grande exploration spitzberg - les voyages de tmr€¦ · dans l’arctique, il n’y a pas...

GRANDE EXPLORATION

SPITZBERG

voyages d’émotions

UNE CROISIÈRE D’EXCEPTION : TOUT LE SPITZBERG, DU 16 AU 25 JUILLET 2017

TMR vous invite à réaliser le tour panoramique du Spitzberg.

Dans l’Arctique, il n’y a pas meilleure synthèse polaire que le Spitzberg - ou Svalbard. Cet archipel, grand deux fois comme la Belgique, concentre en un dédale de fjords et de pics, les plus beaux trésors polaires : une véritable anthologie !

Ce voyage exceptionnel a pour but de vous faire connaître Spitzberg et Arctique. En compagnie de notre équipe de Guides-Conférenciers-Naturalistes, nous suivrons un itinéraire fait de lieux incontournables et de sites insolites, tout aussi remarquables.

Les paysages d’abord, très variés grâce aux vastes étendues de toundras fleuries, aux montagnes aussi - constitués de pics éclatés par le gel et de vallées noyées par les glaciers - et enfin les grandes étendues de glaces de l’Est : les calottes y forment la plus grande barrière de glaces de l’Hémisphère Nord. Certaines îles, telle l’Île Blanche, sont couvertes à plus de 99 % de glace, libérant de grands icebergs, en abondance.

Au Spitzberg, la Banquise est très présente et nous ouvre les chenaux d’un autre monde : le royaume des ours blancs. La faune est exceptionnellement protégée à travers une vingtaine de réserves naturelles et 7 parcs nationaux, couvrant 65 % de l’archipel. De toutes les régions polaires, c’est au Spitzberg que la faune est la plus riche. Les morses y sont protégés depuis 1952 et leur population y augmente de 8 % par an. L’ours blanc est sauvegardé depuis 1973, et nous avons donc la quasi certitude d’en voir quelques-uns durant le voyage.

Ces terres ont aussi connu l’Histoire Polaire la plus dense : des baleiniers et trappeurs, aux explorateurs et aux scientifiques. Vous partirez sur les traces des pionniers des glaces : hommage à la tragique expédition en ballon de Salomon August Andrée, au dirigeable de l’Italien Umberto Nobile et au plus célèbre de tous, Roald Amundsen.

Unique brise-glaces au royaume des ours polaires, l’Ortelius (116 Voyageurs) est le navire polaire idéal : salon et pont d’observation ouverts, confort, services et réactivité. La complicité des équipes d’hôtellerie, des officierset des 9 guides polaires garantit une croisière passionnante, richeen émotions.

Bienvenue à bord pour ce « Safari-photo » dans le grand Nord !

TMR EXPLORE LE SPITZBERG - le grand tour de l’archipel, du 16 au 25 juillet 2017 - 04 91 77 88 992

Jean-Maurice RavonDirecteur de TMR

PANORAMIQUEDU SPITZBERG

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• Une croisière 100 % TMR et francophone.

• L’anthologie de l’Arctique et du monde polaire. La croisière la plus complète, sur 10 jours et 9 nuits.

• Le seul brise-glaces de croisière opérant au Spitzberg. Il vous est entièrement réservé par TMR, et vous êtes ses Hôtes privilégiés. (Brise-glaces de classe UL1 ou 1A).

• Un voyage en petit comité (116 Voyageurs), afin de préserver la convivialité de l’exploration.

• L’Équipe TMR, un Chef d’Expédition, 9 Guides polaires experts et 34 Membres d’Équipage vous accompagnent et se placent à votre service.

• La découverte de tous les grands sites de l’Archipel. Des lieux mythiques fréquentés par les grands aventuriers du XXème siècle.

• Au pays des glaces : des journées entières dans la Banquise ; les paysages alpins de l’Ouest, les grands glaciers et calottes de l’Est (160 km de fronts de glaces et d’icebergs)... voici l’ADN du Spitzberg.

• Ours blancs, baleines, morses, rennes, phoques, renards polaires... toute la grande faune de l’Arctique pour un festival d’images inoubliables !

Ce voyage unique sera dirigé par Christian Kempf. Lauréat des plus grands prix de l’exploration pour ses travaux scientifiques en Arctique, il connaît le Spitzberg depuis 1973. Son premier livre sur cet archipel fut réédité 4 fois en 3 langues ; il a écrit 3 livres sur le Spitzberg, publié la carte touristique de l’archipel et rédige le guide du Spitzberg. C’est lui qui va déterminer notre itinéraire avec le commandant de bord car les conditions météorologiques, de glaces, de mer et d’observation d’animaux que nous trouverons restent prioritaires.

TMR EXPLORE LE SPITZBERG - le grand tour de l’archipel, du 16 au 25 juillet 2017 - 04 91 77 88 99 3

Longyearbyen

Edgeøya

Fjord de Lilliehook

Hinlopen

Hornsund

Cap Sud

Fjord de Palander

SPITZBERG

TERRE DUNORD-EST

ÎLE EDGEØYA

Détroit de Hinlopen

Glacier de Monaco

Glacier Négri

Baie de la Croix

LES 7 ÎLES

Fjord de Smeerenburg

Bellsund

Banquise

MER DE BARENTS

MER DUGROENLAND

OCÉAN ARCTIQUE

MER DE NORVÈGE

Fjord de Murchison

ATTENTIONVoyage rare et authentique !

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NAVIGUEZ DANS LE SILLAGE DES GÉANTS

Il n’existe pas de population indigène au Svalbard : les Inuits et Sibériens ne s’y sont pas implantés. En revanche, l’archipel a connu plusieurs vagues successives de visiteurs qui ont marqué son histoire. Dernière terre avant le Pôle Nord (à 1.000 km), l’archipel jouit de l’histoire polaire (baleiniers, trappeurs, explorateurs, industrie minière, sciences…) la plus riche.

Les aventuriers de l’Arctique EuropéenComme beaucoup de découvertes, celle du Spitzberg est le fruit d’une navigation hasardeuse. En 1596, alors qu’il cherche le Passage du Nord-Est, le Hollandais Willem Barents découvre successivement l’Île aux Ours (Bjørnøya), (baptisée après son combat contre un ours polaire), puis au Nord-Ouest, une terre qu’il appelle Spitzberg (« montagnes pointues »). La découverte de Barents fut le point de départ d’une longue période de chasse extensive et d’exploitation des ressources animales du Spitzberg. Des centaines d’expéditions s’y succèdent. Certaines scientifiques, d’autres pour conquérir le Pôle Nord par la voie des airs : l’ingénieur suédois Andrée avec son ballon Oern (l’aigle), dès 1896, l’Italien Nobile et ses dirigeables : le Norge (1926) et l’Italia (1928). Sans oublier les vols en avion d’Ellsworth, de Byrd et d’Amundsen, déjà héros du Pôle Sud. Certaines de ces expéditions furent cocasses, d’autres beaucoup plus tragiques.

L’anthologie polaireMeilleur moyen de découvrir le monde polaire, le Spitzberg présente ses 3 types de paysages sur seulement 61.200 km² : les vastes étendues de toundra (avec au Centre-Ouest, les fjords, les vallées fluviales, les Îles de Barentsoya et Edgeoya, baignées par les eaux plus chaudes du Gulf Stream) ; les pics et glaciers ; et les grandes calottes. La Banquise n’est jamais loin des côtes Nord et Est, et les icebergs flottent en abondance. Les plateaux sédimentaires recèlent du charbon, attirant les implantations humaines (comme à Longyearbyen). Entre montagnes, mers et glaces, le Nord-Ouest forge l’image du Spitzberg, avec ses pics façonnés de glace (culminant avec le Newtontoppen à 1.713 m), ses vallées alpines noyées par les glaciers donnant des fjords où dérivent des icebergs... En juillet, la Banquise sera probablement présente, avec le jour 24 h sur 24 h. L’histoire polaire y est la plus dense. Par ailleurs, 2.650 glaciers y couvrent 59 % des terres en grandes calottes et glaciers, offrant des paysages d’une exceptionnelle beauté.

Roald AmundsenRoald Amundsen (1911)Ballon d’Andrée (1896) Umberto Nobile (1928)Willem Barents (1596)

J’ai failli mourir dans l’eau glacée, j’ai senti les crocs des ours polaires contre mon visage, j’ai survécu à des températures de - 60°C ; (…) l’Arctique est sans pitié. Tout ce que j’ai affronté était nouveau pour moi. Je n’ai trouvé le courage de surmonter certaines épreuves que parce que j’ignorais les souffrances qu’elles représenteraient. »

Conquérant de l’ImpossibleMike Horn

LE SAVIEZ-VOUS ?Au Spitzberg, est installée une banque génétique - dans une chambre froide et forte - conservant des échantillons de l’ensemble des graines vivrières de la planète en vue de la conservationde la biodiversité.

«


16 juillet : Paris Q Longyearbyen

Rendez-vous ce matin à l’Aéroport de Paris Charles-de-Gaulle terminal 3. Vous serez accueillis par notre équipe, à l’embarquement de votre vol spécial. Décollage. Si les conditions météorologiques le permettent, nous apercevrons l’île aux ours, à mi-chemin entre le Cap Nord et le Spitzberg, puis les montagnes et fjords englacés du Sud et du centre de l’archipel.

Arrivée à la mi-journée à Longyearbyen (après 4h15 de vol direct), capitale de l’archipel, avec ses Musées, son université et ses boutiques de souvenirs. Il n’y a pas de décalage horaire avec la France. L’équipe des Guides et Naturalistes vous accueille. Visite de la toundra de la Vallée de l’Adventdal et découverte de la ville.

Embarquement à bord de votre navire brise-glaces, l’Ortelius, vers 17 h.

Présentation du voyage et de vos 9 Guides et Naturalistes.

Navigation dans l’Isfjord et le long des enclaves minières de la concession charbonnière russe de Barentsburg, avant de gagner la haute mer. Nous aurons peut-être la chance d’observer nos premières baleines au large de l’Île du Prince Charles.

QUI ÉTAIT ORTELIUS ? Abraham Ortelius était un cartographe et géographe néerlandais. Il naquit le 14 avril 1527 à Anvers, ville dans laquelle il étudia le grec, le latin et les mathématiques. Il travailla d’abord comme libraire, et s’intéressa particulièrement aux cartes et à la cartographie. Il publia le premier atlas du monde « Theatrum Orbis Terrarum », 20 ans avant la parution de celui de Mercator. Son ouvrage connut un tel succès qu’il fut réimprimé 4 fois la première année

de sa parution, et en tout 42 fois en 7 langues, entre 1570 et 1612. Ortelius est le premier cartographe qui mentionne les noms de ses sources pour ses cartes géographiques. Abraham Ortelius élabora un autre ouvrage essentiel, un recueil de noms de lieux, le «Thesaurus Geographicus». Il décéda en 1598. « Une grande renommée, une maison r iche en curiosités, une aimable hospitalité et de longs voyages, avaient mis Ortelius en rapport avec la plupart des humanistes de son temps. » La correspondance illustrée d’Ortelius (notamment par Pieter Brueghel l’Ancien) compte 371 lettres et constitue une importante source de renseignements sur les humanistes de la seconde moitié du XVIe siècle.

17 juillet : La Baie du Roi - La Baie de la Croix - Lilliehookfjord

En route vers le Nord... nous passerons la journée dans ces Fjords uniques au Monde, où les glaciers dévalent les montagnes pour se jeter en mer sur de longs kilomètres. Sans doute l’une des plus belles régions du Spitzberg !

PROGRAMME10 JOURS

/ 9 NUITS


Passage à la Baie de la Madeleine tôt le matin.

Dans ces Fjords englacés, l’Histoire du grand Nord rencontre la Nature : le Krossfjord était sous domination nazie, pendant la Guerre. Dans la Baie du Roi, les glaciers les plus impressionnants sont ceux du Roi, du Lilliehook (pas moins de 5 km de front de glace) et du 14 Juillet (ainsi nommé par le Prince Albert Ier de Monaco, en 1906). Des merveilles ! Les sommets échancrés, déchiquetés par le gel, dépassent 1.200 m d’altitude. Plusieurs colonies d’oiseaux marins nichent sur les nombreux îlots avoisinants : eiders et bernaches s’y abritent. Les phoques, eux, peuplent de petits icebergs et complètent toute la richesse du site.

18 juillet : Glacier de Monaco

Nous serons arrivés alors sur la côte Nord-Ouest, où les pics éclatés et les glaciers forgent les paysages spectaculaires de la Terre Albert 1er : les expéditions du « Prince Navigateur » s’y déroulèrent entre 1896 et 1907.

Il donna ainsi le nom de la Principauté au glacier coulant dans le Liefdefjord (ou Fjord de l’« Amour »). L’entrée du Woodfjord est réputée pour ses bois de flottage à perte de vue, les couleurs pourpre de ses montagnes du dévonien et ses cétacés. La toundra du Reinsdyrflya présente une flore et des oiseaux remarquables.

Plusieurs huttes de trappeurs rappellent l’Histoire des lieux. Les ours sont présents en nombre sur les îles de la région. Le volcanisme se manifeste par des sources chaudes. Plus loin, le Raudfjord - le premier exploré en 1596 par l’expédition de Willem Barents - offre de superbes panoramas de glaciers.

Nous prendrons alors la direction du Glacier Erik, se jetant dans un lac glaciaire. Navigation en canot devant le front du glacier et les moraines de l’Erikbreen.

LE SAVIEZ-VOUS ? surnommé « le Prince savant » ou « le Prince des Mers », le Prince Albert Ier de Monaco (1848-1922), fut le 11ème représentant de la Maison Grimaldi. Né à Paris, il s’oriente vers une carrière de navigateur. Il sert ensuite dans la marine espagnole, avant de rejoindre la marine française en mer du Nord pendant la guerre de 1870. Son œuvre scientifique lui a valu une renommée internationale reconnue par son élection le 27 avril 1891 à l’Académie des Sciences. Pionniers de la recherche océanographique, il y a consacré, à partir de 1885, près d’une trentaine d’expéditions (biologie des profondeurs, première carte bathymétrique). Témoignent de cette passion la

création à Monaco, du Musée océanographique et, à Paris, de L’Institut Océanographique, en 1911.

19 juillet : Les Sept-Îles et la Banquise

Par plus de 80° de latitude Nord, un archipel étend ses îles où les morses et les ours sont les plus nombreux... Nous rejoindrons les déserts froids de la côte Nord puis l’Archipel des Sept-Îles, les terres les plus septentrionales du Spitzberg.

Les macareux et mergules trouvent refuge sur ces îles. Nous pourrons même peut-être observer la rarissime baleine franche.


C’est là que le jeune Horatio Nelson (1758-1805), futur vainqueur de la flotte française à Trafalgar (1805), débuta en tant qu’Officier de l’expédition de l’explorateur anglais Constantine John Phipps, en 1773.

La Banquise sera alors toute proche. Cap au Nord, vers sa limite, où rôdent les ours blancs, en quête des phoques qui se reposent sur les plaques de glace.

20 juillet : La Banquise

La Banquise n’est pas un grand plateau blanc uniforme. Les mouvements dus aux vents et aux courants marins amènent la formation de crêtes de compression aux formes diverses. Durant cette

journée, nous naviguerons en lisière de Banquise, entre ses plaques de glace lâches et entrechoquées. Nous rencontrerons certainement quelques ours. Nous effectuerons une mini-croisière en canot à moteur et tenterons même de débarquer sur une plaque de glace, en compagnie de nos Guides, Naturalistes et Glaciologues. Vous saurez, ainsi, tout de l’exceptionnel milieu naturel de la glace de mer.

Nous espérons aussi pouvoir observer en votre compagnie la très rare mouette blanche et des phoques du Groenland.

21 et 22 juillet : La Terre du Nord-Est, Edgeøya et Barentsøya

Ces îles sont riches de l’Histoire des trappeurs et baleiniers qui s’y installèrent il y a quatre siècles. Edgeøya et sa côte Est sont réputées pour la grande calotte qui se jette en mer. Les affleurements basaltiques hébergent quelques colonies d’oiseaux et une hutte de trappeurs, qui ont hiverné ici, entre 1967 et 1969. Le lieu est particulièrement réputé pour les ours blancs. L’Île de Barentsøya est, elle, l’île la plus couverte de glaciers (43 % de sa superficie). Malgré cela, elle abrite une faune extrêmement variée : colonies d’oiseaux,

ours blancs, renards polaires ou même rennes du Spitzberg, nombreux à cette époque de l’année.

Dans les eaux du Sud du Détroit de Hinlopen, nous guetterons les baleines, nous débarquerons dans le désert froid de la Baie de Vibe (il n’y tombe que 200 mm de pluie par an !), nous approcherons une colonie de morses.

En fonction des glaces, nous longerons une partie de la plus grande barrière de glace - longue de 160 km - de l’Hémisphère Nord et naviguerons à travers la Banquise, à la rencontre d’ourses et de leurs jeunes. En effet, les deux grandes îles offrent un


lieu de reproduction privilégié pour les ours, tandis que le Storfjord, tout proche constitue un lieu de rassemblement des phoques.

Sur ces vastes îles, en ce mois de juillet (le plus agréable et la période idéale pour visiter le Spitzberg), la toundra fleurit et s’anime : les oiseaux et les rennes y forment légion. Les morses s’y reposent sur deux plages. Dans une gorge abrupte, les mouettes se reproduisent sous l’œil gourmand du renard polaire.

Si les glaces le permettent, nous irons vers le grand front de glaces du Negribreen qui coule depuis la calotte centrale.

23 et 24 juillet : Hornsund et Bellsund

Retour vers le Sud. Arrivée dans le Hornsund, où culmine l’un des plus hauts sommets de l’archipel, à 1.461 m d’altitude... au pied du fameux Hornsundtid, le système des 5 Glaciers de Brepollen se jette dans la mer. Il s’agit du Fjord le plus englacé et le plus spectaculaire de l’Archipel du Spitzberg, réputé pour ses grandes colonies d’oiseaux. Ours et phoques se promènent souvent entre les icebergs.

Découverte du Fjord de Mayer.

En raison de sa situation méridionale, le fjord témoigne de l’Histoire dense des Terres Polaires, où baleiniers et trappeurs ont laissé leurs empreintes. En soirée, nous débarquerons près de la base scientifique polonaise, installée là depuis 1932. Une introduction à ses travaux nous y sera présentée. D’immenses colonies de mergules - cet oiseau marin de la taille d’une merle est particulièrement répandu au Spitzberg - ils sont 2 millions à peupler les éboulis proches.

Dans le pays des Fjords de Bellsund, nous découvrirons l’Histoire des expéditions françaises du XIXe siècle, les restes des massacres de baleines perpétrés par les Norvégiens, les vestiges des exploitations de

mines d’or... après la glace, la Nature reprend ses droits, avec les toundras estivales riches de fleurs, de rennes et de colonies de milliers d’oiseaux.

Dernières opportunités d’échanges de coordonnées avec les autres voyageurs. Dernières discussions avec les Guides et Naturalistes de votre voyage.

Dîner de l’au-revoir à bord de l’Ortelius.

25 juillet : Longyearbyen - Paris

Débarquement à Longyearbyen, vers 9 h. Matinée libre pour les achats et la visite des Musées. Départ pour l’aéroport et vol direct à destination de Paris, où nous atterrirons vers 17h30.


PLACESLIMITÉES !


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Les bateaux de croisières modernes ont des coques de 6 à 8 mm d’épaisseur, pour alléger les charges et les coûts. La glace pouvant déchirer de telles coques, ces bateaux voient leurs aires de navigations de plus en plus restreintes. L’Organisation Maritime Mondiale a mis en place un Code Polaire, très restrictif. Dans cet environnement polaire, les yachts ou paquebots ne peuvent jamais égaler les navires taillés pour les glaces. Le navire polaire Ortelius est un véritable brise-glaces, moderne et agréable, le meilleur et le seul de sa catégorie, au Spitzberg. Il monte littéralement sur la glace pour l’écraser de tout son poids et se frayer un passage. C’est ainsi que nous vous faisons véritablement connaître la Banquise et pénétrer les lieux les plus secrets du Grand Nord. « On ne visite pas le désert en limousine et l’on ne navigue pas dans les glaces en paquebot ». Navire moderne et confortable, une flotte de zodiacs pour aborder presque partout... l’Ortelius constitue le choix idéal, sans égal au Spitzberg. Anciennement consacré aux recherches scientifiques de l’Académie de Russie, il a été totalement réaménagé en 2011 par une compagnie néerlandaise, pour offrir 53 cabines à ses 100 Hôtes privilégiés. Toutes extérieures, les cabines bénéficient au moins de 2 hublots ou fenêtres. À bord, vous retrouverez l’Équipe TMR. Vous serez également accueillis par le Chef d’Expédition, 9 spécialistes polaires (Guides, Conférenciers, Naturalistes, Glaciologues) et 34 Membres d’Équipage. Sur cette croisière 100 % TMR qui est la vôtre, la passerelle du Commandant vous est ouverte.

• 116 Voyageurs.• 53 cabines extérieures avec vue privée (2 hublots ou 2 fenêtres).• Téléviseur écran plat.• 2 Restaurants.• Bibliothèque.• Salle de Conférences.

• Bar.• Clinique.• Sauna.• 10 Zodiacs pour les sorties.

• 4.090 tonnes.• 90,95 m de long.• 34 Membres d’Équipage.• 17,2 m de large.• 14,5 nœuds (26,5 km/h) en vitesse maximale.• 5,4 m de tirant d’eau.• 4 canots de sauvetage.

Cabine extérieure supérieureavec fenêtres, pont 5.

Cabine extérieure luxeavec fenêtres, pont 5.

Cabine extérieure standardavec hublots, pont 3.

Cabine extérieure intermédiaireavec hublots, pont 4.

PONT 5 PONT 6 PONT 7

PONT 4

PONT 3

pass

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bibliothèque

galerie

restaurants

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hallréception

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salons

VOTRE NAVIRE : L’ORTELIUS

Véritable brise-glaces, moderne et agréable, l’Ortelius est le spécialiste du Spitzberg : le choix idéal pour ces navigation exigeante et mener à bien cette exploration-événement. Toutes les cabines possèdent au minimum 2 hublots ou fenêtres. Le navire dispose de larges ponts extérieurs, mais aussi deux restaurants, un bar, une grande salle de conférence, une bibliothèque, un sauna… De quoi profiter pleinement de votre voyage !

« Cette expédition française au Spitzberg renoue avec les grands Voyages TMR. Nous vous proposons cette formule unique, une croisière inoubliable, réalisée à la période idéale, en petit comité, à bord d’un navire sûr et agréable... plus conviviale, confortable, émouvante, écologique, dépaysante, enrichissante... cette croisière est la plus belle que l’on puisse imaginer, à ne manquer sous aucun prétexte !

Jean-Maurice RavonDirecteur de TMR


• Le Spitzberg constitue ainsi le meilleur moyen de découvrir le monde polaire, a fortiori le plus exhaustif et le plus confortable.

• D’autant plus agréable que nous vous proposons aussi un vol direct Paris Q Longyearbyen.

• Un Voyage rare, à réaliser au moins une fois dans sa vie !

L’ORTELIUS, MAÎTRE DES GLACES !

ÉQUIPEMENT D’EXPÉDITION

Bottes de caoutchouc

Lunettes de soleilet crème solaire

Jumelles et appareil photo en bandoulière

Chapka ou bonnet chaud couvrant les oreilles

Cache-nez

Gants imperméables

Sur-pantalon imperméable

Parka chaude imperméable

3 couches de vêtementssuperposés

L’ÉQUIPEMENT IDÉAL

Durant l’été polaire, il est rare que le thermomètre descende sous 0° C. Cependant, l’exposition aux températures fraîches et les sorties en canot donnent une sensation de température pouvant atteindre - 5° C. Votre équipement doit donc se calquer sur vos tenues hivernales. Les bottes en caoutchouc sont utiles en excursion (dans les canots, elles faciliteront vos débarquements et vous protégeront des éventuelles projections d’eau ; à terre, elles vous permettront de marcher, le cas échéant, sur les terrains spongieux). Le meilleur choix est celui d’une paire de bottes à semelle crantée, arrivant au-dessus du mollet. Prévoyez une pointure suffisante, afin de pouvoir y glisser vos pieds dans de grosses chaussettes. Un coupe-vent et un pantalon étanche sont aussi indispensables. En la matière, il faut privilégier les couleurs vives, car elles n’effraient pas la faune polaire. Le meilleur moyen de se prévenir du froid consiste à se vêtir en « pelure d’oignon » (couches superposées). Prévoyez donc également quelques vêtements légers sous votre parka. Comme nous perdons 50 % de notre température corporelle par la tête et les mains : un bonnet ou autre couvre-chef chaud, ainsi qu’une paire de gants étanches sont nécessaires. Enfin, pensez à emporter un cache-nez, des lunettes de soleil et de la crème solaire (écran total). Un petit sac à dos est idéal pour transporter vos affaires en excursion. À bord de votre navire, la tenue de mise est décontractée et vous pourrez porter des chaussures de ville ou légères.

N’oubliez surtout pas vos caméras, appareils photos et jumelles pour observer oiseaux, ours et baleines !

TMREST VOTRE GUIDE !


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Dressée par nos Naturalistes, voici la liste de tous les animaux que vous pourrez peut-être observer :

Mammifères terrestres :. Ours polaire. Renne du Svalbard. Renard polaire. Campagnol des champs

Mammifères marins :. Morse. Phoque annelé. Phoque barbu. Phoque commun. Phoque du Groenland. Phoque à capuchon. Baleine du Groenland (baleine franche). Baleine bleue (rorqual bleu). Rorqual commun. Baleine à bosse (mégaptère). Baleine de Minke (petit rorqual). Bélouga. Narval (licorne de mer). Cachalot

. Hyperoodon boréal Orque (épaulard)

. Globicéphale noir (cauldron)

. Dauphin à bec blanc

Oiseaux :. Oie à bec court. Bernache cravant. Bernache nonnette. Eider à tête grise. Eider à duvet. Harelde de Miquelon. Plongeon catmarin. Plongeon imbrin. Pétrel fulmar. Lagopède des Alpes. Pluvier doré. Grand Gravelot. Tournepierre à collier. Bécasseau maubèche. Bécasseau sanderling. Bécasseau violet. Bécasseau variable

. Phalarope à bec étroit

. Phalarope à bec large

. Mouette tridactyle

. Mouette ivoire

. Mouette de Sabine

. Mouette de Ross

. Goéland marin

. Goéland bourgmestre

. Goéland argenté

. Sterne arctique

. Grand Labbe

. Labbe pomarin

. Labbe parasite

. Labbe à longue queue

. Mergule nain

. Guillemot de Brünnich

. Guillemot de Troïl

. Petit pingouin

. Guillemot à miroir

. Macareux moine

. Bruant des neiges

L’OBSERVATION DES ANIMAUX

À chaque mer, à chaque pays, à chaque objectif correspond un choix idéal de navire. La classe polaire et la capacité réduite de l’Ortelius vous permettront d’observer les animaux dans les meilleures conditions : au-delà, il n’est pas envisageable de s’approcher d’un phoque ou d’un ours se reposant sur la Banquise. À bord de l’Ortelius, le salon d’observation vous offre le meilleur point de vue. Munis de vos jumelles et appareils photos, vous admirez le spectacle extérieur, entre amis, et un verre à la main. Vous assistez aux conférences de nos spécialistes, ateliers photo, présentations d’excursions ou de navigation… En outre, afin que ce voyage soit pleinement le vôtre, la passerelle de commandement vous est ouverte 24 h sur 24 h.

Les ours blancs et les morses seront notre objectif principal.

La faune du Spitzberg a été protégée, à partir de 1952. De nombreuses réserves naturelles et parcs nationaux couvrent 65 % de l’archipel.

Le centre, l’Est et les îles du Nord-Est sont le domaine des glaces. L’inlandsis de l’Austfonna (8.300 km²) coule en mer en une barrière de 160 km de glace. La banquise bloque les côtes jusqu’à mi-août. Les glaciers forgent les paysages les plus surprenants, fréquentés par les ours polaires et les morses. Les colonies d’oiseaux y sont spectaculaires et les terres chargées d’histoire.


LE BESTIAIRE ARCTIQUE

Ce voyage privilégie le spectacle de la Nature et vous offre d’abord et avant tout un inoubliable « Safari » dans le Grand Nord, là où la faune est la plus riche : le Spitzberg...

Au Spitzberg , l ’ours blanc est protégé, depuis 1973. C’est pourquoi vous pourrez en observer, peut-être une dizaine, dans les meilleures conditions.

Les morses y sont protégés depuis 1952, leur population actuelle se monte à 3.000 individus, et augmente chaque année.

Au Spitzberg, les grandes baleines et les baleines blanches sont régulières.

Les populations de narvals, animaux très farouches, sont observées exceptionnellement.

Le Spitzberg est extrêmement riche en colonies d’oiseaux, grâce à l’influence du Gulf Stream, très tôt dans l’année.

Il n’y a pas de moustiques au Spitzberg, alors qu’ils constituent une véritable plaie dans les autres régions polaires, en été.

13- le narval (licorne de mer) 14- le macareux moine 15- la mouette blanche 16- l’oie de bernache

9- le lagopède des Alpes 10- la baleine à bosse 11- le bélouga 12- le morse

5- le renard polaire 6- les guillemots 7- la mouette tridactyle 8- l’orque (épaulard)

1- l’ours polaire 2- le phoque barbu 3- le renne du Spitzberg 4- le bruant des neiges

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LE BESTIAIRE ARCTIQUE


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