Si la connaissance était un bien culturel comme les autres
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Si je veux et quand je veux !
C’est BYOL
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Apprentissage croisé, contextuel et fortuit…
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Ce qui compte, c’est la destination, pas le véhiculeLearners today are presented with myriad opportunities to engage with learning content. They can turn to Blogs, Twitter, wikis, social networks, video sites, etc. to find valuable information about any subject.Certains outils sont complètement désincarnés commes le sont les moteurs de recherches, d’autre sont des médiateursComment rester pertinent, comment évoluer aisément sans avoir accès en permanence sans être connecté à des contenus,Quelle est la part du formel et de l’informel une connaissance sans cesse renouveléeGoogle : chercher, prendre des notes à plusieurs (collaboratif- FB : échanger avec les amisEvernote : partager ses notesTwitter : reformulation, Réponses à des questions- Fils de nouvelles (RSS) sur votre métierSyndication, curation de contenuLinkedIn recommander et mettre en relation des personnes avec des offres d’emploi , avec les compétences nécessaires pour les exercer et donc désormais les formations permettant de les acquérir. (Rachat de Lynda 1,5 Milliard de $)On va former tout le temps et tout au long de la vie avec du contenu
Les contenus ont des super-pouvoirs
Les contenus ont des super-pouvoirs
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Premier bénéfice, l’engagement avec l’Interactivité des contenus, la vidéo, l’audio, icono, exercices qui deviennent des jeux, notices et antisèches, les MOOC…La fin de l’obsolescence, les contenus ont plusieurs vies, ils sont presque immortelsIls sont repris, modifiés, complétés, refondus, c’est de la matière vivante modulable et évolutive3. L’entreprise peut créer un véritable capital de contenus réutilisables à des fin de formation, avec un gain substantiel de temps et d’argent pour les produire. La formation kleenex qui coute un bras, c’est terminé4. Les contenus communiquent entre eux, ils vont s’agréger, ils vont être replacés dans un contexte particulier (un métier), et s’adapter à un écosystème personnalisé, le votre.Trouver des exemples
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Massive Online Open Courses Personne n’aurait imaginé il y a 20 ans que 300 000 étudiants puissent suivre à distance le même cours, dispensé gratuitement par une sommité de Harvard ou de Stanford.les Moocs (Massive open online courses) arrivent dans les entreprises, en étant rebaptisés Cooc (C pour Corporate) ou encore Spoc (Small private online courses). En 2020, au moins une douzaine d’université proposeront de passer des diplômes avec du contenu 100% MoocLe cours dispensé en ligne n’a de sens que relié à des forums d’échange entre apprenants.Le mooc c’est rien, c’est comme avantdes vidéos et des quizz, sur une plateforme dédiéec’est gratuit et on peut s’inscrire où qu’on soit sur la planèteC’est massif, une communauté se met en place, un travail de groupe / elearning classiqueAsynchrone, chacun à son rythmeCoursera (2012) 3M d’inscrits ? pour les meilleurs facs du monde (+60 université)C’est pas offline, c’est pas multisupportCréation d’un marché économique numérique, comme google, comme FBDynamique de co-construction
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Enseigner à l’envers pour apprendre à l’endroit
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Apprendre en mode « Pull »
On apprend toujours seuls mais jamais sans les autresPr Philippe Carre
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les idées des uns et des autres dans leur diversité, se mélangent, se croisent, s’entrechoquent, et se fertilisentInteraction sociale : partage de conaissance, d’expérience, méthodo, d’outils… Comme avant mais avec l’outil appropriéEx : des entreprises comme Saint-Gobain où des plateformes collaboratives sont instaurées pour favoriser les échanges et les discussions au sein de l’entrepriseaccès aux contenus de formation en mode « pull », à la demande, au moment où on en a besoin.En Push : Créer, distribuer et partager : avant réservé aux experts, aujourd’hui ouvert à tous
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Le médium c’est le messageMarschall McLuhan
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« Every breath you takeEvery move you makeEvery bond you breakEvery step you take I’ll be watching you »
StingPhilosophe Internet
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Formation adaptativeLa différence entre une carte routière et un GPS
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Du faire savoir au savoir faire
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Ce n’est pas la technologie qui est compliquée, c’est le changement
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Transformer les collaborateurs en « intrapreneurs »
