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Annexe 5 Plan de la composante soft
Etude préparatoire du 4em Projet de construction d’écoles primaires
en République de Madagascar
Plan de la composante soft
1. Contexte dans lequel la composante soft est planifiée
1-1． Résultats et défis de la composante soft des projets précédents
1-1-1． « Le 2ème Projet de construction d’écoles primaires en République de Madagascar»
(ci-après dénommé le « 2ème Projet »：coopération financière non remboursable)
(1) Activités
20 écoles sur 48 écoles primaires dont 13 de la Province d’Antananarivo et 35 de la Province de
Mahajanga ont été sélectionnées comme écoles modèles cibles pour l’exécution de la composante
soft.
L’objectif était d’établir le système financier lié à l’entretien des installations scolaires par le
comité de gestion d’école (ci-après dénommé le « FAF1 ») et de promouvoir le développement de
système d’entretien des installations, y compris la gestion des fonds des écoles non ciblées de la
composante soft de chaque bureau de la circonscription scolaire (ci-après dénommé la « CISCO »).
Les activités consistaient en 1) formation et exercice pour que le FAF comprenne la réalité d’école
et les besoins futurs, 2) formation et exercice pour que le FAF « diagnostique et élabore un plan
d'entretien pour l'école », 3) formation et exercice pour que le FAF développe un plan de gestion et
de planification du budget de l'école, 4) formation et exercice sur la comptabilité de l'école pour le
personnel de la comptabilité de la FAF
(2) Résultats et défis2
A travers la composante soft, des réunions plénières ont été organisées pour discuter
régulièrement des problèmes de l’entretien d’établissement scolaire par le FAF, pour améliorer
l’appropriation de l’école par les parents d’élèves, ainsi que pour assurer la transparence de fonds
utilisés par le FAF qui va en rendre compte aux résidents.
A cause de la diminution du budget de suivi pour la Direction Régionale de l’Education
Nationale (ci-après, la « DREN ») et pour la CISCO, la diminution du fonds du FAF, la mutation de
membres ayant reçu la formation au sein du FAF, le suivi des activités et sinon les activités
elles-mêmes du FAF ont stagné.
1 L'abréviation de traduction malgache de « partenariat pour le développement de l'école (français) », mais « FAF » étant un homonyme du mot « jeter » en malgache et compte tenu de la nécessité d'amélioration du système de vérification de fonds au sein du comité de gestion de l du on malgache de « partenariat poFEFI » (Farimbon Ezaka ho Fampandrosoana Ifotony) pour changer le système. tFEFI”EFIur changer le système. tonyy Ifotonyy « partenariat pour le développement de l'école (français) », mais « 2 « Évaluation ex-post par projet 2012： Madagascar, paquet III - 6 » (JICA, 2013)
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1-1-2. « Le Projet de construction de salles de classe d’écoles primaires dans les circonscriptions
administratives d’Antsiranana et de Toliara (ci-après dénommé « le 3ème Projet » : Ancienne Aide
financière non remboursable pour le développement communautaire)
(1) Activités
Toutes les écoles (64) ayant fait l’objet de la construction étaient ciblées, l’objectif était de mettre
en place un système d’entretien du FAF de chaque école, de pérenniser les résultats de la composante
soft sur l’ensemble du pays en les appliquant et généralisant aux autres écoles primaires de la même
CISCO, et de dispenser la formation sur l'éducation sanitaire liée à l'utilisation de toilettes comme
l’un des compétences de vie.
Les activités consistaient en 1) Révision du questionnaire, du manuel, du dessin animé et du film
crées dans le 2ème Projet 2) Formation/exercice, 3) Enquête sur la situation à l'école (suivi) et
analyse, 4) Évaluation ; et elles ont été toutes exécutées.
(2) Résultats et défis3
Similaire au 2ème Projet, par les activités de la composante soft, l’organisation des réunions
plénières du FAF, l’amélioration de l’appropriation de l’école par les parents d’élèves, et en plus
nous avons pu confirmer certains résultats liés au renforcement de fonctionnement du FAF comme la
garantie de transparence du fonds.
Cependant, à cause de la diminution de budget de suivi et les fonds alloués au FAF, les activités
mêmes du FAF et son suivi ont stagné. Par la suite, parmi les FAF cibles de la composante soft,
seulement la moitié d’entre eux s’impliquaient dans l’entretien des installations.
1-2. Etat actuel et défis dans les écoles faisant l’objet du Projet
La situation actuelle des projets précédents, et les résultats de l'étude de terrain des écoles cibles
du Projet ont été confirmés comme suit :
(1) Budget de l’opération et de l’entretien
Le budget alloué par le MEN (par le biais de la DREN) doit être exploité et géré essentiellement
par le FAF. Concernant le FAF, sa mise en place est obligatoire dans chaque école par le décret
promulgué en 2002. Dans les écoles visitées tout récemment, la présence de FAF a été confirmée.
Toutefois, en raison de l’influence de la crise politique de 2009, les allocations (fonds de l’école) au
FAF à l’échelle nationale a pris fin durant l’année scolaire 2009/20104. A sa place, l’UNICEF a
distribué temporairement des fonds catalytiques locaux (ci-après dénommés les « FCL ») à chaque
3 « Évaluation ex-post par projet 2012： Madagascar, paquet III-6 » (JICA, 2013) 4 Durant l’année scolaire 2010/2011, l’allocation a été partielle. Toutefois, en raison de procédure, il y a eu plusieurs
cas où le déblocage réel des fonds au niveau des écoles était seulement en 2013/2014. En outre, le montant versé au
FAF est déterminé en fonction du nombre d'élèves de chaque école (à l'époque, il était de 2,000MGA/élève).
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école5, mais sa mise en œuvre ne durait qu’à peine 2 ans. Pour les années scolaires 2012/13 ainsi que
2013/14, il s’avérant difficile d’assurer le budget national, le paiement du MEN pour chaque école
n’a pas pu être effectué. Toutefois, en ce qui concerne les années 2014/2015, en vertu du nouveau
gouvernement qui prévoit d’allouer un budget à chaque école avant le début de la nouvelle année
scolaire.
Dans les écoles, une cotisation d’un montant fixe est collectée par ménage et consacrée à la
gestion et l'entretien des installations scolaires. Les montants recueillis pour une année varient selon
la région et l'école, mais le montant moyen annuel des écoles sondées est d’environ 8.300 MGA6.
Cependant le nombre de ménages qui n’arrivent pas payer la cotisation à cause de la dureté de la vie
n’est guère négligeable.
(2) Système organisationnel
A Madagascar, les institutions administratives locales en éducation sont constituées de la
« DREN »), de la « CISCO » et de la Zone d’Action Pédagogique correspondant au niveau
municipal (ci-après dénommée la « ZAP »). Pour les écoles primaires, c’est la CISCO qui effectue
principalement le suivi et, le responsable de la ZAP qui effectue l’inspection et donne l’orientation à
l’école puis qui rapporte la situation à la CISCO.
Pour la gestion et l’entretien des écoles, comme décrit ci-dessus, c’est le FAF qui doit être le
responsable, mais comme nous avons vu que ces dernières années, les fonds à gérer n’ont pas été
alloués par l’Etat, le FAF ne l’est que de nom. Comme le FAF ne fonctionne plus, c’est l’association
des parents d’élèves (ci-après dénommé le « FRAM ») qui joue le rôle de gérer et d’entretenir
l’école. Le FRAM s’est établi spontanément avant la mise en place officielle du FAF, et a contribué
bénévolement à la facilitation de la gestion de l’école. Concrètement, comme décrit ci-dessus, il
embauche des instituteurs FRAM pour compenser le manque d’enseignants, il aménage les salles
provisoires en cas de pénurie ou à la suite des dégâts cycloniques.
(3) Nettoyage/Entretien
Pour le nettoyage de l'établissement, il a été confirmé que le travail régulier de nettoyage est
effectué dans toutes les écoles visitées. Les principaux acteurs sont des élèves, et selon les écoles ce
sont parfois des enseignants ou même des parents qui y sont impliqués. Bien que certaines
exceptions aient été observées, d’une manière générale, chaque école est bien nettoyée, les
installations scolaires, y compris les toilettes, sont propres. En outre, des graffitis souvent constatés
sur les portes ou les tables dans beaucoup de pays n'ont pas été constatés. En plus, une plantation se
fait dans chaque établissement, un travail de l'embellissement de l'environnement a été bien observé.
Seulement, nous avons constaté de nombreux cas où les toilettes doivent être verrouillées pour 5 Pour les FCL, le montant est fixé en fonction des conditions de chaque école (ils varient selon l’école mais ils sont
environ 400,000MGA/année/école)
6 Le taux de change défini par la JICA était de 0,041 JPY pour 1 MGA en août 2014.
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éviter qu’ils soient utilisés par les étrangers. Il y a eu aussi des cas de casse de toilettes par les
étrangers ou les élèves.
En outre, nous avons vérifié que la réparation simple de mobiliers et de salles de classe a été
réalisée par les FRAM avec leurs fonds limités.
(4) Étude des écoles où a été exécutée la composante soft des projets précédents
Une des écoles primaires cibles du 2ème projet et visitées récemment n’a pas fait l’objet de la
composante soft. Cependant, tous les enseignants s’appliquant à l’entretien quotidien, les salles de
classe, les toilettes, la cour, etc. sont globalement bien nettoyés. Sur le couloir, nous avons vu non
seulement des poubelles installées, mais aussi la plantation pour embellir l’environnement. Au
niveau des installations, mis à part des parties rendues inutilisables à cause de la vétuste, nous
n’avons constaté aucun dommage ou graffitis.
Pour le fonds, depuis la crise politique, l’allocation du budget par le gouvernement était irrégulière,
en ce qui concerne l’année scolaire 2013/2014, elle était quasiment nulle. Par conséquent, c’est à
chaque école de trouver de revenus comme par exemple la location des installations (bâtiment et
terrain pour le parc de stationnement, etc.,). En même temps, la collecte de cotisation de 20,000
MGA par an/par ménage pour payer le salaire d’enseignants FRAM ou l’entretien des installations
scolaires.
Par ailleurs, dans l’une des écoles primaires cibles du 3ème projet, l’enseignant de l’époque était
promu directeur d’établissement. Cependant il n’avait de connaissance ni sur la formation de la
composante soft, ni sur le manuel. Mais mis à part la situation de nettoyage de toilettes qui reste à
améliorer, chaque salle de classe est encore en bon état jusqu’à présent, les salles de classe et la cour
sont bien nettoyés. En plus, dans son effort d’obtenir les fonds pour compenser l’absence de fonds
alloués par l’état, le FAF par exemple, vend de la soupe aux résidents. En outre, le FAF collecte 7 :
500 MGA par ménage et par an qui sera consacré à la gestion de l'école et l'entretien des installations
et les salaires des enseignants FRAM, etc.
1-3. Nécessité de la composante soft
Dans toutes les écoles cibles de l’étude, l’installation de FAF a été confirmée. Cependant, à cause
de l’absence de l’allocation budgétaire de l’Etat, le FAF n’est pratiquement pas opérationnel dont le
rôle principal est de gérer les fonds. Par le manque de fonds, l’électricité et l’eau sont coupées, les
enjeux incluant le système d’entretien des installations ont été mis en relief. Par ailleurs, comme
décrit précédemment, c’est avec le soutien du FRAM que le manque de salles de classe est
compensé ou les salles provisoires sont installées lors de dégâts cycloniques.
Les salaires d’enseignants FRAM sont payés pour compenser l’insuffisance en enseignants, etc., il
est évident que la baisse de fonctionnalité du FAF a entrainé le rôle et la charge accrus du FRAM. En
revanche, nous avons constaté des écoles où le FAF et le FRAM ne se trouvent pas en relation de
collaboration.
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A l'origine, en tant que membres du FAF, en plus des parents, étaient demandés également
d’inclure des résidents locaux, des représentants des enfants, des organisations économiques, des
organisations de la charité (individus), des ONG, mais une faible implication de la communauté a été
confirmée. Selon les cas d’écoles de projets de coopération antérieure, d’un côté il y a des écoles qui
se consacrent à la recherche de leur propre financement par le biais de location des installations ou
de la vente de nourriture, de l’autre côté, nous avons constaté dans les zones rurales ou dans les
régions défavorisées, que la réserve d’énergie de riverains est telle qu’ils ne sont pas en mesure de
s’impliquer à la gestion de l’école, ainsi que la disparité entre les régions.
Egalement, il existe des causes externes telles que les difficultés financières et des causes internes
tels que la structure de l’entretien des écoles, les rôles respectifs du FAF et du FRAM et leur
coordination, ou encore l’amélioration de relation. Si ces problèmes ne sont pas résolus
progressivement, l’entretien des écoles cibles du Projet ne se fera pas de manière appropriée. Bien
que résoudre le problème budgétaire soit difficile, la mise en pratique de la composante soft rend
possible la résolution des problèmes causés par les facteurs internes par la conscientisation des
parties prenantes des installations scolaires, nous jugeons nécessaire d’en exécuter.
Il est à noter qu’en même temps que le renforcement de la conscientisation sur l’entretien des
installations scolaires, l’aménagement des routes de l’école permet aux enfants de s’y rendre en toute
sécurité. A cause des difficultés financières qui empêchent l’allocation budgétaire aux écoles, il y a
des écoles où le FAF n’est qu’un système sclérosé. Malgré cela, les résidents qui incluent les parents
d’élèves savent pertinemment le rôle de l’éducation à l’école c’est-à-dire l’importance de l’école
pour le développement des ressources humaines de la région de sa génération future. C’est pourquoi,
nous pouvons espérer que sur la base de l’école, si l’aménagement des infrastructures sociales de la
région se réalise à travers l’aménagement des routes de l’école par l’intervention des résidents de
communauté en plus de responsables du FAF et du FRAM, ils deviendraient plus solidaires.
Compte tenu de ce qui précède, afin de poursuivre une bonne conscientisation tels que le
nettoyage et l’embellissement de l’environnement et d’assurer en même temps
que les écoles aménagées resteront propres et en bon état à long terme, nous pensons qu’il y a une
nécessité de renforcer le système de gestion et d’entretien des écoles. Pour s’y faire le gouvernement
doit garantir le fonds et assurer le financement régulier au FAF sans retard. Du moins dans les écoles
cibles du Projet, la composante soft prévoit à ce que le FAF et le FRAM collaborent pour la gestion
scolaire et l’entretien, en plus, au regard la route de l’école qui est une infrastructure sociale de la vie
quotidienne de la région, en s’inspirant des exemples de certaines écoles, elle propose une
opportunité pour une participation communautaire dans l’aménagement des routes de l’école. En ce
qui concerne l’explication de la situation et de l’état actuel de l’école, l’influence du leadership de
directeur est très importante. En outre, nous tiendrons compte du suivi dirigeant de directeur de la
ZAP et de la CISCO dont le renforcement est nécessaire.
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2. Objectif de la composante soft
Objectif global Les installations scolaires aménagées seront entretenus convenablement.
Objectif Les connaissances sur l’entretien des installations scolaires aménagées
seront améliorées.
3. Résultats de la composante soft
Résultat 1 : L’importance de l’entretien et de l’hygiène est reconnue dans toutes les écoles cibles.
Résultat 2 : Les connaissances relatives à la méthode de l’entretien sont promues dans toutes les écoles cibles. Résultat 3 : Dans les écoles cibles d’activités pilotes, la solidarité entre le FAF et le FRAM est activée grâce à l’aménagement des routes de l’école avec la participation communautaire.
Il est à noter que, lors de la mise en œuvre de la composante soft, il est supposé utiliser de manière
appropriée le manuel existant de composante soft.
Pour l’aménagement des routes de l’école, l’utilisation du manuel d'aménagement routier des
organisations de petits agriculteurs horticoles (Projet de renforcement des organisations de petits
agriculteurs horticoles et de l’unité de promotion, JICA Kenya) sera envisagée.
Résultats Activités Mode de vérification du degré d’atteinte
1. L’importance de
l’entretien et de
l’hygiène est
reconnue dans toutes
les écoles cibles
1) Conscientisation sur l’entretien et sur l’hygiène
travers les séances de formation en y invitant les
acteurs de l’école tels que le directeur, le
représentant d’enseignants, le président du FAF, 2
représentants du FRAM
・ Liste des participants
à la séance de formation
de « 2. ».
・Questionnaire auprès
des participants à la
séance de formation
2. Les connaissances
relatives à la méthode
de l’entretien sont
promues dans toutes
les écoles cibles
1) Révision de manuel pour la planification des
activités de la gestion et l’entretien de l’école qui
inclue l’entretien simple ainsi que l’entretien
préventif : la révision se fera sur la base du
manuel existant (y compris l’hygiène)
2) Mise en œuvre de séance de formation sur le
manuel ci-dessus
3) Explication du point de vue technique lors de la
séance ci-dessus
・Manuel révisé
・Liste des participants
à la séance de
formation
・Questionnaire auprès
des participants à la
séance de formation
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4. Mode de vérification du degré d’atteinte des résultats
Comme décrit dans le « 3. » ci-dessus.
5. Activités de la composante soft
(1) Cibles
Les cibles seront des directeurs, enseignants, et toutes personnes concernées par les écoles tels que
le FAF, le FRAM de toutes les écoles cibles du Projet.
Par ailleurs, la construction des installations se fera en deux étapes. Le regroupement de la composante soft sera identique à celui de la construction d’installations comme suit. Toutefois, dans le cas du G1, les séances de formation se feront conjointement pour Toamasina I et Toamasina II. Pour le lieu, ce sera à la CISCO de Toamasina II.
Les activités liées à l’aménagement de routes d’école et à l'entretien (pilote) seront menées dans une école de Toamasina II-13 du G2. Groupe 1 (ci-après « G1 ») : 15 écoles
Nb écoles
cibles dans
CISCO
CISCO Communes ID Nom de l’école
1 Toamasina I Toamasina I TI-5 EPP Todivelona Raphael
1
Toamasina II
Antetezambaro TII-1 EPP Analamalotra
2 Salazamay TII-3 EPP Ambalamanasy
3 Salazamay TII-4 EPP Ambodisaina
4 Antetezambaro TII-6 EPP Antetezambaro
1 Brickaville Brickaville B-1 EPP Brickaville
3. Dans les écoles
cibles d’activités
pilotes, la solidarité
entre le FAF et le
FRAM est activée
grâce à
l’aménagement des
routes de l’école avec
la participation
communautaire.
1) Conscientisation des personnes concernées par
l’école tels que directeur, représentant
d’enseignants, président du FAF, représentant du
FRAM sur l’aménagement de route de l’école par
l’approche à haute intensité de main d’œuvre en
utilisant les matériaux locaux à travers les séances
de formation et de démonstration
2) Formation sur les travaux d’entretien
3) Élaboration du manuel en y reflétant le système
scolaire et système d’entretien routier à
Madagascar, caractéristiques de matériaux
pouvant être achetés localement
Liste des participants
à la séance de
formation/
démonstration
Plan d’action élaboré
par la partie prenante de
l’école après les travaux
d’entretien
Liste des participants à
la séance de formation
sur l’entretien
Manuel
Questionnaire
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2 Mahatsara B-3 EPP Antsampanana
3 Mahatsara B-4 EPP Ampitabe
4 Mahatsara B-8 EPP Ambodiriana
1
Votomandry
Vatomandry V-2 EPP Vohitsara
2 Vatomandry V-3 EPP Ambilakely
3 Tsarasambo V-5 EPP Ambodivontaka
4 Ambodivoananto V-6 EPP Ambodivoananto
5 Ilaka - Est V-7 EPP Ilaka-EST
6 Niarovana Caroline V-8 EPP Mahatsara
Groupe 2 (ci-après « G2 ») : 12 écoles
Nb écoles
cibles dans
CISCO
CISCO Communes ID Nom de l’école
1
Toamasina
Toamasina I TI-1 EPP Zoto
2 Toamasina I TI-2 EPP Tsiry
3 Toamasina I TI-6 EPP Dépôt Analakininina
4 Toamasina I TI-7 EPP Valpinson
5 Toamasina I TI-8 EPP Manangareza
6 Toamasina I TI-9 EPP La Foire
7 Toamasina I TI-10 EPP Androranga
8 Toamasina I TI-11 EPP Ambohijafy
9 Toamasina I TI-12 EPP La Poudrette
1
Toamasina II
Ampassimbe Onibe TII-2 EPP Ambalahasina
2 Ampasimbe Onibe TII-11 EPP Ampasimbe Onibe
3 Ampasimbe Onibe TII-13 EPP Hotsika
(2) Période de mise en œuvre
[Activités de gestion scolaire/l’entretien]
・ Après le démarrage des travaux du G1 et avant le début des activités de la composante soft, les
ressources locales (ONG/consultant) seront recrutés, le manuel existant sera révisé, le projet de
questionnaire d’enquête sera élaboré.
<<G1>>
・Pour démarrer la composante soft, en suivant la version révisée du manuel, une discussion avec la
DREN et la CISCO (la ZAP en fonction de besoin) sera prévue. En particulier depuis la crise
politique de 2009, la situation confuse a été observée à Madagascar à tous les niveaux du Ministère
de l'Éducation, de la DREN, de la CISCO, de la ZAP, de l’École. Divers impacts négatifs y compris
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le budget et le financement ont influencé et rendu le système de la gestion scolaire et de l’entretien
vulnérable. Par conséquent, les détails de composante soft tels que les activités, les résultats attendus
doivent être reconnus communément parmi les partenaires, il est nécessaire de vérifier les rôles
respectifs et d’encourager la participation mutuelle aux activités.
・Les séances de formation suivant le manuel révisé seront organisées pour chaque CISCO cible.
Toamasina I participera aux activités de Toamasina II (seules les écoles cibles du G1).
<<G2>>
・Similaire au G1, une séance de formation organisée par CISCO cible suivant la version révisée du
manuel. Cependant Toamasina I participera aux activités de Toamasina II (uniquement écoles cibles
du G1).
[Aménagement et Entretien de route de l'école (pilote)]
・ Mener une enquête sur l’aménagement de route de l'école au début de travaux de construction
du
G 2 pendant la saison sèche.
1) Le but de l’enquête est de vérifier les matériaux et matériels que nous pourrons nous
approvisionner localement, de connaître les véhicules et le volume de trafic, de définir les
spécifications des routes à réaliser avec la participation communautaire, la planification et
la budgétisation.
2) Lors de l’enquête susmentionnée, faire une démonstration de l’aménagement simple de
petite échelle combinée avec une présentation d’un cas d’ activités d'aménagement de
route de l'école par les résidents en utilisant le matériel local et en haute intensité de main
d’œuvre (sous forme de cours magistral).
3) Connaître les gestionnaires routiers et les réalités d'aménagement, les activités
communautaires sur place.
・Après l’enquête susmentionnée, une formation de l’entretien sera menée sur le chantier des travaux
de construction de route cible de l’école.
1) Formation de l’entretien basée sur les résultats de l’enquête susmentionnée.
2) Avec la maitrise de technique, élaboration du plan d’action par les acteurs de l’école sur
l'aménagement de route de l'école.
3) Mise en place d’un questionnaire pour vérifier la situation d'apprentissage
(3) Système de mise en œuvre
Les principaux responsables de la mise en œuvre de cette composante soft sont la DREN
d’Atsinanana dont relèvent les écoles primaires cibles, les CISCO cibles ainsi que les responsables
de la ZAP concernés.
Un consultant japonais effectue la supervision de l'ensemble d'activités en tant qu’administrateur
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de composante soft, une ONG locale est mise en service par l'administrateur de la composante soft,
et mène des activités en tant que facilitateur. Du point de vue technique, le consultant local effectue
ses activités en réponse à la demande du consultant japonais.
En ce qui concerne l’aménagement et l’entretien de route de l’école, c’est le consultant japonais
qui est administrateur, et aussi en tant qu’assistant pour effectuer la supervision et l’étude de
l’ensemble d’activités, la formation et la démonstration. Une ONG locale chargée par
l'administrateur de la composante soft, en tenant en compte des réalités locales et des caractéristiques
de résidents, apportera son soutien au consultant japonais et à son assistant en tant que facilitateur.
Le schéma suivant montre le système de mise en œuvre :
(4) Contenu des activités
Le résumé d'activité est le suivant :
Le recrutement de l’ONG local et le consultant local, l’élaboration d’une proposition de manuel
révisé et le projet d’un questionnaire sont à préparer avant la séance de formation du G1.
Aussi, les réunions avec les ONG/consultant locaux sur place (Exécutant de la composante soft
(administrateur japonais, ONG/consultant locaux) sur l’objectif d’activités, le contenu, ainsi que la
vérification de répartition de rôles), sur la révision de manuel en collaboration, l’impression et la
reliure de manuel, l’élaboration d’un questionnaire seront à exécuter dans la Capitale avant le
déplacement vers Toamasina.
[Séance de formation sur l’entretien et l’hygiène pour chaque CISCO]
Période G1, G2 : après achèvement de la construction (juste avant la rentrée scolaire)
Durée G1：à tout moment vers octobre 2017
Agent d’approvisionnement
Organisme responsable de
la mise en œuvre de la
composante soft
Organisme d’exécution de la
composante soft
DREN
CISCO
ZAP
Cibles
(Appel à la collaboration selon les activités
de chaque école)
Administrateur japonais,
(y compris administrateur
adjoint)
ONG locale
Consultant local
Directeur, représentant d’enseignant, président FAF, représentant FRAM
(Autres personnes concernées par l’école)
RapportContrat
Collaboration
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(prévue) G2：à tout moment vers octobre 2018
Lieu G1：Toamasina I, Toamasina II, Brickaville, Vatomandry, Total 3 sites
G2 : Toamasina I, Toamasina II, Total 2 sites
Responsable
de la mise en
œuvre
Superviseur de gestion：Directeur/responsable DREN, Directeur/responsable
CISCO, Directeur ZAP
Facilitateur, conseiller technique：ONG locale, Consultant local, Administrateur
de la composante soft
Cibles Personnes concernées par les écoles cibles de planification (Directeurs,
représentants d’enseignants, président FAF, 2 représentants FRAM de la
commune
Contenu
d’activités
1-1. Mise en œuvre des séances de formation suivant le manuel d’entretien et
d’hygiène
1-2. Mise en œuvre d’un questionnaire (Avant et après la formation)
[Enquête et séance de formation sur l’aménagement des routes de l’école et l’entretien du G2
(Pilote)]
Période G2 : après achèvement de la construction et durant la saison sèche : enquête et
formation
Durée
(prévue)
G2 : enquête en août 2017, séances de formation, démonstration à mettre en
œuvre. Consécutivement, l’élaboration d’un plan d’action pour la formation et
l’entretien à réaliser
Lieu G2 : Toamasina II, aux environs de T2-13 et 100~300m sur un tronçon de 6.5
km entre les grandes voies de circulation
Responsable
de la mise en
œuvre
Superviseur de gestion：Directeur/responsable DREN, Directeur/responsable
CISCO, Directeur ZAP
Facilitateur, conseiller technique：ONG locale, Administrateur de la composante
soft (y compris l’assistant)
Cibles Toamasina II, les parties concernées par les écoles cibles de planification
(Directeurs, représentants d’enseignants, président FAF, 2 représentants FRAM
(collaborateurs de la communauté) de T2-13
Contenu
d’activités
1-1. Cours magistraux et démonstrations pour les études de cas, plan de
l'aménagement de route de l'école
1-2. Séance de formation sur l’aménagement et l’entretien de route de l’école en
travail réel, élaboration du plan d’action de l’entretien par les parties concernées
par l’école
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(5) Rôle de chaque partie prenante
Le rôle de chaque partie prenante qui compose le système de mise en œuvre est comme suit :
Nom de partie prenante Rôles
Agent
d’approvisionnement
1. Contrat avec le consultant japonais
2. Rapport au maitre d’œuvre
Con
sulta
nt J
apon
ais
Administrateur de
la composante soft
(y compris
Administrateur
japonais,
Administrateur
adjoint)
1. Préparation préalable
1) Recrutement de l’ONG/le Consultant locaux
2) Examen du manuel existant (matériel de la formation) (y
compris la traduction)
3) Élaboration de projet de questionnaire (avant et après la séance
de formation etc.)
2. Soutien aux activités
1) Partage de contenu des activités avec les parties prenantes,
confirmation des rôles
2) Révision du manuel existant, appui à l’impression/la reliure
3) Étude de site en vue de l’aménagement participatif de route de
l’école
4) Mise en œuvre/appui aux séances de formations (incluant
démonstration de l’aménagement des routes de l’école)
(formation/visites de formation)
5) Conseils et recommandations pour chaque activité
6) Rapport aux organisations concernées, des recommandations et
passation pour la continuité des activités
3. Gestion de l’avancement
1) Gestion d’avancement de séances de formation sur l’entretien
des installations et l’hygiène auprès de personnes concernées
par l’école
2) Élaboration du rapport intermédiaire
3) Élaboration du rapport final
4. Vérification des résultats/rapports
1) Vérification de l’avancement de chaque activité
2) Séances de formation/Appui à la mise en œuvre de formation
3) Vérification de résultats (y compris le contenu du
questionnaire)
4) Rapport
ONG locale
1. Préparation d’activités
1) Partage de contenu des activités avec les parties prenantes,
58
confirmation des rôles
2) Examen du manuel existant entre l’administrateur de la
composante soft et le consultant local (principalement du point
de vue de sensibilisation), révision, impression/reliure, examen
et élaboration de contenu des matières de manuel
3) Élaboration du questionnaire (avant et après la séance de
formation) ayant à l’esprit l’orientation de changement de
conscience et de comportement
4) Préparation pour l’élaboration du plan d’action
2．Mise en œuvre des séances de formation
1) Contact les collectivités locales et les écoles cibles avec la
coopération de la DREN et la CISCO
2) Organisation des séances de formation sur l’entretien et
l’hygiène auprès de personnes concernées par l’école (promotion
de la participation et sensibilisation )
3) Mise en œuvre de questionnaire (tenir en compte de résultats de
questionnaire pour faciliter la séance de formation)
4) Coordination en vue de l’organisation des séances de formation
sur l’entretien des routes de l’école
5) Facilitation pour l’élaboration de plan d’action
3. Rapport
1) Rapport périodique à l’administrateur de la composante soft
susmentionné
Consultant local
1. Préparation d’activités
1) Partage de contenu des activités, confirmation de rôles
2) Examen du manuel existant entre l’administrateur de la
composante soft et l’ONG locale (par exemple les apports
techniques sur l’entretien des latrines du point de vue de la
structure des bâtiments, de la prévention), révision
3) Élaboration (avant et après la séance de formation) de fiche de
questionnaire (structure de l’infrastructure, avec la notion de
l’entretien)
2. Organisation des séances de formation
1) Organisation des séances de formation sur l’entretien de
l’établissement et l’hygiène (explication de point de vue
structurale de l’établissement et technique : y comprise
explication en utilisant des photos de chantier de certains
59
installations, suivie d’une séance de questions-réponses)
2) Mise en œuvre de questionnaire (En tenant compte de résultats
de questionnaire réalisé après la séance de formation, donner des
explications de point de vue structurale de l’établissement et
technique ainsi que la méthode de l’entretien.)
Ent
ité p
rinc
ipal
e de
la m
ise
en œ
uvre
Directeur et
responsables de la
DREN,
Directeur et
responsables de la
CISCO,
Directeur de la
ZAP
1. Compréhension de l’ensemble d’activités
1) Vérification du contenu des activités et répartition des tâches
2) Vérification du manuel de l’entretien révisé
3) Appui à l’organisation des diverses séances de formation, visite
2. Facilitation sur l’ensemble d’activités
1) Appui au contact aux responsables des écoles
2) Appui de la mise en œuvre du questionnaire
3) Sélection de parties prenantes pour l’aménagement de route de
l’école
4) Appui au contact aux responsables pour l’aménagement de route
de l’école, administrateur de route
Cib
les
Parties concernées
par l’école
(Directeur,
représentant des
enseignants,
président du FAF, 2
représentants du
FRAM
・Participation à l’ensemble d’ activités telles que séances de formation sur
l’aménagement
・Sélection des participants à l'aménagement des routes de l'école
・Mise en commun des points d’ apprentissage issus des séances de
formation aux autres responsables des écoles concernées par l’école
・Mise en pratique continuelle de diverses activités dans chaque école
(6) Plan d’affectation
L’affectation du personnel (en Homme/Mois) est indiquée ci-dessous (pour en savoir plus, voir l’Annexe 1 « Calendrier d’exécution »). Pour l’aménagement des routes de l’école, un administrateur japonais et un administrateur adjoint japonais vont accompagner l’ensemble de processus et vont appuyer une série de travaux.
Personnel Homme/Mois (M/M)
Administrateur de la composante soft
(consultant japonais et l'administrateur
adjoint)
Au Japon：24 (1,20 M/M)
A Madagascar：99 (3,29 M/M)
ONG locale A Madagascar：63 (2,10 M/M)
Consultant local A Madagascar：26 (0,87 M/M)
Total 7,46 M/M
N. B. : Le calcul a été fait sur la base de 30 jours par mois à Madagascar et de 20 jours par mois au Japon.
60
1) Affectation et détails des activités de l’administrateur de la composante soft (japonais : y
compris l'administrateur adjoint)
[Gestion des installations scolaires/activités de l’entretien]
Phase Activités Au
Japon
A
Mada
gascar
Préparation
préalable
Recrutement de l’ONG locale, travail de prise de contact 2
Examen du manuel existant et étude des points à réviser 4
Élaboration d’un questionnaire pour l’enquête 1
G1 : Séances
de formation
sur
l’entretien
des
installations
et l’hygiène
Aller-retour Tokyo <-> Antananarivo 5
Aller-retour Antananarivo <-> Toamasina 2
Aller-retour Toamasina <-> Régions 1
Confirmation du contenu d’activités et de la répartition des
responsabilités de la composante soft
Discussion avec l’ONG locale et le consultant local,
élaboration d’un questionnaire (avant et après la
formation, y compris celui pour les directeurs de
DREN, CISCO/ZAP)
1
Appui à la révision du manuel
Travail de révision 4
Impression et reliure de manuel
Vérification de contenu d’activités et de la répartition des
Responsabilités avec les parties concernées
Explication à l’agent d’approvisionnement 0,5
Visite de courtoisie et explication au MEN et au
bureau de la JICA Madagascar 0,5
Discussion avec la DREN 0,5
G1 Appui à l’organisation des séances de formation sur l’entretien de
l’établissement et l’hygiène pour les parties concernées par les écoles
Visite des séances de formation
１
Mise en œuvre de questionnaire (au début et à la fin
de la formation)
Rapport sur place
Rapport aux DREN et CISCO et la perspective 2
Rapport au MEN et au bureau de la JICA Madagascar 1
61
et à l’agent d’approvisionnement
Autres
Préparation de mise en œuvre 0,5
Revue avec l’ONG locale et le consultant local,
rapport intermédiaire 1
Mise en ordre des informations 2
G2 : Séances
de formation
sur
l’entretien
des
installations
et l’hygiène
Aller-retour Tokyo <-> Antananarivo 5
Aller-retour Antananarivo <-> Toamasina 2
Visite de courtoisie/discussion
Visite et explication au MEN et au bureau de la JICA
Madagascar et à l’agent d’approvisionnement 1
Discussion avec l’ONG locale et le consultant local 0,5
Discussion avec la DREN et la CISCO 0,5
G2 Appui à l’organisation des séances de formation sur l’entretien de
l’établissement et l’hygiène pour les parties concernées par les écoles
Visite des séances de formation
2 Mise en œuvre de questionnaire (au début et à la fin
de la formation)
Rapport sur place
Rapport aux DREN et CISCO, revue des activités de
la composante soft 1
Rapport au MEN, au bureau de la JICA Madagascar
et à l’agent d’approvisionnement 1
Autres
Revue avec l’ONG locale et le consultant local,
rapport final (y compris la vérification de la situation
des écoles cibles de l’aménagement de routes de
l’école)
1
Mise en ordre des informations 1
Soutiens aux
activités
(Japon)
Gestion de l’avancement 4
Élaboration du rapport intermédiaire 3
Élaboration du rapport final 4
Sous-total de nombre de jour 18 37
62
[Activités d’aménagement et d’entretien de routes d’école (pilote)]
Phases Activités Au
Japon
A
Mada-
gas-
car
Préparation
préalable
Communication 1
Examen de matériel de formation/manuel existant, examen de
points à réviser, élaboration d’un questionnaire 2
G2 : Sensi-
bilisation,
technique sur
l’entretien de
routes de
l’école
Aller-retour Osaka <-> Antananarivo 5
Aller-retour Antananarivo <-> Toamasina 2
Visite de courtoisie/discussion
Visite de courtoisie au MEN et au bureau de la JICA
Madagascar 1
Collecte d’informations sur l’aménagement
d’infrastructures (discussion interne) 1
Discussion avec la DREN, la CISCO, et un service
régional en charge de routes １
Discussion avec le FAF, directeur, communauté １
G2 : T2-13 Sensibilisation sur l’entretien des routes de l’école pour les parties
concernées par l’école et orientation technique
Étude de routes, planification d’aménagement et de
démonstration, estimation pour l’aménagement
3
Approvisionnement des équipements et matériaux pour
la démonstration, préparation des séances de formation
Séances de formation/démonstration
Formation de travaux d'entretien
12 Élaboration de matériels pédagogiques/manuel
Appui à l’élaboration de plan d’action
Mise en œuvre de questionnaire
Rapport sur place
Rapport à l’administrateur de routes et à la DREN １
Rapport au MEN et au bureau de la JICA Madagascar 1
Autres
Mise à l’ordre des informations 3
Soutiens aux
activités (au
Japon)
Gestion de l’avancement 1
Élaboration du rapport intermédiaire et du manuel de
l’entretien 2
63
6 27
Sous-total de nombre de jour (pour Japonais à Madagascarｘ2) 62
Total de nombre de jour 24 99
2) ONG locale
[Activités de la gestion et l’entretien des installations scolaires]
Activités
Nb de
joursDétails
Préparation
préalable
Examen pour la révision de manuel
de l’entretien des installations
scolaires et de l’hygiène
2
Vérification de manuel existant/examen de
révision (du point de vue de sensibilisation) :
2
Examen de contenu de la formation 2
Vérification de contenu des séances de
formation sur l’entretien de l’établissement et
l’hygiène (du point de vue de sensibilisation) :
2
G1 : Séances
de formation
sur l’entretien
des
installations et
l’hygiène
Travaux de préparation, organisation
des séances de formation
(accompagner l’administrateur de la
composante soft : 5 jours de travail
dans la capitale
13
Antananarivo -> Toamasina : 1
Toamasina <-> Région : 1,
discussion/élaboration d’un questionnaire : 1,
révision de manuel/impression. reliure : 4,
visite de Courtoisier DREN/discussion : 0,5,
préparation de mise en œuvre : 0,5,
organisation des séances de formation sur
l’entretien et l’hygiène du G1 (essai) : 1,
Rapport aux DREN・CISCO : 2, revue/rapport
intermédiaire : 1, mise en ordre des
informations : 1
Organisation de restant de séances de
formation 3
Organisation : 2, Toamasina -> Antananarivo :
1
Rapport
intermédiaire
Compilation de documents,
élaboration du rapport intermédiaire 5
G2 : Séances
de formation
sur l’entretien
des
installations et
l’hygiène
Travaux de préparation, organisation
des séances de formation
(accompagner l’administrateur de la
composante soft)
8
Antananarivo <-> Toamasina : 2,
discussion：0,5, visite de courtoisie DREN・
CISCO : discussion : 0,5, organisation de
séances de formation sur l’entretien des
installations et l’hygiène G2：2, Rapport aux
DREN・CISCO, revue de la composante soft :
1, revue/rapport final (y compris la
64
versification de la situation des écoles cibles
de l’aménagement de routes de l’école) : 1,
mise en ordre des informations : 1
Rapport final Compilation de documents,
élaboration du rapport final 5
Sous-total de nombre de jour 38
[Activités d’aménagement et d’entretien de route de l’école (Pilote)]
Activités
Nb de jours
Détails
Préparation
préalable
Examen relatif à l’élaboration du
manuel (projet) sur
l'aménagement de route de l'école
1 Vérification de sujets de manuel/examen
d’élaboration (caractéristiques locales) : 1
G2 :
Sensibilisation
sur l’entretien
de route de
l’école,
orientation
technique
Coordination de l’organisation
des séances de formation,
assistance à l’élaboration de
manuel (accompagner
l’administrateur de la composante
soft)
24
Collecte d’informations sur les infrastructures
(discussion interne) : 1, aller-retour
Antananarivo/Toamasina : 2, visite de courtoisie
à la DREN et bureau local routier et discussion,
invitation à la démonstration : 1, discussion avec
CISCO・FAF・directeur・parties concernées : 1,
préparation préalable de démonstration : 2,
démonstration : 1, élaboration du manuel de
l’entretien (projet)/appui à l’élaboration/formation
sur les travaux de l’entretien/élaboration de plan
d’action/appui à la mise en œuvre de
questionnaire/facilitation：12, rapport aux DREN,
CISCO, bureau local routier : 1, mise en ordre des
informations : 3
Sous-total de nombre de jour 25
Total de nombre de jour 63
3) Affectation de l’ONG locale et détails de ses activités
Activités
Nb
de
jours
Détails
Préparation
préalable
Examen pour la révision de manuel 2
Vérification de manuel existant/examen de
révision (du point de vue de structure, technique
et méthode de maintenance) : 2
Examen de contenu des séances de 2 Examen de contenu des séances de formation
65
formation sur l’entretien et l’hygiène (du point de vue de
structure, technique et méthode de
maintenance) : 2
G1 : Séances de
formation sur
l’entretien des
installations et
l’hygiène
Travaux de réparations, organisation
des séances de formation
(accompagner l’administrateur de la
composante soft： 3 jours de travaux
dans la capitale)
11
Antananarivo -> Toamasina : 1,
Toamasina <-> Région : 1,
discussion/élaboration d’un questionnaire : 1,
révision de manuel : 2, visite de courtoisie
DREN/discussion : 0,5, préparation de mise en
œuvre : 0,5, organisation des séances de
formation sur l’entretien et l’hygiène du G1
(essai) : 1, Rapport aux DREN・CISCO : 2,
revue/rapport intermédiaire : 1,
mise en ordre des informations : 1
Organisation de restant de séances de
formation 3
Organisation : 2,
Toamasina -> Antananarivo : 1
G2 : Séances de
formation sur
l’entretien des
installations et
l’hygiène
Travaux de préparation, organisation
des séances de formation
(accompagner l’administrateur de la
composante soft)
8
Antananarivo -> Toamasina : 1, discussion：0,5,
visite de courtoisie DREN/discussion : 0,5,
organisation des séances de formation sur
l’entretien et l’hygiène du G2 : 2, rapport aux
DREN・CISCO, revue de la composante soft : 1,
revue/rapport final : 1, mise en ordre des
informations : 1
Total de nombre de jour 26
6. Mode de recrutement du personnel pour la mise en œuvre de la composante soft
Quand on exécutera la composante soft avec l’appui des ressources humaines locales, il serait
pertinent de la confier à des ONG locales bien informées des conditions locales et qui ont de
l’expérience dans la promotion et le soutien au développement communautaire, à la participation des
habitants, à la sensibilisation et à la mise en œuvre de la formation. A Madagascar, il y a plusieurs
ONG qui proposent les activités mentionnées ci-dessus. Pour la présente composante soft, nous
recruterons une ONG qui a de nombreuses expériences dans les activités similaires et un
architecte-conseil qui est en mesure d’expliquer la méthode d’entretien et la structure des
installations du point de vue architectural, lors de la visite de chantiers.
Par ailleurs, pour l’aménagement de route de l’école efficace et durable, il est indispensable
d’avoir le leadership de l’école, la coordination, la mobilisation communautaire, et le consensus.
Avec l’appui d’une ONG qui possède ces savoir-faire, la mise en œuvre des séances de formation sur
l’entretien et l’élaboration de plan d’action seraient efficaces. Nous prévoyons des spécifications
66
réalisables de l’entretien en profitant des ressources locales, les procédures de l’entretien pourront
être apprises facilement par les responsables de l’école.
Le candidat de l’ONG, sera une ONG locale qui a participé à des activités similaires des anciens
projets de l’aide non remboursable du Japon ou celle financée par d’autres bailleurs de fonds.
Quant à l’architecte-conseil, il devra posséder des informations sur les installations à aménager
dans le Projet et pouvoir expliquer précisément les méthodes d’entretien. Par conséquent, il est
important que cet architecte-conseil collabore avec le consultant japonais qui se charge des services
d’appel d’offres et de supervision des travaux, et il sera donc souhaitable de confier les activités de
composante soft au consultant de supervision de la conception du Projet.
De ce fait, la composante soft du Projet se spécialisera dans des activités susceptibles de donner
davantage d’effets en se limitant à la période d’aménagement des installations afin de minimiser les
frais de sous-traitance. Ainsi, comme dans les précédents projets, s’inscriront la mise en œuvre et la
gestion de la composante soft dans la supervision des travaux par le consultant japonais qui recrutera
des ressources locales pour éviter un déséquilibre du coût susmentionné.
Puisque l’administrateur de la composante soft est celui qui a élaboré la conception sommaire et le
présent plan dans la phase de l’étude préparatoire, il sera possible de mettre en œuvre cette
composante soft continuellement et sans difficulté depuis sa planification jusqu’à sa mise en œuvre.
7. Calendrier d’exécution de la composante soft
Voir l’Annexe 1 ci-joint
8. Réalisations à remettre de la composante soft
(1) Documents
Version révisée du manuel d’entretien d’installations scolaires
Manuel d'entretien de route de l'école
(2) Rapport
Rapport Table des matières (proposition) Rapport intermédiaire [Activités de gestion et l’entretien des installations scolaires]
1. Revue et révision de manuel 1-1 Points à changer dans le manuel existant 1-2 Version révisée du manuel 1-3 Situation d’impression et de distribution de la version révisée du manuel
2. Séances de formation sur l'entretien et l'hygiène dans toutes les écoles cibles du G1 2-1 Calendrier 2-2 Liste des participants 2-3 Contenu de la formation 2-4 Commentaires de participants 2-5 Résultats de questionnaire 2-6 Leçons/défis
3. Recommandations aux écoles cibles du G2 pour les séances de formation similaires
67
[Activités de l’aménagement et l’entretien de route de l’école et l’entretien (pilote)] 1. Étude de route de l’école sur site
1-1 Situation de trafic actuel et son volume 1-2 Projet de plan d’aménagement, estimation de coût 1-3 Résultats d’informations collectées sur les projets communautaires similaires et l'aménagement des routes
2. Séances de formation et démonstration de cas pour les écoles cibles du Groupe 2 2-1 Calendrier 2-2 Liste des participants 2-3 Contenu de la formation/démonstration 2-4 Commentaires des participants, photos
3. Formation sur l’aménagement des routes de l’école aux écoles cibles du G2 3-1 Calendrier 3-2 Liste des participants 3-3 Contenu de la formation 3-4 Commentaires des participants, photos 3-5 Plan d’action 3-6 Résultats de questionnaire
4． Réalisations et leçons tirées de l’ensemble des activités Rapport final [Activités de la gestion et de l’entretien des installations scolaires]
1. Rapport d’activités ・résumé de 1à 3 ci-dessus
2. Séminaires sur l’entretien et à l'hygiène pour les écoles cibles du G2 2-1 Calendrier 2-2 Liste des participants 2-3 Contenu de la formation 2-4 Commentaires des participants 2-5 Résultats de questionnaire
3. Résultats et leçons tirées sur l’ensemble d’activités [Activités d'aménagement de routes de l'école (pilote)] 1. Situation d’après
9. Obligations du pays bénéficiaire
(1) Obligations pendant la mise en œuvre de la composante soft
1) Mise en œuvre et participation de chaque activité
Il est nécessaire que les directeur/responsables de la DREN et les directeur/responsables de
la CISCO ainsi que les responsables de la ZAP prennent l’initiative de mettre en œuvre la
présente composante soft en donnant des instructions et des conseils aux écoles pour que
ces dernières puissent solliciter la participation des parties prenantes.
Au niveau de l’école, il est demandé d’impliquer les responsables tels que le directeur,
les représentants des enseignants, le président du FAF, et le représentant du FRAM et
d’obtenir le consensus et l’exécution de l’aménagement des routes de l’école par la
communauté, il est nécessaire d’établir soigneusement la coordination telles que la prise de
contacts et la mise en œuvre d’activités pendant la période de la composante soft.
En outre, sous la direction de directeur/responsables de la DREN, les
68
directeur/responsables de la CISCO devront suivre les écoles cibles, surtout après la fin
des activités de la composante soft de sorte que les parties prenantes continuent activement
l’entretien en y incluant l’hygiène.
Les rôles des diverses parties prenantes dans chaque phase sont les suivants.
Les rôles des diverses parties prenantes dans chaque phase sont les suivants.
Cibles Série des séances de formation
DREN
・Direction générale/supervision ・Vérification de contenu des activités/répartition des rôles ・Vérification de manuel révisé ・Appui à l’organisation de séances de formation/visites ・Appui au contact et à la coordination des parties concernées ・Appui à la mise en œuvre de questionnaire
Directeurs de CISCO et
ZAP
・Vérification de contenu des activités/répartition des rôles ・Vérification de manuel révisé ・Appui à l’organisation de séances de formation/visites ・Appui au contact et à la coordination des parties concernées ・Appui à la mise en œuvre de questionnaire/participation
Ecole (y compris FAF,
FRAM)
・Contact et coordination avec les parties concernées ・Solliciter la participation communautaire dans l’aménagement de route de l’école, recherche de consensus ・Participation aux séances de formation diverses ・Questionnaire ・Élaboration de plan d’action
(2) Obligations après la mise en œuvre des activités de la composante soft
1) Promotion de la mise en œuvre
Pour que tous les responsables sensibilisés par les activités de cette composante soft avancent
vers la réalisation de l’objectif spécifique et de l’objectif global mentionnés ci-dessus, chaque
partie prenante devra participer activement aux activités et s’efforcer de réaliser des activités
d’aménagement et d’entretien de la route de l’école qui comprennent l’hygiène appropriées à
chaque école.
Les responsables de la DREN, la CISCO et de la ZAP devront favoriser dans chacune des
écoles la pratique de ce qui aura été appris lors des activités de composante soft basées sur la
révision d’activités du Projet, de conseils pour l’avenir. A travers les séances de formation, le
niveau et les spécifications de d’aménagement de route de l’école seront mieux compris pour
en faire un modèle depuis la phase de planification, préparation jusqu'à celle de mise en œuvre.
2) Mesures à prendre pour assurer les frais de gestion et d’entretien des écoles
Les frais pour la gestion et l’entretien des écoles sont couverts par le budget du MEN et les
frais de cotisation des élèves. Dans le contexte de la décentralisation, la gestion et de l’entretien
des écoles est confiée à la CISCO (ZAP) sous la direction de la DREN. Mais comme mentionné
ci-dessus, les montants de la subvention du MEN ne sont pas stables, et il y a également une
69
disparité de montants de cotisation par élève/ménage selon les régions et écoles. Cependant
depuis l’année scolaire 2014/2015, une perspective pour que l’état subventionne les écoles
régulièrement, les fonctionnaires du MEN doivent encourager sa réalisation effective.
L’aménagement des routes de l’école concernera de nombreuses parties prenantes telles que
la communauté et les administrateurs de routes. En matière de formation, les responsables de
l’école jouent un rôle central et négocient avec ces parties prenantes, sollicitent la participation
communautaire aux activités et sensibilisent également sur l’approvisionnement des matériaux
et matériels nécessaires et du budget.
Si le cas de figure où l’aménagement de routes d’accès à l’école grâce à la formation
technique de populations dispensée à travers les activités de la composante soft permettant
d’offrir les routes sûres d’écoles aux enfants est jugé efficace, désormais il serait possible
d’inclure dans l’une des rubriques de la composante soft l’aménagement de routes d’accès à
l’école comme moyen de faire face aux défis de routes d’accès. En outre, si à l’issue de la
priorisation des éléments en matière d’environnement scolaire les responsables d’école
reconnaissent que l’aménagement de routes d’accès est prioritaires, il sera possible d’affecter le
budget de fonctionnement d’école à l’aménagement de routes et de le mettre en œuvre de façon
durable par les populations en valorisant les méthodes d’aménagement qu’elles auront acquis
dans le cadre de la composante soft.
Annexe : Calendrier d’exécution de la composante soft
70
Calendrier d’exécution de la composante soft
1 2 3 4 5 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 ～ 12▲
▲▲
▲
○ Rapport intermédiaire Rapport final ○
1 2 3 4 5 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 ～ 12
7 1 22 1 3 1 15 1 4
4 16 5 8 5
4 14 8
Total 7.47 H/MJaponMadagascar
E/N – A/D
2018
Conseil de Gouvernement
2016Mois
2015 2017
2018Mois
Contrat de l’Agent d’approvisionnementContrat du Consultant
Travaux de construction
Résultat 1: L’importance de l’entretien et l’hygiène estreconnue dans toutes les écoles cibles(1) Sensibilisation sur la gestion de l’entretien et sur l’hygiène à travers les séances de formation pour les acteurs del’école tels que FAF, directeur, représentant d’enseignants, FRAM
Activités de la composante soft
Rapport de résultats d’activités
Résultat 2: Les connaissances relatives à la méthodede l’entretien sont promues dans toutes les écolescibles(1) Révision de manuel pour la planification des activitésde la gestion et l’entretien de l’école qui inclue l’entretiensimple ainsi que l’entretien préventif : la révision se ferasur la base du manuel existant (y compris l’hygiène)(2) Mise en œuvre de séance de formation sur le manuelci-dessus(3) Explication du point de vue technique lors de séanceci-dessusRésultat 3: Dans les écoles ciblées d’activités pilotes,la solidarité entre FAF et FRAM est accrue grâce à l’aménagement de route de l’école avec la participationcommunautaire.(1) Sensibilisation des personnes concernées par l’écoletels que directeur, représentant d’enseignants, présidentde FAF, représentant de FRAM sur l’aménagement deroute de l’école par l’approche à haute intensité de main d’œuvre en utilisant les matériaux locaux à travers les séances de formation et de démonstration(2) Formation sur les travaux d’entretien(3) Élaboration du manuel en y reflétant le systèmescolaire et système d’entretien routier à Madagascar,caractéristiques de matériaux pouvant être achetéslocalement
Consultant local 26 j 0.87 (H/M)
2015 2016 2017
ONG locale 63 j 2.10 (H/M)
Consultant Japonais (supervision de la composante soft)(Au Japon 24 j- 1,20 homme-mois (H/M),A Madagascar 99 j 3.30 (H/M))
* Les travaux de l’aménagement de routesde l’école se font avec un consultantjaponais et un assistant
Groupe 2 (G2) Durée de construction de 13 Groupe 1 (G1) Durée de construction de 13 mois
G2: Séances de formation sur G1: Séances de formation sur l’entretien et l’hygiène d’établissement
G2: Sensibilisation/ conseil technique sur l’entretien de route de l’école
3 31 3
1 24
71
Annexe 6 Références
72
7. Autres documents et informations
(1) Aperçu des résultats de l’étude sur site
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Oui
ou
Non
)
20×13 20×1329×15 29×15
5 2 Brickaville EPP Avilona 15 O N - puits O 15×10Bâtiment en bois +
fondation15×10 2 N 3 INDIVIDU N N
Site exigu, impossible de placer bâtiment de 2 salles declasse, accès difficile pendant la saison de pluie
9 3 Mahatsara EPP Antsampanana 1 O N - N - 45×30 - - 2 N 3 ECOLE N -
13 4 Mahatsara EPP Ampitabe 0 O N - N - 50×20 Arbre H=3 0 N 2 MEN N - Aménagement de terrains nécessaire
17 5 Andovoranto EPP Andovoranto 66 O N - puits O 35×25 - - 6 N 1 ETAT O - Traverser la rivière avec barque flottante
Fondation WC 6×3
Bâtiment en bois 11×6
Panier de basketball -
25 7 Brickaville EPP Menagisy 15 N O O N - 45.5×16Bâtiment en bois +
fondation45.5×16 3 N 4 ETAT N -
Mur de retenue nécessaire H = ≒ 2m, L = 20m) sur 2endroits. Il faut monter la colline
29 8 Mahatsara EPP Ambodiriana 1 O N - réservoir d'eau O 26×13Bâtiment en bois +
fondation14×9.5 3 O 2 MEN N -
33 9 Ambinaninony EPP Ambinaninony 5 N N - eau de source O 31×15Bâtiment en bois +
fondation31×15 2 N 4 ETAT+ INDIVIDU N N Abattage d'arbre pour faire chemin de transport（≒70M)
37 10 Ambinaninony EPP Analila 0 O N - eau de source O 18×38 buisson 800㎡ 2 N 1 INDIVIDU N N
41 11 Ambinaninony EPP Ambodisovoka 0 O N - eau de source O 13.5×30 - - 3 O 0 INDIVIDU N N
45 12 Anivorano EPP Antsieranambe 12 N N - réservoir d'eau N 35×20 Arbre H=3 1 N 5 MEN N -Pente raide, route est étroite, transporter matériauxmanuellement
49 13 Razanaka EPP Ambodiaviavy 80 O N - puits O 25×15 buisson 600㎡ 0 N 4 MEN N -Aménagement de terrains necessaire.Plusieurs pointssubmergés. Passage difficile pendant la saison de pluie
4 14
2 1 Sahamatevina EPP Anosimanasa 1 O N - réservoir d'eau N 35×11 Fondation 20×７ 7 N 3 ECOLE O -Mur de retenue nécessaire（H=１m、L=35m） il y a unepente raide
6 2 Vatomandry EPP Vohitsara 0 O O O Eau de ville + puits O 28×17 - - 7 O 8 ETAT O -
10 3 Vatomandry EPP Ambilakely 0 O O O Eau de ville + puits O 35×15 - - 4 O 3 ETAT N -
14 4 Tsarasambo EPP Tsarasambo 1 N N - réservoir d'eau N 41×16 - - 6 N 2 ETAT N -Aménagement de terrains nécessaire; site est sur uncolline（6m）
18 5 Tsarasambo EPP Ambodivontaka 0 O N - puits O 34×20 - - 0 N 3 ETAT N -
22 6 Ambodivoananto EPP Ambodivoananto 21 O N -puits +
réservoir d'eauO 43×15 - - 5 O 2 ETAT O -
26 7 Ilaka - Est EPP Ilaka-EST 2 N - puits O 43×14 - - 10 O 2 ETAT N -30 8 Niarovana Caroline EPP Mahatsara 2 O N - puits O 60×23 - - 2 N 3 ETAT N -
34 9 Amboditavolo EPP Lavakorana 1 O N - N - 23×15 ArbreCoupe de branches
(larg.8m）1 N 2 MEN N - Mur de retenue nécessaireH=2m、L=40m)
38 10 Amboditavolo EPP Amboditavolo 14 O N - réservoir d'eau N 30×17 - - 5 N 1 ETAT O -Bâtiment en bois +
fondation6×6
buisson 200㎡8.5×4
6.5×5.55×3
6 21
Remarque
Mur de retenue nécessaire（H=2m、L=60m), passage devéhicule difficile pendant la saison de pluie
Brickaville EPP Brickaville 5 O O N eau de source OBâtiment en bois +
fondation9 N ETAT N4
1
0
6
Annexe 2 Tableau de résultats de l'étude
INFRASTRUCTURES
Niarovana Caroline46
VATO
MAN
DR
Y
EPP BonakaBâtiment en bois +
fondation23 O N -
BATIMENTEXISTANT
DOCUMENT JUSTIFICATF FONCIERESPACE DE CONSTRUCTION
BRIC
KAVI
LLE
ACCES
eau de source N 19×18
Niherenana
-
0 N MEN N
Ord
re d
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iorit
é/50
site
s
CIS
CO
CO
MM
UN
E
ECO
LE
MEN N
23×15Oeau de source-NO13EPP Niherenana42
21
1
Ord
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é （da
ns C
ISC
O）
1
6
11
3Mahatsara EPP Manambonitra 0 O N - N - 25×12 O
6 O MEN N - Mur de retenue nécessaire（H=2m、L=５0m)
-
-
12
3 1 Antetezambaro EPP Analamalotra 2 O N - puits O 30.5×26.5 - N 3 N 6COMMUNAUTEVILLAGEOISE
N N
7 2 Ampassimbe Onibe EPP Ambalahasina 2 O N - N - 41×15 - N 0 N 6COMMUNAUTEVILLAGEOISE
N N
11 3 Salazamay EPP Ambalamanasy 15 O N - puits N 30×14Bâtiment en bois +
fondation8.4×13 0 N 3
COMMUNAUTEVILLAGEOISE
N N
15 4 Salazamay EPP Ambodisaina 5 O N - puits O 15×74 buisson 1000㎡ 3 N 8 ETAT N - Abattage d'arbres（env.20）nécessaire
19 5 Andondabe EPP Andondabe N Site inaccessible à cause de mauvaise route
23 6 Antetezambaro EPP Antetezambaro 0 O N - puits N 20×10Bâtiment en bois +
fondation17×8 4 N 4 ETAT N -
27 7 Fanandrana EPP Ambodikily 90 O N - puits O 25×12.5 coupe de terre 25×12.5 0 N 5 IND N NTraverser la rivière avec barque flottanteAménagement de terrains dans le site est nécessaire
31 8 Ambodilazana EPP Volobe 210 O N - O 36×20Bâtiment en bois +
fondation19×７ 4 N 1 ETAT N -
Traverser la rivière avec barque flottantePassage de véhicule impossible pendant la saison depluie
35 9 Ambodilazana EPP Ambodilazana 270 O N - eau de source N 26.5×14 - N 2 N 1 ETAT＆INDIVIDU N NTraverser la rivière avec barque flottantePassage de véhicule impossible pendant saison de pluie
39 10 Andondabe EPP Ambodihazomamy 20 N N - réservoir d'eau O 19.5×11 - N 2 N 3 IND N NDe la route principale au site （≒100m） il y a unevallée et transport en véhicule impossible,aménagement de terrains nécessaire
43 11 Ampasimbe Onibe EPP Ampasimbe Onibe 50 O N - eau de source O 30×16Bâtiment en bois +
fondation6×9.5 0 N 8 ETAT N -
47 12 Ampasimadinika EPP Andranokobaka 60 N N - puits O 21×12Bâtiment en bois +
fondation8×7 2 N 3 IND N N Traverser la vallée à pied ≒80m au site
50 13 Ampasimbe Onibe EPP Hotsika 30 O N - puits O 22×45Bâtiment en bois +
fondation6×15 0 N 6 ETAT N -
7 41
4 1 Toamasina I EPP Zoto 7 O O N puits O 34 x54 Arbre H=15 0 N 5 ETAT O -
8 2 Toamasina I EPP Tsiry 5 O O N puits O 59x19 - - 2 O 2 IND O ？
12 3 Toamasina I EPP Lovasoa 5 O O - puits O 20x8Bâtiment en bois +
fondation7×5 4 O 3 COMMUNE O N Site exigu, impossible de placer bâtiment de 2 sdc
16 4 Toamasina IEPP EsperanceMangarano II
0 O O N puits O 27x11Bâtiment en bois +
fondation4×2 4 O 12 COMMUNE O N Site exigu, impossible de placer bâtiment de 2 sdc
20 5 Toamasina I EPP Todivelona Raphael 0 O O N puits O 38×65Poteau
téléphonique- 4 N 31 ETAT O -
19x29 - -Bâtiment en bois +
fondation7.2×6.4
Bâtiment en bois +fondation
4.3×4.,21
Arbre H=8m
28 7 Toamasina I EPP Valpinson 5 O O O puits O 14x29 Arbre H=8,2 arbres 2 O 8 SOCIETE O N
68x13
23×34
34×11
29×19
40 10 Toamasina I EPP Androranga 1 O N - puits O 35x85 - - 6 N 3 ETAT O -
44 11 Toamasina I EPP Ambohijafy 2 O O O puits O 52x17 Terrain de basketball 31×17 2 O 6 COMMUNE O ？
42x26
27×1610 9027 166
5
5
5
5
Toamasina I 11x18
4EPP Dépôt Analakininina 1 O N - puits O N SOCIETE
TOAM
ASIN
A II
N
Arbre
Arbre H=8
H=10
7
7
N
O24 6
puits OToamasina I EPP La Poudrette 1 O
-
O
puits
puits
O
O
O
O
N
O
Toamasina I
Toamasina I
EPP Manangareza
EPP La Foire
0
0
-48 - - 4 O ETATN
8
9
-
TOAM
ASIN
A I
12
32
36
N
NO
？
COMMUNE
N
N
O
2) Plan de localisation des écoles cibles
