guette ée la chanbre.bmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1873_02_16_mrc.pdf · qu’on...

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T mitt *• e(le jMiL PaniikÉtt<kF [A»»> i i i î l jh p ’ji m I- iw»tdmt ni Vf »hi<ubniï*b nt.'igl ffirm i el 'ftcb Atfp )ii l'i i-Hj &«|* ff)tfjihiio<{ w il ul ■»!. Inc imurt n 10 npti <;i- . Ji'ih liKit il MUl n<] »riii • MM* SWüH'if iinini>. •»‘jllil Jlnt.1 ' li . ■J. I ..Ili'lT 1 1 . m 7 *<i ié ‘*< lïiino - i»p fM i |)»r^ siriiu 0(1 t( »5 itoi njciï";''; " p ”rr. , :t! '(iliH RltoAGTBUR EN GHV -IK II -»1> <111 lu (Il H.flilUMl fil ;Klf(..| .£1 i n .H » liUülU' ............ /rd«$iUi^i4rk.i '.ç- i|-. j. ■ ^ébon^& A tt èM MTÉbto d lrtrinB w SSpB ^^ ' ' il à reipIyÜ^tt onjiwdtfflMyMdwttoùtti^,, » ” ; rn^ni’i ' mni0<i1> ^M0|O2^|13M i X II Ktiiniii *»$ii}îlïfp I . V 9.1 ,0B1Wt6U.» 00*1 aéq lif^opsifibÀ lui^;. irio jUioJîSoiq ; «iip iHoq iiMfiiofdl vit'}',! .«'.■• lifiiLf* supüdoqîifll ' Il ' r ^rnâtéipJkm ftm m . V i ‘4 - ‘**‘1 .oPCITil:'. ïlllo A i m tE ^ M B onanda*»^ i »\i oviix an 19^0»; <•. t f >1 ' Ipus HTEMpONS 'Dernières''OMTclIfs de 'W'’'Cfdninliildir dee Trente"! On ' sitend le ri^^H dë l(.’d e '^ i e .''' f |f."di W^llé''â^|li|i^pé il rddljg^ Je, éeppÜit ;“ V(»^|i^,ptji;); ine,'l|oii: s ^ l pcipr.lé »W fflW >-lil',vV'" v’ ,|.i . LpeinenaiMt d* ISidnUeicqiil itont dtm le.eeeteidei Diem et qnl «ne pg cuwr stec'H.>deBn>plle,' lUlgrd se grippe el li soUledd où 11 èé'reeneillé jtoiiP'eïdler'set pdriod^' aISrinédi' 'i)dè 10 rapport sera dodd l ' àlmabie, ^plelù d'alleniionâ, Pfjgrj loot nlipi „et,JopiySqoii. :.w ^ i i n e fondaBl<v,tipue,iie,;dpiiiaDdons pas ^wnSid* le>ctalr«.'H. doDroglie est un bgblle derWalnJ oiililMnisae d'esprit, qai eodiialtaa'taogùe et le I md ton; il ne tan^ cOHI'''jiiià è" HvThiera des "parU' cOifimd ë.'Jilà qîOid nA 'ùîilt nsa Ha Rnn Oes i^rds diots né 'stjnt pas de son dOmaidertOnï, àigoisera-t-ii une pointip' ^ p r c : ppiis il ,pe m etlip, pas des picd8dd'.lqnrdanp,^na le plat. Tout eela; noos ie sarlops ifaTatice, et, en le disant, les'iohaaans'de lé droile ne noos appren- neiittn*']g«a«dell*si^''""' "DOlle, I o 'KI ùùï Ud' rapport adtù polio; PD;ilddan1ddt!' Ulitt ëelë sni$t-il poiir qdo - [ijo I ' " ■ ■" -‘' Nom m popniM qop de obéi^b c*est>b*dire rien auprès de meMieur» lei doM télMa ,^ops n^firipof l-eeprit'lde tourner uoe f^rase è double iù ^ lq a i .piqiiè éi^ ayant Pàtr dè ezitUtét eonime M; de Broglie eo polit" souvent, lijim «qqa ^  m êf apez ,q^i|l,lpf pour uVoi^ que deux et deux font quaire« que la conir i»i^QD,ii*a pài o'rj^adiW les' iHjiijWirt pq- Uiesp^tt^elle ne is’est employjte q u i em- ^l)lotef',llô Tb|e|s et'qu*ie1|6 pe s’esl'jNia ooeupiée une secoo()e dedopuer.è.lp Frauce les losiitulions; la tranquillité et la fctabllitc qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. i'aux. yoilè ce que nous savons,.et les belles phrases de H. de Broglie ne noos feront pas prendre le phange, Parlez de cooqil[a; tiOn tanyq»*.vous voudrez ; vos yeux doux et vos tendres discours ne prouverbqt rien. Vous,l’avez pas rempli votre mission; il n’y a 'pq^. moyen de sortir de lè. M. de Brqglje aura beau dorer la, pilule, la France pt M. Tfaiers ne l’avaleront pas. E . COUBTIIR. . 'îjg^pqp pajpj^^s dqmots et regardons it;s pqifiiniôpw8.,U question est (deoisiiopte*. , i ^ I/Asspmblée'a Deiâiné une commission AaVgée dopréseOtèrun plan d^o'rganisation des’^hŸol^ ^blics. La eomm.issi6n|a^tr èiltf'e^niié des ^qvtiire En àUTeÜfj mimé ctn mot daiia goB.|>rojelt .rtop' Idênitout est lit. Ite .qoel. droit avez^vons eè^ j^ r le, programme que la Chambre atttièadoptét.Poarqnoi loe vons étes^voua pwbceopés do'voire misuoOt N; Thiers, pour vous ramener aii 'sentiméot dé votre déiHfir,’kvli^ p r o ] ^ an article é, qui y abiiU jfie^îs rè v ^ if en arrière^^et ^de «j'|ji^,'ji(|nyip,|)^n“elieqij^, ,Çp» »riicln,4, l’ ,q.f*.fqpqpHq déùiignwqnieni, El nnin\éùsnt, og,irilwt DM» dira qu’il n'j n puenin ii. Thien et la commission de ddqg^nncd.iù^ qw la comroissiOB. a fait ce qii’^ ' d e y ^ fatrév qnmle tont est :de s’en* tendre Mir deux'oii trois vétilles et qne l'on aVihbiMHért k ia roôdeà F^ncb'émëhi; les jèn^liiâx'de lji'drôttfoM croient ian"(ieu tfO^’M^fe.^ " pai mâNAqnii i'qQ^*éB>^aaetiDOusMr|ons très heureux si la conciliaUon se faisait; DOtfè>lj^inntti titt'^èMmo^les discussi oïi(^f.teià"éit^o^^ *é (èys 'y Hala îsoBn, il ne but p u non pins se mo< ’ IVX FEUILLETON (12) .vT: -♦të»' ' M parlementaire lui a conGé. ^■“■ir serait oiseu»* Sarépû- C m l une. pt^que lesutf nPatrerdoE.'L-,, talion'ast eüropMi Ugêpcè* servie pàr une éloquence d ^ m e im e el.agrindièpar.uoeétudesads.reltehé. Cequ on oÔDiiaU ^ u ts . c est son caractère, il a la sen* Mbilîle èt.U douceur d'un jeune missionnaire dont il a ies mœurs et la pureté. Peut>ètre doit- on craindre lès débuts dêces quaUtés dans un ininUtM d i^n é è gouverner, en des temps léVoluuonnairés. Gommé on Vbit, le choix de ces minbtres a été fort heureux et, s'il n’y avait que des répu blicains modérés en Espagne, on aurait je droit de saltendie à'voir l’Espagiie, régénérée et heu reuse sous leur pouvoir, condofider le régime qu’ils vpnt inaugurer, Halheureusemenl il y a à côté des républicains modérée' des républicains radicaux, communistes, internationahsleset des fédé^isles a outrance. H. Castelar, ministre des affaires étrangères, vient d’adreeaer aux représentants de l'Espagne a l'étranger une circulaire annonçant la consti tution du nouveau gouvernemmt, *qui s’établit au milieu de la tranquillité la plûs parfaite à Madrid et dans toutes les provinces. Ce qui n’eropAche pas les journaux monar chistes de dire que tout est troublé. Dn d’eux, le Parts-Zoumal, affirme que le général Muriones envoyé contre les Carlistes, au lieu de les l>attre, leur aurait Tait sa soumission et maiclierail à leur léle contre Madrid. Voilà.ce qui s’appelle aller vile eo ' bien entendu la nouvelle est fausse. EtHOS L’Europe coinpte'une Bépubliquè de plus.' Leïoi Amédée, renonçant à établir en E pagne la.monarcÛe constitutionnelle, qu'jl a qu raoldb' j*fll)ftnèur d’avofr loiijohré ’ lofâleménl pra^quée,.if ^renoncé aq. pouvoir {f^ur lui pour ses héritiers! ' Sàdé^iônéétécommuniquéeilaCliémbre desdéputésetau Sénat, qui se sont .immédia* lement réuniM f se sont conat|tu^ len Corlès souveraines d'&ràgne. Ln, sop^ b double pr^ sidebce^es .présidents deS deux grabds corp^ politiqucB'dQ pays, les représentant de l’Es pagne ont décidé de l’avenir de leur paya. Les chefs les plus illustres du parti conservateur, MM. Salàverria et Uljoa, sont venus faire abnégétion leurs préférences politiques devant l’inlérèl delà patrie, «t 256 voix contre 32 « it proclamé la République. .................. Maii cette République o esl pas déflnitiye; les 'Gortèè^de Madrid, après s’ôtré réunies en assemblée souveraine, ontieu probaUeraeut, comme nos députés & Bordeaux, des doutm. 9ur l’étendue de leur mandat et des scrupules sur là' validité de léiirs pouvoirs constituahls. Ils ont lalsMmne poHe ouverte auxéveotualité&de l’avenir, el pro^roé la Jt^ubliqtœ provisoire. C’est lè lin point que Içs ..journaux républicains de raris laissent trop dans l’ombre et qu’il im porte de faire Ressortir. I,e plus important des membres du goiiver- neoiMit-provisoire estsanadoute M /PiyM or' gall. G’ést un homme d'UP .«vprit ém»gique^ roinpu aux difSculiés de là vie politique, plejn de ravoir et de ràodestie: ' ' ‘ Son hono&teté est proverbiale, bieiiqu’è cet t .......................................................................... dmii comme dans la vie puUiqoe. .M. Pi y HatigalLesti^nserrateur,dans le bop sens du m ôt,^ièn qu’il ait un penchant assez prononéé ponHesidées sbtialistes!' M.^Rguensë'le président du conseiLest un « •«•lit d!un graqd MCc,t,,€pqnj m ant. m M s , H „ p .. prem e et,d qne grandp autorité non*rauIement ybrlm iws corsiigionnairas ràrliliqUes,' fnab sur* tout auprès des hommes des autres partis. On " fSù» vM m ^ew .; choix pour, le, l pas trop, le triht fleeri alla jofferebondie. Son menton ne dépassait pas trois étages, et chacun s’accordait è trouver son gras de jambe irrépro- cbableè Au moral, il prenait du tabac dans une Nous espérons que le gonvernement saura prendre des mesures efficaces pour le maintien de l'ordre. 11 reçoit chaque jour de précieuses od!iériiona.‘H. 'Halcampo, ancien premier mi: nisire du roi Amédéo, 1 amiral Topete, l'un des chefs de la i-évolution de septembre 1868, sont venus e*3urer.M.Fjgucras, président du conseil, de leur concours dévoué et de celui du maré chal Snrraiio;'l’âme du part! conservateur. Du fond de sa retraite, le glorieux Espartero adresse à la république Dais.ranle de chaleureuses félici tations. C'est d'un bon exemple il’unionde tous les partis, nous entendons parler de ceux qui veulent la paix, l'ordre, la liberté, non la guerre civile, l'anarehio et le dffipolisme, est plus que jamais nécessaire au salut de IT leurra raisons qun*M. MiOiLsMoinne a'ta t pour croire le contraire. Nous avons l’expé* riam i UppigDaaf.expérieDQjrM ^ due «h‘1871^^é[foqueîV Edrape âsooin,exerctf sur nous upepieseioaM directe et ri ^cace qu il nous eût été pour ainri dire impoiribls de ne pas accepter la carte forcée d’un ipi. .. r . , „ Elles’est alritehuè, croyant'avec raison qu rile n’avrit Dulipiérét â intervenir dans nos affaires. La I^sse, rile-méme. s'est tenue strictèmeqt dans les termm! fnité de p|ix signé par elle, se mroant â en surveiller et è en garantir rexmtion. ' .• Etion pourrait craindre qu’aujourd htii, sanp nt:l. g^uçfme sorte, sans excuse, d’aucune , parce qu’il aura plu k un roi étranger Igner des fonctioni qu’il eftt' été sage de I accepter, — on poum it craindre, di- lous, que cette Europe, si indiffé^nte —w._Ju’elle pouvait tout, s’émûl tout â coup etflddéfensea la France el à l’Espagne de se consntuer en^Républiqoet L’Araemblée nationale et le conseil municipal de Paris se sont trouvés, par une singulière coin- ddence, qvoir à renouveler leur pureau le mêmé jour. A Versailles, H. Grévy, qui était jadis nommé présidrat par la presque unanimité des députés, a été réélu, il è«t vrai, mais par 421 voix «ulo- ment. Bien qu'ils n’eussent pas de candidat â lui opposer, ses adversaires, tenant à, montrer qu’ils étaient parfaitement décidés du moins â repousser sa candidature, se sont donné la peine de déposer dans l’urne 98 bulleUns blancs ou nuls . . . . A Paris, M. Vaulnin, qui, lui aqssti élut nommé jadis à l’unanimité, a été réélu plus dit- ficilement encore que M Grévy, pui«|u’il pa eu que 40 suffises, contre 32 voix données à M. Hérisson. Ainsi à Versailles l’extrôme droite el a Pans l’extréme gauche croissent en force et se mon trent de jour en jour. plu.s résolues 9 engager la lutte dont chacun de ces partis extrêmes espère sortir victorieux. 'La Monarchie révélée et la République de droit divin sont en progrès aux dépens, des .opi nions modérées. Nous le demandons aux esprits sages de l’Assemblée nationale : ces deux frac tions, aussi violentes et aussi folles l’ohe que l’autre, ne sont-elles pas ^ le m e n t funestes, Les' joornanx français franchement républi cains sont dans la joie de cet événement, mais ceux qui ne sont dévoués à la république que [ »ar raison et par suite des circonstances, comme e- Jourtiàl d u Débalt, ont m'oins d’enthou siasme. Celui-ci exprime au contraire des craintes sur le sort des deux Républiques voi sines. «Il neas est impeesible,dlUily.de partager sur ce point le contentement manifeplé par le parti républicain en Pranèe. Noushe le trouvons ni flense^, ni politique, ni clairvoyant. Nas répu blicains devraient .craindre, au. .contraire,,que cette dernière tévolution ne soit up danger pour eùx-mèmes, et la satisfaction d’une fprine les aveuglé' sur les risques que la République espa gnole pourra faire courir è la République fran çaise. . < Ils oublient que toute l'Europe est monar chique. •• '0n prête iqème des mots à M. Thiers'sur ce sujet. ' — Altônsbomseserail-ilédrié, mevoilàavec deax républiques sur les bras. Il est oertain que, depqis quarante - huit heures, les souverains d'Europe ont, du inslinc- tivemedl poHéT'Iâ màlnl à léiir courontM; iPais cettd d<erniète!leçoD..nou9 ramble Ibite tmur leur insiûiKff ,1a . préoccupation : de consqljder leur trônehien pmfôt que p'our leur donheir rènvie' de réUmir ceux qui croulent ratour d’eux. . Nous ÇCPJ0P9 celq,^el .pous xvqns de mril* Le rédacteur en chef de l'Etef, M. E. La Ha. ranne, annonce que séjournai paraîtra A partir du 18 février, Sous le patronage politique d'üh groupéde députés appartenant à la gauche ré publicaine. . , Il se„compose de MM. fordoux, Chules Brun, — Deschange, — Dù'clerc, ancien midis* tre des finances, — Du«ergier de Haunhne, — Gyprien Girard, — Guinot, — Jozon, — Oscar de Lafayette, — Etienne Lamy, — JPaul Monn, — dé Pressensé, — Roux, — RouMéau, — Ti- rard, — comte de Tocqueville, — Turquet, — Villaini — Wamier. H. La Haranne expose ensu'i.te la l^ne de conduite que l’Efaf se propose de Suivre. Il veuila Répuhliàae, mats avéc nné pililique l’mpcrtMfé etmodérée qui ne soit pas le gouver- nementil'une fmition, mais le gouvernerofuitde ...1 . Nous ne pouvons qu approuver ces idées que nous déffmdons chaque jour. M . le duc d’Aumale sera reçu â l’Académie par M. Covillicr-Fleury; il aura pour parrain HH.,i'4hier8etGuizot. L’E/qf raconte que M. le duc d’Aumale est allé demandf^ à H * T h i^ de lut rendrà ce ser vice académique : dj'. 'ii-‘ ; * i: .-niu.. ; I ■1^ - . consril ‘dea'inîBislrao'qlilpttrâliraikM ti'irairai* rtitrfyfenïser. e iNous'ne votooa pas toujoun ensemble k rAaaembléa. 'b M-U ; ^ am nno malice'cbannthte, « nàiii' A I AckdMie, siiu certritf qué nota aouos toiqound to rd; • M..thi'e»xajouté; — ye n’ai pas d’habit d'aetdéraideoi nris je l’eo ferai fadra un tout «tprèB>poar U orcoM - tiuce. \ Nouvellea de b.,fuiioi| * N " Auguste de Saxe-Cphoum^llte ÿnufiaM Aw mentine d’.Orléana}a dîné c h » M..|e;Corote,de Chambord. qui est venu après c d A fm t^ el|e. La priaeeese OémentÎM rat venue k ,n A utna oouvcilea de ia fusion : A la veiDi t e débats qui vont>^8'e n g i^ sur le projet dqs trente, on est vraiment bien ennuyé^ dani cer tains groupes piditiques de bi-CUiambre* de ne pas savoir ,k quoi s’en tenir sur le; résolutions le M. le comte de Paris et t e autres princes de famille d'Ôrijéana.. Nous extrayoïiao» qui pYécède de denx peüts entrefilets publiés k la suite l’un de l’aotrepar rAsMmè/déti4frâM«fe,raooiteurdradécooyepaes fusionnisles. Ce journal rit,cejouraril.plflpif- Le dinra de la princesse Clémentine dira M. le comlede Chambord, c’es; un:évènem«ithett» reuxy.touchant, considérable; maiscedliier n a rien de décisif encore, puisqu’on se plaint,» fort k l’Assemblée du silence de M. le comte .de Paris à la veille du rapport des trente 1 Quel embamis! quelle perplexitél Gomment faire?., D’après une commisrion dn ministre des finances pnissiéh, la France aoralt actuellement nayé 4,200 millions de l'indeinnlté de g u ^. ,{,700 mil.lidris ont été réèervéé ^ f ir les intérêts jénéraux de remnire ; 956"itin(iôh8 podr les es fonds des Invalides et la çonsténction de for teresses allemîmdes; Des som m ^ pliis considé rables encore seront affectées aux besoins'dè l'empire, ét de toute l’indemnité de guerra fran çaise, 200 millions de lhalers seulement seront partagés entre les Etats qui composent la grande unité allemande. La commission de la chambre des députés delà Prune atermioé.ses travaux sur l’emprunt pour les nouveaux clieipips de fer. On aura' re cours â un emprunt public, parce que la part do l’indemnité de guerre afférente à la Pruase ne peut y être consacrée. Gomme on voit, la Prusse en tout se bit la part du lion. Lé JCIX* Siéefo publie ce fragment de lettre adrràsée pai‘ un membre de la commisrion. des Trente k un de ses amis de province : • ... Enfin, mon cherami, j’espère que, d’ici k peu de jours, voûk appréclerra lés magnifiques résullatsoblenus par la commission des trente. Thiers malgré sa s o u p l^ et ses ruses, n’a pu ^ dérober à nos etreintés ; le rusé compère era vaincu ; il demande mâce! Nous vçiVons ce qtife nous aurons k lui donner; mais comptez tou jours que sa fameuse'politique du message ira rejoindre les adirés théories du vieux Fodlri- quet,et.q - • foréddent n u i . .. *H« ifcsD .robriè, .. --o.. comment on emploiera Ira d ^ n g ; c est la d ^ nièré question k débaUi^».'Au besoin, noàb auroosla yoirif^. '» " V Voilk les gertlillesses de la droHé. •• La bMe mt morte. > C’erà de M. Thien que l’on parle. Yollk où en est la conCiliatioDi Vrafinent, on s pauvres membnb'. ridicules que.ifn^hâDfs. P.-E. DoEAn. t Je désire, a-t-il dit, avoir k mes côtés Ira deux prî'QCipaox ministres de mon père. • M. Thiers, cela va sans dire, a accède de grand cœur au désir du prince, saufavg favorable du D serrit'W élté,.», au fondy Cel rra .de b^aroite n’étaient plus ....... (ü^h1all ' " f l ’l S r t É V E!’'* aiùq^b. oui tffiéir; il n y a. ihm oq. ^ Trésor; ra proclano la KèMNMne, n ce bliqne est en vaut bien une antre, qui vaut nêiDe mieâif qôVne ani^; mais iline croient pas an pouvoir ma|iq É»# — ■raot, el iroovent, qu’après comme avant le départ d’Amédée, le prablèihe espagnél^adteahitM Ii^cile k résoudre* \^ Ce qui n’empêehè ^ le fiÜi de Victor^ nenU-' (7cat on roi. biep^aaeteM ; (OTow avona'tjffniiti tés.4or ïd trône; ne poqttiMt\plM M^déi* cider k èri deaceqdre ; pp‘1eor d ^ i l \ fiais alles-vooB enl- Peinas perdues.;iû •jàaient contents qdé I.Orèqà*d6h.ioap>fteldff'^riO phanie tes forçait k se sauver en 4é9re<^À eu se‘cachant sons d ^ qnes. Aroédto a rois moin» d’entèf/MiipBt pins (PespèiL On Fp apçelé*,il est lui a demandé dOt goûvéi^te' ,coiM4Mflü<Wr nellem entU à gonverhé conktildt io#teHs^ mepi avec URe loyaptô bout de dent-^ns pagnoi lui n -foit qn’on ne'vonlait pins d è i u U 'iï'te^^ mais parti, an grand jqpi;>vpe d’boBoenr, après avoir «oigaetNonMlt'eiB^ ballé spn^obilier. simpleqne d’attendre les conps'de 'fMÎl : et voilk comment On met en pratiqueià ^ ,^ rte do roixiooelionnaire. 2 >l Ealrce un bten, «trcevQ 9ial,pow rBi* pagneTil est éridèot qifë veraemeni aaraifoiiate^m ll-Va se trèOtdr 'm idablesiiisqrFectipps : cariisiè^ qtfi bHWeùt lM ;g ^ ^ ô t^ v teà ^raila. .1^ P»“^ ^ 1^» gens ait^tfom à& W «a «l te rot-MgliiilM une Commune blanche; — an Hîdïy'ies bandes inlernaltiOp^l^t, organisées, angiqentéés dra avenlnriera de.^l’& j^pe, 4niyaul^'d<ÿriiqVi» une Commtitteiiëü|jO(>-^An iBlilieii,v«èmM d’enclume, cmnme tonionrs. le ponplei le LE LOUP BLANC . jôuchô'lri- 3lM|[ihitOiqilbéi««n- IkHlliK ffè> JinA be botte d’écaille si finement travaillée que tonies Ira maïquisrây in ^ ie n t leurs.jolis doigts avec déliera, habit de cour'kyail des boutons de 'hôrObrte. ' " ^ BNté'déyM^ Il nous irais k parier de monsieur 1 intendant ”*ÏDlfooi'*i£ebamril, marquis de Nmntdl, éuit un fort bal homme de quarante ans « SïébjMStedeploi.Uavrilte »«ue, mais djamanp dont cliacün valait vingt mille livres. Il avait dés façons de sèeéuer la dentelle de son jabot et'd é relevér la pointe do sa rapière "isdu'k lahauteurde l’épaule qui n’appartenaiétit ^u’k lui, et sa roé|Tioiro, suffisamment cultivée, rui'permetlait de placer ça èt Ik deé bons mots d’oécaston qui n’avalent guère cours que depuis six semaines. Il avait en ouireun appetliincomù penblé, auqùebil sacrifiait un bon Mers de son revenu', et un «tomao k l’i^reute. En sommet il n’était 'pas beaucoup plus groteéque que la plupart des nobles financière de son tempe. ;■ Mi le marquis-deNointel avait.en B ret^e de-.ÉombreUsM et imporlantesi occupations. D’sbor^ il aimait éperdument Alix de Vaunov, dont il voulait faire sa fèrome è tout prix. H. de Vaunov ne drinandait pas mieux, mais Alix semblaild’une opinion diamétralement opposée, el c’était pitié de voir M. de DécliaiReil perdre scs gHlanlerira, sos madrigaux improvisés do mémoireetalirtoutlramérvelllra do sa huisine dont l’excritence est historique, auprès de la flère Brekohne; Ilnesedécouragrait pas cepen dant et redoublait chaque jour ara elforti incMsamment inutilM. . Il était en outre, comme nous l’avons pu dire déjà, intendant do l’impôt. G'tto charge, qu'il ne fondrait eli aucune faÇon comparer à la ban )ué goiivernefflentàlé de nos receveurs généraux, nécessitait, en Brelàgné surtout, une terrible dépense d’activité.'La Mo^hlce, on effet, rhitiquait a ia ^ s d’aigeut et'de bonne vdlonté pour acquitter Ira lourdes taille» qUt ' praalenl dépdià ^ sur elle. , En troisième lieu, —:et o’était; k cnup sùr* l’emploi auquel H tenaU lenliu« — BéonamHI avait la haute main sur 1bulN {Müvès 'nobles dans l’étmdue de la province. Ce droit d’invrati- gatioq était pour ilosl dire inhérent kU charge d’intendant, puisque lesgenülshommw n’étaient pas sujets k l’impôt, et qu’ainsi, sous fousse couleur de noblesse, nombre de roturiers auraient pu se soustraire aux tailles, mais Bé- chatneil tenait ce droit k titre plus explicite encore. 11 avait affermé eh effet, moyennant une somme considérable payée annuellement k la Couronne, la vérification des titres, actes, et diplômes, etsn Vertu de ce contrat, il profitait seul des amendes prononcées sur son instance par le parlement breton contre tout vilain qui prenait élkt 'de gentilhomme. En conséquence, Il avait intérêt k Irbuver dds usurpateurs eh'quantité. Aussi ne ra faisait-il point faute de bouleverser les chartiers des la- m ilin et se montrait si âpre k la curée, nue Ira seigneurs ralliés au roi eux-mêmes avaient sa personne en fort mauvaise odeur. Mais on le craignait plus encore qu’on né le délestait. Par le foit, en une province comme la Bretagne, pays do bonne foi ot tl’usage. où beaucoup de genlilslioln'mes, forts do leur possession détat mithéifiorialè, n’avaient ni titres ni parchemins, iepouvoirde M. Béchameil avait une portée terrible. Pauvre d’esprit, avide el étroit de cœur, rompu aux façons mnnilaines, n’ayant d’autre hionveillanco quecettécourtoisietouteextérieure 3 ni vaut k ses adeptra le nom sans signification t'excellelit homme, l'intendant do l’impôt était justement asara sol poür faire un impitoyable tyran*. Duo seule chosé pouvait le fléchir: I araent. Quiconque lui donnait de la main k la mam le irionlanl de l’amende el quelques itiinièrs de livres en BUS par forme de prime, Âail sùr de n’être point inquiété, quelle que fût d’ailleurs la témérité de scs prélenllons : pour dix mille éciis,- il eût laissé le litre de duc au b l'.'fid ’ùn laquais. — Mais, quand on n’avait pbint d’araent, par contre, il fallait, oonr sortir db ses grifiisR, un droit bien irrécusable, et Ira mémoires du tempe ont refkté plusieuis exem ples de gens de qualité réduite pàr lul'k létal derôlifrell). . , On déit pehser que M* de Vaunoy, lequel iij Notu citeront iculetnenC .un cadet de l’iUuatre et historique roaiMn de.^voitlogon, q » foth^ttstsmsBtdébonténirl'ixistaiMede Deohamejl, , r n’avait point par devers soi d n papiers de fomilla fort en T^le, avait tremblé d abord devant un pareil homme. Les méchant» langues prétendaient qu’il avait commencé par financer de bonne grâce, eequi était toujours un excellent moyen. Mais, dans ta porition de Vaunoy, cela ne suffisait pas. Suiistitué par une vente aux droits des Trcml, dont il portail le nom ot dont il avait pris jusqu’aux armes pour en écarteler son douteux écusson, il avait trop â redouter pourne pas chercher lous les moyens de se concilier son juge. Un retrait de noblesse lui eût fait perdre k la fois ses titres, auxquels il tenait davantage, car c’était son état de^gen-- tilhommeel sa parenté qui lui avaient donné quàlilé pour acheter le domaine de TremL Heu reusement pour lui, Béchameil fit Ira trois quarts dU chemin. Ce gros homme » jeta pour ainsi dire dans ses bras en ne faisant point mystère de la passion qu’il avait conçue pour Alix. C’était un roup de fortune, ot Vaunoy en sut profiter. Béchameil et lui se lièrent, et, bien que l’intendant royal ftil de fait le plus fort, il ro laissa vite dominer par l’adresse supérieure de soq nouvel ami. 11 va sans dire que Béchameil reçut promesse de'la main d’Alix, ce qui n'empêcha point Vaunoy do favoriser en quelque sorte l’irtlimité qui s’éUitétahliok Rennes entre la jeune fille et Didier. — Vaunoy avait sans doute scs raisons |H)ur cela. Durant le séjour de .Didier à Rennes, Béchameil n'avait point été sans s’apercevoir de sa liaison avec Alix. Ceci noua explique la grimace du financier k la viiedu jeune capitaine. Quant k Mlle Olive, elle agita son éventail parce qu’elle crut foire ainsi preuve d’une très jolie pudeur. !.e repàs est toujours l’acte le plus important deriidspiialitébratonnu Au bout dé quelques instants, maltr* Alain, le malotdonio'. déroré dè sa^hatne d’argot otficl«î^ et Ira yeux rougraencoredsËon eomme bachiquo,-ouvrit Ira deux batUM date porte pour aunonoer le lOUper. — Demain nous parlerons d'aOkirra, dit galment H. de Vaunoy. Maintenant, soupona. — Soiipons ! répéta Béchameil, k qui ce mol rendit un parti-; de sa sérénité. Alix se leva, et, d’instinct, tendit sa main k Didier. Celui M. de Béchameil qui la prit. Le capitaine, k dessein ou faute do mieux, se con tenta des doigts osseux de Mlle Olive. Nous ne racontcrtMIs point le souper, pressés que nous sommes d’arriver k des événemens de plus haute importance. Nous dirons seulement que M. de Vaunoy, tout en portant fc diverses reprises U santé de son jeune compagnon, le capitaine Didier, échangea plus d’un regard équivoque avec maître Alain, auquel même, vers la fin du repas, îl donna un ordre k voix basse. Maître Alain transmit cet ordre h un va let de mine peu avenante que Vaunoy avait dé- liauché l’année précédente k Mgr le gouverneur de laprovince et qui avait nom Lapierre. Pendant cela, Béchameil faisait sa cour accou- luraée! Alix ne, l’écoutail point, et tournait de temps en temps son regard triste elsurpris yers le capitaine qui causait fort assidûment avec Mlle Olive. Celle-ci minaudait, se ptifÇail les lèvres et n’omettait aucun détail du divertis- ear.t manège d’une coquette surannée savourant des soins do hasard* Hervé de Vaunoy conduisit lui-même le capi taine jusqu’k la porte de sa chambre k coucher cl lui souhaita la boupo nuit. Jude était debout eiicorn. 11 arpentait la chambre k pas lent plongé dans do profondes méditations. . — Eh bien ! lui dit son maître, es-tu coHf tent dè moi T t’ai-je éparçné les regards indis- crolsT , ... _ Monsieur, je vous remercie, répondit Jude. . . u I — As-la appns quelque chose 1 — Rien sur i'enlant, et o’rat d’on tiwte aa^ gara lii. Mais jexataqukdanMGntoadqtdAit Il nourrice du petit monsieur, est roaiotenaat femme do charge aucHkieflù. -. ’ w . - — Q le te donnerk des nouvelles. ; p — Je sais aurai que j’aurai de U peine a me cacher longteropi, cer j’ei vo U nfivie d tii ennemi: Alain, l’anciea inatVe-d’iilô'tà (le Treml. - " j :; — Je t’ca offre autant, .oior " 'rôh aperçu le visan 4’u° H. de Toutotei-gM renM t fle.BretéVMb noble protecteur, et que, je aoupçonti forkde Hl* |ASIS*> vty vssanvM. wv.fl— ...r turne qui me valut "an dernier un cpup dér pée .... M^s nous débtoqilieroas tout gela. En 'lââdanl, dormons. — Dormez, réponditJude. Le capitaine se jeta sur son lit. Jude continua deveiller. ' xyi ^ 1«« «■■■«il |iriv é te M, te ViÉeraray. Le capitaine dormait, iôvanti>eMfoêkra<iow;è tour k -la noble-AUx et k IhumhlO'âUedela forêt ; car, malgié sa froideur lystém aliq^ il n’avait pu revoir UpremièreiuawM vivaraMr tion. Jude arpentait'la cbaidbre ofcdemqnprali son honnête et simple cenelle oiiinV êt te retrouver.téfilsdq.Tceml. BéehimelL dfewMdt en aongo da blanrsiMnger«iMlte.OUTaiP(tiMdt un superbe château en- Eapage où eiteMIVOyaijt la dame ei maUrrara d’uA gentil offi«ir*do M majestéleroiXVstete AlixcboratiMtaiivte . le sommeil plcomlMHail.:te:fièvre*qarjvpM^ jeune fille avait bien souffart ce|reilb'BItelrâf;t«<l■ teil point intenroger,epn cmur» eti lait en dépit d*(éle i «lie aimait. Oi naturOifléchit au pwaweriaqaine^. tement) Jusque alora -«éle .oavaH )fiiè|| d’autre obelàcle entre alteffbte boqbftir.qp». _ devoir OU la volonté de c’était un.abtnwqids’oavvtejt devaj)|,«ftei;lHdier ravailoMUiée.î„-.i ... . Di»rappertemMLpriirate'll.teii doai te doubteipQrtoiétartiMPêupMaMibl trois b o m m m i^ ^ rte ff aorâa>itetqqqa|i)Ho(<!fteM(i: mémo, AUin, ton oalf ' Laptenr», ir.qpoNB

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Page 1: Guette ée la Chanbre.bmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1873_02_16_MRC.pdf · qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. fédé^isles a outrance. i'aux. yoilè ce que

T m itt *•e(le jMiLPaniikÉtt<kF

[A»»> i i i î ljh p ’ji m I-

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I p u s H T E M p O N S'Dernières''OMTclIfs de 'W'’'Cfdninliildir

dee Trente"! On ' sitend le ri^^H dë l ( . ’d e ' ^ i e . ' ' '

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» W fflW > -lil ',v V '" v’ , | . i ■• .LpeinenaiMt d* ISidnUeicqiil itont dtm

le.eeeteidei Diem et qnl «ne pg c u w r stec'H.>deBn>plle,' lUlgrd se grippe e l l i soUledd où 11 èé'reeneillé jtoiiP'eïdler'set pdriod^' aISrinédi' 'i)dè 10 rapport sera dodd l ' àlmabie, ^plelù d'alleniionâ, Pfjgrj

loot nlipi „et,JopiySqoii. : .w ^ iin e fondaBl<v,tipue,iie,;dpiiiaDdons pas ^wnSid* le>ctalr«.'H. doDroglie est un bgblle derWalnJ oiililMnisae d'esprit, qai eodiialtaa'taogùe et le Imd ton; il ne tan^ cOHI'''jiiià è" HvThiera des "parU' cOifimd

ë.'Jilà qîOid n A 'ù îil t n sa Ha RnnO e s i^rds d io ts n é 's t jn t p a s d e so n

d O m a id e r tO n ï , à ig o ise ra - t- ii u n e

pointip ' ^ p r c : pp iis i l , p e m e t l ip , p a s d e s

p ic d 8 d d '. lq n r d a n p ,^ n a le p la t . T o u t ee la ;

n o o s ie s a r lo p s ifaT atice , e t , e n le d is a n t,

l e s 'i o h a a a n s 'd e l é d ro i le n e n o o s a p p r e n -

n e i i t t n * '] g « a « d e l l* s i ^ ' '" " '

"DOlle, Io 'KIù ù ï Ud' rapport adtù polio; PD;ilddan1ddt!' Ulitt ëelë sni$t-il poiir qdo- [ijo I ' " ■ ■ ■" -‘'

Nom m popniM qop de obéi^b c*est>b*dire rien auprès de meMieur» lei d o M télM a , ^ o p s n ^ f i r ip o f l-eeprit'lde tourner uoe f^rase è double iù ^ lq a i .piqiiè éi ayant Pàtr dè ezitUtét eonime M; de Broglie eo polit" souvent, lijim «qqa  m êf apez ,q i|l,lpf pour uVoi^ que deux et deux font quaire« que la conir i»i^QD,ii*a pài o'rj adiW les' iHjiijWirt pq- Uiesp^tt^elle ne i s’est employjte q u i em- ^l)lotef',llô Tb|e|s et'qu*ie1|6 pe s’esl'jNia ooeupiée une secoo()e dedopuer.è.lp Frauce les losiitulions; la tranquillité et la fctabllitc qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. i'aux.

y o i lè c e q u e n o u s s a v o n s ,.e t le s b e lle s

p h ra se s d e H . d e B ro g lie n e n o o s f e ro n t

p a s p r e n d re le p h an g e , P a r le z d e co o q il[a ;

tiOn ta n y q » * .v o u s v o u d re z ; v o s yeu x d o u x

e t vos t e n d re s d isc o u rs n e p ro u v e rb q t r ie n .

V o u s , l’avez p as rem p li v o tre m is s io n ; il n ’y

a 'pq^. m o y en d e s o r t i r d e l è . M. d e B rqg lje

a u ra b eau d o re r la, p ilu le , la F ra n c e p t

M. T fa ie rs n e l’av a le ro n t pas .

E . COUBTIIR.

. 'îjg^pqp p ajpj^ ^s dqmots et regardons it;s pqifiiniôpw8.,U question est(deo isiiop te* . , i ^

I/Asspmblée'a Deiâiné une commission AaVgée dopréseOtèrun plan d o'rganisation des’ hŸol^ ^blics. La eomm.issi6n|a tr è iltf 'e ^ n iié des ^qvtiire En àUTeÜfj mimé ctn mot daiia goB .|>rojelt .rtop' Idênitout est lit. Ite .qoel. droit avez^vons eè^j^r le, programme que la Chambre atttièadoptét.Poarqnoi loe vons étes^voua pwbceopés do'voire misuoOt N; Thiers, pour vous ramener aii 'sentiméot dé votre déiHfir,’kvli p r o ]^ an article é, qui y abiiU jfie^îs rèv^if en arrière et de «j'|ji^,'ji(|nyip,|)^n“elieqij^, ,Çp» »riicln,4,

l’,q.f*.fqpqpHq déùiignwqnieni, El nnin\éùsnt, og,irilwt DM» dira qu’il n'j n p u en in ii . Thien et la commission de ddqg^nncd.iù qw la comroissiOB. a fait ce qii’ 'd e y ^ fatrév qnmle tont est :de s’en* tendre Mir deux'oii trois vétilles et qne l'on aVihbiMHért k ia roôdeà F^ncb'émëhi; les jèn^liiâx'de lji'drôttf oM croient ian"(ieu tfO ^’M^fe.^ "

pai mâNAqnii i'qQ^*éB>^aaetiDOusMr|ons très heureux si la conciliaUon se faisait; DOtfè>lj inntti titt'^èMmo^les discussio ïi(^ f.te ià" éit^ o^ ^ *é (èys 'y

Hala îsoBn, il ne but p u non pins se mo<

’ IVXFEUILLETON (12)

.vT: -♦ të» ' '

M p arlem entaire lu i a conGé. ■“ ■ir serait oiseu»* S a ré p û -

C m l une.

pt^que lesutf n P a t r e r d o E . 'L - , , talion'ast eüropMiUgêpcè* servie pàr u n e é loquence d ^ m e i m e e l.ag r in d ièp a r .u o eé tu d esad s .re lteh é . C e q u on oÔDiiaU ^ u t s . c es t son caractère , i l a la sen* Mbilîle è t.U douceur d 'u n jeu n e m issionnaire d o n t il a ies m œ urs e t la pureté . Peut>ètre d o it- on c raind re lès d é b u ts d ê c e s quaU tés d ans u n ininUtM d i ^ n é è gouverner, en des tem ps léVoluuonnairés.

Gommé o n Vbit, le cho ix d e ces m in b tre s a é té fo rt heureux e t , s 'il n’y avait q ue des rép u ­blicains m odérés e n Espagne, on au ra it je d ro it d e s a lte n d ie à 'v o ir l’Espagiie, régénérée e t h eu ­reuse sous leu r pouvoir, condofider le régim e q u ’ils vpnt inaugurer, H alheureusem enl il y a à cô té des républicains modérée' des républicains rad icaux , com m unistes, in te rna tionahslese t des fé d é ^ is le s a ou trance.

H . Castelar, m in istre des affaires étrangères, v ient d ’adreeaer aux représentants de l'Espagne a l'é tranger une circu laire a nnonçan t la consti­tu tion d u nouveau gouvernem m t, *qui s’é tab lit au m ilieu de la tranquillité la p lûs parfaite à M adrid e t dans tou tes les provinces.

Ce qui n ’eropAche pas les jo u rn au x m onar­chistes de d ire q ue to u t est troublé.

Dn d ’eux , le P arts-Z oum al, affirm e que le général Muriones envoyé contre les Carlistes, au lieu de les l>attre, leu r au ra it Tait sa soumission e t m aiclierail à leur léle con tre Madrid.

V oilà.ce q ui s’appelle a ller v ile eo ' bien entendu la nouvelle est fausse.

E tH O SL’Europe co inp te 'une B épubliquè d e plus.'L e ïo i Amédée, renonçant à é tab lir en E

pagne la .m onarcÛ e constitutionnelle, q u 'jl a qu raoldb' j*fll)ftnèur d’avo fr loiijohré ’ lo fâlem én l p ra ^ q u é e , .i f ^renoncé aq. pouvoir {f^ur lui p ou r ses héritiers!' S à d é ^ iô n é é té c o m m u n iq u é e i la C l ié m b re d e sd é p u té s e ta u Sénat, q u i se son t .immédia* lem en t ré u n iM f se son t c o n a t |tu ^ len Corlès souveraines d '& rà g n e . Ln, sop^ b double p r ^ sid eb ce^es .présidents deS deux grabds corp^ politiqucB 'dQ pays, les re p ré se n ta n t de l ’Es­pagne o n t décidé de l ’avenir d e leu r paya. Les chefs les p lus illustres d u p arti conservateur, MM. Salàverria e t U ljoa, son t venus faire abnégétion dé leurs préférences politiques devant l’in lé rè l d e là pa trie , « t 2 56 voix contre3 2 « i t p roclam é la République. ..................

M aii ce tte République o esl pas déflnitiye; les 'Gortèè^de M adrid, après s’ôtré réunies en assem blée souveraine, o n tie u probaU eraeut, com m e n o s députés & Bordeaux, d es doutm . 9u r l’étendue d e leu r m andat e t des scrupules su r là ' validité de léiirs pouvoirs constituah ls. Ils o n t lalsM mne poH e ouverte auxéveotualité& de l’avenir, e l p r o ^ r o é la J t^ u b l iq tœ provisoire. C’est lè lin po in t q ue Içs ..journaux républicains d e r a r i s la issent tro p d ans l ’om bre e t q u ’il im ­porte d e faire Ressortir.

I,e plus important des membres du goiiver- neoiMit-provisoire estsanadoute M /P iy M o r' gall. G’ést un homme d'UP .«vprit ém»gique^ roinpu aux difSculiés de là vie politique, plejn de ravoir et de ràodestie: ' ' ‘

Son hono&teté est proverbiale, bieiiqu’è cet

t .......................................................................... ■dm iicomme dans la vie puUiqoe.

.M. Pi y HatigalLesti^nserrateur,dans le bop sens du m ô t,^ iè n qu’il ait un penchant assez prononéé ponHesidées sbtialistes!'

M .^Rguensë'le président du conseiLest un « •«•lit d!un graqdM C c,t,,€pqnj m a n t. m M s , H „ p . .

p r e m e e t,d qne grandp autorité non*rauIement ybrlm iws corsiigionnairas ràrliliqUes,' fn a b sur* to u t a up rès des hom m es des au tres partis . On

" fSù» vM m ^ e w . ; choix p o u r , le , l

pas tro p , le tr ih t fleeri a l l a jo fferebondie . Son m enton ne dépassait pas tro is é tages, e t chacun s’accordait è tro u v er son gras d e jam b e irrépro- cbableè A u m oral, il p rena it d u tabac dans une

Nous espérons q ue le gonvernem ent saura p rend re des m esures efficaces p ou r le m aintien d e l 'o rd re . 11 reço it chaque jo u r de précieuses od!iériiona.‘ H . 'H alcam p o , ancien prem ier m i: nisire d u roi Amédéo, 1 am iral Topete, l'un des chefs d e la i-évolution de septem bre 1868, sont venus e*3urer.M .Fjgucras, président d u conseil, de leur concours dévoué e t d e celui d u maré­chal S n rra iio ;'l’âm e d u part! conservateur. Du fond de sa re tra ite , le glorieux E spartero adresse à la république Dais.ranle de chaleureuses félici­ta tions. C 'est d 'u n bon exem ple i l ’un io n d e tous les partis, nous entendons parler de ceux qui veulent la paix, l 'o rd re , la liberté , non la guerre civile, l'anarehio et le dffipolisme, es t p lu s que jam ais nécessaire au sa lu t de IT

leurra raisons qun*M . M iO iL sM oinne a 'ta t p ou r c ro ire le contraire . Nous avons l’expé* r i a m i U ppigD aaf.expérieD Q jrM ^d u e «h‘1 8 7 1 ^ ^ é [ f o q u e î V E d r a p eâ s o o in ,e x e r c t f s u r nous upepieseioaM directe e t r i ^ c a c e qu il nous eû t é té p ou r a inri d ire im poirib ls de ne pas accepter la carte forcée d ’un ip i. .. r . , „

E lles’est a lritehuè, croyant'avec raison qu r ile n’a v rit D ulipiérét â in terven ir dans n o s affaires. La I ^ s s e , rile-m ém e. s 'est tenue stric tèm eqt dans les termm! f n i té d e p |ix signé par elle, se m ro an t â en surveiller e t è en garan tir r e x m t io n . ' ‘ .•

E tion p ourra it craindre q u ’au jo u rd h tii, sanp n t:l. g^uçfm e sorte, sans excuse, d ’aucune

, parce q u’il au ra p lu k u n ro i é tranger Igner des fonctioni qu’il eftt' é té sage de I accepter, — on p o u m i t cra ind re , d i- lous, q ue cette Europe, s i ind iffé^n te

—w ._ Ju ’elle pouvait to u t, s’ém ûl to u t â coup e tfld d éfen sea la France e l à l’Espagne de se consntuer en^Républiqoet

L’Araemblée nationale e t le conseil m unicipal de Paris se son t trouvés, par une singulière coin- ddence , qvoir à renouveler leur pureau le m êmé jo u r .

A Versailles, H . Grévy, q ui é ta it jadis nom m é présidrat par la presque unanim ité des députés, a é té réélu, il è«t v rai, mais par 421 voix «u lo - m ent. Bien q u 'ils n’eussent pas de candidat â lui opposer, ses adversaires, tenan t à, m ontrer q u ’ils é taient parfaitem ent décidés d u m oins â repousser sa candidature, se sont donné la peine d e déposer dans l’u rn e 98 bulleUns blancs ou nu ls . . . .

A P aris, M. V au ln in , qu i, lu i aqssti é lu t nom m é jadis à l ’unanim ité, a été réélu plus d i t - ficilement encore q ue M Grévy, p u i« |u ’il p a eu que 40 s u f f is e s , contre 3 2 voix données à M. Hérisson.

Ainsi à Versailles l ’extrôme droite e l a P a n s l ’extrém e gauche croissent en force e t se m on­tre n t d e jo u r en jour. plu.s résolues 9 engager la lu tte dont chacun de ces partis extrêm es espère so r tir victorieux.

'L a Monarchie révélée e t la République de d ro it divin so n t en progrès aux dépens, des .opi­nions modérées. N ous le dem andons aux esprits sages de l ’Assemblée nationale : ces deux frac­tions, aussi violentes e t aussi folles l’ohe que l ’a u tre , ne sont-elles pas ^ l e m e n t funestes,

Les' joornanx français franchem ent répub li­cains so n t dans la jo ie d e ce t événem ent, mais ceux q u i ne son t dévoués à la république que[»ar raison e t par su ite des circonstances, com m e e- Jourtià l d u D ébalt, o n t m'oins d ’en thou­

siasm e. Celui-ci exprim e au con tra ire des craintes s u r le so rt des deux R épubliques voi­sines.

« I l n e a s es t im peesib le ,dlU ily.de partager s u r ce po in t le contentem ent m anifeplé p a r le parti républicain en P ranèe. N oushe le trouvons n i flense^, n i politique, n i clairvoyant. N as répu­blicains devraien t .craindre, au. .contraire,,que cette dern ière tévolution n e so it u p danger p our eùx-m èm es, e t la satisfaction d ’une fprine les aveuglé' su r les risques q u e la R épublique espa­gnole pourra fa ire c o u rir è la R épublique f ran ­çaise. .

< Ils oub lien t q ue to u te l'E u ro p e e s t m onar­ch ique . ••

'0 n prête iqèm e des m ots à M. T h ie rs 'su r ce su je t.' — A ltô n sb o m se se ra il- ilé d r ié , m ev o ilàavec d eax républiques s u r les bras.

Il e s t oertain q u e , depqis q u a ran te - h u it heures, les souverains d 'E u rope ont, d u inslinc- tivem edl poHéT'Iâ màlnl à lé iir courontM ; iPais cettd d<erniète!leçoD..nou9 ram ble Ibite tm ur leu r insiûiKff ,1a . préoccupation : de consqljder leur trô n e h ie n pm fôt q ue p'our le u r donheir rèn v ie ' de réU m ir ceux q u i c ro u len t r a to u r d’eu x .. N ous ÇCPJ0P9 celq,^el .p o u s xvqns d e mril*

Le rédacteur en chef de l 'E te f , M. E . L a Ha. ran n e , annonce que sé jo u rn a i paraîtra A partir du 18 février, Sous le patronage politique d 'ü h g ro u p é d e députés appartenant à la gauche ré­publicaine. . ,

Il se„com pose de MM. fo rd o u x , C hu les B ru n , — Deschange, — Dù'clerc, ancien midis* tre d es finances, — Du«ergier d e H au n h n e , — Gyprien G irard, — G uinot, — Jozon, — Oscar de Lafayette, — E tienne L am y, — JPaul M onn, — d é Pressensé, — Roux, — RouMéau, — Ti- ra rd , — com te de Tocqueville, — T urque t, — Villaini — W am ier.

H . La H aranne expose ensu'i.te la l^ n e de conduite q ue l’E faf se propose de Suivre. Il v e u i la R épuhliàae, mats avéc nné p ililiq u e l’mpcrtM fé etm odérée q u i ne s o it pas le gouver- nem en til 'u n e fm ition, mais le gouvernerofuitde

...1 .N ous ne pouvons q u approuver ces idées que nous déffmdons chaque jour.

M. le d u c d ’Aumale sera reçu â l ’Académie par M. C ovillicr-F leury; il au ra p ou r parrain H H .,i'4hier8etG uizot.

L’E /q f racon te que M. le duc d’A um ale est allé d em andf^ à H * T h i ^ de lu t rendrà ce ser­vice académ ique :

dj'. 'ii-‘ ; * i: .-niu.. ; I ■ 1 - .consril ‘d ea 'in îB islrao 'q lilp ttrâ lira ikM ti'ira ira i* r t i t r fy fe n ïs e r . e iN ous'ne vo tooa pas to u jo u nensem ble k rAaaembléa. 'b M -U ; ^ l é a m nno m a lice 'cb an n th te , « n à i i i ' A I A ckdM ie,

s iiu certritf q u é n o ta a o u o s t o iq o u n d to ­rd; •

M ..th i 'e » x a jo u té ;— ye n ’a i pas d ’h a b it d 'a e td é ra id e o i n r i s je

l’eo ferai fadra u n to u t «tprèB>poar U o rco M - tiu c e . \

Nouvellea d e b . ,f u i io i | * N "Auguste d e S a x e -C p h o u m ^ ll te ÿ n u f ia M A w m entine d ’.Orléana}a d îné c h » M ..|e;Corote,de C ham bord. q u i e s t venu ap rès c d A f m t ^ e l|e . La p riaeeese O ém en tÎM r a t venue k , n

A u tn a oouvcilea d e ia fusion : A la veiDi t e débats q u i vont>^8'e n g i ^ s u r le p ro je t dqs tren te , on e s t v ra im en t b ien ennuyé^ d a n i ce r­ta ins groupes p id itiques de bi-CUiambre* d e ne pas savoir ,k qu o i s’en ten ir s u r le ; résolutions le M. le com te d e P aris et t e au tre s princes d e

fam ille d'Ôrijéana..Nous ex trayoïiao» q u i pYécède d e denx p eü ts

entrefilets publiés k la su ite l ’u n d e l’a o tr e p a r rAsMmè/déti4 frâM «fe,raooiteurdradécooyepaes fusionnisles. Ce jou rn a l r it ,c e jo u ra r il .p lf lp if - Le d in ra d e la princesse Clém entine d ir a M. le c o m le d e C ham bord , c’es; un :évènem «ithe tt» reuxy.touchant, considérable; m a isced liie r n a rien de décisif encore, puisqu’on se p la in t,» fo rt k l’Assemblée d u silence d e M. le com te .de Paris à la veille du rap p o rt des tren te 1 Quel em bam is! quelle perplexitél Gom m ent faire?.,

D’après u ne com m isrion d n m in is tre des finances pn issiéh , la France a o ra lt a ctuellem ent nayé 4 ,2 0 0 m illions de l 'indeinnlté d e g u ^ . ,{,700 mil.lidris o n t é té réèervéé ^ f i r les in térêts jénéraux de re m n ire ; 956"itin (iôh8 p o d r les es fonds des Invalides e t la çonsténction de fo r­

teresses allemîmdes; Des s o m m ^ pliis considé­rables encore se ron t affectées aux b eso in s 'd è l'em pire , é t d e tou te l’indem nité de g uerra fran­çaise, 200 m illions de lhalers seulem ent seront partagés entre les E ta ts q u i com posent la grande unité allem ande.

La com m ission d e la cham bre des députés d e là P ru n e a te rm ioé .ses travaux su r l’em p ru n t p ou r les nouveaux clieipips de fer. O n au ra ' re­cours â un em p ru n t public , parce q u e la p a r t do l’indem nité de guerre afférente à la Pruase ne p eu t y ê tre consacrée.

Gomme on vo it, la P russe en to u t se b i t la p a rt d u lion.

Lé JCIX* Siéefo publie ce fragm ent de le ttre adrràsée pai‘ u n m em bre d e la com m isrion. des T ren te k u n d e ses am is d e province :

• . . . Enfin, m on c h e ram i, j ’espère q ue , d ’ici k peu d e jo u rs , voûk appréclerra lés m agnifiques résu lla tsob lenus par la com m ission des tren te . T hiers m algré sa s o u p l ^ e t ses ruses, n’a pu ^ dérober à nos e tre in tés ; le ru sé com père era vaincu ; il dem ande m âce! N ous vçiVons ce qtife nous au rons k lui d o n n e r; m ais com ptez to u ­jou rs q u e sa fam euse 'po litique du message ira rejoindre les ad irés théories du vieux F o d lri- q u e t ,e t .q - • foréddentn u i. .. *H« ifcsD .ro b r iè , .. - - o . . —com m ent o n em ploiera Ira d ^ n g ; c es t la d ^ nièré question k d é b a U i^ » . 'A u besoin, noàb a u ro o s la yoirif^. '» " V

Voilk les gertlillesses d e la droH é. •• L a bMe m t m o rte . > C’erà d e M. T h ie n q u e l ’o n p arle . Yollk où en est la conCiliatioDi

V rafinent, o n s pauvres m em bnb'. ridicules que.ifn^hâD fs.

P .-E . D o E A n .t Je d ésire, a-t-il d it, avoir k mes côtés Ira

deux prî'QCipaox m inistres d e m on père. • M. Thiers, cela va sans d ire , a accède de grand cœ ur a u d ésir d u prince, s a u fa v g favorable d u

D s e r r i t 'W é l té , .» , au fondy Cel rra .de b^a ro ite n’éta ien t p lu s .......

(ü^h1all '

■ " f l ’l S r t É V E ! ’'*a iù q ^ b .

o u i tffié ir; i l n y a . i h m o q . ^

T r é s o r ; r a p r o c la n o la K èM N M n e , n c e

b liq n e e s te n v au t b ie n u n e a n tr e , q u i v a u t n ê iD e

m ie â if q ô V n e a n i ^ ; m a is i l i n e c ro ie n t p a s

a n p o u v o ir m a| i q É » # — ■ra o t , e l i r o o v e n t,

qu ’a p rè s c o m m e a v a n t le d é p a r t d ’A m éd ée ,

le p ra b lè ih e e s p a g n é l ^ a d t e a h i t M I i ^ c i l e

k résoudre* \ ^

C e q u i n ’e m p ê e h è ^ le fiÜi d e V ic to r^

n e n U - ' (7 c a t o n r o i . b i e p ^ a a e t e M ; (OTow

avona'tjffniiti

tés.4or ïd trône; ne poqttiMt\plM M déi* cider k èri deaceqdre ; pp‘1eor d ^ il \ fiais alles-vooB enl- Peinas perdues.;iû •jàaientc o n te n ts q d é I .O rèqà*d6h.ioap>fteldff'^riO

p h a n ie te s fo rç a it k s e s a u v e r e n 4 é9re< ^À

e u s e ‘c a c h a n t s o n s d ^

q n e s . A ro é d to a ro is m o in» d ’entèf/M iipBt

p in s (PespèiL O n Fp ap çe lé* ,il e s t

lu i a d e m a n d é dOt g o û v é i^ te ' ,coiM4Mflü<Wrn e l l e m e n t U à g o n v e rh é co n k tild t io # teH s^

m e p i avec URe loyap tô

b o u t d e d e n t - ^ n s

p ag n o i lu i n - fo it

q n ’o n n e 'v o n la i t p in s d è i u U ' i ï ' t e ^ ^

m a is parti, a n g ra n d jq p i ;> v p e

d ’b o B o en r, a p rè s a v o ir « o ig a e tN o n M lt'e iB ^

b a llé s p n ^ o b i l i e r .

s im p le q n e d ’a t te n d re le s c o n p s 'd e 'fM Îl : e t

vo ilk c o m m e n t On m e t e n p r a t i q u e i à , ^

r t e d o ro ix io o e lio n n a ire . 2 >l

E a lrc e u n b te n , « t r c e v Q 9 ia l ,p o w rB i*

p a g n e T il e s t é r id è o t q ifë

v e ra e m e n i a a r a i f o i i a t e ^ m

ll-V a s e trè O td r

'm id a b le s iiisq rF e c tip p s :

c a r i i s i è ^ q tfi bHWeùt l M ; g ^ ^ ô t ^ v teà

^raila . .1 ^ P » “ ^ ^ 1^»g e n s a it^ tfom à& W « a « l t e ro t-M gliiilM

u n e C o m m u n e b la n c h e ; — a n H îd ïy 'ie s

b a n d e s in le rn a ltiO p ^ l^ t, o rg a n isé e s ,

a n g iq e n té é s d r a av e n ln r ie ra de.^ l’& j ^ p e ,

4niyaul^'d<ÿriiqVi»u n e C om m titte iiëü |jO (> -^A n iB lilie ii,v«èm M

d ’e n c lu m e , c m n m e to n io n rs . l e p o n p le i l e

L E L O U P B L A N C

. jô u ch ô 'lri- 3lM|[ihitOiqilbéi««n- IkHlliK f f è > J i n A b e

botte d ’écaille si finem ent travaillée q u e tonies Ira m aïq u isrây i n ^ i e n t leurs.jolis doigts avec déliera, h ab it d e cou r'kya il des boutons d e

'hôrO brte . ' " ^B N t é 'd é y M ^

Il nous ira is k parier d e m onsieur 1 in tendant

” * ÏD lfo o i '* i£ e b a m ril , m arquis de Nmntdl, é u i t u n fo rt bal hom m e d e q u aran te ans « S ï é b j M S t e d e p l o i . U a v r i l t e » « u e , m ais

djam anp do n t cliacün valait vingt m ille livres.I l avait dés façons d e sèeéuer la d en te lle de son ja b o t e t 'd é relevér la p o in te do sa rap ière " isd u 'k la h a u te u rd e l’épaule q u i n ’appartenaiétit ^u’k lu i , e t sa roé|Tioiro, suffisam m ent cultivée, ru i'pe rm etla it d e p lacer ça è t Ik deé bons m ots d ’oécaston q u i n’ava len t guère cours q ue depuis six sem aines. Il avait en o u ire u n appetliincom ù p e n b lé , auqùebil sacrifiait un bon Mers d e son revenu ', e t u n « to m a o k l ’i ^ r e u te . En som m et il n ’é ta it 'pas beaucoup p lus groteéque q u e la p lu p a rt des nobles financière d e son tem pe.;■ Mi le m arquis-deN oin tel a v a it .e n B r e t ^ e de-.ÉombreUsM e t im porlantesi occupations. D’s b o r^ il a im ait é perdum ent Alix d e Vaunov, d o n t il voulait faire sa fèrome è to u t p r ix . H. de Vaunov n e d rin an d a it pas m ieux, m ais Alix s e m b la ild ’une opinion d iam étralem ent opposée, e l c’é ta it p itié d e voir M. de DécliaiReil perdre scs gHlanlerira, sos m adrigaux improvisés do m ém o iree ta lirto u tlram érv e lllra do sa huisine d o n t l’excritence est h istorique, auprès de la flère Brekohne; I ln e sed éco u rag ra it pas cepen­d an t e t redoublait chaque jo u r ara elforti incM sam m ent inutilM . .

I l é ta it en ou tre , c om m e nous l’avons pu dire déjà , in tendant do l’im p ô t. G 'tto charge, qu 'il n e fondrait eli aucune faÇon com parer à la ban )u é goiivernefflentàlé d e nos receveurs généraux, nécessitait, en Brelàgné su rtou t, une te rrib le dépense d ’activité.'La M o^hlce, on effet, rh itiq u a it a ia ^ s d ’aigeut e t 'd e bonne vdlonté p ou r a cqu itte r Ira lourdes taille» qUt ' praalenl dépdià ^ su r elle. ,

E n troisièm e lieu , —:e t o’é ta it; k cnup sùr* l’em plo i auquel H tenaU len liu « — BéonamHI avait la h au te m ain su r 1b u lN {M üvès 'nobles dans l ’é tm d u e d e la province. Ce d ro it d ’invrati- gatioq éta it p ou r i lo s l d ire in héren t k U charge

d ’in tendan t, puisque lesgenülshom m w n’étaient pas su jets k l’im pô t, e t q u’ainsi, sous fousse cou leu r de noblesse, nom bre de ro turiers au ra ien t pu se soustra ire aux tailles, m ais Bé- chatneil tenait ce d ro it k titre plus explicite encore. 11 avait afferm é eh effet, m oyennant une som m e considérable payée annuellem ent k la Couronne, la vérification des titres , actes, e t d ip lôm es, e t s n Vertu de ce con tra t, il p rofitait seul des am endes prononcées su r son instance par le parlem ent b reton con tre to u t vilain q u i p rena it é lk t 'd e gentilhom m e.

E n conséquence, Il avait in térêt k Irbuver dds usurpateurs eh 'q u an tité . Aussi ne ra faisait-il po in t faute de bouleverser les chartiers des la- m i l in e t se m ontrait si âp re k la curée, n ue Ira seigneurs ralliés au roi eux-m êm es avaient sa personne en fort m auvaise odeur. Mais on le craignait p lus encore qu’on né le délestait. P a r le foit, en une province com m e la Bretagne, pays do b onne foi ot tl’usage. où beaucoup de genlilslioln'm es, forts do leu r possession d é ta t m ithéifiorialè, n ’avaient ni titres ni parchem ins, ie p o u v o ird e M. Béchameil avait u ne portée terrib le . P auvre d ’esprit, avide e l é tro it de cœ ur, rom pu aux façons m nnilaines, n ’ayant d ’au tre hionveillanco quecettécou rto isie tou teex térieu re

3ni vaut k ses adeptra le nom sans significationt'excellelit h om m e, l'in tendan t do l’im pôt é tait

ju stem en t asara s o l p oü r faire un impitoyable tyran*. Duo seule chosé pouvait le fléch ir:I araen t. Q uiconque lu i donnait d e la m ain k la m am le irionlanl de l’am ende e l quelques itiin ièrs de livres en BUS par form e de prim e, Â a il sù r de n’ê tre po in t inquiété , quelle q ue fût d ’ailleurs la tém érité d e scs prélen llons : pour dix m ille éciis,- il eû t laissé le l i tre d e d uc au b l ' . ' f i d ’ùn laquais. — Mais, quand on n ’avait pb in t d ’a raen t, par c o n tre , il fa lla it, o on r so rtir db ses grifiisR, un d ro it bien irrécusable, e t Ira m ém oires du tem pe o n t refkté p lu sieu is exem ­ples d e gens de q u a lité réduite p à r lu l 'k lé ta l d e rô l i f r e l l ) . . ,

On d é it pehser q ue M* de V aunoy, lequel

i i j N otu citeront iculetnenC .u n cadet de l’iUuatre e t historique roaiMn de.^voitlogon, q » foth^ttstsmsBtdébonténirl'ixistaiM ede Deohamejl,

, rn ’avait po in t p a r devers soi d n papiers de fomilla fort en T ^ le , avait trem blé d abord devant un pareil hom m e. Les m é c h a n t» langues prétendaient qu ’il avait com m encé par financer de bonne grâce, eeq u i était tou jours un excellent moyen. Mais, dans ta porition de Vaunoy, cela ne suffisait pas. Suiistitué par une vente aux dro its des T rcm l, dont il p o rta il le nom ot dont il avait p ris ju sq u ’aux arm es pour en écarteler son douteux écusson, il avait tro p â redouter p o u rn e pas chercher lous les moyens de se concilier son juge. Un re tra it de noblesse lui eû t fait perdre k l a fois ses titres , auxquels il tenait davantage, car c’était son é ta t de^gen-- tilh o m m e e l sa parenté q u i lu i avaient donné quàlilé p ou r acheter le d om aine de Trem L H eu­reusem ent pour lu i, Béchameil fit Ira trois quarts dU chem in . Ce g ros hom m e » je ta pour ainsi dire dans ses bras en ne faisant po in t m ystère de la passion qu’il avait conçue pour Alix.

C’était u n roup de fortune, o t Vaunoy en su t p rofiter. Béchameil et lui se lièren t, e t, bien que l’in tendant royal ftil d e fait le plus fort, il ro laissa vite dom iner par l’adresse supérieure de soq nouvel am i.

11 va sans d ire q ue Béchameil reçut promesse d e 'l a m ain d’Alix, ce q u i n 'em pêcha point Vaunoy do favoriser en quelque sorte l’irtlim ité qu i s’éU ité tah lio k Rennes e n tre la jeune fille e t D idier. — Vaunoy avait sans doute scs raisons |H)ur cela.

D urant le séjour de .D idier à Rennes, Béchameil n 'ava it point é té sans s ’apercevoir de sa liaison avec Alix. Ceci noua explique la grim ace d u financier k la viiedu jeune capitaine. Q uant k Mlle Olive, elle agita son éventail parce qu’elle c ru t foire ainsi preuve d ’une très jolie pudeur.

!.e repàs est toujours l’acte le p lus im portan t d eriid sp iia litéb ra to n n u Au bo u t dé quelques instan ts, m altr* Alain, le malotdonio'. déroré dè s a ^ h a tn e d ’a r g o t o tfic l« î^ e t Ira yeux ro ugraenco redsË on eomme bachiquo ,-ouvrit Ira deux ba tU M d a te p o rte p ou r aunonoer le lOUper.

— Demain nous parlerons d 'aO kirra, d it galm ent H . d e Vaunoy. M aintenant, soupona.

— Soiipons ! répéta B écham eil, k q u i ce m o l rend it u n parti-; de sa sérénité.

Alix se leva, e t, d ’instinct, tend it sa m ain k Didier. C e lu i M. de Bécham eil q u i la p r it . Le capitaine, k dessein ou faute do m ieux , se con­tenta des doigts osseux d e Mlle Olive.

Nous ne racontcrtMIs p o in t le souper, pressés que nous som m es d’arriver k des événem ens de plus haute im portance. N ous d irons seulem ent que M. de V aunoy, to u t e n po rtan t fc diverses reprises U san té de son jeu n e com pagnon, le capitaine D idier, échangea p lus d ’u n regard équivoque avec m aître A lain, auque l m êm e, vers la fin d u repas, î l donna u n o rd re k voix basse. M aître Alain tran sm it cet o rd re h u n va­le t de m ine peu avenante q u e V aunoy avait dé- liauché l’année précédente k M gr le gouverneur de laprovince e t q u i avait n om Lapierre.

P endant cela, Béchameil faisait sa co u r accou- luraée! Alix n e , l ’écoutail p o in t, e t to u rn a it de tem ps en tem ps son regard tris te e lsu rp r is yers le cap itaine q u i causait fo r t assidûm ent avec Mlle Olive. Celle-ci m inaudait, se ptifÇail les lèvres e t n’om etta it aucun détail d u divertis- ear.t manège d ’une coquette surannée savourant des soins do hasard*

Hervé de Vaunoy conduisit lui-m êm e le capi­taine ju sq u ’k la po rte de sa cham bre k coucher cl lui souhaita la boupo nu it. Jude é ta it d eb o u t eiicorn. 11 arpen tait la cham bre k pas len t plongé dans do profondes m éditations.

. — Eh bien ! lui d it son m aître , es-tu coHf ten t dè m oi T t’a i-je éparçné les regards ind is- crolsT , . . .

_ M onsieur, j e vous rem ercie, rép o n d it

Jude. . . u I— A s-la ap p n s quelque chose 1— Rien su r i 'en lan t, e t o’r a t d ’o n tiw te aa^

g a ra l i i . Mais je x a ta q u k d a n M G n to a d q td A it I l nourrice du petit m onsieur, es t roaio tenaat fem m e d o charge aucHkieflù. - . ’ w . -

— Q le te donnerk des nouvelles. ; p— J e sais aurai q ue j ’au ra i d e U peine a m e

cacher long terop i, ce r j ’e i v o U nfiv ie d t i i

e n n e m i: A lain, l ’anciea inatV e-d ’iilô'tà (le T rem l. - " j :;

— J e t’c a offre au tan t, .oior■ • " 'rô h ”aperçu le v is a n 4 ’u °

H . de T o u to t e i - g M r e n M t fle.BretéVMb noble p ro tec teu r, e t q u e , j e a o u p ç o n ti fo rk d e

Hl* |ASIS*> vty vssanvM. wv.fl—...rtu rn e q u i m e valu t " a n d ern ie r u n cp u p d é r p é e .. .. M ^ s nous d éb toq ilie roas to u t gela. En

'lâ â d a n l, dorm ons.— D orm ez, rép o n d itJu d e .Le cap ita ine se je ta s u r son li t . Ju d e continua

deveiller. '

x y i ^

1«« « ■ ■ ■ « i l | i r i v é t e M , t e V iÉ e ra ra y .

Le capitaine do rm a it, iôvanti>eMfoêkra<iow;è to u r k - l a noble-A U x e t k Ih u m h lO 'â U e d e la fo rê t ; ca r, m algié sa fro ideur l y s té m a l iq ^ il n ’avait pu revoir U p re m iè re iu a w M v iv a ra M r tion . Ju d e arp en ta it 'la cb a idb re ofcdemqnprali son honnête e t sim ple c e n e lle o i i i n V ê t t e re trouver.té filsdq .T cem l. B éehim elL d f e wMdt en aongo d a blanrsiM nger«iM lte.OUTaiP(tiM dt u n s uperbe château en- Eapage o ù eiteMIVOyaijt la dam e e i maUrrara d ’uA gentil o ffi« ir*do M m a je s t é l e r o iX V s te t e A l ix c b o ra t iM ta i iv te . le sommeil p lcom lM H ail.:te :fièv re* q a rjv p M ^ jeune fille ava it b ien souffart ce|reilb'BItelrâf;t«<l■ te il p o in t intenroger,epn cmur» eti la it en d ép it d*(éle i « lie a im ait. OinaturOifléchit a u pw aw eriaqaine^.tem ent) Ju sque alora -«éle .o a v a H ) f i iè | | d ’au tre obelàcle en tre alteffbte b o q b f tir .q p » . _ devoir OU la volonté d e c’était u n .ab tnw q ids’oavvtejt devaj)|,«ftei;lH dier rav a iloM U iée .î„ -.i .... D i » r a p p e r t e m M L p r i i r a t e ' l l . t e i i d o a i te doubteipQrtoiétartiMPêupMaMibl tro is b o m m m i ^ ^ r t e f f aorâa>itetqqqa|i)Ho(<!fteM(i: m ém o, A U in, to n o a lf 'Laptenr»,

9 » ir.qpoN B

Page 2: Guette ée la Chanbre.bmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1873_02_16_MRC.pdf · qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. fédé^isles a outrance. i'aux. yoilè ce que

•mJ 0 U M U |< D B S i M U S

m i « f i M t a f f l a « i t

W f i f l Hi f t . k . m m M n o u f u l n

I t m r f « i » Ù t ( i ÿ i W « f e ' i s i e f

M i , p if lf l« i i |t « M A f r f ^ . p < n r

f f i f i n M i i w i b o t U n e p t i n e i k b

« f e w lw i f i t H hi . ’ i l j t b b f , « f fM if il’f f i c w c o a n i b r a -

t a f « f i M f W t f f U f r f à i i ( iw d e c o m |f e .

H f f l u n i e r t q t t i q f w ' i d h d y t o u d i ‘n f

M f ^ f t n i l p t t f M t a m a a t . L e 41s d e

b n i s e ^ A s-

m i a e , p r a l i e f a i i s â f f l i m ^ e e o cc iiio D

b s e i i M e p o f r n a i w le s É b r r o e l q u e la

R d p fb H q fe e o n i l l i i d i d s fe u . L 'E s p a g n e

M l'' p e n p ié e 'd e 'g é D d f fe s f c o o i m e le m a ré -

d n l S m a n o , p a r u e m ^ q^ul s e r a ie a i

p r ê te è l e a i e r e o c o e p < îê .p » a |i p ^ r l i è .

ifÊkmM p o w ,J e e r p ro p re a a t u b c i k » e o p a r tic o lie r . E t

p u a , i l r : ; a r V iv ip 4 n i ^ e e lâ m p ré T a q u i

d ^ l a c îlM itiante a D a ,'i^ g i> e e n E ^ g o e

p jlQ |jio lid en ieo t.|q o e to p iç a le e d y p a a t ie ^

' y ^ i q o e la R é p u Ù iq a e a a ffa ire

h f o ^ e p à i^ e e t q u e s o d ^ r p u n ’e s i pas

P 9n i iv tm e e tB o U ld e ro M & $ ie l le f a c c o in b e ,

T9o a o n te o ^ re x le a m o n ^ b i a i e l f rao ça is

t e T ro tte r le a n a i u a e t d i r e : « V ous v o je z

iH eo qt^e la R é p u b liq u e e a t im p o s tib le ,

a t a e a u ta n t d e ra ia o o q o e d e s v ô iè u rs d e

I f f o d ^ te ia iD q ô ip a j a o t a s s a ïu n é

f o j a g e a r ^ a 'é c r ie r a n t e n s u i te : « ^

■ n lb e a rc iu x ! i l a r a i i m t s i m au v a ise s an té !»

A ^ ! s i la R é p u b liq u e ^ p a g n o le pou v a it

B M ttro la malUf p o u r s e d é fe n d re , s u r « u n

t o v e p e t i t b o u rg e o is , > c o m m e I I .T b ie r s :

^ s n r to n t , e lle é ta i t a s se z fo r te p o u r r e s te r

e o n s e m i r l c e l E n E s p a g n e , c o m m e e n

P ù n è e , 1a R i ^ b t i q u e d o i t ê t r e c o n se rv a ­

t r ic e , so tis p d n e d e n e p a s ê tre .

E . C o u r t ie r .

o ù lea am bam adeurs d e l l n d u ^ a su c r iè re o n l

q u i

m ta a é s j p ^ Isa so in s obligeants- d e la queo* I. I ly a d w is la s a l le a M tre a ta in o d e d é p u lé i oon n ab M fl la .queaU oo , e t dans les logesiaisMM la .queaU oo , e t dans les loges

its pen o n n es q u i s 'y m téresm nt. Le miidetre d u eom m érce e t le m in istre d e s finances se t iennen t à l o i r banc. O n e û t q u s la com m is- moo e t legouritfoem eotiQ e son t p o in t d ’accord ; c 'est ce q u i donne po inU 4 la eauoe. Gepeodartt S i s’eo tM id ek m ir a n p b b it, c’est q u e le T résor

erdu T a n il^ dern ière n n e a o iu n ta in e de lions s u r les sucres, e t q u ’il b u t rem édier k

ce p e tit inconvénient. Iii>deesu8 i l n 'y a q u ’une voix ; m ais o n se ch icane s u r le re inede. 11 faut te e rc e r les raffineries, d it la com m ission. Il b u t persiatAr dans le systèm e d re types e t des nuances, répond le m u v em em en t, m ais éviter ta f raude au moyen d u saccharim ëtre . Etes-vous p our te saccharim ètre ou p our l’exercice?T ou t e s t ”

H . A lired D upont, d é p u té d u N ord , dispos un certa in n o rob rede p e tits flacons su r la plate;- (M -m edftla tribune . H . A t r a io D u post , bàtod-n n r . . d « avocats d e B o u a l, pMde de l’industrie

lit é té h b ricaD t tou te sasu cn è re com m e s 'il a v a i t .............' S o n d iscou rad ’u ne c la rté exem plaire , d ’une

ITO gique invincible e t d ’o n in térêt to u jo u rs crois­san t, réd u it en poudre, il b u t bien le d ire , les a rgum en ts d u m in istre . Avec la saccbarim élric, o n n ’em pôchera rien , e t le T résor en s«ra tou­jo u rs p ou r ses 60 m illions.

P en d an t deux heures, l’honorable o ra teu r a tenu l'Assemblée atten tive . A vant lu i, on n’im a­g ina it guère q u e la question des sucres p û t ê tre aussi a tta c h a n te : ap rè s lu i, on s’est rem is k croire qu 'e lle ne l 'é ta it po in t. Il a parraitem entdém o n tré q u ’en tre les divers typés il y avait

' ' lude, p u i ^ u e bu n e place énorm e p o u r la fraui . convention internationale n’adm et poin t declasses in term édiaires. Ainsi il y a u n type 67 et un type 8 0 . N ais, d ans l ’in tervalle , q u e d ’as- pace o n t les raffineurs p ou r se m ouvoir ! Ils vous fon t u n type 7 9 , q u i se vend son p rix , m ais q u i ne paie q u e su r 6 7 , e t voilà le T résor frqudé. Aussi bien tes types son t tarifés s u r la nD3Dcer‘ m as la nuance, c 'est la bouteille à l'en cre , e t les flacons son t là p o u r le p rouver.

gunM nblion . H . P a r i s a d i tq u e daus la courte ^ n m é n t i o n des causes d u déficit «xiatant ac-\ùe ilen ien t, j 'avais donné des c h iffk é su n s m ’ap- ............ ......... b i t s é r i e z . Jernain tlaosabso -p u y e rsu rx M L _______________ -ju m en t ce quo i ’ai d i t h ier à l’Assem blée : je n e reparlerai pas des causes., ________ . o t i* p u is m ettre k ladiapoeiüon d e H . P a ris les docum en ts q u i luid é m o .....................................b u x .

qidém o n tre ro n t q u e je n ’ai pas c ité d w cfiiflVes

l a n ’a i aucun in térêt à défendre les raffi-• • d e d -

(Main eu rs , j e n e le suis (>aa ; une sim illlude de num a sans d ou te provoqué cette erreur,

in.)J e ne tra iterai donc pas au trem en t cette

q u estio n , laissant ce soin à mon collègue do l'a - ^ c u l t u r e . •. Soudain M. Pouyer-Q uertier se p i^ ip i ie à la tr ib u n e en c rian t : « C e n'est pas to u t c a .. .l » U . Pouye^Puort^cr annonce, prouvera (aeinaîn) Iju'il y a en' F rance , à l’heure q u ’il es t, 50 m il­lions de kilogram m es de sucre (vous eniendex bien? 50 m illions) q u i n’o n t rien payé, ^ui ne |u ie ro n t rien , d o n t le gouverncm eiit ne soup­çonne m êm e pas l ’existence, e t q u i se ron t j i z r a à U consom m ation sans q u e le T résor a il touché un sou. Jugez de reffet I

* X . Y . Z .

D E D R O IT E ET DE GAUCHE.J O U R N A U X E T L I V R E S .

F raude su r la nuance, fraude su r le type ; com ­m en t voulez-vous q ue le T résor s’en tire ? C'est

Guette ée la Chanbre.SéM ce (/h i S f é t r i t r .

L 'A m ^ b lé e a procédé a u jo u rd 'h u i au renou- v e l le m d n t 'tH m é tr ie ld is o n b u reau . Cette opé- ta t ie o U o r iè o s e a jw is to u te la séance. N . Gré- vy a é té réR u p téaiden t, com m e on devait s’y â ttû àd re . N ais , conform ém ent k c e r ta in » pré- v in o M q u i n ’étaien t p as m oins fondées, il a étép o rté a u b u te u il par u n nom bre d e voix infé­r ie u r k celu i qu’il ava it ob tenu dans les élec-

soDl ^ n o n c é s en sa b v e u r . I I v a eu 9 8 bulle­tin s b lancs ou n u ls , 9 voix perdues ; nous voici d é jà u n 'p eu io in de l’unanim ité d e B ordeaux. Ung i û d n om bre d e d épu tés étaôent abseos. O n a t­tr ib u é l 'abstention o u l 'hostilité deses m em bres de U d r m le q n io u t déposé dan» l ’u ra e des bulle­tin s b lancs o u nu ls , a u m écontanlcm ent q u ’au­r a i t causé dans ce g roupe l ’a ttitu d e , cependant IrTéprocbable, de H . G révylors de la g rande dis- cusa iM s u r les réfbrm es d e l ’enseignem ent se- eo n d û re .

VoQk d onc H . Grévy r é â u . Lés q u a tre vice- n idsidaola l 'o n t é té é w e m e o l . Ce son t M. Mar­te l. po rté p a r S ê é s u o h u e s ; N . le com te 6 e- noist-d’A n , p a r 4 S 9 ; H . Saint-M arc G irardin, p a r 9 9 7 :H ir Louis y ite t , narSOt». L e nom bre des vo lan ts é lû t de 5125. M. le com te Ram pon • l 'M . Buffet, q u i venaient ensuite, o n t ob tenu , le p rem ier, 9 3 voix, le second. 75 . M. le com te Ram pon ap partien t au cen tre g auche p u r , M. Buffet a u cen tre d ro it. La ten ta tive q u i a été b i t e e o b v a u r de ces deu x m em bres n ’e s t d onc p as qxem pte d e û gn ifica tion , b ien q u ’elle a it • v o tté .

Des s ix secrétaires acluelleroent e n fonctions, t ro is o n t é té réélus. Ce so n t H . F rancisque Rive, N .d eG sM D O v S d sP rad iM e t M. D etjard ins. Le p c ^ s r a o b tenu 3 8 4 vo ix , le se rond 3 3 0 ; le tn iû è f f le 3 S I . Las u p is rtouVeaux secrétaires « o n t N . t o n d e B ourdon , 3 1 5 voix l 'M .'V oisin, S ê T tjl i* C r iv v t , 8 3 1 .-voix. O u sa it q u e N . Gri- v à r t à p r is im e p a r t très acü v eau x délibérations d e lÉ eom m iasioo des T ren te , en q u a lité d e lieu­te n a n t d e N , lé d u o d e Broglte. T r i e n t ensuite H . D û w m e e t M . In m y , le p rem ier m em bre d u cen tre gauebe p u r , ^ r t é par 136 voix ; h> nece n d m em bre d e la gauche, p o rté p a r 57 f û i .

S é â im d m 11 f é m e r .

N ous v û r i «nfin a rrivés k celle g rande lo i su r le régim e des su e fte . Lsetxibnnes so n t p lrin sede raffinem p, « n u e a u tre la tr ib a n e d ip lom atique.

ic i, répond H . le m in istre , que le saccharim ètre in te rv ie n t; m ais h é la s ! ce H . Alfred Dupont n e nous laissera pas une illusion. I l para it, et les savants en conviennent, q ue ce précieux in s tru m en t ne donne q u e des résu lta ts app ro ­x im atifs, à un cen tièm e près. O r, u n centièm e, c 'e s t u n au tre type! Sortez d e là si vous pouvez!

Il n ’y a que l’exercico des raffineries, d it M. D upont, c est-à-d iro l’im pô t su r la consom ­m ation , l ’im pôt su r le sucre raffiné, e t non plus su r le sucre b ru t, l’im p ô t s u r le rendem ent réel e t non p lus sur le p rodu it hypothétique. Au lieu d 'exercer à l ’en trée des rah ineries, exercez à la so rtie . Comptez tou jou rs , si vous y tenez, le n om bre de sacs o u i y en tren t ; m ais com ptez su rto u t le n o m b re o e pains qui en so r te n t! La dém onstration éta it si lum ineuse, si palpable, que tou te l’Assemblée applaudissait.

M. Lêos S av, m inistre d e s finances, répond k N . D upont. I l p rétend que le défic it de 65m illions est un déficit extraord inaire , q u i ne se reproduira plus.

O n a parle de 65 ,000 ,000 de francs, d it-il. Je donnerai com m e une des prem ières causes de ces déficits la perte de l’A lsace-Lorraine, qui con­som m ait annuellem ent de 247 k 2 3 0 m illions de k 'dogiam m es. E n ou tre de cette différence, qui représente une d im inu tion de près de 3 0 à 35 0 /0 , il y a la p roduction de l ’année 1871, q u i a é té de beaucoup inférieure aux années précé­dentes et qu i figure au tabeau de 1872.

E n troisièm e lieu, il y a eu, pvr su ite de m o­difications devant ê tre apportées à la loi actuel - lem enl en exercice, une certaine q u an tité d ’ad­m issions tem poraires accordées.

M. Clavier, de Marseille, q u i e s td ii m>^me avis que les m inistres, a com m encé un discours q u i menace d ’occuper tou te la séance de de­m ain . H . Clapier tioûs assure qu 'il n ’en a expo-

' t : grand Dieu ! Il a com -sé q ue les jtrolégom ènet : grani m em é p a r décrire longuem ent l’ob jet de son am our, au trem en t d it , le saccharim ètre ; c 'est un petit in s trum en t, avec u ne c rém aillère . . — Com m e il é ta it l 'h e u re de la p rend re , l'A ssem ­blée a r i de bon c œ u r, e t s’est r e t i r ^ su r ce roo t-lk !

Séstiee d u 14 F év rie r.

H . P a r is , d u Pas-de-Calais, a repris en sous- œ uvre la thèse d e H . Alfred D upont. Les grands ennem is du gouvernem ent dans cette affaire son t le Pas-de-Calais e t le Nord ; il a la betterave co n tre lu i. Au contraire , il est soutenu par leM idi, q u i raffine. H . Péris a répété q u e le Tré-

........................... i i r .............sor avait perdu 6 5 m illions, e t qu 'il fallait ab- s d u ro e n t em pé''her le re tour de ce lég r déficii. P a r quel moyen ? P a r l’exercice. Le Pas-de-Ca­lais e t le Nord ne sorten t po in t d e là ; l'A isne non p lus. Le rap p o rteu r, M. T iila in , est un dépu té de l ’Aisne. Il va ta iller des croupières à ce bon H . Clapier. H . Pàris insiste su r les 65 m illions, il les to u rae , les re tourne, il y revient avecune froide cruau lésep ten trionale . 11 les a t­trib u e exclusivem ent au défaut de corrélation en tre la n uancee t le rradem en t, à 1’excéd.inl du raffiné su r le b ru t, en un roo t, k la fraude,

t f . Léon Sa T. ~ • J e ne veux pas répondre au discours de H . P aris, je veux sim plem ent re lever one erreu r q u i s’est glissée d ans son ar-

L e r o i A n a ê f l é o .

L ’E sp a g n e e s t la g r a n d e p ré o c c u p a tio n

d u jo u r .L es ro is s’un v o n t ; la p o s it io n e s t m au­

va ise . A m é d é e n c n a u m o in s le b o n s c s s d o fa ire t r a n q u i l te m rn l s e s m a lle s , d e se la is ­s e r acc o m p a g n e r p a r u n e e s c o r te d ’hon­n e u r e t d e n e p a s a l le n d rc q u 'o n te chasse . C ela se u l p ro u v e ra it q u e c ’e s t u n hom m e d ’e s p r it .

Voici q u a tre so u v e ra in s , C h a rle s IV , F e r ­d in a n d V II, I sab e lle H e t A m é d é e , qa i se su ccèd en t e t q u i so n t au ssi m a lh e u re u x le s u n s q u e le s a u tre s ; m ais a u c u n , j e c ro is, n 'a eu u n ra lic e p lu s a m e r k b o ire que ce

d e rn ie r .M. L ou is T e s te , d u J o u rn a / de P a r is ,

d é p e in t sa s itu a tio n e n q u e lq u e s lignes

c o n c lu a n te s i

o ù l 'E sp a g n e e s t e n p le in e g u e r r e c iv ile e t e n p le in e g u e r r e c e lo iiia le .

C eci e s t la g o u t te d 'e a n j]u i fa it d é b o rd e r le v ase.

X a R ë p H b l t q i a * m n B s p a g e e .

Q u o d e v ie n d ra l ’E s p ig n e T L a R é p u b liq u e

d u re ra - t - e l lo ? ra p p e l le ra - t -o Q te file d 'I s a * ' b e lle 11 ? en fin d o n C a rlo s m o n te ra - t - i l s o r s u r le trô u e ? P o u r le m o m e n l, le s c a r lis te s tie n n e n t Ir c o rd e : Tile«iiir n a fio iia f, q u i n ’e s t po in t s u s p e c t, é c r it k ce s u je t :

L'Agence Ilavas vous a télégraphié récem m ent

3ue Satialls avait sub i un graVe échec. Je vous irai encore au jo u rd 'h u i ce q ue j s vous disais

dans ma d ern ière le ttre : • N 'en croyez rien . • S aballsed t le véritab le gouverneur d e la Cala- logne; il y a m êm e in trodu it des m onnaies

des tim bivs^posles k l’efUgie de son souve-

O n vous a annoncé hier q u eR ad a é ta it en fu ite ; n 'eo croyez rien . On vous télégraphiera dem ain q ue les provinces basques son t paci- fié ts, q ue les d û ir is de la b ande do cu té Santa- Crnz se sont présentés k l'indiiffo ; n’en croyez rien. A l’heu re q u 'il est, to u t'e s t posùble, ox - copté l 'o rd re ; don Carlos en tre ra it k M adrid,

aue je ne m 'en étonnerais pas. C’est assra vous ire q ue les « nouvellrs a tisfa isan tes ■ que sert l’agence llava'i k ses abonnés son t to u t aussi uu-

tlientiques q ue les m iracles d e Lourdes.

L e p a rli rép u b lic a in « s t su b d iv isé e n c in q o u s ix f ra c tio n s d e p u is les m o d é ré s ju s q u ’a u x ré v o lu tio n n a ire s . De to u s c ê lé s l 'E sp a g n e a e n p e rsp ec tiv e la ru in e e t l’é ­p u isem en t. L a is so n s e n c o re p a r le r l'A ve- ntV n a tio n a l :

L'E<pagneesl un gouffre; Im puissante à s’or­ganiser, im puissan te k développer ses ressources e t t ire r parti d e ses richesses naturelles, avec cela presque partou t rebelle au travail, la nationlaisse le g ouvernem ent mangei' le peu qui lui. . . . j .reste cl em p ru n te r k n’im porte quel taux, ch an t bien q u e le quart d ’heure de Rabelais sonnera tou jou rs inutilem ent. Mais je m e d e ­m ande encore où a pu passer le p rodu it d u der­n ier e m p ru n t, puisque, sauf quelques coupons de rente, le T réso r n 'a rien payé, pu isque l’on

a nas môme su donner satisfaction aux plain- s d f ■* ‘ '■ *

Un roi qu i, en un pays ém inem m ent catho liq u e , ne trouve pas un 'm em hrc du h au t clergé p o u r verser l’onde du baptêm e su r la tê te de son nouveau né ; un roi q u i, en un pays d ’a ris­tocratie, rom pt» seulem ent à sa co u r les m ar­chands d 'éventails q u e sa l'uveura revêtus de la g n n d esse ; un roi ijui, chez un peuple respec­tueux , traverse la luule d e sa capil.ile, sans que personnage découvre su r sou pai-sage, est un ro i à q u i il ne reste p lus q u ’un acte k accom plir: ab d iq u e r le pouvoir.

C e q u i p a ra it a v o ir d é te rm in é la c r is e ac ­tu e lle , c ’e s t ce q u ’o n ap p e lle , e n E sp ag n e , la q u e s tio n d e s a rti l le u rs . P e u t - ê t r e ce lle q u e s tio n r é c l a m c - t - e l i e q u e lq u e s m o is d ’exp lica tio n p o u r le p u b lic f ran ça is , q u i n 'e s t pas o b lig é do sav o ir p o u rq u o i le g ê ­n e ra i H id a 'g o se irc u v c ê t r e l'o ccasio n ou le p rc ic x tc d ’u n e rév o lu tio n . E n 186(1, lo rs d e l ’iiisu rrcc tio ii d e la c a s e rn e d 'a r l i l lc r ie , q u i a m en a u n e d e s lntte.« le.s p lu s v io len te s q u i a ie n t ja m a is e n sa n g la n té les ru e s de M ad riü . le s o ffic ie rs fu re n t e n fe rm é s par le u r s so ld a ts e t p lu s ie u rs d 'e n lr e eux fu ren t m a ssa c ré s . L e c a p ita in e H id a lg o , q u i é ta it d u c o m |ilo l, q u itta la c a se rn e , m ais il s e d é fe n d it to u jo u rs d 'a v o ir p ris p a r t au m a s­sa c re d e s c s c a m a ra d e s . L 'in s u r re c t io n ful co m p rim é e , le c a p ita in e H id a lg o se réfugia k l ’c ira u g e r , e t r e n tr a e n E sp a g n e ap rès fa rév o lu tio n , il r e n lr a au ssi d a n s so n graile , fu t e n su ite p ro m u c o m m a n d a n t, pu is c o ­lo n e l, p u is g é n é ra l, s a n s a u c u n e p ro lesla - tio n . il y a q u e lq u e s m o is , le gou v c rn cm i'n t le nom rha g é n é ra l e n c h e f d e s provinces b a sq u e s ; m a is q u am l il v in t p re n d re son co m m a n d e m e n t, les o ffic iers d e l’a r tille rie e t d u g é n ie re fu sè re n t d e se p ré se n te r d e ­v an t In i. L 'a ffa ire fit dé jà lie a iiro u p de h ru lt k c e i iio m en l-là ; c ep e n d a n t to u te so lu tion fu t a jo u rn é e . C 'e s t se u le m e n t d a n s ces d e r­n ie rs jo u r s q u e le g én é ra l m is e n q u a ran ­ta in e a c lé n o m m é au co m m an d em en t d e la f la la lc ^ n e . e t il pa ra it q u e sa nom ina tion a d é te rm in é la d é m iss io n e n m asse d e tou» ie s o f lic ic rs d e l’a r ti l le r ie e t d u g é n ie , q u e l­q u e c h o se co m m e 7 0 0 , e t c e la a u m o m en t

les (les em ployés dont le service est ind ispen­sable^

Q uant k vous dépeindre la m isère q u i règne k M adrid e t dans les provinces, je risquerais, eii m ’y essayant, d 'encourir le reproche d ’exagéra­tion ou de parti pris. Je sais bien q u e le ciel d '^ p a g n e est généralem ent b eau ; m ais cela n ’em p& he pas l'horizon d ’ê tre no ir, e t ce n 'es t pas m a faute si les conjonctures sont telles que to u t esprit doué de pénétration est effrayé en voyanlk quelle ru ine, à quel abaissem ent l'E s­pagne sem ble p réparée p ou r u n avenir p rochain .

d 'a n l r e t g n i ^ p o lli lq n e s q n e le a e n ré s H l a ^ n a i r p * , o q s d e r n iù i t ê m a n in t d e la p ré * ^ t n r i p v ê l i i i ^ l liébTiiiéa k c o o s id ê re r l 'e m ­p ir e è o m m e la ^ l e U a riiè re e n tr e e o x q t la m ip q ; i1« «e sonciakoi flirt p e u , a u fon tl, d e l à fp n n e d o g o p T e rn tro e p l. «1 >1* u 'a v a ie n t d 'e a t im e q tte p o u r T adm ilia tfq^O D , e n q u i^ l e lia croyaient iroutrer b prpieciioii que rêclaiàalêlit leura iotêiëtg. >|ala dc|Hiia. le

U n g o u v e rn e m e n t p ro v iso ire e s t é ta b li k M adrid . S u r qu o i s 'a p p u ira - t - i l? Q u e lle q u e so it la f rac tio n p o litiq u e a rr iv an t au pouvo ir, il n 'y e n a a u c u n e assez p u is sa n te p o u r te n ir té ie k to u te s les a u tre s q u i. a u p o in t o ù e n so n t le s clto '^es. n e ta rd e ro n t p i s k se m e t t r e e n a rm e s , s i 'e l le s n e le s o n t p a s dé jk k l’h e u re q u 'il e s t

O n v e rra a lo rs le s c a r lis te s d o tn io a iit d a n s tes p ro v in c e s d u n o r d ; les ra d ic a u x ap p liq u a n t le s th é o rie s c o m m u n is te s d a u s le s d é p a r te m e n ts d u m id i; l’a rm é e e t les c la sse s c o n se rv a tr ic e s , g ro u p é e s a u to u r du je u n e p r iu c e A lp h o n se , e t , iso lé au c e n tre d u te r r i to ire , le g o u v e rn em en t d e M adrid , q u i se ra p a r ex ce llen ce u u g o u v e rn em en t tn p a r tib u s .

p ay san a ap p ris , n o n s a n s s u rp r is e ^ tu ip i p u b liq u e o e v e u t p as d i t e < desiN Icnon ^ u « le s ré p u b lic a in s n e s u u l p a s W ^ o e r o i » d e l’esp è c e h u m a in e , e t q u e la û l d n m o n d e h ’e i l p a s a r r iv é e avec la c h u te d ^ j> m p i r c .

.11 voit q u e la F ra n c e p e u t »o g o ^ l f i i r r e l le -m ê m e , q u 'i ls n 'e n v e n d e n t lias m o in s le u rs d e u ré e s , q u o la ro m m u u e u ’e s l pas m o iu s b ie n a d m in is tré e p o u r ê t r e sijiùlir h i s i r é e p a r d e s g e n s q u ’il c o n n a ît , q u 'i l c h o is it e t q u 'i l e s t i in é ; e t iT c o m m e n c e -k e o m p r e n d r e 'iR ié 't a co ro m n ifF s ê 'te o n v s n t b ie n d u $ e t f gocefnsnent, il p o u rra it b ie n se fa iirè q u e la F ra n c e n ’e û t |w s k s ’eh re p e n ­t i r d av an tag e .

Les com m unistes, a d i t H . G im bctts , m 'o n t fait Is guerre q u an d j'é ta is a u pouvoir. Pendant la guerre , iU o n t fait des domflDStratious e t com m sncé des révoltes k Matscille e t k Lyon. Mais, en d ép it des em barras q u i )ieaaient s u r la France e t q u i rendaien t tou te adm inistra tion difficile, le gouvérnem ent eii est venu assez fa­cilem ent k bo u t. .

Si la responsabilité m e revenait, je p rendrais m es p r ^ u t io n s . V ous savez nalurellem ént q u e je suis délesté p a r la G orom une. Je le sais aussi parfaitem enL SI e lle revenait au pouvoir, elle m e fusillerait. J 'é ta is en Espagne pendant la Com m une, e t je suis s û r q ue si j 'é ta is revenu , j'au ra is é té fusillé avec beaucoup idus d'.em- pretisemeiit e t avec beaucoup plus d e ÿnlisfàctiun que. l'u rchevêque d e P aris, ils o n t celle absu rde e t éionnan le idée que je suis un déserteu r de leur cause.

Comme je l'ai d it, et com m e le d ém on tren t tous m es discours e t tous les actes de m a vie, je su is un conservateur. E t cependant, les ro m - m uiiisles m 'appellen t déserteu r, tandis ipie du leu r cô té les réactionnaires français m e i (gar­dent com m e u n enn em i-d e to u t o rd re e t de to u te société.

G a m b e ila co n se rv a te u r! G am b e tta e n n e m i d es c o m m u n e u x ! V pilk u n a sp e c t n o u v -n u

d u d ic ta te u r d e B ord eau x .A p rè s to u t , s i , c o m m e o n le p ré te n d .

M. G a m h c tia a sp ire k su c c é d e r k M. T h ie rs , c e to u ra d o u c i e s t e n s i tu a t io n . O n n ’at* tra p p e p a s le s m o u c h e s av ec d u v in a ig re . D éc id é m e n t Ce t fou fu rieu x » , c o m m e l 'a p p e la it M. T h ie rs , e s t u u sa g e , p u isq u e s e s a n c ie n s .a m is l’a p p e lle n t ré a c tio n n a ire .

d'eui en attnranl 4 e jtnr^dqiiger une po-

,0(10 ft*. d'appoiniemenu. C’e t l presqi^ nne qwqstloo d’hiim aniiê.de cbarilé, que pose M. Jules Simon.

Pius^urs évêques ont rj^ n tlu k M. Joies ' Simon. Ils refusent d'onirer d jiosses vues.

Les êvéques tieuneol' dans leors mains les desservauis; ils disposant d’eux k leur gré, sans contrùla. . U imiivoir absolu a des charmes aiixqnel-i ou ne renonce pas f ie ile in cA l.

On sq rappelle lè, mol du cardinal de ‘‘Bonnechoié en plein sénat :

— » Chacun de nous k un régiment k commander, et il marche. » '. Quoiqu’il eu soit, voilk N. Jules .Simon

plus oalholiqùeqim viôs êvèques; avouons quë le fkit 'mérite d’éire signalé.

.s m e t o ^ u m i l i tê p o u r q u e le u r ^ ê q u e n 'a i t r i e n k c r a in d re d 'e u i e n a s s n ra n l

sitioa flie et 4,00

M . G a B a b e t t i h e o n s e r v a S e u r .

Le B é r a ld a pu b lié u n c o ro p ic -rcn d u trè s - lo n g , e t c ep e n d a n t irè s - ii i té re s sa n t, d ’u n e v is ite fa ite k M. G a m b e tta p a r u n d e s c s ri 'd a c te u rs , p e u t- ê tr e p a r M. B e n c lt lu i - m êm e . D an s c e t c x p o ié , le n a r r a te u r p a s se e n revue p re s q u e to u s les p o in ts im p o r ta n ts d e ta s i tu a tio n p o litiq u e d e la F ra n c e ; so n ré c it se re c o m m a n d e s u r to u t p a r u n e g ra n d e c la r té , e t m e t e n lu m iè re s o u s u n jo u r p a r ­fa item en t d é fin i les v u es d e M. G am lie tta s u r l ’é ta t p ré s e n t d u pays, s u r l’a lt i tu d e e t la c o n s is ia u c c d e s p a r tis , e t fina lom en i, s u r le s c o n d itio n s d ’e x is te n c e d e la fu tu re R é ­pu b liq u e .

P a rla n t d e la p ro p a g a tio n d e s id é e s r é p u ­b lica in es , M. G a m b e tta in s is te s u r c e p o in t q u 'i l s’e s t o p é ré ré c e m m e n t o n g ra n d c h a n ­g em en t e n F ra n c e . N ag u è re en c o re les pay san s, n ’a y an t d 'a u t r e s in s tru c te u rs e t

J u l e s S i s a o B e t l e s ë v ê q n e s .

Il y a d e s sp e c ta c le s c u r ie u x , d o n t l 'In a t-te tid u e s t u n d e s p lu s g ra n d s ch a rm e s . C e lu i-c i, |ia r e x e m p le :

V ous d o u te r iez -v o u s q u ’u n e d es p ré o c ­c u p a tio n s d e M. J u le s S im o n , ex - lib re - p en scu r , e s t a u jo u rd ’h u i d e fa ire le b o n h e u r d e s c u ré s e n F ra n c e ? Q u e d o it oh p e n s e r M *' J u le s S im o n , q u i, p e n d a n t le s iè g e d e P a ris , fa isa it e n le v e r le s C h r is ts d e s éco le s? Il e s t v ra i q u ’a lo rs M** S im o n n ’é ta it p a s m in û tr e r r e d e s c o lle s .

O n sa i t q u e lle d if fé re n c e la lo i d o I S g e r - ro itia l a n X a é ta b lie e n t r e le s c u ré s e t le s d e s s e rv a n ts : le s p r e m ie r s s o n t in am o v ib le s , le s s e c o n d s n e le s o n t p a s ; le s p re m ie rs o n t u n e p o s itio n a s su ré e « t in d é p e n d a n te , le s s e c o n d s , rév o cab le s a d n u fu m , d é p e n d e n t d u b o n p la is i r d e l 'é v é q u e ou d e s o n capric> '« O r, a u jo u rd ’h u i, le s o e u f d ix iè m e s d u s p rê tr e s p la c é s k la t ê te d ’u n e p a ro isse so n t d e s im p le s d e s se rv a n ts ; il n ’y a q u e 3 ,4 5 7 c u r e s p e rp é tu e lle s : o n po n t do n c d ire q u e l 'im m e n s e m a jo r ité d u c le rg é e s t so u m ise k u n ré g im e a rb i t r a i r e e t n ’a d 'a u t r e r è g le q u e la vo lo n té m o b ile d e s év ê q u e s .

Q u e d e m a n d e M. le m in is t r e ? Q u e le s d e s se rv a o s k gcs d e p lu s d e c in q u a n te a n s , e t q u i o n t p a ssé p lu s d e d ix a n n é e s c o n - s é c n iiv e s d a n s la m ê m e p a ro isse , jo u is s e n t d e s p r iv ilè g e s a tta c h é s a u l i t r e d e c u ré . E o v é r i té , c e s m o d e s te s d e s se rv a n s o n t b ien a c q u is q u e lq u e s d ro i ts k l’in a m o v ib i­lité , i ls o n t d o n n é a sse z d e g a g e s d e so u m is-

I J ia b b I I I U b d e N t | ^ « « r c n .

L a |»ÿr^ÿi«< riaii’t7fp r iv é s v ie n t d e p u b lie r so u s c e t i t r e ; U n i |iL i4 0 N .d r e ip H o tH m .p o a r L’uiSTNDorio.v O BLicsToisB. u n e c o q r ie b ro c h u re d e c e n t p ag es q u i , n e r e la ta n t q u e d e s ( a i l s e n c t s e t d e s ch iffre s a u th e n tiq u e ^ ,, m e t k n é a n t to u te s le s a s s e r t io n s ’ d e s p a r t is a n s q u a n d m êm e d e i 'ig a o ra n e e d a tlo b a le .

V ous tro u v e rez d a n s c e to u t p e t i t v o lèm e , q u e j e v o u s c o n ju re -d ’a c h ê te é , to n ln l ’h is ­to ire d u v as te p é lii io n n e m e n t 'd o n t H . J n le s Shimon va .b ien ié t s ’a rm e r k la ( r ib u t ie , et- j ’o s e d ir e ,q u e s i v o u s n ’ê te s p a s coR T ainca q u ’il y a Ik u n m o u v c n ie i) |.sé r ie itx d 'o p in io n p u b liq u e , c ’e s t q u e v o u s ê te s ave iig lé p a r le p a r ti p r is , c ’e s t q u e v o u s n é v o u s s e n te z p a s la fo rc e d 'ê t r e d e b o n n e fo l av ec v o n s - m to e .

L é p re m ie r b ra ille a v a it é té d o n n é a u m o is d e m a rs 1 8 7 0 , av an t to u s n o s m a lb é tirs , p a r u n c o m ité q u i s’é fa litfo n d é h S tr a s b o u rg , v ille e n ce te iu p ^ lk fren ç id sé , d a n s le , b n l d e p re n d re l ’in iiia iiv u u ’u n g ra n d e ^ l l a d p n l é ^ l e e o fav eu r d e l ’in s iru ç tio n .o b lig a lo ire . T a i p la is ir k d o n n e r ic i le s n o m s d e s v a illan ts c ito y e n s q u i s’é ta ie n t in is le s p r e m ie r s k la t ê te d e c e m o u v e m e n t : c ’é la ie n l H U . W olff, J e a n M acé, A d. L e re b o u lle i , S c h n e e g a n s , R h e n s , B lecb , l io lr ie l e t Zoofff.

I ls tro u v è re n t u n a p p n i t rè s -o h a n d da iw

la % u a d v / '« fu a tp n a n w n fo L t . p lo iB r t 'd s n co m ité s q u ’e lle a v a i t fp rm ég ^ n s le s d é p a r ­te m e n ts s ’asso ç iè re iil k c e t te c a m p a g n e . D es m illie rs d e l is te s f i ire h t im p rim é e s , e t e e n x q u i s e c h a rg è re n t d e le s c o lp o r te r é tk ie n t les p lu s h o n n ê te s e t le s p lu s c o n s id é ra b le s d u p ay s . Ha s ’e n a lla ie n t, r e c u e illa n t le s s i ­g n a tu re s d e g e n s q u ’i ls c o n n a is sa ie n t; e l ils -n’é ta ie n t ja m a is p lu s h e u r e » q u e lo r s ­q u ’u n v ie il ta n i, p è re d e fam ille , a p p o sa it sa c ro ix a u b a s d e la p é ti t io n . C e t te c ro ix d e i 'i l le t l ré n ’é la i t - e l le p a s u n e p ro te s ta tio n b ie n sign ifica tiv e c o n tre l’in c u r ie d e so n éd u c a tio n p re m iè re ? C e lle c ro ix lie v a la it- e lle p a s k e lle s e u le u n lo n g d is c o u r s ? N e s e m b la it-e lle p a s d c m a n d e r ,e n s a S im plicité to u c h a n te , p o u r la g é n é ra tio n q u i d év a il su iv re , le b ie n fa it d e l’in s lru c lio n q u i ava it m a n q u é a u û g n a ta i r e ?

O r v o u s sav ez c o m b ie n o n p rec u q ü li d ’a d h é s io n s e n d e u x a n s : p lu s d 'u n m illio n .

V h m i l l io n de e ig n a tu ree . C e n e so n t pas Ik d e s p h ra s e s , m a is d e s ch iff re s . N o tis ver-^ r o n s s i la d ro i te d e l’A sse m b lé e s e r a s e n ­s ib le k c e t te é to q u e n c e m ê m e .

M-* A n d ré L é o v ie n t d e p u b lie r d a n s le S iic te , u n ro m a n In lilo lé le P ir e B r a fç r t , q u i e s t u n e a p o l t^ ie d e la C o m m n n e .

S e lo n U** A n d ré L é o , le f ^ n e d e , la C o m m u n e fu t u n h e u re u x te m p s p o u r P a r is j Il n ’y a q u e le s e s p r i ts tro u b lé s q u i a ie n t p u c ro ir e a u x e x é c u tio n s e l a u x m assac ré s . E lle s e m o q u e S g ré a b le m e n t d e c e s èéc its im a g in a ire s e r d é s V e rsa ü la is q u i le s o n t ré p a n d u s . .

T o u t ce la e s t a s s u ré m e n t t r è s s p tn tn e l , e t n o u s sa v o n s t o u s q u e le s so ld a ts d e V sr* oaillcs o n t s e u ls a l lu m é le s in o ^ n d ie s .e t t i r é s u r le s o ta g e s . N"* A n d ré iJ to , q l]! a m is

A lû n é ta it m ain tenan t o n v ieillard . S a rude phyûooom ie , su r laq u û leu n e iv re sse d e chaque

avait laissé d 'ignob les traces, n ’avait d 'a u tre exprcosion q u u ne d u re té stup ide etim pR eyabla . L a fn sm p ouvait avoir d e quarao-ta -o n q k c io q u aD * * '— ° '--------- ’- —lec a ra e tiv » w e h

d o q u a n te a n s . S on viqpge n 'avait point il» b reton : ses tra its po in tus, son re ­

g ard cauteleux e t c om m e û b ro u c h é se rapp ro ­chaien t davanl— ■- —chaien t d a v a n lm d u type angevin. Il é ta it en effet « rig inaire o s la partie m éridionale d e l’An­jo u , t e ^ r particollèreiDent fécond en vaga­bonds e t e n batelears. Jusqu 'k l'kge d e v iogl-v inq a n s , il avait exercé ça e t là la respectabl<M trip le professioD d é m archand d e v u lnéraire, avalM irdesale sabres e t sau teu r de corde. A cette époque, il en tra com m e valet d e pied dans la m aison d e M gr d e Toulouse, q u i n ’éta it po in t encore gouverneur d e Bretagne. L apierre avait a h n s avec In i un jeu n e en fan t d o n t il se servaitM V «111» le pobtic h a s parades. L 'enfant é lû t beau ; le com te d e Tonloul beau ; le com te d e to n lo u a e le p r i t en aO eetion, eo fit son page ; pu is , au bo u t de

a u t a , le m it a u nom bre des gen­tilshom m es d e sa m aison . Laïuerre, re sté valet, co n çu t fine véritab le rancune co n tre l’en fan tn a M 'v i i «on eactave e t m ain tenan t son su p é-f i l n r . L a i id n a é io u r k Rennes d e m onseigneur

i r d e B retagne, i r a s présenta chezN ganveeneur ,T iÜ M T 'e l d ra iao d a u n eo ire tlen p«rticu lier. O e H a e e tfk a m e fo l km gue « l V auooy cliangea p lw d 'n n e f o î s d e eon leu r a u x paro les d e l'an - d e n aaW m benqae. L ap lerre , av an t d e so rtir , l e ç a t n n e bon rse Mon garn ie , et« pen d e io u n M p la^ '.T aM nfJ«pritkk (m se lrvk !e .G e f l i tk d a - M f é a e n m om en t q n e le n o t tv ia à m a lt ie d e la- T N m lay i m m lm ença à foire grand a ccu û l au i in n a Mge M d ie r , «a q o r donna d e Ririeux • • N B M jM M û i i A niino iaB écham èiL m arquis é e M h m ; •-< c« ftat p eu d e s am û n es après M a BM Im M trah reu eem en t a tU q n é d e nu it M m l m n é id a R e M e a .

31ns d e « h m i t . H ervé d e T aunoy se M M hiqiik « v w am m iion , tondis q u e are d eux i i w i w m 'r a i r a g e i i 'e o m n is d é n i in t a is is a u -

i r . l i if lm ra s e b s ln sç sü en éqo l- ^ l e n f ê i d i d e i i d M i s , a v e c t t o e

^ S « t i ^ l & 5 k l e « w «Mien ünétim j

'.TV- .

m aître Alain caressait sous sa jaqu e tte le ventre a im é de certaine bouteille de fer b lauc, laqte, carrée, toujoiira pleine d ’eauite-v ie , à laqueilo il guetta it l ’occasion de d ire deux m ots, et sem blait com battre le som m eil.

— Sain t D ieu! sa in t D ieu!! sa in t Dieu 111 s’écria par trois fois H . de Vaunoy q u i frappa violem m ent du pied e t s'arrêta ju s te en face de ses acolytes.

M aître Alain tressaillit com m e on fait quand o n s’éveille en su rsan t. Lapierre ne perdit pas l ’équilib re .

—- Vous étiez tro is con tre un ! re p r it ^’au- noy do n t la colère alla it croissant ; c’cla it la n u i t . . . trois bonnes rapières, la n u it, contre u ne épée d e bal 1 e t vous l’avez m anqué !

— J 'au ra is voulu vous y voir I m u rm u ra 'p e ­sam m en t m aître A lain ; — le jeu n e drôle se d éb a tta it com m e u n d iable. Je veux m o u rrir si je ne sen tis pas d ix fols le ven t de son arm e seu s m a m oustache.

— M oi, je sen tis son arm e de p lu s p rès , d it Lapierre , qui souleva le col de sa chem ise et m on tra un cicatrice triangulaire ; — e t Joachim , n o tre pauvre com pagnon, lasen tit m ieux encore q ue m oi, car il resta su r la place. Je p rie Dieu q u ’il a it son kme.

~ Ainsi soit-il ! g rom m ela m aître A b in .— J e p rie le diab le q u ’il p renne la vô tre I

s’écria V aunoy. T u as eu peur, m aître A lain, e l to i. Lapierre, m échan t saltim banque, tu t'es cnflii avec ton égratignure.

— 11 au ra it fallu fa ire com m e Joachim , n 'est-ce pas? dem anda le m ailre-d’hôtel avec un com m encem ent d 'a ig reu r ; * - o u i., je sais b ien q ue vous noos aim eriez m ieux m orts que v ivans, no tre m o n sieu r...

Taia-loi r in te rrom pit H ervé q u i haussales épaules avec im patience.

A lain o*-^’- -* = - o b é it d e m auvaise grkce. e t H . de Vau-noy rep rit sa p rom enade so litaire, Ih ip p an t du

Eiéd, se rran t les poings e t m u rm u ran t s u r tous ■ tooR son ju ro n favori.Lee deux valets échangèren t u n regard d 'in -

— Gela va lù i c o û te r deux loo lad ’OT, d i t to u t b M U ÿ lir r a f

Maître Alain saisit ce m om ent p ou r avaler une rasade, en faisant un signe de lête affirm atif, et tous deux se p rjren t à sourire sournoisem ent com m e des cens sû rs de leu r fait.

Au bout de quelques m inutes Vaunoy s’a r­rê ta en effet sub item en t e t m it la m ain k sa poche.

— Sain t Dieu ! d it-il en reprenant son patelin sou rire , je crois q u e je m e suis fitcbc, mes dignes am is. La colère est un p éd ic : j’en veux faire pénitence, e l voici pour bo ire in n a santé, m es enfants.

Il tira deux louis d e sa bourse. Les deux va­le ts p riren t, e l la paix fut laite.

— Raisonnons m ain tenan t, pou rsu iv it Vau­noy. (lom m ent so r tir d 'em barras ?

~ Q uand j ’élais médecin am b u lan t, répondit Lapierre , e t q u 'u n e dose d e m on élix ir ne suffi­sait pas, j 'e n (tonnais une seconde.

— G'est cela I s’écria la m ajordom e, à qui la bouteille carrée d onna it de l’êfoquence; il faul doub le r la dose : nous élion^ tro is ; nous nous m ettrons six.

— E t cette fois, je réponds d e la cure , ajouta l'ex-liateleur.

Vaunoy secoua la tête.— Im possible! d it- il.— Pourquoi cela ?— Parce q u ’il se m éfie ... D’ailleurs les tem ps

son t changés. A utrefois, c’é ta it un jeu n e fou, cou ran t le guilledou les nu its, e l sa m o rt n’eû t po in t excite de so u p ço n ... Je n 'é ta is nas chargé de la police des rues de Rennes.. M aintenant, c 'est u n officier d u roi ; il est m on hô te pour le bien de l 'é ta t. Son séjour à la T rem lays a q u d - q u e chose d'officiel : la sa inte hosp ita lité , m es enfants, défend form ellem ent d e tu e r un liôto, — k m oins q u 'on ne le puisse fa ire en tou te sé­cu rité .

Alain e t Lapierre firent k cette bonne p laisan­terie u n accueil I r te flatteur.

— Il fau t trouver au tre chose, con tinus H . d e Vaunoy.

Maître Alain secreusa b cervelle; Lapierre fit sem b lan t de c b » c h e r .

— E h b ien? dem anda H ervé a u b o u t de quelques n ia u te e .

• J e ne trouve rien, d it le m ajordom e.’ Rien, répéta L apierre; — si ce n 'est peu t-

ê tre .. . Hais le poison no vous sourit ]tas plus n ue le po ignant sans doute?

— E ncore m oins, mon en fan t... sa in t Dieu !c’est une mallieureu.se affaire. D 'un jo u r à l 'au tre le hasard peu t lui révéler ce q u ’il ne faut po in t qu 'il sache... E l qui m e d i t d ’aillours qu il ne sait r ien ! . . Q uelle cham bre lu i a-t-on donnée!

— l a cham bre de la nourrice , répondit A lain. Vous l’avez conduit ju sq u 'à la porte.

Vaunoy dcvint{tàle.— La cham bre do la nourrice ! répéta-t-il en

t r i ^ i l l a n t ; — la cham bre où était autrefois le berceau ! el je n 'a i pas pris c a rd e !

— B ah! fil liapicrre, unec iiam breressem ble à une a u tre cham bre.

C'est év ident, appuya le m ajordonne q u i do rm ait aux tro is quarts.

(>ci ne p a ru t po in t ra s u re r M. de Vaunoy, qui.rep^rit avec inquiéiude :

— E l ce valet m alade ? 11 sem blait avoir in ­térêt k se cacher quel hom m e est-ce?

— Q uant à cela, repo rlit l.apierre, c 'est p lus q u e je ne saurais d ire. 11 tena it son m anteau su r ses yeux e l je n ’ai pas m êm e pu voir le bo u t de son nez.

— C’est étrange, m urm ura Vaunoy, po rté com m e tou tes les kmes bourrelées k v o irV év^ nem eiit le p lus o rd inaire sous un m enaçant as­pect; — je n’aim e p asce tte affectation dam yiu tère. Je voudrais savoir quel ost cet hom m e, je voudrais.

— Demain il fera jo u r , in terrom pit p hiloso- * ' ■ ' '''iiibai ' ' ■■phiquem ent le saltinibanque ém érite.

— Cette n u it I to u t de su ite ! s’écria V aunoy d 'u n e voix brève e t com m e égarée. — Q uelque èhose m e d it quo la présence d e cet hom m e est un danger ou un m alheur ! .. . Suivez-moi !

In p ie rre fu t ten té de réponcirc q ue , su ivant celle ap[iarence,le capitaine e l son valet d o r ­m aient loua deux à cette heure avancée d e lanuit : m ais Vaunoy avait p arléd ’un ton q ui n 'ad ­m ettait po in t d e répliqua.

I .» deux serviteurs se levèrent. Vaunoy ou -Vaunoyvril sans b ru it la po rte d e son appartem en t, e t loue tro is s’engagèrent sans lunijère d sn s le

long co rrid o r q u i régnait d 'u n e ailerk l’a u tre .Après avoir fait quelques pas, Hervé s’a rrê ta

e t pressa fortem ent le b ras de son m a jo r­dom e.

— Ils ne d o rm en t pas I d it- il k voix basse en m o n tran t u n |>oint lum ineux q u i b rilla it dans i'om brc k l’au tre bout d u co rrido r.l'om bre k l’au tre bout

C 'était en effet do la cham bre occupée p a r lo cap itaine q ue pa rta it c e tte lueur.

Q ue peuvent-ils faire k ce tle heure? rep rit V aunoy; — s'ils s 'en tretiennen t, nous écoute­rons. Q uelque m o t v iendra bien éte indre ou lé­g itim er m a frayeu r... E t s i j ’ai raison de c rain­d r a s 'i l sa it to u t ou seulem ent s 'il soup ­ço n n e ... Saint-D ieu I sa miasion ne le sauvera pas!

Ils co n tinuèren t de se glisser le long des m u ­railles. L e m ajordom e, q u i s 'é ta it com plètem ent éveillé, m a rch a it le p rem ier. E n a rrivan t aup rès de la (M rte d u capitaine, il colla son œ il à la serrure .

Jude é ta it agenouillé au chevet d a son l i t e t p ria it, la tè te e n tre ses deux m ains. M aître Alain ne pouvait vo ir son visage. Au bout d s quelques secondes, le vieil éciiyer term ina sa prière e t se redressa. La lum ière tom ba d 'ap lom b s u r son visage.

Maître A lain se re je ta v io lem m ent «n a rriè re .— Je connais ce t h om m e I ditpil.Vaunoy s’élança et m it k son (o u rso n œ il k la

se rru re ; m ais il ne v it plus q u e la m èche rougee t fum euse de la rAiine q ue Jude avait éteinte

i l i t .av an t de se je te r su r sonS a in t Dieu ! grinça-t-il en se re levant. Tu

le connais, dis-tu ; q u i est-ce ?M aître A lain se pressait le fron t, cherchan t k

rappeler aer souvenirs.Je le connais, je l'a i vu , d it-il enfin ; m ais

o ù? J e ne sais. Mais q u a n d ? .. . Il do it y avoir b ien longtem ps.

Vaunoy dévora un blasphèm e, e t le ph iloso­p h ique Lapierre répéta :

D em ain il fera jo u r !

V i n l t e ■ a a t l M d * .

Bien a vant le jo u r , Ju d e Leker é ta it s u r pied. 11 se leva sans b ru it afin de ne p o in t éveiller

opaque des in term inables co rrido rs, Jude y trouva son chem in sans tâ tonner, i l ^ i t n é ati château e t l’avait I^ b l té d u ra n t qu a ran te an ­nées. Laissant le g rand escalier d o n t la d o u b leram pe desservait le p rem ier éiage, il gagna l'o flice e t p r it u n cou lo ir é tre it q u i conduisait aux com m uns. B eaucoup d e cboses avaientchangé d ans lea coutum es d e la T rem lays, m ais les logem ents des serv iteurs avaien t gardé leu r d isposition prim itive. Sans ce tte c irconttance, l’excd len te m ém oire d e Ju d e n e lu i e û t p o in t été d ’un g rand N coure.

11 com pta tro is po rtes dans la galerie inté*tieu re d es com m ua e t frappa k la q uatrièm e.

I l es t k c ro ire q ue d am e Golon R ehou, femme de charge d u châ teau , n e recev û t po in t d ’o r­d in a ire ses Tiatlesi k h eu re aj indue , û i bonne d am e a v a i ts o iu n te a n s , c t ,à c e t l ^ Icefem m es d e charge n e craignent q u e lea v o le u n . Elle do rm ait ou fa’isait 1a sou rde oreille : Ju d e ne

Il f l ip p a d e n ouvo ia e t p lu s fo rt.— B éni Jésus 1 d i t la voix enrouée d e la vieille

d am e ; lè fe u e s l- i la u chkieau ?— C’est m oi, c’est Ju d e , m u rm u ra celui-ci

eo (rappan t teu jo u is : — Ju d e L r k » .Golon n 'é ta it p o in t u n e fbm m rlette . E lle prit* * •’ou rd in e t a’en fu t r a v r i r , b l e n c “ - - —un eo u rd in e t a’en fu t o u v n r , bien q ue son

oreiUe, rendue parcsM use p a r Ikge, u ^ t p a s sairi u ne syllabe d es paro les d e Jude .

(U m in proOminement.)

lo ispéda le k présen t. d M tinéèk lo i.

Page 3: Guette ée la Chanbre.bmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1873_02_16_MRC.pdf · qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. fédé^isles a outrance. i'aux. yoilè ce que

JOUItNiL M SBtLIt

l a m l u e y l l p l« H l^l’insarreclion. a i l b i « b q m ) V M Mblr. :{.

Le « a i «reilleiir^ el eoilb |Kiur. quoi ®«’" * •“ ^I l p l i i i W ^ l l * i b »C h i u q i q . ^ d r r ^ l e a r d a S i M t , , f é lé (b iillé■oui Ib X iw A d b i; m tii IL Ikè eroirb qu'il l’i M ( n r l u u l i l i u d e .V e m i|la , pqitque HD rM M ia r iM iiel h iu e dira d w i l i i que l a cbmmiioe»» n’OM'RilliHd'|lbaebnq.

.1. , V .il. '

NOUmU&BlrAKTHlEKTALES

V c r ^ W t Jabvièr 1873.

i;>-L’a r t id a 41 de l i l M d t t 9 7 , j a i l l i t 1878 dis-

p o n (p ita fe ip h » * - ) Q“« 1« ^ « 1» » çn dlspa- m b d iw d « lirn ié * 'l ie tiT e e t les hom m es d e là r  m e peuvent se n ia rià - sans lu lo r iia tlo n .

J ’i i déoidd, «prèe m 'ttre -o o aee r té «veo H . le ro in is tn d e U p w n n e d dm oeloples, que d U p o # o i t i 0o f , t l* . 4 4 | l # u r e b ienw i - len te , ipp liquées a u x m ilitaires e l leunes soldats des a im écs-de te rre e t d e m er liés a u sen ice ai(& d m M n Æ U o n i^ à f td e iité t slÂ^lè’ rec ru te ­m en t d e ra rm é e e l a p p arten an t à l ’u ne des ca­tégories c M p r è s d ^ é i s j j ‘ i >. .

1* iM crits s u r les conlrdles. d e la réserve à que lque ti tre q ue eè s o it p a r a r à l ic a jÿ n d u der- oiei; a liéna d e u r ü d é 4 3 m odifié d r l a loi d u 21 à » ^ 8 3 2 H d m circn iairm d m 2 8 ju in e l 2 8 octbbre 18 7 2 ; ^ en vertu d e d écidons m i- D Îs tA ^ rn s p é é ia lm ; — co m ib i ap p a rten an t h d m s ^ c r n D Ù b l im ; ^ n r d m na tionaux m o­bile;! des d is s e s d e 1867» de 1868. d e IS t^ .e l . d e 1870 , v ersfad an s U réserve I M rtii- d u 1*» lan v ie r 1873 ; ^ j ru n m soldats d e la d is s e d e 1871 ne fa isa it p as p a rlied u c o n lin g e h td e rar> n iée ; — par application du 1 " paragraphe d e l ’arU deSO modiUé d e la lot d u 21 m ars 1832 ;

2 * R e m p la ô ^ ; . , , ..3 - Ib in te n u s d an s leu rs fo je rs p a r le conseil

d o ré v iw o p .é t H w * » " ^ ® ? ? * * ? , ^ ! ? '* , , .■ 4* Dispensés, en vertu do r a r t i d a 1 4 d e la loi

m od ifiéedu 21 m ars 1 8 M , parag raphm num é- r o t é 8 3 , 4 d 6 ; >’

5* H om m m d e l ’a rm ée de m er actuellem ent en confié renouvdab le o u q u i se ro n t ultérieure­m en t placés d ans ce tte p ositien . . .

11 reste b ien en tendu q u e Im .nom m es d o n t il s’o s it ne sauraien t, d ans aucun cas , se prévalo ir d e leu r position d 'hom m es m ariés p o u rse so u a - tfa t re à leur* ob lig iU oni m ilitaires.

R ecevei,'m essieurs, e tc . '; ;ia. L a m n m fre d e la guerre,

éJéoéral B . db CtssEV.

H . le m U üdr* d é V agritultiire v ien t d e décider

Su’l l v a u ra it a u P a la is de l’industrie , à P aris, u S a u 11 février 1 874 , u n concoure général

d^anim au» d e boucherie d m espèces b o y in ^ ov iùe e t p o rd n e ; u n concours général de v o la i l lm v iv in tm ^ m ortes, e t u n concoure de from ages e t d e beurres. Le p r o ^ m m e e s t m is d è s m a in te n u it è la d i ^ i t m o des ag ricu lteurs. Le b u t d u concours m t de ■ dévriopper en F ra n c d le n o m b r* d m anim aux destinés i la boucherie , en favorisan t la p ropaga tion . des races q u i, p a r le u r précocité, peuvent fo u rn ir le p lu s abondam m ent à la coosom m ation , e te n encou ragm nt le perfecUonnem ent d m formes r e c o n n u m lm ro r il le u rm p o n r la production de la v i a u ^ c hes n q e racm ih d ig èn m d o n t Im a p b - tu d m o atu re llm p rê te n t prains à la précocité. •

• ' -À..-* . . *U ne no te ^ n a n l d o m in istère d e 1a guerre

e t insérée au J o u rn a l e/Xcwl d i t q u e l’avis in - v iu T S ip é n o q o m d m & a s s â id e 1866, 1865 , 1 8 6 4 ,1 8 (9 ,1 8 6 2 .1 8 6 1 e t 1860 , è se faire in s­c r ire h leurs roairim rm pectives, n’ind iq u e pas, com ina o n a p u Iç croire^ u n ap p ri im m m entd u contingent d e l ’arm ée te m to ru le . Cet appel n e p o u r r u v o i r lieu qu’ap rès q u e Im de l'o rganisation a u ro n t é té déterm inéeiLpar une lo isp tô a le q e tle su sd ila v isn ’a d ia u tre b u t, q uan t à p résen t, q ue d e p rocu rer dm renseignem ents dm tinéé a se rv ir h l a '^ p a n t i o n d u pro jet de lo i. ^

O n d it q u e l ’adm iniÀ ràtion dm p o ttm étudieen ce m om en t u n nouveau m odèle d e o tfle - poslale 4 réponte p aÿée. Celte c arte divisée en deu x co roparüm ents o u co lonnm , au rw to com m e a u verso, équivaudra it p u rem en t e t sioH p le raen l à la d épêche ,té légraphique d e m êm e

” *Le” r ô ( ^ serait réservé à fa d re s te a lle r e i à ro d re tfé re to u r , le verso, à la dem ande d ’un c ê té , à la réponse d e t a u l r e .

L a co m m im io B d » U lib e r lé d e re é s r i |n e m e n tsupérieu r a diséu ié m m credi u n iim n d M n en t d e M. D m jard insj d ’après lequel les Facultés ü b im utfp mfffi l gw u w w d g r deu gradw y a u x a g ré g é d e l 'O niveniléb

H . le d uc d’A um ale a présidé c e tte semaine les travaux d e ü secUou d e sjlv icpU ur* d e la SoriéW d è iif f r fc iiD e iir id e ’M n c e .

' M. -le d uc d ’Aamale, p ou r u réception k l'A - cadém le française, en rem placem ent d u comte d e Ifo n tilem M rt. au*-» pour nai'ik ios MM. Giiiiol e t T hiera. La réponse sera faite p ar M. G^yillief- F leunr, i’a n c ^ perr«*pleur du princé.

H . le m in istre d e la guerre a yant é té informé q u ’un certa in 'n o m b re de jeunes gens s 'étaient n i t viriter dans un d épartem ent autn* q u e celui où ils o n t con tracté leu r engagem ent «il itassé leu r exam en, v ien t de décider q u e to u te visite d an s les m èm m eopditions serait annuléè*el considérée k’rav én ir com m e n on avenue.

Toutes les opéralipus relativm s u volontaria t do ivent è tré sccodiplies d ans le m êm e déparie-

L e tr ibuna l civil d c r la Bride vient d e triin- c lie r utte.qumMoU d m plus im portan tes pour Ira

.a m u rc u n e t Im assuré*. Dans son kudiencede sam edi d ern ie r; il a condam né Im com pagnim d 'a ssu ran cm la fV anee.-le PAdNu;, l’ilée tifs , k payer cbaciioeK A titrqd 'indem nité , la som m e de 51 . t â f i fr. à H . U a ltre , p ropriétaired 'uqçbH teaii sltuééataitordM est d e dbktillon , q u i fu t dé tru it p a r t i t ipcendie pen d an t l i guerre , a lo rs q u ’il

avait pas d ’au tres so ldats prussiens , k une distance m o ind re d e 500 m ètres. I.e tribunal a

.ap p liq u é la ju risp rudence s u iv a n te : « Eu m a- t i ^ n t l .q q p t r a t d ’assurances, u’esl a la partie

Îui e a t e ^ bgépéfider d ’un cas d 'exçeption k en éiDOBtrêr l ’exlstèhce

• L’é ta t d e guerre d ’invasion np ^tiffisonl p a s paç r a x - m to e s p ou r suspendre les c ontrats d ’a s s u rê h c ^ é t.les com pagnies do ivent prouver q n e j 'â o T is i^ u .é té la cause d irecte d u sinistre.

• I ^ r g uerre o n do it e n tend re , non pas l’é ta t d e guerre ex istan t l^ I e m e n le n tr e d e u x nations, m ais des actes d ’hostilités m e ttan t en péril im - m édud ies-personneset les choses. > ;

M a i c h l M e s A b A t t r e | i * a r l M | ; r « a 4 « «

PoOr répondre aux besoins d e la g rande cu l- lp fe ,.M H . G**, d e L iancourl (Oisel,co n stru isen t u ne m achine d ’une trë s^ ran ae luissance, e t d ev an t ê tre m ue par la vapeur. Son ex térieur est.sau flesd im ensions, k peu près

sem blable aux m achines d e ce type constru ites tar celte m aison, e t do n t nous avons plus d ’une b is signaléles p m e d io n n e m e n ts k nos lecteurs.

Nous pouvons cependant c ite r quelques d is- p ^ itio B s particulières étudiées en vue du tra ­vail considérable d e cet in strum en t. Le contrc- b a tteu r est en fer e t à jo u r . Des (ils d e fer con­centriques avec le b a tteu r so n t assex rappi-ochés p ou r em pêcher le passage de longues pailles, e t rend re le nettoyage facile. Le g ra in , projeté k travers tes intervalles du contre-batteur, tom be s u r une trém ie double placée sous les seconeurs k lam es d e persienne d 'u n e très grande longueur, e t d o n t l ’action énergique débarrasse com plè­tem en t les < pailles d u g ra in q u i p o u rra it s'y tro u v er en traîné.

L td o u b le tré m ie e s tan im éed’u n m ouvem ent rectiligùe horizontal en sens contraire des se- coueura. Ces deux o ig n e s son t m is en m ouve­m en t p a r des axcentriques k tiges e n bois l ^ e r e t très-résistan t, e t la trém ie est suspendue aussi par des tiges a n a lo ^ e s fo rm an t ressort. C esdispositions nous sem blent excellentes, d it le Jo urna l de F A grieuU ure, ca r elle* so n t solides. I t è r e s , e t peu su jettes k d e s réparations. Cette trem ie e s t p e n ^ d e trous p a r où s’écoule le jrain dans le ta ra re . Les déchets, les barbes de l’o r g o e td u b té b a rb u , e tc ., son t rejetés s u r le devant de la m achine. Le ventilateur, doué d ’un eg rande puissance, opère un vanage itarfait.

Cette batteuse est surm ontée d 'u n aspirateur ■pour enveler les poussières ré su ltan ld u naitage, e t en o u tre il existe, d ans l'in té rieu r du corps d e 1a m achine, u n e cham bre q u i reço it les par­tie s lourdes d e ce tte poussière q u i n ’on t pu être enlevées p a r l 'a sp ira teu r, e t o ù celles-ci vien­nen t se déposer. E lles son t aisém ent extraites p a r une ouvertu re m énagée s u r le cô té opposé, e t Ira cu ltiva teu rsqu i fon t usage d e ce lte batteuse affirm ent q u e ce tte pousrière végétale constitue un .excellent engrais.

Ôn peu t enün k l’a ide d 'u n changem ent dans la disposition de rengrenage, engrener k l’an -, glaise, c’est k d ire en w u l , en b risan t la p a ille ; e t p a r conséquent augm enter de‘ beaucoup le travail d e la m achine.

Telles son t les principales dispositions de ce nouveau type réalisé p a r MM. A lbaret et C‘*, d o n t l’infatigable a rd eu r ne se. d ém en t jam ais ' d ans la recherche d e to u t ce q u i p eu t coucoiirir k l’am élioration d u m atériel agricole.

L . G uicxst.

SOCIÉTÉ MÜSïeiALE DE SENLIS A stem bU e générale du 9 fé v r ie r 187A.

PaésiDBncB db H . CnanTiBn

La parole e s t donnée au Secrétaire p ou r la lectu re d u co m p te -ren d u des travaux de la Société.

■ • M esrieun,^ Dans n o tr e d ern ière assem blée générale

tenue le 2 8 janv ie r 1872, nous avons constaté, avec u n e l ^ i t im e satisfaction, q ue la Société m usicale de Sentis é ta it encore debou t, pleine ^ f i p e V d ’IiveDir,. m algré les terrib les évèna- moute do n t n ous venions tous d ’ê tre les victim es

les tém oins.

T enu , en m a qualité d e sècrétaire , que je dois k vo tre confiance, d e vous donner un roiupte-iim du d e nos travaux [tendant l ’année 1873, je vais cesayer de m 'ac<iuitter de cette tkche en m ’eflorçant de ne p.-vs abuser de la bienveillante a tten tion que vous voulex b ien m e p rêter.

• L’évèn rm eu t q ue ie dois c iter en prem ière ligne, coinino é ta n t le plus ronsidérab le de l’année, es t la lu tto que iious'ovons eu k so u ­ten ir k Ureslrs le 14 ju ille t e l jc ti’ai p.i8 le d ro it d e passer sous silence les succès q u i o n t cou­ronné nos elfertv.. « Les (M-ix o n t été sérieusem ent d i s p u ^ ,

^aussl pouvons4ious, sans vanité, nous (éliciler d ’avoir obtenii le deuxièm e p rix de la prem ière d ivision d ans le concours d ’exécntiou d ’ensem ­ble , un deuxièm e prix de solis contre de nom breux cûncurren ts.

M Ce brillan t ré ra lta l est d ù p o u r la é lus

Srande partie au ta len t e t a u zèle de no tre cnef,I* Chauvin. —* N ous nous faisons donc ù n de­

voir de lu i adresser au jo u rd 'h u i nos femercie- m ent sincères p o u r Ica soins q u 'il apportek teire progresser la Société do n t la direction lui es t confiée :

« T rois concerts o n t é té donnés au th ^ i r e , pendant l 'année 1871.

■ En raison du faible résu lta t o b tenu , je ne parlerai q u e p our m ém oire seu lem ent der la soirée d u 21 janv ie r. Mais nous fûmes plus heu­reux dans le^concert d u 7 m ars, dpnpé p a r les deux Sociétés m usicales, avec le concoure desin-. téressé d e p lusieurs persénnra de la ville.

c La pensée généreuse q u i avait présidé k son o q ^n isa tio n -ayant été com prise, la recette lu t satisfaisante e t les applaudissem ents du public récom pensèrent les àrtistra e t am ateu rs q u i con­tribuèren t au succès d e la soirée.

« J ’au ra i épuisé ce chapitre lorsque je vous au ra i rappelé le concert p ou r lequel nous avons clos l’année 1872.

« Vous le savez. M essieurs, chaque année nous inscrivons le p rodu it d ’un concert en p ré ­vision k no tre budget.

• Au m o m e n td e re c o u r irk c e m o yend’équi- lib re r nos recettes e l nos dépenses, nous avons app ris que la Société chorale se proposait, elle aussi, d e t i r e rp a r tid e c e tle ressource, e t dans un esp rit d e bonne confratern ité, nous avons pensé qu ’il convenait de nous en tendre p ou r l ’o r ^ n i - satioii en com m un de deux soirées d o n t les profits seraien t partagés.

t Cette proposition ayant é lé acceptée, nous avons d onné le 2 8 décem bre, un concert-spec­tacle d o n t le pub lic q u i em plissait la salle a bien voulu se m o n tre r satisfait.

« J 'a i c ru u tile de consigner Ici ces détails pou r bien préciser qu 'u n e partie seu lem ent de no tre tkcbe est rem plie e t q u e nous devrons sans re tard nous occuperde la com pléter.

■ Il serait superflu d ’énum érer les nom ­breuses e t flatteuses invitations q u i nous o n t é té adressées ta n t par H H . Ira Présidents des diverses Sociétés d e no tre v ille, q u e par M. lo C uré e t les Chefs des maisons d ’roucation .

« U n eS o c ié té in d ép en d an teco m m elan ô tre ,

3ui prend ses élém ents constitutifs k tous Ira d e l'échello sociale, se d o it k elle-m êm e

d ’a id er dans la lim ite de ses m oyens Ira hom m es généreux q u i travaillent au développem ent du progrès dans n o tre cher Senlis. 11 ne sera jam ais nécessaire de n o u s le rappeler, soyez-en sûrs, et no tre concours es t acquis d 'avance k toutes Ira entreprises ayant u n caractère d ’in té rê t général.' < Je ne dois pas passer sous silence les con­

certs q u e nous avons donnés su r le cours les d im anches 31 m ars, 5 m ai, 3 0 ju in , 7 ju ille t,4 ao û t, 18 ao û t, 10 novem bre.

En p rocu ran t un peu de gatlé e t d ’anim a­tion k nos belles prom enades, nous avons conscience de m érite r la sym pathie des hab i­tan ts ; mais en revanche les témoignages flat­teu rs d ’un audito ire nom breux son t toujours p ou r nous une précieuse récom pense de I assi­d u ité des travaux que ces sortira nous im ­posent.

« Le 2 4 novem bre revenait la fête de n o tre patronne sain te Cécile. Aprèe avoir assisté en com m un k la messe d ite aan s la cathédrale e t avoir reçu les encouragem ents d e M. l ’a b H Laurent, nous nous rendîm es chez nos Prési­dents respectifs pour les rem ercier de leu r a t­tachem ent k l’oeuvre q u i nous intéresse; pu is, le s o ir , tes m em bres des deux Sociétés m usi­cales se réun iren t dans la grande salle de l ’bûlel d u Grand-Cerf p ou r le b anque t traditionnel.

< Hais deux places éta ien t vides, e t dans cette réunion ord inairem ent si joyeuse, nous n ’avons a pporté q u e des visages a ttristés. N ous venions d etré plongés dans le deuil pkr la m o rt d e deux jeunes hom m es auxquels, k des titres différents, nous é tions tous attachés.

• I-a veille, nous avions conduit au cim etière le corps de A rth u r P kucharl, l ’un de nos socié­ta ires, e t le jo u r m êm e, par une bizarrerie d e la fatalité, nous apprenions le décès de H . de ,W ynante,4e fondateur d e la S enftisienn*.

« Perm ettez-m oi, p a r quelqurà m o ts , de consacrer ici leu r m ém oire :■ « F au ch a it é tr i t lin brave garçon, estim é de so q p a tron , a im é de ses cam arades, dévoué k no tre S ociété; en ou tre , il é ta it de ceux q u i ont fkit «iourageusement leu r devoir 'p e n u a ù t la guérre. Sa fin prém aturée devait causer dpvifk rra re te k to u s ceux q u i l’on connu. . ,' € Q uant k H . d e W ynants, s’il n’appartenait pas k no tre S ociété, il y com ptait cependant de nom breux a m is . Nous av ions été k m êm e d ’a ^

firéc^er p lusieurs fois déjà son beau talen t de û liste , q u ’il m etta it k no tre disposition ave»

u n e grkce charm ante .• Une délrâation de la Société m usicale, sous

la conduite d e n o tre cher P résiden t, s’est fait un pieux devoir d ’assister aux funérailles de cet

aftia tem ode8te ,àux m aolèreeaflhU ei, au earao« 1ère bienveillant.

> Efifin, iii&isicure, nous nous somme* n n - d u s avec em pressem ent, s u r l ’inv ilalion de nos collègues et ami* d e l'o robéoD , h la séance qui avait lieu le Ifio c to b re k r&ccasion do la re im te d e . la bannière offerte p a r M. D den t, leur prérident.

« C’est ainsi, nous l’espérons, q ue p irins de bo* vouloir et anim és d u p lu ss iiu è r* «sprit de oonfialernité, «dianleure e t instru ineoiistra se réqu lron t chaque lo isq u ’ilsen au ro iitro ccasio n , p on r a jouter ensem ble k l’éclat de ses ffitee e l aux charm es de n o tre c i té . ,

• Voilé, ineesieura, succ inc tem eit l'h isto ­rique d e l’annte 1872 Comme vous pouvez en j u ^ , elle n’a pas é té sans résu lta t e t p eu t nous fane b ien augurer de l’avenir,

9 Soys la diçpction é ’un chef habile, avec l ’appu f de nos m em bre* honorairee, nous pou­vons avoir le consolant espoir que la Sociéte m usicklede S enlis ne s’arrêtera pas dans la voie qu 'elle M it depuis douze an*.

• C e' riipport ne se ra it pas com plet r i je n ’adressais en term inan t le témoignage d e no tre profondé'graütude k MM. C barlier e t Vernois, pour touira Ira preuves de générosité et do dé- vouem ent)qu’ils no cessen t d e noos donner.

« Le pissé noue oblige Ira uns envers les au tres .' !

« ikem brra exécutants com ptent, m es­sieurs, qu* vo tre a ide ne le u r fèra pas défkut, e t de leur côté; je vous en donne l ’assurence, iis feront <|e pereévéranis efforts pour réaliser pendant l ’m née qui coihm ence d e nouveaux et sérieux p rq irès. •

Ensuite kl. P aquet ex|>ose la situation finan­cière, qu i M résum e ainsi :

Les remîtes se son t élevée k 2029 fr . 59Les dépenses k . . . . 1751 fH-R este raca isseauS l décem breReste T R ecouvrer . . .

278 58146

424 48372 75

< U B M n n l àdevant le tribunal *ou* U préveqlioa di>otrage* au gendarm e Lory. de coupe e t b lm p te 9 *prlp.> personne d e là d am èR q^nau lt e t d* tanageM O- tu m e ; reconnu coupable do cesdélits m coolra- ventioira, Choron est c o n d lm n é e n h u it jour* , de prison e t par corp* ea 11 ffaucs d ’am eM * et • aux frais.

C katte 'de n u iL ^ l l i i b a u t (Aimé), d i t E n ^ , , 43 ans. m aoouvrier. den ieuriu it k Senlis. p ré ­venu de citasse, la n u it , d ans le parc m o n t; com parait devan t le tr ib u n a l, qm l e déclare coupable e t le ç o q d k m n een q u a teo Bkn*j de prison è l p a r corps en 50 francs q ’p à iro d e e l aux frai*.

V ta g e d 'u n UmbreoM itéré. — Ccv (Caroline), p rop rié ta ire , kgéeriflJO a n s , dem euran t k N an-; tepu-le-H audouin, e s t d té * devant le tribunal i ^ n s 'l a prévention d ’usage d ’n n tim breqw ete ' o b lité ré : ta fille Cor es t déclarée coupable d e ce délit, e i es t condam née p a r défiiut en d ix francsi d ’am en d ée t aux frais.

Coupt su r la pen o n n e de t a f e m m . — Loi- sel (Acbille-Luçten). 4 6 ans, inan o u v n er. de­m euran t k N a n t^ ^ e -H a u d o u in , est .p révenu I d’avoir frappé v iolem m ent sa fem m e é tan t en é ta t d ’ivresse; ..le tr ib u n a l, ten an t ctM optede* prom esses faites p a r Loiael, dé n e p lus recom ­m encer, le condkpioe seulem ent en 2 5 fr . d ’*-. m ende e l aux fréu .

Vol. — IvorellelEugénie-A rm antiné), 14*08, dom estique k P o n t-S to -M a ^ c e , est prévenue d e vol d objets, m obilier* à u . prejud ice d e sen p a tro n ; le père , présen t k l’audience, dem ande q ue sa fille lui so it rendue e t p ro m e t d e la su r­veiller; le tribunal déclare le délit constan t e t d it q ue la fille Ivorelle a agi sans d i s c e m ^ e o t e t qu ’elle sera rem ise en tre les m û n s ’d e «on. père.

Reste k payer . . _________E x c é d â t de recettes . . 51 83

Après qet exposé, l'assem blée procède a la nom inalièn d e la Commission chaigée d ’adm i­n istrer la Société pendant l’annéo 1873.

Celle Commission se trouve ainsi composée : Membre honorairei.

H H . Chaitier, P réttdent.Vernois, Vice-Président.Gossin.Draachy.Damien.Fauvelle.Payen.

M embres exécutants.

MU. Chauvin, D irecteur.Paquet, Sous-chef-trésorier.Manon, Secrétaire.Fanclion.Tiricl.F lo.D riancourt.

E V a i c i T i l d m S n n l l s .

tfaissances.Landry (Marie-Joseph-Gabriel).Lefort (Guoiges-Désiré).B ontem ps(Berthe-G harlotte-C lém entine).

Décès.M ercier (Louis-Victor), propriétaire. 7 5 ans.Cuel (Cécile-Auguslinej, veuve Levraque,

ren tière , 48 ans 11 mois.Barré (Alfred-Louis), 6 mois.Fleurv (Rosalie), 5 ans 3 mois.D tférèe (Louise-Valentine), 25 jours.PauU l (Alcxandrine-Charlotte-Maxime), veuve

D ramoinest, 79 ans 9 mois.Recq (V iclor-Elie), m anouvrier, C l ans.Barre (Pascal), charre tie r, 61 ans 10 mois.

Piik/i'cafions de m artopes.E ntre M. Lagache (Julra-M athias), facteur

rural k Senlis, e t mademoiselle Fontaine (Vir- ginie-Alexandrine], banchisseuse-k Senlis.

E ntre M. Gérin (François-Julos), professeur k Senlis, et mademoiselle Caudel (Galherine- Victoire), k Montlévêque.

E ntre H . Lefort (Edouard-Charles), cocher à Paris, e t m adem oiselle Llzeau (Uonorine-Thé- rèse), fem m e de cham bre k Paris.

T h é A l r e d e S e rn liM *

Lundi .17 février prochain la troupe de H . Edm ond doim era un spectacle com posé de de l ’l l « M s m e e s » F i g u r e s d e c i r e ,drame en cinq ac tw , deux époques e t neuf tableaux, d o n t un prologue en quatre tableaux.

C h o c o l a t d u B o n R o i .

Les succès ob tenus par la Compagnie Seoli- sienne, so n t dûs aux choix e t k la pu reté dm matière* prem ières, k leu r bonne fabrication et k leurs prix re lativem ent bon m arché.

Ces délicieux produits te vendent p artou t.

P c i l e e « • r r e c t t o n n c l l e d e S e m l i e .

Audience du 12 Février.

PnéslORNCB OB M. OAUCfliXT.

Outrages d u n agen t, coups d parfi'culter. — Choron (Philippe-Nicolas), 41 ans,charre tie r,

».

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nxrisqn q iü p ’a it p o b i « leé reo ê tre sn e *0Dt n i i i i ié f i '< N éaD m olo ftiJaeo Î’IidM *' p lu rim r* pteiibles, éitwq rem plie dis 4 i i ^ . U n . p d j s w » , .l .w w n t co m lien U ite i t (bcik4 ’e e W d â w i i w i w w en pi)ofitapoar v Ir i ta rU d ite sm f iB v d iM rih v a d*p d i«ps, de* servieU«*<*te., M w b n è iM n a e 4* ISO fr. p’a p i s «ocoredéoottvarV M 'V tlw li

C a e i W M t . - P < ^ n t il ■■ion « , w v Ê i t a m m m i - w ' i

oK te ville .d m M X d v m a fé '. L a oo n m lsrio aro u n ic lp ab « j t r o q m h ; K .................da rm es, j n r i f r i lq A ff l fÉ c .h p .p ic é i i i r l i ilo û

'N yri* r;i*ar 1*:. ih é M n x Ie AM I* i B 3 e D -tâ llop c*mpo*ée d e : L a R eù se

'd ram e b iriofiÿib-<a-5 K t e s ' i t M k â t m i a V ^ MM. A lexhad(è> Ilom ar « lB ureaux k 8 b . R ideau h 7 b e m ^ ' * -

B e a n v a i s . — M ercredi m a tin , vers sept, heures un q u a rt, un com m encem ent d ’incendie s’ra l manifesté, ru e d e l'E cu , chez M. Zoellin, m aître d ’hôtel.

Les p lus prom pts secoure o n t él^ organisés >ar les soins du sergent Carbonnier e t du Um- lour Campion.

Cet accident, q u i au ra it pu p rend re Ira plus grandes proportions, se ra it d û k un vice de construction . Une poutre engagée dans une chem inée au ra it élé carbonisée e l le feu avait [iris dans un placard, au p rem ier étage, dans la lingerie.

La perle, dont on n ’a pas encore pu évaluer l’im poriance, est couverte p a r une assurance.

A huit heures u n q u a r t , to u t é ta it term iné.

• •6 e le e i i» d .r f f tP a E (s r lê l4 d e M. leD iree tea d e renr«ÿstr*O M iit ~«l de« d o m alne ii «■ date d u 1** février, H . Q uIovaclaàUenM nt receveur do l ’o n r t t i f n m n l J G r à a ^ | . . é ) < ' i K | l l l ^ a la m êm e q ualile ^placem ent de lÿ^ G alIla iodé 6alm ^$w iùaln .

P a r le m êm e a y r ^ , H . B à q a ^ q , actuelle­m en t receveur d e l ’én>«girir«neol a GÛnt-Blln (Haute-M arne), a é té u m M eiD ig rm êm e qualité a Guiscard, en r*m jd*r “ Q uin.

Le 10 février, v ers d ix heures e t dem ie du soi, le nom m é Maille (Joseph), b r in d ie r trom< pelle au 6 ' cuirassiers, passait ru e b aint-Jean. I l a été accosté par deux individus q u i lui o n t d it :« r e kotfà, soldat ! » e t . sans la m oindre provo­cation, l ’un deux est tom bé su r lu i. I l s’est dé­fendu avec énergie.

L’agresseur ra t u n nom m é Bove (Jean- A braham ), âgé de 2 2 ans e t dem i, soldat du ^ de ligne, en garnison k Lyon, en congé de convalescence d epuis un mois.

Le secqndagresseur s’é ta it sauvé. Bove a été condu it au violon ; il é ta it dans u n é ta t com plet d 'ivresse.

Malgré Ira instancra du b rigadier trom pette , q u i ne réclam ait aucune poursuite, Bove n 'en r pas m oins été a rrê té e t rem is k l ’au to rité m i­litaire.

I ! i .B s i r j . — H . Pilon v ien t d 'ê tre victim e

d ’un vol assez im p o rtan t : 11 fait Lklir une

—'U 'M rajl'qfBfl des fodiltes praUquées d ans It. fo rêt d ’E n o n t am ené la découverte d e A l a ^ i m j j ^ a f m ^ d ’am bré . U n conducteur oe* pdnla e T cb au sIe* . H . T a - ram baux{ « » « u ra it trouvé des M i t e a n x ooka- breux , b ien q u ’il n ’a it ’oq^loité q a ’u n aeal gisem ent. i;s» i - t r - i

il annonce q U e la lb rê td ’E B 'ro a fe rm e tl’am* b re jau n ep k le , v m lk tro e tn u t .a p p d ê le A tM if r ; l’am b re , ja u n e -c itro n , d it  H te r l / 'F a m b r * im p u r , d ;t£ e i» n k rà , q u i reo te rm edes firamMlita o rp n iq u e s a m o rp M s; VambM luiageax d e cou­leu r inégalé Ffom tp; T am brè tran q iaren tco m m a le crista l, dans lequel se teouve- parfoi* de* parties d ’un ja iioe étincelant ou d ’u q rongé trèe-vif.

bulletin commercialHALLE E T BOU RSE D E PA R IS

o n 14 FkVaiBa 1873

Co«r« offiH eltf -

F arine Hail-M aïques, les 159k. » sSupérieores » a

H uile d e coiaa ( tou t fût) les 100 k l l . .: d e l û • —

3/6 n ord fin, Phect - 53 50Sucre b ru t ,880saccb. ‘7-9 . . - r>-.i

— — 10-13.— — blanc, n* 3 . . . . 1— raffiné, bonne s o r te .. j— — belle s o r te .. . )~ cerUAeat de sortie . . . i

Mélasse de fabrique............... — d e raffinerie.............

Su if de F ran ce .........................Café Java, b o i d rd ioalre.-.'................G eylan ........................................................ .H a iü ........................................R io ........................................ ..."Cacaos; — P a r a - . . . ; ...............i . . ; . . .G u y â q u i....................................................T r io lié ................. .....................................R en te française 3 0 /0 com ptant. I . . .

COOBS COVilEBCIADXF arin e ........................................-y... 43

De Seigle ........................... 39Blé, suivant qualité ........................ 36Seigle, suivant q ualité .................. 17Orge nouvelle, su ivant q u a lité . . ' 31E scourgeon........................... '3 3A v o in e .. . . .................................... 16Sarrasin ............... 16'Sons - ............... 11Recoupettes................................... 11Rem oulages.................................. -14

69 75 68 60 97 35

>93:50 53 'a

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. 6 1 : ,» 73 75

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PariO O fc.• 4 4 6 :9 0 » k 3 1 ^

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50 k 16 75 50 4 1 7 50

> 4 1 3 90 50 4 13 0 6 0 4 18 6»

Les P A S tlL i^ D IG E S T X T i^ 4 e D D R IN :l)U BUISSON réunissent, sous form e a ’j^n. agréable, les principaux élém ente q m .o p é i^ t l a digestion d an sl’ratom ac. U ,i^ l t id o « p é ( j te q c c f com paratives IkUes par u d g rand n o p ib re :4 é médecins, q ù élira soq t souvent siipéyi^p|BpB)r Pastilles d ile d e V ichy, àU rous-n iin ite d « bî*- m ii ih ,k Ia ,O i* g o es ie t^ iD é e e lau charbon v«* gé ta l,p o u r 'g q è rirlé s rnàùx d!ettomae, m igra i­nes, renvois de g a s , provenant de mauvaises d i-

D épôtdanslra m rilleurespbariD |cic%

Unedécision d u M INI8TREDE L A G U f i l ^ prescrit l’pm ploi ' d ü p our la desfrucfion des ro te , dans tous Us sem ents m il i la lm . La bo ite 0 ,7 5 c l daès tm ites Ira P ha rm ac ia . E n gros, GUÉRARD ê t 1^,' .T7, passage de I'Byâée-dra-Béaàx-Aj'te, Pà!Ù ,

Le Propriétairo-G érant: E rn e s t P i T o r /

A s M a f f i M s l a d l c I i i i r M *

Aut. 1 .E lu d e de M* P a r a * D e l f n v e , avoué

k Senlis, n ié difChktoT, n« 3 1 , successeur d e y TnEnav.

‘Vemfie s a r IjielUaiiom ■E n tre M ajeur e t M ineur,

P a r lé m ù n tU ra de M’.B m nn, n o te tre à Préctr-enr-O ÎN ,

E n la Mair'ie d e S ain t-L eu-d ’Eeser«nt,

DEUX MAISONSA TRO SST, com m uné d e S a in t-

M axim in,ET DB

21 Pièces de TerreB X B O lO k _

T ério iré d e SA1NT-LEU-D’B88ER EN T; CRAMOiSY e t V ILLERS-S0U 3-

SAINT-LEÜ, .L e tout canton de C reil, arrondissem ent

d e Sentis.E s* 9 9 Mjmtn

L’A djudication au ra lieu lo D lim rnrrn 1 9 2 8 , k une heure

d e relevée^_____________ _

E n verlt» d ’u n jugem ent rendu çon- trad ictrir« ro«ol p a r le tribunal civil de Senlis, le tien te -e l-un décem bre 1872, eongistré» . . j-.-

a 11 eera aux requê te , f m n u i t e e t d ih - o | | i c e 'd « '2 i ! ' ‘Qonslantln-Victdr Robil-

m p io v é ÎM ée ritu r« ,d B n ieu ran t à X ^ m r ^ G ^ lB rJU u n é ro B -

»'ul‘ ■ • i* .

Ayant H* P aul Delgove p our avoué ;E n présence d e M. Noêl-Josepli Feuil­

le tte , p rop rié ta ire , dem euran t k Sain t- M axim in, au nom e l com m e tu te u r ad hoc d 'E ugène-Edouard R obilliard , en fan t m in eu r, issu d u m ariage de M. Juvénal- E douard Robilliard avec m adam e F éli- cisnne-O pportune D u p a r t , tous deux décM és;

A yant pour avoué constitué M* E rnest C halm in , dem euran t k S enlis, rue Saint- H ilaire , num éro 1 0 ;

E t encore e n présence ou lu i dû m en t appelé dé H . A lexandre-EugèneG arré, cu ltiva teu r, dem euran t k Yillere-qous- S ain t-L eu , au nom e t é o m n e subrogé- tu te u r du m ineu r su s-nom m é;

Procédé k la vente e t ad judication pub lique, au p lus oflVanl e t dern ie r enchérisseur e t k l’ex tinclien des feux, le D im anche seize m ars 1873 , k une heü re d e relevée, en la Mairie de Sain t- LeiHl’Esserent, e t par le m in istère do M* B u d in , no taire k Précy-sur-O ise, com m is k c é t effet, de* Im m eubles dont la désignation su it, su r les mises k prix c i-après indiquées, fixées p a r le juge­m en t sui-énoncé.

D Ë 8 1 0 N A T 1 0 1 V

A r t i c l ô p r e m i e r .

U ne Maison située k T rossy, com m une d e Saint-M axim in, en la Grande-Rue, consistan t «n deux pièces au rez-de- chaussée, deux cham bres au-dessus sur- m ontéi's d ’un gren ier couvert en naille cave d raw us, co u r pardeVant, ja rd in de rriè re , au tre M U m ent su r U ru e ser­v a n t d « boutique» pièce d 'hab ila tio ii h

côté, gren ier au-dossus couvert en tuiles, puits m itoyen avec M. Sagnicr.

L’ensem ble de cette Maison, d e s de m urs, tien t d ’un cô té M. B ouchinsl, d 'au tre cô té M. Sagnicr, d ’un bout M. Vignon e l au tres, e t d ’au tre bo u t k la rue.

A r t i c l e d e u x .U ne au tre Maison sise au m êm e lieu

de T rossy, lieu d it la Pe tite Poterne, consistant en deux pièces p a r bas, gre­nier au-dessus couvert en tu iles, cave à côté, co u r d iins laquelle il existe un toit k porcs, ja rd in , passage com m un avec les héritiers l le lb o it; le to u t tenan t d ’iin côté k la m aison ci-dessus, désignée n u ­méro prem ier, d ’au tre côté k madame David, d ’un bout aux héritiers llelbort et k lad ite dam e D avid, e t d 'au tre bout k la ru e ; e t d ro it de t ire r do l’eau au puits se trouvan t dans lo ja rd in des hé­ritiers lle lb ra t.

T e r r * i r d e S a l n t - L e a - d ’E m a e iv ra * .

A r t i c l e t r o i s .S ept Bros soixante centiares do terre,

ûiisant hache, lieu d it H e th m o n t, tenant d 'u n cô té k Paul U rouard , d 'au tre côté k plusieurs, d 'u n bo u t k la rue des Brossiere, e l d 'au tre b o u t k un au tre clieniin.

A r t i c l e q u a t r e .Dix a res vingt centiares d e te rre , lieu

d it Ira I k u x Croix, ten an t d ’un côté k M. V éret, d ’au tre côté k M. Riclier, d ’un b o u t aux héritiers de M. le m arqu is de Lentilhac, e t d ’au tre b o u t k M. Félix Bmwm).

A r t i c l e c i n q .Q uatre ares cinquante-nKiif centiares

d e te r re , lien d it les Deux Ruelles, tenant d ’un côté k M. P ierre Maliieux, d 'au tre côté k M. Joseph Berson, d ’un bout k M. B orde, e t d ’autre bo u t à M. Evo.

A r t i c l e s i x .Six ares trente-sept centiares de terre ,

lieu d it ie Fond des Caiiloucts, tenan t d 'u n côté k M. Barré, d 'a u tre cô té M. Thivem y, d ’un bout la Voie Herbeuse, e t d 'au tre b out à M. Lam arre.

A r t i c l e s e p t .Douze ares soixanle-qpinze centiares

do terre , lieu d it le Peuple M artin, nu- d issu sd o l'Argillière, tenant d ’nn côté k M. Grévin, com m e ferm ier, d ’au tre côté au chem in de Mello,--d'un bout Al. R ichcr, c l d 'au tre bout k M. llennc- guy.

A i ' t i c l e h u i t .Q uatre ares h u it centiarM d e terre,

lieu d it la Garenne, trn an l d ’u n rô té k M. Gorniain, d ’au tre côté k M. D rouard, d 'u n bout AL G révin, com m e ferm ier, e l d 'au tre bout k H . Joseph Bruxelle.

A r t i c l e iK’u f .Cinqiiant«-un centiares do te rre , lien

d it le Bout d e Buissy, Icnnnt-d’un côté k Philippe N avarre, d 'au lro cô té aux re- présentants T liom asV achrlte, d ’un bout an chem in , e t d ’au tre bout au héritiers Philippe lleu rtanx .

T e r i ^ l r 4 e O n M e l s y .

A r t i c l e d i x .

Douze ai** so ixan te -qu inu c*aliarei

do te rre , lieu d it le Fond des tenant d ’un côté k H . Borde, d ’au tre côté au représen tan t P ierre S t^illes, d ’nn bout aux héritiers C o rb ie , et d 'au tre bout k une peisonne do Cra- moisy.T « r r « t r d e V l l l e i w - s o n a -

S a in C > H je a .

A r t i c l e o n z e .Un are deux centiares do terre , lieu

d it le Bas d u Douaire, tenant d ’nn côté k Jean V achette, d ’au tre côté à M. _ Vin­cen t Descourtieux, d 'u n bout au rideau e t d 'au tre bout k m adam e veuve Jean Descourtieux.

A r t i c l e d o u z e .Sept ares quatorze centiares de terre,

lieu d it les Groues, tenan t d 'u n côté k M. D rouard, d ’au tre côté au rideau, d ’un bout k M. P ierre Mahicux, et d ’au tre bout k M. Pinsson.

T c r r « t r d e S a i n t - i i e o - d ^ E s s e r e m * .

A r t i c l e t r e i z e .T rois ares quatre-vingt-deux centiares

do bois, lieu d i t les Fonds dé Boissy, tenant d ’un côté k M. P insson, d ’autre cô té k M. Nicolas D rouard, d ’u n bout au rideau , d ’au tre bo u t par hache 4 un diitre rideau.

A r t i c l e q u a t o r z e .Deux ares q u a tre centiares do bois,

lieu d it Ira Fonds d e Boiray, tenan t d u n cô té k M. D rouard , (Tantra cô té k M. Jean-Marie D um ondel, d ’un b o u t au bureau dra pauvre* de Sonlis, e t d ’au tre bo u t k M. F n a ç o is Delamolte,

A r t i c l e q u i n z e .Un a re vingt-sept centiares de bois,

lieu d it la Remise T h ib au t, tenan t d 'un côté k Af. Jean-Alarie D um ondel, d ’au tre côté k AL Alartel, d 'u n bo u t au chem in d e la Remise T h ib au t, c l d ’au tre bout k M. D rouard.

A rticle seize.Deux ares cinquantorcinq centiares

de te rre , lieu d it Ira L om bards, tenan t d 'u n cô té au fossé, d ’au tre cô té k p lu­sieurs, d ’un bo u t à la rue , e t d ’au tre bo u t k M. D rouard.

A rticle d ix -sep t.Soixante-seize cen tiares d e terre , lieu

d it la Pciit.e Ruelie, tenan t d 'u n cô té k . H . Jean-Baptiste Delamoyo, d ’au tre cô té k M. Jean-Pierre Devillers, d’un b o u t à m adam e veuve Louis D rouard.

A rticle d ix -h u it.Q uatorze ares trente-six centiare* de

te rre , lieu d it Ira T ren te A rpents dra deux Croix, tenan t d ’un cô lék m adam e Courtois, d ’au tre cô té k madeilToiselle D rouillet, d 'u n bo u t k AL llenriicle, et d 'au tre bout M. D rouard.

A rticle dix-neuf.Douze ares soixantfr<lix-eept centiares

do te rre , lieu d it s u r les Rueiira, tenan t d ’un cô té k M. L am arre , d ’au tre cô té k M. C barira L raparl, d ’un bout aux héri­tiers C orbie, e t d ’au tre bo u t k H . Ri- cher.

A rtic le vingt.Douze' ér«s strixan te^ix-sep t A nltaèra

d e terre» lieu d it le Groe Cailloux» ten an t

d ’un cô té k M. Jean-Louis G erm ain, d ’au tre cô té k H . Jean-M arie D um ondel, d ’un bo u t k la Voie Herbeuse, e t d ’au tre bout H ; Jarle t.

• A rticle v ing t e t un.T rois ares cinquanlo«ept cen ilirra de

te rre , lieu d it la Fosse aux L lè v m , te ­n an t d ’u n côté à H . Paul D rouard , d’au tre côté k H . F irm in B ruxelle, d ’u n b out la sente.

A rticle vingt-Hléux.Deux ares quatre t^ n tia rra d e te rre ,

lieu d it M elhm ont, ten an t d ’un dU é an ' bureau d ra pauvres d e S ro lis, d ’au tre côté M. Ju les D rouard , d ’u n bo u t k la couture , e t d ’au tre bo u t 4 M. : Fraacô is Feuillette.

A rticle v in g t - tro is e t dernier.

E t deux ares quatre cen liarra de te ire , lieu d it la Forae auk L ièvres, i e ù n t d 'im côté k M. Giiarlra E ve, d ’au tre côté k M. C harles'D elarbotlè, d ’un hpidr k M. Jean-B aptitto Delaraoÿe. /

l u m n * A P R I X .A rtic le , p r e m ie r . . . . A rtic le d o u x iè m e .k . . .ArlicTo tro is iè m e ...........A rtic le q u a tr iè m e .........A rtic le c in q u iè m e .........A rtic le s ix iè m e .............A rtic le s e p l iè r a e . . A .V A rtic le h u itiè m e ..

1 .200 f r .800 ’-i 150 200

90

■ «IA rtie le lre iB lèB M ..v* i.', ' — T '~ '

• V -P '«V ’-'f\.y '

Page 4: Guette ée la Chanbre.bmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1873_02_16_MRC.pdf · qu’on était en droit d'attendre de ses trâ-. fédé^isles a outrance. i'aux. yoilè ce que

L 3 .596 f r .X — . N t o i a i ' t

i lnefli3ib . iu i to is l jiLneovfi9 b M p | ' l « |P % h l 9 n R i r 4 m i i ^ i :. •iw im m t» u a i p i i v K i M t o * . '

.!ivaafc)pliuitaimotwibÂ-r>.\ MMOiioio:*

I. uMhill :il b é xit P o u -io N v tio o t

ti‘ / .liS s B ^ l lé v V i 'D n iw K '} »liiiw^i»ii»i.iia<>»ab wi* te i ' '

ii-i ,<iM|A]______V -.*

u i ( Ü - \ ; 'T lT ? î5 i s 3 S

B a r a s d i ta e * d w ' â f é i T d ii T rib o iu l à v 3 d e p w i è r e in U n o e d e Seolis, 93it(pJfw iiÿijh

••nnjR Jnn u2I'lt Kittlb EVtlipi!

- l / .S I n •!> 18W U S , v S a iB tiH G e M iiè T e ,iijiu iiîi iip li'ii|) iii)

i t a e feHiM m C trcoaatêm nt-'jup

L’M iM S ta t ie a i«idt>‘i i e » t tê - - M e M U t i i immimm I B w ü t

•) i ' y > t.; t)e M tfd e (la i£ .:% 'n 'o V '

i . - ) .w n u w A L L e 9 , « 9fMr

V à d id i a r f iM l i i im l im k a ' M M I u w M .

H-'>àiuiit bacj^r'*

- , airoDduBem éot de Scolâ^O iae).

i é i b i t - n v o t r i t o u 6w i q ii 'ii apoar* M 1 : .

Q ife o a é c o t io n d e deux jugem eots ^ U pfMiièri ChaMbré dd

- j .j5 » iïd e ti8 « io f ,d ù é M t-ù e a rq o '- w œ l i ^ O T j .e ld u i r B n le jU r r i e M p s , - a u ra - *. E l idtTé^iittè; pbttndite e l dlUmce.de ; *•' ' • '■• •• . ■‘t'.-.i c. .j

I , |E i i i t o k Éog&SMSiroHDe f U M u i ,m v d e H . Jeea-P ie rre -T bom w ColHi

d e in f tu n n i à Pari», b o tlev a rd o lb i r ^ , |à u n ; ^ S 9 ; ,A ï 4 p o u r ' avqd^ |J ‘ L ouis-Jules

W W ^ iP T ^ lii^ r ib u n d m i l de

l u r ^ ^ ^ A p u a ^ Bautlean, louard-PauI Bà vozel, pro*

t f r ië t Ire, dem eu rao t à Parie, r u ^ de l i n t e c e , o um dro 6 9

27 P i^éS de T«;rre' e t D o i » . ' . ,

8 llüdea s u r l lw le rro ira de VILLERS* 8 0 D & $ A ÿ lT L S U . 6A1NT-LEU>

U’ESSGflENT e t PRÉGY-SUR-OISE, E h t x k t à

Q u i p o u rron t é tio réunis ? n lo lalité '' ' ou  i partie .

' L’ad jodlcÉ liA naura lieu l e l l l m i i m e l i e « M » M a r s I S V 8 » à une heure d e relevée, . .

^ è d r é m r 'p M ir U$ n n u iÿ n m tH U :■ " I '. . ..

A H ; A QBERT, avoué p o urau iv ia t la v e n té ; '

E t é H* DELGOVE, avoué présen t è lé vente; •}

E t i P réc ï^a iin O ist :A H* B U M N ï n o ta ire , dépoailalre d u

cah ie r d es chargée e t d è t titres de pro« p r i ^ ; . .

E t à M* LEVAIRB, hu issier au d it P réc fe a r-Ü ise . :

■‘W h H f t « è à e o ^ ' ' |D ^ é d t é r t b d h - par le tr ib u n a l civil d e SeulU , les cinq novem bre 187S e t vipg t e t u n janv ier 1873, enreg istrée;'

E t aux reim ète, M u rsn ite e t diligence

bêî&PdMeBëhÇBuÿ *** i^iiA ïK at^N ^T M U eyiipoaii avouA E n présepcn, ^ , l L . , ( ^ r i a - l f « r i a

lA U ient, n a tch a iw ibou iiher^dem euran t i B aron, a u o o »^A lidonH M tu teu r 1 ^ d ^ m i n r â r A ^ e M ^ .q ÿ q p p r i l l e , !

01?u fH enpéfé m (fwnswea o n lui dûm en t o a n i l é de.M . Caiuiiir>Adolpbe Génoo* u f iB t, péoptiéU ire d m e u n a t li ;

L ^ B an t ta n t en M n nom personnel n d V d r tS f tn m 't in r io e naturelle

tle jd e Berthe>Eugtoie B avozet, sa fiU èi im a u re , issue d e so n m a ria g e avec : M t t ueiirB avozet;

A jp n t p o u r avoué H* Jeao-B aptiste U n M u H ^ u b a n ie , , dem euran t à ^ r i s , w é l f « * n ^ in l* A u g u 8liD, n u m ^ 6 0 ;; £ t .e n « i r e e n présence, on lu i dûm en t « P M é , As :

H . Edm ond-A uguste Griffé, proprié* i t f r i ^ c u r a n t à Chambly (Oise); A rnss^h tau noin e t com m e suorogé*

tu te u r dé la m ineure Bavozet sus-nom - m éeJ rodctioné éuxqueilés II a é té appelé e t q r i l à aeceplées, suivant, délibéraünn d u .001

 '" C ié 4 ^ d e ' e n i i l è 'if^otir cause d e san té

Un bon FondsD ’E p i c é r i e s , R o u è n n c r i e s ,

F aïences,G rialaux, Verreries Porte- B ou­te illes, Bputeilles en tons genres.

V anneries, S a llo irs e t Fontaines.'^ S is à PRECY^ place d u m arché.

7 0 à 8 0 ,0 0 0 f r . à ’a f l h i i ^ s p a r a n . S ’ad resser p o u r to iu re iuetpnem enta :

A Précy-sur-O ise !1* A M* DUDIN, flo iaire ;

A v e n d r e p i | | i a i y a d i e a i t i « iE n un ou^pluaieurs lots,

E n rd tu d e .e ljm é U m in itU r t de J |* B iL dàninx , W ta in i à S en /ù ,

S ’adresser a u d it H *iD àLéxùox, n o ta ire .

« e o lT a l^ - 's u b ro g é - if a te t t r 'd u i "’ buville.

i’ajriit^’paÉ d ’avoné é o i^ tû é .

an p lus .) rap t m , deiDierigsear e t à rjsa.tinctMm des Ceux

dofim oM utda d o n t la désignation seH :

V ue maiwn,* sise a sen lis ; ru é S ain te:

S ièv^ ' ntlib'éro 13, ay an t isoa e n t i ^ p e lê .p ü ' une .iw jto /.ôà^!iéne-aar< TÛê, .cm oprenant deux corps de

' l im m w its . .....................................' : L a prem ier ooipa d e b â tim e n t s u r

la rue se com pose a u m -d e -ch an ssée ilh^i|^ iiandé> bO iitM tih latti6 ^ u iA iÿ iM i t r e v i t r é e ,e t8e r la co u r

V?, s’éùüido h m j e ^ I s ju sq u ’au b l l im e a t du

ÂXVi tâ .m aison do »*nM Pe.:riieve, V igoureux; lieux d ’a l-

m m i •deam ai d ’escalier p o u r .m ettred u J i o ^ . ' i l ..............

Ah p h n d h étage, auquel en arrive^ ^ ô e w a l i e r d o » e m n t égalem ent le

c o ^ d e -b è lim e n t d -e p r is , à le su ite l’u n e d e l ’a u tre ,

* n e Al'uqtraMr.la

M é è 'i ia T n n é s ü r

b ra tc o HU é B ^ :é dm ' : t é u

cwpè de lg ao d ie e t e u Tood d e i iu c o a r , com prend a n read o M ^ u seée , i gancbe , u ne cu i-

■ - f .l i iq o o rn i . : i:i ...r-,;jg.qoq(!;uq0 é c n ie p o o r

^ i .1 •. . ,,1 ^ e j a e t p o rte e | cBoieée

ose cu d ofi^ iréee t

ë à n ie a o .' V oe"efiim bra l c o ô c b ë r e t cabineil à

■ 2 W i I* ' n.-i in'-'*'C h a n b re à cô té , éclairée s u r la cour. An deuxièm e étage : c ab in e t éclairé

A B lU iM t .Gave eoos leedlls U U m enls.

1 P®“ ™ « u *

a c c e p té ^ suivant, délibération lil de fam ille d e .lad ite m ineure,

len u ë sous la p résidence de H . le juge d e paix d u troisièm e arrondissem ent deP a n f , en d a te d u dix-srp t a o û t 1872,

; i s t ^ ;enregtI l s e i i procédé, le n t u f M ars 1873,

i u d e h i ^ de relevée, défau t d e su ite , e a re lé d e e t par le m in islA e de H * H ailrad le ra llo n , no taire à Cfaambly i < ^ ) i com m is par le ju g em en t sus-

ibricé è td a té ,' è la vente s u r lic ita tion .âu: {dus o ffran t e t dern ier encb 'isseuri d o l ’im m euble do n t la désignation s u i t :

D É S I I G I V A T I O I V

Une maison située à Chamhlu, arrondissement de Sentis (OiseL rue de Sentis, près rEglise, a Vencoignure de la r^ue Mabiite, ayan t son entrée sur la rue de Sentisp a r une grande porte et une petite grille enfer.EBe consiste e u : .D iecorps de b&üment principal entre

couri e t ja rd in , com posé au rez-de- c h a i ^ d 'u n vestibule, à cô té duquel so n t] : - è gauche ort grand salon , e t à d r o i^ u n p e tit sa lon , un cab inet e t une s ^ e A m anger; au p rem ier é la g e , 'd e tio q jc h a m b re s e t un cab iner; e t au - d é C ^ d 'u n g re u e f dans lequel se trou - v ^ t jp h u ie u r i cham bres m ansardées.' L d to u t c ouvert en anioises.

É ious lad ite m aison, bè tim en t è cô té d u précédent, terrasse, couvert en zinc, et

n i en u ne grande cuisine, à ch arb o n , e t lieux d'aisances lad ite cuisine.

I b&tftnënt dans la co u r, è côté ind* jiOTte, «Miivert en tulles, et d t M - rem ise e t écurie, grenier

au-déasus, caves sous ce b itim en t.GOur. dans le lâ iim e iit {irincipal,

f o n ^ d l p a n e rre e t plantée d 'a rb re s e t d a r l j u t o .I t i a h t m derrière planté d ’arb res fru i- siers.e t d'espaliera.

L é tou t con tenan t d ix-neuf a res dix- neu f a r ts qulli-e-vingt-sept centiares,

r t^ tq n a n | d u n cô té à U ru e Habille! d a u b e cô té è m a d e m c ^ lle Lepesieur e t è H .j Imchel (ta prem ière com m e u iu - fn ii lç W e t le second com m e n u -p ro - p né là ira ), e t à u n p e tit I h h i i i com m u-

d e v a n tè la .rn e d e S e n lis , e t p ar a H . Langlassé, aux h éritiers

Caron e t è la cour com m une, d ite cour d o Guré.

C d té . m aison est portée a u cadastre i l i7 3 e t7 4 .num érôl

U j l q q t ienan t p a r devant è la rue , M r M n iè re à N . L abonrf, d ’on cô té à m adam e veuve V igoureux, e t d ’au tre b o a t A I T v P l i i ^ . ^

A iin i 'q tte lad ite m aison s ’ e o d e t CQhgPrte, n o s aM o n e éxcepUon n i

. I i ^ . p r i x . 1. . .N . f i. — L’im m enb le e s t dliiû'

d e h u it q sp l q nal i u v in g t i t o H unes.

rédigé p u r l ’avoué p o m i h n t

. K.'t v ; , ' f i ^ : A ; ( V a ] i i M h . '

k wA

è W lé i ^ r s o i -

'ié ii i ié ’ i d l à n l .

M I S E A P R I X

O utre Iés‘ iÿ iiigés, clauses e t condi­tions insérées au cahier des charges, déposé en l ’é lgde deM* M aitre-Devallon, noU ire è Cham biy (Oise), les enchères se ron t reçues su r la mise à prix fixée par

'ia,. aa?)A A I»le jugem ent d u tren te janv ie r 1873, som m e de h u it m ille francs, ci \ ................................• « • • • f r .

I ^ i t e t rédigé à I^ r is , le d ix février 1 873 , par l ’avoué poursuivant sous­signé,

Signé : Hkmriet,Enregistré è P aris , le d ix février

1873 . R era u n Iranc qua tre -v ing ts ôeûtim eé, décim és com pris.

Signé : BotiaoALouE.S 'ad re sse r p o u r Iss r e u e tg n m e n h ;1* A udit H* H ENRIBT, avoué à Paris,

ru e Sainipfioch, n um éro 87 .» A P iJU BA fV IE, avoué à Paris,

rn e N eu v e^ in t-A m u stiA , nu m éro 60.S* E t A i f H A ltRE-B EV A LLO N , no-

ta lraA ,'C hahh lT (Oise), déiiosilalre d u cah ie r des cbaraes.

i ^ r insertion.S igné : H s R i in .

EtAda r i e U f P M h M A h h h r a , licencié .«0 d ro it, avoué à S énlis,

lé a c e d e Lavarand e , n* 4 .

' ' V B n h r k i IA ux enchères publiques,

P u r su ite d e conversion d e saisie im roo- bilièré ,

I p n Mairie d e V/l)era-fous-Saint-Leu

H r Û n e M reIl à P iic $ r m e -O tH ,

n m m U à eê te ffe t .

« J » . , “ “

^ A U . TORNE, q u i exploite ledit fonds 3 ' A H . FE B R ET, proprié ta ire de la

m aison ;E t à Cham biy ;

A H* GRANGÉ noU ire .

A C E D E RDans une r iche localité.

Un bon FondsD É P i % . P E : T J B : n i i < :

AVECA t c l i r r d e R e n u r r i v ,

E t D r o i t a u B a i l d e s l i e u x .L i titu la ire pourra rester quelques

tem ps avec son .cucce^curpour le ineilre au couran t, e t lui cédera si celui-ci le désire, uit atelier de pliulograpliie |>ar- faitem ent agencé.Conditions erceptionnellem enl avanla-

g ttu es .S ’adresser à M. MAIGKON, agent

d ’affaires à Crépy.

Débit de TabacE T T A D E E P r E H I E

Situé fatibourg Poissonnière, 6 6 ,

A C é d e r d e s u i t e1 5 a n s d e b a i l . — L o y ê r lG O O f r .

5 ,0 0 0 k i l o g .A f f a i r e s 1 1 0 ,OIK) f r .

S 'adresser au üu rea u du Jo u rn a l.

A C é d e r d e a i i i l e

Un Fondsd e M a r c h a n d d e V i n s ,

E p i e i e r , M e r e i e r ,Avec le u de Boules. Jeu d 'A rc, Ja rd in

d 'agrém ent. Ja rd in fru itier,

E t d e M a r c h a n d d e C h a r b o n e t d e B o i s .

Situé à CREIL, dans un quartie r 1res fréquenté.

S ’adresser an Bureau du Jou rna l.

A X O C E RUNE

.liaison BourgeoiseSituée à Grril, co u r d u Chèteau, n* 3 ,

P E T l t JARDIN CeamdVanan fcgadnJardin

E ntrée en jouissa’n à i de su ite . S ’a d r r i ie r s u r le» lieu».

E td d e (le H * B c M i o l , n o ta ir e i Senliv .

A E i o n e r à l ' a m i a b l e

Moulin a eau^'aisânt de blé farine

A ERMENONVILLE.Ce Moulin est m onté de deux {laircs

d e meules à l’anglaise.il est s itué è 3 kilom ètres de la sta tion

du Pleasis-Belleville. Imne de Soissons, e t à 4 0 kilom ètres d e Paris.

S’adresser a u d it M* Be.voisT, notair^ .

ONlillin ii ■

104 OrmesS u r les te rro irs d e H ôrlefontalne et

P lailty , le long d e la rou le do Morle- fohtaine à P lailly,

A v e n d r e p a r a d j u d i e a é i o nE.N TRO IS LOTS,

A H ortefontainc, en la Maison d ’érolc, Le D im anche 2 3 Février, îi m id i,

P a r le m in isU re d e H* B knoikt, nota ire à Senli» ,

S*adreuer au d it M* D b ro is t, notaire.

M A I S O NA nMgre d 0 ea n n ier ce ,

S m à Plailly , à l’angle d e la rou le d é ­partem entale e t d e la ru e du Gué, connue sous le nom d e VH étêlSain t-M artin ,

e i J a r d i n p m p l r e à b à é i r S is à P lailly , en la rn e G ro s il ,

A v e n d r e ^ r a d Q n d i e a t i e n A P lailly , en la m aison d ’ o le .

L e D im anche 2 3 F év rier, è deux heures, F a r le m in is tè re d e M * Br.voi8T, nota ire

S ’adresser audji M* B m o ib t, no taire .

A Laner tk l’analableMaison Bourgeoise

Sise à P lailly,Avec PARC parfiiitem ent plan té d 'arbres

magnifiques, Ja rd in po tager. E curie, Rem ise, BasM -Cour, Com m uns e t Dépendances

L e Umt contenant 2 Aeckirei 3 0 ares.Le locataire a u ra D i ^ l t d e

G H A R D I f i s u r 150 hecU rre de T e rra e t Bols siinées su r les te rro irs de P lailly e t H ortefontaine.S ’adresser au d it H* B EM 0I8T, noU ire.

• fi* B e n o i o t » n o laire k S enhs,

l l SeMé

2 Pièces jde TerreS isb b û 'lèH ù ird e G ouiied ll,

A v e n d M p a i ^ a i U a d l v a é i o aEA B ^ 'o f l en D étail,

Le D imaqtme 2 3 Février, i une h eu re ,|A Gourleull, en la m a iw n d ’école. P a r led iim stère de BaiBAbEXTAUX,

notaire .S ’a d ru K r aiidit M* BALEZEAUX.

Malson BourcieoiseAvee'JardIa é4 ü^p^Mlaneee

Situéeè S en lls ,'ru eS I-Y v « 0 -l’A rgeat,

A v e n d r e p a r a d | n d i « « t i o nA Serif» , en fé lk d é i fp é i^ lè 'm ln U fé re

de M* DliBZXACX,Le S im anche 9 Mars 1 873 , à m idi.

On I ra te ra avant l’ad ju d ira tio n s’il est h i t des offres suffisantm .

S’a d r e s ^ au d it H* BALâtAVx, no taire .

E tu d e d t H * R o i ^ l , n o ^ lr e à Senlis. sqccesseur dd H* F ontairs.

E tu d e de I il

A C é d e r d ef DM BON

Fonds de.BouiExplo ilé 'è Brégy, p t r l

T** et ünde M archand de V in

E p ic ie r é t Kfei"6 Ml

BauiArt,

ndst-L ogeur,

ifcier eurs pays duExplo ité d ans u n des m eil

can to ii d é R M .S’adresser au d iC H ' f ix B ^ t , notaire.

A v e r i d r é p a é a ^ a d i é é f i i o p | i

18 Pièces dé Terreet iPré

S lluées’iu te rrito ire de Précy-stir-Gise, Le Dknî ■ “lanclie 2 Mars, à un» heure.

En la Maison d'école de Précy,P ar le niN tstère de M* Monvx, tio faira

à Si'itlis.^S ’a d re so r aiidil >1* >lonEi.. nolaire.

A v e n d r e p n i * n d J i i d ! e a t i o n

2 Pièi-es de T erreSises aux termii-s d» Sarron et P unt-

.■^.linie-Maxoiico,L» niinaiK 'lie 23 Février, .*1 nm* heure.

En la Mairie de Ponl-S.iinle-M axoiice, P a r I f miiiislère de M* Moiiei.,

H'diiire (i Senlis.S ’adresser audit M* M ouei, nolaire.

A v e n d r e p a r a d j i i d i c a t S o n

2 petites Maisonse t 9 l * i è e e s d e T e r r e

Sjÿcs à Ruily, l.e D im anche 9 Mars 1873, è une heure.

E n la MüUiiii d ’école d e RuIly,P ar le m in is fm de M* M o re l, notaire

à Senlis.S ’adresser audit M* Morbi., no laire.

E lu d e de .U* B o M e l i e s , no taire a Senlis, suce' de .M” ScKLUEnet Deuout.

A V e n d r e à l ’a m i a b l eP o u r en tre r en jou issance d e su ite .

Une MaisonA v e c UN G R A N D C L O S

A Villeverl, rue du Ilan t-dé-T illevcrt,

C I V J A R O I I VDans la m êm e ru é , en to u ré de m urs ,

e t a n M a r n i i s d e f i S A r e *S itué au m êm e lieu , p rès lé P o n t de

P ierre ,S ’ad reu e rd H * B o u cB E Z , nolaire.

11 hectarài ares 0 4 e*de T erre

S u r Y m neuil, en une seule pièce,

4 V e n d r e p a r a d j u d i c a t i o nLe Dim anche & Février, à nue heure.

En la Mairie de Verneuil,P ar le m in istère de M’ H0II6IIF.7,

notaire 4 S enlis (Oise).En cas d e non ad judication, il sera

procédé, séance tenante , à la location aux enchères do ce lte pièce de te n e .

S 'a d reu er aud it M* Boucbbz, notaire.

^E tudc de M* M « a t r c - D e v s i l l M ,notaire è CItambly (Oise), >

9 h e e t a r e « 5 4 a r « s 1 0 e *

d»‘ T erreEn tro is pièces sises te rro ir de Çhalbbly,

A v e n d r e p a r a 4 | | n d l è a t i o nE n i i t u d e e tp a r le m in istère de

M* HAniiE-DETALixtN^notaire k Chambiy Le D im anche 23 F év rier, a u ne heure.

S'adresser audit M* M aitre -D ev a llo x .

O hcetaroH OO arcs c.de T erre et Bois

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S’adresser a u d it M* DESJARbirts, notaire.

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A v e n d r e p a r a d | j a d i e a t i o aLo Dim anche 2 3 février, à m idi.

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de la Pêcherie, servan t d e restauran t e t d 'établissem ent de bains c hauds ;

2° Une autre'Maisonc o n tig u ë i oeile q u i précédé .

D euxièm em ent, e t la n u e p ropriété , p our y réun ir l’u su fru it au décès de M. La- to u r d e :

Deux MaisonsSises s u r le qua i d e la Pêcherie.

A’o d re u e r OMoif H* P a te n , tsotair».

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■ a à d i e r M ^ d e V i m sP a r su ite de d ép art,

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P ar le m in istère d ud if M* J . N o lb v a llb .

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l..e D im anche J 6 février, k m id i. P a rle m in istèrede M *C olus-N érv , hu is­

s ier k Senlis.

T -COHUUNF. DE CUVBEGMOM.

Aéjidieatlti de Travm' P o u r la

R c c c o c l r a e t l c a d a C c m b i cd a C U c h c r d e l ’I t y M e c .

Le D im an the 2 M r s 1878, k m idi, il sera p rocédé ; en Is H sison com m une d e Cavergnorf, fc radJadio iU on s u n b s i i

A p artir d u p rem ie r M ire 1 8 7 3 , ^ ' com m une n ls u to r i i in ip lw ' : j'efileve^ m ent du Sable s u r ie i . t e m iM l Ip U p r p a r te n a n la u r le te r r i t td re . > d . '

E lu d e d e M*

Un Petit Clerc.

"DreD'tifttUl' lé/ÉillIbl ’des deuj ntbpesi ic s lM a a Mo.- GDlRARD, e l CU p

a ■ ■ ■

D c A M a d e

Un Pèt'U'.'Clërci.

M * M o r c i l ^ n o ta ire fi Beoljs, DcfiMkiiHië""’-' ! .

Un Seéôhd Cléra.

l ’i i e w ':

' ' 0 ’n ” ' U ë ï i i a t t i a ' à ' '» f • m » ‘

O n d c r e u u i d é

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D béé M t l ^ p U t e D ^ f % )(M nsir, d p n e o d é w ’i r é r A ^ b l e , e t non

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B ^ t dan» fe» prii^pélos ikar- maemdof^raaooetdo rfiénNqÿer. ’ Sfifaib; ■ ' '‘ ' N ovon, p b i j i . '

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S tn f i iM i Stekt, I* im.r

d ’arriv er fin p p o n w ] p u raium

•la f t iï" ‘Nô'i