âmes;uas c
menaçait de paralyser tout courage et dé- On trouva sur DOT des espères dean
- Considérant que pou arriver à uue pro,
latondre toute v rtn. Le fend eDES u da es tee natistiques contenant ors rassois e onction rapide, d est reesseire c''orga ro'eupl non, de la livraison Mate, des meute très-précis aise les propriétés d s s td ifier la est née ors ateliers qui
p a mils auraient s incri
Ales réputé l sentir Auto s enr l'état de fortune p t à l i t t d'urines outut
p1 ppomils d un éeraaement sans t.srtae t u e tfacilite,
tat les ré Qt t d té rl d g
dabaodonnor. C'est le contraire qui â lC dér t q 1 t n 1 p bI que
produit. La France a mesuré l'étendue ne euneamet 1 les gé oe x ennem 1 sent erra de la garde nationale mb uebil.eéc
slhpuq et, le sacrifice ar:cepté, elle ur les mssoureeS du pays et las moyens 1 soit I éc.11, d'après un type udforme," t pas
-ro.rue. d'y faire vivre u armé faue. t pour faciliter les m montes que
Da ce aitpasec'
il : a la révélation f hoB cinq individus ont été mis en litai é lier mute contusion dans la diatri-qui so a l'h ueur de le Fran d'arrestatten, les deuz autres sont parve-
ce demain, et qui fait notre eu suce Eu- nus à 5 mqulver.jourd'hvi.
Et que et choses changées A nette avenrage en quelques
relèventd ile
s l'adminiueL'adieu intérieure, Sur Iaequellea il a des
réserveviendes,, à
- au pfaire,ur
uopde vue de long érre,o
.,est moque une éenrreeten.Il n'y -Rélue mée; usa armée rat sortie des
aeaillea du pays, et dautres se prépa-raui, 0. a découvert des fait., eouatrurt
fiaimunitions , loi."'.'=.,a,t h .nt%. il fallu
et ana réserves méum 6t,n etau pascale ae l'ennemi; et m q ae-maiees nul armée est très. u ligne,et mn premier coup a été un nausée.
Ou p ¢t sa demanda.sans orgueil neqüeût fait la Pressa Ils-méme ai lieavait été frappée par deux catastrophes
mina Sedrs et Netsl selle-ni pins terri-ble entera qua celle qui semblait ne de-voir pas érre dépassée.
Et c'est uu tel pays, le France, quidoue eu monde de telles surprises, qu'anennemi sans pitié, et toute cause de guer-re disparue, voudrait eO'aner de la cartede l'Europe. Mais si, ppar impossible , etseulement parce que la velonté de Dieuy serait, ils y réussissaient, ily aurait unelumière de amies sur l'huuenttb, et l'Eu-repe eoaster.ées ne tarderait pas à s aper-cevoir qû
ila
s agite dans la nuit.Maicela ne sers p s. La Fraoee qui
subi Waterloo est restée debout, la Fran-
ce qui a subi Metz se reléve!Amédée Achard.
Aux environs de Ssiat-Nareelin (Isère),eue troupe de Sept meaiciens ambulantese disant Italiens, qui pisça.t. de le harpe,qui euelaatle vtsloneeIll, qui soufant dans
instrument à vent quelconque, parcou-rait la campas... Elle se présenta eetam
B" dans une balle résidence habitée parM. et Mme R... d'une famille honorable.mut -.a- il... la couuéc,
Après .,.il exécutéseaux de leur répertoire
quelque.ulacour du
château et fait la collecte réglementaire,
ils se disputaient à se retirer, lorsque
M. R... qui était absent, rentra, etoyant leu étrangers, eut la fantaisie de
leur adresser la parole en allemand, lan-
- L'armée et la ville de Net. étaientplongées la 28 octobre dans une stupeurprofonde i Ir lendemafu, les torts, la plaos, l'armement et les soldate devaient érrelivrée à l'ennemi; quelques réuuious dof-Gcura gant pour but de rallier le plusde monde possible peur franchir les liguespmasiennes, avait avarié fauta d'u.. di.section et d'un chef.
n aga icatinoueC sidérant q certains départements
manquant d'ana partie ou de la totalité11e,, éléments nécessaires à la cousuuction
de batteries d'artillerie, il importefourmi les
de leurmoyens d'axé9uto
Considérant que dans ce but et par artété du 8 ov mère 1870, il a été insti-tué eupoée dn ministre de l'intineur unedélégation spémale cbaegée des queanunslech.nques r lakvsa à l'arhllann de lagarde
nationale mobilisée.
EXPOSITIONPERMANENTE D'APPAREILS D'HORTICULTURE - ÉTABLISSEMENT FONDÉ EN 1855
Au Grand-Bond, Alliée. des Zéphtry . - TOULOUSMJ.
répr atde
toutes
tes t
les
ee prérogat
inos
ves accordées, par
le présent décret, à la délégation du àir-uistre de l'intérieur,
Art. G. - Fan sas de résistance ou demauvais venturi de la part des patrons,employée ou ouvrmra liane rime régmee
7 L t tt jdiArt..esaumrmms, c-ai" S.viles et mils s t nées à pr@ter àIn,
"la télégatic te Dos 1,
t au 1 - n lotte pour l'eaé-outmn do le mandat.
Art. 8. D de trois centmille troncs est pe levée sur le crédit devingt mnq
ouverttien
d° la g pour pareraria .neuonaleelativ aux servwes créésaux dépenses r es
par le présent décretArt, 9, - Le D recteur général desi
ponts et chaussées et ors chemins de fer,-le Directeur général des potes et des li
gvee télégraprques, les Directeurs descompagnies I d fer et le per -s p gel placés fouet ares, sont char,glu, en ce q I er , de l'eaécmmndu
srécent décret, lequel sera exécutoii e,notification, à partir du jour de So.
insrtion au Maniteur-Fait à Tours, le 11 novembre 1870,
Les membres du Gcuveenement dela défense nationale,
A. Crémieux. L. liambetta, Glais-Bizoin, L. Fourichou.
Décès DO 13 NOVFMSa6.
Clouzet (Françoise), domestique, 17cas, petite rue Matabiau, 4 ;i
Local (Oeeo_Baptiste), {ailleup 5t dosrue des Blasubers, 42.
LAURENT FrèresDUE CULAS, 6, TOULOUSE,
Fabrique spéciale de Boutons pour Garde nationale.Plaques pour ceinturons, etc., etc.
Maison spéciale de Changehue Lafayette, 15
CONSTRUCTEUR EN FER , SEUL FABRICANT A TOULOUSE
D'appareils d'fiorlieu(t;are, Serres sec toua genres, Jardin d'hiver, Orangers, Bdehee,- Châssis de
couche,, Ce frea à :amie (nouveau système), Tuteurs de toutes tes firmes, Serrureriepeur aliment , Volières , Grilles de Parcs,
AS. Conatnnn réunit à eatrfabricatbn la solidité, t'élégouee et l'économie. - Taus les a.,, il es
rend à Parispones..
te au oonrant des innovations et perfectionnements. lfrdaidlea d'Or,Vermeil (1" classe) , il
e'Argeeiavacxpositious de Toulouse, Paris, Borrlaaua, Nantis, Montaebau,
Montpellier,Nhala,
Carcassonne, Dignq Mrte, Audy Périgueux, etc.N, Gommard se charge également de la Vitrerie, aux prix tee plusmodérée.
Nouveau système contre la BIIEE.
G U' VISONne toutes dents ou rà +es gâtées sans extrac-
tien ni douleur
57, Teint se, rue de la Persane, 47-
07.covTR. ai . suture,
on échangera des napoléonsconta des billots de la Banque deFrance, moyennant une prime
S'adresser place Dspuy, 1 ié , dansla cour, au primat, de , 0 b. i lx.
ILet Mue PELLEGRIN, médeoivs-denuetee, dsP
ris, eu uoaet4odeJ
(A gendre
ls Dos, "Ve tic b apportés A GRAND RAB%I5lases
l le,es
vpe
r.
d 7
N thLC1i',I h g dl S f t s- t u.
AU PREMIER.
ACHAT DE MATIERES OR ET ARGENT$CHANG5 D TOUTES no0NAits ST ROLLOTS ÉTa.NG.na
Ainsi QUE DES OiLLnra i'5A.N'ÇAIS COnm6 D5 L'on,ae-CHANGEMENT DE DOMICILE.
AI BON PASTEURANCIENNE MAISON GUITARD
E la, Successeur2, élue aDlatahiau, TouLOUSc.
M, BEDFV,, au cou, peur de cotte maisonSi
avantagevsemeut connue, etlpréeédemmeut place du Capitole, 22, al'honneur de prévenir sa nombreuse clieutbla, qu'il vient detransférer ees mageel Eue blatabima, 2.
H continuera, comme par le passé, d'apporter fous ses soinseux vête-Bats coefeetiaimés et sur mesure.
DONNE CONFECTION. - PRIX MODÉRÉS.
5I; etG uIt D. e' us,'' ,.,v.'et....,
'll I i r V1 il, e e b g h I a 1 FOND DE PÉPÉ ilrl
_ xtni te. L.I.gauae dea,n peuaq Ig 1 I d 4l',Osl d PA' D lr 11 t pll S lentas. sur ceesuaoie ).r à ( eia),et 5c' ssrsMile pELLEGRIN 1 e I gemM etL tl.te que piecl
nielle, adent an l pép i tfiles
ea Sf Agneâeut d'entre ver quelq tee les d i
vVairo,é las veefsle der elles f+et!itenevmémetsmyalaprusoveia-p st aarom perfaitemsnt
L'ee e .s Glreels: L. JOUGLA.ai,
L
rte
la
ils
mutiwbos,
ü fonmaa üT,Ioalwse, imp. pli egrécela.
Ambroglio BINDA, â mil..Ivuc16).
EN V
L'SISTOIIdEce
COOPDANs La
DEPARTERENT DE LI IIIUTE-GARONNE
D'après les documents officiels et euthen-
Recueillistet mis u ordre
rat, Alphonse BaemoND,
Ce v lume contient tous les dol.-cet. officiels relatifs au coup d'État (de
j03 v re 1851 à fin décembre 1802) ; tousll actes de l'autorité préparent la trans-formation de gouvernement de la Fraoee,m, - L'histoire du Coup d'Etat dans
le département de la floule-Garonne ratsuivie de la composition des commissions
E7OLE D'ESCRIME DE 'UOULOUS3
rnoa5ss. un Au ,,,a nnr,ons,
SALLE D'ARMESrRUE M3TAB2AU, T
(.i-devante. Lolayette, Di).
DONNE DES LEÇONS A DIIIICILE.
Eu vente , à la Librairie Centrale
rue Saint - Rome, 4he 3
Brocbura par M. Roxv, p ofesseur à laFaculté de Droit de Toulouse,
(Actoabté).Prix 30 cent Par la poste : 40 cent,
Théorie complet. peur la
GARDE NATIONALE, aveu planches.
Txàoala roua
L'ARTILLERIE ET LA CAVALERIE.
Pris de chaque Théorie, 1 te. 25Fraru:a, par la poste, 1 h', 40
CIEfl110V p1UNI'S'o PJjLUl g lI.T 0. u suuv(tI'fa f.DRONIQUE.Traitement nouveau. Brochure de 136
oloo
A de M à Paris- D({ 91s tA Toulouse , chez AMI. GELAI! MT etVIDAL-ADBADIE ph.
Eau
Pommade 9 Frères NahanMédecine spécieaa des hépituen de Pa-
ris, etc., s oc' ils obtiennent mule guéri-son. par an, terme moyen, e ( Rapport del'Académie de Médecine à M, le ministrede l'intérieur.) Guérison des maladies dele peau et du suie cheval., dartres pelli-cules, démangeaisons, chat. des cheveux,etc. - 2 ie, et 31e. - sache.- à Parie,rte St-Antoine , 200.-A Touloaee, chezVIDAI-ABBADIE, ph; BLOT, ph., osaMatabiau.
Bulletin Commercial
MARCIIÉ DE TOULOUSEdu 16 Novembre.
r PRIX
NOMS f.e Dra nsssm
uns raonmvai phua heu
Elarletteaové:loura 55 ci 0041 a0Bladeu, ortie.; 0 80 x,) 0. ^0 50
fin, a0 19 00 19 60Sté mitadin lin, RO 18 50 19 00plé citadin ordiesim, 80 -17 0{ 17 10F igle, 9S 136r 1400og 6u I100tt'.0A 10 ,11 f0 1100L'a taux, - 6 15 CU 16 45M b l e u " 75 4 50 15 50II t 78 178 o039 0apot . . - 78 a 1.5.J taL tIl si 00 ou en i0FA 65 1460'I5f0vesces noise, _ 80 £6 (su 57 00Vesces rousses 80 10 00 00 00Graine de fin - 66 SI ti 7c' 0L I 65 26 00165Te aéH G i....... 100 550 -Sainloau.. ... , .. 1100 00 ,0 18,0
ranmsa se issus..Qualité 8. fnéeetl, la
balle de 122 4 , f 12 I6 0( 67 60
S
çç les te 0-tiORi .(RB-8B1-,. -- 4c' Op DGRé 11 3 i 01 OO
RoPwae, - 72 .01400Roue l4 0C 14 50
uxaaeesFi 1. b ein R50700- 6 50 7Loa S.B nJ d
Pays's.mfiefi
m lux. de B Y , _ 6 00; 000vain 1 60' 81
e 9om a aaaLaB.Bois, atdre 21-. goal lus 21 b,
idem qo lite t.idem
le 1les ü0 ailoR, / .,. ég
;Théâtre du Capitole.2t., Jeudi, 17 menthee 1870.
A
r ,Le Trouvère,
. Opéra en h ctes de erdi.La
MaarseulaueV,
Grand final de MOIS., de Rossini.
o ti ont
de Chemises e
B.MEILIIO1VPar son organisation spinale, cette Maison st on
mesure d'exécuter, aussi promptement .B possible icommanda de quelque importante qu'elles soient. Rue Saïui-Rome, 50, 'Toulouse,
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés