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ET AUSSI... Découvrez l’histoire de votre magazine Triathlon Hebdo Nutrition : La raclette, sans complexe !

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  • ET AUSSI...

    Découvrez l’histoire de votremagazine Triathlon Hebdo

    Nutrition :La raclette, sans complexe !

  • www.triathlon-hebdo.com

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    isio

    n Ils sont tous devenus fous, de vrais fadas… Triathlon Hebdo c’était un boulot tran-quille, le genre pour lequel tu n’as même pas besoin de te lever, tout au plus te tourner sur le côté et attraper l’or-dinateur portable que tu as laissé sur la table de chevet avant de t’endormir ( ndlr : quelle merveilleuse inven-tion le wifi ), et puis voilà, le pire est arrivé... ça a mar-ché !!!

    Nous sommes début 2010, il faut maintenant se lever pour aller au bureau, répon-dre au téléphone, faire sem-blant d’être heureux quand le journaliste zélé vous lan-ce « j’ai une super idée pour le numéro de fin Mars » et que le webmaster attend votre feu vert pour rempla-cer les palmiers « Non !!! on ne coupe pas les arbres ».

    Quoi encore ?Quelle pub ? Une pleine page, oww ! Ce n’est pas l’encyclopédie en treize vo-lumes qu’on édite…

    Vite un peu de calme, je m’enfuis de cette fourmilière en hurlant « j’ai du boulot, suis un créatif moi M’sieur, je n’écris pas à la commande… besoin de calme » (ndlr : Et puis on ne me sort pas du lit aux aurores, il n’est même pas midi... ). Un quart d’heure plus tard, la terrasse de « Chez Lou-le», moi qui ne sucre pas, j’ai usé le fond de la tasse en tournant la cuillère… Je re-prends mon œuvre « Chère Mamie … heu … Bonne an-née … Ton pitou – pitou ». L’inspiration est un signe des Dieux !

    TC

    L’édito

    Photo : Xterra de Maui 2009by JACVAN

    En cas d’absence de notre partVeuillez vous adresser au speaker

    Le meilleur moyende conseiller un compétiteurest d’aimer porter un dossard

    ( Karl Shaw )

    WWW.AZURTRIANDRUN.COM04.94.54.69.64

    Idée de départ : Thierry ClemensStaff : Webmag éditions

    Rédaction :Team Tri-Hebdo

    (TTH pour les intimes...)[email protected]

    Régie Pub : [email protected]

    Vous êtes organisateurs ? Vous souhaitez promouvoir votre épreuve ?N’hésitez pas à prendre contact avec nous, nous avons des solutions pour vous !

  • Notre-aventure.fr

    Triathlon-Hebdo en leçons1

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    PréhistoireIl y a l’histoire, le maintenant et l’avant. Presque la

    préhistoire pour certains d’entres vous. Le père de ce magazine a connu les prémisses du Triathlon, son arrivée en France, les pre-mières stars, la naissance de la fédération, les premiers grands clubs. Une histoire partagée. D’abord comme athlète, puis com-me président de club, manager d’un groupe de première division, organisateur d’une épreuve et, aujourd’hui, spectateur attentif. Comme pour savoir de quoi on parle !

    Au moment où Triathlon Hebdo prend un vi-rage décisif, il nous semblait bon de revenir sur son histoire.Le pourquoi et le comment … comme pour mieux se présenter et regarder loin devant. Aujourd’hui une équipe, hier une idée. Triathlon Hebdo résumé en 10 étapes

    ClavierDe l’autre côté de la barrière, il aura fallu sentir et comprendre les attentes. Imaginer la cour-se pour mieux la raconter. Thierry Clemens

    aiguise sa plume dans la presse quotidienne, fait un bref passage au sein de l’équipe 220 Mag, puis prolonge l’ex-périence avec Tri Mag avant de remplir les pages de Tri Time. Une suite d’expériences heureuses et pourtant … un petit goût de pas assez ?

    Coup de speedInternet va vite, l’info est aspirée et la presse papier traîne parfois la langue. Quand le premier réinvente le direct

    live, le second joue les prolongations. Internet va vite, très vite, oui mais le texte ne fait qu’y défiler et la photo reste miniature. Si seulement un ma-gazine, un vrai mag, pouvait aller aussi vite tout en conservant une certaine qualité visuelle. L’idée Triathlon Hebdo est en train de germer …

    Alpe HuezNous sommes à l’Alpe d’Huez. Une présence initialement pré-vue pour être couché sur pa-

    pier glacé mais l’actu est chaude, autant ne pas la laisser refroidir ? Une discussion « Benj’ ( il se reconnaitra ), si la semaine prochaine il y avait un mag sur internet, qui parle de la course, tu prendrai le temps de le télécharger ? » « A fond … en plus si c’est gratos ! ». Go !!!

    GratuitDe l’autre côté de la barrière, il aura fallu sentir un véritable challenge. Un mag est fait pour être lu et donner son numéro de carte bleue sur la

    toile fait encore peur. Alors pour que personne ne soit effrayé et que tout le monde y trouve son compte, Triathlon Hebdo devra être gratuit, c’est un impératif. La pub comme unique ressource, pourquoi payer deux fois la même chose ?

    PartenairesL’annonceur devient partenaire. Sportif, il est sponsor. Le concept est séduisant, la pub ne pollue plus, elle offre un nouveau média. Le succès est au rendez vous. Le Mag est

    téléchargé 8000 fois la première semaine. Il crée le lien, provoque le clic, la pub amuse et devient une passerelle vers l’information. Pari réussi, Triathlon Hebdo est né !

    ArbreCerise on the cake, la démar-che s’inscrit dans des préoc-cupations légitimes. Triath-

    l o n Hebdo devient le premier mag qui ne coupe pas les arbres. Nul besoin de papier pour le feuilleter. Un média instantané qui arrive chez vous sans dégager la moindre particule de Co2. Même le transport est écolo, la livraison est assurée par adsl, encore plus rapide que le livreur de pizza …

    RencontresLa vie est faite de rencontres, Triathlon Hebdo en est la preuve.Les premières personnes à y avoir cru, les premiers annonceurs à avoir pris le risque à nos côtés, les premiers consultants à l’avoir étoffé et, aujourd’hui, la rencontre avec toute une équipe, l’arrivée de véritables professionnels qui vont donner une autre dimension à vo-tre magazine.

    MerciEt là vous dites « Facile, va faire pleurer les chaumières,

    remercier les lecteurs sans qui rien ne serait possible, remercier le triath-lon, ce sport magnifique et tellement photogénique … ». Eh bien non, on va se calmer, déjà que c’est gratos pour vous, on ne va pas en plus vous cirer les pompes. Non, un merci à une seule personne, celle qui y a cru encore plus fort que toutes les autres et qui a dit « Fais le !!! ». A cette per-sonne: Merci

    DixNous avions promis dix étapes et ce n’est pas un manque d’imagination de notre part que de laisser ce chapitre en suspens. La dernière étape en forme de saison à venir et pour nous le mo-ment de vous souhaiter une excellente année 2010.

  • Si vous tentiez l’expérience Xterra?x-terra.fr

    A la question peut-on concilier triathlon classique et Xterra au cours d’une même saison, nos deux champions sont una-nimes.Pour Marion, il ne faut pas oublier que le Xterra est né

    du triathlon traditionnel. Dans les deux cas, c’est un enchaînement de 3 disciplines. En 2009, elle a tenté l’expérience nature tout en conti-nuant de s’aligner sur des triathlons. Elle

    ne le regrette pas. « Conci-

    lier ces 2 disci-plines lors d’une

    saison est tout à fait possible et pimentera d’ailleurs votre saison

    !!! » explique-t-elle.Même son de cloche

    du côté de Fran-ky. Pour sa part, cela fait désor-mais plusieurs saisons qu’il allie les deux avec une réus-site certaine. En 2009, il a rem-porté l’ensem-ble des épreu-ves du Global

    Tour Européen, s’est adjugé le titre

    de champion d’Eu-rope de Cross Triath-

    lon et celui de cham-

    pion d’Europe de Xterra. « Le triathlon classique et le Xterra sont totalement compatibles. Le Xterra apporte un profond renforcement musculaire pour les épreuves sur route ».

    Si l’aventure vous tente, il faudra néanmoins adapter vo-tre entraînement. « Le VTT à l’entraînement et en compé-tition permet de progresser techniquement, en agilité et en vélocité. Le Xterra est un défi personnel, un retour aux essences même du triathlon. Bien entendu, il faut tenir compte des temps de récu-pération. L’épreuve est non seulement un peu plus longue qu’un distance olympique, elle s’avère plus traumatisante musculairement. On peut être meurtri après le 1er Xterra.La préparation doit absolu-ment comporter des séances course à pied typées «trail» pour habituer ses tendons (sols accidentés) et ses mus-cles au dénivelé (montées et descentes)…Le bon équilibre dans l’en-traînement pour quelqu’un qui voudrait se lancer dans le Xterra en 2010 serait d’insérer dans son entrainement une sortie VTT tous les 15 jours voire une par semaine ainsi que des sorties trail en met-tant l’accent sur le dénivelé (2 à 4 sorties par mois). Bien

    entendu, ces séances ne sont pas à ajouter au programme habituel, c’est juste un rem-placement » conseille Franky.

    S’habituer aux terrains acci-dentés tant pour le VTT et le trail est, vous l’aurez compris, une activité qui fera partie in-tégrante de votre programme hivernal.« On ne peut pas résumer une préparation type Xterra à un balade VTT ou à une sortie hors des sentiers battus en course à pied. Pour ne pas su-bir le terrain, il faut se perfec-tionner à VTT et en trail. C’est en forgeant que l’on devient forgeron. Pratiquer régulièrement le

    VTT, se créer des petits ate-liers d’habileté, côtoyer des spécialistes ... Sont d’excel-lent moyens de progresser.Il en est de même en trail et pourquoi pas mettre un dos-sard sur des compétitions avant que la saison de tri ne débute ?Enfin, ne soyez pas abattu si vous débutez et que vous n’êtes pas trop à l’aise. Petit à petit (bon ok parfois au prix de quelques bleus sur les jam-bes lol), certaines appréhen-sions, blocages disparaissent, et tout le monde progresse ! Les séances de qualité (seuil, PMA ...) peuvent être faites à VTT (d’ailleurs c’est sou-vent le terrain qui décidera

    pour vous!), de même à pied (moins “rébarbatif” que la pis-te) » conclut Marion.

    La pratique du Xterra peut même s’avérer comme une source de motivation pour le triathlon traditionnel. Au vu du calendrier et du peu d’épreu-ves en France, il est difficile de n’axer sa saison que sur le Xterra. Le format 70.3 sem-ble le plus complémentaire même si l’effort consenti en VTT n’est pas comparable. Alors convaincus ? Nos deux éclaireurs pour l’occasion tien-nent cependant à vous préve-nir… Essayer c’est l’adopter !

    Envie de nature ? De diversifier vos expériences ? Assez du bitume ? Et si vous tentiez l’expérience du Xterra ? La formule du triathlon nature fait chaque année plus d’adeptes. Il faut dire aussi que les manches du Global Tour Européen ont de quoi séduire : la Sardaigne 100% sauvage, le cadre châtelain de l’épreuve de République Tchè-que, la convivialité autrichienne… Cette année, le Xterra de Suisse fera également son entrée sur le circuit. Marion Lorblanchet et Fran-ky Batelier ont endossé pour Tri Hebdo, le rôle d’éclaireurs.

    Crédits photos : Droits réservés TriHebdo

  • x-terra.fr

    Le Xterra vu par des vététistes

    Si les triathlètes sont chaque année de plus en plus nombreux à s’essayer au triathlon version nature, cette discipline produit aussi son effet du côté des vé-tétistes.Sabrina Enaux championne de VTT profite de sa fin de saison pour goûter aux joies du triple effort version nature, pour Michaël Weiss, c’est par le Xterra qu’il a fait son entrée dans le triathlon ! Deux manières d’appréhender le Xterra. Por-traits croisés.

    Comment as-tu connu le Xterra ? Sabrina ENAUX : C’est Virgile mon ami qui s’est tour-né vers le triathlon après plusieurs années au VTT. Il s’était inscrit à un triathlon vert à Vittel. N’ayant pas de compétition VTT ce jour-là, je m’y suis engagée. Je pensais arrêter après le VTT. Mais j’étais bien pla-cée, j’ai terminé. Je finis en 4e position scratch et 1ère féminine. Michi WEISS : Quelques uns de mes très bons amis autrichiens pratiquaient le Xterra. Ils m’ont convain-cu de m’aligner sur Maui en 2007. J’avais obtenu une Wild Card. Mais une grosse chute sur le Roc d’Azur avec hospitalisation m’a conduit à tout annuler.

    Qu’est-ce qui t’a poussé à te lancer dans cette aventure ?L’ambiance ressemble beaucoup à celle que nous retrouvons en VTT. Mais je ne pense pas m’aligner un jour sur un triathlon plus traditionnel. J’ai grandi sur les sentiers trails avec mon VTT, j’ai toujours aimé les séances d’entraînement outdoor. Quand j’étais jeune, j’ai participé à de nombreux trails de course à pied. Le Xterra semblait donc la combinaison parfaite pour une superbe aventure, malgré ma faiblesse en natation !

    Quelle a été la première épreuve Xterra et comment ça s’est passé ? J’ai poursuivi l’aventure sur la finale du Global Tour Européen à Mandelieu en 2008. Je termine 3ème au

    scratch. J’ai décroché ma sélection pour les cham-pionnats du Monde à Maui. La bas, mon inexpérien-ce m’a valu quelques ennuis mécaniques. Je n’avais pas vraiment préparé mon VTT aux conditions du terrain, j’ai crevé sur la partie VTT. Sans trousse de réparation, j’ai terminé cette session sur la jante (environ 20km sur les 30!!!), j’ai tout de même en-chaîné sur le trail et je termine 19ème. J’ai eu envie de retenter l’expérience en 2009 en essayant de terminer l’épreuve sans ennui mécanique. Mon ex-petite amie m’a convaincu de tenter de nou-veau l’expérience Xterra. C’était en juillet 2008, au lendemain d’une course de VTT à laquelle j’avais échoué. J’ai gagné le Xterra Nock&Lake avec 15 minutes d’avance… J’ai su que c’était devenu mon avenir dans le sport.

    Depuis, à quelles épreuves as-tu participé ?Je m’étais inscrite sur l’épreuve de Mandelieu mais malheureusement elle a été annulée. J’étais de nou-veau au départ du Xterra de Maui.En 2008, après le Nock & Lake, j’ai remporté le Xterra d’Autriche puis j’ai fini 2e à Maui. La saison dernière, je termine 6e en Sardaigne, 3e en Répu-blique Tchèque, j’ai abandonné en Autriche suite à plusieurs crevaisons et je monte sur la 2e marche du podium à Maui.

    Qu’est-ce qui est le plus difficile pour toi ?Nager !

    Nager!... mais j’y travaille. L’an dernier, je faisais 10 à 15 km de natation par semaine, cela fatiguait beaucoup. Maintenant je nage entre 20 et 25 km et je commence à me sentir plus fort.

    Comment as-tu adapté ton entraînement ? Comment vois-tu la saison 2010?J’ai toujours couru pendant la saison hivernale et aussi quelques séances de natation afin de conser-ver la condition physique. Mais depuis 2009, j’ai une licence triathlon et je bénéficie des entrainements natation du club, 1 à 2 séances par semaine. La priorité est au VTT, je participe aux XTERRA quand ma saison VTT internationale est terminée. En 2010, je ferai certainement le Xterra de Suisse et la finale à Maui.Quand j’étais pro VTT, j’avais un planning relative-ment facile. Je me levais vers 8 heures et commen-çait l’entraînement à 10 h… Avec mon arrivée dans le triathlon, j’ai du gérer 3 disciplines. Je me prépare aux Etats-Unis à Colorado Springs où je peux m’en-traîner avec de nombreux vététistes. Je m’attache aussi à m’améliorer sur la natation. Mon programme d’entraînement pour la course à pied reste identique à l’année dernière afin de ne pas trop augmenter la charge d’entraînement et éviter ainsi les blessures. Pour 2010, l’objectif est dans le Top 15 à Kona et enchaîner avec la finale Xterra à Maui. Dans un bon jour, tout est possible. En revanche, entre ironman et Xterra on me verra sur peu de Xterra.

  • nutrition.fr

    La raclette sans dégâts...La raclette sans dégâts...«Bonjour, je suis triathlète. L’hiver je suis souvent invité à des soirées raclette et j’ai du mal à gérer ce type de repas. Quels conseils pourriez-vous me donner ?»

    Sébastien De Castro, 28 ansPrésident du club : OTC 45

    Par David Padare / Nuteoconsult

    Effectivement, ça y est, nous y sommes ! La saison tant redoutée des raclette-parties est bel et bien ouverte. Impossible de se désister ou d’entrer en résistance, en pro-posant un menu dissident. Nous sommes d’accord. Mais comment faire dans ces conditions pour évi-ter d’anéantir tous les efforts de la semaine sur une seule soirée?

    Le fromageLe fromage est, avec la charcu-terie, l’ingrédient de base de la raclette. Nous en consommons lors de ce type de repas entre 150g et 250g (un repère : 100g = 4 tranches). Et ce ne sont pas les plus « lights » (45% MG en moyenne). Mais il existe des fro-mages à raclette « moins gras » tout aussi goûteux. Pourquoi ne pas en prévoir une petite quantité sur la table ? Pour les quantités, il est préférable de se limiter à 4 voire 6 tranches (100g à 150g). Une petite astuce si vous ne voulez pas avoir l’impression de vous priver : présentez des demi-tranches. Royal ! Vous pourrez alors en consom-mer une dizaine sans culpabiliser.

    La charcuterieA l’instar du fromage, vous aurez la possibilité d’arbitrer entre charcuterie grasse et charcuterie « moins grasse ». La grosse différence entre froma-ge et charcuterie, c’est que dans la charcuterie le gras est clairement identifiable (ce sont les morceaux blanc), alors qu’il ne l’est absolu-

    ment pas dans le fromage (graisses « cachées »). C’est une différence impor-tante. Sachez ainsi qu’une tranche de jambon cru dont on aura ôté le gras de bordure (bords blancs) affichera moins de 5% de MG au lieu des 12% habituels. Idem pour une aiguillette de canard. Eh oui !Pensez à présenter également des vian-des blanches (dinde, poulet…), du ca-nard, du bœuf (viande des grisons, bre-saola…) Enfin, vous pouvez proposer de fines lanières d’escalopes de dinde, du cœur de canard, des œufs (sachant que 99% de la graisse se situe dans le jau-ne et qu’un œuf entier ne dépasse pas 12% de MG).

    Charcuterie « maigre » (