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À l’aide, mon enfant est doué ! aborde, dans une formule dynamique, les principales questions relatives à l’encadrement de l’enfant doté de capacités particulières et les moyens de l’accompagner le plus adéquate-ment possible, à l’école comme à la maison.

>> Qu’est-ce que le quotient intellectuel ?

>> Qu’est-ce que l’effet Pygmalion ?

>> Quelles sont les caractéristiques typiques du jeune enfant doué ?

>> Comment stimuler l’enfant doué ?

>> Comment favoriser l’entente entre l’enfant doué et ses frères et sœurs ?

>> À quoi l’enfant doué peut-il s’attendre de l’école primaire ?

>> Quels sont les avantages et problèmes possibles à l’école ?

>> Existe-t-il des moyens d’aider l’enfant doué, même en classe régulière?

… et de nombreuses autres questions !

Gisèle Séguin est l’auteure de deux ouvrages sur la gemellité. Elle s’intéresse également au phénomène de l’intelligence. Ayant eu un parcours scolaire qui, malgré le « saut » d’une année, ne comportait pas toujours de défis, elle a été admise à la Société Mensa (associa-tion de gens au QI élevé). Ses trois enfants ayant vécu des parcours scolaires similaires au sien, elle a été appelée à stimuler autre-ment leur intérêt et à les soutenir. Elle offre ici sa perspective de parent.

QUESTIONSRÉPONSESpour les parents


À l’AIdE, MON enfant

ESt Doué !Perspective de parent

À l

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Gisèle Séguin

ISBN 978-2-89619-682-1

Couv_QR_L'enfant_doué.indd 1 2014-07-08 15:12

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À l’aide, mon enfant

est DOUÉ !PersPective de Parent

A_l'aide_enfant_doue.indd 1 2014-07-08 15:10

À l’aide, mon enfant est DOUÉ !

PersPective de Parent

Gisèle Séguin


La Fondation de l’Hôpital Sainte-Justine remercie les généreux donateurs qui ont contribué au projet UniverSanté des familles et qui ont permis de réaliser cette nouvelle collection pour les familles.

Merci d’agir pour l’amour des enfants !

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives CanadaSéguin, Gisèle

À l’aide, mon enfant est doué! : perspective de parent(Questions réponses pour les parents)Comprend des références bibliographiques.ISBN 978-2-89619-682-11. Enfants surdoués - Miscellanées. I. Titre. II. Collection : Questions réponses pour les parents.

HQ773.5.S43 2014 649’.155 C2014-941499-4

Conception graphique : Nicole TétreaultPhoto de la couverture : Iurii Koroliak - 123RF Diffusion-Distribution : au Québec – Prologue inc. en France – CEDIF (diffusion) – Daudin (distribution) en Belgique et au Luxembourg – SDL Caravelle en Suisse – Servidis S.A.

Éditions du CHU Sainte-Justine 3175, chemin de la Côte-Sainte-Catherine Montréal (Québec) H3T 1C5 Téléphone : (514) 345-4671 • Télécopieur : (514) 345-4631 www.editions-chu-sainte-justine.org

©Éditions du CHU Sainte-Justine, 2014 Tous droits réservés ISBN : 978-2-89619-682-1 (imprimé) 978-2-89619-683-8 (pdf) 978-2-89619-684-5 (ePub)

Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2014 Bibliothèque et Archives Canada, 2014

Membre de l’Association nationale des éditeurs de livres


À tous les parents qui vivent l’heureux « problème » d’avoir un enfant doué...

et à ces enfants qui, comme tous les autres, méritent notre attention et notre amour.


Sommaire

Introduction ..................................................................9

Interrogations et signaux .........................................13

} Comment définir l’intelligence ? ..........................13} Qu’est-ce que le quotient intellectuel ? .................15} Comment détermine-t-on le QI

d’une personne ? ................................................... 17} Qu’est-ce que l’effet Pygmalion ? ..........................18} La vivacité intellectuelle d’un enfant

est-elle prédéterminée ? ........................................19} Je trouve que mon enfant est doué.

L’est-il effectivement ? ............................................20} Quelles sont les caractéristiques typiques

du jeune enfant doué ? ..........................................22

L’enfant doué à l’école ...............................................27

} Est-ce plus facile de détecter la facilité d’apprentissage de l’enfant qui est à l’école ? ......28

} À quoi l’enfant doué peut-il s’attendre de l’école primaire ? ..............................................29

} Quels sont les avantages possibles de l’enfant doué à l’école ? .........................................32

} Quels sont les problèmes possibles de l’enfant doué à l’école ? .........................................33


8 Questions/Réponses pour les parents

} Mon enfant potentiellement doué semble malheureux à l’école. Que puis-je faire ? .............42

} Existe-t-il des moyens d’aider l’enfant doué, même en classe régulière ? ....................................44

} Quel impact aura l’engagement du parent à l’école ? ...................................................................53

L’enfant doué à la maison ..........................................55

} Comment stimuler l’enfant doué ? ........................56} Comment fournir un encadrement

particulier ? .............................................................60} Quel est le rôle du parent et quels pièges

doit-il éviter ? ...........................................................62} Comment favoriser l’entente entre l’enfant

doué et ses frères et sœurs ? ...................................67} Et l’avenir ? ..............................................................69

Pour en savoir plus ....................................................71

Quelques ressources sur le web ...............................72


9À l’aide, mon enfant est doué !

Introduction

Plusieurs parents sont subjugués de constater la rapidité et la facilité avec laquelle leur jeune enfant traverse les différentes étapes de son développement. Les enfants sont effectivement très impressionnants! Il faut cependant avouer que les parents ne sont pas tout à fait neutres. Leur amour sans bornes, teinté d’admiration et de fierté, les porte souvent à considérer leur enfant comme le « meilleur » ! Il est possible qu’il soit effectivement plus « avancé » que les enfants du même âge que lui. Que faire dans ce cas ? Entre ignorer les capacités de l’enfant et les faire valoir à l’entourage, plusieurs parents choisissent de se taire et restent aux prises avec leurs questionnements et leurs doutes.

Leur choix est généralement motivé par la crainte de la réaction des gens. La norme sociale semble effectivement dicter que tout le monde doit se trouver sur un pied d’égalité, sans plus. Tant et si bien que toute réussite paraît louche. La fierté et l’orgueil, même justifiés, sont habituellement mal perçus. Cette conception semble être solidement ancrée dans les mentalités de plusieurs pays du monde. Cela explique, en partie, le malaise, la jalousie ou l’incrédulité qu’éprouve l’entourage lorsque des parents vantent leurs propres enfants.

Pourtant, les enfants brillants qui se distinguent de leurs pairs ont toujours existé. Que doit-on faire devant ces « petits génies » ? Se comporter comme s’ils n’exis-taient pas ou, à l’inverse, les mettre sur un piédestal et les couvrir d’attentes irréalistes ? Certains voient les



capacités de ces enfants comme un handicap, d’autres comme une chance. Il y a autant de réactions qu’il y a d’individus.

Il est difficile d’évoquer le sujet même en milieu éducatif. Suzanne Tremblay, directrice d’école à la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys, conféren-cière et conseillère en matière de douance, fait partie de la poignée de pédagogues québécois qui s’intéresse au phénomène. Selon elle, les élèves qui jouissent de capacités intellectuelles exceptionnelles sont l’objet de tabou : « Des gens m’appellent pour me dire: “ J’ai un problème, mon enfant est surdoué. ” Pourtant, per-sonne ne va m’appeler pour se plaindre que son enfant excelle en musique ou dans les sports1. »

Comment reconnaître un enfant plus doué que les autres ? Comment intervenir auprès de lui afin de l’encourager à développer son plein potentiel ? À quoi s’attendre de l’école ? Quel sont les comportements à privilégier ? Laissés à eux-mêmes, les parents ignorent comment obtenir le soutien auquel leur enfant a droit. Pourtant, comme tous les enfants, celui qui est doué mérite une attention particulière afin de bien déve-lopper ses talents et ses intérêts.

Dans les pages qui suivent, nous explorerons diffé-rentes facettes de cette réalité du point de vue du parent. Notre réflexion portera sur les enfants qui possèdent des capacités intellectuelles ou académiques supérieures à la moyenne. Certains les décrivent comme des enfants « précoces ». Ce terme laisse supposer qu’éventuellement,

1. www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/200911/20/01-923592-tourner-le-dos-aux-surdoues.php [consulté le 27 juin 2014].



ils seront « rattrapés » par les autres enfants, ce qui peut porter à confusion. L’enfant au fort potentiel intellectuel dont il est question ici est, pour nous, un enfant doué. C’est donc ce terme que nous utiliserons le plus souvent dans ce livre, qui cherche à outiller les parents désireux d’épauler leur enfant, à la maison comme à l’école.


Interrogations et signaux

Par définition, l’enfant doué a un don ou des aptitudes particulières. Il peut, par exemple, faire preuve d’une vivacité intellectuelle, d’une motricité fine impression-nante, d’un altruisme inné, d’une agilité physique ou encore d’un rythme et d’une mémoire musicale tout à fait remarquables. Comme il se distingue par son talent ou ses capacités, il peut paraître « hors norme ».

À partir de quel âge pouvons-nous vraiment présumer d’une précocité particulière ? Il est difficile de se pro-noncer, même si on peut établir que l’enfant doué ne le devient pas soudainement à son entrée à l’école. En effet, les parents éveillés à cette possibilité se rendent souvent compte que certains comportements typiques auraient pu leur mettre la puce à l’oreille dès la petite enfance. Lorsque, par exemple, l’enfant d’âge scolaire passe un test de QI confirmant une intelligence au-dessus de la moyenne, ils se rappellent certains com-portements et les voient d’un nouvel œil.

} Comment définir l’intelligence ? Selon Howard Gardner, psychologue américain à

l’origine de la théorie de l’intelligence multiple, dif-férentes formes d’intelligence cohabitent souvent chez un même individu. L’enfant doué peut donc présenter des aptitudes diverses. Il est d’ailleurs assez rare qu’il n’y ait chez lui qu’une seule forme d’intelligence.



En voici un bref résumé :

› L’intelligence logicomathématique représente la capacité de calculer, d’utiliser une pensée logique pour arriver à des conclusions. L’enfant doué trou-vera des réponses à des problèmes mathématiques intuitivement sans nécessairement pouvoir expliquer son raisonnement. L’enfant appréciera les sciences, les jeux de chiffres, de logique.

› L’intelligence linguistique permet d’exprimer clai-rement les pensées et les émotions. Les enfants qui possèdent cette forme d’intelligence joueront avec les mots instinctivement et auront un don pour apprendre facilement de nouvelles langues. Ils s’amu-seront avec les mots croisés, les rimes, le Scrabble®.

› L’intelligence musicale peut être perçue comme une pensée presque parallèle à celle de l’intelligence linguistique. Les enfants qui possèdent ce type d’intelligence reconnaîtront, apprécieront et com-poseront aisément des rythmes et des mélodies. Ils apprendront facilement à jouer d’un instrument de musique.

› L’intelligence spatiale facilite la représentation spatiale des personnes et des objets dans l’environ-nement. Les enfants qui en sont dotés peuvent, par exemple, imaginer différentes formes en trois dimensions et avoir un bon sens de l’orientation. Ils sont habituellement passionnés par les jeux tels que le classique Tétris®.

› L’intelligence corporelle-kinesthésique implique la faculté d’utiliser son corps pour exprimer une idée,



un sentiment. Les enfants qui en bénéficient adorent danser ou démontrent d’excellentes capacités athlé-tiques, notamment.

› L’intelligence interpersonnelle sous-entend la capa-cité de bien comprendre l’entourage, de deviner instinctivement les intentions, motivations, besoins et désirs des autres. Charismatiques, empathiques et tolérants, les enfants qui possèdent ce type d’intel-ligence sont des leaders naturels.

› L’intelligence intrapersonnelle réfère à la capacité de bien se connaître soi-même. Les enfants ayant ce trait de caractère sont à l’écoute de leurs besoins, comprennent leurs limites, leurs peurs ou leurs défauts. Intuitifs, ils ont le sens de l’autocritique, aiment apprendre et cherchent à s’améliorer.

Comme chaque enfant est unique et qu’il existe plu-sieurs sortes d’intelligence, certains enfants présentent plusieurs de ces caractéristiques alors que d’autres, pourtant doués aussi, n’en présentent que quelques-unes. Voyant leur enfant évoluer quotidiennement, les parents sont habituellement capables de reconnaître en lui un petit quelque chose de spécial, dans un domaine ou un autre.

} Qu’est-ce que le quotient intellectuel ? Le quotient intellectuel1 (QI) d’un enfant s’établit

en comparant son potentiel intellectuel (linguistique, spatial ou logicomathématique) à celui d’autres enfants ayant le même âge.

1. www.douance.be/douance-tests-questions.htm [consulté le 27 juin 2014].



Ce sont les formes d’intelligence qui sont mesurables.

Un des tests les plus utilisés pour y parvenir a été déve loppé par David Wechsler. La version WISC-IV (pour Wechsler Intelligence Scale for Children) peut être employée par les enfants à partir de l’âge de 6 ans. D’autres tests2 peuvent donner des résultats quelque peu différents.

La valeur moyenne du QI est de 100. Dans une popu-lation générale en bonne santé, il se répartit selon la courbe de Gauss.

insuffisancementale 2,3 %

intelligencefaible

13,6 %

moyennebasse34,1 %

moyennehaute34,1 %

grandeintelligence

13,6 %

55 70 85 100 115 130

70

145 160

intelligencesupérieure

2,1 %

classe dessurdoués

0,13 %

QI d’Albert Einstein

Environ 70 % de la population a un QI qui se situe entre 80 et 120. On parle d’intelligence faible lorsque le QI est inférieur à 80. On remarque donc qu’environ 13 % de la population a une intelligence plus faible tandis qu’à l’opposé, le même pourcentage est considéré comme ayant une « grande intelligence ». Environ 5 % des individus possède une intelligence supérieure, démontrant un QI de 125 ou plus. Les personnes douées ont un QI de 130 et plus. Elles ne sont donc pas légion.

2. http://gappesm.net/QI/Tests/


À l’aide, mon enfant est doué ! 17

} Comment détermine-t-on le QI d’une personne ? Un psychologue, de préférence spécialisé dans ce

domaine, doit procéder à un test. Les résultats de l’exa-men classique établissent le rapport entre l’âge « mental » et l’âge réel, multiplié par 100. Disons, par exemple, qu’on pose une série de questions à un enfant de 10 ans en mettant à l’épreuve sa capacité à résoudre des problèmes. Ses résultats sont ensuite comparés à ceux issus d’un échantillonnage d’enfants. Si la plupart des enfants ayant fourni une réponse identique avaient 12 ans, on conclut que le sujet est plus rapide dans la compréhension et les raisonnements que les autres enfants de son âge. Il a donc un potentiel intellectuel plus grand que la moyenne. Cet enfant a un âge mental de 12 ans, malgré qu’il n’en ait que 10. Son QI sera fixé à 120 (12/10 × 100).

Le résultat du test reste assez stable tout au long d’une vie puisqu’il exprime un degré de potentiel intellectuel et non la somme des connaissances. Il faut con sidérer que le résultat peut être faussement bas si certaines conditions ont influencé l’individu lors de l’examen. Des enfants perfectionnistes peuvent notamment prendre « trop » de temps pour répondre aux questions, obtenant ainsi des résultats biaisés. D’autres enfants, très éner-giques ou hyperactifs, peuvent avoir de la difficulté à se concentrer lors d’un examen si rigide. Dans pareil cas, les résultats obtenus ne reflèteront pas non plus la réalité. Ce genre d’examen fait aussi en sorte qu’on ne peut pas surévaluer le potentiel.

Il est relativement rare qu’on sache officiellement le résultat du QI d’une personne. Habituellement, un



enfant passera un test de QI après son entrée à l’école, principalement si on observe chez lui des résultats ou un comportement inusités, s’il est différent des autres, s’il semble quelque peu inadapté ou encore s’il s’embête en classe. Souvent, les résultats obtenus confirment simplement ce qu’on savait déjà.

Ce test sera effectué si on envisage de faire « sauter » une classe à un enfant ou encore si les parents demandent une dérogation permettant à celui-ci de débuter son parcours scolaire plus tôt.

Les personnes présentant un QI « hors norme », que ce soit en dessous de 70 ou au-dessus de 130, ont un mode de fonctionnement différent de celui de la majo-rité de la population. Il va sans dire qu’ils risquent, les uns comme les autres, de ne pas trouver leur compte dans un système scolaire qui est conçu pour la majorité des enfants.

} Qu’est-ce que l’effet Pygmalion ? Robert Rosenthal, psychologue américain, a mis au

jour l’effet Pygmalion, c’est-à-dire l’autoréalisation positive ou négative, grâce à une expérience particu-lière. En début d’année scolaire, les élèves d’une école avaient subi un test d’évaluation de QI et une liste d’élèves identifiés comme « précoces » avait été transmise aux professeurs. En réalité, la liste regroupait des noms d’enfants choisis au hasard, sans lien avec leurs résultats. À la fin de l’année, tous les élèves présentés comme « précoces », à tort ou à raison, avaient fait des progrès significatifs lorsqu’on leur avait fait repasser le même test.


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À l’aide, mon enfant est doué ! aborde, dans une formule dynamique, les principales questions relatives à l’encadrement de l’enfant doté de capacités particulières et les moyens de l’accompagner le plus adéquate-ment possible, à l’école comme à la maison.

>> Qu’est-ce que le quotient intellectuel ?

>> Qu’est-ce que l’effet Pygmalion ?

>> Quelles sont les caractéristiques typiques du jeune enfant doué ?

>> Comment stimuler l’enfant doué ?

>> Comment favoriser l’entente entre l’enfant doué et ses frères et sœurs ?

>> À quoi l’enfant doué peut-il s’attendre de l’école primaire ?

>> Quels sont les avantages et problèmes possibles à l’école ?

>> Existe-t-il des moyens d’aider l’enfant doué, même en classe régulière?

… et de nombreuses autres questions !

Gisèle Séguin est l’auteure de deux ouvrages sur la gemellité. Elle s’intéresse également au phénomène de l’intelligence. Ayant eu un parcours scolaire qui, malgré le « saut » d’une année, ne comportait pas toujours de défis, elle a été admise à la Société Mensa (associa-tion de gens au QI élevé). Ses trois enfants ayant vécu des parcours scolaires similaires au sien, elle a été appelée à stimuler autre-ment leur intérêt et à les soutenir. Elle offre ici sa perspective de parent.



À l’AIdE, MON enfant

ESt Doué !Perspective de parent

À l

’aid

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