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Lycée Sainte-Croix et Notre-Dame

Guide de métiers et entreprises locales

Guide d’écoles locales de métier

Des élèves ont initié une série de reportages sur

quelques entreprises et écoles locales. Le but à

terme est de permettre à d’autres étudiants de la ré-

gion hannutoise de mieux comprendre les différents

aspects des métiers locaux.

Editeurs responsables, reporters et rédacteurs : Nikolas Ameloot, Matias Keiser et

Auniel Munten, élèves au Lycée Sainte-Croix et Notre-Dame de Hannut

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Maçon Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? On ne choisit pas toujours ce métier, mais on y voit directement le résultat

et on a une certaine fierté de ce qu’on réalise. Ce qui est bien c’est de créer

et de voir la finalité et aussi de voir que le client est content.

Chaque réalisation est un défi !

Que n’aimez-vous pas dans votre métier ? La pression de la concurrence.

Il faut toujours produire plus.

Le mauvais temps ; cependant on arrête de travailler quand il fait en des-

sous de -5 degrés et quand il pleut beaucoup car le mortier coule et ne

sèche pas.

A la longue des problèmes de dos, de poignets et de coudes.

Quelles qualités doit-on posséder pour faire ce travail ? Ne pas être souvent malade.

Avoir une certaine force physique.

On doit porter des charges lourdes (ex : linteaux) et on n’est pas toujours

bien positionné.

Doit-on suivre des études pour exercer ce travail ? Non on ne doit pas suivre des études car faire un stage en entreprise est

mieux (à partir de 16ans). En effet, dans les écoles ce n’est pas top. Cepen-

dant il faut quand même connaitre quelques bases : les multiplications, les

calculs d’angles, savoir lire des plans différents, quelques calculs.

Dans un stage d’entreprise on leur montre comment faire et on voit directe-

ment ceux qui sont motivés.

Quel horaire avez-vous ? 40h semaine (8h par jour), on ne travaille pas les jours de week-end et les

jours fériés; de 8 h à 12 h, et de 12 h 15 à 16 h 15. En été on commence plus

tôt pour repartir plus tôt le vendredi.

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D’autres informations ?

Il y a différents échelons : plus on monte dans les échelons plus le salaire

augmente, cela dépend de l’ancienneté, de la motivation et de la qualité de

travail.

La sécurité des travailleurs est importante, elle est surveillée par des spécia-

listes.

Si un bâtiment s’effondre c’est l’entrepreneur qui rembourse. Un entrepre-

neur reste responsable des moindres défauts de sa réalisation durant 10 ans,

c’est important de le savoir.

C’est un travail où on travaille main dans la main avec l’architecte.

Comme dans tous les métiers, le respect est très important.

Un avantage est que l’on peut fabriquer sa propre maison.

Quels sont les outils dont vous avez besoin pour travailler ?

Une truelle pour rejointoyer, un échafaudage, une bétonneuse et la liste est très longue. Si on veut de la qualité les outils sont chers.

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Policier Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?

A chaque jour un métier différent, c'est-à-dire aujourd’hui aller dans une

école, demain, faire la garde, après demain accueillir des personnes, …

C’est un métier où on se rend véritablement utile (on est tous les jours à

l’acte).

Que n’aimez-vous pas dans votre métier ?

D’être rappelé au boulot pendant les fêtes et de ne pas pouvoir program-

mer les fêtes avec sa famille.

Certaines interventions sont pénibles (drogues, suicide, meurtre, …).

Le risque de mourir (certain suspects sont très violents).

Quelles qualités doit-on posséder pour faire ce travail ?

Bien maîtriser le français (surtout par écrit, savoir écrire des lettres au juge,

…).

Savoir garder son calme dans n’importe quel cas.

Savoir utiliser son arme seulement s’il y a danger de mort pour le policier lui

-même.

Avoir une bonne hygiène de vie (aller dormir pas trop tard, savoir se réveil-

ler sans problème, …).

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Doit-on suivre des études pour exercer ce travail ?

Il faut bien maîtriser le français.

Si possible il est recommandé d’aller jusqu’au bout de ses 6 années en hu-

manité.

Si possible en humanité générale quelle que soit l’option.

Pour rentrer à la police, il faut passer des examens spéciaux (médicaux, au-

ditifs, visuel, d’observation, psychologiques, …).

Quel horaire avez-vous ?

Il n’y a pas d’horaire fixe, car ce sera toujours différent selon les actes et les

interventions.

Quels sont les outils dont vous avez besoin pour travailler ?

Une matraque, une paire de menottes, un pistolet, un taser, une lampe

aveuglante, ...

D’autres informations ?

Le métier a parfois des côtés horribles, quand on doit se trouver près de

morts ou de blessés ou de corps en décomposition, …

Il y a de très beaux actes, par exemple sauver des enfants qui étaient la

proie d’un pédophile.

Lors des attentats terroristes, les policiers devaient être attentifs à leur vie

et parfois prendre des chemins différents chaque jour.

Il y a différentes polices en Belgique, la police fédérale, la police locale et la

police judiciaire.

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Chauffagiste

Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?

J’aime le métier manuel

On rencontre beaucoup de personnes (clients, …).

Que n’aimez-vous pas dans votre métier ? Il faut parfois travailler dans le froid.

Il faut transporter des charges lourdes.

Quelles qualités doit-on posséder pour faire ce travail ? Etre à l’heure.

Etre travailleur et volontaire.

Etre passionné et motivé.

Avoir un esprit d’équipe.

Aimer les contacts.

Etre propre sur soi et respectueux.

Avoir une discipline de vie.

Savoir se lever tôt.

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Doit-on suivre des études pour exercer ce travail ? Magasinier : connaître les différentes pièces, des programmes informa-

tiques comme Excel, savoir conduire le clark, …

Techniciens : connaître l’électricité.

Monteurs : il faut être polyvalent.

On peut apprendre le métier à l’IFAPME et en tant qu’apprenti, on peut

travailler 3 jours par semaine en entreprise et rester 2 jours à l’école.

C’est mieux de faire des études pour accéder à ces métiers que de ne pas en

faire.

Quel horaire avez-vous ? Les ouvriers doivent être sur chantier à 7h30. Si ils vont à Bruxelles, ils doi-

vent parfois se rendre à l’entreprise Goossens à 5h30. Ils ont une pause

« petit déjeuner » de 15 minutes et une pause « dîner » de 30 minutes. Ils

travaillent effectivement 8h00 et donc ils quittent le chantier à 16h15. Ce

sont des longues journées.

Parfois, ils travaillent les week-ends et jours fériés lorsqu’ils sont de garde

mais ils peuvent alors prendre plus de jours de congé.

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Quels sont les outils dont vous avez besoin pour travailler ? Foreuse, machine à souder, chalumeau, …

Des analyseurs (appareils électroniques pour contrôler le fonctionnement

des chaudières, par ex.)

Des ordinateurs et logiciels spécialisés pour dessiner les schémas de chan-

tier.

D’autres informations ? L’entreprise consomme entre 9000 et 10 000 litres de Diesel pour déplace-

ment des camionnettes.

Toutes les camionnettes sont équipées de traceur satellite pour savoir où il

se situe.

Dans cette entreprise, il existe différents métiers : magasinier, technicien

chauffagiste, technicien dépanneur, monteur chauffage et sanitaire.

Il y a un nouveau métier dans l’entreprise : technicien en ventilation

(renouvellement de l’air).

Il y a aussi des métiers administratifs : comptables, secrétaires, évaluateurs

de travaux.

L’entreprise accueille des apprentis.

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Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? Exercer ce travail est une grande fierté pour moi : il passe de génération en

génération (reprise de mon grand-père puis de mon père).

Agriculteur

Que n’aimez-vous pas dans votre métier ? Je n’aime pas quand il gèle car c’est compliqué de rentrer les animaux et les

machines dans le même bâtiment. Alors travailler à l’intérieur me prend

plus de temps.

Quand il pleut, faire la récolte est plus difficile.

Malgré ces points plus négatifs, j’aime ce métier même si on gagne moins

par rapport à ceux qui font les transports des produits de la ferme et ceux

qui sont intermédiaire de ces produits.

Quelles qualités doit-on posséder pour faire ce travail ?

Tout d’abord, il est important d’avoir un bon physique : être bien bâti, avoir

de la force…

De plus il faut avoir son permis car nous devons conduire les machines.

Doit-on suivre des études pour exercer ce travail ? Oui il est important de suivre des études pour par exemple utiliser ses con-

naissances de gestion et de comptabilité.

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Quel horaire avez-vous ? Il n’y a pas d’horaire fixe : les agriculteurs travaillent tout le temps et ten-

tent de lever le pied le week-end pour la famille même s’il y a encore du

travail à effectuer.

Dès qu’il y a des intempéries, nous sommes obligés de travailler jour et nuit.

Pour ma part, je suis agriculteur mais aussi professeur. Je dois donc combi-

ner entre les deux métiers.

Quels sont les outils dont vous avez besoin pour travailler ? J’utilise au moins un tracteur mais également des machines agricoles et des

outils divers quand il faut désherber.

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Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? Ce métier est un défi de tous les jours car les voitures arrivent n’importe

quand et dans des états différents.

Pour ceux qui aiment s’adapter au travail, c’est une vraie passion.

Pour la fierté d’avoir pu réparer une voiture pour son client .

Que n’aimez-vous pas dans votre métier ? Trop d’imprévus, des pièces en retard, des ouvriers malades…

Pour une même voiture, il faut parfois accepter de réparer d’une façon

différente, si c’est pour une société qui loue les voitures ou si c’est pour un

particulier.

Quelles qualités doit-on posséder pour faire ce travail ? La motivation, c’est ce qui séduit le plus l’employeur.

Même s’il y a plusieurs métiers, il faut savoir toucher à tout (c’est-à-dire

être polyvalent).

Etre régulier.

Savoir travailler en équipe (car chacun a sa spécialité et le travail de l’un

dépend du travail de l’autre).

Etre précis, méticuleux et ordonné (pour ne pas perdre de pièces).

S’avoir s’adapter au froid, à la chaleur, au travail lourd et à chaque cas diffé-

rent (voitures différentes, accidents différents).

Ce n’est pas un monde violent, il y a juste des règles à respecter .

Carrossier

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Doit-on suivre des études pour exercer ce travail ? On peut commencer comme apprenti (15 ans) (CEFA ou IFAPME).

Mais autant aller le plus loin possible dans ses études, au moins au niveau

technique aller jusqu’au bout de ses humanités.

L’électronique et l’informatique deviennent de plus en plus importants dans

les voitures.

On doit apprendre le droit et la gestion pour devenir patron et lancer sa

propre entreprise.

Une formation permanente en électronique est nécessaire, car cette der-

nière est présente dans toutes les pièces d’une voiture .

Quel horaire avez-vous ? Un horaire régulier (8 h 00 -12 h 00, 13 h 00 -17 h 00).

Quels sont les outils dont vous avez besoin pour travailler ? Essentiellement des outils pour redresser la tôle et des appareils pour sé-

cher.

Pour faire fonctionner les machines, il y a dans l’entreprise un dispositif à air

comprimé et des chaudières.

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D’autres informations ? Il y a un secrétariat dans l’entreprise ; il se renseigne sur les assurances des

clients, prend des rendez-vous …

Il y a plusieurs métiers comme carrossier et expert (le carrossier répare les

voitures et l’expert évalue les dégâts et les chiffre). Parmi les carrossiers, il y

a ceux qui font de la tôlerie (débosseler), ceux qui montent et démontent

les pièces (c’est toujours le même), ceux qui préparent (avant de peindre),

ceux qui peignent… A la fin du processus, il faut polir et laver le véhicule.

C’est un travail à la fois physique et il faut réfléchir pour savoir comment

redresser la tôle.

La sélection des couleurs se fait par le peintre et par ordinateur ; les pein-

tures ne sont pas très toxiques car elles sont hydrosolubles.

Les tôles et les déchets sont recyclés.

Comme les modèles de voitures changent souvent, il faut se tenir à jour

dans ses connaissances.

On privilégie de plus en plus les réparations partielles (des parechocs, par

ex.) pour moins polluer et cela coûte moins cher pour le client.

En théorie, le carrossier est capable aussi de réparer toutes pièces acciden-

tées d’un moteur .

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Pourquoi les élèves choisissent-ils cette école ? Parce qu’ils habitent la région de l’école.

Certains viennent malheureusement par défaut.

Mais d’autres (peu nombreux) font le choix par rapport au métier qu’ils peu-

vent exercer dans l’automobile.

Quels sont les métiers qui peuvent être pratiqués après les

études que vous organisez ? Mécanicien d’entretien garagiste ou mécanicien d’entretien industriel (dans

une entreprise où on utilise des machines).

Mécanicien d’entretien en voiture ou technicien de voiture (chercher les

pannes).

Électricien automaticien dans les entreprises (entretenir ou réparer les ap-

pareils automatiques comme dans les usines de voitures ou pour encapsu-

ler).

Ecole de mécanique

automobile

Explication de l’atelier de mécanique

automobile par Monsieur Herbetot.

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Y a-t-il différentes sections dans votre école pour ap-

prendre ces différents métiers ? Sections professionnelles et sections de qualification en mécanique auto-

mobile et en électromécanique.

En automobile, on travaille sur des voitures réelles.

On y apprend aussi des matières plus technologiques comme les automates,

la pneumatique, l’électricité et l’hydraulique.

L’école participe parfois à des concours (leur projet actuel est de construire

une machine à faire des jus de fruits à partir de fruits frais, entièrement

automatique, avec laquelle on peut choisir les fruits que l’on veut).

Quels sont les métiers pour lesquels on peut trouver facile-

ment de l’emploi ? Mécaniciens et électromécaniciens dans l’industrie (la connaissance de la

numérisation et des robots est très importante).

Parfois certains choisissent de faire des études supérieures comme bache-

lier en électronique, par exemple.

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Quels sont les inconvénients et les avantages de chacun de

ces métiers ? Si on a envie de faire son métier correctement, il n’y a pas d’inconvénients.

L’avantage est d’être fier de réaliser des choses que d’autres ne savent pas

faire .

Quelles sont les qualités nécessaires pour exercer

ces différents métiers ? La rigueur (dans le montage et le démontage).

Savoir suivre un plan ou un processus (suivre les étapes à la lettre).

Avoir un esprit d’analyse et de synthèse.

Etre soigneux .

Avant de s’inscrire dans cette école, que faut-il savoir ? Il n’y a pas de prérequis.

Cependant, il faut utiliser au mieux le français (lecture de plans, … ) et les

mathématiques (calculs de pression par exemple) .

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Pourquoi les élèves choisissent-ils cette école ? Pour sa réputation à la base sans doute. Pour la qualité avérée de la formation que

nous nous efforçons de donner depuis près de 80 ans. Pour la valeur ‘symbolique’

que revêt un diplôme de notre école en comparaison à celui de certaines autres

écoles hôtelières.

Quels sont les métiers qui peuvent être pratiqués après les

études que vous organisez ? Restaurateur au sens large : personnel de cuisine (chef de cuisine, chef de

partie, commis, etc.), personnel de salle (maître d’hôtel, responsable de sal-le, serveur, sommelier, barman, etc.).

Son propre patron en hôtellerie-restauration grâce en outre au certificat de gestion qui donne l’accès à la profession.

Mais également une des possibilités de carrière dans tous les métiers ‘connexes’ de la restauration (alimentation, boissons diverses, vin, décorati-on, art de la table, etc.) .

Ecole d’hôtellerie

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Y a-t-il différentes sections dans votre école pour ap-

prendre ces différents métiers ? La formation que nous offrons est complète et permet de former les élèves tant

aux métiers de la salle que de la cuisine. C’est une formation que l’on peut quali-

fier de complète et de polyvalente. Ca, c’est le contexte jusqu’en 6ème année.

Ensuite, les élèves sortant de 6ème année peuvent parfaire leur formation avec -

chez nous deux années de spécialisations : une 7ème année en spécialisation Oe-

nologie-Sommellerie-Bar, ou une 7ème année en spécialisation cuisine qui évolue

autour de la restauration actuelle et de demain.

Quels sont les métiers pour lesquels on peut trouver facile-

ment de l’emploi ? Tous si vous êtes motivés et que vous avez la volonté de faire du bon travail. La

restauration est toujours à la recherche de personnel qualifié.

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Quels sont les inconvénients et les avantages de chacun de

ces métiers ? De manière générale, si l’on observe les métiers propres à la restauration (tant ceux du service que ceux de la cuisine), les inconvénients seraient souvent ceux-ci :

de longues journées de travail.

être capable de travailler en équipe et de passer parfois plus d’heures avec ses collègues qu’avec sa famille ou ses amis.

Quelles sont les qualités nécessaires pour exercer

ces différents métiers ? Etre en contact avec des personnes de profils très variés tout au long de notre car-

rière, donc, avoir la chance de rencontrer et d’échanger avec des personnes de

tous milieux, de tous horizons.

Avant de s’inscrire dans cette école, que faut-il savoir et

que faut-il savoir-faire ? Avoir réussi son année d’étude précédant celle de l’inscription (voir obliga-

tions/restrictions).

Savoir si la motivation est réelle!

Savoir-faire: aucun pré-requis professionnel nécessaire. On vous fera vite avancer, c’est notre job! L’évolution est bien entendu en lien étroit avec la motivation des jeunes.

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Ce guide a été réalisé grâce à la collaboration de :

Monsieur Masuy des entreprises de construction Masuy à

Hannut

Monsieur Nivarlet, police locale

Monsieur Goessens, responsable des Entreprises de

chauffage Goessens à Hannut

Monsieur Joiret, agriculteur à Branchon

Monsieur Gilbert et Monsieur Polet de l’entreprise de car-

roserie Polycar à Hannut

Monsieur Herbetot, Chef d’atelier à l’Institut Saint-Louis à

Waremme

Monsieur Sokol, Coordinateur à l’Ecole Hôtelière Provin-

ciale de Namur