et de · rédiger la phrase 1. la phrase est une unité de sens qui doit respecter le schéma :...
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et de
Je suis le fidèle compagnon de :
Avertissement
Ce livret contient des documents communs à tous les élèves du
Collège. Il est élaboré par l’ensemble des professeurs dans un souci de
cohérence de méthodes et d’exigences entre les différentes disciplines.
Il constitue une référence pour tous. On peut s’y reporter, quel que soit le professeur dans ces matières.
Il appartient à l’élève et l’accompagne durant toute sa scolarité au Collège. Il doit l’avoir toujours avec lui. Il ne sera pas redistribué au début de chaque année scolaire. Il faut donc en prendre soin.
Enfin, on utilisera progressivement le contenu de ce livret, de la 6ème à la 3ème. Il est donc inutile de vouloir tout comprendre dès maintenant. Chaque professeur indiquera, le moment venu, le document qui sera utile.
Méthodes Rédiger 1 Rédiger une réponse avec un calcul 3 Rédiger un compte rendu d’expériences 4 Etudier un graphique 5 Rechercher des documents 7 Réaliser une bibliographie 8 Rédiger un dossier 9 Réaliser une affiche 11 Faire un exposé oral 12 Convertir les unités avec un tableau 13 Convertir les unités avec les coefficients des préfixes 14 Utiliser la proportionnalité 15 Utiliser les pourcentages 16 Utiliser une échelle 17 Utiliser la calculatrice 18 Choisir une représentation 19 Placer une cote 20 Construire une courbe 21 Utiliser un multimètre 22 Utiliser un microscope 23 Réaliser un dessin d’observation 24 Compléter une carte 25
Documents ressources Repères géographiques 26 Repères historiques 27 Classes grammaticales 29 Fonctions grammaticales 30 Propositions - phrases simples ou complexes 31 Principaux connecteurs logiques 32 Figures de style 33 Figures géométriques dans le plan 35 Solides dans l’espace 36 Unités du SI (système international) 37 Unités admises en dehors du SI 38 Techniques de façonnage 39 Techniques d’assemblage 40 Symboles des composants électroniques 41 Code des couleurs des résistances électriques 43 Symboles du matériel de laboratoire 44 Liste alphabétique des atomes 45 Classification périodique des atomes 46 Identifier les espèces moléculaires 47 Identifier les espèces ioniques 48 Nomenclature des espèces ioniques 49 Alphabet grec 50
Page 1 Collège du Verney / Méthodes
Rédiger
La phrase
1. La phrase est une unité de sens qui doit respecter le schéma :
sujet verbe conjugué complément On utilise Médor avec plaisir
2. Une réponse est une phrase complète qui reprend le libellé de la question. Elle ne commence pas par « oui », « non », « parce que », « car »…
3. Une phrase rédigée n’est pas une liste introduite par des tirets. Ce chien est méchant parce que :
- il veut mordre le facteur, - il montre les dents quand on l’approche, - il a tué le chat du voisin.
Cette présentation est
INCORRECTE
4. Pour rendre le texte compréhensible, faire des phrases ni trop longues, ni trop compliquées, sans oublier la ponctuation.
5. Attention au niveau de langue. Utiliser le langage courant ou soutenu mais pas le langage familier.
6. Eviter de trop répéter l’emploi des verbes avoir (sauf temps composés), être, dire et l’expression « il y a ».
Remplacez :
avoir être dire il y a
par
posséder, révéler, arborer, détenir… paraître, rester, demeurer, sembler… écrire, affirmer, déclarer, prétendre, ajouter… on remarque, on note, on aperçoit, on distingue…
7. Attention aux homophones : et/est, a/à, on/ont, son/sont, on/ on n’, se/ce, sa/ça…
8. Utiliser le dictionnaire pour l’orthographe lexicale et le Bescherelle, par exemple, pour les règles de grammaire.
9. Vérifier les accords dans le GN (n’oubliez aucun –e, ni –s, et n’en mettez que si c’est nécessaire). Etre attentif aux accords sujet / verbe.
10. Relire la totalité du texte pour en vérifier le sens, l’orthographe et la grammaire. Le temps de relecture est INDISPENSABLE.
Le texte
1. Faire des paragraphes avec des alinéas, même dans les questions, mais ne mettre
ni tirets ni astérisques.
2. Sauter une ligne entre chaque partie (introduction, chaque partie du développement, conclusion).
Collège du Verney / Méthodes Page 2
Codes d’écriture
1. Souligner le titre des œuvres (écrites ou picturales) et le titre des journaux :
Le Rouge et le Noir ; Phosphore (Dans un texte dactylographié, ces titres sont en
italiques : Le Rouge et le Noir, Phosphore)
2. Placer entre guillemets le titre d’un chapitre, d’un poème, d’un article.
« L’albatros », dans Les Fleurs du mal de Baudelaire.
3. Les citations se placent entre guillemets «…» et non entre parenthèses (...) et sont toujours introduites par une phrase.
L’auteur exprime les émotions du personnage dans la phrase nominale : « O rage ! O désespoir ! ».
4. Ne pas utiliser d’abréviations (sauf l. pour ligne et v. pour vers).
5. Ecrire les chiffres en lettres sauf les dates et le numéro des lignes en référence du texte. l.12 ; le 14 juillet 1789 ; les quatre adjectifs
6. Ne pas placer de ponctuation en tout début de ligne (sauf pour placer un tiret de dialogue, pour ouvrir guillemets ou parenthèses).
7. Pour couper un mot en fin de ligne, placer la coupe entre deux syllabes, ou, en cas de consonne double (ou géminée), entre les deux consonnes :
Mai-son – déses-poir – at-tention – appel-lent
Justifier une réponse
En science on préfère faire des déductions, justifier d'abord et répondre ensuite.
On utilise la conjonction de coordination DONC :
« L'interrupteur est fermé donc la lampe brille »
Dans les matières littéraires on préfère répondre d’abord et justifier ensuite.
On peut utiliser les conjonctions de coordination CAR, PARCE QUE...
« La lampe brille car l'interrupteur est fermé »
Exprimer la variation d'une grandeur
Vocabulaire correct Vocabulaire incorrect
Diminuer Augmenter Etre constant
Etre plus petit Etre plus grand Etre égal
Etre plus fort, plus important Etre plus faible, Etre stable
Monter Descendre
Page 3 Collège du Verney / Méthodes
Rédiger une réponse avec un calcul
Rédaction pour un calcul Exemple
Le corps humain est constitué à 65% d’eau. Calculer la masse d’eau contenue dans l’organisme d’un enfant de 30 kg.
1. Annoncer la grandeur calculée.
2. Donner le symbole littéral de la grandeur et son calcul. Les unités ne doivent pas apparaître dans le calcul.
3. Donner le résultat avec l’unité. Cela peut
être sous la forme d’une phrase.
Masse d’eau :
m = 30 x 65
100
m = 19,5 kg ou : La masse est de 19,5 kg
Rédaction pour un calcul utilisant une formule ou une loi
Exemple La tension UR aux bornes d’un résistor de résistance R=2,2 k est 64,1 mV. Calculer l’intensité IR du courant qui traverse le résistor.
1. Annoncer la grandeur calculée en précisant la formule ou le nom de la loi utilisée.
2. Poser la relation sous forme littérale en
respectant les notations de l’énoncé.
3. Résoudre l’équation de manière littérale.
4. Remplacer les variables par leur valeur numérique en respectant la cohérence des unités. Les unités ne doivent pas apparaître dans le calcul.
5. Donner le résultat en précisant s’il est
exact ou approché.
6. Préciser l’unité du résultat.
7. Convertir le résultat dans une unité adaptée.
Calcul de l’intensité IR du courant avec la loi d’Ohm :
UR = R IR
IR = UR
R
IR = 0,064 12 200
IR 0,000 029 1 A
L’intensité IR est environ 0,000 029 1 A soit environ 29,1 A
Collège du Verney / Méthodes Page 4
Rédiger un compte-rendu d’expériences
Le compte-rendu d’expériences présente comment résoudre un
problème à l’aide d’expériences.
Pour que tout lecteur comprenne le compte-rendu, chaque expérience différente
est présentée de la façon suivante :
Titre : il indique le sujet en peu de mots.
Introduction : elle formule une question, ce qu’on veut savoir.
Mode opératoire : il décrit la manière dont on réalise l’expérience. On l’illustre
généralement par des schémas.
Résultats : ce sont les observations et/ou les valeurs mesurées. On les illustre si
nécessaire par des schémas, des dessins, des graphiques.
Analyse des résultats : elle compare les résultats et/ou décrit les variations des
grandeurs et/ou détaille les calculs.
Interprétation des résultats : elle explique les résultats.
Conclusion : elle répond à la question posée dans l’introduction.
Si le compte-rendu comporte plusieurs expériences différentes, on ajoute :
• un titre général • une introduction générale • une conclusion générale.
Consignes générales
- on rédige au présent.
- on fait apparaître les différentes parties par des titres
soulignés et des sauts de ligne.
- on vérifie l’orthographe et la construction des phrases.
- on utilise le vocabulaire scientifique adapté.
- on fait des schémas assez grands pour que tout soit
visible, au crayon, à la règle, avec les légendes utiles
uniquement et les symboles normalisés.
Exemple de grille d’évaluation
Titre et sous titres adaptés /
Introduction /
Mode opératoire /
Résultats /
Schémas /
Analyse /
Interprétation /
Conclusion /
Orthographe et présentation /
Investissement en classe /
NOTE /
Page 5 Collège du Verney / Méthodes
Etudier un graphique
Identifier le type de graphique
Graphique de répartition Graphique de variation
Diagramme à barres ou à bâtons Histogramme Diagramme circulaire Courbe
Graphique
de répartition
Nombre de touristes à Benidorm en 2000 : 10,1 millions
Royaume Uni 36%
Pays-Bas 7,5%
France 5%
Belgique 4,5% Italie 1,5%
Espagne 41%
Reste du monde 4,5%
Analyser : Annoncer l’analyse en écrivant le titre du graphique.
Origine des touristes à Benidorm en 2000.
Identifier les données représentées.
Le graphique représente la répartition des 10,1 millions de touristes venus à Benidorm en 2000 en fonction de leur pays d’origine. Cette répartition est exprimée en pourcentage.
Relever les extrêmes. 41% des touristes sont espagnols, 1,5% viennent d’Italie.
Comparer les données.
Beaucoup de touristes sont espagnols (41%) ou britanniques (36%) soit environ les trois quarts des touristes, très peu viennent des autres pays européens (7,5% de Hollandais, 5% de Français, 4, 5% de Belges, 1,5% d’Italiens), le reste, soit 4,5% vient des autres pays du monde.
Rédiger une phrase qui résume le phénomène exprimé par le graphique.
Une très grande majorité des touristes venant à Benidorm sont soit des Espagnols soit des Britanniques.
0
2 0
4 0
6 0
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10 20 30
Collège du Verney / Méthodes Page 6
Graphique
de variation
Variation de la température extérieure en fonction
du temps, mesurée le 12/06/07 à Sallanches.
Identifier la question posée. Pourquoi la température varie-t-elle au cours d’une journée ?
Analyser : présenter le sujet en écrivant le titre du graphique.
La courbe représente la variation de la température extérieure en fonction du temps, mesurée le 12/06/07 à Sallanches.
Faire apparaître les différentes parties de la courbe sur le graphique.
Relever les points remarquables (point le plus haut, point le plus bas…).
A 0h, la température est de 14°C ; La température maximale est de 36°C à 12h ;…
Décrire la variation de la grandeur indiquée en ordonnée en fonction de celle de l’abscisse (augmente, diminue, est constante ; beaucoup, peu, proportionnellement à…)
Attention au vocabulaire : la courbe n’est pas une grandeur donc dire « la courbe augmente » est incorrect.
La température augmente pendant la matinée (phase 1), diminue entre 12h et 14h (phase 2), est quasi constante dans l’après midi (phase 3) puis diminue en soirée (phase 4)
Interpréter les variations, c'est-à-dire, expliquer pourquoi il y a ces variations.
Phase 1 : la température augmente pendant la matinée car le soleil chauffe progressivement le sol. Phase 2 : la température diminue entre 12 h et 14 h car des nuages arrivent. Phase 3 : … … Phase 4 : … …
S’il y a plusieurs courbes sur le même graphique, les analyser et les interpréter séparément, puis les comparer.
Conclure : rédiger une phrase de
conclusion qui répond à la question posée au début.
La température varie en fonction de la position du soleil et des nuages éventuels.
T (°C)
t (h)
10
20
30
40
1 2 3 4
0 8 10 12 14 16 20 18
T (°C)
t (h)
10
20
30
40
0 8 10 12 14 16 20 18
Page 7 Collège du Verney / Méthodes
Rechercher des documents
1. Transformer le sujet en mots clés Les mots clés (noms ou groupes nominaux) donnent l’accès :
- aux bases de données du CDI (logiciel documentaire BCDI) et des bibliothèques - aux livres documentaires des étagères selon la classification décimale Dewey
- aux articles des encyclopédies - aux sites Internet.
2. Rechercher des informations
Varier les lieux et les sources CDI, bibliothèques.
Contacter (téléphone, courrier, mail, visite) des spécialistes : - Organismes officiels (ex : mairie, archives…). - Associations (ex : Greenpeace pour dossiers SVT …).
- Entreprises, magasins… Varier les supports
Les supports « papier » : manuels scolaires, livres documentaires, périodiques (revues, journaux), brochures … Autres supports : cédéroms, DVD, radio, télévision, Internet …
3. Sélectionner des documents en fonction de : - leur intérêt par rapport au sujet - leurs diversité et complémentarité (texte, schéma, dessin, graphique, photos, vidéo)
- leur niveau de lecture (je dois comprendre ce que je lis) - leur fiabilité (important pour Internet où tout le monde peut écrire sur tout !).
4. Conserver les informations utiles Noter les références des documents pour les retrouver facilement et réaliser une bibliographie (voir page 8).
Recopier, photocopier, enregistrer.
Collège du Verney / Méthodes Page 8
Réaliser une bibliographie
Document Références bibliographiques
Eléments qui permettent d’identifier le document
Livre
Nom, prénom de l’auteur, Titre. Editeur, année d’édition. (Collection).
Cote (pour le retrouver au CDI).
Article
de
périodique
Nom, prénom de l’auteur. Titre de l'article. Pages Titre du périodique, date de parution, numéro.
CD Rom
Cassette
Nom, prénom de l’auteur. Titre. Editeur, date de parution.
Site
Internet
Adresse du site. Catégorie du site. (organisme officiel, entreprise, particulier…)
Cette indication permet de juger de la qualité de l'information, de son objectivité…
S'il y a plus de 2 auteurs, on n'écrit pas le nom des auteurs.
Pour retrouver plus facilement les informations :
Pour les dictionnaires, encyclopédies, CD Rom, sites Internet, il peut être intéressant d'écrire les mots clés.
Pour les livres documentaires, il peut être intéressant de noter les titres et pages des chapitres utilisés.
Page 9 Collège du Verney / Méthodes
Rédiger un dossier Niveau 1
Un dossier présente un sujet de façon approfondie. Pour que tout lecteur
comprenne le dossier, il est organisé de la façon suivante :
Couverture : nom, date, titre, illustration.
Introduction :
Elle présente le sujet sous la forme d’une question.
Elle annonce les différentes parties du développement.
Développement :
Elle présente le sujet en détail, c’est la partie la plus longue.
Il y a plusieurs parties : chaque partie aborde une idée différente.
Une partie est divisée en plusieurs paragraphes.
On illustre les idées avec des documents : extraits de textes, photos, images, dessins, schémas,
graphiques. Chaque document est commenté.
Conclusion : Elle répond à la question posée dans l’introduction.
Bibliographie (voir page 19)
Méthode :
• Rechercher des documents (voir page 18). • Etablir un plan logique.
Rédaction :
• Ne pas faire de recopiage intégral.
• Les phrases sont courtes.
• Les mots difficiles sont expliqués.
• On utilise un vocabulaire adapté (scientifique, spécialisé) et des mots clés.
• Vérifier l’orthographe et la construction des phrases.
Mise en page pour une lecture agréable :
• Mettre en valeur les titres, les sous-titres : souligner, encadrer, utiliser les
couleurs, la taille de l’écriture, les lettres majuscules, minuscules, les alinéas…
• Bien séparer les parties, les paragraphes.
Collège du Verney / Méthodes Page 10
Rédiger un dossier Niveau 2
Un dossier est un support écrit traitant d'un sujet de façon approfondie. Il
doit permettre au lecteur d'étudier et de comprendre le sujet. Il doit être organisé de la façon suivante :
Couverture : nom, classe, titre (quelques mots seulement)
Sommaire : Il présente les différentes parties du rapport :
Introduction :
Elle présente le sujet sous la forme d’une question.
Elle annonce le plan et les termes du sujet.
Sommaire
Introduction
I/ Titre. page n°__
II/ Titre. page n°__
Conclusion
Annexes
Développement (Partie la plus importante où l’on développe le sujet)
Chaque partie du plan doit s’inscrire dans un enchaînement logique par rapport au sujet. On illustre les idées avec des documents : des exemples, des extraits de textes,
photos, images, dessins, schémas, graphiques…Chaque document est commenté.
Conclusion : Elle résume les idées principales. Elle répond à la question posée dans
l’introduction. On peut aussi élargir le sujet, soit en posant des questions nouvelles sur le sujet, soit en donnant ses impressions personnelles.
Annexes : Lexique, documents.
Bibliographie (voir p19).
Méthode :
• Définir le sujet sous la forme d’une question. • Faire une recherche (voir p18).
Rédaction : • Rédiger les paragraphes de chaque partie. Ne pas faire de recopiage intégral.
Toute expression utilisée doit être comprise et peut être expliquée oralement
par le rédacteur. • Les phrases sont courtes. Elles ne contiennent qu’une seule idée.
• Vérifier l’orthographe, la grammaire et la structure correcte des phrases. • Le vocabulaire propre au sujet est précis (scientifique ou spécialisé, mots clés,
dates).
Mise en page : • Faire une mise en page attrayante et facile à lire pour optimiser la
communication : caractères lisibles, mise en page aérée, paragraphes bien séparés, marges, couleurs, contrastes. On peut utiliser l’outil informatique : choix des caractères, disposition du texte et des images (voir p24).
Une affiche expose un sujet de façon attractive. Elle doit attirer l’œil, être lisible.
• Définir le sujet.
• Faire une recherche documentaire (voir p7).
• Organiser les idées en différentes parties.
Ne rien écrire directement sur l’affiche.
• Réaliser les textes : titre, sous titres, paragraphes
Ecrire lisiblement.
Mettre en valeur les titres et sous-titres.
Choisir la découpe la mieux adaptée au sujet.
Colorier certaines parties, utiliser des papiers de couleur.
Encadrer, souligner si nécessaire ce que l’on veut mettre en valeur.
• Réaliser les illustrations : photos, dessins personnels, petits objets…
Légender chaque illustration.
• Composer l’affiche
Réunir tous les éléments.
Disposer tous les éléments sur l’affiche sans les coller
de telle sorte que la disposition respecte le plan.
Utiliser tout l’espace de l’affiche.
Coller les éléments avec soin.
Exemple de grille d’évaluation
Ecriture /
Titre / sous titres / Texte
Mise en valeur des idées /
Notions et idées traitées / Contenu
Vocabulaire /
Nombre /
Qualité /
Pertinence / Illustration
Légende /
Utilisation del’espace / Disposition
générale Différentes parties /
Note /
Page 11 Collège du Verney / Méthodes
Réaliser une affiche
Les violonsLes violonsLes violonsLes violons
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Collège du Verney / Méthodes Page 12
Faire un exposé oral
Préparation
• Rédiger un document structuré (voir p9).
• Lister les idées principales à transmettre.
• Choisir les documents à montrer et préparer
leurs commentaires.
• Préparer les transitions.
• S’entraîner, répéter la présentation.
Exemple de grille d’évaluation
Présence /
Discours / Attitude
Documents /
Plan /
Vocabulaire / Contenu
Idées /
Nombre /
Qualité / Documents
Pertinence /
Temps /
NOTE /
Présentation
Critères d’évaluation Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3
Présence Inaudible
Non concerné
Audible
Monotone
Audible
Dynamique
Discours Texte lu Texte récité
Ignore l’auditoire
Discours naturel
Regarde l’auditoire
Attitude
du
présentateur
Documents Non présentés Présentés Commentés
Plan Non présenté Apparaît Cohérent
Vocabulaire
Inadapté
Compliqué
Non expliqué
Simple
Adapté
Précis
Expliqué
Contenu
et
connaissances
Idées Effleurées Partiellement
traitées Bien développées
Nombre Des idées ne sont
pas illustrées Un seul par idée
Variés (sans abus)
qui se complètent
Qualité
Illisibles
Confus
Surchargés
Incomplets
Lisibles
Clairs
Concis
Complets
L’idée illustrée
apparaît
clairement
Docum
ents
Pertinence Incohérents avec
le discours
Cohérents avec le
discours
Apportent des
éléments au
discours
Temps imparti Non respecté Approché Maîtrisé
!" #$%&' #()%* (*()%+ (%$,&+ %!! -." / ///" 0.1 "12 23! .1 45$678$9:;<= >;=????-@AB@A??????@;C>?<?@;C D E FE FGE H.1IE -GE -EE ?? J???? K?????? ? LMN?45$678$9 @F>?<?@ N >@????N ; E>;??????E>;??F =O<P-N >=OP?N >?<=OPGN Q GR R GR -R R C CFCGCCGC-CC / ///C ??? S ?? NKR45$678$9 A-R B?<??AGR B?<A-C P;<TC>?<?P;TR
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Page 15 Collège du Verney / Méthodes
Utiliser la proportionnalité
Les grandeurs a et b sont proportionnelles
Tableau Graphe Relation littérale
: k
Grandeur a
(Unité de a) 0,5 1 1,5
Grandeur b
(Unité de b) 1,5 3 4,5
×××× k
35,1
5,4
1
3
5,0
5,1
a
bk =====
O
b = f(a)
a
b = k × a
Le rapport a
bk = pour chaque colonne du
tableau est constant. « k » est le
coefficient de proportionnalité entre a et b.
Les points ( a ; b )
sont sur une
droite qui passe
par l’origine O.
b est une fonction
linéaire de a :
b = f(a) = k × a
Propriétés du tableau
Grandeur a
(Unité de a) a1 a1 × c
Grandeur b
(Unité de b) b1 b1 × c
× c
Grandeur a
(Unité de a) a1 a2 a1 + a2
Grandeur b
(Unité de b) b1 b2 b1 + b2
+
Si la grandeur a double, triple ou est multipliée par c,
alors la grandeur b double, triple ou est multipliée par c.
Calculer une quatrième valeur proportionnelle
On utilise l’égalité des produits en croix :
Grandeur a
(Unité de a) 21 14 a1
Grandeur b
(Unité de b) 3 b1 5
Calcul de b1 :
b1 × 21 = 14 × 3
21
314b1
×=
b1 = 2
Calcul de a1 :
a1 × 3 = 5 × 21
3
215a1
×=
a1 = 35
Collège du Verney / Méthodes Page 16
Utiliser les pourcentages
Un pourcentage est un nombre déterminé par rapport à 100 parties d’un ensemble.
Les calculs avec des pourcentages utilisent la proportionnalité (page 15).
N % correspond à 100
N
Appliquer un pourcentage : Un collège de 540 élèves a 35 % d’élèves externes. Calculer le nombre d’externes.
Nombre d’externes : 540 × 100
35 = 189 189 élèves sont externes.
Calculer un pourcentage Un club de foot de 180 licenciés compte 36 filles. Calculer le pourcentage de filles.
Pourcentage de filles :
N = 180
10036× = 20
Les filles représentent 20 % des licenciés.
Nombre de filles licenciées 36 N
Nombre de licenciés 180 100
Ajouter (ou soustraire) un pourcentage Le prix d’une niche de 35 € augmente de 8 %. Calculer le nouveau prix de la niche.
1ère méthode :
Montant de l’augmentation : 35 × 100
8 = 2,8 Le montant est de 2,8 €.
Nouveau prix de la niche : 35 + 2,8 = 37,8 Le prix est de 37,8 €.
2ème méthode :
Nouveau prix de la niche :
Prix initial de la niche( en € ) 100 35
Nouveau prix de la niche (en € ) 100 + 8 = 108 p p =
100
35108× = 37,8
Le prix est de 37,8 €.
Calculer le nombre sur lequel s’applique un pourcentage Une veste est soldée à 5 %. Son prix soldé est de 63 €. Calculer son prix initial.
Prix initial de la veste :
Prix initial de la veste (en €) 100 q
Prix soldé de la veste (en €) 100 – 5 = 95 63 q =
95
10063× = 66,32
Le prix initial de la veste est de 66,32 €.
Page 17 Collège du Verney / Méthodes
Utiliser une échelle
L’échelle est un nombre « e » qu’on utilise pour représenter les distances plus grandes ou plus petites qu’elles ne sont en réalité.
Calculer une échelle
L’échelle « e » s’exprime à l’aide
d’un rapport de deux distances qui
ont la même unité :
e = D
d =
réelle distance
tionreprésenta lasur distance
La distance sur la représentation est « e » fois plus grande que la réalité. Si e < 1 alors la représentation est une réduction de la réalité. Si e > 1 alors la représentation est un agrandissement (grossissement) de la réalité.
Proportionnalité L’échelle « e » est un coefficient de proportionnalité entre la distance réelle et la
distance sur la représentation (voir « utiliser la proportionnalité » page 4).
Le tableau n’est valable que si toutes les distances sont exprimés dans la même unité :
Distance réelle D 1
Distance sur la représentation d e
Exemples 1. Calcul de l’échelle « e » correspondant à cette représentation :
1 km = 100 000 cm
Longueur réelle D (cm) 100 000 1
Longueur du segment d (cm) 2 e e =
D
d =
000 100
2 =
000 50
1
1 cm sur la représentation correspond à 50 000 cm soit 500 m dans la réalité.
2. Calcul de la distance réelle L correspondant à 1,4 cm sur une représentation à l’échelle 200
1
On est dans le cas d’une réduction. 1 cm sur la représentation correspond à 200 cm dans la réalité.
Longueur réelle D (cm) 200 L
Longueur sur la représentation d (cm) 1 1,4 L =
1
2001,4× = 280
La distance réelle L est de 280 cm soit 2,8 m.
3. Calcul de la distance M sur la représentation correspondant à 3,4 m dans la réalité à l’échelle 20
1
On est dans le cas d’une réduction. 1 cm sur la représentation correspond à 20 cm dans la réalité.
Longueur réelle D (cm) 20 34O
Longueur sur la représentation d (cm) 1 M M =
20
1340× = 17
La distance sur la représentation est de 17 cm.
4. Calcul de la longueur réelle L du diamètre d’un globule rouge dont la photo est à l’échelle 1000 :
On est dans le cas d’un agrandissement. 1000 cm sur la photo représente 1 cm dans la réalité.
Longueur réelle D (cm) 1 L
Longueur sur la photo d (cm) 1 000 0,7 L =
1000
10,7 × = 0,0007
Le diamètre du globule rouge est de 0,0007 cm soit 0,007 mm soit 7 µm.
××××e :e
1 km
Collège du Verney / Méthodes Page 18
Utiliser la calculatrice
Puissances Exemple
Opération Touche On calcule On tape Résultat
Carré d’un nombre x2 (-7)2 ( ± 7 ) x2 = 49
Cube d’un nombre x3 (-5)3 ( ± 5 ) x3 = -125
Puissance d’un nombre xy
ou ^ ou ↑
47
(-2)-3
4 xy 7 =
( ± 2 ) xy ± 3 =
16 384
-0,125
Puissance de 10
× 10x
ou EE ou Exp
105
2 × 10-3
1 × 10x 5 =
2 × 10x ± 3 =
100 000
0,002
Parenthèses (priorités des opérations)
On calcule On tape Résultat
Erreur ! ( 7 x10x 4 + 6 2 x10x 3 ) ÷ 4 x10x 2 = 330
Erreur! 1 5 6 x10x 1 2 ÷ ( 1 6 x10x 3 x 2 x10x ± 4 ) = 4,875 x 1013
Choisir une représentation
Méthode utilisée pour des dessins de définition ou des dessins
d’ensemble. Elle nécessite de représenter plusieurs vues de l’objet.
Dans cette représentation, aucune face n’est déformée. La lecture
d’un tel dessin, nécessite un apprentissage.
Pour communiquer une idée, on utilise un dessin adapté.
Le dessin en perspective représente l’objet en vo-
lume il permet de se faire une première idée des
différentes pièces qui le composent. Sa lecture
est à la porté de tous car elle nécessite aucun ap-
prentissage particulier. On trouve plusieurs types
de perspectives : Cavalière, axonométrique, etc...
1.Le dessin en perspective
Le dessin en perspective éclatée permet de visualiser l’ensemble
des pièces de l’objet y compris celles situées à l’intérieur de ce-
lui ci. Il permet d’avoir une première idée sur les système de
liaison qui assemblent les pièces.
2.Le dessin en perspective éclatée
3.Le dessin en projection orthogonale
4.Le dessin en coupe Pour réaliser une coupe, on partage mentalement l’objet suivant un
plan appelé « plan de coupe ». On enlève mentalement la partie de la
pièce située entre le plan de coupe et l’observateur.
Les parties de la pièce où la matière est coupée sont représentées
par des traits fins et parallèles. Une coupe permet de montrer la
forme intérieure d’une pièce creuse.
5.La section
La section représente la matière à l’em-
placement du plan de coupe.
Page 19 Collège du Verney / Méthodes
Collège du Verney / Méthodes Page 20
Placer une cote
Ligne de cote
1. Tracer en trait continu fin, les lignes
d’attache (longueur minimale 8mm)
2. Tracer également en trait continu fin la ligne
de cote à une distance minimale de 7 mm du
contour de la pièce.
3. Limiter chaque extrémité de la ligne de cote
par une flèche. L’angle d’ouverture varie entre
30° et 45°.
Ecriture de la cote
4. Inscrire la cote au milieu, au-dessus, et
parallèlement à la ligne de cote. La hauteur
des chiffres est de 3 à 4 mm. 25
5. Pour une cotation verticale, on place la cote à
gauche. Dans les autres cas, on place la cote
comme dans l’exemple. On évite de placer une
cote dans la partie grisée.
14
14
14
14
14
14
30°
Page 21 Collège du Verney / Méthodes
Construire une courbe
Choisir et tracer les axes
• Sur du papier millimétré, tracer 2 axes orientés perpendiculaires. • Déterminer et indiquer avec leurs unités les
grandeurs qui correspondent à chaque axe : T varie en fonction de t se note T=f(t) la grandeur étudiée est représentée par
l’axe vertical, axe des ordonnées, ici la température T.
la grandeur de référence est représentée
par l’axe horizontal, axe des abscisses, ici le temps t.
T (°C)
t (h)
Graduer les axes
• Consulter les données pour repérer la valeur maximale et la valeur minimale afin de
déterminer une graduation adaptée. • Graduer chaque axe. • Les graduations doivent être indiquées à
intervalles réguliers, sans ajouter des valeurs intermédiaires.
T (°C)
t (h)
10
20
30
2
40
4 6 8 10 14 12 0
Placer les points sur le graphique • Chaque point est repéré par ses coordonnées (t ; T) (ex : à t= 4h on mesure T= 35°C). • Chaque point est représenté par une petite croix au crayon à papier bien taillé.
T (°C)
t (h)
10
20
30
2
40
4 6 8 10 14 12 0
Tracer la courbe
• Si les points semblent alignés, tracer une
droite à la règle. • Sinon tracer au crayon à papier et à main levée la courbe continue qui passe par le
maximum de points expérimentaux (quand un point semble trop écarté de la courbe, ne pas le prendre en compte). • S’il y a plusieurs courbes sur le même graphique, les légender à l’aide de couleurs
différentes.
T (°C)
t (h)
10
20
30
2
40
4 6 8 10 14 12 0
Donner un titre : le titre du graphique est
souvent « Variation de la grandeur étudiée (ici T) en fonction de la grandeur de référence (ici t) ».
Variation de la température
en fonction du temps
Collège du Verney / Méthodes Page 22
Utiliser un multimètre
Calibres : DC (Direct Courant) Pour un courant continu
AC (Alternative Courant) Pour un courant alternatif
Pour tester la conductivité
Sélectionner le calibre le plus grand puis diminuer. Le calibre le mieux adapté est le
plus proche de la valeur mesurée mais supérieur à celle-ci.
Le calibre peut indiquer le préfixe de l’unité.
Ampèremètre A Il mesure l’intensité du courant à un endroit.
- Enlever le fil à l’endroit de la mesure (pointillé).
- Remplacer le fil par l’ampèremètre et ses deux fils de
connexion (gras).
- Le courant entre par la borne « A » et sort par la
borne COM.
- Sélectionner la zone ampèremètre « A » adaptée :
( ou )
I A A COM
M
Voltmètre v Il mesure la tension entre deux endroits.
- Ajouter deux fils de connexion (gras) reliés au
voltmètre.
- Relier la borne positive « V » à l’état d’énergie le plus
grand et la borne négative « COM » à l’état d’énergie le
plus petit.
- Sélectionner la zone voltmètre « V » adaptée :
( ou )
U
V COM V
Ohmmètre Ω Il mesure la résistance d’un composant.
- Relier les deux bornes du composant aux bornes Ω et
COM.
- Sélectionner la zone « Ω ».
ΩΩΩΩ COM ΩΩΩΩ
- Utiliser le calibre pour un test de conductivité.
L’appareil affiche la valeur « 1. » à gauche de l’écran, donc la matière est isolante.
L’appareil mesure une résistance presque nulle, donc la matière est conductrice.
Messages d’erreurs
« 1. » à gauche de l’écran indique une mesure impossible. Le calibre est trop petit.
« - » indique que les bornes de connexion sont inversées.
∼∼∼∼
∼∼∼∼
∼∼∼∼
Page 23 Collège du Verney / Méthodes
Utiliser un microscope
1. Transport : porter verticalement le microscope à 2 mains (pas par l’oculaire !). 2. Réglage de la lumière
Microscope à miroir : Orienter le miroir pour diriger la lumière vers la lame. Placer l’œil sur l’oculaire et vérifier que la luminosité est suffisante.
Microscope avec éclairage intégré : Brancher la prise du microscope et l’allumer.
3. Disposition de la lame Placer la lame au centre de la platine. Choisir l'objectif qui a le plus petit grossissement.
4. Mise au point Avec beaucoup d'attention, descendre l'objectif tout près de la lame (à l'aide de la vis macrométrique) sans mettre l'œil sur l'oculaire. L'œil sur l'oculaire, remonter lentement l’objectif jusqu'à ce que l'image soit nette, et au besoin, bouger la lame pour centrer l'image.
5. Agrandissement de l’image Choisir un objectif plus grand sans bouger la lame, puis régler la netteté avec la vis micrométrique (au besoin, reprendre l’étape 4 avec le nouvel objectif).
6. Rangement du matériel
Remettre le plus petit objectif en place. Retirer la lame du microscope. Remettre la protection et glisser le fil électrique en dessous sans l’enrouler.
Collège du Verney / Méthodes Page 24
Réaliser un dessin d’observation
TOUT se fait au crayon à papier ( y compris le nom , le titre …)
1.Outils Une feuille blanche de dessin. Un crayon HB ou B soigneusement taillé (+ taille crayon). Une règle de 30 cm, une gomme. Un compas (pour une observation au microscope).
2.Observation de l’objet à dessiner Repérer précisément ce qui doit être mis en valeur (pas tous les détails mais l’essentiel). Repérer les formes globales et les proportions de l’objet à dessiner.
3.Dessin Centrer le dessin. Réaliser un GRAND dessin. Dessiner d’un trait continu, en respectant les formes et les proportions. Ne jamais griser ni hachurer.
4.Légende Tracer les traits de légende horizontaux à la règle, avec une flèche au bout (petite et
précise) indiquant la structure présentée. Ne pas croiser les traits de légende. Ecrire les mots de légende au bout du trait (pas sur le trait !). Ecrire les mots de légende en colonne, les uns sous les autres. Donner un titre au dessin, sous le dessin et souligner. Indiquer sous le titre la taille réelle de l’objet dessiné, ou en cas d’observation au
microscope le grossissement utilisé pour le dessin (grossissement de l’oculaire grossissement de l’objectif).
Dans le cas d’une préparation microscopique, indiquer le colorant utilisé.
pétale
étamine pistil sépale
pédoncule floral
Dessin d’une coupe longitudinale d’une fleur de lys. Taille réelle : 6.5cm.
Page 25 Collège du Verney / Méthodes
Compléter une carte
Consignes générales La carte doit toujours :
Comporter un Titre. Etre Orientée (flèche indiquant le Nord). Avoir une Légende (les symboles permettent de lire la carte). Avoir une Echelle (voir « utiliser les échelles » page 5).
Pour ne rien oublier de l’essentiel : souviens-toi de : « T O L E »
Tracés sur la carte Un liseré bleu est porté le long des côtes dans la mer. Il se prolonge jusqu’au cadre. Les fleuves recolorés en bleu se prolongent jusqu’à la mer. Tous les noms sont écrits horizontalement, sauf les noms des cours d’eau, des lignes remarquables qui sont écrits en suivant leur tracé en général. Tous les noms de même catégorie sont écrits de la même façon : même couleur, même style de lettres : Ex : Océans : majuscules bleues
Continents : majuscules noires Les villes : majuscules rouges
Ne pas mélanger majuscules et minuscules dans le même mot sauf pour la première lettre majuscule.
Symboles et légende Pour lire rapidement une carte, les symboles qui apparaissant sur la carte doivent être reportés sur la légende. Les plages de couleurs : il faut les inscrire dans de petites rectangles de 0.5 cm.sur 1 cm, tracés à la règle et au stylo. Les couleurs : elles sont conformes aux conventions de la cartographie. Ex : Vert pour les plaines
Orange pour les plateaux Marron pour les montagnes
Collège du Verney / Documents ressources Page 26
Repères géographiques
1 - Grands repères terrestres
Les continents et les océans Les grands fleuves Les grands traits du relief (chaînes de montagnes et plaines) Les principales zones climatiques de la planète 2 – Population mondiale
Les principaux foyers de peuplement Les espaces faiblement peuplés de la planète Les cinq états les plus peuplés du monde Les dix métropoles mondiales les plus peuplées du monde et les pays où elles se situent 3 – Développement mondial
Trois pays parmi les plus pauvres du monde Trois grands pays émergents Les trois principaux pôles de puissance mondiaux Deux grandes aires de départ de migrants dans le monde Deux grandes aires d’arrivée de migrants dans le monde Deux espaces touristiques majeurs dans le monde Les mégalopoles : Nord-Est des Etats-Unis, Japon, Europe 4 - La France
Le territoire de la France (métropolitain et ultramarin) Les principaux espaces de la francophonie Les montagnes Les grands fleuves Les domaines bioclimatiques Les façades maritimes du territoire national Les dix premières aires urbaines du territoire français (les principales villes) Les régions françaises 5 - L'Europe
Les Etats de l’Union européenne et leurs capitales Les villes où siègent les institutions de l’Union européenne Les dix principales métropoles européennes
Page 27 Collège du Verney / Documents ressources
Repères historiques
6 – Classe de Sixième IIIè millénaire avant JC Les premières civilisations
VIIIè siècle avant JC Homère, fondation de Rome, début de l’écriture de la Bible
Vème siècle avant JC Périclès
52 avant JC Jules César et Vercingétorix, Alésia
1er siècle Début du christianisme
Ier et IIème siècles « Paix romaine »
622 L’Hégire
800 Le couronnement de Charlemagne
7 - Classe de Cinquième Xe-XIIe siècle L’âge des églises romanes
1096-1099 Première croisade
XIIe-XVe siècle L’âge des églises gothiques
1492 Premier voyage de Christophe Colomb
XVe-XVIe siècle La Renaissance
1598 Edit de Nantes
1661-1715 Louis XIV, Versailles
Collège du Verney / Documents ressources Page 28
8 - Classe de Quatrième Milieu du XVIIe siècle : L’Encyclopédie 1789-1799 La Révolution française 14 juillet 1789 : prise de la Bastille Août 1789 : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen Septembre 1792 : Proclamation de la République 1799-1815 Le Consulat et l’Empire 1804 : Napoléon 1er empereur des Français 1815 Congrès de Vienne 1815-1848 Monarchie constitutionnelle en France 1848-1852 La Seconde République 1848 : Etablissement du suffrage universel masculin, abolition de l’esclavage 1852-1870 Le Second Empire (Napoléon III) 1870-1940 La Troisième République 1882 Jules Ferry et l’école gratuite, laïque et obligatoire 1894-1906 Affaire Dreyfus 1905 Loi de séparation des Eglises et de l’Etat 9 - Classe de Troisième 1914-1918 La première Guerre mondiale 1916 : Verdun 11 novembre 1918 : Armistice de la Grande Guerre 1917 La révolution russe 1924-1953 Staline au pouvoir 1933-1945 Hitler au pouvoir 1936 Victoire électorale et lois sociales du Front Populaire 1939-1945 La Seconde Guerre mondiale 8 mai 1945 : Fin de la seconde Guerre mondiale en Europe Août 1945 : Hiroshima et Nagasaki 18 juin 1940 Appel du général de Gaulle 1940-1944 Le régime de Vichy 1944-1945 Libération de la France Rétablissement de la république (la IVe) Le droit de vote des femmes, Sécurité sociale 1961-1989 Le Mur de Berlin 1947-1962 Principale phase de la décolonisation 1957 Les traités de Rome 1958-1969 Les années de Gaulle 1958 fondation de la Ve République 1981-1995 Les années Mitterrand 1992 Le traité de Maastricht 1995-2007 Les années Chirac 2002 L’euro monnaie européenne
Page 29 Collège du Verney / Documents ressources
Classes grammaticales La classe grammaticale est l’appellation donnée à un mot, quel que soit son rôle dans la phrase.
Classe Caractéristiques Exemples
Nom commun - varie en nombre - les noms n’ont souvent qu’un genre paix, ciel, amis
Déterminant (articles / possessif /
démonstratif / indéfini)
- accompagne le nom devant le nom - prend le genre et le nombre du nom - ajoute une précision
le, un, ma, cet aucun, tout deux, trois
Adjectif qualificatif
- qualifie le nom - s’accorde en genre et en nombre avec le nom
calme gentille vieux
Pronom (personnel / possessif / démonstratif / relatif)
- remplace le nom - varie souvent en genre et en nombre
je, tu, il le mien, les nôtres celui-ci, ceux-là qui, que, où, dont
V A R I A B L E
Verbe - infinitif ou forme conjuguée - s’accorde avec le sujet
parler, finir courir, pouvoir
Préposition
Locution prépositionnelle
- introduit un GN, un pronom ou un verbe à l’infinitif - suit certains verbes (penser à, rêver de)
à, de, pour, chez, avec, avant, après
afin de, jusqu’à, à cause de, à côté de
Adverbe
Locution adverbiale
- modifie le sens d’un verbe ou d’un adjectif
très, peu, loin, demain, là
brièvement tellement comment pourtant, ainsi
cependant, aussi, néanmoins, toutefois, bref
peut-être, sans doute, en effet
Conjonction de coordination
- relie deux éléments de même nature mais, ou, et, donc, or, ni, car
Conjonction de subordination
- relie deux propositions en plaçant une des deux sous la dépendance de l'autre - la proposition subordonnée est incompréhensible sans la principale
quand, si, comme pour que, afin que,
tandis que, parce que, alors que, comme si
Interjection - exprime un sentiment, un ordre - souvent suivie d’un point d’exclamation
chut, hélas
I N V A R I A B L E
Onomatopée - imite un son boum, plouf, toc
Collège du Verney / Documents ressources Page 30
Fonctions grammaticales La fonction d’un mot ou d’un groupe de mots est le rôle que joue dans la phrase ce mot ou ce groupe de mots. Fonctions se rapportant au verbe
FONCTION EXEMPLE Répond à une question posée sur le verbe
Sujet La neige tombe. Qui tombe ?
Complément d’agent
Les routes sont bloquées par la neige. Les montagnes sont couvertes de neige.
Par quoi sont-elles bloquées ? De quoi sont-elles couvertes ?
COD - Complément d’Objet Direct
Il creuse la neige. Nous savons que la neige nous réjouit.
Que creuse-t-il ? Que savons-nous ?
COI - Complément d’Objet Indirect
Il pense à la neige. A quoi pense-t-il ?
COS - Complément d’Objet Second
Elle a parlé à Juliette de la neige des sommets.
Elle a parlé à Juliette de quoi ?
Fonctions se rapportant à la phrase
FONCTION EXEMPLE Répond à une question posée sur la phrase
Complément circonstanciel de lieu, temps, manière, but…
Tu t’amuses dans la neige. Ils défendent l’environnement pour que notre neige reste pure.
Où t’amuses-tu ? Pour quoi défendent-ils l’environnement ?
Fonctions se rapportant au nom ou à l’adjectif FONCTION EXEMPLE
Apposition Le manteau blanc, la neige, recouvre les verts sapins de nos montagnes.
Complément du nom
Le manteau de la neige n’est guère douillet. Le manteau que la neige confectionne n’est guère douillet.
Complément de l’adjectif
Il est fou de la neige.
Attribut du sujet Les neiges du Mont Blanc sont éternelles.
Fonctions de l’adjectif FONCTION EXEMPLE Epithète liée La neige translucide nous subjugue.
Epithète détachée Translucide, la neige nous subjugue.
Attribut La neige semble translucide et nous subjugue.
Page 31 Collège du Verney / Documents ressources
Propositions Phrases simples ou complexes
Propositions
Une proposition est un groupe de mots organisés autour d'un verbe conjugué. Il y a autant de propositions que de verbes conjugués dans la phrase. Une proposition indépendante est centrée autour d'un seul verbe conjugué. Une proposition principale est le noyau de la phrase, elle introduit la proposition subordonnée à l’aide d’un mot subordonnant (pronom relatif, conjonction de subordination, locution conjonctive). Une proposition subordonnée dépend de la proposition principale.
Phrases
Une phrase est un groupe de mots organisés les uns avec les autres qui a pour but de porter un sens. Elle commence par une majuscule et se termine par une ponctuation forte (point, point d'exclamation, point d'interrogation). Elle n’a pas toujours de verbe conjugué : « Attention, chien méchant. » Une phrase simple comporte une seule proposition. Une phrase complexe contient deux propositions ou plus. Elle peut être complexe par :
Juxtaposition : les deux propositions indépendantes sont séparées par une ponctuation faible (virgule, point virgule, deux points).
« Ce chien est méchant, il s’attaque aux passants. » Coordination : les deux propositions indépendantes sont séparées par une
conjonction de coordination ou un adverbe. « Ce chien est méchant car il s’attaque aux passants. »
Subordination : la proposition principale introduit la proposition subordonnée. « Ce chien est méchant parce qu’il s’attaque aux passants. »
Collège du Verney / Documents ressources Page 32
Principaux connecteurs logiques
CLASSE DES CONNECTEURS Conjonctions de
coordination
Adverbes et locutions
adverbiales
Conjonctions et locutions conjonctives de subordination
Cause car en effet de fait
parce que, du fait que, puisque, attendu que, étant donné que, vu que, du moment que, c’est que, comme…
Conséquence donc
aussi, alors, donc, en conclusion, dès lors, ainsi, en conséquence, c’est pourquoi, finalement…
de sorte que, si bien que, tellement que, si…que, de telle manière que…
But à cette fin, dans ce but…
afin que, pour que…
Opposition mais et
cependant, toutefois, néanmoins, pourtant, en revanche, au contraire…
alors que, tandis que
Concession or
certes, du reste, toutefois, pourtant, cependant, néanmoins…
quoique, bien que, encore que, même si, à moins que
Hypothèse
Condition en ce cas,
pour un peu…
si, à condition que, à supposer que, au cas où, pourvu que, à moins que…
Addition et, ni… ni, or
de plus, en outre, puis, enfin, par exemple, aussi, d’abord, premièrement…
ainsi que, outre que, sans compter que…
R E L A T I O N L O G I Q U E
Alternative ou soit…soit, ou bien…ou bien soit que…soit que
Page 33 Collège du Verney / Documents ressources
Figures de style Accumulation : longue série de termes de même nature ou de même fonction. Ex : « Il y a des sadiques, des terroristes impitoyables, des preneurs d’otages, des bourreaux d’enfants. », Thierry Maulnier → figure d’insistance
Allitération : répétition de consonnes identiques dans un texte. Ex : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? », Racine, Andromaque. « S’il pleuvait des larmes Lorsque les cœurs sont lourds », Boris Vian, « S’il pleuvait des larmes » → figure d’insistance
Anaphore : répétition d’un mot ou d’un groupe de mots, principalement en début de vers ou de phrase. Ex : « Rome l’unique objet de mon ressentiment !
Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome enfin, que je hais parce qu’elle t’honore ! »
Corneille, Horace. → figure d’insistance
Assonance : répétition de sons voyelles. Ex : « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? » P. Verlaine, Romances sans paroles, 1874. → figure d’insistance
Chiasme : figure qui consiste à placer en ordre inverse les segments de deux groupes de mots syntaxiquement identiques (selon le schéma abba). Ex : « Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens Mais dans l’œil du vieillard on voit de la lumière. », Hugo
« Il était très riche en défauts, en qualités très pauvre. »
Collège du Verney / Documents ressources Page 34
Comparaison : rapprochement de deux réalités autour d’un signe grammatical (comme, pareil à…). Ex : « La masse énorme de l’Opéra semblait un bloc de cuivre. », Zola → figure d’analogie
Gradation : succession de mots classés par ordre croissant ou décroissant de longueur ou d’intensité. Ex : « Va, cours, vole, et nous venge. », Corneille, Le Cid → figure d’insistance, d’amplification ou d’atténuation
Hyperbole : figure d’amplification qui consiste à exagérer la réalité de façon à frapper l’imagination. Ex : « verser un torrent de larmes » → figure d’exagération
Métaphore : met en relation de manière implicite deux éléments, le comparé, parfois sous-entendu, et le comparant. Ex. : « […] cette minute où l’homme, pour concentrer sur lui toute la fierté des hommes, tout le désir des femmes, n’a qu’à tenir au bout de son épée la masse de bronze au croissant lumineux qui réellement tout à coup piétine. », André Breton, L’Amour fou, = taureau → figure d’analogie
Métonymie : substitution d’un terme par un autre, lié au premier par un rapport logique (contenant pour contenu, effet pour cause, instrument pour celui qui l’emploie…) Ex : « boire la mort » pour boire la ciguë ; « boire un verre » → figure de substitution
Oxymore : alliance (juxtaposition) de termes contraires. Ex : « cette obscure clarté qui tombe des étoiles », Corneille « le Soleil noir de la Mélancolie », Nerval ; « Nous parlons en silence D'une jeunesse vieille. », J. Brel → figure d’opposition
Personnification : figure de style consistant à attribuer des comportements ou caractéristiques humains à un animal, une idée abstraite, un élément de la nature, une chose... Ex : « Les arbres sur ma route fuyaient », Nerval. → figure de substitution
Page 35 Collège du Verney / Documents ressources
Figures géométriques dans le plan
Périmètre ( P ) : longueur du contour (exprimé en unité de longueur : m, cm…)
Aire ( A ) : grandeur qui mesure une surface (exprimé en unité d’aire : m2, cm2, are…)
Triangles Cercle – Disque (surface)
P = a + b + c
A = bh2
h
b
a c
P = 2 r = 2 r = d (diamètre)
A = r2
A = r2
r
Quadrilatères
Rectangle Carré
P = 2 ( L + l ) = 2L + 2l
A = L l
L
l
P = 4 c A = c c = c2
c
Parallélogramme Losange
P = 2 ( a + b ) = 2a + 2b
A = b h
h
b
a
P = 4 c
A = D d
2
d
c
D
Trapèze
P = somme des longueurs des 4 côtés
A = ( B + b ) h
2
b
B
h
Collège du Verney / Documents ressources Page 36
Solides dans l’espace
Volume ( V ) : grandeur qui mesure l’espace occupé par un solide. (exprimé en unité de volume: m3, cm3, L…) B : aire de la base.
Parallélépipède rectangle ou Pavé droit Cube
V = L l h
h
L
V = c3
c
Prisme Cylindre
V = B h
h
B
B = r2
V = B h
r
h
B
Pyramide Cône
V = 13 B h
h
B
B = r2
V = 13 B h
r
h
B
Sphère (surface) – Boule (volume)
Aire de la sphère : A = 4 r2
Volume de la boule : V = 43 r
3
r
Page 37 Collège du Verney / Documents ressources
Unités du Système International ( S.I. )
Grandeur Symbole de la grandeur
Unité Symbole de l’unité
longueur, distance l ou d mètre m
masse m kilogramme kg temps t seconde s
intensité du courant électrique I ampère A
température T ou kelvin K quantité de matière n mole mol
Grandeurs de base
du système international
( SI )
intensité lumineuse I candela cd angle plan , … radian rad
aire A mètre carré m2 Grandeurs
géométriques volume V mètre cube m3
vitesse linéaire v mètre par seconde m/s ou m. s-1 vitesse angulaire radian par seconde rad/s ou rad.s-1
fréquence N hertz Hz ou s-1 période T seconde s
masse volumique kilogramme par mètre cube kg/m3 ou kg. m-3
énergie E joule J intensité d’une force F newton N
pression P pascal Pa
Grandeurs mécaniques
puissance P watt W chaleur Q joule J molarité
(concentration molaire) C mole par mètre cube mol/m3
Grandeurs thermo
dynamiques concentration massique C kilogramme par
mètre cube kg/m3 ou kg. m-3
tension U volt V résistance R ohm
conductance G siemens S capacité C farad F
Grandeurs électriques
charge électrique quantité d’électricité Q coulomb C
Collège du Verney / Documents ressources Page 38
Unités admises en dehors du SI
Grandeur Unité Symbole de l’unité Valeur en unité SI
minute min 1 min = 60 s
heure h 1 h = 3 600 s
jour d 1 d = 86 400 s Temps t
année a 1 a = 365,25 d
degré ° 1° =(/180) rad
minute ' 1'=(/10 800) rad Angle
seconde " 1"=(/648 000) rad
Masse m tonne t 1 t = 1 000 kg
mille marin 1 mille marin = 1 852 m
Année-lumière 1 année- lumière 9,5 Pm
micron / micromètre m 1 m = 10-6 m
angström Å 1 Å = 10-10 m = 0,1 nm
Longueur l
fermi fm 1 fm = 10-15 m
Aire A are a 1 a = 1 dam² = 100 m²
Densité de population Habitants par km² Hab/km²
Volume V litre L 1 000 L = 1 m3et 1 L = 1 dm3
Concentration C gramme par litre g/L ou g.L-1 1 g/L = 1 kg/m3 ou km.m-3
Vitesse V nœud 1 mille/h = 1 852/3 600 m/s
Température degré Celcius °C °C = K - 273,15
atmosphère atm 1 atm = 101 325 Pa
bar bar 1 bar = 0.1 MPa = 105 Pa Pression P
millimètre de mercure
mmHg 1 mmHg = 101 325 Pa
pH Pas d’unité
Les techniques de façonnage
Fraisage d’un évidemment [1] Fraisage d’un trou oblong [2] Fraisage d’une rainure [3]
Cisaillage d’une plaque[1]Poinçonnage d’un trou débouchant [2] Dégagement d’un flanc [3]
Lame de scie
Scie à main [1]
Scie
alternative [2]
Foret
Machines Outils
Moyens techniques Opérations Formes des pièces
USINAGE Mise en forme avec enlèvement de matière et formation de copeaux
Usinage d’un chanfrein [1] Usinage d’un lamage [2] Perçage d’un trou débouchant[3] Perçage d’un trou borgne [4]
P E R C E U S E
[3] [2]
[1]
[2]
[1]
[4]
[5]
Tournage d’un arbre [1] Tournage d’une gorge [2] Tournage d’un rayon [3] Tournage d’un chanfrein [4] Dressage d’une face [5]
[3] Fraiseuse
Fraise
Sciage d’une entaille [1] Sciage d’un profilé [2]
DÉCOUPAGE Mise en forme avec enlèvement de matière et sans copeaux
DÉFORMATION Mise en forme sans enlèvement de matière
Pliage ou thermopliage
Thermoformage
Poinçonneuse Poinçon
Matrice
Fil chauffant et tablier mobile
Moule de mise en forme
Tour
Page 39 Collège du Verney / Documents ressources
Technigues d'ossembloge
AssEA/IBLAGES DEAÀONTABLES
Scratch
Assemblage peu résistant à I'effort. Solutionutilisée pour des matériaux souples (tissus,cuir...).
GlipEmboîtage d'une pièce dans une autre pardéformation élastique du matériaux. Suivantla forme des pièces et des ergots, leclipsage est parfois indémontable.
-Æà*rïffi.:# :;
Vis autotaraudeuseLa vis passe librement dans une pièce etusine un filet (taraudage) dans l'autre.
les deux piècesle serrage
ASSE,I^BLAGES INDEMONTABLES
GollageLa colle doit être adaptée aux matériaux àassembler. Selon les colles utilisées, lespièces doivent être pressées.
Rivet double dit : rivet popLe rivet passe à travers les deux pièces.Tiré par une tige à l'aide d'une pince à
rivet , il se déforme pour réaliserl'assemblage.
BrasureLe métal d'apport agit comme une colle. llest différent de celui des pièces.
@.MSoudureLe métal d'apport et le même que celui despièces.
Vis écrouLa vis passeà assembler,
librement dansl'écrou assure Rivet creux dit : æillet
Le rivet passe à travers les deuxEcrasé par une pince à æillet, il
forme pour réaliser l'assemblage
pièces.se dé-
Collège du Vemey / Documents ressources Page 40
Page 41 Collège du Verney / Documents ressources
Symboles des composants électroniques.
Symboles Désignation Forme commerciale Symboles Désignation Forme
commerciale
Résistor ou Conducteur
Ohmique
Pile ou Générateur à tension continue
Résistor ajustable
à résistance variable
Cellule photovoltaïque
Potentiomètre
Générateur à tension variable
Photorésistor
Diode Electro-luminescente ou DEL
Condensateur
Diode zener
Condensateur Polarisé
Diode de redressement
Condensateur
variable
Diac
Condensateur ajustable
Triac
Fusible
Interrupteur
Bouton poussoir Contact à fermeture
Inverseur 3 positions
Bouton poussoir Contact à ouverture
Inverseur 2 positions
Collège du Verney /Documents ressources Page 42
Symboles Désignation Forme commerciale Symboles Désignation Forme
commerciale
Pont redresseur
Circuit intégré
Transistor
PNP
&
Porte logique Nand
Transistor
NPN
Circuit intégré LVOG
Buzzer
Amplificateur
Microphone
LM317 S E M Régulateur
Haut-parleur
M Moteur
Fiche ou contact
Bobine
Borne ou
douille
Electrolyseur
Transformateur
Ampèremètre
La lampe de
signalisation
Ohmmètre
Connexion
Voltmètre
Conducteur
Wattmètre
Masse
Bornier
Terre Terre
Page 43 Collège du Verney / Documents ressources
Code des couleurs des résistances électriques
Un résistor comporte quatre anneaux de couleurs.
Les trois premiers sont regroupés : ils indiquent la valeur de la résistance du résitor. Le quatrième est isolé : il indique la tolérance (incertitude de la valeur)
Anneaux 1 et 2 3 4
Couleur Chiffre Coefficient multiplicateur Tolérance
Noir 0 x 1 20 % Marron 1 x 101 1 % Rouge 2 x 102 2 %
Orange 3 x 103 Jaune 4 x 104 Vert 5 x 105 Bleu 6 x 106
Violet 7 Gris 8 Blanc 9
Argent x 10-1 10 % Or x 10-2 5 %
Exemples de valeurs
Couleurs des anneaux Correspondance Valeur de la résistance Orange/blanc/noir/or 3 9 x 1 39 Ω Jaune/violet/rouge/or 4 7 x 102 4700 Ω = 4,7 kΩ
Bleu/gris/bleu/or 6 8 x 106 68 000 000 Ω = 68 MΩ Exemple de tolérance Le résistor « rouge/rouge/marron/or » a une résistance de 220 Ω 5 %.
220 5
100 = 11 donc la tolérance (imprécision) est de 11 Ω.
La valeur exacte de la résistance R est comprise entre 220 – 11 et 220 + 11 soit : 209 Ω < R < 231 Ω
Valeur Tolérance
Collège du Verney / Documents ressources Page 44
Symboles du matériel de laboratoire
Symbole Nom Photo Symbole Nom Photo
Tube à essais
Bec Bunsen
Bécher
Agitateur
Cristallisoir
Tube à
dégagement
Verre à pied
Entonnoir
Erlenmeyer
Ampoule à décanter
Ballon
Réfrigérant
Fiole jaugée
Soucoupe
Eprouvette graduée
Balance
Vase à trop plein
ou vase de Boudreau
+ -
Cuve à électrolyse
Page 45 Collège du Verney / Documents ressources
Liste alphabétique des atomes
Atome Symbole Z Atome Symbole Z ACTINIUM Ac 89 MANGANESE Mn 25 ALUMINIUM Al 13 MENDELEEVIUM Md 101 AMERICIUM Am 95 MERCURE Hg 80 ANTIMOINE Sb 51 MOLYBDENE Mo 42 ARGENT Ag 47 NEODYME Nd 60 ARGON Ar 18 NEON Ne 10 ARSENIC As 33 NEPTUNIUM Np 93 ASTATE At 85 NICKEL Ni 28 AZOTE N 7 NIOBIUM Nb 41 BARYUM Ba 56 NOBELIUM No 102 BERKELIUM Bk 97 OR Au 79 BERYLLIUM Be 4 OSMIUM Os 76 BISMUTH Bi 83 OXYGENE O 8 BORE B 5 PALLADIUM Pd 46 BROME Br 35 PHOSPHORE P 15 CADMIUM Cd 48 PLATINE Pt 78 CALCIUM Ca 20 PLOMB Pb 82 CALIFORNIUM Cf 98 PLUTONIUM Pu 94 CARBONE C 6 POLONIUM Po 84 CERIUM Ce 58 POTASSIUM K 19 CESIUM Cs 55 PRASEODYME Pr 59 CHLORE Cl 17 PROMETHIUM Pm 61 CHROME Cr 24 PROTACTINIUM Pa 91 COBALT Co 27 RADIUM Ra 88 CUIVRE Cu 29 RADON Rn 86 CURIUM Cm 96 RHENIUM Re 75 DYSPROSIUM Dy 66 RHODIUM Rh 45 EINSTEINIUM Es 99 RUBIDIUM Rb 37 ERBIUM Er 68 RUTHENIUM Ru 44 ETAIN Sn 50 SAMARIUM Sm 62 EUROPIUM Eu 63 SCANDIUM Sc 21 FER Fe 26 SELENIUM Se 34 FERMIUM Fm 100 SILICIUM Si 14 FLUOR F 9 SODIUM Na 11 FRANCIUM Fr 87 SOUFRE S 16 GADOLINIUM Gd 64 STRONTIUM Sr 38 GALLIUM Ga 31 TANTALE Ta 73 GERMANIUM Ge 32 TECHNETIUM Tc 43 HAFNIUM Hf 72 TELLURE Te 52 HELIUM He 2 TERBIUM Tb 65 HOLMIUM Ho 67 THALLIUM Tl 81 HYDROGENE H 1 THORIUM Th 90 INDIUM In 49 THULIUM Tm 69 IODE I 53 TITANE Ti 22 IRIDUM Ir 77 TUNGSTENE W 74 KURCHATOVIUM Ku 104 URANIUM U 92 KRYPTON Kr 36 VANADIUM V 23 LANTHANE La 57 XENON Xe 54 LAWRENCIUM Lr 103 YTTERBIUM Yb 70 LITHIUM Li 3 YTTRIUM Y 39 LUTETIUM Lu 71 ZINC Zn 30 MAGNESIUM Mg 12 ZIRCONIUM Zr 40
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Page 49 Collège du Verney / Documents ressources
Nomenclature des espèces ioniques
Les ions : la formule indique la charge électrique globale avec un exposant.
CATIONS ANIONS Formule Nom Formule Nom
H+ hydrogène F - fluorure
Ag+ argent Cl
- chlorure
Cu2+
cuivre II (cuivrique) Br - bromure
Fe2+
fer II (ferreux) I - iodure
Fe3+
fer III (ferrique) O 2-
oxyde
Na+ sodium OH
- hydroxyde
K+ potassium SO4
2- sulfate
Ca2+
calcium NO3
- nitrate
Mg2+
magnésium CO3
2- carbonate
Ba2+
baryum PO4
3- phosphate
NH4+ ammonium C2O4
2- oxalate Al 3+ aluminium MnO4
- permanganate Zn 2+ zinc Cr2O7
2- dichromate Les sels (ou solides ioniques) : pour écrire la formule d’un sel, on place en premier le symbole du cation. On note le nombre x de cations et le nombre y d’anions qu’il faut prendre pour que le sel soit électriquement neutre, soit de la forme : CationxAniony
Exemple 1 : La formule d’un sel composé de Cl - et de Cu2+ se note : CuCl2
Le nom de ce sel est : dichlorure de cuivre Exemple 2 : La formule d’un sel composé de Ba2+ et de NO3
- se note : Ba(NO3)2 Le nom de ce sel est : dinitrate de baryum Les solutions : la formule indique les proportions entre les cations et les anions pour que la solution soit électriquement neutre.
Exemple : la formule de la solution de dichlorure de calcium (sel CaCl2 dissout dans l’eau) est : (Ca2+ ; 2 Cl -)
Noms particuliers : Formule Nom (H+ ; Cl-) Acide chlorhydrique (H+ ; NO3
-) Acide nitrique (2 H+ ; SO4
2-) Acide sulfurique (3 H+ ; PO4
3-) Acide phosphorique (Na+ ; OH-) Soude (K+ ; OH-) Potasse (Ca2+ ; 2 OH-) Eau de chaux, si la solution est saturée.
Collège du Verney / Documents ressources Page 50
ALPHABET GREC
Lettre majuscule
Lettre minuscule Appellation Lettre de
notre alphabet
Α α Alpha a Β β Bêta b Γ γ Gamma g Δ δ Delta d Ε ε Epsilon e Ζ ζ Dzêta z Η η Êta ê Θ θ Thêta t aspiré (th) Ι ι Iota i Κ κ Kappa k Λ λ Lambda l Μ μ Mu m Ν ν Nu n Ξ ξ Xi x Ο ο Omicron o Π π Pi p Ρ ρ Rhô r Σ σ ou ς Sigma s Τ τ Tau t Υ υ Upsilon u Φ φ Phi p aspiré (ph) Χ χ Khi k aspiré (kh) Ψ ψ Psi ps Ω ω Oméga ô