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Édition départementale - Juin 2013 - Tirage : 20 000 exem-plaires - Mensuel gratuit publié et distribué par :Cité Média - 29, Av. de L’Europe - 81600 GaillacTél. 05 63 41 40 02 www.albi-info.fr, www.castres-info.fr, www.gaillac-info.frDirecteur de la Publication : Patrice [email protected] Rédactrice en chef : Marie-Jo AlibertRédaction : Marie-Jo Alibert, Yannick MichelConception graphique et mise en page : Emilie Marquès.

Service commercial :Caroline Sompayrac - [email protected] Henry - [email protected]édits photos : PGCom, Yannick Michel, Lo Bolegason, Scène Nationale, Mairie de Gaillac, Mairie de Castres, Mairie d’Albi.Crédits photos et Copyright : tous droits réservés textes et images sauf mention contraire.Dépôt légal : à parution. Ne pas jeter sur la voie publique.

édito

Directeur Général : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02 - www.pgcom.frVous voulez communiquer dans le magazine ?Un seul mail : [email protected]

régie :Société de presse RCS Albi : 790 083 315Gérant : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02SARL au capital de 80 000 €

édit ion : Cité Média

Votre actualité nous intéresse :contactez-nous : [email protected]

SommaireSommaire

Votre Contact : Nicolas AissatChemin du Verbial - Rocade Sud 81000 ALBI - www.debardautomobiles.com

* Voir conditions en magasin

-18%SUR TARIF FRANCE

* Voir conditions en magasin

4-39 Dossier du moisLe Tarn s’exporte

12-14 AutoRecul de la baisse des immatriculations,Je prépare ma voiture pour les vacances

22 Club AffairesClap de fin… pour la saison 2012-2013 !

32-34 Shopping

Les tendances de juin

40 Agenda

L’agenda des sorties

Les vases communicants

Bonne nouvelle… S’il est un domaine où la France n’accuse aucun déficit, c’est bel et bien celui de l’eau. L’année 2013 est un bon cru pour nos rivières. Une année où la pluie et la neige ont été les vedettes faisant de fait, le bonheur des escargots, mais le malheur des commerçants et des tarnais au bord de la crise de nerf. Cette année n’est donc pas une année de sècheresse. C’est ma grenouille qui me l’a dit… Alors surtout, et surtout que personne ne vienne dire le contraire. Car, plus sérieusement, selon le bureau de recherches géologiques et minières (le BRGM), près de 82% des réservoirs affichent un niveau normal voir supérieur à la normale. Les nappes phréa-tiques ont donc retrouvé grâce au mauvais temps de cet automne, de cet hiver et de ce début de printemps leur niveau. Enfin une bonne nouvelle pour nos pelouses. Mais quand même, je ne peux ironiquement pas m’empêcher de faire un lien avec notre très cher président. Si notre Président vide les bourses des Français à coups d’impôts et de taxes en tous genres, il a au moins le mérite de remplir involontairement celles des nappes phréatiques. C’est un constat, depuis son élection il pleut. C’est drôle non !!! Enfin c’est une façon de parler.

Marie-Jo AlibertRédactrice en chef

TARN

4 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 5

Économie

Le tarn s’exporte

À la mode de chez nous

Ah, la crise ! Cette foutue crise qui met à plat nombre de PME. Un contexte alarmiste certes, mais un contexte qui ne s’applique pas à tous. Heureusement. Car dans cette ambiance morose, il existe des entreprises tarnaises qui sortent la tête de l’eau afin de naviguer au-delà des frontières du département. Le savoir-faire « made in Tarn » existe et s’exporte. En voici quelques exemples. L’industrie a incontestablement marqué l’histoire et les hommes de la région. Le cuir, le verre, l’acier, le charbon, et le textile… Profitant de conditions d’exploitation remarquables et de ressources naturelles privilégiées, sachant faire prospérer son commerce au-delà de ses frontières, le Tarn a toujours été actif industriellement, et le prouve encore aujourd’hui ! Le département est aussi une terre de créateurs, d’idées et d’innovation. Le Tarn continue de s’exporter et se revendique !

par Marie-Jo Alibert

TARN

6 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 7

Économie

Quels sont les produits à développer ? Y - a-t-il des nouveaux produits ? Les atouts du Tarn ?Le département a une forte tradition d’élevage, donc les produits issus des animaux, les viandes, les salaisons typiques, les plats cuisinés avec des viandes aux origines garanties pour-raient être plus faciles à développer. Il faut aussi augmenter la notoriété des filières végétales bio ou non bio avec les pommes, les kiwis, les fruits et les légumes de saison. La proximité du marché Toulousain pourrait être un bon effet de levier.

Certaines entre-prises ont des pro-duits très spécifiques, voici quelques exemples qui montrent que l’on peut reussir, hors du Tarn et même hors de France.

• Gélatine alimentaire Weishardt à Graulhet environ 30% à l’export

• Les arômes alimentaires de Phodé à Marssac environ 50%

• Les cacahuètes et autres graines apéritives+produits pour l’indus-trie de Menguy’z à Mazamet 25%

• L’eau minérale embouteillée de Mont-Roucous 15% hors France

• Les biscuits de Maison Bruyère de Lagrave 15% export (UK, Benelux, Usa, canada) (référencé chez Dean et DeLUCA à New York)

• Les fromages de Le PIC à Penne en Allemagne , Espagne, Suisse ,Japon et Canada/USA 5%...

sans oublier les nombreux veaux et jeunes bovins que les groupements ou les négociants commercialisent en Italie et en Espagne à partir des abat-toirs de Carmaux, de Puylaurens ou de Castres…

Parmi les entreprises certaines ont déve-loppé des produits innovants ou fabri-qués à partir de technologies modernes. Par exemple, l’atelier de pâtisseries Sectal à Castres fabrique une partie de ses gâteaux orientaux grâce à des auto-matismes qui intègrent de véritables «robots».

Les atouts du Tarn sont entre autres, aussi un beau bouquet de produits sous signes officiels de qualité reconnus par l’Europe dont l’Ail Rose de Lautrec qui détient le Label Rouge et l’IGP est un fer de lance, mais aussi les viandes d’agneaux labélisées, la future IGP pour les salaisons de Lacaune, les produits Bio, les volailles Label Rouge, le canard à foie gras du Sud Ouest-IGP, le cabé-cou d’Autan Label Rouge, tous les vins de Gaillac…..

Quels rapports avez-vous avec les entreprises ?Nous avons créé la marque « Saveurs du Tarn » en 2012 pour

fédérer l’ensemble des acteurs tarnais de la fi-

lière. Aujourd’hui c’est l’une de nos forces. Grâce à cette

marque, l’entreprise informe le client que le produit est transfor-

mé ou produit dans le Tarn. Le client contribue à faire vivre l’économie locale. On trouve les produits de la marque en grande distribution, dans les magasins de vente à la ferme, dans les épiceries , sur les marchés etc.

Nous aidons aussi les entreprises à trou-ver de nouveaux réseaux commerciaux. Nous organisons des animations en grande surface, en région parisienne ou toulousaine, on peut aussi les accom-pagner pour créer des pôles tarnais sur les salons de vente directe comme le salon Vins et Terroirs de Toulouse, le salon Savim de Marseille, le salon de

l’agriculture à Paris etc... ou sur des ma-nifestations professionnelles comme le Salon International de l’Alimentation à Lyon (SIRHA), ou le salon des Comités d’entreprises à Toulouse….

Que comptez-vous faire pour consolider le tissu agroalimentaire tarnais ?Nous allons continuer à soutenir nos en-treprises et faire notre maximum pour que les produits tarnais se consomment en masse dans le département. Vendre à l’extérieur c’est bien et on en a besoin mais vendre dans son département c’est primordial pour beaucoup d’entreprises, c’est souvent une phase essentielle pour leur développement. Nous travaillons aussi à favoriser la présence des produits tarnais dans la restauration collective lo-cale, d’ailleurs début juillet nous ferons se rencontrer une centaine de profes-sionnels à Cap Découverte.

Existe-t-il des leviers indirects ?Le Conseil général du Tarn, est un atout majeur dans le développement de l’agroalimentaire grâce notamment à son implication financière. La région Midi-Pyrénées fait aussi beaucoup pour l’innovation en mettant à la disposition des entreprises des outils techniques et financiers. Elle a aussi créé la marque « Sud Ouest France » pour fédérer les entreprises et a le projet d’ouvrir d’ici à la fin de l’année la première maison Midi-Pyrénées en Chine où l’on devrait trouver au moins 3 ou 4 produits du Tarn... ■

Agropoint

Des produits de très bon goûtDepuis de nombreuses années, le Tarn cultive une tradition agro-alimentaire qui trouve sa place sur le marché national. Rencontre avec Pierre Verdier, président d’Agropoint.

Président d’Agropoint, comment concevez-vous votre mission?Je suis Président d’AGROPOINT de-puis 18 mois maintenant, la mission du centre agroalimentaire est depuis sa création, de venir en appui des entre-prises pour le développement du secteur agroalimentaire. La particularité dans le Tarn, c’est que derrière AGROPOINT ce sont plus de 80 entreprises issues de secteurs et de tailles très divers avec des objectifs, des marchés, des besoins très différents. Des producteurs fermiers, des artisans ou des industriels de l’agro travaillent ensemble. Ce qui fait leur lien, c’est le territoire…

Avec un conseil d’administration très complet (Conseil général, chambres consulaires, entreprises de production et de distribution, 4 filières) un bureau resserré autour de chefs d’entreprises (deux vices présidents et un trésorier issus du secteur entreprises) et surtout une équipe de 5 permanents. Nous avons les moyens de soutenir active-ment ce secteur économique qui pèse dans le département.

La confiance du Conseil Général du Tarn est aussi un élément essentiel pour le bon fonctionnement de notre associa-tion. Notre mission se doit d’être simple, efficace, la plus adaptée possible à nos ressortissants.

Quels sont les produits tarnais les plus en vogue sur le marché ?Dans un contexte plutôt favorable au consommer local, fort heureusement beaucoup de produits fabriqués dans le Tarn sont consommés hors de nos frontières. Le marché régional souvent élargi aux trois régions du grand sud-ouest représente environ 70% de ventes en valeur.

Le Tarn avance avec des entreprises ou des filières leaders qui ont su trou-ver leur place sur le marché français et même sur certains marchés européens, voir aussi le grand export.

Des produits connaissent depuis plu-sieurs années un développement conti-nu, je pense notamment aux fromages au lait cru de chèvre ou de brebis fabri-qués soit chez des producteurs fermiers, soit chez des petits artisans fromagers. D’ailleurs trois entreprises du Tarn se-ront début juin au « Mondial du fromage à TOURS », grâce à Agropoint.

Ensuite je pourrais vous parler des vins de GAILLAC, qui bien sûr avec des caves coopératives actives sur les grands marchés, mais aussi des vigne-rons indépendants nombreux et perfor-mants sur les marchés traditionnels tels que le CHR, les cavistes, la VPC avec internet au caveau sont une production emblématique…

Le marché historique et traditionnel des vins de Gaillac (l’ouest tarnais) est dépassé, maintenant que sa place est acquise dans tout le département, c’est

surtout à TOULOUSE, MONTPELLIER en région parisienne qu’il y a du déve-loppement possible. Il y a aussi du po-tentiel à l’international et grâce au rap-prochement avec les autres vins du SUD OUEST, notre vignoble progresse sur les marchés européens (UK, Allemagne, Benelux, Scandinavie…) mais aussi sur le grand export (Canada, Russie, Chine, Asie du Sud est…)

Les gammes de vin s’appuyant sur de vieux cépages (Prunelard, Loin de l’oeil…) même si elles représentent de petits volumes, font une percée, les vins IGP (vins de pays) petit à petit vont se faire une place à coté des AOP.

Les salaisons de LACAUNE sont bien ancrées dans le territoire et par tradition dans le SUD OUEST et surtout le SUD EST. Le chiffre d’affaires hors TARN a progressé régulièrement depuis 20 ans, grâce à la grande distribution. Des en-seignes bien implantées dans d’autres ré-gions mettent en avant des produits du Tarn, tels que le veau du SEGALA que l’on trouve dans le Nord, dans l’ouest et la région parisienne.

Les produits biologiques du TARN (AB et/ou Nature&Progrès) sont aussi en vogue, comme partout en France, avec de nombreux produits frais issus des fermes ou des artisans du TARN, mais aussi des produits d’épicerie (conserves, biscuits). Par contre, beaucoup de ces produits sont cantonnés aux marchés locaux, sauf peut être des produits is-sus de céréales avec par exemple la plus grosse coopérative BIO du SUD OUEST (Agribio Union) situé à Salvagnac et des entreprises aux marchés de niches, comme GAIA (pains Essene) située à Graulhet qui vend surtout dans les grands centres urbains où se trouvent de nombreux magasins spécialisés BIO ou diététique.

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Économie

Life Tarn

Le Tarn sous toutes ses formesLes produits « Made in Tarn » que ce soit Life Tarn et Cola by Tarn, dont la fabrication se fait à partir de l’eau de source de l’Aubrac font recette. Déclinés sous toutes ses formes (boisson, prêt-à-porter, posters…), le label Life Tarn fait aujourd’hui son bonhomme de chemin en brandissant très haut le savoir-faire et les valeurs du tarnais.

T out est parti d’un délire entre potes en 2008. A l’instar de « Life Guard » que l’on voit

dans de nombreuses stations balnéaires, Thierry Cabanis a eu l’originale idée de confectionner des tee-shirts estampil-lés sous la bannière « Life Tarn ». Deux cents pièces plus tard, bingo. La presse s’empare du produit. « Mon idée était de faire rayonner le Tarn au-delà des frontières », explique Thierry proprié-taire d’une boutique « Cosa-Cosy » à Lavaur. « Tout a débuté après une jour-née passée sur mon surf à Hossegor et

une soirée avec un ami. En fait, j’ai lancé cette marque sans le faire exprès ». Ok boy. Mais chez Cabanis un produit peut en cacher un autre. Cet amoureux du Tarn n’en reste pas là. Et ça marche. Comme on dit dans le jargon com-mercial, « cet homme a du pif ».

En 2009, il sort l’affiche sur l’UNESCO, une affiche qui lui vaudra d’ailleurs le premier prix de la commu-nication. Et en 2010, le Cola du Tarn pétille dans les verres. « J’ai essayé de le

faire fabriquer dans le département mais aucun brasseur tarnais n’a répondu pré-sent », continue-t-il. « Pour cela, j’ai fait équipe avec la Brasserie d’Olt, des bras-seurs aveyronnais imaginatifs qui four-niront le précieux breuvage avec de l’eau de l’Aubrac, rien de moins. Et les pre-miers retours sont très encourageants. Beaucoup de bars et de commerçants se sont déjà manifestés pour vendre mon cola. On a du mal à suivre » nous dit-il un rien amusé. Essentiellement en vente dans des boutiques tarnaises, le Cola du Tarn n’a pourtant pas franchi la porte de la grande distribution. Etonnant ?

Pourquoi cette retenue ? Serait-ce un manque d’ambition ? « J’ai été contacté par des grandes surfaces mais je ne veux pas le leur vendre ». C’est une façon de voir les choses. Mais encore. « J’ai mis 5 ans à sortir de l’ombre. Aujourd’hui mes produits se vendent bien et sont connus. Le fait de produire peu, stimule les envies. Je garde ma ligne de conduite. Nous nous revendiquons comme des commandos du terroir ».

Une philosophie qui marche. Comme quoi, il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres.

Un short de rugby customisé Donc, après les tee-shirts, les affiches, le cola, c’est au tour de l’ovalie de se démar-quer avec la création de shorts de rugby customisés pour nana du Sud-Ouest. Ce nouveau produit sortira sous le doux nom : « le short de chez toi ». « Les pre-miers essais sont excellents », précise Thierry Cabanis. « C’est un produit qui n’a pas de frontières et qui peut se décliner ».

Autrement dit, Life Tarn a de l’avenir. A l’instar de 64, le 8-1 n’a pas fini de faire parler de lui. ■

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Économie

Perles and Co

Une pépite leader en EuropeIl a démarré en 2004 dans son appartement pour vendre des perles via internet. Aujourd’hui, Jean-Etienne Estingoy pèse 6,7 M€ de chiffre d’affaires et emploie 17 personnes.

L es success story ne tombent pas du ciel. Elles sont toujours le fruit d’une excellente ima-

gination et d’un modèle économique novateur. C’est le cas pour Jean-Etienne Estingoy et sa très belle pépite, Perles and co, située dans la ZA Montplaisir. D’où lui est venue l’idée de vendre des perles et autres accessoires pour bijoux sur internet ? « Ma compagne comman-dait des perles sur des sites aux Etats-Unis. Puis je me suis rendu compte que la plupart des produits venaient d’Eu-rope. Or il n’y avait aucun site en Europe et encore moins en France. Je me suis donc lancé », explique ce chef d’entre-prise qui a connu une progression très rapide, « emporté par le phénomène de mode ». Puis quand le marché s’est un peu calmé en France, le choix stra-tégique de développer les exportations s’est avéré payant, notamment vers l’Es-pagne et l’Italie. Perles and co vend pour moitié à des professionnels, créateurs de bijoux, et le reste à des particuliers, des femmes, jeunes ou moins jeunes, qui adorent se faire elles-mêmes leurs bijoux, pour des sommes raisonnables, voire modiques. Constat imparable de

Jean-Etienne Estingoy : « Le bijou est un produit nécessaire, qui marche toujours, malgré la crise. C’est très simple, on peut se faire plaisir pour 6 ou 7 euros ».

Objectif 60 000 référencesL’entreprise a commencé avec 500 réfé-rences, elle en propose actuellement plus de 31 000 ! « Notre développement passe par un doublement du nombre de références, avec des nouveautés, mais aussi d’autres gammes de produits », indique le diri-geant. « Malgré le protectionnisme de certains pays euro-péens, nous devons être en mesure de proposer environ 60 000 références, pour un marché européen de 150 millions de clients ». Un développement qui devra passer par une surface de stoc-kage deux fois plus grande, de 1000 m² actuellement à 2000

m² dans un avenir proche. Aujourd’hui, en moyenne, 400 à 500 commandes partent chaque jour du dépôt vers l’Eu-rope entière. Sur place, 10 salariés prépa-rent les commandes et gèrent les envois, 4 commerciaux s’affairent à développer la société, deux personnes alimentent le catalogue avec fiches produits et sché-mas de montage, et une autre est respon-sable des achats auprès des fabricants. « Aujourd’hui le marché est arrivé à ma-turité, estime Jean-Etienne Estingoy, il y a une demande qui est stable, mais pas de produit star qui engendre une grosse croissance ». Le secret maison, c’est donc sentir les tendances. Couvrir les salons de loisirs créatifs. Suivre la presse fémi-nine, les blogs et autres réseaux sociaux qui font le buzz sur le dernier bijou à la mode, comme le bracelet de Florent Pagny, qui a fait un tabac dernièrement. « Le marché part d’en bas, il faut être à l’écoute des idées originales ou géniales. Entre le moment où ça part et le temps de trouver le fabricant il faut aller très vite pour coller à la demande », explique ce chef d’entreprise. Voila les ingrédients pour trouver la perle rare.

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Publi-reportage

12 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 13

Auto

AUTORAMA EVASION

Votre concessionnaire Nissan à Castres

Depuis mars 2012, Nissan vous accueille dans son nouveau showroom castrais pour venir découvrir les dernières nouveautés du constructeur japonais qui fait désormais partie du groupe Renault-Dacia-Nissan.

C’est en 2010 que Jean Paul Marhuenda ar-rive en tant que directeur de la concession et développe le nouveau point de vente en

mars 2012, route de Toulouse à Castres. Ce pro-fessionnel chevronné qui évolue dans le domaine de la voiture depuis 1986 gère Nissan au sein du groupe Peyrot possédant également des conces-sions Nissan sur l’Ariège, Saint Gaudens et Revel.

Qualité et innovationComme le souligne notre professionnel lorsque l’on évoque le choix de la marque nippone, « Nissan c’est avant tout une marque en pleine évolution, en avance sur son temps avec un taux de pénétration sur le marché qui a plus que dou-blé en 10 ans ». Nissan c’est également un design atypique, pensé, sans cesse réinventé qui se dé-marque de ses concurrents comme l’ont déjà prouvé le Qashqai, le Juke ou bien encore la Nissan Micra. Comme le sou-ligne Jean-Paul Marhuenda : « la force de Nissan c’est de proposer une gamme complète de produits de la citadine aux utilitaires, en passant par les cross over. D’ailleurs nous deve-nons également ce mois-ci distributeurs Nissan Trucks qui propose des véhicules utilitaires du permis tourisme jusqu’au poids lourds ».

Côté services, c’est un accompagnement global que vous propose Autorama Evasion. Des solu-tions de financement du véhicule jusqu’à son en-tretien. « Nous avons un service après vente qui est primordial dans notre activité. Tous nos véhi-cules sont garantis 3 ans. C’est également une assistance 24/24h comprise pour toutes pannes, la prise en charge des personnes, le remorquage et le prêt de voiture », ajoute notre professionnel. Autorama Evasion Nissan propose aussi des packs révisions qui permet d’échelonner mensuellement

le règlement de l’entretien sur une durée de 4 ans et 120 000km.

La nouvelle Nissan LEAF En vrai précurseur de la voiture électrique et après avoir lancé en 2011, la Nissan Leaf qui s’est écou-lée à plus de 60 000 unités, Nissan lance sa nou-velle Nissan Leaf 2013, 100% électrique. La sil-houette de la voiture électrique la plus vendue au monde n’a pas changé mais elle bénéficie d’amé-liorations techniques significatives. Elle est aussi bien plus endurante : son autonomie (améliorée de +15%), fruit de plusieurs évolutions techniques notables (aérodynamique améliorée, réduction de poids, pompe à chaleur, amélioration de la régé-nération au freinage, etc…), passe de 175 à 199 km (norme NEDC). Par ailleurs, un nouveau

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Automobile

Recul de la baisse des immatriculationsAvec une baisse de 5,2 % en avril dernier, les immatriculations de voitures neuves en France traduisent malgré tout une meilleure résistance du marché qui bénéficie du lancement de nouveaux modèles par plusieurs constructeurs.

L e marché semble vouloir arrêter de s’écrouler car on n’a pas eu de baisse à deux

chiffres comme les mois précé-dents», a commenté au téléphone François Roudier, porte-parole du CCFA.

C’est la première fois en effet que les immatriculations accusent un recul inférieur à 10% depuis six mois.

« Devant l’arrivée actuelle de nou-veaux modèles, il peut y avoir une attente des consommateurs »,

poursuit-il. « Nous avons eu en avril un petit rattrapage et on com-mence à parler d’un point bas. Mais la question reste de savoir où il se situera. » ; Là est la question car il y a encore du boulot afin de redres-ser la courbe, même si l’on constate un ralentissement de la baisse des immatriculations de 2,8% chez Renault. Un ralentissement étroi-tement lié au renouvellement de la gamme Losange, mais aussi avec la Clio de 4E génération et sa version 4X4 et Captur. Chez PSA Peugeot,

le groupe enregistre quant à lui un recul de ses immatriculations 12,1%. Volkswagen (+4,4%) a lui rebondi avec la nouvelle Golf, sep-tième du nom.

Après une année 2012 en chute libre et un premier trimestre à peu près à l’unisson, sur les territoires français et européens, plusieurs entreprises du secteur ont évoqué récemment la possibilité que le creux de la vague puisse être bientôt atteint. ■

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14 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr

Auto

Je prépare ma voiture pour les vacances Même si le beau temps reste aléatoire et incertain, les vacances approchent à grand pas. La rédaction a compilé pour vous quelques conseils pour préparer votre voiture pour le grand départ. Zoom sur quelques gestes utiles pour partir en toute sécurité et éviter bouchons, dépenses et autre stress.

Avant de partir Avant le départ, je fais un tour complet de ma voi-ture. Vérifier la pression des pneus, les niveaux d’huile et des liquides permet de prévenir les petits tracas, d’autant plus que des pneus qui sont usés ou sous gonflés

e n -traînent des dé-penses d’éner-gies supplémentaires. On pense d’ailleurs à prendre le rendez-vous assez tôt en cette période de l’année où les garagistes sont débordés.

Je prépare mon trajetPour économiser du temps et de l’argent, on pense à pré-parer son trajet pour se rendre compte de la durée glo-bale et des temps de pause à prévoir surtout lorsque l’on a des enfants. Cela permettra d’éviter les détours inu-

tiles et on peut même aller jusqu’à prévoir les différentes stations

essence pour se ravitailler en sortant de l’autoroute où les prix sont bien sou-vent inférieurs.

On adopte une conduite

économique On évite les accéléra-

tions inutiles qui entrainent une flambée du prix du trajet. On préférera une vitesse constante source d’économies d’essence. Et puis pour ceux qui en possèdent, on pense à utiliser le régulateur de vitesse. Pour tout le monde on changera de vitesse à bon escient, ainsi on préfèrera la 4ème à la 3ème dès 50km/h pour consommer moins.

On prend des pauses régulièresOn pense à se reposer au détour d’un petit village

à visiter sur le trajet ou sur une aire d’autoroute on fait une pause toutes les deux heures.

Je n’oublie pasOn vérifie qu’on a tout l’équipement obliga-toire pour éviter les amendes. Triangle de si-

gnalisation, gilet de visibilité et l’éthylotest qui sont obligatoires dans le véhi-

cule. On pense aussi à prendre tous ses papiers (permis, carte

grise et à les garder à portée de main en cas de contrôle.

Le conseil du professionnelAlain Maurel, responsable commercial Nissan Castres

Quelles sont les précautions à prendre ?

Il faut se rapprocher de son mécanicien pour vérifier que l’ en-tretien du véhicule est à jour et ne pas avoir de surprise sur le trajet : vidange, freinage, courroie de distribution, état des pneumatiques, éclairage, clignoteurs... Avant de partir, il faut penser à nouveau à contrôler tous les niveaux (ou le faire faire à son mécanicien). Il est nécessaire de vérifier la pression des pneus et les gonfler en fonction de votre trajet (route ou autoroute) et du nombre de personnes embar-quées, car la pression est différente. Bonne route ! ■

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TARN VIANDES

Professionnels de la boucherie de père en filsC’est avec une vraie passion pour leur métier que la famille Narbonne vous accueille depuis 1989 avenue Albert Thomas à Albi sous l’enseigne TARN VIANDE et vous conseille accompagnée de leurs bouchers sur des produits de qualité défendant la production française.

C’est avec une vraie passion pour leur métier que la famille Narbonne vous accueille depuis 1989 avenue A-Thomas à Albi sous l’enseigne TARN

VIANDE et vous conseille accompagnée de leurs bou-chers sur des produits de qualité défendant la produc-tion française.C’est en 1979 que Max Narbonne, le père de Jean-Fabien actuel dirigeant, crée la SARL TARN VIANDE à l’abattoir municipal d’ALBI en tant que chevillard. Il assure alors tout le processus du choix et de l’achat des bêtes sur pieds jusqu’à leur revente en carcasses auprès des bouchers locaux et régionaux . En juin 1989 lorsque l’abattoir albigeois ferme, il décide de créer une boucherie détail et demi-gros avenue A-Thomas à ALBI pour les particuliers et les professionnels avec un sys-tème de vente particulier. Son fils, Jean Fabien le rejoint en 1992 et se forme aux différents métiers de la bou-cherie ( achats, découpe, gestion,..). Dès lors il participe au développement de l’entreprise avec toujours Max, son père, qui veille au grain depuis bientôt 25 ans.En effet, cette entreprise familiale a formé avec succès 34 apprentis dont 4 sont salariés sur les 18 employés. Elle vit avec son époque et met un point d’honneur à être une vitrine de la viande française en privilégiant au maximum la production régionale et nationale. Depuis 2008 la clientèle de professionnels s’est étoffée grâce

à l’acquisition de l’agrément européen de découpes de viandes pour répondre aux appels d’offres des collecti-vités locales (Fondation du bon Sauveur, cuisines cen-trales d’Albi et ST-Juéry, ASEi, etc.).

Un accueil repensé et de nouveaux services En contrepartie, la SARL Tarn Viande a réalisé d’impor-tants travaux de remise aux normes : extension du local pour le personnel ( salle de repos, vestiaires, sanitaires, et bureaux ), création de locaux pour le stockage ( car-tons, barquettes…). Avec un gain de place conséquent, la SARL souhaite développer la clientèle des particuliers ( sans pour au-tant oublier les professionnels ) avec un nouvel espace de vente installé dans les locaux historiques de l’avenue Albert Thomas. Côté produits, la qualité est au rendez-vous avec tou-jours la volonté de défendre le « made in France », comme en témoigne les différents morceaux soigneu-sement alignés par nos professionnels sur l’étal (ser-vice à la coupe). Le point de vente dispose désormais d’un nouveau rayon libre service (viandes, charcuteries, canard) en barquettes ou sous-vide : le client a le choix sur des produits classiques (bavette, saucisse, côte de porc, etc.) et aux mêmes prix qu’à la coupe mais en ver-sion express ! Un rayon traiteur complète l’offre en plats cuisinés préparés sur place avec nos produits à la vue du client et vendus aussi en barquettes libre-service.Enfin, un service rôtisserie (poulets et rôtis) est assuré pour le week-end ! Pour une entrecôte, un filet de bœuf, un rôti de veau, ou un gigot d’agneau, n’hésitez pas à vous laisser séduire, toute l’équipe saura vous conseiller et vous accompa-gner dans le choix de vos viandes pour réussir toutes vos recettes. ■

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Économie

BadenKo

Trois jeunes au volant d’une drôle de machineCommercialisée depuis septembre dernier, la machine BKL va révolutionner le monde du badminton.

B KL, derrière ces trois lettres se cache une machine unique en son genre. Une machine

qui révolutionne le badminton. A l’ins-tar de sa cousine du tennis, BKL, autre-ment nommée Badenko, est réservée aux joueurs de Bad. Inventée par trois jeunes, Yohann, Jérémie et Simon du-rant leurs deux années d’ études en BTS, cette machine est le fruit d’un travail ingénieux tout droit sorti de cerveaux tarnais. Unique modèle en France, BKL est l’instrument idéal pour les entraîne-ments des badistes. Résultat, les clubs se l’arrachent d’autant que contraire-ment à son homologue Canadienne, la machine tarnaise coûte moins chère

(2490€ contre 5000€) et affiche des per-formances techniques de haut niveau : 3 volants par seconde. « Nous l’avons fait tester par des champions internationaux dont un ancien champion du monde, lors du dernier rendez-vous organisé à Genève. Ces derniers ont été agréable-ment surpris de ses capacités », explique Jérémie avant d’ajouter : « Elle peut si-muler des matches et s’adapte à toutes les situations de jeu». Des atouts qui font qu’aujourd’hui, nos trois compères -ba-distes pour deux d’entre eux- peuvent espérer de beaux jours pour leur jeune société. « En France il y a un potentiel de 1800 clubs » continue Yohann. Pour l’heure nous avons de grosses demandes

qui viennent du Nord (Paris, Bretagne, Nancy…). En quelques mois nous avons déjà vendu des dizaines de machines ». Et ce n’est pas fini car nos « professeurs trouve tout » veulent se diversifier en réalisant une nouvelle version et tou-cher de fait l’Europe. Seul bémol, leur moyen de production. Installés dans le garage de leur maison de St- Benoît de Carmaux , leur rendement actuel est de 10 machines par mois. Un détail certes, mais un détail qui a son importance. Quand on connaît l’avenir et le déve-loppement de ce sport il est fort à parier qu’ils vont devoir s’agrandir rapidement. « D’ici 10 ans le badminton sera le pre-mier sport de salle en France et de ra-quette d’ici 20 ans. Le nombre de licen-ciés explose », se réjouit Jérémie.

Leaders sur ce marché, ils entendent bien rester numéro un sur ce segment, grâce à leurs techniques autant que leur créativité de fabrication française. ■

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Économie

Clair de terre et Poterie d’Albi

Des générations attachées à la terre Chez les Bergeal, la poterie et le travail manuel de la terre est une histoire de famille qui dure depuis 1891 date de la création de la briqueterie implantée à Lescure. Un savoir-faire made in Tarn qu’ils perpétuent aujourd’hui au-delà des frontières du département sous la marque : Poterie d’Albi et Clair de Terre.

T out débute en 1891 sur Lescure avec l’ouverture de la briquete-rie de l’aïeul Henri Bergeal.

Trois générations plus tard, l’entreprise familiale prend un nouvel essor et dé-cide de partir vers la fabrication de pote-ries utilitaires puis de décorations. Une nouvelle orientation professionnelle qui restera familiale et qui marquera sur-tout la naissance de deux entreprises distinctes. Distinctes certes mais com-plémentaires car toujours marquées du « sceau Bergeal ».

« Mes parents, Elizabeth et Bernard Camillo gèrent la Poterie d’Albi implan-tée sur l’avenue Albert Thomas. Afin de se démarquer de la concurrence, ils se sont spécialisés dans la poterie horticole de jardin avec un atout majeur : le déve-loppement des couleurs. Aujourd’hui la société est numéro un en France sur ce marché », explique Lore Camillo, leur fille qui gère depuis 1997 la socié-té Clair de Terre, installée à Lescure. Faisant partie des six derniers survi-vants dans ce domaine professionnel en

perte de vitesse, Lore Camillo a, quant à elle, depuis long-temps enclenché la seconde pour foncer vers le succès et la reconnaissance de ses pairs. Une nana qui n’a pas les deux pieds dans le même pot. Pour preuve sont dynamisme, son audace et son intuition, qui lui ont valu de remporter en 2012 le trophée de bronze (dans la catégorie déco) à la foire de Paris. Contrairement à la « Poterie d’Albi » (16 salariés) qui reste plus traditionnelle dans ses choix et ses réalisa-

tions, « Clair de Terre » développe de nouveaux procédés de fabrication tels que le ciré, ou encore la patine. Une griffe personnelle, qui donne à la socié-té toute sa légitimité d’un savoir-faire ancestral tarnais unique en Europe. « J’aime travailler les bi-couleurs et les bi-matières », précise la jeune gérante. « Chaque année nous renouvelons 25% de notre collection. C’est ce qui fait notre force. En 2014 nous allons sortir cinq nouvelles couleurs et sept nouvelles formes » On n’en saura pas plus sur ce sujet, concurrence oblige.

Nul n’est prophète en son pays.Première entreprise en France sur le marché jardinerie et bricolage « Clair de Terre » compte aujourd’hui 11 sala-riés, 12 commerciaux et produit 130 000 pièces par an. Une cadence bien rythmée par une équipe bien formée. Pourtant une tâche vient noircir le ta-bleau de cette entreprise en plein déve-loppement. « Aujourd’hui nous faisons

moins de 1% de notre chiffre d’affaires à Albi », déplore Lore. Un manque qu’elle compte bien rectifier en se faisant connaître des siens. « Si notre gros pro-blème est notre implantation géogra-phique, l’autre point noir est que dans la tête des gens la Poterie D’albi et Clair de terre ne font qu’un ». Pour cela, elle a lancé un site Internet dans lequel figure 600 références de produits en lignes. A ce titre, « C’est l’IUT de Castres qui a mis au point l’emballage des poteries à expé-dier », poursuit Lore avant d’ajouter. « J’ai envie de relooker l’image vieillis-sante de la poterie », explique-t-elle. « On aimerait aussi se développer auprès des architectes d’intérieurs, des paysa-gistes, de fleuristes et mettre en place un réseau de vente à domicile». Une ambi-tion qui devrait porter ses fruits d’autant que « Clair de Terre » est présente dans une boutique albigeoise Tarn’Emotion. Leader de la poterie horticole émaillée en France, les deux sociétés comptent bien le rester en continuant à dévelop-per leurs techniques made in Tarn. ■

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TARN

22 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 23

Club AffairesClub Affaires SCA

Clap de fin…pour la saison 2012-2013 !

6 Nouveaux partenaires depuis le dernier Club Affaires :

- CCA INTERNATIONAL

- MASSOL PLOMBERIE

- CAMPS JEAN MICHEL

- ALBI PROFILS

- LYNX OPTIQUE

- TRANSPORTS SARRAZAIN

Le rideau tombe sur la saison 2013-2014… Pour ce diner de clôture du club affaires, le SCA a choisi de réinvestir ce magnifique lieu qu’est le Château Touny Les Roses. Si le soleil était aux abonnés absents, les partenaires avaient, quant à eux, répondu présents puisqu’ils étaient plus de 170.

A l’instar des autres soirées, une personnalité du monde sportif nous a fait l’honneur de sa présence. Pour cette fois-ci, c’est Serge Milhas, ancien en-traineur du BO et du Stade rochelais, venu en voisin puisqu’il prendra les

rennes du Castres Olympique dès la saison prochaine. Avec Henry Broncan, ils ont eu plaisir à nous faire partager quelques unes de leurs anecdotes du rugby d’antan ! Une véritable amitié et complicité qui laisse présager une entente plus que cordiale entre les deux clubs et qui débutera le 02 Août prochain par un match amical à Lavaur !

Des objectifs ambitieuxPour clôturer cette soirée, le président Jean Jacques Castanet, s’est adressé aux parte-naires pour leur exposer les ambitions visées pour le club : sur le plan sportif, comme l’ont confirmé Henry Broncan et Yogane Correa, c’est avant tout de retrouver le haut du classement, et pourquoi pas disputer une demi finale ! Au niveau commercial, l’objectif est tout aussi élevé, comme l’explique Jean Jacques Veyrac : « A ce jour, vous êtes 250 partenaires, nous espérons passer le cap des 300 à la fin de la saison pro-chaine. Ceci pour la réussite du Club Affaires mais aussi pour la vôtre ! Des parte-naires supplémentaires ce sont autant d’opportunités d’affaires en plus pour vous. Pour y parvenir, nous avons besoin de vous, la cooptation (1 partenaire = 1 nouveau contact) est un levier indispensable de développement à notre réseau. En plus du tissu local et régional, nous espérons arriver à élargir notre périmètre d’actions en ramenant des partenaires parisiens. »

Une chose est sûre, le SCA souhaite poursuivre le développement amorcé en 2011 et se donne les moyens de renouer avec le succès ! Rendez-vous donc pour la saison 2013-2014 ! ■

Jean Marie Couderc - Eiffage TP Sud Ouest Tarn, Didier Paulin- CSA

Géraldine de Saint Salvy - Cubevents, Nicolas Lecomte - Relief Doc

Laurent Cabanes - MMA 3 Assur, Bernard Sabrié - Administrateur, Pierre Tranier - Ecoffi

Julien Gauthier et Julien Guiard, entraineurs des espoirs, présentant le trophée de Champion de France Espoirs.

Jacques Tranier- Vinovalie, Gérard Mariou - Allianz

Dessert «made in tarn» réalisée par Emmanuelle Gontard de Patisse!rire

Philippe Lamy - RAGT, Eric Fernandez - Novedia

Henry Broncan - Manager Sportif SCA, Serge Milhas - futur entraineur du CO, Jean Jacques Castanet - Président SCA

Luc Marta De Andrade - E-Need, Hugues Henry - directeur général SCA

Yann Clauzier - Onet, Jean Marc Harthe - CCA International, François Laville - Crédit Agricole

M.Dionizio - Phonialys, Philippe Cignaco - MAN, Eric Rivals - Transports Rivals

Apéritif- Cour du Château

Bernard Martin - Exco, Manuel Villanueva- Via Alternatives Patrimoniales, Nathalie Poulain-Groupama d’Oc

TARN

24 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 25

Économie

Regain

Une maille à l’endroit Créée en 1973, l’entreprise Regain est spécialisée dans la fabrication d’articles en maille (pull-over, sweat-shirt, polaire, etc...) pour le marché de l’uniforme & de l’image de marque.

R econnue sur le plan natio-nale voir européen, la socié-té, installée à castres emploie

26 salariés. Une dynamique qu’il faut constamment motiver car le secteur est concurrentiel avec notamment la pré-sence sur le marché de Armorlux, Saint James, La Calaisienne, EK, etc...Donc pas question de s’endormir. L’entreprise castraise dispose de trois commerciaux exclusifs sur la France et le Bénélux dont l’objectif est de Répondre à des Appels d’offres sur des marchés publics ainsi que des consultations. La maille oui, mais quelle est la spécificité du produit et sa valeur ajoutée permettant de jouer dans la cour des grands. « Nos Articles

en maille uniforme respectent des ca-hiers des charges avec des propriétés techniques (non feu, haute visibilité, anti statique, etc...) correspondant à des normes CE. La fabrication est certifiée ISO 9001 (Qualité) et labellisée ISO 26000 (Developpement Durable) », ex-plique le directeur Laurent Brunas.

Fabriquer des pulls pour le monde professionnel fait partie de l’ADN de Regain. Comme le rappelle, Laurent Brunas, le dirigeant « mon équipe et moi en fabriquons depuis plus de 25 ans. C’est notre passion … L’exigence de ces marchés nous a poussés au fil des années à faire toujours mieux. Offrir à chacun de vous ce savoir faire, ce respect

de la qualité, du produit est pour nous comme le témoin que se passe les ath-lètes dans les compétitions par équipe… Un fil conducteur… ». Ce qui inter-pelle chez Regain c’est l’implication des équipes et leur expérience …Un savoir-faire que le directeur compte bien fructi-fier en maintenant l’outil de Fabrication en France et sauvegarde des emplois en fabrication. ■

Just Campagne

Le cuir dans la peauAvant d’être une maison française de renom, Just Campagne est tout un symbole. Derrière ce nom qui «ne ressemble à aucun autre», dixit son créateur Azzedine Berkouk, il y a Saint Just et ses valeurs humanistes accolées d’un clin d’œil à la nature, à la terre et aux racines.Just Campagne, c’est aussi le parcours d’un homme et la concrétisation d’une passion.

D ’Alger à Albi où il arrive avec sa famille à l’âge de 9 ans, Azzedine Berkouk se pas-

sionne très tôt pour l’artisanat lié au cuir dans cette région de France qu’il ne veut quitter sous aucun prétexte. C’est à Mazamet, qu’il jette son ancre avec sa femme Isabelle et ses quatre enfants, prend du recul, se ressource et trouve son inspiration.

Azzedine Berkouk, voyageur dans l’âme, observateur et attentif, sensible au bel ouvrage, qui depuis plus de 30 ans, fa-çonne le cuir dans la pure tradition de la sellerie Française. Son souci du dé-tail et des belles matières confère à ses créations un défi contre le temps, la pa-tine inégalable de ses cuirs donne à ses

œuvres tous leurs sens. « Notre atout est de travailler sur des produits de luxe », précise-t-il. « Chez nous on ne suit pas la mode, tous nos modèles sont faits pour durer. Notre stratégie est d’utiliser des cuirs Français».

D’ailleurs c’est en observant les femmes, dans les plus grandes capitales de Paris, à New York, Milan, Tokyo..., qu’il a eu l’idée de transformer les sacs d’embal-lage de papier en un bel objet de cuir aux finitions soignées. Dès lors le mo-dèle «Cabas» est né. Pratique et chic, les rédactrices de mode se le sont ac-caparées. Celui ci, devenu un modèle incontournable de la maison, se dé-cline aujourd’hui dans toutes les tailles, les matières et couleurs. «On se fatigue de l’inutile. Je n’ai pas inven-té le jean, mais j’ai créé le cabas» argu-mente celui que l’on a déjà surnommé l’autre Azzedine de la mode. Véritable marque de fabrique, Just Campagne donne une empreinte unique à chacun de ses sacs. Son iden-tité est cousue sur un tissu jacquard de lin et de coton damassé, sur laquelle est mentionnée à la main, le nom, la date de création et la nature du cuir. Aujourd’hui à Paris (Bd St-Germain 6e arrondissement, quartier St-Honoré 1er arrondissement), Bruxelles, St Tropez, Biarritz, il vous est aisé de découvrir l’ensemble de ses créations. Celles ci année après année, s’enrichissent seu-lement de quelques pièces afin de pré-server « l’esprit rare et confidentiel « de

Just Campagne. «On ne recherche pas la quantité mais l’excellence », explique fiè-rement le chef d’entreprise

De plus, un service personnalisé vous est proposé afin de distinguer votre sac par un choix de matière, de cuir, de co-loris, de doublure, ainsi que la hauteur des poignées, et enfin les finitions des accessoires, argentés ou laiton doré.

Dans cet esprit de sur mesure, Azzedine Berkouk a su trouver un juste équilibre:

«Dans la qualité du travail bien fait, on ne peut pas courir sans arrêt après l’éphé-mère. Le besoin constant de la maison est d’adapter son style à son temps afin de l’asseoir dans la pérennité». Même si aujourd’hui la maison exporte à l’étran-ger ce succès ne lui monte à la tête : « Il faut savoir rester humble. Nous sommes une maison qui s’est construite autour des valeurs et du bon goût. Pour at-teindre les sommets il faut du temps, il ne faut donc pas brûler les étapes ».

(source site société Just Campagne). ■

Juin 2013 • 27

publi-reportage

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Économie

Groupe Barthas Immobilier

Une nouvelle agence à CastresAprès Toulouse, Dourgne et Soual, le groupe Barthas Immobilier ouvre en Juin une nouvelle agence à Castres 2 rue Gambetta.

Toujours soucieux de répondre aux besoins du marché et de rester

très proche de sa clientèle, Barthas Immobilier reste fi-dèle à sa logique de déve-loppement qui a fait la no-toriété du groupe. L’agence de CASTRES permettra à de nombreux investisseurs lo-caux propriétaires de biens sur la région Toulousaine de leur confier leurs logements

en tant qu’interlocuteur local privilégié sans systéma-tiquement se déplacer sur Toulouse auprès de leurs gestionnaires toulousains. Il en sera de même au titre des recherches locatives et plus particulièrement lors d’un premier logement « étudiant » pour des familles ne sachant pas où s’adresser.

Dans le groupe Barthas, l’immobilier, c’est une his-toire de famille qui dure depuis bientôt 25 ans. C’est en 1989 que s’ouvre la première agence à Toulouse, rue des Tourneurs touchant la place Esquirol. « Au début, notre cœur de métier était la transaction. Puis nous avons ensuite centré notre activité sur la gestion loca-tive et le syndic de copropriété sans toutefois oublier le volet transactionnel », précise la dirigeante. La suite de l’histoire nous amène en 1998 lorsque la famille origi-naire de CASTRES s’installe à Dourgne et décide, avec les encouragements de la mairie, de créer une agence dans le village. Viennent ensuite l’agence de Soual en 2009, puis celle de Castres au début de ce mois.

Actuellement l’agence toulousaine adhérente FNAIM depuis son origine a su fédérer un portefeuille non négligeable constitué de pas moins de 6000 lots en copropriété et 500 lots en gestions locatives, sans au-cun rachat de cabinet. « La meilleure publicité reste le bouche à oreille, c’est ainsi que nos clients sont venus nous voir d’eux-mêmes. C’est cette proximité dans la relation avec nos mandants qui fait la force de notre groupe », atteste Véronique Barthas.

Un accompagnement complet, au service du client Aujourd’hui le Groupe Barthas c’est une équipe de 14 personnes (7 sur le Tarn et 7 pour la région toulou-saine) au service de ses clients avec trois cœurs de mé-tiers : la gestion locative, la gestion de copropriété et la

transaction. Concernant la gestion lo-cative, notre professionnelle l’atteste : « Nous nous substituons complète-ment au propriétaire. Nous assurons tous les services de l’estimation du montant locatif jusqu’à la recherche du locataire et les vérifications d’usage sur la solvabilité de ce dernier. Nous encaissons et re-versons les loyers à nos mandants toutes les fins de mois. Nous assurons également les loyers impayés à travers une assurance qui couvre à hauteur de 90 000 euros. Cette assurance prend en charge également les frais de recouvrement, avocat, huissier, procédures. Et à hauteur de 10 000 euros au niveau de la détérioration ».

La société assure également la gestion de copropriété en travaillant en partenariat avec le conseil syndical de chaque copropriété pour régler les problèmes récur-rents, devenant ainsi des interlocuteurs privilégiés au-près des différents propriétaires.

Et lorsque l’on demande à Véronique Barthas quel est le petit plus de son service, elle conclut en disant que « chez Barthas Immobilier nous sommes avant tout des gestionnaires privilégiant la qualité. Notre valeur ajou-tée vient de la sélection rigoureuse des biens que nous mettons en location et que nous prenons en gestion. L’ensemble de nos biens est par ailleurs consultable et disponible dans un fichier commun à toutes nos agences qu’elles soient tarnaises ou toulousaines.».

Un nouveau site internet est en cours de création. Vous pouvez toutefois consulter le site actuel : www.barthas-immobilier.com. ■

Société Mont Roucous Eau minérale naturelle

Le succès commercial coule de source

Elle jaillit à mille mètres d’altitude, dans un périmètre protégé de 60 hectares de forêts, sur ces Monts de Lacaune qui partagent les eaux entre Méditerranée et Océan. La société Mont Roucous produit une eau minérale plate au coeur du Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc.

U n e source qui a

son histoire: la découverte, par le lacaunais Joseph

Combes, puis les débuts de la produc-tion, les tests cliniques et l’utilisation qui remontent à 1977. Plusieurs hôpitaux de référence valideront ses propriétés, au point qu’en 1983, l’eau Mont Roucous est inscrite au répertoire des produits diététiques et naturels. L’année suivante, les premières exportations ont lieu vers la Hollande, l’Allemagne et la Belgique. L’année suivante, l’eau Mont Roucous gagne les marchés suisse, canadien et américain.

Nourrissons et diététiques Premier trophée en 1998, où l’eau mi-nérale naturelle est consacrée «saveur de l’année». Les initiatives et les inno-vations s’enchaînent. En 1998, c’est l’apparition de la bouteille graduée et compressible à plat, économique et éco-logique. Puis en 2001, le lancement du nouveau format «baby» en 25 cl, adapté aux petites mains des bébés et au mou-vement. En 2008, la société lance sur le marché le microniseur de 200 ml et multiplie les formats pour répondre à tous les types de demandes. L’image de marque reste centrée sur «l’eau minérale naturelle des futures et jeunes mamans et de leurs bébés» qui ont besoin d’une

eau faiblement minéralisée. Elle est très appréciée dans les services de pédiatrie, notamment pour son exceptionnelle qualité de dissolution des laits mater-nisés. Les régimes diététiques, par sa propension à favoriser le gainage et l’éli-mination, lui ouvrent des marchés por-teurs. La société Mont Roucous, détenue par le groupe Danone jusqu’en 2001, puis acquise par VMC Participation en 2007, grâce à son dynamisme commer-cial et sa récente visibilté à la TV, s’est taillée une belle place sur les linéaires. Son image, associée à un cadre naturel exceptionnel et à des propriétés favori-sant la santé, lui valent aujourd’hui une reconnaissance nationale. ■

Menguy’s

A croquer et à craquerO n se régale dans toute l’Eu-

rope à grignoter ses graines salées et ses olives avec apéri-

tif. Menguy’s (280 salariés) accompagne les bons moments de la vie familiale et sociale. le secret de cette réussite excep-tionnelle, c’est d’abord le choix des meil-leurs produits: les cacahuètes de Géorgie et d’Alabama, les pistaches orientales qui ont trouvé en Californie leur terre d’élec-tion, les noix de cajou d’Inde ou d’Ex-trême Orient, les amandes et les olives du bassin méditerranéen que Menguy’s décline en sauce pimentée, sauce aux herbes, olives lupins, olives farcies au piment d’Espelette, au poivron, aux amandes entières... Chez Menguy’s,

délices s’écrit au pluriel. La gamme, c’est encore des soufflés de maïs français, à texture craquante, un florilège de pop corn salé, sucré, au caramel, au beurre salé, ou encore biologique.

Une trilogie gagnanteNicolas Cormouls, le PDG, et son staff savent accompagner ou anticiper les tendances du goût, confectionner un packaging attractif, jeune, coloré et fonctionnel, si bien que cette société fa-miliale, créée en 1987, enchaîne les per-formances dans toutes les conjonctures. Diversification, innovation et qualité sont les valeurs cardinales de Menguy’s, qui détient des brevets d’emballage et de

grillage préser-vant l’authenticité des saveurs natu-relles. Un contrôle rigoureux des ma-tières premières à leur arrivée, une politique d’achats exigeante ainsi qu’une fabrication certifiée par des organismes indépendants garantissent une sécurité sanitaire qui font de Menguy’ la réfé-rence dans son métier.

L’entreprise prolonge ainsi le destin d’une cité mazamétaine que le délainage avait ouvert sur le monde. Aujourd’hui, c’est Menguy’s et ses sucrés-salés qui en sont le porte-drapeau. ■

Bureau de Dourgne3 Av. du Maquis 81110 DOURGNETel : 05 63 50 11 13 Fax : 05 63 50 15 [email protected]

Bureau de Toulouse1 Av. Jean Chaubet 31500 TOULOUSETel. 05 61 80 82 66 Fax : 05 61 80 63 [email protected]

Bureau de Soual1 place du Vieux Puits 81580 SOUAL Tel. 05 63.73.14.98 Fax : 05 [email protected]

Bureau de Castres 2 rue Gambetta 81100 CASTRESTel 05.63.35.37.59 Fax: 05. 63.82.05.53 [email protected]

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Économie

Physiostim

Une société spécialisée en électrophysiologie cardiaqueInstallée à Lautrec, Physiostim figure parmi les trois sociétés françaises à proposer sur le marché une électrophysiologie cardiaque. Du chinois pour les novices. Et pourtant cette technique médicale est au top.

P hysiostim a été créée en 2000 à Lautrec, sur un terrain bai-gné de soleil où pousse l’ail rose

(qui, soit dit en passant, est très bon pour la santé). Au début de cette aven-ture, Il n’y avait que deux personnes. En 13 ans d’existence et de travail achar-né, l’entreprise s’est développée : « nous sommes maintenant plus de 10 per-sonnes », se réjouit Marie Le Grand la directrice fondatrice, docteur en physio-logie et pharmacologie. « Tout d’abord, Physiostim est une aventure humaine. De plus en plus de clients partout dans

le monde font confiance à notre exper-tise reconnue et à notre savoir-faire. Pour la prochaine décennie, nous sou-haitons continuer à nous agrandir et bien sûr à garder les valeurs que nous avons appuyé sur pendant 10 ans ». Mais pourquoi un tel succès ? Qu’est-ce qui justifie ce développement ? Prestataire de service pour l’indus-trie pharmaceutique, le laboratoire Physiostim figure parmi les fleurons de l’électrophysiologie en France. Mais késako ? En clair, l’équipe de spécialistes réalise des études de pharmacologie de

sécurité cardiaque des molécules desti-nées à se transformer en médicaments. Un savoir-faire qui en fait une structure ultra spécialisée et très pointue. Pour l’heure, ils ne sont que trois à exercer dans le même secteur d’activité. Ce la-boratoire tarnais spécialisé dans la phy-siologie des cellules reste sur une dyna-mique étroitement liée à la nouvelle réglementation des études de pharma-cologie de sécurité cardiaque. Résultat : Physiostim peut se féliciter d’avoir plus de six mois d’avance sur son carnet de commandes ». ■

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Juin 2013 • 3130 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr

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positive à une procédure qui est coûteuse. Nous n’al-lons pas en procédure si elle n’est pas justifiée. Un client qui nous confie un dossier est un dossier qui est revu plusieurs fois par nos services avant de le clôturer.

Qu’en est-il du recouvrement judiciaire?E.B : Quand toutes les voies à l’amiable sont épuisées, les échéanciers et les créances non respectés nous devons réagir rapidement. Le client reste cependant le seul à décider d’entamer ou non une procédure en fonction des éléments qu’on lui fournit. S’il décide d’al-ler en procédure, nous étudions le dossier de manière plus approfondie avec tous les éléments pouvant servir à mettre en place une procédure judiciaire de recou-vrement. Nous devenons ainsi des intermédiaires entre le client, les avocats et les huissiers. Nous travaillons en bonne intelligence avec eux afin d’orienter le dossier auprès de ces partenaires chevronnés.

Et concernant la prévention du client et la formation, quels sont exactement les services proposés ? N.B : Concernant la prévention du risque du client, elle apparaît comme un prolongement nécessaire à notre activité. Elle passe notamment par une étude de sol-vabilité pour les entreprises mais aussi la formation. Par exemple, si nos créanciers évoluent dans du B to B (avec d’autres entreprises), ils nous consultent pour s’informer de la solvabilité des entreprises avant d’ou-vrir un compte ou face à des délais de paiements. Nous pouvons aussi rechercher l’ensemble des informations de solvabilité financière des créanciers de nos clients et les analyser. Cela donne d’ailleurs lieu à des formations sur les pistes à suivre pour gérer à l’amiable la relation financière avec le client. C’est toujours délicat de récla-mer de l’argent à ses clients. Surtout car l’on craint que cela mène à des contrariétés dans la relation avec le client, d’autant plus en période de crise. Nous faisons donc avant tout de la prévention afin d ‘éviter de tomber dans du contentieux.

La relance post client est aussi l’un de vos services. N.B : Tout comme pour les précédents (prévention du client et formation), la relance de poste client est une activité périphérique et complémentaire à notre corps de métier. Le principe est simple. Nous faisons pour les entreprises la gestion des factures à date d’échéances en relançant les clients au téléphone au nom de l’entre-prise. Cela nous permet de détecter les retards mais aussi les litiges à venir. Notre avantage dans cette rela-tion, c’est toute notre expérience en termes de conten-tieux qui nous permet d’apporter une réponse profes-sionnelle. Au final, en externalisant la relance du poste client de manière partielle ou durable cela permet d’op-timiser le personnel au sein de l’entreprise cliente.

Si vous deviez résumer, comment expliqueriez-vous votre métier ? N.B : Notre métier c’est avant tout de chercher

l’information et savoir chercher partout comment récu-pérer les fonds du créancier. Il faut avant tout être de bons stratèges pour pouvoir évoluer sur un terrain qui est en constant mouvement, tout en restant des média-teurs avant tout. Mais notre métier c’est aussi une évo-lution perpétuelle. Les difficultés d’encaissement sont de plus en plus nombreuses dans un contexte écono-mique fragile où les situations changent et évoluent de plus en plus vite. Ce qui a changé dans notre métier c’est aussi la nécessité de s’adapter constamment, d’être toujours plus rusé.

Au final OPJ aujourd’hui c’est 30 ans d’existence, mais encore ? N.B : Aujourd’hui OPJ c’est une équipe d’une dizaine de personnes notamment 5 en charge du recouvrement et spécialisées dans le juridique, et 5 au service commer-cial et administratif. Nous avons dû nous adapter aux nouveaux modes de communication et aux nouveaux services, ce qui nous a permis de développer de nou-veaux services tels que la formation sur notre corps de métiers, prévention du risque client et les méthodes de recouvrement.

Le mot de la fin ?Au final quel est votre atout majeur ? E.B : Notre volonté et notre capacité à percevoir les re-couvrements de créances pour nos clients tout en res-tant souples et efficients pour optimiser les coûts du recouvrement. Tout cela, bien sûr dans un intérêt réci-proque tant pour le créancier, le débiteur et notre entre-prise. Notre métier repose sur la performance constante car notre activité est fonction du résultat. Autrement dit, nous sommes rémunérés seulement lors de l’encaisse-ment. De plus, notre objectif est de ne pas mettre trop de frais chez le client. On cherche avant tout à éviter la procédure et les coûts qu’elle engendre. Et si on va en procédure nous faisons bénéficier nos clients de ta-rifs préférentiels du réseau d’avocats avec lequel nous travaillons.

Et concernant le futur ? N.B : Nous avons toujours des projets de développe-ment notamment en continuant à conquérir de nou-veaux clients. Les mutations actuelles du monde contemporain ont soulevé de nouvelles problématiques et de nouveaux enjeux notamment en matière de re-couvrement. Notre métier consiste donc à s’adapter à ce renouveau continuel pour répondre de la manière la plus pertinente aux besoins de nos clients. ■

Office de Procédure Juridique

L’humain avant tout Créé en 1981, l’Office de Procédure Juridique de Castres est resté aujourd’hui l’un des cabinets de recouvrement les plus anciens de France. Avec toujours les mêmes maîtres mots depuis plus de 30 ans : privilégier les relations humaines avant tout. Nathalie Balzan, l’actuelle dirigeante, et Evelyne Bosc, directrice, reviennent pour nous sur leurs métiers.

Nathalie Balzan, vous êtes la gérante d’OPJ depuis 2006, quelle est l’histoire de votre entreprise ?Nathalie Balzan : L’entreprise a été créée en 1981 par mon père. Il rencontrait alors les petites PME et essayait de les convaincre de passer par notre société afin de gérer les impayés, sur un marché

encore émergent. Au départ, le service se faisait à l’amiable. Cependant, voulant conquérir de nouveaux marchés, il a développé un service juridique pour pas-ser de l’amiable à l’étude juridique dès 1999. Mon père fut même un participant dans la création du syndicat des cabinets de recouvrement ANCR.

Et la suite... Jusqu’à votre arrivée ? N.B : La suite de l’histoire s’est construite petit à petit notamment grâce à la volonté de mon père et de ses salariés. Nous sommes ainsi devenus un partenaire pri-vilégié des entreprises assurant la liaison entre le client, la créance, leur trésorerie et le service comptabilité. Dès 1997, l’entreprise a développé son marché avec une équipe commerciale qui propose nos services dans tout le sud Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon.

Quels sont vos parcours respectifs ? N.B : Je suis arrivée dans l’entreprise en 2000 après un BTS d’assistance de gestion. Je me suis ensuite formée auprès d’Evelyne et de mon père. Arrivée à la direction en 2004, j’ai pris la gérance en février 2006.

Evelyne Bosc : En ce qui me concerne, j’ai une forma-tion BAC +5 spécialisée dans les voies d’exécution no-tamment celles relatives aux décisions de justice. Avec une spécialisation dans le contentieux et l’arbitrage.

Quels sont les domaines de compétences d’OPJ ? N.B : De manière globale, nous intervenons dans un

processus complet de la prévention jusqu’au règle-ment du contentieux. De la prévention, à l’amiable en passant par la formation et le recouvrement c’est une solution complète au service des entreprises. Pour info, c’est seulement 15% de nos dossiers qui passent en procédure. Tout le reste se traite à l’amiable. Quand ils sortent de chez nous, les dossiers sont « essorés », dans le sens où nous cherchons absolument une solu-tion à travers notre portefeuille de compétences. Le but de notre action vise à encaisser au plus vite les fonds du débiteur pour les reverser au créancier de préférence sans passer en procédure.

Concernant le recouvrement de crédit, qui est votre cœur historique de métier, quel est l’intérêt pour une entreprise de faire appel à vos services ? N.B : Tout d’abord, il est nécessaire de noter qu’il existe deux types de recouvrements sachant que le recouvre-ment à l’amiable reste notre priorité.

A savoir? N.B : A savoir que le recouvrement à l’amiable reste une démarche prioritaire, inscrite dans l’ADN de notre entreprise. Les rapports conflictuels sont rares. Nous cherchons avant tout des procédures médiatrices entre débiteurs et créditeurs. Nous ne sommes pas dans l’ac-cusation, ni dans les leçons de morale. Nous cherchons avant tout à faire le point et à orienter des débiteurs souvent dépassés par les événements. Nous sommes conscients des difficultés impulsées par la conjoncture actuelle. Cela a entraîné un bouleversement de l’entre-prise et nous avons dû mettre en place de nouveaux services. Comme par exemple le phoning avec une ex-tension des plages horaires pour joindre les débiteurs le plus rapidement possible.

Nous pouvons aussi mettre en place des échéanciers après avoir analysé les éléments de solvabilité de la personne. Tout est contrôlé en fonction des ressources justifiées du débiteur. On rejauge les éléments de solva-bilité deux fois par an. Dès « retour à meilleure fortune », on adapte l’échéancier en fonction des ressources.

Au final, tout notre travail vise à trouver des éléments de solvabilité avec le débiteur, pour trouver une issue

Contact : 47 Chemin du Corporal, 81100 CastresPour une information, un conseil, appelez notre ligne directe : 05 63 62 62 20http://www.opjdsn.fr/

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Nichés au pied de la cathédrale, dans leur boutique où s’entremêlent l’odeur du cuir et l’histoire des bergers, Jean-Pierre Romiguier et Joël Canitrot, respectivement artisan fondateur du Sac du Berger et Artisan Fabricant coutelier vous accueillent au cœur de la cité épiscopale.

Le Sac du Berger30 ans déjà que Jean-Pierre Romiguier s’inscrit dans la tradition artisanale du sac de berger, dont la forme si particulière a traversé les époques. Notre artisan s’est pris de passion pour ce modèle qu’il a déci-dé de faire revivre, reprenant un mo-dèle qui remonte au XVIIème siècle. « La qualité des cuirs de provenance locale (ils sont tous issus de la région Midi-Pyrénées), l’exigence et le soin du travail font de ce sac un objet unique. Le compagnon de toute une vie », précise notre artisan. Le Sac du Berger c’est une gamme complète sans cesse agrémentée de nouveaux modèles allant de la bagagerie à la petite maroquinerai en passant par les vêtements et chaussures, à venir découvrir en magasin.

Le Couteau du Larzac C’est de l’esprit des bergers du causse du Larzac que s’est ins-piré Joël Canitrot, qui comme son comparse décide de faire revivre cet objet emblématique des bergers. Façonnés dans les aciers les plus purs associés à des bois précieux, ils reprennent notamment la virole, emblème de

ces modèles. Quant au reste, le choix y est multiple et de nombreuses déclinaisons sont possibles, comme le prouve les modèles délicatement alignés dans les vitrines. Résolument la boutique idéale pour offrir un cadeau ori-ginal empreint d’une part d’histoire. ■

1. Lunette Gold and Wood homme 495€. Lunette de soleil Oakley homme 135€. Lunettes de soleil Prada femme 305 €. Lunettes de soleil Police homme 125 €. Optique Peyronnet. 25 rue Timbal. 81000 Albi. Tél. : 05 63 54 08 66.Gaillac. 05 63 57 59 79.

La bonne paire :l’été arrive on pense à protéger ses yeux en alliant modèle chic et détails chocs. Voici notre sélection de solaire pour elle et lui pour un été stylé.

Pensez à laFête des pèresle 16 juin 2013

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LE VESTIAIRE

18, rue des frères Delga 81600 Gaillac - 05 63 41 07 07

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Le Sac du Berger / Le Couteau du Larzac – Boutique 5 place de l’Archevêché 81000 Albi - Tél. 05 63 43 15 32 - www.lesacduberger.com - www.couteau-du-larzac.com

Couleurs pop : Tendance lunette de ski, verres colorés et montures sportives, on prépare les randonnées estivales ou le bord de mer avec cette paire de lunette Oakley qui allie technicité et forme du moment.Mention spéciale pour le trio de fleurs.

A l’italienne : C’et le charme de l’Italie des fifties, des grandes actrices, des icônes glamour telles que Sophia Lauren qui s’incarne dans ce modèle Prada. On aime la forme légèrement papillon rehaussée de strass.

Tendance smart : C’est toute l’histoire de Police

qui se retrouve dans cette paire. Montures intemporelles,

lignes épurées, verres travaillés. Le détail se trouve dans le minimalisme, le chic

dans toute l’histoire de la marque qui s’incarne sur vos

yeux.

de JUINLES tendances

par Yannick Michel

Tendance bois : on aime ce modèle aux accents résolument rétro Gold And Wood. La finesse et la solidité du bois associées à la légèreté du bois, on apprécie le design tendance et l’inventivité de la matière. Essayer c’est définitivement l’adopter.

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2. Polo Serge Blanco. 99 euros. Le Vestiaires. 18 rue des frères Delga 81600 Gaillac. 05.63.41.07.07- 3. Chemise femme Tommy Hilfigher. 89, 90€. Le Vestiaires. 18 rue des frères Delga 81600 Gaillac. 05.63.41.07.07. - 4. Deux tailles : petit modèle ouvert 19,5 cm (65,00 €), grand modèle ouvert 23 cm (68,00 €). Boutique Le Sac du Berger – Le Couteau du Larzac, 5 place de l’Archevêché, 81000 Albi.

Pour lui : Pour les papas fans

de rugby on opte pour ce polo Serge Blanco. Largement inspiré des grands

classiques de la marque avec des thématiques et des couleurs sans cesse réinventées, ce polo est assurément une

des pièces incontournables du vestiaire masculin estival.

Pour elle : la fête des mères est passée

mais rien n’empêche de faire plaisir à sa mère ou à madame avec cette chemise femme

Tommy Hilfigher qui sent bon l’été. Couleurs acidulées, coupe cintrée, parfait pour associer avec un jean pour du casual chic.

Pour Papa : Façonné en inox 12C27 et bois de genévrier, ce

couteau allie robustesse, authenticité et praticité. Ami des bergers depuis des millénaires pour trancher le pain ou sculpter le bois, il sera votre compagnon le plus fidèle à table comme en escapade. Sa fermeture

par virole à cran d’arrêt vous permet de le plier pour le transporter partout, en toute

sécurité. C’est le cadeau idéal pour la Fête des Pères !

Au dé à coudreRécemment installée avenue Charles de Gaulle après avoir été plus de 40 ans rue Sabatier, la boutique Singer en a profité pour développer son offre de services. Entretien sur le fil avec les nouveaux dirigeants, Andrée et Pierre Piquemoles.

C’est en octobre 2012, qu’Andrée et Pierre Piquemoles se lancent dans l’aventure et ra-chètent la boutique Singer. Le monde de la cou-

ture n’est pas inconnu pour nos deux experts. Forte d’une expérience de plus de 30 ans dans le domaine de la couture, notamment pour de prestigieuses marques de linge parisiennes et plus de 9 ans à son compte comme retoucheuse à Saint Amans Soult ; Andrée se chargera de tous vos travaux de couture. Même s’il a dû se mettre à la couture pour aider sa femme, Pierre re-connaît volontiers que ses compétences, issues de son passé dans la mécanique de précision, sont plus dans la réparation des machines que dans celle des tissus.

Le choix de la qualité SingerEn s’inscrivant dans le réseau de la marque, Andrée et Pierre ont fait le choix de la qualité avec une marque reconnue mondialement. Singer c’est plus de 160 ans

d’évolution dans le secteur de la machine à coudre. « C’est une marque qui a tra-versé les époques et continue à être indis-pensable dans le monde s’adaptant sans cesse », atteste Andrée. « Preuve en est, la dernière née qui se branche à l’ordinateur avec un logiciel dédié et qui permet de bro-der en direct », renchérit Pierre. L’outil par excellence pour personnaliser vos cadeaux ou votre linge de bain. C’est forts de leur double expérience dans la technique de précision et la couture, que nos deux pro-fessionnels conseillent leur clientèle. C’est toute la gamme Singer qui est disponible en magasin. A côté des traditionnelles ma-chines à coudre, vous pourrez trouver des tables à repasser, des centrales vapeurs et des brodeuses. Le magasin prend aus-si en charge les réparations de toutes les marques. « Nous sommes le seul magasin Singer dans le Tarn. Pour répondre aux besoins, nous développons un réseau de points relais sur le département. Nous ré-cupérons et réparons des machines toutes marques chaque semaine » soulignent nos dirigeants.

De fil en aiguille Côté boutique, que ce soit pour les créatrices en herbe ou les couturières confirmées, tout y est pour remplir sa boîte à couture. Bobines, fermetures, galons, rubans et plus de 200 tissus sont disponibles dans le magasin pour les arts créatifs mais aussi pour l’habillement. Côté coulisses, c’est toute la passion d’Andrée, forte de ses 30 années d’expériences, qui a été mise au cœur de l’atelier de l’arrière boutique. Avec le savoir faire d’un orfèvre, Andrée s’attelle à sculpter le tissu au gré des aiguilles et de son inspiration. ■

BOUTIQUE SINGER AU DÉ À COUDRE

227 avenue Charles de GAULLE 81100 CASTRES

Tél. 05 63 59 22 46 - Mail : [email protected]

TARN

36 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 37

Économie

Pépinières Daydé

La greffe est un bon plantD iscrète, à l’écart des grandes

routes, Daydé est pourtant l’une des entreprises leaders

sur le marché national et européen: ses pépinières viticoles préparent bon an mal an 10 millions de plants de vignes prêts à plan-ter, en racines nues ou en pot. André l’a créée dans les années 1960, Philippe l’a dévelop-pée, et Fabien L a r g a r d e -Daydé l’a re-jointe en 2011 comme res-ponsable de production. Une croissance linéaire, servie par la restructuration des vi-gnobles européens, la mondialisation de

la vigne et le professionnalisme des tech-niciens montanais. De novembre à juil-let, à l’apogée de l’activité, la pépinière emploie (outre ses 15 permanents) 70 saisonniers qui reviennent, fidélisés par une prime d’assiduité au bout de 3 ans.

La chaîne, du débouturage au greffage et à la livraison ou la plantation chez le viticul-teur, a nécessi-té des investis-sements à feu continu: 3 ha de bâtiments (ateliers, fri-gos, chambres

de stratification...) dont un ha en toiture photovoltaïque, avec un générateur qui produit 1300 kw depuis juin 2011.

L’investissement continueDaydé fait partie des quatre premiers français, notamment dans sa spécialité, le plant en pot (biodégradable). «On fait aussi le plant de raisin de table, l’Italia, le chasselas...». L’entreprise dispose de 60 ha de vignes mères sur Montans, et n’en finit pas d’investir dans l’innovation:

2300 m2 de serres supplémentaires, et deux machines à planter équipées de GPS pour assurer un service clé en mains. L’export se recentre sur l’Europe et la France (70% du marché) comme la production. «Nous avons en France un coût du travail élevé, mais une bonne productivité et un savoir-faire qui fait la différence». Daydé a valeur de label sur la greffe oméga, qui assure une meilleure circulation de sève et une bonne reprise. Cette sève qui donne les petites feuilles nourrit aussi l’envie d’aller de l’avant et d’affronter la concurrence.. ■

mapetitemercerie.com

Christelle a le ruban bleu de la mercerie«Bougeons-Nous»: le trophée qu’a reçu Christel Anglade-Moncéré en octobre 2012 au théâtre Marigny semblait avoir été taillé à ses mesures. Une nature vita-minée, une bourse aux idées, mais sur-tout une aptitude à les concrétiser. En deux ans, son site mapetitemercerie.com s’est taillé une place à part dans le commerce en ligne: 150 000 visiteurs par mois, près de 200 colis par jour qui partent dans toute la France, et - déjà - une dizaine de salariées. Son équipe est à son image: le feeling et le remue-méninges font partie de la culture mai-son. Un seul mot d’ordre: réactivité! Christelle chine dans les salons, épie la concurrence, se met à la remorque des tendances, toilette son site, où les clientes, au profil le plus divers, peuvent

trouver les 20 000 références du stock, qu’elles recevront en grande ou petite quantité.

Un packaging très soigné «Que la commande soit de 5 ou de 500€, nous la traitons avec le même soin». Le panier moyen augmente, et la mercerie en ligne touche aussi bien la femme au foyer qui taille les habits des enfants, que les loisirs créatifs. Les articles, décli-nés dans tous les coloris, vont du tissu à paillettes, pois ou rayures aux rubans et accessoires. Le vent est aux cuirs (cou-dières, anses de sac), au fluo, au flashy léopard rose et aux clous pour ceintures, chaussures et bottes. Christel Anglade-Moncéré a le sourcing (traduction: le flair) pour acheter et pour trouver

des partenaires sur la même longueur d’ondes: Guille pour les chaussons, ou les mégissiers de Graulhet. Chaque colis en partance renferme son petit mot écrit à la main, et son cadeau: carnet, crayon, carambar... Cette lecture rapide du mar-ché, ce crescendo du chiffre d’affaires ont conduit l’entreprise à quitter le rez-de-chaussée du domicile pour Marssac, en attendant la création d’un siège tout neuf au Mas de Rest. Forte de son iden-tité visuelle sur le marché national et de son omniprésence sur les réseaux sociaux, mapetitemercerie.com regarde plus loin. «Pour l’instant, le site est uni-quement francophone». Mais plus pour très longtemps. ■

Jean-Pierre Delmas

Vers l’Espagne et la Suisse

I l exporte en Espagne, en Suisse, pousse un coing en Italie et ses expositions itinérantes parisiennes

lui valent une première clientèle belge séduite par le slogan (100% massif) et un service sur mesures qui va jusqu’à la livraison et l’installation du meuble. L’aventure du petit menuisier converti en fabricant dure depuis plus de quarante ans et vient de franchir une génération.

Jean-Pierre Delmas et Huguette ont passé le témoin à Jean-Philippe, qui s’ap-puie toujours sur un staff familial et un encadrement d’expérience dans chacun des six ateliers de fabrication. Maintenir les 75 emplois, élargir encore le cercle des 30 000 clients dans un marché natio-nal du meuble qui a perdu en 2012 9,5% de ses effectifs, c’est le pari que s’est fixé Jean- Philippe Delmas.

En ordre de marche et en lignePour tenir ce cap, la force de vente s’est démultipliée sur 30 foires et salons na-tionaux et étrangers, notamment en Espagne, en plus des trois magasins de Gaillac (3 000 m2), Bordeaux et Montpellier. La cible parisienne répond

aux attentes, avec un camion qui livre la capitale toutes les semaines. Un secteur où l’entreprise cherche un local de 200 m2 à acheter pour en faire un espace de stockage et un «show room», avec des ventes ponctuelles. L’école des métiers du bois de Revel représente toujours le principal bassin de recrutement. «Nous misons toujours sur la filière d’appren-tissage qui reste performante». Outre le reloooking de meubles qui démarre fort, le prochain objectif est la boutique en ligne en juin, sur du meuble de com-plément (tables basses, meubles TV, vitrines, consoles...), en stylisé comme en contemporain. Et sur le marché des sièges, où il y a une place à prendre. «Internet devrait nous permettre de tou-cher une clientèle lointaine qui ne vient pas encore chez nous». ■

Rizzo

Les camions rouges roulent vers l’avenirSes 100 camions rouges sillonnent le territoire national et en franchissent toutes les frontières : Rizzo est une référence dans le monde du transport français, par sa longévité autant que sa fiabilité.

T rois générations avaient im-posé le nom à Bougie et collé à l’histoire de la locomotion,

de la Méditerranée aux plateaux, des convois de charrettes aux premiers ca-mions en passant par le gazogène. La saga algérienne s’est arrêtée en 1962, mais Henri Rizzo, en franchissant la mer, a relancé une petite entreprise gaillacoise (Jeanjean) avant de rouler sous sa propre marque. A ses trois fils, Gérard le gestionnaire, Philippe l’admi-nistrateur et Stéphane le responsable du parc, il a légué sa minutie presque maniaque, son exigence et sa rigueur. Propreté des véhicules, alignés au milli-mètre sur le parking comme des gardes

républicains, précision dans les délais et les devis, respect des engagements et du service, formation des chauffeurs à la conduite économique, à la sécurité, à la relation avec le client, à la démarche commerciale.

Un précurseur Rizzo a traversé toutes les conjonctures, taillé sa route malgré la dérégulation du marché et la hausse vertigineuse des car-burants sans jamais galvauder ses valeurs ni ses principes. Dans ce jeu de quilles, tant de concurrents sont tombés, Rizzo s’est toujours adapté. «On s’adaptera aussi à l’écotaxe, même si l’on n’avait pas

besoin de ça» soupire Gérard, qui se dé-finit, avec son équipe, comme des «gens du voyage». Rizzo a souvent fait figure de précurseur, de la radio embarquée à la plate-forme logistique. L’entreprise prend tout, du colis de quelques kilos au chargement de 29 tonnes vers l’Ita-lie, l’Espagne ou la Belgique. Elle pro-pose toute une série de contrats : spot, à la semaine, à l’année... «Tout se passe en interne, on ne sous-traite rien. Nous as-sumons toutes nos responsabilités». La clientèle ne s’en plaint pas, au contraire: Rizzo vient de gagner de nouveaux mar-chés en Allemagne, le pays des exigences et du perfectionnisme. Un bon point de plus qui a valeur de symbole. ■

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38 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Juin 2013 • 39

Économie

12, Place de la libération 81600 Gaillac - 05.63.57.14.74

INFACO

Une lame de leaderA ussitôt lancé, le dernier pro-

totype sorti des ateliers d’In-faco, à Cahuzac, a récolté sa

première médaille, et pas n’importe laquelle: la Palme d’Or à Vinitech de Bordeaux, le plus grand salon profes-sionnel du monde pour le matériel viti-cole. Il s’agit d’une épampreuse, qui fait gagner au moins 30% du temps aux vi-gnerons, quand ils doivent éliminer les gourmands qui poussent au bas des ceps chaque printemps. «Jusqu’ici, il n’existe que la chimie, qui n’est pas dans l’air du temps, où le travail manuel, qui est pénible et monotone». Dany Delmas, le concepteur de cette épampreuse qui pourra aussi effectuer des travaux d’éla-gage et servir de taille-haie, n’en est pas à son premier coup de génie. Sa première fulgurance date de 1984, quand il in-vente Electrocoup, le sécateur de vigne

sur batterie. Une providence pour les viticulteurs. Il le fera évoluer, gagner en puissance, en autonomie et en ergono-mie, et perdre en poids.

Une gamme complète L’épampreuse suit le même chemin: elle pèse 3,2 kg avec le blocmoteur, et dis-pose d’une autonomie de batteries d’une demie-journée. «Notre harnais permet une maniabilité et surtout une réparti-tion du poids qui rend l’outil très facile d’usage, même pour des femmes» pré-cise Davy Delmas, qui l’a présenté sur divers salons. En novembre 2012, Dany Delmas est allé le tester en Australie, et l’épampreuse a conquis les plus réservés. Après le sécateur Electrocoup, le vibreur pour récolter les olives et l’attacheuse, l’épampreuse compléte la gamme et conforte la place de leader mondial

d’Infaco. Les premières sont sorties des ateliers de Cahuzac en février, la série a commencé en mars. Les 250 revendeurs français et le réseau des 50 importateurs de tous les continents sont déjà en mode offensif. Le crédit de confiance dont bé-néficie Infaco depuis près de 30 ans chez les vignerons pronostique un beau par-cours pour l’épampreuse, comme pour Infaco et ses 75 salariés. ■

Guille

La chaussette montante Implantée à Briatexte depuis sa création, la société Guille travaille dans le textile depuis près d’un siècle et demi. Une fidélité qui se doit d’être signalée d’autant que son savoir-faire rayonne au-delà du Tarn.

C ela fait partie des gènes de l’entreprise comme son métier, sa région. L’histoire débute en

1864, l’ancêtre Narcisse Guille y assure un commerce de draps. En 1895, c’est Frédéric qui se lance dans la fabrication de tissus. En 1930, Olivier se spécialise dans la chaussette en achetant les pre-miers métiers motorisés. Enfin, en 1947 Robert crée la marque Collégien et, aidé d’Alain, invente l’injection de semelle en caoutchouc souple sur chaussette, le chausson-chaussette était né.

En 2006 Olivier fait renaître le

chausson-chaussette avec cette nou-velle semelle aérée et ergonomique au design moderne.. « La chaussette Guille est tricotée, assemblée et emballée en France dans notre usine du Tarn», vante le site internet de la société briatextoise pour présenter sa nouvelle gamme «Les chaussettes qui font du bien». Et pour-tant. ..

Plan de chômage partiel pour la productionMalgré cette notoriété, la société fami-liale a traversé une passe difficile il y

a quelques années avec la perte d’un gros marché de la grande distribution. Conséquence immédiate : un plan social a concerné 48 salariés. Placée sous me-sure de sauvegarde, l’entreprise tente de garder la tête hors de l’eau. Du côté de la direction, le discours se veut optimiste sur l’amélioration de la situation de Guille. Mais il faut traverser la période creuse entre la collection Été et la col-lection Hiver. Avec plus d’une centaine de salariés, la société briatextoise est une des grosses entreprises du département. D’où un suivi particulier de la part de tous les acteurs économiques. Comme quoi dans la vie il y a les optimistes qui ont créé l’avion et les pessimistes le pa-rachute. La société Guille a quant à elle choisi la première solution.

Une volonté de fer et une aide qui se tra-duisent donc par un retour au premier plan tout en gardant –et c’est important de le signaler- ses valeurs tarnaises. En clair, si aujourd’hui la grande distribu-tion s’approvisionne massivement en Chine ou ailleurs à des coûts indécents, la cinquième génération des Guille reste toujours fidèle au made in France afin de garantir la qualité de ses produits et la pérennité de son savoir faire au-delà de son Tarn natal. Elle n’a pas répondu aux chants des sirènes économiques made in Asie.

(Source site Guille). ■

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40 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

agenda

L’agenda des sortiesFESTIVAL

Du 26 au 29 juin

FESTIVAL TONS VOISINS EDIITON 2013

• OUVERTURE LE MERCREDI 6 JUIN A 21H

Mais enfin, qu’y a-t-il de commun entre un Allemand du 17ème siècle et un Brésilien du 20ème ? A prio-ri, rien ! À entendre de plus près, on pourrait bien considérer Bach comme l’un des premiers théo-riciens du rythme, lui qui amena les formes de danses à une sorte de perfection en les élevant au rang de musique absolue. Quant à Villa-Lobos, il ose enjamber mers et époques en proposant une œuvre-hommage, presque un pastiche.

• AMERIQUES/ BUSTER KEATON

C’est le plus fou des concerts : la plus extrême lenteur (Feldman) côtoie la vitesse la plus folle (Mantovani). A chacun son rythme en Amérique ; ce soir, tout s’accélère ou se ralentit, on passe de la matérialité la plus tangible (une boîte de soupe Campbell peinte par Warhol) à la spiritualité d’une pensée verticale comme des bandes horizontales de Rothko ; le bruit de la rue, les klaxons, la cohue, les couleurs vives d’un dessin de Hockney laissent soudain place à une scène nocturne à la Hopper où deux personnages solitaires songent devant leur café qui refroidit.

• SOUVENIR DU VOYAGE

Allers et retours, d’une patrie à l’autre : le tchèque Antonin Dvorak dirige le Conservatoire de New-York et écrit de la musique inspirée par le folklore du Nouveau Monde - notamment la musique noire-américaine dont la mélancolie se mélange à la dumka de son pays ; issu d’une famille juive d’ori-gine russe, Bernard Hermann, américain, écrit ce beau quintette lors de ses années d’exil londonien ; Philip Glass est considéré comme l’un des maîtres

de la musique minimaliste américaine et pourtant, son quatuor n°3 est inspiré par la musique de film qu’il réalisa pour un biopic sur l’écrivain japonais Mishima.

• LOS PAJAROS PERDIDOS

C’est tout naturellement dans un parc, reproduc-tion humaine d’un Paradis Terrestre, que se mêlent oiseaux-prophètes égarés, amants en quête d’un crépuscule complice, réminiscences de moments heureux.

• BUENOS AIRES, NEW YORK, PARIS

« Tango » : mot magique qui évoque immédiatement la sensualité d’un couple enlacé et formant des fi-gures tragiques et superbes à travers cette danse d’amour et de mort. Voilà pour le lieu commun ; passons à la réalité : le tango, renvoie avant toute chose à la communauté noire issue de l’esclavage, quel que soit le sens que l’on donne au mot.

• BLUES

Qui n’a jamais fait l’expérience de sentir, tout à coup, en soi, le cri déchirant d’une terre connue ou inconnue ? Ce désespoir, ce manquement d’un sol où l’on n’a peut-être jamais mis les pieds, on peut lui donner le nom de tristesse, de nostalgie, de blues.

• BY THE ROADSIDE / SUR LA ROUTE

Gustav Mahler ignore qu’il est presque au terme de sa vie lorsqu’il accepte de se rendre aux États-Unis ; durant ces années, il composera trois œuvres qu’il n’entendra jamais : la Neuvième Symphonie, Le Chant de la Terre et la Dixième Symphonie, dont il achèvera en totalité seulement l’Adagio initial.

Tarifs : Mini 10€, Privilège 15€, Plein : 18€.Info et réservations : Scène nationale d’Albiwww.sn-albi.fr 05 63 38 55 56.

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Juin 2013 • 4342 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

LE CAPPUCCINO

Pour une pause gourmandeAmbiance design, couleurs tendances et cadre chaleureux. Entièrement rénové au début de l’année le Cappuccino vous accueille dans son nouveau décor, que ce soit pour manger sur le pouce entre midi et deux ou bien pour une sortie entre amis ou en famille les soirs et les week-ends.

25 ans déjà que l’histoire de cette pizzéria-restaurant a commencé. Quasiment en même temps que celle de la galerie marchande du centre commercial Auchan où elle se trouve. C’est en 2009 que les nouveaux propriétaires, Cédric et Delphine Hallinger reprennent les rennes de l’établissement. Tous deux, après avoir fait leurs armes à la tête du Café des Sports de Labruguière depuis 2002 décident de se tourner vers la restauration et reprennent le Cappuccino.

Côté menu il y en a pour tous les goûts et pour tous les prix, car, comme le souligne notre dirigeant« nous souhaitons avant tout proposer du pas cher tout en étant généreux dans les quantités et vigilants dans la qualité de nos produits ». En tout, c’est plus d’une trentaine de pizzas qui vous est proposée sur la carte. Côté produit, on choisit la qualité française avec notamment toutes les viandes qui proviennent directement de la boucherie Bigard Castraise. Les légumes proviennent de chez Roussy, entreprise elle aussi Castraise. « Cet approvisionnement en produits frais directement sur place nous permet une plus grande réactivité mais également de proposer à nos clients des produits, choisis par nos soins et dont nous sommes sûrs », précise le dirigeant. Petit plus qui a fait la renommée du restaurant, « nous proposons des moules/ frites tous les vendredis et les samedis », ajoute Cédric. Pour le plus grand plaisir des amateurs. Et cerise sur le gâteau, les desserts sont directement conçus sur place par les pâtissiers d’Auchan.

Et le succès est au rendez-vous. Preuve en est les clients qui se pressent dès l’ouverture pour boire leur café matinal avant de commencer la jour-née. ■

L’agenda des sortiesVendredi 7 juin Théâtre municipal

3 CONTES CHOREGRAPHIQUES

Proposé par l’ADDA du Tarn

Dans le cadre des soirées des Rencontres dépar-tementales « Danse à l’école » En ouverture : cho-régraphies des classes des écoles primaires et collèges.

À partir de 7 ans.

« Le Riche et le pauvre » duo (Wu Zheng et Dominique Rebaud) / 15 min - « La gardienne d’oies » solo (Dominique Rebaud) / 17 min - « L’histoire de celui qui avala le soleil » trio / 20 min La chorégraphe Dominique Rebaud, passionnée

par les formes tradition-nelles que sont le conte ou la danse a voulu rassembler sur un même plateau ces deux expressions, narrative pour l’une, abstraite pour l’autre. Les danseurs s’emparent de trois contes et les restituent en mouvement sous forme de solo, duo et trio.

Gratuit

14, 15 et 16 juinGarden Golf de Fiac

Festival de Golf, musique et terroir

A découvrir à travers ce festival : des initiations gratuites au golf, ainsi que des compétitions et de nombreuses animations.Un vibrant hommage sera rendu à Georges Brassens. Autour de ce personnage emblématique, on retrouvera plusieurs concerts (2 groupes locaux) et le MEJ TRIO (reconnu depuis plus de 30 ans pour chanter Brassens), ainsi qu’une belle exposition sur le plus connu des sétois ! Il devrait même y avoir la présence de son ancienne photographe attitrée pour rendre l’exposition vivante. Enfin, il y aura également 2 groupes adultes du Conservatoire de Musique et de Danse du Tarn qui viendront rythmer la derniere journée sur des airs jazzys !

LO BOLEGASONVendredi 28 juin à 20h30

Finale du Rock’n’ Tarn

20 ans déjà que le ROCK’N TARN scrute, déniche et accompagne les jeunes groupes du Tarn ! 20 ans que ce tremplin de musiques actuelles permet aux futurs talents (650 groupes en scène depuis ses

débuts) d’évoluer sur les nombreuses scènes du département. Showcase d’Orly Chap le samedi 8 juin à 17h à l’Espace Culturel Leclerc de Castres.

Du 5 au 12 juillet

LES EXTRAVADANSES

• Vendredi 5 juillet: 17 h 30, Les 12 Travaux de Bricolo et Mécano. Un spectacle acroba-tique sur vélos avec la compagnie Zigamine. Place Jaurès : 22 h 15, Le Grand bal, un tour du monde dansant (et mu-sical) de la compagnie Tire-laine.

• Samedi6. Place Jaurès : 19 h 30, ça va jazzer. Un show claquettes avec Les Enjoliveurs ; 20 h 45, école de danse Salsa attitude ; 21 h 45, Avalon Celtic dances.

• Dimanche 7: Cour de l’Hôtel de ville : 19 heures, Part’jeux et ses portés acrobatiques réalisés Par Dessous-dessus ; 20 heures, On n’est pas des clichés. Danse hip-hop proposée par Pyramid.

• Dimanche7. Place Jaurès : 21 heures, country ; 22 heures, Polar, un cabaret des années 30 à Buenos Aires, Compagnie Bilbobasso.

• Lundi8. Place Jaurès : à partir de 18 heures, la Fête de la danse.

• Mardi 9. Hôtel de ville : 18 heures, école de danse Dominique Benne et Sabine Rigal ; 19 heures, Casa d’España. Place Jaurès : 20 h 30, Complètement swing par le Cirque exalté. Place du 8 mai : 21 h 45, Les Ballets jazz de Montréal.

• Mercredi10. Parvis du théâtre : 17 h 30, roller artistique ; 18 h 30, MJC des Salvages. Hôtel de ville : 20 heures, Les Quatre saisons, com-pagnie Chrysalide.

• Jeudi11. Hôtel de ville : 18 h 30, bal occitan ; 20 h 30, Moder’n jazz compagnie Adrénaline. Place Jaurès : 19 h 30, Travelling palace par la Famille Goldini. Place du 8 mai : 21 h 45, Ballet Español de Murcia.

• Vendredi12. Hôtel de ville : 18 h 30, danses polynésiennes. Place Jaurès : 20 heures, Zygos Brass Band. Place Soult (départ) : 21 h 45, spectacle déambulatoire, Le Voyage Aquarêves, en final.

Contact : Ouvert tous les jours sauf le lundi soir et le dimanche toute la journée. Lundi de 8h à 19h et du mardi au samedi de 8h à 22h30.

Tél. 05 63 74 81 00

Rue Albert CalmettesCentre Commercial Auchan 81100 Castres

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Juin 2013 • 4544 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

L’agenda des sortiesMUSIQUE

Vendredi 7 juin Amphithéâtre place de la Libération

LE VENDREDI MUSICAL

Des concerts gratuits, en plein air, à savourer au-tour de l’apéro ou du resto, ou simplement sur les marches de l’amphithéâtre pour apprécier le retour des belles soirées de printemps. Une carte blanche donnée à des groupes locaux, essentiellement gaillacois, une scène ouverte à des concerts de tous styles pour donner une note festive au début du week-end.

Repli MJC Pichery (en cas de pluie)Tout public - GratuitEn partenariat avec TAG et la MJC. Infos : Serviceculture ville de Gaillac : 05 63 81 20 19

Samedi 15 juin de 14h à 20hPlace du Griffoul

PLACE AUX LIVRES

Les malfaiteurs récidivent en invitant pour leur troi-sième édition de Place aux livres : une dizaine d’au-teurs (romans, BD, jeunesse) dont Anna Gavalda, des musiciens ainsi que la Compagnie « Théâtre Aux Châteaux » qui mettra en scène quelques textes choisis. La buvette des malfaiteurs sera évidem-ment montée pour l’occasion*.Une beau moment de convivialité avec les auteurs et des animations dans le pur esprit des Malfaiteurs !

Entrée libre

Vendredi 28 juin à 20h30Amphithéâtre place de la Libération

GADJI !

Loin d’enjoli-ver une réalité tour à tour vio-lente, drôle, cruelle, vivante, attendr issante ou révoltante, ce spectacle sans concession que ce soit pour les gens du voyage ou les «gadjé» est joué, chanté et dansé. Il nous fait vivre la ren-contre de deux mondes, voisins et pourtant si lointains. Gadji !

est d’une humanité profonde, de celles qui nous démontrent que la vie n’est ni blanche ni noire... ni rose non plus, et que la chaleur, la poésie et la sen-sibilité se dénichent partout quand on sait tendre la main. D’après l’adaptation du roman «Grâce et dénuement» d’Alice Ferney et d’extraits de «César et Drana» d’Isabelle Doré.Compagnie théâtre d’Ici ou d’Ailleurs

Tout Public / Durée : 1h25 / GratuitRepli en cas de mauvais temps (lieu à confirmer).

Du 29 juin au 16 septembreMusée des beaux-arts

LA MISERERE

Georges Rouault (1871-1958) a consacré à cette édition illustrée une grande partie de son œuvre et de son temps, ne ménageant pas sa peine, mêlant ses qualités de peintre et de gra-veur. C’est ce travail de longue haleine qui donne naissance au premier de ses chefs d’œuvre, LE MISERERE, gravé pendant les quatre années dramatiques de la première guerre, de 1914 à 1918, qui est le testament spirituel de l’artiste. Le tirage des 58 planches gravées par l’artiste, tirées par Jacquemin, l’occupera ensuite pendant dix années de 1917 à 1927, et sera suivi en 1932 par l’édition des Réincarnations du Père Ubu, puis par celle du Cirque de l’Etoile filante en 1936 et enfin de Passion en 1939, date de la mort

accidentelle d’Ambroise Vollard qui met fin à cette collaboration extraordinaire.

PAUSE CAFE PAUSE MUSEESJeudi 13 juin de 12h45 à 14hMuséum d’histoire natu-relle

L’OBSERVATOIRE DES SAI-SONS ET LE MUSÉUM DE GAILLAC

Par Yannick Joulié, respon-sable pédagogique du CPIE des Pays tarnais L’Observatoire des Saisons est un programme de sciences participatives qui a été créé en 2006 par le CNRS. Il s’adresse à tous les citoyens et vous propose d’aider la commu-nauté scientifique à récolter des données afin d’étudier la phéno-logie de la flore et de la faune et ainsi de comprendre l’impact du

changement climatique sur les écosystèmes.

Jeudi 20 juin de 12h45 à 14hMusée de l’abbaye

PORTES ET PORTAILS REMARQUABLES DU PATRI-MOINE DE GAILLAC

Par Bertrand de Viviés, Conservateur en chef des mu-sées de Gaillac.

Samedi 6 juilletde 19h 22hParisot

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Plus de 20 musiciens pour une ambiance garantie. Organisé par l’association des parents d’élèves de Parisot-Peyrole.

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