exploitation thermique du sous-sol par un Échangeur...
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BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
EXPLOITATION THERMIQUE DU SOUS-SOLPAR UN ÉCHANGEUR ENTERRÉ VERTICAL
ASSOCIÉ À UNE POMPE À CHALEUR
Etude théorique du dispositif C O R A I Let de son projet de réalisation à Lannion
12. DEC. 1985
Département EAU
Rapport du B . R . G . M .
85 SGN 235 EAU/IRG
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 64.34.34
EXPLOITATION THERMIQUE DU SOUS-SOL
PAR UN ECHANGEUR ENTERRÉ VERTICAL
ASSOCIÉ À UNE POMPE À CHALEUR
Etude théorique du dispositif CORAIL
et de son projet de réalisation à Lannion
par
Monique JAY
Thèse de Docteur Ingénieur
Université d'Orléans, mars 1985
Département EAU
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 64.34.34
Rapport du B.R.G.M.
85 SGN 235 EAU/IRG juimsss
Réalisation : Département Applications Graphiques
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 64.34.34
EXPLOITATION THERMIQUE DU SOUS-SOL
PAR UN ECHANGEUR ENTERRÉ VERTICAL
ASSOCIÉ À UNE POMPE À CHALEUR
Etude théorique du dispositif CORAIL
et de son projet de réalisation à Lannion
par
Monique JAY
Thèse de Docteur Ingénieur
Université d'Orléans, mars 1985
Département EAU
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 64.34.34
Rapport du B.R.G.M.
85 SGN 235 EAU/IRG juimsss
Réalisation : Département Applications Graphiques
"Wooó iomme^ cz que. nottó appfLznoní,.C'zit iouvznt long oX dou¿ouA.&ux.MaJiheu.Keii&ejrnent, AJÍ m {¡cui&alt aucun doutznon pùi& qa'ÁZ ^aJUÍcUJ: bomunoiip do, tempo,b&aacoap dz ¿ou{¡{ifLancz, poun. appfieyídKz blzn pzu.
VonJj> LESSJNG
"Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare'
Louis ARAGON
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VonJj> LESSJNG
"Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare'
Louis ARAGON
REMERCIEMENTSZ.-S S e
Je fimzncUz ájú. vlvemznt toutzi czU.zi, zt tou¿> czux
quU. m'ont cUdiz zt zncouAagtz, pan. tzuJi ¿oatizn ¿clzntl^lqazou moAoZ, dz ¿a zonczptLon à ¿a fííaJÜuatÁjon dz czttz ttudz,zt ¿ou dz la nuuz en {¡oAmz {^¿naZz dz ce mzmoln.z.
3'a&¿ocÁ.z zgaJLzmznt à czá h.zmzn.ciZTi\znXÀ> Mz&¿¿eiOU
Zz& Memí>/te¿ du JuAy, tant poa>i ¿zuu jacUclzux con^zÁJU en
couÂj> dz fLÎdactùon, quz pouh. Zziih. paAt¿c¿patix)n & ¿a pfui&z
uZtÁjnz dz ta ¿outznancz.
REMERCIEMENTSZ.-S S e
Je fimzncUz ájú. vlvemznt toutzi czU.zi, zt tou¿> czux
quU. m'ont cUdiz zt zncouAagtz, pan. tzuJi ¿oatizn ¿clzntl^lqazou moAoZ, dz ¿a zonczptLon à ¿a fííaJÜuatÁjon dz czttz ttudz,zt ¿ou dz la nuuz en {¡oAmz {^¿naZz dz ce mzmoln.z.
3'a&¿ocÁ.z zgaJLzmznt à czá h.zmzn.ciZTi\znXÀ> Mz&¿¿eiOU
Zz& Memí>/te¿ du JuAy, tant poa>i ¿zuu jacUclzux con^zÁJU en
couÂj> dz fLÎdactùon, quz pouh. Zziih. paAt¿c¿patix)n & ¿a pfui&z
uZtÁjnz dz ta ¿outznancz.
SOMMAIRE
pages
NOMENCLATURE 1
AVANT-PROPOS 7
CHAPITRE 1 - PRESENTATION DE LA RECHERCHE DANS LE CONTEXTEENERGETIQUE
1.1 - LE CONTEXTE ENERGETIQUE 131.1.1 - Présentation générale 131.1.2 - L'énergie géothermique 15
1.2 - EXPLOITATION THERMIQUE ACTUELLE DU PROCHE SOUS-SOL 191.2.1 - Dispositifs exploitant l'énergie thermique d'aqui
fères peu profonds 191.2.1.1 - Dispositifs sans recharge thermique 211.2.1.2 - Dispositifs avec recharge thermique 21
1.2.2 - Les échangeurs enterrés 231.2.2.1 - Echangeurs enterrés horizontaux 271.2.2.2 - Les échangeurs enterrés verticaux 291.2.2.3 - Recherches dans ce domaine 31
1.3 - OBJECTIFS DE LA RECHERCHE 321.3.1 - Etude générale du dispositif CORAIL 321.3.2 - Le prototype de Lannion (22 - Côtes-du-Nord) 33
CHAPITRE 2 - LE PROJET DE LANNION
2.1 - LE PROCEDE CORAIL 39
2.2 - DESCRIPTION DU SITE EXPERIMENTAL DE LANNION 412.2.1 - Les données souterraines 43
2.2.1.1 - Contexte régional 432.2.1.2 - Reconnaissance géologique et hydrogéolo-
gique locale 452.2.1.3 - Mesures de conductivité thermique 49
2.2.2 - Les données sur la partie de surface du site expérimental 51
2.2.2.1 - Le bâtiment 512.2.2.2 - Le système de chauffage actuel 53
2.2.3 - L'environnement climatique 542.2.3.1 - Contexte régional 542.2.3.2 - Données locales 54
2.3 - CONCLUSION 55
SOMMAIRE
pages
NOMENCLATURE 1
AVANT-PROPOS 7
CHAPITRE 1 - PRESENTATION DE LA RECHERCHE DANS LE CONTEXTEENERGETIQUE
1.1 - LE CONTEXTE ENERGETIQUE 131.1.1 - Présentation générale 131.1.2 - L'énergie géothermique 15
1.2 - EXPLOITATION THERMIQUE ACTUELLE DU PROCHE SOUS-SOL 191.2.1 - Dispositifs exploitant l'énergie thermique d'aqui
fères peu profonds 191.2.1.1 - Dispositifs sans recharge thermique 211.2.1.2 - Dispositifs avec recharge thermique 21
1.2.2 - Les échangeurs enterrés 231.2.2.1 - Echangeurs enterrés horizontaux 271.2.2.2 - Les échangeurs enterrés verticaux 291.2.2.3 - Recherches dans ce domaine 31
1.3 - OBJECTIFS DE LA RECHERCHE 321.3.1 - Etude générale du dispositif CORAIL 321.3.2 - Le prototype de Lannion (22 - Côtes-du-Nord) 33
CHAPITRE 2 - LE PROJET DE LANNION
2.1 - LE PROCEDE CORAIL 39
2.2 - DESCRIPTION DU SITE EXPERIMENTAL DE LANNION 412.2.1 - Les données souterraines 43
2.2.1.1 - Contexte régional 432.2.1.2 - Reconnaissance géologique et hydrogéolo-
gique locale 452.2.1.3 - Mesures de conductivité thermique 49
2.2.2 - Les données sur la partie de surface du site expérimental 51
2.2.2.1 - Le bâtiment 512.2.2.2 - Le système de chauffage actuel 53
2.2.3 - L'environnement climatique 542.2.3.1 - Contexte régional 542.2.3.2 - Données locales 54
2.3 - CONCLUSION 55
CHAPITRE 3 - COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'ECHANGEUR
3.1 - GENERALITES SUR LES TRANSFERTS THERMIQUES DANS LE SOUS-SOL . 613.1.1 - Conduction, convection, rayonnement et Leur impor
tance relative dans Le cadre de L'étude 613.1.1.1 - La conduction 613.1.1.2 - La convection 643.1.1.3 - Le rayonnement 64
3.1.2 - Mise en équations 653.1.2.1 - Forme générale de l'équation de la chaleur 653.1.2.2 - Hypothèses simplificatrices 673.1.2.3 - Equations aux dérivées partielles 683.1.2.4 - Conditions initiales et aux limites 71
3.1.3 - Méthodes de résolution : analytique et numérique ... 74
3.2 - METHODOLOGIE DE RESOLUTION 753.2.1 - Solutions analytiques 75
3.2.1.1 - Solution de Ramey 753.2.1.2 - Solutions analytiques pour d'autres types
de f onct ionnement 773.2.1.3 - Introduction des paramètres adimensionnels 81
3.2.2 - Solution numérique 913.2.2.1 - Conception du modèle 913.2.2.2 - Maillage du domaine de résolution 933.2.2.3 - Discrétisation des équations 943.2.2.4 - Expression des conditions aux limites .... 963.2.2.5 - Choix du pas de temps 993.2.2.6 - Mise en route du programme par l'utilisa
teur 993.2.3 - Comparaison et validation des soLutions 101
3.3 - APPLICATION AU PROJET DE LANNION 1033.3.1 - Projet de "référence" 1033.3.2 - Variantes 105
3.3.2.1 - Variation du diamètre de l'échangeur 1053.3.2.2 - Variation de la profondeur du dispositif . 1073.3.2.3 - Variation de la puissance prélevée par la
pompe è chaleur (AG) 1073.3.2.4 - Influence de l'exploitation discontinue du
chauffage 1093.3.3 - Conclusion de l'étude de sensibilité 115
3.3.3.1 - Variation du diamètre 1153.3.3.2 - Variation de la profondeur 1153.3.3.3 - Variation de la puissance exploitée 1163.3.3.4 - Choix retenu 116
3.4 - CONCLUSION 117
CHAPITRE 3 - COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'ECHANGEUR
3.1 - GENERALITES SUR LES TRANSFERTS THERMIQUES DANS LE SOUS-SOL . 613.1.1 - Conduction, convection, rayonnement et Leur impor
tance relative dans Le cadre de L'étude 613.1.1.1 - La conduction 613.1.1.2 - La convection 643.1.1.3 - Le rayonnement 64
3.1.2 - Mise en équations 653.1.2.1 - Forme générale de l'équation de la chaleur 653.1.2.2 - Hypothèses simplificatrices 673.1.2.3 - Equations aux dérivées partielles 683.1.2.4 - Conditions initiales et aux limites 71
3.1.3 - Méthodes de résolution : analytique et numérique ... 74
3.2 - METHODOLOGIE DE RESOLUTION 753.2.1 - Solutions analytiques 75
3.2.1.1 - Solution de Ramey 753.2.1.2 - Solutions analytiques pour d'autres types
de f onct ionnement 773.2.1.3 - Introduction des paramètres adimensionnels 81
3.2.2 - Solution numérique 913.2.2.1 - Conception du modèle 913.2.2.2 - Maillage du domaine de résolution 933.2.2.3 - Discrétisation des équations 943.2.2.4 - Expression des conditions aux limites .... 963.2.2.5 - Choix du pas de temps 993.2.2.6 - Mise en route du programme par l'utilisa
teur 993.2.3 - Comparaison et validation des soLutions 101
3.3 - APPLICATION AU PROJET DE LANNION 1033.3.1 - Projet de "référence" 1033.3.2 - Variantes 105
3.3.2.1 - Variation du diamètre de l'échangeur 1053.3.2.2 - Variation de la profondeur du dispositif . 1073.3.2.3 - Variation de la puissance prélevée par la
pompe è chaleur (AG) 1073.3.2.4 - Influence de l'exploitation discontinue du
chauffage 1093.3.3 - Conclusion de l'étude de sensibilité 115
3.3.3.1 - Variation du diamètre 1153.3.3.2 - Variation de la profondeur 1153.3.3.3 - Variation de la puissance exploitée 1163.3.3.4 - Choix retenu 116
3.4 - CONCLUSION 117
CHAPITRE 4 - COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'INSTALLATION DE SURFACE
4.1 - LES POMPES A CHALEUR 1214.1.1 - Rappels de thermodynamique 121
4.1.1.1 - Le premier principe de la thermodynamique 1214.1.1.2 - Second principe de la thermodynamique ... 1234.1.1.3 - Le cycle de Carnot 123
4.1.2 - Principe des pompes à chaleur 1254.1.2.1 - Définition 1254.1.2.2 - Thermodynamique de la pompe à chaleur è
compression 1274.1.2.3 - Bilan énergétique du cycle et coefficient
de performance (COP) 1294.1.3 - Utilisation des pompes à chaleur 133
4.1.3.1 - Intérêt et emploi des pompes à chaleur .. 1334.1.3.2 - Nature des sources thermiques 1334.1.3.3 - Mise en oeuvre des pompes à chaleur 1354.1.3.4 - Pompe à chaleur avec appoint 135
4.2 - LES BESOINS ENERGETIQUES D'UN BATIMENT 1374.2.1 - Données climatiques 137
4.2.1.1 - Les températures extérieures 1374.2.1.2 - Les degrés-Jours 1374.2.1.3 - La température extérieure de base Tp .... 139
4.2.2 - Caractéristiques thermiques des bâtiments 1394.2.2.1 - Déperditions thermiques d'un bâtiment ... 1394.2.2.2 - Les apports gratuits : A 1414.2.2.3 - Coefficient de déperditions volumiques : G 143
4.2.3 - Caractéristiques élémentaires d'une installation dechauffage 1454.2.3.1 - Consommation de chauffage 1454.2.3.2 - Emission de la chaleur dans les locaux .. 149
4.3 - APPLICATION AU PROJET CORAIL A LANNION 1534.3.1 - Les besoins en chauffage 153
4.3.1.1 - Les données de température 1534.3.1.2 - Bilan énergétique du bâtiment 155
4.3.2 - La pompe à chaleur 159
4.4 - CONCLUSION 160
CHAPITRE 4 - COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'INSTALLATION DE SURFACE
4.1 - LES POMPES A CHALEUR 1214.1.1 - Rappels de thermodynamique 121
4.1.1.1 - Le premier principe de la thermodynamique 1214.1.1.2 - Second principe de la thermodynamique ... 1234.1.1.3 - Le cycle de Carnot 123
4.1.2 - Principe des pompes à chaleur 1254.1.2.1 - Définition 1254.1.2.2 - Thermodynamique de la pompe à chaleur è
compression 1274.1.2.3 - Bilan énergétique du cycle et coefficient
de performance (COP) 1294.1.3 - Utilisation des pompes à chaleur 133
4.1.3.1 - Intérêt et emploi des pompes à chaleur .. 1334.1.3.2 - Nature des sources thermiques 1334.1.3.3 - Mise en oeuvre des pompes à chaleur 1354.1.3.4 - Pompe à chaleur avec appoint 135
4.2 - LES BESOINS ENERGETIQUES D'UN BATIMENT 1374.2.1 - Données climatiques 137
4.2.1.1 - Les températures extérieures 1374.2.1.2 - Les degrés-Jours 1374.2.1.3 - La température extérieure de base Tp .... 139
4.2.2 - Caractéristiques thermiques des bâtiments 1394.2.2.1 - Déperditions thermiques d'un bâtiment ... 1394.2.2.2 - Les apports gratuits : A 1414.2.2.3 - Coefficient de déperditions volumiques : G 143
4.2.3 - Caractéristiques élémentaires d'une installation dechauffage 1454.2.3.1 - Consommation de chauffage 1454.2.3.2 - Emission de la chaleur dans les locaux .. 149
4.3 - APPLICATION AU PROJET CORAIL A LANNION 1534.3.1 - Les besoins en chauffage 153
4.3.1.1 - Les données de température 1534.3.1.2 - Bilan énergétique du bâtiment 155
4.3.2 - La pompe à chaleur 159
4.4 - CONCLUSION 160
CHAPITRE 5 - COUPLAGE DE L'INSTALLATION DE SURFACE ET DE L'ECHAN¬GEUR SOUTERRAIN
5.1 - SCHEMATISATION DE L'INSTALLATION GLOBALE 1675.1.1 - Fonctionnement des unités élémentaires de L'instal
lation 1673.1.1.1 - La source froide 1675.1.1.2 - L'installation de surface 1695.1.1.3 - L'environnement climatique 173
5.1.2 - Relations fonctionnelles entre les unités élémentaires 175
5.2 - MODELISATION 1775.2.1 - Description des logiciels 177
5.2.1.1 - Les logiciels de saisie des données 1775.2.1.2 - Le logiciel de calcul 179
5.2.2 - Validation du logiciel de calcul 1815.2.2.1 - Comparaison des résultats du logiciel pro
posé avec ceux trouvés par une étude rapi¬de avec la courbe monotone des températures 183
5.2.2.2 - Comparaison des logiciels PERCHE, BTPAC,BILAN 183
5.3 - SIMULATION DE REFERENCE 1895.3.1 - Données utilisées 1895.3.2 - Résultats 1915.3.3 - Commentaires 191
5.4 - VARIANTES 1955.4.1 - Choix de La pompe à chaleur 195
5.4.1.1 - Projet de référence 1965.4.1.2 - Les autres projets 1975.4.1.3 - Recommandations pour le choix de la pompe
à chaleur 1975.4.2 - Géométrie de l'échangeur 197
5.4.2.1 - Variation de la profondeur 1975.4.2.2 - Variation du diamètre 1985.4.2.3 - Recommandations sur la géométrie du dispo
sitif 1985.4.3 - Variation des émetteurs de chaleur 199
5.4.3.1 - Résultats 1995.4.3.2 - Augmentation du débit du fluide calopor-
teur 2005.4.4 - Répartition des résultats 200
5.4.4.1 - Résultats 2005.4.4.2 - Interprétation des résultats 201
5.4.5 - Conclusions sur L'étude des variantes 201
5.5 - CONCLUSION 202
CHAPITRE 5 - COUPLAGE DE L'INSTALLATION DE SURFACE ET DE L'ECHAN¬GEUR SOUTERRAIN
5.1 - SCHEMATISATION DE L'INSTALLATION GLOBALE 1675.1.1 - Fonctionnement des unités élémentaires de L'instal
lation 1673.1.1.1 - La source froide 1675.1.1.2 - L'installation de surface 1695.1.1.3 - L'environnement climatique 173
5.1.2 - Relations fonctionnelles entre les unités élémentaires 175
5.2 - MODELISATION 1775.2.1 - Description des logiciels 177
5.2.1.1 - Les logiciels de saisie des données 1775.2.1.2 - Le logiciel de calcul 179
5.2.2 - Validation du logiciel de calcul 1815.2.2.1 - Comparaison des résultats du logiciel pro
posé avec ceux trouvés par une étude rapi¬de avec la courbe monotone des températures 183
5.2.2.2 - Comparaison des logiciels PERCHE, BTPAC,BILAN 183
5.3 - SIMULATION DE REFERENCE 1895.3.1 - Données utilisées 1895.3.2 - Résultats 1915.3.3 - Commentaires 191
5.4 - VARIANTES 1955.4.1 - Choix de La pompe à chaleur 195
5.4.1.1 - Projet de référence 1965.4.1.2 - Les autres projets 1975.4.1.3 - Recommandations pour le choix de la pompe
à chaleur 1975.4.2 - Géométrie de l'échangeur 197
5.4.2.1 - Variation de la profondeur 1975.4.2.2 - Variation du diamètre 1985.4.2.3 - Recommandations sur la géométrie du dispo
sitif 1985.4.3 - Variation des émetteurs de chaleur 199
5.4.3.1 - Résultats 1995.4.3.2 - Augmentation du débit du fluide calopor-
teur 2005.4.4 - Répartition des résultats 200
5.4.4.1 - Résultats 2005.4.4.2 - Interprétation des résultats 201
5.4.5 - Conclusions sur L'étude des variantes 201
5.5 - CONCLUSION 202
CHAPITRE 6 - ASPECTS ECONOMIQUES
6.1 - EVALUATION DU COUT DU DISPOSITIF CORAIL 2096.1.1 - L'échangeur 2096.1.2 - L'installation reliant Le forage et la pompe à cha
leur 2136.1.3 - La pompe à chaleur 2156.1.4 - Installation de chauffage 2156.1.5 - L'énergie 217
6.2 - LE PROJET DE LANNION 2196.2.1 - Coût de La réalisation 2196.2.2 - Etude de faisabilité 222
6.3 - ECONOMIES REALISEES PAR LES DIFFERENTES VARIANTES ENVISAGEES 2256.3.1 - Remarques générales 2256.3.2 - Résultats des variantes envisagées 2316.3.3 - Choix de La pompe à chaleur utilisée 2316.3.4 - Dimensionnement de l'échangeur CORAIL 234
6.3.4.1 - Variation de la profondeur 2346.3.4.2 - Variation du diamètre 235
6.3.5 - Variation du système d'émission de La chaleur dansLes Locaux 235
6.3.6 - Répartition des besoins de chauffage dans le temps 236
6.4 - ELEMENTS DE COMPARAISON AVEC D'AUTRES SYSTEMES DE CHAUFFAGEPLUS TRADITIONNELS 2376.4.1 - Comparaison d'un point de vue énergétique 2376.4.2 - Comparaison d'un point de vue coût d'exploitation . 2396.4.3 - Eléments sur les possibilités d'aides financières . 242
6.5 - CONCLUSION 244
CHAPITRE 7 - CONCLUSIONS
CONCLUSIONS 249
ANNEXES
ANNEXE 1 - UNITES UTILISEES A2
ANNEXE 2 - PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS D' ECHANGEURS
ENTERRES A7
ANNEXE 3 - MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE A23
ANNEXE 4 - DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS DU CHAPITRE 3 A29
ANNEXE 5 - MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES A45
ANNEXE 6 - RESULTATS DES SIMULATIONS A67
BIBLIOGRAPHIE Bl
CHAPITRE 6 - ASPECTS ECONOMIQUES
6.1 - EVALUATION DU COUT DU DISPOSITIF CORAIL 2096.1.1 - L'échangeur 2096.1.2 - L'installation reliant Le forage et la pompe à cha
leur 2136.1.3 - La pompe à chaleur 2156.1.4 - Installation de chauffage 2156.1.5 - L'énergie 217
6.2 - LE PROJET DE LANNION 2196.2.1 - Coût de La réalisation 2196.2.2 - Etude de faisabilité 222
6.3 - ECONOMIES REALISEES PAR LES DIFFERENTES VARIANTES ENVISAGEES 2256.3.1 - Remarques générales 2256.3.2 - Résultats des variantes envisagées 2316.3.3 - Choix de La pompe à chaleur utilisée 2316.3.4 - Dimensionnement de l'échangeur CORAIL 234
6.3.4.1 - Variation de la profondeur 2346.3.4.2 - Variation du diamètre 235
6.3.5 - Variation du système d'émission de La chaleur dansLes Locaux 235
6.3.6 - Répartition des besoins de chauffage dans le temps 236
6.4 - ELEMENTS DE COMPARAISON AVEC D'AUTRES SYSTEMES DE CHAUFFAGEPLUS TRADITIONNELS 2376.4.1 - Comparaison d'un point de vue énergétique 2376.4.2 - Comparaison d'un point de vue coût d'exploitation . 2396.4.3 - Eléments sur les possibilités d'aides financières . 242
6.5 - CONCLUSION 244
CHAPITRE 7 - CONCLUSIONS
CONCLUSIONS 249
ANNEXES
ANNEXE 1 - UNITES UTILISEES A2
ANNEXE 2 - PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS D' ECHANGEURS
ENTERRES A7
ANNEXE 3 - MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE A23
ANNEXE 4 - DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS DU CHAPITRE 3 A29
ANNEXE 5 - MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES A45
ANNEXE 6 - RESULTATS DES SIMULATIONS A67
BIBLIOGRAPHIE Bl
LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX
CHAPITRE 1
FiquAZ T- 1 : EvoZutÁ,on¿ dzi vzntzi dz pompzi 3. chalzwi zntKz 7973 ei 7982{¿tatl&tlquzA UNKimA (Utzzi poA REGEE , 79«4,[7-7J). p. 10.
Tabtzaa 7-2 : EvohjutLon dz ta con&ormatÁon d'tnzfiQlz pnJÍMaih.z en Etuancz zntfiz7965 et 79«2 {d'apn.l¿ A.E .M.E. , 19S3 [l-4]].
EÁjOjuaz 7-3 ; Rzi,i>ouh.c(U> glothzMmÀjquzb ¿/tançcu^eA [d' apKÍ¿ BRGM zt GEOCHALEUR, 79«3,[7-S]). p. 76.
EZquAZ 7-4 : ExptoÂXation thzAmlquz dzi aqul^tfizi . 'DÁj>po¿'LtL{¡ du puAJtb unlqaz[d'apfiti AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77] ) .p. 20.
EÀjQjUAZ 7-5
E¿a¡u/LZ 1-6 ;
EiçtuAZ 7-7
Elqu/LZ 7 -g
: ExptoltatAjon thzJvmJiquz dzi aquU.{¡eAZi, . VoubZzt dz louages [d' aph.^AUSSEUR, SAifry, 7 9Í2, [7-7 7]). p. ÎQ.
'. ExptoÂXatJion thzArtúquz du aquJii^QJi. Stockagz pan. puit uyU.quz[d'apfiU AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-7 7]). p. 20.
: ExpZxiÁJjOitÁJOn thzJvmÂjquz dz¿ aquÁ,{^lA.zi> . VAJipoaitA-i du doublet oL
baíayagz {d'apKl¿ AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77]). p. 20.
: Exploitation thzAmlquz deó aqul^ínzí>. Vl6po¿ltl{, da doublet pultichaud,pulX¿ inolÁ {d'apfiU AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77]). p. 22.
ElguAZ 7-9 : Doublet pulti chaud, pult¿ ¿fiold ml& zn oewjKz S MontKZuÀZ[d'apfiU AUSSEIR, CAMPWCHl, SAUTV, 7983, [7-74]). p. 22.
ElguAZ 7-70 : Exploitation thenmlquz dz¿ aqul{¡^zc>. VnÁ.nclpz du dl¿po6ltl{¡hUÁjoglothemlqaz [d'ap/ili CORPíER, IRIS, 7982. [7-75]) . p. 22.
Tablzaa 7-7 7 ; TnvzntaÁAz dzi, pompea cL chaleuA atlZl&ant Iz &ot cormz 60un.cz{¡ficldz dan¿ quelques pay¿ occidentaux {d'apníí> VEVRETER,FEERAERT, [7-2]). p. 24.
ElojU/iz 7-7 2 ; Exploitation thznmlquz du ¿oui-¿ol. Schema dz pfilnclpz deó^changZÁjJu, znteAAti vzfitljcaux. p. 26.
LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX
CHAPITRE 1
FiquAZ T- 1 : EvoZutÁ,on¿ dzi vzntzi dz pompzi 3. chalzwi zntKz 7973 ei 7982{¿tatl&tlquzA UNKimA (Utzzi poA REGEE , 79«4,[7-7J). p. 10.
Tabtzaa 7-2 : EvohjutLon dz ta con&ormatÁon d'tnzfiQlz pnJÍMaih.z en Etuancz zntfiz7965 et 79«2 {d'apn.l¿ A.E .M.E. , 19S3 [l-4]].
EÁjOjuaz 7-3 ; Rzi,i>ouh.c(U> glothzMmÀjquzb ¿/tançcu^eA [d' apKÍ¿ BRGM zt GEOCHALEUR, 79«3,[7-S]). p. 76.
EZquAZ 7-4 : ExptoÂXation thzAmlquz dzi aqul^tfizi . 'DÁj>po¿'LtL{¡ du puAJtb unlqaz[d'apfiti AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77] ) .p. 20.
EÀjQjUAZ 7-5
E¿a¡u/LZ 1-6 ;
EiçtuAZ 7-7
Elqu/LZ 7 -g
: ExptoltatAjon thzJvmJiquz dzi aquU.{¡eAZi, . VoubZzt dz louages [d' aph.^AUSSEUR, SAifry, 7 9Í2, [7-7 7]). p. ÎQ.
'. ExptoÂXatJion thzArtúquz du aquJii^QJi. Stockagz pan. puit uyU.quz[d'apfiU AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-7 7]). p. 20.
: ExpZxiÁJjOitÁJOn thzJvmÂjquz dz¿ aquÁ,{^lA.zi> . VAJipoaitA-i du doublet oL
baíayagz {d'apKl¿ AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77]). p. 20.
: Exploitation thzAmlquz deó aqul^ínzí>. Vl6po¿ltl{, da doublet pultichaud,pulX¿ inolÁ {d'apfiU AUSSEUR, SAUTV, 7982, [7-77]). p. 22.
ElguAZ 7-9 : Doublet pulti chaud, pult¿ ¿fiold ml& zn oewjKz S MontKZuÀZ[d'apfiU AUSSEIR, CAMPWCHl, SAUTV, 7983, [7-74]). p. 22.
ElguAZ 7-70 : Exploitation thenmlquz dz¿ aqul{¡^zc>. VnÁ.nclpz du dl¿po6ltl{¡hUÁjoglothemlqaz [d'ap/ili CORPíER, IRIS, 7982. [7-75]) . p. 22.
Tablzaa 7-7 7 ; TnvzntaÁAz dzi, pompea cL chaleuA atlZl&ant Iz &ot cormz 60un.cz{¡ficldz dan¿ quelques pay¿ occidentaux {d'apníí> VEVRETER,FEERAERT, [7-2]). p. 24.
ElojU/iz 7-7 2 ; Exploitation thznmlquz du ¿oui-¿ol. Schema dz pfilnclpz deó^changZÁjJu, znteAAti vzfitljcaux. p. 26.
ElquAz 7-73 : Exploitation tJieAxnlquz du éou¿-6ol. PAlncÁpz dei ÎchangeuAèente/oiti vzAtlcaux : dl^poiltl{¡¿ en "íplnglz" ou zn "U". p. 28,
ElggfLZ 1-14 : Expío'Uatljon thzAmlquz du ¿oa¿-.&ol. PfUnclpz deó zchangzuAj)znteAAt& veAtlcaux : dlj)poAltl{¡ conczntAlquz. p. 28.
CHAPITRE 2
F^guAe 2-7
ElguJiz 2-2
ElguAZ 2-3
: Sdimadz phJjicljpe. du dl&poiltl^ CORAIL.(d'ap/Leó AfiS'SEUR, SAtfTV, coM. GRÍfW, JAV, 7983,13-2]'). p. 38.
: Stnuctwiz gíologlqaz du Moiil^ Anmofilcaln[d'apn.l¿ COGNE, 7974, [2-4]). p. 42.
: RÍ&uZtati dz la pfiOÁpejctlon dz ¿uA^acz zt hydJiogíologlquz6UA Iz &lZz du. RoóQueí â Ixunnlon [^ond topognaphlquz I6W,7/25 000 hnz {^zulZlz dz Lannion n" 1-2). p. 44.
Elgunz 2-4 : Plan dz ¿Ituatlon deó ^OAagzí dz fizconnal^iancz TI zt ¥2 di
l'ícolz du Ruiquzt [Lannion]. p. 46.
ElqufLZ 2-5 : Plan dz ma&¿z du bâtiment dz l'ícolz matznneZlz du Ríuqaet ?.
Lannion [d' apKia lz& donnízó deó 4>eA.vlcz6 tzchnlquzi municipauxdz Lannion, '['2-7]). p. 50.
Tablzau 2-6 : Pnopfilítti, the/tmlquzí, , [coefficient dz tAammliólon tkztmlquz)deó dli(¡ViznteJ> pantlzi dz l'ícolz [d'apfití, lz6 donne.zí, deó¿ztvlczi tzchnlquzí, manlxUpaux dz Lannion [2-7]). p. 52.
ElcjUAZ 2-7 : Schema ¿lmpLi{¡lí dz I' In&taLíatlon zxlitantz du chau{¡{¡agz dzl'tcolz matzAneZlz du Ru&quet à LAWWIOW [d'apfiíi lz¿ donnízi deóéZAvlczí, techniques municipaux dz Líinn¿on,[2-7]). p. 52.
CHAPITRE 3
Tablzau 3-1 : ValzufU dz conductivity thzAmlquz dz quzlquzó types dz noches[d'apn.l¿ CLARK, 1966, [3-6] ). p. 62.
¥lgun.z 3-2 : Vlspo&ÁJtli CORAIL : &ch^maXlí>aXÁ.on eí notatJjons adoptées, p. 66.
ElquAZ 3-3 : Dispositif, CORAIL domalnz dz résolution zt conditions aux ¿Imitesa - pfilsz en compte du gnadlznt géothzAmlquzb - tempVtatu/LZ unl^ofvmz ¿uA Iz domcUnz. p. 70.
ElquAz 7-73 : Exploitation tJieAxnlquz du éou¿-6ol. PAlncÁpz dei ÎchangeuAèente/oiti vzAtlcaux : dl^poiltl{¡¿ en "íplnglz" ou zn "U". p. 28,
ElggfLZ 1-14 : Expío'Uatljon thzAmlquz du ¿oa¿-.&ol. PfUnclpz deó zchangzuAj)znteAAt& veAtlcaux : dlj)poAltl{¡ conczntAlquz. p. 28.
CHAPITRE 2
F^guAe 2-7
ElguJiz 2-2
ElguAZ 2-3
: Sdimadz phJjicljpe. du dl&poiltl^ CORAIL.(d'ap/Leó AfiS'SEUR, SAtfTV, coM. GRÍfW, JAV, 7983,13-2]'). p. 38.
: Stnuctwiz gíologlqaz du Moiil^ Anmofilcaln[d'apn.l¿ COGNE, 7974, [2-4]). p. 42.
: RÍ&uZtati dz la pfiOÁpejctlon dz ¿uA^acz zt hydJiogíologlquz6UA Iz &lZz du. RoóQueí â Ixunnlon [^ond topognaphlquz I6W,7/25 000 hnz {^zulZlz dz Lannion n" 1-2). p. 44.
Elgunz 2-4 : Plan dz ¿Ituatlon deó ^OAagzí dz fizconnal^iancz TI zt ¥2 di
l'ícolz du Ruiquzt [Lannion]. p. 46.
ElqufLZ 2-5 : Plan dz ma&¿z du bâtiment dz l'ícolz matznneZlz du Ríuqaet ?.
Lannion [d' apKia lz& donnízó deó 4>eA.vlcz6 tzchnlquzi municipauxdz Lannion, '['2-7]). p. 50.
Tablzau 2-6 : Pnopfilítti, the/tmlquzí, , [coefficient dz tAammliólon tkztmlquz)deó dli(¡ViznteJ> pantlzi dz l'ícolz [d'apfití, lz6 donne.zí, deó¿ztvlczi tzchnlquzí, manlxUpaux dz Lannion [2-7]). p. 52.
ElcjUAZ 2-7 : Schema ¿lmpLi{¡lí dz I' In&taLíatlon zxlitantz du chau{¡{¡agz dzl'tcolz matzAneZlz du Ru&quet à LAWWIOW [d'apfiíi lz¿ donnízi deóéZAvlczí, techniques municipaux dz Líinn¿on,[2-7]). p. 52.
CHAPITRE 3
Tablzau 3-1 : ValzufU dz conductivity thzAmlquz dz quzlquzó types dz noches[d'apn.l¿ CLARK, 1966, [3-6] ). p. 62.
¥lgun.z 3-2 : Vlspo&ÁJtli CORAIL : &ch^maXlí>aXÁ.on eí notatJjons adoptées, p. 66.
ElquAZ 3-3 : Dispositif, CORAIL domalnz dz résolution zt conditions aux ¿Imitesa - pfilsz en compte du gnadlznt géothzAmlquzb - tempVtatu/LZ unl^ofvmz ¿uA Iz domcUnz. p. 70.
ElquAZ 3-4 : Exemple dz ionctlonnemznt du cllspo¿ltl{¡ ConxúJL à puissance voJilablz.(^ constant, A e voAlablz) : schématisation pan paltizns. p. SO.
EIquaz 3-5 : Fonc^tconnemení du dispositif CORAIL à puissance vanJuûdble[Q_constant, A e voAlable] : p'uncu.pe de supeAposlXÀJon. p. SO.
Elgune 3-6 : Dlsposltl{¡ CORAIL à puissance constante. Evolution de latempVuvùvie Kédulte [Qk] en {¡onctljon du temps n.édult [tn.] poundl{, {¡exentes valeuns du gnadlent géothermique nédult [G] poun.les dzux szns de clÂJcaJLatÀ.on du {¡ZulxLe dans l'échangeun[d'apnli AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAY, 7983, [3-2]). p. S4.
ElguAe 3-7 : Dispositif, CORAIL à puissance constante. Evolution de ¿ateijnpénatuAe Kedulte [Qn.] en fonction du temps nédult [tn] poun.dlffénentzs valeuns des panjomWies P canacténlstlquz deséchanges [d'apnls AUSSEUR, SAUTV, coU GRIMA, JAV, 7983, [3-2] ) .p. 86.
Elgunz 3-8 ; Modë£e numénlquz. Schématisation du domalnz dz résolution :malilagz zt notations utilisées, p. 927¿
F^uAe 3-9 : SlmuZatlon numénlque du comportement thenmlquz dz l'échangeun CORAIL.Elchlen des caracténlstlques du dJisposÀXlf. p. 98.
F^u/ie 3-70 : Dispositif CORAIL [température d' Inj ectlon constante].Comparaison de l' évolution au cours du temps de la températuKeen sortie d' echangeur obtznuz par Iz modë£e numénlquz et lasolution analytique dz RAMEY. p. 100.
Elxjurz 3-7 7 : Dispositif CORAIL zxploltatlon fl pu¿ó¿a.nce constante.Comparaison de V évolxtljon au cours du temps de la tzmpératunzzn sortlz d' echangeur [Bs] obtznuz pan solution analytlquz etmodUe numén^iue [d' apnts AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAV[ 3-2] ).p.7a2.
Elqure 3-72 Dlspos-ôtlf CORAIL : exploitation à tempzraturz d'inj'zctlonconstantz. Comparaison de V évolution de la. tempénjotune ensortlz d'échangzun [es] en fonction du temps réduit [tr] obtznuzpan. solution analytique et modile numénlque [echangeur CORAILunique, et dispositif de stockage] [d'apri& AUSSEUR, SAUTV,coU. GRIMA, JAV, 7983 [3-2] ). p. 70 2.
Elqune 3-7 3 : Dispositif CORAIL. Projet de LANMION. Evolution de la températureen sontle d' echangeur [Qs] la première année d' exploÂXatlon pourdifférents diamètres dz l'échangeur [0,1 et 0,2 m), p. ]04.
ElquAZ 3-4 : Exemple dz ionctlonnemznt du cllspo¿ltl{¡ ConxúJL à puissance voJilablz.(^ constant, A e voAlablz) : schématisation pan paltizns. p. SO.
EIquaz 3-5 : Fonc^tconnemení du dispositif CORAIL à puissance vanJuûdble[Q_constant, A e voAlable] : p'uncu.pe de supeAposlXÀJon. p. SO.
Elgune 3-6 : Dlsposltl{¡ CORAIL à puissance constante. Evolution de latempVuvùvie Kédulte [Qk] en {¡onctljon du temps n.édult [tn.] poundl{, {¡exentes valeuns du gnadlent géothermique nédult [G] poun.les dzux szns de clÂJcaJLatÀ.on du {¡ZulxLe dans l'échangeun[d'apnli AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAY, 7983, [3-2]). p. S4.
ElguAe 3-7 : Dispositif, CORAIL à puissance constante. Evolution de ¿ateijnpénatuAe Kedulte [Qn.] en fonction du temps nédult [tn] poun.dlffénentzs valeuns des panjomWies P canacténlstlquz deséchanges [d'apnls AUSSEUR, SAUTV, coU GRIMA, JAV, 7983, [3-2] ) .p. 86.
Elgunz 3-8 ; Modë£e numénlquz. Schématisation du domalnz dz résolution :malilagz zt notations utilisées, p. 927¿
F^uAe 3-9 : SlmuZatlon numénlque du comportement thenmlquz dz l'échangeun CORAIL.Elchlen des caracténlstlques du dJisposÀXlf. p. 98.
F^u/ie 3-70 : Dispositif CORAIL [température d' Inj ectlon constante].Comparaison de l' évolution au cours du temps de la températuKeen sortie d' echangeur obtznuz par Iz modë£e numénlquz et lasolution analytique dz RAMEY. p. 100.
Elxjurz 3-7 7 : Dispositif CORAIL zxploltatlon fl pu¿ó¿a.nce constante.Comparaison de V évolxtljon au cours du temps de la tzmpératunzzn sortlz d' echangeur [Bs] obtznuz pan solution analytlquz etmodUe numén^iue [d' apnts AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAV[ 3-2] ).p.7a2.
Elqure 3-72 Dlspos-ôtlf CORAIL : exploitation à tempzraturz d'inj'zctlonconstantz. Comparaison de V évolution de la. tempénjotune ensortlz d'échangzun [es] en fonction du temps réduit [tr] obtznuzpan. solution analytique et modile numénlque [echangeur CORAILunique, et dispositif de stockage] [d'apri& AUSSEUR, SAUTV,coU. GRIMA, JAV, 7983 [3-2] ). p. 70 2.
Elqune 3-7 3 : Dispositif CORAIL. Projet de LANMION. Evolution de la températureen sontle d' echangeur [Qs] la première année d' exploÂXatlon pourdifférents diamètres dz l'échangeur [0,1 et 0,2 m), p. ]04.
Vlgunz 3-14 : Dispositif CORAIL. Projet dz Lannion. Evolution dz la températureen sortlz d' echangeur [Qs] la premise année d' exploitationpour différentes profondeurs (75, 700, 750 m), p. ]06.
Elgure 3-15 : Dispositif CORAIL. Projet de LAMMIOW. Evolution de la tempénxituneen sortie d' echangeur [Qs] la premiere année d' exploitationpoun différentes puissances prélevées, p. 106.
Figure 3-76 ; Dispositif CORAIL. Projet dz Lannion. Simulation dz trois annéesd'exploitation : évolution de la température zn sortlzd'échangzun [Qs] . p. IOS.
Elgurz 3-77 : Dispositif CORAIL. Projet dz LANNION. Simulation "d'unz semalnztypz" : évolution dz la températurz zn sortlz d' echangeur. p. IOS.
Elgurz 3-1 S : Dispositif CORAIL. Projzt dz LANNION. Evolution dz la températureen sortlz d'échangzun : semalnz typz rzplacéz durant la premièreannée d' exploitation, p. lOê.
Figure 3-79 : Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Evolution de la températureen sortlz d'échangzun [Qs] durant la premlèrz saison dzchauffage pour un fonctÁ-onnement à puissance vanlAble [besoinsdiscontinus de chauffage]
- a - tracé cartésien- b - tracé seml-loganlthmlque.
H'aprls AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAY, 7983, [3-2] .p. 7 7 0.
Tableau 3-20 Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Tempznaturz zn sortlzd' echangeur [Q ] obtenue en fin de la première saison dechauffage pour les différents dispositifs envisagés, p. 114.
CHAPITRE 4
Figure
Figure
Figure
Figure
4-
4-
4-
4-
-7
-2
-3
4
Cycle de Carnot d'un gaz parfait [d'après ANNEQUIN etBOUTIGNV, 7976, [4-70]). p. 122.
Schéma dz principe des pompes a chaleur, p.] 26.
Schéma du cycZz dz compression mis zn oeuvre dans les pompesà chaleur à compression [d'après BERNIER, 7979, [4-7] ). p. 726.
Evolution du COP thzonlque des sources d'une machine Idéaleet d'une machine réelle en fonction de la températurz dessources froldz ei chaude [d'après DUMINIL, 19Î0, [4-4'[ ). p.j2i
Vlgunz 3-14 : Dispositif CORAIL. Projet dz Lannion. Evolution dz la températureen sortlz d' echangeur [Qs] la premise année d' exploitationpour différentes profondeurs (75, 700, 750 m), p. ]06.
Elgure 3-15 : Dispositif CORAIL. Projet de LAMMIOW. Evolution de la tempénxituneen sortie d' echangeur [Qs] la premiere année d' exploitationpoun différentes puissances prélevées, p. 106.
Figure 3-76 ; Dispositif CORAIL. Projet dz Lannion. Simulation dz trois annéesd'exploitation : évolution de la température zn sortlzd'échangzun [Qs] . p. IOS.
Elgurz 3-77 : Dispositif CORAIL. Projet dz LANNION. Simulation "d'unz semalnztypz" : évolution dz la températurz zn sortlz d' echangeur. p. IOS.
Elgurz 3-1 S : Dispositif CORAIL. Projzt dz LANNION. Evolution dz la températureen sortlz d'échangzun : semalnz typz rzplacéz durant la premièreannée d' exploitation, p. lOê.
Figure 3-79 : Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Evolution de la températureen sortlz d'échangzun [Qs] durant la premlèrz saison dzchauffage pour un fonctÁ-onnement à puissance vanlAble [besoinsdiscontinus de chauffage]
- a - tracé cartésien- b - tracé seml-loganlthmlque.
H'aprls AUSSEUR, SAUTV, coU. GRIMA, JAY, 7983, [3-2] .p. 7 7 0.
Tableau 3-20 Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Tempznaturz zn sortlzd' echangeur [Q ] obtenue en fin de la première saison dechauffage pour les différents dispositifs envisagés, p. 114.
CHAPITRE 4
Figure
Figure
Figure
Figure
4-
4-
4-
4-
-7
-2
-3
4
Cycle de Carnot d'un gaz parfait [d'après ANNEQUIN etBOUTIGNV, 7976, [4-70]). p. 122.
Schéma dz principe des pompes a chaleur, p.] 26.
Schéma du cycZz dz compression mis zn oeuvre dans les pompesà chaleur à compression [d'après BERNIER, 7979, [4-7] ). p. 726.
Evolution du COP thzonlque des sources d'une machine Idéaleet d'une machine réelle en fonction de la températurz dessources froldz ei chaude [d'après DUMINIL, 19Î0, [4-4'[ ). p.j2i
Flgurz 4-5
Flgurz 4-6
Tableau 4-7
Flgurz 4-S
Flgurz 4-9
Tableau 1-10
Flgurz 4-11
Flgurz 4-72
Figure 4-73
Tablzau 4-14
Flgurz 4-75
Tablzau 4-16
Flgunz 4-1 J
Flgurz 4-1 î,
:
«
»
EvoùitÀjon du COP pour différents types dz source chaude[d'après OCDE, 7983, [4-3]). p. 730.
Comparaison du devznlr énzrgétlquz dans un systèmz dz chauffagepar combustion zt dans unz pompz à chaleur [d'après P.A.C.R.A.,[4-8]). p. 732.
Utilisation des différents types de pompes â chaleur zn fonctiondz la nature des sources dz ckalzur. p. J34.
Cartz des tzmpératures zxtzrlzures dz base en France [extraitde BERNIER, 7979, [4-7]). p. 738.
Déperditions thermiques, besoins utiles, zX. apponts gratuitsen fonction de la température extérieure, p. 142.
Valeur du coefficient de déperditions volumiques [pour différentstypes de bâtiments] [d'après le décret n' 82-269 du 24 mars 7982,[4-78]i). p. 744.
Economie réaUisée sur la consormatÀjon de chauffage zn cas d'inter-mlttzncz dz czlul-cl zn fonction dz l'inertlz des bâtlmznts[d'après BERNIER, 7979, [4-7]). p. 748.
Circuit de distribution de la chaleur : évolution de la températuredu flulde caloporteur en fonction de la température extérlzurz["loi des corps dz chauffz"]. p. 150.
Ordrz dz grandeur des températures du circuit de chauffagz pourdifférents émettzuns [sourcz [4-7 ], [4-9] ,[4-7 7] ).p. 7 50.
Fréquence probable des températures et degrés -jours probablesà Brest [d'après un document AMPERE, 7983, [4-79] ). p. 752.
"Courbe monotone" [fre.que.nce cumulée) des tempénatunes extérieuresà Brest [tracée d'après les données AMPERE, 7983, [4-79] ) .p. 754.
Déperdltlonsthenmiques dz l'école du Rusquzt à LANNION calculéespar. les équations [4-27] et[4-22 \t estimées par les servicestzchnlquzs municipaux. [4-27] [4-22]. p. 754.
Puissance des déperditions thermiques et des besoins utiles pourl'école du RusqueX. à LANNION en fonction de la températureextérieure, p. 7 56.Détermination de la puissance de la pompe à chaleur à partir dz lacounbz monotone des températures zxtérlzurzs. p. 7 58.
Flgurz 4-5
Flgurz 4-6
Tableau 4-7
Flgurz 4-S
Flgurz 4-9
Tableau 1-10
Flgurz 4-11
Flgurz 4-72
Figure 4-73
Tablzau 4-14
Flgurz 4-75
Tablzau 4-16
Flgunz 4-1 J
Flgurz 4-1 î,
:
«
»
EvoùitÀjon du COP pour différents types dz source chaude[d'après OCDE, 7983, [4-3]). p. 730.
Comparaison du devznlr énzrgétlquz dans un systèmz dz chauffagepar combustion zt dans unz pompz à chaleur [d'après P.A.C.R.A.,[4-8]). p. 732.
Utilisation des différents types de pompes â chaleur zn fonctiondz la nature des sources dz ckalzur. p. J34.
Cartz des tzmpératures zxtzrlzures dz base en France [extraitde BERNIER, 7979, [4-7]). p. 738.
Déperditions thermiques, besoins utiles, zX. apponts gratuitsen fonction de la température extérieure, p. 142.
Valeur du coefficient de déperditions volumiques [pour différentstypes de bâtiments] [d'après le décret n' 82-269 du 24 mars 7982,[4-78]i). p. 744.
Economie réaUisée sur la consormatÀjon de chauffage zn cas d'inter-mlttzncz dz czlul-cl zn fonction dz l'inertlz des bâtlmznts[d'après BERNIER, 7979, [4-7]). p. 748.
Circuit de distribution de la chaleur : évolution de la températuredu flulde caloporteur en fonction de la température extérlzurz["loi des corps dz chauffz"]. p. 150.
Ordrz dz grandeur des températures du circuit de chauffagz pourdifférents émettzuns [sourcz [4-7 ], [4-9] ,[4-7 7] ).p. 7 50.
Fréquence probable des températures et degrés -jours probablesà Brest [d'après un document AMPERE, 7983, [4-79] ). p. 752.
"Courbe monotone" [fre.que.nce cumulée) des tempénatunes extérieuresà Brest [tracée d'après les données AMPERE, 7983, [4-79] ) .p. 754.
Déperdltlonsthenmiques dz l'école du Rusquzt à LANNION calculéespar. les équations [4-27] et[4-22 \t estimées par les servicestzchnlquzs municipaux. [4-27] [4-22]. p. 754.
Puissance des déperditions thermiques et des besoins utiles pourl'école du RusqueX. à LANNION en fonction de la températureextérieure, p. 7 56.Détermination de la puissance de la pompe à chaleur à partir dz lacounbz monotone des températures zxtérlzurzs. p. 7 58.
CHAPITRE 5
Flgunz 5-7 ; Schéma dz l'Installation globalz znvlsagéz à l'écolz matzmzllzdu Rusquet à. Lannion. p. 166.
Flgurz 5-2 : Variation dz la puissance de. la pompe à chaleur [CIAT série TBBn" 35] en fonction des températures d'zntrzz à l' évaponatzur ztdz sortlz du condenseur [tracez d'après les données du construc¬teur, 4-73 ). p. 770.
: Schématisation du fonctionnement de la pompe à chaleur. 7983. p. 7 7?.
: KUan thermique de l'Installation dans son ensemble : reJlatlonsentre les unités élémentaires, p. 174.
: M¿óe en oeuvre des logiciels pour réaliser le bilan thermique del'Installation globale, p. 7 76.
: Organlgnamme du programme BILAN, p. 17 S.
: Organigramme du sous-prognamme THERM, p. 7 78.
: Validation du logiciel BILAN dans un cas simple :
a - caractéristiques du projet, envisagéb - bilan énzrgétlquz du projzt znvlsagé . p. 7 82.
: Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHE
a - canactérlstlquzs du projetb - bilan énzrgétlquz du projzt1 ; résultats du logiciel BILAN2 : résultats du logiciel BTPAC3 : résultats du logiciel PERCHE. p. 186.
Figure 5-10 : Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHE
a - évolution des températures du circuit de chauffage enfonction dz la tzmpératunz extérieure
b - évolution des besoins de la puissance fournie par lapompz à chalzur (PPAC) ei de czllz prélevée sur la sourcefroide (PESF) en fonction de la température extérlzurz.
1 : loglclzl BILAN2 : logiciel BTPAC
3 : logiciel PERCHE. p. 7 86.
F^uAe 5-7 7 : Bilan énergétique de l' Installation globale de "référence" :données météorologiques utilisées, p. 188.
Figure 5-3
Figure 5-4
Figure 5-5
Figure 5-6
Fioure 5-7
Tableau 5-8
Figure 5-9
CHAPITRE 5
Flgunz 5-7 ; Schéma dz l'Installation globalz znvlsagéz à l'écolz matzmzllzdu Rusquet à. Lannion. p. 166.
Flgurz 5-2 : Variation dz la puissance de. la pompe à chaleur [CIAT série TBBn" 35] en fonction des températures d'zntrzz à l' évaponatzur ztdz sortlz du condenseur [tracez d'après les données du construc¬teur, 4-73 ). p. 770.
: Schématisation du fonctionnement de la pompe à chaleur. 7983. p. 7 7?.
: KUan thermique de l'Installation dans son ensemble : reJlatlonsentre les unités élémentaires, p. 174.
: M¿óe en oeuvre des logiciels pour réaliser le bilan thermique del'Installation globale, p. 7 76.
: Organlgnamme du programme BILAN, p. 17 S.
: Organigramme du sous-prognamme THERM, p. 7 78.
: Validation du logiciel BILAN dans un cas simple :
a - caractéristiques du projet, envisagéb - bilan énzrgétlquz du projzt znvlsagé . p. 7 82.
: Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHE
a - canactérlstlquzs du projetb - bilan énzrgétlquz du projzt1 ; résultats du logiciel BILAN2 : résultats du logiciel BTPAC3 : résultats du logiciel PERCHE. p. 186.
Figure 5-10 : Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHE
a - évolution des températures du circuit de chauffage enfonction dz la tzmpératunz extérieure
b - évolution des besoins de la puissance fournie par lapompz à chalzur (PPAC) ei de czllz prélevée sur la sourcefroide (PESF) en fonction de la température extérlzurz.
1 : loglclzl BILAN2 : logiciel BTPAC
3 : logiciel PERCHE. p. 7 86.
F^uAe 5-7 7 : Bilan énergétique de l' Installation globale de "référence" :données météorologiques utilisées, p. 188.
Figure 5-3
Figure 5-4
Figure 5-5
Figure 5-6
Fioure 5-7
Tableau 5-8
Figure 5-9
Tableau 5-7 2
Tableau 5-73
Tableau 5-14
Tableau 5-75
Tableau 5-16
Figure 5-7 7
Figure 5-18
Figure 5-79
Tableau 5-20
Tableau 5-2 7
CHAPITRE 6 -
Tableau 6-1
Figure 6-2
Tableau 6-3
Tableau 6-4
Bilan énergétique de V Installation globale "de référence" ;fichier des caractéristiques de la pompe â chaleur (CIATTTB 35). p.788
BlÂan énergétique de V Installation globale "de référence" :
fichier des caractéristiques de l'échangeun CORAIL. (CORAIC). p. 7£-8.
Bilan énergétique de l'Installation globale "de référence" :fichier des caractéristiques du circuit de chauffage (CORAIC). p.l 88.
Bilan énergétique de l' Installation globale "de référence" :
fichier des caractéristiques du projet, p. 190.
Bilan énergétique de l'Installation globale "de référence" :
flchlzr des njésultats. p. 190.
Bilan de l'Installation globale "de référence" : évolution desbesoins ; dz la puissance fournie par la pompe 5. chaleur(PPAC) et de la puissance prélevée par l'échangeur [PESF] au coursde ¿a saison de chauffage, p.l 90.
Evolution de la température en sontle d' echangeur [TGTH] au coursde la saison de chauffage [projet de référence), p. 192.
Evolution de la température de rejet (TREJET en sontle d' évapo¬rateur de la pompe à chaleur] au cours de la saison de chauf¬fage [projet dereference], p. 792.
Bilan énergétique du projet dit de "référence" avec 0 = 0 minIcalculé par l'équation 3-74). p. 792.
Résultats des différentes variantes simulées par Iz programmzBILAN, p. 794.
Dzvls des forages [technique manteau fond dz trou] [coût H.T.]{Société FORAFRANCE - juin 7983). p. 208.
Coôf de fonatlon du mètne [H.T . en fonction du diamètre foré.[données Société FORAFRANCE. juin 7983). p. 208.
Evolution du coût [H.T.] de fonatlon en fonction de la profondeurpour différents diamètres dz forage [données société FORAFRANCE -juin 7 983). p. 208.
Coûts [H.T.] des tubes rigides d'évacuation en PVC [donnéesPlastique Industriel du Centre], p. 270.
Tableau 5-7 2
Tableau 5-73
Tableau 5-14
Tableau 5-75
Tableau 5-16
Figure 5-7 7
Figure 5-18
Figure 5-79
Tableau 5-20
Tableau 5-2 7
CHAPITRE 6 -
Tableau 6-1
Figure 6-2
Tableau 6-3
Tableau 6-4
Bilan énergétique de V Installation globale "de référence" ;fichier des caractéristiques de la pompe â chaleur (CIATTTB 35). p.788
BlÂan énergétique de V Installation globale "de référence" :
fichier des caractéristiques de l'échangeun CORAIL. (CORAIC). p. 7£-8.
Bilan énergétique de l'Installation globale "de référence" :fichier des caractéristiques du circuit de chauffage (CORAIC). p.l 88.
Bilan énergétique de l' Installation globale "de référence" :
fichier des caractéristiques du projet, p. 190.
Bilan énergétique de l'Installation globale "de référence" :
flchlzr des njésultats. p. 190.
Bilan de l'Installation globale "de référence" : évolution desbesoins ; dz la puissance fournie par la pompe 5. chaleur(PPAC) et de la puissance prélevée par l'échangeur [PESF] au coursde ¿a saison de chauffage, p.l 90.
Evolution de la température en sontle d' echangeur [TGTH] au coursde la saison de chauffage [projet de référence), p. 192.
Evolution de la température de rejet (TREJET en sontle d' évapo¬rateur de la pompe à chaleur] au cours de la saison de chauf¬fage [projet dereference], p. 792.
Bilan énergétique du projet dit de "référence" avec 0 = 0 minIcalculé par l'équation 3-74). p. 792.
Résultats des différentes variantes simulées par Iz programmzBILAN, p. 794.
Dzvls des forages [technique manteau fond dz trou] [coût H.T.]{Société FORAFRANCE - juin 7983). p. 208.
Coôf de fonatlon du mètne [H.T . en fonction du diamètre foré.[données Société FORAFRANCE. juin 7983). p. 208.
Evolution du coût [H.T.] de fonatlon en fonction de la profondeurpour différents diamètres dz forage [données société FORAFRANCE -juin 7 983). p. 208.
Coûts [H.T.] des tubes rigides d'évacuation en PVC [donnéesPlastique Industriel du Centre], p. 270.
Tableau 6-5 : Coût [H. T.] des tubes d'adduction en PVC [données HURSIN-CMPO). p.27 0.
Tableau 6-6 : Coût [H.T. ] des pompzs à chalzur EAU/EAU CIAT sérlz TBB et TK[donnézs CIAT octobrz 7983) [H.T.]. p. 214.
Tableau 6-7 : Evolution du coût [H.T.] des pompes à. chaleur CIAT zn fonctionde leur puissance [données CIAT - octobre 7983). p. 214.
Figure 6-8 : Evolution du prix des énergies pour le secteur domestique de7973 a 1981 : [Indices INSEE à monnaie constante, base 100en 7973). [d'après E.D.F. [6-]). p.276.
Tableau 6-9 ; Tableau récapitulatif dz l'évolution du coût des énergies[en francs courants] [source AFME, EDF, GDF, Annales des Mines] .p. 216.
Flgune 6-10 : Prix de l'énergie domestique T. T.C. [maison Individuelle] enrégion parisienne [Versailles] au 75 avnlZ 7983 [donnéesEnergie Plus 16-1 ]) . p. 276.
Tableau 6-11 : Résultats économiques des différentes variantes envisagées, p. 220.
Figure 6-12
Figure 6-13
Tableau 6-14
Tableau 6-15
Tableau 6-16
Flgune 6-77
Tableau 6-18
: ReprJy>entatijon schématique du bilan énergétique de l' installation.
: Projet CORAIL. Evolution du coût moyen du kwh en fonction desparts relatives des combustibles suivant les valeurs relatives :
- du rendement de chauffage d'appoint [R]- du coût du kítíh PCI du combustible d'appoint (CA)- du coût du kwh électrique [CE] . p. 226.
: Résultats économiques des différentes vanlantzs. p. 230.
: Comparaison de la consomnation en énergie pnlmalre de différentssystèmes de chauffage, p. 238.
; Comparaison du coût d' exploitation de différents systèmes dechauffage [coût Avril 7983). p. 238.
; Cotlt da \mh thermique produit pan pompe à chaleun en fonction dunombre d'heures d'utilisation [d'après JAUVIN, 7985, [6-1]. p. 240.
: COP minimum assurant la compétitivité du dispositif CORAILen coût d'exploitation avec différents systèmes de chauffage, p. 240.
Tableau 6-5 : Coût [H. T.] des tubes d'adduction en PVC [données HURSIN-CMPO). p.27 0.
Tableau 6-6 : Coût [H.T. ] des pompzs à chalzur EAU/EAU CIAT sérlz TBB et TK[donnézs CIAT octobrz 7983) [H.T.]. p. 214.
Tableau 6-7 : Evolution du coût [H.T.] des pompes à. chaleur CIAT zn fonctionde leur puissance [données CIAT - octobre 7983). p. 214.
Figure 6-8 : Evolution du prix des énergies pour le secteur domestique de7973 a 1981 : [Indices INSEE à monnaie constante, base 100en 7973). [d'après E.D.F. [6-]). p.276.
Tableau 6-9 ; Tableau récapitulatif dz l'évolution du coût des énergies[en francs courants] [source AFME, EDF, GDF, Annales des Mines] .p. 216.
Flgune 6-10 : Prix de l'énergie domestique T. T.C. [maison Individuelle] enrégion parisienne [Versailles] au 75 avnlZ 7983 [donnéesEnergie Plus 16-1 ]) . p. 276.
Tableau 6-11 : Résultats économiques des différentes variantes envisagées, p. 220.
Figure 6-12
Figure 6-13
Tableau 6-14
Tableau 6-15
Tableau 6-16
Flgune 6-77
Tableau 6-18
: ReprJy>entatijon schématique du bilan énergétique de l' installation.
: Projet CORAIL. Evolution du coût moyen du kwh en fonction desparts relatives des combustibles suivant les valeurs relatives :
- du rendement de chauffage d'appoint [R]- du coût du kítíh PCI du combustible d'appoint (CA)- du coût du kwh électrique [CE] . p. 226.
: Résultats économiques des différentes vanlantzs. p. 230.
: Comparaison de la consomnation en énergie pnlmalre de différentssystèmes de chauffage, p. 238.
; Comparaison du coût d' exploitation de différents systèmes dechauffage [coût Avril 7983). p. 238.
; Cotlt da \mh thermique produit pan pompe à chaleun en fonction dunombre d'heures d'utilisation [d'après JAUVIN, 7985, [6-1]. p. 240.
: COP minimum assurant la compétitivité du dispositif CORAILen coût d'exploitation avec différents systèmes de chauffage, p. 240.
1 -
NOMENCLATURE
Symbole Signification Unité Dimension
A
div
Apports gratuits
divergence (scalaire) :
-coordonnées cartésiennes
div X = 1^ + %^+-!^^0 X oy Oz
-coordonnées cylindriques
div X = -5-^- -I- 0(-= '-)Oz r Qt
ML^
1 axg
DEB
DJT
diffusivité thermique de la roche
° - \'^t,débit du fluide caloporteur dans
le circuit de chauffage
degré-jour pour la température
extérieure de référence T
m^ s"i
m' h"i
°C.j
L^-i
L'T'i
TK
déperditions thermiques parles parois
ML^'
déperditions thermiques liées aurenouvellement d'air
W ML'T
épaisseur du tube central
exp
E
exponentielle
fonction exponentielle intégrale
dt'^ ^'^=X*-^
g
grad
gradient géothermique
gradient (vecteur) :
-en coordonnées cartésiennes :
-en coordonnées cyclindriques :
Km L~^K
1 -
NOMENCLATURE
Symbole Signification Unité Dimension
A
div
Apports gratuits
divergence (scalaire) :
-coordonnées cartésiennes
div X = 1^ + %^+-!^^0 X oy Oz
-coordonnées cylindriques
div X = -5-^- -I- 0(-= '-)Oz r Qt
ML^
1 axg
DEB
DJT
diffusivité thermique de la roche
° - \'^t,débit du fluide caloporteur dans
le circuit de chauffage
degré-jour pour la température
extérieure de référence T
m^ s"i
m' h"i
°C.j
L^-i
L'T'i
TK
déperditions thermiques parles parois
ML^'
déperditions thermiques liées aurenouvellement d'air
W ML'T
épaisseur du tube central
exp
E
exponentielle
fonction exponentielle intégrale
dt'^ ^'^=X*-^
g
grad
gradient géothermique
gradient (vecteur) :
-en coordonnées cartésiennes :
-en coordonnées cyclindriques :
Km L~^K
2 -
gradient géothermique réduit -groupement adimensionnel-pour unfonctionnement à puissance constanteG = gh/Ae (éq. (3.42))
sans sans
gradient géothermique réduit -groupement adimensionnel-pour unfonctionnement à température constanteG' = gh/(ei -Go) (éq. Cî.5 4))
sans sans
coefficient de déperditions volumiquesdes locaux
~3or~lWm '°C ml'^t 'k"'
h
K
hauteur de l'échangeur
défini par l'équation (3.29)4TX/Q7p
ln(4Dt/r^) - fK =
m
^P
Lu
coefficient de transmission thermiquede la paroi
fonction logarithme népérien
Wm~'K'' MT 'K3I/-1
groupement adimensionnel caracté¬ristique des échanges (équation 0.41))P = Q7^/(4irXph)
sans sans
puissance de chauffage nécessaire( = besoins)
ML = T
MAXdéperditions thermiques maximalesdes locaux
M Mtn
PACpuissance de la pompe à chaleur ML'T
Q
Q
débit instantané du fluide calopor¬teur dans l'échangeur
débit fictif moyen continu du fluidecaloporteur dans l'échangeur
3t,-im'h
m'h"^
3T-1L'y
3T-1L'T
Q ail débit d'air renouvelé dans les locaux m^h"' L'T~i
2 -
gradient géothermique réduit -groupement adimensionnel-pour unfonctionnement à puissance constanteG = gh/Ae (éq. (3.42))
sans sans
gradient géothermique réduit -groupement adimensionnel-pour unfonctionnement à température constanteG' = gh/(ei -Go) (éq. Cî.5 4))
sans sans
coefficient de déperditions volumiquesdes locaux
~3or~lWm '°C ml'^t 'k"'
h
K
hauteur de l'échangeur
défini par l'équation (3.29)4TX/Q7p
ln(4Dt/r^) - fK =
m
^P
Lu
coefficient de transmission thermiquede la paroi
fonction logarithme népérien
Wm~'K'' MT 'K3I/-1
groupement adimensionnel caracté¬ristique des échanges (équation 0.41))P = Q7^/(4irXph)
sans sans
puissance de chauffage nécessaire( = besoins)
ML = T
MAXdéperditions thermiques maximalesdes locaux
M Mtn
PACpuissance de la pompe à chaleur ML'T
Q
Q
débit instantané du fluide calopor¬teur dans l'échangeur
débit fictif moyen continu du fluidecaloporteur dans l'échangeur
3t,-im'h
m'h"^
3T-1L'y
3T-1L'T
Q ail débit d'air renouvelé dans les locaux m^h"' L'T~i
- 3 -
distance à l'axe de l'échangeur
rayon de l'échangeur
rayon du tubage central
section de l'annulaire
section du tube central
temps depuis le début de la mise enexploitation du dispositif (varia¬ble indépendante)
date du début du ième palier (fonc¬tionnement à puissance variable)
m
m
m
m^
m^
s
L
L
L
L^
L'
T
temps réduit, groupement adimen¬sionnel défini par l'équation(3.39)
t^ = 4Dt/ro=
début de palier réduit (fonction¬nement à puissance variable) groupe¬ment adimensionnel défini par l'équa¬tion (5.50): t = 4Dt ./r '
sans
sans
sans
sans
température de base
température de consigne
°C K
K
température de départ du fluidecaloporteur dans le circuit dechauffage
ne
température de départ pour latempérature de base
température à l'extérieur deslocaux
température à l'intérieur deslocaux
température de non chauffage
°C
K
K
température de retour du fluide calo¬porteur dans le circuit de chauffage
température de retour pour la tempé¬rature de base
- 3 -
distance à l'axe de l'échangeur
rayon de l'échangeur
rayon du tubage central
section de l'annulaire
section du tube central
temps depuis le début de la mise enexploitation du dispositif (varia¬ble indépendante)
date du début du ième palier (fonc¬tionnement à puissance variable)
m
m
m
m^
m^
s
L
L
L
L^
L'
T
temps réduit, groupement adimen¬sionnel défini par l'équation(3.39)
t^ = 4Dt/ro=
début de palier réduit (fonction¬nement à puissance variable) groupe¬ment adimensionnel défini par l'équa¬tion (5.50): t = 4Dt ./r '
sans
sans
sans
sans
température de base
température de consigne
°C K
K
température de départ du fluidecaloporteur dans le circuit dechauffage
ne
température de départ pour latempérature de base
température à l'extérieur deslocaux
température à l'intérieur deslocaux
température de non chauffage
°C
K
K
température de retour du fluide calo¬porteur dans le circuit de chauffage
température de retour pour la tempé¬rature de base
- 4
vitesse du fluide caloporteur dansl'échangeur
volume habitable des locaux
ms LT"^
profondeur sous la surface du sol(variable indépendante)
groupement adimensionnel défini parl'équation (3.44) : ZrP.E(l/t^)
sans sans
Z. groupement adimensionnel défini parl'équation (3.52):pour un fonction¬nement à puissance variable
sans sans
capacité calorifique
y. du fluide caloporteur dansl'espace annulaire
y . de l'airair
y du fluide caloporteur dans l'espacecentral de l'échangeur
Tp du fluide dans l'échangeur
Xp du fluide caloporteur dans lecircuit de chauffage
TL dans la roche
Jm 'K ML"'T"'K'
r
d
nombre d'Euler
signe de dérivation partielle
sans sans
A
A6
signe d'écart
écart de température prélevé parla pompe à chaleur
ABi
A8m
écart de température prélevé par lapompe à chaleur durant le ième palier(fonctionnement à puissance variable)
pertes thermiques entre l'espacecentral et l'annulaire
°C
AOri
écart thermique réduit défini parl'équation (5 '4^ pour le fonctionne¬ment à puissance variable:AB ri = (A^i - àBy_i)/Ae
sans sans
- 4
vitesse du fluide caloporteur dansl'échangeur
volume habitable des locaux
ms LT"^
profondeur sous la surface du sol(variable indépendante)
groupement adimensionnel défini parl'équation (3.44) : ZrP.E(l/t^)
sans sans
Z. groupement adimensionnel défini parl'équation (3.52):pour un fonction¬nement à puissance variable
sans sans
capacité calorifique
y. du fluide caloporteur dansl'espace annulaire
y . de l'airair
y du fluide caloporteur dans l'espacecentral de l'échangeur
Tp du fluide dans l'échangeur
Xp du fluide caloporteur dans lecircuit de chauffage
TL dans la roche
Jm 'K ML"'T"'K'
r
d
nombre d'Euler
signe de dérivation partielle
sans sans
A
A6
signe d'écart
écart de température prélevé parla pompe à chaleur
ABi
A8m
écart de température prélevé par lapompe à chaleur durant le ième palier(fonctionnement à puissance variable)
pertes thermiques entre l'espacecentral et l'annulaire
°C
AOri
écart thermique réduit défini parl'équation (5 '4^ pour le fonctionne¬ment à puissance variable:AB ri = (A^i - àBy_i)/Ae
sans sans
5 -
température (variable indépendante)
température au niveau du sol
°C
°C
K
K
température du fluide caloporteurdans l'annulaire
°C
température du fluide caloporteurdans le tube central
température du fluide caloporteurdans l'échangeur
température d'injection du fluidecaloporteur dans l'échangeur
température réduite du fluide calo¬porteur en sortie d' echangeur, grou¬pement adimensionnel, exploitationà puissance constante, défini par.l'équation (3.4O):0_ = (^g -6» - |^)/a^
sans sans
el température réduite du fluide calo¬porteur en sortie d' echangeur, grou¬pement adimensionnel, exploitationà température constante, déf ini parl'équation (3.53):^' = j^fo
sans sans
température du fluide caloporteur ensortie d' echangeur
conductivité thermique
A du fluide caloporteur dans l'échan¬geur
A du fluide caloporteur dans lecircuit de chauffage
A_ de l'encaissantX du tubage interne
Wm ~\'^ MLT"'K"'
TT
I
->
constante mathématique w ca3,14 16
signe de sommation
flux de chaleur
^ à la limite échangeur-encaissant
<Pr géothermique
sans
Um
sans
MT
5 -
température (variable indépendante)
température au niveau du sol
°C
°C
K
K
température du fluide caloporteurdans l'annulaire
°C
température du fluide caloporteurdans le tube central
température du fluide caloporteurdans l'échangeur
température d'injection du fluidecaloporteur dans l'échangeur
température réduite du fluide calo¬porteur en sortie d' echangeur, grou¬pement adimensionnel, exploitationà puissance constante, défini par.l'équation (3.4O):0_ = (^g -6» - |^)/a^
sans sans
el température réduite du fluide calo¬porteur en sortie d' echangeur, grou¬pement adimensionnel, exploitationà température constante, déf ini parl'équation (3.53):^' = j^fo
sans sans
température du fluide caloporteur ensortie d' echangeur
conductivité thermique
A du fluide caloporteur dans l'échan¬geur
A du fluide caloporteur dans lecircuit de chauffage
A_ de l'encaissantX du tubage interne
Wm ~\'^ MLT"'K"'
TT
I
->
constante mathématique w ca3,14 16
signe de sommation
flux de chaleur
^ à la limite échangeur-encaissant
<Pr géothermique
sans
Um
sans
MT
7 -
AVANT-PROPOS
Le présent mémoire est l'issue d'un travail réalisé auBureau de Recherches Géologiques et Minières (Orléans), grâce à l'encadrementfinancier et scientifique du département SGN/EAU et de l'Institut Mixte deRecherches Géothermiques (Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie,Bureau de Recherches Géologiques et Minières) .
C'est en collaboration avec Meó^^ceo^ó Jean-Pierre SAUTY,Jean-Yves AUSSEUR (SGN/EAU) et Monsieur André MENJOZ (IMRG) et sous leurresponsabilité scientifique que ce travail s'est déroulé.
Monsieur le Professeur François LELONG (Laboratoire de GéologieAppliquée de l'Université d'Orléans) a bien voulu assurer l'encadrementuniversitaire de ce travail.
Certains résultats obtenus au cours de ce travail ont déjà étépubliés (références citées au cours du texte) .
Afin de situer au mieux le sujet de cette recherche, nous feronsun rappel des différentes possibilités d'eîqjloitation thermique du sous-solà des fins de chauffage ou/et climatisation, les replaçant dans le contexteénergétique national actuel (chapitre 1).
Nous focaliserons notre étude sur le dispositif CORAIL, echangeurenterré vertical, de type concentrique et sur sa réalisation projetée sur lesite de Lannion (chapitre 2) .
L'étude du conçortement thermique de l'échangeur et l'applicationde ses résultats au projet de Lannion sont ensuite exposées (chapitre 3).
La connaissance de la thermodynamique des ponpes â chaleur etde la thermique des bâtiments (chapitre 4) a permis l'analyse et la réalisationdu bilan énergétique de l'installation globale : echangeur, ponpe â chaleur,circuit de distribution de la chaleur (chapitre 5) .
Les aspects économiques, essentiels dans une perspective deréalisation,seront ensuite développés (chapitre 6).
A l'issue de cette étude, nous dégagerons des conclusions surle dispositif CORAIL et sur le projet envisagé.
7 -
AVANT-PROPOS
Le présent mémoire est l'issue d'un travail réalisé auBureau de Recherches Géologiques et Minières (Orléans), grâce à l'encadrementfinancier et scientifique du département SGN/EAU et de l'Institut Mixte deRecherches Géothermiques (Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie,Bureau de Recherches Géologiques et Minières) .
C'est en collaboration avec Meó^^ceo^ó Jean-Pierre SAUTY,Jean-Yves AUSSEUR (SGN/EAU) et Monsieur André MENJOZ (IMRG) et sous leurresponsabilité scientifique que ce travail s'est déroulé.
Monsieur le Professeur François LELONG (Laboratoire de GéologieAppliquée de l'Université d'Orléans) a bien voulu assurer l'encadrementuniversitaire de ce travail.
Certains résultats obtenus au cours de ce travail ont déjà étépubliés (références citées au cours du texte) .
Afin de situer au mieux le sujet de cette recherche, nous feronsun rappel des différentes possibilités d'eîqjloitation thermique du sous-solà des fins de chauffage ou/et climatisation, les replaçant dans le contexteénergétique national actuel (chapitre 1).
Nous focaliserons notre étude sur le dispositif CORAIL, echangeurenterré vertical, de type concentrique et sur sa réalisation projetée sur lesite de Lannion (chapitre 2) .
L'étude du conçortement thermique de l'échangeur et l'applicationde ses résultats au projet de Lannion sont ensuite exposées (chapitre 3).
La connaissance de la thermodynamique des ponpes â chaleur etde la thermique des bâtiments (chapitre 4) a permis l'analyse et la réalisationdu bilan énergétique de l'installation globale : echangeur, ponpe â chaleur,circuit de distribution de la chaleur (chapitre 5) .
Les aspects économiques, essentiels dans une perspective deréalisation,seront ensuite développés (chapitre 6).
A l'issue de cette étude, nous dégagerons des conclusions surle dispositif CORAIL et sur le projet envisagé.
CHAPITRE 1
PRESENTATION DE LA RECHERCHE DANS
LE CONTEXTE ENERGETIQUE
CHAPITRE 1
PRESENTATION DE LA RECHERCHE DANS
LE CONTEXTE ENERGETIQUE
10
-
p A c /an
50 000
«10 000
30 000
20 000
10000
1973I
74
.1
75
. .
1
76
1
77
:::U78
TOTAL /
1
/ ; AIR-EAU
,' / ; AIR-AIR
^ii*""^ ..: EAU-AIR
llll79 80 81 82
Figure 7 - ? ; Evolution des Ventes dz pompes à chalzuren France entre 7 973 et 1982.
[statistiques UWICLIMA citées par REGEF
[I-I]).
10
-
p A c /an
50 000
«10 000
30 000
20 000
10000
1973I
74
.1
75
. .
1
76
1
77
:::U78
TOTAL /
1
/ ; AIR-EAU
,' / ; AIR-AIR
^ii*""^ ..: EAU-AIR
llll79 80 81 82
Figure 7 - ? ; Evolution des Ventes dz pompes à chalzuren France entre 7 973 et 1982.
[statistiques UWICLIMA citées par REGEF
[I-I]).
- 11
En France, d'après les organismes professionnels (dans Bâtiment-
Energie, Décembre 1983) les ventes annuelles de pompes à chaleur, tous types
et toutes puissances confondus, ont évolué entre 1977 et 1982*de 7 424 à
51 169 (cf. figure (1-1) , d' après REGEF [l-l]), avec une augmentation de
467 à 7 823 pour les seules pompes à chaleur EAU/EAU. Celles-ci
prélèvent l'énergie sur les eaux de surface, les eaux souterraines ou le sol
quand elles sont, associées à un système d' echangeur enterré : on emploie alorsparfois le terme de pompe à chaleur SOL/EAU.
Ce dispositif se développe depuis ces dernières années : en 1980
DEPRÊTER et GEERAERT [l-2] en dénombraient pratiquement 5 000 en Europe, et20 000 aux Etats-Unis.
Malgré les nombreuses réalisations, peu d'études générales sur ces
dispositifs ont été menées, et pratiquement aucun des moyens de calculs existant
et utilisés par divers organismes et laboratoires pour les dimensionner ne
sont publiés [l-3].
Le dispositif CORAIL (Conduction RAdiale en milieu ILlimité), echangeur
vertical enterré, est constitué par un forage équipé d'un tube central. La
circulation d'un fluide caloporteur permet l'extraction de la chaleur du sous-
sol.
L'étude générale de ce dispositif et du projet de sa réalisation
à Lannion (Côtes-du-Nord) constitue l'objet du présent mémoire.
* Durant les années 1983 et 1984, les ventes de pompes è chaleur ont diminué
les résultats publiés sont les suivants :
1983 1984PAC AIR/AIR 4 310 4 500
AIR/EAU 24 025 9 500EAU/AIR 2 336 1 500EAU/EAU 5 396 3 500Total 36 067 19 000
(d'après "les Echos" du Mardi 13 Novembre 1984).
- 11
En France, d'après les organismes professionnels (dans Bâtiment-
Energie, Décembre 1983) les ventes annuelles de pompes à chaleur, tous types
et toutes puissances confondus, ont évolué entre 1977 et 1982*de 7 424 à
51 169 (cf. figure (1-1) , d' après REGEF [l-l]), avec une augmentation de
467 à 7 823 pour les seules pompes à chaleur EAU/EAU. Celles-ci
prélèvent l'énergie sur les eaux de surface, les eaux souterraines ou le sol
quand elles sont, associées à un système d' echangeur enterré : on emploie alorsparfois le terme de pompe à chaleur SOL/EAU.
Ce dispositif se développe depuis ces dernières années : en 1980
DEPRÊTER et GEERAERT [l-2] en dénombraient pratiquement 5 000 en Europe, et20 000 aux Etats-Unis.
Malgré les nombreuses réalisations, peu d'études générales sur ces
dispositifs ont été menées, et pratiquement aucun des moyens de calculs existant
et utilisés par divers organismes et laboratoires pour les dimensionner ne
sont publiés [l-3].
Le dispositif CORAIL (Conduction RAdiale en milieu ILlimité), echangeur
vertical enterré, est constitué par un forage équipé d'un tube central. La
circulation d'un fluide caloporteur permet l'extraction de la chaleur du sous-
sol.
L'étude générale de ce dispositif et du projet de sa réalisation
à Lannion (Côtes-du-Nord) constitue l'objet du présent mémoire.
* Durant les années 1983 et 1984, les ventes de pompes è chaleur ont diminué
les résultats publiés sont les suivants :
1983 1984PAC AIR/AIR 4 310 4 500
AIR/EAU 24 025 9 500EAU/AIR 2 336 1 500EAU/EAU 5 396 3 500Total 36 067 19 000
(d'après "les Echos" du Mardi 13 Novembre 1984).
^^v^^ Produit^\^ergétique
Année ^^\^^
1965
1973
1981
1982*
Combustiblesminéraux solides(houi Lie, Lignite,coke)
45,68
30,49
31,50
32,50
CombustiblesLiquides(produits
pétroliers)
50,42
117,27
91,30
85,30
Combustiblesgazeux
5,13
14,96
24,60(21,70)»
23,40(20,40)»
Electricitéd'originenucléaire
0,20
3,10
22,10
22,90
Hydroélectricitéet importationsnettes d'élec¬tricité
10,52
9,86
15,10
15,00
Consommationd'énergieprimairetotale
111,95
175,68
184,60(181,70)»
179,10(176,10)»
* Semi définitif
» hors les usages non énergétiques pour Le gaz
TabLeau 1-2 ; Consommation française d'énergie primaire en Millionsde tep (hors énergie nouvelle)
(d'après A.F.M.E., 1983 [l-^])
^^v^^ Produit^\^ergétique
Année ^^\^^
1965
1973
1981
1982*
Combustiblesminéraux solides(houi Lie, Lignite,coke)
45,68
30,49
31,50
32,50
CombustiblesLiquides(produits
pétroliers)
50,42
117,27
91,30
85,30
Combustiblesgazeux
5,13
14,96
24,60(21,70)»
23,40(20,40)»
Electricitéd'originenucléaire
0,20
3,10
22,10
22,90
Hydroélectricitéet importationsnettes d'élec¬tricité
10,52
9,86
15,10
15,00
Consommationd'énergieprimairetotale
111,95
175,68
184,60(181,70)»
179,10(176,10)»
* Semi définitif
» hors les usages non énergétiques pour Le gaz
TabLeau 1-2 ; Consommation française d'énergie primaire en Millionsde tep (hors énergie nouvelle)
(d'après A.F.M.E., 1983 [l-^])
13
1.1 - LE CONTEXTE ENERGETIQUE
1.1.1 - Présentation générale
D'après les données économiques publiées [l-4, 1-5], environ
le tiers de la consommation énergétique française est consacré au chauffage . Par
ailleurs, en 1983, le chauffage constitue le 4ème poste budgétaire des ménages avec
9,4 ?ó des dépenses [1-é>] (énergie plus, n° 36, 1984). Plus de la moitié de celui-ciest assurée par la combustion de produits pétroliers desquels dépend directement
le taux d'indépendance énergétique. L'évolution de la consommation d'énergie
primaire en France, entre 1965 et 1982 est montrée tableau (1-2). (Les différentesunités utilisées au cours de l'exposé sont présentées en annexe n° 1).
Au niveau national, sur la base du "rapport Hugon" établi en août
1981, le Parlement a adopté (débat énergétique en octobre 1981) un plan qui
prévoit qu'en 1990 :
- la part du pétrole soit ramenée à 30 % de la consommation d'énergie
primaire (contre pratiquement 50 % en 1981),
- les économies d'énergie s'acroissent de 40 millions de tonnes-
équivalent-pétrole*,
- le taux d'indépendance énergétique atteigne 50 % (contre 35 %
en 1981), la part des énergies nouvelles et renouvelables, triplant
dans le bilan énergétique : (de 3,4 M tep en 1980 soit 1,7 % à 11 M tep
en 1990 soit 5 %) . (D'après Edmond Hervé dans la préface de
Chiffres-Clés-Energie [l-^])-
Pour ceci il devient nécessaire d'envisager et d'étudier toutes
les ressources nationales et de réduire le gaspillage en utilisant pour chaque
besoin la forme d'énergie la mieux adaptée et des modes de distribution appro¬
priés. C'est-à-dire exploiter les ressources à bas niveau thermique , largement
disponibles, pour le chauffage plutôt que des produits dont la combustion
assure une température quatre à cinq fois celle désirée dans les locaux et
utiliser les planchers chauffants.
Tonnes-équivalent-pétrole (tep ) : unité choisie par convention qui équivautà 100 000 thermies dégagées par l'utilisation du produit énergétiqueconsidéré (voir annexe n° 1).
13
1.1 - LE CONTEXTE ENERGETIQUE
1.1.1 - Présentation générale
D'après les données économiques publiées [l-4, 1-5], environ
le tiers de la consommation énergétique française est consacré au chauffage . Par
ailleurs, en 1983, le chauffage constitue le 4ème poste budgétaire des ménages avec
9,4 ?ó des dépenses [1-é>] (énergie plus, n° 36, 1984). Plus de la moitié de celui-ciest assurée par la combustion de produits pétroliers desquels dépend directement
le taux d'indépendance énergétique. L'évolution de la consommation d'énergie
primaire en France, entre 1965 et 1982 est montrée tableau (1-2). (Les différentesunités utilisées au cours de l'exposé sont présentées en annexe n° 1).
Au niveau national, sur la base du "rapport Hugon" établi en août
1981, le Parlement a adopté (débat énergétique en octobre 1981) un plan qui
prévoit qu'en 1990 :
- la part du pétrole soit ramenée à 30 % de la consommation d'énergie
primaire (contre pratiquement 50 % en 1981),
- les économies d'énergie s'acroissent de 40 millions de tonnes-
équivalent-pétrole*,
- le taux d'indépendance énergétique atteigne 50 % (contre 35 %
en 1981), la part des énergies nouvelles et renouvelables, triplant
dans le bilan énergétique : (de 3,4 M tep en 1980 soit 1,7 % à 11 M tep
en 1990 soit 5 %) . (D'après Edmond Hervé dans la préface de
Chiffres-Clés-Energie [l-^])-
Pour ceci il devient nécessaire d'envisager et d'étudier toutes
les ressources nationales et de réduire le gaspillage en utilisant pour chaque
besoin la forme d'énergie la mieux adaptée et des modes de distribution appro¬
priés. C'est-à-dire exploiter les ressources à bas niveau thermique , largement
disponibles, pour le chauffage plutôt que des produits dont la combustion
assure une température quatre à cinq fois celle désirée dans les locaux et
utiliser les planchers chauffants.
Tonnes-équivalent-pétrole (tep ) : unité choisie par convention qui équivautà 100 000 thermies dégagées par l'utilisation du produit énergétiqueconsidéré (voir annexe n° 1).
- 15 -
Dans ce contexte l'utilisation des énergies dites nouvelles
(géothermique, solaire, éolienne, biomasse) sera développée (notons que lecaractère novateur est lié à l'utilisation et non à la forme de ces énergies).
1.1.2 - L'énergie g^éothermique
Cette énergie est liée au flux de chaleur interne de la terre, voisin
de 2,3 10^° KW en moyenne à la surface de la terre . Ce flux provient principa¬lement de la désintégration radioactive des isotopes (^^^U, ^^^U, ^^^Th, '*°K)
des roches superficielles. Des hypothèses variées sont formulées quant à l'origine
de la partie restante : chaleur primitive emmagasinnée par la terre lors de
sa formation, chaleur latente de solidification et de fusion du noyau... L^-^]-La valeur de ce flux varie localement suivant les conditions géologiques.
Cette énergie exploitable par l'intermédiaire des aquifères* n'est
que lentement renouvelable. A titre d'exemple considérons un doublet géothermique
qui exploite une nappe de 30 mètres de hauteur, à 70°C, et qui réinjecte les
eaux à 30°C dans cette nappe. Un calcul simple et rapide montre que le flux géo¬
thermique mettrait environ 13 siècles pour réchauffer l'eau de 30 à 70°C.
La quantité d'énergie à fournir est égale à : y x U x A0
avec :- Y : capacité calorifique de l'aquifère (2.5 lO^J m~' K~M
- U : volume de l'aquifère à réchauffer (m')
- A0 : écart de température à fournir (40 K)
et pendant l'intervalle de temps dt, le flux géothermique fournit l'énergie :
cp X dt X S
avec : - cp : flux géothermique (7,5 10~^ Wm ^)**- dt : temps (seconde)
- S : section (m^)
d'où : dt = IlLIO ^ ^° ^ ^° = 4 10^ "secondes ~ 5 10^ jours ~ 1272 ans7,5 10"^
Il convient donc de gérer convenablement cette énergie pour
augmenter sa durée d'utilisation.
* Aquifères : corps de roches perméables comportant une zone saturée -ensembledu milieu solide et de l'eau contenue- suffisamment conducteur d'eau souterrainepour permettre l'écoulement significatif d'une nappe souterraine et le captagede quantités d'eau appréciables [l-7].
** Valeur ponctuelle de flux qui ne correspond pas à la valeur moyenne donnée plus haut.
- 15 -
Dans ce contexte l'utilisation des énergies dites nouvelles
(géothermique, solaire, éolienne, biomasse) sera développée (notons que lecaractère novateur est lié à l'utilisation et non à la forme de ces énergies).
1.1.2 - L'énergie g^éothermique
Cette énergie est liée au flux de chaleur interne de la terre, voisin
de 2,3 10^° KW en moyenne à la surface de la terre . Ce flux provient principa¬lement de la désintégration radioactive des isotopes (^^^U, ^^^U, ^^^Th, '*°K)
des roches superficielles. Des hypothèses variées sont formulées quant à l'origine
de la partie restante : chaleur primitive emmagasinnée par la terre lors de
sa formation, chaleur latente de solidification et de fusion du noyau... L^-^]-La valeur de ce flux varie localement suivant les conditions géologiques.
Cette énergie exploitable par l'intermédiaire des aquifères* n'est
que lentement renouvelable. A titre d'exemple considérons un doublet géothermique
qui exploite une nappe de 30 mètres de hauteur, à 70°C, et qui réinjecte les
eaux à 30°C dans cette nappe. Un calcul simple et rapide montre que le flux géo¬
thermique mettrait environ 13 siècles pour réchauffer l'eau de 30 à 70°C.
La quantité d'énergie à fournir est égale à : y x U x A0
avec :- Y : capacité calorifique de l'aquifère (2.5 lO^J m~' K~M
- U : volume de l'aquifère à réchauffer (m')
- A0 : écart de température à fournir (40 K)
et pendant l'intervalle de temps dt, le flux géothermique fournit l'énergie :
cp X dt X S
avec : - cp : flux géothermique (7,5 10~^ Wm ^)**- dt : temps (seconde)
- S : section (m^)
d'où : dt = IlLIO ^ ^° ^ ^° = 4 10^ "secondes ~ 5 10^ jours ~ 1272 ans7,5 10"^
Il convient donc de gérer convenablement cette énergie pour
augmenter sa durée d'utilisation.
* Aquifères : corps de roches perméables comportant une zone saturée -ensembledu milieu solide et de l'eau contenue- suffisamment conducteur d'eau souterrainepour permettre l'écoulement significatif d'une nappe souterraine et le captagede quantités d'eau appréciables [l-7].
** Valeur ponctuelle de flux qui ne correspond pas à la valeur moyenne donnée plus haut.
16 -
PRODUCTIVITE
.^ "'^ CourtM d'itolt tMipiraturt Ai ritcrtfoir k pkn pretontf
C ^ PredueliniM MM< w nullt, ou Itfflotrolurt M^nnin b 30*C
Monlh criMaiM
Figure 1-3 : Ressources Géothermiques Françaises [BRGM, GEOCHALEUR1983, [?-«]).
16 -
PRODUCTIVITE
.^ "'^ CourtM d'itolt tMipiraturt Ai ritcrtfoir k pkn pretontf
C ^ PredueliniM MM< w nullt, ou Itfflotrolurt M^nnin b 30*C
Monlh criMaiM
Figure 1-3 : Ressources Géothermiques Françaises [BRGM, GEOCHALEUR1983, [?-«]).
- 17
Sur la base de critères de température et d'utilisation de la
ressource on différencie les domaines suivants :
» La géothermie liaute énergie :
Le fluide géothermal sous forme de vapeur et d'eau (température
> 150°C) est utilisé à la production d'électricité.
De telles ressources liées à la présence de zones géologiquement
actives (frontières de plaques tectoniques en expansion comme l'Islande ou l'Afrique
de l'Est, ou en subduction comme les Antilles, le Japon, l'Indonésie et l'Amérique
Centrale et du Sud) sont inexploitées en France Métropolitaine. Au niveau
mondial la puissance électrique installée était d'environ 3000 MW en 1980 L^--^]-
La géothermie moyenne énergie :
Le fluide géothermal (température comprise entre 80 et 150°C)
permet la production d'électricité par l'intermédiaire d'un fluide plus volatil
(techniques en développement).
La géothermie basse énergie :
Le fluide géothermal (température < 90°C) est utilisé pour le
chauffage de locaux par l'intermédiaire d'échangeurs ou de pompes à chaleur.
En France (fiqure (l-3)),l'essentiel du potentiel est localisé dans
les 2 grands bassins sédimentaires :
- le bassin Parisien (29 réalisations dans le Dogger sont en fonction¬
nement en juin 1984, une dizaine sont en phase de raccordement et
12 sont en cours) ;
- le bassin Aquitain (13 réalisations dans le Crétacé et l'Eocène en
1983).
Quant aux massifs cristallins couvrant 1/3 du territoire métropo¬
litain, leur potentiel énergétique à bas niveau pourra être exploité par des dispo¬
sitifs analogues à celui qui fait l'objet de la présente recherche (CORAIL).
- 17
Sur la base de critères de température et d'utilisation de la
ressource on différencie les domaines suivants :
» La géothermie liaute énergie :
Le fluide géothermal sous forme de vapeur et d'eau (température
> 150°C) est utilisé à la production d'électricité.
De telles ressources liées à la présence de zones géologiquement
actives (frontières de plaques tectoniques en expansion comme l'Islande ou l'Afrique
de l'Est, ou en subduction comme les Antilles, le Japon, l'Indonésie et l'Amérique
Centrale et du Sud) sont inexploitées en France Métropolitaine. Au niveau
mondial la puissance électrique installée était d'environ 3000 MW en 1980 L^--^]-
La géothermie moyenne énergie :
Le fluide géothermal (température comprise entre 80 et 150°C)
permet la production d'électricité par l'intermédiaire d'un fluide plus volatil
(techniques en développement).
La géothermie basse énergie :
Le fluide géothermal (température < 90°C) est utilisé pour le
chauffage de locaux par l'intermédiaire d'échangeurs ou de pompes à chaleur.
En France (fiqure (l-3)),l'essentiel du potentiel est localisé dans
les 2 grands bassins sédimentaires :
- le bassin Parisien (29 réalisations dans le Dogger sont en fonction¬
nement en juin 1984, une dizaine sont en phase de raccordement et
12 sont en cours) ;
- le bassin Aquitain (13 réalisations dans le Crétacé et l'Eocène en
1983).
Quant aux massifs cristallins couvrant 1/3 du territoire métropo¬
litain, leur potentiel énergétique à bas niveau pourra être exploité par des dispo¬
sitifs analogues à celui qui fait l'objet de la présente recherche (CORAIL).
19
» La géothermie très basse énergie :
Il s'agit de l'exploitation énergétique par pompe à chaleur*:
- des aquifères superficiels ou peu profonds (10-500 m, tempé¬
rature < 30°C),
- du sous-sol avec des systèmes d'échangeurs enterrés .
Les dispositifs de stockage intersaisonnier de calories en
nappe d'eau souterraine se rattachent également à ce domaine.
Ce potentiel mieux réparti sur l'ensemble du territoire, est
utilisé depuis quelques années. Une récente enquête effectuée avec le concours
d'EDF montre qu'environ 12 à 15 000 équivalents logements dans le secteur de
l'habitat collectif et environ 5 000 dans l'industrie, l'agriculture et le
tertiaire, ont été équipés de pompe à chaleur EAU/EAU [l-9]. Dans lebassin Loire-Bretagne plus de 300 pompes à chaleur EAU/EAU auraient fonctionné
durant l'hiver 1980/1981 [l-lO]-
1.2 - EXPLOITATION THERMIQUE ACTUELLE DU PROCHE SOUS-SOL
- S'il existe un aquifère productif et facilement accessible, on
pompe l'eau dans cet aquifère, et l'on récupère les calories entraînées par
l'eau.
- S'il n'existe pas de tel aquifère, l'injection d'un fluide
caloporteur dans un système d' echangeur enterré dans le sous-sol permet l'exploi¬
tation des calories du sous-sol.
1.2.1 - DisgosiHfs exploitant l'énergie thermique d'aquifères peu profonds
L'eau et la matrice poreuse sont à l'équilibre thermique à une
température pratiquement constante pendant l'année, à une profondeur donnée,
sous l'effet conjugué du rayonnement solaire, de l'infiltration des eaux de
surface et du flux géothermique.
On différencie les dispositifs qui exploitent uniquement la
ressource de ceux qui l'exploitent et la régénèrent.
* Voir chapitre 4.
19
» La géothermie très basse énergie :
Il s'agit de l'exploitation énergétique par pompe à chaleur*:
- des aquifères superficiels ou peu profonds (10-500 m, tempé¬
rature < 30°C),
- du sous-sol avec des systèmes d'échangeurs enterrés .
Les dispositifs de stockage intersaisonnier de calories en
nappe d'eau souterraine se rattachent également à ce domaine.
Ce potentiel mieux réparti sur l'ensemble du territoire, est
utilisé depuis quelques années. Une récente enquête effectuée avec le concours
d'EDF montre qu'environ 12 à 15 000 équivalents logements dans le secteur de
l'habitat collectif et environ 5 000 dans l'industrie, l'agriculture et le
tertiaire, ont été équipés de pompe à chaleur EAU/EAU [l-9]. Dans lebassin Loire-Bretagne plus de 300 pompes à chaleur EAU/EAU auraient fonctionné
durant l'hiver 1980/1981 [l-lO]-
1.2 - EXPLOITATION THERMIQUE ACTUELLE DU PROCHE SOUS-SOL
- S'il existe un aquifère productif et facilement accessible, on
pompe l'eau dans cet aquifère, et l'on récupère les calories entraînées par
l'eau.
- S'il n'existe pas de tel aquifère, l'injection d'un fluide
caloporteur dans un système d' echangeur enterré dans le sous-sol permet l'exploi¬
tation des calories du sous-sol.
1.2.1 - DisgosiHfs exploitant l'énergie thermique d'aquifères peu profonds
L'eau et la matrice poreuse sont à l'équilibre thermique à une
température pratiquement constante pendant l'année, à une profondeur donnée,
sous l'effet conjugué du rayonnement solaire, de l'infiltration des eaux de
surface et du flux géothermique.
On différencie les dispositifs qui exploitent uniquement la
ressource de ceux qui l'exploitent et la régénèrent.
* Voir chapitre 4.
- 20
figure 1-4 : Dispositif du puits unique Figure 1-5 : Dispositif du doublet de forages
r«eup<ratiur d'enargi*
oliniantotian
Figure 1-6 : Stockage par puits unique
Figure 1-7 : Doublet à balayage
EXPLOITATION THERMIQUE DES AÇUIFERES
[d'après AUSSEUR, SAITTY, 1989 - [l-ll]].
- 20
figure 1-4 : Dispositif du puits unique Figure 1-5 : Dispositif du doublet de forages
r«eup<ratiur d'enargi*
oliniantotian
Figure 1-6 : Stockage par puits unique
Figure 1-7 : Doublet à balayage
EXPLOITATION THERMIQUE DES AÇUIFERES
[d'après AUSSEUR, SAITTY, 1989 - [l-ll]].
21
1.2.1.1 - Dispositifs sans recharge thermique
^íé!92'^Í^Á-4'¿:.£'¿¿^.'éü^9'é?r [fleure [1-4] )
L'avantage du faible investissement de départ (unicité du forage)
peut être annulé par :
- les taxations sur les rejets (valant jusqu'à 10 fois la taxe
de prélèvement [l-12])j
- la durée de vie limitée de ces dispositifs en l'absence de
réalimentation naturelle suffisante ou en cas de multiplication
des prélèvements.
^l'ékiitA^Â'l'yiQ.^ [^iQure (7-5) )
L'avantage de la pérennité hydraulique de la ressource peut être
limité par un recyclage des eaux au forage de production.
La pollution thermique de la ressource liée à la réinjection des
eaux refroidies peut être évitée par réinjection de calories durant les périodes
de non exploitation.
1.2.1.2 - Dispositifs avec recharqe thermique
S-iÇÇfe^^_e'?4_)2ii-tÎ*_'i'!î^î'i^ [figure [1-6 ] ]
L'injection de calories peu onéreuses - voire gratuites - d'origine
solaire ou industrielle (usine d'incinération des ordures ménagères) améliore
le rendement et la durée de vie du dispositif mais pose parfois des problèmes
de colmatage, et la taxation sur les rejets en surface subsiste.
^2'i^^?r^A-^^^y^9?r Ulgune [1-7] ]
Les forages ont des affectations hydrauliques constantes. L'aquifère
est balayé par des ondes chaudes et froides dont la gestion en concordance avec
les besoins est difficile à assurer.
Ce dispositif est utilisé pour le chauffage et la climatisation
du palais de l'Europe à Strasbourg [l-13].
21
1.2.1.1 - Dispositifs sans recharge thermique
^íé!92'^Í^Á-4'¿:.£'¿¿^.'éü^9'é?r [fleure [1-4] )
L'avantage du faible investissement de départ (unicité du forage)
peut être annulé par :
- les taxations sur les rejets (valant jusqu'à 10 fois la taxe
de prélèvement [l-12])j
- la durée de vie limitée de ces dispositifs en l'absence de
réalimentation naturelle suffisante ou en cas de multiplication
des prélèvements.
^l'ékiitA^Â'l'yiQ.^ [^iQure (7-5) )
L'avantage de la pérennité hydraulique de la ressource peut être
limité par un recyclage des eaux au forage de production.
La pollution thermique de la ressource liée à la réinjection des
eaux refroidies peut être évitée par réinjection de calories durant les périodes
de non exploitation.
1.2.1.2 - Dispositifs avec recharqe thermique
S-iÇÇfe^^_e'?4_)2ii-tÎ*_'i'!î^î'i^ [figure [1-6 ] ]
L'injection de calories peu onéreuses - voire gratuites - d'origine
solaire ou industrielle (usine d'incinération des ordures ménagères) améliore
le rendement et la durée de vie du dispositif mais pose parfois des problèmes
de colmatage, et la taxation sur les rejets en surface subsiste.
^2'i^^?r^A-^^^y^9?r Ulgune [1-7] ]
Les forages ont des affectations hydrauliques constantes. L'aquifère
est balayé par des ondes chaudes et froides dont la gestion en concordance avec
les besoins est difficile à assurer.
Ce dispositif est utilisé pour le chauffage et la climatisation
du palais de l'Europe à Strasbourg [l-13].
- 22
Figure 1-8 :
Dispositif du doubletpuits chaud puits froid[d'après AUSSEUR, SAUTV,1982 - [ 1-11']].
Figure 1-9
Doublet puits chaud, puitsfroid mis en oeuvre à Montreuil[d'après AUSSEUR, CAMPINCHI,
SAUTV, 1983 - [7-4] ).
Figure 1-10 :
Principe du doublet kéllo-géothermique ( d ' aprèsCORDIER, IRIS, 1982 - [7-75]!
V
//
- 22
Figure 1-8 :
Dispositif du doubletpuits chaud puits froid[d'après AUSSEUR, SAUTV,1982 - [ 1-11']].
Figure 1-9
Doublet puits chaud, puitsfroid mis en oeuvre à Montreuil[d'après AUSSEUR, CAMPINCHI,
SAUTV, 1983 - [7-4] ).
Figure 1-10 :
Principe du doublet kéllo-géothermique ( d ' aprèsCORDIER, IRIS, 1982 - [7-75]!
V
//
23 -
P2y-^^?í_ Ptfí^ _ 9-Í}^'¿-4t. _ E'tf^íí _ ûlQirU ' ^^fiure [1-8 ) ]
Les forages ont des affectations thermiques constantes. Ce dispositif
est idéal par les 2 stocks disjoints pour des utilisations mixtes intersaisonnières
chauffage et climatisation. Il est mis en oeuvre depuis 1982 à Montreuil-sous-
Bois au complexe intersyndical de la C.G.T. à partir des sables yprésiens où
la production prévue est de 2 millions de kWh fournis chaque hiver (fiqure (1-9))
U-14].
Dans les dispositifs héliogéothermiques (fiqure (1-10)) ,1e stock
chaud est constitué par des calories d'origine solaire (dispositif utilisé
par l'Ecole des Mines de Paris [l-15]).
En l'absence d'aquifère, l'énergie thermique du sous-sol pourra
être exploitée par des dispositifs d'échangeurs enterrés.
1.2.2 - Les échangeurs enterrés
La température des couches superficielles du sol est principalement
liée au rayonnement solaire dont la valeur moyenne en France varie entre 0,1
et 0,35 kW m~' [l-lé]-
La propagation du rayonnement solaire, phénomène thermique ondu¬
latoire, est sensible dans une zone appelée d' hétérotliermle par certains
auteurs [l-17] . Cette zone est limitée en profondeur, en fonction des caracté¬
ristiques du lieU; par la zone d' homothermie. L'observation du profil des tempé¬
ratures dans le proche sous-sol durant l'année montre que l'amplitude des varia¬
tions annuelles ne vaut, à 2 m de profondeur, que la moitié de sa valeur en
surface, le quart à 4,5 m et le dixième à 7,5 m [l-is] . La profondeur de
pénétration des fluctuations thermiques diurnes et saisonnières peut être
calculée.
Les échangeurs enterrés sont des dispositifs qui prélèvent l'énergie
thermique du sous-sol (rayonnement solaire, flux géothermique, stockage d'énergie
solaire ou provenant d'effluents industriels) par circulation d'un fluide calo¬
porteur (air, eau, eau glycolée). Reliés à l'évaporateur d'une pompe à chaleur*,
Voir chapitre 4.
23 -
P2y-^^?í_ Ptfí^ _ 9-Í}^'¿-4t. _ E'tf^íí _ ûlQirU ' ^^fiure [1-8 ) ]
Les forages ont des affectations thermiques constantes. Ce dispositif
est idéal par les 2 stocks disjoints pour des utilisations mixtes intersaisonnières
chauffage et climatisation. Il est mis en oeuvre depuis 1982 à Montreuil-sous-
Bois au complexe intersyndical de la C.G.T. à partir des sables yprésiens où
la production prévue est de 2 millions de kWh fournis chaque hiver (fiqure (1-9))
U-14].
Dans les dispositifs héliogéothermiques (fiqure (1-10)) ,1e stock
chaud est constitué par des calories d'origine solaire (dispositif utilisé
par l'Ecole des Mines de Paris [l-15]).
En l'absence d'aquifère, l'énergie thermique du sous-sol pourra
être exploitée par des dispositifs d'échangeurs enterrés.
1.2.2 - Les échangeurs enterrés
La température des couches superficielles du sol est principalement
liée au rayonnement solaire dont la valeur moyenne en France varie entre 0,1
et 0,35 kW m~' [l-lé]-
La propagation du rayonnement solaire, phénomène thermique ondu¬
latoire, est sensible dans une zone appelée d' hétérotliermle par certains
auteurs [l-17] . Cette zone est limitée en profondeur, en fonction des caracté¬
ristiques du lieU; par la zone d' homothermie. L'observation du profil des tempé¬
ratures dans le proche sous-sol durant l'année montre que l'amplitude des varia¬
tions annuelles ne vaut, à 2 m de profondeur, que la moitié de sa valeur en
surface, le quart à 4,5 m et le dixième à 7,5 m [l-is] . La profondeur de
pénétration des fluctuations thermiques diurnes et saisonnières peut être
calculée.
Les échangeurs enterrés sont des dispositifs qui prélèvent l'énergie
thermique du sous-sol (rayonnement solaire, flux géothermique, stockage d'énergie
solaire ou provenant d'effluents industriels) par circulation d'un fluide calo¬
porteur (air, eau, eau glycolée). Reliés à l'évaporateur d'une pompe à chaleur*,
Voir chapitre 4.
- 24
Pays
Belgique
Suisse
Allemagne
Danemark
France
Angle¬terre
Norvège
Suède
Finlande
U.S.A.
Nombrede
PAC sol
20
400
500
1000
100
20
20 a 30
2000
300
500
20 000
Nombre relatifde
PAC S0l«
2
50
4 « 5
95
1.5
î
60
95
95
1
Source froide laplus
utilisée
air extérieur
50 X sol ;50 X eau
air extérieur eteau (nappe phréa¬tique)
sol
air extrait
air extérieur
sol -f eau de mer
sol
sol
air extérieur
Remarque
perspectives favorables
l'air extérieur prend ledessus
recherches sur l'utilisationdes échangeurs verticaux
utilisation prépondérante enclimatisation
" X de toutes les pompes à chaleur utilisées dans le pays.
Tableau 1-11 Inventaire des pompes à ckalzur utilisant lesoi comme source, froide dam quelques paij^occidentaux.
[d'après DEPRETER, GEERAERT, 1980 - [7-2]).
- 24
Pays
Belgique
Suisse
Allemagne
Danemark
France
Angle¬terre
Norvège
Suède
Finlande
U.S.A.
Nombrede
PAC sol
20
400
500
1000
100
20
20 a 30
2000
300
500
20 000
Nombre relatifde
PAC S0l«
2
50
4 « 5
95
1.5
î
60
95
95
1
Source froide laplus
utilisée
air extérieur
50 X sol ;50 X eau
air extérieur eteau (nappe phréa¬tique)
sol
air extrait
air extérieur
sol -f eau de mer
sol
sol
air extérieur
Remarque
perspectives favorables
l'air extérieur prend ledessus
recherches sur l'utilisationdes échangeurs verticaux
utilisation prépondérante enclimatisation
" X de toutes les pompes à chaleur utilisées dans le pays.
Tableau 1-11 Inventaire des pompes à ckalzur utilisant lesoi comme source, froide dam quelques paij^occidentaux.
[d'après DEPRETER, GEERAERT, 1980 - [7-2]).
25 -
ils permettent d'utiliser cette énergie à bas niveau thermique pour le chauffage
ou la climatisation de locaux. Ils présentent l'avantage de pouvoir être couplés
avec d'autres sources à bas niveau thermique comme les capteurs solaires par exemple.
Les performances de ces dispositifs basés sur les propriétés de
capacité calorifique et de conduction thermique du sous-sol sont liées :
- aux caractéristiques thermiques du sous-sol et de l'échangeur,
- à la géométrie de l'échangeur,
- au débit et à la température du fluide caloporteur.
Ce concept d'échangeur enterré n'est pas nouveau. Dès 1912 un
brevet basé sur ce principe est déposé [l-19];mais le coût des produitspétroliers, tant aux Etats-Unis qu'en Europe, a ralenti le développement
de ces dispositifs dont l'essor européen date de 1974.
Il existe également des systèmes dits directs, par
opposition à ceux indirects précédemment décrits, l'évaporateur de la pompe
à chaleur est alors situé dans le sol lui-mêmej des réalisations à titre expéri¬
mental ont eu lieu pour chauffer des locaux [l-20].
Actuellement, les dispositifs d'échangeurs enterrés reliés à une
pompe à chaleur EAU/EAU, parfois appelés pompe à chaleur SOL/EAU , sont
utilisés en Europe, essentiellement dans les pays nordiques et germaniques.
DEPRETER et GEERAERT (1980) [l-2] présentent l'inventaire des pompes
à chaleur utilisant le sol comme source froide dans quelques pays occidentaux
(tableau (1-11) ) .Ils estiment que 25 % des logements en Beigique, soit 800 000,
pourraient être chauffés ainsi.
Les dispositifs existants et les possibilités offertes par les
échangeurs enterrés horizontaux et verticaux, seront présentés. Quelques
réalisations connues par la bibliographie seront détaillées dans l'annexe n° 2.
25 -
ils permettent d'utiliser cette énergie à bas niveau thermique pour le chauffage
ou la climatisation de locaux. Ils présentent l'avantage de pouvoir être couplés
avec d'autres sources à bas niveau thermique comme les capteurs solaires par exemple.
Les performances de ces dispositifs basés sur les propriétés de
capacité calorifique et de conduction thermique du sous-sol sont liées :
- aux caractéristiques thermiques du sous-sol et de l'échangeur,
- à la géométrie de l'échangeur,
- au débit et à la température du fluide caloporteur.
Ce concept d'échangeur enterré n'est pas nouveau. Dès 1912 un
brevet basé sur ce principe est déposé [l-19];mais le coût des produitspétroliers, tant aux Etats-Unis qu'en Europe, a ralenti le développement
de ces dispositifs dont l'essor européen date de 1974.
Il existe également des systèmes dits directs, par
opposition à ceux indirects précédemment décrits, l'évaporateur de la pompe
à chaleur est alors situé dans le sol lui-mêmej des réalisations à titre expéri¬
mental ont eu lieu pour chauffer des locaux [l-20].
Actuellement, les dispositifs d'échangeurs enterrés reliés à une
pompe à chaleur EAU/EAU, parfois appelés pompe à chaleur SOL/EAU , sont
utilisés en Europe, essentiellement dans les pays nordiques et germaniques.
DEPRETER et GEERAERT (1980) [l-2] présentent l'inventaire des pompes
à chaleur utilisant le sol comme source froide dans quelques pays occidentaux
(tableau (1-11) ) .Ils estiment que 25 % des logements en Beigique, soit 800 000,
pourraient être chauffés ainsi.
Les dispositifs existants et les possibilités offertes par les
échangeurs enterrés horizontaux et verticaux, seront présentés. Quelques
réalisations connues par la bibliographie seront détaillées dans l'annexe n° 2.
26
Figure 1-12 : Exploitation thermique du souS-sol.Schéma de principe des échangeursenterrés horizontaux.
26
Figure 1-12 : Exploitation thermique du souS-sol.Schéma de principe des échangeursenterrés horizontaux.
-11-
1.2.2.1 - Echangeurs enterrés horizontaux ( fiqure (1-12 ) )
Les deux principaux types de dispositifs existant se différencient
par leur mode de mise en place.
Les échangeurs sont généralement mis en place dans des tranchées
de moins d'un mètre de large et d'environ 2 mètres de profondeur, en une ou
plusieurs nappes séparées par le matériau originel [l-18, 1-21, 1-22, 1-23, 1-26].
Les tubes peuvent être en PVC [l-iS] ou en polyethylene[l-22, 1-23, 1-24, 1-25] avec un diamètre extérieur de l'ordrede 25 à 35 mm [l-22]. Le chauffage d'un pavillon peut être
couvert par une longueur moyenne de 300 mètres environ, avec un débit de
fluide caloporteur d'environ 1 m' h'^ [l-22].
?iaP2^^^lÎ_2'^_§!î_P^Ç-2^_£'?^_§^ÏÇ^y^ii'2i?
Les échangeurs sont mis en place en réseau serré dans le fond d'une
excavation d'environ 80 cm de profondeur. Le tube est en général de diamètre
plus petit que pour le dispositif précédent (environ 15 mm). Pour une maison
individuelle, la longueur du tube est en moyenne de 600 à 800 m et le débit
du fluide de l'ordre du m'h"^ Ll-22].Ce dispositif nécessite une emprise au sol plus importante que le
dispositif précédent.
Ces dispositifs sont respectivement mis en place soit à l'aide
de pelle mécanique, ou de trancheuse utilisée pour la pose de câbles
enterrés [l-26]. Ces échangeurs enterrés horizontaux peuvent être couplés à
des panneaux solaires comme la maison S0L3 proposée par ELF AQUITAINE
[l-24, 1-27, 1-28]. L'énergie solaire peut être alors utilisée directement
pour le chauffage ou servir à régénérer le potentiel thermique du sol.
-11-
1.2.2.1 - Echangeurs enterrés horizontaux ( fiqure (1-12 ) )
Les deux principaux types de dispositifs existant se différencient
par leur mode de mise en place.
Les échangeurs sont généralement mis en place dans des tranchées
de moins d'un mètre de large et d'environ 2 mètres de profondeur, en une ou
plusieurs nappes séparées par le matériau originel [l-18, 1-21, 1-22, 1-23, 1-26].
Les tubes peuvent être en PVC [l-iS] ou en polyethylene[l-22, 1-23, 1-24, 1-25] avec un diamètre extérieur de l'ordrede 25 à 35 mm [l-22]. Le chauffage d'un pavillon peut être
couvert par une longueur moyenne de 300 mètres environ, avec un débit de
fluide caloporteur d'environ 1 m' h'^ [l-22].
?iaP2^^^lÎ_2'^_§!î_P^Ç-2^_£'?^_§^ÏÇ^y^ii'2i?
Les échangeurs sont mis en place en réseau serré dans le fond d'une
excavation d'environ 80 cm de profondeur. Le tube est en général de diamètre
plus petit que pour le dispositif précédent (environ 15 mm). Pour une maison
individuelle, la longueur du tube est en moyenne de 600 à 800 m et le débit
du fluide de l'ordre du m'h"^ Ll-22].Ce dispositif nécessite une emprise au sol plus importante que le
dispositif précédent.
Ces dispositifs sont respectivement mis en place soit à l'aide
de pelle mécanique, ou de trancheuse utilisée pour la pose de câbles
enterrés [l-26]. Ces échangeurs enterrés horizontaux peuvent être couplés à
des panneaux solaires comme la maison S0L3 proposée par ELF AQUITAINE
[l-24, 1-27, 1-28]. L'énergie solaire peut être alors utilisée directement
pour le chauffage ou servir à régénérer le potentiel thermique du sol.
28 -
Flgurz 1-13 : Exploitation thznmlquz du sous-sol. Schémadz principe des échangeurs enterrés verticauxdispositif zn U ou zn éplnglz.
Flgurz 1-14 : Exploitation thermique du sous-sol. Schémade principe des éctiangeurs enterrés verticauxdispositif concentrique.
28 -
Flgurz 1-13 : Exploitation thznmlquz du sous-sol. Schémadz principe des échangeurs enterrés verticauxdispositif zn U ou zn éplnglz.
Flgurz 1-14 : Exploitation thermique du sous-sol. Schémade principe des éctiangeurs enterrés verticauxdispositif concentrique.
29
1.2.2.2 - Les échangeurs enterrés verticaux
Ces dispositifs, s'ils nécessitent une mise en oeuvre plus importante
que les échangeurs horizontaux, offrent l'avantage d'une emprise au sol réduite
et la possibilité de réalisation en zone urbaine.
Ce principe est mis en oeuvre sous diverses formes en Suède (où
il est également souvent utilisé pour des dispositifs de stockage [l-29, 1-30, l-3l]),en Allemagne [l-32], en Suisse [l-36] et il se développe actuellement en France.
Deux dispositifs sont présentés par les auteurs [l-24, 1-33, 1-34].
?i^Ê'2é^li--ê!?_"§E'i-!î3^^r_2{^_^!î_"y" [figure (7-7 3))
L'échangeur est un tube coudé, foncé dans les roches meubles ou
mis en place à l'intérieur d'un forage dans les roches dures.
En Suède, dans les roches cristallines où le potentiel hydraulique
est insuffisant ou pose des problèmes de qualité chimique, de tels dispositifs
sont mis en place dans des forages [1-31, 1-33, 1-35]. L'eau souterrainecontenue dans le forage assure alors le contact thermique entre le sol et
l'échangeur.
Certaines sociétés suisses commercialisent le dispositif suivant
l'échangeur est placé dans un forage rempli de bentonite qui assure un
meilleur contact thermique entre le sol et l'échangeur [l-36].
De tels dispositifs sont utilisés jusqu'à des profondeurs de l'ordre
de 200 m« Des réseaux de plusieurs échangeurs de faible profondeur (dizainede mètres) reliés entre eux sont également mis en oeuvre [l-21, 1-37].
2iél92é¿í¿^£é-9:Qü-9-ír^^í&iCí'¿^ [figure [1-14])
L'échangeur est ici constitué de deux tubes concentriques, le fluide
caloporteur descend par l'espace annulaire et remonte par le tube central ou
1 ' inverse.
29
1.2.2.2 - Les échangeurs enterrés verticaux
Ces dispositifs, s'ils nécessitent une mise en oeuvre plus importante
que les échangeurs horizontaux, offrent l'avantage d'une emprise au sol réduite
et la possibilité de réalisation en zone urbaine.
Ce principe est mis en oeuvre sous diverses formes en Suède (où
il est également souvent utilisé pour des dispositifs de stockage [l-29, 1-30, l-3l]),en Allemagne [l-32], en Suisse [l-36] et il se développe actuellement en France.
Deux dispositifs sont présentés par les auteurs [l-24, 1-33, 1-34].
?i^Ê'2é^li--ê!?_"§E'i-!î3^^r_2{^_^!î_"y" [figure (7-7 3))
L'échangeur est un tube coudé, foncé dans les roches meubles ou
mis en place à l'intérieur d'un forage dans les roches dures.
En Suède, dans les roches cristallines où le potentiel hydraulique
est insuffisant ou pose des problèmes de qualité chimique, de tels dispositifs
sont mis en place dans des forages [1-31, 1-33, 1-35]. L'eau souterrainecontenue dans le forage assure alors le contact thermique entre le sol et
l'échangeur.
Certaines sociétés suisses commercialisent le dispositif suivant
l'échangeur est placé dans un forage rempli de bentonite qui assure un
meilleur contact thermique entre le sol et l'échangeur [l-36].
De tels dispositifs sont utilisés jusqu'à des profondeurs de l'ordre
de 200 m« Des réseaux de plusieurs échangeurs de faible profondeur (dizainede mètres) reliés entre eux sont également mis en oeuvre [l-21, 1-37].
2iél92é¿í¿^£é-9:Qü-9-ír^^í&iCí'¿^ [figure [1-14])
L'échangeur est ici constitué de deux tubes concentriques, le fluide
caloporteur descend par l'espace annulaire et remonte par le tube central ou
1 ' inverse.
- 31
L'ensemble mis en place par les techniques habituelles de forage
est en général un circuit fermé (colmatage du tube extérieur à son extrémité).
Les dispositifs vont jusqu'à des profondeurs de l'ordre de 200 m,
parfois plusieurs échangeurs moins profonds sont reliés [l-2, 1-38]; ils peuvent êtrecouplés à des collecteurs solaires [l-39], ou utilisés pour des dispositifsde stockage.
1,2.2.3 - Recherches dans ce domaine
Parallèlement aux réalisations en vraie grandeur, différents orga¬
nismes ont des bancs d'essais (par exemple EDF [l-40]).
Des établissements universitaires en liaison avec divers organismes,
entreprennent des recherches pour développer l'utilisation rationnelle du sol
comme source froide des pompes à chaleur ( action commune CETIAT-EDF-IMG-INSA*;
EPR Rhône-Alpes-INSA [l-26]).L'IMG* a développé l'étude des transferts thermiques et hydriques
dans le sol [l-4l], la caractérisation des propriétés thermo-hydrauliquesdu sol Ll-*2] et leur application à l'utilisation d'échangeurs enterrés.
L'étude d'un dispositif de stockage et sa réalisation ont faitl'objet de recherches au Laboratoire de thermocinétique de Nantes [l-43, 1-44],
En 1983, une synthèse bibliographique des différentes démarches
suivies pour étudier et dimensionner les échangeurs enterrés a été réalisée[l-3]. D'après les auteurs, les méthodes employées vont de l'empirisme au
modèle tridimensionnel utilisant les éléments finis, mais souvent les moyens
de calcul ne sont pas disponibles et il n'existe actuellement aucun "guide"général pour installer un echangeur enterré.
CETIAT : Centre d'Etudes Techniques des Industries Aérauliques et Thermiques(Villeurbanne)
EDF : Electricité De FranceIMG : Institut Mécanique de Grenoble
INSA : Institut National des Sciences Appliquées (Villeurbanne)
- 31
L'ensemble mis en place par les techniques habituelles de forage
est en général un circuit fermé (colmatage du tube extérieur à son extrémité).
Les dispositifs vont jusqu'à des profondeurs de l'ordre de 200 m,
parfois plusieurs échangeurs moins profonds sont reliés [l-2, 1-38]; ils peuvent êtrecouplés à des collecteurs solaires [l-39], ou utilisés pour des dispositifsde stockage.
1,2.2.3 - Recherches dans ce domaine
Parallèlement aux réalisations en vraie grandeur, différents orga¬
nismes ont des bancs d'essais (par exemple EDF [l-40]).
Des établissements universitaires en liaison avec divers organismes,
entreprennent des recherches pour développer l'utilisation rationnelle du sol
comme source froide des pompes à chaleur ( action commune CETIAT-EDF-IMG-INSA*;
EPR Rhône-Alpes-INSA [l-26]).L'IMG* a développé l'étude des transferts thermiques et hydriques
dans le sol [l-4l], la caractérisation des propriétés thermo-hydrauliquesdu sol Ll-*2] et leur application à l'utilisation d'échangeurs enterrés.
L'étude d'un dispositif de stockage et sa réalisation ont faitl'objet de recherches au Laboratoire de thermocinétique de Nantes [l-43, 1-44],
En 1983, une synthèse bibliographique des différentes démarches
suivies pour étudier et dimensionner les échangeurs enterrés a été réalisée[l-3]. D'après les auteurs, les méthodes employées vont de l'empirisme au
modèle tridimensionnel utilisant les éléments finis, mais souvent les moyens
de calcul ne sont pas disponibles et il n'existe actuellement aucun "guide"général pour installer un echangeur enterré.
CETIAT : Centre d'Etudes Techniques des Industries Aérauliques et Thermiques(Villeurbanne)
EDF : Electricité De FranceIMG : Institut Mécanique de Grenoble
INSA : Institut National des Sciences Appliquées (Villeurbanne)
-32 -
1.3 - OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
Le présent mémoire concerne l'étude générale du dispositif
CORAIL (echangeur enterré vertical de type concentrique, cf. § 1.2.2.2, p. 29 )
et le projet de sa réalisation à Lannion.
1.3.1 - EjL'dde_£énéraje_jJu_clispositif_CO_RAI^L
L'objectif est la connaissance du comportement du dispositif
pour évaluer la taille des projets.
La mise au point d'un modèle mathématique pour la simulation
thermique de l'ensemble échangeur-encaissant fut réalisée.
Ce modèle fut mis en oeuvre pour prévoir le comportement thermique
de l'échangeur en fonction :
- de la géométrie (diamètre et profondeur),
- des caractéristiques du site (paramètres thermiques notamment),
- des conditions d'exploitation (débit de circulation et écart de
température prélevé).
La simulation sur plusieurs cycles saisonniers a permis de déterminer
le comportement du dispositif au cours du temps.
Des solutions analytiques ont permis de tester ce modèle pour
différents types de fonctionnement du dispositif. Ces solutions analytiques
sont suffisantes, surtout au stade de l'avant-projet alors que la connaissance
des caractéristiques de terrain est encore imprécise.
Le second volet du travail, fut l'étude du comportement du
dispositif dans son ensemble (echangeur + pompe à chaleur + circuit de distri¬
bution) afin d'appréhender les économies qu'il permet de réaliser.
-32 -
1.3 - OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
Le présent mémoire concerne l'étude générale du dispositif
CORAIL (echangeur enterré vertical de type concentrique, cf. § 1.2.2.2, p. 29 )
et le projet de sa réalisation à Lannion.
1.3.1 - EjL'dde_£énéraje_jJu_clispositif_CO_RAI^L
L'objectif est la connaissance du comportement du dispositif
pour évaluer la taille des projets.
La mise au point d'un modèle mathématique pour la simulation
thermique de l'ensemble échangeur-encaissant fut réalisée.
Ce modèle fut mis en oeuvre pour prévoir le comportement thermique
de l'échangeur en fonction :
- de la géométrie (diamètre et profondeur),
- des caractéristiques du site (paramètres thermiques notamment),
- des conditions d'exploitation (débit de circulation et écart de
température prélevé).
La simulation sur plusieurs cycles saisonniers a permis de déterminer
le comportement du dispositif au cours du temps.
Des solutions analytiques ont permis de tester ce modèle pour
différents types de fonctionnement du dispositif. Ces solutions analytiques
sont suffisantes, surtout au stade de l'avant-projet alors que la connaissance
des caractéristiques de terrain est encore imprécise.
Le second volet du travail, fut l'étude du comportement du
dispositif dans son ensemble (echangeur + pompe à chaleur + circuit de distri¬
bution) afin d'appréhender les économies qu'il permet de réaliser.
- 33
1.3.2 - Le_prototj^e_d_e Lanmon (22 - Côtes-du-Nord)
Dans la perspective d'une réalisation en vraie grandeur sur un
site choisi avant le début de ce travail (école maternelle du Rusquet
à Lannion - 22), l'étude de faisabilité technico-économique de ce projet a
été réalisée.
Les caractéristiques techniques et économiques liées au site
ont donc fait l'objet de recherches pendant ce travail (forages de reconnais¬
sance, mesures de conductivité thermique, recherche de coûts).
La réalisation de ce prototype, qui n'a pu être effective,
mais qui reste programmée pour l'année 1985, aurait permis de vérifier le
comportement prévu par le modèle et de suivre le fonctionnement réel d'un
dispositif CORAIL par des mesures appropriées : température dans le forage
et dans le sous-sol, débit du fluide, suivi du chauffage.
- 33
1.3.2 - Le_prototj^e_d_e Lanmon (22 - Côtes-du-Nord)
Dans la perspective d'une réalisation en vraie grandeur sur un
site choisi avant le début de ce travail (école maternelle du Rusquet
à Lannion - 22), l'étude de faisabilité technico-économique de ce projet a
été réalisée.
Les caractéristiques techniques et économiques liées au site
ont donc fait l'objet de recherches pendant ce travail (forages de reconnais¬
sance, mesures de conductivité thermique, recherche de coûts).
La réalisation de ce prototype, qui n'a pu être effective,
mais qui reste programmée pour l'année 1985, aurait permis de vérifier le
comportement prévu par le modèle et de suivre le fonctionnement réel d'un
dispositif CORAIL par des mesures appropriées : température dans le forage
et dans le sous-sol, débit du fluide, suivi du chauffage.
CHAPITRE 2
LE PROJET DE LANNION
CHAPITRE 2
LE PROJET DE LANNION
38
pompe de circulation-
^
Pompe ó choleur i 1
l ;?) i^^^
-7
/ tuboge superficieldes formations meubles
^ tube de remontée du fluide rechauffe
i IW
. i^V/ trou nu (e'ventuellement tube')
fluide de circulation permettent-l'echonge de calories avec les paroisdu forage
Figure 2-1 : Schéma de principe du procédé CORAIL[¿ckangeur enterré vertical)
[d'après AUSSEUH, SAUTV, coll. GRIMA, JAV [3-?]
38
pompe de circulation-
^
Pompe ó choleur i 1
l ;?) i^^^
-7
/ tuboge superficieldes formations meubles
^ tube de remontée du fluide rechauffe
i IW
. i^V/ trou nu (e'ventuellement tube')
fluide de circulation permettent-l'echonge de calories avec les paroisdu forage
Figure 2-1 : Schéma de principe du procédé CORAIL[¿ckangeur enterré vertical)
[d'après AUSSEUH, SAUTV, coll. GRIMA, JAV [3-?]
- 39
On présente ici le procédé CORAIL et son projet de réalisationà Lannion.
2.1 - LE PROCEDE CORAIL
(Schéma de principe : figure (2-1))
L'appellation du procédé "CORAIL" trouve son origine dans l'uti¬
lisation du phénomène physique de conduction thermique (Conduction RAdiale
en milieu ILlimité) pour exploiter thermiquement le sous-sol à des fins de
chauffage.
Ce procédé est mis en oeuvre sous la forme d'un echangeur enterré
vertical de type concentrique (§ 1.2.2.2). Relié à l'évaporateur d'une pompe à
chaleur (chapitre 4), cet echangeur prélève l'énergie sur le sous-sol par lesapports conduct! f s liés au gradient de température entre le sol et le fluide
caloporteur.
L'intensité du flux géothermique en France varie entre 4 et
14 10~^ W.m"^ dans le Massif Armoricain [l-6]. Ces valeurs ne permettentpas d'espérer une recharge thermique du sol entre deux saisons de chauffe,
mais la diffusion de la perturbation par conduction dans le sous-sol laisse
envisager un faible refroidissement au voisinage du puits d'un hiver à l'autre.
Suivant les conditions géologiques et hydrogéologiques locales,
le forage sera tube sur toute sa hauteur ou non. Les roches dures et peu ou
non productives autorisent un forage tube seulement sur les premiers mètres
(zone d'altération superficielle) ; les roches meubles obligent un tubage complet
pour des raisons de maintien du forage. Ces deux dispositifs conduisent évidemment
à des coûts différents.
Le tubage intérieur sera constitué d'un matériau relativement
peu conducteur pour limiter les court-circuits thermiques entre les deux
colonnes de fluide caloporteur.
Dans le cas d'un forage complètement tube le fluide caloporteur
pourra être de l'eau additionnée de glycol ce qui augmente la gamme d'utili¬
sation de la pompe à chaleur (point de solidification de l'eau diminué).
- 39
On présente ici le procédé CORAIL et son projet de réalisationà Lannion.
2.1 - LE PROCEDE CORAIL
(Schéma de principe : figure (2-1))
L'appellation du procédé "CORAIL" trouve son origine dans l'uti¬
lisation du phénomène physique de conduction thermique (Conduction RAdiale
en milieu ILlimité) pour exploiter thermiquement le sous-sol à des fins de
chauffage.
Ce procédé est mis en oeuvre sous la forme d'un echangeur enterré
vertical de type concentrique (§ 1.2.2.2). Relié à l'évaporateur d'une pompe à
chaleur (chapitre 4), cet echangeur prélève l'énergie sur le sous-sol par lesapports conduct! f s liés au gradient de température entre le sol et le fluide
caloporteur.
L'intensité du flux géothermique en France varie entre 4 et
14 10~^ W.m"^ dans le Massif Armoricain [l-6]. Ces valeurs ne permettentpas d'espérer une recharge thermique du sol entre deux saisons de chauffe,
mais la diffusion de la perturbation par conduction dans le sous-sol laisse
envisager un faible refroidissement au voisinage du puits d'un hiver à l'autre.
Suivant les conditions géologiques et hydrogéologiques locales,
le forage sera tube sur toute sa hauteur ou non. Les roches dures et peu ou
non productives autorisent un forage tube seulement sur les premiers mètres
(zone d'altération superficielle) ; les roches meubles obligent un tubage complet
pour des raisons de maintien du forage. Ces deux dispositifs conduisent évidemment
à des coûts différents.
Le tubage intérieur sera constitué d'un matériau relativement
peu conducteur pour limiter les court-circuits thermiques entre les deux
colonnes de fluide caloporteur.
Dans le cas d'un forage complètement tube le fluide caloporteur
pourra être de l'eau additionnée de glycol ce qui augmente la gamme d'utili¬
sation de la pompe à chaleur (point de solidification de l'eau diminué).
41
Ce procédé présente les avantages suivants :
- dans les roches dures où la pose de serpentins est difficile,
un dispositif CORAIL est facilement réalisable grâce à la technique de
forage dite du marteau fond de trou (rotation h- percussion),
- les températures disponibles à la source froide de la pompe
à chaleur (cf. chapitre 4) ne subissent pas les variations atmosphériques.
- l'emprise au sol est relativement réduite par rapport aux
dispositifs d'échangeurs enterrés horizontaux,
- l'utilisation des pompes à chaleur EAU/EAU est autorisée dans
des zones peu productives d'un point de vue hydraulique.
En outre sa mise en oeuvre ne se limite pas aux roches cohérentes
et peu productives, mais est envisageable :
- dans les roches meubles imperméables et saturées en eau (argiles,marnes,...) ; la présence d'eau assure la conduction de la chaleur,
- dans les aquifères quand des problèmes de qualité chimique se po¬
sent, ou lorsque les ressources hydrauliques doivent satisfaire prioritairement
d'autres besoins que le chauffage (alimentation en eau potable par exemple).
Ce dispositif peut être également utilisé pour le stockage inter¬
saisonnier de calories dans le sous-sol : circulation d'eau chaude durant
l'été qui réchauffe le sol et circulation d'eau froide l'hiver qui récupère
les calories stockées l'été .
2.2 - DESCRIPTION DU SITE EXPERIMENTAL DE LANNION
Le site expérimental fut choisi par le service hydro-énergie du
Bureau de Recherches Géologiques et Minières (B.R.G.M.) et le Service Géologique
Régional de Rennes en liaison avec la municipalité de Lannion (22 - Côtes-du-Nord)
favorable à la réalisation d'un tel projet sur le territoire communal. L'école
maternelle du Rusquet située au Nord-Est de Lannion (voir figures Ç.-2) et g-3))fut retenue en raison de la présence de granite (conductivité thermique de
l'ordre de 3,2 Wm~ K" pour les granites bretons [2-l] ). De plus, l'existence
41
Ce procédé présente les avantages suivants :
- dans les roches dures où la pose de serpentins est difficile,
un dispositif CORAIL est facilement réalisable grâce à la technique de
forage dite du marteau fond de trou (rotation h- percussion),
- les températures disponibles à la source froide de la pompe
à chaleur (cf. chapitre 4) ne subissent pas les variations atmosphériques.
- l'emprise au sol est relativement réduite par rapport aux
dispositifs d'échangeurs enterrés horizontaux,
- l'utilisation des pompes à chaleur EAU/EAU est autorisée dans
des zones peu productives d'un point de vue hydraulique.
En outre sa mise en oeuvre ne se limite pas aux roches cohérentes
et peu productives, mais est envisageable :
- dans les roches meubles imperméables et saturées en eau (argiles,marnes,...) ; la présence d'eau assure la conduction de la chaleur,
- dans les aquifères quand des problèmes de qualité chimique se po¬
sent, ou lorsque les ressources hydrauliques doivent satisfaire prioritairement
d'autres besoins que le chauffage (alimentation en eau potable par exemple).
Ce dispositif peut être également utilisé pour le stockage inter¬
saisonnier de calories dans le sous-sol : circulation d'eau chaude durant
l'été qui réchauffe le sol et circulation d'eau froide l'hiver qui récupère
les calories stockées l'été .
2.2 - DESCRIPTION DU SITE EXPERIMENTAL DE LANNION
Le site expérimental fut choisi par le service hydro-énergie du
Bureau de Recherches Géologiques et Minières (B.R.G.M.) et le Service Géologique
Régional de Rennes en liaison avec la municipalité de Lannion (22 - Côtes-du-Nord)
favorable à la réalisation d'un tel projet sur le territoire communal. L'école
maternelle du Rusquet située au Nord-Est de Lannion (voir figures Ç.-2) et g-3))fut retenue en raison de la présence de granite (conductivité thermique de
l'ordre de 3,2 Wm~ K" pour les granites bretons [2-l] ). De plus, l'existence
LANNION
Antécambnen (Séries séotmen-taires , métamorphiques et gro -nitiques )
r - V ' - ' O Granites alcotms à btotite et musawite (leucogrcmles)L ^ r M ' 3 hercyniens
| Hourller K ' ' . ' ' A Granites calco-alcolins et Granodiontes hercyniens
^ Dinaniien g g g j Migmatites pré-hercyniennes
^ n DrdOYiaeo- p-;.-.-.-.-.j^ J Silunen-Dévonen L . . j Graftiles anstectiques pre-hercyniens
lV--ï:\ CanÈrien |||||f|| Axe granito - gneissique Moelan-Lonvou);
L e Massif Armoricain : structure et granites hercyniens.
F-iqu-te 2-2 : Stnn.ctun.e- gté,o£og¿qu.t da Ua&&¿¿ AtmonÁccuLnJ. GÕGNÊ, 1974 [2-4])
43 -
de nombreux massifs de granite en Bretagne permet d'envisager le développement
ultérieur du dispositif.
Un deuxième site avait également été proposé à Beg-Leguer (Ouest
de Lannion) directement sur un affleurement du batholite de granite de
Plouaret ; mais la consommation annuelle de chauffage du local communal, utilisé
par différentes associations^ était trop faible pour envisager les investisse¬
ments impliqués par un dispositif CORAIL, et le site a été abandonné.
Avant de dimensionner le projet CORAIL de Lannion, il était néces¬
saire de préciser les caractéristiques locales du sous-sol (géologiques, hydro¬
géologiques et thermiques) ainsi que les besoins en chauffage à satisfaire.
La collaboration avec le service géologique de Rennes et les services munici¬
paux de Lannion a facilité ces recherches.
2.2.1 - Les données souterraines
Les documents suivants ont été consultés :
- carte géologique de la France au 1/80 000, feuille géologique de
Lannion n° 41 [2-2],
- carte topographique au 1/25 000, feuille de Lannion n° 1, 2 [2-3]*
2.2.1.1 - Contexte régional
De façon générale le Massif Armoricain est constitué de roches
sédimentaires, métamorphiques, volcaniques et plutoniques datant des temps
précambriens et paléozoîques ; affecté par une succession d'orogenèses^ deux
précambriennes et une paléozoïque , il présente une structure complexe.
Lannion est situé dans le "domaine Dommonéen" (zone Nord Armo¬
ricaine) où apparaît le socle le plus ancien sur lequel reposent des formations
briovériennes (figure (2-2) , COGNE, [2-4]).
A Lannion affleurent les éléments d'une formation ancienne appelée
"l'ensemble de Perros-Trébeurden" constitué d'un ancien granite calco-alcalin
écrasé, épidotisé, découpé par des microdiorites et des dolérites plus
récentes.
43 -
de nombreux massifs de granite en Bretagne permet d'envisager le développement
ultérieur du dispositif.
Un deuxième site avait également été proposé à Beg-Leguer (Ouest
de Lannion) directement sur un affleurement du batholite de granite de
Plouaret ; mais la consommation annuelle de chauffage du local communal, utilisé
par différentes associations^ était trop faible pour envisager les investisse¬
ments impliqués par un dispositif CORAIL, et le site a été abandonné.
Avant de dimensionner le projet CORAIL de Lannion, il était néces¬
saire de préciser les caractéristiques locales du sous-sol (géologiques, hydro¬
géologiques et thermiques) ainsi que les besoins en chauffage à satisfaire.
La collaboration avec le service géologique de Rennes et les services munici¬
paux de Lannion a facilité ces recherches.
2.2.1 - Les données souterraines
Les documents suivants ont été consultés :
- carte géologique de la France au 1/80 000, feuille géologique de
Lannion n° 41 [2-2],
- carte topographique au 1/25 000, feuille de Lannion n° 1, 2 [2-3]*
2.2.1.1 - Contexte régional
De façon générale le Massif Armoricain est constitué de roches
sédimentaires, métamorphiques, volcaniques et plutoniques datant des temps
précambriens et paléozoîques ; affecté par une succession d'orogenèses^ deux
précambriennes et une paléozoïque , il présente une structure complexe.
Lannion est situé dans le "domaine Dommonéen" (zone Nord Armo¬
ricaine) où apparaît le socle le plus ancien sur lequel reposent des formations
briovériennes (figure (2-2) , COGNE, [2-4]).
A Lannion affleurent les éléments d'une formation ancienne appelée
"l'ensemble de Perros-Trébeurden" constitué d'un ancien granite calco-alcalin
écrasé, épidotisé, découpé par des microdiorites et des dolérites plus
récentes.
•Ii'- Puits avec profondeur et' niveau eau sous le sol
•Fi forage Rusquet
• Source
-i_r Carrière
Blocs de granite en surface
¡à Granite sous limons
Chlorjtoschjstes sous limons
2-3 : R¿&ut£a£¿ de. la. pfioòptcJ:À.on géolog-Lque. <¿t•&UA ¿ G ¿¿£e cía Ru¿^ae>í (i<owd topoqiapklquz IGWau Z/25 ÖOOema - ííeaxXÊc de LANNÍON n° 1-2).
- 45
Ce granite, rendu célèbre par "la côte de granite rose" de
Perros-Guirrec qu'il constitue, est à Lannion en contact avec des schistes.
2.2.1.2 - Reconnaissance qéoloqique et hydroqéoloqique locale
La limite indiquée sur la carte géologique entre granite au Nord et
chlorito-schistes au Sud doit être précisée localement pour implanter
le dispositif CORAIL. Près du Rusquet, le recouvrement peut atteindre une
dizaine de mètres ; il masque le contact granité-schistes rendant sa
localisation délicate.
L^-12'íQéP^9Í¿-2*}^4-^.é\¿^Ú^9-?r ^ permis de reconnaître trois contacts :
- à l'Ouest de l'école : à proximité de la route de Perros-Guirrec , les
schistes situés au Sud peuvent correspondre à une enclave dans les gra¬
nites qui est localisée sur la carte géologique au 1/80 000 ;
- à l'Est de l'école : au Nord de la route, les champs révèlent des
blocs de granite et au Sud une tranchée indique la présence des
schistes ;
- au Sud-Est du deuxième contact : des blocs de granite au Nord et une
carrière dans les schistes au Sud mettent en évidence le troisième contact.
Les résultats de cette prospection de surface sont précisés sur
l'extrait de carte au 1/25 000 joint (fiqure (2-3)).
Un échantillon de granite (20 x 20 x 40 cm environ) a été
prélevé à 3 mètres sous le sol, dans une excavation pour les matériaux d'empier¬
rement (situation figure (2-3)Vafin de faire des mesures de conductivité
thermique en laboratoire.
Dans ce secteur aucun forage n'est connu, mais cinq puits de
8 à 11 mètres de profondeur ont été trouvés (voir figure (2~3)). Ces puits dont
le niveau piézométrique est situé à 2 mètres pour l'un et entre 6 et 9 mètres
pour les autres, sont tous inexploités.
- 45
Ce granite, rendu célèbre par "la côte de granite rose" de
Perros-Guirrec qu'il constitue, est à Lannion en contact avec des schistes.
2.2.1.2 - Reconnaissance qéoloqique et hydroqéoloqique locale
La limite indiquée sur la carte géologique entre granite au Nord et
chlorito-schistes au Sud doit être précisée localement pour implanter
le dispositif CORAIL. Près du Rusquet, le recouvrement peut atteindre une
dizaine de mètres ; il masque le contact granité-schistes rendant sa
localisation délicate.
L^-12'íQéP^9Í¿-2*}^4-^.é\¿^Ú^9-?r ^ permis de reconnaître trois contacts :
- à l'Ouest de l'école : à proximité de la route de Perros-Guirrec , les
schistes situés au Sud peuvent correspondre à une enclave dans les gra¬
nites qui est localisée sur la carte géologique au 1/80 000 ;
- à l'Est de l'école : au Nord de la route, les champs révèlent des
blocs de granite et au Sud une tranchée indique la présence des
schistes ;
- au Sud-Est du deuxième contact : des blocs de granite au Nord et une
carrière dans les schistes au Sud mettent en évidence le troisième contact.
Les résultats de cette prospection de surface sont précisés sur
l'extrait de carte au 1/25 000 joint (fiqure (2-3)).
Un échantillon de granite (20 x 20 x 40 cm environ) a été
prélevé à 3 mètres sous le sol, dans une excavation pour les matériaux d'empier¬
rement (situation figure (2-3)Vafin de faire des mesures de conductivité
thermique en laboratoire.
Dans ce secteur aucun forage n'est connu, mais cinq puits de
8 à 11 mètres de profondeur ont été trouvés (voir figure (2~3)). Ces puits dont
le niveau piézométrique est situé à 2 mètres pour l'un et entre 6 et 9 mètres
pour les autres, sont tous inexploités.
46
Rouf t/0 LANNION au RUSOUET
5m
F.2Parking
F.l
A?,«"rf
Figure 2-4 : Plan de situation des forages de reconnaissanceF. e.t F. à l'école du Rusquzt [Lannion).
46
Rouf t/0 LANNION au RUSOUET
5m
F.2Parking
F.l
A?,«"rf
Figure 2-4 : Plan de situation des forages de reconnaissanceF. e.t F. à l'école du Rusquzt [Lannion).
- 47
La présence de sources près du puits P2 (situé sur la figure (2-3))
est sans doute liée à l'existence d'une zone faillée et au contact granité-
schistes.
Ces reconnaissances de surface ont été étayées par la réalisation
de deux forages près de l'école du Rusquet.
E2^?3§-i_^2._^e.ço(a!aaX6;oance
Deux forages ont été réalisés le 7 Juin 1983 par l'entreprise
Claude Lefeuvre (Lamballe - 22), en 110 millimètres de diamètre par la
technique du marteau fond de trou.
Le premier forage Fl implanté le plus près possible de la chaufferie
de l'école (fiqure (2-4)) atteint 34 mètres de profondeur. Il traverse 23 mètres
de recouvrement (limons avec des éléments schisteux de plus en plus gros avec
la profondeur) et recoupe ensuite des chlorito-schistes vert-gris à grains
fins. Dès le début les cuttings*présentaient une légère humidité, et à partirde 25 mètres une venue d'eau plus régulière suffisait à remplir le forage
lors de chaque arrêt pour l'ajout d'une tige supplémentaire. La vitesse de
foration (6 minutes pour 3 mètres) montre le caractère tendre des schistes.
Des venues d'eau beaucoup plus importantes sont à craindre, du fait de la
proximité des granites et d'un contact avec d'éventuels filons de quartz.
La mise en oeuvre du dispositif CORAIL (initialement prévu dans
un sous-sol granitique) n'étant pas réalisable dans un tel contexte, un
deuxième forage de reconnaissance F2 a été effectué plus au Nord en direction
du granite.
Ce forage F2, situé à une vingtaine de mètres de Fl, sur le
parking devant l'école, atteint 37 mètres de profondeur. Après un recouvrement
de nature granitique de 4 mètres, le forage rencontre le granite altéré et
tendre (4 à 5 minutes suffisent pour forer 3 mètres**) jusqu'à 13 mètres où
il devient plus dur (7 à 11 minutes pour forer 3 mètres). La présence de petites
boulettes d'argile beige-rose peut correspondre à des feldspaths complètement
altérés. Jusqu'à 25 mètres le forage est peu humide, mais l'arrêt de la
* Cuttings : déblais de forage** La foration de 3 mètres d'un granite dur et sain nécessite une demi -heure
à deux heures.
- 47
La présence de sources près du puits P2 (situé sur la figure (2-3))
est sans doute liée à l'existence d'une zone faillée et au contact granité-
schistes.
Ces reconnaissances de surface ont été étayées par la réalisation
de deux forages près de l'école du Rusquet.
E2^?3§-i_^2._^e.ço(a!aaX6;oance
Deux forages ont été réalisés le 7 Juin 1983 par l'entreprise
Claude Lefeuvre (Lamballe - 22), en 110 millimètres de diamètre par la
technique du marteau fond de trou.
Le premier forage Fl implanté le plus près possible de la chaufferie
de l'école (fiqure (2-4)) atteint 34 mètres de profondeur. Il traverse 23 mètres
de recouvrement (limons avec des éléments schisteux de plus en plus gros avec
la profondeur) et recoupe ensuite des chlorito-schistes vert-gris à grains
fins. Dès le début les cuttings*présentaient une légère humidité, et à partirde 25 mètres une venue d'eau plus régulière suffisait à remplir le forage
lors de chaque arrêt pour l'ajout d'une tige supplémentaire. La vitesse de
foration (6 minutes pour 3 mètres) montre le caractère tendre des schistes.
Des venues d'eau beaucoup plus importantes sont à craindre, du fait de la
proximité des granites et d'un contact avec d'éventuels filons de quartz.
La mise en oeuvre du dispositif CORAIL (initialement prévu dans
un sous-sol granitique) n'étant pas réalisable dans un tel contexte, un
deuxième forage de reconnaissance F2 a été effectué plus au Nord en direction
du granite.
Ce forage F2, situé à une vingtaine de mètres de Fl, sur le
parking devant l'école, atteint 37 mètres de profondeur. Après un recouvrement
de nature granitique de 4 mètres, le forage rencontre le granite altéré et
tendre (4 à 5 minutes suffisent pour forer 3 mètres**) jusqu'à 13 mètres où
il devient plus dur (7 à 11 minutes pour forer 3 mètres). La présence de petites
boulettes d'argile beige-rose peut correspondre à des feldspaths complètement
altérés. Jusqu'à 25 mètres le forage est peu humide, mais l'arrêt de la
* Cuttings : déblais de forage** La foration de 3 mètres d'un granite dur et sain nécessite une demi -heure
à deux heures.
49
foration de midi à deux heures est suffisant pour le remplir d'eau, et de
30 à 37 mètres l'humidité ne cesse d'augmenter, les cuttings devenant une
boue avec beaucoup d'éléments de quartz et de feldspaths rosés.
D'après ceci, il est possible que sur une plus grande profondeur
forée, un rabattement de nappe dans le granite puisse produire un à quelques
mètres cubes d'eau par heure.
Dans ce forage F2, équipé d'un simple tube PVC le 7 juin 1983,
le niveau d'eau mesuré le 14 juin 1983 était de 10 mètres sous le sol.
- En résumé :
- le forage Fl a rencontré les chlorito-schistes à proximité du
contact avec le granite et on risque d'avoir un débit d'eau notable avec la
profondeur ;
- le forage F2, a atteint le granite qui présente une altération
en surface et contient de l'eau (niveau statique à 10 mètres sous le sol). La
mesure de la conductivité thermique de ce granite (présentée au paragraphe
suivant) a prouvé un contexte favorable même si le granite révélé par le
forage F2 n'est ni complètement sain, ni totalement non productif (la présence
d'eau étant par ailleurs un élément positif sur le plan thermique).
2.2.1.3 - Mesures de conductivité thermique
Dans l'échantillon de granite prélevé à l'Est du Rusquet, deux
carottes (diamètre 8 cm, longueur 15 cm) ont été découpées par le laboratoire
de géotechnique (BRGM, Orléans) ; sur celles-ci coupées en demi -cyclindres
ont été réalisées des mesures de conductivité thermique en régime transitoire
avec l'appareil SHOTERM-QTM Dl Showa-Denko (principe de la mesure et schéma
de l'appareil donnés en annexe n°3) [2-5].
Les mesures ont été faites sur les carottes séchées à l'étuve
dans une première phase, puis sur les carottes saturées en eau , après séchage
de 2 jours à l'étuve.
49
foration de midi à deux heures est suffisant pour le remplir d'eau, et de
30 à 37 mètres l'humidité ne cesse d'augmenter, les cuttings devenant une
boue avec beaucoup d'éléments de quartz et de feldspaths rosés.
D'après ceci, il est possible que sur une plus grande profondeur
forée, un rabattement de nappe dans le granite puisse produire un à quelques
mètres cubes d'eau par heure.
Dans ce forage F2, équipé d'un simple tube PVC le 7 juin 1983,
le niveau d'eau mesuré le 14 juin 1983 était de 10 mètres sous le sol.
- En résumé :
- le forage Fl a rencontré les chlorito-schistes à proximité du
contact avec le granite et on risque d'avoir un débit d'eau notable avec la
profondeur ;
- le forage F2, a atteint le granite qui présente une altération
en surface et contient de l'eau (niveau statique à 10 mètres sous le sol). La
mesure de la conductivité thermique de ce granite (présentée au paragraphe
suivant) a prouvé un contexte favorable même si le granite révélé par le
forage F2 n'est ni complètement sain, ni totalement non productif (la présence
d'eau étant par ailleurs un élément positif sur le plan thermique).
2.2.1.3 - Mesures de conductivité thermique
Dans l'échantillon de granite prélevé à l'Est du Rusquet, deux
carottes (diamètre 8 cm, longueur 15 cm) ont été découpées par le laboratoire
de géotechnique (BRGM, Orléans) ; sur celles-ci coupées en demi -cyclindres
ont été réalisées des mesures de conductivité thermique en régime transitoire
avec l'appareil SHOTERM-QTM Dl Showa-Denko (principe de la mesure et schéma
de l'appareil donnés en annexe n°3) [2-5].
Les mesures ont été faites sur les carottes séchées à l'étuve
dans une première phase, puis sur les carottes saturées en eau , après séchage
de 2 jours à l'étuve.
50 -
3 m
9.50 m \y^
Culslnz Réfzctoirz ;
26 m
7.50 m
6 m
[Hauteur moyenne 3 m]
2 salles de glace+
7 salle de jeux
Figure 2-5 : Plan de masse de l'école du Rusquet [d'après lesdonnées des services techniques municipaux de
Lannion [_2-7']) .
50 -
3 m
9.50 m \y^
Culslnz Réfzctoirz ;
26 m
7.50 m
6 m
[Hauteur moyenne 3 m]
2 salles de glace+
7 salle de jeux
Figure 2-5 : Plan de masse de l'école du Rusquet [d'après lesdonnées des services techniques municipaux de
Lannion [_2-7']) .
51
Une série de 40 mesures (la position du fil chauffant variant
entre chaque mesure) conduit à une conductivité thermique moyenne de 2,71 W.m~^K~
(écart-type = 0,10 W.m~^K"M.
» EchantilZqn_sapuré_en_eau
Une série de 30 mesures conduit à une valeur moyenne de conductivité
thermique de 3,52 W.m"^K~^ (écart-type = 0,41 W.m"^K~M.
La dispersion plus grande des mesures sur l'échantillon saturé en
eau peut être liée à la présence de fractures dans la carotte qui privilégient
certaines directions au cours des mesures (zones pleines d'eau) et à la fia¬
bilité de l'appareil.
Les valeurs de conductivité thermique du granite connues en
Bretagne sont de l'ordre de 3,2 W.m ^K ' [2-l] ; celles mesurées sur
l'échantillon de Lannion sont du même ordre de grandeur.
Pour le dimensionnement du projet de Lannion, la valeur de
3,2 W.m~^K~^ sera utilisée, afin de ne pas faire des prévisions trop optimistes.
2.2.2 - Les données sur la partie de surface du site expérimental [2-6]
Les données communiquées par les services techniques municipaux
de Lannion qui assurent l'entretien du dispositif de chauffage de l'école du
Rusquet, sont les suivantes :
2.2.2.1 - Le bâtiment
(plan de masse figure (2-5))
L'école maternelle du Rusquet, construite directement sur le sol,
sans vide sanitaire, ni sous-sol, comprend deux classes, une cuisine, un
réfectoire, une salle de jeux de plain-pied en un seul corps de bâtiment,
sans logement de fonction.
Les murs en béton sont recouverts de deux couches d'enduit.
51
Une série de 40 mesures (la position du fil chauffant variant
entre chaque mesure) conduit à une conductivité thermique moyenne de 2,71 W.m~^K~
(écart-type = 0,10 W.m~^K"M.
» EchantilZqn_sapuré_en_eau
Une série de 30 mesures conduit à une valeur moyenne de conductivité
thermique de 3,52 W.m"^K~^ (écart-type = 0,41 W.m"^K~M.
La dispersion plus grande des mesures sur l'échantillon saturé en
eau peut être liée à la présence de fractures dans la carotte qui privilégient
certaines directions au cours des mesures (zones pleines d'eau) et à la fia¬
bilité de l'appareil.
Les valeurs de conductivité thermique du granite connues en
Bretagne sont de l'ordre de 3,2 W.m ^K ' [2-l] ; celles mesurées sur
l'échantillon de Lannion sont du même ordre de grandeur.
Pour le dimensionnement du projet de Lannion, la valeur de
3,2 W.m~^K~^ sera utilisée, afin de ne pas faire des prévisions trop optimistes.
2.2.2 - Les données sur la partie de surface du site expérimental [2-6]
Les données communiquées par les services techniques municipaux
de Lannion qui assurent l'entretien du dispositif de chauffage de l'école du
Rusquet, sont les suivantes :
2.2.2.1 - Le bâtiment
(plan de masse figure (2-5))
L'école maternelle du Rusquet, construite directement sur le sol,
sans vide sanitaire, ni sous-sol, comprend deux classes, une cuisine, un
réfectoire, une salle de jeux de plain-pied en un seul corps de bâtiment,
sans logement de fonction.
Les murs en béton sont recouverts de deux couches d'enduit.
- 52
ELEMENTS
Toiture
Sol
Murs
Vitrages
COEFFICIENT DE TRANSMISSION THERMIQUE
K en H ai~' k""'
2
1
2
5
Tableau 2-(-> : Propriétés thermiques [coefficient de transmissiontiiermlque K] des différentes parties de l'école[d'après donnézs des services techniques municipauxde Lannion [2-7])
brîiltur FOD-'
Figure 2-7 ; Schéma simpadfié de l' Installation existante duchauffage de l'école maternelle du Rusquet àLannion.
[d'après données des services technlque-i municipaux deLannion - [2-7] ) .
- 52
ELEMENTS
Toiture
Sol
Murs
Vitrages
COEFFICIENT DE TRANSMISSION THERMIQUE
K en H ai~' k""'
2
1
2
5
Tableau 2-(-> : Propriétés thermiques [coefficient de transmissiontiiermlque K] des différentes parties de l'école[d'après donnézs des services techniques municipauxde Lannion [2-7])
brîiltur FOD-'
Figure 2-7 ; Schéma simpadfié de l' Installation existante duchauffage de l'école maternelle du Rusquet àLannion.
[d'après données des services technlque-i municipaux deLannion - [2-7] ) .
53
Les fenêtres à montures en bois, ont des vitraoes simóles, leurs
ouvertures à bascule sont en bon état. Le renouvellement d'air estimé à deux
volumes par heure a lieu pendant les récréations.
La toiture en ardoises, repose sur des combles non isolés.
Les propriétés thermiques des surfaces de l'école (toit, murs,
vitres) dont dépendent directement les déperditions thermiques donc les besoins
en chauffage (cf. chapitre 4) sont résumées dans le tableau (2-6) .
Le volume à chauffer est de 1110 m'.
2.2.2.2 - Le système de chauffage actuel
L'école est chauffée par une chaudière (type mixte en acier,
marque OTTE) d'une puissance de 85 thermies par heure (~ 99 kW) et d'un rende¬
ment de 74 ?á.
Le combustible utilisé est du Fuel-Oil-Domestique* ( FOD), lefluide caloporteur de l'eau ; les pièces sont équipées de radiateurs en
tôle munis de robinets thermostatiques.
La mise en route du chauffage est contrôlée par programmation
horaire de 6 heures à midi en demi-saison et de 6 heures à 18 heures en saison
hivernale.
De plus, la température en départ du circuit de distribution est
régulée par une vanne mélange trois voies afin qu'elle suive une loi linéaire
fonction de la température extérieure, elle-même mesurée par une sonde thermique.
Le schéma simplifié de l'installation est donné fioure (2-7) .
La consommation de fioul durant l'hiver 1982/1983 s'élève à
3 528 litres, la température de consigne (chapitre 4) de 19°C ayant toujours
été maintenue.
* Fuel-Oil-Domestique ou Fioul Domestique.
53
Les fenêtres à montures en bois, ont des vitraoes simóles, leurs
ouvertures à bascule sont en bon état. Le renouvellement d'air estimé à deux
volumes par heure a lieu pendant les récréations.
La toiture en ardoises, repose sur des combles non isolés.
Les propriétés thermiques des surfaces de l'école (toit, murs,
vitres) dont dépendent directement les déperditions thermiques donc les besoins
en chauffage (cf. chapitre 4) sont résumées dans le tableau (2-6) .
Le volume à chauffer est de 1110 m'.
2.2.2.2 - Le système de chauffage actuel
L'école est chauffée par une chaudière (type mixte en acier,
marque OTTE) d'une puissance de 85 thermies par heure (~ 99 kW) et d'un rende¬
ment de 74 ?á.
Le combustible utilisé est du Fuel-Oil-Domestique* ( FOD), lefluide caloporteur de l'eau ; les pièces sont équipées de radiateurs en
tôle munis de robinets thermostatiques.
La mise en route du chauffage est contrôlée par programmation
horaire de 6 heures à midi en demi-saison et de 6 heures à 18 heures en saison
hivernale.
De plus, la température en départ du circuit de distribution est
régulée par une vanne mélange trois voies afin qu'elle suive une loi linéaire
fonction de la température extérieure, elle-même mesurée par une sonde thermique.
Le schéma simplifié de l'installation est donné fioure (2-7) .
La consommation de fioul durant l'hiver 1982/1983 s'élève à
3 528 litres, la température de consigne (chapitre 4) de 19°C ayant toujours
été maintenue.
* Fuel-Oil-Domestique ou Fioul Domestique.
54 -
2.2.3 - L'environnement climatiq^ue
2.2.3.1 - Contexte régional
La Bretagne, bordée par la mer, présente un climat tempéré océanique
caractérisé par des étés modérés, des hivers doux, et de faibles amplitudes
thermiques diurnes et saisonnières.
Spatialement de faibles amplitudes existent entre l'Est et l'Ouest
(influence de la mer) et le Nord et le Sud.
La répartition des pluies se fait tout au long de l'année en
épisodes de faible intensité : c'est le "crachin breton" pendant 150 à 200 jours
par an. Pour une année moyenne la hauteur des précipitations est de 1100 mm à
Brest, 1300 mm aux Monts d'Arrée et de 700 mm à Rennes. Sur les côtes on recense
20 à 40 jours de brouillard par an contre 70 à 114 à l'intérieur (essentiellement
de Novembre à Janvier) [2-7].
2.2.3.2 - Données locales
La Météorologie Nationale ne publie pas dans les relevés mensuels
du temps (R.M. T.) de séries d'observations sur Lannion.
Par ailleurs, les services techniques municipaux connaissent la valeur
du DJU * (Degrés-Jours-Unifiés) sur la période du 15 Octobre au 16 Mai :
2076°C X jour.
Les données de température de Brest seront utilisées, les deux
sites ayant des comportements proches, pour dimensionner la pompe à chaleur
(chapitre 4) et réaliser l'étude de l'installation complète (chapitre 5).
DJU : Notion définie dans le chapitre 4.
54 -
2.2.3 - L'environnement climatiq^ue
2.2.3.1 - Contexte régional
La Bretagne, bordée par la mer, présente un climat tempéré océanique
caractérisé par des étés modérés, des hivers doux, et de faibles amplitudes
thermiques diurnes et saisonnières.
Spatialement de faibles amplitudes existent entre l'Est et l'Ouest
(influence de la mer) et le Nord et le Sud.
La répartition des pluies se fait tout au long de l'année en
épisodes de faible intensité : c'est le "crachin breton" pendant 150 à 200 jours
par an. Pour une année moyenne la hauteur des précipitations est de 1100 mm à
Brest, 1300 mm aux Monts d'Arrée et de 700 mm à Rennes. Sur les côtes on recense
20 à 40 jours de brouillard par an contre 70 à 114 à l'intérieur (essentiellement
de Novembre à Janvier) [2-7].
2.2.3.2 - Données locales
La Météorologie Nationale ne publie pas dans les relevés mensuels
du temps (R.M. T.) de séries d'observations sur Lannion.
Par ailleurs, les services techniques municipaux connaissent la valeur
du DJU * (Degrés-Jours-Unifiés) sur la période du 15 Octobre au 16 Mai :
2076°C X jour.
Les données de température de Brest seront utilisées, les deux
sites ayant des comportements proches, pour dimensionner la pompe à chaleur
(chapitre 4) et réaliser l'étude de l'installation complète (chapitre 5).
DJU : Notion définie dans le chapitre 4.
55 -
2.3 - CONCLUSION
Dans ce chapitre ont été présentés, le procédé de l'échangeur
enterré de type concentré CORAIL ,et le site retenu, préalablement à ce travail,
pour une expérimentation (l'école maternelle du Rusquet à Lannion, Côtes-du-Nord) ,
Par des recherches variées, on a précisé les données, relatives
au site, nécessaires à l'étude du projet. Elles concernent :
- la partie souterraine (nature et conductivité thermique
du sous-sol),
- la partie de surface (caractéristiques thermiques du
bâtiment et contexte climatique).
L'étude du comportement thermique de l'échangeur va être
maintenant envisagée.
55 -
2.3 - CONCLUSION
Dans ce chapitre ont été présentés, le procédé de l'échangeur
enterré de type concentré CORAIL ,et le site retenu, préalablement à ce travail,
pour une expérimentation (l'école maternelle du Rusquet à Lannion, Côtes-du-Nord) ,
Par des recherches variées, on a précisé les données, relatives
au site, nécessaires à l'étude du projet. Elles concernent :
- la partie souterraine (nature et conductivité thermique
du sous-sol),
- la partie de surface (caractéristiques thermiques du
bâtiment et contexte climatique).
L'étude du comportement thermique de l'échangeur va être
maintenant envisagée.
CHAPITRE 3
COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'ECHANGEUR
CHAPITRE 3
COMPORTEMENT THERMIQUE DE L'ECHANGEUR
59
Dans ce chapitre l'étude du comportement thermique du dispositif
CORAIL sera présentée.
Deux démarches ont été suivies :
- résolution analytique :
. dans un premier temps avec la solution proposée par
H.J. RAMEY [3-I] qui donne la température du fluide dans l'échangeur ;
. puis à l'aide des solutions développées (à partir de
celle de RAMEY), pour différents types de fonctionnement du dispositif, dans
le cadre de l'étude générale du dispositif CORAIL (Projet CORAIL (Pompe à
chaleur sol-eau) Rapport final - première partie- Etude générale et conclu¬
sions d'ensemble - AUSSEUR, SAUTY, coll. GRIMA, JAY [3-2]).
- simulation numérique des transferts thermiques au sein du dispo¬
sitif et du milieu géologique environnant, à savoir résolution par la méthode
des différences finies de l'équation de la chaleur sous réserve d'hypothèses
simplificatrices et avec prise en compte des conditions initiales et aux
limites.
Deux logiciels de calcul ont donc été écrits.
Le premier est l'expression en langage FORTRAN de la solution de
RAMEY pour calculer la température en sortie d'échangeur en fonction des
caractéristiques du dispositif étudié.
Pour le second, simulation numérique des transferts thermiques dans
le dispositif, il a fallu analyser le problème posé, le mettre en équations
et résoudre celles-ci, avec certaines hypothèses, par des techniques numériques.
Son application au projet de LANNION a servi de base au rapport : Projet CORAIL
(pompe à chaleur sol-eau) Rapport final. Deuxième partie : étude de faisabi¬
lité d'un prototype à Lannion (Côtes-du-Nord) - AUSSEUR, JAY, SAUTY, TALBO [3-3],Ce logiciel a également été utilisé pour l'étude des dispositifs de stockage
(série d'échangeurs type CORAIL qui permet de créer un stock thermique dans
le sous-sol) quand chaque echangeur suit le même mode d'exploitation.
59
Dans ce chapitre l'étude du comportement thermique du dispositif
CORAIL sera présentée.
Deux démarches ont été suivies :
- résolution analytique :
. dans un premier temps avec la solution proposée par
H.J. RAMEY [3-I] qui donne la température du fluide dans l'échangeur ;
. puis à l'aide des solutions développées (à partir de
celle de RAMEY), pour différents types de fonctionnement du dispositif, dans
le cadre de l'étude générale du dispositif CORAIL (Projet CORAIL (Pompe à
chaleur sol-eau) Rapport final - première partie- Etude générale et conclu¬
sions d'ensemble - AUSSEUR, SAUTY, coll. GRIMA, JAY [3-2]).
- simulation numérique des transferts thermiques au sein du dispo¬
sitif et du milieu géologique environnant, à savoir résolution par la méthode
des différences finies de l'équation de la chaleur sous réserve d'hypothèses
simplificatrices et avec prise en compte des conditions initiales et aux
limites.
Deux logiciels de calcul ont donc été écrits.
Le premier est l'expression en langage FORTRAN de la solution de
RAMEY pour calculer la température en sortie d'échangeur en fonction des
caractéristiques du dispositif étudié.
Pour le second, simulation numérique des transferts thermiques dans
le dispositif, il a fallu analyser le problème posé, le mettre en équations
et résoudre celles-ci, avec certaines hypothèses, par des techniques numériques.
Son application au projet de LANNION a servi de base au rapport : Projet CORAIL
(pompe à chaleur sol-eau) Rapport final. Deuxième partie : étude de faisabi¬
lité d'un prototype à Lannion (Côtes-du-Nord) - AUSSEUR, JAY, SAUTY, TALBO [3-3],Ce logiciel a également été utilisé pour l'étude des dispositifs de stockage
(série d'échangeurs type CORAIL qui permet de créer un stock thermique dans
le sous-sol) quand chaque echangeur suit le même mode d'exploitation.
- 61
Les résultats relatifs à ces dispositifs de stockage ne seront pas présentés
ici dans la mesure où :
- notre objectif est plus spécialement le dispositif
CORAIL et sa réalisation à Lannion,
- ils sont publiés par ailleurs [3-2].
Les résultats des deux démarches seront comparés.
Un rapide rappel sur les transferts thermiques dans le sous-sol
sera fait avant l'exposé plus spécifique de cette étude .Dans la mesure du
possible , les unités international (K,J,W,s,m) seront adoptées*; l'échelle
de température Celsius , plus habituelle que l'échelle de température absolue
(Kelvin) , sera souvent utilisée ( un écart de température a la même valeurdans les deux échelles ) .
3.1 - GENERALITES SUR LES TRANSFERTS THERMIQUES DANS LE SOUS-SOL
Le transfertde chaleur peut être défini comme la transmission
de l'énergie d'une région à une autre , sous l'influence d'une différence de
température . Trois modes de transmission de la chaleur sont habituellement
reconnus : la conduction , la convection et le rayonnement [3-4 ].
3.1.1 - Conduct ion, convection, rayonnement et leur inrpor tance relative dans
J ?_ çp^i§_ si?. \làî lié?
3.1.1.1 - La conduction
Ce mode de transfert omniprésent dans le sol, aussi bien en
phase liquide qu'en phase solide, résulte de l'échange d'énergie cinétique
entre molécules s'entrechoquent sans déplacement appréciable de celles-ci |3-5].
* Les différentes unités utilisées sont présentées en annexe n° 1 .
- 61
Les résultats relatifs à ces dispositifs de stockage ne seront pas présentés
ici dans la mesure où :
- notre objectif est plus spécialement le dispositif
CORAIL et sa réalisation à Lannion,
- ils sont publiés par ailleurs [3-2].
Les résultats des deux démarches seront comparés.
Un rapide rappel sur les transferts thermiques dans le sous-sol
sera fait avant l'exposé plus spécifique de cette étude .Dans la mesure du
possible , les unités international (K,J,W,s,m) seront adoptées*; l'échelle
de température Celsius , plus habituelle que l'échelle de température absolue
(Kelvin) , sera souvent utilisée ( un écart de température a la même valeurdans les deux échelles ) .
3.1 - GENERALITES SUR LES TRANSFERTS THERMIQUES DANS LE SOUS-SOL
Le transfertde chaleur peut être défini comme la transmission
de l'énergie d'une région à une autre , sous l'influence d'une différence de
température . Trois modes de transmission de la chaleur sont habituellement
reconnus : la conduction , la convection et le rayonnement [3-4 ].
3.1.1 - Conduct ion, convection, rayonnement et leur inrpor tance relative dans
J ?_ çp^i§_ si?. \làî lié?
3.1.1.1 - La conduction
Ce mode de transfert omniprésent dans le sol, aussi bien en
phase liquide qu'en phase solide, résulte de l'échange d'énergie cinétique
entre molécules s'entrechoquent sans déplacement appréciable de celles-ci |3-5].
* Les différentes unités utilisées sont présentées en annexe n° 1 .
62
R
0C
H
E
S
S
E
D
InE
N
TA
IR
E
S
R V
0 0C LH C
E A
S N
IQ
U
E
S
S
0LS
ROCHES
SabLe rivière(2 à 30 % humidité
Argi Lite
Marnes
Calcai re
Grès
Dolomite
Quartzite
Syenite
Gabbro
Granite
Gneiss
Terre limoneuse
Sol noir cultivé(0 à 60 % humidité)
Sol brun superficiel(0 à 80 % humidité)
Sol volcanique(0 à 100 % humidité)
Terre sableuse
ORDRE DE GRANDEUR DE LA
CONDUCTIVITE ( U m~^ K~^)
0,2 - 1,6
1,25 - 1,8
0,9 - 2,8
2,0- 3,4
1,5 - 4,3
3,7 - 5,9
3,6 - 8,0
2,2
2,0- 2,3
2,6 - 3,3
2,0- 4,35
0,4 - 0,9
0,2 - 1,1
0,1 - 1,2
0,32 - 1,47
0,3 - 2,3
Tableau 3-1 : Quelques valeurs de conductivité thermiquepour différentes roches[d'après Sydney P. Clark Jr [3-éJ)
62
R
0C
H
E
S
S
E
D
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N
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IR
E
S
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0 0C LH C
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ROCHES
SabLe rivière(2 à 30 % humidité
Argi Lite
Marnes
Calcai re
Grès
Dolomite
Quartzite
Syenite
Gabbro
Granite
Gneiss
Terre limoneuse
Sol noir cultivé(0 à 60 % humidité)
Sol brun superficiel(0 à 80 % humidité)
Sol volcanique(0 à 100 % humidité)
Terre sableuse
ORDRE DE GRANDEUR DE LA
CONDUCTIVITE ( U m~^ K~^)
0,2 - 1,6
1,25 - 1,8
0,9 - 2,8
2,0- 3,4
1,5 - 4,3
3,7 - 5,9
3,6 - 8,0
2,2
2,0- 2,3
2,6 - 3,3
2,0- 4,35
0,4 - 0,9
0,2 - 1,1
0,1 - 1,2
0,32 - 1,47
0,3 - 2,3
Tableau 3-1 : Quelques valeurs de conductivité thermiquepour différentes roches[d'après Sydney P. Clark Jr [3-éJ)
- 63
La relation fondamentale de la conduction ou loi de FOURIER (1822) exprime
la proportionalité entre la densité de flux thermique et le gradient de
température :
Í = - À. grad 0 (3.01)
avec cp : vecteur de densité de flux thermique en Wm"' (dimension MT~')
 : tenseur de conductivité thermique du milieu en Wm ^K ^ (dimension
en MLT~'K~M
0 : température absolue en K (dimension de grad 0 : KL~M
Dans un milieu isotrope, le tenseur de conductivité peut être
réduit à un scalaire et :
- r - À.grad'*'0 (3.02)
Cette loi, équation de diffusion, présente par conséquent une ana¬
logie avec :
- la loi de DARCY (V = - K.grad H) qui régit les écoulements en milieu
poreux,
- la loi de FICK (q = - Do. grad C), loi de la diffusion moléculaire.
Des valeurs de conductivité thermique pour différents types de
roches sont rassemblées dans le tableau (3-1) ( d ' après Handbook of Physical
constants [3-6]). L'eau a une conductivité thermique de 0,6 Wm ^K H^-^]-
Ce phénomène de conduction est essentiel dans la mise en oeuvre
du procédé CORAIL. Le gradient de température entre l'eau dans l'échangeur
et l'encaissant (milieu géologique environnant) provoque un transfert
d'énergie par conduction de la roche vers l'eau. Il en résulte une diminution
de la température de la roche à proximité de l'échangeur ce qui créé un
gradient de température entre deux points de la roche et provoque un transfert
d'énergie par conduction ; ainsi de suite de proche en proche. Finalement,
le volume centré sur l'échangeur, atteint par la perturbation sera de plus
en plus grand.
- 63
La relation fondamentale de la conduction ou loi de FOURIER (1822) exprime
la proportionalité entre la densité de flux thermique et le gradient de
température :
Í = - À. grad 0 (3.01)
avec cp : vecteur de densité de flux thermique en Wm"' (dimension MT~')
 : tenseur de conductivité thermique du milieu en Wm ^K ^ (dimension
en MLT~'K~M
0 : température absolue en K (dimension de grad 0 : KL~M
Dans un milieu isotrope, le tenseur de conductivité peut être
réduit à un scalaire et :
- r - À.grad'*'0 (3.02)
Cette loi, équation de diffusion, présente par conséquent une ana¬
logie avec :
- la loi de DARCY (V = - K.grad H) qui régit les écoulements en milieu
poreux,
- la loi de FICK (q = - Do. grad C), loi de la diffusion moléculaire.
Des valeurs de conductivité thermique pour différents types de
roches sont rassemblées dans le tableau (3-1) ( d ' après Handbook of Physical
constants [3-6]). L'eau a une conductivité thermique de 0,6 Wm ^K H^-^]-
Ce phénomène de conduction est essentiel dans la mise en oeuvre
du procédé CORAIL. Le gradient de température entre l'eau dans l'échangeur
et l'encaissant (milieu géologique environnant) provoque un transfert
d'énergie par conduction de la roche vers l'eau. Il en résulte une diminution
de la température de la roche à proximité de l'échangeur ce qui créé un
gradient de température entre deux points de la roche et provoque un transfert
d'énergie par conduction ; ainsi de suite de proche en proche. Finalement,
le volume centré sur l'échangeur, atteint par la perturbation sera de plus
en plus grand.
- 64 -
3.1.1.2 - La convection
Selon ce mode de transfert, la chaleur est transmise par un fluide
en mouvement ; la densité du flux convectif résultant s'exprime par :
^ n (3.03)cp = Yp.u.0p
avec 9 : densité du flux thermique convectif en Wm~^ (dimension MT~') ,
Yr : capacité calorifique du fluide en Jm~'K~' (dimension ML~^T~^K~M,
u : vitesse des particules du fluide en ms (dimension LT ),
0p : température absolue du fluide en K (dimension K).
La capacité calorifique y est liée à la capacité thermique massique
à pression constante Cp (ou chaleur massique) par la relation : y = p.C
où p représente la masse volumique du fluide en kg m"'.
La capacité calorifique de l'eau varie faiblement en fonction de
la température entre 0 et 100°C (diminution de moins de 1 % entre 0 et 35°C
puis augmentation de moins de 1 %, jusqu'à 100°C) ; à 24°C elle vaut
4,18 X 10^ Jm"'K"^
La capacité calorifique du granite est de l'ordre de 2,2 x 10^ Jm 'K ,
[3-7] la valeur moyenne de la capacité calorifique des aquifères est d'en¬
viron 2,5 X 10^ Jm"'K~^ [l-ll].
Dans l'étude du procédé CORAIL, l'encaissant étant supposé sain et
sec, la convection intervient seulement dans l'échangeur où le fluide est
en mouvement.
3.1.1.3 - Le rayonnement
C'est le mécanisme électromagnétique qui transmet la chaleur entre
deux corps séparés par un espace ou le vide. Tous les corps émettent ainsi
une quantité de chaleur suivant la loi de STEFAN-BOLTZMAN (1879, 1884) :
9 = a.e.e'* (3.04)
avec cp : densité de flux radiatif en Wm ^ (dimension MT '),
a : constante de STEFAN-BOLTZMAN en Wm"='K"'* (dimension MT'^K"'),e : facteur d'émission du corps,
0 : température absolue du corps en K.
- 64 -
3.1.1.2 - La convection
Selon ce mode de transfert, la chaleur est transmise par un fluide
en mouvement ; la densité du flux convectif résultant s'exprime par :
^ n (3.03)cp = Yp.u.0p
avec 9 : densité du flux thermique convectif en Wm~^ (dimension MT~') ,
Yr : capacité calorifique du fluide en Jm~'K~' (dimension ML~^T~^K~M,
u : vitesse des particules du fluide en ms (dimension LT ),
0p : température absolue du fluide en K (dimension K).
La capacité calorifique y est liée à la capacité thermique massique
à pression constante Cp (ou chaleur massique) par la relation : y = p.C
où p représente la masse volumique du fluide en kg m"'.
La capacité calorifique de l'eau varie faiblement en fonction de
la température entre 0 et 100°C (diminution de moins de 1 % entre 0 et 35°C
puis augmentation de moins de 1 %, jusqu'à 100°C) ; à 24°C elle vaut
4,18 X 10^ Jm"'K"^
La capacité calorifique du granite est de l'ordre de 2,2 x 10^ Jm 'K ,
[3-7] la valeur moyenne de la capacité calorifique des aquifères est d'en¬
viron 2,5 X 10^ Jm"'K~^ [l-ll].
Dans l'étude du procédé CORAIL, l'encaissant étant supposé sain et
sec, la convection intervient seulement dans l'échangeur où le fluide est
en mouvement.
3.1.1.3 - Le rayonnement
C'est le mécanisme électromagnétique qui transmet la chaleur entre
deux corps séparés par un espace ou le vide. Tous les corps émettent ainsi
une quantité de chaleur suivant la loi de STEFAN-BOLTZMAN (1879, 1884) :
9 = a.e.e'* (3.04)
avec cp : densité de flux radiatif en Wm ^ (dimension MT '),
a : constante de STEFAN-BOLTZMAN en Wm"='K"'* (dimension MT'^K"'),e : facteur d'émission du corps,
0 : température absolue du corps en K.
65
La quantité de chaleur ainsi produite est absorbée puis réémise
par les corps environnants.
Ce phénomène sera négligé dans le sous-s;ol du fait des faibles
écarts de température dans le milieu étudié et de l'absorption sur place
par le milieu environnant de la quantité de chaleur émise par rayonnement.
Le rayonnement solaire intervient dans le bilan radiatif, il est
important à la surface du sol dont il fixe la température. Il en sera tenu
compte en considérant la température moyenne annuelle de la surface du sol
comme condition aux limites du domaine d'étude.
3.1.2 - Mise en équations
3.1.2.1 - Forme générale de l'équation de la chaleur
La forme générale de l'équation de la chaleur* exprime le bilan
thermique local (la différence entre les flux entrants et sortants d'un
élément de volume est égale à l'énergie emmagasinée ou restituée diminuée
des termes sources) :
y90g^ = div (Àgrad0) - v.(gradCY0)) + X (3.05)
terme terme terme termed'ennagasinement conductif convectif source
avec Y : la capacité calorifique en Jm 'K ^ (dimension ML T ^K )À : la conductivité thermique en Wm~^K ' (dimension MLT~'K~')
0 : la température absolue en K
t : le temps en secondes
V : la vitesse de circulation du fluide en ms
* Cette équation de la chaleur provient de l'équation plus générale de l'énergiedans laquelle on a négligé les forces de pression et de frottement [3-7, 3-8,3-9, 3-10].
65
La quantité de chaleur ainsi produite est absorbée puis réémise
par les corps environnants.
Ce phénomène sera négligé dans le sous-s;ol du fait des faibles
écarts de température dans le milieu étudié et de l'absorption sur place
par le milieu environnant de la quantité de chaleur émise par rayonnement.
Le rayonnement solaire intervient dans le bilan radiatif, il est
important à la surface du sol dont il fixe la température. Il en sera tenu
compte en considérant la température moyenne annuelle de la surface du sol
comme condition aux limites du domaine d'étude.
3.1.2 - Mise en équations
3.1.2.1 - Forme générale de l'équation de la chaleur
La forme générale de l'équation de la chaleur* exprime le bilan
thermique local (la différence entre les flux entrants et sortants d'un
élément de volume est égale à l'énergie emmagasinée ou restituée diminuée
des termes sources) :
y90g^ = div (Àgrad0) - v.(gradCY0)) + X (3.05)
terme terme terme termed'ennagasinement conductif convectif source
avec Y : la capacité calorifique en Jm 'K ^ (dimension ML T ^K )À : la conductivité thermique en Wm~^K ' (dimension MLT~'K~')
0 : la température absolue en K
t : le temps en secondes
V : la vitesse de circulation du fluide en ms
* Cette équation de la chaleur provient de l'équation plus générale de l'énergiedans laquelle on a négligé les forces de pression et de frottement [3-7, 3-8,3-9, 3-10].
66
ao + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + 4 +4- + 4- + +
+ 4-4-4- + 4-4- +4-4-4 + 4- + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + +
H- + + + +ri, +-I-+ + + + + + + +
+ + + + Xr + ++ + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 +.+ + + + +
+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ T H ^ + + + + + + + + ++ + + + + + + 4 + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + ++ + + + + + + + + + + + + +
Z
Figure 3-2 : Dispositif CORAIL : schématisation et notationsadoptées.
66
ao + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + 4 +4- + 4- + +
+ 4-4-4- + 4-4- +4-4-4 + 4- + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + +
H- + + + +ri, +-I-+ + + + + + + +
+ + + + Xr + ++ + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + ++ + 4 +.+ + + + +
+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
I+ + + + + + + + ++ + + + + + + + +
+ + + + + + + + ++ + 4 + + + + + +
+ T H ^ + + + + + + + + ++ + + + + + + 4 + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + ++ + + + + + + + + + + + + +
Z
Figure 3-2 : Dispositif CORAIL : schématisation et notationsadoptées.
- 67
3.1.2.2 - Hypothèses simplificatrices
Ces hypothèses simplifient l'écriture mathématique des phénomènes
physiques mis en jeu. Pour faciliter la compréhension du texte les notations
adoptées sont présentées sur la figure (3-2) .
A) Dans l'encaissant
- Il est supposé sain et non productif du point de vue hydraulique
et seuls les transferts conductifs seront considérés;
- en cas de gel, la chaleur latente de solidification de l'eau est
négligée (faible porosité du milieu), pour un encaissant de type argileux
cette hypothèse serait à revoir ;
- les propriétés thermiques sont constantes dans l'espace et dans
le temps ;
- la symétrie du comportement thermique autour de l'échangeur (proprié¬
tés thermiques du sol uniforme) conduit à des isothermes circulaires centrées
sur celui-ci (écriture des équations en coordonnées cylindriques).
8) Dans l' écliangeur
- Les transferts thermiques essentiels sont convectifs, les transferts
conductifs verticaux seront négligés, ce qui est justifié par l'ordre de
grandeur de Qy^/Xr-S. (8.10''m~^ pour le projet de Lannion avec un débit moyen
de Im'h'M,
- la température du fluide est constante dans chaque section (0 fonction
de z et de t seulement).
C) A la limite encaissant- écliangeur
- La température est continue (pas de couche limite thermique).
- 67
3.1.2.2 - Hypothèses simplificatrices
Ces hypothèses simplifient l'écriture mathématique des phénomènes
physiques mis en jeu. Pour faciliter la compréhension du texte les notations
adoptées sont présentées sur la figure (3-2) .
A) Dans l'encaissant
- Il est supposé sain et non productif du point de vue hydraulique
et seuls les transferts conductifs seront considérés;
- en cas de gel, la chaleur latente de solidification de l'eau est
négligée (faible porosité du milieu), pour un encaissant de type argileux
cette hypothèse serait à revoir ;
- les propriétés thermiques sont constantes dans l'espace et dans
le temps ;
- la symétrie du comportement thermique autour de l'échangeur (proprié¬
tés thermiques du sol uniforme) conduit à des isothermes circulaires centrées
sur celui-ci (écriture des équations en coordonnées cylindriques).
8) Dans l' écliangeur
- Les transferts thermiques essentiels sont convectifs, les transferts
conductifs verticaux seront négligés, ce qui est justifié par l'ordre de
grandeur de Qy^/Xr-S. (8.10''m~^ pour le projet de Lannion avec un débit moyen
de Im'h'M,
- la température du fluide est constante dans chaque section (0 fonction
de z et de t seulement).
C) A la limite encaissant- écliangeur
- La température est continue (pas de couche limite thermique).
68 -
3.1.2.3 - Equations aux dérivées partielles
Avec les hypothèses précédentes, l'équation (3.05) conduit aux
équations aux dérivées partielles ci-dessous*.
A] dans l'encaissant
Il n'y a pas de terme convectif et l'équation (3.05) devient
90 , |3^0 1 90 9^01^R 9t = ^R LT7*7 9F ^-gP^^ ^^-06)
8) dans V écliangeur
Il n'y a pas de termes conductifs verticaux et les équations
aux dérivées partielles sont :
Bl -dans l'annulaire :
Yp (Salfâ* Q ||â)= A.^^ (©e - Qa) + =P(z,t) (3.07)
flux échangé avec flux échangé
le tube central avec l'encaissant
avec Sa : section de l'annulaire
Gg : température du fluide dans l'annulaire
Q : débit du fluide dans l'annulaire (= v x Sg)
À.J. : conductivité thermique du tube central (qui sépare les 2 colonnes
de fluide)
r^ : rayon du tube central
e : épaisseur du tube central
0 : température fluide dans l'espace central
et cp(z,t) = 2ïïApro^| (3.08)^o
avec A. p : conductivité thermique de la roche
r : rayon du dispositif
* Certains développements pour passer d'une équation à l'autre sontdonnés en annexe n° 4.
68 -
3.1.2.3 - Equations aux dérivées partielles
Avec les hypothèses précédentes, l'équation (3.05) conduit aux
équations aux dérivées partielles ci-dessous*.
A] dans l'encaissant
Il n'y a pas de terme convectif et l'équation (3.05) devient
90 , |3^0 1 90 9^01^R 9t = ^R LT7*7 9F ^-gP^^ ^^-06)
8) dans V écliangeur
Il n'y a pas de termes conductifs verticaux et les équations
aux dérivées partielles sont :
Bl -dans l'annulaire :
Yp (Salfâ* Q ||â)= A.^^ (©e - Qa) + =P(z,t) (3.07)
flux échangé avec flux échangé
le tube central avec l'encaissant
avec Sa : section de l'annulaire
Gg : température du fluide dans l'annulaire
Q : débit du fluide dans l'annulaire (= v x Sg)
À.J. : conductivité thermique du tube central (qui sépare les 2 colonnes
de fluide)
r^ : rayon du tube central
e : épaisseur du tube central
0 : température fluide dans l'espace central
et cp(z,t) = 2ïïApro^| (3.08)^o
avec A. p : conductivité thermique de la roche
r : rayon du dispositif
* Certains développements pour passer d'une équation à l'autre sontdonnés en annexe n° 4.
69 -
B2 - dans_le_tube_central :
Le sens de circulation du fluide est ici opposé à celui de
l'annulaire :
flux échangé avecl'annulaire
Dans le modèle, les transferts thermiques dans l'échangeur seront
caractérisés par une seule équation :
^F ^^aa^* Q -^5-^)= cp(z,t) (3.ÍQ)
avec cp(z,t) déterminé par l'équation (3.08).
Cette équation (3.10) est obtenue en considérant que les échanges
thermiques entre les deux colonnes de fluide caloporteur ne modifient pas
les transferts thermiques entre l'échangeur et l'encaissant.
La température en sortie de l'échangeur (0 ) sera assimilée à la
température au fond de l'échangeur diminuée d'un écart A0fT, égal à la valeur
des pertes thermiques lors de la remontée (échange entre les deux colonnes
de fluide) :
^^'n =^yÍT ^® (3.11)
avec Tj : rayon moyen du tube central (m)
Xj : conductivité thermique du tube central (Wm~^K ')h : hauteur du dispositif (m)
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur (=écart entre
la température du fluide à la sortie de l'échangeur et la tempé¬
rature du fluide à l'injection) (K)
Yr : capacité calorifique du fluide (Jm 'K~M
Q : débit du fluide caloporteur (m's M
e : épaisseur du tube central (m)
69 -
B2 - dans_le_tube_central :
Le sens de circulation du fluide est ici opposé à celui de
l'annulaire :
flux échangé avecl'annulaire
Dans le modèle, les transferts thermiques dans l'échangeur seront
caractérisés par une seule équation :
^F ^^aa^* Q -^5-^)= cp(z,t) (3.ÍQ)
avec cp(z,t) déterminé par l'équation (3.08).
Cette équation (3.10) est obtenue en considérant que les échanges
thermiques entre les deux colonnes de fluide caloporteur ne modifient pas
les transferts thermiques entre l'échangeur et l'encaissant.
La température en sortie de l'échangeur (0 ) sera assimilée à la
température au fond de l'échangeur diminuée d'un écart A0fT, égal à la valeur
des pertes thermiques lors de la remontée (échange entre les deux colonnes
de fluide) :
^^'n =^yÍT ^® (3.11)
avec Tj : rayon moyen du tube central (m)
Xj : conductivité thermique du tube central (Wm~^K ')h : hauteur du dispositif (m)
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur (=écart entre
la température du fluide à la sortie de l'échangeur et la tempé¬
rature du fluide à l'injection) (K)
Yr : capacité calorifique du fluide (Jm 'K~M
Q : débit du fluide caloporteur (m's M
e : épaisseur du tube central (m)
- 70
atmosphère 1 imif p mippripiirp %^'--^^ -- %
()n
IIo
zone influencée |par le dispositif
limite inférieure fí (VtTr* lim
t) 8 ñ *gilim
3
-^Í
UrIS
U
T)
I
N
-5
zone non influencée par le dispositif n
Figure 3-3-a
atmosphère
limito oupériouro Fl^(7-n) - ñ
-1
TT
1-1
IIo
zone influencée par le dispositif
limite inférieure iSp(icr,Zj^j^^) = 0^
zone non influencée par le dispositif
D
u-tTS-J
©I
-1
Figure 3-3-b
Figure 3-3 : Définition des limites du domaine derésolution
3-3-a : prise en compte du gradient géothermique3-3-b : température unlfonme sur le domaine
- 70
atmosphère 1 imif p mippripiirp %^'--^^ -- %
()n
IIo
zone influencée |par le dispositif
limite inférieure fí (VtTr* lim
t) 8 ñ *gilim
3
-^Í
UrIS
U
T)
I
N
-5
zone non influencée par le dispositif n
Figure 3-3-a
atmosphère
limito oupériouro Fl^(7-n) - ñ
-1
TT
1-1
IIo
zone influencée par le dispositif
limite inférieure iSp(icr,Zj^j^^) = 0^
zone non influencée par le dispositif
D
u-tTS-J
©I
-1
Figure 3-3-b
Figure 3-3 : Définition des limites du domaine derésolution
3-3-a : prise en compte du gradient géothermique3-3-b : température unlfonme sur le domaine
- 71
3.1.2.4 - Conditions initiales et aux limites
Les équations peuvent être résolues en tenant compte des conditions
initiales et aux limites caractéristiques du domaine (echangeur et encaissant),
A] Limites de l'encaissant
- La surface du sol, limite supérieure est supposée à température
constante. C'est une unite à potentiel constant.
Vr, Vt : 0(r,z=O,t) =0^ (3.12)
- La limite inférieure, surface horizontale, est suffisamment
éloignée de l'échangeur de sorte qu'en tout point elle n'en subisse pas
l'influence ; les conditions naturelles de l'encaissant sont donc conservées
à tout instant, on peut imposer le flux ou la température (limite à flux
ou à potentiel constant) tout en prenant soin de vérifier que l'autre va¬
riable à cette limite ne varie pas au cours du temps.
si le gradient géothermique g est pris en compte(fiqure(3-3-a)) :
Vr, Vt : Il I = g (3. 13. a)°^ ^lim
(OU
|ou
(condition de flux)
Vr, Vt :0(zii^,r,t) =e^-Hg.z^.^ (3.13.b)(condition de potentiel)
s'il est négligé, la température initiale est uniforme
sur le domaine (fiqure(3-3-b) )et :
Vr, Vt :|f|, .=0 (3. 14. a)^^ ^^lim^
(condition de flux)
Vr, Vt : 0(z^.^,r,t) =0^ (3.14.b)
(condition de potentiel)
- 71
3.1.2.4 - Conditions initiales et aux limites
Les équations peuvent être résolues en tenant compte des conditions
initiales et aux limites caractéristiques du domaine (echangeur et encaissant),
A] Limites de l'encaissant
- La surface du sol, limite supérieure est supposée à température
constante. C'est une unite à potentiel constant.
Vr, Vt : 0(r,z=O,t) =0^ (3.12)
- La limite inférieure, surface horizontale, est suffisamment
éloignée de l'échangeur de sorte qu'en tout point elle n'en subisse pas
l'influence ; les conditions naturelles de l'encaissant sont donc conservées
à tout instant, on peut imposer le flux ou la température (limite à flux
ou à potentiel constant) tout en prenant soin de vérifier que l'autre va¬
riable à cette limite ne varie pas au cours du temps.
si le gradient géothermique g est pris en compte(fiqure(3-3-a)) :
Vr, Vt : Il I = g (3. 13. a)°^ ^lim
(OU
|ou
(condition de flux)
Vr, Vt :0(zii^,r,t) =e^-Hg.z^.^ (3.13.b)(condition de potentiel)
s'il est négligé, la température initiale est uniforme
sur le domaine (fiqure(3-3-b) )et :
Vr, Vt :|f|, .=0 (3. 14. a)^^ ^^lim^
(condition de flux)
Vr, Vt : 0(z^.^,r,t) =0^ (3.14.b)
(condition de potentiel)
- 72 -
- La limite latérale (forme cylindrique) est définie de façon
analogue et :
0 si le gradient géothermique est pris en compte(fiqure (3-3-a))
Vz, Vt : Ifl^ =0 (3, 15. a)lim
(condition de flux)
ou
ou
Vr, Vt : 0(z,r^^^,t) =0^ + gz (3.15.b)(condition de potentiel)
si la température est uniforme sur le domaine(fiqure (3-3-b)) :
Vz, Vt : If L =0 (3. 16. a)or r , .
lim(condition de flux)
Vz, Vt : 0(z,r.. ,t) =0^ (3.16.b)iim 0
(condition de potentiel)
8) Limites dz l' zcliangzun
Suivant les fonctionnements hydraulique (sens de circulation du
fluide) et thermique (puissance prélevée constante ou température d'injec¬
tion constante) choisis, les conditions aux limites diffèrent.
- injection par_l 'annulaire du fluide à température_constante :
en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z = 0,t) =0 . (3.17)a 1
avec 0. : température d'injection
en bas de l'échangeur :
Vt : 0 (z = h,t) =0 (z = h,t) (3.18)a c
- 72 -
- La limite latérale (forme cylindrique) est définie de façon
analogue et :
0 si le gradient géothermique est pris en compte(fiqure (3-3-a))
Vz, Vt : Ifl^ =0 (3, 15. a)lim
(condition de flux)
ou
ou
Vr, Vt : 0(z,r^^^,t) =0^ + gz (3.15.b)(condition de potentiel)
si la température est uniforme sur le domaine(fiqure (3-3-b)) :
Vz, Vt : If L =0 (3. 16. a)or r , .
lim(condition de flux)
Vz, Vt : 0(z,r.. ,t) =0^ (3.16.b)iim 0
(condition de potentiel)
8) Limites dz l' zcliangzun
Suivant les fonctionnements hydraulique (sens de circulation du
fluide) et thermique (puissance prélevée constante ou température d'injec¬
tion constante) choisis, les conditions aux limites diffèrent.
- injection par_l 'annulaire du fluide à température_constante :
en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z = 0,t) =0 . (3.17)a 1
avec 0. : température d'injection
en bas de l'échangeur :
Vt : 0 (z = h,t) =0 (z = h,t) (3.18)a c
- 73 -
- fonctionnement à puissance constante :
(A0 prélevé par la pompe à chaleur et débit constants)
- avzc dzsczntz pan l'annulairz
0 en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z =0 ,t) =0^(z = 0,t) - A0 (3.19)
en bas de 1 ' echangeur :
Vt : 0^ (z = h,t) =0^(z = h,t) (3.20)
- avzc descente par le tube central
m en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z =0 ,t) -AG =0^(z =0 ,t) (3.21)
en bas de l'échangeur :
Vt : 0^ (z = h,t) =0^(2 = h,t) (3.22)
- Quelque soit_ le type de fonctionnement retenu, le flux_ échangé avec
1_' encaissant s'écrit :
cp(z,t) = 2TTr^X, (f )^^^ (3_23)0
avec r : rayon de l'échangeur (m)
Xp : conductivité thermique de la roche (Wm ^K M
C) Conditions Initiales du domaine
Initalement le domaine est en équilibre sous l'influence du gradient
géothermique (g) :
Vr, t : 0(r,z,t = 0) = 0^ + gz (3.24)
Le modèle peut également prendre en compte sur le domaine :
- une température uniforme (gradient nul) ,
- une carte des températures résultant d'un fonctionnement précédent
du dispositif.
- 73 -
- fonctionnement à puissance constante :
(A0 prélevé par la pompe à chaleur et débit constants)
- avzc dzsczntz pan l'annulairz
0 en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z =0 ,t) =0^(z = 0,t) - A0 (3.19)
en bas de 1 ' echangeur :
Vt : 0^ (z = h,t) =0^(z = h,t) (3.20)
- avzc descente par le tube central
m en haut de l'échangeur :
Vt : 0 (z =0 ,t) -AG =0^(z =0 ,t) (3.21)
en bas de l'échangeur :
Vt : 0^ (z = h,t) =0^(2 = h,t) (3.22)
- Quelque soit_ le type de fonctionnement retenu, le flux_ échangé avec
1_' encaissant s'écrit :
cp(z,t) = 2TTr^X, (f )^^^ (3_23)0
avec r : rayon de l'échangeur (m)
Xp : conductivité thermique de la roche (Wm ^K M
C) Conditions Initiales du domaine
Initalement le domaine est en équilibre sous l'influence du gradient
géothermique (g) :
Vr, t : 0(r,z,t = 0) = 0^ + gz (3.24)
Le modèle peut également prendre en compte sur le domaine :
- une température uniforme (gradient nul) ,
- une carte des températures résultant d'un fonctionnement précédent
du dispositif.
74
3.1.3 - Méthodes de résolution : analytique et numérique
Le but est de résoudre un système d'équations aux dérivées partielles
avec des conditions initiales et aux limites correspondant au problème posé.
Dans le cas de conditions simples et sous réserve d'hypothèses
simplificatrices appropriées et justifiées, les méthodes analytiques condui¬
sent à une équation algébrique explicite (combinaison de fonctions algébriques
connues ou tabulables) solution du problème.
Dans la plupart des cas, leur mise en oeuvre rapide ne nécessite
pas de gros moyens de calcul.
Pour prendre en compte un domaine complexe, avec des conditions
variées, les solutions analytiques se révèlent insuffisantes et l'on a
recours à des méthodes numériques.
Avec ces méthodes on recherche alors des solutions simplifiées des
équations à chaque noeud d'un réseau maillé pour chaque pas de temps, en tenant
compte des conditions initiales et aux limites. Les solutions des équations
aux dérivées partielles sont approchées par des méthodes de calcul plus ou
moins sophistiquées.
Les temps de calcul sont fonctions du nombre de mailles, du pas de
temps et de la méthode numérique choisie.
La résolution d'un problème par ces deux types de méthodes permet
de les vérifier et les valider mutuellement ; la formulation analytique
donne la solution exacte, lorsque la résolution numérique donne une
solution approchée.
74
3.1.3 - Méthodes de résolution : analytique et numérique
Le but est de résoudre un système d'équations aux dérivées partielles
avec des conditions initiales et aux limites correspondant au problème posé.
Dans le cas de conditions simples et sous réserve d'hypothèses
simplificatrices appropriées et justifiées, les méthodes analytiques condui¬
sent à une équation algébrique explicite (combinaison de fonctions algébriques
connues ou tabulables) solution du problème.
Dans la plupart des cas, leur mise en oeuvre rapide ne nécessite
pas de gros moyens de calcul.
Pour prendre en compte un domaine complexe, avec des conditions
variées, les solutions analytiques se révèlent insuffisantes et l'on a
recours à des méthodes numériques.
Avec ces méthodes on recherche alors des solutions simplifiées des
équations à chaque noeud d'un réseau maillé pour chaque pas de temps, en tenant
compte des conditions initiales et aux limites. Les solutions des équations
aux dérivées partielles sont approchées par des méthodes de calcul plus ou
moins sophistiquées.
Les temps de calcul sont fonctions du nombre de mailles, du pas de
temps et de la méthode numérique choisie.
La résolution d'un problème par ces deux types de méthodes permet
de les vérifier et les valider mutuellement ; la formulation analytique
donne la solution exacte, lorsque la résolution numérique donne une
solution approchée.
- 75 -
3.2 - METHODOLOGIE DE RESOLUTION
3.2.1 - Solutions analytiques
3.2.1.1 - Solution de Ramey
H.J RAMEY (1962) [3-l] propose une solution pour estimer la tempé¬
rature d'un fluide dans un forage, à toutes profondeurs z, pour tous les temps
t, en fonction des caractéristiques de l'ensemble du dispositif et d'une
température d'injection en surface constante.
L'auteur considère que le flux échangé entre l'encaissant et le
fluide lors de sa descente dans le forage suit une expression intermédiaire
entre la solution de la ligne source et celle du cylindre maintenu à température
constante rendues "classiques" par CARSLAW et JAEGER [3-7]. Ramené aux nota¬
tions utilisées ici, le flux s'exprime par :
4ïïXr(0o + gz - 0p(z,t)) (3.25)"P = El (r!/4Dt)
avec Xr, : conductivité de la roche (Wm ' K M0 : température du sol à z = 0 (K)
0
g : gradient géothermique (Km ^)
z : profondeur considérée (m)
0p(z,t) : température du fluide à la profondeur z et au temps t (K)
r : rayon du forage (m)
D : diffusivité thermique de la roche ( = )u/Yp) (""^s ^ )
et El : fonction exponentielle intégrale* définie par
u
(Handbook of mathematicals functions [3-1 1])
et dont l'approximation logarithmique est : E,(u) = - ln(u)
avec r = constante d'Euler ( ~ 0,57722)
* Cette fonction Ei et son approximation logarithmique sont également utiliséesdans les modèles d'interprétation des pompages d'essai (respectivementrelation de Theis et de Jacob).
- 75 -
3.2 - METHODOLOGIE DE RESOLUTION
3.2.1 - Solutions analytiques
3.2.1.1 - Solution de Ramey
H.J RAMEY (1962) [3-l] propose une solution pour estimer la tempé¬
rature d'un fluide dans un forage, à toutes profondeurs z, pour tous les temps
t, en fonction des caractéristiques de l'ensemble du dispositif et d'une
température d'injection en surface constante.
L'auteur considère que le flux échangé entre l'encaissant et le
fluide lors de sa descente dans le forage suit une expression intermédiaire
entre la solution de la ligne source et celle du cylindre maintenu à température
constante rendues "classiques" par CARSLAW et JAEGER [3-7]. Ramené aux nota¬
tions utilisées ici, le flux s'exprime par :
4ïïXr(0o + gz - 0p(z,t)) (3.25)"P = El (r!/4Dt)
avec Xr, : conductivité de la roche (Wm ' K M0 : température du sol à z = 0 (K)
0
g : gradient géothermique (Km ^)
z : profondeur considérée (m)
0p(z,t) : température du fluide à la profondeur z et au temps t (K)
r : rayon du forage (m)
D : diffusivité thermique de la roche ( = )u/Yp) (""^s ^ )
et El : fonction exponentielle intégrale* définie par
u
(Handbook of mathematicals functions [3-1 1])
et dont l'approximation logarithmique est : E,(u) = - ln(u)
avec r = constante d'Euler ( ~ 0,57722)
* Cette fonction Ei et son approximation logarithmique sont également utiliséesdans les modèles d'interprétation des pompages d'essai (respectivementrelation de Theis et de Jacob).
- 76 -
L'équation (5.25) s'écrit alors en tenant compte de l'approxi¬mation logarithmique de la fonction E,
1
4ïïXp (0^ + gz - 0^(z,t)
[ln (4Dt/r^^) - F](3.26)
Ce flux (cp) provenant de l'encaissant sur une hauteur dz est
égal à la puissance calorifique convectée dans un élément de forage de
même hauteur dz, et :
30p 4TTXp (0^ + gz - 0p(z,t))Q Yr T7~ dz = dz ^-7 o^^
^ ^^ [ln (4Dt/r^^) - T] ^^'^^^
avec Q : débit du fluide caloporteur (m's~M
Yp : capacité calorifique du fluide (Jm~'K~M
L'intégration de cette équation par rapport à z (entre z = 0 et
z ) en prenant comme condition à z=0 : 0|.(z = 0,t) = 0-, donne la tempé¬
rature du fluide à la profondeur z :
0p(z,t) = 0Q + gz - ^ + [0. - ©o + f] e"*^^ (3.28)
(4ttX )/(QYp)avec K = (3.29)
[ ln(4Dt/ro^) - r]
Cette solution souvent utilisée pour le calcul des pertes de chaleur
à la remontée dans les forages géothermiques, peut être appliquée au dispositif
CORAIL, à condition que les hypothèses suivantes complètent celles présentées
au paragraphe 3.1.2.2 :
- dans l'encaissant seuls les transferts conductifs horizontaux sont
pris en compte.
- 76 -
L'équation (5.25) s'écrit alors en tenant compte de l'approxi¬mation logarithmique de la fonction E,
1
4ïïXp (0^ + gz - 0^(z,t)
[ln (4Dt/r^^) - F](3.26)
Ce flux (cp) provenant de l'encaissant sur une hauteur dz est
égal à la puissance calorifique convectée dans un élément de forage de
même hauteur dz, et :
30p 4TTXp (0^ + gz - 0p(z,t))Q Yr T7~ dz = dz ^-7 o^^
^ ^^ [ln (4Dt/r^^) - T] ^^'^^^
avec Q : débit du fluide caloporteur (m's~M
Yp : capacité calorifique du fluide (Jm~'K~M
L'intégration de cette équation par rapport à z (entre z = 0 et
z ) en prenant comme condition à z=0 : 0|.(z = 0,t) = 0-, donne la tempé¬
rature du fluide à la profondeur z :
0p(z,t) = 0Q + gz - ^ + [0. - ©o + f] e"*^^ (3.28)
(4ttX )/(QYp)avec K = (3.29)
[ ln(4Dt/ro^) - r]
Cette solution souvent utilisée pour le calcul des pertes de chaleur
à la remontée dans les forages géothermiques, peut être appliquée au dispositif
CORAIL, à condition que les hypothèses suivantes complètent celles présentées
au paragraphe 3.1.2.2 :
- dans l'encaissant seuls les transferts conductifs horizontaux sont
pris en compte.
- 77
- l'inertie thermique du forage est négligée,
- les échanges entre les deux colonnes de fluide sont négligés.
Alors la température du fluide en sortie d'échangeur 0 est
égale à la température atteinte au fond du forage, soit :
0 =0 + gh - -a + [0. - 0 +3] e"*^^ (3.30)s 0 ^ K '- 1 o K-'
(0g = 0^ (z = h,t))
Cette solution analytique a permis de vérifier la précision du
modèle numérique mis au point et de développer dans le cadre d'une étude
plus générale du dispositif CORAIL [3-2] des solutions analytiques pour
différents types de fonctionnement.
3.2.1.2 - Solutions analytiques pour d'autres types de fonction¬
nement I 3-12]
A) Descente du fluide par le tube central et remontée pan l' annulaire
L'inversion du sens de circulation du fluide conduit, par analogie
à (3.27) à :
d0p 4TTXp[0p(z,t) - Qq - gz]QYp hT = T ; ^^'^^^
^ '^^ [ln (4Dt/ro^) - r]
L'intégration en tenant compte des conditions aux limites
0p (z = h,t) = 0^ donne :
0^ (z,t) = 0^ + gz + a ^ [0. - 0^ - gh - ^] e"^^^-^) (3.32)
soit en sortie d'échangeur > 0|_ (z = 0 ,t) = 0 et :
0 =0 +^+[0.-0 - gh - ^] e"'^'" (3.33)s oK'-i o^ K-'
- 77
- l'inertie thermique du forage est négligée,
- les échanges entre les deux colonnes de fluide sont négligés.
Alors la température du fluide en sortie d'échangeur 0 est
égale à la température atteinte au fond du forage, soit :
0 =0 + gh - -a + [0. - 0 +3] e"*^^ (3.30)s 0 ^ K '- 1 o K-'
(0g = 0^ (z = h,t))
Cette solution analytique a permis de vérifier la précision du
modèle numérique mis au point et de développer dans le cadre d'une étude
plus générale du dispositif CORAIL [3-2] des solutions analytiques pour
différents types de fonctionnement.
3.2.1.2 - Solutions analytiques pour d'autres types de fonction¬
nement I 3-12]
A) Descente du fluide par le tube central et remontée pan l' annulaire
L'inversion du sens de circulation du fluide conduit, par analogie
à (3.27) à :
d0p 4TTXp[0p(z,t) - Qq - gz]QYp hT = T ; ^^'^^^
^ '^^ [ln (4Dt/ro^) - r]
L'intégration en tenant compte des conditions aux limites
0p (z = h,t) = 0^ donne :
0^ (z,t) = 0^ + gz + a ^ [0. - 0^ - gh - ^] e"^^^-^) (3.32)
soit en sortie d'échangeur > 0|_ (z = 0 ,t) = 0 et :
0 =0 +^+[0.-0 - gh - ^] e"'^'" (3.33)s oK'-i o^ K-'
79
B) Fonctionnement à puissance constante
Ce type de fonctionnement (plus réaliste qu'une injection à température
constante) revient à considérer l'exploitation d'un écart de température
A0 constant par la pompe à chaleur, étant donné que le débit d'exploitation
(Q) est également constant. Alors :
0. = 0 - A0 (3.34)1 s
avec 0. : température d'injection dans l'échangeur (non constante)
0 : température en sortie d'échangeur
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur
* Pour une descente du fluide par l'annulaire, cette condition transforme
l'équation (3.30) en l'équation :
«s = s. - 5h - a - f^ (3.35)[1-e J
* Pour une descente du fluide par le tube central, l'équation (3.33) devient
s o K I , Khn[1-e J
L'étude avec les paramètres adimensionnels (définis au paragraphe
suivant) montrera que la descente par l'annulaire est légèrement bénéfique
par rapport à la descente par le tube central. Ce phénomène est sensible
seulement durant les premières heures d'exploitation du dispositif.
C) Fonctionnement à puissance variable
L'utilisation du chauffage (donc du dispositif CORAIL) est souvent
intermittente, l'étude du comportement du dispositif à puissance variable
s'avère donc nécessaire.
D'une période d'utilisation du chauffage à une autre, le débit de
circulation du fluide reste constant, mais l'écart de température (A0) exploité
par la pompe à chaleur varie (exemple fiqure (3-4)). Pendant les périodes
79
B) Fonctionnement à puissance constante
Ce type de fonctionnement (plus réaliste qu'une injection à température
constante) revient à considérer l'exploitation d'un écart de température
A0 constant par la pompe à chaleur, étant donné que le débit d'exploitation
(Q) est également constant. Alors :
0. = 0 - A0 (3.34)1 s
avec 0. : température d'injection dans l'échangeur (non constante)
0 : température en sortie d'échangeur
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur
* Pour une descente du fluide par l'annulaire, cette condition transforme
l'équation (3.30) en l'équation :
«s = s. - 5h - a - f^ (3.35)[1-e J
* Pour une descente du fluide par le tube central, l'équation (3.33) devient
s o K I , Khn[1-e J
L'étude avec les paramètres adimensionnels (définis au paragraphe
suivant) montrera que la descente par l'annulaire est légèrement bénéfique
par rapport à la descente par le tube central. Ce phénomène est sensible
seulement durant les premières heures d'exploitation du dispositif.
C) Fonctionnement à puissance variable
L'utilisation du chauffage (donc du dispositif CORAIL) est souvent
intermittente, l'étude du comportement du dispositif à puissance variable
s'avère donc nécessaire.
D'une période d'utilisation du chauffage à une autre, le débit de
circulation du fluide reste constant, mais l'écart de température (A0) exploité
par la pompe à chaleur varie (exemple fiqure (3-4)). Pendant les périodes
80 -
Exzmplz dz fonctionnement du dispositif CORAIL
à puissance variable ((1 constant, àQ variable)
Ae à
Soutirage Arrêt
to t,
Charge
t2
A^a
Sout i rage
A03
AÔ4
fc-
^3 t4 ts "t
Figure 3-4 : Schématisation par paliers.
80 -
Exzmplz dz fonctionnement du dispositif CORAIL
à puissance variable ((1 constant, àQ variable)
Ae à
Soutirage Arrêt
to t,
Charge
t2
A^a
Sout i rage
A03
AÔ4
fc-
^3 t4 ts "t
Figure 3-4 : Schématisation par paliers.
Voir calquedans document
papier
Voir calquedans document
papier
AÔ A
Ado
A^s-A^z
U
AÔ4-AÔ3
t.
-Ae.
A^2-AÔ,
Aô, -AÔq
Figure 3-5 ; Principe de superposition.
AÔ A
Ado
A^s-A^z
U
AÔ4-AÔ3
t.
-Ae.
A^2-AÔ,
Aô, -AÔq
Figure 3-5 ; Principe de superposition.
- 80
Exemple de fonctionnement du dispositif CORAIL
à puissance variable [Q. constant, àQ variable)
AÔ A
Soutirage
Ae^Ado
Arrêt
Ail
Ctiorge , Soutirage .
A03-A^2
A^,
AÔ4
hAÔ4-AÔ3
-ùe.
Adz-Ad
L A9.Aô, -AÔQ
Figure 3-4 : Schématisation par paliers.
Figure 3-5 : Principe de superposition.
- 80
Exemple de fonctionnement du dispositif CORAIL
à puissance variable [Q. constant, àQ variable)
AÔ A
Soutirage
Ae^Ado
Arrêt
Ail
Ctiorge , Soutirage .
A03-A^2
A^,
AÔ4
hAÔ4-AÔ3
-ùe.
Adz-Ad
L A9.Aô, -AÔQ
Figure 3-4 : Schématisation par paliers.
Figure 3-5 : Principe de superposition.
81 -
d'arrêt on affiche une circulation artificielle du fluide, la pompe à
chaleur ne fonctionnant pas.
Durant chaque palier on fonctionne à puissance constante.
Pour connaître l'effet résultant, on utilise le principe de super¬
position (puissance variable = succession de différentes périodes à puissance
constante). Le premier mode d'exploitation (à AOq) est donc considéré débuter
à t = 0 jusqu'à t» . Quand un autre mode d'exploitation (à AGj ) intervient,
il suffit de tenir compte d'un nouveau fonctionnement (à A0|-A0 ) et d'ajouter
son effet à celui du précédent mode d'exploitation, et ainsi de suite (la
somme des différentes puissances considérées devant être égale à la puissance
en cours d'exploitation).
La fiqure Q-S) montre l'application de ce principe de superpositionà l'exemple de la fiqure p-4) .
La solution analytique, pour une descente par l'annulaire, devient :
, . n-1 A0. - A0. ,
e3(t) = G^ - g [^ - h + ^,] + Z ; (K'^h) (^-^7)o 1-e o 1=0 1-e 1
4ttX^/QYp
avecK'. = (3.38)^ Ei[ry4D(t-t.)]
A0_,= 0
t =00
et t ,<t<tn-1 n
Pour i = 0 on vérifie bien que (3.37) est équivalente à (3.35) (K' = K).
3.2.1.3 - Introduction des paramètres adimensionnels [3-2, 3-12]
L'étude de divers projets à l'aide des solutions analytiques précé¬
demment présentées est grandement facilitée par l'utilisation d'ordinateurs
ou de calculatrices programmables, mais nécessite un temps minimum pour la
mise en oeuvre de ces outils de calcul. Dans une optique d'évaluation rapide
des projets, le besoin de courbes et d'abaques pour des valeurs de paramètres
81 -
d'arrêt on affiche une circulation artificielle du fluide, la pompe à
chaleur ne fonctionnant pas.
Durant chaque palier on fonctionne à puissance constante.
Pour connaître l'effet résultant, on utilise le principe de super¬
position (puissance variable = succession de différentes périodes à puissance
constante). Le premier mode d'exploitation (à AOq) est donc considéré débuter
à t = 0 jusqu'à t» . Quand un autre mode d'exploitation (à AGj ) intervient,
il suffit de tenir compte d'un nouveau fonctionnement (à A0|-A0 ) et d'ajouter
son effet à celui du précédent mode d'exploitation, et ainsi de suite (la
somme des différentes puissances considérées devant être égale à la puissance
en cours d'exploitation).
La fiqure Q-S) montre l'application de ce principe de superpositionà l'exemple de la fiqure p-4) .
La solution analytique, pour une descente par l'annulaire, devient :
, . n-1 A0. - A0. ,
e3(t) = G^ - g [^ - h + ^,] + Z ; (K'^h) (^-^7)o 1-e o 1=0 1-e 1
4ttX^/QYp
avecK'. = (3.38)^ Ei[ry4D(t-t.)]
A0_,= 0
t =00
et t ,<t<tn-1 n
Pour i = 0 on vérifie bien que (3.37) est équivalente à (3.35) (K' = K).
3.2.1.3 - Introduction des paramètres adimensionnels [3-2, 3-12]
L'étude de divers projets à l'aide des solutions analytiques précé¬
demment présentées est grandement facilitée par l'utilisation d'ordinateurs
ou de calculatrices programmables, mais nécessite un temps minimum pour la
mise en oeuvre de ces outils de calcul. Dans une optique d'évaluation rapide
des projets, le besoin de courbes et d'abaques pour des valeurs de paramètres
83 -
réalistes s'est fait sentir. Un grand nombre de paramètres (X_, Yr» ^d>r r K
Yn, Q, r , h, A0, 0 , 0., g...) intervenant dans le comportement du dispo¬
sitif CORAIL, la détermination de groupements adimensionnels est nécessaire
pour tracer les courbes et abaques.
A) Fonctionnement à puissance constantz :
Les paramètres adimensionnels sont :
* le temps réduit (tp)» mis en évidence par l'équation (3.25), il est définipar l'expression :
t^ = 4Dt/r^ (3.39)
avec D : diffusivité thermique de la roche (m*s M (=^d/Yd)
t : temps écoulé depuis le début du fonctionnement dudispositif (secondes )
r : rayon de l'échangeur (m)
Du point de vue dimensionnel, le groupement D/r^ est l'inverse
3e le dispositif par
dans son environnement thermique (D).
d'un temps (L^T ^T ') ; il caractérise le dispositif par sa taille (r )
* la température réduite (0 ) définie pour un écart de température d'exploi¬
tation constant (A0) et par rapport à une température de référence (tempéra¬
ture initiale dans la roche à mi-profondeur de l'échangeur : 0 + gh/2),
elle s'exprime par :
0 - (0 + gh/2)
®r = -^ fe ^'-'^^
Elle est caractéristique du niveau thermique initial moyen de
la formation rocheuse.
Cette définition rend l'évolution de 0 indépendante de la valeur
du gradient géothermique (prouvée par la formulation de 0 pour les temps
longs, donnée plus loin).
83 -
réalistes s'est fait sentir. Un grand nombre de paramètres (X_, Yr» ^d>r r K
Yn, Q, r , h, A0, 0 , 0., g...) intervenant dans le comportement du dispo¬
sitif CORAIL, la détermination de groupements adimensionnels est nécessaire
pour tracer les courbes et abaques.
A) Fonctionnement à puissance constantz :
Les paramètres adimensionnels sont :
* le temps réduit (tp)» mis en évidence par l'équation (3.25), il est définipar l'expression :
t^ = 4Dt/r^ (3.39)
avec D : diffusivité thermique de la roche (m*s M (=^d/Yd)
t : temps écoulé depuis le début du fonctionnement dudispositif (secondes )
r : rayon de l'échangeur (m)
Du point de vue dimensionnel, le groupement D/r^ est l'inverse
3e le dispositif par
dans son environnement thermique (D).
d'un temps (L^T ^T ') ; il caractérise le dispositif par sa taille (r )
* la température réduite (0 ) définie pour un écart de température d'exploi¬
tation constant (A0) et par rapport à une température de référence (tempéra¬
ture initiale dans la roche à mi-profondeur de l'échangeur : 0 + gh/2),
elle s'exprime par :
0 - (0 + gh/2)
®r = -^ fe ^'-'^^
Elle est caractéristique du niveau thermique initial moyen de
la formation rocheuse.
Cette définition rend l'évolution de 0 indépendante de la valeur
du gradient géothermique (prouvée par la formulation de 0 pour les temps
longs, donnée plus loin).
Temps réel pour le nfiojet de Lannion [P = C,29, G = 1]
CD
I
CD<1
Q.s:S
4-1-
3
2
1
0
-1
-2
-3
-4
-5
C = IO
GtS
Gz2
CM6=0
G = t
6 = 2
G?-5
12 min 1/21)
H I I I I I HSh
-I 1 1 lllll -I 1 1 lllll2) ZO)
H 1 1 I 111116
.-5
G =-10
H 1 I lllll -\ 1 I Mill H 1 I lllll H 1 I I I I -t 1-6^B-O.l t- = » *K-» t.rlOO % = IOOO
temps nédu.it tl -- 4Vt/r0
a
Figure 3-6 : Dispositif à puissance constantz. Evolution de ta température réduite (0j,) en fonction dutemps réduit [tr] pour différentes valeurs du gradient géothermique réduit (G) pour lesdeux sens de circulation du fluide dans l' echangeur.[d'aprèi AUSSEUR, SAUTV, coll. GRIMA, JAV [3-2]].
Temps réel pour le nfiojet de Lannion [P = C,29, G = 1]
CD
I
CD<1
Q.s:S
4-1-
3
2
1
0
-1
-2
-3
-4
-5
C = IO
GtS
Gz2
CM6=0
G = t
6 = 2
G?-5
12 min 1/21)
H I I I I I HSh
-I 1 1 lllll -I 1 1 lllll2) ZO)
H 1 1 I 111116
.-5
G =-10
H 1 I lllll -\ 1 I Mill H 1 I lllll H 1 I I I I -t 1-6^B-O.l t- = » *K-» t.rlOO % = IOOO
temps nédu.it tl -- 4Vt/r0
a
Figure 3-6 : Dispositif à puissance constantz. Evolution de ta température réduite (0j,) en fonction dutemps réduit [tr] pour différentes valeurs du gradient géothermique réduit (G) pour lesdeux sens de circulation du fluide dans l' echangeur.[d'aprèi AUSSEUR, SAUTV, coll. GRIMA, JAV [3-2]].
85
* Le paramètre caractéristique des échanqes : P, est défini par :
QYr
^^ = 4^ (^-^1)
Il apparaît dans les équations (3.27) et (3.29) et caractérise
le rappport du flux convectif vertical dans l'échangeur au flux échangé
avec la roche.
* Le gradient géothermique réduit : G, défini par le rapport de l'écart
initial de température entre le sommet et la base de l'échangeur (dans la
roche) à l'écart de température exploité par la pompe à chaleur :
G = ah (,.,2,
Avec ces paramètres, l'écriture des solutions analytiques présen¬
tées au § 3.2.1.2 se transforme .
Pour la descente gar l'annulaire, l'équation (3.35) devient
0r
T^ITTzy - ^Li-z---^)] (3.43)i-e 1-e
avec Z = P Ei(l/tr) ~ P [in(tr)- r] (3.44)
« Pour la descente par le tube central, l'équation (3.36) devient
0r
G [t - Z - Twtt] (3.45)^_^(1/Z) - ^2 - - ^_J1/Z)
(et Z défini ci-dessus)
La fiqure (3-6) représente l'évolution de la température réduite
(0 _ ^- (-o-t-gh/2)^ g^ fonction du temps réduit (tj. = 4Dt/ro' avec D
et r correspondant au projet de Lannion, r^ = 0,1 m ; D = 1,45 10 m^s~M
pour différentes valeurs du gradient géothermique réduit (G = gh/A0). Ellemontre que l'exploitation avec descente du fluide par l'annulaire est légè¬
rement bénéfique par rapport à la descente par le tube central, surtout en
début d'exploitation. Ce bénéfice est d'autant plus important que G est fort.
85
* Le paramètre caractéristique des échanqes : P, est défini par :
QYr
^^ = 4^ (^-^1)
Il apparaît dans les équations (3.27) et (3.29) et caractérise
le rappport du flux convectif vertical dans l'échangeur au flux échangé
avec la roche.
* Le gradient géothermique réduit : G, défini par le rapport de l'écart
initial de température entre le sommet et la base de l'échangeur (dans la
roche) à l'écart de température exploité par la pompe à chaleur :
G = ah (,.,2,
Avec ces paramètres, l'écriture des solutions analytiques présen¬
tées au § 3.2.1.2 se transforme .
Pour la descente gar l'annulaire, l'équation (3.35) devient
0r
T^ITTzy - ^Li-z---^)] (3.43)i-e 1-e
avec Z = P Ei(l/tr) ~ P [in(tr)- r] (3.44)
« Pour la descente par le tube central, l'équation (3.36) devient
0r
G [t - Z - Twtt] (3.45)^_^(1/Z) - ^2 - - ^_J1/Z)
(et Z défini ci-dessus)
La fiqure (3-6) représente l'évolution de la température réduite
(0 _ ^- (-o-t-gh/2)^ g^ fonction du temps réduit (tj. = 4Dt/ro' avec D
et r correspondant au projet de Lannion, r^ = 0,1 m ; D = 1,45 10 m^s~M
pour différentes valeurs du gradient géothermique réduit (G = gh/A0). Ellemontre que l'exploitation avec descente du fluide par l'annulaire est légè¬
rement bénéfique par rapport à la descente par le tube central, surtout en
début d'exploitation. Ce bénéfice est d'autant plus important que G est fort.
U(. -
Figure 3-7 : Dispositif CORAIL à puissance constante. Evolution de latempérature (0 ) en fonction du temps réduit [t ) pour diffé¬rentes valeurs du paramètre caractéristique des échanges (P).[d'après AUSSEUR, SAUTy, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
Temps réel pour le projet de Lannion [D = 1,4510 m^s , r^ - 0,1 m]
U(. -
Figure 3-7 : Dispositif CORAIL à puissance constante. Evolution de latempérature (0 ) en fonction du temps réduit [t ) pour diffé¬rentes valeurs du paramètre caractéristique des échanges (P).[d'après AUSSEUR, SAUTy, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
Temps réel pour le projet de Lannion [D = 1,4510 m^s , r^ - 0,1 m]
- 87 -
c'est-à-dire que g (le gradient géothermique réel) est fort ou que la
puissance exploitée (A0) est faible. Au cours du temps la différence entre
les deux types de fonctionnement s'estompe.
Pour G = 0 (répartition uniforme de la température dans la roche)
les deux dispositifs donnent des résultats strictement semblables.
Pour le projet de Lannion, la différence entre les températures
en sortie d'échangeur dans les 2 types d'exploitation, de 0,6°C au bout de
5 heures, devient inférieure à 0,2°C au bout de 20 jours.
Pour les temps longs :
Dans ce cas : d ~ -^ - 1 (3.46)
avec z = P [in(tr) - r]
Cette formulation, toujours valable quand G = 1 (dans 3-43 et 3-45)
a été obtenue quand t -» " [3-2].
Ceci signifie que 0r (donc 0g) diminue de plus en plus et qu'on
n'atteint pas de stabilisation pour un fonctionnement continu sur toute
l'année. La simulation de 3 saisons de chauffage à Lannion montre que
l'on tend vers une stabilisation en fin de saison de chauffage.
La figure (3-7) représente l'évolution de Qj. (température réduite)en fonction de t^. (temps réduit) pour différentes valeurs de P (paramètres
caractéristiques des échanges) et 4D/ro' fixé à 1.45 10~'*s~^ (correspondantau projet de Lannion) dans le cas de fonctionnement à puissance constante,
continu dans le temps.
Cette figure est obtenue [3-2] à partir des équations (3.43) et(3.45) dans lesquelles le terme tenant compte du gradient géothermique réduit
(G) est négligé (la figure (3-6) montrant que son influence peut être négligéeassez vite).
L'évolution de 0 linéaire sur ce graphique semi-logarithmique
(échelle logarithmique pour les temps réduits fiqure (3-7))montre que
l'approximation logarithmique (équation 3.46) est rapidement suffisante.
- 87 -
c'est-à-dire que g (le gradient géothermique réel) est fort ou que la
puissance exploitée (A0) est faible. Au cours du temps la différence entre
les deux types de fonctionnement s'estompe.
Pour G = 0 (répartition uniforme de la température dans la roche)
les deux dispositifs donnent des résultats strictement semblables.
Pour le projet de Lannion, la différence entre les températures
en sortie d'échangeur dans les 2 types d'exploitation, de 0,6°C au bout de
5 heures, devient inférieure à 0,2°C au bout de 20 jours.
Pour les temps longs :
Dans ce cas : d ~ -^ - 1 (3.46)
avec z = P [in(tr) - r]
Cette formulation, toujours valable quand G = 1 (dans 3-43 et 3-45)
a été obtenue quand t -» " [3-2].
Ceci signifie que 0r (donc 0g) diminue de plus en plus et qu'on
n'atteint pas de stabilisation pour un fonctionnement continu sur toute
l'année. La simulation de 3 saisons de chauffage à Lannion montre que
l'on tend vers une stabilisation en fin de saison de chauffage.
La figure (3-7) représente l'évolution de Qj. (température réduite)en fonction de t^. (temps réduit) pour différentes valeurs de P (paramètres
caractéristiques des échanges) et 4D/ro' fixé à 1.45 10~'*s~^ (correspondantau projet de Lannion) dans le cas de fonctionnement à puissance constante,
continu dans le temps.
Cette figure est obtenue [3-2] à partir des équations (3.43) et(3.45) dans lesquelles le terme tenant compte du gradient géothermique réduit
(G) est négligé (la figure (3-6) montrant que son influence peut être négligéeassez vite).
L'évolution de 0 linéaire sur ce graphique semi-logarithmique
(échelle logarithmique pour les temps réduits fiqure (3-7))montre que
l'approximation logarithmique (équation 3.46) est rapidement suffisante.
89
Variation de A0 ou de Q pour une puissance fixée ?
L'approximation logarithmioue de 0 (0 ~ -^ - P [ln(t ) - P])
' 0s - (00 + gh/2)et la définition de 0 (0 = ttt ) conduisent à :r r A0
0s ~ (00 + gh/2) -t- ^ - A0.P [in(tr) - F] -A0m (3.47)
avec AG^y, : pertes thermiques entres les deux colonnes de fluide
(AGl = -~-^ A0, équation (3.11))UlYpS
La pompe à chaleur exploite A0 et la température en sortie d' évapo¬
rateur, donc en injection dans l'échangeur (0), sera :
0^ = 0 - A0 (équation (3.34))
donc :
nh 1 TTX_r.ph
Q^ ~ i%*^) - àQ ij^ -q7T~ ^ ^ Lln(t^) - r]) (3.48)
Le premier terme de l'équation : Q * ^ est indépendant de l'exploi¬tation, ainsi queA0 P[ln(t - F] (car c'est le produit A0.Q qui intervient ici),
J TiX_r.phmais le second terme A0 (-^ -i- ! ) dépend du type d'exploitation choisie :
^ QYpe
- si A0 augmente (donc Q diminue dans le même rapport), il va augmenter,
- si A0 diminue (donc Q augmente dans le même rapport), il va diminuer.
Plus ce terme augmentera, plus 0j et donc la température en sortie
de l'évaporateur diminuera, ce qui est néfaste car le fonctionnement de la
pompe à chaleur est limité par un seuil en sortie d'évaporateur (voir chapi¬
tre 4).
On a donc intérêt à augmenter Q le débit de circulation du fluide
(dans la mesure où cela n'induit pas de pertes de charges hydrauliques trop
importantes dans l'échangeur) et diminuer A0 l'écart thermique dans le cas
d'un fonctionnement à puissance constante.
89
Variation de A0 ou de Q pour une puissance fixée ?
L'approximation logarithmioue de 0 (0 ~ -^ - P [ln(t ) - P])
' 0s - (00 + gh/2)et la définition de 0 (0 = ttt ) conduisent à :r r A0
0s ~ (00 + gh/2) -t- ^ - A0.P [in(tr) - F] -A0m (3.47)
avec AG^y, : pertes thermiques entres les deux colonnes de fluide
(AGl = -~-^ A0, équation (3.11))UlYpS
La pompe à chaleur exploite A0 et la température en sortie d' évapo¬
rateur, donc en injection dans l'échangeur (0), sera :
0^ = 0 - A0 (équation (3.34))
donc :
nh 1 TTX_r.ph
Q^ ~ i%*^) - àQ ij^ -q7T~ ^ ^ Lln(t^) - r]) (3.48)
Le premier terme de l'équation : Q * ^ est indépendant de l'exploi¬tation, ainsi queA0 P[ln(t - F] (car c'est le produit A0.Q qui intervient ici),
J TiX_r.phmais le second terme A0 (-^ -i- ! ) dépend du type d'exploitation choisie :
^ QYpe
- si A0 augmente (donc Q diminue dans le même rapport), il va augmenter,
- si A0 diminue (donc Q augmente dans le même rapport), il va diminuer.
Plus ce terme augmentera, plus 0j et donc la température en sortie
de l'évaporateur diminuera, ce qui est néfaste car le fonctionnement de la
pompe à chaleur est limité par un seuil en sortie d'évaporateur (voir chapi¬
tre 4).
On a donc intérêt à augmenter Q le débit de circulation du fluide
(dans la mesure où cela n'induit pas de pertes de charges hydrauliques trop
importantes dans l'échangeur) et diminuer A0 l'écart thermique dans le cas
d'un fonctionnement à puissance constante.
90
B) Fonctionnement à puissance exploitée variable :
L'écart thermique de référence (A0) peut être choisi parmi l'un
des A0i de fonctionnement et les écarts thermiques réduits sont définis ainsi
(A0i - A0i_i)^^ri = ^ (3.49)
avec : A0_2 = 0
Les temps réduits t pour les débuts de chaque palier sont de
la forme :
4Dt.t = T (3.50)
r r^i ^o
e (.. - Q
L'équation (3.37) devient alors (avec G = gh/A0 et 0 = -^^^ -)^ A0
, n-1 A0®r = - ^ LZ - 1 - -i^7^] + E HTzn (3.51)
1-e "-' 1=0 1-e 1'
avec : Z.' = P.Ei [. . ] (3.52): z; = P. El [-r^- ]1 Lr-tp^
C) Fonctionnement à température Q.j. constante
Dans ce cas la température réduite est définie ainsi :
0s - Qo
'^ = 0, - 0o ^^-"^
avec : 0 : température en sortie d'échangeur ,
0 : température dans la roche à z = 0 ,
0. : température d'injection constante .
Le gradient qéothermique réduit G' est défini par :
G'=f;^ (3.54)1 0
90
B) Fonctionnement à puissance exploitée variable :
L'écart thermique de référence (A0) peut être choisi parmi l'un
des A0i de fonctionnement et les écarts thermiques réduits sont définis ainsi
(A0i - A0i_i)^^ri = ^ (3.49)
avec : A0_2 = 0
Les temps réduits t pour les débuts de chaque palier sont de
la forme :
4Dt.t = T (3.50)
r r^i ^o
e (.. - Q
L'équation (3.37) devient alors (avec G = gh/A0 et 0 = -^^^ -)^ A0
, n-1 A0®r = - ^ LZ - 1 - -i^7^] + E HTzn (3.51)
1-e "-' 1=0 1-e 1'
avec : Z.' = P.Ei [. . ] (3.52): z; = P. El [-r^- ]1 Lr-tp^
C) Fonctionnement à température Q.j. constante
Dans ce cas la température réduite est définie ainsi :
0s - Qo
'^ = 0, - 0o ^^-"^
avec : 0 : température en sortie d'échangeur ,
0 : température dans la roche à z = 0 ,
0. : température d'injection constante .
Le gradient qéothermique réduit G' est défini par :
G'=f;^ (3.54)1 0
91
* Pour la descente du fluide par l'annulaire, l'équation (3.30)
devient :
0' = e^-^/^^ + G' [1 - Z + Ze"^/^] (3.55)r
(le temps réduit t étant égal à 4tD/r^ )
* Pour la descente du fluide par le tube central, l'équation (3.33)
s'écrit alors :
Q. = e(-l/Z) - G' [e-^/^ - Z + Ze-^/2] (3.56)r
* Pour les temps lonqs (t. -> °° et t -» «>)
les deux expressions de 0' -»- 1, ce qui revient à dire que
0 -» 0. donc qu'on ne "prélève" plus rien sur l'encaissant.
3.2.2 - Solution numérique
3.2.2.1 - Conception du modèle
Il s'agit de résoudre les équations aux dérivées partielles pré¬
sentées au paragraphe 3.1.2.3 en tenant compte des conditions aux limites
et initiales dans le domaine défini.
Le modèle conçu dans le cadre de ce travail est basé sur la méthode
des différences finies. Cette méthode consiste à écrire les bilans de flux
sur chaque maille, les dérivées partielles intervenant dans les flux et les
variations de stock sont remplacées au premier ordre par des accroissements
finis d'où un système linéaire avec une équation par maille.
Les flux sont exprimés en fonction des températures inconnues à
l'instant suivant et le système linéaire est résolu par un algorithme itératif.
91
* Pour la descente du fluide par l'annulaire, l'équation (3.30)
devient :
0' = e^-^/^^ + G' [1 - Z + Ze"^/^] (3.55)r
(le temps réduit t étant égal à 4tD/r^ )
* Pour la descente du fluide par le tube central, l'équation (3.33)
s'écrit alors :
Q. = e(-l/Z) - G' [e-^/^ - Z + Ze-^/2] (3.56)r
* Pour les temps lonqs (t. -> °° et t -» «>)
les deux expressions de 0' -»- 1, ce qui revient à dire que
0 -» 0. donc qu'on ne "prélève" plus rien sur l'encaissant.
3.2.2 - Solution numérique
3.2.2.1 - Conception du modèle
Il s'agit de résoudre les équations aux dérivées partielles pré¬
sentées au paragraphe 3.1.2.3 en tenant compte des conditions aux limites
et initiales dans le domaine défini.
Le modèle conçu dans le cadre de ce travail est basé sur la méthode
des différences finies. Cette méthode consiste à écrire les bilans de flux
sur chaque maille, les dérivées partielles intervenant dans les flux et les
variations de stock sont remplacées au premier ordre par des accroissements
finis d'où un système linéaire avec une équation par maille.
Les flux sont exprimés en fonction des températures inconnues à
l'instant suivant et le système linéaire est résolu par un algorithme itératif.
R
Zi-i __
Zi
)-, R
maille (i,))
ARj
J
1
AZi
0
''Z
^itiK-snrrÂ|rGirE|f'
\ .. fl
/
^->
">-^
-y/
LZ
///
¿cm.¿-te ó(xpeAx.ea/ie
¿^.¿-te
//
/_y ^/ y^
m
lnf.érleure
la
térale
R
K)
Figure 3-8 : Modèle numérique .Schématisation du domalnz dz résolution ; r.ialtlagz et notatlom utilisées.
R
Zi-i __
Zi
)-, R
maille (i,))
ARj
J
1
AZi
0
''Z
^itiK-snrrÂ|rGirE|f'
\ .. fl
/
^->
">-^
-y/
LZ
///
¿cm.¿-te ó(xpeAx.ea/ie
¿^.¿-te
//
/_y ^/ y^
m
lnf.érleure
la
térale
R
K)
Figure 3-8 : Modèle numérique .Schématisation du domalnz dz résolution ; r.ialtlagz et notatlom utilisées.
- 93 -
Les hypothèses présentées précédemment ont permis d'arriver aux
équations (3.06) et (3.10) rappelées ici :
^R Tt = ^R ^T-F * 7 ^ li^J ^^'°^^(dans l'encaissant)
30r 30F 30
(dans l'échangeur)
3.2.2.2 - Maillage du domaine de résolution
Le domaine de résolution (plan vertical) est découpé en mailles
rectangulaires qui sont les sections des anneaux tridimensionnels coupés par
ce plan vertical. La taille des mailles est faible, dans les zones de fort
gradient de température, en particulier au voisinage de l'échangeur. Le découpage
du domaine et les notations utilisées sont représentés fiqure (3-3).
L'épaisseur des mailles (AZ.) est égale sur toute la hauteur
de l'échangeur ; sous celui-ci l'épaisseur des premières mailles est faible, elle
augmente avec la profondeur suivant une progression géométrique dont la raison
est donnée par l'utilisateur.
La largeur des mailles (AR.) faible près de l'échangeur augmente
radialement à celui-ci suivant une progression géométrique de raison fixée
par l'utilisateur.
Le demi-échangeur (symétrie du problème) composé d'un demi-espace
central, d'un demi-tube intérieur, d'un demi-espace annulaire est découpé
en trois colonnes de mailles, chacune correspondant à un demi-espace.
Aux limites géométriques du domaine (axe de symétrie, limite laté¬rale, surface du sol, limite inférieure) une colonne ou une ligne de maillesfictives permet de prendre en compte les conditions aux limites : ellesservent au calcul des coefficients des équations.
- 93 -
Les hypothèses présentées précédemment ont permis d'arriver aux
équations (3.06) et (3.10) rappelées ici :
^R Tt = ^R ^T-F * 7 ^ li^J ^^'°^^(dans l'encaissant)
30r 30F 30
(dans l'échangeur)
3.2.2.2 - Maillage du domaine de résolution
Le domaine de résolution (plan vertical) est découpé en mailles
rectangulaires qui sont les sections des anneaux tridimensionnels coupés par
ce plan vertical. La taille des mailles est faible, dans les zones de fort
gradient de température, en particulier au voisinage de l'échangeur. Le découpage
du domaine et les notations utilisées sont représentés fiqure (3-3).
L'épaisseur des mailles (AZ.) est égale sur toute la hauteur
de l'échangeur ; sous celui-ci l'épaisseur des premières mailles est faible, elle
augmente avec la profondeur suivant une progression géométrique dont la raison
est donnée par l'utilisateur.
La largeur des mailles (AR.) faible près de l'échangeur augmente
radialement à celui-ci suivant une progression géométrique de raison fixée
par l'utilisateur.
Le demi-échangeur (symétrie du problème) composé d'un demi-espace
central, d'un demi-tube intérieur, d'un demi-espace annulaire est découpé
en trois colonnes de mailles, chacune correspondant à un demi-espace.
Aux limites géométriques du domaine (axe de symétrie, limite laté¬rale, surface du sol, limite inférieure) une colonne ou une ligne de maillesfictives permet de prendre en compte les conditions aux limites : ellesservent au calcul des coefficients des équations.
- 94 -
3.2.2.3 - Discrétisation des équations
Dans chaque maille le bilan thermique est discrétisé .
A) Dans l'encaissant :
Le flux emmagasiné dans une maille (anneau à section rectangulaire
centré sur l'axe de l'échangeur) est égal à la somme des flux échangés avec
les 4 mailles voisines et l'équation discrétisée s'écrit :
^'^^^J'^^ ^t ^- ^ ' L(AZ,_^+AZ.)/2 "" ^^-l,j h, y
^Sl,j K+1 ^K+l. ^^i,j ,,K+1 jK+1.* (AZ.-hAZ._^^)/2 "" ^ l-Hl,j " 'i,j^ * (ARj + AR^^p/2 "" ^ i,j-h1 " i,j^
.!|:.L_ (tK*1 .T^*l)] (3.57)(AR .-kAR. j^)/2 ' i,j i,j -'
avec : AU. . : volume de la maille (i,j)^ » J
T. . : température du centre de la maille (i,j) au pas de temps K1 > J
AZ. î hauteur des mailles de la ligne i
AR . î largeur des mailles de la colonne j
S = Se = tt(R' . - R' . ,) (3. 58. a)f^i,j ^i-l,j J J-^
(aire de la face horizontale entre les mailles (i,j) et (i-l,j))
Se. . = S., , . = -iï X (R' . - R' . , ) ,, ^o ^,^ijj N.i+i,j J J-l' (3.58.b)(aire de la face horizontale entre les mailles
(i,j) et (i-Hl,j))
- 94 -
3.2.2.3 - Discrétisation des équations
Dans chaque maille le bilan thermique est discrétisé .
A) Dans l'encaissant :
Le flux emmagasiné dans une maille (anneau à section rectangulaire
centré sur l'axe de l'échangeur) est égal à la somme des flux échangés avec
les 4 mailles voisines et l'équation discrétisée s'écrit :
^'^^^J'^^ ^t ^- ^ ' L(AZ,_^+AZ.)/2 "" ^^-l,j h, y
^Sl,j K+1 ^K+l. ^^i,j ,,K+1 jK+1.* (AZ.-hAZ._^^)/2 "" ^ l-Hl,j " 'i,j^ * (ARj + AR^^p/2 "" ^ i,j-h1 " i,j^
.!|:.L_ (tK*1 .T^*l)] (3.57)(AR .-kAR. j^)/2 ' i,j i,j -'
avec : AU. . : volume de la maille (i,j)^ » J
T. . : température du centre de la maille (i,j) au pas de temps K1 > J
AZ. î hauteur des mailles de la ligne i
AR . î largeur des mailles de la colonne j
S = Se = tt(R' . - R' . ,) (3. 58. a)f^i,j ^i-l,j J J-^
(aire de la face horizontale entre les mailles (i,j) et (i-l,j))
Se. . = S., , . = -iï X (R' . - R' . , ) ,, ^o ^,^ijj N.i+i,j J J-l' (3.58.b)(aire de la face horizontale entre les mailles
(i,j) et (i-Hl,j))
- 95 -
Sr- = S,.|. . , = 2ti X R. X AZ. (3. 59. a)Ei,j Wi,J+l J 1
(aire de la face verticale entre les mailles
(i,j) et (i,j+l) )
Sy. . = Sr. . , = 2ïï X R . , X AZ . (3.59.b)'*'i,j ^1,3-1 J-l 1
(aire de la face verticale entre les mailles
(i,j) et (i,j-l))
Soit(T^*^ - T^ .)
Y X V. .X ^?J,. i-i-L rX[(Ku. . + Ku. , .-t- K,.,. . + K. , . . ,) T^"^":' l,j At * ^i,J ^i+l,J Wi,j '>/i,j-(.l' i,j -
( Km . . X T . , + Km . , T . , + Kij . . x T . . , -t-1^1, J 1-1, j "^1+1, J a-t-l,J "-^i.J i,J-l
^Wi.j+l ^ i,j+l)] (3.60)
27T X (R* - R* )
avec : K., = -r= '' ... '<'-^ (3.61)Ni i AZ. , + AZ.^>J 1-1 1
4-n X R . , X AZ .
K,, = -Tp '^^^ (3-62)"^i.j ^^j-1 * ^^j
et 1 á i ^ n avec n : nombre de lignes
1 ^ j ^ m avec m : nombre de colonnes
Ces coefficients sont calculés pour chaque maille, et expriment
sur les mailles frontières les conditions aux limites.
- 95 -
Sr- = S,.|. . , = 2ti X R. X AZ. (3. 59. a)Ei,j Wi,J+l J 1
(aire de la face verticale entre les mailles
(i,j) et (i,j+l) )
Sy. . = Sr. . , = 2ïï X R . , X AZ . (3.59.b)'*'i,j ^1,3-1 J-l 1
(aire de la face verticale entre les mailles
(i,j) et (i,j-l))
Soit(T^*^ - T^ .)
Y X V. .X ^?J,. i-i-L rX[(Ku. . + Ku. , .-t- K,.,. . + K. , . . ,) T^"^":' l,j At * ^i,J ^i+l,J Wi,j '>/i,j-(.l' i,j -
( Km . . X T . , + Km . , T . , + Kij . . x T . . , -t-1^1, J 1-1, j "^1+1, J a-t-l,J "-^i.J i,J-l
^Wi.j+l ^ i,j+l)] (3.60)
27T X (R* - R* )
avec : K., = -r= '' ... '<'-^ (3.61)Ni i AZ. , + AZ.^>J 1-1 1
4-n X R . , X AZ .
K,, = -Tp '^^^ (3-62)"^i.j ^^j-1 * ^^j
et 1 á i ^ n avec n : nombre de lignes
1 ^ j ^ m avec m : nombre de colonnes
Ces coefficients sont calculés pour chaque maille, et expriment
sur les mailles frontières les conditions aux limites.
- 96
B) Vans l'échangeur :
Les échanges dans l'annulaire ont été discrétisés sans prendre
en compte les transferts thermiques entre l'annulaire et le tube central(calculés globalement par ailleurs pour une raison de simplification des
calculs) . L'équation s'écrit :
(T^*^ - T^ .)S , ^z. x^-J ^ = f [il^^l , - T^*^) . (T^ . . - T^ .)]ai /^^. 2 ' 1-1, J i,J 1-1, J i,j -
JL (tI^*! - t"^*^ ,) (3.63)
At
4xXxAZ. xTTxR1
AR . ,J+1
avec : S : section de l'annulairea
Q : débit du fluide dans l'échangeur
Le premier terme du membre de droite de cette équation calculela moyenne sur le pas de temps des échanges convectifs verticaux dans l'échan¬
geur. Le second terme représente le flux échangé avec l'encaissant.
3.2.2.4 - Expression des conditions aux limites
A) Dans V encaissant
Iemgérature_constante à la surface du sol :
Vj, VK : tJj = T^ (3.64)
lË!!lEËEËÎy£Ë_D§t!dEËUË_2_l5_l^'"^*^^ inférieure (maille n) :
Vj, VK: T^^. =T^ (3.65)
AZnavec : \^ \* ^ (Z^, + "f" ) (3.66)
avec g le gradient géothermique.
- 96
B) Vans l'échangeur :
Les échanges dans l'annulaire ont été discrétisés sans prendre
en compte les transferts thermiques entre l'annulaire et le tube central(calculés globalement par ailleurs pour une raison de simplification des
calculs) . L'équation s'écrit :
(T^*^ - T^ .)S , ^z. x^-J ^ = f [il^^l , - T^*^) . (T^ . . - T^ .)]ai /^^. 2 ' 1-1, J i,J 1-1, J i,j -
JL (tI^*! - t"^*^ ,) (3.63)
At
4xXxAZ. xTTxR1
AR . ,J+1
avec : S : section de l'annulairea
Q : débit du fluide dans l'échangeur
Le premier terme du membre de droite de cette équation calculela moyenne sur le pas de temps des échanges convectifs verticaux dans l'échan¬
geur. Le second terme représente le flux échangé avec l'encaissant.
3.2.2.4 - Expression des conditions aux limites
A) Dans V encaissant
Iemgérature_constante à la surface du sol :
Vj, VK : tJj = T^ (3.64)
lË!!lEËEËÎy£Ë_D§t!dEËUË_2_l5_l^'"^*^^ inférieure (maille n) :
Vj, VK: T^^. =T^ (3.65)
AZnavec : \^ \* ^ (Z^, + "f" ) (3.66)
avec g le gradient géothermique.
97 -
0 Flux nul sur- la limite latérale du domaine entre les
mailles m et m + 1 :
K,, =0 (3.67)1 ,m-4-l
B) A la limite écliangeur- encaissant
* La température est continue (pas de couche limite thermique)
donc :
* pour la colonne de mailles située près de l'échangeur :
AR._, = 0 (3.68)
* pour les mailles situées sous l'échangeur :
AZ. , = 0 (3.69)1-1
C) Dans V écliangeur
m Flux nul sur l'axe de symétrie :
^i : Ky.^^ = 0 (3.70)
« TempJ_raturj__d_'_inJ^^_ti_on :
VK: T^^^ -.1.^. (3.71)
avec T. . : température d'injection du fluide
Dans le cas d'une exploitation à puissance constante :
^nj = 'l:\ - ^t (3.72)
K-1avec : ^ 4 ' température au bas de l'échangeur au pas de
temps K-1
(p : valeur de l'indice i des mailles (i,j) au bas de
l'échangeur)
En bas de l'échangeur un échange conductif vertical avec la
maille (p -i- l,j) est pris en compte en plus de l'échange conductif horizontalavec la maille (p, j-i-1).
97 -
0 Flux nul sur- la limite latérale du domaine entre les
mailles m et m + 1 :
K,, =0 (3.67)1 ,m-4-l
B) A la limite écliangeur- encaissant
* La température est continue (pas de couche limite thermique)
donc :
* pour la colonne de mailles située près de l'échangeur :
AR._, = 0 (3.68)
* pour les mailles situées sous l'échangeur :
AZ. , = 0 (3.69)1-1
C) Dans V écliangeur
m Flux nul sur l'axe de symétrie :
^i : Ky.^^ = 0 (3.70)
« TempJ_raturj__d_'_inJ^^_ti_on :
VK: T^^^ -.1.^. (3.71)
avec T. . : température d'injection du fluide
Dans le cas d'une exploitation à puissance constante :
^nj = 'l:\ - ^t (3.72)
K-1avec : ^ 4 ' température au bas de l'échangeur au pas de
temps K-1
(p : valeur de l'indice i des mailles (i,j) au bas de
l'échangeur)
En bas de l'échangeur un échange conductif vertical avec la
maille (p -i- l,j) est pris en compte en plus de l'échange conductif horizontalavec la maille (p, j-i-1).
NOM DE LA SIMULATION (20 Caracteres) :
Nombre de couches /ert ical esNombre de couches horizontales
Nbre de couches horizo. pour le puitsNbre de couches verticales ds le puits
Capacite calorifique de I'eâu(2>4)Conductivité thermique de l'eau(2<4)
Capacite calorifique de la roche(>4);Conductivité thermique de la roche (>4 ) :
Capacite calorifique de l'isolant (3)Conductivité thermique de l'isolant <3)CI temp. <0/nul; 1/Grad. Geoi 2/CÍ3RAIL. TEM) :
Remontée dans l'annulaire (O/non; 1/ou i ) :
C L en temp, en aval (0/f lux nuli 1/temp).CL en temp. en amont(0/flux nul* 1/temp).
C L. sup. en temp. (0/f lux nuli 1/temp);CL. inf. en temp. (0/flux nul. 1/temp):
Condition d ' in jec t ion (0/T. CSTi 1/DT. CST):TEMPEKATURE D'INJECTION
DZ(1),DZPUI en Metres C2F6. 03DR< 1 ). DR(2). DR(3), DR(4), DR(5), C5F6 03 M:R < 1 ) en Metre
Facteur multiplicatif des rayons :
Facteur multiplicatif des profondeursDebit en M3/h dans le puits :
CORD »»»*«»»««»»»*«» 15 Avril25352140 42E70. 60. 22E72. 40. 22E70. 1
1
0001
1
1
-20. 01 5.0. 01 O. 06-0. 011. 52. 01.
so00
0. 02 0. 02 0. 01
Pas de temps(sec. )pris en compte si Q=0: 10.Durée de la simulation (en jours)
Nombre de points a historiquePoints a historique (212; 212; etc )
Nombre de dates de sortieDates de sortie (en jours) (10F5. 0)
0. 18E+03
2 4; 21101.0 5.0
4;
10. 20. 30. 45. 60. 90. 120. 150.
Figure 3-9 ; Simulation numérique du comportement thermique de l'échangeun CORAIL.Flcltcer des caractéristiques de l' écliangeur.
NOM DE LA SIMULATION (20 Caracteres) :
Nombre de couches /ert ical esNombre de couches horizontales
Nbre de couches horizo. pour le puitsNbre de couches verticales ds le puits
Capacite calorifique de I'eâu(2>4)Conductivité thermique de l'eau(2<4)
Capacite calorifique de la roche(>4);Conductivité thermique de la roche (>4 ) :
Capacite calorifique de l'isolant (3)Conductivité thermique de l'isolant <3)CI temp. <0/nul; 1/Grad. Geoi 2/CÍ3RAIL. TEM) :
Remontée dans l'annulaire (O/non; 1/ou i ) :
C L en temp, en aval (0/f lux nuli 1/temp).CL en temp. en amont(0/flux nul* 1/temp).
C L. sup. en temp. (0/f lux nuli 1/temp);CL. inf. en temp. (0/flux nul. 1/temp):
Condition d ' in jec t ion (0/T. CSTi 1/DT. CST):TEMPEKATURE D'INJECTION
DZ(1),DZPUI en Metres C2F6. 03DR< 1 ). DR(2). DR(3), DR(4), DR(5), C5F6 03 M:R < 1 ) en Metre
Facteur multiplicatif des rayons :
Facteur multiplicatif des profondeursDebit en M3/h dans le puits :
CORD »»»*«»»««»»»*«» 15 Avril25352140 42E70. 60. 22E72. 40. 22E70. 1
1
0001
1
1
-20. 01 5.0. 01 O. 06-0. 011. 52. 01.
so00
0. 02 0. 02 0. 01
Pas de temps(sec. )pris en compte si Q=0: 10.Durée de la simulation (en jours)
Nombre de points a historiquePoints a historique (212; 212; etc )
Nombre de dates de sortieDates de sortie (en jours) (10F5. 0)
0. 18E+03
2 4; 21101.0 5.0
4;
10. 20. 30. 45. 60. 90. 120. 150.
Figure 3-9 ; Simulation numérique du comportement thermique de l'échangeun CORAIL.Flcltcer des caractéristiques de l' écliangeur.
99 -
3.2.2.5 - Choix du pas de temps
A chaque pas de temps on résoud un système d'équations (une par mail¬
le) sur le domaine de façon itérative et l'on obtient une carte des températures.
Lorsque l'écart maximal de température sur le domaine entre deux itérations est
inférieur à un seuil fixé par l'utilisateur, la carte des températures trouvée
à la dernière itération est considérée comme la solution. On passe alors au pas
de temps suivant.
Pour éviter que le calcul ne soit trop long, le pas de temps initial
ne doit pas être trop fort.
Au cours du calcul, le pas de temps sera automatiquement augmenté
ou diminué inversement au nombre d'itérations nécessaires au pas de temps
précédent, suivant un facteur fixé par l'utilisateur.
3.2.2.6 - Mise en route du proqramme par l'utilisateur
Les données de la simulation (paramètres thermiques, débit du
fluide, dimension de l'échangeur, nombre et taille des mailles, conditions
aux limites et initiales, critère de convergence...) sont stockées dans un
fichier que l'utilisateur remet à jour à son gré.
Ce fichier (fiqure(3-9j) lu par le programme est utilisé pour la
simulation et imprimé sur la liste des résultats de cette dernière.
Le programme peut prendre en compte soit :
- une température uniforme sur tout le domaine,
- un gradient géothermique dont la valeur est précisée par l'uti¬
lisateur,
- une carte des températures, résultat d'une simulation précédente.
Le programme imprime des cartes de températures aux dates choisies
par l'utilisateur et peut garder en mémoire l'historique de certaines mailles.
Ce programme est mis en oeuvre sur le mini-ordinateur VAX 780
(DIGITAL-EQUIPMENT) en langage FORTRAN .
99 -
3.2.2.5 - Choix du pas de temps
A chaque pas de temps on résoud un système d'équations (une par mail¬
le) sur le domaine de façon itérative et l'on obtient une carte des températures.
Lorsque l'écart maximal de température sur le domaine entre deux itérations est
inférieur à un seuil fixé par l'utilisateur, la carte des températures trouvée
à la dernière itération est considérée comme la solution. On passe alors au pas
de temps suivant.
Pour éviter que le calcul ne soit trop long, le pas de temps initial
ne doit pas être trop fort.
Au cours du calcul, le pas de temps sera automatiquement augmenté
ou diminué inversement au nombre d'itérations nécessaires au pas de temps
précédent, suivant un facteur fixé par l'utilisateur.
3.2.2.6 - Mise en route du proqramme par l'utilisateur
Les données de la simulation (paramètres thermiques, débit du
fluide, dimension de l'échangeur, nombre et taille des mailles, conditions
aux limites et initiales, critère de convergence...) sont stockées dans un
fichier que l'utilisateur remet à jour à son gré.
Ce fichier (fiqure(3-9j) lu par le programme est utilisé pour la
simulation et imprimé sur la liste des résultats de cette dernière.
Le programme peut prendre en compte soit :
- une température uniforme sur tout le domaine,
- un gradient géothermique dont la valeur est précisée par l'uti¬
lisateur,
- une carte des températures, résultat d'une simulation précédente.
Le programme imprime des cartes de températures aux dates choisies
par l'utilisateur et peut garder en mémoire l'historique de certaines mailles.
Ce programme est mis en oeuvre sur le mini-ordinateur VAX 780
(DIGITAL-EQUIPMENT) en langage FORTRAN .
100 -
lu *
1. -
_ solution analytique de RAMEY
modèle numénlque
ECART10.
TEMPS, EN JOURS.
Figure 3-10 : Dispositif CORAIL : température d'Injection constante.Comparaison de l' évolution au cours du temps de latempérature en sortie d' écliangeur (0 ) obtenue parle modèle numénlque et la solution analytique de RAMEV.
100 -
lu *
1. -
_ solution analytique de RAMEY
modèle numénlque
ECART10.
TEMPS, EN JOURS.
Figure 3-10 : Dispositif CORAIL : température d'Injection constante.Comparaison de l' évolution au cours du temps de latempérature en sortie d' écliangeur (0 ) obtenue parle modèle numénlque et la solution analytique de RAMEV.
101
3.2.3 - Coniparaison et validation des sojutions
La comparaison des résultats du modèle à ceux de la solution
analytique a permis de le valider.
La solution analytique négligeant les échanges conductifs verti¬
caux dans l'encaissant, on a dû réaliser une simulation tenant compte de cette
hypothèse supplémentaire.
La fiqure (3-10) montre l'écart entre la simulation numérique
et la solution analytique de RAMEY pour les valeurs suivantes des para¬
mètres :
= 0,6 Wm"^K~^
= 4,18 X 10^ Jm"'K"^
= 2,4 Wm"^K'^
= 2,2 X 10^ Jm"'K'^
= 100 m
= 0,02 km''
= 12°C
= 6°C (température d'injection constante)
= 1 m'h"'
= 0,1 m
et ce pour 50 jours de fonctionnement.
La différence entre les deux résultats a une valeur maximale de
l'ordre de 0 ,15°C, elle diminue au cours du temps pour devenir pratiquement
nulle au bout de 50 jours.
'R
h
g
0o
0.1
Q
r
L'obtention de résultats pratiquement semblables par les deux
méthodes permet de valider le modèle numérique.
101
3.2.3 - Coniparaison et validation des sojutions
La comparaison des résultats du modèle à ceux de la solution
analytique a permis de le valider.
La solution analytique négligeant les échanges conductifs verti¬
caux dans l'encaissant, on a dû réaliser une simulation tenant compte de cette
hypothèse supplémentaire.
La fiqure (3-10) montre l'écart entre la simulation numérique
et la solution analytique de RAMEY pour les valeurs suivantes des para¬
mètres :
= 0,6 Wm"^K~^
= 4,18 X 10^ Jm"'K"^
= 2,4 Wm"^K'^
= 2,2 X 10^ Jm"'K'^
= 100 m
= 0,02 km''
= 12°C
= 6°C (température d'injection constante)
= 1 m'h"'
= 0,1 m
et ce pour 50 jours de fonctionnement.
La différence entre les deux résultats a une valeur maximale de
l'ordre de 0 ,15°C, elle diminue au cours du temps pour devenir pratiquement
nulle au bout de 50 jours.
'R
h
g
0o
0.1
Q
r
L'obtention de résultats pratiquement semblables par les deux
méthodes permet de valider le modèle numérique.
- 102 -
S«
o)
o
ti--c
-5 43
11
modèle numérique
solution anal/tique
i I ! I I ! I II I ! I I I I I lî , I ' I I M I M I I I I II II I /*.4
.. a
fS
Temps KidwU ; -Ca. - ^P--:/>.g
Figure 3- 1 1 : Dispositif CORAIL [exploitation à puissance constante).Comparaison de l' évolution a-.t cours du temps de la températureen sortie d' écliangeur (0 ) obtenue par solution analytiqueet modèle numérique,[d'après AUSSEUR, SAUiy, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
I ! I IpI I I
/S
ri''
modèle numériquesolution analytique
-t 1 I I I M I , -(H 1 I I I I I I I I I I I I I nr
sa
-tz
..fi
..-to
Tejnpi KidiuX -t^^ » ^^^-^"-0
Figure 3-12 : Dispositif CORAIL -. exploitation à température constante.Comparaison de l' évolution de la tempénature en sortied' écliangeur (0 ) en fonction du temps réduit [t ) obtenuepan so-tutlon analytique et modzlz numénlquz.[d'aprzs AUSSEUR, SAUTV, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
: écliangeur CORAIL unlouz , ** -. dispositif dz stockagz
- 102 -
S«
o)
o
ti--c
-5 43
11
modèle numérique
solution anal/tique
i I ! I I ! I II I ! I I I I I lî , I ' I I M I M I I I I II II I /*.4
.. a
fS
Temps KidwU ; -Ca. - ^P--:/>.g
Figure 3- 1 1 : Dispositif CORAIL [exploitation à puissance constante).Comparaison de l' évolution a-.t cours du temps de la températureen sortie d' écliangeur (0 ) obtenue par solution analytiqueet modèle numérique,[d'après AUSSEUR, SAUiy, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
I ! I IpI I I
/S
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modèle numériquesolution analytique
-t 1 I I I M I , -(H 1 I I I I I I I I I I I I I nr
sa
-tz
..fi
..-to
Tejnpi KidiuX -t^^ » ^^^-^"-0
Figure 3-12 : Dispositif CORAIL -. exploitation à température constante.Comparaison de l' évolution de la tempénature en sortied' écliangeur (0 ) en fonction du temps réduit [t ) obtenuepan so-tutlon analytique et modzlz numénlquz.[d'aprzs AUSSEUR, SAUTV, coll. GRIMA, JA/, 1983, [3-2]).
: écliangeur CORAIL unlouz , ** -. dispositif dz stockagz
- 103 -
La fiqure (3-11) [3-2] montre que dans le cas d'exploitation à
puissance constante (Q = ImVh et A0 = 2K), solution analytique et modèle
numérique conduisent également aux mêmes résultats.
Dès que le temps réduit t est supérieur à 50 seul un écart
de 0,05 degrés Celsius subsiste entre les températures en sortie d'échangeur
obtenues par les deux méthodes :
Pour / Xp = 3, 2 Wm~'K~' (cas d'un granite)'R
et
Yr = 2,2 10^ Jm"'K~'
t = 50 revient à : t = 1 jour pour r =0,1
t = 6 heures pour r = 0,05 m
La figure (3-12) représente l'évolution de la température en
sortie d'échangeur (0 ) en fonction du temps réduit pour une exploitation à
température constante (0. = 31°C) ; la dénomination milieu illimité correspond
à l'échangeur CORAIL seul et celle de milieu confiné (R = 3 m) au dispositif
de stockage constitué de plusieurs échangeurs CORAIL distants de 3 m [3-2].
Ces trois figures valident le modèle numérique. Elles permettent
également de vérifier la bonne précision des solutions analytiques pour les
temps longs (qui nous intéressent quant à l'exploitation du dispositif CORAIL).
3.3 - APPLICATION AU PROJET DE LANNION
3.3.1 - iiroiet_dej;référence''
Le chauffage de l'école maternelle présente un fonctionnement dis¬
continu (chapitre 2). Pour utiliser le modèle numérique avec un temps de calcul
réduit, on suppose un fonctionnement fictif moyen du dispositif CORAIL sur la
saison de chauffage. Ceci revient à considérer un débit fictif moyen continu
du fluide dans l'échangeur (= débit réel multiplié par le rapport du nombre
d'heures d'utilisation du chauffage au nombre total d'heures de la saison de
chauffage) .
- 103 -
La fiqure (3-11) [3-2] montre que dans le cas d'exploitation à
puissance constante (Q = ImVh et A0 = 2K), solution analytique et modèle
numérique conduisent également aux mêmes résultats.
Dès que le temps réduit t est supérieur à 50 seul un écart
de 0,05 degrés Celsius subsiste entre les températures en sortie d'échangeur
obtenues par les deux méthodes :
Pour / Xp = 3, 2 Wm~'K~' (cas d'un granite)'R
et
Yr = 2,2 10^ Jm"'K~'
t = 50 revient à : t = 1 jour pour r =0,1
t = 6 heures pour r = 0,05 m
La figure (3-12) représente l'évolution de la température en
sortie d'échangeur (0 ) en fonction du temps réduit pour une exploitation à
température constante (0. = 31°C) ; la dénomination milieu illimité correspond
à l'échangeur CORAIL seul et celle de milieu confiné (R = 3 m) au dispositif
de stockage constitué de plusieurs échangeurs CORAIL distants de 3 m [3-2].
Ces trois figures valident le modèle numérique. Elles permettent
également de vérifier la bonne précision des solutions analytiques pour les
temps longs (qui nous intéressent quant à l'exploitation du dispositif CORAIL).
3.3 - APPLICATION AU PROJET DE LANNION
3.3.1 - iiroiet_dej;référence''
Le chauffage de l'école maternelle présente un fonctionnement dis¬
continu (chapitre 2). Pour utiliser le modèle numérique avec un temps de calcul
réduit, on suppose un fonctionnement fictif moyen du dispositif CORAIL sur la
saison de chauffage. Ceci revient à considérer un débit fictif moyen continu
du fluide dans l'échangeur (= débit réel multiplié par le rapport du nombre
d'heures d'utilisation du chauffage au nombre total d'heures de la saison de
chauffage) .
ü) 13.UJtu
Q2 11.UJ
FORAGE
UJ 8.O
UJ 7.
2 5-UJ
TEMPERATURE
v^-*v,^
e.
III
J~*" ' * ___ 0 = 0,2 m
~*~ ' h 0 ' 0,1 m
lllll
ai. flB. se. ize. tsB.
TEMPS EN JOURS
1
1
IBB. ZUL
14.
tnl3.UJK
a2 11.UJ
Ul lE.u
i «u.ixj 8.Q
UJ 7.
o: B.O)
Ul
UJ 4.q:
- 3cr
Û. 2-
UJI- 1.
e.
0 =
0,2
0,1
10 le 5 10*
TEMPS EN JOURS
10' 10'
Flgurz 3-13-b
Flgurz 3-13 : Influzncz du dlamztrz sur l' évolution dz la températureen sortie d' écliangeur CORAIL pour les canactéristiquesdu projet de référence [résultats de la simulation numériquede la 1ère saison de diauffage) :
- a : échelle cartésienne,- fa : écliellz seml-loganltlvnlquz.
ü) 13.UJtu
Q2 11.UJ
FORAGE
UJ 8.O
UJ 7.
2 5-UJ
TEMPERATURE
v^-*v,^
e.
III
J~*" ' * ___ 0 = 0,2 m
~*~ ' h 0 ' 0,1 m
lllll
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TEMPS EN JOURS
1
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IBB. ZUL
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UJ 7.
o: B.O)
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0,2
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10 le 5 10*
TEMPS EN JOURS
10' 10'
Flgurz 3-13-b
Flgurz 3-13 : Influzncz du dlamztrz sur l' évolution dz la températureen sortie d' écliangeur CORAIL pour les canactéristiquesdu projet de référence [résultats de la simulation numériquede la 1ère saison de diauffage) :
- a : échelle cartésienne,- fa : écliellz seml-loganltlvnlquz.
- 105 -
Un projet de "référence" est alors défini par la valeur des para¬
mètres suivants :
^ = 3,2 Wm"^K~^
= 2,2 10^ Jm'^K'^
r 0»6 Wm~^K"^
'R
'R
V
Q
h
g
00
A0
= 4,18 10^ Jm'^K'^
= 1 m^h"^
= 200 m
= 0,02 km'^
= 12°C
= 2°C
= 0 ,1 m
(3.73)
Dans le cadre de ce projet de référence une étude de sensibilité
à la géométrie de l'échangeur et à la puissance exploitée par la pompe à
chaleur a été réalisée.
3.3.2 - yoriantes
3.3.2.1 - Variation du diamètre de l'échangeur
Deux simulations avec des diamètres de 0,2 m et 0,1 m pour les va¬
leurs des autres paramètres définis pour le projet de référence ont été réalisées.
L'évolution de la température en bas de l'échangeur au cours de la
première année d'exploitation (à un débit fictif moyen continu) est tracée
fiqure (.3.13) .
L'accroissement du rayon (x 2) et corrélativement de la surface
d'échange (x 2) conduit à une augmentation de la température en sortie d'échan¬
geur : le gain thermique croît jusqu'à pratiquement l^C au bout de 90 jours.
- 105 -
Un projet de "référence" est alors défini par la valeur des para¬
mètres suivants :
^ = 3,2 Wm"^K~^
= 2,2 10^ Jm'^K'^
r 0»6 Wm~^K"^
'R
'R
V
Q
h
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= 4,18 10^ Jm'^K'^
= 1 m^h"^
= 200 m
= 0,02 km'^
= 12°C
= 2°C
= 0 ,1 m
(3.73)
Dans le cadre de ce projet de référence une étude de sensibilité
à la géométrie de l'échangeur et à la puissance exploitée par la pompe à
chaleur a été réalisée.
3.3.2 - yoriantes
3.3.2.1 - Variation du diamètre de l'échangeur
Deux simulations avec des diamètres de 0,2 m et 0,1 m pour les va¬
leurs des autres paramètres définis pour le projet de référence ont été réalisées.
L'évolution de la température en bas de l'échangeur au cours de la
première année d'exploitation (à un débit fictif moyen continu) est tracée
fiqure (.3.13) .
L'accroissement du rayon (x 2) et corrélativement de la surface
d'échange (x 2) conduit à une augmentation de la température en sortie d'échan¬
geur : le gain thermique croît jusqu'à pratiquement l^C au bout de 90 jours.
Flgurz 3-14
Figure 3-15
Flgurz 3-14
Figure 3-15
14.
C/1 13.Ultu
a
zll.Ul
Ul 10.
<
u.
UJ 8.âUl 7.
ë 6-en
UJ
Ulce
I-<a:UlCL2:UJ
2. -
10
-^ .
m 13.Ul
ENDEG
Ul 10.n
i »
u 8-a
u 7.
g «en
z 5-Ul
UJ 4.et
q;
C- 2.s:UJH- 1.
\
0.
~^^-^ * __^ I^ 150 m
^^^--^ -^- . ^ Z_= JOO m
^ ^^- ^-^Ji_!'
llll
38100.00. 120.
TEMPS EN JOURS
1
150.
+
K
i
lao.
-
^
210.
Figure 3-1 4-a
10 10 10' 10-
TEMPS EN JOURS
t-^Qure à- 1^-0
Flquiz 3-14 : Influence de la profondeur de ¿'écliangeur (Z) sur l' évoiutlonde la température en sortie d'échangeur CORAIL pour lescaracté.'ils tiques du piojet de référence [résultats de lasitr^ula-tion numéllque de la 1ère saison de chauffage :
- a : ¿dielle cartésienne ; - b : écheilz szmi-logarltlmlque.
14.
13.
\^ 3.
2.
1.
Z.
AG = 2°C
14.
C/1UJq:uUJa
zUJ
UJCJ<o:0u.
UJa
UJ1 1
i-a:aen
zUJ
UJcr^i-<a:111Cl.2:Ul1-
13.
V
11.
10.
q
8.
7.
R
5.
4.
^,
2.
1.
10
AG = 4°C
30. BO. 00. 120.
TEMPS EN JOURS
isa. im. 21a.
Figure 3-1 S-a
10 5 10 '^
TEMPS EN JOURS
10' 10 =
Figure 3-1 S-b
Figure 3-15 : Influence de la puissance prélevée par la pompz à chaleursur la température en sortie d' écliangeur CORAIL pour lescaractéristiques de la solution de .référence [résultats dela simulation numén.ique de la 1ère balsón de chauffage) :
- a : échelle cartés.tenne ; - fa : échelle seml-logaritlmlque.
14.
C/1 13.Ultu
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<
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38100.00. 120.
TEMPS EN JOURS
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Figure 3-1 4-a
10 10 10' 10-
TEMPS EN JOURS
t-^Qure à- 1^-0
Flquiz 3-14 : Influence de la profondeur de ¿'écliangeur (Z) sur l' évoiutlonde la température en sortie d'échangeur CORAIL pour lescaracté.'ils tiques du piojet de référence [résultats de lasitr^ula-tion numéllque de la 1ère saison de chauffage :
- a : ¿dielle cartésienne ; - b : écheilz szmi-logarltlmlque.
14.
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AG = 2°C
14.
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11.
10.
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1.
10
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30. BO. 00. 120.
TEMPS EN JOURS
isa. im. 21a.
Figure 3-1 S-a
10 5 10 '^
TEMPS EN JOURS
10' 10 =
Figure 3-1 S-b
Figure 3-15 : Influence de la puissance prélevée par la pompz à chaleursur la température en sortie d' écliangeur CORAIL pour lescaractéristiques de la solution de .référence [résultats dela simulation numén.ique de la 1ère balsón de chauffage) :
- a : échelle cartés.tenne ; - fa : échelle seml-logaritlmlque.
- 107 -
3.3.2.2 - Variation de la profondeur du dispositif
Les profondeurs de 75, 100 ("référence") et 150 mètres ont été
simulées ; l'évolution de la température en sortie d'échangeur en fonction du
temps pour ces trois dispositifs est tracée fiqure (3.14).
L'augmentation de la surface d'échange et du volume d'encaissant
sollicité, provoquent une augmentation de la température disponible en sortie
d'échangeur. En fin de saison de chauffage (moment le plus défavorable : on
exploite le dispositif depuis le début de la saison) le gain thermique de
75 à 100 m est de 2°C et de 100 à 150 m, il s'élève à 2, 2°C (soit un gain de
4, 2°C de 75 à 150 m). Ces améliorations permettent d'envisager une exploitation
à plus forte puissance (A6 ou Q plus fort).
3.3.2.3 - Variation de la puissance prélevée par la pompe à
chaleur (A0)
L'exploitation d'un écart double de celui du projet de référence a
été simulée (A0 = 4°C). Les résultats des deux simulations sont présentés
figure (3.15).
L'exploitation par la pompe à chaleur d'un écart de température
de 4°C conduit à une décroissance rapide de la température en sortie de
forage pour une exploitation moyenne continue. Elle est inférieure
à 5°C en fin de la première saison d'exploitation. Comme il convient de
tenir compte de chute ponctuelle due au fonctionnement discontinu du chauffage
et d'une dérive due à l'exploitation sur plusieurs saisons cette valeur laisseprésager des problèmes de gel au niveau de l'évaporateur de la pompe à chaleurà moins d'envisager une utilisation avec de l'eau glycolée. Dans ce cas,
l'équipement (tubage) de l'échangeur entraîne un surcoût.
- 107 -
3.3.2.2 - Variation de la profondeur du dispositif
Les profondeurs de 75, 100 ("référence") et 150 mètres ont été
simulées ; l'évolution de la température en sortie d'échangeur en fonction du
temps pour ces trois dispositifs est tracée fiqure (3.14).
L'augmentation de la surface d'échange et du volume d'encaissant
sollicité, provoquent une augmentation de la température disponible en sortie
d'échangeur. En fin de saison de chauffage (moment le plus défavorable : on
exploite le dispositif depuis le début de la saison) le gain thermique de
75 à 100 m est de 2°C et de 100 à 150 m, il s'élève à 2, 2°C (soit un gain de
4, 2°C de 75 à 150 m). Ces améliorations permettent d'envisager une exploitation
à plus forte puissance (A6 ou Q plus fort).
3.3.2.3 - Variation de la puissance prélevée par la pompe à
chaleur (A0)
L'exploitation d'un écart double de celui du projet de référence a
été simulée (A0 = 4°C). Les résultats des deux simulations sont présentés
figure (3.15).
L'exploitation par la pompe à chaleur d'un écart de température
de 4°C conduit à une décroissance rapide de la température en sortie de
forage pour une exploitation moyenne continue. Elle est inférieure
à 5°C en fin de la première saison d'exploitation. Comme il convient de
tenir compte de chute ponctuelle due au fonctionnement discontinu du chauffage
et d'une dérive due à l'exploitation sur plusieurs saisons cette valeur laisseprésager des problèmes de gel au niveau de l'évaporateur de la pompe à chaleurà moins d'envisager une utilisation avec de l'eau glycolée. Dans ce cas,
l'équipement (tubage) de l'échangeur entraîne un surcoût.
Figure 3-16
Figure 3- 1 7
Figure 3-18
Figure 3-16
Figure 3- 1 7
Figure 3-18
en 13.Ula:(J 12.
a
FORAGE ENpprUJ 8-Q
UJ 7.t »
g"^en
Z 5.UJ
TEMPERATURE;V^^
1
e. 3a.
~~~^^=-=^-=^.
1
EU.
1 1 T - r
"semaine type"
--=:=j1
. Wvuxmeje3eme ameje
li 'II
llll
B0. 12B. isa isa. ZIIL
TEMPS EN JOURS
Figure 3-18 : Dispositif CORAIL : Projet de Lannion. Evolutionde la température en sortie d' écliangeur : semainetype replacée durant la première semained' exploitation.
en 13.Ula:[¿12.Q2 11.Ul
UIÎ0.
g a-U.
UI S-a
UJ 7.
g S.tn
z 5.Ul
Ul 4.et:d
ceUl _a. 2.
Ul1- 1.
0.
;
-
.
1
^^S
30.
1
^£^^^^rzrz:
1
60.
1 1
=t
1 1
lère améz p feme ornée"
Sàne am££
1 1
90. 120. 150. 180. 210.
TEMPS EN JOURS
Figure 3-16 : dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Simulation detrois années d' exploitation : évolution de latempérature en sortie d' écliangeur (G ) .
TempéAatufitpouA. un
foncXionnejnziimoyzn
V^manchz Lundi UaA.dl M¿/icA.ecl¿ Jeudi Vendn.e.dl Sajne.dl Dijnanchz Lundi
fiqufie. 3-/7 : Olipoóltí^ CORAIL. PKOjit de. LAMIOH. Simulation "d'unz ¿zmalnz typz" :
zvotution dz ¿a iejnpzfuiiuAZ zn ioKilz cí'éc/iangcuA.
en 13.Ula:(J 12.
a
FORAGE ENpprUJ 8-Q
UJ 7.t »
g"^en
Z 5.UJ
TEMPERATURE;V^^
1
e. 3a.
~~~^^=-=^-=^.
1
EU.
1 1 T - r
"semaine type"
--=:=j1
. Wvuxmeje3eme ameje
li 'II
llll
B0. 12B. isa isa. ZIIL
TEMPS EN JOURS
Figure 3-18 : Dispositif CORAIL : Projet de Lannion. Evolutionde la température en sortie d' écliangeur : semainetype replacée durant la première semained' exploitation.
en 13.Ula:[¿12.Q2 11.Ul
UIÎ0.
g a-U.
UI S-a
UJ 7.
g S.tn
z 5.Ul
Ul 4.et:d
ceUl _a. 2.
Ul1- 1.
0.
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.
1
^^S
30.
1
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1
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lère améz p feme ornée"
Sàne am££
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90. 120. 150. 180. 210.
TEMPS EN JOURS
Figure 3-16 : dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Simulation detrois années d' exploitation : évolution de latempérature en sortie d' écliangeur (G ) .
TempéAatufitpouA. un
foncXionnejnziimoyzn
V^manchz Lundi UaA.dl M¿/icA.ecl¿ Jeudi Vendn.e.dl Sajne.dl Dijnanchz Lundi
fiqufie. 3-/7 : Olipoóltí^ CORAIL. PKOjit de. LAMIOH. Simulation "d'unz ¿zmalnz typz" :
zvotution dz ¿a iejnpzfuiiuAZ zn ioKilz cí'éc/iangcuA.
- 109 -
3.3.2.4 - Influence de l'exploitation discontinue du chauffage
A) Résultats graplilques des simulations effectuées
La dérive saisonnière pour un fonctionnement au débit fictif moyen
de 1 m'h'^a été simulée sur trois années (figure (3-16)) : en fin de saison de
chauffage, la température en sortie d'échangeur a diminué de 0,2''C entre la
1ère et la 2ème année et de 0,1°C entre la 2ème et la 3ème année d'exploi¬
tation (ceci pour des saisons de chauffage de 6 mois).
Au fonctionnement moyen simulé (au débit de 1 m'h M correspond une
exploitation intermittente au débit de 3,1 m'h~^. L'école du Rusquet utilise lechauffage 12h par jour et 4,5 jours par semaine soit : de 6 à 18 heures les
lundi , mardi , jeudi et vendredi et de 6 à 12 heures le samedi
(1 m'h"' = 3,1 m'h"' X -Il X ^) .
Le modèle numérique a été utilisé pour simuler une semaine (appelée
"semaine type") de fonctionnement du dispositif CORAIL avec ces périodes de
marche, arrêt en cours et en fin de saison de chauffage. L'évolution de la
température en sortie d'échangeur au cours d'une telle semaine est représentée
figure (3-17). Par rapport à un fonctionnement moyen, la température en sortie
d'échangeur oscille en fonction des périodes de marche ou d'arrêt. Lors des
phases d'exploitation la température chute assez vite : de plus de 3°C par
rapport à la moyenne le mardi et le vendredi soir qui est le jour le plus défa¬
vorable' (fin de semaine). Elle remonte assez rapidement lors des phases
d'arrêt mêmes brèves (les nuits).
La figure D-18') replace une semaine type au cours de la 1ère année
d'exploitation et montre les fluctuations que ce type d'utilisation du chauffage
crée par rapport à une utilisation continue (destinée à couvrir les mêmes
besoins répartis différemment dans le temps).
La simulation heure par heure de la première saison d'exploitation
intermittente du dispositif CORAIL a permis de tracer les figures (3-19-a) et(3-19-b)L3-2].
- 109 -
3.3.2.4 - Influence de l'exploitation discontinue du chauffage
A) Résultats graplilques des simulations effectuées
La dérive saisonnière pour un fonctionnement au débit fictif moyen
de 1 m'h'^a été simulée sur trois années (figure (3-16)) : en fin de saison de
chauffage, la température en sortie d'échangeur a diminué de 0,2''C entre la
1ère et la 2ème année et de 0,1°C entre la 2ème et la 3ème année d'exploi¬
tation (ceci pour des saisons de chauffage de 6 mois).
Au fonctionnement moyen simulé (au débit de 1 m'h M correspond une
exploitation intermittente au débit de 3,1 m'h~^. L'école du Rusquet utilise lechauffage 12h par jour et 4,5 jours par semaine soit : de 6 à 18 heures les
lundi , mardi , jeudi et vendredi et de 6 à 12 heures le samedi
(1 m'h"' = 3,1 m'h"' X -Il X ^) .
Le modèle numérique a été utilisé pour simuler une semaine (appelée
"semaine type") de fonctionnement du dispositif CORAIL avec ces périodes de
marche, arrêt en cours et en fin de saison de chauffage. L'évolution de la
température en sortie d'échangeur au cours d'une telle semaine est représentée
figure (3-17). Par rapport à un fonctionnement moyen, la température en sortie
d'échangeur oscille en fonction des périodes de marche ou d'arrêt. Lors des
phases d'exploitation la température chute assez vite : de plus de 3°C par
rapport à la moyenne le mardi et le vendredi soir qui est le jour le plus défa¬
vorable' (fin de semaine). Elle remonte assez rapidement lors des phases
d'arrêt mêmes brèves (les nuits).
La figure D-18') replace une semaine type au cours de la 1ère année
d'exploitation et montre les fluctuations que ce type d'utilisation du chauffage
crée par rapport à une utilisation continue (destinée à couvrir les mêmes
besoins répartis différemment dans le temps).
La simulation heure par heure de la première saison d'exploitation
intermittente du dispositif CORAIL a permis de tracer les figures (3-19-a) et(3-19-b)L3-2].
lio -
133.0 6.0 90 120lî 150Lî 180
I ; : : 1 I ; Iexploitation heures ouvrabLes;3f lir-^/h.ZKmême puissance moyenne en continu
© calcul manuel direct du dernier cycle
13
Temps en jours
Flgune 3-19-a
13
P12..
6--
H V- H llll H 1 J I 1 I I10'
Ma ¡Me ¡ J ! V|s|dÍl!-12
-11
" ^^- 0.645
H 1 I I I I ^10^
Figure 3-19-b
-i I I I t-t-
13
10'Temps en jours
Figure 3-19 : Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Evolution de la températureen sortie d' écliangeur (0^) durant la première saison de chauffagepour un fonctionnement à puissance variable [besoins discontinusde diauffage] .
[d'après AUSSEUR, SALiTy, coll. GRIMA, JAi^, 1983, [3-2]).- a : tracé cartésien ; - fa : tracé seml-logarltlmlque.
lio -
133.0 6.0 90 120lî 150Lî 180
I ; : : 1 I ; Iexploitation heures ouvrabLes;3f lir-^/h.ZKmême puissance moyenne en continu
© calcul manuel direct du dernier cycle
13
Temps en jours
Flgune 3-19-a
13
P12..
6--
H V- H llll H 1 J I 1 I I10'
Ma ¡Me ¡ J ! V|s|dÍl!-12
-11
" ^^- 0.645
H 1 I I I I ^10^
Figure 3-19-b
-i I I I t-t-
13
10'Temps en jours
Figure 3-19 : Dispositif CORAIL. Projet de Lannion. Evolution de la températureen sortie d' écliangeur (0^) durant la première saison de chauffagepour un fonctionnement à puissance variable [besoins discontinusde diauffage] .
[d'après AUSSEUR, SALiTy, coll. GRIMA, JAi^, 1983, [3-2]).- a : tracé cartésien ; - fa : tracé seml-logarltlmlque.
Ill
Le tracé cartésien ( fiqure (3-19-a)) montre que chaque semaine reproduitdes fluctuations pratiquement identiques autour du comportement du fonctionne¬
ment moyen. Les extremums délimitent une enveloppe qui suit l'allure de la
courbe de l'exploitation à puissance moyenne.
Le tracé semi-logarithmique (figure (3-19-b)) montre que les extremums
correspondant à un jour de la semaine (vendredi par exemple) s'alignent sur une
droite (comme la température résultant d'un fonctionnement continu moyen).
B) Essai de fonmulatlon pour les extremums
Compte tenu du fait que chaque cycle reproduit les mêmes variations
de part et d'autre du fonctionnement continu moyen (à puissance constante),
l'évolution de 0 peut se décomposer en une dérive moyenne et en fluctuations
résultant de prélèvements à puissance nominale et de périodes d'arrêt [3-2].
Sous cette hypothèse 0_, minimum d'un cycle (correspondant
aux phases de prélèvement) résulte :
- d'un fonctionnement moyen depuis le début,
- d'un fonctionnement réel sur la durée du cycle moins
un fonctionnement moyen sur la durée du cycle.
« Pour un fonctionnement à A0 constant (Q. variable]
0-0 + -9^ -h A0 [f(Q,l,t) - f(Q,l,t^) + f(Q,l, t^)] (3.74)m 0 z IM In
avec f(Q,l,t) = 0^ (3.75)r
0 déterminé par l'équation (3.46) : Qj, ~ I "^ ^ Lr-ln(tj.)]
t., : durée du demi-cycle (ici 12 heures)_NQ : débit moyen fictif continu du fluide dans l'échangeur
Q : débit réel du fluide dans l'échangeur
Ill
Le tracé cartésien ( fiqure (3-19-a)) montre que chaque semaine reproduitdes fluctuations pratiquement identiques autour du comportement du fonctionne¬
ment moyen. Les extremums délimitent une enveloppe qui suit l'allure de la
courbe de l'exploitation à puissance moyenne.
Le tracé semi-logarithmique (figure (3-19-b)) montre que les extremums
correspondant à un jour de la semaine (vendredi par exemple) s'alignent sur une
droite (comme la température résultant d'un fonctionnement continu moyen).
B) Essai de fonmulatlon pour les extremums
Compte tenu du fait que chaque cycle reproduit les mêmes variations
de part et d'autre du fonctionnement continu moyen (à puissance constante),
l'évolution de 0 peut se décomposer en une dérive moyenne et en fluctuations
résultant de prélèvements à puissance nominale et de périodes d'arrêt [3-2].
Sous cette hypothèse 0_, minimum d'un cycle (correspondant
aux phases de prélèvement) résulte :
- d'un fonctionnement moyen depuis le début,
- d'un fonctionnement réel sur la durée du cycle moins
un fonctionnement moyen sur la durée du cycle.
« Pour un fonctionnement à A0 constant (Q. variable]
0-0 + -9^ -h A0 [f(Q,l,t) - f(Q,l,t^) + f(Q,l, t^)] (3.74)m 0 z IM In
avec f(Q,l,t) = 0^ (3.75)r
0 déterminé par l'équation (3.46) : Qj, ~ I "^ ^ Lr-ln(tj.)]
t., : durée du demi-cycle (ici 12 heures)_NQ : débit moyen fictif continu du fluide dans l'échangeur
Q : débit réel du fluide dans l'échangeur
112
0 Pour un fonctionnement à Q, constant (A0 variable)
0-0 -H 35 + Â0 if(Q,l,t) - f(Q,l,t^,) -K A0 f(Q,l,t )] (3.76)m o z '^ '^
avec : A0 : écart de température moyen
0 : débit de circulation du fluide de caloporteur dans
l'échangeur
» 0.., maximum (correspondant aux phases d'arrêt) est la
différence entre :
- un fonctionnement moyen depuis le début,
- et un fonctionnement moyen pendant la période d'arrêt
(cette différence revenant à un fonctionnement moyen jusqu'au début de la
période d'arrêt).
Pour un fonctionnement à A0 constant (Q. variable)
®M ~ ®o * ^ * ^® Lf(Q,l,t) - f(Q,l,t^)] (3.77)
(signification des paramètres identique que pour (3.74))
Pour un fonctionnement à Q_ constant (A0 varlablz]
®M ~ ®o * ^ * ^ L^(Q.l»t) - f(Q,l,t^)] (3.78)
(signification des paramètres identique que pour (3.76))
112
0 Pour un fonctionnement à Q, constant (A0 variable)
0-0 -H 35 + Â0 if(Q,l,t) - f(Q,l,t^,) -K A0 f(Q,l,t )] (3.76)m o z '^ '^
avec : A0 : écart de température moyen
0 : débit de circulation du fluide de caloporteur dans
l'échangeur
» 0.., maximum (correspondant aux phases d'arrêt) est la
différence entre :
- un fonctionnement moyen depuis le début,
- et un fonctionnement moyen pendant la période d'arrêt
(cette différence revenant à un fonctionnement moyen jusqu'au début de la
période d'arrêt).
Pour un fonctionnement à A0 constant (Q. variable)
®M ~ ®o * ^ * ^® Lf(Q,l,t) - f(Q,l,t^)] (3.77)
(signification des paramètres identique que pour (3.74))
Pour un fonctionnement à Q_ constant (A0 varlablz]
®M ~ ®o * ^ * ^ L^(Q.l»t) - f(Q,l,t^)] (3.78)
(signification des paramètres identique que pour (3.76))
- 113 -
C) Application au cas de LANNION
Les données utilisées pour le calcul de 0 et 0^. en fin de la première
saison de chauffage sont les suivantes :
Yp = 4,18 10^Jm~'K"^
Xp = 3,2 Wm~^K~^
g = 0,02 K m'^
h = 100 m
AG = 2°C
Q = 3,1 m'h~^==>P = 0,895
ZÜ = = 0,645°C3,1
0=1 m'h"' =>P = 0,289
t|^ = 12 heures =>t^ = 25,13
t = 180 jours =>t = 9048,43
Pour une exploitation à A0 constant
L'équation (3.74) donne :
0 -13-1-2 (-1,966 - 1,869 -f 0,265) = 5,9«'C
et l'équation (3.77) :
0|^ - 13 -K 2 (-1,966 -1- 0,265) = 9,6°C
0 Pour une exploitation à Q, constant
L'équation (3.75) donne :
0 -13-1- 0,645 (-7,137 -(- 1,966) -h 2 (-1,966) = 5,7°C
et l'équation (3.78) :
0|^ -13-1- 0,645 (-7,137 -i- 1,966) ^ 9,7°C
Les résultats obtenus par les deux types de fonctionnements sont
cohérents entre eux d'une part, et d'autre part sont très proches de ceux
obtenus par le modèle numérique en fin de la première saison de chauffage où
suivant le jour de la semaine :
!0 varie entre 6,0 et 6,4°C,
0 varie entre 9,2 et 10,0°C.
Ces formulations seront utilisées lors du bilan de l'installation
complète (echangeur, pompe à chaleur, circuit de chauffage) présenté au chapitre 5,
- 113 -
C) Application au cas de LANNION
Les données utilisées pour le calcul de 0 et 0^. en fin de la première
saison de chauffage sont les suivantes :
Yp = 4,18 10^Jm~'K"^
Xp = 3,2 Wm~^K~^
g = 0,02 K m'^
h = 100 m
AG = 2°C
Q = 3,1 m'h~^==>P = 0,895
ZÜ = = 0,645°C3,1
0=1 m'h"' =>P = 0,289
t|^ = 12 heures =>t^ = 25,13
t = 180 jours =>t = 9048,43
Pour une exploitation à A0 constant
L'équation (3.74) donne :
0 -13-1-2 (-1,966 - 1,869 -f 0,265) = 5,9«'C
et l'équation (3.77) :
0|^ - 13 -K 2 (-1,966 -1- 0,265) = 9,6°C
0 Pour une exploitation à Q, constant
L'équation (3.75) donne :
0 -13-1- 0,645 (-7,137 -(- 1,966) -h 2 (-1,966) = 5,7°C
et l'équation (3.78) :
0|^ -13-1- 0,645 (-7,137 -i- 1,966) ^ 9,7°C
Les résultats obtenus par les deux types de fonctionnements sont
cohérents entre eux d'une part, et d'autre part sont très proches de ceux
obtenus par le modèle numérique en fin de la première saison de chauffage où
suivant le jour de la semaine :
!0 varie entre 6,0 et 6,4°C,
0 varie entre 9,2 et 10,0°C.
Ces formulations seront utilisées lors du bilan de l'installation
complète (echangeur, pompe à chaleur, circuit de chauffage) présenté au chapitre 5,
114 -
DispositifCORAIL
envisagé
h = 100 m
r = 0.1 m
AG = 2°C
h = 100 m
r = 0.1 m
AG = 40c
h = 75 m
r = 0.1 m
AG = Z^C
h = 150 mm
r = 0.1 m
AG = Z'C
h = 100 m
r = 0,05 m
AQ = 2°C
Température en sortie de forageen fin de La 1ère saison de
de chauffage CC)
9,0
5,0
7,1
11,2
~ 8,0
Tableau 3-20 : Dispositif CORAIL - Projet dz LannionTempinaturz obtznuz en sortie d' échangeons [Q¿]
en fin de la première saison de ckuiffagepour les dlfférznts dispositifs znvisagés
114 -
DispositifCORAIL
envisagé
h = 100 m
r = 0.1 m
AG = 2°C
h = 100 m
r = 0.1 m
AG = 40c
h = 75 m
r = 0.1 m
AG = Z^C
h = 150 mm
r = 0.1 m
AG = Z'C
h = 100 m
r = 0,05 m
AQ = 2°C
Température en sortie de forageen fin de La 1ère saison de
de chauffage CC)
9,0
5,0
7,1
11,2
~ 8,0
Tableau 3-20 : Dispositif CORAIL - Projet dz LannionTempinaturz obtznuz en sortie d' échangeons [Q¿]
en fin de la première saison de ckuiffagepour les dlfférznts dispositifs znvisagés
115 -
3.3.3 - Çoncjusion de l'étude de sensibilité
Les résultats obtenus pourla température en sortie d'échangeur en
fin de la première saison de chauffage dans les différents cas sont rassemblés
dans le tableau (3-20). Ils seront commentés successivement en fonction des
paramètres que l'on a fait varier.
3.3.3.1 - Variation du diamètre
La diminution du diamètre (de 0,2 à 0,1 m) provoque une baisse de
1°C sur la température en sortie d'échangeur à la fin de la première saison
de chauffage (8°C au lieu de 9°C), pour un fonctionnement continu moyen.
Or à Lannion, on envisage une exploitation intermittente de puissance prélevée
instantanée 3 fois plus forte environ (Q ou A0 multiplié par 3,1), et ce
type d'exploitation produit une chute thermique en fin de saison de chauffage
de l'ordre de 4°C, le vendredi soir après quelques années d'exploitation (fluc-
tuationshebdomadaires-i- dérive saisonnière). La température en sortie d'évapo¬
rateur de pompe à chaleur qui exploite un écart A0de2°C est alors susceptible
de franchir le seuil des 2°C (indiqué par le constructeur, voir chapitre 4)
qui interrompt son fonctionnement (8-4-2 = 2°C) ; les 4°C correspondant à
un diamètre de 0,2 m sont sous-estimés pour un diamètre de 0,1 m.
Il semble donc délicat à partir de ces résultats d'envisager un
diamètre de 10 cm.
3.3.3.2 - Variation de la profondeur
- Un forage de 75 m conduit à une température en sortie d'évaporateur
de la pompe à chaleur, en fin de saison de chauffage après quelques années
d'exploitation inférieure au seuil des 2°C :
7 - 4 - 2 = 1°C
(même raisonnement que dans le paragraphe précédent).
Une exploitation semble alors délicate sans recours à l'eau glycolée
(le glycol abaisse le point de solidification de l'eau et donc le seuil limite
en sortie d'évaporateur - voir chapitre 4).
115 -
3.3.3 - Çoncjusion de l'étude de sensibilité
Les résultats obtenus pourla température en sortie d'échangeur en
fin de la première saison de chauffage dans les différents cas sont rassemblés
dans le tableau (3-20). Ils seront commentés successivement en fonction des
paramètres que l'on a fait varier.
3.3.3.1 - Variation du diamètre
La diminution du diamètre (de 0,2 à 0,1 m) provoque une baisse de
1°C sur la température en sortie d'échangeur à la fin de la première saison
de chauffage (8°C au lieu de 9°C), pour un fonctionnement continu moyen.
Or à Lannion, on envisage une exploitation intermittente de puissance prélevée
instantanée 3 fois plus forte environ (Q ou A0 multiplié par 3,1), et ce
type d'exploitation produit une chute thermique en fin de saison de chauffage
de l'ordre de 4°C, le vendredi soir après quelques années d'exploitation (fluc-
tuationshebdomadaires-i- dérive saisonnière). La température en sortie d'évapo¬
rateur de pompe à chaleur qui exploite un écart A0de2°C est alors susceptible
de franchir le seuil des 2°C (indiqué par le constructeur, voir chapitre 4)
qui interrompt son fonctionnement (8-4-2 = 2°C) ; les 4°C correspondant à
un diamètre de 0,2 m sont sous-estimés pour un diamètre de 0,1 m.
Il semble donc délicat à partir de ces résultats d'envisager un
diamètre de 10 cm.
3.3.3.2 - Variation de la profondeur
- Un forage de 75 m conduit à une température en sortie d'évaporateur
de la pompe à chaleur, en fin de saison de chauffage après quelques années
d'exploitation inférieure au seuil des 2°C :
7 - 4 - 2 = 1°C
(même raisonnement que dans le paragraphe précédent).
Une exploitation semble alors délicate sans recours à l'eau glycolée
(le glycol abaisse le point de solidification de l'eau et donc le seuil limite
en sortie d'évaporateur - voir chapitre 4).
116
- Le forage de 100 m est exploitable. Il conduit à une température
en sortie d'évaporateur de l'ordre de 3°C (= 9°C en sortie de forage - ^''C - 2°C)
après plusieurs années d'exploitation.
- Le forage de 150 m conduit à une température moyenne en sortie
d'évaporateur de l'ordre de 5°C après quelques années d'exploitation (= 11°C -4°C -2°C),
Un tel dispositif semble exploitable à plus forte puissance.
3.3.3.3 - Variation de la puissance exploitée
Le doublement de l'écart de température exploité par la pompe à
chaleur (donc de la puissance prélevée, le débit de circulation du fluide res¬
tant constant) provoque une chute très rapide de la température en sortie
de forage. La température en sortie d'évaporateur baissera également très vite
(l'écart prélevé étant double). Par conséquent ce mode de fonctionnement est à
exclure.
3.3.3.4 - Choix retenu
Au vu des précédents résultats, le dispositif retenu est
l'échangeur suivant :
- profondeur : 100 m,
- diamètre : 0,2 m,
- débit instantanné : 3,1 m'h"^ (correspondant à un débit fictifmoyen continu de 1 m'h M
L'exploitation à puissance constante (A0 = 2°C) d'un tel dispositif
sur une saison de chauffage de 212 jours peut fournir l'énergie suivante :
360_0
m's ^ heures jours Jm 'K
(Energie = volume pompé x capacité calorifique de l'eau x l'écart
de température exploité par la pompe à chaleur)
116
- Le forage de 100 m est exploitable. Il conduit à une température
en sortie d'évaporateur de l'ordre de 3°C (= 9°C en sortie de forage - ^''C - 2°C)
après plusieurs années d'exploitation.
- Le forage de 150 m conduit à une température moyenne en sortie
d'évaporateur de l'ordre de 5°C après quelques années d'exploitation (= 11°C -4°C -2°C),
Un tel dispositif semble exploitable à plus forte puissance.
3.3.3.3 - Variation de la puissance exploitée
Le doublement de l'écart de température exploité par la pompe à
chaleur (donc de la puissance prélevée, le débit de circulation du fluide res¬
tant constant) provoque une chute très rapide de la température en sortie
de forage. La température en sortie d'évaporateur baissera également très vite
(l'écart prélevé étant double). Par conséquent ce mode de fonctionnement est à
exclure.
3.3.3.4 - Choix retenu
Au vu des précédents résultats, le dispositif retenu est
l'échangeur suivant :
- profondeur : 100 m,
- diamètre : 0,2 m,
- débit instantanné : 3,1 m'h"^ (correspondant à un débit fictifmoyen continu de 1 m'h M
L'exploitation à puissance constante (A0 = 2°C) d'un tel dispositif
sur une saison de chauffage de 212 jours peut fournir l'énergie suivante :
360_0
m's ^ heures jours Jm 'K
(Energie = volume pompé x capacité calorifique de l'eau x l'écart
de température exploité par la pompe à chaleur)
- 117
3.4 - CONCLUSION
Le modèle numérique mis au point est vérifié par des solutions
analytiques ( 3-1,3-2,3-12 ) .
Mis en oeuvre pour le projet de Lannion, il est également ap¬
plicable à des dispositifs de stockage par échangeurs enterrés verticaux dans
la mesure où ceux-ci suivent le même mode d'exploitation.
Pour le projet de Lannion (exploitation intermittente à puis¬
sance constante) , un forage de 100 m de profondeur et de 0,2 m de diamètre est
retenu . Cet echangeur devra de préférence être exploité avec un débit (Q) im¬
portant et un écart thermique ( A0) faible .
Pour les durées d'exploitation et le mode de fonctionnement de
l'échangeur envisagé à Lannion, des formulations simplifiées de l'expression
de la température disponible à l'évaporateur de la pompe à chaleur existent [3-2].Elles seront utilisées lors du calcul du bilan énergétique de l'installation
complète.
Pour réaliser ce bilan , la caractérisation des éléments de
surface de 1 ' installation, à savoir la pompe à chaleur, le bâtiment et les données
météorologiques, est nécessaire.
- 117
3.4 - CONCLUSION
Le modèle numérique mis au point est vérifié par des solutions
analytiques ( 3-1,3-2,3-12 ) .
Mis en oeuvre pour le projet de Lannion, il est également ap¬
plicable à des dispositifs de stockage par échangeurs enterrés verticaux dans
la mesure où ceux-ci suivent le même mode d'exploitation.
Pour le projet de Lannion (exploitation intermittente à puis¬
sance constante) , un forage de 100 m de profondeur et de 0,2 m de diamètre est
retenu . Cet echangeur devra de préférence être exploité avec un débit (Q) im¬
portant et un écart thermique ( A0) faible .
Pour les durées d'exploitation et le mode de fonctionnement de
l'échangeur envisagé à Lannion, des formulations simplifiées de l'expression
de la température disponible à l'évaporateur de la pompe à chaleur existent [3-2].Elles seront utilisées lors du calcul du bilan énergétique de l'installation
complète.
Pour réaliser ce bilan , la caractérisation des éléments de
surface de 1 ' installation, à savoir la pompe à chaleur, le bâtiment et les données
météorologiques, est nécessaire.
CHAPITRE 4
COMPORTENAENT THERMIQUE DE
L'INSTALLATION DE SURFACE
CHAPITRE 4
COMPORTENAENT THERMIQUE DE
L'INSTALLATION DE SURFACE
121
Dans ce chapitre, seront exoosées des données sur les pompes
à chaleur et leurs utilisations puis sur les besoins énergétiques d'un
bâtiment.
Ces éléments seront utilisés par la suite pour réaliser le
bilan énergétique de l'installation globale envisagée à LANNION.
4.1 - LES POMPES A CHALEUR [l-lO. ^-1, 4-2, 4-3, 4-4, 4-5, 4-6, 4-7, 4-8, 4-9]
4.1.1 - Rappels^ de_ther^modyriamigue [4-10, 4-11 ]
4.1.1.1 - Le premier principe de la thermodynamique
Ce principe traduit la conservation de l'énergie lors de la
transformation d'un système soumis à l'action de forces extérieures :
W -I- Q = AU (4.01)
avec : W : travail résultant des forces extérieures (J)Q : chaleur échangée* entre le système et l'extérieur (J)
AU: variation d'énergie interne du système au cours de sa
transformation (J)
(l'énergie interne est une fonction d'état).
Dans le cas d'un cycle :
W* Q = 0 (^^02)
* Conventionnellement Q est comptée positivement si elle est reçue par lesystème, négativement si elle est cédée par le système.
121
Dans ce chapitre, seront exoosées des données sur les pompes
à chaleur et leurs utilisations puis sur les besoins énergétiques d'un
bâtiment.
Ces éléments seront utilisés par la suite pour réaliser le
bilan énergétique de l'installation globale envisagée à LANNION.
4.1 - LES POMPES A CHALEUR [l-lO. ^-1, 4-2, 4-3, 4-4, 4-5, 4-6, 4-7, 4-8, 4-9]
4.1.1 - Rappels^ de_ther^modyriamigue [4-10, 4-11 ]
4.1.1.1 - Le premier principe de la thermodynamique
Ce principe traduit la conservation de l'énergie lors de la
transformation d'un système soumis à l'action de forces extérieures :
W -I- Q = AU (4.01)
avec : W : travail résultant des forces extérieures (J)Q : chaleur échangée* entre le système et l'extérieur (J)
AU: variation d'énergie interne du système au cours de sa
transformation (J)
(l'énergie interne est une fonction d'état).
Dans le cas d'un cycle :
W* Q = 0 (^^02)
* Conventionnellement Q est comptée positivement si elle est reçue par lesystème, négativement si elle est cédée par le système.
122 -
Flgunz 4 - 1 : Cyclz dz Carnot d'un gaz parfait[d'après ANNEQUIN-BOUTIGNV , 1976 [4-10]]
122 -
Flgunz 4 - 1 : Cyclz dz Carnot d'un gaz parfait[d'après ANNEQUIN-BOUTIGNV , 1976 [4-10]]
- 123 -
4.1.1.2 -Second princbipede la thermodynamique
Ce principe définit l'entropie (S) d'un système, fonction d'état.
Au cours d'une transformation quasi statique élémentaire (réversible) :
dS = f- (4.03)
avec dS : variation d'entropie du système,
6Q : chaleur fournie réversiblement au cours dela transformation,
T : température absolue thermodynamique du système(= température du milieu extérieur) (K)
Sur un cycle : AS = 0 (4.04)
4.1.1.3 - Le cycle de Carnot
Un système, entre une source froide à la température absolue T,
et une source chaude à la température absolue T^ (> T.) qui subit les
quatre transformations suivantes :
- isotherme à la température T,,
- adiabatique entre les températures T, et T^ (<5Q = 0)>
- isotherme à la température 12»
- adiabatique entre les températures T2 et T. (óQ = 0)
dans des conditions de réversibilité thermique et mécanique, suit un
cycle de Carnot.
Celui d'un gaz parfait est représenté fiqure (4-1) |4-ll!.
La variation d'entropie (AS) du cycle complet s'écrit :
^S = -== -i- == = 0 (car AS = 0 sur 1 cycle complet) (4.05)'1 '2
avec Q, : la quantité de chaleur échangée entre le système etla source froide à T,
Q- : la quantité de chaleur échangée entre le système et lasource chaude à T_
- 123 -
4.1.1.2 -Second princbipede la thermodynamique
Ce principe définit l'entropie (S) d'un système, fonction d'état.
Au cours d'une transformation quasi statique élémentaire (réversible) :
dS = f- (4.03)
avec dS : variation d'entropie du système,
6Q : chaleur fournie réversiblement au cours dela transformation,
T : température absolue thermodynamique du système(= température du milieu extérieur) (K)
Sur un cycle : AS = 0 (4.04)
4.1.1.3 - Le cycle de Carnot
Un système, entre une source froide à la température absolue T,
et une source chaude à la température absolue T^ (> T.) qui subit les
quatre transformations suivantes :
- isotherme à la température T,,
- adiabatique entre les températures T, et T^ (<5Q = 0)>
- isotherme à la température 12»
- adiabatique entre les températures T2 et T. (óQ = 0)
dans des conditions de réversibilité thermique et mécanique, suit un
cycle de Carnot.
Celui d'un gaz parfait est représenté fiqure (4-1) |4-ll!.
La variation d'entropie (AS) du cycle complet s'écrit :
^S = -== -i- == = 0 (car AS = 0 sur 1 cycle complet) (4.05)'1 '2
avec Q, : la quantité de chaleur échangée entre le système etla source froide à T,
Q- : la quantité de chaleur échangée entre le système et lasource chaude à T_
- 125 -
L'équation (4.05) conduit à :
°1 " " °2 ~ (4.06)
(relation de Clausius)
En tenant compte du premier principe qui s'écrit :
W + Q^ -I- Q^ = 0 (4.07)
sur le cycle, on arrive à :
T,W = - (Q2 + Q^) = L- Q2 (1 - Y^)] (4.08)
Le coefficient d'efficacité d'une machine parfaite(e. ) est défini ainsi
°2
(avec Q2 < 0)
ce qui conduit
1
^t - 1 - T^/T2
à :
" =^2
^2-^
(4.09)
(4.10)
L'efficacité est d'autant meilleure que l'écart de température
entre les deux sources est faible.
4. 1 .2 - Principe jdes pomges à j^oleur
Les pompes à chaleur, dont le principe fut établi par Lord KELVIN
dès 1852 [4-I], sont utilisées depuis le début du XXème siècle. Leur
utilisation pour le chauffage, en France, se développe surtout depuis les
années 1970.
4.1.2.1 - Définition
La pompe à chaleur est une machine thermodynamique fonctionnant
entre :
- une source froide à T, où elle prélève de l'énergie calorifique (Q, > 0) et
- une source chaude à T_ (> T, ) où elle apporte de l'énergie calorifique
(Q2 < 0).
- 125 -
L'équation (4.05) conduit à :
°1 " " °2 ~ (4.06)
(relation de Clausius)
En tenant compte du premier principe qui s'écrit :
W + Q^ -I- Q^ = 0 (4.07)
sur le cycle, on arrive à :
T,W = - (Q2 + Q^) = L- Q2 (1 - Y^)] (4.08)
Le coefficient d'efficacité d'une machine parfaite(e. ) est défini ainsi
°2
(avec Q2 < 0)
ce qui conduit
1
^t - 1 - T^/T2
à :
" =^2
^2-^
(4.09)
(4.10)
L'efficacité est d'autant meilleure que l'écart de température
entre les deux sources est faible.
4. 1 .2 - Principe jdes pomges à j^oleur
Les pompes à chaleur, dont le principe fut établi par Lord KELVIN
dès 1852 [4-I], sont utilisées depuis le début du XXème siècle. Leur
utilisation pour le chauffage, en France, se développe surtout depuis les
années 1970.
4.1.2.1 - Définition
La pompe à chaleur est une machine thermodynamique fonctionnant
entre :
- une source froide à T, où elle prélève de l'énergie calorifique (Q, > 0) et
- une source chaude à T_ (> T, ) où elle apporte de l'énergie calorifique
(Q2 < 0).
126
Source cliaudeà haut niveau
thermique
W
Source froideà bas niveau
thenmlquz
Apportextérieurd' énergie[sous forme detravail]
h^ '2W
Figure 4-2 : Schéma de principe des pompes à clialeur
K
BP HP
il00 0
source froide
i ^.W
evap. COlKl-'>
J'^>>a.
Q,
<>
production de froid dételidileur
source chaude
production de chaleur
Figure 4-3 ; Sc/iéfna du cycle de compression mis en oeuvre dansles pompes à clialeur à compression
[d'après BERNIER, 1979 [4-1] ).
126
Source cliaudeà haut niveau
thermique
W
Source froideà bas niveau
thenmlquz
Apportextérieurd' énergie[sous forme detravail]
h^ '2W
Figure 4-2 : Schéma de principe des pompes à clialeur
K
BP HP
il00 0
source froide
i ^.W
evap. COlKl-'>
J'^>>a.
Q,
<>
production de froid dételidileur
source chaude
production de chaleur
Figure 4-3 ; Sc/iéfna du cycle de compression mis en oeuvre dansles pompes à clialeur à compression
[d'après BERNIER, 1979 [4-1] ).
- 127
Un apport d'énergie, sous forme de travail (W), de l'extérieur
permet au système d'effectuer ce transfert de chaleur (cf. figure (4-2) ).
Différents types de pompe à chaleur existent suivant le système
thermodynamique mis en oeuvre [4-1, 4-4] ; seule la pompe à chaleur à compres¬
sion sera présentée ici.
4.1.2.2 - Thermodynamique de la pompe à chaleur à compression
Dans la pompe à chaleur à compression, un fluide frigorigène
suit un cycle thermodynamique entre la source froide et la source chaude,
l'énergie extérieure apportée par le compresseur est mécanique.
Ce cycle de compression, schématisé fiqure (4-3), se déroule
suivant quatre phases :
- VAPORISATION du fluide à basse pression (P, ) par l'énergie calorifique
(Q,) prélevée à la source froide (T,) dans l'évaporateur,
- COMPRESSION adiabatique du fluide à l'état gazeux de P, à P par apport
d'énergie mécanique extérieure (W) dans le compresseur,
- CONDENSATION du fluide à pression constante (P) qui cède de l'énergie
calorifique (Q) à la source chaude (5) dans le condznszur,
- DETENTE adiabatique du fluide de la pression P à la oression Py dans le d.é.tzndeur.
Ce principe est mis en oeuvre depuis longtemps dans les systèmes
frigorifiques, dans le but de refroidir la source froide. La pompe à chaleur,
utilisée pour le chauffage, sert à réchauffer la source chaude.
- 127
Un apport d'énergie, sous forme de travail (W), de l'extérieur
permet au système d'effectuer ce transfert de chaleur (cf. figure (4-2) ).
Différents types de pompe à chaleur existent suivant le système
thermodynamique mis en oeuvre [4-1, 4-4] ; seule la pompe à chaleur à compres¬
sion sera présentée ici.
4.1.2.2 - Thermodynamique de la pompe à chaleur à compression
Dans la pompe à chaleur à compression, un fluide frigorigène
suit un cycle thermodynamique entre la source froide et la source chaude,
l'énergie extérieure apportée par le compresseur est mécanique.
Ce cycle de compression, schématisé fiqure (4-3), se déroule
suivant quatre phases :
- VAPORISATION du fluide à basse pression (P, ) par l'énergie calorifique
(Q,) prélevée à la source froide (T,) dans l'évaporateur,
- COMPRESSION adiabatique du fluide à l'état gazeux de P, à P par apport
d'énergie mécanique extérieure (W) dans le compresseur,
- CONDENSATION du fluide à pression constante (P) qui cède de l'énergie
calorifique (Q) à la source chaude (5) dans le condznszur,
- DETENTE adiabatique du fluide de la pression P à la oression Py dans le d.é.tzndeur.
Ce principe est mis en oeuvre depuis longtemps dans les systèmes
frigorifiques, dans le but de refroidir la source froide. La pompe à chaleur,
utilisée pour le chauffage, sert à réchauffer la source chaude.
- 128
COP^
15i
10-.CO. P. tJizorlquzdzs Sourcesd'unz maclilnzIdéale.
1
fmactilnz/ rézUz
0,5+-^
' Vt.
Flgurz 4-4 : Evolution du CO. P. théorique des sourcesd'une maclilne Idéale et du CO. P. d'unemaclilne réelle en fonction des tempéra¬tures des sources froide zt cliaudz.
[d'après DUMINIL, 1980 [4-4'\)
- 128
COP^
15i
10-.CO. P. tJizorlquzdzs Sourcesd'unz maclilnzIdéale.
1
fmactilnz/ rézUz
0,5+-^
' Vt.
Flgurz 4-4 : Evolution du CO. P. théorique des sourcesd'une maclilne Idéale et du CO. P. d'unemaclilne réelle en fonction des tempéra¬tures des sources froide zt cliaudz.
[d'après DUMINIL, 1980 [4-4'\)
- 129
4.1.2.3 - Bilan énerqétique du cycle et coefficient de perfor¬mance (COP)
D'après les rappels de thermodynamique présentés plus haut
(§ 4.1.1).
W = Q2 - Q^ (4.11)
avec W : énergie mécanique du groupe moto-compresseur (> 0)
Q : énergie fournie à la source chaude (< 0)
Q, : énergie prélevée à la source froide (> 0)
L'efficacité de la pompe à chaleur est caractérisée par le
coefficient de performance (en abrégé COP) qui dépend des conditionsde fonctionnement.
Le coefficient de performance théonique des sources (= coeffi¬cient d'efficacité thermique défini au § 4.1.1.1) s'exprime par :
Q2 1 T2
^°P = ir=l-T^/T2= T2-\ ^'-^^^
Plus l'écart de température entre les sources est faible
(T,/T2 * 1), plus la valeur du COP est élevée (cf. figure (4-4 )L4-4]).
Dans la réalité les COP observés n'atteignent en général
que 45 à 65 % des COP théoriques [l-lO» 4-12] en raison :
- des écarts entre le cycle thermodynamique réel suivi par le fluide
frigorigène et le cycle de Carnot,
- des irréversibilités,
- des rendements du compresseur et des échangeurs.
Les COP communiqués par les constructeurs , mesurés sur
des bancs d'essai , sont souvent basés sur la seule puissance fournie
au groupe moto-compresseur.
- 129
4.1.2.3 - Bilan énerqétique du cycle et coefficient de perfor¬mance (COP)
D'après les rappels de thermodynamique présentés plus haut
(§ 4.1.1).
W = Q2 - Q^ (4.11)
avec W : énergie mécanique du groupe moto-compresseur (> 0)
Q : énergie fournie à la source chaude (< 0)
Q, : énergie prélevée à la source froide (> 0)
L'efficacité de la pompe à chaleur est caractérisée par le
coefficient de performance (en abrégé COP) qui dépend des conditionsde fonctionnement.
Le coefficient de performance théonique des sources (= coeffi¬cient d'efficacité thermique défini au § 4.1.1.1) s'exprime par :
Q2 1 T2
^°P = ir=l-T^/T2= T2-\ ^'-^^^
Plus l'écart de température entre les sources est faible
(T,/T2 * 1), plus la valeur du COP est élevée (cf. figure (4-4 )L4-4]).
Dans la réalité les COP observés n'atteignent en général
que 45 à 65 % des COP théoriques [l-lO» 4-12] en raison :
- des écarts entre le cycle thermodynamique réel suivi par le fluide
frigorigène et le cycle de Carnot,
- des irréversibilités,
- des rendements du compresseur et des échangeurs.
Les COP communiqués par les constructeurs , mesurés sur
des bancs d'essai , sont souvent basés sur la seule puissance fournie
au groupe moto-compresseur.
130
PERFORMANCE DE LA l>OMPE A CHALEUR
COP
t s 4S*C (Plmâwnchauftent*)
t s $0*C (Radiatwrs)
t s so'C (Ridlatoiirs)
Tmipéralun t» la.iwre*0 I I I 1 1 1 1 I 1 I I 1 I 1 1 I ' 'I I ».
-20 -U -12 -S -4 0 4 I 12 IE d« dwltur, tn «C
Figure 4-5 : Evolution du C.O.P. pour différents types desource chaude.
[d'après "les systèmes dz pompes à clmlzur- zxamzntzchnologique" OCDE - Paris, 1983, [4-3]).
130
PERFORMANCE DE LA l>OMPE A CHALEUR
COP
t s 4S*C (Plmâwnchauftent*)
t s $0*C (Radiatwrs)
t s so'C (Ridlatoiirs)
Tmipéralun t» la.iwre*0 I I I 1 1 1 1 I 1 I I 1 I 1 1 I ' 'I I ».
-20 -U -12 -S -4 0 4 I 12 IE d« dwltur, tn «C
Figure 4-5 : Evolution du C.O.P. pour différents types desource chaude.
[d'après "les systèmes dz pompes à clmlzur- zxamzntzchnologique" OCDE - Paris, 1983, [4-3]).
- 131
Le COP d'une installation intègre les dépenses énergétiques
des auxiliaires (pompe de circulation) et vaut :
COP = ^ (^-13)
avec W, : énergie électrique totale dépensée, pour le fonctionnementde l'installation.
Le COP peut être parfois estimé au stade de l'avant projet,
quand le matériel n'est pas encore choisi , à partir de la formule empiriquesuivante [4-12 J :
TSC -1- 194^°P = °'7 TSC - TSE . 8
(4.14)
avec TSC : température en sortie du condenseur de la pompe à chaleur
TSE : température en sortie de l'évaporateur de la pompe à chaleur.
Pour : j-- une spurce froide à 10°C,
une source chaude à 55°C
- le COP théorique des sources prend la valeur
328328 - 283 = 7,3
- le COP associé au fonctionnement du qroupe moto-compresseur
de la pompe à chaleur CIAT type TBB n" 50 prend la valeur suivante :
5 ^'-^
soit 42 ?ó du COP théorique des sources.
Dans la pratique, pour améliorer le COP d'une installation, il
faut utiliser :
- une source froide la plus chaude possible (utilisation préféren¬
tielle de l'eau souterraine dont la température est plus élevée que celle
de l'air extérieur durant l'hiver) ;
- une source chaude la plus froide possible, des planchers
chauffants plutôt que des radiateurs (cf. figure(4-5)[4-3]) et augmenter
le débit de circulation du fluide caloporteur plutôt que l'écart de tempé¬
rature exploité (dans la mesure où cela n'augmente pas trop la consommation
de la pompe de circulation).
- éventuellement utiliser une pompe à chaleur à plusieurs étages
de compression dont chacun exploite un faible écart de température.
- 131
Le COP d'une installation intègre les dépenses énergétiques
des auxiliaires (pompe de circulation) et vaut :
COP = ^ (^-13)
avec W, : énergie électrique totale dépensée, pour le fonctionnementde l'installation.
Le COP peut être parfois estimé au stade de l'avant projet,
quand le matériel n'est pas encore choisi , à partir de la formule empiriquesuivante [4-12 J :
TSC -1- 194^°P = °'7 TSC - TSE . 8
(4.14)
avec TSC : température en sortie du condenseur de la pompe à chaleur
TSE : température en sortie de l'évaporateur de la pompe à chaleur.
Pour : j-- une spurce froide à 10°C,
une source chaude à 55°C
- le COP théorique des sources prend la valeur
328328 - 283 = 7,3
- le COP associé au fonctionnement du qroupe moto-compresseur
de la pompe à chaleur CIAT type TBB n" 50 prend la valeur suivante :
5 ^'-^
soit 42 ?ó du COP théorique des sources.
Dans la pratique, pour améliorer le COP d'une installation, il
faut utiliser :
- une source froide la plus chaude possible (utilisation préféren¬
tielle de l'eau souterraine dont la température est plus élevée que celle
de l'air extérieur durant l'hiver) ;
- une source chaude la plus froide possible, des planchers
chauffants plutôt que des radiateurs (cf. figure(4-5)[4-3]) et augmenter
le débit de circulation du fluide caloporteur plutôt que l'écart de tempé¬
rature exploité (dans la mesure où cela n'augmente pas trop la consommation
de la pompe de circulation).
- éventuellement utiliser une pompe à chaleur à plusieurs étages
de compression dont chacun exploite un faible écart de température.
132
1,42 KWh
FCOpoyoni
0,33 KW h
Elcctricittpoyonte
G-
Choudiè t
1 KWh
Immeuble S
ehoulfer
Ps
Exemple couramment rencontrédes valeurs de :
fl.: rendement aaiionnier moyenannuel de ia chaufferie 0,7
OOP : coefficient de performancemoyen annuel 3
PAC
I KW h
Immeuble a
chauffer
0,66 KWh gratuitCOP
Figure 4-6 : Comparaison du devenir énergétique dans un système de diauffagepar combustion et dans unz pompz à chaleur.
[d'aprzs un document PACRA, [4-S]).
132
1,42 KWh
FCOpoyoni
0,33 KW h
Elcctricittpoyonte
G-
Choudiè t
1 KWh
Immeuble S
ehoulfer
Ps
Exemple couramment rencontrédes valeurs de :
fl.: rendement aaiionnier moyenannuel de ia chaufferie 0,7
OOP : coefficient de performancemoyen annuel 3
PAC
I KW h
Immeuble a
chauffer
0,66 KWh gratuitCOP
Figure 4-6 : Comparaison du devenir énergétique dans un système de diauffagepar combustion et dans unz pompz à chaleur.
[d'aprzs un document PACRA, [4-S]).
- 133 -
4.1.3 - Utilisation des ponripes à chaleur
4.1.3.1 - Intérêt et emploi des pompes à chaleur
L'Intérêt des pompes à chaleur est énergétique et économique :
L'exploitation de sources froides à bas niveau thermique, inuti¬
lisables directement pour le chauffage, est un élément favorable à l'indé¬
pendance énergétique nationale.
L'apport d'énergie électrique nécessaire au fonctionnement de
la pompe à chaleur reste inférieure à l'énergie disponible à la source
chaude, tandis que dans un chauffage par combustion, la consommation est
supérieure à l'énergie utile du fait du rendement de l'installation (cf.
figure( 4-6) 1.4.8]).
Les sources froides utilisées ne sont que peu ou pas coûteuses
la plupart du temps (air extérieur, air extrait, eau de surface ou souter¬
raine, résidus industriels).
Les pompes à clialeur peuvent être utilisées poun :
- le chauffage uniquement (cas le plus général pour les petites
installations et cas de la présente étude),
- le chauffage et la climatisation alternativement par inversion
des circuits de la pompe à chaleur (dans ce cas l'amortissement de l'investis¬sement est plus rapide),
- le chauffage et la climatisation simultanément (généralementdans le cas d'installations importantes).
4.1.3.2 - Nature des sources thermiques
On synthétise la nature des sources froides et chaudes d'une
pompe à chaleur dans l'appellation : pompe à chaleur A/B :
avec : A : source froide (eau, air, sol),
B : source chaude (eau, air)
- 133 -
4.1.3 - Utilisation des ponripes à chaleur
4.1.3.1 - Intérêt et emploi des pompes à chaleur
L'Intérêt des pompes à chaleur est énergétique et économique :
L'exploitation de sources froides à bas niveau thermique, inuti¬
lisables directement pour le chauffage, est un élément favorable à l'indé¬
pendance énergétique nationale.
L'apport d'énergie électrique nécessaire au fonctionnement de
la pompe à chaleur reste inférieure à l'énergie disponible à la source
chaude, tandis que dans un chauffage par combustion, la consommation est
supérieure à l'énergie utile du fait du rendement de l'installation (cf.
figure( 4-6) 1.4.8]).
Les sources froides utilisées ne sont que peu ou pas coûteuses
la plupart du temps (air extérieur, air extrait, eau de surface ou souter¬
raine, résidus industriels).
Les pompes à clialeur peuvent être utilisées poun :
- le chauffage uniquement (cas le plus général pour les petites
installations et cas de la présente étude),
- le chauffage et la climatisation alternativement par inversion
des circuits de la pompe à chaleur (dans ce cas l'amortissement de l'investis¬sement est plus rapide),
- le chauffage et la climatisation simultanément (généralementdans le cas d'installations importantes).
4.1.3.2 - Nature des sources thermiques
On synthétise la nature des sources froides et chaudes d'une
pompe à chaleur dans l'appellation : pompe à chaleur A/B :
avec : A : source froide (eau, air, sol),
B : source chaude (eau, air)
134
NATURE DE
U SOURCE FROIDE
AIR EXTERIEUR
AIREXTRAIT
EAU DE
SURFACE
EAU DE
HER
EAU SOUTER¬RAINE
REJETSINDUSTRIELS(process indus¬triels, centralesnucléaires ...)
CAPTEURSSOLAIRES(i eau ou é air)
SOL
FLUIDECALOPORTEUR(See. chaude)
AIR
EAU
AIRou
EAU
AIRouEAU
EAU
AIRouEAU
AIRouEAU
AIROU
EAU
AIRou
EAU
AVANTAGES
quantité nonlimitée
quantité nonlimitée
Températureintéressante
quantité nonlimitée
quantité nonlimitée
Températureconstante
Températureélevée
essociation cap¬teur-pompe amé¬liore leurspossi litésrespectives.
Températureconstsnte
INCONVENIENTS
niveau énergétiquebas,quand besoinsélevés.
niveau énerqétiquebas, quand besoinsélevés.
quantité -limitée suivantl'installationvaut l'installation
niveau énergétiquebas, quand besoinsélevés.
nécessité matérielsophistiqué etcoûteux (anti¬corrosion)
investissement pourles atteindre peutêtre élevé.
pas toujours prochesd'utilisateurspotentiels.
. coOt .
.entretien descapteurs.
.investissement
OBSERVATIONS
. intéressant quand chauffage en hiver, climati¬sation en été.
. habi t at iora individué lies, tertiaires(commerce, restaurants), locaux industriels
. ne permet pas climatisation dans les logementsqui ne la possédaient pas avant.
. promue par EDF dans le cadre de l'opérât ion PERCHE
. habitatior* Individuelles (surtout habitat ancien).Logements collectifs, bureaux. Piscine.
. locaux fortement occupés (hApital, hOtel,Balles de spectacle).
. récupération des process industriels
. habitat individuel
. serres
peu développé é cause des risques de corrosion.
. logements individuels dans conditions localesfavorables.
. logements collectifs.
. opéretion géothermie moyenne et basse énergie.
. locaux industriels.
. logements collectifs.
. économie Jusqu'i 30 é 60 X pour le chauffage,40 à 70 X pour l'eau chaude sanitaire.
. Echangeur enterré horizontal ou verticalavec fluide caloporteur (air, eau, eau '-glycol).
Tableau 4-7 Utilisation des différents tuyúes de pompes a chaieur en fonction de lanature des sources de chaleur.
134
NATURE DE
U SOURCE FROIDE
AIR EXTERIEUR
AIREXTRAIT
EAU DE
SURFACE
EAU DE
HER
EAU SOUTER¬RAINE
REJETSINDUSTRIELS(process indus¬triels, centralesnucléaires ...)
CAPTEURSSOLAIRES(i eau ou é air)
SOL
FLUIDECALOPORTEUR(See. chaude)
AIR
EAU
AIRou
EAU
AIRouEAU
EAU
AIRouEAU
AIRouEAU
AIROU
EAU
AIRou
EAU
AVANTAGES
quantité nonlimitée
quantité nonlimitée
Températureintéressante
quantité nonlimitée
quantité nonlimitée
Températureconstante
Températureélevée
essociation cap¬teur-pompe amé¬liore leurspossi litésrespectives.
Températureconstsnte
INCONVENIENTS
niveau énergétiquebas,quand besoinsélevés.
niveau énerqétiquebas, quand besoinsélevés.
quantité -limitée suivantl'installationvaut l'installation
niveau énergétiquebas, quand besoinsélevés.
nécessité matérielsophistiqué etcoûteux (anti¬corrosion)
investissement pourles atteindre peutêtre élevé.
pas toujours prochesd'utilisateurspotentiels.
. coOt .
.entretien descapteurs.
.investissement
OBSERVATIONS
. intéressant quand chauffage en hiver, climati¬sation en été.
. habi t at iora individué lies, tertiaires(commerce, restaurants), locaux industriels
. ne permet pas climatisation dans les logementsqui ne la possédaient pas avant.
. promue par EDF dans le cadre de l'opérât ion PERCHE
. habitatior* Individuelles (surtout habitat ancien).Logements collectifs, bureaux. Piscine.
. locaux fortement occupés (hApital, hOtel,Balles de spectacle).
. récupération des process industriels
. habitat individuel
. serres
peu développé é cause des risques de corrosion.
. logements individuels dans conditions localesfavorables.
. logements collectifs.
. opéretion géothermie moyenne et basse énergie.
. locaux industriels.
. logements collectifs.
. économie Jusqu'i 30 é 60 X pour le chauffage,40 à 70 X pour l'eau chaude sanitaire.
. Echangeur enterré horizontal ou verticalavec fluide caloporteur (air, eau, eau '-glycol).
Tableau 4-7 Utilisation des différents tuyúes de pompes a chaieur en fonction de lanature des sources de chaleur.
- 135
Le tableau (4-t> présente les différentes pompes à chaleur en
fonction de la nature des sources thermiques.
L'intérêt du choix des sources pour l'efficacité de l'instal¬
lation a été montré au § 4.1.2.
4.1.3.3 - Mise en oeuvre des pompes à chaleur
0 Les fluides frigonlgénes , le plus souvent utilisés sont des
fréons (hydrocarbures fluorés et chlorés) comme le R22 ou le R12. Leur
choix est notamment lié au niveau thermique des sources.
Problèmes liés aux basses températures de la source froide
Quand la source froide air approche de 0°C, le givre en forma¬
tion nuit à la bonne marche de la pompe ; il est détecté par des dispositifs
qui par inversion des circuits tendent à l'éliminer (PAC AIR/AIR et AIR/EAU).
Quand la source froide eau atteint un seuil situé entre
2 et 4°C, un dispositif spécial interrompt le fonctionnement des pompes à cha¬
leur EAU/EAU et EAU/AIR; l'utilisation d'un mélange d'eau et de glycol leur permet
de fonctionner à des températures plus basses (27 % en poids de glycol abaisse
le point de congélation à - 15°C [4-13]).
4.1.3.4 - Pompe à chaleur avec appoint
La courbe monotone des températures (cf. § 4.3.2)
montre que 90 % environ des besoins en chauffage sont couverts par une pompe
à chaleur de puissance égale à la moitié de la puissance maximale des besoins.
Pour couvrir tous les besoins il faudrait utiliser une pompe à chaleur de
puissance double, ce qui augmente l'investissement pour un avantage écono¬
mique faiblement supérieur. De plus, les jours les plus froids (où les
besoins sont maximaux), le COP diminue et la rentabilité de l'opération
aussi. Il est donc préférable d'utiliser un chauffage d'appoint surtout
quand la température de la source froide évolue au cours de la saison de
chauffage (air extérieur ou échangeurs enterrés comme CORAIL).
- 135
Le tableau (4-t> présente les différentes pompes à chaleur en
fonction de la nature des sources thermiques.
L'intérêt du choix des sources pour l'efficacité de l'instal¬
lation a été montré au § 4.1.2.
4.1.3.3 - Mise en oeuvre des pompes à chaleur
0 Les fluides frigonlgénes , le plus souvent utilisés sont des
fréons (hydrocarbures fluorés et chlorés) comme le R22 ou le R12. Leur
choix est notamment lié au niveau thermique des sources.
Problèmes liés aux basses températures de la source froide
Quand la source froide air approche de 0°C, le givre en forma¬
tion nuit à la bonne marche de la pompe ; il est détecté par des dispositifs
qui par inversion des circuits tendent à l'éliminer (PAC AIR/AIR et AIR/EAU).
Quand la source froide eau atteint un seuil situé entre
2 et 4°C, un dispositif spécial interrompt le fonctionnement des pompes à cha¬
leur EAU/EAU et EAU/AIR; l'utilisation d'un mélange d'eau et de glycol leur permet
de fonctionner à des températures plus basses (27 % en poids de glycol abaisse
le point de congélation à - 15°C [4-13]).
4.1.3.4 - Pompe à chaleur avec appoint
La courbe monotone des températures (cf. § 4.3.2)
montre que 90 % environ des besoins en chauffage sont couverts par une pompe
à chaleur de puissance égale à la moitié de la puissance maximale des besoins.
Pour couvrir tous les besoins il faudrait utiliser une pompe à chaleur de
puissance double, ce qui augmente l'investissement pour un avantage écono¬
mique faiblement supérieur. De plus, les jours les plus froids (où les
besoins sont maximaux), le COP diminue et la rentabilité de l'opération
aussi. Il est donc préférable d'utiliser un chauffage d'appoint surtout
quand la température de la source froide évolue au cours de la saison de
chauffage (air extérieur ou échangeurs enterrés comme CORAIL).
- 137 -
4.2 - LES BESOINS ENERGETIQUES D'UN BATIMENT
4.2.1 - Données climatic(ues
4.2.1.1 - Les températures extérieures
La connaissance de la température moyenne journalière
(compromis entre la température moyenne horaire et la température moyenne
décadaire ou mensuelle) suffit pour calculer les besoins en chauffage
d'un bâtiment.
La Météorologie nationale publie [4-14] les températures
mesurées en différents postes d'observations.
A partir des séries d'observations (des températures moyennes
journalières) la répartition annuelle moyenne des températures est déter¬
minée : il est alors facile de tracer l'histogramme et la courbe cumulée
des fréquences (courbe monotone) des températures données qui suffisent
pour le calcul des besoins globaux sur la saison. Mais pour faire le bilan
thermique d'une installation avec le dispositif CORAIL, la connaissance de
la répartition chronologique des températures est indispensable, puisque
la température de la source froide évolue au cours du temps en fonction de
l'historique des besoins.
4.2.1.2 - Les deqrés-jours
Les degrés- jours sont définis comme l'intégration sur la saison de
chauffage ou sur l'année civile des écarts entre une température de référence
T et les températures extérieures journalières (inférieures à cette tempé¬
rature T) :
^ ^ (T) = L " (^-^e) ^'-''^T .
min
avec T . : température minimale observée (°C)min
T : température de référence (°C)
T : température moyenne journalière < T C^C)
n : nombre de jours où Tg est observée
2 n : nombre de jours total de la période considérée
- 137 -
4.2 - LES BESOINS ENERGETIQUES D'UN BATIMENT
4.2.1 - Données climatic(ues
4.2.1.1 - Les températures extérieures
La connaissance de la température moyenne journalière
(compromis entre la température moyenne horaire et la température moyenne
décadaire ou mensuelle) suffit pour calculer les besoins en chauffage
d'un bâtiment.
La Météorologie nationale publie [4-14] les températures
mesurées en différents postes d'observations.
A partir des séries d'observations (des températures moyennes
journalières) la répartition annuelle moyenne des températures est déter¬
minée : il est alors facile de tracer l'histogramme et la courbe cumulée
des fréquences (courbe monotone) des températures données qui suffisent
pour le calcul des besoins globaux sur la saison. Mais pour faire le bilan
thermique d'une installation avec le dispositif CORAIL, la connaissance de
la répartition chronologique des températures est indispensable, puisque
la température de la source froide évolue au cours du temps en fonction de
l'historique des besoins.
4.2.1.2 - Les deqrés-jours
Les degrés- jours sont définis comme l'intégration sur la saison de
chauffage ou sur l'année civile des écarts entre une température de référence
T et les températures extérieures journalières (inférieures à cette tempé¬
rature T) :
^ ^ (T) = L " (^-^e) ^'-''^T .
min
avec T . : température minimale observée (°C)min
T : température de référence (°C)
T : température moyenne journalière < T C^C)
n : nombre de jours où Tg est observée
2 n : nombre de jours total de la période considérée
138 -
.13
,19
-t7JS¿2a22
--8 .
- .7 ,
19.21 sS.20 .22
iniuns ciUrieum « b«c doiwat Itn priM» rn conformitéLti irapCniuns ciUrieur«ce k D.T.U. IH>l*é6.Etta t'obtiennent en rccherduni tur U cene ct-dcut» U temp^ratunde boe donnAc pour l'eltHudc téro ct tont vttaMc» 4c 0 i 200 md'ahliiidc.Ck»qwe vekur ctl mdiquAc pour chaque rtgion à riniérieur d'unccrck.Pour k> ahiiudes Hiptricuics à 300 m, w jtUnt eu tebkeu ci-conirequi donne, en fonction dc le tcmpéraiwic de betc i l'eltiiude tén ct dcrtltiliide du lieu eeneidtri, U tentpéreturc de beee qui doit être edoptéc.
EMttpttomt :
Pour la Ika dc le Menehc ei de rAllemiquc. edopcer uniformdmenipeur lempireiure dc bcM CT.
Pour k Utorel. adopur k* vdcun ponéa Mir le cene en rt|ard duUiiorel ct non dcrcMci.Pour r«|ileaiéretioo periùrane, edopur pour icnpArature dc beic 3*.
Figure 4-8 : Carte des températures exténleunes de base lilver
[d'après BERNIER, 1979, 14-1]).
138 -
.13
,19
-t7JS¿2a22
--8 .
- .7 ,
19.21 sS.20 .22
iniuns ciUrieum « b«c doiwat Itn priM» rn conformitéLti irapCniuns ciUrieur«ce k D.T.U. IH>l*é6.Etta t'obtiennent en rccherduni tur U cene ct-dcut» U temp^ratunde boe donnAc pour l'eltHudc téro ct tont vttaMc» 4c 0 i 200 md'ahliiidc.Ck»qwe vekur ctl mdiquAc pour chaque rtgion à riniérieur d'unccrck.Pour k> ahiiudes Hiptricuics à 300 m, w jtUnt eu tebkeu ci-conirequi donne, en fonction dc le tcmpéraiwic de betc i l'eltiiude tén ct dcrtltiliide du lieu eeneidtri, U tentpéreturc de beee qui doit être edoptéc.
EMttpttomt :
Pour la Ika dc le Menehc ei de rAllemiquc. edopcer uniformdmenipeur lempireiure dc bcM CT.
Pour k Utorel. adopur k* vdcun ponéa Mir le cene en rt|ard duUiiorel ct non dcrcMci.Pour r«|ileaiéretioo periùrane, edopur pour icnpArature dc beic 3*.
Figure 4-8 : Carte des températures exténleunes de base lilver
[d'après BERNIER, 1979, 14-1]).
139
La météorologie nationale donne habituellement la valeur de
DJ.,QV appelé Degré-jour unifié (DJU)
18DJU = V n (18 - T ) (4.16)
T .mm
4.2.1.3 - La température extérieure de base : Tn
Par définition c'est la température minimale constatée au moins
cinq fois dans l'année [4-1 ] .
Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment édite la carte
de France des valeurs de la température de base ( fiqure (4-8)) .
4.2.2 - Caractéristiques thermicjues des b_âH_ments
[4-12, 4-15, 4-16, 4-17]
4.2.2.1 - Déperditions thermiques d'un bâtiment
Elles résultent essentiellement :
- des pertes par conduction à travers les parois (murs, toit,
fenêtres, sol) ,
- du renouvellement d'air (naturel ou provoqué).
A) Déperditions par les parois (Dp)
Elles dépendent du coefficient de transmission thermique K
des parois lié à leur nature et leur composition, de la surface des parois,
et de l'écart de température :
D^ = K X 5 X (T. - T) (4.17)D D D lep p p
avec : D : déperditions par la paroi (W)
K : coefficient de transmission thermique de laP paroi (Wm"'C"M
S : surface de la paroi (m^)P
T. : température intérieure (°C)
T : température extérieure (°C)
139
La météorologie nationale donne habituellement la valeur de
DJ.,QV appelé Degré-jour unifié (DJU)
18DJU = V n (18 - T ) (4.16)
T .mm
4.2.1.3 - La température extérieure de base : Tn
Par définition c'est la température minimale constatée au moins
cinq fois dans l'année [4-1 ] .
Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment édite la carte
de France des valeurs de la température de base ( fiqure (4-8)) .
4.2.2 - Caractéristiques thermicjues des b_âH_ments
[4-12, 4-15, 4-16, 4-17]
4.2.2.1 - Déperditions thermiques d'un bâtiment
Elles résultent essentiellement :
- des pertes par conduction à travers les parois (murs, toit,
fenêtres, sol) ,
- du renouvellement d'air (naturel ou provoqué).
A) Déperditions par les parois (Dp)
Elles dépendent du coefficient de transmission thermique K
des parois lié à leur nature et leur composition, de la surface des parois,
et de l'écart de température :
D^ = K X 5 X (T. - T) (4.17)D D D lep p p
avec : D : déperditions par la paroi (W)
K : coefficient de transmission thermique de laP paroi (Wm"'C"M
S : surface de la paroi (m^)P
T. : température intérieure (°C)
T : température extérieure (°C)
141
B) Déperditions pan renouvellement d'air (Pp)
Le maintien des règles d'hygiène et le respect des règles de
sécurité imposent un renouvellement d'air minimal fixé à un volume par
heure pour les logements, et à deux volumes par heure pour les écoles.
Il se fait soit naturellement (ouverture et infiltrations au
niveau des huisseries) soit mécaniquement par des aérateurs.
Les déperditions résultantes s'expriment par :
^R = ^i ^ Pi ^ Qair ^ ("^i - ^e) ^^-i^)
avec : Dp
c.1
PiQ
air
T.1
Te
déperditions liées au renouvellement d'air (W)
chaleur massique de l'air intérieur (J kg °C )
masse volumique de l'air (kg m )
débit d'air total (m s" )
température intérieure ("C )
température extérieure (°C )
En première approximation on supposera c-x p. = 0,35 Whm °C
(ce qui en réalité n'est vrai que pour les conditions standards de l'air
à 18°C, à 50 % d'humidité [4-l]).
C) Déperditions maximales d'un batlmznt (D^..^)
Quand la température extérieure (Tg) atteint la température
de base (Tq) les déperditions totales, somme des deux termes définisb
précédemment (D , Dp), sont maximales (D^.y)-
4.2.2.2 - Les apports qratuits : A
Ce terme correspond aux apports énergétiques liés aux conditions
internes (occupants, éclairage, appareils divers) et externes (ensoleillement)du bâtiment. Ces apports sont gratuits.
Grâce à ceux-ci le confort des habitants, lié au maintien d'une
température de consigne (T^.) dans les locaux, sera assuré par le fonctionnement
141
B) Déperditions pan renouvellement d'air (Pp)
Le maintien des règles d'hygiène et le respect des règles de
sécurité imposent un renouvellement d'air minimal fixé à un volume par
heure pour les logements, et à deux volumes par heure pour les écoles.
Il se fait soit naturellement (ouverture et infiltrations au
niveau des huisseries) soit mécaniquement par des aérateurs.
Les déperditions résultantes s'expriment par :
^R = ^i ^ Pi ^ Qair ^ ("^i - ^e) ^^-i^)
avec : Dp
c.1
PiQ
air
T.1
Te
déperditions liées au renouvellement d'air (W)
chaleur massique de l'air intérieur (J kg °C )
masse volumique de l'air (kg m )
débit d'air total (m s" )
température intérieure ("C )
température extérieure (°C )
En première approximation on supposera c-x p. = 0,35 Whm °C
(ce qui en réalité n'est vrai que pour les conditions standards de l'air
à 18°C, à 50 % d'humidité [4-l]).
C) Déperditions maximales d'un batlmznt (D^..^)
Quand la température extérieure (Tg) atteint la température
de base (Tq) les déperditions totales, somme des deux termes définisb
précédemment (D , Dp), sont maximales (D^.y)-
4.2.2.2 - Les apports qratuits : A
Ce terme correspond aux apports énergétiques liés aux conditions
internes (occupants, éclairage, appareils divers) et externes (ensoleillement)du bâtiment. Ces apports sont gratuits.
Grâce à ceux-ci le confort des habitants, lié au maintien d'une
température de consigne (T^.) dans les locaux, sera assuré par le fonctionnement
- 142 -
température [°C]extérieure
Figure 4-9 -. Déperditions thermiques, besoins utiles et apponts gratuitsd'un bâtiment en fonction de la température extérieure.
- 142 -
température [°C]extérieure
Figure 4-9 -. Déperditions thermiques, besoins utiles et apponts gratuitsd'un bâtiment en fonction de la température extérieure.
143
du chauffage tant que la température extérieure n'atteint pas la température
de non chauffage (T ) légèrement inférieure (de 2 à 3°C) à la températurede consigne (T ).
c
En conséquence, la puissance maximale (Pmav) "^^^ besoins de
chauffage sera égale à la différence entre les déperditions thermiques
maximales du bâtiment et les apports gratuits généralement considérés
comme constants (légère approximation) (figure (4-9));
PmAX = "^MAX - " (^-19)
4.2.2.3 - Coefficient de déperditions volumigues : G
Ce coefficient intègre les déperditions thermiques d'un bâtiment,
il exprime leur puissance par degré et par mètre cube de volume intérieur.
Soit pour un jour quelconque:
G = v(T "- T ) (^-20)c e
avec : D : déperditions thermiques du bâtiment (par lesparois et par renouvellement d'air) à latempérature extérieure T (W)
V : volume habitable du bâtiment (m')
T : température de consigne (°C)
T : température extérieure (°C)e
Soit pour le jour où la température extérieure est égale à la tempénature
dz basz (Tg = Tg) :
C b
avec : '-'mav * déperditions thermiques maximales du bâtiment (W)
Ce qui rzvlznt à :
^ ne B
avec : Pmav puissance maximale des besoins de chauffage (W)
T : température de non chauffage (°C)
143
du chauffage tant que la température extérieure n'atteint pas la température
de non chauffage (T ) légèrement inférieure (de 2 à 3°C) à la températurede consigne (T ).
c
En conséquence, la puissance maximale (Pmav) "^^^ besoins de
chauffage sera égale à la différence entre les déperditions thermiques
maximales du bâtiment et les apports gratuits généralement considérés
comme constants (légère approximation) (figure (4-9));
PmAX = "^MAX - " (^-19)
4.2.2.3 - Coefficient de déperditions volumigues : G
Ce coefficient intègre les déperditions thermiques d'un bâtiment,
il exprime leur puissance par degré et par mètre cube de volume intérieur.
Soit pour un jour quelconque:
G = v(T "- T ) (^-20)c e
avec : D : déperditions thermiques du bâtiment (par lesparois et par renouvellement d'air) à latempérature extérieure T (W)
V : volume habitable du bâtiment (m')
T : température de consigne (°C)
T : température extérieure (°C)e
Soit pour le jour où la température extérieure est égale à la tempénature
dz basz (Tg = Tg) :
C b
avec : '-'mav * déperditions thermiques maximales du bâtiment (W)
Ce qui rzvlznt à :
^ ne B
avec : Pmav puissance maximale des besoins de chauffage (W)
T : température de non chauffage (°C)
144 -
Types de
Logement
- volume habitable <190 m*
- 190 m'^vol. habit. < 290 m'
- volume habitable ^ 290 tr?
2) Logement indépendant, non
- volume habitable < 190 n?
- 190 m»^vol. habit. < 290 n?
- volume habitable ^ 290 n?
3) Logement non indépendant.
- R* > 1,25
- 0,75 <^ R* < 1,25
- 0,25 < R* 4 0,75
- R* < 0,25
Coefficient G
Types de chauffage
I (électrique)
zones climatiques
HI
0,95
0,90
0,85
0,85
0,80
0,75
0,80
0,75
0,65
0,60
H2
1,00
0,95
0,90
0,90
0,85
0,80
0,85
0,80
0,70
0,65
H3
1,10
1,00
0,95
0,95
0,90
0,85
0,90
0,85
0,75
0,70
II (autres)
zones climatiques
HI
1,00
0,95
0,90
0,90
0,85
0,85
0,85
0,80
0,70
0,65
H2
1,05
1,00
0,95
0,95
0,90
0,80
0,90
0,85
0,75
0,70
H3
1,20
1,10
1,05
1,05
1,00
0,95
1,05
0,95
0,85
0,75
^ P _ Surface horizontale, ou en pente, en contact avec l 'extérieur, ou un Lieu non chaufféSurface habitable
Tablzau 4-10 : Valeurs du coefficient G [d'après le décret n° 82-269du 24 mars 1982, [4-18]]
144 -
Types de
Logement
- volume habitable <190 m*
- 190 m'^vol. habit. < 290 m'
- volume habitable ^ 290 tr?
2) Logement indépendant, non
- volume habitable < 190 n?
- 190 m»^vol. habit. < 290 n?
- volume habitable ^ 290 n?
3) Logement non indépendant.
- R* > 1,25
- 0,75 <^ R* < 1,25
- 0,25 < R* 4 0,75
- R* < 0,25
Coefficient G
Types de chauffage
I (électrique)
zones climatiques
HI
0,95
0,90
0,85
0,85
0,80
0,75
0,80
0,75
0,65
0,60
H2
1,00
0,95
0,90
0,90
0,85
0,80
0,85
0,80
0,70
0,65
H3
1,10
1,00
0,95
0,95
0,90
0,85
0,90
0,85
0,75
0,70
II (autres)
zones climatiques
HI
1,00
0,95
0,90
0,90
0,85
0,85
0,85
0,80
0,70
0,65
H2
1,05
1,00
0,95
0,95
0,90
0,80
0,90
0,85
0,75
0,70
H3
1,20
1,10
1,05
1,05
1,00
0,95
1,05
0,95
0,85
0,75
^ P _ Surface horizontale, ou en pente, en contact avec l 'extérieur, ou un Lieu non chaufféSurface habitable
Tablzau 4-10 : Valeurs du coefficient G [d'après le décret n° 82-269du 24 mars 1982, [4-18]]
145 -
Les équations (4.19), (4.21) et (4.22) conduisent à :
A = 6 U (T - T ) (4.23)c ne
avec : A : apports gratuits (W)
G : coefficient de déperditions volumiques (Wm" °C )
V : volume habitable (m )
T : température de consigne (°C)
T : température de non chauffage (°C)
Les valeurs de G recommandées pour les constructions neuves
sont définies par les textes officiels émanant du Ministère de l'Urbanisme
et du Logement (tableau (4-10)) . La ville de Lannion est située en zone
Hj et l'école du Rusquet est un bâtiment de type indépendant avec un
chauffage non électrique.
Un coefficient G correspond : à une très bonne isolation lorsqu'il
est de l'ordre de 0,8 Wm '°C ^ , à un habitat ancien ou à une mauvaise iso¬
lation lorsqu'il est supérieur à 2 Wm~'°C"^.
4.2.3 - Caractéristiques élérnentaires d^^une installation de chauffage
4.2.3.1 - Consommation de chauffaqe
Le jour j, à la température extérieure T ., le chauffage
des bâtiments nécessite la consommation de C: Wh'J-
24 X D X (T - T )
Cj - (T^ - Tg) ''''^'''
avec : D-j, : déperditions thermiques maximales (W)
T^P : température de non chauffage (°C)
T^ : température de consigne (°C)
Tg : température de base (°C)
24 : nombre d'heures de fonctionnement du chauffage par jour
145 -
Les équations (4.19), (4.21) et (4.22) conduisent à :
A = 6 U (T - T ) (4.23)c ne
avec : A : apports gratuits (W)
G : coefficient de déperditions volumiques (Wm" °C )
V : volume habitable (m )
T : température de consigne (°C)
T : température de non chauffage (°C)
Les valeurs de G recommandées pour les constructions neuves
sont définies par les textes officiels émanant du Ministère de l'Urbanisme
et du Logement (tableau (4-10)) . La ville de Lannion est située en zone
Hj et l'école du Rusquet est un bâtiment de type indépendant avec un
chauffage non électrique.
Un coefficient G correspond : à une très bonne isolation lorsqu'il
est de l'ordre de 0,8 Wm '°C ^ , à un habitat ancien ou à une mauvaise iso¬
lation lorsqu'il est supérieur à 2 Wm~'°C"^.
4.2.3 - Caractéristiques élérnentaires d^^une installation de chauffage
4.2.3.1 - Consommation de chauffaqe
Le jour j, à la température extérieure T ., le chauffage
des bâtiments nécessite la consommation de C: Wh'J-
24 X D X (T - T )
Cj - (T^ - Tg) ''''^'''
avec : D-j, : déperditions thermiques maximales (W)
T^P : température de non chauffage (°C)
T^ : température de consigne (°C)
Tg : température de base (°C)
24 : nombre d'heures de fonctionnement du chauffage par jour
147 -
La consommation totale de la saison de chauffage (C) est
égale à la somme des C.
.., MAX2 C. = 24 . TY^ X 2 (T - T^ .) (4.25)j J ^ B^ j "^ 'J
qui en tenant compte de la définition des degrés-jours DJ.|. (4.15) et du coeffi¬cient de déperditions volumiques G (4.21) s'écrit :
C = 2 C . = 24. G.\y DJ,T ^ (4.26)i J UncA
soit si Tnc = 18°C
C = 2 Cj = 24. G V DJU (4.27)j
Pour connaître la consommation en combustible (C combus)
les équations (4.26) et (4.27) directement applicables dans le cas d'unchauffage électrique, doivent tenir compte du rendement et du pouvoir
calorifique inférieur* du combustible (PCI) dans le cas d'un chauffage
par combustion, et :
24. G V DJtC , = (4.28)combus
avec : ri : rendement de l'installation de chauffage
PCI : pouvoir calorifique inférieur du combustible (kwh/unité devolume considérée du combustible)
Souvent l'utilisation d'un chauffage est discontinue (en
raison de l'occupation intermittente des locaux par exemple, de régulation
de la température intérieure nocturne). L'économie alors réalisée sur
la consommation de chauffage, parfois appelée "gain de consommation" [4-l],est fonction de l'inertie des bâtiments (cf. figure (4-ll)[4-l]) :
* Pouvoir Calorifique Inférieur (PCI): Quantité de chaleur dégagée par lacombustion complète de l'unité de volume ou de masse du combustible considéré.
147 -
La consommation totale de la saison de chauffage (C) est
égale à la somme des C.
.., MAX2 C. = 24 . TY^ X 2 (T - T^ .) (4.25)j J ^ B^ j "^ 'J
qui en tenant compte de la définition des degrés-jours DJ.|. (4.15) et du coeffi¬cient de déperditions volumiques G (4.21) s'écrit :
C = 2 C . = 24. G.\y DJ,T ^ (4.26)i J UncA
soit si Tnc = 18°C
C = 2 Cj = 24. G V DJU (4.27)j
Pour connaître la consommation en combustible (C combus)
les équations (4.26) et (4.27) directement applicables dans le cas d'unchauffage électrique, doivent tenir compte du rendement et du pouvoir
calorifique inférieur* du combustible (PCI) dans le cas d'un chauffage
par combustion, et :
24. G V DJtC , = (4.28)combus
avec : ri : rendement de l'installation de chauffage
PCI : pouvoir calorifique inférieur du combustible (kwh/unité devolume considérée du combustible)
Souvent l'utilisation d'un chauffage est discontinue (en
raison de l'occupation intermittente des locaux par exemple, de régulation
de la température intérieure nocturne). L'économie alors réalisée sur
la consommation de chauffage, parfois appelée "gain de consommation" [4-l],est fonction de l'inertie des bâtiments (cf. figure (4-ll)[4-l]) :
* Pouvoir Calorifique Inférieur (PCI): Quantité de chaleur dégagée par lacombustion complète de l'unité de volume ou de masse du combustible considéré.
- 148 -
a{%)
100
so
c
vpX-Xt_
bèllmanta
^ bninwfit léQv
\^ 1
\
nttoufd \
\K
mtintr
\\ bêtimtnt InfIninwnt kwriB
/±f>
S
\S
\,^
tie
1
1
i
X1 '
d^.1"
CB ifiiiw eoupui*de 8 hetiTM toutct
' lesm
\
^
lU
\,lN s'
20 40 60 80 100 120 140 160 168
EURES DE CHAUFFAGE DURANT UNE SEMAINE
Figure 4-11 Economie [en I) réalisée sur la consommationde chauffage en cas d'Intermittence de celui-cien fonction de l'Inertie des bâtiments.
[d'après BERNIER, 1974, [4-j]).
- 148 -
a{%)
100
so
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^ bninwfit léQv
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\\ bêtimtnt InfIninwnt kwriB
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S
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1
1
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^
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20 40 60 80 100 120 140 160 168
EURES DE CHAUFFAGE DURANT UNE SEMAINE
Figure 4-11 Economie [en I) réalisée sur la consommationde chauffage en cas d'Intermittence de celui-cien fonction de l'Inertie des bâtiments.
[d'après BERNIER, 1974, [4-j]).
- 149
- si l'inertie des bâtiments est nulle, l'économie réalisée est dans
le rapport du temps de non chauffage au temps total de la période deg
chauffage (Jqq) , la consommation est dans le rapport du temps de chauf¬
fage réel au temps de la période de chauffage conventionnelle considérée
- plus l'inertie du bâtiment est élevée, plus l'économie pour une même
période d'arrêt sera faible.
La consommation de combustible nécessaire au fonctionnement du
chauffage utilisé de façon discontinue s'écrit :
24 X G X V X DJ^
^combus = - (1 - îôô) (^-29)n X PCI
avec : a : taux d'économie réalisée sur la consommation {%)(déterminé d'après la figure (4-11)
4.2.3.2 - Emission de la chaleur dans les locaux
Loi de température des "corps de diauffe"
Par "corps de chauffe" on entend l'ensemble des systèmes émetteurs
de chaleur (planchers chauffants, radiateurs,...) dans les bâtiments.
La puissance des besoins variant en fonction de la température
extérieure il convient d'assurer la distribution des calories en faisant
varier, soit le débit du fluide caloporteur, soit la température. C'est géné¬
ralement la seconde solution qui est adoptée, et la température du fluide
caloporteur suit alors une loi linéaire en fonction de la température
extérieure :
/Tp = Ap X T^ -. Bp (4.30.a)
|Tp = Ap X Te + Bp (4.31.a)
avec : Tp. : température de départ dans le circuit de chauffage (°C)
Td : température de retour dans le circuit de chauffage (°C)
Tg : température extérieure (°C)
- 149
- si l'inertie des bâtiments est nulle, l'économie réalisée est dans
le rapport du temps de non chauffage au temps total de la période deg
chauffage (Jqq) , la consommation est dans le rapport du temps de chauf¬
fage réel au temps de la période de chauffage conventionnelle considérée
- plus l'inertie du bâtiment est élevée, plus l'économie pour une même
période d'arrêt sera faible.
La consommation de combustible nécessaire au fonctionnement du
chauffage utilisé de façon discontinue s'écrit :
24 X G X V X DJ^
^combus = - (1 - îôô) (^-29)n X PCI
avec : a : taux d'économie réalisée sur la consommation {%)(déterminé d'après la figure (4-11)
4.2.3.2 - Emission de la chaleur dans les locaux
Loi de température des "corps de diauffe"
Par "corps de chauffe" on entend l'ensemble des systèmes émetteurs
de chaleur (planchers chauffants, radiateurs,...) dans les bâtiments.
La puissance des besoins variant en fonction de la température
extérieure il convient d'assurer la distribution des calories en faisant
varier, soit le débit du fluide caloporteur, soit la température. C'est géné¬
ralement la seconde solution qui est adoptée, et la température du fluide
caloporteur suit alors une loi linéaire en fonction de la température
extérieure :
/Tp = Ap X T^ -. Bp (4.30.a)
|Tp = Ap X Te + Bp (4.31.a)
avec : Tp. : température de départ dans le circuit de chauffage (°C)
Td : température de retour dans le circuit de chauffage (°C)
Tg : température extérieure (°C)
150
oo
te=í T
JÇ'oa.o
B 'ROÜ
íj-a
á T5 c^<=
-tc
CJ«eá
s^««?
Si T
,
^B
K
^^^^
^Nc températureextérlzurz [°C)
Figure 4- 1 2 : Circuit de distribution de la chaleurévolution de la température du fluidecaloporteur zn fonction dz la tempéra¬turz zxtérleurz ["Loi dzs corps dzdvxuffz").
TYPE D' EMETTEUR
Planchers ou plafondschauffants
Aérothermes
Venti Lo-convecteur
Radiateurs
TDOoc
30 - 45
37 - 45
45 - 50
60 - 90
TRO
25 - 35
27 - 35
35 - 40
40 - 70
Tablzau 4-13 : Ordrz dz grandzur des températuresdu circuit dz chauffagz poun dlf¬férznts émetteurs,[d'après [4-l] , [4-9] , [4-17])
150
oo
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JÇ'oa.o
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Si T
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^Nc températureextérlzurz [°C)
Figure 4- 1 2 : Circuit de distribution de la chaleurévolution de la température du fluidecaloporteur zn fonction dz la tempéra¬turz zxtérleurz ["Loi dzs corps dzdvxuffz").
TYPE D' EMETTEUR
Planchers ou plafondschauffants
Aérothermes
Venti Lo-convecteur
Radiateurs
TDOoc
30 - 45
37 - 45
45 - 50
60 - 90
TRO
25 - 35
27 - 35
35 - 40
40 - 70
Tablzau 4-13 : Ordrz dz grandzur des températuresdu circuit dz chauffagz poun dlf¬férznts émetteurs,[d'après [4-l] , [4-9] , [4-17])
151
La figure (4-12)montre l'allure de ces lois de température qui
sont définies par les paramètres suivants (pente, ordonnée à l'origine) ;
'^D = ^V - ^c) / ^"^B - "^nc) (^-^O-b)>o
A^ xne
Bp = T^ - Ap X T_ (4.30.C)
'^R = ^^Ro ^C^ / ^^B " "^nc) (4.31.b)
^R = "^C - ^R '^ V (4.31.C)
avec : T-,Do
: température de départ pour T = Td (°C)e D
: température de retour pour T = Td (°C)e D
A chaque type d'émetteur correspond une loi de température
dite "des corps de chauffe" liée à leur surface et leur capacité d'échange.
Dans la pratique, ces lois de températures ne sont pas strictement
suivies par les systèmes de chauffage, mais sont cependant classiquement uti¬
lisées.
Le tableau (4-13) donne des ordres de grandeur des valeurs de
Tp et Tp pour différents types d'émetteurs [4-1, 4-9, 4-17].
Puissance émisz
La puissance calorifique distribuée par le fluide caloporteur
dans les bâtiments s'exprime par :
P^ = p X c X Dp^ X (Tp- Tp) (4.32)
avec : p : masse volumique du fluide caloporteur (kg m ^)
c : chaleur massique du fluide caloporteur ( J kg ^°C M
D- : débit du fluide caloporteur (m^ s~MFc
Tp : température de départ du circuit (°C)
Td : température de retour du circuit (°C)
soit lorsque T = Tg :
P^AX =PxcxDp^x (Tp^- Tp^) (4.33)
-, 7-1 Qp-1Ici le fluide caloporteur est de l'eau et p= 1000 kg m" , c = 4,18 10 J kg l .
151
La figure (4-12)montre l'allure de ces lois de température qui
sont définies par les paramètres suivants (pente, ordonnée à l'origine) ;
'^D = ^V - ^c) / ^"^B - "^nc) (^-^O-b)>o
A^ xne
Bp = T^ - Ap X T_ (4.30.C)
'^R = ^^Ro ^C^ / ^^B " "^nc) (4.31.b)
^R = "^C - ^R '^ V (4.31.C)
avec : T-,Do
: température de départ pour T = Td (°C)e D
: température de retour pour T = Td (°C)e D
A chaque type d'émetteur correspond une loi de température
dite "des corps de chauffe" liée à leur surface et leur capacité d'échange.
Dans la pratique, ces lois de températures ne sont pas strictement
suivies par les systèmes de chauffage, mais sont cependant classiquement uti¬
lisées.
Le tableau (4-13) donne des ordres de grandeur des valeurs de
Tp et Tp pour différents types d'émetteurs [4-1, 4-9, 4-17].
Puissance émisz
La puissance calorifique distribuée par le fluide caloporteur
dans les bâtiments s'exprime par :
P^ = p X c X Dp^ X (Tp- Tp) (4.32)
avec : p : masse volumique du fluide caloporteur (kg m ^)
c : chaleur massique du fluide caloporteur ( J kg ^°C M
D- : débit du fluide caloporteur (m^ s~MFc
Tp : température de départ du circuit (°C)
Td : température de retour du circuit (°C)
soit lorsque T = Tg :
P^AX =PxcxDp^x (Tp^- Tp^) (4.33)
-, 7-1 Qp-1Ici le fluide caloporteur est de l'eau et p= 1000 kg m" , c = 4,18 10 J kg l .
152
Températureextérieure
- 15- 14- 13- 12- 11- 10- 9- 8- 7- 6- 5- 4- 3- 2- 1
01
2345
6789
101112131415J61718192021222324252627282930
fréquences probables des températures pourl'année entière
0000000000001
01
2449
1114172428293127282826262215
95
2
1
01
0000000
Degrés-joursprobables pourl'année entière
00000000000001
248
16284981
127190277392536711913
114314011685199523272674303033913754411844824847521255775942630766727037
Fréquences probables des températures du1er Octobre au
20 Mai
0000000000001
01
2449
11141724272727211712
6421
1
000000000000
Degrés-joursprobables du1er Octobre au
20 Mai
00000000000001
248
16284981
127190277391532700889
109513131537176519952226245826902922315433863618385040824314454647785010
Flgurz 4-14 : Fréquences probables des températures et degrés- jours probablesà Brest [d'après un document AMPERE, 1983, [4-19]).
152
Températureextérieure
- 15- 14- 13- 12- 11- 10- 9- 8- 7- 6- 5- 4- 3- 2- 1
01
2345
6789
101112131415J61718192021222324252627282930
fréquences probables des températures pourl'année entière
0000000000001
01
2449
1114172428293127282826262215
95
2
1
01
0000000
Degrés-joursprobables pourl'année entière
00000000000001
248
16284981
127190277392536711913
114314011685199523272674303033913754411844824847521255775942630766727037
Fréquences probables des températures du1er Octobre au
20 Mai
0000000000001
01
2449
11141724272727211712
6421
1
000000000000
Degrés-joursprobables du1er Octobre au
20 Mai
00000000000001
248
16284981
127190277391532700889
109513131537176519952226245826902922315433863618385040824314454647785010
Flgurz 4-14 : Fréquences probables des températures et degrés- jours probablesà Brest [d'après un document AMPERE, 1983, [4-19]).
153
Régime de dlstnlbutlon quotidien
La puissance maximale des besoins en chauffage et la loi
de température des émetteurs étant connues,il est aisé de déterminer le
débit du fluide caloporteur dans le circuit de chauffage (équation 4.32).
La détermination des besoins quotidiens (Pj) est alors immédiate
à partir des équations &. 30. a-b-c) et (i. 31. a-b-c) qui caractérisent lesémetteurs, et de l'équation (4.32).
soit P . , la puissance des besoins le jour j :
Pj = Ap Te,j -.Bp (4.34. a)
avec : A = p x c x D^^ x (A_. - A^) (4.34 -b)p r L u K
Ap, B_ : paramètres de la loi de température desdéparts (éq. 4.30-b-c)
B = p X c X D^_ X (Bp, - Bo) (4.34.C)p r L u K
Ap, Bp : paramètres de la loi de températuredes retours (éq. 4.31-b-c)
T . : température extérieure du jour (°C)
4.3 - APPLICATION AU PROJET CORAIL A LANNION
_ 4.3.1 - Les besoins en chauffage
4.3.1.1 - Les données de température
En l'absence de données disponibles auprès de la Météorologie
Nationale pour Lannion, celles de Brest (tableau (4-14) [4-19]) ont été uti¬lisées, ces deux lieux ayant des comportements climatiques voisins :
- localisation à proximité de la mer,
- valeurs des DJU proches (2076°C à Lannion entre le 15 octobre 1983 et le
16 mai 1983 [2-6], 2226°C en moyenne à Brest entre le 1er Octobre
et le 20 mai [4-19]).
153
Régime de dlstnlbutlon quotidien
La puissance maximale des besoins en chauffage et la loi
de température des émetteurs étant connues,il est aisé de déterminer le
débit du fluide caloporteur dans le circuit de chauffage (équation 4.32).
La détermination des besoins quotidiens (Pj) est alors immédiate
à partir des équations &. 30. a-b-c) et (i. 31. a-b-c) qui caractérisent lesémetteurs, et de l'équation (4.32).
soit P . , la puissance des besoins le jour j :
Pj = Ap Te,j -.Bp (4.34. a)
avec : A = p x c x D^^ x (A_. - A^) (4.34 -b)p r L u K
Ap, B_ : paramètres de la loi de température desdéparts (éq. 4.30-b-c)
B = p X c X D^_ X (Bp, - Bo) (4.34.C)p r L u K
Ap, Bp : paramètres de la loi de températuredes retours (éq. 4.31-b-c)
T . : température extérieure du jour (°C)
4.3 - APPLICATION AU PROJET CORAIL A LANNION
_ 4.3.1 - Les besoins en chauffage
4.3.1.1 - Les données de température
En l'absence de données disponibles auprès de la Météorologie
Nationale pour Lannion, celles de Brest (tableau (4-14) [4-19]) ont été uti¬lisées, ces deux lieux ayant des comportements climatiques voisins :
- localisation à proximité de la mer,
- valeurs des DJU proches (2076°C à Lannion entre le 15 octobre 1983 et le
16 mai 1983 [2-6], 2226°C en moyenne à Brest entre le 1er Octobre
et le 20 mai [4-19]).
154 -
Figure 4-15: Courbe monotone tracée à partirdes valeurs dz températures pro¬bables à Brest [29].
[d'après un documznt AMPERE 1983 [4-J9]]
Elément dubitiment
Toit
Murs
Fenêtres
SoL
RenouveL Lementd'air
TOTAL
Surface del'élément
m^
370
190
130
370
volume1110 m'
Coefficient detransmission
kKm'^c"'
2
2
5
1
taux2 vol. /h
Déperditions(éq.(4.21) et(4.22))
th/h kU
13,4 15,5
6,9 8
11,8 13,6
6,7 7,8
14 16,3
52,8 61,2
(5)Déperditions esti¬mées par les ser¬vices techniques
nunicipaux
th/h kW
10 11,6
5 5,8
8 9,3
5 5,8
9 10,5
37 43
Valeurs de K
correspondant auxdéperditions esti¬mées en (5)
Um'"c''
1,5
1,5
3,5
0,75
1,3 vol. /h
Ordre de grandeurdes coefficients K
rencontrés
Wm""c"'
1,2 - 1,8
1,4 - 1,8
4,5 - 5
0,7 - 1,3
Tableau 4-16 : Déperditions thermiques de l'école du Rusquet [Lannion) calculéespar les équations [4.21] et[4.22) et estimées par les services tech¬niques municipaux de Lannion.
154 -
Figure 4-15: Courbe monotone tracée à partirdes valeurs dz températures pro¬bables à Brest [29].
[d'après un documznt AMPERE 1983 [4-J9]]
Elément dubitiment
Toit
Murs
Fenêtres
SoL
RenouveL Lementd'air
TOTAL
Surface del'élément
m^
370
190
130
370
volume1110 m'
Coefficient detransmission
kKm'^c"'
2
2
5
1
taux2 vol. /h
Déperditions(éq.(4.21) et(4.22))
th/h kU
13,4 15,5
6,9 8
11,8 13,6
6,7 7,8
14 16,3
52,8 61,2
(5)Déperditions esti¬mées par les ser¬vices techniques
nunicipaux
th/h kW
10 11,6
5 5,8
8 9,3
5 5,8
9 10,5
37 43
Valeurs de K
correspondant auxdéperditions esti¬mées en (5)
Um'"c''
1,5
1,5
3,5
0,75
1,3 vol. /h
Ordre de grandeurdes coefficients K
rencontrés
Wm""c"'
1,2 - 1,8
1,4 - 1,8
4,5 - 5
0,7 - 1,3
Tableau 4-16 : Déperditions thermiques de l'école du Rusquet [Lannion) calculéespar les équations [4.21] et[4.22) et estimées par les services tech¬niques municipaux de Lannion.
155
Le faible écart (7 %) entre ces valeurs de DJU justifie l'utili¬
sation des données de Brest, l'écart réel pouvant être encore plus faible.
La courbe monotone ( figure (4-15) ) tracée à partir de ces données,
représente le nombre de jours où la température extérieure moyenne est
inférieure à la température de non chauffage (prise en compte des apports
gratuits) .
D'après le tableau (4-14) , le DJ/,,sà Lannion vaut :
^'^(16)L " ^°^^ "" MM" " ^^^^°^ ^ J°"r
('^^(16)L = D^L ^ MJp )
4.3.1.2 - Bilan énerqétique du bâtiment
Il ne s'agit pas ici d'une étude complète de la thermique de
l'école du Rusquet mais de l'utilisation optimale des données disponibles
présentées dans le chapitre 2(p.5l), à partir des équations du paragraphe
4.2 .On verra que l'on arrive à des ordres de grandeur et non à des résul¬
tats précis.
Les déperditions thermiques
Les coefficients de transmission, les surfaces des parois et
le taux de renouvellement d'air estimés par les services techniques muni¬
cipaux et les équations &.17)et (4.18)conduisent à des valeurs de déperdi¬
tions thermiques (pour Tg = - 2°C et T^, = 19"C). Celles-ci sont supérieuresà celles données par ces mêmes services techniques [2-6] (cf. tableau (4-16)).Les déperditions thermiques calculées correspondent à la prise en
compte, soit d'un écart de température plus faible, soit de coefficientsplus faibles, mais de l'ordre de ceux considérés par différents auteurs
[4-1, 4-16, 4-17].
Dans la suite de l'étude la valeur des déperditions thermiques
de l'école du Rusquet estimée par les services techniques municipaux
sera retenue. On peut penser que l'utilisation de cette valeur pour le
155
Le faible écart (7 %) entre ces valeurs de DJU justifie l'utili¬
sation des données de Brest, l'écart réel pouvant être encore plus faible.
La courbe monotone ( figure (4-15) ) tracée à partir de ces données,
représente le nombre de jours où la température extérieure moyenne est
inférieure à la température de non chauffage (prise en compte des apports
gratuits) .
D'après le tableau (4-14) , le DJ/,,sà Lannion vaut :
^'^(16)L " ^°^^ "" MM" " ^^^^°^ ^ J°"r
('^^(16)L = D^L ^ MJp )
4.3.1.2 - Bilan énerqétique du bâtiment
Il ne s'agit pas ici d'une étude complète de la thermique de
l'école du Rusquet mais de l'utilisation optimale des données disponibles
présentées dans le chapitre 2(p.5l), à partir des équations du paragraphe
4.2 .On verra que l'on arrive à des ordres de grandeur et non à des résul¬
tats précis.
Les déperditions thermiques
Les coefficients de transmission, les surfaces des parois et
le taux de renouvellement d'air estimés par les services techniques muni¬
cipaux et les équations &.17)et (4.18)conduisent à des valeurs de déperdi¬
tions thermiques (pour Tg = - 2°C et T^, = 19"C). Celles-ci sont supérieuresà celles données par ces mêmes services techniques [2-6] (cf. tableau (4-16)).Les déperditions thermiques calculées correspondent à la prise en
compte, soit d'un écart de température plus faible, soit de coefficientsplus faibles, mais de l'ordre de ceux considérés par différents auteurs
[4-1, 4-16, 4-17].
Dans la suite de l'étude la valeur des déperditions thermiques
de l'école du Rusquet estimée par les services techniques municipaux
sera retenue. On peut penser que l'utilisation de cette valeur pour le
156
,
PMAX»43-
40-ÜMMÍ'ZT
30-
Puissance (KW)10-
-,
.
\ " N.
> Ó 2 4 6 8 io iz 14 16 1819 20 22Température extérieure ("C)
Figure 4-17 : Puissance des déperditions thermiqueset des besoins utiles pour l'école duRusquet à Lannion en fonction de latempérature extérieure.
156
,
PMAX»43-
40-ÜMMÍ'ZT
30-
Puissance (KW)10-
-,
.
\ " N.
> Ó 2 4 6 8 io iz 14 16 1819 20 22Température extérieure ("C)
Figure 4-17 : Puissance des déperditions thermiqueset des besoins utiles pour l'école duRusquet à Lannion en fonction de latempérature extérieure.
157
calcul des besoins en chauffage est justifiée, les services techniques
municipaux gérant le chauffage de l'école.
Les apponts gratuits
Résultant essentiellement des apports calorifiques du soleil et
des occupants, ils sont estimés à 6000 thermies pour 1200 heures de fonction¬
nement (bilan thermique des services techniques municipaux de Lannion, 1983 [2-6]).Cette puissance moyenne de 5 thermies par heure, soit 5,8 kW, correspond à
une température de non chauffage de 16°C dans l'hypothèse des droites
de besoins et de déperditions parallèles (cf. fiqure (4-17)).
Estimation de G
Deux manières de procéder sont possibles :
a) à partir de la consommation
C'est l'application directe de l'équation (4-29) :
24 X G X V X DJ,r 'ne (-,_ Ë. )^combus - , "" ^^ 100^
n X PCI
a^ec : C^^o^bus
V
DlI ne
n
PCI
a
3528 litres de FOD
1110 m'
DJ,, = 1646°C X jour
0,74
995 kWh/hectolitre de FOD
facteur tenant compte de l'utilisation intermittentedu chauffage et de l'inertie des locaux (déterminésur la fiqure (4.11) ) .
L'école du Rusquet, considérée comme un bâtiment de faible
inertie thermique, ne nécessite le chauffage que 10 heures par jour en
moyenne (soit 45h par semaine) et 26 semaines sur 33 semaines de la période
de chauffage . Alors :
^~ÍÜÜ= °'^ '^ If ~ '^'^^ ^°'^ déterminé à l'aide de la figure (4-11):bâtiment léger et 45 heures de fonctionnement du chauffage par semaine) ;
r 3528 X 995 x 0,74 x 10 ^1110 X 1646 X 100 X 0,39 x 24
G = 1,6 Wm~^oc-l
157
calcul des besoins en chauffage est justifiée, les services techniques
municipaux gérant le chauffage de l'école.
Les apponts gratuits
Résultant essentiellement des apports calorifiques du soleil et
des occupants, ils sont estimés à 6000 thermies pour 1200 heures de fonction¬
nement (bilan thermique des services techniques municipaux de Lannion, 1983 [2-6]).Cette puissance moyenne de 5 thermies par heure, soit 5,8 kW, correspond à
une température de non chauffage de 16°C dans l'hypothèse des droites
de besoins et de déperditions parallèles (cf. fiqure (4-17)).
Estimation de G
Deux manières de procéder sont possibles :
a) à partir de la consommation
C'est l'application directe de l'équation (4-29) :
24 X G X V X DJ,r 'ne (-,_ Ë. )^combus - , "" ^^ 100^
n X PCI
a^ec : C^^o^bus
V
DlI ne
n
PCI
a
3528 litres de FOD
1110 m'
DJ,, = 1646°C X jour
0,74
995 kWh/hectolitre de FOD
facteur tenant compte de l'utilisation intermittentedu chauffage et de l'inertie des locaux (déterminésur la fiqure (4.11) ) .
L'école du Rusquet, considérée comme un bâtiment de faible
inertie thermique, ne nécessite le chauffage que 10 heures par jour en
moyenne (soit 45h par semaine) et 26 semaines sur 33 semaines de la période
de chauffage . Alors :
^~ÍÜÜ= °'^ '^ If ~ '^'^^ ^°'^ déterminé à l'aide de la figure (4-11):bâtiment léger et 45 heures de fonctionnement du chauffage par semaine) ;
r 3528 X 995 x 0,74 x 10 ^1110 X 1646 X 100 X 0,39 x 24
G = 1,6 Wm~^oc-l
- 158
99,9%- -35
uo
lüq:
Ulo:ül
UJa:
a:UJa.zUJ
99%- -27,2
97,2%-
95k5%-2l,4 ja
89%- 17,5
84%- 15,6
78% -iZfi
70%- 11,7
50%- 7,8
38%- -5^8
25^5% -3^
I3%l;95
37 (kW)
UJ
UJQ.O.<
Uloz<COÇ2
O.
JOURS
Figure 4-18 : Courbe monotone - détermination du taux decouverture en fonction de la puissance dela pompe à clialeur.
- 158
99,9%- -35
uo
lüq:
Ulo:ül
UJa:
a:UJa.zUJ
99%- -27,2
97,2%-
95k5%-2l,4 ja
89%- 17,5
84%- 15,6
78% -iZfi
70%- 11,7
50%- 7,8
38%- -5^8
25^5% -3^
I3%l;95
37 (kW)
UJ
UJQ.O.<
Uloz<COÇ2
O.
JOURS
Figure 4-18 : Courbe monotone - détermination du taux decouverture en fonction de la puissance dela pompe à clialeur.
159
b)à partir de la puissance des déperditions
L'équation (4.21) est alors utilisée :
'^MAX
V(Tc - Tg)
avec : D^.^, ; 43 kW
V
Te
Tr,
1110 m'
19°C
- 2°C
43 X 10' _
soit G = niO X (19 . 2) = 1' 85 ""- "^
La différence entre les deux valeurs de l'ordre de 12 % est cer¬
tainement liée à l'imprécision sur le facteur a (les données sur la durée
du fonctionnement de l'installation de Lannion étant des moyennes).
Dans l'étude de l'installation globale (chapitre 5) G sera estimé à partir
de la puissance des déperditions.
4.3.2 - La_gompe à chaleur
Elle est choisie en fonction des besoins à satisfaire, à l'aide
de la courbe monotone.
La puissance appelée étant une fonction linéaire de la température
extérieure (P. = G x V x (T - T .), équation (4.34), l'échelle des puis-
sanees est tracée parallèlement à celle des températures sur la courbe monotone.
La puissance maximale des besoins (Pmûv) est considérée égale
à 37 kW (équation (4.19) ou (4.22)).
L'aire déterminée par la courbe monotone, les axes de coordonnées
et une droite d'ordonnée P correspondent au taux de couverture des
besoins par cette puissance P (cf. figure (4-18)).
Ainsi à Lannion, 65 % des besoins seront couverts par une pompe à
chaleur de 10,7 klfJ de puissance, soit la pompe à chaleur CIAT de type TBB n°35
159
b)à partir de la puissance des déperditions
L'équation (4.21) est alors utilisée :
'^MAX
V(Tc - Tg)
avec : D^.^, ; 43 kW
V
Te
Tr,
1110 m'
19°C
- 2°C
43 X 10' _
soit G = niO X (19 . 2) = 1' 85 ""- "^
La différence entre les deux valeurs de l'ordre de 12 % est cer¬
tainement liée à l'imprécision sur le facteur a (les données sur la durée
du fonctionnement de l'installation de Lannion étant des moyennes).
Dans l'étude de l'installation globale (chapitre 5) G sera estimé à partir
de la puissance des déperditions.
4.3.2 - La_gompe à chaleur
Elle est choisie en fonction des besoins à satisfaire, à l'aide
de la courbe monotone.
La puissance appelée étant une fonction linéaire de la température
extérieure (P. = G x V x (T - T .), équation (4.34), l'échelle des puis-
sanees est tracée parallèlement à celle des températures sur la courbe monotone.
La puissance maximale des besoins (Pmûv) est considérée égale
à 37 kW (équation (4.19) ou (4.22)).
L'aire déterminée par la courbe monotone, les axes de coordonnées
et une droite d'ordonnée P correspondent au taux de couverture des
besoins par cette puissance P (cf. figure (4-18)).
Ainsi à Lannion, 65 % des besoins seront couverts par une pompe à
chaleur de 10,7 klfJ de puissance, soit la pompe à chaleur CIAT de type TBB n°35
16 0
fonctionnant entre 8°C et 55°C. La pompe à chaleur CIAT TBB n"^ 7 5 permettra
de couvrir 96 % des besoins avec une puissance de 21,9 kW entre 8°C et
55°C.
Rappelons ici l'intérêt de choisir une pompe à chaleur de puis¬
sance inférieure à la puissance maximale des besoins (qui n'est nécessaire
que quelques jours par an), le complément étant fourni par un chauffage
d'appoint. L'allure de la courbe monotone montre bien que pour augmenter
le taux de couverture des besoins de quelques %, il faut largement augmenter
la puissance de la pompe à chaleur.
4.4 - CONCLUSION
Dans ce chapitre ont été présentés les relations usuelles
caractéristiques des pompes à chaleur et du chauffage des bâtiments.
Leur application au projet de Lannion a permis l'approche du
calcul des besoins en chauffage de l'école maternelle du Rusquet, et un
premier choix de la pompe à chaleur.
Dans le chapitre suivant (modélisation du comportement thermique
de l'installation globale) les éléments présentés ici seront largement
utilisés.
16 0
fonctionnant entre 8°C et 55°C. La pompe à chaleur CIAT TBB n"^ 7 5 permettra
de couvrir 96 % des besoins avec une puissance de 21,9 kW entre 8°C et
55°C.
Rappelons ici l'intérêt de choisir une pompe à chaleur de puis¬
sance inférieure à la puissance maximale des besoins (qui n'est nécessaire
que quelques jours par an), le complément étant fourni par un chauffage
d'appoint. L'allure de la courbe monotone montre bien que pour augmenter
le taux de couverture des besoins de quelques %, il faut largement augmenter
la puissance de la pompe à chaleur.
4.4 - CONCLUSION
Dans ce chapitre ont été présentés les relations usuelles
caractéristiques des pompes à chaleur et du chauffage des bâtiments.
Leur application au projet de Lannion a permis l'approche du
calcul des besoins en chauffage de l'école maternelle du Rusquet, et un
premier choix de la pompe à chaleur.
Dans le chapitre suivant (modélisation du comportement thermique
de l'installation globale) les éléments présentés ici seront largement
utilisés.
CHAPITRE 5
COUPLAGE DE L'INSTALLATION DE SURFACE
ET DE L'ECHANGEUR SOUTERRAIN
CHAPITRE 5
COUPLAGE DE L'INSTALLATION DE SURFACE
ET DE L'ECHANGEUR SOUTERRAIN
165
Le but final de cette recherche est la prévision des performances
du dispositif CORAIL mis en oeuvre pour le chauffage de locaux, données essen¬
tielles dans le choix du projet.
Le bilan thermique d'une installation complète a donc été réalisé
à partir :
- des lois du comportement thermique :
. de l'échangeur souterrain CORAIL (chapitre 3)
. de la pompe à chaleur (chapitre 4)
. du bâtiment (chapitre 4)
- et des données météorologiques.
Ce type de bilan est classiquement calculé au stade des avant-projets
dans le domaine de la géothermie [4-12]. Dans le cadre de projets de géothermie
basse énergie , le calcul de ce bilan a été automatisé [5-1, 5-2] dans les
conditions suivantes :
- température constante de la source froide,- pompe à chaleur "hypothétique" dont le COP est estimé par la formule (4.14)
[4-12],- températures extérieures connues par leur histogramme.
Les conditions du calcul du bilan thermique réalisé pour le projet
CORAIL sont tout autres :
- la température de la source froide varie au cours du temps , en fonction des
conditions de fonctionnement de l'installation le jour-même et les jours
précédents ,
- la pompe à chaleur choisie est caractérisée par les données du constructeur,
- la courbe des températures extérieures prise en compte est celle réellement
observée durant la saison de chauffage.
165
Le but final de cette recherche est la prévision des performances
du dispositif CORAIL mis en oeuvre pour le chauffage de locaux, données essen¬
tielles dans le choix du projet.
Le bilan thermique d'une installation complète a donc été réalisé
à partir :
- des lois du comportement thermique :
. de l'échangeur souterrain CORAIL (chapitre 3)
. de la pompe à chaleur (chapitre 4)
. du bâtiment (chapitre 4)
- et des données météorologiques.
Ce type de bilan est classiquement calculé au stade des avant-projets
dans le domaine de la géothermie [4-12]. Dans le cadre de projets de géothermie
basse énergie , le calcul de ce bilan a été automatisé [5-1, 5-2] dans les
conditions suivantes :
- température constante de la source froide,- pompe à chaleur "hypothétique" dont le COP est estimé par la formule (4.14)
[4-12],- températures extérieures connues par leur histogramme.
Les conditions du calcul du bilan thermique réalisé pour le projet
CORAIL sont tout autres :
- la température de la source froide varie au cours du temps , en fonction des
conditions de fonctionnement de l'installation le jour-même et les jours
précédents ,
- la pompe à chaleur choisie est caractérisée par les données du constructeur,
- la courbe des températures extérieures prise en compte est celle réellement
observée durant la saison de chauffage.
- 166 -
radiateur
T100m
Pompe à
chaleur
25à30m
sondede
départ-^
V/m
chaudière
régulation
sondede
température
Figure 5- 1 : Schéma dz l' installation globale envisagée à l'écolematernelle du Rusquet à Lannion.
- 166 -
radiateur
T100m
Pompe à
chaleur
25à30m
sondede
départ-^
V/m
chaudière
régulation
sondede
température
Figure 5- 1 : Schéma dz l' installation globale envisagée à l'écolematernelle du Rusquet à Lannion.
167
Par ailleurs, cette schématisation du comportement thermique de
l'installation globale, plus proche de la réalité peut prendre en compte :
- différents types de source froide,
- différents modes de fonctionnement du chauffage.
5.1 - SCHEMATISATION DE L'INSTALLATION GLOBALE
Le bilan thermique de l'installation globale (schématisée figure(5.1))
nécessite la connaissance :
- du comportement thermique de l'échangeur enterré,
- du comportement thermique de la partie surface (bâtiment, pompe à chaleur,chauffage d'appoint éventuel, circuit de distribution de la chaleur;,
- des données climatiques.
5.1.1 - Fonctionnement des unités élémentaires de l'installation
5.1.1 - La source froide
Dans l'optique d'une utilisation ultérieure la plus large possibledu logiciel de calcul, différents types de sources froides et différentes utili¬sations de celles-ci ont été envisagés.
Température de la sourcz froide constante
Dans ce cas, réaliser le bilan de l'installation à partir de l'his¬togramme des températures extérieures ou de la courbe réelle de l'évolution
des températures au cours de la saison revient au même, la température de
la source froide n'évoluant pas dans le temps.
167
Par ailleurs, cette schématisation du comportement thermique de
l'installation globale, plus proche de la réalité peut prendre en compte :
- différents types de source froide,
- différents modes de fonctionnement du chauffage.
5.1 - SCHEMATISATION DE L'INSTALLATION GLOBALE
Le bilan thermique de l'installation globale (schématisée figure(5.1))
nécessite la connaissance :
- du comportement thermique de l'échangeur enterré,
- du comportement thermique de la partie surface (bâtiment, pompe à chaleur,chauffage d'appoint éventuel, circuit de distribution de la chaleur;,
- des données climatiques.
5.1.1 - Fonctionnement des unités élémentaires de l'installation
5.1.1 - La source froide
Dans l'optique d'une utilisation ultérieure la plus large possibledu logiciel de calcul, différents types de sources froides et différentes utili¬sations de celles-ci ont été envisagés.
Température de la sourcz froide constante
Dans ce cas, réaliser le bilan de l'installation à partir de l'his¬togramme des températures extérieures ou de la courbe réelle de l'évolution
des températures au cours de la saison revient au même, la température de
la source froide n'évoluant pas dans le temps.
168
Exploitation continue du dispositif CORAIL
Le chauffage fonctionne alors en continu et le dispositif CORAIL est
constamment exploité.
Les équations (3^40) e.t (3.46 )rendent compte de l'évolution de latempérature en sortie d'échangeur (0 ) au cours du temps (en fonction des
caractéristiques du projet) :
0^-0 + Sh + A0 [0,5 + P (r - ln (tr))] (5.01)
avec : 0 : température à la surface du sol (°C)° -1
g : gradient géothermique CC m )
h : profondeur de l'échangeur (m)
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur (°C)
p : paramètre adimensionnel caractéristique des échangesr ^^F^=4iOr 'éq.(3.41))
tr : temps réduit (4 Dt/r' , éq.(3.39))
Exploitation discontinue du dispositif CORAIL
L'utilisation discontinue du chauffage, liée par exemple à l'occu¬
pation intermittente des locaux, comme à l'école maternelle du RUSQUET, conduit
à l'exploitation discontinue du dispositif CORAIL.
On estime que la température en sortie d'échangeur (0 ) durant la
journée est égale à la moyenne des températures extrémales 0 et 0^^. ,
respectivement définies pour un fonctionnement discontinu, par les équations
(3. 74) et (3.77) ,et calculées en fin de journée :
^S 0^ + 1^ + A0 [f(Q,l,t) - f(Q,l,t^) + i f(Q,l,t^)] (5.02)
avec 0 : température à la surface du sol (°C)° -1
g : gradient géothermique (°C m )
h : profondeur de l'échangeur (m)
A0 : écart constant de température exploité par la pompe à chaleur (°C)
Q : débit fictif moyen continu du fluide dans 1 'echangeur (m s )
Q : débit instantanné du fluide dans 1 'echangeur (m s )
t : temps écoulé depuis le début de l'exploitation du dispositif (secondes )
tf. : durée d'un cycle (12 heures)
168
Exploitation continue du dispositif CORAIL
Le chauffage fonctionne alors en continu et le dispositif CORAIL est
constamment exploité.
Les équations (3^40) e.t (3.46 )rendent compte de l'évolution de latempérature en sortie d'échangeur (0 ) au cours du temps (en fonction des
caractéristiques du projet) :
0^-0 + Sh + A0 [0,5 + P (r - ln (tr))] (5.01)
avec : 0 : température à la surface du sol (°C)° -1
g : gradient géothermique CC m )
h : profondeur de l'échangeur (m)
A0 : écart de température exploité par la pompe à chaleur (°C)
p : paramètre adimensionnel caractéristique des échangesr ^^F^=4iOr 'éq.(3.41))
tr : temps réduit (4 Dt/r' , éq.(3.39))
Exploitation discontinue du dispositif CORAIL
L'utilisation discontinue du chauffage, liée par exemple à l'occu¬
pation intermittente des locaux, comme à l'école maternelle du RUSQUET, conduit
à l'exploitation discontinue du dispositif CORAIL.
On estime que la température en sortie d'échangeur (0 ) durant la
journée est égale à la moyenne des températures extrémales 0 et 0^^. ,
respectivement définies pour un fonctionnement discontinu, par les équations
(3. 74) et (3.77) ,et calculées en fin de journée :
^S 0^ + 1^ + A0 [f(Q,l,t) - f(Q,l,t^) + i f(Q,l,t^)] (5.02)
avec 0 : température à la surface du sol (°C)° -1
g : gradient géothermique (°C m )
h : profondeur de l'échangeur (m)
A0 : écart constant de température exploité par la pompe à chaleur (°C)
Q : débit fictif moyen continu du fluide dans 1 'echangeur (m s )
Q : débit instantanné du fluide dans 1 'echangeur (m s )
t : temps écoulé depuis le début de l'exploitation du dispositif (secondes )
tf. : durée d'un cycle (12 heures)
169
« Exploitation d'un stockage en aquifère
Dans ce cas la température disponible évolue en fonction des carac¬
téristiques du stockage (température initiale de l'aquifère, du fluide stocké,
caractéristiques thermiques du milieu). Une restitution linéaire de la tempé¬
rature en fonction du rapport du volume pompé au volume stocké est ici consi¬
déré e , d'autres formulations sont envisageables.
5.1.1.2 - L'installation de surface
Le bâtiment
Les locaux sont caractérisés par :
Pj-.x, : puissance maximale des besoins en chauffage (= déperditions thermiques
moins les apports gratuits pour la température de base),
la loi dite des "corps de chauffe", soit T_ et Tn les températures deUq "o
départ et de retour du circuit de chauffage pour la température de base (Tq),b
la température de consigne (T ) et la température de non chauffage (T )
(chapitre 4, p. 141, 143),
le facteur d'intermittence H, qui rend compte de la durée journalière du
chauffage (Si H = 1 le chauffage est sollicité 24h sur 24).
Avec ces éléments il est immédiat de calculer :
- le débit du circuit de chauffage (équations (4.32) et (4.33), p. 151),
- les besoins quotidiens en chauffage (équations (4.3 4. a-b-c) , p. 153)» la tempé¬
rature extérieure étant connue par ailleurs.
La pompe à clialeur
Elle est caractérisée par sa puissance et son coefficient de perfor¬
mance qui varient en fonction de la température disponible à la source froide
(température en entrée d'évaporateur) et de la température nécessaire dans
le circuit de chauffage (température en sortie du condenseur).* Les puissances calorifiques et électriques utilisées sont celles
données par le constructeur (CIAT) pour des températures d'évaporateur et
de condenseur fixées ; le COP calculé à partir de ces valeurs est basé sur
169
« Exploitation d'un stockage en aquifère
Dans ce cas la température disponible évolue en fonction des carac¬
téristiques du stockage (température initiale de l'aquifère, du fluide stocké,
caractéristiques thermiques du milieu). Une restitution linéaire de la tempé¬
rature en fonction du rapport du volume pompé au volume stocké est ici consi¬
déré e , d'autres formulations sont envisageables.
5.1.1.2 - L'installation de surface
Le bâtiment
Les locaux sont caractérisés par :
Pj-.x, : puissance maximale des besoins en chauffage (= déperditions thermiques
moins les apports gratuits pour la température de base),
la loi dite des "corps de chauffe", soit T_ et Tn les températures deUq "o
départ et de retour du circuit de chauffage pour la température de base (Tq),b
la température de consigne (T ) et la température de non chauffage (T )
(chapitre 4, p. 141, 143),
le facteur d'intermittence H, qui rend compte de la durée journalière du
chauffage (Si H = 1 le chauffage est sollicité 24h sur 24).
Avec ces éléments il est immédiat de calculer :
- le débit du circuit de chauffage (équations (4.32) et (4.33), p. 151),
- les besoins quotidiens en chauffage (équations (4.3 4. a-b-c) , p. 153)» la tempé¬
rature extérieure étant connue par ailleurs.
La pompe à clialeur
Elle est caractérisée par sa puissance et son coefficient de perfor¬
mance qui varient en fonction de la température disponible à la source froide
(température en entrée d'évaporateur) et de la température nécessaire dans
le circuit de chauffage (température en sortie du condenseur).* Les puissances calorifiques et électriques utilisées sont celles
données par le constructeur (CIAT) pour des températures d'évaporateur et
de condenseur fixées ; le COP calculé à partir de ces valeurs est basé sur
170
Ci)
Ci)o.EoQ.
ti
C3
Ci)Üs:ti<?
¿
20.0
15.0
10.0
5.0
-
T - I' I 1 --
+ ^ _
-*~__
~ ~ " - -- _
~ ~ +-Î-- ~----.TEE.10«c
--- --.
* '-~-^::V-- -----.. TEE = 7°C- - * TEE.e-t: -
+-
^' ----* TEE=.2*c
llll25.0 35.0 45.0 55.0
Température en sontle condenseur [°C)
TEE = Temperature d'entrée évaporateur* = Valeurs calculées.
Figure 5-2 : Variation dz la puissance dz la pompz à clialeur[CIAT sérlz TBB n° 35) zn fonction des tempzra¬turz d ' zntrzz à l'évaporateur et de sortie ducondznszur[tracé d'après les données du constructeur [4-13]!
170
Ci)
Ci)o.EoQ.
ti
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-
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--- --.
* '-~-^::V-- -----.. TEE = 7°C- - * TEE.e-t: -
+-
^' ----* TEE=.2*c
llll25.0 35.0 45.0 55.0
Température en sontle condenseur [°C)
TEE = Temperature d'entrée évaporateur* = Valeurs calculées.
Figure 5-2 : Variation dz la puissance dz la pompz à clialeur[CIAT sérlz TBB n° 35) zn fonction des tempzra¬turz d ' zntrzz à l'évaporateur et de sortie ducondznszur[tracé d'après les données du constructeur [4-13]!
- 171
la seule puissance mécanique du groupe moto-compresseur. Supérieur au COP
global, il est cependant plus réaliste que le COP calculé par la relation
(4.14) (cf. comparaison des logiciels § 5.2.2).
* Pour les valeurs de températures de la source froide et du circuit
de distribution différentes de celles proposées par le constructeur, la puis¬
sance de la pompe à chaleur est calculée par interpolation linéaire (hypothèse
de variation linéaire en fonction des températures d'entrée à l'évaporateur
et de sortie du condenseur) (figure(5.2) ) .
Cette valeur est ensuite ajustée avec la valeur de température de
retour (T^) à respecter (fonction de la température extérieure). Après avoircalculé la puissance de la pompe à chaleur pour la température d'entrée de
l'évaporateur , c'est donc le système suivant qui est résolu par interpolation
et itération (2 ou 3 itérations suffisent en général) :
PPAC = f (T^^ , Tg^)
et 1 PPAC^'SC = 'r "" (DEB X 1,163)
avec : PPAC : puissance calorifique de la pompe à chaleur,
TeE température en entrée d'évaporateur,
Tj. : température en sortie de condenseur,
Tp : température de retour du circuit de chauffage,
DEB : débit du fluide caloporteur dans le circuit de chauffage.
* Le COP est ensuite estimé par interpolation linéaire avec les
nouvelles valeurs de puissance correspondant aux températures non standardisées.
La pompe à chaleur fonctionne en relève de chaudière à régime
nominal, en tout ou rien non regulable.
* L'appoint par la chaudière devient nécessaire quand la puissance de
la pompe à chaleur (pour Gg, T» et Tp données) est inférieure à la puissance
des besoins du jour considéré :
PPAC < P.T< ^appoint par la chaudière
- 171
la seule puissance mécanique du groupe moto-compresseur. Supérieur au COP
global, il est cependant plus réaliste que le COP calculé par la relation
(4.14) (cf. comparaison des logiciels § 5.2.2).
* Pour les valeurs de températures de la source froide et du circuit
de distribution différentes de celles proposées par le constructeur, la puis¬
sance de la pompe à chaleur est calculée par interpolation linéaire (hypothèse
de variation linéaire en fonction des températures d'entrée à l'évaporateur
et de sortie du condenseur) (figure(5.2) ) .
Cette valeur est ensuite ajustée avec la valeur de température de
retour (T^) à respecter (fonction de la température extérieure). Après avoircalculé la puissance de la pompe à chaleur pour la température d'entrée de
l'évaporateur , c'est donc le système suivant qui est résolu par interpolation
et itération (2 ou 3 itérations suffisent en général) :
PPAC = f (T^^ , Tg^)
et 1 PPAC^'SC = 'r "" (DEB X 1,163)
avec : PPAC : puissance calorifique de la pompe à chaleur,
TeE température en entrée d'évaporateur,
Tj. : température en sortie de condenseur,
Tp : température de retour du circuit de chauffage,
DEB : débit du fluide caloporteur dans le circuit de chauffage.
* Le COP est ensuite estimé par interpolation linéaire avec les
nouvelles valeurs de puissance correspondant aux températures non standardisées.
La pompe à chaleur fonctionne en relève de chaudière à régime
nominal, en tout ou rien non regulable.
* L'appoint par la chaudière devient nécessaire quand la puissance de
la pompe à chaleur (pour Gg, T» et Tp données) est inférieure à la puissance
des besoins du jour considéré :
PPAC < P.T< ^appoint par la chaudière
172
non
CliauffageInutile
non
V P/PPAC J
PAC pendantdurée. DF
PAC etdiaudlère
Clwudlère
Figure 5-3 : Schématisation du fonctionnement de la pompe à chaleur
172
non
CliauffageInutile
non
V P/PPAC J
PAC pendantdurée. DF
PAC etdiaudlère
Clwudlère
Figure 5-3 : Schématisation du fonctionnement de la pompe à chaleur
173
* Lorsque la puissance fournie par la pompe à chaleur est supérieure
aux besoins du jour considéré, la durée de son fonctionnement est pondérée
par le rapport DF :
- PPAC > Pj<z=>DF = Pj/PPAC
* Le fonctionnement "normal" de la pompe à chaleur est limité par
la température limite de rejet (sortie évaporateur) d'une part et la température
maximale du condenseur.
La première située entre deux et quatre degrés est la limite inférieure
tolérée pour la température en sortie d'évaporateur afin d'éviter les problèmes
de gel. Si ce seuil est franchi, la pompe à chaleur ne fonctionne plus et lesbesoins sont couverts par la chaudière.
Dans la réalité, des dispositifs interrompent le fonctionnement des
pompes à chaleur CIAT dès que cette limite est atteinte, leur remise en
marche implique une intervention extérieure.
Lorsque la température nécessaire dans le circuit de chauffage est
supérieure à la température maximale en sortie de condenseur donnée par le
constructeur, on considère que la pompe à chaleur fonctionne à cette limite,
le complément d'énergie étant apporté par la chaudière.
Lorsque la température nécessaire dans le circuit de chauffage est
inférieure à la température minimale en sortie de condenseur on considère
que la pompe à chaleur fonctionne à cette limite et le rapport DF défini plus
haut module son temps d'utilisation.
* La figure ( 5-3 )résume la schématisation du fonctionnement de la pompe
à chaleur dans l'installation de chauffage.
5.1.1.3 - L'environnement climatique
Lorsque la température de la source froide est constante un histo¬
gramme des températures extérieures suffit au bilan thermique de l'installa¬
tion. Dans le cas où la température de la source froide varie au cours
du temps, la courbe réelle des températures extérieures est indispensable.
173
* Lorsque la puissance fournie par la pompe à chaleur est supérieure
aux besoins du jour considéré, la durée de son fonctionnement est pondérée
par le rapport DF :
- PPAC > Pj<z=>DF = Pj/PPAC
* Le fonctionnement "normal" de la pompe à chaleur est limité par
la température limite de rejet (sortie évaporateur) d'une part et la température
maximale du condenseur.
La première située entre deux et quatre degrés est la limite inférieure
tolérée pour la température en sortie d'évaporateur afin d'éviter les problèmes
de gel. Si ce seuil est franchi, la pompe à chaleur ne fonctionne plus et lesbesoins sont couverts par la chaudière.
Dans la réalité, des dispositifs interrompent le fonctionnement des
pompes à chaleur CIAT dès que cette limite est atteinte, leur remise en
marche implique une intervention extérieure.
Lorsque la température nécessaire dans le circuit de chauffage est
supérieure à la température maximale en sortie de condenseur donnée par le
constructeur, on considère que la pompe à chaleur fonctionne à cette limite,
le complément d'énergie étant apporté par la chaudière.
Lorsque la température nécessaire dans le circuit de chauffage est
inférieure à la température minimale en sortie de condenseur on considère
que la pompe à chaleur fonctionne à cette limite et le rapport DF défini plus
haut module son temps d'utilisation.
* La figure ( 5-3 )résume la schématisation du fonctionnement de la pompe
à chaleur dans l'installation de chauffage.
5.1.1.3 - L'environnement climatique
Lorsque la température de la source froide est constante un histo¬
gramme des températures extérieures suffit au bilan thermique de l'installa¬
tion. Dans le cas où la température de la source froide varie au cours
du temps, la courbe réelle des températures extérieures est indispensable.
174 -
PARTIE SOUTERRAINE PARTIE DE SURFACEDONNEES
METEOROLOGIQUES
Z' N ^ /^ "N
tnUJ
O
Caractéristiques dede la source froide(echangeur, débit)
=>-Evolution de satempérature TGTH
Caractéristiques dela PAC : puissance et
COP en fonction deTHE et TSC
TGTH
Caractéristiquesthermiques du
bâtiment :
- PMAX- TC, TNC" Tn , Td
Températures exté¬rieures ; Tg
Températures debase 'B
PPAC
COP
f (TEE, TSC)f (TEE, TSC)
TC, TNC
PMAX
^D' "^R
Z3
CJ
iPuissance disponibleà la pompe â chaleur
(PPAC) et coefficient deperformance en fonction
de TEE = TGTH et TSC = Tr,
PPAC
Besoins (calculquotidien ou oourchaque valeur de T,
to
V5
Régime de chauffage (pompesá chaleur, chaudières)Energie consonmée (pompe âchaleur, auxiliaires,appoint)
Figure 5-4 : Relations entre les unités élémentaires
174 -
PARTIE SOUTERRAINE PARTIE DE SURFACEDONNEES
METEOROLOGIQUES
Z' N ^ /^ "N
tnUJ
O
Caractéristiques dede la source froide(echangeur, débit)
=>-Evolution de satempérature TGTH
Caractéristiques dela PAC : puissance et
COP en fonction deTHE et TSC
TGTH
Caractéristiquesthermiques du
bâtiment :
- PMAX- TC, TNC" Tn , Td
Températures exté¬rieures ; Tg
Températures debase 'B
PPAC
COP
f (TEE, TSC)f (TEE, TSC)
TC, TNC
PMAX
^D' "^R
Z3
CJ
iPuissance disponibleà la pompe â chaleur
(PPAC) et coefficient deperformance en fonction
de TEE = TGTH et TSC = Tr,
PPAC
Besoins (calculquotidien ou oourchaque valeur de T,
to
V5
Régime de chauffage (pompesá chaleur, chaudières)Energie consonmée (pompe âchaleur, auxiliaires,appoint)
Figure 5-4 : Relations entre les unités élémentaires
175
5.1.2 - Relations fonctionnelles entre les unités élémentaires
( cf. figure (5-4) )
Les données de températures et la loi des puissances (équations (4-39 a-
b-c) )conduisent aux besoins P. et aux températures du circuit de distribution
Tpj, Tp (valeurs quotidiennes ou correspondant aux températures classées de
1 'histogramme) .
Les températures de la source froide (TGTH) et du circuit de chauffage
(Tp)» Tp) permettent le calcul de la puissance (PPAC) et du COP de la pompe
à chaleur fonctionnant dans ces conditions.
La comparaison des besoins P . à la puissance fournie par la pompe
à chaleur PPAC conduit à la détermination du régime de chauffage et de la
consommation énergétique.
Cette procédure est suivie pour chaque jour ou chaque température
de l'histogramme, les résultats sont globalisés ensuite.
175
5.1.2 - Relations fonctionnelles entre les unités élémentaires
( cf. figure (5-4) )
Les données de températures et la loi des puissances (équations (4-39 a-
b-c) )conduisent aux besoins P. et aux températures du circuit de distribution
Tpj, Tp (valeurs quotidiennes ou correspondant aux températures classées de
1 'histogramme) .
Les températures de la source froide (TGTH) et du circuit de chauffage
(Tp)» Tp) permettent le calcul de la puissance (PPAC) et du COP de la pompe
à chaleur fonctionnant dans ces conditions.
La comparaison des besoins P . à la puissance fournie par la pompe
à chaleur PPAC conduit à la détermination du régime de chauffage et de la
consommation énergétique.
Cette procédure est suivie pour chaque jour ou chaque température
de l'histogramme, les résultats sont globalisés ensuite.
176 -
METEOS. S THERMS. S GEOTHS.S
TITRE Jj
donnéesmétéoro-Logiques
TITRE 1
données
thermiques
TITRE ^Tf
donnéesde La
source
TITRE
Résultatsénergéti¬ques
TITRE
Fonctionne¬ment deL'installa^tion
CARPAC.S
^r
REFPAC
donnéespompe a
chai eur
Figure 5-5 ; Mise en oeuvre des logiciels.
176 -
METEOS. S THERMS. S GEOTHS.S
TITRE Jj
donnéesmétéoro-Logiques
TITRE 1
données
thermiques
TITRE ^Tf
donnéesde La
source
TITRE
Résultatsénergéti¬ques
TITRE
Fonctionne¬ment deL'installa^tion
CARPAC.S
^r
REFPAC
donnéespompe a
chai eur
Figure 5-5 ; Mise en oeuvre des logiciels.
177 -
5.2 - MODELISATION
Dans une optique de portabilité, le modèle est réalisé sur le
micro-ordinateur Zilog. Les logiciels et leur mise en oeuvre son présentés ici,
Ils sont décrits en détail en annexe n° 5.
5.2.1 - Description_de^s_l_ogicieU
La procédure d'ensemble mise en oeuvre est la suivante : saisie des
données du projet, puis calcul du bilan énergétique à partir de celles-ci
( fiqure (5-5)).
5.2.1.1 - Les loqiciels de saisie des données
GEOTHS, CARPAC, THERMS, METEOS créent les fichiers des caractéristiques
de la source froide, de la pompe à chaleur, du bâtiment et météorologiques
utilisées pour l'étude du projet. Ces logiciels conversationnels, sont écrits
en langage FORTRAN.
De manière générale, la durée de création d'un fichier dépend de
sa taille ; aussi la possibilité de modifier ponctuellement une ou plusieurs
variables sous éditeur de texte, évitant une nouvelle saisie complète, longue et
fastidieuse est un avantage considérable du système des fichiers créés
par les logiciels de saisie.
Le logiciel METEO par son paramétrage optimal génère l'indice de
chauffage journalier lié au type d'exploitation du chauffage (continue,
discontinue, ...). Si dans les mêmes conditions météorologiques un autre type
d'exploitation est envisagé le logiciel recrée un fichier à partir de l'existant
sans saisie supplémentaire.
177 -
5.2 - MODELISATION
Dans une optique de portabilité, le modèle est réalisé sur le
micro-ordinateur Zilog. Les logiciels et leur mise en oeuvre son présentés ici,
Ils sont décrits en détail en annexe n° 5.
5.2.1 - Description_de^s_l_ogicieU
La procédure d'ensemble mise en oeuvre est la suivante : saisie des
données du projet, puis calcul du bilan énergétique à partir de celles-ci
( fiqure (5-5)).
5.2.1.1 - Les loqiciels de saisie des données
GEOTHS, CARPAC, THERMS, METEOS créent les fichiers des caractéristiques
de la source froide, de la pompe à chaleur, du bâtiment et météorologiques
utilisées pour l'étude du projet. Ces logiciels conversationnels, sont écrits
en langage FORTRAN.
De manière générale, la durée de création d'un fichier dépend de
sa taille ; aussi la possibilité de modifier ponctuellement une ou plusieurs
variables sous éditeur de texte, évitant une nouvelle saisie complète, longue et
fastidieuse est un avantage considérable du système des fichiers créés
par les logiciels de saisie.
Le logiciel METEO par son paramétrage optimal génère l'indice de
chauffage journalier lié au type d'exploitation du chauffage (continue,
discontinue, ...). Si dans les mêmes conditions météorologiques un autre type
d'exploitation est envisagé le logiciel recrée un fichier à partir de l'existant
sans saisie supplémentaire.
- 178
CLecture des données
sur les fichiers y"Cohérence " NON
es données
Appel du 80US-proçiran<ne THERM
Elobalisation ides résuitats v
du sspgmTHERJ '
(Edition et fin Ydu programne ^ \
Figure 5-6: Organigramme du
programme BILAN.
Figure 5-7: Organlgnamme du sous-
pnognamme THERM.
Calcul des tempé¬ratures du circuitle chauffage et des
besoins pour lejour considéré
OUI
Appel du10U8 prograirme
TETA
calcul de Isconsommationélectrique
Stockage desrésultats
ncrémentstionde l'indice
du jour
RETURN
NON
NON
NON
Appel du souEprogramecorreapondant
NON
Utilisation dele chaudièreuni ouenent
- 178
CLecture des données
sur les fichiers y"Cohérence " NON
es données
Appel du 80US-proçiran<ne THERM
Elobalisation ides résuitats v
du sspgmTHERJ '
(Edition et fin Ydu programne ^ \
Figure 5-6: Organigramme du
programme BILAN.
Figure 5-7: Organlgnamme du sous-
pnognamme THERM.
Calcul des tempé¬ratures du circuitle chauffage et des
besoins pour lejour considéré
OUI
Appel du10U8 prograirme
TETA
calcul de Isconsommationélectrique
Stockage desrésultats
ncrémentstionde l'indice
du jour
RETURN
NON
NON
NON
Appel du souEprogramecorreapondant
NON
Utilisation dele chaudièreuni ouenent
179
5.2.1.2 - Le logiciel de calcul ( BILAN )
Ce logiciel dont le but est le bilan énergétique de l'installation à
partir de ses caractéristiques, procède ainsi :
- il lit les données du projet dans les fichiers précédemment créés et vérifie
leur compatibilité (partie principale du programme),
- puis effectue les calculs des besoins (quotidiens ou pour chaque valeur de
température de l'histogramme) et de leur taux de couverture par la pompe
à chaleur par appel de sous-programmes (THERM, sous programme correspondant
à la source froide utilisée, TETA),
- globalise les résultats et les édite ( partie principale du programme),.
Son organigramme simplifié est présenté figure (5-6).
Le SOUS- programme THERM réalise le calcul du fonctionnement de l'ins¬
tallation globale à partir des données lues dans le programme principal
(organigramme simplifié, présenté figure (5-7)).
:(t II détermine :
- Td, Tr : température de départ et de retour du circuit de chauffage (à partirde la température extérieure et de la loi dite des "corps de chauffe")
- P : besoins en kW (à partir de la température extérieure et de la loi des
puissances) .
179
5.2.1.2 - Le logiciel de calcul ( BILAN )
Ce logiciel dont le but est le bilan énergétique de l'installation à
partir de ses caractéristiques, procède ainsi :
- il lit les données du projet dans les fichiers précédemment créés et vérifie
leur compatibilité (partie principale du programme),
- puis effectue les calculs des besoins (quotidiens ou pour chaque valeur de
température de l'histogramme) et de leur taux de couverture par la pompe
à chaleur par appel de sous-programmes (THERM, sous programme correspondant
à la source froide utilisée, TETA),
- globalise les résultats et les édite ( partie principale du programme),.
Son organigramme simplifié est présenté figure (5-6).
Le SOUS- programme THERM réalise le calcul du fonctionnement de l'ins¬
tallation globale à partir des données lues dans le programme principal
(organigramme simplifié, présenté figure (5-7)).
:(t II détermine :
- Td, Tr : température de départ et de retour du circuit de chauffage (à partirde la température extérieure et de la loi dite des "corps de chauffe")
- P : besoins en kW (à partir de la température extérieure et de la loi des
puissances) .
180
^ En fonction du paramètre IDISPO qui qualifie le dispositif
souterrain considéré par l'utilisateur, le sous-programme adéquat du calcul
de la température de la source froide (TGTH) est appelé. Cette structure
paramètre - sous-programme présente l'avantage de n'entraîner que de faibles
modifications pour l'étude éventuelle d'autres dispositifs (création d'un
nouveau sous-programme et d'une valeur d' IDISPO lui correspondant).
Le calcul de la température de la source froide dépend de ses caractéris¬
tiques (dimension.de l'échangeur...), du débit moyen fictif continu depuis le début
de la période de chauffage (QMFC = rapport du volume pompé (VPOMP) à la
durée d'utilisation de la pompe à chaleur (DUAUX) recalculé chaque jour), et
de la puissance exploitée la veille par la pompe à chaleur.
La diminution du débit moyen fictif continu à la suite de périodes
de non exploitation du dispositif CORAIL (vacances ou arrêt de la pompe à chaleur)
provoque une légère augmentation de la température en sortie de l'échangeur
CORAIL.
i^ Muni des valeurs de TGTH, Td, Tr, le sous-prognamme TETA détermine :
- le fonctionnement de la pompe à chaleur (puissance PPAC et coefficient
de performance COP) d'après les données du constructeur,
- la puissance prélevée à la source froide (PESF),
- la température en sortie de condenseur (TCOND),
- la température en sortie d'évaporateur (TREJET).
* Le sous- programme THERM peut alors déterminer :
- l'écart de température moyen exploité par la pompe à chaleur depuis le
début de la saison de chauffage (DELIAT = puissance moyenne journalière
fournie par le dispositif CORAIL/( débit réel du fluide caloporteur dans le
dispositif CORAIL multiplié par la capacité calorifique du fluide)) ;
- le régime du chauffage (pompe à chaleur seule ou avec appoint) ;
- l'énergie consommée par la pompe à chaleur (W = PPAC/COP) et par les
auxiliaires.
180
^ En fonction du paramètre IDISPO qui qualifie le dispositif
souterrain considéré par l'utilisateur, le sous-programme adéquat du calcul
de la température de la source froide (TGTH) est appelé. Cette structure
paramètre - sous-programme présente l'avantage de n'entraîner que de faibles
modifications pour l'étude éventuelle d'autres dispositifs (création d'un
nouveau sous-programme et d'une valeur d' IDISPO lui correspondant).
Le calcul de la température de la source froide dépend de ses caractéris¬
tiques (dimension.de l'échangeur...), du débit moyen fictif continu depuis le début
de la période de chauffage (QMFC = rapport du volume pompé (VPOMP) à la
durée d'utilisation de la pompe à chaleur (DUAUX) recalculé chaque jour), et
de la puissance exploitée la veille par la pompe à chaleur.
La diminution du débit moyen fictif continu à la suite de périodes
de non exploitation du dispositif CORAIL (vacances ou arrêt de la pompe à chaleur)
provoque une légère augmentation de la température en sortie de l'échangeur
CORAIL.
i^ Muni des valeurs de TGTH, Td, Tr, le sous-prognamme TETA détermine :
- le fonctionnement de la pompe à chaleur (puissance PPAC et coefficient
de performance COP) d'après les données du constructeur,
- la puissance prélevée à la source froide (PESF),
- la température en sortie de condenseur (TCOND),
- la température en sortie d'évaporateur (TREJET).
* Le sous- programme THERM peut alors déterminer :
- l'écart de température moyen exploité par la pompe à chaleur depuis le
début de la saison de chauffage (DELIAT = puissance moyenne journalière
fournie par le dispositif CORAIL/( débit réel du fluide caloporteur dans le
dispositif CORAIL multiplié par la capacité calorifique du fluide)) ;
- le régime du chauffage (pompe à chaleur seule ou avec appoint) ;
- l'énergie consommée par la pompe à chaleur (W = PPAC/COP) et par les
auxiliaires.
181
Résultats globaux
Le logiciel aboutit aux résultats suivants :
- l'énergie utile totale pour le chauffage (en MWh),
- l'énergie utile d'appoint (en MWh),
- l'énergie prélevée par l'échangeur (en MWh),
- l'énergie fournie par la pompe à chaleur (en MWh),
- la consommation électrique de la pompe à chaleur et des auxiliaires (en MWh),
- le coefficient de performance moyen annuel (avec et sans les auxiliaires),
- le volume pompé (en m'),
- la température moyenne de rejet (en °C),
- le taux de couverture des besoins par la pompe à chaleur (en %) ,
- le nombre de tep* déplacées qui quantifie la substitution des formes d'éner¬
gies, et le nombre de tep économisées qui correspond aux économies réalisées
par rapport à l'ancien système de chauffage. Ces nombres rendent respecti¬
vement compte du double intérêt du dispositif : indépendance énergétique et
économie d'énergie.
Ces résultats permettent de comparer énergétiquement et financièrement
différentes installations.
5.2.2 - Validation du ioq^iciel de calcul
Pour pouvoir vérifier les résultats par un calcul rapide, le logiciel
de calcul a été utilisé dans un cas simple.
Par ailleurs, les résultats du logiciel BILAN et des logiciels PERCHE
[5-I] et BTPAC [5-2] sont comparés afin d'étudier leur cohérence respective.
* tep = tonne-équivalent-pétrole égale à 10 000 thermies de combustible(quelqu'il soit) calculé sur la base de son pouvoir calorifique inférieur,ou 4000 kWh électriques.
181
Résultats globaux
Le logiciel aboutit aux résultats suivants :
- l'énergie utile totale pour le chauffage (en MWh),
- l'énergie utile d'appoint (en MWh),
- l'énergie prélevée par l'échangeur (en MWh),
- l'énergie fournie par la pompe à chaleur (en MWh),
- la consommation électrique de la pompe à chaleur et des auxiliaires (en MWh),
- le coefficient de performance moyen annuel (avec et sans les auxiliaires),
- le volume pompé (en m'),
- la température moyenne de rejet (en °C),
- le taux de couverture des besoins par la pompe à chaleur (en %) ,
- le nombre de tep* déplacées qui quantifie la substitution des formes d'éner¬
gies, et le nombre de tep économisées qui correspond aux économies réalisées
par rapport à l'ancien système de chauffage. Ces nombres rendent respecti¬
vement compte du double intérêt du dispositif : indépendance énergétique et
économie d'énergie.
Ces résultats permettent de comparer énergétiquement et financièrement
différentes installations.
5.2.2 - Validation du ioq^iciel de calcul
Pour pouvoir vérifier les résultats par un calcul rapide, le logiciel
de calcul a été utilisé dans un cas simple.
Par ailleurs, les résultats du logiciel BILAN et des logiciels PERCHE
[5-I] et BTPAC [5-2] sont comparés afin d'étudier leur cohérence respective.
* tep = tonne-équivalent-pétrole égale à 10 000 thermies de combustible(quelqu'il soit) calculé sur la base de son pouvoir calorifique inférieur,ou 4000 kWh électriques.
Tableau 5- 8- a
- Iñ2
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE DASE
TEMPERATURE DE CONSIGNE
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE <M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/. ÜC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUST 1 UN (X)
TEMP. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
TEMPERATURE DE SOURCE FROIDE <C.C)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2. 00
19. 00
16. 00
70. 00
55. 00
37. 00
2. 12
2055. 56
1. 00
FOD
74. 00
55. 00
2. 00
3. 10
ll. 00
10. 00
PPACCST
Tableau 5-8-b
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE <PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
CDP MOVEN ANNUEL<SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME PCIMPE
TEMPERATURE MUYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
31. 91 MWH UTILES
20. 05 MWH UTILES
2 72C0MBU3 REF,
61. 54 MWH UTILES
15. 38 MWH UTILES
. 56 MWH UTILES
lb. 95 MWH UTILES
110. 6& MWH
9, 5i TEP
11. 12 M3 DE FOD
13. 60 KW
4, 00
3. 86
14100. 22 M3
8. 17 OC
46, 39 MWH
75, 13 7.
7. 15
3, 16
4, 46 TH/KWH
Tableau 5-8 : Validation du logiciel BILAN dans un cas simple- a : canactéris tiques du projet envisagé- b : bilan énzrgétlquz du projzt znvlsagé.
Tableau 5- 8- a
- Iñ2
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE DASE
TEMPERATURE DE CONSIGNE
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE <M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/. ÜC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUST 1 UN (X)
TEMP. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
TEMPERATURE DE SOURCE FROIDE <C.C)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2. 00
19. 00
16. 00
70. 00
55. 00
37. 00
2. 12
2055. 56
1. 00
FOD
74. 00
55. 00
2. 00
3. 10
ll. 00
10. 00
PPACCST
Tableau 5-8-b
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE <PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
CDP MOVEN ANNUEL<SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME PCIMPE
TEMPERATURE MUYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
31. 91 MWH UTILES
20. 05 MWH UTILES
2 72C0MBU3 REF,
61. 54 MWH UTILES
15. 38 MWH UTILES
. 56 MWH UTILES
lb. 95 MWH UTILES
110. 6& MWH
9, 5i TEP
11. 12 M3 DE FOD
13. 60 KW
4, 00
3. 86
14100. 22 M3
8. 17 OC
46, 39 MWH
75, 13 7.
7. 15
3, 16
4, 46 TH/KWH
Tableau 5-8 : Validation du logiciel BILAN dans un cas simple- a : canactéris tiques du projet envisagé- b : bilan énzrgétlquz du projzt znvlsagé.
183 -
5.2.2.1 - Comparaison des résultats du loqiciel proposé avec ceux
trouvés par une étude rapide avec la courbe monotone
des températures
Dans le cas de l'utilisation d'une pompe à chaleur de puissance et
de COP constants exploitant une source froide de température constante, pour
chauffer en continu un bâtiment, les résultats du logiciel sont contrôlables
par un calcul rapide basé sur la courbe monotone et les degrés-jours.
Pour l'installation envisagée dont les caractéristigues sont résumées
dans le tableau (5-8-a) les besoins s'élèvent à :
C = 24 X TY^^-N X DJ (éq.(4.22), p.l43et éq. (4.26), p. 147))^ ne" B'^
C = 81 893 kWh utiles,
- la courbe monotone indique un taux de couverture de 78 % pour une
pompe à chaleur de puissance égale à 13,6 kW (figure (4-18) ,p. 158).
Le bilan énergétique calculé par le logiciel exposé précédemment
(tableau(5-B-b) ) donne les résultats suivants :
- 81,91 MWh utiles pour les besoins ,
- 75,13 % de taux de couverture pour une PAC de puissance de 13,6 kW.
Les écarts observés de 0,02 % sur les besoins et de l'ordre de
3,7 % sur les taux de couverture sont faibles, ils confirment la validité
des résultats du logiciel de calcul.
5.2.2.2 - Comparaison des loqiciels PERCHE, BTPAC, BILAN
La mise en oeuvre des programmes PERCHE et BTPAC (adaptés à nos
fichiers) et du programme BILAN décrit ici, pour une installation de pompe à
chaleur exploitant une source froide à température constante (seul cas envi¬
sageable par PERCHE et BTPAC), a permis cette comparaison.
183 -
5.2.2.1 - Comparaison des résultats du loqiciel proposé avec ceux
trouvés par une étude rapide avec la courbe monotone
des températures
Dans le cas de l'utilisation d'une pompe à chaleur de puissance et
de COP constants exploitant une source froide de température constante, pour
chauffer en continu un bâtiment, les résultats du logiciel sont contrôlables
par un calcul rapide basé sur la courbe monotone et les degrés-jours.
Pour l'installation envisagée dont les caractéristigues sont résumées
dans le tableau (5-8-a) les besoins s'élèvent à :
C = 24 X TY^^-N X DJ (éq.(4.22), p.l43et éq. (4.26), p. 147))^ ne" B'^
C = 81 893 kWh utiles,
- la courbe monotone indique un taux de couverture de 78 % pour une
pompe à chaleur de puissance égale à 13,6 kW (figure (4-18) ,p. 158).
Le bilan énergétique calculé par le logiciel exposé précédemment
(tableau(5-B-b) ) donne les résultats suivants :
- 81,91 MWh utiles pour les besoins ,
- 75,13 % de taux de couverture pour une PAC de puissance de 13,6 kW.
Les écarts observés de 0,02 % sur les besoins et de l'ordre de
3,7 % sur les taux de couverture sont faibles, ils confirment la validité
des résultats du logiciel de calcul.
5.2.2.2 - Comparaison des loqiciels PERCHE, BTPAC, BILAN
La mise en oeuvre des programmes PERCHE et BTPAC (adaptés à nos
fichiers) et du programme BILAN décrit ici, pour une installation de pompe à
chaleur exploitant une source froide à température constante (seul cas envi¬
sageable par PERCHE et BTPAC), a permis cette comparaison.
Tableau 5-9 : Comparaison des logiciels BILAN,BTPAC,PERCHE
a - caractéristiques du projet
b - bilan énergétique du projet
Tableau 5-9 : Comparaison des logiciels BILAN,BTPAC,PERCHE
a - caractéristiques du projet
b - bilan énergétique du projet
/ LogicJ.el BILAN 2 'L-oglclel BTPAC
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TtMPfcIsATURË Lib BAit:
TEMPERATURE DE L-ONS.lONt
TEMPERATURE DE NON CHAUf-pALifc
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE Ut. LHAUFHAGE < KW >
DEBIT DU CIRCUÍ r PRIMAIRE <n3./H)
COEFFICIENT &V (WATT/ UC)
FACTEUR DE REDUCTION DE RtülME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION ( >. )
TEMP, MAXI DE SORTIE DU CÚNDENÍ.EUR
TEMPERATURE DU FORAGE
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (f\3/H)
HAUTEUR MANOMETRIOUE TOTALE (MCE)
NOMBRE DE FORAGE (S)
19. 00
16, I.II.1
70 00
55, 1.11.1
j7. 00
2, 12
2055, St.
1, 01.I
FOD
74 ùti
55. 00
11, 00
2, 00
3, 10
10, Ou
1
tableau 5-9-a-1
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
KKX3KSSMSMSKXSSSSXBS«SSSaiMS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE !
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUELiSANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICICNT DB SUBSTITUTION :
81.91
20.06
MWH UTILES
MWH UTILES
2.72COMBUS REF.
61.85
15.93
.57
16.49
110.68
9.52
11.12
14.47
3.88
3.75
14187.53
8.19
45.92
75.51
7,19
3.06
4.36
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
Tableau 5-9- a- 2
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
=r:£:=:--=^=- = :r = :: :: :: -:: =:: =, = = =: :^:: :=a:
TEMPERmIURE Dt. BrtbE
TEMPERATURE DE CONSIONE
TEMPERATURE DE NON CHAUFFHLjfc
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE DE LHAUf^l- AôE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3.'H)
COEFFICIENT OV (WATT/.LiC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION O. )
TEMP, MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR
TEMPERATURE DU FORAGE
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIÛUE TOTALE (MCE)
NOMBRE DE FORAGE (S)
-2, OO
19 Oo
16, OO
VO 00
55 1.10
J7, 00
2, 12
¿055, 5e.
i, 1.11.»
FOD
74 Oi.i
55. ÙO
11. OO
2. 00
3. lo
10. 00
i
iL^tau 5-9-b-I
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE TAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDKNSKUlt
COP MOYKN ANNUKl, (:;ANS AMXILIAinKS)
COP MOYKN ANNUKL(AVRC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE HEJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DK SUBSTITUTION
81.91 MWH UTILES
20.06 MWH UTILES
61.85
15.93
.57
16.49
11J.68
9.52
11.12
11.47
3.88
3.75
14187.53
8.22
45.92
75.51
7.19
3.06
4.36
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
T *£eat'. 5-9-b-?
Tableau 5-9 ; Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHEa - caractéristiques du projetb - bilan énergétique du projet
3 Lfl¿icle(:
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
m » ««««»««*»««««
TEMPERATURE DE BASE :
TEMPERATURE DE CONSIGNE :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE :
TEMPERATURE DE DEPART :
TEMPERATURE DE RETOUR :
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/. OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COMBUSTION (») :
TEMP. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR :
TEMPERATURE DU FORAGE :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE) :
NOMBRE DE FORAGE (S) :
PERCHE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
37.00
2.12
2055.56
1.00
FOD
74.00
70.00
11.00
2.00
3.10
10.00
1
Tableau 5-9- c-1
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRECITE DES AUXILIAIRES
ELECTRECITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE TIIEIIMIQUK DU CONDENUEUR
COP MOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES)
CÜP MOYKN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MÜYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
81.91
0.00
81.91
22.01
.63
22.64
110.68
9.52
11.12
35.67
3.72
1.62
15772.80
7.73
59.90
100.00
9.52
3.86
4. 20
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
Tableau 5-9- c- 2
/ LogicJ.el BILAN 2 'L-oglclel BTPAC
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TtMPfcIsATURË Lib BAit:
TEMPERATURE DE L-ONS.lONt
TEMPERATURE DE NON CHAUf-pALifc
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE Ut. LHAUFHAGE < KW >
DEBIT DU CIRCUÍ r PRIMAIRE <n3./H)
COEFFICIENT &V (WATT/ UC)
FACTEUR DE REDUCTION DE RtülME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION ( >. )
TEMP, MAXI DE SORTIE DU CÚNDENÍ.EUR
TEMPERATURE DU FORAGE
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (f\3/H)
HAUTEUR MANOMETRIOUE TOTALE (MCE)
NOMBRE DE FORAGE (S)
19. 00
16, I.II.1
70 00
55, 1.11.1
j7. 00
2, 12
2055, St.
1, 01.I
FOD
74 ùti
55. 00
11, 00
2, 00
3, 10
10, Ou
1
tableau 5-9-a-1
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
KKX3KSSMSMSKXSSSSXBS«SSSaiMS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE !
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUELiSANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICICNT DB SUBSTITUTION :
81.91
20.06
MWH UTILES
MWH UTILES
2.72COMBUS REF.
61.85
15.93
.57
16.49
110.68
9.52
11.12
14.47
3.88
3.75
14187.53
8.19
45.92
75.51
7,19
3.06
4.36
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
Tableau 5-9- a- 2
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
=r:£:=:--=^=- = :r = :: :: :: -:: =:: =, = = =: :^:: :=a:
TEMPERmIURE Dt. BrtbE
TEMPERATURE DE CONSIONE
TEMPERATURE DE NON CHAUFFHLjfc
TEMPERATURE DE DEPART
TEMPERATURE DE RETOUR
PUISSANCE MAXIMALE DE LHAUf^l- AôE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3.'H)
COEFFICIENT OV (WATT/.LiC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION O. )
TEMP, MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR
TEMPERATURE DU FORAGE
TEMPERATURE LIMITE DE REJET
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIÛUE TOTALE (MCE)
NOMBRE DE FORAGE (S)
-2, OO
19 Oo
16, OO
VO 00
55 1.10
J7, 00
2, 12
¿055, 5e.
i, 1.11.»
FOD
74 Oi.i
55. ÙO
11. OO
2. 00
3. lo
10. 00
i
iL^tau 5-9-b-I
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE TAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDKNSKUlt
COP MOYKN ANNUKl, (:;ANS AMXILIAinKS)
COP MOYKN ANNUKL(AVRC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE HEJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DK SUBSTITUTION
81.91 MWH UTILES
20.06 MWH UTILES
61.85
15.93
.57
16.49
11J.68
9.52
11.12
11.47
3.88
3.75
14187.53
8.22
45.92
75.51
7.19
3.06
4.36
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
T *£eat'. 5-9-b-?
Tableau 5-9 ; Comparaison des logiciels BILAN, BTPAC, PERCHEa - caractéristiques du projetb - bilan énergétique du projet
3 Lfl¿icle(:
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
m » ««««»««*»««««
TEMPERATURE DE BASE :
TEMPERATURE DE CONSIGNE :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE :
TEMPERATURE DE DEPART :
TEMPERATURE DE RETOUR :
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/. OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COMBUSTION (») :
TEMP. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR :
TEMPERATURE DU FORAGE :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE) :
NOMBRE DE FORAGE (S) :
PERCHE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
37.00
2.12
2055.56
1.00
FOD
74.00
70.00
11.00
2.00
3.10
10.00
1
Tableau 5-9- c-1
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRECITE DES AUXILIAIRES
ELECTRECITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE TIIEIIMIQUK DU CONDENUEUR
COP MOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES)
CÜP MOYKN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MÜYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
81.91
0.00
81.91
22.01
.63
22.64
110.68
9.52
11.12
35.67
3.72
1.62
15772.80
7.73
59.90
100.00
9.52
3.86
4. 20
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
Tableau 5-9- c- 2
Figure 5-10 : Comparaison des logiciels : BILAN,BTPAC, PERCHE
70.
50.
50. h-
Ci)-c
'S? 40.
<.§^30.
ts sO-I20,
::! I 1 1 I ! \ 1 I I I I iT-
T [ =température départ)
L
J
[=température retourQ^..^ ^- temperatura
en sortie du -\condenseur'.
1-
10.
_L J I L J I I L J 1 L 1
-2.-1. 0. 1. 2. 3. 4. 5. B. 7. 8. 9. 10.11.12.13.14.15.16.17.18.19.20.
Température extérieure (°C)
Figure 5-10-a ; Evolution des températures du circuit dediauffage en fonction de la températureextérlzurz.
^^- ] I \ \ ! I I 1 I \ I i I I I 1 r 1 \ r
H
._ iournle ipan la PAC )
^ 12. r ' ': ,, '^^^.f, y^ñ Pn .sourcL froide) ^i p£5F f = puASSance . prej:.e.v^<i- --^ I
-2.-1. 0. 1. 2. 2. 4. 5. 6. 7. 3. 9. 10.11.12.13.14.15.16.17.13.19.22.
Température extérlzurz (°C)
Flgurz 5-1 û-b Evolution des bzsolns dz la puissance fourniepar la pompe à clialeur [ PPAC ) , et de celleprélevée à la source froide (PESF) en fonctionde la température exténleure.
1 : Logiciel BILAN
Figure 5-10 : Comparaison des logiciels : BILAN,BTPAC, PERCHE
70.
50.
50. h-
Ci)-c
'S? 40.
<.§^30.
ts sO-I20,
::! I 1 1 I ! \ 1 I I I I iT-
T [ =température départ)
L
J
[=température retourQ^..^ ^- temperatura
en sortie du -\condenseur'.
1-
10.
_L J I L J I I L J 1 L 1
-2.-1. 0. 1. 2. 3. 4. 5. B. 7. 8. 9. 10.11.12.13.14.15.16.17.18.19.20.
Température extérieure (°C)
Figure 5-10-a ; Evolution des températures du circuit dediauffage en fonction de la températureextérlzurz.
^^- ] I \ \ ! I I 1 I \ I i I I I 1 r 1 \ r
H
._ iournle ipan la PAC )
^ 12. r ' ': ,, '^^^.f, y^ñ Pn .sourcL froide) ^i p£5F f = puASSance . prej:.e.v^<i- --^ I
-2.-1. 0. 1. 2. 2. 4. 5. 6. 7. 3. 9. 10.11.12.13.14.15.16.17.13.19.22.
Température extérlzurz (°C)
Flgurz 5-1 û-b Evolution des bzsolns dz la puissance fourniepar la pompe à clialeur [ PPAC ) , et de celleprélevée à la source froide (PESF) en fonctionde la température exténleure.
1 : Logiciel BILAN
Voir calquedans document
papier
Voir calquedans document
papier
figure 5-10 : Compara-tson des logiciels : BILAN,BTPAC, PERCHE
fl.
i si»
'^ ^ AA
<i c'üw'Z ver
^ ,
^'ijT IT*!" 1 r 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 I 0 II
(=íc,'r!pá'T.aíuA£ -teío7^?Sii^^^^fc^ - , ^ - ^
^^**^^^^^ condenseur
':
k^% Sk U a» )k 4» S. a; 7. H 8. lB,lU12.l3.lA.l5.l8.l7Ae.iaja,
Température extérieure i °C )
F-LQure 5-10-a ; Evolution des températures du coicu^t dechauffage en fonction de la températureextérieure.
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Température extérieure Í°C!
'Lgure 5-1 Q-b Evolution des besoins de la puissance /^ou-rn-tepar la pompe à clialeur i'PPAC), et de celleprélevée à la sourcz froide iPESf' en konctA.onde la température extérLCure.
1 : Logiciel BILAN
1 : Loalclei BTPAC
3 : Logiciel PERCHE
figure 5-10 : Compara-tson des logiciels : BILAN,BTPAC, PERCHE
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Température extérieure Í°C!
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1 : Logiciel BILAN
1 : Loalclei BTPAC
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1 : Logiciel BTPAC
3 : Logiciel PERCHE
7§.
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1 : Logiciel BTPAC
3 : Logiciel PERCHE
187
Les caractéristiques de l'installation consiciérée sont présentées dans
les tableaux (5-9-a-l) , (5-9-a-2), (5-9-a-3) correspondant respectivement aux
trois logiciels.
La valeur de 11°C retenue pour la température de la source froide
correspond à la moyenne des valeurs courantes des aquifères superficiels
(10 à 12°C).
Les logiciels BTPAC et BILAN, prenant en compte les caractéristiques
de la pompe à chaleur conduisent aux mêmes résultats (tableaux (5-9-b-i:) et (5-9-b )).
Le léger écart (0,4 %) entre les valeurs des températures moyennes
de rejet obtenues par le logiciel BTPAC et le logiciel BILAN provient des
arrondis lors de calculs différents.
Le logiciel BTPAC calcule la valeur moyenne de. la température
de rejet à partir des résultats globaux (énergie prélevée sur la nappe ou
le sous-sol et du volume pompé). Le logiciel BILAN fait la moyenne des tempé¬
ratures de rejet calculées chaque jour, ce qui est nécessaire pour une instal¬
lation avec un dispositif CORAIL dont la température évolue au cours de la f!PÍ«?on.
Le logiciel PERCHE caractérisant la pompe à chaleur par la formule
(4.14) aboutit à des résultats nettement plus optimistes (taux de couverture
des besoins de 100 %) (tableau (5-9-b-3)) . Par ailleurs, les figures (5-10-a(l,2,3) )
(évolution des températures dans le circuit de chauffage en fonction de la
température extérieure) et (3-10-b(l,2,3)) (évolution des besoins en chauffageen fonction de la température extérieure) montrent que pour les trois logiciels :
- les températures de départ et de retour du circuit de chauffage sont
identiques,
- les besoins sont égaux.
L'observation simultanée de ces figures (5-10-a et 5-10-b) pour
chaque logiciel montre la cohérence des résultats :
- d'après BTPAC et BILAN la pompe à chaleur peut couvrir la totalité des
besoins dès que la température est égale ou supérieure à 9,3°C (figures (5-10-b(l,2) ) ,
simultanément (figures (5-10-a(l,2) ) la température en sortie de condenseur
devient supérieure à celle requise en départ du circuit de chauffage ;
187
Les caractéristiques de l'installation consiciérée sont présentées dans
les tableaux (5-9-a-l) , (5-9-a-2), (5-9-a-3) correspondant respectivement aux
trois logiciels.
La valeur de 11°C retenue pour la température de la source froide
correspond à la moyenne des valeurs courantes des aquifères superficiels
(10 à 12°C).
Les logiciels BTPAC et BILAN, prenant en compte les caractéristiques
de la pompe à chaleur conduisent aux mêmes résultats (tableaux (5-9-b-i:) et (5-9-b )).
Le léger écart (0,4 %) entre les valeurs des températures moyennes
de rejet obtenues par le logiciel BTPAC et le logiciel BILAN provient des
arrondis lors de calculs différents.
Le logiciel BTPAC calcule la valeur moyenne de. la température
de rejet à partir des résultats globaux (énergie prélevée sur la nappe ou
le sous-sol et du volume pompé). Le logiciel BILAN fait la moyenne des tempé¬
ratures de rejet calculées chaque jour, ce qui est nécessaire pour une instal¬
lation avec un dispositif CORAIL dont la température évolue au cours de la f!PÍ«?on.
Le logiciel PERCHE caractérisant la pompe à chaleur par la formule
(4.14) aboutit à des résultats nettement plus optimistes (taux de couverture
des besoins de 100 %) (tableau (5-9-b-3)) . Par ailleurs, les figures (5-10-a(l,2,3) )
(évolution des températures dans le circuit de chauffage en fonction de la
température extérieure) et (3-10-b(l,2,3)) (évolution des besoins en chauffageen fonction de la température extérieure) montrent que pour les trois logiciels :
- les températures de départ et de retour du circuit de chauffage sont
identiques,
- les besoins sont égaux.
L'observation simultanée de ces figures (5-10-a et 5-10-b) pour
chaque logiciel montre la cohérence des résultats :
- d'après BTPAC et BILAN la pompe à chaleur peut couvrir la totalité des
besoins dès que la température est égale ou supérieure à 9,3°C (figures (5-10-b(l,2) ) ,
simultanément (figures (5-10-a(l,2) ) la température en sortie de condenseur
devient supérieure à celle requise en départ du circuit de chauffage ;
- 188 -
1^10 J5-;; 15-12 15-1 15-2 15-3 15-4 Í5-5 tfafr- í<ori/i. nrUA)
FJQuKZ 5- 1 1 : Bitan ineAgitiquz dz ¿' ¿mtatlatton globcJ.z"dz KzfiiLZncz" : données méXzoïologiquziuttLiizzi.
riCHItll Dti CABACTCRISTIOUES
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nCHIL'H UONNCES CEOTHCRnlQUES (CORAIL)
CORA I L
21 IJ 84
DEBIT OE LA SOURCE PHOIDE <n)/H)
(CIRCULATION DS DISPOSITIF CORAIL) : 1.1
TEMPERATURE LlnlTE DE REJET (OC) 2.1
HAUTEUR IIANOHETRIOUE TOTALE (H) lé.i
TEMPERATURE EN SURPACE (Z>«H) (OC) : 12. <
KART OE T. CXPLOITC PAR COIUIL(OC|l 2.4
PROPONOEUR DU poRACE (H) t laj.aa
GRADIENT CEOTHCRHIQUE (OC/H) l .a2
CONO. THERMIOUE DE LA ROCHE (H/H/K)l 3.24
CAPACITE CALORiPiouE ROCHE (J/H3/K): 22aaaaa.a(
CAPACITE CALORiriQUE CAu (J/H3/IC) : 4iaaaa4.a«
RAYON ou FORACE (H) t .1*
MOHMC DE rORACECS) CORAIL l 1
Tabteai5-15 : Bilan êrtAgitiefii di ViMAallaXJm.gttíbaiz de. AêÂémnci -. Uchien. dzi canactí.-KUtÁDueJk dzt'éómaewi COML ICÛRAIC)
Tableau 5-12 : Bilan inuigbtÁífie. de. l'dni-XaJUaUon gtobale. dz Áffinsrce. .- ^ùjvlde¿ ca/iaauüUitüfxu de.tapampiàdxOsuK (CIAT TBB n* 65)
riCHICR DES
CORAIL
21 la S4
TCMPCRATURE
TENPCIUTURE
TCHPEHATUIIE
TCMPERATURE
TCHPCIUTURE
OONNCeS TBERHIOUeS
DE CONSIGNE
DE BASE
DE NON CHAUFFAGE
OE DEPART PAR .2.*
DE RETOUR PAR .2.a
PUISSANCE MAXIMALE (KW)
FACTEUR DE REDUCTICH DE RCCIHS
COMBUSTIBLE OE RBFERENCE
POUVOIR CALORIPIOUE INFCRICUR
RtNOEMEHT DU SYSTEME OE CHAUrFACE
TEHpeRATURE MAXI OU CONDENSEUR
19. aa
-2.aa
ic.aa
7(.aa
5S. aa
47. aa
a. sa
FOO
99 sa. ta
.sa
ss.a*
Tabgeaa 5-M : Bilan én&igétù^ de. ViïibtoUaXion.ojtikoJiJL de. néiknsjKe. : iichien. de¿ canactérnlitùfje/, di otAoùt dz évuifpgi {QORMU
- 188 -
1^10 J5-;; 15-12 15-1 15-2 15-3 15-4 Í5-5 tfafr- í<ori/i. nrUA)
FJQuKZ 5- 1 1 : Bitan ineAgitiquz dz ¿' ¿mtatlatton globcJ.z"dz KzfiiLZncz" : données méXzoïologiquziuttLiizzi.
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nCHIL'H UONNCES CEOTHCRnlQUES (CORAIL)
CORA I L
21 IJ 84
DEBIT OE LA SOURCE PHOIDE <n)/H)
(CIRCULATION DS DISPOSITIF CORAIL) : 1.1
TEMPERATURE LlnlTE DE REJET (OC) 2.1
HAUTEUR IIANOHETRIOUE TOTALE (H) lé.i
TEMPERATURE EN SURPACE (Z>«H) (OC) : 12. <
KART OE T. CXPLOITC PAR COIUIL(OC|l 2.4
PROPONOEUR DU poRACE (H) t laj.aa
GRADIENT CEOTHCRHIQUE (OC/H) l .a2
CONO. THERMIOUE DE LA ROCHE (H/H/K)l 3.24
CAPACITE CALORiPiouE ROCHE (J/H3/K): 22aaaaa.a(
CAPACITE CALORiriQUE CAu (J/H3/IC) : 4iaaaa4.a«
RAYON ou FORACE (H) t .1*
MOHMC DE rORACECS) CORAIL l 1
Tabteai5-15 : Bilan êrtAgitiefii di ViMAallaXJm.gttíbaiz de. AêÂémnci -. Uchien. dzi canactí.-KUtÁDueJk dzt'éómaewi COML ICÛRAIC)
Tableau 5-12 : Bilan inuigbtÁífie. de. l'dni-XaJUaUon gtobale. dz Áffinsrce. .- ^ùjvlde¿ ca/iaauüUitüfxu de.tapampiàdxOsuK (CIAT TBB n* 65)
riCHICR DES
CORAIL
21 la S4
TCMPCRATURE
TENPCIUTURE
TCHPEHATUIIE
TCMPERATURE
TCHPCIUTURE
OONNCeS TBERHIOUeS
DE CONSIGNE
DE BASE
DE NON CHAUFFAGE
OE DEPART PAR .2.*
DE RETOUR PAR .2.a
PUISSANCE MAXIMALE (KW)
FACTEUR DE REDUCTICH DE RCCIHS
COMBUSTIBLE OE RBFERENCE
POUVOIR CALORIPIOUE INFCRICUR
RtNOEMEHT DU SYSTEME OE CHAUrFACE
TEHpeRATURE MAXI OU CONDENSEUR
19. aa
-2.aa
ic.aa
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5S. aa
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FOO
99 sa. ta
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Tabgeaa 5-M : Bilan én&igétù^ de. ViïibtoUaXion.ojtikoJiJL de. néiknsjKe. : iichien. de¿ canactérnlitùfje/, di otAoùt dz évuifpgi {QORMU
- 189
- d'après PERCHE la pompe à chaleur couvre toujours les besoins et
la température du condenseur (TCOND) est égale à la température nécessaire
en départ de circuit de chauffage (Tq).
5.3 - SIMULATION DE REFERENCE
Elle correspond à l'installation projetée à l'école maternelle du
RUSQUET (Lannion) avec l'échangeur CORAIL de "référence" défini au chapitre 3
(§ 3.3.1, p. 103)..
5.3.1 - Données utilisées
Les données météorologiques sont celles de Brest (du 15 octobre
1982 au 15 mai 1983 - fioure (5-11).
Les données sur la pompe à clialeur : sont celles de la pompe à
chaleur type TBB n° 35 de marque CIAT (tableau (5-12),fichier CIAT TBB n° 35).
La partie souterraine est constituée par un dispositif CORAIL
exploité de façon discontinue, la température en sortie d'échangeur étant
la moyenne des extremums (équation 5-02) ; les caractéristiques de cet
echangeur sont présentées tableau (5-13) ( fichier CORAIC).
Le diauffage est caractérisé par les températures du circuit de
distribution, sa puissance maximale, son rendement, le facteur H (tableau (5-14),
fichier CORAIl). Du fait de l'intermittence du chauffage et de l'inertie du
bâtiment on est obligé de tenir compte soit :
- d'une puissance maximale plus élevée,
- d'un fonctionnement pendant plus de 12 heures (H > 0,5) pour
arriver à des besoins correspondants à la réalité.
0)ucmtnin
3G.
PMAX
PMAX
\:Besoins pour 1 chauffagefonctionnant pendant 12heures(H = 0,5) à PMAX,
B: Besoins pour 1 chauffagefonctionnant à PMAX pen¬dant plus de 12h (H > 0,5)
B
Temps
- 189
- d'après PERCHE la pompe à chaleur couvre toujours les besoins et
la température du condenseur (TCOND) est égale à la température nécessaire
en départ de circuit de chauffage (Tq).
5.3 - SIMULATION DE REFERENCE
Elle correspond à l'installation projetée à l'école maternelle du
RUSQUET (Lannion) avec l'échangeur CORAIL de "référence" défini au chapitre 3
(§ 3.3.1, p. 103)..
5.3.1 - Données utilisées
Les données météorologiques sont celles de Brest (du 15 octobre
1982 au 15 mai 1983 - fioure (5-11).
Les données sur la pompe à clialeur : sont celles de la pompe à
chaleur type TBB n° 35 de marque CIAT (tableau (5-12),fichier CIAT TBB n° 35).
La partie souterraine est constituée par un dispositif CORAIL
exploité de façon discontinue, la température en sortie d'échangeur étant
la moyenne des extremums (équation 5-02) ; les caractéristiques de cet
echangeur sont présentées tableau (5-13) ( fichier CORAIC).
Le diauffage est caractérisé par les températures du circuit de
distribution, sa puissance maximale, son rendement, le facteur H (tableau (5-14),
fichier CORAIl). Du fait de l'intermittence du chauffage et de l'inertie du
bâtiment on est obligé de tenir compte soit :
- d'une puissance maximale plus élevée,
- d'un fonctionnement pendant plus de 12 heures (H > 0,5) pour
arriver à des besoins correspondants à la réalité.
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3G.
PMAX
PMAX
\:Besoins pour 1 chauffagefonctionnant pendant 12heures(H = 0,5) à PMAX,
B: Besoins pour 1 chauffagefonctionnant à PMAX pen¬dant plus de 12h (H > 0,5)
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Temps
190
CARACTCII ISTIOUES DC PROJET i
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFACE (oC)
TEHPERATURE OE DEPART (eC)
TEHPERATURE OE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (Hl/H)
COEFFICIENT CV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT OE COMBUSTION (t)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (eC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORACE (H3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORACE (H)
RAYON DU FORACE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE OE FORACE(S) CORAIL i
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE i
I -2. 44
19.44
16.44
74.44
SS.44
47.44
2.69
26 1 1 . 1 1
: .S4
FOD
t 74.44
SS.44
2.44
1.14
14.44
144.44
.14
2.44
1
CIATTBB3S
BILAN ENERGETIQUE OU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE t
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC
KHKHCIE KLECTRIOUt PAC I
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES l
ELECTRICITE TOTALE 1
ENEHUIK THAIIITIOHNELLE (PCI) 1
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR i
COP MOYEN ANNUELISANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUELIAVEC AUXILIAIRES) l
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE HEJET l
ENERGIE PRELEVEE SUR LA HAPPE l
TAUX OE COUVERTURE i
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
coErriciENT OE substitution
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Figjne. 5-15 -.Bilan éymgétique de.
(OnsMlation g^bolje "de référence":ficlüjín. des canactéristiûues ai pnojet
Fiçijrc 5-16 iBUm énerojétiifxii de l' installation
olûbalz "de néférence": ficiû^r des nésultûts.
49.
42.
35.
15-10 ;5-ÎI I5-;Z 15-1 15-2 15-3 15-4 15-5
Vatz {jour, mo¿6]
Figure. 5-17
1 : besoins
2 : PPAC
3 : PESF
Bilan de l' installatlan globalz de "nzfénenaz":évolution des besoins, ck la puissance fourniepan. la pompe à clnFcur [PPAC) zt de la ipuissance
pnélevée par l'édiangeur (PESF) au couns de ^asaison de diauffage .
190
CARACTCII ISTIOUES DC PROJET i
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFACE (oC)
TEHPERATURE OE DEPART (eC)
TEHPERATURE OE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (Hl/H)
COEFFICIENT CV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT OE COMBUSTION (t)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (eC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORACE (H3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORACE (H)
RAYON DU FORACE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE OE FORACE(S) CORAIL i
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE i
I -2. 44
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1
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BILAN ENERGETIQUE OU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE t
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC
KHKHCIE KLECTRIOUt PAC I
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES l
ELECTRICITE TOTALE 1
ENEHUIK THAIIITIOHNELLE (PCI) 1
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR i
COP MOYEN ANNUELISANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUELIAVEC AUXILIAIRES) l
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE HEJET l
ENERGIE PRELEVEE SUR LA HAPPE l
TAUX OE COUVERTURE i
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
coErriciENT OE substitution
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Figjne. 5-15 -.Bilan éymgétique de.
(OnsMlation g^bolje "de référence":ficlüjín. des canactéristiûues ai pnojet
Fiçijrc 5-16 iBUm énerojétiifxii de l' installation
olûbalz "de néférence": ficiû^r des nésultûts.
49.
42.
35.
15-10 ;5-ÎI I5-;Z 15-1 15-2 15-3 15-4 15-5
Vatz {jour, mo¿6]
Figure. 5-17
1 : besoins
2 : PPAC
3 : PESF
Bilan de l' installatlan globalz de "nzfénenaz":évolution des besoins, ck la puissance fourniepan. la pompe à clnFcur [PPAC) zt de la ipuissance
pnélevée par l'édiangeur (PESF) au couns de ^asaison de diauffage .
191
Ceci traduit l'appel de puissance à la remise en route du chauffage le matin
et le fait qu'une utilisation sur 12 heures (au lieu de 24 heures) du chauffage
ne conduit pas à une économie de 50 % sur la consommation (figure &-11)).
Pour l'école du Rusquet, la prise en compte de
(- PMAX = 47 kW et H = 0,5
(- PMAX = 37 kW et H = 0,64
conduit respectivement à des besoins utiles de :
Í - 25,63 MWh
] (écart inférieur à 1 %){- 25,83 MWh
alors que la consommation réelle de l'école (3 528 litres de F.O.D.) correspond
à des besoins utiles de 25,98 MWh. L'écart entre les valeurs calculées et
la valeur réelle ne dépasse pas 1,4 %.
Dans la suite la solution retenue sera PMAX = 47 kWh et H = 0,5.
Les caractéristiques du projet sont présentées tableaui5-15!) .
5.3.2 - Résultats
Les résultats du bilan énergétique sont présentés dans le tableau (5-16)
Les courbes d'évolution au cours de la saison de chauffage de la puissance
des besoins, de la puissance prélevée par l'échangeur CORAIL (PESF) et de
la puissance fournie par la pompe à chaleur (PPAC) sont tracées fiqure (5-17) .
5.3.3 - Commentaires
Les coefficients moyens de performance annuels avec et sans prise
en compte des auxiliaires atteignent des valeurs de 3,63 et 3,77 (les valeurs
quotidiennes qui ne tiennent pas compte des auxiliaires varient entre 3,06
et 4,57). Ces valeurs sans doute un peu fortes sont liées au calcul du
coefficient de performance basé sur la seule puissance du groupe moto-compresseur.
Le taux de couverture s'élève à 58,09 %, valeur intéressante
qu'on peut espérer augmenter par l'utilisation d'une pompe à chaleur plus
puissante (cf. paragraphe suivant).
191
Ceci traduit l'appel de puissance à la remise en route du chauffage le matin
et le fait qu'une utilisation sur 12 heures (au lieu de 24 heures) du chauffage
ne conduit pas à une économie de 50 % sur la consommation (figure &-11)).
Pour l'école du Rusquet, la prise en compte de
(- PMAX = 47 kW et H = 0,5
(- PMAX = 37 kW et H = 0,64
conduit respectivement à des besoins utiles de :
Í - 25,63 MWh
] (écart inférieur à 1 %){- 25,83 MWh
alors que la consommation réelle de l'école (3 528 litres de F.O.D.) correspond
à des besoins utiles de 25,98 MWh. L'écart entre les valeurs calculées et
la valeur réelle ne dépasse pas 1,4 %.
Dans la suite la solution retenue sera PMAX = 47 kWh et H = 0,5.
Les caractéristiques du projet sont présentées tableaui5-15!) .
5.3.2 - Résultats
Les résultats du bilan énergétique sont présentés dans le tableau (5-16)
Les courbes d'évolution au cours de la saison de chauffage de la puissance
des besoins, de la puissance prélevée par l'échangeur CORAIL (PESF) et de
la puissance fournie par la pompe à chaleur (PPAC) sont tracées fiqure (5-17) .
5.3.3 - Commentaires
Les coefficients moyens de performance annuels avec et sans prise
en compte des auxiliaires atteignent des valeurs de 3,63 et 3,77 (les valeurs
quotidiennes qui ne tiennent pas compte des auxiliaires varient entre 3,06
et 4,57). Ces valeurs sans doute un peu fortes sont liées au calcul du
coefficient de performance basé sur la seule puissance du groupe moto-compresseur.
Le taux de couverture s'élève à 58,09 %, valeur intéressante
qu'on peut espérer augmenter par l'utilisation d'une pompe à chaleur plus
puissante (cf. paragraphe suivant).
- 192
Figure 5-18 : Evolution de latempe/tature en sortie d' éclian¬geur [TGTH] au cours de lasaison de diauffage [projetde néfénence.)il] : TGTH = moifinne. dei extne-
mjm, [éqiation (5.02)1(2) ; TGTH = minimm
[éj:pation [3.74)).
Figure 5-19 : Evolution de latempénature. de rejet [TREJET)
en sortie, d' évaponateur de. lapompe à dnleur au cours dela saison de dwiufffige
( 1 ) pnojet de néfénence Q
calculée avec l'équatxon[5.02)
(2) pwjet de néfénence Q
caiadée. avec l'éajoÂon[3.74).
12.
o
Températureense
d'échangeur
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Tableau 5-20 : Bilan énengétique(h. pnojet dit de "néfénence"avec 0=0 [calculez par
s minl'équation [3.74)).
1
aiLAN ENERCETIQUC DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENeHCIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELtXTRICITK TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE TIlEliMIUUE DU CONUENSEUH :
COP MOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES)
CÜP MOYEN ANNUELIAVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PUKl.EVEE ¡îUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
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- 192
Figure 5-18 : Evolution de latempe/tature en sortie d' éclian¬geur [TGTH] au cours de lasaison de diauffage [projetde néfénence.)il] : TGTH = moifinne. dei extne-
mjm, [éqiation (5.02)1(2) ; TGTH = minimm
[éj:pation [3.74)).
Figure 5-19 : Evolution de latempénature. de rejet [TREJET)
en sortie, d' évaponateur de. lapompe à dnleur au cours dela saison de dwiufffige
( 1 ) pnojet de néfénence Q
calculée avec l'équatxon[5.02)
(2) pwjet de néfénence Q
caiadée. avec l'éajoÂon[3.74).
12.
o
Températureense
d'échangeur
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15-1 15-2 15-3 15-4 15-5
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Tableau 5-20 : Bilan énengétique(h. pnojet dit de "néfénence"avec 0=0 [calculez par
s minl'équation [3.74)).
1
aiLAN ENERCETIQUC DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENeHCIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELtXTRICITK TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE TIlEliMIUUE DU CONUENSEUH :
COP MOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES)
CÜP MOYEN ANNUELIAVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PUKl.EVEE ¡îUR LA NAPPE
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TEP ECONOMISEES
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M3 DE FOD
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TH/KWH
- 193
Le nombre de tonnes-équivalent-pétrole déplacées s'élève à 1,73
et le nombre de tonnes-équivalent-pétrole économisées à 0,70, soit respec¬
tivement 58 % et 23 % de la consommation antérieure.
Le coefficient de substitution (nombre de tonnes-équivalent-pétrole
déplacées/énergie électrique nécessaire au fonctionnement du nouveau système
de chauffage) s'élève à 4,22 th/kWh. Plus il est fort, plus la substitution
des formes d'énergies est intéressante.
La puissance de la pompe à chaleur varie entre 11,31 et 13,86 kW
au cours du temps, en fonction de la température disponible à la source froide
qui est liée aux périodes de fonctionnement du dispositif CORAIL dépendant de
l'utilisation du chauffage (fiqure (5-17)).
La diminution de la puissance fournie par la pompe à chaleur n'est
pas régulière au cours de la saison de chauffage du fait des arrêts (vacances
et jours non scolaires). A cause de ceux-ci la température disponible en
sortie d'échangeur (0 ) ne diminue pas régulièrement (cf. fiqure (5-18)). Donc
la puissance exploitable et la puissance fournie par la pompe à chaleur
suivent des variations irrégulières (diminution et augmentation) au cours
de la saison de chauffage.
La température de rejet (en sortie d'évaporateur) évolue elle-aussi
irrégulièrement entre 7,87 et 4,27°C, la valeur la plus basse étant atteinte
en fin de saison de chauffage.
Une simulation avec prise en compte du minimum (éq. (3.74)) et non
de la moyenne des extremums (éq. (5.02)) comme température de la source froide
conduit à des résultats moins bons (tableau (5-20)) ; le taux de couverture
est un peu plus faible (54,92 %) les tep économisées (0,62) et déplacées (1,64)
le sont également. La température de la source froide étant plus faible (figure
(5-18)).la puissance fournie par la pompe à chaleur diminue ainsi que la
température de rejet (fiqure (5-19.) ) .
Dans ce cas moins favorable la température de rejet n'atteint cependant
pas le seuil de 2°C à partir duquel la pompe à chaleur est mise hors circuit
pour éviter les problèmes de gel.
- 193
Le nombre de tonnes-équivalent-pétrole déplacées s'élève à 1,73
et le nombre de tonnes-équivalent-pétrole économisées à 0,70, soit respec¬
tivement 58 % et 23 % de la consommation antérieure.
Le coefficient de substitution (nombre de tonnes-équivalent-pétrole
déplacées/énergie électrique nécessaire au fonctionnement du nouveau système
de chauffage) s'élève à 4,22 th/kWh. Plus il est fort, plus la substitution
des formes d'énergies est intéressante.
La puissance de la pompe à chaleur varie entre 11,31 et 13,86 kW
au cours du temps, en fonction de la température disponible à la source froide
qui est liée aux périodes de fonctionnement du dispositif CORAIL dépendant de
l'utilisation du chauffage (fiqure (5-17)).
La diminution de la puissance fournie par la pompe à chaleur n'est
pas régulière au cours de la saison de chauffage du fait des arrêts (vacances
et jours non scolaires). A cause de ceux-ci la température disponible en
sortie d'échangeur (0 ) ne diminue pas régulièrement (cf. fiqure (5-18)). Donc
la puissance exploitable et la puissance fournie par la pompe à chaleur
suivent des variations irrégulières (diminution et augmentation) au cours
de la saison de chauffage.
La température de rejet (en sortie d'évaporateur) évolue elle-aussi
irrégulièrement entre 7,87 et 4,27°C, la valeur la plus basse étant atteinte
en fin de saison de chauffage.
Une simulation avec prise en compte du minimum (éq. (3.74)) et non
de la moyenne des extremums (éq. (5.02)) comme température de la source froide
conduit à des résultats moins bons (tableau (5-20)) ; le taux de couverture
est un peu plus faible (54,92 %) les tep économisées (0,62) et déplacées (1,64)
le sont également. La température de la source froide étant plus faible (figure
(5-18)).la puissance fournie par la pompe à chaleur diminue ainsi que la
température de rejet (fiqure (5-19.) ) .
Dans ce cas moins favorable la température de rejet n'atteint cependant
pas le seuil de 2°C à partir duquel la pompe à chaleur est mise hors circuit
pour éviter les problèmes de gel.
194 -
1
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0,96
1,02
1,00
0,91
1,04
0,76
0,22
1,17
1,13
1,24
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0,87
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4,55
3,69
3,70
3,75
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3,52
4,67
Tableau 5-21 : Résultats des différentes variantessimulées par le programme BILAN
194 -
1
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3,69
3,70
3,75
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3,52
4,67
Tableau 5-21 : Résultats des différentes variantessimulées par le programme BILAN
- 195
5.4 - VARIANTES
Différentes variantes d'installation ont été envisagées suivant :
- la géométrie de l'échangeur CORAIL (profondeur et diamètre),
- la pompe à chaleur retenue (puissance différente),
- le système de chauffage (répartition continue des mêmes besoins, système
d'émission de la chaleur).
Les projets examinés sont les suivants :
- un echangeur de 100 m et de diamètre 0,1 m,
- un echangeur de 75 m et de diamètre 0,2 m,
- un echangeur de 150 m et de diamètre 0,2 m ,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n"^ 35,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 50,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 65,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 75,
- émission de la chaleur à température plus basse (Tp, = 45°C, T^ = 30°C),Uo "o
- répartition des mêmes besoins sur toute la saison (puissance maximale des
déperditions plus faibles).
Les résultats essentiels des simulations de ces différents projets
(avec le programme BILAN à partir des données météorologiques de la saison
1982/1983) sont rassemblés dans le tableau (5-21).
Les bilans complets de ces simulations sont donnés en annexe n° 6.
Nous commencerons par commenter le choix de la pompe à chaleur qui a été
testée pour chaque variation des autres paramètres (géométrie de l'échangeur,
besoins, émetteurs de chaleur).
5.4.1 - Choix de la ponnge à clialeur
Nous examinerons plus précisément les résultats obtenus pour le pro¬
jet de référence, les conclusions qu'on peut en déduire seront confirmées
par l'examen des résultats des autres projets.
- 195
5.4 - VARIANTES
Différentes variantes d'installation ont été envisagées suivant :
- la géométrie de l'échangeur CORAIL (profondeur et diamètre),
- la pompe à chaleur retenue (puissance différente),
- le système de chauffage (répartition continue des mêmes besoins, système
d'émission de la chaleur).
Les projets examinés sont les suivants :
- un echangeur de 100 m et de diamètre 0,1 m,
- un echangeur de 75 m et de diamètre 0,2 m,
- un echangeur de 150 m et de diamètre 0,2 m ,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n"^ 35,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 50,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 65,
- utilisation de la pompe à chaleur CIAT type TBB n° 75,
- émission de la chaleur à température plus basse (Tp, = 45°C, T^ = 30°C),Uo "o
- répartition des mêmes besoins sur toute la saison (puissance maximale des
déperditions plus faibles).
Les résultats essentiels des simulations de ces différents projets
(avec le programme BILAN à partir des données météorologiques de la saison
1982/1983) sont rassemblés dans le tableau (5-21).
Les bilans complets de ces simulations sont donnés en annexe n° 6.
Nous commencerons par commenter le choix de la pompe à chaleur qui a été
testée pour chaque variation des autres paramètres (géométrie de l'échangeur,
besoins, émetteurs de chaleur).
5.4.1 - Choix de la ponnge à clialeur
Nous examinerons plus précisément les résultats obtenus pour le pro¬
jet de référence, les conclusions qu'on peut en déduire seront confirmées
par l'examen des résultats des autres projets.
196
5.4.1.1 - Projet de référence
L'augmentation de la puissance de la pompe à chaleur du type
TBB n° 35 au type TBB n° 65, permet une meilleure exploitation du dispositif
CORAIL : l'énergie prélevée augmente de 10,94 MWh à 13,47 MWh. Ceci conduit
à un meilleur taux de couverture des besoins (58,09 % à 73,79 %) .
La pompe à chaleur type TBB n° 75 encore plus puissante provoque
par contre une diminution importante du taux de couverture qui ne vaut plus
alors que 45,70 %. Cette pompe à chaleur par l'exploitation d'un écart de
température élevé conduit à une diminution rapide de la température de
rejet. Celle-ci, atteignant trop souvent le seuil fixé, limite l'utilisation
de la pompe à chaleur, donc l'exploitation du dispositif CORAIL.
On pourrait donc conclure que la pompe à chaleur CIAT TBB n° 65
est la mieux adaptée mais l'observation du nombre de tep économisées, les
valeurs des COP moyen et du coefficient de substitution va réviser ce jugement
un peu hâtif.
En effet, les COP moyens meilleurs pour la pompe à chaleur TBB n° 50
(3,75 et 3,63) que pour la pompe à chaleur TBB n° 65 (3,47 et 3,39), tendent à
prouver que la première (n'^ 50) présente un fonctionnement plus performant.
Le nombre de tep économisées (0,84 au lieu de 0,80) et le coefficient de
substitution (4,22 au lieu de 3,94) confirment ceci. Les données économiques
(chapitre 6) confrontées à ces résultats permettront une prise de décision.
Ces résultats montrent :
- qu'il ne faut ni sous-dimensionner (sous-exploitation du dispositif
CORAIL),
ni surdimensionner la pompe à chaleur (limite technologique de la
pompe à chaleur sur la température de rejet),
- que le taux de couverture n'est pas le seul critère de choix (la couver¬
ture des derniers besoins étant beaucoup plus difficile et onéreuse à
assurer - cf. courbe monotone, figure (4-18), p.l58) et que le nombre de
tep économisées et le coefficient de substitution sont des éléments
à ne pas négliger.
196
5.4.1.1 - Projet de référence
L'augmentation de la puissance de la pompe à chaleur du type
TBB n° 35 au type TBB n° 65, permet une meilleure exploitation du dispositif
CORAIL : l'énergie prélevée augmente de 10,94 MWh à 13,47 MWh. Ceci conduit
à un meilleur taux de couverture des besoins (58,09 % à 73,79 %) .
La pompe à chaleur type TBB n° 75 encore plus puissante provoque
par contre une diminution importante du taux de couverture qui ne vaut plus
alors que 45,70 %. Cette pompe à chaleur par l'exploitation d'un écart de
température élevé conduit à une diminution rapide de la température de
rejet. Celle-ci, atteignant trop souvent le seuil fixé, limite l'utilisation
de la pompe à chaleur, donc l'exploitation du dispositif CORAIL.
On pourrait donc conclure que la pompe à chaleur CIAT TBB n° 65
est la mieux adaptée mais l'observation du nombre de tep économisées, les
valeurs des COP moyen et du coefficient de substitution va réviser ce jugement
un peu hâtif.
En effet, les COP moyens meilleurs pour la pompe à chaleur TBB n° 50
(3,75 et 3,63) que pour la pompe à chaleur TBB n° 65 (3,47 et 3,39), tendent à
prouver que la première (n'^ 50) présente un fonctionnement plus performant.
Le nombre de tep économisées (0,84 au lieu de 0,80) et le coefficient de
substitution (4,22 au lieu de 3,94) confirment ceci. Les données économiques
(chapitre 6) confrontées à ces résultats permettront une prise de décision.
Ces résultats montrent :
- qu'il ne faut ni sous-dimensionner (sous-exploitation du dispositif
CORAIL),
ni surdimensionner la pompe à chaleur (limite technologique de la
pompe à chaleur sur la température de rejet),
- que le taux de couverture n'est pas le seul critère de choix (la couver¬
ture des derniers besoins étant beaucoup plus difficile et onéreuse à
assurer - cf. courbe monotone, figure (4-18), p.l58) et que le nombre de
tep économisées et le coefficient de substitution sont des éléments
à ne pas négliger.
- 197
5.4.1.2 -Les autres projets
Ils conduisent aux mêmes résultats :
- une augmentation de la puissance de la pompe à chaleur retenue provoque ,
dans un premier temps, une amélioration des performances de l'installation,
puis une diminution de celles-ci.
5.4.1.3 - Recommandations pour le choix de la pompe à chaleur
La pompe à chaleur ne doit être ni sous-dimensionnée, ni surdimension-
née, dans les deux cas l'installation a de mauvaises performances.
5.4.2 - Géométrie de l'échangeur
Les variations de profondeur et de diamètre ont été étudiées.
5.4.2.1 - Variation de la profondeur
Les trois profondeurs 75, 100 et 150 m ont été simulées.
Pour la profondeur de 75 m
Le nombre de tep économisées pratiquement équivalent pour l'utilisa¬
tion de la pompe à chaleur type TBB n° 35 (0,62 pour un taux de couverture
de 54,7 %) ou type TBB n° 50 (0,64 pour un taux de couverture de 57,34 %) dimi¬
nue fortement avec l'emploi de la pompe à chaleur type TBB n° 65 (0,36 pour
un taux de couverture de 29,10 %) .
Pour la profondeur de 100 m
Les performances des installations sont meilleures. L'énergie prélevée
par le dispositif CORAIL est supérieure, donc le nombre de tep déplacées et
économisées est plus important.
- 197
5.4.1.2 -Les autres projets
Ils conduisent aux mêmes résultats :
- une augmentation de la puissance de la pompe à chaleur retenue provoque ,
dans un premier temps, une amélioration des performances de l'installation,
puis une diminution de celles-ci.
5.4.1.3 - Recommandations pour le choix de la pompe à chaleur
La pompe à chaleur ne doit être ni sous-dimensionnée, ni surdimension-
née, dans les deux cas l'installation a de mauvaises performances.
5.4.2 - Géométrie de l'échangeur
Les variations de profondeur et de diamètre ont été étudiées.
5.4.2.1 - Variation de la profondeur
Les trois profondeurs 75, 100 et 150 m ont été simulées.
Pour la profondeur de 75 m
Le nombre de tep économisées pratiquement équivalent pour l'utilisa¬
tion de la pompe à chaleur type TBB n° 35 (0,62 pour un taux de couverture
de 54,7 %) ou type TBB n° 50 (0,64 pour un taux de couverture de 57,34 %) dimi¬
nue fortement avec l'emploi de la pompe à chaleur type TBB n° 65 (0,36 pour
un taux de couverture de 29,10 %) .
Pour la profondeur de 100 m
Les performances des installations sont meilleures. L'énergie prélevée
par le dispositif CORAIL est supérieure, donc le nombre de tep déplacées et
économisées est plus important.
198
Pour la profondeur de 150 m
Les performances sont encore meilleures, le dispositif CORAIL
prélevant alors une énergie beaucoup plus importante sur le sous-sol.
L'utilisation de la pompe à chaleur type TBB n° 75 est envisageable.
L'augmentation de la profondeur améliore les performances de l'échan¬
geur (chapitre 3 § 3.3.2, p. 107), ceci permet l'utilisation d'une pompe à
chaleur plus puissante et le bilan de l'installation complète n'en est que
meilleur.
5.4.2.2 - Variation du diamètre
» Un diamètre d' écliangeur de 0,05 m conduit à des résultats moins
favorables qu'un diamètre d'échangeur de 0,1 m : le nombre de tep économisées
est de 0,65 à 0,75 au lieu de 0,70 à 0,84 (respectivement avec la pompe
à chaleur type TBB n° 35 et type TBB n° 50).
Cette différence relativement faible dans ce cas est liée à l'exploitation
discontinue du chauffage (les vacances scolaires durant le mois de février
masquant une des périodes les plus froides de la saison).
5.4.2.3 - Recommandations sur la géométrie du dispositif
Le projet du dispositif CORAIL de 150 m de profondeur et 0,2 m de
diamètre, associé à la pompe à chaleur type TBB n° 65 (ou éventuellement 75)
présente les meilleures performances pour assurer le chauffage de l'école
du Rusquet.
L'investissement qu'il nécessite (cf. chapitre 6) rend sa réalisation
délicate. Le projet d'un echangeur CORAIL de 100 m de profondeur et 0,2 m
de diamètre relié à la pompe à chaleur type TBB n° 50 pour assurer le
chauffage de l'école du Rusquet est tout à fait réalisable.
198
Pour la profondeur de 150 m
Les performances sont encore meilleures, le dispositif CORAIL
prélevant alors une énergie beaucoup plus importante sur le sous-sol.
L'utilisation de la pompe à chaleur type TBB n° 75 est envisageable.
L'augmentation de la profondeur améliore les performances de l'échan¬
geur (chapitre 3 § 3.3.2, p. 107), ceci permet l'utilisation d'une pompe à
chaleur plus puissante et le bilan de l'installation complète n'en est que
meilleur.
5.4.2.2 - Variation du diamètre
» Un diamètre d' écliangeur de 0,05 m conduit à des résultats moins
favorables qu'un diamètre d'échangeur de 0,1 m : le nombre de tep économisées
est de 0,65 à 0,75 au lieu de 0,70 à 0,84 (respectivement avec la pompe
à chaleur type TBB n° 35 et type TBB n° 50).
Cette différence relativement faible dans ce cas est liée à l'exploitation
discontinue du chauffage (les vacances scolaires durant le mois de février
masquant une des périodes les plus froides de la saison).
5.4.2.3 - Recommandations sur la géométrie du dispositif
Le projet du dispositif CORAIL de 150 m de profondeur et 0,2 m de
diamètre, associé à la pompe à chaleur type TBB n° 65 (ou éventuellement 75)
présente les meilleures performances pour assurer le chauffage de l'école
du Rusquet.
L'investissement qu'il nécessite (cf. chapitre 6) rend sa réalisation
délicate. Le projet d'un echangeur CORAIL de 100 m de profondeur et 0,2 m
de diamètre relié à la pompe à chaleur type TBB n° 50 pour assurer le
chauffage de l'école du Rusquet est tout à fait réalisable.
199 -
5.4.3 - Variation des émetteurs de chaleur
L'utilisation d'émetteurs de chaleur à température plus basse
(Tp, = 45°C, T = 30°C) a été simulée.U o ri o
5.4.3.1 - Résultats
L'énergie prélevée sur le sous-sol par le dispositif CORAIL
(h = 100 m, 0 = 0,2 m) est alors supérieure à celle du projet de référence
(Tp^ = 70°C, Tp = 55°C) lors de l'utilisation de la pompe à chaleur type
TBB n° 35 ou type TBB n° 50 .
L'utilisation de la pompe à chaleur type TBB n° 65 ou type TBB n° 75
conduit à une exploitation plus faible du dispositif CORAIL que dans le cas
du projet de référence. La pompe à chaleur fonctionnant dans de meilleures
conditions peut fournir une puissance plus élevée mais en contrepartie
exploite un écart de température plus important à la source froide. La tempé¬
rature de rejet qui diminue alors rapidement limite l'utilisation de la pompe
à chaleur et donc l'exploitation du dispositif CORAIL.
Malgré un taux de couverture des besoins plus faible que dans le cas
du projet de référence (55,97 % au lieu de 73,79 %) , le nombre de tep écono¬
misées est pratiquement équivalent (0,78 au lieu de 0,80) et le coefficient
de substitution supérieur (4,69 au lieu de 4,22 th/kWh) lors de l'utilisation
de la pompe à chaleur TBB n° 65.
L'augmentation des COP moyens consécutive à l'amélioration des condi¬
tions de fonctionnement de la pompe à chaleur conduit à des consommations
électriques plus faibles pour des taux de couverture plus importants.
Ces résultats à rapprocher des conclusions exprimées au chapitre 3
(§ 3.2.1.3, p. 89) quant à la meilleure exploitation d'un dispositif CORAIL
à puissance constante suggèrent d'augmenter le débit de circulation du
fluide dans l'échangeur.
199 -
5.4.3 - Variation des émetteurs de chaleur
L'utilisation d'émetteurs de chaleur à température plus basse
(Tp, = 45°C, T = 30°C) a été simulée.U o ri o
5.4.3.1 - Résultats
L'énergie prélevée sur le sous-sol par le dispositif CORAIL
(h = 100 m, 0 = 0,2 m) est alors supérieure à celle du projet de référence
(Tp^ = 70°C, Tp = 55°C) lors de l'utilisation de la pompe à chaleur type
TBB n° 35 ou type TBB n° 50 .
L'utilisation de la pompe à chaleur type TBB n° 65 ou type TBB n° 75
conduit à une exploitation plus faible du dispositif CORAIL que dans le cas
du projet de référence. La pompe à chaleur fonctionnant dans de meilleures
conditions peut fournir une puissance plus élevée mais en contrepartie
exploite un écart de température plus important à la source froide. La tempé¬
rature de rejet qui diminue alors rapidement limite l'utilisation de la pompe
à chaleur et donc l'exploitation du dispositif CORAIL.
Malgré un taux de couverture des besoins plus faible que dans le cas
du projet de référence (55,97 % au lieu de 73,79 %) , le nombre de tep écono¬
misées est pratiquement équivalent (0,78 au lieu de 0,80) et le coefficient
de substitution supérieur (4,69 au lieu de 4,22 th/kWh) lors de l'utilisation
de la pompe à chaleur TBB n° 65.
L'augmentation des COP moyens consécutive à l'amélioration des condi¬
tions de fonctionnement de la pompe à chaleur conduit à des consommations
électriques plus faibles pour des taux de couverture plus importants.
Ces résultats à rapprocher des conclusions exprimées au chapitre 3
(§ 3.2.1.3, p. 89) quant à la meilleure exploitation d'un dispositif CORAIL
à puissance constante suggèrent d'augmenter le débit de circulation du
fluide dans l'échangeur.
200
5.4.3.2 - Augmentation du débit du fluide caloporteur
Une simulation au débit de 3,7 m'h , avec la pompe à chaleur type
TBB n° 65, a été réalisée.
L'amélioration des performances de l'installation est nette : le
fonctionnement du dispositif CORAIL et de la pompe à chaleur sont meilleurs
(énergie prélevée, COP, tep économisées, cf. tableau (5-21) ) .
5.4.4 - Répartition des besoins
Une installation avec un chauffage continu, dont les besoins seraient
les mêmes que ceux du projet de Lannion, mais répartis dans le temps, a été
simulée. Il a donc fallu considérer :
- des déperditions maximales quatre fois moindre,
- un coefficient d'intermittence H égal à 1,
- l'exploitation du dispositif CORAIL en continu (0g suit l'équation (5.01)),
- une saison de chauffage sans vacances scolaires.
5.4.4.1 - Résultats
Les performances d'une telle installation sont supérieures à celles
du projet de référence :
- avec une pompe à clialeur typz TBB n° 35 : 99,73 % des besoins sont
couverts à partir de 17,64 MWh prélevés sur le sous-sol ; 0,87 tep sont
économisées. Par rapport aux autres simulations, les COP moyens sont relati¬
vement faibles (de l'ordre de 3) ce qui indique des conditions de fonctionne¬
ment moins favorables pour la pompe à chaleur. Celle-ci, surdimensionnée
pour les puissances à fournir, ne permet pas de réaliser des économies
beaucoup plus importantes que dans le cas du projet de référence.
Un tel projet nécessite donc l'utilisation d'une pompe à chaleur moins
puissante.
200
5.4.3.2 - Augmentation du débit du fluide caloporteur
Une simulation au débit de 3,7 m'h , avec la pompe à chaleur type
TBB n° 65, a été réalisée.
L'amélioration des performances de l'installation est nette : le
fonctionnement du dispositif CORAIL et de la pompe à chaleur sont meilleurs
(énergie prélevée, COP, tep économisées, cf. tableau (5-21) ) .
5.4.4 - Répartition des besoins
Une installation avec un chauffage continu, dont les besoins seraient
les mêmes que ceux du projet de Lannion, mais répartis dans le temps, a été
simulée. Il a donc fallu considérer :
- des déperditions maximales quatre fois moindre,
- un coefficient d'intermittence H égal à 1,
- l'exploitation du dispositif CORAIL en continu (0g suit l'équation (5.01)),
- une saison de chauffage sans vacances scolaires.
5.4.4.1 - Résultats
Les performances d'une telle installation sont supérieures à celles
du projet de référence :
- avec une pompe à clialeur typz TBB n° 35 : 99,73 % des besoins sont
couverts à partir de 17,64 MWh prélevés sur le sous-sol ; 0,87 tep sont
économisées. Par rapport aux autres simulations, les COP moyens sont relati¬
vement faibles (de l'ordre de 3) ce qui indique des conditions de fonctionne¬
ment moins favorables pour la pompe à chaleur. Celle-ci, surdimensionnée
pour les puissances à fournir, ne permet pas de réaliser des économies
beaucoup plus importantes que dans le cas du projet de référence.
Un tel projet nécessite donc l'utilisation d'une pompe à chaleur moins
puissante.
201
La simulation d'une puissance des déperditions égale à la moitié
de celle du projet de référence a également été réalisée (besoins doubles
répartis dans le temps). La pompe à chaleur type TBB n° 35 est alors la mieux
adaptée parmi les trois pompes à chaleur simulées, bien que peut-être un
peu surdimensionnée.
Le dispositif CORAIL dans ce cas prélève sur le sous-sol plus du
double d'énergie que dans le cas du projet de référence. La température
moyenne de rejet est de l'ordre de 3°C.
5.4.4.2 - Interprétation des résultats
Les résultats des simulations montrent que l'exploitation en discon¬
tinu est défavorable (même si les besoins sont moindres du fait des arrêts)
pour un dispositif CORAIL par des appels de puissance plus forts lors des
remises en route.
5.4.5 - Conclusions sur l'étude des variantes
Lors du dimensionnement d'un projet, il faudra tenir compte des
recommandations suivantes :
- ne pas surdimensionner, ni sous-dimensionner la pompe à chaleur,
- dans la mesure où cela n'entraîne pas de pertes de charges trop importantes
augmenter le débit de circulation du fluide dans l'échangeur CORAIL, surtout
en cas d'émetteurs à basse température,
- ne pas considérer uniquement le taux de couverture des besoins comme critère
de choix d'une installation en particulier quand celui-ci est élevé, car
les dépenses d'électricité sont alors importantes, et le projet est économi¬
quement moins intéressant,
- préférer les exploitations continues plutôt que discontinues du dispositif
CORAIL.
201
La simulation d'une puissance des déperditions égale à la moitié
de celle du projet de référence a également été réalisée (besoins doubles
répartis dans le temps). La pompe à chaleur type TBB n° 35 est alors la mieux
adaptée parmi les trois pompes à chaleur simulées, bien que peut-être un
peu surdimensionnée.
Le dispositif CORAIL dans ce cas prélève sur le sous-sol plus du
double d'énergie que dans le cas du projet de référence. La température
moyenne de rejet est de l'ordre de 3°C.
5.4.4.2 - Interprétation des résultats
Les résultats des simulations montrent que l'exploitation en discon¬
tinu est défavorable (même si les besoins sont moindres du fait des arrêts)
pour un dispositif CORAIL par des appels de puissance plus forts lors des
remises en route.
5.4.5 - Conclusions sur l'étude des variantes
Lors du dimensionnement d'un projet, il faudra tenir compte des
recommandations suivantes :
- ne pas surdimensionner, ni sous-dimensionner la pompe à chaleur,
- dans la mesure où cela n'entraîne pas de pertes de charges trop importantes
augmenter le débit de circulation du fluide dans l'échangeur CORAIL, surtout
en cas d'émetteurs à basse température,
- ne pas considérer uniquement le taux de couverture des besoins comme critère
de choix d'une installation en particulier quand celui-ci est élevé, car
les dépenses d'électricité sont alors importantes, et le projet est économi¬
quement moins intéressant,
- préférer les exploitations continues plutôt que discontinues du dispositif
CORAIL.
202
5.5 - CONCLUSION
Le logiciel BILAN créé, décrit ici, calcule le bilan énergétique
d'une installation complète : echangeur CORAIL, pompe à chaleur, circuit
de distribution de la chaleur.
Il envisage différents types de sources froides : température constante,
stockage, echangeur CORAIL avec différents modes de fonctionnement.
La comparaison des résultats de ce logiciel avec ceux obtenus par
un calcul rapide dans un cas simple, et avec ceux obtenus par deux logiciels
correspondant à l'étude de projet de pompe à chaleur sur aquifère, permet
d'en contrôler la teneur.
Appliqué au projet de Lannion, il prévoit que l'échangeur CORAIL
retenu précédemment (chapitre 3) de 100 m de profondeur et de 0,2 m de diamètre
pourrait fournir 51 % de l'énergie utile lorsqu'il est relié à la pompe à
chaleur CIAT TBB n'' 50.
L'étude de différentes variantes par rapport au projet de référence
montre que :
- l'utilisation du dispositif CORAIL liée à des besoins en
continu est préférable à celle liée à des besoins intermittents de chauffage,
- le dimensionnement de la PAC est un élément important,
- l'utilisation d'émetteurs de chaleur à bas niveau thermique
améliore les performances de l'installation.
Ce sont les aspects économiques de telles réalisations, élément
important pour les décisions à prendre que nous allons aborder maintenant.
202
5.5 - CONCLUSION
Le logiciel BILAN créé, décrit ici, calcule le bilan énergétique
d'une installation complète : echangeur CORAIL, pompe à chaleur, circuit
de distribution de la chaleur.
Il envisage différents types de sources froides : température constante,
stockage, echangeur CORAIL avec différents modes de fonctionnement.
La comparaison des résultats de ce logiciel avec ceux obtenus par
un calcul rapide dans un cas simple, et avec ceux obtenus par deux logiciels
correspondant à l'étude de projet de pompe à chaleur sur aquifère, permet
d'en contrôler la teneur.
Appliqué au projet de Lannion, il prévoit que l'échangeur CORAIL
retenu précédemment (chapitre 3) de 100 m de profondeur et de 0,2 m de diamètre
pourrait fournir 51 % de l'énergie utile lorsqu'il est relié à la pompe à
chaleur CIAT TBB n'' 50.
L'étude de différentes variantes par rapport au projet de référence
montre que :
- l'utilisation du dispositif CORAIL liée à des besoins en
continu est préférable à celle liée à des besoins intermittents de chauffage,
- le dimensionnement de la PAC est un élément important,
- l'utilisation d'émetteurs de chaleur à bas niveau thermique
améliore les performances de l'installation.
Ce sont les aspects économiques de telles réalisations, élément
important pour les décisions à prendre que nous allons aborder maintenant.
CHAPITRE 6
ASPECTS ECONOMIQUES
CHAPITRE 6
ASPECTS ECONOMIQUES
- 207
L'analyse du comportement thermique de chaque élément de
l'installation, à savoir l'échangeur, la pompe à chaleur, le circuit de
distribution et le bâtiment, a permis d'en réaliser le bilan. Celui-ci calcule
notamment l'énergie fournie par l'échangeur et celle apportée par l'appoint,
ainsi que le nombre de tep déplacées et le nombre de tep économisées. Le
premier nombre traduit la substitution des énergies et le second nombre
correspond aux économies d'énergie réalisées grâce à l'utilisation du
dispositif.
Les aspects économiques et financiers, éléments essentiels dans
une perspective de réalisation, seront envisagés ici.
La recherche des coûts relatifs aux différents éléments de l'ins¬
tallation a permis d'estimer l'investissement nécessaire.
Les économies énergétiques influant sur le taux d'indépendance
énergétique nationale conduisent à des économies financières appréciables par
l'utilisateur. Suivant leur valeur estimée à partir des résultats du logiciel
BILAN mis en oeuvre pour différentes variantes et du coût des combustibles, le
temps de retour brut de l'investissement varie.
Tous ces éléments ont été envisagés ici pour les différentes
variantes du projet de Lannion.
L'étude de faisabilité technico-économique du dispositif de
Lannion, présentée ici, a déjà donné matière à un rapport [3-3].
Des éléments de comparaison du dispositif CORAIL à d'autres
systèmes de chauffage plus traditionnels seront apportés, ainsi que des
données sur les possibilités d'aide au financement.
- 207
L'analyse du comportement thermique de chaque élément de
l'installation, à savoir l'échangeur, la pompe à chaleur, le circuit de
distribution et le bâtiment, a permis d'en réaliser le bilan. Celui-ci calcule
notamment l'énergie fournie par l'échangeur et celle apportée par l'appoint,
ainsi que le nombre de tep déplacées et le nombre de tep économisées. Le
premier nombre traduit la substitution des énergies et le second nombre
correspond aux économies d'énergie réalisées grâce à l'utilisation du
dispositif.
Les aspects économiques et financiers, éléments essentiels dans
une perspective de réalisation, seront envisagés ici.
La recherche des coûts relatifs aux différents éléments de l'ins¬
tallation a permis d'estimer l'investissement nécessaire.
Les économies énergétiques influant sur le taux d'indépendance
énergétique nationale conduisent à des économies financières appréciables par
l'utilisateur. Suivant leur valeur estimée à partir des résultats du logiciel
BILAN mis en oeuvre pour différentes variantes et du coût des combustibles, le
temps de retour brut de l'investissement varie.
Tous ces éléments ont été envisagés ici pour les différentes
variantes du projet de Lannion.
L'étude de faisabilité technico-économique du dispositif de
Lannion, présentée ici, a déjà donné matière à un rapport [3-3].
Des éléments de comparaison du dispositif CORAIL à d'autres
systèmes de chauffage plus traditionnels seront apportés, ainsi que des
données sur les possibilités d'aide au financement.
- 208
Tablzau 6-1 : Devis des fonages
[tedmijque manteau fond de
inou) [Société FORAFRME -
juin 1983)
' _Di amèt re ( mm)
opération "" _
Foration (Le nètre linéaire)
0- 50 m
- 50-100 m
- 100-150 m
Traversée des terrains
(le mètre linéaire)
Fourniture et pose de tubagemétallique ép. 3 i 4 mm
Cimentation :
-for-fait de mise en oeuvre..
-100 litres de laitier de
Régie arrêt :
115
2000
110
135
160
110
extiUnm)
135
3800
200
800
AOO
150
2000
UO
160
180
130
¡i -ext
121 m)
145
3800
200
800
400
200
2000
190
235
280
230
ext16Sim)
160
3800
200
800
400
250
4000
380
480
590
375
'*ext- <
2i9m¡
195
3800
200
800
400
300
4000
420
520
640
440
rt .ext
24*na¡
250
3800
200
800
400
CoXUi in iinancji H.T.
Tableau 6-2 : Coût de fonàtion dirrètne. linéalne [H.T. ) en fonction
du diairètne foné
[données FORAFRANe)
tía)
V
^_E t-a a:'
= 3o c
o
ol
o
7BU.
600.
500.
400.
300.
200.
100.
0.
-
-
-
1
,1^ 2'iO tm -
-
,^1ñn rm -
,1 1 c/1 i_ -,
'ik ns imi
PKoiondzuK M 1
0. 50. 100. 150. 200.
Tableau 6-3 : Evolution du câJt de
fonàtion [H.T.) en fonction de
la pnofondeur et du diamètne.
[données FCdfiFRAN)
Sc
^cCJ
l3
o
7S000.
60000.
4S000.
30000.
15000. '^
1 1
,^300 mm
/\.^250 mm
//
y^ ^^200 rm
j^^ ^'^ ^,^150 mm
^ ^--''C.--<î:^^*"5 mm
P/iojÇoncieu/i (m)
0. 50. 100. 150. -¿m.
- 208
Tablzau 6-1 : Devis des fonages
[tedmijque manteau fond de
inou) [Société FORAFRME -
juin 1983)
' _Di amèt re ( mm)
opération "" _
Foration (Le nètre linéaire)
0- 50 m
- 50-100 m
- 100-150 m
Traversée des terrains
(le mètre linéaire)
Fourniture et pose de tubagemétallique ép. 3 i 4 mm
Cimentation :
-for-fait de mise en oeuvre..
-100 litres de laitier de
Régie arrêt :
115
2000
110
135
160
110
extiUnm)
135
3800
200
800
AOO
150
2000
UO
160
180
130
¡i -ext
121 m)
145
3800
200
800
400
200
2000
190
235
280
230
ext16Sim)
160
3800
200
800
400
250
4000
380
480
590
375
'*ext- <
2i9m¡
195
3800
200
800
400
300
4000
420
520
640
440
rt .ext
24*na¡
250
3800
200
800
400
CoXUi in iinancji H.T.
Tableau 6-2 : Coût de fonàtion dirrètne. linéalne [H.T. ) en fonction
du diairètne foné
[données FORAFRANe)
tía)
V
^_E t-a a:'
= 3o c
o
ol
o
7BU.
600.
500.
400.
300.
200.
100.
0.
-
-
-
1
,1^ 2'iO tm -
-
,^1ñn rm -
,1 1 c/1 i_ -,
'ik ns imi
PKoiondzuK M 1
0. 50. 100. 150. 200.
Tableau 6-3 : Evolution du câJt de
fonàtion [H.T.) en fonction de
la pnofondeur et du diamètne.
[données FCdfiFRAN)
Sc
^cCJ
l3
o
7S000.
60000.
4S000.
30000.
15000. '^
1 1
,^300 mm
/\.^250 mm
//
y^ ^^200 rm
j^^ ^'^ ^,^150 mm
^ ^--''C.--<î:^^*"5 mm
P/iojÇoncieu/i (m)
0. 50. 100. 150. -¿m.
209 -
6.1 - EVALUATION DU COUT DU DISPOSITIF CORAIL
Les éléments financiers concernant le forage, la pompe à chaleur,
l'installation les reliant, l'énergie, rassemblés ici correspondent au projet
CORAIL envisagé à Lannion. Suivant la dimension et les caractéristiques
d'autres projets, ces données seront utilisables ou devront être complétées.
6.1.1 - L'échangeur
Dans un souci de participation régionale, le Service Géologique de
Bretagne a recherché une entreprise de forages bretonne compétente et
disponible pour l'exécution du dispositif CORAIL à Lannion. Son choix s'est
porté sur la société FORAFRANCE. Celle-ci pour l'exécution de forages dans le
granite avec la technique du marteau fond de trou (rotation + percussion)
appliquait en juin 1983 les tarifs présentés tableau (6-1).
D'autres sociétés proposent peut-être des tarifs a priori plus
intéressants, mais la qualité des travaux est un facteur essentiel et
l'obligation de recommencer un forage - même bon marché - rend l'opération
plus onéreuse que la réalisation d'un seul forage a priori plus cher.
Ce devis met en évidence l'influence du diamètre, de la profondeur
du forage et de la nature du sous-sol sur le coût d'un dispositif CORAIL.
Pour un même diamètre, le coût du mètre foré augmente en
fonction de trois gammes de profondeur : 0-50 m, 50-100 m, 100-150 m, et ceci
d'autant plus que le diamètre est fort (cf. figure (6-2)).
Le coût de foration croît en fonction du diamètre, ce phénomène
est accentué au-delà du seuil de 200 millimètres par l'utilisation de machines
de forage plus importantes (cf. fiqure (6-3)).
La nature du terrain est également un facteur important. Une
formation saine permet la réalisation d'un forage en trou nu, la première
dizaine de mètres étant éventuellement tubée dans le cas d'un recouvrement de
surface plus meuble, tandis qu'une formation altérée nécessite la pose d'un
tubage pour maintenir le terrain et éviter les effondrements dans le forage.
Il en résulte un surcoût dû au tubage lui-même, à sa pose et cimentation, et à
la nécessité de forer en diamètre supérieur pour avoir un dispositif de la
taille de celui initialement prévu.
209 -
6.1 - EVALUATION DU COUT DU DISPOSITIF CORAIL
Les éléments financiers concernant le forage, la pompe à chaleur,
l'installation les reliant, l'énergie, rassemblés ici correspondent au projet
CORAIL envisagé à Lannion. Suivant la dimension et les caractéristiques
d'autres projets, ces données seront utilisables ou devront être complétées.
6.1.1 - L'échangeur
Dans un souci de participation régionale, le Service Géologique de
Bretagne a recherché une entreprise de forages bretonne compétente et
disponible pour l'exécution du dispositif CORAIL à Lannion. Son choix s'est
porté sur la société FORAFRANCE. Celle-ci pour l'exécution de forages dans le
granite avec la technique du marteau fond de trou (rotation + percussion)
appliquait en juin 1983 les tarifs présentés tableau (6-1).
D'autres sociétés proposent peut-être des tarifs a priori plus
intéressants, mais la qualité des travaux est un facteur essentiel et
l'obligation de recommencer un forage - même bon marché - rend l'opération
plus onéreuse que la réalisation d'un seul forage a priori plus cher.
Ce devis met en évidence l'influence du diamètre, de la profondeur
du forage et de la nature du sous-sol sur le coût d'un dispositif CORAIL.
Pour un même diamètre, le coût du mètre foré augmente en
fonction de trois gammes de profondeur : 0-50 m, 50-100 m, 100-150 m, et ceci
d'autant plus que le diamètre est fort (cf. figure (6-2)).
Le coût de foration croît en fonction du diamètre, ce phénomène
est accentué au-delà du seuil de 200 millimètres par l'utilisation de machines
de forage plus importantes (cf. fiqure (6-3)).
La nature du terrain est également un facteur important. Une
formation saine permet la réalisation d'un forage en trou nu, la première
dizaine de mètres étant éventuellement tubée dans le cas d'un recouvrement de
surface plus meuble, tandis qu'une formation altérée nécessite la pose d'un
tubage pour maintenir le terrain et éviter les effondrements dans le forage.
Il en résulte un surcoût dû au tubage lui-même, à sa pose et cimentation, et à
la nécessité de forer en diamètre supérieur pour avoir un dispositif de la
taille de celui initialement prévu.
- 210
Diamètre extérieuren mm
32
40
45
50
63
75
80
90
100
110
125
140
160
200
250
Tableau 6-4
i
Diamètre Prix H.T.INT. X EXT. ! du mètre linéaire
30,5 X 32 î 2,7526 X 32 1 7,00
38,5 X 40 i 3,2034 X 40 1 8,65
1
PoidsKo/m
0,1300,419
0,1630,535
42 X 45 4,75 i 0,3211 i
44 X 50 11, PO
57 X 63
72 X 7569 X 75
14,45
8,7016,30
77 X 80 1 8,6069 X 80 13,60
84 X 90 j 19,55
96,2 X 100 1 13,6094 X ion 19,90
105,6 X 110 1 18,30
120 X 125119 X 125
134 X 140
153,6 X 160153 X 160
192,2 X 200190,6 X 200
237,8 X 250
0,680
0,3590,870
0,5601,050
0,5800,920
1,260
0,9201,410
1,180
"' " i 23,4525,95
29,20
34,5537,50
52,0062,00
i25,no
1,5101,770
1,990
2,4502,660
3,6804,400
:Coûts des tubes nlgldes d'évacuationzn PVC .
[référence P.I.C Olivet 45)
Te
OIAM. EXTERIEUREN MM
12
16
20
25
32
40
50
63
75
90
110
125
140
160
200
225
250
315
ibleau 6-5 :Co
DIAH. INT. X EXT.EN MM
9,2 X 12
12,4 X 16
15,4 X 20
19,4 X 25
27,2 X 3224,8 X 32
34,0 X 4031 ,0 X 40
42,6 X 5038,8 X 50
53,6 X 63
64,0 X 75
81 ,4 X 9076,8 X 90
99,4 X 11093,8 X 110
113x0 X 125106,6 X 125
126/6 X 140
144,6 X 160
187,6 X 200180,8 X 200
203/4 , 225
234,6 X 250226,2 X 250
295,6 X 315285,0 X 315
ûts [H.T] des
PRIX H.T.OU METRE LINEAIRE
2,87
3,83
5,67
5.69
6,629 J2
9,6713,55
14,6321,08
22,56
31/49
30,6545,13
44,8665/44
57,3434,27
70/93
93,46
95,07141,48
219,58
193,04269^5
310,80s/demande
tubes d'ad-duction zn PVC.
données HURSIN-CWPÛ)
- 210
Diamètre extérieuren mm
32
40
45
50
63
75
80
90
100
110
125
140
160
200
250
Tableau 6-4
i
Diamètre Prix H.T.INT. X EXT. ! du mètre linéaire
30,5 X 32 î 2,7526 X 32 1 7,00
38,5 X 40 i 3,2034 X 40 1 8,65
1
PoidsKo/m
0,1300,419
0,1630,535
42 X 45 4,75 i 0,3211 i
44 X 50 11, PO
57 X 63
72 X 7569 X 75
14,45
8,7016,30
77 X 80 1 8,6069 X 80 13,60
84 X 90 j 19,55
96,2 X 100 1 13,6094 X ion 19,90
105,6 X 110 1 18,30
120 X 125119 X 125
134 X 140
153,6 X 160153 X 160
192,2 X 200190,6 X 200
237,8 X 250
0,680
0,3590,870
0,5601,050
0,5800,920
1,260
0,9201,410
1,180
"' " i 23,4525,95
29,20
34,5537,50
52,0062,00
i25,no
1,5101,770
1,990
2,4502,660
3,6804,400
:Coûts des tubes nlgldes d'évacuationzn PVC .
[référence P.I.C Olivet 45)
Te
OIAM. EXTERIEUREN MM
12
16
20
25
32
40
50
63
75
90
110
125
140
160
200
225
250
315
ibleau 6-5 :Co
DIAH. INT. X EXT.EN MM
9,2 X 12
12,4 X 16
15,4 X 20
19,4 X 25
27,2 X 3224,8 X 32
34,0 X 4031 ,0 X 40
42,6 X 5038,8 X 50
53,6 X 63
64,0 X 75
81 ,4 X 9076,8 X 90
99,4 X 11093,8 X 110
113x0 X 125106,6 X 125
126/6 X 140
144,6 X 160
187,6 X 200180,8 X 200
203/4 , 225
234,6 X 250226,2 X 250
295,6 X 315285,0 X 315
ûts [H.T] des
PRIX H.T.OU METRE LINEAIRE
2,87
3,83
5,67
5.69
6,629 J2
9,6713,55
14,6321,08
22,56
31/49
30,6545,13
44,8665/44
57,3434,27
70/93
93,46
95,07141,48
219,58
193,04269^5
310,80s/demande
tubes d'ad-duction zn PVC.
données HURSIN-CWPÛ)
211
Dans des argiles un forage de 100 à 150 mètres de profondeur, de
20 cm de diamètre avec un bouchon en ciment à la base, et équipé de tubes PVC
coûte de 120 à 150 000 francs (H.T.). Dans le granite un tel forage coûte
environ 31 500 à 45 000 francs (H.T.) pour un forage tube seulement sur les
10 premiers mètres et de 82 000 à 125 000 francs (H.T.) pour un forage tube
sur toute sa hauteur.
Le tubage Interne
Pour le coût du tubage interne, les prix communiqués par deux
entreprises orléanaises (P.I.C* et CM. P.O.**) en juin 1983, sont présentés
dans les tableaux (6-4) et (6-5). Le prix augmente en fonction du diamètre
extérieur et de l'épaisseur du tubage.
La pompe hydraullquz
Le débit d'eau envisagé dans le dispositif CORAIL à Lannion est
faible, de l'ordre de 3 m'h ^ ; les pertes de charge dans le forage sont donc
peu importantes, la formule de Colebrook conduit à des valeurs négligeables.
Dans ce cas, des pertes de charges singulières, mêmes élevées, n'empêcheront
pas l'utilisation d'une pompe en surface pour assurer la circulation de l'eau.
Le coût d'une telle pompe est relativement modeste. Un circulateur
type Salmson C III 5 tri coûtait 1 376 francs (H.T.) en mai 1983.
A Lannion dans le forage de reconnaissance F2 (voir chapitre 2) le
niveau piézométrique se trouve à 10 mètres sous le sol (7 jours après la
foration) .
Une pompe de surface ne peut pas remonter l'eau de 10 mètres ;
l'utilisation d'une telle pompe nécessite donc une mise en charge par rapport
au niveau piézométrique. Il en résultera des pertes hydrauliques vers le
terrain.
Une pompe immergée peut être utilisée. Une pompe de marque
Jeumont-Schneider type 22 FR coûte 2 930 francs (H.T.) et nécessite l'achat de
200 mètres de câble qui engendre une dépense de l'ordre de 2 600 francs
(H.T.).
* Plastique Industriel du Centre
** Caoutchouc Manufacture et Plastique Orléanais.
211
Dans des argiles un forage de 100 à 150 mètres de profondeur, de
20 cm de diamètre avec un bouchon en ciment à la base, et équipé de tubes PVC
coûte de 120 à 150 000 francs (H.T.). Dans le granite un tel forage coûte
environ 31 500 à 45 000 francs (H.T.) pour un forage tube seulement sur les
10 premiers mètres et de 82 000 à 125 000 francs (H.T.) pour un forage tube
sur toute sa hauteur.
Le tubage Interne
Pour le coût du tubage interne, les prix communiqués par deux
entreprises orléanaises (P.I.C* et CM. P.O.**) en juin 1983, sont présentés
dans les tableaux (6-4) et (6-5). Le prix augmente en fonction du diamètre
extérieur et de l'épaisseur du tubage.
La pompe hydraullquz
Le débit d'eau envisagé dans le dispositif CORAIL à Lannion est
faible, de l'ordre de 3 m'h ^ ; les pertes de charge dans le forage sont donc
peu importantes, la formule de Colebrook conduit à des valeurs négligeables.
Dans ce cas, des pertes de charges singulières, mêmes élevées, n'empêcheront
pas l'utilisation d'une pompe en surface pour assurer la circulation de l'eau.
Le coût d'une telle pompe est relativement modeste. Un circulateur
type Salmson C III 5 tri coûtait 1 376 francs (H.T.) en mai 1983.
A Lannion dans le forage de reconnaissance F2 (voir chapitre 2) le
niveau piézométrique se trouve à 10 mètres sous le sol (7 jours après la
foration) .
Une pompe de surface ne peut pas remonter l'eau de 10 mètres ;
l'utilisation d'une telle pompe nécessite donc une mise en charge par rapport
au niveau piézométrique. Il en résultera des pertes hydrauliques vers le
terrain.
Une pompe immergée peut être utilisée. Une pompe de marque
Jeumont-Schneider type 22 FR coûte 2 930 francs (H.T.) et nécessite l'achat de
200 mètres de câble qui engendre une dépense de l'ordre de 2 600 francs
(H.T.).
* Plastique Industriel du Centre
** Caoutchouc Manufacture et Plastique Orléanais.
213
6.1.2 - L'installation reliant le forage et la ponijge à chaleur
Il sera question ici du coût du raccordement du forage à la pompe
à chaleur qui nécessite le creusement d'une tranchée et la pose de tuyaux
d'évacuation des eaux.
Ce coût est fonction :
- de la distance forage - pompe à chaleur,
- de la nature du sous-sol qui influe sur le mode de
réalisation de la tranchée.
Dans un souci d'économie et lorsque les conditions géologiques et
hydrogéologiques le permettent, le forage sera réalisé le plus près possible
de la pompe à chaleur.
Coût de réalisation de la tranchée
Ce coût va dépendre de la nature du sous-sol et de la longueur de
la tranchée.
Le coût du mètre linéaire qui, pour un terrain peu dur varie entre
180 et 250 F, peut doubler à tripler dans un terrain rocheux.
Mais de manière générale, la tranchée sera réalisée dans les
couches superficielles du sol qui sont le plus souvent relativement meubles.
A Lannion la tranchée qui relie le forage à la pompe à chaleur
représente un coût de 11 373 F (H.T.) (chiffrage et réalisation des services
techniques municipaux).
Coût des tubes zn PVC
Des ordres de grandeur des coûts de ces matériels ont été
présentés plus haut dans les tableaux (6-A) et (6-5).
213
6.1.2 - L'installation reliant le forage et la ponijge à chaleur
Il sera question ici du coût du raccordement du forage à la pompe
à chaleur qui nécessite le creusement d'une tranchée et la pose de tuyaux
d'évacuation des eaux.
Ce coût est fonction :
- de la distance forage - pompe à chaleur,
- de la nature du sous-sol qui influe sur le mode de
réalisation de la tranchée.
Dans un souci d'économie et lorsque les conditions géologiques et
hydrogéologiques le permettent, le forage sera réalisé le plus près possible
de la pompe à chaleur.
Coût de réalisation de la tranchée
Ce coût va dépendre de la nature du sous-sol et de la longueur de
la tranchée.
Le coût du mètre linéaire qui, pour un terrain peu dur varie entre
180 et 250 F, peut doubler à tripler dans un terrain rocheux.
Mais de manière générale, la tranchée sera réalisée dans les
couches superficielles du sol qui sont le plus souvent relativement meubles.
A Lannion la tranchée qui relie le forage à la pompe à chaleur
représente un coût de 11 373 F (H.T.) (chiffrage et réalisation des services
techniques municipaux).
Coût des tubes zn PVC
Des ordres de grandeur des coûts de ces matériels ont été
présentés plus haut dans les tableaux (6-A) et (6-5).
- 214 -
Pompe àchaleur n°
TBB-23Mono ....Tri
TBB-25
TBB-35
TBB-50
TBB-65
TBB-75
TBB-100
TBB-125
TBB-200
TK-250-6
TK-300-6
TK-350-7
TK-400-7
TK-500-8
TK-600-8
TK-700-9
TK-800-10
TK-1 000-10
TK-1 000-2-8
TK-1 200-10
TK-1 200-2-8
TK-1 400-2-9
TK-1 600-2-10TK-1 800-2-10
TK-2000-2-10
TK-2200-2-11
TK-2400-2-1 1
Puissance calorifi¬que en kU pour unesource froide à 10°Cune source chaudeà 55''C
7,7
8,9
12,2
15,5
18,9
24,6
30/5
37,2
43/6
63
74
99
111
137
158
203
228
277
274
316
320
397
438
499
548
592
639
Prix public enfrancs (H.T.)
17 81017 490
19 320
20 500
22 495
26 660
31 925
36 465
38 620
42 320
57 100
60 000
71 115
75 270
85 545
90 950
116 690
125 205
138 070
169 225
155 725
179 820
215 9-ÎO
244 600
276 565
285 910
312 280
331 585
Coût d'uneisolationphonique
supplémentaire(francs)
>4 160
/ 7 835
( 8 570
Mise en routepar
installateur(francs)
)2 675
> 3 360
{ 3 560
Figure 6-6 : Prix public des pompes à dialeur CIAT - série. TBB et série TK[octabne 1983)
3ZBBZB.
3£
s 2BWBSI.
Coûtiroaae.
^0.
1
1
se.
1
1
l.
1
isa.
1
1
zae.
1 1 1
1 1 1
zse. saa. asa.
1
1
40a.
lllll
lllll
4SB. saa. 550. eaa. esa. 700.
Figure 6-7 : Evolution àx. coût des pompes à dialeur EALi/EAU
CIAT série TBB etTK[données CIAT - octobne 1983]
- 214 -
Pompe àchaleur n°
TBB-23Mono ....Tri
TBB-25
TBB-35
TBB-50
TBB-65
TBB-75
TBB-100
TBB-125
TBB-200
TK-250-6
TK-300-6
TK-350-7
TK-400-7
TK-500-8
TK-600-8
TK-700-9
TK-800-10
TK-1 000-10
TK-1 000-2-8
TK-1 200-10
TK-1 200-2-8
TK-1 400-2-9
TK-1 600-2-10TK-1 800-2-10
TK-2000-2-10
TK-2200-2-11
TK-2400-2-1 1
Puissance calorifi¬que en kU pour unesource froide à 10°Cune source chaudeà 55''C
7,7
8,9
12,2
15,5
18,9
24,6
30/5
37,2
43/6
63
74
99
111
137
158
203
228
277
274
316
320
397
438
499
548
592
639
Prix public enfrancs (H.T.)
17 81017 490
19 320
20 500
22 495
26 660
31 925
36 465
38 620
42 320
57 100
60 000
71 115
75 270
85 545
90 950
116 690
125 205
138 070
169 225
155 725
179 820
215 9-ÎO
244 600
276 565
285 910
312 280
331 585
Coût d'uneisolationphonique
supplémentaire(francs)
>4 160
/ 7 835
( 8 570
Mise en routepar
installateur(francs)
)2 675
> 3 360
{ 3 560
Figure 6-6 : Prix public des pompes à dialeur CIAT - série. TBB et série TK[octabne 1983)
3ZBBZB.
3£
s 2BWBSI.
Coûtiroaae.
^0.
1
1
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1
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1 1 1
zse. saa. asa.
1
1
40a.
lllll
lllll
4SB. saa. 550. eaa. esa. 700.
Figure 6-7 : Evolution àx. coût des pompes à dialeur EALi/EAU
CIAT série TBB etTK[données CIAT - octobne 1983]
- 215 -
6.1.3 - La pompe à chaleur
La Société CIAT (Compagnie Industrielle d'Applications Thermiques)
retenue par les services techniques municipaux de Lannion comme fournisseur
local, propose deux séries de pompe à chaleur EAU/EAU :
- la série TBB pour des puissances calorifiques de 5 à 60 kW,
- la série TK pour des puissances calorifiques de 80 à 700 kW.
Dans le cas du projet de Lannion la série TBB est envisagée.
Le tableau (6-6) présente les coûts de ces pompes à chaleur,
pratiqués à la date d'octobre 1983. Il s'agit de prix publics donnés par le
fabricant, départ usine, les tarifs pratiqués par les installateurs régionaux
pouvant être légèrement différents.
Ces coûts augmentent en fonction de la puissance calorifique que
peut fournir la pompe à chaleur (cf. fiqure (6-7)).
6.1.4 - Installation de chauffage
Des émetteurs de chaleur de grande surface conduisent à des
températures de distribution plus basses. Ceci, d'une part améliore le
coefficient de performance de la pompe à chaleur (chapitre 4), d'autre part
permet une exploitation plus favorable de l'échangeur CORAIL à un débit (Q)
plus fort et un écart de température (AG) plus faible (chapitre 5).
Globalement le bilan énergétique de l'installation est amélioré.
Dans le cas où le procédé CORAIL sera mis en oeuvre pour chauffer
des locaux neufs, l'on devra préférer des émetteurs à basse température. Dans
le cas de locaux anciens, le système existant sera utilisé. S'il est
totalement inadapté à l'utilisation de pompe à chaleur, le dispositif CORAIL
n'est pas à envisager.
Afin d'optimiser l'utilisation du dispositif CORAIL, il convient
d'installer un système de régulation programmable en fonction du temps ou/et
en fonction de la température. Dans le cas où un tel système existait avec
l'ancien dispositif de chauffage, il suffit de l'adapter. Le coût de ces
systèmes de régulation tels que les horloges programmables est relativement
faible (de l'ordre de 500 à 1 000 francs). Il est amorti dès la première année
de mise en service.
- 215 -
6.1.3 - La pompe à chaleur
La Société CIAT (Compagnie Industrielle d'Applications Thermiques)
retenue par les services techniques municipaux de Lannion comme fournisseur
local, propose deux séries de pompe à chaleur EAU/EAU :
- la série TBB pour des puissances calorifiques de 5 à 60 kW,
- la série TK pour des puissances calorifiques de 80 à 700 kW.
Dans le cas du projet de Lannion la série TBB est envisagée.
Le tableau (6-6) présente les coûts de ces pompes à chaleur,
pratiqués à la date d'octobre 1983. Il s'agit de prix publics donnés par le
fabricant, départ usine, les tarifs pratiqués par les installateurs régionaux
pouvant être légèrement différents.
Ces coûts augmentent en fonction de la puissance calorifique que
peut fournir la pompe à chaleur (cf. fiqure (6-7)).
6.1.4 - Installation de chauffage
Des émetteurs de chaleur de grande surface conduisent à des
températures de distribution plus basses. Ceci, d'une part améliore le
coefficient de performance de la pompe à chaleur (chapitre 4), d'autre part
permet une exploitation plus favorable de l'échangeur CORAIL à un débit (Q)
plus fort et un écart de température (AG) plus faible (chapitre 5).
Globalement le bilan énergétique de l'installation est amélioré.
Dans le cas où le procédé CORAIL sera mis en oeuvre pour chauffer
des locaux neufs, l'on devra préférer des émetteurs à basse température. Dans
le cas de locaux anciens, le système existant sera utilisé. S'il est
totalement inadapté à l'utilisation de pompe à chaleur, le dispositif CORAIL
n'est pas à envisager.
Afin d'optimiser l'utilisation du dispositif CORAIL, il convient
d'installer un système de régulation programmable en fonction du temps ou/et
en fonction de la température. Dans le cas où un tel système existait avec
l'ancien dispositif de chauffage, il suffit de l'adapter. Le coût de ces
systèmes de régulation tels que les horloges programmables est relativement
faible (de l'ordre de 500 à 1 000 francs). Il est amorti dès la première année
de mise en service.
- 216
Figure 6-8 tEvolution du prix des énergiespour le secteur domestique de 1973 à1981 : IndlcesINSEE à monnaie const¬ante base 100 en 1973 .
[d'après EPF [6-1] ) >
su .
2K -
200
KC - /
//
"m ^ ^ ^^
-«
t
'.'
ff
1
1
//~.,^
FIO'VL
CH*R«0N
GAC
ELECT! ICHE
1173 n77 Wtl 1BS5
Tableau 6-9:Tableau récapitulatifde l'évolution du prix des éner¬gies [en francs courants)- >-
Figure 6-10:Prlx de l'énergie dom¬
estique T.T.C. [maison Indlvidu-
ProduitENER¬GETI¬
QUE
ANNEE
1960
1965
1970
1971
1972
1973
1974
1975
1976
1977
1978
1979
1980
1981
1982
Charbon usagedoeiestique
(1)cts/th cts/kWhPCI PCI
3/34 2,87
3,52 3/03
4,24 3,65
4,45 3/83
4,77 4,10
5,04 4,33
5,08 4,37
6,78 5,83
7/42 6,3E
7,96 6,86
9,50 6,17
12,32 10,59
.55 12,5
15/9^p, "'Ip,
Electricitécentines/kuh
hor.«> ta.il'taxes comprises
18,89
16/72
19,37
20,01
20,47
20,75 25,59
23,27
25,22
27,17
28,98
30,50 35,73
33,33 45,59
40,06 53,25
43,99 60,93
Fiouldomestique
T.T.C.
F/it'cts/kWhpc:
24 2,41
27 2/71
29 2/91
30 3,02
55 5,53
59 5/93
69 6/93
78 7,84
85 8,54
108 10,85
159 15,98
204 20,50
240 24,12
Fioul lourd n 2départ raffi¬nerie (H.T.)
F^t' ets/kWh
PCI
96 0,85
118 1/04
124 1/10
117 1,04
246 2,18
334 2,96
336 2,97
389 3,44
404 3,58
540 4,78
790 6,99
1102 9,75
1261 11,16
6a2 usagedonestiquehors taxes
PCS
"HPCI
7,49 6,81
6,12 5,5t
5,62 5,11
5,91 5,37
5,99 5,44
5,99 5,44
6/92 6,29
8,48 7,71
8,69 7,90
9,08 8,25
9,53 8,66
9,96 9,05
12,79 11,63
16,08 14,62
19,52 17,74
elle] dans la région parls-tenne (p) : provisoire
[Versailles] au 7 5 avril 1983. [^ ; \Zll T" '"""'" '"' " "*''"" " '''""'"[données Energie plus [6-2]) (3) : source Annales des «ines
(4) : Moyenne annuelle, source Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie(5) : Moyenne annuelle, source 6a2 Oe France.
chaubontu NATUREL
FUa DOMESTIQUE
PROPANE
UniiÉoc
lanumisn
kWti/PCS
ÉUCTRICITÍ
Tmi éltarieuc (omiuc mil)Ipni mrpnil (1) Imita crctuei)
kwntkWt»
Pni rrndi'
F/UniU
1650.000,237
257.10433S.15
0.S9E0.321
Foimitf citoTiiiauFvilfriiur apwoiimiti!
kWh/Uniie
I8D1O90S
99Í12 790
r II. laiiB.! ; . . I
t/kWliPD ,5/03^,583
11
IB.S2C.1
25.833.3
59.B32.1
-H.t7,8
+ 9.7+ 9.E
(bMr 100 cr. I I
. 15731 ¡
47i,e4E3,<
I023,£519,1
389,£521, S
Ul un
L«i pni retenu» corresponoeni aux conaiiions oe Itvraison/icnfs applicables a une maiaon infliviouelle tres bi«n isolseliype laoel nauic isolationicnauttsc par cnacune o«s Iprmei a enargic inoiQueeî
Cnarsen : antnracine 20 ou Noro Pas 0« Calais Livraison 1 s 2 t. par sacs oe 50 koGai naturel : tiril 3 Gd inomiaucl, pour consommation oe 25 000 klArn PCS.'anFuel demeitiQuc : livraison par camion citerne, comprise entre 2000 et 4999 litres (tarit CI Zone D}PrODane : livraison oar camion citerne Livraison unitaire 701 a 1300 kg . ¿one BEleetrlcne ; Tant ET tout électrioue, oouDie laril (compteurs naurea pleines et heures creuses) Puissance souscrite 12 kVA Consommation
13 000 ktvn/an, dont 5 OOO en heures creuset. Le taux oes uxes municipales et depanemenule verient selon les localités (resoectivemeni entre Oe-I BV e! 0 et 4V sur 80S. cu pri. total hors tva). elles sont ici prises égaies a leur valeur a versatiles, bo>: 2 fi = lOV Aim oe tenir compte oe lej oossioiiiie oe prooucnon o eeu criauoe sanitaire en heures creuses. le prix eu ktwn corresponoani a également ete inotoue
- 216
Figure 6-8 tEvolution du prix des énergiespour le secteur domestique de 1973 à1981 : IndlcesINSEE à monnaie const¬ante base 100 en 1973 .
[d'après EPF [6-1] ) >
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FIO'VL
CH*R«0N
GAC
ELECT! ICHE
1173 n77 Wtl 1BS5
Tableau 6-9:Tableau récapitulatifde l'évolution du prix des éner¬gies [en francs courants)- >-
Figure 6-10:Prlx de l'énergie dom¬
estique T.T.C. [maison Indlvidu-
ProduitENER¬GETI¬
QUE
ANNEE
1960
1965
1970
1971
1972
1973
1974
1975
1976
1977
1978
1979
1980
1981
1982
Charbon usagedoeiestique
(1)cts/th cts/kWhPCI PCI
3/34 2,87
3,52 3/03
4,24 3,65
4,45 3/83
4,77 4,10
5,04 4,33
5,08 4,37
6,78 5,83
7/42 6,3E
7,96 6,86
9,50 6,17
12,32 10,59
.55 12,5
15/9^p, "'Ip,
Electricitécentines/kuh
hor.«> ta.il'taxes comprises
18,89
16/72
19,37
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20,47
20,75 25,59
23,27
25,22
27,17
28,98
30,50 35,73
33,33 45,59
40,06 53,25
43,99 60,93
Fiouldomestique
T.T.C.
F/it'cts/kWhpc:
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30 3,02
55 5,53
59 5/93
69 6/93
78 7,84
85 8,54
108 10,85
159 15,98
204 20,50
240 24,12
Fioul lourd n 2départ raffi¬nerie (H.T.)
F^t' ets/kWh
PCI
96 0,85
118 1/04
124 1/10
117 1,04
246 2,18
334 2,96
336 2,97
389 3,44
404 3,58
540 4,78
790 6,99
1102 9,75
1261 11,16
6a2 usagedonestiquehors taxes
PCS
"HPCI
7,49 6,81
6,12 5,5t
5,62 5,11
5,91 5,37
5,99 5,44
5,99 5,44
6/92 6,29
8,48 7,71
8,69 7,90
9,08 8,25
9,53 8,66
9,96 9,05
12,79 11,63
16,08 14,62
19,52 17,74
elle] dans la région parls-tenne (p) : provisoire
[Versailles] au 7 5 avril 1983. [^ ; \Zll T" '"""'" '"' " "*''"" " '''""'"[données Energie plus [6-2]) (3) : source Annales des «ines
(4) : Moyenne annuelle, source Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie(5) : Moyenne annuelle, source 6a2 Oe France.
chaubontu NATUREL
FUa DOMESTIQUE
PROPANE
UniiÉoc
lanumisn
kWti/PCS
ÉUCTRICITÍ
Tmi éltarieuc (omiuc mil)Ipni mrpnil (1) Imita crctuei)
kwntkWt»
Pni rrndi'
F/UniU
1650.000,237
257.10433S.15
0.S9E0.321
Foimitf citoTiiiauFvilfriiur apwoiimiti!
kWh/Uniie
I8D1O90S
99Í12 790
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t/kWliPD ,5/03^,583
11
IB.S2C.1
25.833.3
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-H.t7,8
+ 9.7+ 9.E
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. 15731 ¡
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I023,£519,1
389,£521, S
Ul un
L«i pni retenu» corresponoeni aux conaiiions oe Itvraison/icnfs applicables a une maiaon infliviouelle tres bi«n isolseliype laoel nauic isolationicnauttsc par cnacune o«s Iprmei a enargic inoiQueeî
Cnarsen : antnracine 20 ou Noro Pas 0« Calais Livraison 1 s 2 t. par sacs oe 50 koGai naturel : tiril 3 Gd inomiaucl, pour consommation oe 25 000 klArn PCS.'anFuel demeitiQuc : livraison par camion citerne, comprise entre 2000 et 4999 litres (tarit CI Zone D}PrODane : livraison oar camion citerne Livraison unitaire 701 a 1300 kg . ¿one BEleetrlcne ; Tant ET tout électrioue, oouDie laril (compteurs naurea pleines et heures creuses) Puissance souscrite 12 kVA Consommation
13 000 ktvn/an, dont 5 OOO en heures creuset. Le taux oes uxes municipales et depanemenule verient selon les localités (resoectivemeni entre Oe-I BV e! 0 et 4V sur 80S. cu pri. total hors tva). elles sont ici prises égaies a leur valeur a versatiles, bo>: 2 fi = lOV Aim oe tenir compte oe lej oossioiiiie oe prooucnon o eeu criauoe sanitaire en heures creuses. le prix eu ktwn corresponoani a également ete inotoue
- 217
6.1.5 - L'énergie
Depuis 1973, le coût de l'énergie, notamment d'origine pétrolière a
largement augmenté : le prix en francs constants* (1973) du fuel a triplé
entre 1973 et 1983 alors que celui de l'électricité n'a que peu évolué. Ceci à
cause de l'augmentation de production d'électricité d'origine nucléaire (cf.
fiqure (6-B) d'après EDF [ô-l])-
Les données publiées par différents organismes (Gaz de France,
Direction des Hydrocarbures, ...) sur le coût des différentes énergies ne sont
pas homogènes : les taxes ne sont pas systématiquement prises en compte et les
unités de facturation sont variables (m', tonne, kWh,...). Néanmoins la
consultation des différentes données [1-4, 1-5] a permis de réunir leséléments intéressants dans le tableau (6-9). Rappelons que le kWh PCI ne tient
pas compte du rendement du système de chauffage envisagé et que dans le calcul
du coût c'est un élément à ne pas oublier.
Les données de coût utilisées sont celles publiées mensuellement
par la revue "Energie plus" [6-2J. Il s'agit du coût de l'énergie domestique
pour les particuliers, dans la région parisienne (cf. fiqure (6-lD)). Ces
tarifs ne sont pas exactement ceux pratiqués en Bretagne (en particulier pour
le fioul domestique) mais les différences n'introduisent pas de variationsignificative dans les calculs économiques réalisés.
Lorsque le chauffage est assuré par électricité ou gaz naturel, le
montant de l'abonnement, fonction de la puissance souscrite, intervient dans
les dépenses. Dans le cas d'un chauffage électrique le coût de l'abonnement
peut être mis en parallèle avec l'investissement lié à la chaudière d'un
chauffage par combustion (FOD, charbon). Pour le projet CORAIL à Lannion,
l'installation de la pompe à chaleur ne nécessite pas de changer de type
d'abonnement, on ne tiendra donc pas compte du coût de ce dernier.
* Francs constants : valeur de la monnaire ramenée à une date t, en tenant
compte du taux d'actualisation.
- 217
6.1.5 - L'énergie
Depuis 1973, le coût de l'énergie, notamment d'origine pétrolière a
largement augmenté : le prix en francs constants* (1973) du fuel a triplé
entre 1973 et 1983 alors que celui de l'électricité n'a que peu évolué. Ceci à
cause de l'augmentation de production d'électricité d'origine nucléaire (cf.
fiqure (6-B) d'après EDF [ô-l])-
Les données publiées par différents organismes (Gaz de France,
Direction des Hydrocarbures, ...) sur le coût des différentes énergies ne sont
pas homogènes : les taxes ne sont pas systématiquement prises en compte et les
unités de facturation sont variables (m', tonne, kWh,...). Néanmoins la
consultation des différentes données [1-4, 1-5] a permis de réunir leséléments intéressants dans le tableau (6-9). Rappelons que le kWh PCI ne tient
pas compte du rendement du système de chauffage envisagé et que dans le calcul
du coût c'est un élément à ne pas oublier.
Les données de coût utilisées sont celles publiées mensuellement
par la revue "Energie plus" [6-2J. Il s'agit du coût de l'énergie domestique
pour les particuliers, dans la région parisienne (cf. fiqure (6-lD)). Ces
tarifs ne sont pas exactement ceux pratiqués en Bretagne (en particulier pour
le fioul domestique) mais les différences n'introduisent pas de variationsignificative dans les calculs économiques réalisés.
Lorsque le chauffage est assuré par électricité ou gaz naturel, le
montant de l'abonnement, fonction de la puissance souscrite, intervient dans
les dépenses. Dans le cas d'un chauffage électrique le coût de l'abonnement
peut être mis en parallèle avec l'investissement lié à la chaudière d'un
chauffage par combustion (FOD, charbon). Pour le projet CORAIL à Lannion,
l'installation de la pompe à chaleur ne nécessite pas de changer de type
d'abonnement, on ne tiendra donc pas compte du coût de ce dernier.
* Francs constants : valeur de la monnaire ramenée à une date t, en tenant
compte du taux d'actualisation.
219
Les systèmes de chauffage traditionnels utilisent une source
d'énergie : combustible solide, liquide ou gazeux, électricité. Le dispositif
CORAIL consomme de l'électricité pour le fonctionnement de la pompe à chaleur
et des auxiliaires, et éventuellement du combustible en appoint.
L'utilisation du dispositif CORAIL présente un double intérêt :
- financier qui dépend des performances de l'installation (COP
de la pompe à chaleur, taux de couverture),
- énergétique qui est lié au nombre de tep déplacées ; dans la
mesure où l'électricité, qui substitue le combustible précédemment utilisé,
est d'origine française, le taux d'indépendance énergétique augmente.
6.2 - LE PROJET DE LANNION
En premier lieu, rappelons que le projet étudié présente un
caractère expérimental.
6.2.1 - Coût de la réalisation
Une installation appelée de référence a été définie (chapitre 3,
p.l03). La prévision des performances de celle-ci et des variantes envisagées a
été réalisée par la mise en oeuvre du logiciel BILAN (chapitre 5).Par ailleurs, les conditions géologiques et hydrogéologiques
(chapitre 2), en particulier le niveau piézométrique mesuré dans le forage Fj
(- 10 mètres sous le sol), ont conduit à envisager 3 dispositifs :
- un forage tube sur les premiers mètres avec une pompe de surface,
- un forage tube sur les premiers mètres et une pompe immergée,
- un forage tube sur toute sa hauteur avec une pompe de surface.
Le choix parmi ces dispositifs, a priori difficile, pourra être
retenu après la réalisation du forage définitif (prévue le premier semestre
1985).
219
Les systèmes de chauffage traditionnels utilisent une source
d'énergie : combustible solide, liquide ou gazeux, électricité. Le dispositif
CORAIL consomme de l'électricité pour le fonctionnement de la pompe à chaleur
et des auxiliaires, et éventuellement du combustible en appoint.
L'utilisation du dispositif CORAIL présente un double intérêt :
- financier qui dépend des performances de l'installation (COP
de la pompe à chaleur, taux de couverture),
- énergétique qui est lié au nombre de tep déplacées ; dans la
mesure où l'électricité, qui substitue le combustible précédemment utilisé,
est d'origine française, le taux d'indépendance énergétique augmente.
6.2 - LE PROJET DE LANNION
En premier lieu, rappelons que le projet étudié présente un
caractère expérimental.
6.2.1 - Coût de la réalisation
Une installation appelée de référence a été définie (chapitre 3,
p.l03). La prévision des performances de celle-ci et des variantes envisagées a
été réalisée par la mise en oeuvre du logiciel BILAN (chapitre 5).Par ailleurs, les conditions géologiques et hydrogéologiques
(chapitre 2), en particulier le niveau piézométrique mesuré dans le forage Fj
(- 10 mètres sous le sol), ont conduit à envisager 3 dispositifs :
- un forage tube sur les premiers mètres avec une pompe de surface,
- un forage tube sur les premiers mètres et une pompe immergée,
- un forage tube sur toute sa hauteur avec une pompe de surface.
Le choix parmi ces dispositifs, a priori difficile, pourra être
retenu après la réalisation du forage définitif (prévue le premier semestre
1985).
- 220 -
Dispositi f
Opération
- Tubage central
- Pompe hydrau-
TOTAL H.T.Dispositif CORAIL
- Raccordementavec La PAC
- Pompe à cha-
TOTAL H.T.
TOTAL T.T.C.
Forage non tubeet pompe en
surface
31 500
2 150''-'''
1 336
34 986
11 373
21 935
68 294
81 000
Forage non tubeet pompeimmerqée
31 500
5 000*
2 9302 600
42 030
11 373
21 935
75 338
89 350
Forage tubeet pompe en
surface
82 000*
2 150''-'''
1 336
85 486
11 373
29 977*
126 836
150 428
* estimatif
(1) P.V.C. de diamètre 38,8 x 50 mm (coût CM. P.O.)
Tableau 6-11 : Coût des trois dispositifs envisagés.
- 220 -
Dispositi f
Opération
- Tubage central
- Pompe hydrau-
TOTAL H.T.Dispositif CORAIL
- Raccordementavec La PAC
- Pompe à cha-
TOTAL H.T.
TOTAL T.T.C.
Forage non tubeet pompe en
surface
31 500
2 150''-'''
1 336
34 986
11 373
21 935
68 294
81 000
Forage non tubeet pompeimmerqée
31 500
5 000*
2 9302 600
42 030
11 373
21 935
75 338
89 350
Forage tubeet pompe en
surface
82 000*
2 150''-'''
1 336
85 486
11 373
29 977*
126 836
150 428
* estimatif
(1) P.V.C. de diamètre 38,8 x 50 mm (coût CM. P.O.)
Tableau 6-11 : Coût des trois dispositifs envisagés.
221
Fonage non tube, pompe hydraulique de surface
Le forage, tube seulement sur les premiers mètres (une dizaine),
est rempli d'eau. Les pertes de charges étant faibles, la circulation de l'eau
est maintenue par un simple circulateur de surface.
La mise en charge par rapport au niveau piézométrique (-10 mètres)
va provoquer des pertes hydrauliques vers le terrain qu'il faudra compenser
par un apport d'eau (du réseau par exemple). Dans un granite peu altéré et non
fracturé les valeurs de conductivité hydraulique s'établissent entre 10"^ et
10 ^^ m s ' ; le débit des pertes sera donc faible : de l'ordre du litre à lavingtaine de litres par heure. Ce débit, faible dans le cas présent, peut être
beaucoup plus fort dans le cas d'un granite altéré et/ou fissuré.
Le montant de la réalisation d'un tel dispositif s'élève
à 81 000 francs (T.T.C.) (détail tableau (6-11)).
Forage non tube et pompe immergez
Le pompe immergée de type 22 FR de Jeumont-Schneider par exemple,
permet de relever l'eau jusqu'à la surface. Le montant de la réalisation d'un
tel dispositif est de l'ordre de 90 000 francs (T.T.C.) (détail
tableau (6-11)).
Fonagz tube et pompz zn surface
Pour éviter le problème des pertes hydrauliques, le forage sera
équipé d'un tubage cimenté. La cimentation nécessaire pour la bonne tenue du
forage améliore également le contact thermique entre le terrain et le fluide.
Dans ces conditions d'étanchéité, l'utilisation d'eau glycolée est possible.
Autorisant une température plus basse en sortie d'évaporateur de la pompe à
chaleur, elle permet une meilleure exploitation de celle-ci, et le bilan
énergétique de l'installation globale est meilleur.
Le montant de la réalisation de ce dispositif est de l'ordre de
150 500 francs (T.T.C.) (détail tableau (6-11)).
Remarque
Dans le montant relativement élevé (80 000 à 150 000 francs TTC)des dispositifs envisagés ici, la part de l'investissement liée au foragereprésente 42 à 65 ?ó, et celle de la pompe à chaleur 24 à 32 %. Lesimportances relatives de ces deux éléments sont indépendantes.
221
Fonage non tube, pompe hydraulique de surface
Le forage, tube seulement sur les premiers mètres (une dizaine),
est rempli d'eau. Les pertes de charges étant faibles, la circulation de l'eau
est maintenue par un simple circulateur de surface.
La mise en charge par rapport au niveau piézométrique (-10 mètres)
va provoquer des pertes hydrauliques vers le terrain qu'il faudra compenser
par un apport d'eau (du réseau par exemple). Dans un granite peu altéré et non
fracturé les valeurs de conductivité hydraulique s'établissent entre 10"^ et
10 ^^ m s ' ; le débit des pertes sera donc faible : de l'ordre du litre à lavingtaine de litres par heure. Ce débit, faible dans le cas présent, peut être
beaucoup plus fort dans le cas d'un granite altéré et/ou fissuré.
Le montant de la réalisation d'un tel dispositif s'élève
à 81 000 francs (T.T.C.) (détail tableau (6-11)).
Forage non tube et pompe immergez
Le pompe immergée de type 22 FR de Jeumont-Schneider par exemple,
permet de relever l'eau jusqu'à la surface. Le montant de la réalisation d'un
tel dispositif est de l'ordre de 90 000 francs (T.T.C.) (détail
tableau (6-11)).
Fonagz tube et pompz zn surface
Pour éviter le problème des pertes hydrauliques, le forage sera
équipé d'un tubage cimenté. La cimentation nécessaire pour la bonne tenue du
forage améliore également le contact thermique entre le terrain et le fluide.
Dans ces conditions d'étanchéité, l'utilisation d'eau glycolée est possible.
Autorisant une température plus basse en sortie d'évaporateur de la pompe à
chaleur, elle permet une meilleure exploitation de celle-ci, et le bilan
énergétique de l'installation globale est meilleur.
Le montant de la réalisation de ce dispositif est de l'ordre de
150 500 francs (T.T.C.) (détail tableau (6-11)).
Remarque
Dans le montant relativement élevé (80 000 à 150 000 francs TTC)des dispositifs envisagés ici, la part de l'investissement liée au foragereprésente 42 à 65 ?ó, et celle de la pompe à chaleur 24 à 32 %. Lesimportances relatives de ces deux éléments sont indépendantes.
222
6.2.2 - Etude de faisabilité
Dans un premier temps, l'étude de faisabilité du projet de Lannion
a été réalisée de façon simple.
On détermine, dans les conditions de fonctionnement définies pour
l'école du Rusquet :
- l'énergie fournie par le dispositif CORAIL à l'évaporateur
de la pompe à chaleur,
- l'énergie délivrée par la pompe à chaleur compte tenu de
son coefficient de performance,
- la consommation d'électricité,
- la consommation de FOD d'appoint.
Compte tenu du coût des combustibles, l'économie financière
annuelle, par rapport à l'ancien dispositif de chauffage, est immédiate.
L'investissement étant connu grâce aux éléments présentés dans le
paragraphe 6.1, on détermine alors le temps de retour brut.
Ce terme, défini par le rapport du montant des investissements (I)aux économies annuelles (B), mesure le délai à l'issue duquel les économies
d'exploitation engendrées par l'investissement sont égales au montant de cet
investissement.
Ce temps de retour est qualifié de "brut" car il ne tient pas
compte :
des charges liées à l'investissement telles que le
remboursement des emprunts (ce qui revient à considérer l'investissement
effectué en globalité à l'année zéro),
- du taux d'actualisation*.
Les dépenses liées à l'entretien et au renouvellement du matériel
ne sont pas non plus considérées. A Lannion, les services techniques
municipaux qui s'occupent du système actuel de chauffage, assureront
l'entretien du futur dispositif.
* Le taux d'actualisation traduit le fait qu'une somme 5 d'argent n'a pas même
valeur à l'année t qu'à l'année t+n. Il permet de comparer des sommes
d'argent perçues ou versées à différentes dates. S=\l. à l'année t équivaut à
S(l+a) = V. , à l'année t+1 et S(l+a) = V. à l'année t+n. la valeur d'unet+1 t+n
somme à l'année t+n est ramenée à l'année t par : V. /(1+a) = V,. -,. .
222
6.2.2 - Etude de faisabilité
Dans un premier temps, l'étude de faisabilité du projet de Lannion
a été réalisée de façon simple.
On détermine, dans les conditions de fonctionnement définies pour
l'école du Rusquet :
- l'énergie fournie par le dispositif CORAIL à l'évaporateur
de la pompe à chaleur,
- l'énergie délivrée par la pompe à chaleur compte tenu de
son coefficient de performance,
- la consommation d'électricité,
- la consommation de FOD d'appoint.
Compte tenu du coût des combustibles, l'économie financière
annuelle, par rapport à l'ancien dispositif de chauffage, est immédiate.
L'investissement étant connu grâce aux éléments présentés dans le
paragraphe 6.1, on détermine alors le temps de retour brut.
Ce terme, défini par le rapport du montant des investissements (I)aux économies annuelles (B), mesure le délai à l'issue duquel les économies
d'exploitation engendrées par l'investissement sont égales au montant de cet
investissement.
Ce temps de retour est qualifié de "brut" car il ne tient pas
compte :
des charges liées à l'investissement telles que le
remboursement des emprunts (ce qui revient à considérer l'investissement
effectué en globalité à l'année zéro),
- du taux d'actualisation*.
Les dépenses liées à l'entretien et au renouvellement du matériel
ne sont pas non plus considérées. A Lannion, les services techniques
municipaux qui s'occupent du système actuel de chauffage, assureront
l'entretien du futur dispositif.
* Le taux d'actualisation traduit le fait qu'une somme 5 d'argent n'a pas même
valeur à l'année t qu'à l'année t+n. Il permet de comparer des sommes
d'argent perçues ou versées à différentes dates. S=\l. à l'année t équivaut à
S(l+a) = V. , à l'année t+1 et S(l+a) = V. à l'année t+n. la valeur d'unet+1 t+n
somme à l'année t+n est ramenée à l'année t par : V. /(1+a) = V,. -,. .
223
Le dispositif CORAIL fonctionne au débit de 3,1 m^ h ^ durant
1620 heures (durée de fonctionnement du chauffage de l'école du Rusquet).
L'énergie fournie à l'évaporateur de la pompe à chaleur qui exploite un écart
de 2°C, s'élève alors à :
X 4,18.10^ X 2 X 1620 = 11 662 kWh3600
- 1 - -3.,-l^s J m K K heuresm s
La pompe à chaleur, d'un coefficient de performance moyen de 3,
fournit donc : 17 493 kWh , soit 67 % des besoins de l'école (= 26 000 kWh
d'énergie utile couverts par 3528 litres de FOD consommés durant l'hiver
1982-1983).
L'économie annuelle réalisée est de 2 376 litres de FOD.
Le fonctionnement de la pompe à chaleur nécessite 5 831 kWh
électriques.
La prise en compte des coûts (à la date du 15 avril 1983) :
- de l'hectolitre de FOD : 257,10 francs,
- du kilowattheure électrique : 0,598 francs
conduit à une économie financière annuelle de :
23,76 X 257,10 - 5831 x 0,598 = 2 622 francs
Ceci pour un investissement de 81 000 à 90 000 francs T.T.C. (dispositifs 1 et
2). Le temps de retour brut du projet s'élève alors de 30,9 à 34,3 ans.
Le 3ème dispositif (forage tube et utilisation de la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 75 avec eau glycolée) permet de couvrir complètement les
besoins. On peut donc considérer l'achat de la pompe à chaleur, remplaçant
totalement la chaudière, comme un renouvellement de celle-ci et
l'investissement propre au projet s'élève alors à 115 000 francs (T.T.C).
Les 3 528 litres de FOD sont économisés et 8 660 kWh sont dépensés
pour le fonctionnement de la pompe à chaleur.
L'économie financière annuelle est donc de :
35,28 X 257,10 - 8660 x 0,598 = 3892 francs,
ce qui conduit à un temps de retour brut de 29,5 ans.
Cette étude de faisabilité rapide conduit à des temps de retour
bruts, de l'ordre de 30 ans, relativement importants pour un projet de cette
envergure. Dans le paragraphe suivant les résultats du chapitre 5 seront
utilisés pour comparer les différentes variantes.
223
Le dispositif CORAIL fonctionne au débit de 3,1 m^ h ^ durant
1620 heures (durée de fonctionnement du chauffage de l'école du Rusquet).
L'énergie fournie à l'évaporateur de la pompe à chaleur qui exploite un écart
de 2°C, s'élève alors à :
X 4,18.10^ X 2 X 1620 = 11 662 kWh3600
- 1 - -3.,-l^s J m K K heuresm s
La pompe à chaleur, d'un coefficient de performance moyen de 3,
fournit donc : 17 493 kWh , soit 67 % des besoins de l'école (= 26 000 kWh
d'énergie utile couverts par 3528 litres de FOD consommés durant l'hiver
1982-1983).
L'économie annuelle réalisée est de 2 376 litres de FOD.
Le fonctionnement de la pompe à chaleur nécessite 5 831 kWh
électriques.
La prise en compte des coûts (à la date du 15 avril 1983) :
- de l'hectolitre de FOD : 257,10 francs,
- du kilowattheure électrique : 0,598 francs
conduit à une économie financière annuelle de :
23,76 X 257,10 - 5831 x 0,598 = 2 622 francs
Ceci pour un investissement de 81 000 à 90 000 francs T.T.C. (dispositifs 1 et
2). Le temps de retour brut du projet s'élève alors de 30,9 à 34,3 ans.
Le 3ème dispositif (forage tube et utilisation de la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 75 avec eau glycolée) permet de couvrir complètement les
besoins. On peut donc considérer l'achat de la pompe à chaleur, remplaçant
totalement la chaudière, comme un renouvellement de celle-ci et
l'investissement propre au projet s'élève alors à 115 000 francs (T.T.C).
Les 3 528 litres de FOD sont économisés et 8 660 kWh sont dépensés
pour le fonctionnement de la pompe à chaleur.
L'économie financière annuelle est donc de :
35,28 X 257,10 - 8660 x 0,598 = 3892 francs,
ce qui conduit à un temps de retour brut de 29,5 ans.
Cette étude de faisabilité rapide conduit à des temps de retour
bruts, de l'ordre de 30 ans, relativement importants pour un projet de cette
envergure. Dans le paragraphe suivant les résultats du chapitre 5 seront
utilisés pour comparer les différentes variantes.
- 224 -
Energie j= E \payante j
Energie ]rratuite j
Energie ut i i e '¡-urnie "ar L'arnoint(EAPD
Energie électrique (EELEC+EAUX)
Energie prélevée par le dispositif
CORAIL (ESF)
> 1-X
Figure 6-12 : Représentation qualitative schématiquedu bilan énergétique de l' installation.
[énergie utile)
- 224 -
Energie j= E \payante j
Energie ]rratuite j
Energie ut i i e '¡-urnie "ar L'arnoint(EAPD
Energie électrique (EELEC+EAUX)
Energie prélevée par le dispositif
CORAIL (ESF)
> 1-X
Figure 6-12 : Représentation qualitative schématiquedu bilan énergétique de l' installation.
[énergie utile)
- 225 -
6.3 - ECONOMIES REALISEES PAR LES DIFFERENTES VARIANTES ENVISAGEES
Après quelques remarques générales sur les dépenses et économies
liées au fonctionnement du dispositif CORAIL, les résultats du bilan de
l'installation globale, présentés au chapitre 5, seront utilisés pour comparer
d'un point de vue économique les différentes variantes envisagées.
6.3.1 - Rennargues générales
En cas d'utilisation du dispositif CORAIL, le chauffage est
assuré par :
- l'énergie fournie par la pompe à chaleur, somme de l'énergie
prélevée par le dispositif CORAIL sur le sous-sol et de l'énergie électrique
consommée par la pompe à chaleur (hors pertes), soit :
^PAC = ^SF * hlEC ^^-^l^
avec Ep.p : énergie délivrée par la pompe à chaleur,
E_p : énergie prélevée par le dispositif CORAIL,
Er-, pp : énergie électrique consommée par la pompe à chaleur.
- l'énergie éventuellement produite par le combustible d'appoint.
soit E^pp.
Le fonctionnement des auxiliaires (pompe de circulation) nécessite
une consommation d'électricité, soit E!...y.
Le logiciel BILAN calcule ces différents éléments (Ep.p, E_|_,
Ej-. pp, E.pp, E...y) dont la fiqure (6-12) donne une représentation qualitative,
sans aucune notion quantitative quant aux performances de l'installation.
La démarche présentée ci-dessous pour caractériser les dépenses
liées à l'utilisation du dispositif CORAIL correspond à une analyse du
problème à partir des éléments calculés par le logiciel BILAN. D'autres
manières de procéder sont possibles : er, particulier en tenant compte du COP
de 1' installaion. Pour Lannion, celui-ci n'est pour l'instant pas connu par
des mesures, tandis que le rendement du chauffage d'appoint l'est.
- 225 -
6.3 - ECONOMIES REALISEES PAR LES DIFFERENTES VARIANTES ENVISAGEES
Après quelques remarques générales sur les dépenses et économies
liées au fonctionnement du dispositif CORAIL, les résultats du bilan de
l'installation globale, présentés au chapitre 5, seront utilisés pour comparer
d'un point de vue économique les différentes variantes envisagées.
6.3.1 - Rennargues générales
En cas d'utilisation du dispositif CORAIL, le chauffage est
assuré par :
- l'énergie fournie par la pompe à chaleur, somme de l'énergie
prélevée par le dispositif CORAIL sur le sous-sol et de l'énergie électrique
consommée par la pompe à chaleur (hors pertes), soit :
^PAC = ^SF * hlEC ^^-^l^
avec Ep.p : énergie délivrée par la pompe à chaleur,
E_p : énergie prélevée par le dispositif CORAIL,
Er-, pp : énergie électrique consommée par la pompe à chaleur.
- l'énergie éventuellement produite par le combustible d'appoint.
soit E^pp.
Le fonctionnement des auxiliaires (pompe de circulation) nécessite
une consommation d'électricité, soit E!...y.
Le logiciel BILAN calcule ces différents éléments (Ep.p, E_|_,
Ej-. pp, E.pp, E...y) dont la fiqure (6-12) donne une représentation qualitative,
sans aucune notion quantitative quant aux performances de l'installation.
La démarche présentée ci-dessous pour caractériser les dépenses
liées à l'utilisation du dispositif CORAIL correspond à une analyse du
problème à partir des éléments calculés par le logiciel BILAN. D'autres
manières de procéder sont possibles : er, particulier en tenant compte du COP
de 1' installaion. Pour Lannion, celui-ci n'est pour l'instant pas connu par
des mesures, tandis que le rendement du chauffage d'appoint l'est.
226
Coût moyen
du kWh
C^/C£>R
Cft/Cg
C^/ Ce< R
C*"» rrrt relative de la consonmation électrique.
Figure 6-13 : Evolution du coût moyen du klOh en hnctlondes parts relatives des combustibles (X, J-X) suivant les valeuns rel.atlves
- du rendement du diauffage d'appoint [R) ,
- du coût du feW/i PCI du combustíblz d'appoint (C^),- du coût du izWh électrique (Cg).
226
Coût moyen
du kWh
C^/C£>R
Cft/Cg
C^/ Ce< R
C*"» rrrt relative de la consonmation électrique.
Figure 6-13 : Evolution du coût moyen du klOh en hnctlondes parts relatives des combustibles (X, J-X) suivant les valeuns rel.atlves
- du rendement du diauffage d'appoint [R) ,
- du coût du feW/i PCI du combustíblz d'appoint (C^),- du coût du izWh électrique (Cg).
- 227 -
Les dépenses annuelles, D, sont de la forme :
APP^ = ^^ELEC * ^EAUX^- ^E "^ -R-' ^A ^^°2)
avec Cp : coût du kilowattheure électrique,
C. : coût du kilowattheure PCI du combustible,
R : rendement du système de chauffage d'appoint,
(car E.pp correspond à l'énergie utile fournie par le combustible).
Soit E, l'énergie utile dépensée pour le chauffage des locaux :
^ = %LEC ^ ^AUX ^ ^APP ^^'^^^
et X la part de l'énergie électrique dans l'énergie consommée :
X = 5lLELlÍAUX (,04)E
la part de l'énergie utile du combustible d'appoint vaut alors :
E,'APP
1 - A =-^
L'équation (6.02) peut alors s'écrire
(6.05)
D = E [X C +(idL) Ca ] (6.06)^ R
équivalent à :
D = E.C|^ (6.07)
avec C : coût moyen du kWh consommé
c,, évolue linéairement en fonction de X suivant les valeurs duM
paramètre C./Cp :
- si CJC^<s. R, alons C^ est croissant avec X, le coût moyen du kWh augmente
avec la part de l'électricité consommée ;
- si C^/C^ = R, Cj. est constant et Cf. = Cr ;
- si C./Cr)>R, Cj, est décroissant, le coût moyen du kWh augmente avec la partdu combustible d'appoint consommée.
C^, varie donc en fonction des coûts relatifs des combustibles
utilisés et de la valeur du paramètre C./Cp par rapport à R.
La fiqure (6-13) présente l'évolution de C en fonction de X pour
différentes valeurs de C./Cp.
- 227 -
Les dépenses annuelles, D, sont de la forme :
APP^ = ^^ELEC * ^EAUX^- ^E "^ -R-' ^A ^^°2)
avec Cp : coût du kilowattheure électrique,
C. : coût du kilowattheure PCI du combustible,
R : rendement du système de chauffage d'appoint,
(car E.pp correspond à l'énergie utile fournie par le combustible).
Soit E, l'énergie utile dépensée pour le chauffage des locaux :
^ = %LEC ^ ^AUX ^ ^APP ^^'^^^
et X la part de l'énergie électrique dans l'énergie consommée :
X = 5lLELlÍAUX (,04)E
la part de l'énergie utile du combustible d'appoint vaut alors :
E,'APP
1 - A =-^
L'équation (6.02) peut alors s'écrire
(6.05)
D = E [X C +(idL) Ca ] (6.06)^ R
équivalent à :
D = E.C|^ (6.07)
avec C : coût moyen du kWh consommé
c,, évolue linéairement en fonction de X suivant les valeurs duM
paramètre C./Cp :
- si CJC^<s. R, alons C^ est croissant avec X, le coût moyen du kWh augmente
avec la part de l'électricité consommée ;
- si C^/C^ = R, Cj. est constant et Cf. = Cr ;
- si C./Cr)>R, Cj, est décroissant, le coût moyen du kWh augmente avec la partdu combustible d'appoint consommée.
C^, varie donc en fonction des coûts relatifs des combustibles
utilisés et de la valeur du paramètre C./Cp par rapport à R.
La fiqure (6-13) présente l'évolution de C en fonction de X pour
différentes valeurs de C./Cp.
- 229
Les rendements (R) des installations de chauffage sont le plus
souvent compris entre 0,6 et 0,8 et le rapport du coût du kWh PCI au coût du
KWh électrique variait, entre 1970 et 1982 :
- entre 0,20 et 0,24 pour le gaz,
- entre 0,10 et 0,33 pour le FOD,
- entre 0,15 et 0,23 pour le charbon,
(d'après les données présentées dans le tableau (6-9), p. 216).
Donc dans la réalité économique française actuelle, C./Zr- est
toujours inférieur à R. Ce qui veut dire que pour ce qui nous intéresse ici,
plus la part d'électricité consommée sera grande, plus le coût moyen du kWh
défini plus haut par C sera élevé. Ceci pour une installation nécessitant une
consommation d'énergie E (équation (6.03)) fixée.
Comparons maintenant deux installations (variantes de pompe à
chaleur par exemple) assurant le chauffage de locaux équivalents.
Soit D, , les dépenses relatives à l'installation n° 1 :
^AD^ = E^ [ X^C^ + (1 - X^) ]
R
(équation (6.06))
^Aposons = a (6.09)C^R
alors : D^ = E^.C^ [ a (1 - X^) + X^ ] (6.10)
de même pour l'installation n'' 2 :
^2 " ^2'^E [a Ü - X2) + X2] (6.11)
En fonction des valeurs E,, et E_ et de X,, X_, D, et D_ seront égales ou
différentes :
I - X.,) + X.,
=* D^ < D2 (6.12)
- si
si
^1
h
hh
fl4
a
a
a
a
a
a
(1
(1
(1
(1
(1
(1
- X2) + X2
- X^) + X^
- X2) + X2
- xp + X^
- X2) + X2
- X^) + X^
D^ r D2 (6.13)
D^ > D2 (6.14)
- 229
Les rendements (R) des installations de chauffage sont le plus
souvent compris entre 0,6 et 0,8 et le rapport du coût du kWh PCI au coût du
KWh électrique variait, entre 1970 et 1982 :
- entre 0,20 et 0,24 pour le gaz,
- entre 0,10 et 0,33 pour le FOD,
- entre 0,15 et 0,23 pour le charbon,
(d'après les données présentées dans le tableau (6-9), p. 216).
Donc dans la réalité économique française actuelle, C./Zr- est
toujours inférieur à R. Ce qui veut dire que pour ce qui nous intéresse ici,
plus la part d'électricité consommée sera grande, plus le coût moyen du kWh
défini plus haut par C sera élevé. Ceci pour une installation nécessitant une
consommation d'énergie E (équation (6.03)) fixée.
Comparons maintenant deux installations (variantes de pompe à
chaleur par exemple) assurant le chauffage de locaux équivalents.
Soit D, , les dépenses relatives à l'installation n° 1 :
^AD^ = E^ [ X^C^ + (1 - X^) ]
R
(équation (6.06))
^Aposons = a (6.09)C^R
alors : D^ = E^.C^ [ a (1 - X^) + X^ ] (6.10)
de même pour l'installation n'' 2 :
^2 " ^2'^E [a Ü - X2) + X2] (6.11)
En fonction des valeurs E,, et E_ et de X,, X_, D, et D_ seront égales ou
différentes :
I - X.,) + X.,
=* D^ < D2 (6.12)
- si
si
^1
h
hh
fl4
a
a
a
a
a
a
(1
(1
(1
(1
(1
(1
- X2) + X2
- X^) + X^
- X2) + X2
- xp + X^
- X2) + X2
- X^) + X^
D^ r D2 (6.13)
D^ > D2 (6.14)
- 230 -
INSTALLATION
100 », t ' 0,2 m
Référence"CIAT TBB 35
100 n, t ^ 0,2 m
CIAT TBB 50
100 n, e ° 0,2CIAT TBB 65
100 m, t ' 0,2 m
CIAT TBB 75
75 n, « 0,2 m
CIAT TBB 3S
75 «1, « » 0,2 1»
CIAT TBB 50
75 m, e s 0,2 in
CIAT TBB 65
150 m, S 0,2 nCIAT TBB 35
150 «, e 0,2 nCIAT TBB 50
150 m, e c n,2CIAT TBB 65
ISO m, « 0,2 nCIAT TBB 75
100 n, g < 0,1 aCIAT TBB 35
100 , « « 0,1CIAT TBB 50
PIANCHERS CHAUFFANTS 1BESOINS CONTINUSion », t ' 0,2CIAT TBB 35
100 », » * 0,2 >CIAT TBB 50
100 m, Í 0,2 m
CIAT TBB 65
100 n, 0,2 m
CIAT TBB 65(3,7 »3 h"l)
100 m, C s 0,2 m
CIAT TBB 35
100 n, t * 0,2 nCIAT TB8 50
100 m, ( > 0,2CIAT TBB 65
CONSOnNATIONANTERIEURE
DE FIOUL (in^)
3,*8
3,*8
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
7,07
7,07
7,07
DEPENSESANNUELLES
ANTERIEURES (FRS)
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
B 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
B 947
18 177
18 177
18 177
TAUX DE
COUVERTUREZ
58,9
69,07
73,79
45,70
54,70
57,34
35,69
63,63
74,76
83,66
92,25
55,65
66,04
60,57
71,59
55,97
67,00
61,80
60,30
57,82
CONSOMMATION
FIOUL
1.46
1,08
0,91
1,89
1,58
1,48
2,24
1,27
0,88
0,57
0,27
1,54
1,18
1,37
0,99
1,53
1,15
2,70
2,80
2,98
ELECTR.
NWh
4.10
4,88
5,58
3,73
4,02
4,27
2,80
4,25
5,06
5,88
7,00
4,05
4,88
3,56
4,36
3,56
4,27
9,97
9,89
9,44
DEPENSESANNUELLES(FRANCS)
6 205
5 695
5 676
7 089
6 466
6 359
7 433
5 807
5 288
4 491
4 880
6 381
5 952
S 651
5 153
6 062
5 510
12 904
13 lis
13 307
ECONOMIESANNUELLES(FRANCS)
2 741
3 252
3 271
1 857
2 481
2 588
1 514
3 140
3 659
4 456
4 067
2 566
2 995
3 296
3 794
2 884
3 437
5 273
5 064
4 870
COUT DU
DISPOSITIF
81 000
81 661
86 000
90 297
55 072
57 438
62 378
79 978
94 130
99 070
105 314
64 053
66 419
81 000
SI 661
86 noo
86 000
81 000
81 661
86 000
TEMPS DE
RETOUR BRUT(ANS)
29,5
25,1
26,3
48,6
22,2
22,2
41,2
25,5
25,7
22,2
25,9
25,0
22,2
24,6
21,5
29,8
25,0
15,4
16,1
17,7
Tableau 6-14 : Résultats économiques des différentes variantes
- 230 -
INSTALLATION
100 », t ' 0,2 m
Référence"CIAT TBB 35
100 n, t ^ 0,2 m
CIAT TBB 50
100 n, e ° 0,2CIAT TBB 65
100 m, t ' 0,2 m
CIAT TBB 75
75 n, « 0,2 m
CIAT TBB 3S
75 «1, « » 0,2 1»
CIAT TBB 50
75 m, e s 0,2 in
CIAT TBB 65
150 m, S 0,2 nCIAT TBB 35
150 «, e 0,2 nCIAT TBB 50
150 m, e c n,2CIAT TBB 65
ISO m, « 0,2 nCIAT TBB 75
100 n, g < 0,1 aCIAT TBB 35
100 , « « 0,1CIAT TBB 50
PIANCHERS CHAUFFANTS 1BESOINS CONTINUSion », t ' 0,2CIAT TBB 35
100 », » * 0,2 >CIAT TBB 50
100 m, Í 0,2 m
CIAT TBB 65
100 n, 0,2 m
CIAT TBB 65(3,7 »3 h"l)
100 m, C s 0,2 m
CIAT TBB 35
100 n, t * 0,2 nCIAT TB8 50
100 m, ( > 0,2CIAT TBB 65
CONSOnNATIONANTERIEURE
DE FIOUL (in^)
3,*8
3,*8
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
3,48
7,07
7,07
7,07
DEPENSESANNUELLES
ANTERIEURES (FRS)
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
B 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
8 947
B 947
18 177
18 177
18 177
TAUX DE
COUVERTUREZ
58,9
69,07
73,79
45,70
54,70
57,34
35,69
63,63
74,76
83,66
92,25
55,65
66,04
60,57
71,59
55,97
67,00
61,80
60,30
57,82
CONSOMMATION
FIOUL
1.46
1,08
0,91
1,89
1,58
1,48
2,24
1,27
0,88
0,57
0,27
1,54
1,18
1,37
0,99
1,53
1,15
2,70
2,80
2,98
ELECTR.
NWh
4.10
4,88
5,58
3,73
4,02
4,27
2,80
4,25
5,06
5,88
7,00
4,05
4,88
3,56
4,36
3,56
4,27
9,97
9,89
9,44
DEPENSESANNUELLES(FRANCS)
6 205
5 695
5 676
7 089
6 466
6 359
7 433
5 807
5 288
4 491
4 880
6 381
5 952
S 651
5 153
6 062
5 510
12 904
13 lis
13 307
ECONOMIESANNUELLES(FRANCS)
2 741
3 252
3 271
1 857
2 481
2 588
1 514
3 140
3 659
4 456
4 067
2 566
2 995
3 296
3 794
2 884
3 437
5 273
5 064
4 870
COUT DU
DISPOSITIF
81 000
81 661
86 000
90 297
55 072
57 438
62 378
79 978
94 130
99 070
105 314
64 053
66 419
81 000
SI 661
86 noo
86 000
81 000
81 661
86 000
TEMPS DE
RETOUR BRUT(ANS)
29,5
25,1
26,3
48,6
22,2
22,2
41,2
25,5
25,7
22,2
25,9
25,0
22,2
24,6
21,5
29,8
25,0
15,4
16,1
17,7
Tableau 6-14 : Résultats économiques des différentes variantes
- 231
A priori donc, le taux de couverture des besoins par la pompe à
chaleur est un critère insuffisant pour déterminer l'installation qui est la
plus intéressante financièrement, cela dépend des parts relatives des
différents combustibles dans l'énergie consommée pour assurer le chauffage.
Dans la suite on verra que des taux de couverture supérieurs
peuvent conduire à des dépenses plus fortes (en cas d'appoint faible et de
dépenses électriques importantes).
6.3.2 - Résultats des variantes envisagées
Plusieurs variantes ont été examinées au chapitre 5 :
- choix de la pompe à chaleur,
- dimensionnement de l'échangeur CORAIL,
- mode d'émission de la chaleur,
- répartition des besoins dans le temps et mode de chauffage
(continu ou discontinu).
Les éléments du bilan de ces installations qui ont une incidence
économique (taux de couverture, consommation électrique et en FOD) sont
rassemblés dans le tableau (6-14).
6.3.3 - Choix de la pomj^e à chaleur utilisée
L'utilisation de 4 types de pompe à chaleur EAU/EAU de la série
TBB (marque CIAT) a été simulée (chapitre 5), il s'agit des pompes à chaleur
n° 35, n° 50, n° 65, n° 75.
On détaillera plus particulièrement les résultats obtenus pour le
projet de référence (profondeur 100 m, diamètre 200 mm). Les conclusions
qu'ils suggèrent seront confirmées par les projets dont le dimensionnement ou
le système d'émission de la chaleur varie.
- 231
A priori donc, le taux de couverture des besoins par la pompe à
chaleur est un critère insuffisant pour déterminer l'installation qui est la
plus intéressante financièrement, cela dépend des parts relatives des
différents combustibles dans l'énergie consommée pour assurer le chauffage.
Dans la suite on verra que des taux de couverture supérieurs
peuvent conduire à des dépenses plus fortes (en cas d'appoint faible et de
dépenses électriques importantes).
6.3.2 - Résultats des variantes envisagées
Plusieurs variantes ont été examinées au chapitre 5 :
- choix de la pompe à chaleur,
- dimensionnement de l'échangeur CORAIL,
- mode d'émission de la chaleur,
- répartition des besoins dans le temps et mode de chauffage
(continu ou discontinu).
Les éléments du bilan de ces installations qui ont une incidence
économique (taux de couverture, consommation électrique et en FOD) sont
rassemblés dans le tableau (6-14).
6.3.3 - Choix de la pomj^e à chaleur utilisée
L'utilisation de 4 types de pompe à chaleur EAU/EAU de la série
TBB (marque CIAT) a été simulée (chapitre 5), il s'agit des pompes à chaleur
n° 35, n° 50, n° 65, n° 75.
On détaillera plus particulièrement les résultats obtenus pour le
projet de référence (profondeur 100 m, diamètre 200 mm). Les conclusions
qu'ils suggèrent seront confirmées par les projets dont le dimensionnement ou
le système d'émission de la chaleur varie.
232 -
Pour Iz projzt dz référzncz, le temps de retour brut varie entre
25 et 30 ans pour les 3 pompes à chaleur les plus faibles (TBB n° 35, n° 50,
et n° 75), ce qui est déjà relativement long pour une réalisation de cette
envergure.
Le temps de retour le plus faible étant obtenu pour la pompe à
chaleur intermédiaire (TBB n° 50) qui permet pourtant de réaliser des
économies annuelles légèrement plus faibles que la TBB n° 65, mais à partir
d'un investissement moins important. Le surdimenslonnement de la pompe à
chaleur est donc à éviter du point de vue économique (comme du point de vue du
fonctionnement de l'installation d'ailleurs). La valeur du temps de retour de
48,6 ans correspondant à l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 75
confirme ceci. Cette valeur est simplement donnée à cet effet car les
résultats du bilan thermique (chapitre 5, tabL (5-21-), p. 194) ont déjà montré que
ce projet est à rejeter, à cause du seuil limite en sortie d'évaporateur trop
souvent atteint.
Le fait que le dispositif avec la pompe à chaleur TBB n° 50 soit
plus rentable économiquement que celui de la TBB n° 65 montre que le taux de
couverture n'est pas un critère de décision entre deux projets : il importe de
tenir compte des économies réalisées (voir remarques générales, paragraphe
précédent) et de l'investissement supplémentaire à assumer.
La pompe à chaleur TBB n° 50 semble donc la mieux adaptée au
dispostif CORAIL (de référence défini chapitre 3) pour assurer le chauffage de
l'école de LANNION.
232 -
Pour Iz projzt dz référzncz, le temps de retour brut varie entre
25 et 30 ans pour les 3 pompes à chaleur les plus faibles (TBB n° 35, n° 50,
et n° 75), ce qui est déjà relativement long pour une réalisation de cette
envergure.
Le temps de retour le plus faible étant obtenu pour la pompe à
chaleur intermédiaire (TBB n° 50) qui permet pourtant de réaliser des
économies annuelles légèrement plus faibles que la TBB n° 65, mais à partir
d'un investissement moins important. Le surdimenslonnement de la pompe à
chaleur est donc à éviter du point de vue économique (comme du point de vue du
fonctionnement de l'installation d'ailleurs). La valeur du temps de retour de
48,6 ans correspondant à l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 75
confirme ceci. Cette valeur est simplement donnée à cet effet car les
résultats du bilan thermique (chapitre 5, tabL (5-21-), p. 194) ont déjà montré que
ce projet est à rejeter, à cause du seuil limite en sortie d'évaporateur trop
souvent atteint.
Le fait que le dispositif avec la pompe à chaleur TBB n° 50 soit
plus rentable économiquement que celui de la TBB n° 65 montre que le taux de
couverture n'est pas un critère de décision entre deux projets : il importe de
tenir compte des économies réalisées (voir remarques générales, paragraphe
précédent) et de l'investissement supplémentaire à assumer.
La pompe à chaleur TBB n° 50 semble donc la mieux adaptée au
dispostif CORAIL (de référence défini chapitre 3) pour assurer le chauffage de
l'école de LANNION.
233
Pour les autres profondeurs du dispositif CORAIL znvisagées (75
et 150 m) les résultats conduisent aux conclusions suivantes :
- Pour 75 m, l'exploitation du dispositif avec la pompe à chaleur TBB n° 35 ou
la pompe à chaleur TBB n° 50 sont pratiquement équivalentes du point de vue
temps de retour (22,2 ans). Dans la mesure où la pompe à chaleur TBB n° 50 est
plus puissante, on préférera la TBB n° 35 pour éviter de surexploiter le
dispositif CORAIL surtout qu'à terme son utilisation deviendra délicate
(dérive hebdomadaire et saisonnière chapitre 3).
De même que pour le projet de référence, on voit que
surdimensionner la pompe à chaleur est à éviter : la TBB n° 65 exploite un
écart de température plus important (même débit du fluide, mais puissance
prélevée à la source froide plus forte).
Ceci provoque une diminution de la température en sortie
d'évaporateur où le seuil limite souvent atteint diminue les potentialités
d'utilisation de la pompe à chaleur. Le dispositif CORAIL est alors
sous-estimé.
- Pour 150 m, la pompe à chaleur la plus puissante, TBB n° 75, assure un taux
de couverture des besoins de l'ordre de 92 % et permet une économie financière
annuelle de 4067 francs. La pompe à chaleur, TBB n° 65, assure un taux de
couverture de l'ordre de 84 % et une économie financière annuelle de 4456
francs.
Ces chiffres montrent :
- qu'il ne faut pas surdimensionner la pompe à chaleur,
- qu'un taux de couverture moindre des besoins peut donc assurer des
économies financières plus importantes.
Ce dernier point traduit l'utilisation de moins en moins
performante de la pompe à chaleur pour couvrir de plus en plus de besoins (leCOP diminue et la consommation d'électricité augmente). La courbe monotone
(fiqure (4-18) ; p.l58) l'avait déjà montré.
Les résultats correspondant à l'utilisation des pompes à chaleur
TBB n° 35 et TBB n° 50 prouvent que le sous-dimensionnement de la pompe à
chaleur est à éviter. Dans ce cas l'échangeur CORAIL, sous-utilisé, n'extrait
pas toute la puissance disponible dans le sous-sol.
233
Pour les autres profondeurs du dispositif CORAIL znvisagées (75
et 150 m) les résultats conduisent aux conclusions suivantes :
- Pour 75 m, l'exploitation du dispositif avec la pompe à chaleur TBB n° 35 ou
la pompe à chaleur TBB n° 50 sont pratiquement équivalentes du point de vue
temps de retour (22,2 ans). Dans la mesure où la pompe à chaleur TBB n° 50 est
plus puissante, on préférera la TBB n° 35 pour éviter de surexploiter le
dispositif CORAIL surtout qu'à terme son utilisation deviendra délicate
(dérive hebdomadaire et saisonnière chapitre 3).
De même que pour le projet de référence, on voit que
surdimensionner la pompe à chaleur est à éviter : la TBB n° 65 exploite un
écart de température plus important (même débit du fluide, mais puissance
prélevée à la source froide plus forte).
Ceci provoque une diminution de la température en sortie
d'évaporateur où le seuil limite souvent atteint diminue les potentialités
d'utilisation de la pompe à chaleur. Le dispositif CORAIL est alors
sous-estimé.
- Pour 150 m, la pompe à chaleur la plus puissante, TBB n° 75, assure un taux
de couverture des besoins de l'ordre de 92 % et permet une économie financière
annuelle de 4067 francs. La pompe à chaleur, TBB n° 65, assure un taux de
couverture de l'ordre de 84 % et une économie financière annuelle de 4456
francs.
Ces chiffres montrent :
- qu'il ne faut pas surdimensionner la pompe à chaleur,
- qu'un taux de couverture moindre des besoins peut donc assurer des
économies financières plus importantes.
Ce dernier point traduit l'utilisation de moins en moins
performante de la pompe à chaleur pour couvrir de plus en plus de besoins (leCOP diminue et la consommation d'électricité augmente). La courbe monotone
(fiqure (4-18) ; p.l58) l'avait déjà montré.
Les résultats correspondant à l'utilisation des pompes à chaleur
TBB n° 35 et TBB n° 50 prouvent que le sous-dimensionnement de la pompe à
chaleur est à éviter. Dans ce cas l'échangeur CORAIL, sous-utilisé, n'extrait
pas toute la puissance disponible dans le sous-sol.
- 234
La pompe à chaleur TBB n° 65 semble la mieux adaptée au projet de
150 m. Un volume de sous-sol mis en jeu plus important que dans le cas du
projet de 100 m permet l'extraction d'une puissance également plus importante
et donc l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante.
En résumé, ces résultats montrent l'intérêt d'un bon choix pour la
pompe à chaleur. La sous-exploitation des potentialités du sous-sol résulte :
- de la faiblesse de la pompe à chaleur en cas de sous-dimensionnement,
- de ses limites technologiques (seuil de température en sortie
d'évaporateur) en cas de surdimenslonnement.
6.3.4 - Dimensionnement de l'échangeur CORAIL
6.3.4.1 - Variation de la profondeur
Les économies réalisées augmentent avec la profondeur du forage et
un meilleur dimensionnement de la pompe à chaleur, mais l'investissement,
fonction de la profondeur du forage et de la puissance de la pompe à chaleur
augmente corrélativement.
L'augmentation de la profondeur de l'échangeur permet
l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante. Et du point de vue des
temps de retour bruts :
- pour un forage de 75 m, la mise en oeuvre de la pompe à chaleur TBB n° 35
et celle de la TBB n° 50 sont pratiquement équivalentes,
- pour l'échangeur de 100 m, l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 50
est pratiquement équivalente à celle de la TBB n°65,
- pour la profondeur de 150 m, la pompe à chaleur TBB n° 65 conduit aux
meilleurs résultats.
L'on sait (chapitre 3, § 3.3.2.1, p.l07) qu'un echangeur de 75 m
risque de pose des problèmes d'exploitation à terme.
L'investissement nécessaire pour un echangeur de 150 m est
relativement supérieur à celui lié à un forage de 100 m.
Donc malgré les valeurs plus faibles des temps de retour bruts des
projets de 75 m et 150 m (de 22 à 26 ans), la profondeur de 100 m sera
retenue pour la réalisation de Lannion.
- 234
La pompe à chaleur TBB n° 65 semble la mieux adaptée au projet de
150 m. Un volume de sous-sol mis en jeu plus important que dans le cas du
projet de 100 m permet l'extraction d'une puissance également plus importante
et donc l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante.
En résumé, ces résultats montrent l'intérêt d'un bon choix pour la
pompe à chaleur. La sous-exploitation des potentialités du sous-sol résulte :
- de la faiblesse de la pompe à chaleur en cas de sous-dimensionnement,
- de ses limites technologiques (seuil de température en sortie
d'évaporateur) en cas de surdimenslonnement.
6.3.4 - Dimensionnement de l'échangeur CORAIL
6.3.4.1 - Variation de la profondeur
Les économies réalisées augmentent avec la profondeur du forage et
un meilleur dimensionnement de la pompe à chaleur, mais l'investissement,
fonction de la profondeur du forage et de la puissance de la pompe à chaleur
augmente corrélativement.
L'augmentation de la profondeur de l'échangeur permet
l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante. Et du point de vue des
temps de retour bruts :
- pour un forage de 75 m, la mise en oeuvre de la pompe à chaleur TBB n° 35
et celle de la TBB n° 50 sont pratiquement équivalentes,
- pour l'échangeur de 100 m, l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 50
est pratiquement équivalente à celle de la TBB n°65,
- pour la profondeur de 150 m, la pompe à chaleur TBB n° 65 conduit aux
meilleurs résultats.
L'on sait (chapitre 3, § 3.3.2.1, p.l07) qu'un echangeur de 75 m
risque de pose des problèmes d'exploitation à terme.
L'investissement nécessaire pour un echangeur de 150 m est
relativement supérieur à celui lié à un forage de 100 m.
Donc malgré les valeurs plus faibles des temps de retour bruts des
projets de 75 m et 150 m (de 22 à 26 ans), la profondeur de 100 m sera
retenue pour la réalisation de Lannion.
235
6.3.4.2 - Variation du diamètre
Un echangeur de diamètre plus petit (0,1 m au lieu de 0,2 m)
exploite une puissance plus faible du sous-sol. Il conduit alors à des
économies de combustible et financières moins importantes.
L'investissement relatif à ce projet étant également plus faible,
les temps de retour bruts sont plus faibles que pour un echangeur de 0,2 m
de diamètre. Ils présentent les valeurs suivantes :
- 25 ans pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 35,
- 22,2 ans pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 50.
Dans ce cas, l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante
conduit à une augmentation du taux de couverture et des économies financières
réalisées (remarques générales § 6.3.1, relation (6.14)).
L'exploitation à terme d'un dispositif de ce diamètre risque de
devenir délicate suite aux dérives hebdomadaires et saisonnières de la
température en sortie d'échangeur (chapitre 3, § 3.3.2.1, p.lOS. Le dispositif
de diamètre supérieur sera préféré pour assurer le chauffage de l'école du
Rusquet.
6.3.5 - Variation du système d'émission de la chaleur dans les locaux
Des émetteurs à plus basse température que les radiateurs
(planchers chauffants par exemple) ont été envisagés.
La température à la source chaude est plus basse. Corrélativement,
la pompe à chaleur peut fournir une puissance plus forte, et son COP est
meilleur.
Ceci peut entraîner, à cause des limites technologiques
d'utilisation de la pompe à chaleur, une diminution du taux de couverture par
rapport au dispositif avec radiateurs (chapitre 5, pJ.99). L'augmentation de la
puissance de la pompe à chaleur provoque une augmentation de l'écart de
température ( aG) exploité à débit constant. Le seuil limite de température en
sortie d'évaporateur, alors plus souvent atteint, conduit à une mauvaise
utilisation de l'échangeur. Ce phénomène est surtout sensible avec les pompes
à chaleur TBB n° 65 et n° 75. Les taux de couverture sont alors beaucoup plus
faibles qu'avec les radiateurs.
235
6.3.4.2 - Variation du diamètre
Un echangeur de diamètre plus petit (0,1 m au lieu de 0,2 m)
exploite une puissance plus faible du sous-sol. Il conduit alors à des
économies de combustible et financières moins importantes.
L'investissement relatif à ce projet étant également plus faible,
les temps de retour bruts sont plus faibles que pour un echangeur de 0,2 m
de diamètre. Ils présentent les valeurs suivantes :
- 25 ans pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 35,
- 22,2 ans pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 50.
Dans ce cas, l'utilisation d'une pompe à chaleur plus puissante
conduit à une augmentation du taux de couverture et des économies financières
réalisées (remarques générales § 6.3.1, relation (6.14)).
L'exploitation à terme d'un dispositif de ce diamètre risque de
devenir délicate suite aux dérives hebdomadaires et saisonnières de la
température en sortie d'échangeur (chapitre 3, § 3.3.2.1, p.lOS. Le dispositif
de diamètre supérieur sera préféré pour assurer le chauffage de l'école du
Rusquet.
6.3.5 - Variation du système d'émission de la chaleur dans les locaux
Des émetteurs à plus basse température que les radiateurs
(planchers chauffants par exemple) ont été envisagés.
La température à la source chaude est plus basse. Corrélativement,
la pompe à chaleur peut fournir une puissance plus forte, et son COP est
meilleur.
Ceci peut entraîner, à cause des limites technologiques
d'utilisation de la pompe à chaleur, une diminution du taux de couverture par
rapport au dispositif avec radiateurs (chapitre 5, pJ.99). L'augmentation de la
puissance de la pompe à chaleur provoque une augmentation de l'écart de
température ( aG) exploité à débit constant. Le seuil limite de température en
sortie d'évaporateur, alors plus souvent atteint, conduit à une mauvaise
utilisation de l'échangeur. Ce phénomène est surtout sensible avec les pompes
à chaleur TBB n° 65 et n° 75. Les taux de couverture sont alors beaucoup plus
faibles qu'avec les radiateurs.
236
Par contre l'utilisation des émetteurs à basse température avec les
pompes à chaleur TBB n° 35 et n° 50 conduit à des taux de couverture
supérieurs, et des économies plus importantes. Donc les temps de retour bruts
sont moins forts :
- 24,6 au lieu de 29,5 ans avec la pompe à chaleur TBB n'' 35 (gain de
5 ans pratiquement),
- 21,5 au lieu de 25,1 ans avec la pompe à chaleur TBB n'' 50 (gain de
3,6 ans).
L'augmentation des économies financières résulte ici :
- d'une consommation moindre de combustible d'appoint liée à l'amélioration du
taux de couverture des besoins par la pompe à chaleur,
- et d'une consommation également moindre d'électricité, conséquence de
l'amélioration du COP de la pompe à chaleur.
Les résultats du chapitre 3 et du chapitre 5 ont montré que
l'exploitation du dispositif CORAIL, à puissance constante par circulation
d'un débit (Q) plus fort et prélèvement d'un écart de température (A© ) plus
faible, est préférable à l'inverse. Ceci dans la mesure où un tel
fonctionnement ne provoque pas des pertes de charges hydrauliques trop
importantes. D'où l'idée d'augmenter le débit de circulation (Q) dans
l'échangeur pour les projets avec des émetteurs calorifiques à basse
température.
La circulation d'un débit de 3,7 m'h dans l'échangeur relié à la
pompe à chaleur TBB n° 65 conduit à un taux de couverture et à des économies
financières supérieurs à ceux de projets, avec planchers chauffants ou
radiateurs, au débit de 3,1 m'h
6.3.6 - Répartition des besoins de chauffa^ dans le tenips
On considère ici un bâtiment qui aurait les mêmes besoins mais
répartis de façon continue dans le temps.
Les taux de couverture sont très bons :
- 99,73 % pour la pompe à chaleur TBB n° 35,
- 100 % pour la pompe à chaleur TBB n° 50.
Les fortes consommations d'électricité limitent les économies
financières (cf. remarques générales). Il est probable que des pompes à
chaleur moins puissantes conviendraient mieux à ces projets. Alors les temps
de retour envisageables seraient inférieurs à ceux trouvés ici, qui sont de
l'ordre de la vingtaine d'années.
236
Par contre l'utilisation des émetteurs à basse température avec les
pompes à chaleur TBB n° 35 et n° 50 conduit à des taux de couverture
supérieurs, et des économies plus importantes. Donc les temps de retour bruts
sont moins forts :
- 24,6 au lieu de 29,5 ans avec la pompe à chaleur TBB n'' 35 (gain de
5 ans pratiquement),
- 21,5 au lieu de 25,1 ans avec la pompe à chaleur TBB n'' 50 (gain de
3,6 ans).
L'augmentation des économies financières résulte ici :
- d'une consommation moindre de combustible d'appoint liée à l'amélioration du
taux de couverture des besoins par la pompe à chaleur,
- et d'une consommation également moindre d'électricité, conséquence de
l'amélioration du COP de la pompe à chaleur.
Les résultats du chapitre 3 et du chapitre 5 ont montré que
l'exploitation du dispositif CORAIL, à puissance constante par circulation
d'un débit (Q) plus fort et prélèvement d'un écart de température (A© ) plus
faible, est préférable à l'inverse. Ceci dans la mesure où un tel
fonctionnement ne provoque pas des pertes de charges hydrauliques trop
importantes. D'où l'idée d'augmenter le débit de circulation (Q) dans
l'échangeur pour les projets avec des émetteurs calorifiques à basse
température.
La circulation d'un débit de 3,7 m'h dans l'échangeur relié à la
pompe à chaleur TBB n° 65 conduit à un taux de couverture et à des économies
financières supérieurs à ceux de projets, avec planchers chauffants ou
radiateurs, au débit de 3,1 m'h
6.3.6 - Répartition des besoins de chauffa^ dans le tenips
On considère ici un bâtiment qui aurait les mêmes besoins mais
répartis de façon continue dans le temps.
Les taux de couverture sont très bons :
- 99,73 % pour la pompe à chaleur TBB n° 35,
- 100 % pour la pompe à chaleur TBB n° 50.
Les fortes consommations d'électricité limitent les économies
financières (cf. remarques générales). Il est probable que des pompes à
chaleur moins puissantes conviendraient mieux à ces projets. Alors les temps
de retour envisageables seraient inférieurs à ceux trouvés ici, qui sont de
l'ordre de la vingtaine d'années.
237
Un bâtiment qui aurait des besoins doubles répartis de façon
continue dans le temps a également été envisagé.
Les temps de retour sont alors de l'ordre de la quinzaine
d'années pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 35 qui est la mieux
adaptée de celles testées (TBB n° 35, n° 50, n° 65).
L'exploitation continue du dispositif CORAIL conduit donc à des
résultats énergétiques (chapitre 5) et économiques beaucoup plus intéressants
qu'une exploitation discontinue comme celle prévue à l'école du Rusquet.
6.4 - ELEMENTS DE COMPARAISON AVEC D'AUTRES SYSTEMES DE CHAUFFAGE
PLUS TRADITIONNELS
6.4.1 - Comparaison d'un point de vue énerpétiq^ue
Le dispositif CORAIL, en substituant l'électricité aux
combustibles pétroliers, améliore le taux d'indépendance énergétique national.
Même si l'électricité provient en partie de la combustion de ces
mêmes produits pétroliers, le coefficient moyen annuel de performance de
l'installation (de l'ordre de 3 à 4 suivant les variantes envisagées) permet
de "regagner" ce qui est "perdu" lors de la transformation fioul-électricité.
En effet EDF considère que cette transformation à un rendement moyen de 35 %.
2,9 MWh thermiques d'énergie primaire sont donc nécessaires à la production de
1 MWh électrique. Dans ces conditions un COP de 3 suffit à revenir au niveau
d'énergie primaire du départ.
A partir de ces éléments, une tep équivalant, par ailleurs, à
45000 kWh électriques, on peut comparer la consommation (en tep) de différents
systèmes de chauffage ; l'électricité consommée étant considérée d'origine non
nucléaire. Pour établir cette comparaison, on a également supposé que le
chauffage électrique consommerait la même énergie que les autres systèmes.
Cette hypothèse néglige l'isolation thermique des bâtiments réalisée dans
toute installation de chauffage électrique intégré, et surestime alors la
consommation d'énergie primaire.
237
Un bâtiment qui aurait des besoins doubles répartis de façon
continue dans le temps a également été envisagé.
Les temps de retour sont alors de l'ordre de la quinzaine
d'années pour l'utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 35 qui est la mieux
adaptée de celles testées (TBB n° 35, n° 50, n° 65).
L'exploitation continue du dispositif CORAIL conduit donc à des
résultats énergétiques (chapitre 5) et économiques beaucoup plus intéressants
qu'une exploitation discontinue comme celle prévue à l'école du Rusquet.
6.4 - ELEMENTS DE COMPARAISON AVEC D'AUTRES SYSTEMES DE CHAUFFAGE
PLUS TRADITIONNELS
6.4.1 - Comparaison d'un point de vue énerpétiq^ue
Le dispositif CORAIL, en substituant l'électricité aux
combustibles pétroliers, améliore le taux d'indépendance énergétique national.
Même si l'électricité provient en partie de la combustion de ces
mêmes produits pétroliers, le coefficient moyen annuel de performance de
l'installation (de l'ordre de 3 à 4 suivant les variantes envisagées) permet
de "regagner" ce qui est "perdu" lors de la transformation fioul-électricité.
En effet EDF considère que cette transformation à un rendement moyen de 35 %.
2,9 MWh thermiques d'énergie primaire sont donc nécessaires à la production de
1 MWh électrique. Dans ces conditions un COP de 3 suffit à revenir au niveau
d'énergie primaire du départ.
A partir de ces éléments, une tep équivalant, par ailleurs, à
45000 kWh électriques, on peut comparer la consommation (en tep) de différents
systèmes de chauffage ; l'électricité consommée étant considérée d'origine non
nucléaire. Pour établir cette comparaison, on a également supposé que le
chauffage électrique consommerait la même énergie que les autres systèmes.
Cette hypothèse néglige l'isolation thermique des bâtiments réalisée dans
toute installation de chauffage électrique intégré, et surestime alors la
consommation d'énergie primaire.
238
Tableau 6-15 : Consommation en énergie primaire pourdifférents systèmes dz chauffagz. >-
Tableau 6-16 :Companalson du coût d' exploitationde différents systèmes de chauffage,
[base avril 1983]
Systèmedc
chauf'fage
cci.'-»^fuel
C.C.I.^'^
CORAIL
-couverture:100 2
-couverture :65 i
-couverture :50 X
Rcndeaent
0,74
1
COP « 2
COP ' 3
COP « 4
COP 2
COP ' 3
COP « 4
COP « Z
COP = 3
COP 4
Consoaaatlond'Enerflle
priHire (tep)
3,6
6
1
2
1,5
3,22,6
2,2
5,3
2,82,6
(11 Chauffage central individuel
(2) Chauffage électrique intégré.
Système dechauffage
Chaudièreau fioul
Chaudièreau gaz
Chauffageélectrique
DISPOSITIF CORAIL
- avec la PACCIAT-TBB n*35
taux de eouverture:58X
- avec la PACCIAT-TBB n*50
taux de couverture :69Z
- avec la PAC
CIAT-TBB n«65taux de couverture: 742
- avec la PACCIAT-TBB n»75
taux de couverture :46Z
Coût del'énergie ,
cent 1 nés /kWh(15-4-1983)
25,8
26,1
59,8 HP32,1 HC
59,8
25,8
59,8
25,8
59,8
25,8
59,8
25,8
Rendementdu
système
0,74
0,80
1
0,74
0,74
0,74
0,74
Energieutileen nuh
25,63
25,63
25,63
4,10
10,74
4,88
5,58
3,73
Coûtd'exploitation
en Francs
8940
8270
15330 il)12960 (2>11780 (i)
2450
3750
2920
2770
3340
2340
2230
4860
6200
5690
5680
7090
(*) coOt du AMTi PCI pour les combustibles (Fioul, Caz).(1) Tarif heures pleines
(2) 2/S tarif heures pleines1/3 tarif heures creuses
(i) 1/2 tarif heures pleines1/2 tarif heures creuses
coût minimum
238
Tableau 6-15 : Consommation en énergie primaire pourdifférents systèmes dz chauffagz. >-
Tableau 6-16 :Companalson du coût d' exploitationde différents systèmes de chauffage,
[base avril 1983]
Systèmedc
chauf'fage
cci.'-»^fuel
C.C.I.^'^
CORAIL
-couverture:100 2
-couverture :65 i
-couverture :50 X
Rcndeaent
0,74
1
COP « 2
COP ' 3
COP « 4
COP 2
COP ' 3
COP « 4
COP « Z
COP = 3
COP 4
Consoaaatlond'Enerflle
priHire (tep)
3,6
6
1
2
1,5
3,22,6
2,2
5,3
2,82,6
(11 Chauffage central individuel
(2) Chauffage électrique intégré.
Système dechauffage
Chaudièreau fioul
Chaudièreau gaz
Chauffageélectrique
DISPOSITIF CORAIL
- avec la PACCIAT-TBB n*35
taux de eouverture:58X
- avec la PACCIAT-TBB n*50
taux de couverture :69Z
- avec la PAC
CIAT-TBB n«65taux de couverture: 742
- avec la PACCIAT-TBB n»75
taux de couverture :46Z
Coût del'énergie ,
cent 1 nés /kWh(15-4-1983)
25,8
26,1
59,8 HP32,1 HC
59,8
25,8
59,8
25,8
59,8
25,8
59,8
25,8
Rendementdu
système
0,74
0,80
1
0,74
0,74
0,74
0,74
Energieutileen nuh
25,63
25,63
25,63
4,10
10,74
4,88
5,58
3,73
Coûtd'exploitation
en Francs
8940
8270
15330 il)12960 (2>11780 (i)
2450
3750
2920
2770
3340
2340
2230
4860
6200
5690
5680
7090
(*) coOt du AMTi PCI pour les combustibles (Fioul, Caz).(1) Tarif heures pleines
(2) 2/S tarif heures pleines1/3 tarif heures creuses
(i) 1/2 tarif heures pleines1/2 tarif heures creuses
coût minimum
239 -
Les résultats de cette comparaison menée pour l'école du Rusquet
(26 000 kWh d'énergie utile avec une chaudière au rendement de 74 %) sont
présentés dans le tableau (6-15). Plusieurs valeurs du COP de l'installation,
pour différentes valeurs du taux de couverture des besoins par le dispositif
CORAIL, ont été envisagées.
Dans tous les cas, la consommation en énergie primaire liée à
l'utilisation du dispositif CORAIL est inférieure à celle des autres systèmes
de chauffage considérés : chauffage central au fioul et chauffage électrique
intégré. Ceci sous réserve de l'hypothèse considérée plus haut.
6.4.2 - Comparaison d'un point de vue coût d'exploitation
Cette comparaison estimative est établie à partir :
- des coûts de l'énergie à la date du 15 avril 1983 (donnés
dans Energie plus [6-2]),- des rendements moyens d'installation.
Elle utilise les résultats du modèle disponibles pour le
dispositif CORAIL.
L'hypothèse sur la consommation du chauffage électrique reste la
même qu'au paragraphe précédent.
Cette comparaison est résumée dans le tableau (6-16).
Le coût d'exploitation le plus faible correspond au dispositif
CORAIL couvrant 74 % des besoins.
La réalisation du projet CORAIL à Lannion peut être envisagée avec
une exploitation continue du dispositif dont le fonctionnement nocturne sera
ralenti (puissance exploitée moins forte) mais non interrompu.L'avantage de ce type de fonctionnement est double. Sur le plan
thermique, il résulte de l'absence de périodes d'arrêt et de remise en route
qui entraînent des appels de puissance plus importante. Sur le plan
économique, il réside dans le fait de pouvoir bénéficier du tarif heures
creuses pour l'électricité.
239 -
Les résultats de cette comparaison menée pour l'école du Rusquet
(26 000 kWh d'énergie utile avec une chaudière au rendement de 74 %) sont
présentés dans le tableau (6-15). Plusieurs valeurs du COP de l'installation,
pour différentes valeurs du taux de couverture des besoins par le dispositif
CORAIL, ont été envisagées.
Dans tous les cas, la consommation en énergie primaire liée à
l'utilisation du dispositif CORAIL est inférieure à celle des autres systèmes
de chauffage considérés : chauffage central au fioul et chauffage électrique
intégré. Ceci sous réserve de l'hypothèse considérée plus haut.
6.4.2 - Comparaison d'un point de vue coût d'exploitation
Cette comparaison estimative est établie à partir :
- des coûts de l'énergie à la date du 15 avril 1983 (donnés
dans Energie plus [6-2]),- des rendements moyens d'installation.
Elle utilise les résultats du modèle disponibles pour le
dispositif CORAIL.
L'hypothèse sur la consommation du chauffage électrique reste la
même qu'au paragraphe précédent.
Cette comparaison est résumée dans le tableau (6-16).
Le coût d'exploitation le plus faible correspond au dispositif
CORAIL couvrant 74 % des besoins.
La réalisation du projet CORAIL à Lannion peut être envisagée avec
une exploitation continue du dispositif dont le fonctionnement nocturne sera
ralenti (puissance exploitée moins forte) mais non interrompu.L'avantage de ce type de fonctionnement est double. Sur le plan
thermique, il résulte de l'absence de périodes d'arrêt et de remise en route
qui entraînent des appels de puissance plus importante. Sur le plan
économique, il réside dans le fait de pouvoir bénéficier du tarif heures
creuses pour l'électricité.
240 -
20
18
15
10
«J
^UjouI domestlquz, fLzndemznt 0,5
CO?' 2
COP' 3
CCP'4COP'S
heiViZiIIIIIII
1000 2000 3000 4000 5000 6000 7000 8000
DuAíe annuzLLz d'ut¿í¿&a^on
en fFigure 6-17 ; Coût du feW/i thermique produit par pompe à dialeuronction du nombre d'heures d'utilisation [documentation EOF, 7987;
[d'après F. JAUPÎN, 1985, [Ó-3]).
Combustible
Fioul lourdn» 2
FioulDonestique
Gaz naturel
Electricité*
CoOt du kUhPCI
(en centimes)
12,2
26,1
25,8
59,8
RENDEMENT DE L'INSTALLATION
0,5 0,6 0,7 0,8
2,45
1,15
1,16
2,94
1,37
1,39
3,43
1,60
1,62
3,92
1,83
1,85
* Ouel que soit Je eoût de l 'électricité, la PAC fonctionnant ¡t l'électricité, un COP
égal à 1 conduit à an même coût d 'exploitation pour un C.E.I. et une PAC (en fait,il faut 1 COP légèrement supérieur à un, Je fonctionnement de la pompe hydrauliquenécessitant une dépense électrique).
Tableau 6-18 ; COP minimum assurant la compétitivité en coût d' exploitationavec dlffére.nts systèmes de ciiouffaaz.
240 -
20
18
15
10
«J
^UjouI domestlquz, fLzndemznt 0,5
CO?' 2
COP' 3
CCP'4COP'S
heiViZiIIIIIII
1000 2000 3000 4000 5000 6000 7000 8000
DuAíe annuzLLz d'ut¿í¿&a^on
en fFigure 6-17 ; Coût du feW/i thermique produit par pompe à dialeuronction du nombre d'heures d'utilisation [documentation EOF, 7987;
[d'après F. JAUPÎN, 1985, [Ó-3]).
Combustible
Fioul lourdn» 2
FioulDonestique
Gaz naturel
Electricité*
CoOt du kUhPCI
(en centimes)
12,2
26,1
25,8
59,8
RENDEMENT DE L'INSTALLATION
0,5 0,6 0,7 0,8
2,45
1,15
1,16
2,94
1,37
1,39
3,43
1,60
1,62
3,92
1,83
1,85
* Ouel que soit Je eoût de l 'électricité, la PAC fonctionnant ¡t l'électricité, un COP
égal à 1 conduit à an même coût d 'exploitation pour un C.E.I. et une PAC (en fait,il faut 1 COP légèrement supérieur à un, Je fonctionnement de la pompe hydrauliquenécessitant une dépense électrique).
Tableau 6-18 ; COP minimum assurant la compétitivité en coût d' exploitationavec dlffére.nts systèmes de ciiouffaaz.
241
De plus, de manière générale, on peut considérer que le coût
horaire de fonctionnement d'une pompe à chaleur diminue avec le nombre
d'heures d'utilisation, la figure (6-17) tracée par EDF [6-3] le prouve. Ce
graphique présente à l'heure actuelle une valeur qualitative plus que
quantitative car :
- il date de 1981 et les coûts de l'électricité et des pompes
à chaleur ont évolué,
- le rendement considéré pour le chauffage au fioul domestique
est un peu sous-estimé.
La comparaison suivante est basée sur le seul coût des différents
combustibles.
Le tableau (6-18) rassemble les COP minimums pour que
l'installation du dispositif CORAIL soit compétitive, au niveau du coût
d'exploitation, avec d'autres systèmes de chauffage. Différents rendements ont
été envisagés pour ces systèmes de chauffage.
Sauf dans le cas du fioul lourd n° 2, où les COP minimums requis
sont de l'ordre de 3 à 4, l'installation CORAIL se révèle compétitive, au
niveau des coûts d'exploitation, pour des COP inférieurs à 2.
Le dispositif CORAIL présente un intérêt du point de vue
énergétique et du point de vue coût d'exploitation. Cependant sa réalisation
nécessite un investissement relativement important. Diverses aides au
financement dans le cadre de réalisations de travaux en vue d'une meilleure
utilisation de l'énergie existent.
241
De plus, de manière générale, on peut considérer que le coût
horaire de fonctionnement d'une pompe à chaleur diminue avec le nombre
d'heures d'utilisation, la figure (6-17) tracée par EDF [6-3] le prouve. Ce
graphique présente à l'heure actuelle une valeur qualitative plus que
quantitative car :
- il date de 1981 et les coûts de l'électricité et des pompes
à chaleur ont évolué,
- le rendement considéré pour le chauffage au fioul domestique
est un peu sous-estimé.
La comparaison suivante est basée sur le seul coût des différents
combustibles.
Le tableau (6-18) rassemble les COP minimums pour que
l'installation du dispositif CORAIL soit compétitive, au niveau du coût
d'exploitation, avec d'autres systèmes de chauffage. Différents rendements ont
été envisagés pour ces systèmes de chauffage.
Sauf dans le cas du fioul lourd n° 2, où les COP minimums requis
sont de l'ordre de 3 à 4, l'installation CORAIL se révèle compétitive, au
niveau des coûts d'exploitation, pour des COP inférieurs à 2.
Le dispositif CORAIL présente un intérêt du point de vue
énergétique et du point de vue coût d'exploitation. Cependant sa réalisation
nécessite un investissement relativement important. Diverses aides au
financement dans le cadre de réalisations de travaux en vue d'une meilleure
utilisation de l'énergie existent.
- 242
6.4.3 - Eléments sur les possibilités d'aides financières
Ces aides financières [6-4] interviennent à différents niveaux
depuis le diagnostic thermique, à l'aval de toute réalisation, jusqu'aux
travaux et équipements effectivement retenus.
Elles prennent les 4 formes suivantes :
- subventions,
- primes diverses,
- déductions fiscales,
- prêts à taux raisonnables sur plusieurs années,
et elles sont allouées par différents organismes (AFME*, ANAH**, DDE***,
EDF****, Trésor Public, Caisse d'Epargne, banques et établissements
parabancaires. . . ) .
Pour le diagnostic thermique, les subventions accordées soit par
l'AFME, soit par l'ANAH, représentent 70 % du coût de l'opération dans la
limite d'un plafond variant suivant le type de logement, et sous réserve que
le diagnostic soit effectué par un organisme compétent et agréé.
Les travaux :
- d'isolation thermique,
- d'amélioration, de régulation et transformations éventuelles
du système de chauffage,
- à des fins d'utilisation des énergies renouvelables et de
substitution,
peuvent bénéficier de subventions de la part de l'ANAH.
Celles-ci sont attribuées en fonction du type des travaux et des
caractéristiques du logement.
Leur montant, en moyenne de l'ordre de 40 %, plafonne à 70 % du
coût des travaux.
Pour des travaux de même type, les caisses de retraite peuvent
accorder des subventions aux retraités disposant de ressources inférieures à
un seuil donné.
* AFME : Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie,** ANAH : Agence Nationale pour l'Amélioration de l'Habitat,*** DDE : Direction Départementale de l'Equipement,**** EDF : Electricité De France.
- 242
6.4.3 - Eléments sur les possibilités d'aides financières
Ces aides financières [6-4] interviennent à différents niveaux
depuis le diagnostic thermique, à l'aval de toute réalisation, jusqu'aux
travaux et équipements effectivement retenus.
Elles prennent les 4 formes suivantes :
- subventions,
- primes diverses,
- déductions fiscales,
- prêts à taux raisonnables sur plusieurs années,
et elles sont allouées par différents organismes (AFME*, ANAH**, DDE***,
EDF****, Trésor Public, Caisse d'Epargne, banques et établissements
parabancaires. . . ) .
Pour le diagnostic thermique, les subventions accordées soit par
l'AFME, soit par l'ANAH, représentent 70 % du coût de l'opération dans la
limite d'un plafond variant suivant le type de logement, et sous réserve que
le diagnostic soit effectué par un organisme compétent et agréé.
Les travaux :
- d'isolation thermique,
- d'amélioration, de régulation et transformations éventuelles
du système de chauffage,
- à des fins d'utilisation des énergies renouvelables et de
substitution,
peuvent bénéficier de subventions de la part de l'ANAH.
Celles-ci sont attribuées en fonction du type des travaux et des
caractéristiques du logement.
Leur montant, en moyenne de l'ordre de 40 %, plafonne à 70 % du
coût des travaux.
Pour des travaux de même type, les caisses de retraite peuvent
accorder des subventions aux retraités disposant de ressources inférieures à
un seuil donné.
* AFME : Agence Française pour la Maîtrise de l'Energie,** ANAH : Agence Nationale pour l'Amélioration de l'Habitat,*** DDE : Direction Départementale de l'Equipement,**** EDF : Electricité De France.
243
Pour les immeubles construits depuis plus de 20 ans, les DDE
peuvent accorder des primes aux propriétaires dont les ressources sont
inférieures à 80 % du plafond prévu par les prêts d'accession à la propriété.
Le montant de ces primes varie avec la nature des travaux effectués.
Dans le cas de logements neufs, dont au moins la moitié du
chauffage est assurée par pompe à chaleur ou dont l'isolation répond à
certains critères, les propriétaires peuvent être exemptés de "l'avance
remboursable EDF".
Les dépenses entraînées par les opérations d'amélioration du
système de chauffage dans les logements existants, et celles engagées en vue
d'utiliser les énergies nouvelles dans les locaux neufs peuvent être déduites
des revenus imposables.
Ces déductions sont cumulables avec celles autorisées au titre des
intérêts d'emprunts d'accession à la propriété. Les opérations de diagnostic
thermique bénéficient aussi de ces mesures.
Différents prêts à des taux intéressants sont également consentis
pour les travaux d'économie d'énergie.
Les prêts conventionnés "économies d'énergie" sont soumis à
l'obligation de diagnostic thermique préalable et à une économie résultant des
travaux égale à 10 % de la consommation antérieure. Ils peuvent couvrir 90 %
du montant des travaux à des taux de 14,5 % sur une durée de 5 à 12 ans.
Les bénéficiaires d'un plan épargne-logement ou d'un compte
épargne logement peuvent obtenir un prêt à faible taux d'intérêt (3,5 à 7 %)
pour financer les travaux visant une meilleure utilisation de l'énergie.
Les bénéficiaires de prêts d'aide à l'accession à la propriété
peuvent obtenir des prêts pour les travaux d'économie d'énergie pour les
logements neufs et l'habitat existant. Les logements neufs doivent satisfaire
les conditions d'attribution d'un des deux labels haute performance
énergétique ou solaire.
Les Caisses d'Epargne consentent des prêts pour le financement des
travaux. Le montant de ces prêts est plafonné à 80 % du coût des travaux
engagés et ne peut dépasser 175 000 francs. Leur durée varie de 1 à 20 ans
pour un taux actuariel de 15,1 %.
Certaines banques et établissements parabancaires proposent des
prêts spéciaux pour financer les travaux réalisés à des fins d'économie
d'énergie. Leurs taux, montant et durée varient suivant les organismes.
243
Pour les immeubles construits depuis plus de 20 ans, les DDE
peuvent accorder des primes aux propriétaires dont les ressources sont
inférieures à 80 % du plafond prévu par les prêts d'accession à la propriété.
Le montant de ces primes varie avec la nature des travaux effectués.
Dans le cas de logements neufs, dont au moins la moitié du
chauffage est assurée par pompe à chaleur ou dont l'isolation répond à
certains critères, les propriétaires peuvent être exemptés de "l'avance
remboursable EDF".
Les dépenses entraînées par les opérations d'amélioration du
système de chauffage dans les logements existants, et celles engagées en vue
d'utiliser les énergies nouvelles dans les locaux neufs peuvent être déduites
des revenus imposables.
Ces déductions sont cumulables avec celles autorisées au titre des
intérêts d'emprunts d'accession à la propriété. Les opérations de diagnostic
thermique bénéficient aussi de ces mesures.
Différents prêts à des taux intéressants sont également consentis
pour les travaux d'économie d'énergie.
Les prêts conventionnés "économies d'énergie" sont soumis à
l'obligation de diagnostic thermique préalable et à une économie résultant des
travaux égale à 10 % de la consommation antérieure. Ils peuvent couvrir 90 %
du montant des travaux à des taux de 14,5 % sur une durée de 5 à 12 ans.
Les bénéficiaires d'un plan épargne-logement ou d'un compte
épargne logement peuvent obtenir un prêt à faible taux d'intérêt (3,5 à 7 %)
pour financer les travaux visant une meilleure utilisation de l'énergie.
Les bénéficiaires de prêts d'aide à l'accession à la propriété
peuvent obtenir des prêts pour les travaux d'économie d'énergie pour les
logements neufs et l'habitat existant. Les logements neufs doivent satisfaire
les conditions d'attribution d'un des deux labels haute performance
énergétique ou solaire.
Les Caisses d'Epargne consentent des prêts pour le financement des
travaux. Le montant de ces prêts est plafonné à 80 % du coût des travaux
engagés et ne peut dépasser 175 000 francs. Leur durée varie de 1 à 20 ans
pour un taux actuariel de 15,1 %.
Certaines banques et établissements parabancaires proposent des
prêts spéciaux pour financer les travaux réalisés à des fins d'économie
d'énergie. Leurs taux, montant et durée varient suivant les organismes.
244
6-5 - CONCLUSION
Le projet défini pour Lannion : echangeur de 100 m de profondeur
et de 0,2 m de diamètre associé à la pompe à chaleur TBB n° 50, simulé par le
logiciel BILAN, conduit à 2,06 tep déplacées et 0,84 tep économisées par an.
Le nombre de tep déplacées rend compte de la quantité de produits pétroliers
substitués et donc de l'incidence du dispositif au niveau de l'indépendance
énergétique. Le nombre de tep économisées rend compte de l'énergie réellement
économisée par l'utilisation de ce dispositif.
L'investissement nécessaire à ce projet est relativement important
81 661 francs TTC.
L'économie annuelle prévue à partir des résultats du modèle BILAN
s'élève à 3 252 francs.
Le temps de retour brut, alors de 25 ans comme pour l'ensemble des
variantes envisagées, est assez important.
Le coût de l'échangeur est un élément important du montant global
de la réalisation.
Il en représente 42 à 65 % pour le projet de Lannion.
Les facteurs locaux, influant sur le forage et responsables de son
coût élevé sont :
- les caractéristiques géologique et hydrogéologique,
- le mode de chauffage de l'école du Rusquet.
Ils conduisent :
- à l'implantation d'un forage de 0,2 m de diamètre à 25 mètres de la
chaufferie qui nécessite la réalisation d'une tranchée raccordant
l'échangeur à la pompe à chaleur,
- au tubage du forage au moins sur les 10 premiers mètres,
et donc surenchérissent le coût du projet.
Cependant, cette réalisation révèle des aspects positifs
difficilement estimables sur un plan strictement financier.
Elle aura valeur d'exemple et permettra de suivre le
fonctionnement d'un dispositif CORAIL notamment par des relevés de température
dans l'échangeur et dans le forage F2 qui constituera alors un point
d'observation de l'influence du dispositif sur le massif granitique
environnant. Ceci permettra d'acquérir une expérience en la matière
d'utilisation de tels dispositifs.
244
6-5 - CONCLUSION
Le projet défini pour Lannion : echangeur de 100 m de profondeur
et de 0,2 m de diamètre associé à la pompe à chaleur TBB n° 50, simulé par le
logiciel BILAN, conduit à 2,06 tep déplacées et 0,84 tep économisées par an.
Le nombre de tep déplacées rend compte de la quantité de produits pétroliers
substitués et donc de l'incidence du dispositif au niveau de l'indépendance
énergétique. Le nombre de tep économisées rend compte de l'énergie réellement
économisée par l'utilisation de ce dispositif.
L'investissement nécessaire à ce projet est relativement important
81 661 francs TTC.
L'économie annuelle prévue à partir des résultats du modèle BILAN
s'élève à 3 252 francs.
Le temps de retour brut, alors de 25 ans comme pour l'ensemble des
variantes envisagées, est assez important.
Le coût de l'échangeur est un élément important du montant global
de la réalisation.
Il en représente 42 à 65 % pour le projet de Lannion.
Les facteurs locaux, influant sur le forage et responsables de son
coût élevé sont :
- les caractéristiques géologique et hydrogéologique,
- le mode de chauffage de l'école du Rusquet.
Ils conduisent :
- à l'implantation d'un forage de 0,2 m de diamètre à 25 mètres de la
chaufferie qui nécessite la réalisation d'une tranchée raccordant
l'échangeur à la pompe à chaleur,
- au tubage du forage au moins sur les 10 premiers mètres,
et donc surenchérissent le coût du projet.
Cependant, cette réalisation révèle des aspects positifs
difficilement estimables sur un plan strictement financier.
Elle aura valeur d'exemple et permettra de suivre le
fonctionnement d'un dispositif CORAIL notamment par des relevés de température
dans l'échangeur et dans le forage F2 qui constituera alors un point
d'observation de l'influence du dispositif sur le massif granitique
environnant. Ceci permettra d'acquérir une expérience en la matière
d'utilisation de tels dispositifs.
- 245 -
De plus, la Bretagne est une région favorable au procédé CORAIL
par la prépondérance des granites et par la qualité de son climat. Son choix
paraît donc tout à fait judicieux pour une expérimentation.
Dans les conditions suivantes :
- forage réalisé près de la chaufferie,
- diamètre du forage de 0,115 m,
- tubage du forage sur 5 m au maximum,
- utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 23,
le coût du dispositif est alors de l'ordre de 47 000 francs TTC.
Rappelons, enfin, que de tels dispositifs sont couramment
commercialisés, notarmnent par des sociétés suisses et suédoises depuis
quelques temps déjà et que les résultats sont probants.
- 245 -
De plus, la Bretagne est une région favorable au procédé CORAIL
par la prépondérance des granites et par la qualité de son climat. Son choix
paraît donc tout à fait judicieux pour une expérimentation.
Dans les conditions suivantes :
- forage réalisé près de la chaufferie,
- diamètre du forage de 0,115 m,
- tubage du forage sur 5 m au maximum,
- utilisation de la pompe à chaleur TBB n° 23,
le coût du dispositif est alors de l'ordre de 47 000 francs TTC.
Rappelons, enfin, que de tels dispositifs sont couramment
commercialisés, notarmnent par des sociétés suisses et suédoises depuis
quelques temps déjà et que les résultats sont probants.
CHAPITRE 7
CONCLUSIONS
CHAPITRE 7
CONCLUSIONS
- 249
Le contexte d'approvisionnement national en énergie révèle toute
l'importance des objectifs d'économie et d'indépendance. Il justifie l'expan¬
sion de l'utilisation d'énergies dites "nouvelles". L'étude du dispositif
CORAIL, echangeur enterré vertical de type concentrique, prévu pour l'exploi¬
tation des calories à bas niveau thermique du sous-sol s'inscrit dans ce
contexte.
L'analyse bibliographique montre que dans le cadre de la
géothermie dite de "très basse énergie", divers procédés exploitent l'énergie
thermique du sous-sol au moyen de pompes à chaleur à des fins de chauffage
et/ou climatisation. Ainsi des dispositifs analogues à l'échangeur CORAIL
sont commercialisés, notamment par des sociétés suisses et suédoises, et
mis en oeuvre dans différents types de roches. Ils sont également utilisés
pour le stockage d'énergie.
La recherche présentée ici, développe deux aspects :
- l'étude générale théorique d'un echangeur CORAIL et du dispositif
dans son ensemble : echangeur, pompe à chaleur, circuit de distribution
de la chaleur, bâtiment,
- l'étude d'un projet de réalisation à Lannion (Côtes-du-Nord) afin
d'assurer le chauffage de l'école maternelle du Rusquet. Pour cela, la
reconnaissance géologique et hydrogéologique du site, des mesures - en
laboratoire - de conductivité thermique sur des échantillons du sous-sol
et l'acquisition des caractéristiques thermiques des locaux ont été
réalisées. Les aspects économiques ont également été envisagés.
- 249
Le contexte d'approvisionnement national en énergie révèle toute
l'importance des objectifs d'économie et d'indépendance. Il justifie l'expan¬
sion de l'utilisation d'énergies dites "nouvelles". L'étude du dispositif
CORAIL, echangeur enterré vertical de type concentrique, prévu pour l'exploi¬
tation des calories à bas niveau thermique du sous-sol s'inscrit dans ce
contexte.
L'analyse bibliographique montre que dans le cadre de la
géothermie dite de "très basse énergie", divers procédés exploitent l'énergie
thermique du sous-sol au moyen de pompes à chaleur à des fins de chauffage
et/ou climatisation. Ainsi des dispositifs analogues à l'échangeur CORAIL
sont commercialisés, notamment par des sociétés suisses et suédoises, et
mis en oeuvre dans différents types de roches. Ils sont également utilisés
pour le stockage d'énergie.
La recherche présentée ici, développe deux aspects :
- l'étude générale théorique d'un echangeur CORAIL et du dispositif
dans son ensemble : echangeur, pompe à chaleur, circuit de distribution
de la chaleur, bâtiment,
- l'étude d'un projet de réalisation à Lannion (Côtes-du-Nord) afin
d'assurer le chauffage de l'école maternelle du Rusquet. Pour cela, la
reconnaissance géologique et hydrogéologique du site, des mesures - en
laboratoire - de conductivité thermique sur des échantillons du sous-sol
et l'acquisition des caractéristiques thermiques des locaux ont été
réalisées. Les aspects économiques ont également été envisagés.
250 -
L'étude théorique du comportement thermique de l'échangeur
CORAIL proprement dit est menée suivant deux modes de résolution des équations
des transferts thermiques : analytique et numérique.
L'échangeur CORAIL peut fonctionner suivant différents modes :
injection du fluide caloporteur à température constante , exploitation à
puissance constante, exploitation à puissance variable. Les deux sens de
circulation du fluide sont envisageables, de l'annulaire vers le tube central
ou l'inverse.
Le modèle numérique créé envisage tous ces types de fonctionnement.
Pour un fonctionnement à température constante, il a été testé par une solution
analytique existante [3-l]. D'autres solutions analytiques, dérivant de laprécédente, et établies dans le cadre d'une étude générale du dispositif CORAIL
[3-2, 3-12], ont été utilisées pour tester le modèle pour les autres types de
fonctionnement .
L'exploitation de l'échangeur à des fins de chauffage est plus
facilement réalisable à puissance constante qu'à température d'injection
constante. Les résultats obtenus montrent que ce type d'exploitation est
amélioré par un fonctionnement à débit du fluide caloporteur (Q) élevé et à
faible écart de température ( A0).A partir de la modélisation numérique et des résultats de
diverses simulations, on a retenu pour l'échangeur projeté à Lannion le
dimensionnement suivant : 100 mètres de profondeur, 0,2 mètres de diamètre,
et équipement d'un tubage interne de 50 x 38,8 mm de diamètre.
L'installation complète est composée de l'échangeur enterré,
d'une pompe à chaleur EAU/EAU, et du réseau de distribution de la chaleur
dans les bâtiments .
La connaissance de données essentielles sur les pompes à
chaleur et la thermique du bâtiment a permis une approche des besoins de
chauffage à Lannion et un premier choix de la pompe à chaleur.
250 -
L'étude théorique du comportement thermique de l'échangeur
CORAIL proprement dit est menée suivant deux modes de résolution des équations
des transferts thermiques : analytique et numérique.
L'échangeur CORAIL peut fonctionner suivant différents modes :
injection du fluide caloporteur à température constante , exploitation à
puissance constante, exploitation à puissance variable. Les deux sens de
circulation du fluide sont envisageables, de l'annulaire vers le tube central
ou l'inverse.
Le modèle numérique créé envisage tous ces types de fonctionnement.
Pour un fonctionnement à température constante, il a été testé par une solution
analytique existante [3-l]. D'autres solutions analytiques, dérivant de laprécédente, et établies dans le cadre d'une étude générale du dispositif CORAIL
[3-2, 3-12], ont été utilisées pour tester le modèle pour les autres types de
fonctionnement .
L'exploitation de l'échangeur à des fins de chauffage est plus
facilement réalisable à puissance constante qu'à température d'injection
constante. Les résultats obtenus montrent que ce type d'exploitation est
amélioré par un fonctionnement à débit du fluide caloporteur (Q) élevé et à
faible écart de température ( A0).A partir de la modélisation numérique et des résultats de
diverses simulations, on a retenu pour l'échangeur projeté à Lannion le
dimensionnement suivant : 100 mètres de profondeur, 0,2 mètres de diamètre,
et équipement d'un tubage interne de 50 x 38,8 mm de diamètre.
L'installation complète est composée de l'échangeur enterré,
d'une pompe à chaleur EAU/EAU, et du réseau de distribution de la chaleur
dans les bâtiments .
La connaissance de données essentielles sur les pompes à
chaleur et la thermique du bâtiment a permis une approche des besoins de
chauffage à Lannion et un premier choix de la pompe à chaleur.
251
Chaque élément de l'installation globale étant ainsi carac¬
térisé, l'analyse du bilan énergétique en a été réalisée. A l'aide de l'auto¬
matisation du calcul de ce bilan sur ordinateur, on a pu envisager différentes
variantes du projet. Les résultats obtenus conduisent aux conclusions suivantes
- L'utilisation intermittente du dispositif CORAIL liée à
des besoins de chauffage discontinus, comme ceux d'une école, n'est pas favorable
au bilan énergétique. L'échangeur (100 m de profondeur, 0,2 m de diamètre)
relié à la pompe à chaleur CIAT TBB n° 50 prélève sur le sous-sol pratiquement
68 % de l'énergie utile quand la répartition des besoins est continue, contre
environ 51 % quand les besoins sont intermittents.
- Le dimensionnement de la pompe à chaleur est un facteur
important dans les performances énergétiques de l'installation. L'échangeur
envisagé à Lannion associé à la pompe à chaleur :
- CIAT TBB n° 35, fournit 43 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 50, fournit 51 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 65, fournit 53 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 75, fournit 31 % de l'énergie utile.
- L'utilisation d'émetteurs calorifiques à basse température,
type planchers chauffants, est recommandée. La part de l'énergie prélevée parl'échangeur sur le sous-sol est alors supérieure dans l 'énergie utile au chauffage:
- 47 % contre 53 % pour la pompe à chaleur
CIAT TBB n° 35,
- 55 % contre 51 % pour la pompe à chaleur
CIAT TBB n° 50, lorsque des émetteurs à température (45/30) inférieure à
celle des radiateurs (70/55) sont utilisés.
Le COP ds l'installation globale est également meilleur :
- de l'ordre de 4,3 au lieu de 3,6 pour la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 35,
- de l'ordre de 4,2 au lieu de 3,6 pour la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 50.
251
Chaque élément de l'installation globale étant ainsi carac¬
térisé, l'analyse du bilan énergétique en a été réalisée. A l'aide de l'auto¬
matisation du calcul de ce bilan sur ordinateur, on a pu envisager différentes
variantes du projet. Les résultats obtenus conduisent aux conclusions suivantes
- L'utilisation intermittente du dispositif CORAIL liée à
des besoins de chauffage discontinus, comme ceux d'une école, n'est pas favorable
au bilan énergétique. L'échangeur (100 m de profondeur, 0,2 m de diamètre)
relié à la pompe à chaleur CIAT TBB n° 50 prélève sur le sous-sol pratiquement
68 % de l'énergie utile quand la répartition des besoins est continue, contre
environ 51 % quand les besoins sont intermittents.
- Le dimensionnement de la pompe à chaleur est un facteur
important dans les performances énergétiques de l'installation. L'échangeur
envisagé à Lannion associé à la pompe à chaleur :
- CIAT TBB n° 35, fournit 43 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 50, fournit 51 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 65, fournit 53 % de l'énergie utile,
- CIAT TBB n° 75, fournit 31 % de l'énergie utile.
- L'utilisation d'émetteurs calorifiques à basse température,
type planchers chauffants, est recommandée. La part de l'énergie prélevée parl'échangeur sur le sous-sol est alors supérieure dans l 'énergie utile au chauffage:
- 47 % contre 53 % pour la pompe à chaleur
CIAT TBB n° 35,
- 55 % contre 51 % pour la pompe à chaleur
CIAT TBB n° 50, lorsque des émetteurs à température (45/30) inférieure à
celle des radiateurs (70/55) sont utilisés.
Le COP ds l'installation globale est également meilleur :
- de l'ordre de 4,3 au lieu de 3,6 pour la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 35,
- de l'ordre de 4,2 au lieu de 3,6 pour la pompe à
chaleur CIAT TBB n° 50.
252 -
Dans une perspective de réalisation pratique, l'aspect
économique est essentiel. La recherche du coût des différents éléments du
dispositif montre l'importance du forage dans l'investissement total. Ainsi,
dans le projet étudié celui-ci peut, selon les variantes, représenter 42 à
65 % du coût total.
Des paramètres locaux peuvent également modifier le coût
moyen global. Pour le projet de Lannion, la distance entre le forage et la
chaufferie (25 à 30 m), la nécessité de tuber le forage sur les 10 premiers
mètres, et le diamètre du forage de 0,2 mètre constituent trois facteurs de
renchérissement .
La réalisation effective de ce projet, prévue pour 1985,
aura valeur d'exemple et permettra :
- de contrôler le fonctionnement réel d'un dispositif CORAIL
par un suivi du comportement thermique de l'échangeur et du forage de recon¬
naissance F2 (par des relevés de température notamment),
- de vérifier par ces mesures les résultats théoriques
présentés ici et donc d'en valider le champ d'application.
252 -
Dans une perspective de réalisation pratique, l'aspect
économique est essentiel. La recherche du coût des différents éléments du
dispositif montre l'importance du forage dans l'investissement total. Ainsi,
dans le projet étudié celui-ci peut, selon les variantes, représenter 42 à
65 % du coût total.
Des paramètres locaux peuvent également modifier le coût
moyen global. Pour le projet de Lannion, la distance entre le forage et la
chaufferie (25 à 30 m), la nécessité de tuber le forage sur les 10 premiers
mètres, et le diamètre du forage de 0,2 mètre constituent trois facteurs de
renchérissement .
La réalisation effective de ce projet, prévue pour 1985,
aura valeur d'exemple et permettra :
- de contrôler le fonctionnement réel d'un dispositif CORAIL
par un suivi du comportement thermique de l'échangeur et du forage de recon¬
naissance F2 (par des relevés de température notamment),
- de vérifier par ces mesures les résultats théoriques
présentés ici et donc d'en valider le champ d'application.
ANNEXESANNEXES
A3
UNITES UTILISEES
On pourra pour plus de compléments se reporter, entre autres, au
guide pratique pour le système international d'unités (S.I.) [A1-1].
A. 1.1 - Unités du système international
- le kelvin (K) : unité de température thermodynamique
(défini à partir du point triple de l'eau) également utilisée
pour exprimer un intervalle de température.
- le joule (J) : unité de travail (produit par une force de 1 newton
se déplaçant d'un mètre), d'énergie et de quantité de chaleur
(dimension ML'T~^ ) .
- le watt (W) : unité de puissance qui représente la puissance
d'un système énergétique dans lequel est transféré uniformément
une énergie de un joule par seconde.
1W = 1s
- On devra conjointement utiliser la seconde et le mètre respectivement
comme unité de temps et de longueur.
A. 1.2 - Autres unités utilisées en thermique
Dans la pratique les unités du système international ne sont
pas toujours adaptées et les termes de degrés-Celsius, calories, wattheure
et leurs multiples, ainsi que thermies et tonnes-équivalent-pétrole sont
souvent employées.
- Le degré-Celsius (°C) : unité de température qui exprime latempérature Celsius définie par la différence t = T - T^ entre
deux températures thermodynamiques T et T avec T = 273,15 kelvins.
Un intervalle de température s'exprime soit en kelvins,
soit en degrés-Celsius.
A3
UNITES UTILISEES
On pourra pour plus de compléments se reporter, entre autres, au
guide pratique pour le système international d'unités (S.I.) [A1-1].
A. 1.1 - Unités du système international
- le kelvin (K) : unité de température thermodynamique
(défini à partir du point triple de l'eau) également utilisée
pour exprimer un intervalle de température.
- le joule (J) : unité de travail (produit par une force de 1 newton
se déplaçant d'un mètre), d'énergie et de quantité de chaleur
(dimension ML'T~^ ) .
- le watt (W) : unité de puissance qui représente la puissance
d'un système énergétique dans lequel est transféré uniformément
une énergie de un joule par seconde.
1W = 1s
- On devra conjointement utiliser la seconde et le mètre respectivement
comme unité de temps et de longueur.
A. 1.2 - Autres unités utilisées en thermique
Dans la pratique les unités du système international ne sont
pas toujours adaptées et les termes de degrés-Celsius, calories, wattheure
et leurs multiples, ainsi que thermies et tonnes-équivalent-pétrole sont
souvent employées.
- Le degré-Celsius (°C) : unité de température qui exprime latempérature Celsius définie par la différence t = T - T^ entre
deux températures thermodynamiques T et T avec T = 273,15 kelvins.
Un intervalle de température s'exprime soit en kelvins,
soit en degrés-Celsius.
1 calorie
1 thermie
1 joule
1 wattheure
1 kilowattheure
1 tep
1 tec
calorie
1
10"
0,23892
860
860 10'
10"
7,0022 10'
thermie
10-1
0,23892 lO"'
860 IQ-*
0,86
10*
7,0022 10'
joule
4,1855
4,1855 10*
1
3600
3600 10'
4,1855 10"
2,93076 10"
wattheure
1,1626 10"'1,1626 10 '
2,77 10"*
1
10'
1,1626 10^
8,141 10*
ki lowattheure
1,1626 IQ-'1,1626
2,77 10-^
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1,1626 10*
8,141 10'
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10-"10-*
0,23892 lO""-10
860 10
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0, 70022
tec **
142,81 IQ-"142,81 10"*
34,1208 10-"
0,122835 10-'
0,122835 IQ-'
1,4281
1
>
Tableau A1-1 : Tableau de correspondance entre les unités d'énergie-4
(lecture du tableau - exemple : 1 joule (colonne de gauche) = 0,23892 calorie ou 2,77 10 Wh)
* tep : tonne-équivalent-pétrole.
** tec : tonne-équivalent-charbon.
1 calorie
1 thermie
1 joule
1 wattheure
1 kilowattheure
1 tep
1 tec
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1
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0,23892
860
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7,0022 10'
thermie
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7,0022 10'
joule
4,1855
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1
3600
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4,1855 10"
2,93076 10"
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1,1626 10"'1,1626 10 '
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34,1208 10-"
0,122835 10-'
0,122835 IQ-'
1,4281
1
>
Tableau A1-1 : Tableau de correspondance entre les unités d'énergie-4
(lecture du tableau - exemple : 1 joule (colonne de gauche) = 0,23892 calorie ou 2,77 10 Wh)
* tep : tonne-équivalent-pétrole.
** tec : tonne-équivalent-charbon.
- A5
- la calorie (cal.) : unité d'énergie, de quantité de chaleur.
Une calorie représente la quantité de chaleur nécessaire pour
élever la température d'un gramme d'eau d'un degré Celsius.
Ses multiples sont le kilocalorie et la thermie. Une calorie
équivaut à 4,18 joules.
- la thermie (th.) : équivaut à un million de calories
1 th = 10' kcal = 10^ cal.
- le wattheure (Wh) : unité d'énergie, correspond à un système
qui a fourni un watt pendant une heure.
Les multiples souvent utilisés sont le kilowattheure (kWh : 10' Wh)
et le mégawattheure (MWh = 10^ Wh = 10' kWh).
- la thermie par heure (th/h) : unité de puissance, correspond
à un système qui délivre une énergie d'une thermie chaque heure.
- la tonne-équivalent-gétrole ( tep) : unité qui permet de comparer
différents produits énergétiques.
Une tep correspond au pouvoir calorifique moyen d'une tone de
pétrole brut, soit 11 600 kWh d'énergie calorifique. Elle est
égale à 10 000 thermies du produit énergétique considéré, calcu¬
lées sur la base de son produit calorifique inférieur (P.C.I.).
- la tonne-éguivalent-charbon ( tec) : correspond à 6 670 thermies
ou 0,67 tep.
A. 1.3 - Equivalence entre les différentes unités
1 calorie = 4,1855 joules
1 joule = 0,24 calorie
1 thermie = 10^ calories = 4,18 10^ joules1 watt = 1 J/s = 0,24 cal/s
1 wattheure = 3600 joules
1 thermie/heure = 10^ cal/h = 1,163 kW
1 kWh = 860 kcal =0,86 thermie
Le tableau (Al-1) permet de passer d'une unité à l'autre.
- A5
- la calorie (cal.) : unité d'énergie, de quantité de chaleur.
Une calorie représente la quantité de chaleur nécessaire pour
élever la température d'un gramme d'eau d'un degré Celsius.
Ses multiples sont le kilocalorie et la thermie. Une calorie
équivaut à 4,18 joules.
- la thermie (th.) : équivaut à un million de calories
1 th = 10' kcal = 10^ cal.
- le wattheure (Wh) : unité d'énergie, correspond à un système
qui a fourni un watt pendant une heure.
Les multiples souvent utilisés sont le kilowattheure (kWh : 10' Wh)
et le mégawattheure (MWh = 10^ Wh = 10' kWh).
- la thermie par heure (th/h) : unité de puissance, correspond
à un système qui délivre une énergie d'une thermie chaque heure.
- la tonne-équivalent-gétrole ( tep) : unité qui permet de comparer
différents produits énergétiques.
Une tep correspond au pouvoir calorifique moyen d'une tone de
pétrole brut, soit 11 600 kWh d'énergie calorifique. Elle est
égale à 10 000 thermies du produit énergétique considéré, calcu¬
lées sur la base de son produit calorifique inférieur (P.C.I.).
- la tonne-éguivalent-charbon ( tec) : correspond à 6 670 thermies
ou 0,67 tep.
A. 1.3 - Equivalence entre les différentes unités
1 calorie = 4,1855 joules
1 joule = 0,24 calorie
1 thermie = 10^ calories = 4,18 10^ joules1 watt = 1 J/s = 0,24 cal/s
1 wattheure = 3600 joules
1 thermie/heure = 10^ cal/h = 1,163 kW
1 kWh = 860 kcal =0,86 thermie
Le tableau (Al-1) permet de passer d'une unité à l'autre.
ANNEXE 2
PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS
D'ECHANGEURS ENTERRES
ANNEXE 2
PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS
D'ECHANGEURS ENTERRES
- A8
con
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dens1
^o
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x>°c/
/5/-31
orati
zur \ Ny
" \ptancke.'is \
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m _, .\, P(^lT<'''i1[]CUfl'f\ \.^^enterrés \.
H) m ^ \,u-^ pompe de circulation \ \
Figure A2-7 .- Schéma simplifié de l' installation de chauffage[mTERKOTTE - [1-32]).
- A8
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orati
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H) m ^ \,u-^ pompe de circulation \ \
Figure A2-7 .- Schéma simplifié de l' installation de chauffage[mTERKOTTE - [1-32]).
A9 -
PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS D'ECHANGEURS ENTERRES
Cette partie rédigée à partir d'une étude bibliographique présente
les caractéristiques (dimensions et résultats) de quelques installations
d'échangeurs enterrés.
Pour plus de compléments, le lecteur pourra se reporter aux publi¬
cations consultées (liste bibliographique donnée en fin du mémoire).
A.2.1 - Les échangeurs enterrés horizontaux
A.2. 1.1 - Ijista_llati_on dJ é_chan_geurs enterrés horizontaux seuls
WATERKOTTE (1972) [l-30] présente l'installation schématisée
fiqure (A2-1). Cette installation destinée à chauffer une maison individuelle
est composée de :
- un echangeur : - enterré è 1,5 m,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : EAU/EAU,
- des planchers chauffants.
La puissance extraite varie entre 25 et 35 Wm ^ de surface occupée
par l'échangeur.
A9 -
PRESENTATION DE QUELQUES REALISATIONS D'ECHANGEURS ENTERRES
Cette partie rédigée à partir d'une étude bibliographique présente
les caractéristiques (dimensions et résultats) de quelques installations
d'échangeurs enterrés.
Pour plus de compléments, le lecteur pourra se reporter aux publi¬
cations consultées (liste bibliographique donnée en fin du mémoire).
A.2.1 - Les échangeurs enterrés horizontaux
A.2. 1.1 - Ijista_llati_on dJ é_chan_geurs enterrés horizontaux seuls
WATERKOTTE (1972) [l-30] présente l'installation schématisée
fiqure (A2-1). Cette installation destinée à chauffer une maison individuelle
est composée de :
- un echangeur : - enterré è 1,5 m,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : EAU/EAU,
- des planchers chauffants.
La puissance extraite varie entre 25 et 35 Wm ^ de surface occupée
par l'échangeur.
- All
DE HOE, GEERAERT (1982) [l-22] présentent une installation réaliséeen Belgique destinée à chauffer :
- un centre de recherches : -de 500 m^ ,
-de 1510 m',
-de besoins = 42 kW (pour - 10°C),
-et occupé 5 jours par semaine.
L'installation est composée de :
- un echangeur : - en polyethylene,
- de diamètre 27/32 mm,
- constitué de 3 circuits indépendants de :
4 "boucles" de 100 m (en 2 nappes à 0,6 m et
1,2 m de profondeur),
- circulation d'eau glycolée (33 %) :
au débit de 5 m' h ^ dans les 1er et 2ème circuits,au débit de 3 m' h ^ dans le 3ème circuit;
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU
- puissance nominale du condenseur :
3,7 kW pour le 1er circuit,
5 kW pour les 2ème et 3ème circuits,
- de radiateurs.
Les résultats sont les suivants pour la saison 1980/1981 :
- COP saisonnier : 2,27 et COP = 3,01 pour PAC 1,
COP =2,86 pour PAC 2,
COP =2,56 pour PAC 3,
- l'énergie fournie : - 1er circuit : 18259 kWh pour 1740 heures
de fonctionnement,
- 2ème circuit : 9309 kWh pour 642 heures de
fonctionnement,
- 3ème circuit : 8762 kWh pour 649 heures de
fonctionnement ;
- soit une puissance moyenne extraite : - 1er circuit : 7 kW,
- 2ème circuit : 9,4 kW,
- 3ème circuit : 8,2 kW.
- All
DE HOE, GEERAERT (1982) [l-22] présentent une installation réaliséeen Belgique destinée à chauffer :
- un centre de recherches : -de 500 m^ ,
-de 1510 m',
-de besoins = 42 kW (pour - 10°C),
-et occupé 5 jours par semaine.
L'installation est composée de :
- un echangeur : - en polyethylene,
- de diamètre 27/32 mm,
- constitué de 3 circuits indépendants de :
4 "boucles" de 100 m (en 2 nappes à 0,6 m et
1,2 m de profondeur),
- circulation d'eau glycolée (33 %) :
au débit de 5 m' h ^ dans les 1er et 2ème circuits,au débit de 3 m' h ^ dans le 3ème circuit;
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU
- puissance nominale du condenseur :
3,7 kW pour le 1er circuit,
5 kW pour les 2ème et 3ème circuits,
- de radiateurs.
Les résultats sont les suivants pour la saison 1980/1981 :
- COP saisonnier : 2,27 et COP = 3,01 pour PAC 1,
COP =2,86 pour PAC 2,
COP =2,56 pour PAC 3,
- l'énergie fournie : - 1er circuit : 18259 kWh pour 1740 heures
de fonctionnement,
- 2ème circuit : 9309 kWh pour 642 heures de
fonctionnement,
- 3ème circuit : 8762 kWh pour 649 heures de
fonctionnement ;
- soit une puissance moyenne extraite : - 1er circuit : 7 kW,
- 2ème circuit : 9,4 kW,
- 3ème circuit : 8,2 kW.
Locallsationdes Instal¬lations
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350
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snble boueux
calcnlre + boue
mlcBlrp + boue
sable boueux
oiqlle+ nalcBire
Terre vegetóle
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7
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7
6
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5
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5
Conscvnnatlonélectrique du
système(KVH)
12900
ICGCD
5200
14520
9150
8110
4810
10932
5212
6992
5230
7912
5234
3410
7010
7331
3417
rtmsoiwnat Ionen clisuffageafnKiel(KW<)
29125
22B50
uaro
30710
16245
169B5
9666
23271
11537
14566
12065
16605
11961
77B9
17990
21201
7866
3860 15603
C.O.Pmoyen
2.25
3.24
2.26
2.12
2
2.08
2
2.13
2.21
2.09
2.3
2.1
2.28
2.28
2.56
2.89
2.31
4
Durée (le
fonction¬nement (H)
3110
2460
2ceo
3105
2525
2240
18TO
2634
2025
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2030
2165
1445
1325
1940
20
1330
1510
(X)
53.5
42.3
34.8
53.5
43.5
36.6
32.2
45.4
34.9
46.7
34.9
37.6
25
22.8
33.4
34.8
22.9
29
I
3>
Tableau A 2- 2 : donné,çji, expérimentales de 18 installations {d'après CARD! (J.M) , NOLAV [P.], VAVDE [G.], 1983,\l-2'^^])
Locallsationdes Instal¬lations
M F0 R
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l fa
m.
to
w
N5
Pl
P2
P3
El
E2
E3
E4
SI
S2
S3
S4
S5
S6
Besoins du
bit latent(W)
1660O
17300
8600
22000
ijaoo
13200
TBao
leeoo
9220
10«D
0960
13040
12600
6610
15510
14250
8720
10433
therMlqiieentralte
(Hl
12375
12975
6375
16300
lo,o
9900
5680
lasoo
6915
7600
6720
9780
9«0
&157
11633
1C687
66<n
7815
PuissanceInstalléede la POC
(W)
2x3.0
2x3.0
2x1.5
2x3.5
2x2.9
2x2.5
2x1.5
2x3.0
2x1.5
2x1.6
2x1.5
2x2.3
2x2.5
2x1.5
2x2.5
2x2.5
2x1.5
2x1.5
lon-9ieur
deséchan
geurs
(n)
600
650
320
600
500
500
300
eoo
350
400
350
50O
450
350
800
5B0
400
400
forffe del'échan¬
geur
t .
, .
....
% »
. . .
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*
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'
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«
«
OegrésJour»
772A
25G6
2693
2693
2C07
2/164
2406
2660
2406
2600
2666
2464
1465
1396
1790
2B70
1796
2Bro
fJature duSous-sol
snble boueux
calcnlre + boue
mlcBlrp + boue
sable boueux
oiqlle+ nalcBire
Terre vegetóle
terre végitnle
alluvions
poudl nguc
argile
aigile
argile
pable irU'í»Ii"i'+ fer
'>mixi te
ralcalre
marne
marne
schistes
le«ï>éralucedu sol («c)
début 1 finde la saisonchauffante
12
13
13
12
12
14
14
14
14
15
14
14
W
14
.15
12
14
12
4
4
3
4
5
8
3
6
6
6
7
7
7
6
6
5
7
5
Conscvnnatlonélectrique du
système(KVH)
12900
ICGCD
5200
14520
9150
8110
4810
10932
5212
6992
5230
7912
5234
3410
7010
7331
3417
rtmsoiwnat Ionen clisuffageafnKiel(KW<)
29125
22B50
uaro
30710
16245
169B5
9666
23271
11537
14566
12065
16605
11961
77B9
17990
21201
7866
3860 15603
C.O.Pmoyen
2.25
3.24
2.26
2.12
2
2.08
2
2.13
2.21
2.09
2.3
2.1
2.28
2.28
2.56
2.89
2.31
4
Durée (le
fonction¬nement (H)
3110
2460
2ceo
3105
2525
2240
18TO
2634
2025
zrxb
2030
2165
1445
1325
1940
20
1330
1510
(X)
53.5
42.3
34.8
53.5
43.5
36.6
32.2
45.4
34.9
46.7
34.9
37.6
25
22.8
33.4
34.8
22.9
29
I
3>
Tableau A 2- 2 : donné,çji, expérimentales de 18 installations {d'après CARD! (J.M) , NOLAV [P.], VAVDE [G.], 1983,\l-2'^^])
A13
MENJOZ (1982) Ll-20] présente l'installation réalisée à Crève-Coeur
en Auge (Calvados)^ destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 213 m'
- besoins 7 kW (par - 7°C)
Cette installation est composée de :
- un echangeur : - en PVC,
- en boucles de 63 mètres environ sur 3 nappes
dm, 1,5m, 2m de profondeur),
- circulation d'eau glycolée au débit de 1 m'h ^;
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- à 2 étages de compression,
- puissance utile 10 kW,
- planchers chauffants.
La puissance extraite est de 5,4 Wm~^.
La Société générale de Fonderie (MASSER) [l-23] commercialise
depuis 1979 le dispositif suivant :
-un echangeur:- polyethylene,
- diamètre 26/32 mm,
- en boucles de 100 à 200 m (1 ou 2 nappes) ;
- une pompe à chaieur : - EAU/EAU,
- à deux étages de compression,
- planchers chauffants.
dont les résultats sont :
- COP > 2,
- puissance extraite : 16 à 21 watts par mètre linéaire d'échangeur,
- temps de retour : 6 à 10 ans.
Le tableau (A2-2) résume les caractéristiques de 18 installations
de ce type réalisées en France.
A13
MENJOZ (1982) Ll-20] présente l'installation réalisée à Crève-Coeur
en Auge (Calvados)^ destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 213 m'
- besoins 7 kW (par - 7°C)
Cette installation est composée de :
- un echangeur : - en PVC,
- en boucles de 63 mètres environ sur 3 nappes
dm, 1,5m, 2m de profondeur),
- circulation d'eau glycolée au débit de 1 m'h ^;
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- à 2 étages de compression,
- puissance utile 10 kW,
- planchers chauffants.
La puissance extraite est de 5,4 Wm~^.
La Société générale de Fonderie (MASSER) [l-23] commercialise
depuis 1979 le dispositif suivant :
-un echangeur:- polyethylene,
- diamètre 26/32 mm,
- en boucles de 100 à 200 m (1 ou 2 nappes) ;
- une pompe à chaieur : - EAU/EAU,
- à deux étages de compression,
- planchers chauffants.
dont les résultats sont :
- COP > 2,
- puissance extraite : 16 à 21 watts par mètre linéaire d'échangeur,
- temps de retour : 6 à 10 ans.
Le tableau (A2-2) résume les caractéristiques de 18 installations
de ce type réalisées en France.
A14
10000
9000
8000
7OO0
so-
u'&I
w
QkOiTOv
' II "
uuccn021} WK
fllu
QkQv
Coefficient de performanceCSialeur restituée par le condenseur (diaufiage)Chaleur absorbée par l'évaporateur (accumulateursouterrain)
FigurzA2-3 : Valeuns mznsuzlles moyznnzs du cozfflclzntde pzrfonmance de la pompe à chalzur[pénlodz dz chauffagz 1980/81)
[d'après (tIERNER, 1982 - [1-28]).
A14
10000
9000
8000
7OO0
so-
u'&I
w
QkOiTOv
' II "
uuccn021} WK
fllu
QkQv
Coefficient de performanceCSialeur restituée par le condenseur (diaufiage)Chaleur absorbée par l'évaporateur (accumulateursouterrain)
FigurzA2-3 : Valeuns mznsuzlles moyznnzs du cozfflclzntde pzrfonmance de la pompe à chalzur[pénlodz dz chauffagz 1980/81)
[d'après (tIERNER, 1982 - [1-28]).
A15 -
A. 2. 1.2 - Echangeurs_horizontaux reliés_à des_installations solaires
WERNER (1982) [l-25] présente la réalisation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 400 m^,
- 1000 m',
- besoins 25 kW (par - 11°C);
L'installation est composée de :
- un echangeur : - en polyethylene,
- 2 boucles de 150 m à 1,8 m de profondeur,
- 2 autres boucles de 150 m à 0,4 m de
profondeur (inutilisées pendant la saison
1980/1981);.
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- à 2 étages de compressions
(Pe = 3,5 kW),
- de puissance disponible 22 kW (à 55°C
au condenseur);
- 16 m^ de capteur solaires installés sur le toit pour la
fourniture d'eau chaude sanitaire et éventuellement régénérer
le potentiel du sol pendant la saison de chauffage.
- L'énergie fournie est de : 2100 kWh à 8500 kWh pour une énergie
extraite respectivement de 1500 kWh à 5000 kWh (octobre
1980 et janvier 1981) (fioure (A2-3)).
A.2. 2 - Les échangeurs enterrés verticaux
A.2. 2-1 - Echangeurs verticaux concentrigues
- DRAFZ (1982) [l-^^J présente l'installation destinée à assurer :
- le chauffage et la fourniture d'eau chaude sanitaire
d'une maison individuelle.
A15 -
A. 2. 1.2 - Echangeurs_horizontaux reliés_à des_installations solaires
WERNER (1982) [l-25] présente la réalisation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 400 m^,
- 1000 m',
- besoins 25 kW (par - 11°C);
L'installation est composée de :
- un echangeur : - en polyethylene,
- 2 boucles de 150 m à 1,8 m de profondeur,
- 2 autres boucles de 150 m à 0,4 m de
profondeur (inutilisées pendant la saison
1980/1981);.
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- à 2 étages de compressions
(Pe = 3,5 kW),
- de puissance disponible 22 kW (à 55°C
au condenseur);
- 16 m^ de capteur solaires installés sur le toit pour la
fourniture d'eau chaude sanitaire et éventuellement régénérer
le potentiel du sol pendant la saison de chauffage.
- L'énergie fournie est de : 2100 kWh à 8500 kWh pour une énergie
extraite respectivement de 1500 kWh à 5000 kWh (octobre
1980 et janvier 1981) (fioure (A2-3)).
A.2. 2 - Les échangeurs enterrés verticaux
A.2. 2-1 - Echangeurs verticaux concentrigues
- DRAFZ (1982) [l-^^J présente l'installation destinée à assurer :
- le chauffage et la fourniture d'eau chaude sanitaire
d'une maison individuelle.
A16 -
. . . .\
i \r*"~
Vzau glycoléz { . .R
tubz zxtérlzur i-r
[acler.)
tubz lnt.érlzur ;:_
[matlzrz plastlquz) :\:
ii
48 m
Flgunz A2-4 : Coupz du dispositifprésenté pan VRAFl [1-38].
A16 -
. . . .\
i \r*"~
Vzau glycoléz { . .R
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[acler.)
tubz lnt.érlzur ;:_
[matlzrz plastlquz) :\:
ii
48 m
Flgunz A2-4 : Coupz du dispositifprésenté pan VRAFl [1-38].
- A17 -
L'installation est composée de :
- un echangeur : - 4 sondes de 48 mètres tube extérieur acier
(fiqure (A2-4))(f ^A9 /l^^ ((^ 59/63,5 mm),' fiqure (A2-4) )
tube intérieur en
matière plastique
(0 22,7/15 mm),
- circulation d'eau glycolée (20 %) ,
- dans un terrain sableaux (eau à 6-7 m
sous le sol);
une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance du compresseur : 5,5 kW,
planchers chauffants.
La puissance minimale extraite est de 65 watts par mètre de sonde
(en janvier et février 1981).
GALINDO [l-2l] présente l'installation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 182 m^,
- 435 m'.
L'installation est composée de :
- un echangeur : - 4 sondes tube extérieur tôle ondulée,
tube intérieur PVC,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance : 14,3 kW.
La puissance extraite s'élève à 71,6 Wm ^ de sonde et le temps
de retour est compris entre 7 et 8 ans.
- A17 -
L'installation est composée de :
- un echangeur : - 4 sondes de 48 mètres tube extérieur acier
(fiqure (A2-4))(f ^A9 /l^^ ((^ 59/63,5 mm),' fiqure (A2-4) )
tube intérieur en
matière plastique
(0 22,7/15 mm),
- circulation d'eau glycolée (20 %) ,
- dans un terrain sableaux (eau à 6-7 m
sous le sol);
une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance du compresseur : 5,5 kW,
planchers chauffants.
La puissance minimale extraite est de 65 watts par mètre de sonde
(en janvier et février 1981).
GALINDO [l-2l] présente l'installation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 182 m^,
- 435 m'.
L'installation est composée de :
- un echangeur : - 4 sondes tube extérieur tôle ondulée,
tube intérieur PVC,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance : 14,3 kW.
La puissance extraite s'élève à 71,6 Wm ^ de sonde et le temps
de retour est compris entre 7 et 8 ans.
A18 -
Figure A 2- 5 .- Dispositif d' écliangeur enterrévertical [\I0H AGTHOl/EN, mSKIE,1983 - [7-37] ).
A18 -
Figure A 2- 5 .- Dispositif d' écliangeur enterrévertical [\I0H AGTHOl/EN, mSKIE,1983 - [7-37] ).
- A19-
A.2.2.2 - Echangeurs verticaux en_"U"
AGTHOUEN et WISKIE [l-3l] décrivent l'installation destinée à
chauf f er :
- une maison individuelle : - 1340 m',
- besoins 18 kW .
L'installation est composée de :
- un echangeur : 30 "épingles" de 10 m de profondeur et distantes
de 5 m les unes des autres, mises en place à
partir d'une tranchée (1,25 m) et d'un forage
($ = 150 mm), et reliées par un collecteur
horizontal,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance 32,5 kW,
- planchers chauffants.
La couverture des besoins est totale.
Près de Stockholm [l-35] depuis 1981, une installation prévue
pour assurer :
- le chauffage et la fourniture d'eau chaude sanitaire
d'une maison individuelle de 410 m^,
est composée de :
- un echangeur : - tube coudé en matière plastique dans 1 forage
de 150 m rempli d'eau souterraine,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance : 11 -kW.
Elle permet une économie de 50 % sur la consommation antérieure
de fioul (qui était de 7000 litres environ).
- A19-
A.2.2.2 - Echangeurs verticaux en_"U"
AGTHOUEN et WISKIE [l-3l] décrivent l'installation destinée à
chauf f er :
- une maison individuelle : - 1340 m',
- besoins 18 kW .
L'installation est composée de :
- un echangeur : 30 "épingles" de 10 m de profondeur et distantes
de 5 m les unes des autres, mises en place à
partir d'une tranchée (1,25 m) et d'un forage
($ = 150 mm), et reliées par un collecteur
horizontal,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance 32,5 kW,
- planchers chauffants.
La couverture des besoins est totale.
Près de Stockholm [l-35] depuis 1981, une installation prévue
pour assurer :
- le chauffage et la fourniture d'eau chaude sanitaire
d'une maison individuelle de 410 m^,
est composée de :
- un echangeur : - tube coudé en matière plastique dans 1 forage
de 150 m rempli d'eau souterraine,
- circulation d'eau glycolée,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance : 11 -kW.
Elle permet une économie de 50 % sur la consommation antérieure
de fioul (qui était de 7000 litres environ).
- A20
Figure A2-6 : Dispositif d'échangeurs enterrésverticaux
[d'après GALINDO, 1982 - [1-21]
- A20
Figure A2-6 : Dispositif d'échangeurs enterrésverticaux
[d'après GALINDO, 1982 - [1-21]
- A21
GALINDO [1-21] présente l'installation suivante :
- un echangeur : composé de 30 épingles :
(fiqure(A2-6)) - de 5 à 7 m de profondeur,
- mises en place par des techniques de
percussion, les épingles sont inclinées de
15°C par rapport à la verticale,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance électrique : 2 kW,
- puissance au condenseur : 5,7 kW.
L'énergie extraite pendant 1 mois (fonctionnement continu) est
de 4100 kWh, soit une puissance de 14,35 W m" .
A. 2. 2. 3 - Echangeurs verticaux couplés à des_collecteurs_solaires
FORDSMAND L^-^^] présente l'installation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 137 m^,
- besoins 9 kW (pour - 12°C),
et composée de :
- un echangeur : - 4 tubes concentriques de 31 m ,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- des collecteurs solaires : - 14 m^ pour reconstituer le
potentiel énergétique du sol.
- A21
GALINDO [1-21] présente l'installation suivante :
- un echangeur : composé de 30 épingles :
(fiqure(A2-6)) - de 5 à 7 m de profondeur,
- mises en place par des techniques de
percussion, les épingles sont inclinées de
15°C par rapport à la verticale,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- puissance électrique : 2 kW,
- puissance au condenseur : 5,7 kW.
L'énergie extraite pendant 1 mois (fonctionnement continu) est
de 4100 kWh, soit une puissance de 14,35 W m" .
A. 2. 2. 3 - Echangeurs verticaux couplés à des_collecteurs_solaires
FORDSMAND L^-^^] présente l'installation destinée à chauffer :
- une maison individuelle : - 137 m^,
- besoins 9 kW (pour - 12°C),
et composée de :
- un echangeur : - 4 tubes concentriques de 31 m ,
- une pompe à chaleur : - EAU/EAU,
- des collecteurs solaires : - 14 m^ pour reconstituer le
potentiel énergétique du sol.
ANNEXE 3
MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE
ANNEXE 3
MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE
A2A -
échantillon <:^*
"X'1/Til chauffant
thermocouple
Figure (A. 3-1) : Principe de la mesure
C),
p1
61
ii- _- '^.^^^'^y^
^ 1 . '^
' ! 1 ^
("04
15
10
5
0
^région où la conductivitéest mesurée
^ r^ 1
r^
(.
1
1
t1
!
,
\\
\
\
^^
' ^t. |sec) 10 100 (sec)
Figure (A. 3-2): Relation temps-température Figure (A. 3-3): Relation log( temps)-température
A2A -
échantillon <:^*
"X'1/Til chauffant
thermocouple
Figure (A. 3-1) : Principe de la mesure
C),
p1
61
ii- _- '^.^^^'^y^
^ 1 . '^
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("04
15
10
5
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^région où la conductivitéest mesurée
^ r^ 1
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1
1
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,
\\
\
\
^^
' ^t. |sec) 10 100 (sec)
Figure (A. 3-2): Relation temps-température Figure (A. 3-3): Relation log( temps)-température
A25
MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE
L'appareil utilisé (Shoterm QTM-Dl - fabriqué par Showa Denko KK)
permet de faire des mesures de conductivité thermique en régime transitoire,
dans une gamme de 0, 02 à 12 W m ^K \
A.3.1 - Principe de la mesure
(fiqure (A. 3-1))
Si on chauffe un fil chauffant tendu sur l'axe d'un échantillon
cyclindrique considéré infini, la température du fil croît exponentiellement
avec le temps (fiqures (A3-2)et (A3-3)).
La conductivité thermique de l'échantillon est alors obtenue par
la formule :
ln (t;/t, )
N 4 XTTX (02/Gi )
avec q : chaleur par unité de longueur du fil chauffant (kcal m h )
tel que
n Q£. V X Iq = U,a6 X .
U : voltage (V)
I : intensité du courant (A)
L : longueur du fil (m)
tl, t2 : temps en secondes
01, 0j : température en degré respectivement à ti et tj.
A25
MESURES DE CONDUCTIVITE THERMIQUE
L'appareil utilisé (Shoterm QTM-Dl - fabriqué par Showa Denko KK)
permet de faire des mesures de conductivité thermique en régime transitoire,
dans une gamme de 0, 02 à 12 W m ^K \
A.3.1 - Principe de la mesure
(fiqure (A. 3-1))
Si on chauffe un fil chauffant tendu sur l'axe d'un échantillon
cyclindrique considéré infini, la température du fil croît exponentiellement
avec le temps (fiqures (A3-2)et (A3-3)).
La conductivité thermique de l'échantillon est alors obtenue par
la formule :
ln (t;/t, )
N 4 XTTX (02/Gi )
avec q : chaleur par unité de longueur du fil chauffant (kcal m h )
tel que
n Q£. V X Iq = U,a6 X .
U : voltage (V)
I : intensité du courant (A)
L : longueur du fil (m)
tl, t2 : temps en secondes
01, 0j : température en degré respectivement à ti et tj.
, 0_o1 Wm-'''C-'' I '
Tl Mf HEOTÏJt MODS'
^0' ^' W
- A26
ÇjTT^
réglagezéro ^CL#échantillon
TIME = Sélection du pas de temps (20-30-40s)HEATER = Sélection du mode de chauffage ) ^^^^ tableau (A-3-4)
MODE = Sélection parallèle au mode de chauffage »
Fiqure (A. 3-3 ) : Schéma du conductivimètre
Conductivité thermique(W m"'°c"')
< 0,10,1 - 0,3
0,3 - 2,0
> 2,0
Position du boutonHEATER
0,5 ou 1
2
4
8
Position du boutonMODE
Low
Low ou High
High
High
Tableau (A.3 -4): Positions des boutons HEATER et MODE
, 0_o1 Wm-'''C-'' I '
Tl Mf HEOTÏJt MODS'
^0' ^' W
- A26
ÇjTT^
réglagezéro ^CL#échantillon
TIME = Sélection du pas de temps (20-30-40s)HEATER = Sélection du mode de chauffage ) ^^^^ tableau (A-3-4)
MODE = Sélection parallèle au mode de chauffage »
Fiqure (A. 3-3 ) : Schéma du conductivimètre
Conductivité thermique(W m"'°c"')
< 0,10,1 - 0,3
0,3 - 2,0
> 2,0
Position du boutonHEATER
0,5 ou 1
2
4
8
Position du boutonMODE
Low
Low ou High
High
High
Tableau (A.3 -4): Positions des boutons HEATER et MODE
A27 -
Dans la pratique on mesure la conductivité sur un demi- cylindre.Le demi-cyclindre supérieur de la fiqure (A. 3-1) est remplacé par une pièce
en matériel adiabatique de conductivité connue et la conductivité de
l'échantillon est obtenue par la formule :
(V2- V, )
avec K, H : constantes spécifiques du matériel,
I : courant électrique passant dans le fil (A),V, ,\li: voltage du termocouple (U),
t, ,t2: temps de la mesure.
A.3. 2 - Schéma de l'appareil (figure(A.3-3))
S est la pièce de matériel adiabatique de conductivité connue,
sous laquelle est fixée le fil chauffant et le thermocouple.
Le mode d'utilisation des boutons "TIME", "HEATER" et
"MODE", qui dépend de la gamme de la conductivité thermique de l'échantillon
est présenté dans le tableau (A. 3-4) .
A27 -
Dans la pratique on mesure la conductivité sur un demi- cylindre.Le demi-cyclindre supérieur de la fiqure (A. 3-1) est remplacé par une pièce
en matériel adiabatique de conductivité connue et la conductivité de
l'échantillon est obtenue par la formule :
(V2- V, )
avec K, H : constantes spécifiques du matériel,
I : courant électrique passant dans le fil (A),V, ,\li: voltage du termocouple (U),
t, ,t2: temps de la mesure.
A.3. 2 - Schéma de l'appareil (figure(A.3-3))
S est la pièce de matériel adiabatique de conductivité connue,
sous laquelle est fixée le fil chauffant et le thermocouple.
Le mode d'utilisation des boutons "TIME", "HEATER" et
"MODE", qui dépend de la gamme de la conductivité thermique de l'échantillon
est présenté dans le tableau (A. 3-4) .
ANNEXE 4
DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS
DU CHAPITRE 3
ANNEXE 4
DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS
DU CHAPITRE 3
S.30
H^r
FAugure A. 4-1 : Système d'axes considéré poux lanésolutlon des équations
S.30
H^r
FAugure A. 4-1 : Système d'axes considéré poux lanésolutlon des équations
- A31 r
DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS DU CHAPITRE 3
Dans cette annexe sont rassemblés les enchaînements d'une équation
à une autre non développés dans le chapitre 3 afin de l'alléger.
A. 4.1 - Ecriture des équations aux dérivées partielles (3.06) et (3.10) á partir de
l'équation de la chaleur
Equation de la chaleur :
Y -TT = div (X grad 0) - v (grad {yê)) + x (3.05)
L'écriture en coordonnées cylindriques du gradient et du
divergent est :
div A = -^ + - d (^) + - (-^ )9A;3z 3r r 9a
IgradB = e^i^^ e^d^^^ e3(i 9 fe9z 9r r 9a^
(le système de coordonnées est représenté fiqure A4-1),
Dans l'encaissant :
(3.05)
on considère les phénomènes conductifs uniquement,
du fait de la symétrie autour de l'axe de l'échangeur et de la
constance des propriétés thermiques dans l'espace et le
temps les isothermes sont des cercles.
90Y xr = div (X grad 0)
= 0 car les isothermes sont des cercles90 .. r, , 90 90 1 ae'.T
y ^= div [X (-37-^ 37 -H j^)]9t
90ñt
90
-90 90s^ Ldiv (-3^+97)] car X est constante
dû , r9^0 1 9(r90/9r)-^ 9t " ^9z^
+r 9r
90 _ ^ r9^0 ^ ifG^.! M]9t 9z' gr^' r 9r
(3.06)
- A31 r
DEVELOPPEMENT DES EQUATIONS DU CHAPITRE 3
Dans cette annexe sont rassemblés les enchaînements d'une équation
à une autre non développés dans le chapitre 3 afin de l'alléger.
A. 4.1 - Ecriture des équations aux dérivées partielles (3.06) et (3.10) á partir de
l'équation de la chaleur
Equation de la chaleur :
Y -TT = div (X grad 0) - v (grad {yê)) + x (3.05)
L'écriture en coordonnées cylindriques du gradient et du
divergent est :
div A = -^ + - d (^) + - (-^ )9A;3z 3r r 9a
IgradB = e^i^^ e^d^^^ e3(i 9 fe9z 9r r 9a^
(le système de coordonnées est représenté fiqure A4-1),
Dans l'encaissant :
(3.05)
on considère les phénomènes conductifs uniquement,
du fait de la symétrie autour de l'axe de l'échangeur et de la
constance des propriétés thermiques dans l'espace et le
temps les isothermes sont des cercles.
90Y xr = div (X grad 0)
= 0 car les isothermes sont des cercles90 .. r, , 90 90 1 ae'.T
y ^= div [X (-37-^ 37 -H j^)]9t
90ñt
90
-90 90s^ Ldiv (-3^+97)] car X est constante
dû , r9^0 1 9(r90/9r)-^ 9t " ^9z^
+r 9r
90 _ ^ r9^0 ^ ifG^.! M]9t 9z' gr^' r 9r
(3.06)
A32 -
« Dans l'échangeur
pour l'annulaire
. les échanges considérés sont convectifs,
. les isothermes sont des cercles,
. sur une section la température (0a) est constante (0a est fonction
de z et de t seulement).
(3.05) <=> 7^ = - ~ (gradCyeâ)) + x
flux échangé avecl'encaissant et le tube central
pour la surface Sade l'annulaire etsur une hauteur dz de forage
'>'|f^-(Tgrad(aa)') = [ Z'^Vo T? | ^S ^^ (6 c - 6 ¿)]/5 s
(7 constante) o
= 0 car a =0 car lesconstante sur isothermesune section sont des cercles
7% Sa + Q%] = ^^¿^ Oc-ea) + 27rXn ro ôO I (3.07 et 3.08)^ ^ ôr Ij,
o
A32 -
« Dans l'échangeur
pour l'annulaire
. les échanges considérés sont convectifs,
. les isothermes sont des cercles,
. sur une section la température (0a) est constante (0a est fonction
de z et de t seulement).
(3.05) <=> 7^ = - ~ (gradCyeâ)) + x
flux échangé avecl'encaissant et le tube central
pour la surface Sade l'annulaire etsur une hauteur dz de forage
'>'|f^-(Tgrad(aa)') = [ Z'^Vo T? | ^S ^^ (6 c - 6 ¿)]/5 s
(7 constante) o
= 0 car a =0 car lesconstante sur isothermesune section sont des cercles
7% Sa + Q%] = ^^¿^ Oc-ea) + 27rXn ro ôO I (3.07 et 3.08)^ ^ ôr Ij,
o
A33 -
pour_le tube central :
les hypothèses sont les mêmes que pour l'annulaire
(3.05) <=> Y ||-c = -- (grad (yQ'c))+ X
flux échangé avec l'annulaire
Y 11^ + V (Y grad (0c)) = [X.^!!l_ (0a - 0e)]/S,
90r r .90r 90'C 1 90cao ^^ 2TTrT , ,. ,Y 3t^+ v/ Ly(-37^-h 37-^7^^)] = {^I± (0a- e-c)]/S^
= 0 car 0[; = 0 carconstante isothermes
sur une sont dessection cercles
Y [f ^Sc - q||^ = X^2^T (0 3- 0e) (3.09)
Usens decirculation dufluide inverse
A. 4.2 - Solution analytique de Ramey
Descente gar l'annulaire :
cp (z,t) .^^XR(0o.gz-0p(z,t)) ^^_2^^
[ln(4Dt/rè) - r]
Dans une tranche dz de forage :
30 47rXR(0o + gz - 0|r(z,t))QYp gr = ^ (3.27)
[ln(4Dt/r^) - r]
on va intégrer par rapport à z
4ttXrP°^°"^ "^ = QYp[ln(4Dt/rJ) - rJ ^^'^^^
90p
9z(3.27) ^ + K 0^ = K (00 + gz) (A. 4.1)
A33 -
pour_le tube central :
les hypothèses sont les mêmes que pour l'annulaire
(3.05) <=> Y ||-c = -- (grad (yQ'c))+ X
flux échangé avec l'annulaire
Y 11^ + V (Y grad (0c)) = [X.^!!l_ (0a - 0e)]/S,
90r r .90r 90'C 1 90cao ^^ 2TTrT , ,. ,Y 3t^+ v/ Ly(-37^-h 37-^7^^)] = {^I± (0a- e-c)]/S^
= 0 car 0[; = 0 carconstante isothermes
sur une sont dessection cercles
Y [f ^Sc - q||^ = X^2^T (0 3- 0e) (3.09)
Usens decirculation dufluide inverse
A. 4.2 - Solution analytique de Ramey
Descente gar l'annulaire :
cp (z,t) .^^XR(0o.gz-0p(z,t)) ^^_2^^
[ln(4Dt/rè) - r]
Dans une tranche dz de forage :
30 47rXR(0o + gz - 0|r(z,t))QYp gr = ^ (3.27)
[ln(4Dt/r^) - r]
on va intégrer par rapport à z
4ttXrP°^°"^ "^ = QYp[ln(4Dt/rJ) - rJ ^^'^^^
90p
9z(3.27) ^ + K 0^ = K (00 + gz) (A. 4.1)
A34 -
0p = Ce
avec C : constante
La résolution de cette équation sans second membre
.90p(-g^ + K0p = 0) conduit à :
Kz (A. 4. 2)
La résolution de l'équation avec second membre permet de
calculer la constante C :
(A. 4.1)
(A. 4. 2) C Ke"*^^ + ^ e~^^ + KCe"*^^ = K (0o + gz)
i = MGo - gz)e^^ (A. 4. 3)
l'intégration de cette équation (A. 4. 3) par rapport à z conduit à C :
/^ Q\ KzC = (Gq + gz - ^)e -H B (A. 4. 4)
et B = constante
(A. 4. 2)
(A. 4. 4) 0p = [(00 + gz - J)e^^ + B]e-^K'
Les conditions aux limites permettent de déterminer B
à z = 0 % = ©i
et 0p = 0^ = 0^ _ £ + B
B = 00 - 0i - -aK
donc
soit pour
Of = 0, + gz - a ^ (0i - 0^ . f )e-Kz
z = h :
03 = 0^ . gh - f . (0. - 0^ . ^)e-^h
(3.29)
(3.30)
A34 -
0p = Ce
avec C : constante
La résolution de cette équation sans second membre
.90p(-g^ + K0p = 0) conduit à :
Kz (A. 4. 2)
La résolution de l'équation avec second membre permet de
calculer la constante C :
(A. 4.1)
(A. 4. 2) C Ke"*^^ + ^ e~^^ + KCe"*^^ = K (0o + gz)
i = MGo - gz)e^^ (A. 4. 3)
l'intégration de cette équation (A. 4. 3) par rapport à z conduit à C :
/^ Q\ KzC = (Gq + gz - ^)e -H B (A. 4. 4)
et B = constante
(A. 4. 2)
(A. 4. 4) 0p = [(00 + gz - J)e^^ + B]e-^K'
Les conditions aux limites permettent de déterminer B
à z = 0 % = ©i
et 0p = 0^ = 0^ _ £ + B
B = 00 - 0i - -aK
donc
soit pour
Of = 0, + gz - a ^ (0i - 0^ . f )e-Kz
z = h :
03 = 0^ . gh - f . (0. - 0^ . ^)e-^h
(3.29)
(3.30)
A35
0 Descente par le tube central
Le sens de circulation du fluide est inversé et l'équation de
départ est
90J, 4ïïXr (0F(z,t) - 00 - gz)^ "^f" ÏÏT " Lln(4Dt/rp - r] (3.31)
La procédure est la même que précédemment et la résolution
de l'équation sans second membre conduit à :
0p = C'e*^^ (A. 4. 5)
puis celle de l'équation avec second membre à
r*^^ (00 + gz + J) + B' (A. 4. 6)
donc 0^ = 0 = gz + -a + B'e*^^r O ^ K
(A. 4. 7)
La condition aux limites 0[-(z = h,t) = 0. amène
0. =0 +gh+§+B'e1 o ^ K
Kh
B' = (0. - 0^ - gh - a)e-'<h
donc 0P = 0^ . gz . f . (0. - 0^ - gh - f)e^(-^)
pour z = 0 , 0^ = 0r s
0 =0 +S+(0. _0S 0 K 1 0
donc :
^, q^ -Kh- gh - ^)e (3.33)
A35
0 Descente par le tube central
Le sens de circulation du fluide est inversé et l'équation de
départ est
90J, 4ïïXr (0F(z,t) - 00 - gz)^ "^f" ÏÏT " Lln(4Dt/rp - r] (3.31)
La procédure est la même que précédemment et la résolution
de l'équation sans second membre conduit à :
0p = C'e*^^ (A. 4. 5)
puis celle de l'équation avec second membre à
r*^^ (00 + gz + J) + B' (A. 4. 6)
donc 0^ = 0 = gz + -a + B'e*^^r O ^ K
(A. 4. 7)
La condition aux limites 0[-(z = h,t) = 0. amène
0. =0 +gh+§+B'e1 o ^ K
Kh
B' = (0. - 0^ - gh - a)e-'<h
donc 0P = 0^ . gz . f . (0. - 0^ - gh - f)e^(-^)
pour z = 0 , 0^ = 0r s
0 =0 +S+(0. _0S 0 K 1 0
donc :
^, q^ -Kh- gh - ^)e (3.33)
A36
A.4.3 - Solutions analytiques pour d'autres types de fonctionnement [3-2,3-12]
A. 4. 3.1 - Fonctionnement à puissance constante
0 Descente par l'annulaire
On a : 0 =0 + gh - -^ -i- (0. - 0 + ^)es 0 ^ Kl o K
et 0. = 0 - A01 s
-Kh (3.30)
(3.34)
qui conduisent à
®s = ®o ^ 9h - ^ - (03 - A0 - 0, -. f )e-^^
/, -Kh^ rs r^ -Khs q /, -Kh-. . -Kh<==> 0 (1-e )=0 (1-e )--^(l-e )- A0e
s 0 K
0 = 0 _ %., aÎL- ^ A0es
Kh
0 K -Kh1 - e 1 - e
-Kh
0 = 0 - g + q^ ^. +s o K 1 -Kh
1 - e
A0n Kh.(1 - e )
qh
1 - e-Kh
u Kh- qh e
n Khs(1 - e )
u M Kh.qh (1 - e ) -n Kh.(1 - e )
qh
qh
M Kh.(1 - e )
Kh(multiplication par "JTít)
donc 0 Q - a . gh - 3h_:i-^O K ^ ,., K
(1Kh.
e )
(3.35)
A36
A.4.3 - Solutions analytiques pour d'autres types de fonctionnement [3-2,3-12]
A. 4. 3.1 - Fonctionnement à puissance constante
0 Descente par l'annulaire
On a : 0 =0 + gh - -^ -i- (0. - 0 + ^)es 0 ^ Kl o K
et 0. = 0 - A01 s
-Kh (3.30)
(3.34)
qui conduisent à
®s = ®o ^ 9h - ^ - (03 - A0 - 0, -. f )e-^^
/, -Kh^ rs r^ -Khs q /, -Kh-. . -Kh<==> 0 (1-e )=0 (1-e )--^(l-e )- A0e
s 0 K
0 = 0 _ %., aÎL- ^ A0es
Kh
0 K -Kh1 - e 1 - e
-Kh
0 = 0 - g + q^ ^. +s o K 1 -Kh
1 - e
A0n Kh.(1 - e )
qh
1 - e-Kh
u Kh- qh e
n Khs(1 - e )
u M Kh.qh (1 - e ) -n Kh.(1 - e )
qh
qh
M Kh.(1 - e )
Kh(multiplication par "JTít)
donc 0 Q - a . gh - 3h_:i-^O K ^ ,., K
(1Kh.
e )
(3.35)
- A37 -
Descente par le tube central
On a Q=Q+^+iQ.-e-Qh- ^)es 0 K 1 0 ^ K
-Kh
et 0. = 0 - A01 s
(3.33)
(3.34)
qui conduisent à
0 =0 +^+(0 _A0s o K s
n u a^ -Kh0^ - gh - g)e
-Kh- -Kh,0g (1 - e-'^'') = 0^ (1 - e-'^^ + f (1 - ^ ) - (A0 + gh)e
-Kh
-Kh
0 = 0 ^ £ . (A0 ^ qh)es 0 K ( ^ _ ^-Kh )
0 = 0 ^ a ^ A0 ^ qhs 0 K (^ _ ^Kh ) (3.36)
A. 4. 3. 2 - Fonctionnement à puissance variable
On utilise le principe de superposition (Q étant constant etA0 variable).
Et à partir de l'équation (3.35) :
®s^t) - ®o - "îT -^9^gh - A0 n-1 A0. - A0. ,
f, K' h. "^ A-- , K'.h(1 - e 0 ) 1=1 1 - e 1
03(t) = 0 -0
r 1
0
h _!.
1 -
h n-1"1 -u V
K' h ^ * í¿-- e 0 1=0
A0. - A0. ,1 1-1
, K' .h1 - e 1
(3.37)
- A37 -
Descente par le tube central
On a Q=Q+^+iQ.-e-Qh- ^)es 0 K 1 0 ^ K
-Kh
et 0. = 0 - A01 s
(3.33)
(3.34)
qui conduisent à
0 =0 +^+(0 _A0s o K s
n u a^ -Kh0^ - gh - g)e
-Kh- -Kh,0g (1 - e-'^'') = 0^ (1 - e-'^^ + f (1 - ^ ) - (A0 + gh)e
-Kh
-Kh
0 = 0 ^ £ . (A0 ^ qh)es 0 K ( ^ _ ^-Kh )
0 = 0 ^ a ^ A0 ^ qhs 0 K (^ _ ^Kh ) (3.36)
A. 4. 3. 2 - Fonctionnement à puissance variable
On utilise le principe de superposition (Q étant constant etA0 variable).
Et à partir de l'équation (3.35) :
®s^t) - ®o - "îT -^9^gh - A0 n-1 A0. - A0. ,
f, K' h. "^ A-- , K'.h(1 - e 0 ) 1=1 1 - e 1
03(t) = 0 -0
r 1
0
h _!.
1 -
h n-1"1 -u V
K' h ^ * í¿-- e 0 1=0
A0. - A0. ,1 1-1
, K' .h1 - e 1
(3.37)
A38
A.4.4 - Paramètres adimensionnels [[3-2,3-12]
A. 4. 4.1 - Puissance constante
Descente du flulde caloporteur par l'annulaire
Soit l'équation (3.35) :0 =0 -ngh-a. ^h - A0^ = " ^ K ,, Kh.s 0 / , r\i I.
(1 - e )
et les paramètres adimensionnels définis ainsi :
tr = 4Dt/r^ , 0^ = Qs - (0o ^ gh/2)o
A0
G = gh/A0 ,
P = QYp/4^Xph
d'après ces définitions : K
.4TTXp/QYp 1/Ph
[ln(4Dt/r=) - T] [ln(4Dt/r') - r]o ' o
et : 0 = 0J.A0 H- (0 + gh/2)
donc (3.35) < > 0rA0 + (0 + gh/2) = 0 + gh - -^ - ^^ ~ ^go 0 K ^ _ gKh^
Pl - lah a qh - A0 1
^ " U - ^ - (I . e^^J/
0, = G[i-P(ln(t^)-r .-_i-^].-L
®r = G i - ^ - , \h I -^ -H<hL 1-e Jl-e
Kh
K h =1/P
(ln(t_) - D - Z
avec Z = P [ln(t ) - r]r
donc «r = 77^*=[i-Z--i-j7,] (3.43)
A38
A.4.4 - Paramètres adimensionnels [[3-2,3-12]
A. 4. 4.1 - Puissance constante
Descente du flulde caloporteur par l'annulaire
Soit l'équation (3.35) :0 =0 -ngh-a. ^h - A0^ = " ^ K ,, Kh.s 0 / , r\i I.
(1 - e )
et les paramètres adimensionnels définis ainsi :
tr = 4Dt/r^ , 0^ = Qs - (0o ^ gh/2)o
A0
G = gh/A0 ,
P = QYp/4^Xph
d'après ces définitions : K
.4TTXp/QYp 1/Ph
[ln(4Dt/r=) - T] [ln(4Dt/r') - r]o ' o
et : 0 = 0J.A0 H- (0 + gh/2)
donc (3.35) < > 0rA0 + (0 + gh/2) = 0 + gh - -^ - ^^ ~ ^go 0 K ^ _ gKh^
Pl - lah a qh - A0 1
^ " U - ^ - (I . e^^J/
0, = G[i-P(ln(t^)-r .-_i-^].-L
®r = G i - ^ - , \h I -^ -H<hL 1-e Jl-e
Kh
K h =1/P
(ln(t_) - D - Z
avec Z = P [ln(t ) - r]r
donc «r = 77^*=[i-Z--i-j7,] (3.43)
A39
« Desczntz du fluldz caloporteur par Iz tubz central
L'équation (3.36) 0 =0 + ^ + a- et les paramètress o K / . Kn .(1 - e )
adimensionnels définis précédemment conduisent à :
rA0 + 0 + gh/2 = 0 -^ ^ + ^^ "^ ^' 0 ^ o K /, K
= [0 - i_ ah + a + ^Q + qh°r-| 2 *K-(^_^Kh)_,
M Kh.(1 - e )
A0
^ 0 'r- ,, Kh.(1 - e )
1 - e
1 1/Z0r = ^^^r-nr- - G [t - ^ - TTTTz] "«'
Pour les temps longs
donc
et
et
t -* K donc t -> ir
Z = P lln(t ) - r] ^ 00
1/Z * 0
1/Ze ^1
et Q J, déterminé par les équations (3.43) et (3.45) tend vers une limite
indéterminée .
On utilise alors le développement limité de l'exponentielle :
2 n'^ 1 21 211 2L.
e ~ 1 -I- ^j + 2!'*"'***'^n!X -> 0
A39
« Desczntz du fluldz caloporteur par Iz tubz central
L'équation (3.36) 0 =0 + ^ + a- et les paramètress o K / . Kn .(1 - e )
adimensionnels définis précédemment conduisent à :
rA0 + 0 + gh/2 = 0 -^ ^ + ^^ "^ ^' 0 ^ o K /, K
= [0 - i_ ah + a + ^Q + qh°r-| 2 *K-(^_^Kh)_,
M Kh.(1 - e )
A0
^ 0 'r- ,, Kh.(1 - e )
1 - e
1 1/Z0r = ^^^r-nr- - G [t - ^ - TTTTz] "«'
Pour les temps longs
donc
et
et
t -* K donc t -> ir
Z = P lln(t ) - r] ^ 00
1/Z * 0
1/Ze ^1
et Q J, déterminé par les équations (3.43) et (3.45) tend vers une limite
indéterminée .
On utilise alors le développement limité de l'exponentielle :
2 n'^ 1 21 211 2L.
e ~ 1 -I- ^j + 2!'*"'***'^n!X -> 0
- A40
En ne considérant que les deux premiers termes du développement
- Z
1 - e(1/Z)
1 - (1 + Y+ 2^") (1 +^)
puisque (1 H- c) - 1 -t- ne (quand e petit) :
1 - e(1/Z) Z (1-^)
équation (3.43 )
- Z (1 - ^) [l _ Z . Z (1 - i^)]
z + i.a[i-z.z-i]
^=> 0r ~ - Z +1
équation(3.45) :
z -I- Z (1
z -I- i-.[i-z.z-i]iz']
-z*f
- A40
En ne considérant que les deux premiers termes du développement
- Z
1 - e(1/Z)
1 - (1 + Y+ 2^") (1 +^)
puisque (1 H- c) - 1 -t- ne (quand e petit) :
1 - e(1/Z) Z (1-^)
équation (3.43 )
- Z (1 - ^) [l _ Z . Z (1 - i^)]
z + i.a[i-z.z-i]
^=> 0r ~ - Z +1
équation(3.45) :
z -I- Z (1
z -I- i-.[i-z.z-i]iz']
-z*f
- A41
A. 4. 4. 2 - Puissance variable
L'équation (3.37)
0^(t) = 0 - gs o ^
n-1 A0. - A0. ,1-1
fK^ - ^ ^ , ^ K'h] " I^ , ' K'.1 - e o
1 = 01 - e i
et les paramètres adimensionnels définis ainsi
A0. - A0.A0r. i-l
A0tr. = 4Dt/r=
1 o
0^(t) - 0^s o^
A0
conduisent à :
e,A0 = 0^ - 0^ - gh (z;^ 1 +1 - e
VZ, ' ) -^ Zn-1 A0^ - A0^_^
1 = 0 1 - e^^/^i )
sachant que Z' 1/K! h1
donc : 0r = 2h (z> _ 1A0 ^^o ^
1 - e1/Z -)
n-1 A0. - A0. ,El 1-1
i=o M - - ^^1(1 - e ' 1 ) A0
0r = - G (Zô - 1 +
1
1
eVZi, -) -t-
n-1
i=o
A0r.1
(1 - e^/^i )
A. 4. 4. 3 - J^iüpéja_tuj^ d' injection_ constante
Desczntz par l'annulairz
L'équation (3.30) : 0 =0 -h gh - -^ + (0. - 0 + %) e~^^^ so^KioK
et les paramètres adimensionnels définis ainsi
0-00'.=..^-^ , Gr - 0. - 0
1 0
_gh_0.-0
1 o
t = 4Dt/r!,r 0
conduisent à 0 =0 -I- (0. - 0 ) 0'o = 0 -K gh - -a + (0. - 0 + S) e"*^*^s 01 oR o^ Kl oK
0'j, = G -g -Kh
K(0. - 0 ) " ^®i " ®o " K^ (0. - 0 )
0'r = G - GZ -H (1 -I- GZ)e-Kh
(Z = 1/Kh)
0'^ = e^-i/Z) ,G (1 -Z-.Z e-1/^) (3.55)
- A41
A. 4. 4. 2 - Puissance variable
L'équation (3.37)
0^(t) = 0 - gs o ^
n-1 A0. - A0. ,1-1
fK^ - ^ ^ , ^ K'h] " I^ , ' K'.1 - e o
1 = 01 - e i
et les paramètres adimensionnels définis ainsi
A0. - A0.A0r. i-l
A0tr. = 4Dt/r=
1 o
0^(t) - 0^s o^
A0
conduisent à :
e,A0 = 0^ - 0^ - gh (z;^ 1 +1 - e
VZ, ' ) -^ Zn-1 A0^ - A0^_^
1 = 0 1 - e^^/^i )
sachant que Z' 1/K! h1
donc : 0r = 2h (z> _ 1A0 ^^o ^
1 - e1/Z -)
n-1 A0. - A0. ,El 1-1
i=o M - - ^^1(1 - e ' 1 ) A0
0r = - G (Zô - 1 +
1
1
eVZi, -) -t-
n-1
i=o
A0r.1
(1 - e^/^i )
A. 4. 4. 3 - J^iüpéja_tuj^ d' injection_ constante
Desczntz par l'annulairz
L'équation (3.30) : 0 =0 -h gh - -^ + (0. - 0 + %) e~^^^ so^KioK
et les paramètres adimensionnels définis ainsi
0-00'.=..^-^ , Gr - 0. - 0
1 0
_gh_0.-0
1 o
t = 4Dt/r!,r 0
conduisent à 0 =0 -I- (0. - 0 ) 0'o = 0 -K gh - -a + (0. - 0 + S) e"*^*^s 01 oR o^ Kl oK
0'j, = G -g -Kh
K(0. - 0 ) " ^®i " ®o " K^ (0. - 0 )
0'r = G - GZ -H (1 -I- GZ)e-Kh
(Z = 1/Kh)
0'^ = e^-i/Z) ,G (1 -Z-.Z e-1/^) (3.55)
A42
Descente par le tube central
L'équation (3.33) : 0 =0 +§+(0.0 _ gh _ 3) e"*^*^soKio^K
et les paramètres adimensionnels définis ci-dessus conduisent à
0 =0' (0. - 0 ) + 0 =0 -f a + (0. _ 0 _ gh - £)s loooK lo^K
(0 - 0 - gh - g/K)0- = G'Z -I- -^^ -^ r e^^^^'
(0. - 0^)
-Kh
> 0'j, = e~^^/^^ + G' I Z - e
0', = e-^'/'^
rz-e^-^/^)-Ze(-^/^)]
G' [e^-^/^) - Z . Z e^-^/^)] (3.54)
Pour les temps longs
t -»- oo donc tr ^ °° donc z -> °°
donc 1/Z * o donc e~ -» ^ " T (développement limité de e(x)
quand x -» o)
L'équation (3.55) conduit alors à :
0 r ~ 1 i+ G Fl - Z + Z (1-7)]
0J, -l-y-i-G-GZ-i-GZ-G
0^.-1-^-^1 car J
L'équation (3.54) conduit à
0 '^ ~ 1 -i _ G'Fd -i) - Z -. Z (1 -^)J
0'j, ... 1 _ i _ G' -I- Y^ -h G'Z - G'Z -t- G'
0'r ~ 1 - Y + Y^ ^1 car Y -^ 0
A42
Descente par le tube central
L'équation (3.33) : 0 =0 +§+(0.0 _ gh _ 3) e"*^*^soKio^K
et les paramètres adimensionnels définis ci-dessus conduisent à
0 =0' (0. - 0 ) + 0 =0 -f a + (0. _ 0 _ gh - £)s loooK lo^K
(0 - 0 - gh - g/K)0- = G'Z -I- -^^ -^ r e^^^^'
(0. - 0^)
-Kh
> 0'j, = e~^^/^^ + G' I Z - e
0', = e-^'/'^
rz-e^-^/^)-Ze(-^/^)]
G' [e^-^/^) - Z . Z e^-^/^)] (3.54)
Pour les temps longs
t -»- oo donc tr ^ °° donc z -> °°
donc 1/Z * o donc e~ -» ^ " T (développement limité de e(x)
quand x -» o)
L'équation (3.55) conduit alors à :
0 r ~ 1 i+ G Fl - Z + Z (1-7)]
0J, -l-y-i-G-GZ-i-GZ-G
0^.-1-^-^1 car J
L'équation (3.54) conduit à
0 '^ ~ 1 -i _ G'Fd -i) - Z -. Z (1 -^)J
0'j, ... 1 _ i _ G' -I- Y^ -h G'Z - G'Z -t- G'
0'r ~ 1 - Y + Y^ ^1 car Y -^ 0
ANNEXE 5
MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES
ANNEXE 5
MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES
A47
MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES
(sur Zilog)
A.5.0.1 - Logiciels
THERM. S : Constitution du fichier des données thermiques.
METEOll.S : Constitution du fichier des données météorologiques.
GEOTHS.S : Constitution du fichier des données "géothermiques".
CARPAl.S : Constitution du fichier des caractéristiques de la PAC choisie.
BILAN. S : Calcul thermique avec les données lues sur les fichiers créés
par les logiciels précédents.
A.5.0.2 - Fichiers créés par les logiciels
TITREl : Données thermiques du projet.
TITREJ : Données météorologiques du projet ( courbe jour/jour).
TITRER : Données météorologiques classées du projet.
TITREC : Données géothermiques (version Corail) du projet.
TITRER : Données géothermiques (version stockage) du projet.
TITRET : Données géothermiques (version température constante) du projet.
NOM de PAC : Données caractéristiques de la PAC (Puissance, COP, en fonction de(10 carac- la température d'entrée de l'évaporateur et de la température deteres) sortie du condenseur).TITRE3 : Fichier des résultats thermiques de l'étude
TITRER : Fichier des températures, des besoins (kWh) et de la puissancede la PAC au cours de la saison de chauffage.
avec :
TITRE : 5 premiers caractères du titre de l'étude, que l'utilisateur
rentre à la console dans chaque logiciel.
Les données sont entrées à la console (mode conversationnel).
A47
MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES
(sur Zilog)
A.5.0.1 - Logiciels
THERM. S : Constitution du fichier des données thermiques.
METEOll.S : Constitution du fichier des données météorologiques.
GEOTHS.S : Constitution du fichier des données "géothermiques".
CARPAl.S : Constitution du fichier des caractéristiques de la PAC choisie.
BILAN. S : Calcul thermique avec les données lues sur les fichiers créés
par les logiciels précédents.
A.5.0.2 - Fichiers créés par les logiciels
TITREl : Données thermiques du projet.
TITREJ : Données météorologiques du projet ( courbe jour/jour).
TITRER : Données météorologiques classées du projet.
TITREC : Données géothermiques (version Corail) du projet.
TITRER : Données géothermiques (version stockage) du projet.
TITRET : Données géothermiques (version température constante) du projet.
NOM de PAC : Données caractéristiques de la PAC (Puissance, COP, en fonction de(10 carac- la température d'entrée de l'évaporateur et de la température deteres) sortie du condenseur).TITRE3 : Fichier des résultats thermiques de l'étude
TITRER : Fichier des températures, des besoins (kWh) et de la puissancede la PAC au cours de la saison de chauffage.
avec :
TITRE : 5 premiers caractères du titre de l'étude, que l'utilisateur
rentre à la console dans chaque logiciel.
Les données sont entrées à la console (mode conversationnel).
A46 -
I : Logiciel THERM. S
A.5.L1 - But
Constitue un fichier TITREl des caractéristiques thermiques de
l'étude.
A.5.I.2 - Mise en oeuvre (sur Zilog)
Les données suivantes sont demandées à l'utilisateur (en mode conver¬
sationnel) ; il les rentre alors à la console.
- Titre de l'étude.- T I T R E X X X X... (79 caractères maximum),
- Date DATE (79 caractères maximum),
- Température de consigne (en °C):TC,
- Température de base (en °C):TB,
- Température de non chauffage (en ''OcTNC,
- Température de départ du circuit chauffage (en °C) pour TB = TDO ,
- Température de retour du circuit chauffage (en "^C) pour TB = TR 0 ,
- Puissance maximale des besoins (en kW): PMAX,
- Facteur d'intermittencerH (= 1 si utilisation continue du chauffage),- Combustible de référence : COMBUS,
(le Pouvoir Calorifique Inférieur et le Rendement sont calculés par
le programme, PCI - REND),
- Température limite de rejet (en °C):TLIMIT,
(si TREJET < TLIMIT =^ arrêt du fonctionnement de la PAC)
- Température maximale du condenseur (en °C) : TCMAXI.
N.B. : Pour l'enregistrement des données, des questions sans ambiguïté sont
posées à l'utilisateur.
A46 -
I : Logiciel THERM. S
A.5.L1 - But
Constitue un fichier TITREl des caractéristiques thermiques de
l'étude.
A.5.I.2 - Mise en oeuvre (sur Zilog)
Les données suivantes sont demandées à l'utilisateur (en mode conver¬
sationnel) ; il les rentre alors à la console.
- Titre de l'étude.- T I T R E X X X X... (79 caractères maximum),
- Date DATE (79 caractères maximum),
- Température de consigne (en °C):TC,
- Température de base (en °C):TB,
- Température de non chauffage (en ''OcTNC,
- Température de départ du circuit chauffage (en °C) pour TB = TDO ,
- Température de retour du circuit chauffage (en "^C) pour TB = TR 0 ,
- Puissance maximale des besoins (en kW): PMAX,
- Facteur d'intermittencerH (= 1 si utilisation continue du chauffage),- Combustible de référence : COMBUS,
(le Pouvoir Calorifique Inférieur et le Rendement sont calculés par
le programme, PCI - REND),
- Température limite de rejet (en °C):TLIMIT,
(si TREJET < TLIMIT =^ arrêt du fonctionnement de la PAC)
- Température maximale du condenseur (en °C) : TCMAXI.
N.B. : Pour l'enregistrement des données, des questions sans ambiguïté sont
posées à l'utilisateur.
A49
2 : Logiciel METEOll.S
A.5.2.1 - But
-Constitution d'un fichier TITREJ (données météorologiques jour/jour)
et d'un fichier TITRER (données météorologiques classées par ordre croissant(= 1) ou décroissant (= -1) des températures.
-Après modification dans TITREJ, sous éditeur de texte, de valeurs
de température et/ou date et/ou indice de jour (= position dans la semaine)
constitution du nouveau TITREJ et du nouveau TITRER, tous les éléments étant corrigés.
A.5.2.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont rentrées par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE X (79 caractères maximum),
(= nom du fichier déjà existant, quand on veut le recréer après correction))
- Date : DATE (79 caractères maximum),
- Température de non chauffage (en °C):TNC,
- Température choisie pour le calcul des degrés-jour (°C):TDJU,
- IFICH 1/10 : fichier déjà existant ou non -
(1) (0)
A - IFICH = 0
- Choix du relevé de température à rentrer = - jour/jour: ITEM = 1,
- cumulé : ITEM = 0.
A.l - ITEM_=_1
- Nombre de jours de la saison de chauf fage:NT,
- rentrer la date, la température, l'indice du jour (= position dans la semaine).
JOUR(I), MOIS(I), T(I), IJOUR(I),
calcul de CHTNC, indice de chauffage :
= 0 si T > TNC,
= 1 si T < TNC,
et de TJCH = ZCHTNC
calcul des degrés-jours DJU par appel du sous-programme CALDJU.
A49
2 : Logiciel METEOll.S
A.5.2.1 - But
-Constitution d'un fichier TITREJ (données météorologiques jour/jour)
et d'un fichier TITRER (données météorologiques classées par ordre croissant(= 1) ou décroissant (= -1) des températures.
-Après modification dans TITREJ, sous éditeur de texte, de valeurs
de température et/ou date et/ou indice de jour (= position dans la semaine)
constitution du nouveau TITREJ et du nouveau TITRER, tous les éléments étant corrigés.
A.5.2.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont rentrées par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE X (79 caractères maximum),
(= nom du fichier déjà existant, quand on veut le recréer après correction))
- Date : DATE (79 caractères maximum),
- Température de non chauffage (en °C):TNC,
- Température choisie pour le calcul des degrés-jour (°C):TDJU,
- IFICH 1/10 : fichier déjà existant ou non -
(1) (0)
A - IFICH = 0
- Choix du relevé de température à rentrer = - jour/jour: ITEM = 1,
- cumulé : ITEM = 0.
A.l - ITEM_=_1
- Nombre de jours de la saison de chauf fage:NT,
- rentrer la date, la température, l'indice du jour (= position dans la semaine).
JOUR(I), MOIS(I), T(I), IJOUR(I),
calcul de CHTNC, indice de chauffage :
= 0 si T > TNC,
= 1 si T < TNC,
et de TJCH = ZCHTNC
calcul des degrés-jours DJU par appel du sous-programme CALDJU.
A50
A.2 - ITEM_=_g
- Température minimale (°C) : TMINI,
- Température maximale (°C) : TMAXI,
- Le programme affiche à la console les températures (TCUM) de TMINI jusqu'à
TMAXI (incrément de 1°C), l'utilisateur rentre la fréquence (NCUM) de chaque
température.
calcul de CHAUR (indice de chauffage par rapport à TNC):
= 0 si TCUM > TNC,
= l^^NCUM si TCUM < TNC,
et de TJCH = Z CHAUR,
calcul des degrés- jours (DJU) par appel du sous-programme CALDJU.
B - IFICH = 1 ( il existe déjà un fichier )
- Lecture sur TITRER de NT, Jl -^ indice
nb de jours dela saison de chauffage
- Jl = 0 : lecture de la courbe classée (TCUM, NCUM) sur TITRER (TITREJ n'existe pas),
- Jl = 1 : chauffage continu \ ^^^,-, . ,I lecture sur TITREJ de la
- Jl = 2 : chauffage discontinu (4,5 jours/semaine) > courbe jour/jour- Jl = 3 ; chauffage discontinu et vacances scolaires / ^ ' '
calcul de CHTNC = 0 si T > TNC, TCUM > TNC
= 1 si T < TNC
= 1*NCUM si TCUM < TNC
calcul de DJU par appel du sous-programme CALDJU et de DJTNC.
Type d'utilisation du chauffage (pour courbe jour/jour seulement)
. ICH = 0 chauffage continu
. ICH = 1 chauffage "type école"
=î> appel du sous-programme ECOLE
( CHJOU = 1 lundi , mardi , jeudi , vendredi
CHJOU =0,5 mercredi, samedi
CHJOU = 0 dimanche
A50
A.2 - ITEM_=_g
- Température minimale (°C) : TMINI,
- Température maximale (°C) : TMAXI,
- Le programme affiche à la console les températures (TCUM) de TMINI jusqu'à
TMAXI (incrément de 1°C), l'utilisateur rentre la fréquence (NCUM) de chaque
température.
calcul de CHAUR (indice de chauffage par rapport à TNC):
= 0 si TCUM > TNC,
= l^^NCUM si TCUM < TNC,
et de TJCH = Z CHAUR,
calcul des degrés- jours (DJU) par appel du sous-programme CALDJU.
B - IFICH = 1 ( il existe déjà un fichier )
- Lecture sur TITRER de NT, Jl -^ indice
nb de jours dela saison de chauffage
- Jl = 0 : lecture de la courbe classée (TCUM, NCUM) sur TITRER (TITREJ n'existe pas),
- Jl = 1 : chauffage continu \ ^^^,-, . ,I lecture sur TITREJ de la
- Jl = 2 : chauffage discontinu (4,5 jours/semaine) > courbe jour/jour- Jl = 3 ; chauffage discontinu et vacances scolaires / ^ ' '
calcul de CHTNC = 0 si T > TNC, TCUM > TNC
= 1 si T < TNC
= 1*NCUM si TCUM < TNC
calcul de DJU par appel du sous-programme CALDJU et de DJTNC.
Type d'utilisation du chauffage (pour courbe jour/jour seulement)
. ICH = 0 chauffage continu
. ICH = 1 chauffage "type école"
=î> appel du sous-programme ECOLE
( CHJOU = 1 lundi , mardi , jeudi , vendredi
CHJOU =0,5 mercredi, samedi
CHJOU = 0 dimanche
A51
Prise en compte des vacances scolaires ou non:
IIVACAN = 0 > non prise en compte
IVACAN = 1 y prise en compte
. ICHOI = 0 dates des vacances fixées dans le programme
. ICHOI = 1 date des vacances choisies par l'utilisateur
=î> création de l'indice CHJF
ÍCHJF = 0 quand vacances scolaires
CHJF = 1 quand non vacances scolaires
=* Calcul de l'indice de chauffage CHAU = CHTNC*CHJOU*CHJF
Ecriture dans les fichiers TITREJ et TITRER à l'aide des sous-programmes
SORTO, SORTI, et SORTll .
N.B. ; Après chaque enregistrement du JOUR, MOIS, T, IJOUR, il y a possibilité
de les corriger.
La console affiche des questions sans ambiguïté avant l'entrée des données.
A51
Prise en compte des vacances scolaires ou non:
IIVACAN = 0 > non prise en compte
IVACAN = 1 y prise en compte
. ICHOI = 0 dates des vacances fixées dans le programme
. ICHOI = 1 date des vacances choisies par l'utilisateur
=î> création de l'indice CHJF
ÍCHJF = 0 quand vacances scolaires
CHJF = 1 quand non vacances scolaires
=* Calcul de l'indice de chauffage CHAU = CHTNC*CHJOU*CHJF
Ecriture dans les fichiers TITREJ et TITRER à l'aide des sous-programmes
SORTO, SORTI, et SORTll .
N.B. ; Après chaque enregistrement du JOUR, MOIS, T, IJOUR, il y a possibilité
de les corriger.
La console affiche des questions sans ambiguïté avant l'entrée des données.
A 52-
3 : Logiciel GEOTHS.S
A.5.3.1 - But
Constitution d'un fichier TITREC (version CORAIL des données
"géothermiques"), d'un fichier TITRES (version stockage des données "géother¬
miques"), ou d'un fichier TITRET (version température constante).
A.5.3.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont rentrées par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel):
- Titre de l 'étude ^-TITREC \
TITRES > Fichiers crées
TITRET/
- Date : DATE (79 caractères maximum).
A - Données pour le fichier TITRES
- Débit du forage: DGTH (m'/h),
- Température limite de rejet : TLIMIT (°C),
- Hauteur manométrique totale :HMT (en m),
- Uolume stocké: VSTO (m'),
- Température du sous-sol :T50L (°C),
- Température d'injection du stock:TINSTO C^C),
. calcul de TETAI et TETAO = températures réduites correspondant à TINSTO
et TSOL,
- Température (réduite) après soutirage de tout le stock TETAVl
. calcul de TUI (°C),- Possibilité de coorriger ces données si erreur .
A 52-
3 : Logiciel GEOTHS.S
A.5.3.1 - But
Constitution d'un fichier TITREC (version CORAIL des données
"géothermiques"), d'un fichier TITRES (version stockage des données "géother¬
miques"), ou d'un fichier TITRET (version température constante).
A.5.3.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont rentrées par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel):
- Titre de l 'étude ^-TITREC \
TITRES > Fichiers crées
TITRET/
- Date : DATE (79 caractères maximum).
A - Données pour le fichier TITRES
- Débit du forage: DGTH (m'/h),
- Température limite de rejet : TLIMIT (°C),
- Hauteur manométrique totale :HMT (en m),
- Uolume stocké: VSTO (m'),
- Température du sous-sol :T50L (°C),
- Température d'injection du stock:TINSTO C^C),
. calcul de TETAI et TETAO = températures réduites correspondant à TINSTO
et TSOL,
- Température (réduite) après soutirage de tout le stock TETAVl
. calcul de TUI (°C),- Possibilité de coorriger ces données si erreur .
A53 -
B - Données pour fichier TITREC
Débit du forage:DGTHC (mVh),
Température limite de rejet: TLIMC (°C),
Température manométrique totale : HMT (m),
Température du sous-sol à z = 0 : TSURF (°C),
Ecart de température exploité par le dispositif CORAIL : DELTAT (°C),
Profondeur du forage rPROF (m),
Gradient géothermique :GRAD C^C/m),
Conductivité thermique de la roche :RLAMDA (W/m/'^c),
Capacité calorifique de la roche :GAMAR (J/mV°C),Capacité calorifique de l'eau: GAMAF (J/mV°C),
Rayon du forage : RAYFOR (m),
Nombre de forage(s) CORAIL: NBF.
C - Données stockées dans le fichier TITRET
Débit du forage:DGTH (m'/h).
Température constante de la source froide :TGTH (°C),
Ecart de température exploité par la PAC:DELTAT (°C),
Température limite de rejet :TLIMIT (°C),
Hauteur manométrique totale :HMT (m).
N.B. : Possibilité de corriger les valeurs si erreur,
avant enregistrement des données, des questions sans ambiguïté
sont posées à l'utilisateur.
A53 -
B - Données pour fichier TITREC
Débit du forage:DGTHC (mVh),
Température limite de rejet: TLIMC (°C),
Température manométrique totale : HMT (m),
Température du sous-sol à z = 0 : TSURF (°C),
Ecart de température exploité par le dispositif CORAIL : DELTAT (°C),
Profondeur du forage rPROF (m),
Gradient géothermique :GRAD C^C/m),
Conductivité thermique de la roche :RLAMDA (W/m/'^c),
Capacité calorifique de la roche :GAMAR (J/mV°C),Capacité calorifique de l'eau: GAMAF (J/mV°C),
Rayon du forage : RAYFOR (m),
Nombre de forage(s) CORAIL: NBF.
C - Données stockées dans le fichier TITRET
Débit du forage:DGTH (m'/h).
Température constante de la source froide :TGTH (°C),
Ecart de température exploité par la PAC:DELTAT (°C),
Température limite de rejet :TLIMIT (°C),
Hauteur manométrique totale :HMT (m).
N.B. : Possibilité de corriger les valeurs si erreur,
avant enregistrement des données, des questions sans ambiguïté
sont posées à l'utilisateur.
A 54
4 : Logiciel CARPA I.S
A.5.4.1 - But
Constitution d'un fichier REFPAC des caractéristiques de la
pompea chaleur (. uissance calorifique, oefficient de erformance) en fonction
des températures d'entrée à l'évaporateur et de sortie au condenseur.
A.5.4.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont fournies par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE XX (79 caractères maximum),
- Date : DATE (79 caractères maximum),
- Références de la pompea chaleur (10 caractères maximum): REFPAC ^création du
=î> fichier REFPAC ),- Température minimale (°C) de sortie du condenseur ; TSCMIN,
- Température maximale (°C) de sortie du condenseur : TSCMAX,
- Température minimale (°C) d'entrée de l'évaporateur : TEEMIN,
- Température maximale (°C) d'entrée de l'évaporateur : TEEMAX,
- Ecart de température entre deux valeurs d'entrée de l'évaporateur (°C) : PASE
( > calcul des valeurs de TEE),
- Ecart de température entre deux valeurs de sortie du condenseur (°C) : PASC
(=^> calcul des valeurs de TSC),
- Pour chaque Jtempérature d'e^ntrée de l'é^vaporateur : TEE (°C)
rentrer :/- chaque _température de ¿ortie du £ondenseur (°C) : TSC
et <- la puissance calorifique de la PAC (kW) : DPPAC I correspondant à
^- le coefficient de performance : DCOP \ TSC et TEE
N.B. :
- Possibilité de corriger les données rentrées si erreur,
- Possibilité de rentrer plusieurs fichiers correspondant à différentes
pompes à chaleur.
A 54
4 : Logiciel CARPA I.S
A.5.4.1 - But
Constitution d'un fichier REFPAC des caractéristiques de la
pompea chaleur (. uissance calorifique, oefficient de erformance) en fonction
des températures d'entrée à l'évaporateur et de sortie au condenseur.
A.5.4.2 - Mise en oeuvre
Les données suivantes sont fournies par l'utilisateur à la console
(mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE XX (79 caractères maximum),
- Date : DATE (79 caractères maximum),
- Références de la pompea chaleur (10 caractères maximum): REFPAC ^création du
=î> fichier REFPAC ),- Température minimale (°C) de sortie du condenseur ; TSCMIN,
- Température maximale (°C) de sortie du condenseur : TSCMAX,
- Température minimale (°C) d'entrée de l'évaporateur : TEEMIN,
- Température maximale (°C) d'entrée de l'évaporateur : TEEMAX,
- Ecart de température entre deux valeurs d'entrée de l'évaporateur (°C) : PASE
( > calcul des valeurs de TEE),
- Ecart de température entre deux valeurs de sortie du condenseur (°C) : PASC
(=^> calcul des valeurs de TSC),
- Pour chaque Jtempérature d'e^ntrée de l'é^vaporateur : TEE (°C)
rentrer :/- chaque _température de ¿ortie du £ondenseur (°C) : TSC
et <- la puissance calorifique de la PAC (kW) : DPPAC I correspondant à
^- le coefficient de performance : DCOP \ TSC et TEE
N.B. :
- Possibilité de corriger les données rentrées si erreur,
- Possibilité de rentrer plusieurs fichiers correspondant à différentes
pompes à chaleur.
A55
5 : Logiciel BILAN. S
A.5.5,1 - But
Calcul thermique de l'étude TITRE à partir des données lues dans
les fichiers :
ou
TITREl (données thermiques)
TITREJ (données météorologiques jour/jour)
ITRER (données météorologiques classées)
TITREC (données "géothermiques" version CORAIL)
TITRES (données "géothermiques" version Stockage)
ou <
U T]
TITRET (données "géothermiques" version Température constante)
REFPAC (données de la pompe à chaleur)
A.5.5.2 - Mise en oeuvre
1 - Rentrer les données suivantes (mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE (79 caractères maximum)
^ lecture sur les fichiers
- Date : DATE (79 caractères maximum)
- IDISPO : choix du dispositif étudié (Corail = 2)
(Stockage = 1 )
(Température constante = 3)
» lecture de TITREC ou TITRES ou TITRET
- REFPAC^-lecture sur fichier REFPAC (caractéristiques de la PAC)
Calculs effectués
2.1 - \/érification_ des données
TCMAXI < TC incompatibilité PAC - données thermiques
TNC < TB ]
TNC > TC ( incompatibilité données thermiques et« météorologiques
TC < TB I
2.2 - Calcul thermigue (appel du sous-programme THERM)
. Paramètres thermiques du projet
loi départ : AD et BD
loi retour : AR et BR
loi puissance : A et B
A55
5 : Logiciel BILAN. S
A.5.5,1 - But
Calcul thermique de l'étude TITRE à partir des données lues dans
les fichiers :
ou
TITREl (données thermiques)
TITREJ (données météorologiques jour/jour)
ITRER (données météorologiques classées)
TITREC (données "géothermiques" version CORAIL)
TITRES (données "géothermiques" version Stockage)
ou <
U T]
TITRET (données "géothermiques" version Température constante)
REFPAC (données de la pompe à chaleur)
A.5.5.2 - Mise en oeuvre
1 - Rentrer les données suivantes (mode conversationnel) :
- Titre de l'étude : TITRE (79 caractères maximum)
^ lecture sur les fichiers
- Date : DATE (79 caractères maximum)
- IDISPO : choix du dispositif étudié (Corail = 2)
(Stockage = 1 )
(Température constante = 3)
» lecture de TITREC ou TITRES ou TITRET
- REFPAC^-lecture sur fichier REFPAC (caractéristiques de la PAC)
Calculs effectués
2.1 - \/érification_ des données
TCMAXI < TC incompatibilité PAC - données thermiques
TNC < TB ]
TNC > TC ( incompatibilité données thermiques et« météorologiques
TC < TB I
2.2 - Calcul thermigue (appel du sous-programme THERM)
. Paramètres thermiques du projet
loi départ : AD et BD
loi retour : AR et BR
loi puissance : A et B
A56 -
.Calcul jour/jour (boucle) pour chaque dispositif envisagé :
Dispositif Stockage : la température de la source froide varie en fonction
du volume prélevé sur le stock suivant la loi donnée (appel du sous-programme
TSTOCK)
- calcul de VPOMP : volume pompé,
- calcul de VR : VPOMP/USTO (VSTO = volume stocké),
- calcul de TGTH (température "de la source froide" utilisée par
la PAC) à partir de VR ,
- calcul des besoins P en fonction de la température extérieure
T(IND),
- calcul de PPAC (puissance de la pompe à chaleur), COP (coefficient
de performance de la pompe à chaleur) à l'aide du sous-programme
TETA à partir de TGTH, TR, TD, TCOND (température de la source froide,
de retour, de départ, du condenseur),- calcul de la durée de fonctionnement DUAUX de la pompe à chaleur,
et de l'appoint éventuel de la chaudière PAPP,
- calcul du volume effectivement pompé (DGTH *DUAUX) .
Ecriture sur fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, PAPP, COP,
TGTH, TREJET, DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR.
Dispositif Corail : suivant le type de fonctionnement : continu ou
discontinu, appel du sous-programme CORCON ou TCORAI
- calcul des besoins P en fonction de la température extérieure
T(IND),
- calcul de TGTH = (TETAIN -i- TETASU)/2,
- appel de TETA pour calculer PPAC, COP (puissance et COP de la
pompe à chaleur) ,
- calcul de l'appoint éventuel PAPP, et de la durée de fonctionnement
des auxiliaires DUAUX,
- calcul du volume pompé VPOMP.
Ecriture sur le fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, COR, TGTH,
TREJET, DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR.
A56 -
.Calcul jour/jour (boucle) pour chaque dispositif envisagé :
Dispositif Stockage : la température de la source froide varie en fonction
du volume prélevé sur le stock suivant la loi donnée (appel du sous-programme
TSTOCK)
- calcul de VPOMP : volume pompé,
- calcul de VR : VPOMP/USTO (VSTO = volume stocké),
- calcul de TGTH (température "de la source froide" utilisée par
la PAC) à partir de VR ,
- calcul des besoins P en fonction de la température extérieure
T(IND),
- calcul de PPAC (puissance de la pompe à chaleur), COP (coefficient
de performance de la pompe à chaleur) à l'aide du sous-programme
TETA à partir de TGTH, TR, TD, TCOND (température de la source froide,
de retour, de départ, du condenseur),- calcul de la durée de fonctionnement DUAUX de la pompe à chaleur,
et de l'appoint éventuel de la chaudière PAPP,
- calcul du volume effectivement pompé (DGTH *DUAUX) .
Ecriture sur fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, PAPP, COP,
TGTH, TREJET, DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR.
Dispositif Corail : suivant le type de fonctionnement : continu ou
discontinu, appel du sous-programme CORCON ou TCORAI
- calcul des besoins P en fonction de la température extérieure
T(IND),
- calcul de TGTH = (TETAIN -i- TETASU)/2,
- appel de TETA pour calculer PPAC, COP (puissance et COP de la
pompe à chaleur) ,
- calcul de l'appoint éventuel PAPP, et de la durée de fonctionnement
des auxiliaires DUAUX,
- calcul du volume pompé VPOMP.
Ecriture sur le fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, COR, TGTH,
TREJET, DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR.
- A57
Dispositif à température constante :
- appel de T E T A pour le calcul de la puissance et du COP de la pompe à chaleur
- calcul de l'appoint éventuel PAPP.
Ecriture sur fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, COR, TGTH, TREJET,
DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR
2.3- Bilan énergétique de_l' opération
Calcul de :
SIM : énergie nécessaire
S2M : énergie d'appoint ((MWh)
S3M : énergie fournie par la PAC
S4M : énergie électrique consommée par la PAC
TEPDEP : tep déplacées
TERECO : tep économisées
COPl : COP moyen annuel (sans les auxiliaires)
C0P2 : COP moyen annuel (avec les auxiliaires)
Tableau du bilan énerqétique (impression à la console et sur l'imprimante)
Ecriture des résultats sur TITRE3
- A57
Dispositif à température constante :
- appel de T E T A pour le calcul de la puissance et du COP de la pompe à chaleur
- calcul de l'appoint éventuel PAPP.
Ecriture sur fichier TITRER de : JOUR, T, P, PPAC, PESF, COR, TGTH, TREJET,
DELTAT, QMFC, TCOND, TD, TR
2.3- Bilan énergétique de_l' opération
Calcul de :
SIM : énergie nécessaire
S2M : énergie d'appoint ((MWh)
S3M : énergie fournie par la PAC
S4M : énergie électrique consommée par la PAC
TEPDEP : tep déplacées
TERECO : tep économisées
COPl : COP moyen annuel (sans les auxiliaires)
C0P2 : COP moyen annuel (avec les auxiliaires)
Tableau du bilan énerqétique (impression à la console et sur l'imprimante)
Ecriture des résultats sur TITRE3
ANNEXE 6
RESULTATS DES SIMULATIONS
ANNEXE 6
RESULTATS DES SIMULATIONS
- A61
RESULTATS DES SIMULATIONS
Les caractéristiques des différents projets envisagés et présentés
au chapitre 5 sont rassemblées ici.
Leurs principaux résultats ont déjà été commentés, seuls les
tableaux des caractéristiques et des résultats de chaque projet seront donnés
ici .
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COHBUSTION (t)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRI(}UE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.ee
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.52
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
' .10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE FAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
7.93
HWH UTILES
HWH UTILES
1.08COHBUS REF.
17.70
4.73
.15
4.88
34.63
2.98
3.48
17.81
3.75
3.63
3743.30
3.91
12.98
69.07
2.06
.84
4.22
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M 3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A61
RESULTATS DES SIMULATIONS
Les caractéristiques des différents projets envisagés et présentés
au chapitre 5 sont rassemblées ici.
Leurs principaux résultats ont déjà été commentés, seuls les
tableaux des caractéristiques et des résultats de chaque projet seront donnés
ici .
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COHBUSTION (t)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRI(}UE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.ee
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.52
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
' .10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE FAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
7.93
HWH UTILES
HWH UTILES
1.08COHBUS REF.
17.70
4.73
.15
4.88
34.63
2.98
3.48
17.81
3.75
3.63
3743.30
3.91
12.98
69.07
2.06
.84
4.22
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M 3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A62
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
REHDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2
19
16
70
55
47
2
2611
FOD
74
55
2
3
10
100
2
1
00
00
00
00
00
00
69
11
50
00
.00
00
10
00
00
10
.00
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE TUERHIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
6.72
MWH UTILES
HWH UTILES
.91C0nBUS REF.
18.91
5.45
.13
5.58
34.63
2.98
3.48
21.56
3.47
3.39
3318.90
2.65
13.47
73.79
2.20
.80
3.94
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE OE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
«2.00
19.00
: 16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
: .50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
1 BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
13.92
HWH UTILES
HWH UTILES
1.89COMBUS REF.
11.71
3.66
.07
3.73
34.63
2.98
3.48
27.63
3.20
3.14
1655.08
2.24
8.05
45.70
1.36
.43
3.65
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
- A62
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
REHDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2
19
16
70
55
47
2
2611
FOD
74
55
2
3
10
100
2
1
00
00
00
00
00
00
69
11
50
00
.00
00
10
00
00
10
.00
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE TUERHIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
6.72
MWH UTILES
HWH UTILES
.91C0nBUS REF.
18.91
5.45
.13
5.58
34.63
2.98
3.48
21.56
3.47
3.39
3318.90
2.65
13.47
73.79
2.20
.80
3.94
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE OE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
«2.00
19.00
: 16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
: .50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
1 BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
13.92
HWH UTILES
HWH UTILES
1.89COMBUS REF.
11.71
3.66
.07
3.73
34.63
2.98
3.48
27.63
3.20
3.14
1655.08
2.24
8.05
45.70
1.36
.43
3.65
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A63 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (I /)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT OE COMBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURSIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
9.32
MWH UTILES
HWH UTILES
1.27COMBUS REF.
16.31
4.10
.15
4.25
34.63
2.98
3.48
14.42
3.98
3.83
3823.93
7.22
12.21
63.63
1.90
.83
4.45
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE RËGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
" > =-
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
6.47
HWH UTILES
HWH UTILES
.88COHBUS REF.
19.16
4.91
.15
5.06
34.63
2.98
3.48
18.62
3.90
3.79
3641.16
5.92
14.25
74.76
2.23
.96
4.40
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A63 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (I /)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT OE COMBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURSIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
9.32
MWH UTILES
HWH UTILES
1.27COMBUS REF.
16.31
4.10
.15
4.25
34.63
2.98
3.48
14.42
3.98
3.83
3823.93
7.22
12.21
63.63
1.90
.83
4.45
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE RËGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
" > =-
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
6.47
HWH UTILES
HWH UTILES
.88COHBUS REF.
19.16
4.91
.15
5.06
34.63
2.98
3.48
18.62
3.90
3.79
3641.16
5.92
14.25
74.76
2.23
.96
4.40
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A64
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REG IHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
:
=
2.00
19.00
16.00
70.00
: 55.00
: 47.00
: 2.69
: 2611.11
: .50
: FOD
: 74.00
: 55.00
2.00
: 3.10
: 10.00
: 150.00
: .10
: 2.00
: 1
: CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGiE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
4.19
HWH UTILES
HWH UTILES
.57C0HBUS REF.
21.44
5.74
.14
5.88
34.63
2.98
3.48
22.55
3.74
3.65
3406.44
4.77
15.70
83.66
2.49
1.02
4.24
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
xs3«x«SKa»xxsvsss«sxx«sx»»K
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (P:!) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANDUEL(SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
1.99
MWH UTILES
HWH UTILES
.27C0MBUS REF.
23.64
6.87
.12
7.00
34.63
2.98
3.48
28.91
3.44
3.38
3066.70
3.34
16.77
92.25
2.75
1.00
3.93
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A64
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REG IHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
:
=
2.00
19.00
16.00
70.00
: 55.00
: 47.00
: 2.69
: 2611.11
: .50
: FOD
: 74.00
: 55.00
2.00
: 3.10
: 10.00
: 150.00
: .10
: 2.00
: 1
: CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGiE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
4.19
HWH UTILES
HWH UTILES
.57C0HBUS REF.
21.44
5.74
.14
5.88
34.63
2.98
3.48
22.55
3.74
3.65
3406.44
4.77
15.70
83.66
2.49
1.02
4.24
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
150.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
xs3«x«SKa»xxsvsss«sxx«sx»»K
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (P:!) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANDUEL(SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
1.99
MWH UTILES
HWH UTILES
.27C0MBUS REF.
23.64
6.87
.12
7.00
34.63
2.98
3.48
28.91
3.44
3.38
3066.70
3.34
16.77
92.25
2.75
1.00
3.93
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A65 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (t)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) i
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: «2.00
19.00
: 16.00
70.00
: 55.00
47.00
: 2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00
1
CIATTBB3 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
11.61
HWH UTILES
HWH UTILES
1.58COHBUS REF.
14.02
3.86
.16
4.02
34.63
2.98
3.48
13.35
3.63
3.49
3880.21
3.97
10.15
54.70
1.63
.62
4.05
HWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV CWATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COMBUSTION (%) :
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00 '
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
"
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
10.93
MWH UTILES
MWH UTILES
1.48COHBUS REF.
14.70
4.14
.13
4.27
34.63
2.98
3.48
17.08
3.55
3.44
3328.18
2.44
10.56
57.34
1.71
.64
4.00
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A65 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (t)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) i
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: «2.00
19.00
: 16.00
70.00
: 55.00
47.00
: 2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00
1
CIATTBB3 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
11.61
HWH UTILES
HWH UTILES
1.58COHBUS REF.
14.02
3.86
.16
4.02
34.63
2.98
3.48
13.35
3.63
3.49
3880.21
3.97
10.15
54.70
1.63
.62
4.05
HWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV CWATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COMBUSTION (%) :
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00 '
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
"
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
10.93
MWH UTILES
MWH UTILES
1.48COHBUS REF.
14.70
4.14
.13
4.27
34.63
2.98
3.48
17.08
3.55
3.44
3328.18
2.44
10.56
57.34
1.71
.64
4.00
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
»......=ï.<.«....,......«
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEMPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE {H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
A66 -BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUELiSANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25
16
2
9
2
2
34.
2.
.63
.48
HWH
HWH
UTILES
UTILES
.24COHBUS REF.
15
73
07
80
63
98
HWH
MWH
MWH
MWH
MWH
TEP
UTILES
UTILES
UTILES
UTILES
3
20
3
3
1660
2
6
35
1.
3.
.48
.74
.35
.27
71
23
42
69
06
36
80
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
: 3.10
10.00
100.00
: .05
2.00
: 1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCi;
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63 HWH UTILES
11.37 HWH UTILES
1.54COMBUS REF.
14.26 HWH UTILES
3.89 HWH UTILES
.16 HWH UTILES
4.05 HWH UTILES
34.63 HWH
2.98 TEP
3.48 H3 DE FOD
13.29 KW
3.67
3.52
3876.26 H3
4.39 OC
12.37 HWH
55.65 *
1.66
.65
4.10 TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
»......=ï.<.«....,......«
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEMPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE {H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
75.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
A66 -BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUELiSANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25
16
2
9
2
2
34.
2.
.63
.48
HWH
HWH
UTILES
UTILES
.24COHBUS REF.
15
73
07
80
63
98
HWH
MWH
MWH
MWH
MWH
TEP
UTILES
UTILES
UTILES
UTILES
3
20
3
3
1660
2
6
35
1.
3.
.48
.74
.35
.27
71
23
42
69
06
36
80
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
: 3.10
10.00
100.00
: .05
2.00
: 1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCi;
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63 HWH UTILES
11.37 HWH UTILES
1.54COMBUS REF.
14.26 HWH UTILES
3.89 HWH UTILES
.16 HWH UTILES
4.05 HWH UTILES
34.63 HWH
2.98 TEP
3.48 H3 DE FOD
13.29 KW
3.67
3.52
3876.26 H3
4.39 OC
12.37 HWH
55.65 *
1.66
.65
4.10 TH/KWH
- A67 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
: 16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.05
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
sssaxsxKvtissassssassxxxBBSaEVS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
8.70
MWH UTILES
HWH UTILES
1.18C0HBUS REF.
16.93
4.73
.15
4.88
34.63
2.98
3.48
17.01
3.58
3.47
3775.48
2.72
12.20
66.04
1.97
.75
4.03
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
...........c,,.... =«.,
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.05
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
= .« ==..« =
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25
15
2
10
3
3
34
2
3
20
3
3
1839
2
7
39
1
3
63
52
MWH UTILES
MWH UTILES
IICOMBUS REF.
11
02
07
10
63
98
48
67
35
27
99
19
09
46
18
40
80
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A67 -
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
: 16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.05
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
sssaxsxKvtissassssassxxxBBSaEVS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
8.70
MWH UTILES
HWH UTILES
1.18C0HBUS REF.
16.93
4.73
.15
4.88
34.63
2.98
3.48
17.01
3.58
3.47
3775.48
2.72
12.20
66.04
1.97
.75
4.03
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
...........c,,.... =«.,
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.05
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
= .« ==..« =
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEMPERATURE MOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25
15
2
10
3
3
34
2
3
20
3
3
1839
2
7
39
1
3
63
52
MWH UTILES
MWH UTILES
IICOMBUS REF.
11
02
07
10
63
98
48
67
35
27
99
19
09
46
18
40
80
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A6B -
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
-" ^, = = = === = =
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
10.11
HWH UTILES
HWH UTILES
1.37COHBUS REF.
15.52
3.40
.15
3.56
34.63
2.98
3.48
14.35
4.56
4.36
3856.54
4.73
12.12
60.57
1.80
.91
5.07
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (t)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON OU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: -2.00
: 19.00
: 16.00
45.00
: 30.00
47.00
: 2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
XXCXaasxXKBSXBKSXKMKSSSWaSK
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
EQUIVALENCE :
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
7.28
HWH UTILES
HWH UTILES
.99COHBUS REF.
18.35
4.21
.15
4.36
34.63
2.98
3.48
18.45
4.35
4.20
3727.22
3.14
14.13
71.59
2.13
1.04
4.89
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A6B -
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
-" ^, = = = === = =
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
10.11
HWH UTILES
HWH UTILES
1.37COHBUS REF.
15.52
3.40
.15
3.56
34.63
2.98
3.48
14.35
4.56
4.36
3856.54
4.73
12.12
60.57
1.80
.91
5.07
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (t)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON OU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: -2.00
: 19.00
: 16.00
45.00
: 30.00
47.00
: 2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
XXCXaasxXKBSXBKSXKMKSSSWaSK
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
EQUIVALENCE :
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POMPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
7.28
HWH UTILES
HWH UTILES
.99COHBUS REF.
18.35
4.21
.15
4.36
34.63
2.98
3.48
18.45
4.35
4.20
3727.22
3.14
14.13
71.59
2.13
1.04
4.89
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A69
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT OE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB6 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
11.28
HWH UTILES
HWH UTILES
I.53COHBUS REF.
14.35
3.46
.09
3.56
34.63
2.98
3.48
22.37
4.14
4.03
2354.10
2.28
10.88
55.97
1.67
.78
4.69
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
: 19.00
: 16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
21.41
HWH UTILES
HWH UTILES
2.91COHBUS REF.
4.22
1.06
.02
1.08
34.63
2.98
3.48
28.66
3.99
3.91
530.43
2.20
3.17
16.48
.49
.22
4.55
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A69
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT OE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB6 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIOUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POMPE :
TEMPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
11.28
HWH UTILES
HWH UTILES
I.53COHBUS REF.
14.35
3.46
.09
3.56
34.63
2.98
3.48
22.37
4.14
4.03
2354.10
2.28
10.88
55.97
1.67
.78
4.69
MWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEMENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
: 19.00
: 16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB75
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
25.63
21.41
HWH UTILES
HWH UTILES
2.91COHBUS REF.
4.22
1.06
.02
1.08
34.63
2.98
3.48
28.66
3.99
3.91
530.43
2.20
3.17
16.48
.49
.22
4.55
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
- A70
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.30
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB6 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
1
25.63
10.18
HWH UTILES
HWH UTILES
1.38COMBUS REF.
15.44
3.72
.11
3.83
34.63
2.98
3.48
22.24
4.15
4.23
2717.07
2.36
11.72
60.26
1.79
.84
4.68
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: -2.00
: 19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.50
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
9.21
HWH UTILES
HWH UTILES
1.25COMBUS REF.
16.42
3.95
.12
4.08
34.63
2.98
3.48
22.11
4.15
4.03
3081.63
2.42
12.46
64.05
1.91
.89
4.68
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
- A70
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (M)
RAYON DU FORAGE (M)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.30
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB6 5
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL(AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
1
25.63
10.18
HWH UTILES
HWH UTILES
1.38COMBUS REF.
15.44
3.72
.11
3.83
34.63
2.98
3.48
22.24
4.15
4.23
2717.07
2.36
11.72
60.26
1.79
.84
4.68
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H) :
COMBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (M) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
: -2.00
: 19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.50
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL(SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOMISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
25.63
9.21
HWH UTILES
HWH UTILES
1.25COMBUS REF.
16.42
3.95
.12
4.08
34.63
2.98
3.48
22.11
4.15
4.03
3081.63
2.42
12.46
64.05
1.91
.89
4.68
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A71
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
.....=.<. = = ..<>..=..=.=...»»
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEMPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%) :
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.70
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
XXKSSXKSKXXWSSXSSSKXSXSXXKCS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECf».OHTSEES :
COEFFICIENT »^E SUBSTITUTION :
25.63
8.46
HWH UTILES
HWH UTILES
1.15C0MBUS REF.
17.17
4.13
.14
4.27
34.63
2.98
3.48
21.98
4.16
4.02
3425.31
2.45
13.04
67.22
2.00
.93
4.67
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
«
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.50
: 1.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.02
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
52.02
19.87
HWH UTILES
HWH UTILES
2.70COHBUS REF.
32.15
9.58
.39
9.97
70.30
6.05
7.07
13.21
3.36
3.23
9637.91
3.01
22.57
61.80
3.74
1.24
3.75
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A71
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
.....=.<. = = ..<>..=..=.=...»»
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEMPERATURE DE DEPART (oC) :
TEHPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COMBUSTION (%) :
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (H3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
-2.00
19.00
16.00
45.00
30.00
47.00
2.69
2611.11
.50
FOD
74.00
55.00
2.00
3.70
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
XXKSSXKSKXXWSSXSSSKXSXSXXKCS
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE MOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECf».OHTSEES :
COEFFICIENT »^E SUBSTITUTION :
25.63
8.46
HWH UTILES
HWH UTILES
1.15C0MBUS REF.
17.17
4.13
.14
4.27
34.63
2.98
3.48
21.98
4.16
4.02
3425.31
2.45
13.04
67.22
2.00
.93
4.67
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
«
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIMAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.50
: 1.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.02
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUME POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
52.02
19.87
HWH UTILES
HWH UTILES
2.70COHBUS REF.
32.15
9.58
.39
9.97
70.30
6.05
7.07
13.21
3.36
3.23
9637.91
3.01
22.57
61.80
3.74
1.24
3.75
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH
TEP
H3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
%
TH/KWH
A72
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.50
1.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.12
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
52.02
20.65
HWH UTILES
HWH UTILES
2.80COMBUS REF.
31.37
9.59
.29
9.89
70.32
6.05
7.07
17.10
3.27
3.17
7328.45
3.02
21.78
60.30
3.65
1.17
3.69
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
ref<;rence de la pac utilisée :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.501.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
52.02
21.94
MWH UTILES
MWH UTILES
2.98COHBUS REF.
30.08
9.22
.22
9.44
70.30
6.05
7.07
20.92
3.26
3.19
5563.37
3.02
20.86
57.82
3.50
1.13
3.70
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A72
CARACTERISTIQUES DE PROJET
TEMPERATURE DE BASE (oC)
TEMPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE
RENDEHENT DE COMBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEHPERATURE LIHITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (H3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.50
1.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.12
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT :
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES :
ELECTRICITE TOTALE :
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI) :
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR :
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES :
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
52.02
20.65
HWH UTILES
HWH UTILES
2.80COMBUS REF.
31.37
9.59
.29
9.89
70.32
6.05
7.07
17.10
3.27
3.17
7328.45
3.02
21.78
60.30
3.65
1.17
3.69
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
H3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEHPERATURE DE DEPART (oC)
TEMPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE HAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (M3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIME (H)
COMBUSTIBLE :
RENDEMENT DE COHBUSTION (%)
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR MANOMETRIQUE TOTALE (MCE) :
PROFONDEUR DU FORAGE (M) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC) :
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL
ref<;rence de la pac utilisée :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
23.501.35
1305.56
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB65
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC :
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES) :
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUME POMPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
52.02
21.94
MWH UTILES
MWH UTILES
2.98COHBUS REF.
30.08
9.22
.22
9.44
70.30
6.05
7.07
20.92
3.26
3.19
5563.37
3.02
20.86
57.82
3.50
1.13
3.70
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
HWH UTILES
HWH
TEP
M3 DE FOD
KW
H3
OC
HWH
%
TH/KWH
A73
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
SMSXBSKBBXBS««3KSS9XMHBXX
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEMPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUITTRTMAIRE (Hr/ff) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
11.75
.67
652.78
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10 ^
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
26.01 HWH UTILES
.27 HWH UTILES
.01COHBUS REF.
25.94 HWH UTILES
8.20 HWH UTILES
.29 HWH UTILES
8.49 HWH UTILES
35.15 HWH
3.22 TEP
3.53 H3 DE FOD
13.76 KW
3.17
3.06
7308.53 M3
5.77 OC
17.74 HWH
99.73 »
3.01
.89
3.55 TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
11.75
.67
652.78
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
26.01
0.00
HWH UTILES
HWH UTILES
0.00COHBUS REF.
26.01
8.37
.23
8.60
35.15
3.22
3.53
17.53
3.11
3.02
5700.41
5.60
17.64
120.00
3.02
.87
3.52
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
A73
CARACTERISTIQUES DE PROJET :
SMSXBSKBBXBS««3KSS9XMHBXX
TEMPERATURE DE BASE (oC) :
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC) :
TEHPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC) :
TEHPERATURE DE DEPART (oC) :
TEMPERATURE DE RETOUR (oC) :
PUISSANCE MAXIMALE DE CHAUFFAGE (KW) :
DEBIT DU CIRCUITTRTMAIRE (Hr/ff) :
COEFFICIENT GV (WATT/.OC) :
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H) :
COHBUSTIBLE :
RENDEHENT DE COHBUSTION (%) :
T. HAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC) :
TEHPERATURE LIMITE DE REJET (oC) :
DEBIT DU FORAGE (M3/H) :
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (MCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H) :
RAYON DU FORAGE (H) :
ECART DE TEHPERATURE EXPLOITE (OC)
NOHBRE DE FORAGE (S) CORAIL :
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE :
2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
11.75
.67
652.78
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10 ^
2.00
1
CIATTBB35
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE
ENERGIE UTILE APPOINT
EQUIVALENCE
ENERGIE UTILE PAC
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
EQUIVALENCE
EQUIVALENCE
PUISSANCE THERMIQUE DU CONDENSEUR
COP MOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP MOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES)
VOLUHE POHPE
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE
TAUX DE COUVERTURE
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION
26.01 HWH UTILES
.27 HWH UTILES
.01COHBUS REF.
25.94 HWH UTILES
8.20 HWH UTILES
.29 HWH UTILES
8.49 HWH UTILES
35.15 HWH
3.22 TEP
3.53 H3 DE FOD
13.76 KW
3.17
3.06
7308.53 M3
5.77 OC
17.74 HWH
99.73 »
3.01
.89
3.55 TH/KWH
CARACTERISTIOUES DE PROJET :
TEHPERATURE DE BASE (oC)
TEHPERATURE DE CONSIGNE (oC)
TEMPERATURE DE NON CHAUFFAGE (oC)
TEMPERATURE DE DEPART (oC)
TEHPERATURE DE RETOUR (oC)
PUISSANCE MAXIHALE DE CHAUFFAGE (KW)
DEBIT DU CIRCUIT PRIHAIRE (H3/H)
COEFFICIENT GV (WATT/.OC)
FACTEUR DE REDUCTION DE REGIHE (H)
COHBUSTIBLE
RENDEHENT DE COHBUSTION (%)
T. MAXI DE SORTIE DU CONDENSEUR (oC)
TEMPERATURE LIMITE DE REJET (oC)
DEBIT DU FORAGE (M3/H)
HAUTEUR HANOHETRIQUE TOTALE (HCE)
PROFONDEUR DU FORAGE (H)
RAYON DU FORAGE (H)
ECART DE TEMPERATURE EXPLOITE (OC)
NOMBRE DE FORAGE (S) CORAIL
REFERENCE DE LA PAC UTILISEE
-2.00
19.00
16.00
70.00
55.00
11.75
.67
652.78
1.00
FOD
74.00
55.00
2.00
3.10
10.00
100.00
.10
2.00
1
CIATTBB50
BILAN ENERGETIQUE DU PROJET :
ENERGIE UTILE TOTALE FOURNIE :
ENERGIE UTILE APPOINT
ENERGIE UTILE PAC :
ENERGIE ELECTRIQUE PAC
ELECTRICITE DES AUXILIAIRES
ELECTRICITE TOTALE
ENERGIE TRADITIONNELLE (PCI)
PUISSANCE THERHIQUE DU CONDENSEUR
COP HOYEN ANNUEL (SANS AUXILIAIRES)
COP HOYEN ANNUEL (AVEC AUXILIAIRES) :
VOLUHE POHPE :
TEHPERATURE HOYENNE DE REJET :
ENERGIE PRELEVEE SUR LA NAPPE :
TAUX DE COUVERTURE :
TEP DEPLACEES
TEP ECONOHISEES :
COEFFICIENT DE SUBSTITUTION :
26.01
0.00
HWH UTILES
HWH UTILES
0.00COHBUS REF.
26.01
8.37
.23
8.60
35.15
3.22
3.53
17.53
3.11
3.02
5700.41
5.60
17.64
120.00
3.02
.87
3.52
HWH UTILES
HWH UTILES
HWH UTILES
MWH UTILES
MWH
TEP
M3 DE FOD
KW
M3
OC
MWH
t
TH/KWH
BIBLIOGRAPHIEBIBLIOGRAPHIE
Bl -
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages cités dans le texte ou les annexes
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* Centre Scientifique et Technique du Bâtiment : 4 avenue du recteur Poincaré75782 - PARIS CEDEX 16 - tél. (1) 524-43-02
** Comité Français d'Electrothermie : 79 rue de Miromesnil - 75008 PARIS -
*** A.f'.M.E. : 27 rue Louis Vicat - 75015 PARIS - tél. (1) 645-44-71**** B.R.G.M. : Bureau de Recherches Géologiques et Minières - BP 6009
45060 ORLEANS CEDEX - tél. (38) 64-34-34
Bl -
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Blanche.
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BIO
Chapitre 4
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* PACRA B.P. 6083 - 69604 Villeurbanne Cedex
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d'Orléans.- Thèse 3ème cycle : Sciences (matières premières minérales
et énergétiques) : Orléans : 1985 (à paraître).
- [6-4] AGENCE FRANÇAISE POUR LA MAITRISE DE L'ENERGIE .- Aides financièresdans l'habitat.- Edition mai 1982, 26 p. et Addenda octobre 1983, 4 p.
81 :
Annexes
. Annexe 1
[A1-1] MOUREAU (M.) .- Guide pratique pour le système internationald'unité (S.I.).- Paris : Technip, 1980, 46 p.
2 - Ouvrages consultés
- ARMSTEAD (H.C.H.).- La géothermie : exploration, forage, exploitation.- Paris :
Le Moniteur, 1981, 380 p.
- AUSSEUR (J.Y.) .- Etude d'un système de stockage de chaleur intersaisonnier en
sous-sol.- Thèse de 3Bme cycle : Mécanique : Grenoble : 1980, 124 p.
- BONNET (M.) .- Méthodologie des méthodes de simulation en hydrogéologie. -
Thèse d'Etat : Sciences: Nancy : 1978.- Orléans : BRGM, 1982, document n° 34,
438 p.
- GOGUEL (J.) .- La Géothermie.- Paris : Doin, 1975.- 171 p.
- GRIMA (M.) .- Modélisation des bilans thermiques des aquifères à surface libre.
Influence de la zone non saturée et étude des panaches de rejet de pompe à
chaleur.- Thèse de 3ème cycle : Grenoble : 1984.- Orléans : BRGM, 1984,
188 p. (rapport n° 84 SGN 108 EAU).
- MARSILY (G. de) .- Hydrogéologie quantitative.- Paris : Masson, 1981, 215 p.
- VAUCLIN (M.) .- Etude expérimentale et numérique du drainage de nappes
à surface libre. Influence de la zone non saturée.- Thèse d'Etat : Sciences :
Grenoble : 1975, 196 p.
81 :
Annexes
. Annexe 1
[A1-1] MOUREAU (M.) .- Guide pratique pour le système internationald'unité (S.I.).- Paris : Technip, 1980, 46 p.
2 - Ouvrages consultés
- ARMSTEAD (H.C.H.).- La géothermie : exploration, forage, exploitation.- Paris :
Le Moniteur, 1981, 380 p.
- AUSSEUR (J.Y.) .- Etude d'un système de stockage de chaleur intersaisonnier en
sous-sol.- Thèse de 3Bme cycle : Mécanique : Grenoble : 1980, 124 p.
- BONNET (M.) .- Méthodologie des méthodes de simulation en hydrogéologie. -
Thèse d'Etat : Sciences: Nancy : 1978.- Orléans : BRGM, 1982, document n° 34,
438 p.
- GOGUEL (J.) .- La Géothermie.- Paris : Doin, 1975.- 171 p.
- GRIMA (M.) .- Modélisation des bilans thermiques des aquifères à surface libre.
Influence de la zone non saturée et étude des panaches de rejet de pompe à
chaleur.- Thèse de 3ème cycle : Grenoble : 1984.- Orléans : BRGM, 1984,
188 p. (rapport n° 84 SGN 108 EAU).
- MARSILY (G. de) .- Hydrogéologie quantitative.- Paris : Masson, 1981, 215 p.
- VAUCLIN (M.) .- Etude expérimentale et numérique du drainage de nappes
à surface libre. Influence de la zone non saturée.- Thèse d'Etat : Sciences :
Grenoble : 1975, 196 p.
- B14 -
Périodiques consultés
- Chauffage ventilation conditionnement/Association des Ingénieurs de chauffage
et de Ventilation de France .- Paris : Pyc Edition .
- Energie magazine .- Paris : Socidoc - Bip.
- Energie Plus .- Arcueil : Association technique pour les économies d'énergie.
- Europe Energie .- Bruxelles : Europe information service.
- Géothermie actualités /Service public géothermie (AFME/BRGM) .- Orléans :
Editions du BRGM.
- Revue de l'énergie .- Paris : Editions techniques et économiques.
- Revue générale de thermique .- Paris : Editions européennes thermique et
industrie.
- B14 -
Périodiques consultés
- Chauffage ventilation conditionnement/Association des Ingénieurs de chauffage
et de Ventilation de France .- Paris : Pyc Edition .
- Energie magazine .- Paris : Socidoc - Bip.
- Energie Plus .- Arcueil : Association technique pour les économies d'énergie.
- Europe Energie .- Bruxelles : Europe information service.
- Géothermie actualités /Service public géothermie (AFME/BRGM) .- Orléans :
Editions du BRGM.
- Revue de l'énergie .- Paris : Editions techniques et économiques.
- Revue générale de thermique .- Paris : Editions européennes thermique et
industrie.