faire la paix avec tous les bougnoules de france · 14 juillet que le “terroriste isolé” a...

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Brochure express du Lys Noir En réponse immédiate et à chaud à l’attentat de Nice Faire la paix avec tous les bougnoules de France ! ... et ne plus bombarder les populations civiles arabes 3

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Brochure express du Lys Noir

En réponse immédiate et à chaudà l’attentat de Nice

Faire la paixavec tous les bougnoules de France !

... et ne plus bombarder lespopulations civiles arabes

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Communiqué Lys Noir du vendredi 15 juillet 2016

à 13h00.

Manifeste à chaud

Cercle des gens de peu

Faire la paix avec

tous les bougnoules de France !

«Nous aussi nous avons tué des innocents»

«Bombarder l'EI ne permettrapas de calmer les jeunes soldats de

l'EI qui sont partout dans lesbanlieues en France»

«Ils font à la disqueuse, ce quenous faisons avec des drones»

«La France devrait prendrel'initiative d'une conférence

internationale qui viserait àconstituer un front diplomatique à

même de négocier une neutralitéassociée à un respect de la

souveraineté politique de chacunde ces pays qui ont le droit de faire

ce qu'ils souhaitent sur leurterritoire sans que nous le leur

interdisions».

(Michel Onfray à propos des attentats de Paris)

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Nice, Vendredi 15 juillet 2016.Dix heures après l’attentat, deux na-

vires de guerre viennent de prendre po-sition à 150 mètres de la plage, en face duNégresco... Sur la passerelle, des of!ciersde marine scrutent les serviettes de bainabandonnées la veille sur la plage, his-toire de véri!er que tout est souscontrôle... Un journaliste de BFM racontequ’il est ici par hasard puisqu’il se trou-vait en vacances, chez ses beaux-pa-rents... Un taxi arabe est interrogé avanttout le monde pour dire toute sa solida-rité envers la France... Des spécialistes en

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gestion de stress interviennent sur toutesles télévisions... Les journalistes trop bru-nettes de BFM se font des “têtes de sus-pens”, comme Cyril Hanouna à chaque!n de direct de La Nouvelle Star... Le pré-sident de la République Française, im-peccablement préparé par son coiffeur à10.000 euros par mois, est déjà intervenuà trois heures du matin pour répéter quec’est horrible et que nous sommes enguerre... Un premier Tweet de l’Elyséemontre une photo du “chef de guerre”entouré, dans le salon vert, de généraux,de ministres inconnus et de super"icsprobablement tous francs-maçons... Untraveling à l’hôpital montre une !le debons citoyens de l’Empire du Bien accou-rus pour donner leur sang en échange debouteilles d’eau distribuées par destypes en vestes "uo qui ont du mal à re-!ler leur pack, vu que tout le monde estquand même venu avec sa propre bou-teille... L’Etat d’urgence a été prolongé detrois mois quelques heures après l’an-

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nonce de sa levée à la faveur de la gardenparty présidentielle du 14 juillet. Despoliticiens relèvent que c’est un soir de14 juillet que le “terroriste isolé” afrappé... De celui-là, on sait déjà qu’il alaissé comme d’habitude sa carte d’iden-tité sur le siège du camion frigo pour êtresûr d’être immédiatement célèbre et queses copains de la cité se disent : “Putain,il l’a fait...”... On sait aussi qu’il est rési-dent français, bien que ses origines tuni-siennes soient évidemment misedavantage en avant... On sait qu’il n‘apas de !che S et que c’est juste une ra-caille niçoise, un petit dealer du coin...Les "ics sont d’ailleurs partis à 500 per-quisitionner son appartement pour saisirl’ordinateur, son coran et ses posters...Tout à l’heure viendra le communiqué deDaech... Manuel Valls a repris le costumede Clémenceau... Un obscure fonction-naire de permanence à la chancellerie al-lemande a déjà tweeté qu’Angela Merkelest de tout coeur avec le peuple français

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contre le terrorisme... Même chose avecBarak Obama... Tout est pareil, rien nechange... Déjà, la photo d’une peluche àcôté d’un cadavre commence son tour dumonde.

Depuis la mer paisible, sur la passerelledes frégates dépêchées par la Marine Na-tionale, on contemple le ballet hasardeuxdes "ics et les premiers badauds de laénième défaite de la société moderne de-vant l’un de ses mutants... Le camioncriblé de balles est toujours là... Il ressem-ble surtout à un camion à l’arrêt... L’insis-tance du plan !xe doit cependant aidernotre imagination... La police scienti!ques’est déployée avec des rubans plasti!éset les barrières qui servent au tour deFrance ou au Carnaval... Les journalistesse bousculent pour réciter leurs infos enboucle avec la silhouette lointaine du ca-mion en arrière plan, a!n de coller le pluspossible à la “scène de guerre”... Commeils répètent toujours les mêmes détails ba-lancés au compte-goutte par les journa-

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listes qui ont des amis "ics, on ne regardeplus que ce qu’il y a de désopilant en eux: le micro, une mèche au vent, le nez, lessourcils...

Pourtant, nous ne sommes pas enguerre... Il y a quelques années, un ca-mion sans freins avait fait à peu près lemême strike sur une foule consuméristedans la longue rue centrale d’Andorre-la-Vieille...

Oui, mais là, c’est un terroriste... C’estun bougnoule... Cela change tout...

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Nous ne sommes pas en guerre. Nouspayons notre société ouverte. Nous ver-sons notre tribut régulier aux mutantsqui souffrent...

En effet, personne ne dira combien lechauffeur-terroriste a souffert jusque-là...Sa haine de la foule moderne ne pouvaitvisiblement plus attendre.

Mais que lui a fait la foule moderne ?D’abord, elle l’a mis dans la peau d’unbougnoule de France... C’est pas facile,cela... On se sent toujours surveillé, sus-pecté de complicité secrète, les grands-mères françaises de souche, gavée de

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pensions de reversion, serrent leur sac àmain quand vous arrivez derrière ellesdans la boulangerie... Les "ics vous fontcomprendre certaines choses... Et puis,tout ce que l’on peut voir à la télévisionet devant les palaces niçois vous est in-terdit : pas de voiture de sport décapo-table, pas de blondasse salope quis’approcherait alors pour recevoir unesplendide éjaculation faciale bien méri-tée... Pas de liasses de dollars dans lapoche arrière, pas de costume Smaltopuisqu’Emmanuel Macron vient de vousrépéter que, pour en acheter un, il fauttravailler... Pas de boulot, non plus,même pas un boulot de merde... Ou bienalors un job communautaire : venir dé-panner un cousin qui lui, se crève le culdès l’aube sur les marchés.

Les foules bougnoules un moment in-vitées à venir en pleines “glorieuses”jouer le rôle d’une main d’oeuvre à bonmarché, sont sur le sable de la mutation

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technologique... Un mur infranchissableles séparent désormais de la Promenadedes Anglais livrée aux foules mains-tream. Quand Uber commence à atta-quer sérieusement nos acquis sociauxaffolés, il s’en prend directement auxtaxis bougnoules... Demain, les livreursde pizzas bougnoules seront concurren-cés méchamment par les drones qui vouslivreront directement les familles antira-cistes de centre-ville par le balcon, ou parla fenêtre de la cuisine... Demain encore,le mercenaire bougnoule en salaire de lapeur chez DHL sera remplacé par unrobot de tableau de bord... Demain, l’im-migration sera dé!nitivement cet im-mense déchet de destins laissé ici, cheznous, par vingt années de réponse im-provisée à l’inévitable mondialisationdes échanges qui allait tout emporter...

Un temps utile au Capital, le bou-gnoule est rapidement devenu un poidssocial, tout autant que le Français desouche en zone rurale ou l’ouvrier licen-

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cié à vie... Car le Bougnoule doit non seu-lement être pensionné, il faut aussi le po-licer, le surveiller, le punir, le loger,l’écouter, décrypter la pente de son ca-ractère ombrageux, recenser ses mos-quées, mais aussi le promotionner,l’imposer dans les quotas du bonheurminimal, le protéger de son inquiétudeenvers le vote Front National...

Cette inutilité consubstantielle à sa vie,le bougnoule la ressent cependant par-tout... Il ne peut même pas se réfugierdans la !ction que ce pays est quandcelui de ses ancêtres... Il ne peut mêmepas "âner ici à la manière d’un assisté desouche qui peut, lui, y trouver au moinsune forme de quiétude... Non, le bou-gnoule est sous pression... Notre entre-soi se ferme d’autant à lui... Même lesconnards associatifs du téléthon com-mencent à se mé!er de lui... Son inutilitétragique vient plutôt résonner dans sonâme avec huit siècles de frustrations his-toriques pendant lesquels il n’a jamais

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remporté une seule bataille, ni eut letemps et la liberté de construire le moin-dre modèle social qui lui soit propre...

Le rêve panarabiste de l’après-guerrene fut qu’une parenthèse, il est mort dés-ormais. Il a !ni dans les yeux rougis deSaddam aveuglé par la lampe améri-caine quand on le sortait de son trou àrats... Il est mort encore dans la bused’égout où le drone poursuivit le colonelKhadaf! dans son uniforme de généralAlcazar...

Pour ajouter à la frustration collectivedans laquelle il baigne en passant dusalon de thé de son cousin au comptoirpubliphone de son beau-frère, le bou-gnoule de France sait que ce sont desgens comme lui qui sont bombardés parla mégamachine. Il sait parfaitement queles cris et pleurs des fatmas de là-bassont les mêmes que ceux de sa mère qui,elle, intuitive, et pour ne pas ajouter auxdésordres qui s’annoncent, ne sort qu’à

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la supérette du quartier et tente de nousêtre malgré tout sympathique avec unbon et honnête sourire de femme voilée...

Ô bien sûr, la République tente bien delui faire croire qu’il est chez lui, le bou-gnoule, mais la République n’est qu’unemauvaise plaisanterie totalitaire qui, enéchange de sa protection, dresse lecompte des burqas et des boucheriesHalal, refuse une piscine unisexe à sasoeur, et ne s’exprime qu’à travers desmédias et une classe politique entière-ment livrés à la défense de l’OTAN etd’Israël et de leurs missiles de précisionchirurgicale dont, au fait, personne nenous tient jamais au courant de la chute...

En vérité, de quelque côté qu’il setourne, le bougnoule de France a une viede merde... Chaque existence de terro-riste islamiste qui nous pète au visage,nous le révèle.

Chaque attentat ne sert d’abord qu’à

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mesurer la trajectoire du terroriste. Et ce n’est pas beau à voir...Cependant, face au bougnoule de

France en désarroi collectif intense, lamégamachine poursuit sa course folle.Elle aussi se trouve lâchée sur les foules...

Dernière nouvelle : BFM a trouvé lehéros du jour. Le type en scooter qui s’estapproché de la cabine du camion pourtenter d’avertir Mohamed Machin qu’ilavait des cadavres sous les roues de son18 tonnes de location...

“En plein drame”, la Républiqueexulte, le héros s’appelle Mouloud... Lasociété antiraciste qui bombarde lesfoules arabes peut continuer un peu plusavant... Les foules festives ne seront dé-cidément pas sauvées par la simplicité.

Détail anthropologique crucial : aprèsque le camion soit passé, une jeune !llea trouvé un bébé de huit mois aban-donné par ses parents... Elle l’a pris dansses bras... C’est qui le père, c’est qui ce

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héros ? C’est un Républicain moderne,un consommateur de fête gratuite et po-pulaire...

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Pour contenir le bougnoule de Franceen surchauffe, la République re-déclarela guerre, sans savoir apparemment quece qui apaise justement le bougnoule, cesont les larmes de la foule blanche...

Ainsi, la seule chose qui pourrait lecombattre, le désamorcer, c’est la Paix.Au lieu de cela, le gouvernement mobi-lise ses réserves opérationnelles fanto-matiques en pleine nuit. Demain, il yaura inévitablement une marche blancheet, déjà, les premières bougies d’impuis-sance païenne, se sont allumées sur lapromenade, au pieds des reverbères “té-moins du drame”...

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Faire la paix, personne n’y pense...Faire la guerre nous est enjoint... Lamême foule qui courrait cette nuit depanique dans les rues du vieux-Nice,sera bientôt quali!ée de masse coura-geuse attachée patriotiquement à conti-nuer sa modernité comme si de rienn’était, a!n de montrer aux terroristesque la foule ne lâche rien et qu’elle n’ab-diquera jamais sa triste vie obligatoire...

La paix ? Mais vous n’y pensez pas !Déjà le maire de la ville se regarde lui-même en Churchill moderne d’une dé-mocratie à l’ épreuve du sang ! Déjà lescabinets ministériels ont commandé lespremiers sondages d’opinion... Déjà, lesnavires de guerre ont pris le camion !gédu terroriste dans leurs lunettes de viséeet ne le quittent plus... Déjà, les hélicop-tères tentent de rassurer la foule sur l’ef!-cacité de l’Etat d’urgence en faisant destours dans le ciel, qui s’en fout de tout ça...Déjà, des enfants bougnoules attendent le

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nom du terroriste pour se connaître unnouvel héros...

Faire la paix, quelle drôle d’idée... C’estpourquoi les anarcho-royalistes sont cematin les seuls à l’avoir... Pas un gau-chiste n’osera “écrire son nom” au fron-ton de ses squatts... Y a quand même desenfants morts... C’est atroce... Le baratinémotionnel emporte tout... Les digues in-tellectuelles en viennent à se cacherd’elles-mêmes. Elles s’inclinent “devant lasouffrance de la nation et des familles”.

Ce matin, le Lys Noir est donc encoreseul à vous dire qu’il faut faire la paixavec le bougnoule de France... Qu’il fautnégocier avec lui... Qu’il faut un Grenellede la Bougnoulie... Appelez cela commevous le voudrez, mais il faut la paix.

De toute façon, cette guerre contre lespsychopathes élevés en batteries indus-trielles dans nos ghettos ne peut plus êtregagnée... Aucun éléphant n’a jamais supersécuter une souris !

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De son côté le Lys Noir et l’Organisa-tion Georges Bernanos préconisent de-puis leur origine qu’une provincecommunautaire soit en!n accordée auxenclaves bougnoules élargies, renduesalors géographiquement capables d’au-tonomie politique viable.

Dans cette province archipel, les Bou-gnoules, en!n protégés des persécutionsde la mégamachine et de l’OTAN, pour-ront vivre sous leurs lois islamiques, sicela est vraiment leur choix majoritaire...Quant à la fédération qui liera cette pro-vince bougnoule aux autres ethnies etcommunautés françaises incarnées dansd’autres provinces autonomes, elle ces-serait naturellement, à l’instant, de bom-barder les masses arabes innocentes enIrak, Syrie, Libye...

A ces conditions : neutralité françaiseproclamée, arrêt des bombardements decivils arabes, et l’établissement d’uneprovince particulière pour y développerun projet de société qui leur ressemblent

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en!n, les bougnoules, ravis de l’aubaine,accepteront la paix. Nous en sommesaussi sûrs que nous connaissons l’appétitde libération intime que l’on trouve chezchaque terroriste...

Nous vous !chons même notre billetque les Bougnoules de France accepte-ront avec empressement cette paix qui li-bèrera aussi, au passage, nos propresfoules de l’Etat d’urgence et de la mortaléatoire en pleine fête à la con !

Faisons alors la paix sans tarder ! N’at-tendons pas la guerre ethnico-religieusegénéralisée ! Préservons-nous du voteFront National qui ne fera qu’hystériser lebougnoule en le crispant davantage...Renversons la philosophie funeste quinie les âmes et leur colère... Ne poussonsplus le bougnoule déprimé à !nir sa viede merde sur écran de télévision, en feud’arti!ce... Rompons avec cette Répu-blique qui est moche, servile, et !nale-ment méchante avec les faibles et les

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installés trop tard... N’acculons pas labête... Regardons en!n les Bougnoulescomme une catégorie générale avec sesré"exes et son malaise particulier...Conservons en même temps les clefs ducamion... Admettons que les frustrationsenkystées dans chaque âme rude par lamégamachine sont le vrai problème etque l’Islam n’est qu’un radeau des mé-dusés... Pensons au destin fatalementschyzophrene du déplacé... Regardonsle transporté comme un malade potentielque l’on peut cependant guérir par une!erté politique retrouvée... Renonçonsaux chimères d’une société ouverte et né-gatrice qui n’est intéressante que dans lesromans policiers décrivant la jungle ur-baine comme un décor enviable... Ne fai-sons plus con!ance aux humanistesgénéreux qui se sont d’abord protégéspar des digicodes et des vigiles... N’en-trons plus dans le shaker infernal de laRépublique... La poursuite marketing dela race unique ne peut provoquer que

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l’avénement des fous de douleur...Soyons plutôt quelqu’un qui vient dequelque part... Refusons par principesacré la guerre républicaine et patriotiqueimprécise que l’on nous vend par escro-querie de masse déjà servie cent fois au-paravant pour d’in!nis malheurs !

Bougnoule, frère en souffrance de mé-gamachine, toi qui est un enculé de ter-roriste par camion ou par kalache, viens,parlons...

Négocions, putain !

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Pour bien se faire comprendre...

Dans un “Etat Lys Noir” anarchiste et sans prisons,tous les délinquants même mineurs (surtout mineurs)sont immédiatement assignés à résidence perpétuelleen Guyane (ou en Calédonie pour les délinquantsd’origine européenne) avec allocation d’insertion, cré-dits de projet, et pleins droits civiques, religieux et so-ciaux dans l’espace guyanais ; mais avec l’interdictionimprescriptible de revenir dans l’entre-soi français.

Sous une telle loi anticipatrice, tous les mutants is-lamistes qui se sont manifestés récemment (FrèresKouachi, Coulibali, Merah, la bande de Mollenbeek, etaujourd’hui l’auteur de l’attentat de Nice) n’auraienttout simplement pas été en France pour y agir...

Dans un “Etat Lys Noir”, Internet est bridé aux seulssites d’entreprises et associations, blogs de partis, d’ar-tistes et d’écrivains, boites d’échanges de courriel, sitesd’annonces gratuites, et encyclopédies façon Wiki...

Dans un “Etat Lys Noir”, L’Etat Islamique est diplo-matiquement reconnu... Il peut même se montrer unallié contre la Mégamachine et ses forces impériales. Iln’a donc aucune raison d’exciter ses admirateurscontre la France, bien au contraire...

Dans un “Etat Lys Noir”, Marseille-Nord, le pour-tour de l’étang de Berre, ainsi que la plaine de la Crauconstituent une province communautaire musulmane,étendue sur 2000 Km2, soit 6 fois Gaza, 5 fois Singa-pour, 2 fois Hong-Kong. Et c’est dans cette provincemusulmane autonome que les dix millions de musul-mans de France seront alors incités à s’établir sous pro-tection royale et sous une loi qu’ils se seront choisie.

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Edité par l’OGBOrganisation Georges Bernanos/Cellules solidaires anarcho-royalistes

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“Nous ne sommes pas en guerre.Nous payons notre société ouverte.Nous versons notre tribut régulieraux mutants qui souffrent...

En effet, personne ne dira combienle chauffeur-terroriste a souffertjusque-là... Sa haine de la foulemoderne ne pouvait visiblementplus attendre.”

Brochure express du Lys Noir