elections au cneser - enseignants collège a et b

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Elections au CNESER - 22 mars 2011 Enseignants collège A et collège B Listes présentées par : Contre l’étouffement bureaucratique, l’excellence par la liberté Du bon usage du CNESER Si les élections au CNESER sont souvent mar- quées par une forte abstention, c’est sans doute que de nombreux universitaires ne savent pas très bien à quoi il sert. Or, le CNESER est un organe essentiel dans la définition de la politique universitaire nationale. Rappelons, en effet, que ce conseil comprend aussi des étudiants, des représentants des personnels administratifs et techniques, ainsi que des personnali- tés extérieures à l’université. Il est consulté sur tous les textes gouvernementaux qui concernent l’enseigne- ment supérieur et la recherche, et notamment les ha- bilitations à la délivrance des diplômes nationaux. Bien qu’il ne soit en principe que consultatif, son avis inflé- chit très souvent les textes issus des bureaux du mi- nistère. Le CNESER est ainsi une caisse de résonance, voire une tribune, où s’expriment les grandes orientations de la communauté universitaire. Voter pour élire les membres du CNESER, c’est donc exprimer sa volonté de faire prévaloir une certaine conception de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’enseignement supérieur dans la nation : halte à la démagogie A entendre la gauche universitaire, excessive- ment majoritaire au CNESER eu égard à la forte abs- tention des enseignants non syndiqués, tous nos maux, dans ce domaine comme dans tous les secteurs de l’activité publique, viendraient de l’insuffisance des « moyens ». L’action principale des syndicats est donc de revendiquer pour obtenir « toujours plus », toujours plus de crédits à prélever sur les ressources d’un trésor national censément inépuisable, toujours plus de nivel- lement au plan des carrières, des disciplines et des étu- diants, toujours plus d’administration… et toujours moins de liberté et d’excellence. L’argument des « moyens » tombe aujourd’hui à plat du fait des crédits supplémentaires mis à la dis- position de l’enseignement supérieur et la recherche à la suite du grand emprunt national. Pour autant, ces res- sources, quoique d’une ampleur inégalée jusqu’ici, ne résou- dront pas toutes les difficultés car le malaise universitaire ne vient pas seulement de là. Sauf dans quelques disciplines, l’image de l’uni- versité s’est beaucoup dégradée. Les Français ont l’im- pression qu’on va de grèves en blocages tout en distribuant des diplômes dévalués. Il faut d’abord poser le bon diagnostic à propos des maux dont souffre notre domaine. Il est urgent de rappeler, d’une part, l’objectif de l’enseignement supérieur qui est, comme nous l’avons tou- jours dit, l’excellence, et, d’autre part, sa mission première qui est de produire et de transmettre un savoir de haut ni- veau, d’être un levain dans la pâte sociale en refusant le nivellement par le bas. Les forces vives engluées dans la bureaucratie S’il existait un indice de contrainte bureaucra- tique, on pourrait mesurer scientifiquement l’accroisse- ment inoui du temps administratif mis à la charge des universitaires depuis une trentaine d’années. Cette cul- ture du contrôle a priori et paperassier doit être com- battue. Cette « novlangue » creuse à laquelle toute initiative, tout projet est soumis à longueur de formu- laires doit être dénoncée. Un retour à des procédures simples, souples et adaptables selon la réalité humaine et disciplinaire. L’Administration doit être remise au ser- vice de l’enseignement et de la recherche là où les ensei- gnants ont trop souvent l’impression d’être considérés comme ses employés sans visage. La courtoisie, la reconnaissance individuelle, la simplicité de la parole donnée se perdent dans ces pro- cédures standardisées et tatillonnes qui exigeront d’un chercheur réputé la communication de son attestation d’emploi au sein de sa propre université pour lui rem- bourser huit mois plus tard un billet de seconde pour un colloque international dont il aura dû justifier l’intérêt pour l’insertion professionnelle, l’absence de prise en Union Nationale Inter-universitaire

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Elections au CNESER - 22 mars 2011

Enseignants collège A et collège BListes présentées par :

Contre l’étouffement bureaucratique,

l’excellence par la liberté Du bon usage du CNESER

Si les élections au CNESER sont souvent mar-quées par une forte abstention, c’est sans doute quede nombreux universitaires ne savent pas très bien àquoi il sert. Or, le CNESER est un organe essentieldans la définition de la politique universitaire nationale.

Rappelons, en effet, que ce conseil comprendaussi des étudiants, des représentants des personnelsadministratifs et techniques, ainsi que des personnali-tés extérieures à l’université. Il est consulté sur tous lestextes gouvernementaux qui concernent l’enseigne-ment supérieur et la recherche, et notamment les ha-bilitations à la délivrance des diplômes nationaux. Bienqu’il ne soit en principe que consultatif, son avis inflé-chit très souvent les textes issus des bureaux du mi-nistère. Le CNESER est ainsi une caisse derésonance, voire une tribune, où s’expriment lesgrandes orientations de la communauté universitaire.

Voter pour élire les membres du CNESER, c’estdonc exprimer sa volonté de faire prévaloir une certaineconception de l’enseignement supérieur et de la recherche.

L’enseignement supérieur dans la nation :halte à la démagogie

A entendre la gauche universitaire, excessive-ment majoritaire au CNESER eu égard à la forte abs-tention des enseignants non syndiqués, tous nosmaux, dans ce domaine comme dans tous les secteursde l’activité publique, viendraient de l’insuffisance des« moyens ». L’action principale des syndicats est doncde revendiquer pour obtenir « toujours plus », toujoursplus de crédits à prélever sur les ressources d’un trésornational censément inépuisable, toujours plus de nivel-lement au plan des carrières, des disciplines et des étu-diants, toujours plus d’administration… et toujoursmoins de liberté et d’excellence.

L’argument des « moyens » tombe aujourd’huià plat du fait des crédits supplémentaires mis à la dis-

position de l’enseignement supérieur et la recherche àla suite du grand emprunt national. Pour autant, ces res-sources, quoique d’une ampleur inégalée jusqu’ici, ne résou-dront pas toutes les difficultés car le malaise universitaire nevient pas seulement de là.

Sauf dans quelques disciplines, l’image de l’uni-versité s’est beaucoup dégradée. Les Français ont l’im-pression qu’on va de grèves en blocages tout endistribuant des diplômes dévalués. Il faut d’abord poserle bon diagnostic à propos des maux dont souffre notredomaine. Il est urgent de rappeler, d’une part, l’objectif del’enseignement supérieur qui est, comme nous l’avons tou-jours dit, l’excellence, et, d’autre part, sa mission premièrequi est de produire et de transmettre un savoir de haut ni-veau, d’être un levain dans la pâte sociale en refusant lenivellement par le bas.

Les forces vives engluées dans la bureaucratie

S’il existait un indice de contrainte bureaucra-tique, on pourrait mesurer scientifiquement l’accroisse-ment inoui du temps administratif mis à la charge desuniversitaires depuis une trentaine d’années. Cette cul-ture du contrôle a priori et paperassier doit être com-battue. Cette « novlangue » creuse à laquelle touteinitiative, tout projet est soumis à longueur de formu-laires doit être dénoncée. Un retour à des procéduressimples, souples et adaptables selon la réalité humaineet disciplinaire. L’Administration doit être remise au ser-vice de l’enseignement et de la recherche là où les ensei-gnants ont trop souvent l’impression d’être considéréscomme ses employés sans visage.

La courtoisie, la reconnaissance individuelle, lasimplicité de la parole donnée se perdent dans ces pro-cédures standardisées et tatillonnes qui exigeront d’unchercheur réputé la communication de son attestationd’emploi au sein de sa propre université pour lui rem-bourser huit mois plus tard un billet de seconde pourun colloque international dont il aura dû justifier l’intérêtpour l’insertion professionnelle, l’absence de prise en

Union Nationale Inter-universitaire

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charge par l’établissement d’accueil, le niveau des fi-nancements privés de la manifestation, les publicationsprojetées en langue étrangère et autres prérequis à l’al-lure d’âneries par leur inadaptation au sujet.

Sur le fond, cette « procédurisation » aveuglede tous les aspects de la vie universitaire traduit unedéfiance préoccupante à l’égard de l’initiative et dusens des responsabilités individuelles, au risque de dé-courager chacun. Sur la forme, elle se développe enune succession de demandes de justifications désor-données et redondantes pour toute espèce de choses,de l’abonnement à une revue à l’habilitation d’un di-plôme, alors que toute personne un tant soit peu infor-mée à l’échelon de la discipline jugera le projet d’unintérêt évident. Et on ne parle pas de la « réunionite »galopante qui occupe un temps croissant, au détrimentde celui de la recherche.

La raison du phénomène est sans doute à chercherdans la tradition française à la centralisation, et surtout àl’uniformisation, comme dans le fossé qui se creuse entreles personnels administratifs et la réalité vivante de chaquediscipline. C’est donc tout un état d’esprit qu’il faut réformerd’autant que, mal maîtrisée, l’autonomie des universités etdes structures intermédiaires nouvelles (PRES) risqued’ajouter une couche bureaucratique de plus à l’existante.

Optimiser la loi LRU

La loi LRU change sensiblement la donne dans l’en-seignement supérieur. Elle porte un nom engageant,puisque la liberté et la responsabilité forment un coupleprometteur. Mais une loi vaut par son application autantque par son texte, et surtout par son application initiale,qui crée une sorte de jurisprudence pour la suite. Nousserons donc particulièrement vigilants sur ce point.

La loi proprement dite s’accompagne d’une incitationau regroupement des universités. L’objectif premier estpeut-être d’ordre quantitatif : constituer des ensemblessuffisamment importants pour faire bonne figure dans lefameux classement de Shanghai, auquel on accordesans doute une révérence excessive. Il nous semble

qu’il faut en profiter pour donner plus de cohérence or-ganique à des universités, qui, il faut le dire, en sont par-fois dépourvues parce qu’elles avaient été formées, enapplication de la loi Faure, sur des critères assez hété-roclites.

Cohérence organique, cela signifie prendre les dis-ciplines (ou groupes de disciplines voisines) comme prin-cipe d’organisation d’une université plutôt que de réunirarbitrairement des enseignements disparates ; cela im-plique qu’on leur permette de disposer des moyens d’af-firmer leur personnalité et de pousser leurdéveloppement, tant par l’emploi de leurs ressourcesque par leur capacité à fixer leurs objectifs et leur stra-tégie. En somme, il s’agit pour les disciplines (ou groupes dedisciplines) de disposer d’une véritable autonomie.

Dès le début, les premières mesures prises en vertude la nouvelle loi ont fait apparaître des différences pos-sibles d’application. Dans certaines universités, les re-présentants des disciplines trouvent leur partd’autonomie exagérément réduite et se plaignent d’unetrop grande centralisation des pouvoirs au niveau prési-dentiel avec, comme conséquence, l’ajout d’une stratesupplémentaire de bureaucratie. Pour éviter de tels pro-blèmes, par souci d’efficacité et pour alléger l’appareil admi-nistratif, il convient de favoriser l’adoption d’une sorte deprincipe de subsidiarité, afin que les décisions soient prises àl’échelon qui peut les traiter au plus près et que ne remontentà l’échelon supérieur, c’est-à-dire au niveau présidentiel, queles questions nécessitant une coordination entre plusieurs do-maines. Il y a bien assez de problèmes variés dans uneuniversité pour que chacun traite (et traite bien) ceux quisont de son ressort.

A côté de ces nécessaires réglages, la loi LRU a déjàpermis l’éclosion d’initiatives prometteuses : création defondations, dispositifs d’insertion professionnelle desétudiants, développement de filières d’excellence, etc.C’est l’état d’esprit général qui est en train de changerdans le bon sens, ce sont des «spirales vertueuses» quise mettent en mouvement si la bureaucratie et une cen-tralisation trop systématique ne les étouffent pas.

Le CNESER qui sera élu le 22 mars 2011 ne pourra pas se contenter de naviguer en régime de croisière. Il devra,sur des questions inédites et dans des conditions nouvelles, prendre des positions qui engageront l’avenir. Il estessentiel qu’il le fasse avec bon sens et dans un esprit constructif. Il est essentiel que les organisations quile composent aient fait leurs preuves par leur longévité, leur constance et leur fidélité à leurs engagements.

Il est donc capital que l’UNI y soit présente en force.

Le 22 mars, votez et faites voter pour les listes de l’UNI.

Contre l’étouffement bureaucratique, l’excellence par la liberté

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www.uni.asso.fr

Les maîtres de conférences

L’UNI prend acte positivement des efforts budgé-taires consentis par le gouvernement, qui se traduisent parune hausse des salaires au recrutement des maîtres de confé-rences, la revalorisation des primes pédagogiques et desprimes de recherche et l’augmentation des promotions à l’in-térieur du corps.

Toutefois, il ne faut pas nier la réalité : la plupart desmaîtres de conférences se sentent toujours enfermés dansune carrière dont l’avancement est trop long, trop aléatoireet détaché de son investissement dans l’enseignement, la re-cherche et l’administration de sa faculté. Ce constat d’absencede reconnaissance d’une institution pour laquelle ils sont nom-breux à se battre ne peut que conduire au découragement. Ilfaut donc décloisonner le système afin que les maîtres deconférences retrouvent un espoir raisonnable d’avancementtout au long de leur carrière.

A cet égard, il est urgent d’une part de multiplier leséchelons, voire de créer une classe supplémentaire, afin d’évi-ter que les maîtres de conférences quadragénaires ne soientdéjà au taquet, ou presque, de leur rémunération.

D’autre part, il faut davantage favoriser le passage durang B au rang A.

En effet, quelle que soit la discipline, le nombre depostes de professeur est très largement insuffisant. Si bien quedes maîtres de conférences, dont la réputation scientifiqueest pourtant reconnue, n’intègrent le rang A, lorsqu’ils y ac-cèdent, qu’au terme de très longues années.

Dans certaines sections, la voie longue, ou ses équi-valents est en fait interminable. En outre, le concours del’agrégation interne, lorsqu’il existe, se révèle inadapté à la réa-lité humaine du corps. En effet, ce concours s’adresse aux maî-tres de conférences âgés d’au moins quarante ans et comptantau moins dix années de service et l’affectation des récipien-daires est fonction de leur rang de classement au niveau na-

tional. Il ne s’agit plus de jeunes collègues, libres d’attaches,mais d’enseignants chercheurs parfois pleinement investis dansleur faculté, dirigeant des masters ou des centres de recherchequi pâtiraient de leur départ. Dès lors, de nombreux maîtresde conférences se détournent de ce concours afin d’éviter dequitter leur faculté.

Les PRAG

Les PRAG sont parfois perçus, à tort, comme des en-seignants du secondaire détachés alors qu’ils sont affectés àl’Université et font pleinement partie du personnel de l’en-seignement supérieur. Ils ont même un service très supérieurà celui des maîtres de conférences puisque les PRAG dispen-sent 384 heures d’enseignements par an. Actuellement, lesystème ne les incite pas à soutenir une thèse, car la probabi-lité est grande de ne pas obtenir un poste de maître de confé-rences. Les PRAG qui sont docteurs doivent donc pouvoirintégrer prioritairement le corps des maîtres de conférences.

Les doctorants contractuels

Les écoles doctorales doivent mieux assurer la prépa-ration à l’insertion professionnelle des doctorants, par exemplepar la mise en place d’un certificat de formation que le doc-torant pourrait faire valoir dans le secteur privé et par la créa-tion d’un fichier d’offres d’emploi à destination despost-doctorants. Ces mesures, aussi simples soient-elles, sup-posent une réelle volonté des Ecoles doctorales d’accompa-gner efficacement les doctorants sur le marché du travail.

En outre, il faut rationnaliser le système de recrute-ment des maîtres de conférences car il est inadmissible deconstater que, chaque année, de nombreux jeunes docteursdont la thèse a parfois été qualifiée de façon très favorablepar le CNU, ne trouvent pas de postes.

En votant pour l’UNI, vous pouvez être sûrs que vosélus agiront systématiquement dans le sens de la promotionau mérite.

Favoriser l’évolution des carrières

Pour plus d’information, à renvoyer au 34 rue Emile Landrin 92100 BoulogneNom : ......................................................................... Prénom : ....................................................................

Adresse : .........................................................................................................................................................

CP : ................................ Ville : ......................................................................................................................

Email : ........................................................................ Tel : ............................................................................

Etablissement : ........................................................... Filière : .......................................................................

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adhérer à l’UNI, joindre à l’ordre de l’UNI un chèque de 50 €

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Elections au Conseil National de l’enseignement supérieur et de la recherche Scrutin du 22 mars 2011

Listes : Union Nationale Inter-universitaire

1 ZATTARA Anne-Françoise La Réunion MCF - Droit privé et sciences criminelles 01épouse GROS

1 bis SANTONI Pierre Aix-Marseille 2 MCF - Odontologie prothétique 58-02

2 DAURY Morgane Amiens MCF - Droit privé et sciences criminelles 01épouse FAUVEAU

2 bis JUGé Marcel Nantes MCF - Sciences du médicament 86

3 BOUGI Gilbert Aix-Marseille 3 MCF - Sciences économiques 05

3 bis SEBAGH Thierry Aix-Marseille 3 MCF - Sciences économiques 05

4 PAGNAC Romain Bordeaux 4 DC -Droit privé et sciences criminelles 01

4 bis VERDIER Marie-France Bordeaux 4 MCF - Droit Public 02

5 POUYSSEGUR Valérie Nice MCF - Odontologie prothétique 58-02épouse ROUGIER

5 bis TERESTRI Pierre Nice MCF - Chirurgie buccale 57-02

6 DELLAGI Sofiène Metz MCF - Génie informatique, automatique et traitement du signal 61

6 bis BASTRIOS Roger Perpignan PRAG - Lettres modernes

7 BRUNET Sylvie Bordeaux 2 MCF - Chirurgie buccale 57-02

7 bis DABADIE Henry Bordeaux 2 MCF - Thérapeutique 48-04

8 CAUSSé Elisabeth Toulouse 3 MCF - Biochimie et biologie moléculaire 44-01

8 bis VOYNNET Catherine Paris 2 MCF - Sciences de gestion 06épouse FOURBOUL

9 BOMPAIRE Claire Paris 4 MCF - Langue et littérature française 09épouse EVESQUE

9 bis CHASSAING Jean-François Paris 10 MCF - Histoire du droit et des institutions 03

10 HELLEGOUARC’H Michèle Paris 12 MCF - Langue et littérature française 09épouse BOISGARD

10 bis RAYMOND Patrice Dijon MCF - Droit public 02

11 CHABLE Hélène Limoges MCF - Biochimie et biologie moléculaire 44-01

11 bis PAUVERT Bertrand Mulhouse MCF - Droit public 02

COLLEGE

B

COLLEGE

A

1 FRANCES Yves Aix-Marseille 2 Medecine Interne 53-01

1 bis STOFFEL-MUNCK Philippe Paris 1 Droit privé et sciences criminelles 01

2 LAQUIEZE Alain Paris 3 Droit public 02

2 bis COIFFARD Laurence Nantes Pharmacie galénique 85

3 SORIANO-GAFIUK Florence Nancy 1 Mathématiques 25

3 bis FASQUELLE Daniel Littoral Droit privé et sciences criminelles 01

4 KENFACK Hugues Toulouse 1 Droit privé et sciences criminelles 01

4 bis CROUZATIER Jean-Marie Toulouse 1 Droit public 02

5 BRAMOULLé Gérard Aix-Marseille 3 Sciences économiques 05

5 bis MOULIN Joanny Aix-Marseille 1 Langues et Littératures anglaises 11

6 BOSCO David Nice Droit privé et sciences criminelles 01

6 bis MAHLER Patrick Nice Odontologie 58-03

7 HAMY Antoine Angers Chirurgie générale 53-02

7 bis CARON Monique-Marie Lille 2 Pédodontie 56-01épouse ROUSSET

8 NOURISSAT Cyril Lyon 3 Droit privé et sciences criminelles 01

8 bis PECQUET Pascal Montpellier 1 Sciences de Gestion 06

9 DEHEUVELS Paul Paris 6 Statistique 26

9 bis MONNEYRON Frédéric Perpignan Littératures comparées 10

10 OUSTEN Yves Bordeaux 1 Génie électrique, électronique, photonique et systèmes 63

10 bis DALLAY Dominique Bordeaux 2 Gynécologie et obstétrique 54-03

11 ARMAND Serge Toulouse 3 Prothèses 58-02

11 bis GOHIN Olivier Paris 2 Droit public 02

Le 22 mars, votez et faites voter pour les listes de l’UNI.