et si l’on y rÉflÉchissait deux fois plutÔt...

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ET SI L’ON Y RÉFLÉCHISSAIT DEUX FOIS PLUTÔT QU’UNE? Marie Pierre Dencuff, Ph.D. Chargée d’enseignement Orthopédagogue Québec -Clarifier la portée de nos gestes pédagogiques auprès des élèves en difficulté - Comprendre le processus d’apprentissage : deux niveaux de réflexivité à articuler en réseau - Utiliser l’imagination comme un outil pour soutenir les élèves en difficulté et les engager dans un « rapport à l’apprendre » positif et autonome 41e CONGRÈS Comprendre et accompagner l’apprenant 6-8 avril 2016, Montréal, QC. © Marie Pierre DENCUFF, 2016 1

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ET SI L’ON Y RÉFLÉCHISSAIT DEUX FOIS

PLUTÔT QU’UNE?

Marie Pierre Dencuff, Ph.D. Chargée d’enseignement

Orthopédagogue Québec

-Clarifier la portée de nos gestes pédagogiques auprès des

élèves en difficulté

- Comprendre le processus d’apprentissage : deux niveaux de

réflexivité à articuler en réseau

- Utiliser l’imagination comme un outil pour soutenir les élèves

en difficulté et les engager dans un « rapport à l’apprendre »

positif et autonome

41e CONGRÈS Comprendre et accompagner l’apprenant 6-8 avril 2016, Montréal, QC. © Marie Pierre DENCUFF, 2016 1

L’histoire d’Élise et de son balai !

Quels liens unissent « processus d’apprentissage » et

« action génératrice de connaissances » ?

Obstacle : comment apprend-on?

Première porte : penser à l’envers

Deuxième porte : observer le dispositif

La sortie : l’imagination http://www.huffingtonpost.fr/chef-shadok/la-devise-shadok-de-la-semaine_b_2562801.html

2

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 3

I. Repères

II. La vie scolaire?

III. L’activité d’apprentissage?

IV. Un dispositif , deux niveaux

V. Concevoir des ressources ?

VI. Le rôle de l’imagination

A

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 B

C

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 4

1- La situation d’apprentissage s’enracine dans la société. Cette dimension sociale participe activement à l’apprentissage.

(Cf. Giddens, 1987; Archer, 1980, 1998; Bourdieu, 1980;

Charlot, Bautier, Rochex, 1992 ; Lahire,1994 ; Dencuff, 2010 ; Rochex, 2012).

2 -Le dispositif E/A correspond à un dispositif organisé par des règles ou des

régulations qui sont orientées pour apprendre.

(Cf. Brousseau; 1998 ; Mottier-Lopez, 2012; Sensevy, 2012 ; Dencuff, 2015).

3- L’apprentissage est un processus dans lequel l’enfant se transforme et dans lequel le savoir apporte du sens. ( Bruner,1983; Reboul, 2007; Bonnery, 2009; Barth, 2013)

4- La notion de «rapport au savoir» devient centrale pour l’enseignant et l’élève.

(Cf. Bautier, 2009 ; Crinion & Rochex , 2011; Dencuff 2013 ; Bucheton, 2014).

I. Repères théoriques et postulats

L’activité scolaire est organisée : modèles de comportements (normes

formelles). http://www.jeaneudes.qc.ca/video

Trois domaines : social- politique-culturel Les élèves en difficulté?

[ Aller à l’école est obligatoire dès 7 ans au Canada.] Loi sur l’obligation scolaire [on ne se bat pas dans la cour de récréation]

Règlement scolaire [Le racket est interdit] Loi sociale et scolaire [Madame Élise fait croiser les bras à ses élèves] Convention scolaire d’apprentissage de Madame Élise

(culture de classe) [Sophie lève son sourcil quand elle est fâchée.]

Schémas d’interaction

[Pour apprendre à lire, on connait l’alphabet] [Pour faire aimer la lecture , je raconte des histoires.]

Schémas de pratique © Marie Pierre Dencuff - 2016 5

II. Qu’est-ce que l’activité scolaire

Observer ces relations spécifiques comme un système organisé par des modèles d’activités

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 6

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

Ressources d’autorité majoritaires Les ressources d’allocation réparties entre les ressources matérielles (1 %) et les ressources de personnel (8,2 %)

Résultats

Ressources et règles manifestent les formes d’activités éducatives contemporaines sédimentées par le temps et en lien

avec la société (Bourdieu, 1980; Giddens, 1987; Archer, 1980, 1998) 2011).

Figure 1 : Répartition des types de règles par ressources N= 380

Sch.d'interaction

Sch.de pratique

Convenance

Règlement

Loi

Principe

Comportements socialement organisés

ou institués (lois)

Comportements socialement définis pour

le contexte scolaire (règlements et

convenances) qui cadrent ou limitent les

types de comportements admis.

Comportements mémorisés par les

professionnels impliquant des actions

spécifiques au contexte d’apprentissage

(schémas de pratique ou de régulation);

0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%

R.Allocation R.Autorité

© Marie Pierre Dencuff - 2016 - 7

4

18

60

10

12

8

22

86

136

23 1

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 8

III. Qu’est-ce que l’activité d’apprentissage?

Ex.1 : Dans la Marne, une classe de CM2 " sensibilisée " à la danse, sans tutu ni pointe.

[…] En classe, nous travaillons sur des contes puis nous allons essayer de les reproduire en dansant, de retranscrire par le mouvement des univers culturels avec l'aide d'un chorégraphe " explique l'institutrice. Au lendemain de chaque séance, les enfants doivent rédiger un compte- rendu de l'atelier, raconter ce qu'ils ont fait et leurs impressions personnelles. En fin d'année, ce journal de bord deviendra un livre. […]

Le Monde, 15/12/2000, p. 12.

Comportements organisés selon différentes modalités

Connaissances nouvelles (expression écrite)

Intégrées dans une activité culturelle (danse)

La dimension sociale de l’apprentissage permet de tisser une expérience

d’élève.

Rôle – formalisation de l’activité – intégration sociale et culturelle – sens

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 9

III. Qu’est-ce que l’activité d’apprentissage?

Règles de pratiques professionnelles, fondées sur un savoir pédagogique ou didactique,

définies lors de la formation en tant que pratiques de référence (Lessard, 2012).

Ces modèles d’activité spécifiques participent à « une fonction de socialisation cognitive ».

(Bautier, 2009).

Adaptation – Acculturation – Contrat didactique – Dispositif – Compétences

Ex.2 : Changer le monde, un enfant à la fois

[…] Au début de la 1re année, certains sont déjà très éveillés et connaissent leur alphabet, alors que d'autres savent à peine tenir un crayon ", note Catherine. […].

Le Devoir, 1/02/ 2014, p. H1.

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 10

Savoir interpréter le contexte

d’apprentissage (apprenant) et

calculer la tension (enseignant):

« Combien il reste de pommes à

Marie ? »

ou plutôt ……

« Comment Paul a-t-il pu voler des

pommes à Marie!»

L’élève est une personne!

https://www.youtube.com/watch?v=REy3wCFjqZo

Collaborer- négocier – interpréter – ajuster- vérifier

III. Qu’est-ce que l’activité d’apprentissage?

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 11

III. Qu’est-ce que l’activité d’apprentissage?

En plus, l’élève est une personne!

Si le dispositif articule monde commun et monde scientifique dans un cadre institutionnel , il se place aussi à l’intérieur d’un processus de développement affectif, cognitif et social particulièrement sensible pour l’élève en difficulté.

Je pense que les faire travailler aussi sur la notion de monstruosité,

évidemment c’était pas innocent. Parce que eux se voient comme monstre, et…

sont vus comme des monstres […] C’est XXX qui m’a dit ça quand on faisait le

travail sur le monstre : “Oh, de toute façon moi, un jour, j’ai un prof qui m’a dit

que

de toute façon, moi j’étais pas surdoué pour le travail, mais alors qu’est-ce

que j’étais surdoué pour la connerie !” Et ça, et je sentais que vraiment c’était

des choses sur lesquelles il fallait mettre des pansements, parce qu’il y avait

une grande souffrance derrière tout ça. (Enseignante de français AR) Bonnery & Renard,2009, p. 145.

Élaboration déductive

instituent le cadre, prescrivent des rôles et des comportements.

Produisent traces cognitives chez les acteurs.

Social- Objective

Élaboration déductive et inductive

règles instituées par la société et

créées dans

le cadre des

interactions

VIE SCOLAIRE

Modèle REGULATEUR

Élaboration inductive

Structures cognitives créées et élaborées dans le cadre des interactions

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

Social- secondaire

Social

Primaire

12

Partie I Conclusion

© Marie Pierre Dencuff - 2016 13

Partie I Conclusion

DP est un dispositif d’actions dans lequel l’apprentissage dépend d’un ensemble de comportements socialement institués ou admis et qui s’organisent dans ce dispositif pour être reproduits.

Ces comportements se retrouvent « en creux » durant les apprentissages (Brousseau) et manifestent des modèles (dispositions à l’action, conscience pratique et langage) engageant un bas niveau de réflexivité (reproduction).

Où l’on retrouve Élise sans son balai!

http://mediatheque.animare.org/video/105459330

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DISPOSITIF est un réseau

Créé un ordre « virtuel » de modèles d’actions reproduits……..

Partie II Introduction

conscience discursive ©Marie Pierre DENCUFF, 2016

Conscience pratique

Réserve : accorde une place importante à la reproduction.

Le concept de reproduction est interprété comme un « bas niveau de réflexivité ».

Pour apprendre, nous avons besoin d’un « haut niveau de réflexivité » qui se manifeste par des changements dans les conduites.

Partie II Introduction

« Parce qu’il « joue à s’expliquer » l’élève situe ce qu’il sait .»

Haut niveau

SI

En retour ces pratiques définissent la profession [qui spécifie l’institution (raison d’être enseignant et

élève).] http://neo.ens-lyon.fr/neopass/index.php?themes=4

Réflexivité Bas niveau

Adapté au dispositif organisé (règles et ressources appropriées) créent des réseaux (ensemble de discours)

Le contexte (savoirs programmés) © Marie Pierre Dencuff - 2016 15

« Pour répondre aux attentes de l’enseignant, l’élève cherche et organise ce qu’il sait. »

Attentes prennent SENS

Réflexivité

1. Socialisation et Rapport au savoir

Partie II Introduction

Rapport au savoir? Un point de vue déterminé

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

16

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 17

L’imagination, un outil spécifique pour alimenter le réseau et intérioriser les savoirs

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 18

RÉINVESTIR ses connaissances et en produire des savoirs :

«Les enfants traitent le discours narratif de la même manière que les adultes, c'est à dire en utilisant le modèle situationnel.» (Harris, 2007)

«La culture est en permanence l’objet d’un processus de

recréation : elle est sans cesse interprétée et renégociée par ceux qui y

participent.» (Bruner, 2000)

L’acte de travail ne peut prendre sens pour le sujet que s’il lui

est possible de s’interroger sur les effets qu’il aura sur le cours

de sa vie.(Malrieux, 2013)

IV. Concevoir des ressources

© Marie Pierre Dencuff - 2016 19

Interprétation

Une enseignante convaincue de l'importance du travail de mémoire Sabine Contrepois a rassemblé les " richesses extraordinaires " de ses élèves dans un livre»

[..]C'est là, dans ses classes de BEP et de bac pro …, où elle enseignait alors .[…]

Un drame, survenu lors d'un cours sur les guerres d'Indochine, fut le point de départ de ce travail de mémoire, engagé sur deux années scolaires.

" Alors que j'abordais le génocide cambodgien, une fille dans la classe a fondu en larmes. » Sabine Contrepois apprendra vite

que Meak a vécu l'horreur des camps khmers et que son père, officier de l'armée

cambodgienne, a été fusillé. " Je me suis alors dit qu'à aucun moment on ne sollicitait la mémoire de ces jeunes et je leur ai

soumis une question : en quoi votre histoire familiale a-t-elle rencontré l'Histoire ? » Le Monde 2000, 15 avril, p.12)

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 20

L’imagination implique une intériorisation et donc une interprétation.

Émergence d’un langage complexe et autoréférentiel à l’école.

L’enfant en difficulté peut « jouer » à être élève et à repérer les objets de savoir.

Le modèle situationnel permet d’actualiser la connaissance évoquée, car la

situation narrative ou discursive est à imaginer dans un cadre précis.

Les objets qui organisent mentalement le modèle sont actifs (MDT) et doivent

manifester une certaine cohérence.

Enfin, à mesure que le modèle situationnel se construit, les relations deviennent

explicites ( analogies, liens logiques, syntaxe, temps, etc.)

V. Le rôle de l’imagination

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 21

FF, 2016

ÉLÈVE

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

APPRENANT

Enfant

©Marie Pierre DENCU

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 22

Exemples: Échanger Raconter Commenter Analyser Synthétiser Créer

L’imagination permet aux élèves en difficulté de travailler des situations hypothétiques et des situations

dont ils n’ont pas été témoin.

1- Le sens des attentes

• Centrer sur des aspects concrets

• Rituels et reproduction

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

2- Les attentes prennent sens

Qu’est devenue Élise?

réfléchie • Dans ce cadre, l’enfant en

• Établir un lien culturel • Travailler « avec » et mettre

difficulté prélève des indices sur « ce qui fait l’objet de l’activité »

en mots • Imaginer l’objet dans un

autre cadre • Jouer «sérieusement»

3- J’organise mes attentes et je construis du sens

Société Intégration scolaire Intégration sociale Société

ENFANT ÉLÈVE SUJET PERSONNE

V. Le rôle de l’imagination

23

conscience discursive

Interprétation

DISPOSITIF est un réseau

SENS des attentes

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

1- AVANT: Caractériser les opérations de l’apprentissage

comparer/ modifier/ Classer/ Définir, etc.

2- Exposer le comportement Socialement

attendu :

échanger/ réfléchir en silence/ trouver des

solutions/ répondre à des questions, choisir des

1- Activité culturellement intégrée: écrire un

livre ; faire des enquêtes ; faire une revue de

presse ; trouver des problèmes; étiquettes, etc….. 3- Situer le cœur de l’activité:

©Marie Pierre DENCUFF, 2016

Conscience pratique Faire parler des personnages/ tenir un crayon pour

écrire/ Reconnaitre des signes et les associer à

des sons/ Chercher des mots (idées)/ Regrouper

des quantités 4- Rituels réfléchis : faire des pauses (retour à 3-

2), reprendre le même type d’exercice

(autonomie)

1- Disposer le savoir dans ses attentes pour se trouver ressourcé :

2- Jouer avec sérieux : une wassingue

c’est? https://fr.wikipedia.org/wiki/Serpilli%C3%A8re

© Marie Pierre Dencuff - 2016 24

Interprétation

Le sens des attentes I Ces règles sont en majorité déduites par des dispositifs qui orientent des

comportements à reproduire.

https://vimeo.com/7663258

Support culturel commun appliqué dans un contexte réel

Le tapis représente une « histoire à plat »

Le cœur d’une histoire: la relation entre des personnages à imaginer!

L’enseignante régule (narrateur vs personnage) : difficulté d’interprétation.

L’enseignante demande aux élèves de suivre l’histoire: elle reste le narrateur / l’enfant joue le rôle du personnage: il est libre d’interpréter dans un cadre formalisé

Ressources : plusieurs conventions (élèves

écoutent ; même livre); ressource d’autorité (

alternance des tours de parole); ressources

didactiques ( étapes à suivre; correction

collective ); ressource du règlement

institutionnel ( le langage devient une source

d’apprentissage programmée, etc.)

© Marie Pierre Dencuff - 2016 25

Interprétation

Les attentes prennent sens II Un exemple : http://zoom.animare.org/zoom/medias/23

L’élève à mémorisé « la forme »: 1ere étape , 2e , 3e, etc.

Ressources:

Low reflexivity: routine de travail, modèle à suivre qui est intégré

Mais http://zoom.animare.org/zoom/medias/23 00’10 ; 2’35(2 ’’49); 2 ’’54 ( 5’’18 (5’’24) ;

Hight reflexivity: modèle qui laisse place à la réflexion de l’élève.

L’élève parle du sens de son apprentissage, il lève les sourcils et

montre qu’il a compris l’importance de l’apprentissage des tables.

Les enseignantes guident les élèves pour finaliser leur projet à travers

des étapes qui leur permettent de se confronter , de trouver leurs

propres ressources.

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 26

Remarques 1

Du point de vue cognitif , le passage majeur pour l’espèce humaine serait la lecture du comportement ( A.Reboul)

Travailler la simulation permet d’interpréter la réalité dans son propre monde (Harris)

Modeler est insuffisant pour permettre d’interpréter (intérioriser et objectiver)

Imaginer est insuffisant pour se situer (reproduire et s’orienter avec les autres)

© Marie Pierre Dencuff - 2016 27

DISPOSITIF est

un réseau Réflexivité Haut niveau

SI Attentes prennent SENS

Remarques 2

Lorsque la situation d’apprentissage prévoit de laisser « jouer »

l’élève (imagination), le DP réfléchit le savoir par le discours

intérieur qui établit alors une cohérence entre dimensions

institutionnelle et culturelle.

© Marie Pierre Dencuff - 2016 28

Conclusion

Le dispositif pédagogique émerge du réseau

de relations établies par différents discours; il

constitue donc une propriété collective du

système (institution et culture savante) dans

lequel l’enseignant et l’élève intériorisent

Reproduction et/ou réflexivité?

Lorsque la situation d’apprentissage permet aux

élèves du temps pour le jeu et l’imagination, la

dimension culturelle du savoir se placerait en

cohérence avec le modèle institutionnel prévu pour

formaliser le savoir?

©Marie Pierre DENCUFF, 2016 29

MERCI pour votre attention!

©Photographie de Robert Doisneau

Marie Pierre Dencuff, Ph.D.

[email protected]

CRIFPE

Centre de Recherche

sur l’Intervention

et la Formation Professionnelle

des Enseignants

Bibliographie

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