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L’OMBRE DU SOUVENIR

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Yvon Thériault

L’OMBRE DU SOUVENIR

Essai sur le récit de vie

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Dépôt légal – 3e trimestre 1996Bibliothèque nationale du Québec

ISBN 2-89448-064-4

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Aux aîné-e-s qui ont si généreusementpartagé cette quête de sens au récit de

leur propre et unique histoire de vie.

Y.T.

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PRÉFACE

Écrire sa vie, c’est « esquisser une sorte de bilanpour faire le point », remarque l’auteur dans son

avant-propos. Voilà la dynamique profonde du récitde vie.

On n’a plus à se demander quelle mouche piqueles adeptes de ce type d’exercice, ni quel plaisir lespousse à aller jusqu’à verser quelques pleurs sur eux-mêmes en atelier fermé. La grande popularité de cegenre littéraire aux saisons avancées de la vie n’estpas une question de mode. L’écriture autobiogra-phique répond à un besoin chez un grand nombre depersonnes qu’elle aide à évoluer, à franchir une autreétape de leur vie.

J’ai côtoyé M. Yvon Thériault lors de monpremier atelier d’écriture au Loisir littéraire deQuébec. M. Thériault suivait cet atelier pour ladeuxième fois, à la grande surprise de l’animatrice,Denise Roy. C’était en janvier 1991.

M. Thériault évoquait son enfance à Trois-Rivières en suivant les directives données. Il mention-nait des éléments qui faisaient appel aux sens. Ainsi,

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j’ai su que les usines de pâte à papier de sa villenatale répandaient dans l’air ambiant une odeurparticulière...

Les récits de M. Thériault étaient sobres, et lusd’une voix modérée. J’ignorais que ce jeune retraitése préparait à nous donner un ouvrage qui nouspermettrait d’approfondir la discipline pratiquée aucours de cet atelier.

Or, le problème des ateliers de création littéraire,c’est l’« après-atelier ». Comment poursuivre le travailsi bien amorcé en groupe ? Comment prolonger cesinstants de magie qui nous ont permis d’entrer dansle monde de notre écriture personnelle ou, si nous yétions déjà entrés en catimini, de nous y affirmer ?L’atelier prend fin et nous nous retrouvons happéspar la vie quotidienne. Nous rêvons de nous enextraire pour nous concentrer sur un projet dont laréalisation nous échappe.

M. Thériault nous présente une approche ordon-née, méticuleuse, d’où la spontanéité n’est pas exclue.Nous travaillons sur une matière vivante, notremémoire. Nous sommes invités, comme en atelier, àexplorer des techniques précises pour faire refluernotre passé, mais seuls avec nous-mêmes dans notrecontexte d’autrefois, ravivé pour les besoins de notreprojet.

Une étape qu’aborde clairement M. Thériault,c’est celle de la réécriture. On a rarement le temps, enatelier, de dépasser le premier jet. Le présent essaifoisonne de conseils pratiques qu’il est bon de serappeler même quand on croit savoir écrire.

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M. Thériault donne des suggestions pertinentesoù chacun peut puiser ce qui lui convient. Il abordeaussi l’étape de l’édition. Quel que soit le problèmeou l’aspect traité, M. Thériault ne néglige pas lesdétails d’ordre pratique.

Un autre mérite du travail de M. Thériault, c’estqu’il comble un vide en ce qu’il s’adresse toutspécialement aux gens de notre pays. De nombreuxlivres traitent d’écriture autobiographique, mais jen’ai pas eu connaissance qu’il s’en soit écrit un seulpar un auteur du Québec à l’intention de ses compa-triotes. On nous réfère au Journal intime intensif d’IraProgoff ou à des écrivains plus connus, mais c’est lapremière fois, me semble-t-il, qu’un auteur d’icis’adresse à des gens d’ici pour les guider dans leurhistoire personnelle.

Il y a, dans L’ombre du souvenir, de quoi susciterl’écriture, et de quoi prolonger l’impact indéniabledes ateliers d’écriture autobiographique qu’on donnemaintenant un peu partout. De là à recommander cetessai à ceux que tente l’écriture, à ceux qui écriventdéjà pour le plaisir, leur plaisir à eux et celui de leurslecteurs (famille, amis, public plus ou moins vaste), iln’y a qu’un pas, que je franchis allègrement.

Je félicite M. Yvon Thériault pour cet ouvragesimple, complet et bien conçu, destiné aux nom-breuses personnes qui s’aventurent dans le récit deleur vie. Elles y trouveront tout ce qu’il faut pour nepas s’y perdre.

MARIE TROTTIER-DROUAULT, directriceLoisir littéraire du Québec

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AVANT-PROPOS

Écrire : une folie, un mystère, un loisir ? Pourquoipas un plaisir ? Surtout s’il s’agit de se souvenir,

de raconter sa propre histoire, comme l’ont fait tantd’écrivains et de personnes qui avancent en âge.

Chercher à percer les secrets de l’écriture, samagie. Finir par trouver du plaisir au récit de sesannées d’hier et d’aujourd’hui, traverser le miroir desapparences. S’inventer une méthode de travail,découvrir des ressources de création à l’intérieur desoi, échanger avec d’autres en ateliers d’écriture, sefamiliariser avec des récits de vie d’ici et d’ailleurs.

Témoignage de rencontres personnelles avecl’écriture, cet essai se présente à la fois comme unbilan de cinq années d’animation d’ateliers de récitde vie en petits groupes d’aîné-e-s. En somme, uneréflexion sur le rôle de la réminiscence au cours del’avance en âge. Recherche-action sur les liens entrel’écriture et la réminiscence dans le récit de vie.Expérience partagée avec une centaine d’adultesintéressés à la narration de leur histoire de vie à

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laisser en héritage à leurs enfants. Application sur leterrain des théories modernes du développementchez l’adulte. Choix d’approches adaptées à diversgroupes de personnes âgées de 50 à 75 ans, hommesou femmes à la retraite, dans des sessions longues oubrèves, en institution ou en cours publics.

Comment raconter sa vie ? Pourquoi ? Pour qui ?Une méthode d’écriture progressive se dégage peu àpeu selon une thématique générale qui conduit toutnaturellement à la prise de conscience de l’espace etdu temps dans l’histoire de vie. Les saisons de la vieencadrent l’évolution de la personne durant soncheminement depuis ses années d’enfance jusqu’aumoment de l’écriture de sa propre histoire. De coursextraits d’œuvres d’écrivains professionnels ou ama-teurs illustreront cette longue marche vers Soi et versles autres, nos frères et sœurs si pareils et si différentsde chacun de nous.

Enfin, on s’interrogera sur le rôle profond de laréminiscence au moment de l’avance en âge. Par-delàles exercices de l’OULIPO, bénéficier de la thérapiedouce de l’autobiographie dirigée...

YVON THÉRIAULT, psychopédagogueSainte-Foy, 1996

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Chapitre 1

LE BONHEUR D’ÉCRIRE

Les aîné-e-s semblent trouver du bonheur àraconter des souvenirs de leur vie passée, sur-

tout par comparaison avec l’époque actuelle qui lesdéroute. Il arrive même que des parents laissent àleurs enfants des bribes de récit de leurs années dejeunesse, des photos jaunies où apparaissent commedes ombres des visages disparus. Ainsi se transmetd’une génération à l’autre l’histoire d’une famille : lestémoignages d’une existence, la courbe d’une tra-jectoire dans le temps et l’espace d’une vie.

Ces feuillets couverts de traces d’écriture, cesimages d’ombre que la famille recueille avec émotionrenferment en réalité les éléments d’un récit de vie :l’histoire d’une personne qui raconte sa propre per-ception de son aventure humaine. Le récit se limiteparfois à des anecdotes, des « historiettes » au dire dudélicat mémorialiste Henri Bergeron (1989). Cer-taines personnes publient leurs Mémoires de leur

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vivant, d’autres préfèrent le silence d’un journalintime ou la discrétion d’un recueil de famille. D’au-tres, enfin, transposent leur introspection en auto-biographie d’une valeur littéraire et psychologiqueindéniable.

Pourquoi donc écrire le récit de sa vie ? Pourqui ? Comment ? Avec quel profit personnel etsocial ? Les livres de nos bibliothèques, les émissionsde radio et de télévision, les reportages des journauxapportent chaque jour des éléments de réponses àces questions sur une forme si répandue de littératurepersonnelle. Pour ma part, la curiosité m’a toujourspoussé à chercher des réponses à ces questions : dansma jeunesse comme journaliste d’enquête, vingt ansplus tard comme mémorialiste d’une époque dispa-rue, finalement à l’heure de la retraite comme étu-diant adulte en psychopédagogie universitaire etaujourd’hui comme animateur d’ateliers d’écriture derécits de vie de personnes qui désirent laisser le récitde leur vie à leurs enfants.

Quelque chose d’irrésistible« La littérature intime a quelque chose d’irrésistible »,affirme Françoise Van Roey-Roux (1983) au débutde son étude sur la littérature intime au Québec.Récits et histoires de vie occupent en effet une placeimportante en littérature et dans les scienceshumaines. Pas question de reprendre ici ces travauxmais bien plutôt d’explorer la problématique de laréminiscence qui sous-tend les diverses formes durécit de vie :

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- problématique : ensemble des questions poséespar une branche de la connaissance (LEXIS),

- réminiscence : terme français et anglais pourdésigner les emprunts faits aux souvenirspar les artistes et les écrivains. Le moralisteJoseph Joubert (1754-1824) écrit dans sesCarnets : « La réminiscence est comme l’ombredu souvenir ». En anglais : to reminisce veut dire :raconter ses souvenirs. C’est dans ce sens qu’onparle de la « théorie de la réminiscence » attri-buée au Dr Richard Butler (1963). Ce psychiatreaméricain s’est intéressé à l’expérience inté-rieure que représente le SOUVENIR dans ledéveloppement de la personne, en particulierdans le grand âge. Sous cet aspect, on admetaujourd’hui que le récit de vie (life review) peutêtre relié au processus de l’intégrité de l’EGOjusqu’à la dernière étape du cycle de la vie(Erikson).

Écrire pour (se) comprendreDans une entrevue à Radio-Canada, l’écrivaine AliceParizeau résumait en quelques mots ses raisonsd’écrire : « J’écris pour comprendre ». Réflexion per-tinente, surtout si on l’applique au récit de vie.Raconter sa vie, esquisser une sorte de bilan pourfaire le point et se comprendre : n’est-ce pas laproblématique de tout récit de vie ?

Vivre, c’est devenir, et raconter sa vie c’est direou écrire ce qu’on est devenu. Comme demander àun ami après une longue absence : « Qu’est-ce que tu

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deviens ». En réalité, la recherche de soi demeurela pierre de touche de la littérature intime oupersonnelle, aussi bien chez les écrivains profes-sionnels que dans les ateliers d’écriture de récits devie. Chaque texte est une tentative pour approcher auplus près de ce qu’on devient, jour après jour. Récitdu développement de la personne qui s’écrit, qui seraconte à elle-même son cheminement personnelavec les jalons, les transitions, les stratégies d’adap-tation qui ont escorté son cheminement personnel.Réalité et imaginaire que déjà Corneille décrivaitcomme « l’ingénieuse tissure des fictions avec lavérité ».

Pourquoi écrit-on ? se demande Anaïs Nin dansson Journal (1947, p. 246). Elle répond aussitôt : « Jecrois que l’on écrit parce que l’on doit créer unmonde dans lequel on puisse vivre... Nous écrivonsaussi pour aviver notre perception de la vie, nousécrivons pour charmer, enchanter et consoler lesautres, nous écrivons pour donner une sérénade auxêtres qui nous sont chers... Nous écrivons pourgoûter la vie deux fois : sur le moment et après coup.Nous écrivons, comme Proust, pour la rendreéternelle. »

Raconter son voyage intérieur, c’est se souvenirde sa propre histoire, être capable de dire : « C’estmoi ça » et en être content (Claude Michaud, Lessaisons de la vie, p. 23).

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Profit personnelDes personnes ayant participé à ces ateliers d’écri-ture témoignent du profit personnel que leur aprocuré leur récit de vie :- Beaucoup de souvenirs surgissent. J’espère les

mettre sur papier.- Connaître la façon d’écrire des souvenirs : quoi

écrire, pourquoi, comment.- Je sais mieux comment écrire les souvenirs.- Très motivant et très intéressant.- J’adore cet atelier et le climat d’échange et de

partage est excellent.- De l’information afin de mieux rédiger mes sou-

venirs.- Beaucoup de chaleur humaine.- Je me pose plusieurs questions sur ce que je veux

écrire, c’est là mon problème.- Ça me permet d’acquérir des techniques et de la

confiance.- Une ouverture plus grande sur ce métier

(d’écrire).- Une découverte de moi-même sur le plan de

l’expression de ce que je suis.- J’ai approfondi ma recherche.- J’ai apprécié de pouvoir rédiger de petits textes et

d’en recevoir un écho.- Une grande satisfaction par la direction des

essais et d’enrichissement des conversations rela-tives aux ateliers.

- Cela m’ouvre des horizons et active mon ima-gination.

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Raconter sa vie, même de la façon la plusmodeste, peut finalement apporter une sorte deréconciliation avec soi-même, dans l’acceptation deson unique histoire de vie, comme le signalait RenéeRowan (1993) :

Quand on traverse une épreuve difficile telle que lamaladie, la mort d’un être cher, une rupture amou-reuse ou la perte d’un emploi, l’écriture peut devenirune soupape intéressante à ses désespoirs, à ses frus-trations. Confier à son journal ou à une feuille depapier son désarroi, ses sentiments de rage ou decolère, a un effet thérapeutique certain, reconnu parles psychologues et ceux qui traitent les maux del’âme. L’écriture n’est pas un substitut aux confi-dences que l’on peut faire ni à l’aide professionnelle àlaquelle il vaut mieux parfois recourir, mais elle peutreprésenter un moyen efficace de faire sortir le mal,d’évacuer la douleur morale.

(Renée Rowan, « L’écriture une thérapie »,Le Bel Âge, mars 1993, p. 22)

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DANS LA MÊME COLLECTION

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7SIMÉON MARCHESSEAULT

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COMPOSÉ EN PLANTIN CORPS 10,5SELON UNE MAQUETTE RÉALISÉE PAR JOSÉE LALANCETTE

ET ACHEVÉ D’IMPRIMER EN SEPTEMBRE 1996SUR LES PRESSES DE AGMV

À CAP-SAINT-IGNACE, QUÉBEC

POUR LE COMPTE DE GASTON DESCHÊNES

ÉDITEUR À L'ENSEIGNE DU SEPTENTRION

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