Gala reconnaissancePalais Montcalm, 17 mai 2018

Messagede la Présidente-directrice générale et du Président du CA

Comme chaque année depuis maintenant cinq ans, un grand sentiment de fierté nous habite au moment de vous présenter les finalistes de la Soirée des Diamants.

Et comme chaque année depuis maintenant cinq ans, nous sommes impatients de découvrir les histoires palpitantes derrière les projets, petits et grands, qui ont pris vie au CHU au cours des derniers mois.

Et ces projets ont pris vie, car des personnes ont refusé de demeurer les bras croisés : les êtres d’exception que nous célébrons ce soir sont de ceux qui voient les problèmes comme des défis, comme des occasions privilégiées d’améliorer les choses. Ce sont nos héros à nous, car ils ont osé s’engager dans l’action pour changer la donne !

Cette soirée riche en émotions est une occasion unique d’apprendre à mieux les connaître, mais aussi de découvrir de nouvelles facettes de notre grand CHU, de propager et de partager notre fierté.

Au nom des membres du conseil d’administration et des membres de la direction du CHU de Québec-Université Laval, nous tenons à remercier tous ceux qui ont soumis une candidature ainsi que tous ceux qui s’investissent personnellement chaque jour dans leur travail. Nous n’aurions d’ailleurs pas assez d’une année pour présenter tous les « diamants » qui mériteraient de l’être !

Nous tenons également à féliciter chacun des finalistes ainsi que les lauréats de cette cinquième édition des Diamants.

Enfin, merci à nos précieux collaborateurs, aux organisateurs et à nos partenaires financiers qui font de cette soirée un moment magique.

Laissez-vous inspirer et énergiser par ces belles réalisations !

Gertrude Bourdon Gaston Bédard

Table des matières

CATÉGORIE INNOVATIONDiamant innovation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Diamant recherche – relève . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Diamant recherche – carrière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

CATÉGORIE COLLABORATIONDiamant enseignement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Diamant administration et organisation du travail . . . . . . . . . 9

Diamant hommage – héritage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

CATÉGORIE HUMANISMEDiamant engagement bénévole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

Diamant hommage – Fondation du CHU de Québec . . . . . . 13

Diamant femmes ou hommes d’exception 1 . . . . . . . . . . . . . 14

Diamant femmes ou hommes d’exception 2 . . . . . . . . . . . . . 15

Diamant soins et services cliniques 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Diamant soins et services cliniques 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

CATÉGORIE EXCELLENCEDiamant rayonnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

Diamant soutien à l’ensemble des missions . . . . . . . . . . . . . 22

Diamant relève . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

Diamant hommage du conseil d’administration . . . . . . . . . . 26

Pour voir les images de la soirée

Photos : https://www.chudequebec.ca/emplois/soiree-reconnaissance-les-diamants/photos-de-la-soiree.aspxVidéo : https://www.youtube.com/watch?v=iBVz1gGSVIs&feature=youtu.be

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De gauche à droite : Serge Dumont, chercheur; Pierre Gagnon, psychiatre; Lynn Gauthier, chercheure; François Tardif, coordonnateur de recherche.

GAGNANT Création d’une force majeure de recherche en soins palliatifs au Québec

L’accès aux soins palliatifs et de fin de vie (SPFV) représente un défi, puisque le nombre de personnes y ayant recours est en progression constante. Pour faire face à cet enjeu, le CHU et la Maison Michel-Sarrazin ont fondé le premier réseau québécois de recherche en soins palliatifs et de fin de vie (RQSPAL), et ce, grâce au soutien financier du Fonds de recherche du Québec – Santé (FRQS). Ce nouveau réseau agit de concert avec les cliniciens, les décideurs, les responsables du développement des politiques, ainsi que les patients et leurs proches. Ce réseau favorisera le déploiement des meilleures pratiques organisationnelles et cliniques, appuyé par des stratégies de transfert et d’application des connaissances. Ce réseau thématique provincial augmentera de plus la cohésion et la complémentarité des actions, en renforçant la capacité de recherche et en améliorant l’intégration des connaissances dans les pratiques et les politiques. Enfin, ce regroupement va créer un pôle attractif pour les jeunes chercheurs et étudiants au Québec. Des retombées majeures sont à prévoir, tant au niveau de la création des savoirs que de l’accroissement de la qualité des soins auprès des patients. Grâce à ce réseau, le CHU deviendra le leader québécois dans ce domaine.

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FINALISTE La collaboration au cœur d’une thérapie novatrice unique au monde

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FINALISTE Optimisation du suivi du patient à la clinique du diabète de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus

De gauche à droite, assis : Frédéric Arsenault, médecin nucléiste; Jean-Mathieu Beauregard, médecin nucléiste, instigateur principal du projet; François-Alexandre Buteau, médecin nucléiste; Chantal Alain, chef d’unité 13 500. De gauche à droite, à l’arrière : Annie Turmel, chef de service médecine nucléaire; Suzie Martel, infirmière clinicienne unité des soins ambulatoires; Nathalie Paradis, infirmière clinicienne unité des soins am-bulatoires; Lynn Thibodeau, agente administrative; Jazmin Vega Allard, agente administrative; Mélanie Beaudry, chef de service imagerie médicale L’HDQ; Nancy Lafrenière, technicienne en médecine nucléaire; Dominique Fontaine, technologue en radiologie; André Boucher, assistant-chef technologue en médecine nucléaire; Linda Bélanger, agente administrative; Nina Guei, infirmière; Mireille Robitaille, chef de service à la pharmacie volet assistant technique et personnel de soutien; Claudia Gallant, adjointe à la direction – clientèle médecine, volet trajectoire de soins; Chantal Duquet, adjointe au chef de la pharmacie; Annie Lachance, chef d’unité intérimaire unité des soins ambulatoires. Absente de la photo : Catherine Bélanger, infirmière.

De gauche à droite, à l’avant : Anne-Marie Léveillé, pharmacienne; Marie-Ève Laterreur, médecin interniste; Annie Roberge, nutritionniste; Julie Gaudreau, pharmacienne. De gauche à droite, à l’arrière : Priscilla St-Laurent, infirmière clinicienne; Julie Blanchet, infirmière en pratique avancée secteur ambulatoire; Karine Leclerc, secrétaire médicale; Johanne Goulet, infirmière chef cliniques externes HEJ.

La thérapie radiopeptidique au 177 Lu-octréotate est offerte aux patients atteints de tumeurs neuro-endocrines chez qui les traitements usuels ont échoué. Ce traitement améliore leur qualité de vie et augmente leur espérance de vie de 55 mois. Depuis avril 2016, un essai clinique de personnalisation des doses a été entrepris dans le but de maximiser l’efficacité de cette thérapie. Les résultats étant concluants, la demande n’a cessé de croître, ce qui a eu des consé-quences sur la charge de travail des intervenants ainsi que sur la prestation des soins.

Afin d’améliorer l’efficience et la qualité des soins, leur organisation et leur coordination ont été revues. Ainsi, la trajectoire, l’aménagement des locaux, la préparation du maté-riel ainsi que la définition des rôles de chacun ont notamment été

ajustés. Cette optimisation a eu des effets positifs entre autres sur l’expérience patient et sur l’expérience employé. Ce projet d’amélioration est un bel exemple de collaboration interdisci plinaire (nucléistes, technologues en médecine nucléaire, infirmières, pharma ciens) et de collaboration interservices (13 500, médecine nucléaire, unité de soins ambulatoires, radiologie interventionnelle, etc.) qui posi tionne le CHU comme leader mondial en thérapie radionucléidique.

Depuis quelques années, les services de santé doivent revoir leur organisation afin de faire face à l’augmentation des maladies chroniques. C’est ainsi que le CHU a entrepris une réorganisation de ses ser-vices pour la clientèle diabétique ambulatoire en 2017, et ce projet d’amélioration a été amorcé à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. L’augmentation de la clientèle de la clinique du diabète a eu une incidence directe sur la charge de travail des infirmières de ce service, ce qui a entre autres eu comme conséquence de ralentir et de rendre moins efficaces les suivis téléphoniques des patients. Une démarche lean a permis de mieux définir le rôle des intervenants impliqués, de préciser les critères d’admission et de libération des patients, d’améliorer la coordination au sein de l’équipe et de revoir le processus pour les suivis téléphoniques. Les solutions retenues ont été présentées au Comité cli-nique stratégique; plusieurs d’entre elles pourront être exportées dans les autres cliniques du diabète du CHU.

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Recherche – relève

GAGNANTE Dre Marie-Ève Tremblay

La Dre Marie-Ève Tremblay s’est jointe à l’Axe neurosciences du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval (CRCHU) comme chercheuse et professeure adjointe au Département de médecine moléculaire en 2013. Elle a depuis obtenu des subven-tions totalisant près de 3 M$, en plus d’une bourse salariale de Chercheur-boursier junior 1 du Fonds de recherche du Québec – Santé (FRQS) et d’une Chaire de recherche du Canada.

Ses collaborations initiées par sa curiosité, sa passion, sa proactivité et sa personnalité rassembleuse ont mené à plusieurs découvertes clés permettant d’identifier de nouveaux biomarqueurs pour évaluer la fonction cellulaire en conditions de développement, de plasticité ou de maladie, dans le cerveau et dans tout l’organisme.

Très active en recherche, ce dont témoignent plus de 60 publications et les nombreuses conférences internationales auxquelles elle est invitée, elle est également très impliquée dans la supervision et le mentorat d’étudiants. Enfin, elle est membre du comité scientifique de l’Association canadienne des neurosciences, participe au comité exécutif de l’Axe neurosciences et au comité de gestion des animaleries du CRCHU, est représentante des professeurs au comité de la Faculté de médecine et membre du comité de programme de deuxième et troisième cycles en neurobiologie.

Sa contribution au rayonnement du CHU est exceptionnelle.

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Recherche – carrière

GAGNANT Dr Paul H. Naccache

Le Dr Paul H. Naccache a mené une carrière scien-tifique exceptionnelle sur plus de quatre décennies s’articulant autour de la recherche et de l’enseigne-ment. Ses travaux ont contribué à la compréhension des mécanismes de défense de l’organisme et à leur dysfonctionnement dans diverses pathologies, dont l’arthrite rhumatoïde et la goutte.

Le Dr Naccache a assumé pendant de nombreuses années la direction du programme de deuxième et troisième cycles en microbiologie et immunologie à la Faculté de médecine de l’Université Laval. Il a publié plus de 200 articles et son laboratoire a été soutenu financièrement par de multiples organismes subventionnaires, tels que le Conseil de recherches médicales, les Instituts de recherche en santé du Canada, la Société de l’arthrite du Canada ainsi que par les National Institutes of Health des États-Unis. Il a également obtenu une chaire de recherche du Canada sénior.

Mais plus que tout, le Dr Naccache a accordé une importance particulière au suivi et au soutien des stagiaires, étudiants, professionnels de recherche et post-doctorants qu’il a côtoyés et dirigés. Il a également créé un environnement attrayant et enrichissant pour son équipe de recherche, ce qui encouragé plusieurs de ses collaborateurs à y demeurer durant de nom-breuses années. Cette stabilité a facilité le dévelop-pement d’une expertise pointue au sein de l’axe Mala-dies infectieuses et immunitaires (AMII) du CRCHU.

Les efforts du Dr Naccache ont contribué à faire de l’AMII et du Centre de recherche en rhumatologie et immunologie (CRRI) de l’Université Laval un centre d’excellence sur le neutrophile, une cellule clé dans le système de défense de l’organisme.

Il laisse un héritage scientifique extrêmement riche qui continuera pendant de nombreuses années à avoir des impacts sur le développement des connaissances et sur la compréhension de multiples pathologies reliées au dysfonc-tionnement du système immunitaire.

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Enseignement

GAGNANT Les olympiades de prévention et contrôle des infections

Ayant constaté des lacunes dans l’application des méthodes de soins et voulant revoir certaines pratiques infirmières, l’équipe de prévention et contrôle des infections (PCI) a eu l’idée d’organiser des olympiades s’adressant aux agents de PCI. Sous forme de jeu-questionnaire, d’enseignement ou d’atelier pratique, les 12 stations de ces olympiades abordaient chacune un sujet lié aux bonnes pratiques de soins infirmiers et à la prévention des infections : l’hygiène des mains, l’installation d’une sonde urinaire, les pièges du quotidien, etc. Au terme de cette activité, une épinglette spécialement créée pour les olympiades était remise aux agents de PCI. Au retour sur leur unité de soins, les agents de PCI devaient partager les connaissances acquises aux olympiades avec leurs collègues. Les apprentissages réalisés grâce aux formations offertes lors de ces olympiades ont directement favorisé l’uniformisation des pratiques entre les différents hôpitaux du CHU. Ces apprentissages ont également eu un impact positif pour les patients, puisque le recours aux meilleures pratiques accroît la qualité et la sécurité des soins tout en contribuant à la diminution des cas d’infections nosocomiales. Le succès de ces olympiades a incité l’équipe de PCI à organiser une deuxième édition qui s’est tenue en avril dernier.

Valérie Dancause, adjointe à la directrice Direction des soins infirmiers (première rangée, 4e personne à partir de la gauche), entourée des agents PCI ainsi que des infirmières en pratique avancée (IPA) et des conseillères en soins infirmiers (CSI) ayant participé aux olympiades.

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EnseignementFINALISTE Auto-évaluation des compétences en banque de sang

Suivant les recommandations d’Agrément Canada, un programme d’auto-évaluation des compétences des technologistes médicaux travaillant en banque de sang a été mis sur pied par l’équipe de sécurité transfusionnelle. Cette auto-évaluation permet de vérifier que les technologistes médicaux utilisent correctement les procédures ainsi que les documents de référence disponibles et qu’ils ont l’aptitude pour reconnaître un cas demandant une investigation spécialisée. Le projet a nécessité la création d’une formation diffusée sur la plateforme Multiaccès avec l’élaboration de questionnaires de différents niveaux selon le site visé (désigné, associé (Hôpital du Saint-Sacrement) ou affilié). Ce projet a permis d’identifier certains problèmes de communication et d’harmonisation des pratiques entre les sites. Ainsi, la formation a été ajustée et bonifiée afin d’en tenir compte et d’apporter des solutions aux problèmes rencontrés. Le volet de formation continue de ce projet contribue à maintenir la qualité des services aux usagers de la part des technologistes médicaux de la banque de sang. Cette auto-évaluation obligatoire, reconnue par l’Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec, sera répétée selon une fréquence prédéterminée et sera offerte dès l’an prochain à l’ensemble des laboratoires médicaux du CHU, incluant l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec (IUCPQ) et Charlevoix.

De gauche à droite : Brigitte Ouellet, chargée de sécurité transfusionnelle; Marielle Paul-Fortin, conseillère en développement des compétences; Marie-Pier Rioux, chargée de sécurité transfusionnelle; Marielle Lavoie, chargée de projet Formation continue partagée; Nancy Beauregard, conseillère en technopédagogie.

De gauche à droite, à l’avant : Marie-Christine Laroche, adjointe à la directrice des services professionnels; Christina Couillard, infirmière; Caroline Pelletier, infirmière; Julie Gagné, endocrinologue pédiatrique; Isabelle Bouchard, pédiatre.De gauche à droite, à l’arrière : Stéphane Roy, chef de service; Annie Métivier, infirmière; Annie Cochrane, travailleuse sociale; Dardye Eugène, endocrinologue pédiatrique; Julie Simard, infirmière; Maud Millette, endocrinologue pédiatrique.

FINALISTE Instauration d’une nouvelle trajectoire vers la clinique externe de pédiatrie du Centre mère-enfant Soleil pour l’enseignement aux enfants diagnostiqués diabète de novo

Avant mai 2017, les enfants dont le diabète venait d’être diagnostiqué étaient hospitalisés plusieurs jours, voire semaines, afin de recevoir l’enseignement relatif à la maladie. Afin d’atténuer le stress de ces enfants coupés de leur milieu familial à cause de l’hospitalisation et d’alléger la demande en lits sur les unités de pédiatrie du Centre mère-enfant Soleil, la solution trouvée a été de déplacer l’enseignement vers les services externes pour les enfants dont l’âge, la condition médicale et le lieu de résidence le permettent. L’élaboration de cette nouvelle trajectoire a nécessité beaucoup d’ajustements, notamment la révision du programme d’enseignement afin de permettre le retour sécuritaire quotidien de l’enfant à son domicile familial dès le premier jour, l’adaptation d’un local pour accueillir la famille ainsi que l’ouverture de la clinique externe de pédiatrie la fin de semaine pour commencer ou poursuivre l’enseignement. Ce projet présente plusieurs avantages pour les familles, dont le maintien de la dynamique familiale, la dédramatisation du diagnostic, la meilleure intégration des soins dans la routine quotidienne, et a permis d’optimiser l’utilisation des lits pour les cas électifs et les patients de l’urgence.

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Administration et organisation du travailGAGNANT Centre de rendez-vous CHU en dermatologie

De gauche à droite, à l’avant : Gabrielle Lévesque, agente administrative L’HDQ; Véronic Martin, agente lean; Marie-Josée Martin, coordonnatrice des secteurs accueil et rendez-vous et responsable de l’accès aux services médicaux spécialisés; Mélanie Dubé, coordonnatrice du projet accès priorisé aux services spécialisés; Émilie Tremblay, agente administrative HSS; Marie-Claude Houle, dermatologue L’HDQ. De gauche à droite, à l’arrière : Jean Bernard, dermatologue CHUL; Sharon Chan, agente adminis-trative HEJ; Annie Fortin, assistante infirmière chef HSS; Laurence Carbonneau, chef secteur accueil et rendez-vous HSS; Sonia Morin, agente administrative CHUL; Sylvie Bion, spécialiste en procédés administratifs équipe Erv; Marie-Pier Porlier, chef clinique externe CHUL; Martin Gilbert, dermatologue et chef de service.

Bien que les cinq hôpitaux du CHU soient fusionnés, leur structure d’accès pour une consultation spé-cialisée ne l’est pas encore : pour un même service, il peut y avoir plus d’un numéro de téléphone, plusieurs listes d’attente, des processus distincts, etc. Le projet de centre de rendez-vous en dermatologie visait donc à regrouper les trois listes d’attente en une seule afin d’assurer un accès équitable et simplifié aux services. Maintenant, le patient qui requiert une première consultation ou un suivi en dermatologie appelle à un seul endroit. Sa requête est enregistrée dans le système de gestion des rendez-vous, puis acheminée à un dermatologue qui la priorise selon un processus standardisé. On octroie ensuite au patient la meilleure place disponible dans l’un des hôpitaux du CHU offrant des services de dermatologie en respect du délai clinique requis par sa condition. Ce premier guichet unique fait office de modèle pour le déploiement des 28 autres centres de rendez-vous spécialisés au CHU. Le projet ayant été conçu de manière à être repro-ductible pour les futurs centres de rendez-vous, il participe à une meilleure harmonisation des pratiques ainsi qu’à une plus grande flexibilité dans la gestion des ressources humaines au CHU.

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Administration et organisation du travailFINALISTE Mise en place d’un processus d’évaluation des normes de pratique du personnel infirmier : un défi réussi !

Plusieurs gestionnaires, au cours des dernières années, avaient rapporté des problématiques en lien avec l’évaluation des compétences du personnel infirmier, notamment des pratiques divergentes. Un comité composé de membres de la Direction des soins infirmiers (DSI), de la Direction des ressources humaines (DRH) et de chefs d’unité de différentes directions clientèles a donc été formé afin d’améliorer et d’harmoniser le processus d’évaluation. Un algorithme de suivi, une grille d’évaluation ainsi qu’un plan d’amélioration ont notamment été créés. Grâce à ces nouveaux outils, le gestionnaire peut trouver rapidement l’information nécessaire à l’accompagnement des membres de son équipe. De plus, le déroulement standardisé de l’évaluation ainsi que l’harmonisation des outils utilisés pour le processus assurent à l’infirmière un suivi équitable, peu importe le secteur ou le site où elle pratique. Ce projet de standardisation de l’évaluation des normes de pratique soutient davantage les gestionnaires et les acteurs impliqués dans cette démarche en plus de faciliter leur collaboration. D’ailleurs, ce nouveau processus servira prochainement à l’élaboration d’outils d’évaluation des normes de pratique d’autres titres d’emploi en soins infirmiers, notamment celle des infirmières auxiliaires et des préposés aux bénéficiaires.

FINALISTE Modernisation du parc d’impression

Dans notre grand CHU, ce sont plus de 18 000 personnes qui impriment des documents. Afin de réduire le nombre de documents imprimés et d’appareils utilisés, d’en faciliter la gestion et l’entretien, une modernisation du parc d’impression a été entreprise en 2013. Aujourd’hui, le nombre de modèles d’appareils est passé de 26 à 8, alors que la quantité d’appareils a été réduite de 40 %. Par ricochet, ces changements permettent d’économiser 3 600 cartouches d’encre par année, de diminuer l’impression de 22 % et d’économiser au moins 2 M$ chaque année. De plus, la modernisation du parc d’impression a permis d’améliorer la méthode de facturation de l’impres-sion, d’optimiser le temps de plusieurs employés (entre autres grâce à l’ajout d’applications, comme la numérisation, l’automatisation de l’impression et la redirection de documents), de garantir la sécurité des informations ainsi que de réduire le temps de transmission des documents qui est passé de six minutes à une minute. Ce projet précurseur dans le milieu hospitalier s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour le développement durable du CHU et a déjà servi de modèle à d’autres organismes, dont l’Université Laval.

De gauche à droite, en haut : Caroline Ménard, conseillère cadre DSI; Andréanne Carignan, chef d’unité chirurgie HEJ. De gauche à droite, au milieu : Isabelle Lessard, chef d’unité médecine HEJ; Michèle Gemme, infirmière en pratique avancée – médecine DSI; Stéphanie Carrier, chef de service à l’intégration et au soutien technique DSI. De gauche à droite, en bas : Isabelle Vézina, directrice adjointe DSI; Sandra Simard, coordonnatrice à l’admission HSFA.

De gauche à droite, à l’avant : Yves Lechasseur, technicien en informatique; Mario Trottier, chef de service; Geneviève Bouchard, chef de service; Sylvain Frenette, chef de service; Dave Grannary, technicien en informatique. De gauche à droite, à l’arrière : Mario Boucher, technicien en inform atique; Jean-François Simpson, technicien en informatique; Jean-Sébastien Parent, analyste en informatique; Richard Malenfant, technicien spécialisé en informatique; Frankie Turcotte, technicien en informatique; Gilles Alain, techni - cien en informatique; Mario Paradis, technicien en informatique; Matthew Aucoin, technicien en informatique.

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Hommage – héritage

GAGNANTE Dre Yolande Dubé

La Dre Yolande Dubé est diplômée de médecine de l’Université Laval. Elle a pratiqué pendant quatre ans la médecine générale avec les Forces armées canadiennes et l’ONU, notamment en Égypte et en Israël. De retour au pays, elle a poursuivi ses études en ophtalmologie à l’Université Laval et à l’Hôtel-Dieu de Paris comme boursière du Collège Royal du Canada. Pendant ses 34 années comme chirurgienne-ophtalmologiste dans les hôpitaux universitaires de Québec, elle a cumulé des responsabilités en gestion et siégé à de nombreux comités.

La Dre Yolande Dubé a été la grande instigatrice du regroupement de l’ophtalmologie universitaire adulte dans la région de la Capitale-Nationale, lequel a mené à la création du Centre universitaire d’ophtalmologie de Québec, le CUO. Celui-ci est un service public offert à la population de l’est du Québec qui réunit à l’Hôpital du Saint-Sacrement les activités cliniques et chirurgicales, de même que l’enseignement et la recherche clinique en ophtalmologie. Le CUO permet également le dévelop-pement de l’ophtalmologie univer sitaire pédiatrique au Centre mère-enfant Soleil du CHUL. Le CUO garantit l’accès, la continuité ainsi que la qualité des soins en ophtalmologie de deuxième, troisième et quatrième lignes.

Passionnée de médecine, la Dre Dubé n’hésite pas à sortir de sa zone de confort pour trouver des solutions à l’amélioration du mieux-être des soignés et des soignants. Elle croit en un service hospitalier public de qualité et met tous les efforts nécessaires pour en assurer la pérennité.

Depuis 2016, elle est engagée dans l’aide médicale à mourir en répondant avec diligence aux demandes de ses collègues en soins palliatifs et en hémato-oncologie. Ceux-ci ont rapidement reconnu son humanité et son grand respect des patients.

La Dre Dubé nous lègue son engagement global et responsable, sa passion de soigner, son respect indé-fectible pour la relève et pour l’établissement dans lequel elle travaille.

Le conseil d’administration tient à lui rendre hommage pour sa contribution exceptionnelle.

Conseil des médecins,dentistes et pharmaciens

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Engagement bénévole

GAGNANT Projet pilote « Bénévoles à l’accueil mobile des cliniques externes du CHUL »

Depuis de nombreuses années, des bénévoles sont présents aux postes d’accueil des hôpitaux du CHU pour renseigner et orienter les usagers, ce qui favorise une meilleure expérience patient. Au fil du temps, les bénévoles ont observé que les usagers avaient aussi parfois besoin d’accompagnement ou d’aide à l’intérieur des bâtiments. De plus, ils ont remarqué que les usagers semblaient parfois inquiets de se rendre seuls à leur rendez-vous. Les bénévoles ont mis la main à la pâte et se sont investis avec la coordonnatrice afin de mettre sur pied un projet d’accueil mobile. Ainsi, au printemps 2017, un projet pilote a vu le jour aux cliniques externes du CHUL. Les usagers bénéficient maintenant d’un service personnalisé et sécurisant en agréable compagnie pour se rendre à leur rendez-vous. Par ailleurs, les retombées positives de ce projet ne se limitent pas à l’amélioration de l’expérience patient. En effet, le personnel des cliniques externes en profite aussi, puisque ce service contribue à éviter les retards aux rendez-vous et à diminuer l’anxiété des patients. Fort de ce succès, un projet pilote d’accueil mobile est en cours à l’Hôpital du Saint-Sacrement et à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus.

De gauche à droite, à l’avant : Michel Bouchard, Lyne Deslauriers,

Lucie Nadeau, Lise Boutin, Gilles Filiatrault, Denis Cayouette.

De gauche à droite, à l’arrière : Pierre Guertin, Lawrence Crofton.

Ce sera sans aucun doute une expérience inspirante pour le nouveau complexe hospitalier !

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Hommage – Fondation du CHU de Québec

GAGNANT Dr Serge Rivest

Le Dr Serge Rivest, directeur du CRCHU et professeur titulaire au Département de médecine moléculaire de l’Université Laval, a un parcours professionnel remar-quable. Son expertise en médecine neurologique est reconnue internationalement. D’ailleurs, jusqu’à aujourd’hui, le Dr Rivest a publié plus de 200 articles; il est également récipiendaire de nombreuses bourses de recherche ainsi que de plusieurs prix et distinctions.

Homme inspirant par son engagement, le Dr Rivest est un promoteur de la philanthropie hospitalière depuis de nombreuses années, ce qui fait de lui un ambassadeur hors pair pour les campagnes du Centre de recherche organisées chaque année par la Fondation du CHU de Québec. Il a d’ailleurs participé activement à la mise sur pied de cette campagne pour laquelle il déploie de grands efforts afin de mobiliser toute la communauté de recherche. La campagne ne cesse de croître au fil des ans, et il peut en être fier !

De plus, le Dr Rivest est impliqué au sein du conseil d’administration de la Fondation du CHU de Québec depuis 2011. Il a joué un rôle important dans la première grande campagne de financement « Unis pour le meilleur des soins » en tant que membre du cabinet, notamment pour effectuer des démarches de sollicitation et de fidélisation auprès de donateurs corporatifs majeurs. Parfaitement conscient qu’un hôpital ne peut aspirer à se développer sans le soutien d’une fondation dynamique, il s’engage avec conviction. Novateur et déterminé, il n’hésite pas à prendre part à de nouveaux projets. Il se montre très disponible pour rencontrer les donateurs afin de leur expliquer avec passion son travail et l’impact des dons pour la recherche. Son travail et son implication personnelle sont résolument porteurs d’espoir pour de nombreuses personnes malades.

En tant que Fondation performante, innovante et influente, nous appuyons le Dr Rivest et désirons lui décerner notre prix Hommage.

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GAGNANTE Chantal Guimond

Depuis plus de dix ans, Chantal Guimond s’engage auprès de ses collègues et de l’organisation. Dédiée à l’équipe du développement organisationnel et de la gestion de la formation, elle soutient également ses collègues de la formation continue partagée. Efficace, débrouillarde, polyvalente et créative, c’est toujours avec le sourire qu’elle se met en action et cherche des solutions. Chantal participe activement à l’élaboration du programme de développement et à la planification des activités du programme de relève des cadres. De plus, elle gère la logistique associée aux formations, dont celle du module d’amélioration continue, celles en lien avec le système de gestion ou encore celles des cadres. Son dévouement n’ayant pas de limites, Chantal participe à la coordination de plusieurs activités importantes au CHU : le party de Noël de sa direction, la Grande tablée des Fêtes, la Soirée des retraités, la Soirée reconnaissance des 25 ans de service et la Soirée des Diamants. Elle est également coprésidente de la Fondation du CHU pour le site de L’Hôtel-Dieu de Québec et est impliquée auprès de la Fondation canadienne du cancer du sein. Chantal est une personne particulière-ment généreuse de son temps et elle s’investit complè-tement dans ce qui lui tient à cœur.

Femme engagée, femme de cœur, Chantal est une femme d’exception qui se démarque par son immense générosité et par sa contribution à la mission de notre grand CHU.

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GAGNANTE Isabelle Chainey

À première vue, Isabelle Chainey peut sembler une infirmière comme les autres, inconnue de plusieurs personnes. Il s’agit toutefois d’une force tranquille qui mérite que son nom et ses actions quotidiennes soient reconnus ! Depuis son arrivée au CHUL au début des années 2000, Isabelle Chainey s’est fait remarquer pour ses qualités de cœur exceptionnelles, son expertise, son dynamisme, son professionnalisme, son désir de toujours améliorer la qualité des soins et des services ainsi que son dévouement auprès des membres de son équipe et de la clientèle. En tant qu’assistante-infirmière-chef, elle a réussi à définir clairement les tâches et les processus tout en développant des outils pour faciliter le travail de chacun dans son équipe. Isabelle est évidemment empreinte de qualités exceptionnelles, mais est aussi dotée d’un sens de l’humour sans pareil. C’est une personne joviale, souriante, toujours prête à répondre aux besoins de ses collègues. Elle sait transmettre sa passion, son savoir-faire et ses connaissances avec une grande générosité. Par l’exemple qu’elle donne chaque jour, elle sait aussi transmettre à chacun ses valeurs d’entraide et de respect. L’équipe du service de gynécologie du CHUL souhaite lui rendre hommage, car elle crée un climat de travail agréable où règne une atmosphère formidable et donne à chacun l’envie de se surpasser.

Comme Isabelle se plaît à dire, « il n’y en aura pas de facile, mais on est équipé pour la guerre ! » Et ses collègues peuvent témoigner qu’elle sait très bien les équiper !

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GAGNANT Optimisation des trajectoires de soins du patient à l’unité de médecine de jour

À l’Unité de médecine de jour de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus, plusieurs problèmes touchant les patients, les équipes soignantes et administratives avaient été identifiés, notamment une répartition des tâches entre les infirmières et les préposés aux bénéficiaires inadéquate ainsi que de longs temps d’attente et de passage pour les patients. Au terme d’une démarche lean, plusieurs solutions efficaces ont été trouvées. Par exemple, de nouveaux tableaux indicateurs ont simplifié la communication au sein de l’équipe, une meilleure organisation du travail et la bonification de formulaires ont amélioré les trajectoires, la répartition des tâches entre les différents intervenants ainsi qu’entre les différents services a été revue et l’horaire a été modifié pour mieux répartir les activités durant la journée et la semaine. Au final, les temps d’attente et de passage des patients ont raccourci, alors que l’efficacité du personnel a été accrue. En parallèle, les solutions retenues ont permis d’augmenter la pertinence, l’efficacité, la qualité et la sécurité des interventions et des processus à l’Unité de médecine de jour de l’HEJ. Plusieurs des solutions mises en place sont d’ailleurs exportables dans les autres hôpitaux du CHU et de la région.

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Soins et services cliniques 1

De gauche à droite : Johanne Goulet, infirmière chef; Marie-Claude Tremblay, assistante infirmière chef; Audrey Beaulieu, infirmière auxiliaire; Laurent Bernier, agent administratif classe 3; Cynthia Fortin-Cossette, infirmière clinicienne; Alexandra Legouic-Desjardins, infirmière clinicienne; Pierre Leclerc, préposé aux bénéficiaires; Charlotte Fortin, infirmière; Agathe Gagnon-Brisson, assistante technique en pharmacie; Guylaine Tellier, infirmière; Brigitte Robichaud, infirmière; Julie Blanchet, infirmière en pratique avancée.

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Soins et services cliniques 1FINALISTE Comité de positionnement du bloc opératoire HEJ

En salle d’opération, le positionnement adéquat du patient est primordial afin de permettre une exposition chirurgicale optimale tout en assurant la prévention des lésions. Afin de définir et de maintenir les bonnes pratiques, un comité de positionnement multidisciplinaire a été fondé au bloc opératoire de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Il réunit tous les intervenants participant au positionnement des patients : préposés aux bénéficiaires, infirmières, inhalothérapeutes, anesthésiologistes et chirurgiens. Ce comité, présidé par deux membres du service d’anesthésiologie, s’est inspiré d’un recueil conçu au préalable par les préposés pour créer un document de référence décrivant et illustrant de façon détaillée le positionnement pour chaque intervention. Ce document est disponible pour consultation sur les ordinateurs du bloc opératoire et le comité en assure la mise à jour continuelle. Le comité souhaiterait éventuellement publier et diffuser ce livre à un public plus large. En parallèle, le comité analyse les incidents rapportés afin d’émettre des recommandations pour corriger ou optimiser les positionnements en cause. Lorsque nécessaire, le comité émet des recommandations concernant l’acquisition de matériel. Le comité de positionnement contribue à l’amélioration de la sécurité des soins et favorise les échanges ainsi que la collaboration entre les intervenants du bloc opératoire.

FINALISTE Mise en place d’une trajectoire de LOCEC sous sédation procédurale

Depuis plusieurs années, le Service d’urologie de l’Hôpital Saint-François d’Assise peut traiter les calculs rénaux par fragmentation par ondes de choc (L.O.C.E.C. : lithotritie par ondes de choc extracorporel). L’augmentation du nombre de LOCEC et du temps d’at-tente pour la recevoir a incité les équipes à revoir la trajectoire ainsi que les modalités d’intervention qui y sont liées. Le résultat de ce processus est que la LOCEC est maintenant réalisée par un urologue et une infirmière sous sédation procédurale, alors qu’aupara-vant une équipe de six personnes devait être mobilisée dans une salle du bloc opératoire. Non seulement du temps de chirurgie a ainsi été récupéré pour des inter-ventions urologiques plus urgentes ou plus complexes, mais le projet a permis de restaurer l’accès à la LOCEC. En effet, les délais d’attente ont été considérablement raccourcis et il y a eu une augmentation de 55 % des

De gauche à droite, à l’avant : Vickie Beaudoin, assistante infirmière chef au matériel; Denis Bouchard, préposé aux bénéficiaires; Nicolas Turmel, préposé aux bénéficiaires; Hélène Pellerin, anesthésiologiste; Marie-Josée Nadeau, anesthésiologiste; Linda Thibault, chef d’équipe infirmières ORL et maxillofacial. De gauche à droite, à l’arrière : Josée Mignault, coordonnatrice chef d’unité bloc opératoire HEJ; Simon Bilodeau, préposé; Ciro Luis Gonzalez, préposé aux bénéficiaires; Éric Bouchard, préposé aux bénéficiaires; Michel Blouin, préposé aux bénéficiaires; Ghislaine Arial, chef d’équipe infirmière chirurgie générale, plastie et grands brûlés; Simon Leblond, chef d’équipe infir miers en neuro-chirurgie; Jean-Pierre Lemieux, préposé aux bénéficiaires.

De gauche à droite : Marie-Andrée Duré, infirmière; Catherine Mercier, infirmière; Étienne Robichaud, coordonnateur bloc opératoire, salle de réveil, clinique préo-pératoire et chirurgie d’un jour; Raymond Veilleux, anesthésiste; Pascale Fournier, infirmière.

interventions, et ce, sans ressources supplémentaires. Ces améliorations permettent à des patients d’être traités dans leur région ou, pour les usagers de l’est du Québec, dans une région plus près de leur domicile. Finalement, ce projet d’amélioration a permis de valo-riser le travail des infirmières et de mettre à profit leur expertise clinique.

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GAGNANT Trajectoire de thrombectomie mécanique pour le traitement aigu des accidents vasculaires cérébraux ischémiques thromboemboliques

Au cours des dernières années, la thrombectomie mécanique a été introduite pour traiter les patients avec un AVC ischémique aigu. Ce traitement consiste à retirer mécaniquement le caillot qui bloque une artère du cerveau avant que celui-ci ne manque définitivement d’oxygène, ce qui permet de diminuer ou même parfois d’éliminer les séquelles d’un AVC. Le travail concerté du comité neurovasculaire du CHU et des partenaires réseau a permis d’établir une trajectoire optimale qui rend l’intervention rapidement accessible pour la population du RUIS-Laval. Des outils pour accélérer la prise en charge ont aussi été déployés, car chaque minute compte lors d’un AVC ischémique : la rapidité d’intervention est primordiale pour sauver le patient et limiter ses séquelles. Tous les travaux et l’énergie investis ont permis d’assurer l’accès à ce traitement de pointe pour les patients victimes d’un AVC. Les résultats démontrent l’efficacité de la nouvelle trajectoire avec une augmentation exponentielle du nombre de patients traités dans les trois dernières années.

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Soins et services cliniques 2

De gauche à droite, à l’avant : Julie Asselin, adjointe à la directrice Direction clientèle soins intensifs, traumatologie et neurosciences, volet trajectoires de soins en sciences neurologiques; Gino Bouchard, coordonnateur de l’urgence HEJ; Martin Leblanc, urgentologue; Pier-Luc Gilbert, chef de service imagerie médicale HEJ; Geneviève Milot, neurochirurgienne-neurointerventionniste. De gauche à droite, à l’arrière : Sarah-Judith Breton, chef d’unité de soins sciences neurologiques; Caroline Carrier, coordonnatrice des sciences neurologiques; Olga Paquin, chef de service télésanté et pilote technologique; Pascale Lavoie, neurochirurgienne-neurointerventionniste; Marie-Christine Camden, neurologue vasculaire; Sonia Mathieu, infirmière en pratique avancée en sciences neurologiques.

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FINALISTE Règle de soins infirmiers : surveillance et évaluation lors de monitorage cardiaque en continu

Auparavant, la surveillance et la documentation reliées au monitorage cardiaque n’étaient pas balisées, ce qui laissait place à de grandes variations de pratique entre les infirmières mais également d’un secteur à l’autre. Bien que la législation stipule qu’il est de la responsa-bilité des infirmières de surveiller la condition clinique des patients, il n’existait pas de cadre de référence définissant les pratiques que cette surveillance exige. Ainsi, sur la base des pratiques exemplaires, une règle de soins infirmiers a été élaborée afin de rendre le monitorage cardiaque plus sécuritaire dans les cinq hôpitaux du CHU. Ce projet est le fruit d’efforts concer-tés de l’équipe des soins critiques de la Direction des soins infirmiers et a été mené en collaboration avec des médecins et les directions clientèles des secteurs touchés. Une formation sur cette nouvelle norme a été offerte aux quelque 900 infirmières concernées, notamment celles des urgences, des soins intensifs et des unités coronariennes. Ce projet d’encadrement du monitorage cardiaque a permis d’uniformiser la docu-mentation et les pratiques de surveillance clinique. Cette règle de soins infirmiers fait maintenant partie du quotidien des infirmières, ce qui représente une valeur ajoutée pour la rigueur des soins au CHU.

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FINALISTE Déploiement du programme de neurochirurgie pédiatrique au bloc opératoire du CHUL

Un pas de plus vers des soins spécialisés en pédiatrie vient d’être franchi avec l’arrivée de la neurochirurgie pédiatrique au CHU de Québec-Université Laval. Ce projet place le CHU à l’avant-garde pour la population qu’il dessert et a un impact considérable pour la clientèle pédiatrique qui peut recevoir des soins plus rapidement lors d’une situation critique durant laquelle les secondes sont comptées, mais aussi avoir accès à un service à proximité de la maison. Le déploiement de la neurochirurgie pédiatrique au CHUL a exigé de nombreuses heures de préparation de la part des équipes soignantes. Dans un court délai, une recension des besoins a été réalisée pour instaurer cette nouvelle spécialité. Il a fallu prévoir l’achat des équipements, de l’instrumentation et des fournitures, mais aussi se documenter et questionner les experts pour transmettre le maximum de connaissances aux équipes traitantes. Trois infirmières ont été dédiées à l’implantation de ce projet; en collaboration avec le Dr Crevier, elles continuent d’ailleurs à former leurs collègues. Voilà un projet de grande envergure qui cadre parfaitement avec l’une des missions du CHU, soit d’offrir des soins spécialisés et surspécialisés par des équipes de soins qui se distinguent par la qualité de leur expertise.

De gauche à droite : Marie Morin, conseillère en soins infirmiers soins inten-sifs HEJ; Andrée-Anne Bérubé, infirmière en pratique avancée soins intensifs; Sarah-Judith Breton, chef d’unité secteur neurosciences HEJ; Isabelle Nault, infirmière chargée de projet à l’intégration des soins et services cliniques DCNCH; Julie Asselin, adjointe au directeur clientèle soins intensifs, traumatologie et neurosciences volet trajectoire de soins en neurosciences; Mélanie Vallée, chef d’unité en hématologie HEJ; Jolène Provost, adjointe à la direction des soins infirmiers soutien aux opérations cliniques.

De gauche à droite, à l’avant : Kent Bois, préposé aux bénéficiaires; Anny L’Heureux, assistante infirmière chef chirurgie d’un jour; Sandra Rainville, assistante au matériel; Anny Robichaud, infirmière; Kathy Marcoux, infirmière clinicienne; Nathalie Paquet, assistante infirmière chef salle de réveil; Véronique Lévesque, monitrice clinique secteur peropératoire. De gauche à droite, à l’arrière : Louis Crevier, neurochirurgien pédiatrique; Jenny Bourgeois, inhalothérapeute; Nathalie Bleau, infirmière; Geneviève Nadeau, coordonnatrice bloc opératoire; Daniel Gignac, préposé aux bénéficiaires; Jonathan Lacasse, chef d’unité bloc opératoire.

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GAGNANT Centre de développement et d’opérationnalisation (CDO) de Cristal-Net

La solution informatique Cristal-Net, développée au CHU de Québec-Université Laval, a été choisie pour être utilisée partout dans la province pour le Dossier clinique informatisé (DCI). La recherche d’informations y est simplifiée grâce à un classement par discipline et à une centralisation des renseignements (profil de l’usager, notes médicales, résultats, etc.). En plus de faire le pont vers le Dossier Santé Québec (DSQ), Cristal-Net s’intègre aux applications techniques déjà existantes dans les établissements. Grâce à l’expertise acquise avec Cristal-Net, le CHU a été désigné pour former une équipe dédiée au déploiement et à l’évolution du DCI provincial ainsi qu’au soutien de ses utilisateurs. Ainsi, le Centre de développement et d’opérationnalisation (CDO) – Cristal-Net a été mis sur pied avec une équipe d’experts cliniques et technologiques. Diverses actions ont été entreprises pour faire connaître le CDO – Cristal-Net et son produit, notamment la création d’un site Web, d’une base de connaissances et d’un Centre de soutien. À terme, on estime le nombre d’utilisateurs de Cristal-Net à plus de 300 000. Par l’intermédiaire du CDO – Cristal-Net, le CHU laisse son empreinte dans l’informatisation du réseau québécois de la santé.

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L’équipe du CDO Cristal-Net.

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FINALISTE Proactivité et consultation : une stratégie gagnante pour le NCH !

La démarche de communication bidirectionnelle du nouveau complexe hospitalier (NCH), se basant sur la proactivité, la transparence, l’écoute et la consultation, a permis d’ouvrir un dialogue avec les publics ciblés. La présence constante des équipes en place et l’écoute offerte au personnel ainsi qu’aux résidents a permis de développer cette approche. Grâce à la mise en place d’outils « de première ligne » (boîtes courriel et vocale dédiées, infolettre, feuillets informatifs, comité de voisinage, etc.), l’équipe des communications du NCH a réussi à donner un visage humain à ce vaste chantier. Ces outils permettent d’identifier rapidement les enjeux et d’intervenir en amont, améliorant ainsi l’efficacité et la recherche de solutions consensuelles. Ainsi, au lieu d’être en mode confrontation, le NCH est en mode collaboratif, ce qui favorise la perception positive et le rayonnement du projet. L’équipe des communications du NCH a d’ailleurs été invitée à présenter sa démarche lors du Forum sur l’acceptabilité sociale qui s’est déroulé en mars et plusieurs maisons d’enseignement (UQAR, ETS, etc.) se sont montrées intéressées à étudier le projet. Cette démarche de communication positionne le CHU comme une organisation transparente et innovante qui applique les meilleures pratiques, et ce, dans tous les aspects de sa gestion.

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FINALISTE Recherche sur l’applicabilité et l’utilité d’un nouvel outil pour l’évaluation en soins spirituels

Le Centre Spiritualitésanté de la Capitale-Nationale (CSsanté) offre un accompagnement spirituel et religieux à la clientèle hospitalisée, hébergée, en santé mentale, en réadaptation ou suivie en soins palliatifs à domicile réparti sur 35 sites du CHU, du CIUSSS de la Capitale-Nationale et de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec (IUCPQ). Dans le but de fournir aux intervenants en soins spirituels du CSsanté un vocabulaire commun pour l’évaluation de la dimension spirituelle de l’usager et en faciliter la transmission aux autres professionnels de l’équipe de soins, le CSsanté a élaboré en 2015 l’outil Repères pour l’évaluation en soins spirituels. Pour valider cet outil et en vérifier l’applicabilité au-delà du CSsanté, une recherche a été menée auprès de plus de 40 intervenants en soins spirituels issus de neuf établissements du réseau de la santé et des services sociaux de la province. Les résultats de cette recherche ont démontré la pertinence et l’applicabilité de cet outil tant pour l’intervention que pour la rédaction de la note au dossier. Cette recherche, ayant un caractère novateur, fera prochainement l’objet d’un article scientifique. Grâce à ce projet, le CSsanté dispose d’un outil entériné par ses pairs tout en se positionnant comme un acteur incontournable sur la question de l’évaluation en soins spirituels.

De gauche à droite : Jean-Thomas Grantham, conseiller en communications; Éric Daneau, directeur adjoint DCNCH; Marianne Potvin, conseillère en communi-cations; Luc Gagnon, directeur clinique DCNCH.

À l’avant : Marie-Chantal Couture, directrice du Centre Spiritualitésanté de la Capitale-Nationale. De gauche à droite, à l’arrière : Chantal Bergeron, interve-nante en soins spirituels; Mario Bélanger, intervenant en soins spirituels; Line Beauregard, agente de planification, programmation et recherche. Absent de la photo : Bruno Bélanger, agent de planification, programmation et recherche.

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Soutien à l’ensemble des missionsGAGNANT Refonte des systèmes informatiques d’imagerie médicale

Afin de permettre la fusion des départements d’imagerie médicale du CHU et pour éventuellement démarrer le projet Chantier Accès, la fusion des bases de données des systèmes informatiques de l’imagerie était essentielle. Cette refonte, qui s’est échelonnée sur plusieurs années, a représenté un grand défi technologique par son aspect intersystèmes et par le nombre d’intervenants impliqués, soit plus de 2 000 (technologues, radiologistes, médecins, agents administratifs, résidents, etc.). Cette refonte a également demandé l’harmonisation des codes d’examens et a requis une rigueur exemplaire en matière de contrôle de la qualité. Les résultats de ces efforts sont la stabilité des systèmes, une performance accrue, l’accessibilité à l’historique des résultats pour les cinq hôpitaux du CHU en temps réel et la possibilité de travailler à domicile de façon sécuritaire pour les radiologues. Tout ceci améliore concrètement les outils et la qualité du travail des intervenants au bénéfice des patients. Autre avantage notable : depuis juin 2017, les examens et rapports du CHU peuvent être visualisés dans le Dossier Santé Québec (DSQ) par les autres hôpitaux et groupes de médecine familiale (GMF). À travers ce projet, le CHU a su démontrer son expertise et trace la voie aux autres hôpitaux.

De gauche à droite, devant : Janelle Ruest, Nathalie Maltais et Stéphane Girard, technologues en radiologie PACS/SIR. De gauche à droite, derrière : Audrey Dussault, technologue en radiologie PACS/SIR; Jean-Sébastien Talbot, analyste en informatique; Marie-Christine Dion, technologue en radiologie PACS/SIR; Louise Bolduc, technologue en radiologie PACS/SIR; Ibou-Ndiaye Fall, chef de service imagerie diagnostique réseau; Denis Proulx, technologue en radiologie PACS/SIR. Absents de la photo : Johanne Adam, analyste en informatique; Marie-Nellie Cormier, technologue en radiologie PACS/SIR; Audrey Jolicoeur, spécialiste en procédés administratifs.

PACS/SIR : Picture Archiving and Communication System/Système d’Information en Radiologie

De gauche à droite : François Cantin, chef d’équipe support technique HEJ, technicien spécialisé en informatique DRI; Martin Rousseau, chef d’équipe interopérabilité, analyste en informatique DRI; Mireille Doyon, technicienne en informatique, support aux applications DRI; Mario Trottier, chef de service technologies de l’information DRI; Guy Verreault, chef d’équipe, analyste spécialisé en informatique DRI. Absent de la photo : Charles Guérard, ex-chargé de projet DRI, maintenant conseiller en gestion de projet BEP.

De gauche à droite, à l’avant : Pierre-Luc Lévesque, technologue responsable PACS/SIR – HEJ; François Hébert, technologue responsable PACS/SIR – HSS; Steve Marmen, chef de service imagerie et physiologie médicales – HSFA. De gauche à droite, à l’arrière : Julie Ouellette, technologue responsable PACS/SIR – L’HDQ; Julie Maheux, technologue responsable PACS/SIR – L’HDQ; Marie-France Grenon, technologue responsable PACS/SIR – HSFA; Nathalie Maltais, remplaçante technologue responsable PACS/SIR – l’HDQ. Absents de la photo : Martin Richard, technologue responsable PACS/SIR – CHUL; Manon Roy, remplaçante technologue responsable PACS/SIR – CHUL.

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Soutien à l’ensemble des missionsFINALISTE Programme provincial d’échange d’incubateurs « Le berceau des cigognes »

Le transfert de l’incubateur de l’hôpital d’origine à celui de l’avion ambulance était une phase difficile pour les nouveau-nés devant être transportés d’une région vers un centre tertiaire de Québec ou de Montréal. En effet, l’embarquement en région se fait sur la piste d’atterrissage et des contraintes techniques empêchent d’habiller les bébés pendant le transport. Ces conditions augmentent les risques d’hypothermie néonatale, car les nouveau-nés régulent leur température corporelle beaucoup moins efficacement que les adultes. Grâce au programme, un incubateur est laissé dans chaque hôpital qui utilise les services d’ÉVAQ. Au moment de la prise en charge à l’aéroport, l’incubateur de l’avion est remis à l’équipe médicale de la région et servira au prochain transfert. Cela permet au bébé transporté de demeurer dans le même incubateur du centre demandeur jusqu’au centre tertiaire. Ce programme a également permis d’uniformiser et de rehausser la qualité du matériel utilisé dans tous les centres. « Le berceau des cigognes » est unique au monde et a fait l’objet d’une conférence de deux médecins d’ÉVAQ lors du troisième congrès Transport of High Risk Infants en Angleterre en septembre 2017.

FINALISTE Les préleveurs oculaires

Au cours des dernières années, le nombre de globes oculaires disponibles pour la recherche et l’enseignement a chuté drastiquement. À cause de cette pénurie, plusieurs recherches ont été mises sur pause, alors que d’autres ont été menacées. De même, des formations ont dû être limitées, voire annulées. Afin de remédier à la situation, le projet des préleveurs oculaires a été mis sur pied en partenariat avec le CRCHU, le Centre universitaire d’ophtalmologie du CHU (CUO), Héma-Québec et la banque d’yeux du CUO. Ainsi, dans le cadre de ce projet, des intervenants spécialement formés se rendent dans les maisons funéraires pour prélever les globes oculaires identifiés « recherche et enseignement ». Les prélèvements réalisés jusqu’à maintenant ont permis de soutenir deux des grandes missions du CHU, soit la recherche et l’enseignement. En effet, des projets de recherche ont été maintenus ou relancés, ce qui contribue à l’avancement des connaissances et, éventuellement, au développement de meilleurs soins. Cette pratique pourrait être exportée à toutes les banques d’yeux du Canada et d’autres centres se sont d’ailleurs montrés intéressés par ce projet.

L’équipe du programme provincial d’échange d’incubateurs « Le berceau des cigognes ».

De gauche à droite, le long des fenêtres : Julie Bérubé, préleveuse et professionnelle de recher - che; Olivier Rochette, spécialiste en sciences biologiques médicales Banque d’yeux du CUO; Laurence Robichaud-Hallé, coordonnatrice clinico-administrative du CUO; Étienne Fisette, directeur de l’exploitation des tissus humains Héma-Québec. De gauche à droite, rangée de droite : Kim Santerre, préleveuse et étudiante au doctorat; Marie-Christine Lambert, préleveuse, étudiante au doctorat; Jeanne-d’Arc Uwamaliya, spécialiste en sciences biologiques médicales Banque d’yeux du CUO; Patricia Ann Laughrea, cornéologue et directrice médicale de la Banque d’yeux du CUO; Gilles Beaupré, chef à la sensibilisation et à la qualification des donneurs Exploitation tissus humains Héma-Québec.

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GAGNANTE Vanessa Blouin

Arrivée au CHU en 2012 au département de pharmacie à titre d’agente de planification, programmation et recherche, Vanessa Blouin a intégré l’équipe du Module d’amélioration continue en 2016. Elle a suivi de façon proactive toute formation lui permettant de se développer et de se dépasser en plus de réaliser en seulement un an ses projets lean de ceinture verte, puis de ceinture noire. Elle est maintenant l’une des 14 « ceinture noire » lean du CHU. Par son approche positive, son écoute, la qualité de ses conseils et ses suivis assidus, elle a su gagner la confiance des nombreux gestionnaires qu’elle soutient dans le déploiement du système de gestion. Dynamique, engagée, pleine de tact et de savoir-faire, Vanessa est à la fois une collègue attachante et une experte lean indispensable !

Grâce à ses qualités, à ses compétences, à son dévouement et à sa passion d’améliorer les processus, elle a eu et elle poursuit un début de carrière exceptionnel au CHU !

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Vanessa Blouin est également chargée de cours à l’UQAR pour la maîtrise en gestion de projets.

L’équipe MAC Fly, dont faisait partie Vanessa Blouin (3e à partir de la gauche), en compagnie de Gertrude Bourdon, PDG du CHU (2e à partir de la gauche) lors du Pentathlon des neiges 2018.

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FINALISTE Jean-Thomas Grantham

Jean-Thomas Grantham a été embauché en avril 2016 pour un remplacement et il s’est tellement bien intégré à l’équipe qu’un poste lui a été offert avant la fin de son contrat. Dès son arrivée, il a mis son expérience et sa créativité à la disposition du CHU, notamment en contribuant à la démarche d’amélioration continue et d’optimisation des processus au Service des com-munications. De plus, il a rapidement eu l’occasion de prouver son professionnalisme et son autonomie, notamment en améliorant de façon significative la visibilité de l’organisation par le développement d’une nouvelle stratégie de médias sociaux. Grâce à sa diplomatie et à son sens du service à la clientèle, il a su élever l’approche « expérience client » à un niveau supérieur et contribue au bon climat du voisinage du chantier du NCH.

Assurément, Jean-Thomas fait partie des personnes de la relève qui font en sorte que le CHU rayonne davantage et positivement, et ce, autant à l’interne que dans la communauté !

Jean-Thomas Grantham lors d’une collecte de sang au CHU. Les communications en lien avec le projet du NCH sont prises en charge par Jean-Thomas Grantham et sa collègue Marianne Potvin.

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GAGNANT Maître Jean Beaupré

Diplômé en droit de l’Université Laval, Me Jean Beaupré a amorcé sa pratique au sein de l’étude Lemieux, Routhier, Gagnon, Beaupré, laquelle s’est fusionnée avec le cabinet Jolicoeur Lacasse avocats.

Me Beaupré est reconnu pour son engagement commu-nautaire, entre autres parce qu’il a siégé sur de nom-breux conseils d’administration, dont ceux du Carnaval de Québec, de Centraide Québec et de la Chambre de commerce et d’industrie du Québec Métropolitain. Il a également été membre de nombreux autres conseils d’administration visant le mieux-être de la collectivité ainsi que le développement économique et culturel de la région de Québec.

L’intérêt de Me Beaupré pour le domaine de la santé s’est développé pendant ses études en droit, alors qu’il travaillait comme préposé aux bénéficiaires à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. C’est sans doute ce qui l’a incité à s’impliquer comme bénévole pour le conseil d’administration du CHU pendant plus de 17 ans ! Il a en effet été membre de 2000 à 2003, puis premier vice-président du conseil d’administration du Centre hospitalier affilié universitaire de Québec de 2003 à 2010. De 2010 à 2012, il a agi à titre de président de ce conseil d’administration. Par la suite, il a été nommé vice-président du conseil d’administration du CHU de Québec-Université Laval jusqu’à l’automne 2017.

Me Beaupré a été l’un des principaux instigateurs des discussions entre les conseils d’administration du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ) et du Centre hospitalier affilié universitaire de Québec (CHA), lesquelles ont mené à la création en 2012 du plus important centre hospitalier universitaire au Québec, le CHU de Québec-Université Laval (CHU).

Me Beaupré a grandement contribué à la mission du CHU par les nombreux dossiers traités dans le cadre de ses fonctions au sein du conseil d’administration et par sa précieuse contribution à l’aboutissement de la fusion du CHUQ et du CHA en 2012.

Le conseil d’administration tient à lui rendre hommage pour son implication remarquable et pour sa contribution exceptionnelle.

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Hommage du conseil d’administration

La soirée 2018Les animateurs de la Soirée des Diamants 2018

Gabrielle Destroismaisons

Gabrielle Destroismaisons, recrutée par les Productions Guy Cloutier, lance son premier album en 2001, alors qu’elle a à peine 17 ans. Le disque se vend à plus de 100 000 exemplaires et vaut à son interprète deux Félix, dont celui de « Révélation de l’année ». Luc Plamondon lui propose en 2000 d’incarner le person-nage de Fleur-de-Lys dans la tournée

québécoise de Notre-Dame de Paris. Son deuxième album paraît en 2003 et son troisième en 2004. Depuis, elle participe à divers spectacles, notamment Divas du Québec (2003), Dracula, entre la vie et la mort (2005), Party Time! (2009) et Blue Suede Show (2016).

Nicolas Drolet

Nicolas Drolet est diplômé du Conser-vatoire d’art dramatique en interpré-tation en 2012. Très polyvalent, on a pu le voir en 2013 dans le spectacle Action! du Théâtre Niveau Parking et la comédie musicale Le Cabaret Perdu des Produc-tions Richard Aubé. Au théâtre Premier Acte, on a pu le voir dans deux créations, La boîte (2013) et Julie-Tragédie Canine

(2015). En 2016, on a pu le voir dans le Blue Suede Show. Il a également participé à de nombreux spectacles d’improvisation depuis ses débuts en 2002, notamment dans la LUI, la LIQ, la SIT, le Club d’impro, le Punch Club et les Architectes.

Le trophée

Le soufflage du verre est la technique qui permet de produire en verre des volumes en creux à partir d’un manchon.

Le Diamant est l’œuvre de Jean Bélanger, artisan souffleur de la verrerie Coquelicot, qui pratique son art à la perfection et qui sait fusionner la couleur, la lumière et les formes.

Son œuvre s’inspire du diamant à l’état brut dans lequel on retrouve les couleurs du CHU. Chaque pièce est fabriquée une à une, à la main, avec un méticuleux souci de qualité.

Les remerciements

Aux représentants des comités de sélection

Merci aux représentants internes et externes du CHU ainsi qu’à ceux du conseil d’administration pour avoir accompli avec professionnalisme cette tâche immense.

Au comité organisateur

Cette cinquième édition a été rendue possible grâce au travail des membres du comité organisateur à qui nous témoignons notre gratitude : Mmes Marie-Claude Beauchemin, Annie Caron, Geneviève Dupuis, Anne-Marie Gervais, Karine Laroche, Isabelle Roy, Isabelle Sylvain et Nathalie Vézina ainsi que M. Michel Boudreault.

Aux proches collaborateurs et aux organisateurs

À la Direction adjointe des communications : Mmes Marie-Hélène Albert, Maude Baillargeon, Lindsay Jacques-Dubé, Mireille Dufour, Julie Labrie, Marianne Potvin, Émilie Raymond, Marjolaine Rondeau et Pascale St-Pierre ainsi que MM. Éric Etter, Richard Fournier, Claude Gélinas et Jean-Thomas Grantham.

Sincères remerciements

À Mme Marie-Claude Beauchemin, coordonnatrice à la télé-santé, l’imagerie diagnostique réseau et au développement, et à M. Guillermo Gallego, analyste en informatique, pour avoir accompli avec doigté le travail d’hôtesse et d’hôte.

Merci également à l’équipe de l’audiovisuel de la Direction de l’enseigne ment pour sa collaboration.

Et merci À Marie Bissonnette pour le concept, le scénario et la mise en scène, à Alain Simard pour la réalisation, à Alexandre Racine pour la direction musicale et à la troupe Tap Etcetera pour les numéros de danse.

À toute autre personne qui a contribué de près ou de loin à l’organisation de cette soirée.

À toutes les personnes qui ont participé aux vidéos présentées lors de la soirée ainsi qu’aux membres du personnel qui ont accepté d’expliquer en quoi leur projet contribue à améliorer l’expérience patient ou l’expérience employé. Merci à tous ceux et celles qui ont accepté de figurer ou de jouer un rôle lors des tournages, et ce, pour nous permettre de vous présenter une mise en situation plus réelle qui soit le reflet des réalisations de nos finalistes aux Diamants 2018.

À vous tous dans l’assistance, merci de votre présence et d’avoir nourri de vos applaudissements cette soirée riche en émotions !

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Cette cinquième édition de la Soirée des Diamants à été rendue possible grâce à la précieuse contribution de nos commanditaires.

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Comité des usagers

Conseil des médecins,dentistes et pharmaciens

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