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DOSSIER DE PRESSE Galerie JPHT MC Palombit FEMMES SAUVGES Leurs corps comme parcours Vernissage samedi 14 f vrier 2015 18h30 Vernissage s a m e d i 07 m a r s 2015 18h30 Finissage vendredi 13 mars 2015 18h30 Du 15 f é vrier au 13 mars du mercredi au dimanche de 13h à 20h G a l e r i e J P H T 4 rue Saintonge 75003 PARIS

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D O S S I E R D E P R E S S E

G a l e r i e J P H T

M C P a l o m b i t

FEMMES SAUVGES

Leurs corps comme parcours

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G a l e r i e J P H T 4 r u e S a i n t o n g e 7 5 0 0 3 P A R I S

Ce qui frappe dans l ’œuvre de cette art i ste, c’est l ’unité l iée au

thème unique de sa peinture, le corps nu, et à la s ingularité-

virtuosité de son trait. Cette peinture, qui part du dessin, prend

un sens particul ier du fai t des matières-couleurs qui l ’habitent. Le

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selon Walter Benjamin, sont « les éléments de toute peinture qui se

prétend nommable ». E l le atteint ainsi la l iberté totale de peindre.

PALOMBIT, c’est la force primitive de l’art rupestre portée

par la grande tradition de la peinture moderne : La peinture

comme corps.

Phil ippe LOUGUET. Professeur-Chercheur-His tor ien et Cr i t ique d’Art.

www.palombit.com Tél. 06.62.46.02.45

Femmes Sauvages

Leurs corps comme parcours « La Femme sauvage apparaît sous maintes formes, tailles, couleurs et conditions. Restez en éveil, de façon à reconnaître l’âme sauvage sous ses nombreux déguisements. »

Clarissa Pinkola Estés Extrait du chap.7 « Femmes qui courent avec les loups » Ed Grasset et Le livre de poche. Le mouvement de la vie se déploie comme une marche, une marche infinie vers le centre de soi, le point de stabilité ; il trace un « parcours spirale ». Marcher, chuter, se redresser, un rituel des corps en mouvement où le sol, la terre, le feu en sont la matière, puis la fluidité de la marche peut reprendre : marcher, chuter, se redresser … Ce mouvement est-il perpétuel ? Il existe paradoxalement aussi à travers l’arrêt, l’étape, le but atteint car à ce moment là le corps se replie et se retourne. Il va, il vient dans un sens ou dans un autre… Tâtonner, rechercher, renifler, sentir… ici ou là ? Séduisant ou banal ? Escarpé ou plat ? Mon chemin est celui que je choisis. Regard au niveau du sol Qui voit de cette façon là ? L’enfant ? L’animal ? L’homme abattu ? La femme allongée ? La fourmi ou le mille pattes… Le dessin et son trait tracent un mouvement électrocardiogramme, fil conducteur formant des ponts constitués de dalles de corps minéraux, recouvertes de lichens et de braises couleurs de feu ; fluorescences multiples. Ces dalles, se veulent-elles progression et évolution de la femme ? Ces repos, sont-ils des pauses obligatoires, nécessaires aux rotations de ses changements de direction ? Ces chairs parfois incisées de structures osseuses, féminité dans l’abandon mais aussi dans les tensions, dévoilent-elles l’intériorité des constructions archaïques et cosmiques ? Matières organiques Circonvolutions et taches d’étoiles effervescentes tournoient au dessus de ces femmes. Avec leurs corps, ces insectes cherchent éperdument la fusion. Fourmillement d’un membre, remise en mouvement des flux, celui des marées, les vagues claquent le sol à chaque pas. De là, émerge de la terre une vibration irradiant jusqu’au centre de chaque âme, de chaque cellule des entrailles : la matière d’anime. De la profondeur du cratère, du centre, celui de l’œil, du point où tout devient immobile, cette stabilité recherchée exprime l’équilibre des espaces, des humeurs ; temps à peine suspendu pour sentir la perfection, mais cette fois-ci, les pieds sur terre, nus… inexorablement plantés, là.

MC Palombit

S O M M A I R E

02 Tableaux. Série : « Le Parcours » 2011.

Philippe Louguet 04 La peinture comme corps Critique et Historien d’Art

Eric Fouilleul 06 « Faire corps » ou la réalisation

Collaborateur de Palombit d’une œuvre, filmée (I.N.A)

07 Le site de Palombit pour continuer la visite

A01 Les annexes

01

Série : Le Parcours Ces œuvres sont mises en vente pour la première fois. Cette série comme la plupart des autres a d’abord été présentée et scénographiée, avec droit d’exposition, dans des musés comme l’Atelier de Mitry-Mory ou des Biennales comme le 11ème Festival d’Art Contemporain de PERROS GUIREC 2013 où PALOMBIT était l’invitée d’honneur (voir photos page suivante). 6 toiles, ayant déjà été réservées lors de ces présentations, ne seront pas présentes à cette exposition : Parcours jour 21, 22 et 35. Parcours nuit D4, F6 et X24 que vous pouvez voir sur le site de l’artiste.

Le Parcours Jour

Le Parcours Nuit

PARCOURS JOUR 20 et 19 Technique mixte (68x138 chacun)

PARCOURS NUIT Q17 Technique mixte (68x138)PARCOURS NUIT B29 et W23 Technique mixte (68x68)

PARCOURS JOUR 09 et 08 Technique mixte (68x138 chacun)

PARCOURS NUIT F6 Collection privée et D4 Collection privée Technique mixte (68x68)

PARCOURS NUIT N14 Technique mixte (68x138)

02

Expositions de la Série : Le Parcours

L’Atelier Espace Arts Plastique - Mitry-Mory 2013 11ème Festival d’Art Contemporain de PERROS GUIREC 2013 Ce Festival convie chaque année en invité d’honneur un artiste majeur. Les deux derniers en date furent WEISBUCH puis PALOMBIT.

03

Série Enfances – J’ai 7 ans, l’indienne à l’école – 57 x 57 – 2000

Série Les Voiles à l’Espace Gainville – Aulnay sous bois – 2002

Série Indigo – Femme Indigo en solo – 50 x 50 – 2006 – Collection privée

Par Philippe Louguet, critique d’art, d’architecture et de design, historien de l’art, conférencier, professeur chercheur d’architecture et de design, architecte, plasticien. LA PEINTURE COMME CORPS

Ce qui frappe de prime abord dans l'œuvre de Marie-Christine Palombit, c'est la très grande unité. Cette unité est bien entendu liée au thème unique de sa peinture, le corps nu, mais aussi à sa manière propre. En effet, cette peinture, qui part du dessin, prend un sens particulier du fait des matières-couleurs qui l'habitent. Ici, le dessin n'est pas "l'unique trait de pinceau"1 de la calligraphie. Il se situe comme dessin "d'avant le langage"2, échappant à la question de l'écriture. Contrairement à la tradition de la calligraphie, la main qui peint n'est pas celle qui écrit ; elles n'appartiennent pas au même espace-temps. De fait, la série Enfances (2000) fait exception en présentant la seule échappée narrative de la production. Mais le dessin n'est pas non plus le trait totalitaire de la tradition classique dénoncée par Yves Klein3. Au contraire, le trait avance en cherchant la forme, comme s'il façonnait dans l'épaisseur, comme un sculpteur travaille la glaise. La peinture, c'est alors la trace de la quête : il s'agit tout à la fois d'explorer la figure et de "donner corps" à ce qui existe

là. En effet, rien de plus actuel que le corps, thème primordial et définitif de la peinture… et certes, la peinture célèbre traditionnellement les corps. Mais ici, nulle allégorie ni métaphore ; au contraire, c'est le corps dans sa corporéité qui mérite l'attention, on pense à "l'être pommesque de la pomme" selon Cézanne. Ainsi, la tradition à laquelle appartient Marie-Christine Palombit plonge ses racines dans le passé le plus ancestral - d'ailleurs, dans la série Les Voiles (2001-2002) on pense immédiatement à la force primitive de l'art rupestre - et en même temps l'artiste est porteuse de la grande tradition de la peinture moderne, qui se poursuit presque clandestinement, ici comme ailleurs, à l'ère de la domination du Verbe. Chez Marie-Christine Palombit, le corps, c'est la vitalité même : le corps sans organes que célébrait Artaud ; le souffle du vivant. Si "l'art ne reproduit pas le visible, mais rend visible4", ici c'est l'énergie qui s'exprime. Qu'en est-il alors de la vieille opposition entre l'art gestuel et l'art conceptuel ? Au moment du triomphe de l'art

conceptuel, le travail de Marie-Christine Palombit dépasse ce débat. Il ne s'agit plus ici du geste et de sa perfection (l'unique trait de pinceau) ; il s'agit de dépasser le verbe par le recours au vital, à l'énergie comme antériorité à toute gestuelle. C'est la tache qui remplit ce rôle, dont Walter Benjamin révèle la fonction "La tache apparaît principalement sur les êtres vivants". Le rôle de la tache serait donc de renvoyer au vivant. D'où le statut des couleurs : couleurs vitalistes par excellence, on célèbre l'alliance du rouge et de l'or, du bleu, de l'indigo - comme dans la série Indigo (2006), mais aussi de leur entremêlement. Puis, emportées dans ce mouvement vitaliste, toutes les couleurs deviennent permises : les verts, les bruns, etc… Mais aussi, les couleurs se frottent plus qu'elles ne se mélangent. Leur suintement laisse sa trace en tant que taches. Ainsi le trait et la tache se complètent pour rendre visible le corps. Il s'agit cependant du corps comme langage, non pas de l'enveloppe inerte de l'âme, dans la pensée néo-platonicienne de

Site internet : www.palombit.com Contact presse : Eric Fouilleul / Collaborateur : 01 43 85 02 45 – 06 85 18 05 27 – [email protected]

04

Série Les Abstraits – Organique 1 – 52 x 52 – 2007 – Collection privée

Michel-Ange5, mais du corps vivant, fluant. C'est cette énigme que célèbre toute l'œuvre de Marie-Christine Palombit. C'est pourquoi le travail s'oriente vers le fragment. Il s'agit de plus en plus d'échapper au corps comme totalité, de l'ouvrir vers de nouvelles possibilités picturales, en exprimant le mouvement, la fluence par le fragment. En effet, à l'origine - la série Les Dessins (1991 à 1993) - la totalité était conjurée par la répétition et la superposition des différents états du corps, ainsi que c'était parfois le cas fortuitement dans les repentirs de la peinture classique. D'ailleurs, dans cette série on peut voir la virtuosité du trait, dans la grande tradition classique, mais dont la vigueur démontre qu'il ne s'agit plus d'esquisser. Néanmoins, dans les séries suivantes, le dessin s'épaissit en même temps que le corps se fragmente. On sent la volonté de retrouver un dessin primordial, allié au fragment, comme précisément dans la peinture primitive. Il s'agit d'échapper aux contingences par un contenu réellement universel, dont témoignent plusieurs séries : la série Naissances Cosmiques (2004) éclaire rétrospectivement les séries Mémoire de Femmes (2003), mais aussi Lumière Intérieure (2002). Mais il s'agit aussi, d'atteindre à la liberté totale de peindre, comme on peut le voir dans la série Les Abstraits (2007),

où c'est désormais la peinture qui fait corps, dans l'alliance toujours

jouée des taches et de la composition, tant il est vrai que "tache et composition sont les éléments de toute peinture qui se prétend nommable"6. Cette liberté autorise enfin désormais la fragilité. Dans ses dernières séries, Marie-Christine Palombit tient la gageure de faire tenir toute cette force et cette énergie sur un support mince de papier tibétain lama-li, où le geste combiné au hasard, la composition combinée aux taches, construisent définitivement la peinture comme corps.

1 Tel qu'en témoigne, par exemple, le travail de Fabienne Verdier, visible dans son beau livre L'unique trait de pinceau chez Albin Michel. 2 Artaud évoquait "l'état d'avant le langage". Il s'agissait pour lui des danses balinaises. 3 "… j’épouse la cause de la pure couleur, envahie par ruse, occupée et oppressée lâchement par la ligne et sa manifestation : le dessin dans l’art…" Yves Klein, Combat de la ligne et de la couleur, Paris, 1956. 4 Paul Klee 5 "Le corps est la prison de l'âme". Rappelons que dans Les Prisonniers, pour Michel-Ange, le corps sculpté matérialise l'âme, prisonnière du corps, matérialisé pour sa part par la matière du bloc de pierre. 6 Walter Benjamin, Sur la Peinture, 1917

Philippe Louguet Critique d’art, d’architecture et de design, historien de l’art, conférencier, professeur chercheur d’architecture et de design, architecte, plasticien. Philippe Louguet 32 rue Triez – 59290 Wasquehal Tél. : + 33 (0)3 20 98 77 08 – Fax : + 33 (0)3 20 98 02 45 E-mail : [email protected] – Site Internet : www.philippe-louguet.com

Quelques publications : Le Catalogue de l’Exposition d’ AZAMBOURG à Francfort. 2007. Dans la Couleur « la terre est bleue comme une orange » chez Somogy. 2004.

Site internet : www.palombit.com Contact presse : Eric Fouilleul / Collaborateur : 01 43 85 02 45 – 06 85 18 05 27 – [email protected]

Série Les Dessins : Duellité – Duel 2 – 153 x 105 – 1994 – Collection privée

Série Lumière Intérieure – Lumière Intérieure 5 – 67 x 47 – 2002 – Collection privée

05

Par Eric Fouilleul, collaborateur de Palombit.

« FAIRE CORPS » la réalisation d’une œuvre filmée (I.N.A) En 2007 une équipe du centre de formation de l’I.N.A (Institut National de l’Audiovisuelle) a réalisé un film sur le travail de Marie-Christine Palombit. Ce film intitulé « Faire Corps » a été réalisé par Emilie Provansal, Yasmina Farber et Anne Steiger sous la direction de Bernard Monsigny (France 2, Envoyé Spécial, pro CD, etc…). Il met en scène le travail plastique de Marie-Christine Palombit, le geste créateur. Nous y voyons en direct la réalisation totale d’une œuvre, de sa préparation, en passant par l’exécution, à son installation.

Site internet : www.palombit.com Contact presse : Eric Fouilleul / Collaborateur : 01 43 85 02 45 – 06 85 18 05 27 – [email protected]

06

Le site de Palombit Ce site a été créé par Big Youth, entreprise dirigée par 2 jeunes hommes pleins de talent qui ont pour clients Cesaria Evora, Warner Music, Sony BMG music et confrères. www.bigyouth.fr Ils ont proposé à Palombit de lui fabriquer son site. Evidemment, à la vue de leur travail, elle accepta. Si vous voulez continuer la visite des expos et voir toutes les périodes etc. allez sur son site www.palombit.com. Quand vous aurez ouvert les rubriques « les œuvres » ou « les photos », utiliser ◄ ou ► pour choisir les périodes et ■ pour sélectionner les images. Bonne visite.

Site internet : www.palombit.com Contact presse : Eric Fouilleul / Collaborateur : 01 43 85 02 45 – 06 85 18 05 27 – [email protected]

07

ANNEXES

A02 Quelques articles de presse

A06 Photos de l’artiste, libres de droits à

disposition

A07 Expositions personnelles

A08 Expositions collectives

A09 Salons et Biennales

A01

Le Télégramme du 26 octobre 2013 + extrait Le Trégor et Ouest France

A02

Eric Pidérit. L’Hebdo de la Haute Marne du 26 juillet 2009. Pleine page.

A03

Jacques Henry. La Nouvelle République du Centre du 12 juin 2008 p5. A04

AD Architectural Digest. Architecture, Décoration, Arts et Design

n° 72 de février – mars 2008

La maison de l’Architecte d’Intérieur Frédéric Périgot

A05

Toutes les photos du dossier sont libres de droits et mises à disposition (exceptées celles du film et les articles de presse).

A06

Expo à la Java Bleue Paris 2004 Photo Paul Lefoulon

Expo à la Java Bleue – Paris 2004 – Photo Paul Lefoulon A l’Atelier – 2004 – Photo Paul Lefoulon

Collage Urbain de Nuit Sevran 01/01/2011 – 02 : 30 © Photo Claude Abron. www.abron.fr

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A07

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22001111 •• GGaalleerriiee 77’’LL // ŒŒuuvvrreess rréécceenntteess // 22 eexxppoossiittiioonnss // LLEE PPOOUULLIIGGUUEENN ((4444)).. 22000088 •• GGaalleerriiee TTHHEE BBOOXX IINN PPAARRIISS «« DDEESSSSIINNSS 22000088 »» 66 CCiittéé dduu MMiiddii // PPAARRIISS.. •• GGrriissyy ccooddee // 22èèmmee ééddiittiioonn // CCiirrccuuiitt dd’’aarrtt ccoonntteemmppoorraaiinn // GGrriissyy--lleess PPllââttrreess ((9955)).. •• GGaalleerriiee TTHHEE BBOOXX IINN PPAARRIISS «« UUNNEE HHIISSTTOOIIRREE DDEE TTRRAAIITT...... »» 66 CCiittéé dduu MMiiddii // PPAARRIISS.. •• AAccccrroocchhaaggee ddee pprriinntteemmppss // mmaaiirriiee ddee MMOONNTTRREEUUIILL ((9933)).. 22000077 •• EExxppoossiittiioonn «« LLEESS AAMMIISS DDEE GG.. LLAARRGGUUIIEERR »» GGOONNDDRREECCOOUURRTT llee CCHHAATTEEAAUU ((5555)).. •• EExxppoossiittiioonn «« HHIISSTTOOIIRREESS DDEE FFOORREETTSS,, RRËËVVEESS DDEE GGEEAANNTTSS »» ddaannss llee ppaarrcc bboottaanniiqquuee ddee TTAANNCCOOGGNNAAGGUUEETT ((2233)).. •• EExxppoo dd’’ééttéé «« BBiieennvveennuuee àà IIttiinnéérraaiirreess !! »» àà LL’’UUSSIINNEE AA ZZAABBUU // SStt GGeerrmmaaiinn ddeess AAnngglleess ((2277)).. •• BBoouuttiiqquuee dd’’ AARRTTEEMMPPIIOONN «« AARRTTCCOORRPPSS »» VVIINNCCEENNNNEESS ((9944)).. 22000066 •• EExxppoossiittiioonn ddee 2200 aarrttiisstteess FFrraannççaaiiss aauu WWaallddoorrff AAssttoorriiaa ““ PPAARRKK AAVVEENNUUEE SSAALLOONN ”” 331100 PPaarrkk AAvveennuuee NNEEWW YYOORRKK,, UUSSAA.. •• EExxppoossiittiioonn aauu PPaarrcc FFlloorraall ddee PPaarriiss ppaarr llee CCeerrccllee ddeess AArrttiisstteess ddee PPaarriiss.. •• 1166èèmmee CCOOUURR SStt PPIIEERRRREE // PPAARRIISS.. •• AAccccrroocchhaaggee ddee pprriinntteemmppss // mmaaiirriiee ddee MMOONNTTRREEUUIILL ((9933)).. •• GGaalleerriiee MMAARRIIEE DDEEMMAANNGGEE «« LLEESS MMAAIINNSS »» 1122 rruuee BBeeaauuttrreeiilllliiss // PPAARRIISS.. 22000055 •• EExxppoossiittiioonn aauu PPaarrcc FFlloorraall ddee PPaarriiss ppaarr llee CCeerrccllee ddeess AArrttiisstteess ddee PPaarriiss.. •• LLaa MMaaiissoonn ddeess AAvvooccaattss ddee BBOOBBIIGGNNYY ((9933)) GGaalleerriiee SSiimmoonnooffff.. •• EExxppoossiittiioonn «« FFEEMMIINNIINN PPLLUURRIIEELL »» EERRAAGGNNYY ssuurr OOIISSEE ((9955)).. 22000022 •• EExxppoossiittiioonn dd’’eennsseeiiggnneess iimmaaggiinnaaiirreess «« LLEESS AARRTTIISSTTEESS VVOONNTT CCHHEEZZ LLEESS PPSSYY »» PPAARRIISS.. •• EExxppoossiittiioonn «« EETTAATTSS DDEESS CCOORRPPSS »» aaggeennccee dd’’aarrcchhiitteeccttuurree iinnttéérriieeuurree «« EEttaattss ddeess lliieeuuxx »» BBOOIISS--CCOOLLOOMMBBEESS ((9922)).. 22000011 •• CCeennttrree dd’’AArrtt PPllaassttiiqquueess AAllbbeerrtt CChhaannoott «« DDEE LL’’UUNNIIQQUUEE AAUUXX MMUULLTTIIPPLLEESS »» CCLLAAMMAARRTT ((9922)).. 11999999 •• CCoonnccoouurrss IInntteerrnnaattiioonnaall ddee PPeeiinnttuurree CCoonntteemmppoorraaiinnee dduu PPoonntt RRooyyaall àà PPAARRIISS.. DDiippllôômmééee dd’’hhoonnnneeuurr // EExxppoossiittiioonn àà ll’’HHôôtteell dduu PPoonntt RRooyyaall àà PPAARRIISS.. 11999966 •• EEssppaaccee BBEELLLLEEVVIILLLLEE «« LLEE CCOORRPPSS DDAANNSS TTOOUUSS SSEESS EETTAATTSS »» ((ccoommmmiissssaaiirree FF.. PPaarreenntt)) PPAARRIISS.. 11999955 •• AAtteelliieerrss PPoorrtteess OOuuvveerrtteess ddee SSeeiinnee SSaaiinntt DDeenniiss ((9933)).. 11999933 •• EExxppoossiittiioonn ppeerrmmaanneennttee àà llaa ggaalleerriiee PPhhiilliippppee PPaarreenntt // rruuee ddee BBoouurrggooggnnee // PPAARRIISS.. 11999922 •• «« RREEGGAARRDDSS SSUURR LLEE CCOORRPPSS »» àà ll’’OOrraannggeerriiee dduu ppaarrcc ddee VVEELLLLEERROOYY DDEE MMEENNNNEECCYY..

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SALONS ET BIENNALES

2014 • PULS’ART / LE MANS (72) / Manifestation Internationale d’Art Contemporain. 2013 • Invitée d’honneur 11ème Festival d’Art Contemporain « Cap sur les Arts » PERROS GUIREC (22). 2010 • 8ème Festival d’Art Contemporain « Cap sur les Arts » PERROS GUIREC (22). 2008 • Salon Itinéraire « IMAGE DU CORPS » à l’ATELIER / MITRY-MORY (93). • 26ème Biennale de BAUGE (49). 2007 • Invitée d’honneur « 41ème Salon des Arts » de MONTMAGNY (95). • ART V.O / 2ème Foire d’Art Actuel en Val d’Oise sur l’Axe Majeur / CERGY (95). • ART’METZ 7ème édition / Foire Européenne d’Art Contemporain / METZ (57). • 8ème Salon Art et Technologie / lycée Blaise Pascal / ROUEN (76). • Salon « MANGANESE » 9ème salon d’Art contemporain en Val d’Oise / VAUREAL (95). Prix spécial du jury. 2006 • LINEART / GAND / BELGIQUE. • MAC 2000 / Manifestation d'Art Contemporain / Espace Champerret / PARIS. • 25ème Biennale de BAUGE (49). • ART V.O / 1ère Foire d’Art Actuel en Val d’Oise sur l’Axe Majeur / CERGY (95). • 16ème Festival Cour St Pierre / PARIS. • ART’METZ 6ème édition / Foire Européenne d’Art Contemporain / METZ (57). • Salon « MANGANESE » 8ème salon d’Art contemporain en Val d’Oise / VAUREAL (95). 2005 • MAC 2000 / Manifestation d'Art Contemporain / Espace Champerret / PARIS. • PULS’ART / LE MANS (72) / Manifestation Internationale d’Art Contemporain. • Salon « MANGANESE » 7ème salon d’Art contemporain en Val d’Oise / VAUREAL (95). Prix « Eclat International ». • ART’METZ 5ème édition / Foire Européenne d’Art Contemporaine / METZ (57). 2004 • PULS’ART / LE MANS (72) / Manifestation Internationale d’Art Contemporain. 2003 • 48ème Salon de MONTROUGE (92) / Salon Européen des Jeunes Créateurs. • Salon « JEUNE PEINTURE, JEUNE SCULPTURE » COURBEVOIE (92). • 1er Festival d’Art Contemporain « Cap sur les Arts » PERROS GUIREC (22). 2002 • 47ème Salon de MONTROUGE (92) / Salon Européen des Jeunes Créateurs. 2000 • Salon « JEUNE PEINTURE, JEUNE SCULPTURE » COURBEVOIE (92). 1998 • 17ème Salon d’Art Contemporain de MARNE LA VALLEE (94) « Dialogue entre la forme et la lumière ». 1994 • Salon « CONTEMPORAINES » Espace Quai Branly / PARIS. • 13ème Salon d’Art Contemporain de MARNE LA VALLEE (94) « CORPS ET AMES ». 1993 • Salon « CONTEMPORAINES » Grand Palais, PARIS. • Salon « JEUNE PEINTURE, JEUNE SCULPTURE » COURBEVOIE (92). • 12ème Salon d’Art Contemporain de MARNE LA VALLEE (94) « L’APESANTEUR ». 1992 • Biennale des Femmes Peintres et Sculpteurs / Grand Palais / PARIS. • Salon de la Jeune Peinture d’ANGERS (49).

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