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Rapport Post-Événement

FAS 2015

www.i-conferences.org

Royaume du maRocSous l’égide du Ministère de la Santé

25, 26 Février 2015 Marrakech

L’Afrique à L’Heure des réformes

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SYNTHÈSE

L’Afrique à L’Heure des réformesEn permettant la rencontre entre des professionnels de santé et des représentants des sociétés intervenant dans le secteur sanitaire, le 2ème Forum AFRISANTE a montré que les systèmes de santé d’Afrique sont entrés dans une nouvelle phase de leur développement.

Le diagnostic préalable

Malgré des progrès incontestables se traduisant par une amélioration des indicateurs de santé significatifs (espérance de vie à la naissance et en en bonne santé, taux de mortalité avant 5 ans, progression de l’immunisation,…), l’Afrique, malgré d’importantes disparités d’un pays à l’autre, demeure largement en retard (1% des dépenses de santé pour 12% de la population mondiale) en matière d’accès aux soins, de qualité des soins, dans la gestion des structures de santé, le financement de la santé et la gouvernance de l’action sanitaire, et avec une proportion insupportable de la population basculant sous le seuil de pauvreté à cause des dépenses de santé.

A ce stade de l’état des lieux, le Pr Heikel met en évidence l’absence de corrélation évidente entre dépenses de santé et état de santé, tant les modes de vie, les conditions de travail ou la nutrition interfèrent selon les pays. Il y a par contre corrélation entre santé et croissance économique : en effet une relation de causalité entre baisse de la mortalité et augmentation de la croissance fait que si l’on double le rythme d’augmentation de l’espérance de vie (+ 3 mois /an), on gagne 1 point de croissance en PIB en volume.

On mesure à ce sujet le rôle et l’importance de la prévention comme facteur d’amélioration de l’état de santé d’une population : l’histoire regorge d’exemples de mesures préventives efficaces reposant ou pas sur des décisions à contenu médical, au niveau collectif, ou relevant du comportement individuel : amélioration de la nutrition, comportements alimentaires, qualité et traitement de l’eau, évitement des addictions (tabac, alcool, drogues…), activité physique, prescriptions d’hygiène, vaccinations, dépistage, comportements sexuels…

Les évolutions prévisibles

D’abord, une demande croissante et changeante : > de par la transition démographique (poids croissant des tranches agées et des populations urbaines)▪ de par la transition épidémiologique (évolution rapide de la nature des maladies, de transmissibles majoritairement, à chroniques). Si les maladies infectieuses (IRAB, VIH/sida, maladies diarrhéiques, paludisme et tuberculose) sont encore la cause première de la mortalité en Afrique (33%), l’urbanisation croissante et les évolutions liées au style de vie laissent entrevoir une augmentation rapide des maladies cardiovasculaires (liées entre autres au tabagisme), des cancers, des traumatismes résultant d’accidents de la route, du diabète et des maladies dépressives.

> de par la demande (notamment par l’émergence d’une classe moyenne) et l’exigence croissante des patients pour un service standard de qualité. Cette évolution se traduira non moins rapidement par une évolution à la hausse des coûts de santé difficilement supportable, la part des dépenses de santé augmentant plus vite que l’inflation, en raison du coût élevé des infrastructures et de la technologie.

Quelle vision ? Quelles réformes ?

Les cycles politiques étant bien plus courts que les délais nécessaires pour que les réformes obtiennent des résultats significatifs, les régulateurs ont tendance à ne viser que des objectifs de court terme et des améliorations à la marge.Néanmoins, comme les délégations gabonaise, sénégalaise ou marocaine l’ont exposé, nombre de pays se sont dotés d’une vision et


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d’une planification à long terme, visant à se doter, à l’horizon 2020-25, d’un système de santé cohérent et performant mettant l’individu au centre des soins de santé, accessible à tous les citoyens, reposant sur une stratégie des soins de santé primaires et organisés de façon à faciliter la collaboration intersectorielle avec d’autres acteurs et départements dont les interventions renforcent ou facilitent l’action sanitaire, telle que la lutte contre la pauvreté, l’ignorance et l’insalubrité, .

Le Pr Balique souligne à ce sujet que, compte tenu des disparités d’ordre géographique, culturel, économique ou social, il est important que chaque pays conduise sa propre politique de santé avec comme objectifs généraux l’amélioration de :

• la qualité des soins (par l’encadrement de la formation des professionnels, la mise en place de normes et référentiels, d’un mécanisme d’accréditation, d’un fonds de mise à niveau …)

• la gestion des structures sanitaires (autonomie, gestion axée sur les résultats, responsabilisation, équilibre des comptes…)• l’organisation de l’offre de soins (promotion de l’économie sociale, médicalisation des zones rurales, politique pharmaceutique,

partenariats public-privé…)• l’accès aux soins (carte sanitaire, CMU, tarification/subvention, tiers payant, carte bioméatrique d’identification et de santé…)• la gestion des ressources humaines (selon les besoins du pays, avec adaptation des revenus, intéressement aux résultats,

évaluation périodique des compétences…)• le financement du système de santé (engagement de l’état, contractualisation des subventions, création de fonds

d’intervention, financement du système d’assurance maladie…)• la régulation du système de santé (système d’information sanitaire et sociale unique, respect de la réglementation,

planification...)des recommandations stratégiques

Le rôle central de l’Etat en tant que premier régulateur du système de santé a ainsi été mis en évidence : sa mission est de veiller d’une part au respect des normes établies dans le cadre de la Loi, d’autre part à la réalisation du service public de santé. L’Etat est en effet redevable devant chaque citoyen de son accès effectif aux soins, quel que soit son lieu de résidence ou ses conditions socio-économiques de vie. Pour cela, l’organisation du système doit lui permettre d’accorder des subventions contractualisées, de procéder à des achats de service ou de prendre des mesures incitatives.

A noter également, selon le Pr Balique, « la place fondamentale de la planification dans un contexte où l’autonomie, le statut privé des multiples acteurs de l’action sanitaire exigent qu’ils disposent du cadre et des conditions sans lesquelles les résultats recherchés ne peuvent pas être obtenus. C’est notamment la qualité des plans à long et moyen terme dont sont généralement dotés les pays, qui reflète l’expression de la volonté politique des Etats, la cohérence des interventions des différents acteurs, et enfin la maîtrise des ressources financières nécessaires à leur réalisation. Par ailleurs, c’est aussi de la qualité de ces plans que dépend l’appui des partenaires techniques et financiers, qui doivent y trouver tous les éléments nécessaires à leurs interventions et sans lesquels ils sont amenés à agir selon leurs propres contraintes institutionnelles».Chaque pays se doit de disposer d’un réseau de structures sanitaires performantes, c’est-à-dire centrées sur la qualité des soins dispensés et donc sur leur gestion. Un véritable changement de culture devra s’établir au sein du secteur public pour faire de la gestion axée sur les résultats, le nouveau déterminant de son organisation et de son fonctionnement.

Ressources humaines

La prestation de services de santé efficaces et l’amélioration des résultats sanitaires supposent la présence de personnels de santé qualifiés et motivés en nombre suffisant, au bon endroit et en temps opportun. Or l’Afrique ne compte que 3% des agents de santé de la planète pour 11% de la population mondiale et 24% de la charge de morbidité mondiale. La pénurie en personnel de santé qualifié, notamment en zones rurales, touche 36 pays d’Afrique subsaharienne, aggravant le nombre des personnes privées de tous services de soins de santé essentiels;

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* Pour télécharger les présentations de cette édition, visitez www.i-conferences.org

Trop peu de ressources sont encore consacrées au développement des Ressources Humaines en Santé (RHS), par les gouvernements locaux et les partenaires au développement face à un problème complexe, la surproduction de professionnels de la santé, pouvant amener du chômage des médecins en zones urbaines et la pénurie dans les zones rurales dans certains pays.

La solution efficace passe par une concertation avec d’autres ministères: Education, Fonction publique, Finances… selon une planification répondant aux besoins du pays et non à des standards internationaux.

La formation continue et la supervision, bien encadrées, font partie des instruments les plus efficaces pour augmenter les compétences des agents sanitaires et les motiver en accréditant et privilégiant les structures de formation: au niveau supranational.

Par ailleurs, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis au point un ensemble complet de stratégies portant sur le perfectionnement des méthodes de sélection et de formation des étudiants et l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail (logements d’astreinte, scolarité des enfants, moyens de transport, matériel adéquat…) pour que les pays puissent inciter les personnels de santé à rester au pays et travailler dans les zones rurales ou reculées.

D’une manière générale, les mesures incitatives matérielles (intéressement aux résultats vs « per diem ») et le recours à des instruments de gestion des ressources humaines (équité de traitement, reconnaissance du mérite, perspectives de développement de la carrière, travail d’équipe, gestion participative, contrôle par les pairs, techniques de leadership…) doivent être étendus. Certains vont même jusqu’à prôner l’évaluation périodique des ressources humaines, en posant la question de la validité des diplômes et des compétences dans le temps.

de l’évaluation à l’accréditation

Le développement de l’évaluation, est en tout état de cause indispensable pour que la régulation de tout système de santé puisse se faire. Elle doit devenir une des grandes fonctions des systèmes nationaux de santé eux-mêmes.

A ce sujet, l’importance que revêt l’accréditation en tant que moteur de l’amélioration de la qualité des soins a été longuement développée. Encore trop ignorée par les acteurs de l’action sanitaire en Afrique, son utilisation doit permettre de créer les dynamiques de régulation à la fois internes et externes qu’exige la promotion de cette qualité.

L’ISQua la définit comme « une reconnaissance publique de la conformité d’un établissement de santé par rapport à des normes d’accréditation, et qui a été prouvée à travers une évaluation externe et indépendante.»

L’accréditation est indispensable à la modernisation et à la performance de nos systèmes de santé. C’est une démarche collective qui nécessite une volonté politique forte et une action soutenue d’implantation d’une culture qualité. Elle doit être adaptée à chaque pays, réaliste et pragmatique, progressive et continue. La structure en charge de sa mise en œuvre doit être composée d’experts permanents et de professionnels vacataires, et doit être indépendante du Ministère de la Santé (tutelle), et gouvernée collégialement (gestionnaires / soignants, secteur public/privé, usagers/ organismes payeurs).

Investir dans la santé

La prise de conscience des gouvernements de la nécessité de s’appuyer sur le privé dans la réalisation de la couverture sanitaire, comme dans la réalisation du service public de santé et dans la dispensation des soins aux catégories les moins favorisées, est générale. L’Etat a compris son importance et adapte l’environnement réglementaire en sa faveur (Loi 131-13 au Maroc).

Le privé semble bien placé pour répondre aux défis d’investissement auxquels doit répondre le secteur de la santé. L’estimation des besoins d’investissement concernant la décennie 2010-2020 s’élève à 25-35 milliards USD, dont 60% pour le privé, ce qui représente

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un potentiel attractif, à condition que des mesures compensatoires soient accordées aux établissements qui acceptent d’y participer, d’autant plus lorsqu’il s’agit de servir le plus grand nombre d’économiquement faibles.

Outre les mesures tendant à libéraliser le secteur de la santé, certains Etats ont mis en place des dispositifs incitatifs à l’investissement dans le secteur de la santé.

Ces mesures sont instaurées par les chartes d’investissement qui accordent plusieurs types d’avantages (de la réduction à l’exonération) de nature fiscale (IS, TVA, Actes…), douanière, ou en matière du droit du travail.

L’accès au financement est donc un enjeu pour favoriser l’investissement privé, et favoriser ainsi l’émergence d’acteurs régionaux. L’acte d’investissement doit tenir compte du particularisme du secteur de la santé, à savoir une activité pas purement marchande et la combinaison d’un investissement foncier et d’un investissement professionnel (équipement et savoir-faire. Les pouvoirs publics doivent donc faire en sorte, en jouant sur les subventions et/ou la fiscalité, que le taux de rendement interne (TRI) de l’investissement soit intéressant, car l’investisseur privé ne doit supporter que le coût de sa gestion. C’est particulièrement important pour un investissement en zone rurale où un « package » intelligent entre le foncier, les subventions, les avantages, d’une part, et les fondations, l’état, et l’investisseur, d’autre part, doit être impérativement trouvé pour attirer les projets.

Les TIc

La nécessité pour l’Etat et les autres acteurs de disposer et de partager à tout moment de l’ensemble des données nécessaires aux analyses, aux propositions et aux prises de décisions mettent en exergue le recours incontournable aux TIC. Les technologies numériques actuelles sont en mesure de mettre à tout moment à la disposition de chaque professionnel et de chaque institution intervenant dans le secteur de la santé toutes ces informations, en sachant qu’elles ne cesseront à l’avenir de poursuivre leur expansion. Le souhait de la part de nombreux participants de disposer d’un observatoire africain des données médicales dédié au partage et à la promotion des bonnes pratiques a d’ailleurs été fortement ressenti.

Le développement de ces technologies ouvre également la voie à la télémédecine et à la formation à distance, qui seront d’un apport considérable à la pratique médicale dans l’ensemble des pays et en particulier dans les zones les plus isolées.

Malgré la multiplicité des regards, les exposés et débats ont permis de constater une grande convergence des analyses et des propositions entre les intervenants, et ont conduit à mettre en exergue les axes stratégiques évoqués ci-dessus.

Tous ces axes stratégiques ont pour socle commun la prééminence des résultats. Au-delà de la richesse des réflexions qui les sous-tendent, la multiplicité des prises de contact entre les participants ne manquera pas de donner à Afrisanté toute la résonnance qui peut être la sienne.

alain mascart, en collaboration avec le Pr.Hubert Balique

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La réforme du secteur, l’investissement, les PPP, les

compétences humaines, l’accréditation et les IT sont autant

de sujets qui ont suscité un débat de fond entre la communauté médicale

africaine.

Près de 200 participants représentant une vingtaine de pays ont participé d’une manière active à créer un débat de fondsur la réforme du secteur de la santé en Afrique.

SéANCES PLéNIÈRES ET ATELIERS


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ESPACE B2B, DÉJEUNERS & DÎNER DE GALA

L’espace B2B, le dîner de gala et les déjeuners du Forum AFRISANTE ont permis aux particpants d’échanger, de débattre et de nouer des partenariats dans un cadre convivial.


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INTERVENANTS

dr. Bineta SèneDGSMinistère de la Santé et de l’Action SocialeSénégal

dr mohamed Brahim elkoryDirecteurINRSPMauritanie

echo collins eganCountry ManagerACCESS Health InternationalMaroc

Imad BousaidDirecteur du développementCGTRFrance

Hubert BaliqueEconomiste et ex-conseiller technique au ministère de la Santé du Mali et du Niger, France

Pr. Issakha dialloDirecteurConvergence Santé, Sénégal

Lahcen chtibiInspecteur Général Ministère de la Santé Maroc

mehdi LahrichiPrincipalMcKinseyMaroc

Patrick LarrivéManaging PartnerDentonsMaroc

abdou diop, AssociéMazarsMaroc

Luc Van overstraetenCEOSiemens HealhcareBelgique

Naoufel el KhatibAssociéMazarsFrance

Pr. el mountacer charif chefchaouniDirecteur GénéralHôpital Cheikh KhalifaMaroc

Frédéric VaillantCEOMedasys France

Pr. mohamed Khaled choulliChef de département Pré CliniquesFaculté de Médecine et de Pharmacie de MarrakechMaroc

mohcine Benjelloun Development DirectorJLLMaroc

Félix Ndong-obiangSecrétaire Général AdjointMinistère de la SantéGabon

michel FrainDirecteur Marketing Medical Intelligence Service France

Franck droin Président Kaissa,France

Thierry RoussayDirecteur InternationalCegedim Assurances, Maroc

Loic etiennePrésidentMedical Intelligence Service France

Jaafar Heikel Président , INISANMaroc


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TEMOIGNAGES

Félix Ndong obiangSecrétaire Général AdjointMinistère de la Santé, Gabon«Aux organisateurs du Forum Afrisanté,J’ai été heureux de participer et contribuer modestement à cette rencontre qui m’a permis d’avoir des échanges très enri-chissants avec les autres. J’ai été également très édifié par la qualité des exposés en terme de grands enjeux de l’heure dans le cadre des réformes des systèmes de santé africains.Ce genre de rencontres doit se poursuivre en vue de faire avancer la santé dans nos pays , car c’est en apprenant ce qui est bien fait chez les autres qu’on évolue et innove. Félicitations et bonnes chances aux systèmes de santé africains.»

dr Binèta SèneDirection Générale de la SantéSénégal«Ma participation à cette deuxième édition a été une expérience intéressante à tout point de vue. J’ai saisi cette opportunité pour échanger sur les expériences de mon pays en matière de réformes du système de santé mais aussi j’ai beaucoup appris sur les situations d’autres pays comme le Gabon, le Niger, le Burkina Faso, le Maroc et l’Algérie. Les communica-tions ont été pertinentes et riches en enseignements et nous constatons que l’Afrique partage ses problèmes de santé.J’espère que je suis optimiste quant à l’issue de nos travaux pour trouver des pistes de solutions. Je tiens à remercier les organisateurs qui n’ont ménagé aucun effort pour nous accueillir dans les meilleures conditions possibles et surtout d’avoir su entretenir cette ambiance tout en étant efficace dans leur travail. Bonne continuation»

Pr. el mountacer charif chefchaouniDGHôpital Cheikh Khalifa «Partage, échange, benchmarking et prospective auront permis de faire de ce forum Afrisanté un succès….la participation d’organismes comme les compagnies d’assurance et des investisseurs a été une occasion d’enrichir leurs connaissances des défis et opportunités du secteur de la santé en Afrique francophone.Bravo aux organisateurs.»


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dr mohamed Brahim Directeur INRSP, Mauritanie«Aux organisateurs du Forum Afrisanté 2015. Je tiens à les remercier pour la préparation et la gestion de ce forum, très im-portant pour nos pays africains où le système de santé a besoin d’une réforme sur la base des conditions de chaque pays.»

Pr a. SaouraPrésident Directeur Général Polyclinique Internationale de Rabat«Je félicite de tout cœur les organisateurs du forum Afrisanté. C’était une réussite quant aux messages aux décideurs et investisseurs. Je félicite aussi tout le staff pour leur crédibilité quant à leurs engagements vis-à-vis des sponsors.»

michel FrainDirecteur Marketing Medical Intelligence Service France«Nous tenons à vous remercier pour votre implication et la qualité de votre travail !De l’intérieur, et comme modestes acteurs, nous avons vécu AFRISANTE comme un évènement de qualité, porteur d’espoir, de rencontres, de réflexion, d’échanges d’idées et de chantiers à mettre en œuvre pour l’Afrique que nous aimons.»

amal abahmaouiMcKinseyMaroc«Je voudrai vous féliciter pour le très bon déroulement de votre conférence. Mr. Mehdi Lahrichi a apprécié la très bonne organisation de l’événement et la qualité de l’auditoire. C’est un événement auquel il voudrait participer avec plaisir l’année prochaine.»


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...et la presse en parle!

26 Février 2015


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27 Février 2015


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25 Février 2015

Forum Afrisanté 2015: l’importance des investissements privés

Les investissements privés dans le secteur de la santé en Afrique sont nécessaires pour être en mesure de répondre à la demande croissante des services de santé, ont précisé, mercredi à Marrakech, les participants à la 2ème édition du Forum Afrisanté. Les intervenants ont relevé que l’intervention du secteur privé constitue un apport essentiel de l’évolution des systèmes de santé dans le but de répondre aux attentes des populations africaines et de progresser plus rapidement vers les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Ainsi, l’ouverture de la santé au secteur privé peut résoudre le problème du sous-financement, des infrastructures insuffisantes et inadaptées, et de la rareté du personnel de santé qualifié.

Badra Berissoule

Le Forum Afrisanté entame sa 2ème éditionLa deuxième édition du Forum Afrisanté (FAS), événement annuel et régional du secteur de la santé en Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale, s’est ouvert hier à Marrakech et se poursuivra tout au long de ce jeudi 26 février. FAS 2015 revient pour une nouvelle édition riche en échanges et en Networking, appuyée par la présence des ministères de la Santé de la région, notamment Raymonde Goudou Coffie (Côte d’Ivoire), Dorothée A. Kinde-Gazard (Bénin) et Amédée Prosper Djiguimde (Burkina Faso).«L’Afrique à l’heure des réformes» est le thème retenu pour cette édition organisé par «i-Conférences» sous l’égide du ministère de la Santé du Royaume. Cette édition promet d’être une réelle plateforme B2B de débats et d’échanges entre gouvernements, professionnels et opérateurs du secteur, organismes de financement et de coopération, experts internationaux, fournisseurs de solutions et de matériel, ainsi que toutes les parties prenantes au développement du secteur de la santé dans la région.«Avec plus de 200 professionnels en provenance d’Afrique et du reste du monde, le Forum Afrisanté est l’occasion pour échanger sur les axes clés du développement du secteur de la santé et d’identifier les perspectives de son évolution sur le continent africain», explique Mus-tapha Alaoui, président du comité organisateur. Au programme, deux jours de débats intenses qui portent sur l’organisation des systèmes sanitaires africains, les orientations de la réforme du secteur ainsi que les enjeux de la santé en Afrique. Aujourd’hui, le FAS 2015 confirme la volonté des organisateurs de poursuivre son accompagnement de la dynamique de croissance et d’investissements dans le secteur de la santé dans la région de l’Afrique francophone, indique la même source.

Mustapha Benhida

26 Février 2015


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25 Février 2015

...et la presse en parle!

Maroc : AfriSanté, une messe de la santé à Marrakech

Le Forum AfriSanté a entamé ses travaux aujourd’hui 25 février à Marrakech. Environ 170 dirigeants en provenance de 25 de pays assistent à cette messe africaine de la santé consacrée cette année aux «réformes des systèmes de santé africaines ».

L’une des plateformes africaines les plus actives dans le continent, i-Conférences organise aujourd’hui et demain la 2ème édition de son Forum dédié au secteur de la santé, AfriSanté. Pour Hassan Alaoui, le président de la plateforme i-Conférences, cette deuxième édition du Forum Afrisanté confirme l’engagement d’i-Conférences de continuer à contribuer à la promotion du partenariat Sud-Sud dans le secteur de la santé. En effet, « le Forum AfriSanté n’a pas l’ambition de sauver des vies, mais seulement de réunir toutes les parties prenantes concernées par ce secteur autour de débats prospectifs liés à la promotion et au développement de la santé dans notre région ». Dans ce même contexte, le président d’i-Conférences souligne que « des pays comme le Maroc, la Tunisie et la Côte d’Ivoire ont pu cueillir les fruits des réformes engagées », dans le secteur de la santé. Selon un rapport de The Businness of Health in Africa, ce sont quelque 25 à 30 milliards de dollars qui devront être investis en Afrique subsaharienne dans des dispensaires et des entrepôts de distribution. Ce même rapport assure que 50% des opportunités devraient se concentrer sur l’offre de services de santé, suivie par la distribution et commerce de détail des produits de santé avec 14%, par la biologie 14%, la mutualisation des risques 13% et la formation médicale avec 9%. Félix Ndong Obiang, secrétaire général du ministère de la Santé du Gabon, a assuré dans cette perspective que pour avoir des systèmes de réformes performants, il faut les diriger dans un premier temps vers les services sanitaires primaires et réussir d’abord une proximité en vue de permettre l’accès aux soins de la santé à une large population.

Sanae Taleb

26 Février 2015

http://www.2m.ma/Infos/node_3807/2015/node_92347/12h45-25


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ACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager MarocACGSP Casa Dr Ait Errami Brahim MarocADN Digital Karim BENHNIN Directeur Associé MarocADN Digital Driss CHAHIR Directeur Associé MarocAIA ASSOCIES Emmanuelle GAUDEMER Directeur du développement groupe Associée France AIA ASSOCIES Frédéric NANTOIS Directeur du développement Export France AIA ASSOCIES Alain BENICHOU Consultant France AIA ASSOCIES Enric MAYOLAS Consultant France Al Alam Abderezak Mouahid Journaliste MarocAllianz Africa Mommeja Patrick Directeur des Assurances de personnes FranceAmanat Services Chibane Malek Manager general FranceAmanat Services Doucoure Ali Président directeur general FranceAmbassade de Centrafrique S.E.M NIMAGA ISMAILA Ambassadeur de Centrafrique MarocAmbassade de Guinée Bissau au Royaume du Maroc

Monsieur Queba Djassi Conseiller général de l’Ambassade de la Guinée Bissau

Maroc

Ambassade de la Côte d’Ivoire S.E.M MATHINS TOURE Conseiller à l’Ambassade de la Côte d’Ivoire MarocAmbassade de la République du Congo auprès du Royaume du Maroc

Docteur BLAISE IBOVI Conseiler Médico Social Maroc

Ambassade de la République Gabonaise auprès du Royaume du Maroc

Eugénie Angue Conseiller chargé des affaires sociales Maroc

Ambassade du Burkina Faso Docteur NIKIEMA PEPIN

JOHN Maroc

Ambassade du Niger au Royaume du Maroc S.E.M Mamane Yacouba Ministre Conseiller , Ambassade du Niger MarocAmbassade du Sénégal S.E.M AMADOU SOW Ambassadeur du Sénégal MarocAmbassade de Guinée Equatoriale S.E.M MANUEL

BIBANG ASECO EYANG Ambassadeur de la Guinée Equatoriale Maroc

Ambassade de la République de Guinée Equato-riale au Royaume du Maroc

S. E.MANUEL BIBANG ASECO EYANG

Ambassadeur de la République de Guinée Equatoriale au Royaume du Maroc

Maroc

AMH Slaoui Amina Présidente MarocAMH El Mounhi Hamza Directeur général MarocAPOLLO HCA Sami KALLEL gérant tunisieAPOLLO HCA Mariem BEJI DGA tunisieAtelier Michel Rémon Michel Remon Architecte FranceBest Health Adil BENNANI directeur general MarocBest Health Hamza BENNANI Proje t Manager MarocBrainlab Sales GmbH DELAYAT Sylvain Area Sales Manager North and Central Africa AllemagneCabinet Aouatif Younes Azalmad Infirmier MarocCegedim Assurances Mathieu GOZARD DG Assurances Maroc MarocCegedim Assurances Thierry Roussay Directeur International MarocCentre de reference de la sante reproductive et de detection precoce des cancers du sein et du col uterin

Elmhoujab Fatima Médecin du travail Maroc

Centre Hospitalier Cocody Pr Kouakou Firmin Directeur Général Côte d'ivoire

Ministère de la Santé Mohamed Lemine Ould Sidi Directeur Centre Hospitalier d’Aleg Mauritanie

ACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager MarocACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager MarocACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager Maroc

société Nom Prénom fonction Pays


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ACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager MarocACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager MarocACCESS Health International Echo Collins Egan Country Manager Maroc

Centre Hôspitalier Hassan II Fès Ezzaki Lotfi Directeur de clinique à Fès MarocCentre hospitalier Mohammed VI Dr. Belkadi Mohammed Said Directeur d’hôpital/EHESP-Spécialiste en Santé

PubliqueMaroc

Centre Hospitalier Régional Ndioum Ouleynatou Khadija Diagne Fall Directeur SénégalCentre Hospitalier Universitaire Ibn Rochd Nadir Salwa MarocCentre Hospitalier Universitaire Ibn Rochd Bellabah Ahmed Service de Gastroentérologie Maroccentre hospitalier universitaire Mohamed VI Marrakech

Phd. Ahmed Idhammad Maroc

Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI Diffaa Azeddine Assistant professor MarocCentre Hospitalier Universitaire Mohammed VI Mohamed Said Belkadi Directeur d’hôpital/EHESP-Spécialiste en Santé

PubliqueMaroc

Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI Ahmed Waqif Médecin Spécialiste MarocCentre Hospitalier Universitaire Mohammed VI Ait Batahar Salma Professeur assistante, pneumologie MarocCentre Hospitalier Universitaire Mohammed VI Adermouch Latifa Professeur assistante MarocCentre Hospitalier Universitaire Yaldégo Ouedraogo

Sangaré Bibia Robert Directeur Général Burkina Faso

CFG Finance TAZI Soumaya associée, DG Finance d’entreprises MarocCFG Finance TAZI Nacer Associé, DGA Finance d’entreprises MarocCGTR Imad BOUSAID Directeur du développement FranceChef de projet Hack against Ebola au Sénégal Magueye Sow Santé communautaire SénégalCHU ANGONDJE Chantal OVONE BETEO directeur des affaires financières du CHUA GabonCHU ANGONDJE WANDJIE Thomas Conseiller des CHU GabonCHU Hassan II de FES Nassiba El Hajjami Responsable équipement biomédicaux MarocClinique Chifa Dr. A.Ghani Kherchi MarocClinique Chirurgicale de Lomé Benissan-Tetevi Akoueté Directeur Général Chirurgien TogoClinique de la Cité Docteur Gloriose Daouda Directrice de la clinqiue NigerClinique Lina Dr. Serrhini Abderahim MarocClinique Médicale Lacouroussou Docteur MAIZOUM-

BOUDan Aouta Medecin Pneumologue Niger

Convergence Santé Issakha Diallo Directeur SénégalDentons Patrick Larrivé Managing Partner MarocDentons Europe LE GUYADER Julien Avocat FranceDentons Europe Lacombe Vincent Avocat FranceDiscovery Datasoft Group Fodhiel KERKENI directeur commercial tunisieELSEVIER MASSON ismael Sabre Commercial ventes institutionnelles export FranceFaculté de Médecine de Marrakech Pr Amine Mohamed Médecin de la santé publique - Doyen de la faculté de

Médecine de MarrakechMaroc

Fondation AIA Jean-François Capeille Président Fondation AIA France Fondation Mohamed VI Zitouni Jamal Directeur Pôle Santé MarocGAT Assurances Mr Mohamed DKHILI Président Directeur Général de GAT ASSURANCES tunisieGAT Assurances Mr Abdessatar BEN HAMZA Directeur de GAT ASSURANCES tunisieGlaxoSmithKline Maroc CHMANTI HOUARI Radia PDG Marocgroupe Maroc Soir M. Mustapha Benhida Directeur régional MarocHarro Lotz Harro Lotz Président France



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Marrakech Health Care City Dr El Khouaja Azzedine MarocHespress.com Brahim Maghraoui Journaliste MarocHôpital Aristide le Dantec Doh Kwame médecin Pathologiste, service d’Anatomie & Cytologie

PathologiquesSénégal

Hôpital Cheikh Khalifa Pr. El Mountacer Charif Chefchaouni Directeur Général MarocHôpital Cheikh Zayed Cheikh Ahmed Hamahoullah Directeur de l’hôpital MauritanieHôpital Général d’Abobo Sud DIABATE épouse

N’DOUMY- KOUA-KOU

Diessira Directeur Côte d'ivoire

Hôpital Général du Grand Yoff Daff Moussa Same Directeur SénégalHopital Militaire Avicenne de Marrakech Dr Wessal Qafsaoui Pharmacienne chef service sterilisation Marochôpital regional Zaghouan ABAAB Imed directeur tunisieHospihub Karine Break Responsable développement MarocIdeal medical products engineering Irondelle Margaux Area manager FranceIndo African S.A. Sukhdev Kumar Medical Doctor Guinéeinfra invest Mehdi DIHI Chargé d’investissement Senior Marocinfra invest Abdellatif NASSERDINE Administrateur Directeur Général MarocINISAN Pr. Jaafar Heikel Président MarocINRSP Dr Mohamed Brahim Elkory Directeur MauritanieInspection Santé Militaire Lt Colonel Saloua Janah Chef Division Informatique MarocInstitut Salah Azaiez BEN HSOUNA Tarek Directeur general tunisieINVOLYS Adil BENHADDOU Directeur commercial MarocISAAF SANTE BUON Didier Directeur general MarocJLL Fabrice Leger Directeur CanadaJLL Mohcine Benjelloun Development Director MarocKaissa Consulting & Services Mr DROIN Franck Président FranceCarte Blanche Partenaires Mr TRIPODI Jean-François Directeur Général FranceKaissa Consulting & Services Melle KUCHER Deia Chargée de mission, KAISSA FranceKaissa Consulting & Services Mme CADOUX Marie rédactrice en chef de la Newsletter KAISSA FranceKERN PHARMA MAROC ACHMOUL Mounia Pharmacien responsable MarocLa Tribune de Marrakech/ Challenge Michel Roussel Correspondant MarocL’Economiste Badra Berrissoule Journaliste MarocLes Afriques M. Abderrazzak Sitail Président Administrateur Délégué MarocLes Afriques Taleb Sana Journaliste MarocLes eco Oumar Balde Journaliste MarocL’Opinion Mohamed Jhioui Journaliste MarocL’UNFPA PONCE ESTELIN NFOUBOU KOUELY DG GabonL’UNFPA ATEGBO Simon Pediatre GabonMarrakech Healthcare City Mme. Imane Taibi Directrice communication MarocMazars Naoufel El Khatib Associé FranceMazars Abdou Diop Partner MarocMcKinsey Jalil Bensouda External advisor Maroc



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McKinsey Mehdi Lahrichi Principal MarocMedasys Frédéric Vaillant Président du Directoire FranceMedasys Julie Ledi Assistante commerciale et marketing export FranceMedasys Sofia Laroubi Directrice Export FranceMedias 24 Amine Belghazi Journaliste MarocMedical Intelligence Service Dr Loïc Etienne Président FranceMedical Intelligence Service Michel FRAIN Directeur Marketing MIS FranceMedis ehf Emad tarek Regionale Business development UAEMinistère de la santé de Tunisie SALEM Khaled directeur du groupement de santé de base manouba tunisieMinistère de la Santé du Maroc Noureddine Maâna Directeur des Ressources Humaines MarocMinistère de la Santé du Maroc Noureddine Maâna Directeur des Ressources Humaines MarocMinistère de la Santé du Sénégal Diallo Saliou Directeur des établissements de Santé SénégalMinistère de la Santé et de l’Action Sociale, Sénégal

Dr. Bineta Sène Direction générale de la santé Sénégal

Ministère de la santé et de la population du Congo

Gontran Ondzotto Professeur d’ORL - Directeur Général de l’admi-nistration, de la réglementation et des ressources financières au ministère de la santé et de la population

Congo

Ministère de la Santé et de l’Action Sociale Ousmane Dia Chargé de mission, direction des établissements de santé au ministère de la santé

Sénégal

Ministère de la santé Gabon Félix Ndong-Obiang secrétaire general adjoint 2 GabonMinistère de la santé Gabon Essono N’doutoumou Martin Administrateur de la santé GabonMinistère de la santé Mauritanie Dr. Mohamed Brahim Elkory Directeur INRSP MauritanieMinistère de Santé du Maroc Lahcen Chtibi Inspecteur Général du ministère de la santé MarocMinistère des forces armées Médecin colonel

SeringueMamadou Sarre Directeur senegal

Minsitère de la santé du maroc Khalid Zenjari Directeur régional MarocMORIA MOUSSIERE Laurent Directeur Général FranceMSH International Aurélie Laforgue Sales department - Account manager FranceMUGEF CI Die-Kakou Henri directeur du SMF Côte

d'ivoireMUGEF CI Kouamé Mesmin Komoe Vice PCA Côte

d'ivoireMUGEF CI Ouattara Bakary Conseil du directeur général Côte

d'ivoireOBG Lucia Martin Project manager MarocOmnium Technologique El Ouazzani Amina PDG MarocPactilis DIAKITE Nicolas directeur general MarocPactilis LAMBOTTE Philipe directeur technique MarocAscoma D’ALESSANDRO Serge directeur adjoint groupe ascoma MarocParis Region Entreprises Meunier Caroline Conseiller FranceParis Region Entreprises Akpama Cyril Conseiller FrancePASS Benjelloun Hatim Directeur Associé MarocPASS Kadaoui Maryama Chef de projet Maroc



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pharmaceutical institute SEDRATI Ali administrateur MarocPolyclinique internationale de Rabat Mohssine Iraqi Directeur administratif MarocPolyclinique internationale de Rabat Khalil Saoura directeur general MarocSevamed Sofia Saoura Directeur Adjointe MarocPolyclinique internationale de Rabat Pr. A. Saoura Président directeur général MarocPolyclinique internationale de Rabat Siham Abou Abdillah Résp. Marketing et communication MarocPolyclinique internationale de Rabat Soufiane SAOURA MarocPromamec sarl IDRISSI KAITOUNI Yasser Directeur export MarocProspective Santé Daniel Debris FranceRadio Marocaine/SNRT Achenti Ali Journaliste MarocRadiologie Anoual 111 Benmoussa Amine Radiologue MarocRDI France AMETSIPE Komla Gbato Eric Représentant Togo TogoS.S.K Salima Sarah Kaf Architecte programme FranceSANOFI MAROC YOUSFI MALKI Aziz directeur communication MarocSanté 24 Mohammed Amine Manager MarocSiemens Belgique Luc Van Overstraeten CEO BelgiqueSiemens Belgique Patrick Liekens BelgiqueSiemens Maroc Mohamed Alami Responsable service technique MarocSiemens Maroc Tarik Lafkihi Sales Engineer & project Manager MarocSiemens Maroc Slim Kchouk Président du Directoire MarocSiemens Maroc Tahar Amar Sales Manager MarocSiemens Maroc Youssef Merzouki Responsable business developpement MarocSiemens Maroc Mohammed Oudrhiri Manager Of project management MarocSiemens Maroc Haitham El Idrissi MarocSiemens Maroc Rajaa Rhalimi Directrice division diagnostics Afrique du nord MarocSNC-LAVALIN Achard Alain Vice président développement Santé FranceSociété Breack Maroc Santé BREACK Patrick Directeur général MarocSociété generics Access Michel Mpandi Pharmacien directeur général Congo

BrazzavilleSociété generics Access Jean Roger Banzouzi Pharmacien Responsable Congo

BrazzavilleSociété marocaine de Stérilisation Pr Soufiane Derraji Président MarocSOFWAY MEDICAL BLEUSEZ Bertrand Directeur Business Développement FranceSOMADIAG Omar Berrada DG MarocSteam Maroc Marc Teissandier Directeur Général MarocTASWEEK Real Estate & Spa Lakhouaja DR Mohamed A. Administrateur MarocTisseyre Partners Alain Tisseyre Président FranceUpline Corporate Finance Mouhssine Cherkaoui Directeur général MarocValyans Consulting Arnaurd BIHANNIC Manager MarocValyans Consulting Nawal KHAYATEI Directeur associé Maroc



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vivalto santé Guillaume Caille Chargé d’affaires FranceVoxygen Santé Eric Thibaut Directeur FranceWafaassurances Naima KABBAZ Directeur prévoyance MarocMSH International Aurelie LAFORGUE Sales Department Account Manager MarocWENDEL AFRICA HEUZE Stephane Directeur Maroc

Pr. Hubert Balique Docteur en médecine, économiste et socio-anthropo-logue, conseiller technique au Ministère de la Santé du Mali.

France

Awni Battikhi Sales representative JordanieMohamed Khaled Choulli Professeur Universitaire Maroc


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