Le Grand Ouest, région clé du dispositif Lafarge Fr ance

« Lafarge est présent sur un croissant qui va du sur le Grand Ouest et sur la façade atlantique.fait que nos implantations suivent le marché Le Grand Ouest comprend les régions administratives Haute-Normandie, BretaPays de la Loire. C’est un territoire dynamique qui recouvre une importance majeure pour Lafarge France : il regroupe 23 carrières, 2 cimenteries et 82 centrales à béton, représentant près de 1emplois directs, soit 20 % des emplois de Lafarge France. On compte également dans le Grand Ouest plus de 1 600 emplois indirects et induits et 3 000 emplois liés à la consommationfabricants, entreprises de construction…) UN MODELE 100 % LOCAL Le modèle 100 % local de Lafarge est fondé sur la proximité avec les ressources naturelles (alluvions de la Seine, sables du Lac de Grand Lieu, roches massives du plateau armoricain…) et sur la proximité avec les clients finaux, implantés sur le quart Grand Ouest de la Engagé pour le développement durable de la région, Lafarge dans le Grand Ouest contribue à l’économie circulaire, réutilisant comme matières premièrecimenteries du Grand Ouest - Saint-Pierredangereux issus des industries locales (papiers, plastiques, cartons, textiles…), ou bien des pneus usagers, les utilisant comme combustibles alternatifs dans le processus de production du ciment, pour un double intérêt économique (réduction de la facture d’énergie) et environnemental (impact réduit sur l’environnement). usines valorisent également des résidus de l’industriedes centrales thermiques environnantes…) utilisés en substitution d’une partie du ciment. Enfin, dans le Grand Ouest, les bétons de déconstruction locaux sont recyclés en granulats pour des applications diverses.

Les implantations Lafarge France dans le Grand Oues t

- Les sites cimentiers- Les carrières de granulats- Les sites bétons

Le Grand Ouest, région clé du dispositif Lafarge Fr ance

présent sur un croissant qui va du Nord au Sud du pays , avec notamment une forte présence atlantique. Cela s’explique à la fois par des raisons historiqu es et par le

fait que nos implantations suivent le marché . » Pascal Casanova, Directeur Général de Lafarge Franc e

Le Grand Ouest comprend les régions Normandie, Bretagne et

Pays de la Loire. C’est un territoire dynamique qui recouvre une importance majeure pour Lafarge

: il regroupe 23 carrières, 2 cimenteries et 82 centrales à béton, représentant près de 1 000 emplois directs, soit 20 % des emplois de Lafarge

rance. On compte également dans le Grand 600 emplois indirects et induits et

000 emplois liés à la consommation (pré-fabricants, entreprises de construction…).

% local de Lafarge est fondé sur la proximité avec les ressources naturelles (alluvions de la Seine, sables du Lac de Grand Lieu, roches massives du plateau armoricain…) et sur la proximité avec les clients finaux, implantés sur le quart Grand Ouest de la France ou bien dans l’Ile-de-France limitrophe.

Engagé pour le développement durable de la région, Lafarge dans le Grand Ouest contribue à l’économie premières les déchets issus d’autres industries du territoire. Ai

Pierre-La-Cour (53) et Le Havre Saint-Vigor (76) - dangereux issus des industries locales (papiers, plastiques, cartons, textiles…), ou bien des pneus usagers, les

ombustibles alternatifs dans le processus de production du ciment, pour un double intérêt économique (réduction de la facture d’énergie) et environnemental (impact réduit sur l’environnement). usines valorisent également des résidus de l’industrie locale (laitiers provenant de la sidérurgie, cendres issues des centrales thermiques environnantes…) utilisés en substitution d’une partie du ciment. Enfin, dans le Grand Ouest, les bétons de déconstruction locaux sont recyclés en granulats – c’est la gamme aggneo™

Dossier de presse

Les implantations Lafarge France dans le Grand Oues t

Les sites cimentiers Les carrières de granulats Les sites bétons

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Paris, octobre 2013

Le Grand Ouest, région clé du dispositif Lafarge Fr ance

, avec notamment une forte présence Cela s’explique à la fois par des raisons historiqu es et par le Pascal Casanova, Directeur Général de Lafarge Franc e

% local de Lafarge est fondé sur la proximité avec les ressources naturelles (alluvions de la Seine, sables du Lac de Grand Lieu, roches massives du plateau armoricain…) et sur la proximité avec les clients finaux,

France limitrophe.

Engagé pour le développement durable de la région, Lafarge dans le Grand Ouest contribue à l’économie les déchets issus d’autres industries du territoire. Ainsi les deux

valorisent des déchets non dangereux issus des industries locales (papiers, plastiques, cartons, textiles…), ou bien des pneus usagers, les

ombustibles alternatifs dans le processus de production du ciment, pour un double intérêt économique (réduction de la facture d’énergie) et environnemental (impact réduit sur l’environnement). Ces deux

locale (laitiers provenant de la sidérurgie, cendres issues des centrales thermiques environnantes…) utilisés en substitution d’une partie du ciment. Enfin, dans le Grand

me aggneo™ – et réutilisés

France

Dossier de presse

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LES PRODUITS INNOVANTS FABRIQUES SUR LES SITES DU G RAND OUEST Tous les produits élaborés sur les sites de Lafarge dans le Grand Ouest sont soumis à de rigoureux contrôles de qualité. Ils sont tous certifiés NF et CE. Ils sont utilisés pour des réalisations majeures du territoire et de son aménagement, contribuant, au-delà des activités de Lafarge, au développement local.

• Les granulats et les services aggneo™ , une gamme de granulats recyclés à partir de bétons issus des filières locales.

• Les ciments à taux réduits de CO ₂ : élément principal des bétons à bas carbone, les ciments à taux réduits de CO₂ leur apportent régularité et qualité, avec un impact réduit sur l’environnement.

• Les bétons innovants : les gammes Thermedia® (béton isolant), Hydromedia® (béton drainant) ou encore Ductal® (béton fibré à ultra-haute performance), entre autres bétons innovants, constituent de nouvelles solutions constructives pour de meilleures performances énergétiques et environnementales.

• Le ciment « Oil-Well » est un ciment spécifique pour la construction de puits de forage pétroliers en mer.

A savoir Lafarge consacre 1 % de son chiffre d’affaires à la R&D – un budget significatif dont les 2/3 sont consacrés au développement de nouveaux produits aux performances environnementales prouvées.

Zoom sur quelques réalisations emblématiques dans l e Grand Ouest : le stade du Havre, premier stade BBC de France – Le pont de Normandie, reliant le Havre à Honfleur – Le pont de Térénez dans le Finistère, ouvrage d’art permettant de désenclaver la Presqu’île de Crozon – Le Carrousel des Monde Marins à Nantes, un ouvrage étonnant dédié à l’imaginaire, d’ores et déjà lieu de rendez-vous des touristes – Le centre commercial Atoll à Angers, tout premier éco-parc de France… LAFARGE FRANCE INVESTIT DANS LE GRAND OUEST 130 M€ ont été investis dans les 3 régions au cours des 7 dernières années et 65 à 80 M€ seront à nouveau investis dans les 3 à 5 ans à venir pour des installations industrielles toujours plus performantes et des procédés de fabrication toujours plus innovants. Site phare de Lafarge dans le Grand Ouest et plus grande cimenterie de France, le site de Saint-Pierre-La-Cour a investi 74 M€ de 2005 à 2012. Dans les 3 à 5 ans à venir, 27 M€ d’investissements sont prévus, dont 10 à 15 M€ pour des projets environnementaux et de traitement des déchets. Site d’envergure, la cimenterie du Havre Saint-Vigor investira quant à elle 52 M€ dans les années à venir afin d’optimiser l’ensemble de ses infrastructures.

Lafarge France Le Groupe Lafarge propose des matériaux et des solutions innovantes pour construire durablement et contribuer à améliorer les villes : infrastructures, hôpitaux, bureaux, logements… Lafarge France compte près de 5 200 salariés et 450 sites, dans les activités ciments, granulats et bétons. Engagé pour l’économie circulaire et pour le développement durable, Lafarge France agit en faveur de la biodiversité, de l’économie d’énergie et de la préservation des ressources naturelles.

Le pont de Térénez Le stade du Havre lors de sa construction

Le Carrousel des Mondes Marins en construction

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Paris, octobre 2013

Dans le Grand Ouest, les trois activités de Lafarge en synergie

Dans la région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaîne de production de ses produits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour produire ciment et béton. La synergie des trois activités sur le territoire local est gage de réactivité, de fiabilité et de qualité constante des produits. LES GRANULATS Les granulats sont issus des matières premières extraites des carrières de Lafarge dans le Grand Ouest. Il peut s’agir de roches meubles, notamment de dépôts alluvionnaires extraits de la carrière de Bernières-sur-

Seine (27), la plus importante carrière alluvionnaire de France. Il peut s’agir de roches massives du plateau armoricain, extraites de carrières éruptives, ou bien encore de sables, extraits par exemple de l’une des 8 sablières bretonnes.

Les granulats peuvent aussi provenir de la filière de recyclage valorisant les bétons issus de l’activité locale (bétons de démolition récupérés sur des chantiers locaux ou bien retours de toupies). Ce sont les granulats aggneo™ - une innovation Lafarge France qui répond aux besoins de la construction durable en économisant les réserves naturelles de roches. Les sites de recyclage de béton Lafarge sont disséminés sur le Grand Ouest, notamment à Gaillon (27) et Igoville (27) en Haute-Normandie, ou dans les périphéries de Nantes et de Rennes.

La matière – matière première naturelle ou bétons de déconstruction – est concassée puis criblée pour créer des fragments de roches de moins de 125 mm. Les granulats ainsi produits peuvent être utilisés pour de nombreux ouvrages de travaux publics et génies civils. Ainsi, il faut 16 000 tonnes de granulats pour construire 1 km de voie ferrée et 30 000 tonnes de granulats pour réaliser la sous-couche d’1 km d’autoroute. Ils sont également la composante principale du béton.

A savoir Les sables et alluvions extraits des carrières situées en bordure de Seine sont transportés par barge, soit jusqu’à leur site de traitement, soit le cas échéant jusqu’en Île-de-France où ils sont utilisés pour des applications variées. En partenariat avec RFF, Lafarge France dispose de la première flotte française de barges, un mode de transport parfaitement respectueux de l’environnement.

Chargement d’une barge sur la carrière de Bernières-sur-Seine

France

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LE CIMENT

La région Grand Ouest compte deux cimenteries : la cimenterie du Havre Saint-Vigor (76) et la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (53), la plus importante de France. Dans ces usines, les roches – calcaires et argiles notamment – extraites des carrières sont concassées, homogénéisées et portées à très haute température (1 450 C°). Le produit obtenu après refroidissement est le clinker. Le clinker broyé devient poudre de ciment. En phase finale du process de fabrication, le clinker peut être associé à d’autres constituants. En fonction du type de ciment souhaité, on ajoute, à l’usine de Saint-Pierre-La-Cour, du calcaire venant de la carrière du site ainsi que des cendres issues de la combustion du charbon, de la centrale thermique de Cordemais (44). Au Havre Saint-Vigor, on utilise de la même manière du laitier (résidus de l’industrie sidérurgique) et les cendres de la centrale thermique EDF du Havre. Ainsi, à la cimenterie du Havre Saint-Vigor, pour 1 t de ciment produite, on compte 450 kg de matériaux additionnels. Des mesures sont mises en œuvre dans les deux cimenteries afin de limiter l’impact de la fabrication du ciment sur l’environnement :

• La substitution de combustibles alternatifs aux énergies fossiles : valorisation de résidus industriels locaux non dangereux (papier, carton, textile, plastique…), de pneus broyés, de farines issues de bêtes saines, semences déclassées, sciures de bois…

• Le broyeur vertical de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour qui permet une économie de 30 % sur la facture énergétique de l’usine.

• Le filtre à manche de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour : associé à un électro-filtre, il permet d’anticiper les futures évolutions réglementaires environnementales françaises et européennes.

A savoir Mélangé avec de l’eau, le ciment constitue une pâte liante - sorte de colle - qui, en durcissant, permet d’agglomérer les matériaux entre eux.

LE BETON

Le béton est obtenu par le mélange de ciment, de granulats (de types variés selon la consistance souhaitée et selon l’application) d’eau et d’adjuvants (en fonction des propriétés recherchées). Le maillage dense du Grand Ouest par les 82 centrales à béton Lafarge permet un service de proximité, dans un rayon de seulement 30 km, pour un impact réduit sur l’environnement et un service client optimal. Ces centrales fabriquent tous les bétons innovants de Lafarge : par exemple les gammes Thermedia® (béton isolant), Hydromedia® (béton drainant) ou encore Ductal® (béton fibré à ultra-haute performance).

1- Ciment 2- Sacs de ciments prêts à être livrés à

la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour

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Lafarge dans le Grand Ouest, une entreprise respons able Lafarge dans le Grand Ouest s’engage en faveur de la protection de l’environnement et de la biodiversité, prend part à l’économie circulaire locale et agit pour l’emploi, contribuant à créer de la richesse pour le territoire et à renforcer la cohésion sociale. DES ACTIONS DE PROTECTION DE LA BIODIVERSITE REGION ALE Conscient que ses activités ont un effet sur les milieux naturels, Lafarge France anticipe son impact et agit sur le long terme, déployant sur tous ses sites des « plans d’actions en faveur de la biodiversité ». Lafarge s’est dès lors vu attribuer le statut « d'engagement reconnu Stratégie Nationale de la Biodiversité » par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable et de l'Énergie en 2012. Lafarge France est partenaire de plusieurs associations au niveau national: la Fondation du Patrimoine, France Nature Environnement (FNE) et l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Ces partenariats sont relayés en région. Il existe de plus dans le Grand Ouest un accord de collaboration avec la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) et avec les CPIE (Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement). Les sites du Grand Ouest œuvrent avec ces associations, avec les riverains et avec les élus locaux pour la préservation des milieux qui les entourent. De nombreuses actions ciblées sont menées :

• En Pays de la Loire : - La cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (53) ouvre ses portes aux visiteurs et accueille les scolaires toute

l’année pour des actions de sensibilisation à la biodiversité. Les enfants sont invités à débroussailler les mares et à planter des arbres sur le site.

- Lafarge Granulats a obtenu en 2012 la classification en « Réserve Naturelle Régionale » pour le Bocage humide des Cailleries, un site abritant une biodiversité exceptionnelle qui fait partie de son site de la sablière de Saint-Colomban (44).

• En Bretagne :

- Lafarge Granulats a restitué à Brest Métropole Océane le site de la sablière de Bodonou (29). Le site est en cours de réaménagement pour devenir un « Site de Biodiversité Remarquable » ouvert au public.

- Sur le site de la carrière de Radenac (56), Lafarge Granulats et le Centre de Recherches sur la Biologie des Populations d'Oiseaux (CRBPO) collaborent pour la protection des hirondelles de rivage dont le site abrite une très importante colonie.

• En Haute-Normandie : La carrière d’Anneville-Ambourville (76) mène une action de préservation du crapaud calamite sur son site. Plusieurs réhabilitations de carrières sont par ailleurs menées sur le territoire de Haute-Normandie.

France

Dossier de presse

Zoom : Lafarge France assure une gestion environnemental e rigoureuse de ses sites.Lafarge dans le Grand Ouest sont certifiés ISO 14La-Cour et du Havre Saint-Vigor. UNE PARTICPATION A L ’ECONOMIE CIRCULAIREECONOMIQUE LOCAL

finale de fabrication, le clinker est associé à d’autres constituants également issus des iSaint-Pierre-La-Cour, on utilise du issues de la centrale thermique de Cordemais (44). Au Havre Saintdes cendres de la centrale thermique du Havre.

• Une seconde vie pour les déblaisde terrassement et de chantiers. exploitées par Lafarge Granula

• Le béton réutilisé : Dans le Grand Ouest, les bétons de démolition issus de chantierretours de toupies sont à nouveau broyés et traités pour devenir

UNE POLITIQUE POUR L’EMPLOI ET LA FORMAT Lafarge est un employeur local important dans le Grand Ouestemplois Lafarge France. La sous-traitance pour la maintenance et le transport créent indirects. Lafarge, dans le Grand Ouest, s’investit pour le recrutement continu et la formation de ses futurs collaborateurs en accueillant de jeunes apprentis et alternants au sein de ses structures (environ 4,5 % de la masse salariale). Par ailleurs, les sites locaux majeurs (cimenterieprésenter les métiers du ciment et du granulat aux scolaires et aux jeunes. Lafarge France est impliqué dans le Grand Ouest en faveur de la création d’entreprises, de la création et du maintien des emplois, grâce à des partenariats avec Initiative France et le Réseau Entreprendre. est particulièrement actif en région Bretagne. Lafarge France est partenaire du BRIT (Bretagne, Reprise, Initiative, Transmission), unrepreneurs de TPE-PME bretonnes. Environ 150 emplois ont ainsi été créés ou maintenus, uniquement en région Bretagne.

: Lafarge France assure une gestion environnemental e rigoureuse de ses sites.Lafarge dans le Grand Ouest sont certifiés ISO 14 001, au premier rang desquels les cimenteries

’ECONOMIE CIRCULAIRE , EN FAVEUR DU DEVEL

Lafarge dans le Grand Ouest est partie prenante d’une symbiose industrielle, valorisant les déchets des industries locales pour en faire des matières premières

• Quand les déchets deviennent combustibles : Des matériaux industrielles locales sont utilisés sur les sites Lafarge dans le Grand Ouest comme combustibles alternatifs. Sur la cimenterie de Saint-DSB (Déchets Solides Broyés) permet de valoriser des déchets locaux non dangereuxplastique... En Haute-Normandie, un dispositif similaire existe : c’est la plateforme Coderes, implantée sur la zone portuaire du Havre, qui permet de valoriser dans la cimenterie du Havre Saint-Vigor les résidus industriels locaux.

• Des résidus industriels de fabrication, le clinker est associé à d’autres constituants également issus des i

Cour, on utilise du calcaire (résidus du process industriel de la cimenterie) et des cendres issues de la centrale thermique de Cordemais (44). Au Havre Saint-Vigor, on recycle de la même manière

ale thermique du Havre.

Une seconde vie pour les déblais : Lafarge, dans le Grand Ouest, récupère les déblaisde terrassement et de chantiers. Ils servent notamment au réaménagement des carrières de la région exploitées par Lafarge Granulats.

: Dans le Grand Ouest, les bétons de démolition issus de chantierretours de toupies sont à nouveau broyés et traités pour devenir granulats, sur des sites dédiés.

’EMPLOI ET LA FORMAT ION

Lafarge est un employeur local important dans le Grand Ouest : environ 1 000 emplois directs, soit 20 % des traitance pour la maintenance et le transport créent de plus

s’investit pour le recrutement continu et la formation de ses futurs collaborateurs en accueillant de jeunes apprentis et alternants au sein de ses structures (environ 4,5 % de la masse salariale). Par ailleurs, les sites locaux majeurs (cimenteries et carrières importantes) ouvrent régulièrement leurs portes afin de présenter les métiers du ciment et du granulat aux scolaires et aux jeunes.

Lafarge France est impliqué dans le Grand Ouest en faveur de la création du maintien des emplois, grâce à des

ance et le Réseau Entreprendre. Cet engagement est particulièrement actif en région Bretagne. Lafarge France est partenaire du BRIT (Bretagne, Reprise, Initiative, Transmission), un fonds spécifique dédié aux

PME bretonnes. Environ 150 emplois ont ainsi été créés ou maintenus, uniquement en région Bretagne.

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: Lafarge France assure une gestion environnemental e rigoureuse de ses sites. Plusieurs sites 001, au premier rang desquels les cimenteries de Saint-Pierre-

, EN FAVEUR DU DEVELOPPEMENT

Lafarge dans le Grand Ouest est partie prenante d’une valorisant les déchets des

ocales pour en faire des matières premières.

Quand les déchets deviennent : Des matériaux issus des ressources

sont utilisés sur les sites Lafarge dans le Grand Ouest comme combustibles alternatifs.

-Pierre-La-Cour, un atelier DSB (Déchets Solides Broyés) permet de valoriser des déchets locaux non dangereux : papier, carton, textile,

Normandie, un dispositif similaire : c’est la plateforme Coderes, implantée sur la

ne portuaire du Havre, qui permet de valoriser dans la Vigor les résidus industriels

Des résidus industriels valorisés : En phase de fabrication, le clinker est associé à d’autres constituants également issus des industries locales. A

du process industriel de la cimenterie) et des cendres Vigor, on recycle de la même manière

Lafarge, dans le Grand Ouest, récupère les déblais issus de travaux servent notamment au réaménagement des carrières de la région

: Dans le Grand Ouest, les bétons de démolition issus de chantiers locaux ainsi que les granulats, sur des sites dédiés.

000 emplois directs, soit 20 % des de plus de nombreux emplois

s’investit pour le recrutement continu et la formation de ses futurs collaborateurs en accueillant de jeunes apprentis et alternants au sein de ses structures (environ 4,5 % de la masse salariale). Par

s et carrières importantes) ouvrent régulièrement leurs portes afin de

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En Pays de la Loire, les trois activités Lafarge en synergie Lafarge en Pays de la Loire, c’est environ 400 collaborateurs répartis sur 1 cimenterie, 14 carrières et 31 centrales à béton. En Pays de la Loire, comme dans toute la région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaîne de production de ses produits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour produire ciment et béton. La synergie des trois activités sur le territoire local est gage de réactivité, de fiabilité et de qualité constante des produits. LES GRANULATS En Pays de la Loire, Lafarge Granulats exploite 5 carrières éruptives de roches massives, notamment le site de Rouans-Chéméré (44) qui permet d’alimenter le vaste marché nantais en matériaux pour des applications, entre autres, de bétons désactivés, enrobés bitumeux ou ballast de voies ferrées. Au cœur de son dispositif nantais, Lafarge Granulats gère par ailleurs un important centre d’accueil de déblais inertes, localisé au pied du pont de Cheviré. Ce centre majeur peut recevoir 1 Mt de matériaux inertes par an (avec à terme une capacité de 20 Mt) qui sont valorisés notamment pour le réaménagement de carrières en région Pays de la Loire. Sont également exploités dans la région une sablière à Saint-Colomban près du Lac de Grand Lieu, un port sablier situé le long de la Loire, à Saint-Herblain, 3 plateformes de réception d’inertes et enfin, une plateforme de traitement des bétons locaux. Le dispositif de Lafarge Granulats en Pays de la Loire permet une production annuelle totale d’environ 2 Mt de différents types de granulats. LES CIMENTS

La cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour fait partie du paysage mayennais depuis 1951. Avec 170 emplois directs et une capacité de production de 1,6 Mt par an, c’est la plus importante de France. Associée à la carrière et grâce à la présence en son sein d’un laboratoire d’analyse, la cimenterie a l’entière maîtrise de la qualité de la matière première extraite et donc du clinker fabriqué, gage de la régularité du suivi de la qualité et de la stabilité du ciment produit. L’usine alimente les régions Pays de la Loire et Bretagne mais également les dépôts de Bonneuil-en-France et Corbeille-Essonne en région parisienne. La cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour

France

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A savoir L’usine de Saint-Pierre-La-Cour répond aux standards des meilleures cimenteries du monde, avec la mise en œuvre du programme POM (Plant Operating Model) - un ensemble de bonnes pratiques issues de l’historique et du benchmark des usines les plus performantes du Groupe Lafarge, garantes d’efficacité, de fiabilité et de sécurité.

Des dispositifs novateurs visant à réduire l’impact des activités de la cimenterie sur l’environnement ont été mis en place :

• Le broyeur vertical de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour : Installé dès 2006 et premier du type en France à l’époque, ce broyeur vertical fonctionne par l’introduction de la matière sur un plateau tournant, où elle est broyée par des galets. Peu encombrant, ce broyeur permet une économie de 30 % sur la facture énergétique de l’usine.

• Un filtre à manche à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour : Installé en septembre 2012 pour un

investissement de 11 M€, il permet de filtrer l’air industriel afin de retenir au maximum les poussières et autres polluants. Le filtre permet d’aller plus loin que la réglementation européenne sur les émissions polluantes des installations industrielles (directive IPPC n°96/61/CE du 26/9/1996 relative à la prévention et à la réduction intégrées de la pollution) et anticipe les réglementations plus strictes à venir. Toutes les poussières piégées par le filtre sont recyclées : elles entrent dans la composition du ciment produit par l’usine.

Pour une amélioration constante des performances environnementales et techniques de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour, 74 M€ ont été investis de 2005 à 2012. Dans les 3 à 5 ans à venir, 27 M€ d’investissements sont prévus, dont 10 à 15 M€ pour des projets environnementaux et de traitement des déchets.

LES BETONS L’agence Lafarge Bétons Pays de la Loire compte 31 centrales à bétons. Dans une logique de service de proximité, ces sites permettent un maillage étroit du territoire, avec un rayon de livraison de 20 km autour des centrales. Avec une production de 700 000 m³ en 2012, l’agence assure la fabrication de toute la gamme des bétons Lafarge, en particulier des bétons à haute valeur ajoutée. Le parc des centrales est en expansion et en renouvellement constant. Objectif : maintenir un réseau dense et des équipements performants et fiables - gages de sécurité pour les collaborateurs et de qualité de la production.

Forte d’un grand savoir-faire technique, l’agence Lafarge Bétons Pays de la Loire est très souvent sollicitée pour la réalisation d’ouvrages majeurs dans la région.

A savoir Lafarge Bétons investit pour la performance commerciale ! En Pays de la Loire, 10 showrooms offrent aux clients de venir découvrir les bétons décoratifs Artevia®.

Centrale béton en région Pays de la Loire

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Lafarge en Pays de la Loire, une entreprise respons able DES ACTIONS MENEES EN FAVEUR DE L’ENVIRONNEMENT Conscient que ses activités ont un effet sur les milieux naturels, Lafarge en Pays de la Loire mène de nombreuses actions au cœur de ses sites afin de sensibiliser les parties prenantes (collaborateurs, riverains, élus…) et de protéger la biodiversité.

• Lafarge Granulats est propriétaire du bocage des Cailleries adjacent à sa carrière de Saint-Colomban (44). Véritable réservoir de biodiversité, ce site semi-naturel de 18 ha se trouve au cœur d’un bassin versant ayant pour exutoire le Lac de Grand Lieu. Epaulé par des partenaires locaux, Lafarge Granulats a œuvré pour faire reconnaître son intérêt environnemental. En 2012, le Conseil régional a décidé son classement en Réserve Naturelle Régionale (RNR). Mené par Lafarge Granulats, le plan de gestion de la RNR, mêlant actions de conservation et de sensibilisation, doit permettre de préserver le site.

• Très impliquée dans la vie locale, la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour organise régulièrement des visites de son site et accueille environ 2 000 visiteurs par an : résidents des alentours, professionnels et surtout scolaires. Invités à découvrir l’usine, les enfants sont également sensibilisés à la biodiversité et conviés à participer, sur le site de la carrière, à débroussailler autour des mares et à planter de nouveaux arbres. Par ailleurs, il existe ainsi une étroite collaboration entre la cimenterie de Saint-Pierre-la-Cour et Mayenne Nature Environnement.

Zoom : Dans une logique d’amélioration continue de ses structures, Lafarge France assure une gestion environnementale rigoureuse de ses sites. Plusieurs sites Lafarge Pays de la Loire sont certifiés ISO 14 001, notamment la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour. LAFARGE EN PAYS DE LA LOIRE, ACTEUR DE L’ECONOMIE C IRCULAIRE

En Pays de la Loire, Lafarge France est partie prenante d’une symbiose industrielle, en valorisant les déchets de certaines industries locales pour en faire des matières premières, dans un objectif de préservation des ressources naturelles et de développement économique local.

France

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A savoir En mars 2012, la cimenterie de Saint10.000.000ème pneu, soit 75 000 tonnes

En phase finale du process de fabrication, le clinkerconstituants. En fonction du type de ciment souhaité, on ajoute du calcaire venant de la carrière de Saintde-la-Cour ainsi que des cendres issues de la combustion du charbon, dans la centr(44).

L’atelier DSB de l’usine de Saint-Pierre-La-Cour

Un nouvel atelier DSB (Déchets Solides Broyés)installé depuis 2013 au sein de la cimenterie de SaintPierre-La-Cour. Son objectiflocaux (produits industrielscarton, textile, plastique…) pour en faire des combustibles alternatifs, en remplacement des combustibles fossiles non renouvelables. Cetvient compléter un dispositif existeffet, la cimenterie valorise déjà des pneus broyés, desfarines issues de bêtes saines ou encore des semences déclassées, gaines de câbles, sciures de bois… Avec cet atelier, la cimenterie de Saintatteint un taux de 50 % de substitfossiles et vise, à moyen terme, un objectif de 75 %.

En mars 2012, la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour a fêté la valorisation de son onnes !

n phase finale du process de fabrication, le clinker, matière première du ciment,constituants. En fonction du type de ciment souhaité, on ajoute du calcaire venant de la carrière de Saint

Cour ainsi que des cendres issues de la combustion du charbon, dans la centrale thermique de Cordemais

L’atelier DSB de l’usine de

Pneus en attente d’être broyés

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Un nouvel atelier DSB (Déchets Solides Broyés) est installé depuis 2013 au sein de la cimenterie de Saint-

Cour. Son objectif : valoriser des déchets locaux (produits industriels non dangereux : papier, carton, textile, plastique…) pour en faire des

s, en remplacement des combustibles fossiles non renouvelables. Cet atelier vient compléter un dispositif existant de longue date. En

rise déjà des pneus broyés, des s de bêtes saines ou encore des semences

déclassées, gaines de câbles, sciures de bois…

a cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour 50 % de substitution des combustibles

fossiles et vise, à moyen terme, un objectif de 75 %.

, matière première du ciment, est associé à d’autres constituants. En fonction du type de ciment souhaité, on ajoute du calcaire venant de la carrière de Saint-Pierre-

ale thermique de Cordemais

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Les réalisations Lafarge en Pays de la Loire

LE CARROUSEL SUR L’ILE DE NANTES C’est un chantier atypique mené pour la réalisation d’un manège sorti tout droit de l’univers de Jules Verne. La contrainte technique : les formes très spécifiques du coffrage. L’agence Bétons Pays de la Loire a fourni des bétons autoplaçants (qui se mettent en place aisément dans les coffrages, même les plus complexes) (727 m³) avec deux formulations selon les températures pour une prise plus ou moins rapide.

LE TRIPODE AU CŒUR DE NANTES C’est un ensemble d’envergure, comprenant commerces et logements. Il a fallu 28 500 m³ de béton pour la structure et 5 000 m³ pour les pieux uniquement. Ce sont les bétons de la gamme Agilia®, bétons autoplaçants et auto-nivelants, qui ont été sélectionnés pour ce chantier.

LE PARVIS DE LA CITE SANITAIRE DE SAINT-NAZAIRE 12 000 m² de dallage ont été réalisés autour du nouvel hôpital de Saint-Nazaire, soit un volume de 1 500 m³ de béton décoratif de la gamme Artevia® Relief, un béton désactivé à aspect gravillonné.

LE CENTRE COMMERCIAL ATOLL A ANGERS Offrant une surface de vente de 70 000 m², il s’agit du premier éco-parc de France. Pour la réalisation des nombreux éléments de structures préfabriqués en béton armé, le ciment utilisé provient de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour. Et plus encore ! A Nantes, le Carré Feydeau (logements, commerces et bureaux), la Fabrique (centre culturel), la clinique vétérinaire… A Cholet, le parvis du quartier des Arcades Rougé. A Angers, les dalles du parc Terra Botanica.

Le Carrousel des Mondes Marins en construction

L’immeuble du Tripode en cours de construction

Le parvis de l’hôpital de Saint-Nazaire

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En Bretagne, les trois activités Lafarge en synergi e Lafarge en Bretagne, c’est environ 300 collaborateurs répartis sur 11 carrières, 33 centrales à béton, ainsi que 2 dépôts de ciment. En Bretagne, comme sur toute la région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaproduits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour produire ciment et béton. La synergie des trois activités sur le tequalité constante des produits. LES GRANULATS

Sur une région Bretagne élargie qui comprend le nord de la LoireMayenne, Lafarge Granulats exploite 8 importante production, alliée à la qualité des Lafarge Granulats une position prédominante sur la marché breton. Lafarge Granulats exploite également, sur la zone Bretagneproximité de Rennes (pour une production de 800et à proximité de Châteaubriant. 5 sites d’accueil de déblais inertes, destinés notamment à être revalorisés pour le réaménagement de carrières de la région, viennent compléter le dispositif breton.

1- Carrière du Rheu (35) à proximité de Rennes, dédiée à l’extraction d’un gisement alluvionnaire2- Carrière de Montlouis-Janzé (35), dédiée à l’extraction de grès armoricain

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En Bretagne, les trois activités Lafarge en synergi e

environ 300 collaborateurs répartis sur 11 carrières, 33 centrales à béton, ainsi que 2

région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaproduits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour produire ciment et béton. La synergie des trois activités sur le territoire local est gage de réactivité, de fiabilité et de

Sur une région Bretagne élargie qui comprend le nord de la Loire-Atlantique, du MaineMayenne, Lafarge Granulats exploite 8 sablières pour une production annuelle d’environ 200

duction, alliée à la qualité des sables utilisés pour la fabrication de bétons techniques, assurent à Lafarge Granulats une position prédominante sur la marché breton.

sur la zone Bretagne, 3 carrières éruptives de roches massives, localisées à proximité de Rennes (pour une production de 800 000 t/an), dans le nord du Maine-et-Loire (environ 500

, destinés notamment à être revalorisés pour le réaménagement de carrières de la région, viennent compléter le dispositif breton.

(35) à proximité de Rennes, dédiée à l’extraction d’un gisement alluvionnaireJanzé (35), dédiée à l’extraction de grès armoricain

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En Bretagne, les trois activités Lafarge en synergi e

environ 300 collaborateurs répartis sur 11 carrières, 33 centrales à béton, ainsi que 2

région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaîne de production de ses produits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour

rritoire local est gage de réactivité, de fiabilité et de

Atlantique, du Maine-et-Loire ainsi que la sablières pour une production annuelle d’environ 200 000 t. Cette

sables utilisés pour la fabrication de bétons techniques, assurent à

3 carrières éruptives de roches massives, localisées à Loire (environ 500 000 t/an)

, destinés notamment à être revalorisés pour le réaménagement de carrières de

(35) à proximité de Rennes, dédiée à l’extraction d’un gisement alluvionnaire

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LES CIMENTS

C’est l’usine de Saint-Pierre-La-Cour, située en Mayenne, qui alimente le marché breton. Avec une capacité de production de 1,6 Mt par an, il s’agit de la plus importante cimenterie de France. Associée à la carrière, la cimenterie a la totale maîtrise de la qualité du granulat extrait et du clinker fabriqué, gage de qualité et de stabilité de sa production. Deux dépôts de ciments sont établis au cœur de la Région Bretagne. Situés à Lorient et à Brest, ils permettent d’assurer un service de proximité, très réactif, pour la livraison des ciments Lafarge sur le marché breton. LES BETONS 33 centrales quadrillent le territoire breton pour une capacité de production estimée à 800 000 m3 par an. Les centrales bretonnes sont en mesure de fabriquer toute la gamme des bétons Lafarge, et en particulier les bétons à forte valeur ajoutée, comme Thermedia® (béton isolant), Hydromedia® (béton drainant), Ductal® (béton fibré à ultra haute performance), Artevia® (béton désactivé pour la décoration et l’aménagement extérieur)… Lafarge Béton est acteur de l’économie locale, grâce au maillage dense du territoire, à un service de proximité assurant une livraison dans un rayon de 30 km autour des centrales et à la localisation de son siège à Rennes, au cœur du marché breton.

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Lafarge en Bretagne, une entreprise responsable UN ENGAGEMENT EN FAVEUR DE L’ENVIRONNEMENT Conscient que ses activités ont un effet sur les milieux naturels, Lafarge en Bretagne est engagé pour le respect de la biodiversité et la protection de l’environnement. Les sites bretons mènent des actions ciblées en ce sens.

• Grâce à l’action de Lafarge Granulats, la sablière de Bodonou (29) devient site de biodiversité remarquable : restitué à Brest métropole océane (Lafarge Granulats a cessé d’exploiter les lieux en 2011), ce site de 107 ha, constitué de landes et de prairies humides et abritant une étonnante biodiversité, est en cours de réaménagement. Ce projet inédit a pu être réalisé grâce à une étroite concertation avec les collectivités locales et avec le monde associatif. Une fois le milieu naturel reconstitué, le site sera ouvert au public (notamment aux marcheurs avec des sentiers pédestres), dans le respect des écosystèmes.

A savoir Selon un recensement opéré en 2008, le site de la sablière de Bodonou n’abrite pas moins de 40 espèces d’oiseaux protégées au niveau national.

• Sur le site de Radenac (56), Lafarge Granulats et le CRBPO (Centre de Recherches sur la Biologie des Populations d'Oiseaux) collaborent pour la protection des hirondelles de rivage : le site de la sablière de Radenac dans le Morbihan, exploité par Lafarge Granulats, abrite la plus grande colonie d’hirondelles de rivage du Morbihan. Ces dernières font leur nid dans les fronts de taille de la carrière. Lafarge Granulats travaille depuis 2007 en collaboration avec des chercheurs du CRBPO pour l’observation, le comptage et le baguage des oiseaux sur son site, une initiative qui permet de mieux étudier cette population.

Zoom : Lafarge France assure également une gestion environnementale rigoureuse de ses sites. Ainsi plusieurs sites Lafarge Bretagne sont certifiés ISO 14 001, au premier rang desquels la carrière de roches massives du Rheu près de Rennes. LAFARGE EN BRETAGNE, ACTEUR DE L’ECONOMIE CIRCULAIR E En Bretagne, Lafarge France est partie prenante d’une symbiose industrielle, en valorisant les déchets de certaines industries locales pour en faire des matières premières, dans un objectif de préservation des ressources naturelles.

• Une seconde vie pour les déblais ! Le centre d’accueil de déblais inertes de Lafarge Granulats localisés à côté de Rennes accueille les déblais locaux, issus de travaux de terrassement et de chantiers de

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déconstruction. Ces déblais sont recyclés pour servir au réaménagement des carrières de la région, exploitées par Lafarge Granulats.

• Une symbiose entre les activités Bétons et Granulat s : les retours de toupies de Lafarge Béton sont confiés à la branche Granulats. Pour un double intérêt économique et environnemental, ces restes de bétons sont à nouveau broyés et traités, puis deviennent granulats – c’est la gamme des granulats recyclés aggneo™.

UNE POLITIQUE EN FAVEUR DE L’EMPLOI ET DE LA CREATI ON D’ENTREPRISE Lafarge France est particulièrement impliqué en Bretagne en faveur de la création d’entreprises, de la création et du maintien des emplois. Associé à Initiative France et au Réseau Entreprendre, Lafarge en Bretagne est également partenaire du BRIT (Bretagne, Reprise, Initiative, Transmission) - un fonds spécifique dédié aux repreneurs de TPE-PME bretonnes. L’engagement des équipes Lafarge a ainsi contribué à la création ou au maintien d’environ 150 emplois dans la région.

Les réalisations Lafarge en

LE PONT DE TERENEZ

LE FRAC DE BRETAGNE

Inauguré en juillet 2012, le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) situé à Rennes, a été construit avec un béton Lafarge de couleurs anthracite et noir acier. Selon la lumière, on distingue différentes qualités de noir, du mat absorbant au noir mordoré, pour un étonnant

LE POLE CULTUREL DE SAINT- MALO Pour ce chantier majeur, Lafarge Bretagne fournit du béton autoplaçantse mettre en place dans les coffrages les plus complexes Pôle Culturel de Saint-Malo : courant 2014.

LE CENTRE HOSPITALIE R DE BRETAGNE SUD A Lafarge Bretagne a fourni un cimentréalisation, par la société Celtys, des 250 panneaux de béton de la façade. D’une blancheur élevée et d’une bonne tenue dans le temps, ce ciment offre une haute qualité et une stabilité optimale. La façade de l’hôpital de Lorient

Les réalisations Lafarge en Bretagne

Situé dans le Finistère, le pont de Térénez permet de désenclaver la Presqu’île de Crozon. Inauguré en 2011, c’est le premier pont courbe à haubans de France. Pour cet ouvrage d’art de 515 mètres de long et 85 mètres de large, Lafarge Bretagne a livré 18 000 m³ de béton Chronoliaformulation a été spécialement optimiséecontraintes de résistance et de salinisationexposés les pylônes.

et 2012, le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) situé à Rennes, a été construit avec un béton Lafarge de couleurs anthracite et noir acier. Selon la lumière, on distingue différentes qualités de noir, du mat absorbant au noir mordoré, pour un étonnant résultat esthétique.

MALO

Pour ce chantier majeur, Lafarge Bretagne fournit du béton autoplaçant - un béton très fluide qui a la capacité de se mettre en place dans les coffrages les plus complexes - pour un résultat très homogène. Ouverture du nouveau

: courant 2014.

R DE BRETAGNE SUD A LORIENT

ciment blanc pour la réalisation, par la société Celtys, des 250 panneaux de

D’une blancheur élevée et d’une bonne tenue dans le temps, ce ciment offre une haute

Vue aérienne du Pont de Térénez

façade de l’hôpital de Lorient

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Bretagne

Situé dans le Finistère, le pont de Térénez permet de désenclaver la Presqu’île de Crozon. Inauguré en 2011, c’est le premier pont courbe à haubans de France. Pour cet ouvrage d’art de 515 mètres de long et 85 mètres de large, Lafarge

00 m³ de béton Chronolia® 24H dont la optimisée pour répondre aux

salinisation auxquelles sont

et 2012, le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) situé à Rennes, a été construit avec un béton Lafarge de couleurs anthracite et noir acier. Selon la lumière, on distingue différentes qualités de noir, du

un béton très fluide qui a la capacité de pour un résultat très homogène. Ouverture du nouveau

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En Haute-Normandie, les trois activités Lafarge en synergie Lafarge en Haute-Normandie, c’est plus de 400 collaborateurs répartis sur 5 carrières, 1 cimenterie et 9 centrales à béton. En Haute-Normandie, comme sur toute la région Grand Ouest, Lafarge maîtrise de A à Z la chaîne de production de ses produits. Les ressources naturelles extraites des carrières sont transformées dans les usines et centrales pour produire ciment et béton. La synergie des trois activités sur le territoire local est gage de réactivité, de fiabilité et de qualité constante des produits. LES GRANULATS

Implantée en bordure de Seine, l’activité granulats compte une douzaine de sites, regroupant carrières et installations de traitement pour une production annuelle de 3 Mt de matériaux. Implantation majeure, la carrière de Bernières-sur-Seine produit à elle seule 2 Mt de matériaux par an : il s’agit de la plus importante carrière alluvionnaire de France d’où l’on extrait un matériau d’une excellente qualité pour toutes les applications bétons.

Lafarge Granulats en Haute-Normandie valorise par ailleurs des coproduits de la cimenterie du Havre, les transformant en granulats pour des applications routières, et recycle les bétons issus de l’activité locale - c’est la gamme aggneo™ - sur les sites de Gaillon (27) et Igoville (27). L’innovation est au cœur de l’activité et des process de Lafarge Granulats en Haute-Normandie :

• Transport : pour un impact minimal de son activité sur l’environnement, Lafarge a mis en œuvre un réseau de convoyeurs à bandes sur rails de 7 km, avec ouvrage de franchissement de la Seine entre la carrière de Muids et le site de traitement de Bernières-sur-Seine.

• Conditionnement : Lafarge Granulats en Haute-Normandie propose une offre de sables et graviers en Big

Bags. Ce conditionnement répond à une demande croissante des maîtres d'ouvrage permettant de maintenir un chantier propre et de travailler en sécurité, tout en limitant les pertes de matériaux au sol.

La carrière de Bernières-sur-Seine

Ouvrage de franchissement de la Seine à Muids

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LES CIMENTS

Située sur la voie maritime la plus fréquentée d’Europe, la cimenterie du Havre Saint-Vigor est accessible pour les navires vraquiers et dessert l’Ile-de-France par voie fluviale : 60 % de sa production est ainsi livrée par bateau ou barge, pour un double intérêt économique et environnemental. Grâce à des installations de pointe entièrement informatisées, l’usine a une capacité annuelle de production de 1,1 Mt d’un ciment d’une excellente qualité qui joue un rôle essentiel dans la composition et les propriétés du béton. Grâce à la carrière qui lui est associée, la cimenterie du Havre Saint-Vigor a une pérennité d’environ 50 ans. Pour accompagner la vie de cette implantation majeure et optimiser ses infrastructures, Lafarge France prévoit d’y investir 52 M€ dans les années à venir.

A savoir

La carrière de la cimenterie du Havre Saint-Vigor a inauguré, en avril 2013, un nouveau concasseur mobile de 290 tonnes, long de 29 m et large de 17 m. Ce nouvel investissement de plus de 4 millions d’euros s’inscrit dans le programme de rénovation de l’usine visant à assurer sa compétitivité et sa pérennité. Comme le veut la tradition, un concours interne a été lancé afin de lui trouver un nom. Il a été baptisé Emeraude.

LES BETONS Lafarge compte 9 centrales à béton réparties sur tout le territoire de Haute-Normandie. Le site phare de Breteuil-sur-Iton (27), nouvelle centrale inaugurée en 2010, propose à elle seule une capacité de production de 40 000 m³ par an. Plus de 300 types de bétons peuvent y être élaborés, des plus simples au plus sophistiqués, pour répondre à une large gamme d’applications.

La cimenterie du Havre Saint-Vigor

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Lafarge en Haute-Normandie, une entreprise responsa ble UN ENGAGEMENT EN FAVEUR DE L’ENVIRONNEMENT Dans un objectif de préservation de l’environnement local, Lafarge en Haute-Normandie organise des réunions de concertation avec ses parties prenantes et mène un travail étroit avec des associations locales, notamment la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) Haute-Normandie et le Conservatoire des Sites Naturels de Haute-Normandie. De nombreuses actions sont ainsi menées en faveur de la biodiversité.

•••• La carrière Lafarge d’Anneville-Ambourville a obtenu le prix de la biodiversité au Concours du Développement Durable 2013 de l’UNPG (Union Nationale des Producteurs de Granulats) pour son action de préservation du crapaud calamite sur son site. Les employés de la carrière ont creusé artificiellement trois petites mares en milieu pionnier, c'est-à-dire avec peu de végétation. Les zones ainsi créées sont propices à l'habitat et à la reproduction des crapauds calamites dont la population observée n'a cessé d'augmenter depuis octobre 2010. En interne, la carrière a aussi reçu le premier prix du concours « Les Environnementales ».

•••• Le réaménagement des carrières en Haute-Normandie : L’exploitation de carrières contribue à créer de nouveaux milieux au sein desquels se développent des écosystèmes. Lafarge souhaite limiter l’impact de l’exploitation des carrières sur l’environnement normand mais également protéger la biodiversité créée par l’exploitation. Très en amont, Lafarge en Haute-Normandie anticipe la réhabilitation de ses carrières : on peut citer les exemples des carrières de Gaillon, Bernières-sur-Seine ou Anneville-Ambourville dont la réhabilitation est d’ores et déjà prévue. Ces réaménagements visent à créer des sites à vocation forestière ou écologique.

Paysages de la carrière réhabilitée à Muids (27)

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A savoir En amont de l’exploitation de ses carrières, Lafarge mène des opérations de fouilles archéologiques, contribuant à la connaissance des occupations anciennes dans la Vallée de la Seine.

Zoom : Lafarge France assure une gestion environnem entale rigoureuse de ses sites . Ainsi plusieurs sites Lafarge Haute-Normandie sont certifiés ISO 14 001, au premier rang desquels la cimenterie du Havre Saint-Vigor. LAFARGE EN HAUTE-NORMANDIE, ACTEUR DE L’ECONOMIE CI RCULAIRE

En Haute-Normandie, Lafarge France est partie prenante d’une symbiose industrielle, en valorisant les déchets de certaines industries locales pour en faire des matières premières, dans un objectif de préservation des ressources naturelles.

• Quand les déchets deviennent combustibles : durant le process de fabrication, des déchets issus des industries locales peuvent être utilisées comme combustibles alternatifs. La plateforme Coderes Née en 2011 d’un partenariat entre Lafarge France et les collecteurs de déchets Etarès et Ikos Environnement, la plateforme Coderes est implantée dans la zone industrielle portuaire du Havre, à 10 km de la cimenterie du Havre Saint-Vigor. Son objectif : valoriser les déchets industriels locaux non dangereux qui, au lieu d’être enfouis, viennent remplacer des combustibles fossiles traditionnellement utilisés par la cimenterie, à hauteur de 40 000 t/ an.

• Des résidus industriels réutilisés : Au cours du process de fabrication du ciment, la cimenterie du Havre

Saint-Vigor valorise des résidus provenant d’autres activités industrielles. Ainsi pour 1 t de ciment produite, on compte 450 kg de matériaux additionnels : cendres de la centrale thermique EDF du Havre, laitiers et autres résidus issus de la métallurgie contenant de l’alumine et du fer.

Fouilles archéologiques à Alizay (27)

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Les réalisations de Lafarge en Haute-Normandie

LE STADE DU HAVRE

Inauguré en juillet 2012, c’est le premier stade à énergie positive de France. Un béton à carbone réduit a été privilégié pour sa résistance, sa facilité d'entretien et sa faible empreinte environnementale. Fabriqués à base de ciment à bas taux de CO₂ de l'usine du Havre Saint-Vigor, 43 000 m³ de ce béton ont permis de réaliser l'assise des locaux techniques, des gradins et des tribunes.

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LE TRAMWAY DU HAVRE ET LE TUNNEL JENNER

6 000 m³ de béton Artevia® (béton décoratif pour l’aménagement extérieur) ont été utilisés pour la réalisation du nouveau tramway. Le tunnel Jenner a, quant à lui, nécessité 5 000 m³ de béton également produit localement. LE PONT DE NORMANDIE Reliant Le Havre à Honfleur, il a été érigé avec des ciments dédiés aux applications maritimes et aux ouvrages marins, fabriqués à la cimenterie du Havre Saint-Vigor.

LE CHANTIER NORGAL Pour la réalisation d’une enveloppe de protection autour d’un silo de stockage de gaz sur le site de la société Norgal, 2 800 m³ de bétons fabriqués localement ont été coulés en continu 24h / 24 pendant deux semaines. Une prouesse technique !

Le stade du Havre lors de sa construction

Le Pont de Normandie

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