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Quand la mémoire TOULOUSAINE se raconte... Pages 12 et 13 Y. Delpech Le “Sandy An” bientôt rue Alsace Page 24 Égalité, parité Najat Vallaud‐ Belkacem à Toulouse Page 05 Air France Toulouse ne sera pas épargnée Page 10 Jeudi 8 Août 2013 - 1 € - Numéro 575 (15 e année) www.lejournaltoulousain.fr Un autre accent pour l’info locale Exclusif Maroc Mohammed VI, la force tranquille du Maghreb Pages 06 et 07 TOULOUSAIN TOULOUSAIN Le Le ©Franck Alix/JT ©DR ©DR

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Page 1: Edition Num575okkkkkkk

Quand la mémoire

TOULOUSAINEse raconte...

Pages 12 et 13

Y. DelpechLe “Sandy An” bientôt rue Alsace

Page 24

Égalité, paritéNajat Vallaud‐Belkacem à Toulouse

Page 05

Air FranceToulouse ne sera pas épargnée

Page 10

Jeudi 8 Août 2013 - 1 € - Numéro 575 (15e année) www.lejournaltoulousain.fr

Un autre accent pour l’info locale

Exclusif MarocMohammed VI,la force tranquilledu Maghreb

Pages 06 et 07

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

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Page 2: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frLE JT VOUS APPARTIENT02

GROUPE DE PRESSE PREMIERE RÉPONSE

SIEGE SOCIAL :2 rue d’Austerlitz (près Place Wilson),

31000 Toulouse

Tél. : 05 34 40 60 32/Fax : 05 34 40 69 31

jtoulousain@premiere‐reponse.com

Registre du commerce : RCSB 414 832 089

N° Commission Paritaire : 0514 C 83361

ISSN : 1635‐35‐95

Dépôt légal à parution

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION :Marcial‐Gérald Layani

[email protected]

COORDINATION DE LA REDACTION :Thomas Simonian

thomas.simonian@premiere‐reponse.com

SECRETAIRE DE REDACTION :Claire Manaud

jtoulousain@premiere‐reponse.com

COORDINATION TECHNIQUE :Marie‐Agnès Espa

REDACTION :Coralie Bombail, Marie‐Agnès Espa,

Claire Manaud, Elsa Nardari, Ariane

Riou, Séverine Sarrat, Thomas Simonian

Aurélie Renne

Stagiaire : Leslie Salvat

ONT COLLABORE A CE NUMERO :Mehdi Djebbari, Stéphanie de Balorre,

Alexandra Foissac, Jean‐Paul Réoule

PHOTOGRAPHE :Franck Alix

EDITORIALISTES :Patrick Aubin, Stéphane Baumont,

Thierry Deville, André Gallego,

Francis Manaud

COORDINATION CULTURE :Elsa Nardari

elsa.nardari@premiere‐reponse.com

COORDINATION SPORT :Séverine Sarrat

severine.sarrat@premiere‐reponse.com

COORDINATION ÉCONOMIE :Séverine Sarrat

severine.sarrat@premiere‐reponse.com

COORDINATION POLITIQUE:Thomas Simonian

thomas.simonian@premiere‐reponse.com

MAQUETTE :Céline Bissutil, Guillaume Bruel

celine.bissutil@premiere‐reponse.com

Marion Le Diagon (Stagiaire Axe Sud)

COMMUNITY MANAGER/MARKETING :Thomas Gilles

thomas.gilles@premiere‐reponse.com

PUBLICITE :Catherine Larcher 06 26 90 02 13

catherine.larcher@premiere‐reponse.com

SERVICE COMMERCIAL :Alexandre Vaquer :

alexandre.vaquer@premiere‐reponse.com

PROMOTION KIOSQUES :Nathalie Assandri

nathalie.assandri@premiere‐reponse.com

DIFFUSION ABONNES :Abdel Gaad

abdel.gaad@premiere‐reponse.com

ANNONCES LEGALES :Claire Manaud ‐ Tél. : 05 34 40 60 32

a.legales@premiere‐reponse.com

Le Journal Toulousain est habilité à pu‐

blier les annonces légales et judiciaires

en Haute‐Garonne ‐ Tarif préfectoral

2013 : 4 € HT la ligne.

IMPRESSION EN U.ETirage Journal Toulousain : 12 000

ex./semaine ‐ Diffusion Médiapost ‐ Ti‐

rage La liberté d’entreprendre : 5 000

ex./semaine ‐ Diffusion Médiapost

Audience mesurée par

ABONNEMENT : 99 €

Fondateur : André Gallego

TOULOUSAINLe Sommaire

Egalité Femmes‐Hommes et politique de la villeDeux Ministres à Toulouse

Page 05

Mohammed VILa force tranquille du Maghreb

Pages 06 et 07

Les jeunes UDI commencent à se mobiliser

Page 08

A gauche de Cohen que se passe‐t‐il?

Page 08

La Maison Midi‐Pyrénées ferme ses portesPhilippe Guérin : «Elle était deve‐

nue obsolète»

Page 04

VolleyLes Spacers passent à autre chose

Page 14

Actu

Air FranceUn plan plus important que prévu

Page 10

Economie

Quand la mémoire toulousainese raconte...

Pages 12 et 13

Abarth 595C Turismo :du pur plaisir

Page 14

Auto

Culture

Sports

engagez-vous

Parce que les Ecrits restent…

Un autre accent pour l’info locale

TOULOUSAINLe

Pour 1€…Chaque semaine, oui…

Depuis 1997 le Journal Toulousain est habilité à publier les annonces légales et judiciaires… [email protected]

Avec nous, pour défendre

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ros. F

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Oggy et les cafards, d’Olivier Jean‐MarieCafard‐naüm

Page 15

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DossierExclusif Maroc

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Page 3: Edition Num575okkkkkkk

03Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

EditorialPar Marcial-Gérald LayaniDirecteur de la publication

Bonnes vacances !

Oubliée la grisaille d’une criseéconomique et financièrequi n’en finit plus… Et qui

provoque malheureusement le faitqu’un Français sur deux ne partirapas en vacances. Il est pourtantenfin temps de profiter de la cani‐cule actuelle, de couper les Smart‐phones et de profiter à plein de la

respiration offerte par ces vacancesestivales. La rédaction de votrehebdo a donc décidé de partirbronzer sur les plages, pour revenirau plus vite et en pleine forme, etainsi participer à la nouvelle saison

qui s’annonce pleine de promesses.Car dès le mois de septembre, l’ac‐tualité sera intense avec une rentréesociale agitée (manifestation sur lesretraites prévue pour le 10 septem‐bre) et une campagne municipaleprête à toutes les surprises … LeJournal Toulousain se prépare donc àêtre sur tous les fronts, et toute notre

équipe réfléchit déjà à un cer‐tain nombre d’innovationspour vous séduire toujours enplus grand nombre… Plus que jamais, nous sou‐haitons être le média deproximité des Toulousains,celui avec lequel vous aimez

vous informer autrement. En ver‐sion papier ou numérique, voire enweb tv, le Journal Toulousain seradans les mois à venir plus actif quejamais ! Avec cette volonté affir‐mée de vous ouvrir les yeux sur une

société qui ne tourne plus toujourstrès rond ! Parmi les nouveautés,nous lançons un Club des Parte‐naires dont le but affiché est devous fédérer autour d’un conceptambitieux pour « que Toulousejoue enfin dans la cour des grands! » Les vacances sont aussi le tempsdu repos et de l’oubli. Profitez‐donc de ces moments en famillepour oublier le temps de quelquesjours, les tracas qui font votre quo‐tidien… Profitez surtout des gensque vous aimez, car l’essentiel estlà. Je vous donne rendez‐vous le 22août pour le retour de votre hebdodans les kiosques, et le 29 aoûtavec des enquêtes inédites et unjournal toulousain toujours pluscomplet.

« Pour que Toulouse joue enfindans la cour des grands ! »

Page 4: Edition Num575okkkkkkk

«L

a maison Midi‐Pyrénées ne

correspondait plus aux be‐

soins des touristes, d’ail‐

leurs la fréquentation du lieu est

devenue très basse», explique Phi‐

lippe Guérin. La proximité avec

l’office du tourisme, situé derrière

le Capitole, n’a pas arrangé les

choses. A partir de septembre, le

portail internet et les applications

smartphone suffiront à informer

le public. Face à ces nouvelles

technologies, «la Maison Midi‐Py‐

rénées était devenue obsolète» re‐

connaît le président du CRT.

Quant aux cinq salariés de la rue

Rémusat, «ils seront rapatriés au

CRT», précise‐t‐il. «L’opposition ré‐

gionale réclamait depuis plusieurs

années, la fermeture de ce lieu», a

réagi par communiqué Marie

Déqué, vice‐présidente du groupe

Républicains & Territoires. Elle dé‐

nonce à la fois l’obsolescence de

cet équipement ainsi que son coût

trop important pour la Région. En

effet, cette dernière qui subven‐

tionne le CRT a très nettement

baissé le montant de la somme al‐

louée, passée de 719 000 euros (en

2012) à 542 000 (en 2013). «En

cette période de restriction budgé‐

taire, maintenir l’existence de ce

local représentait un coût trop im‐

portant», concède Philippe Gué‐

rin. Si aujourd’hui, le groupe

d’opposition se déclare satisfait de

cette fermeture, il regrette qu’elle

«ne soit pas intervenue plus tôt.»

Une fermeture trop attendue ?Selon Philippe Guérin, la décision

de fermer la Maison date d’il y a en‐

viron deux ans. Alors pourquoi avoir

tant tardé à la mettre en applica‐

tion ? «Il y a une procédure à suivre,

un bail à respecter», répond‐il. Pour‐

tant le bail se terminait fin juin der‐

nier et a pourtant été prolongé pour

les deux mois d’été : «On voulait fer‐

mer tranquillement, sans brutalité»,

justifie le président du CRT.

La reconversion du lieu est encore

inconnue. Le propriétaire est un

bailleur privé, mais l’opposition

municipale compte veiller au

grain, afin que «que la nouvelle

destination de ces locaux situés au

cœur de la Ville Rose soit conforme

aux attentes et aux besoins des

Toulousain(e)s et permette la pré‐

servation de l’identité commer‐

çante du centre‐ville historique de

Toulouse», précise le communiqué

signé par Marie Déqué, qui est

également présidente du groupe

Toulouse Métropole d’Europe à la

municipalité.

Coralie Bombail

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSE NEWS04

Dernier édito ?Je suis votre journal depuisplus de dix ans et souhaitaisrendre hommage à André Gal-lego qui a su mener jusqu’àbon port, son bateau “Le Jour-nal Toulousain” et ce, contrevents et marées. Néanmoins,par ces quelques lignes, je tiensà lui dire aussi que ses écrits,toujours empreints de bonsens, vont manquer à ses lec-teurs, très nombreux et assidusà Toulouse. Allez, ce n’estqu’un au revoir…

David B.

Chaleur sur ToulouseJ’ai beaucoup apprécié votreFocus dans le Journal Toulou-sain de la semaine dernière surles différentes manières de seprotéger de la chaleur. Je l’aitrouvé très frais si je puis dire.

Mireille

Concert du 14 juilletPlutôt sympa votre bilan sur le14 juillet avec Yvan Cujious.Mais il est vrai que vue la qua-lité de ce dernier concert au-quel nous avons assisté enfamille, peut-être va-t-il êtredifficile pour les organisateursde faire mieux l’an prochain ?En tout cas, il nous tarde l’édi-tion 2014.

Jean-Pierre

Un concert en plein centre deToulouse, c’est super mais cequi l’est moins, ce sont les al-lées Jean Jaurès qui ont été fer-mées dès le jeudi matin, soitquatre jours avant le jour J.C’est un peu trop tôt.

Maxime

Stationnement en centre-villeJ’ai été effaré par votre dossiersur le stationnement dans Tou-louse. Cette ville est devenued’année en année impraticablepour les automobilistes. Entreles travaux, le nombre deplaces de stationnement réduitcomme une peau de chagrin,les vélos qui font souventn’importe quoi, ça devient im-possible.

Luc

La quinzaine de stationnementgratuit jusqu’au 15 août est uneexcellente initiative. La mettreen place aussi pendant la pé-riode de Noël serait égalementune bonne chose. Cela redon-nerait certainement du baumeau cœur aux commerçants ducentre-ville.

Marie

COURRIER des LECTEURS

[email protected]

LA MAISON MIDI-PYRÉNÉES FERME SES PORTES

Philippe Guérin : «Elle était devenue obsolète»Ouverte depuis dix ans rue Rémusat, la Maison Midi‐Pyrénées fermera ses portes à la fin du mois d’août.

La décision est tombée la semaine dernière, mais elle est dans les cartons depuis “près de deux ans”,

selon Philippe Guérin, président du Comité Régional du Tourisme (en charge de l’animation du local).

Le point sur les raisons de cette fermeture.

"Non à la corrida" : LUSH voit rouge Mercredi dernier, rue Saint‐Antoine du T à Toulouse, LUSH, a organisé un happening pour dénoncer

la pratique de la tauromachie avec comme slogan “Non à la corrida”. Pour l’occasion, la marque

de cosmétiques collabore avec l’association Animalsace qui n’en est pas à son premier coup d’essai en matière

de manifestation ou autre événement en faveur de la cause animale.

L’enseigne anglo‐saxonne

LUSH est connue pour fabri‐

quer elle‐même ses produits

de beauté à base essentiellement

de fruits et légumes frais d’origine

biologique. Se disant «soucieuse du

respect de l’environnement», et

«contre les tests sur les animaux»,

elle mène parfois des campagnes

environnementales ou sociales.

Mercredi dernier, la marque s’est al‐

liée à l’association Animalsace pour

lancer un happening de grande en‐

vergure, dans toutes les boutiques

LUSH implantées en France mais

aussi au Luxembourg. Celle de Tou‐

louse a évidemment participé à

l’événement. Sa responsable ex‐

plique : «C’est une action qui vise à

sensibiliser le grand public. Les gens,

parce qu’ils ne voient pas certaines

choses, ne veulent pas en entendre

parler. 700 taureaux meurent tous

les ans sous les coups des toreros.»

Selon Animalsace, 57% des Fran‐

çais seraient contre la tauromachie.

«On veut bien voir ce que l’on veut voir»

Alors que des employées distri‐

buaient des tracts avec ce slogan :

«La torture n’est pas dans notre cul‐

ture», l’une d’entre elles habillée de

blanc a mimé un taureau agonisant

dans l’arène. Des banderilles plan‐

tées dans le dos. Couverte de faux

sang. À plat ventre sur les pavés, la

jeune femme est restée sans bou‐

ger sous le regard interloqué des

passants. Certains ont manifesté

leur soutien à la cause “Anti‐cor‐

rida”, en allant signer la pétition à

disposition dans la boutique en vue

de l’organisation d’un référendum.

D’autres se sont montrés plus réti‐

cents : «C’est glauque ! Les enfants

ne devraient pas voir ça au beau mi‐

lieu de la rue ! C’est un peu trop…»

s’est exprimée une maman qui pas‐

sait avec ses bambins. Des militants

étaient présents aussi pour l’occa‐

sion. L’un d’entre eux, Sybille Civet

répond : «On veut bien voir ce que

l’on veut voir ! Le parallèle avec

l’homme choque plus mais il ne faut

pas oublier que c’est ce que vivent les

taureaux dans les arènes.»

Le 21 septembre dernier, le Conseil

Constitutionnel a jugé conforme à

la Constitution la pratique de sé‐

vices sur les animaux lors de corri‐

das. En effet la tauromachie a été

classée patrimoine immatériel

français par le Ministère de la Cul‐

ture. LUSH a donc pour l’occasion

créé un exfoliant de corps du nom

de “Sangria”. L’intégralité de la re‐

cette de ce produit doit être rever‐

sée à l’association Animalsace.

Leslie Salvat

© L

eslie

Sa

lvat

La Maison Midi‐Pyrénées, rue Rémusat, fermera fin août

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ranck A

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Page 5: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSE NEWS 05Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Des pompiers agressésDeux pompiers ont été agressés sa‐

medi à la Reynerie. Ils ont été pris à

partie alors qu’ils intervenaient

pour porter secours à une femme

âgée, tombée chez elle. L’un d’eux

a reçu un coup de pied à la tête et

leur ambulance a été caillassée. Un

acte minable qui a indigné la classe

politique dans son ensemble et la

population.

Braquage au Quick de GramontLes employés du restaurant Quick

Gramont de la route d’Agde ont eu,

dimanche soir, une fin de semaine

plutôt rude. A la fermeture, des in‐

dividus armés les ont contraints à

réintégrer les locaux pour se faire

remettre la recette. La même en‐

seigne, rue Vauquelin, avait déjà

subi ce type d’agression au mois de

juin.

STARS DU MOIS D’AOÛT

Rendez-vous avec les étoiles !Le mois d’août est devenu celui des astronomes. Professionnels, amateurs,

les occasions seront nombreuses pour tous ce week‐end de profiter de la Nuit

et du week‐end des étoiles.

COUP DE PROJECTEUR SUR…

Jean Cocteau : le théâtre de sa vie à Paul Dupuy

Jusqu’au 1

erseptembre, le

musée Paul Dupuy expose des

manuscrits, dessins et ou‐

vrages originaux signés du célèbre

auteur Jean Cocteau. A l’occasion

du Marathon des mots, le musée

des Lettres et Manuscrits de Paris

a mis à disposition des pièces de

sa collection. On y trouve ainsi les

éditions originales d’“Antigone” et

de “Roméo et Juliette”, un feuillet

du manuscrit autographe du “Fan‐

tôme de Marseille” (monologue

écrit pour Edith Piaf), ainsi que

quelques dessins comme son au‐

toportrait, ou celui réalisé pour

l’affiche de la pièce “La Machine

infernale”. L’exposition, intitulée

“Le théâtre de Jean Cocteau”,

plonge le visiteur dans l’univers et

l’inspiration de l’écrivain, tout en

revenant sur les épisodes mar‐

quants de sa vie personnelle. Sa

rencontre avec Edith Piaf et son

histoire d’amour avec Jean Marais

sont retracées. On découvre éga‐

lement certaines correspon‐

dances poignantes, telle la lettre

envoyée à sa “très chère petite

fille”, dans laquelle Jean Cocteau

exprime son épuisement physique

et ses doutes : «Je me demande si

j’aurai la force de monter le specta‐

cle d’Œdipe Rex», écrit‐il. On est

en 1952. Jean Cocteau s’éteindra

onze ans plus tard, le 11 octobre

1963. Un jour après Edith Piaf.

Coralie Bombail

Musée Paul Dupuy

13 rue de la Pleau

31 000 Toulouse

05 61 14 65 50

Exposition gratuite

Il y a un an se posaitCuriosityLe 6 août 2012, Curiosity se posait

avec succès sur Mars. Ce robot réa‐

lisé par la NASA doit permettre d’en

savoir davantage sur la planète

rouge. Un anniversaire en guise de

cocorico puisque Curiosity utilise

deux instruments à participation

française dont le toulousain Chem‐

Cam réalisé par l'IRAP, laboratoire

de Toulouse (caméra laser).Ces deux

équipements essentiels à la mission

MSL Curiosity ont été coordonnés

par le CNES et sont présentés à la

Cité de l’espace dans l'exposition

“Explorez Mars”.

Deaflympics 2013Chapeau bas aux athlètes français

qui ont ramené onze médailles des

Deaflympics 2013, à Sofia en Bulga‐

rie. Lors de ces J.O pour les sportifs

sourds, du 25 juillet au 5 août, la dé‐

légation française s’est distinguée

dans de nombreuses disciplines, cy‐

clisme, tennis, judo et kata judo et

notamment le Mazamétain Kévin

Chazottes pour sa médaille d'or au

1000m cyclisme.

Sous une chaleur écrasante,

jeudi dernier, les quartiers

toulousains de la Reynerie, la

Faourette et Bagatelle ont reçu la

visite de la ministre des Droits des

femmes, porte‐parole du gouver‐

nement, Najat Vallaud‐Belkacem

et du ministre délégué auprès de

la ministre de l'Egalité des terri‐

toires et du Logement, chargé de

la Ville, François Lamy. Une demi‐

journée bien remplie, avec, pour

commencer une rencontre avec

l’association “Parle avec elles” qui

œuvre pour la valorisation des

compétences des femmes vivant

dans des quartiers populaires, puis

la visite du Boxing Toulouse Baga‐

telle et pour terminer une table

ronde au Centre culturel Henri

Desbals pour échanger avec les

membres de la compagnie de

théâtre Nelson Dumont qui mène

des actions culturelles avec les ha‐

bitants. L’objectif ministériel : faire

la promotion de l’égalité femmes‐

hommes dans les quartiers popu‐

laires car selon François Lamy :

«L’égalité femmes‐hommes est un

enjeu majeur. Une véritable bataille

doit s’engager dans nos quartiers.»

Pour Najat Vallaud‐Belkacem, «la

question qui devra être soutenue

est celle de la garde d’enfants. Le

taux d’emploi des femmes n’a cessé

de se dégrader depuis 2008 dans les

quartiers. C’est en partie lié au fait de

ne pas avoir de solution en matière

de garde d’enfants.» Et la ministre

de préciser : «La préscolarisation

avant l’âge de trois ans est un exem‐

ple de solutions que nous allons

conduire. Le gouvernement a décidé

de concentrer sur les quartiers popu‐

laires cette ouverture de postes dans

l’Education Nationale pour accueillir

les enfants de moins de trois ans.»

Vers la fin du mille-feuille de dispositifs ?Selon Najat Vallaud‐Belkacem «fa‐

ciliter la garde d’enfants peut être un

vrai levier.» Pour ce faire, le duo de

ministres travaille de concert et

François Lamy développe : «la réno‐

vation urbaine va aider à cela puisque

nous allons construire, dans les fu‐

tures opérations de rénovations ur‐

baines, de grands appartements.

Lorsque vous faites un six pièces en

rez‐de‐chaussée, vous pouvez accueil‐

lir une micro crèche et donc faire tra‐

vailler des assistantes maternelles du

quartier et accueillir les plus jeunes.»

Autre précision importante : le gou‐

vernement va simplifier la politique

de la ville et ses dispositifs. Le minis‐

tre délégué auprès de la ministre de

l'Egalité des territoires et du Loge‐

ment, chargé de la Ville, a annoncé :

«Nous allons simplifier le zonage.

750 Zones Urbaines Sensibles (ZUS),

24 480 quartiers en Contrat Urbains

de Cohésion Sociale (CUCS), 400

Zones de Redynamisation Urbaine

(ZRU), 200 Zones Franches Urbaines

(ZFU)… Bref, tout cela c’est terminé,

nous allons parler de quartiers priori‐

taires. Ces derniers seront définis

avec une méthode bien précise là où

il y a des concentrations de pau‐

vreté.» Fini donc le millefeuille de

dispositifs plutôt complexes qui

parfois se superposent. «On a voulu

faire plaisir à tout le monde et finale‐

ment on a un saupoudrage qui est

devenu totalement inefficace, mieux

vaut reconcentrer les aides pu‐

bliques» énonce François Lamy.

Côté calendrier, le ministre a an‐

noncé des réflexions jusqu’à la fin

de l’année pour une décision début

2014, de même que la publication

d’une liste provisoire des quartiers

prioritaires avant la fin de l’année

«par souci de transparence.»

Marie‐Agnès Espa

EGALITÉ FEMMES-HOMMES ET POLITIQUE DE LA VILLE

Deux ministres à ToulouseJeudi 1

eraoût, Najat Vallaud‐Belkacem, ministre des Droits des femmes, porte‐parole

du gouvernement et François Lamy, ministre délégué auprès de la ministre de l'Egalité

des territoires et du Logement, chargé de la Ville, sont venus à Toulouse à la rencontre

des associations des quartiers populaires.

INOUT

L’autoportrait de Jean Cocteau au musée Paul Dupuy Pierre Cohen, François Lamy et Najat Vallaud‐Belkacem au Centre culturel Henri Desbals

«U

n peu plus près des étoiles,

au jardin de lumière et

d’argent… » Voilà ce qui

attend ce week‐end, amoureux du

ciel et amateurs d’étoiles filantes.

Comme tous les mois d’août, les

scintillantes font leur retour pour le

plus grand plaisir des petits et des

grands ! Les rendez‐vous sont nom‐

breux pour ce fameux week‐end

des étoiles et notamment à Tou‐

louse où la Cité de l’Espace organise

la “Nuit des étoiles” ce vendredi 9

août de 19h30 à 1h du matin. Au

programme de la 23e

édition de

cette grande soirée astronomique

inédite et gratuite, dans le jardin et

le Planétarium : plusieurs anima‐

tions, observation du soleil, décou‐

verte et initiation au décryptage du

ciel avec des télescopes, des astro‐

nomes amateurs et des cartes, une

exposition, le lancement de fusées

à eau. Les observations se poursui‐

vent la nuit du samedi 10 août : à

partir de 21h, la Société d’Astrono‐

mie Populaire donne rendez‐vous

aux Toulousains dans le jardin de

l’observatoire de Jolimont, les cou‐

poles seront accessibles. A Ramon‐

ville Saint Agne, place Jean Jaurès à

partir de 21h30, l’association Pla‐

nète Sciences Midi‐Pyrénées, pro‐

pose une soirée d’observation au

cours de laquelle le public sera in‐

vité à contempler le coucher de

Vénus et de Saturne, entre autres…

De quoi rêver, bader et avoir la tête

dans les étoiles ! Une fois le soleil

couché, Véga, Altaïr et Deneb, les

“trois belles d’été” se dévoileront

et, peut‐être, les étincelantes

larmes de Saint Laurent fileront les

cieux.

Marie‐Agnès Espa

Les jeudis nocturnes de la Cité de l’EspaceJusqu’au 22 août, le jeudi, la

Cité de l’Espace garde ses

portes ouvertes jusqu’à 23h.

Lors de ces nocturnes d’été,

la Cité propose des anima‐

tions, des feux d’artifice… Et

ces jeudis‐là, à partir de 19h,

l’entrée est à demi‐tarif.

BON PLAN DU JEUDI

Page 6: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frEXCLUSIF MAROC06

MohamLa force tranqu

En 2010, l’Afrique du nord

croyait enfin à un renouveau

démocratique… En 2011, le

monde soulignait la spontanéité du

Printemps arabe… C’était le temps

où le seul média panarabe, la

chaîne de télévision Al Jazeera, en‐

tièrement financée par le Qatar,

soutenait les opposants aux ré‐

gimes autoritaires de la région et

encourageait la prétendue démo‐

cratisation des peuples. C’était aussi

le temps où en Afrique du Nord et

au Proche‐Orient, des mouve‐

ments de contestation populaire

prenaient forme. Ils incarnaient les

aspirations démo‐ cratiques et le lé‐

gitime ras‐le‐bol des citoyens à

l'égard des régimes tyranniques et

corrompus qui les gouvernaient. Ils

allaient parvenir à provoquer leurs

chutes, mettant fin à des situations

qui n'étaient plus acceptables aux

yeux de la majorité de l'opinion pu‐

blique internationale. Des peuples

arabes qui notamment, regardaient

ébahis les dirigeants de la France

parler de la Révolution française,

des Droits de l'Homme, et en

même temps “commercer” avec

ces dictateurs, les flatter et même

leur vendre des armes.

Mais aussi avec quelques question‐

nements sur les origines de ces ren‐

versements politiques… Pourquoi

maintenant ? Comment ? Qui sont

ces héros inconnus ? Comme le re‐

levaient à l’époque quelques ex‐

perts de l’Euro‐méditerranéen…

Comprendre les rôles insidieux

joués par les nouvelles technolo‐

gies de communication Face‐

book, Twitter et d’autres, pour

informer, rassembler, soutenir,

financer.

Sauf qu’aujourd’hui, il semblerait

que derrière ces dénouements

heureux se cacherait une réalité

bien différente. En donner une

lecture plus objective démontre‐

rait que pour une grande part, ce

“Printemps Arabe” n’est que le ré‐

sultat d'un tissu de manipula‐

tions... En fait, et peu d’années

après l’Irak, des soulèvements po‐

pulaires auraient été encouragés

et même provoqués, pour faciliter

les intérêts du gouvernement

américain de Barack Obama et de

pays européens, appuyés par le

Qatar et sa chaîne satellitaire Al‐

Jazeera. Avec des icônes reli‐

gieuses, politiques ou sociales

imaginées par la “storytelling” du

moment. Ainsi, la machine à fabri‐

quer des histoires et à formater les

esprits, aurait influencé les masses

qui ont cru, elles aussi, en ce nou‐

vel ordre idyllique. Sauf que

comme le conte ne l’écrira pas,

mis à part au Maroc, l'alliage de la

démocratie et de l'islam ne tiendra

dans aucun pays, ses promesses

de mieux vivre et de liberté. Plus,

il sera à son tour victime de ses

propres manipulateurs comme on

le voit aujourd’hui en Egypte, en

Tunisie et en Libye. Finalement un

bilan qui présentera deux vain‐

queurs : le Qatar qui en remercie‐

ment du rôle joué pour manipuler

les masses, va récupérer dans ces

pays l’exploitation des matières

premières, notamment le pétrole,

mais pas seulement…

Et le Maroc qui avec force et sa‐

gesse, saura rejeter toutes les ten‐

tatives de déstabilisation, encou‐

ragées par l’étranger. De grands

perdants : les Peuples de Tunisie,

de Libye et d’Egypte, dont le rêve

aura, comme on le voit au‐

jourd’hui, duré peu de temps…

Mohammed VI au-dessus de la mêlée…A cette époque, seul le Maroc avec

à sa tête le Roi Mohammed VI, que

son Père, Feu Hassan II, aura su

préparer à relever tous les défis,

saura résister à ce que bon nom‐

bre de témoins privilégiés qualifie‐

ront “d’un nouveau désordre

arabe”.

Ce qui n’est pas une surprise pour

celles et ceux qui depuis toujours

connaissent la dimension poli‐

tique du monarque, digne héritier

de la dynastie alaouite, descen‐

dant direct de Mahomet. Jacques

Delors, président de la Commis‐

sion européenne, qui l’aura sous sa

coupe lors d’un stage de plusieurs

mois à Bruxelles, dira de lui qu’il

«est un homme d’un rare savoir en

tous domaines, particulièrement

compétent et passionné de straté‐

gie politique et même doué d’un

sixième sens…» Rappelons qu’en

1985, le Roi Mohammed VI, ob‐

tient sa licence en droit à la faculté

des sciences juridiques, écono‐

miques et sociales de Rabat, avec

déjà pour sujet de mémoire :

“L’Union arabo‐africaine et la stra‐

tégie du royaume du Maroc en

matières de relations internatio‐

nales”. Le 29 octobre 1993, il ob‐

tient le titre de Docteur en Droit

International, avec mention, à

l'université de Nice Sophia‐Anti‐

polis en France, où il soutient une

thèse intitulée “La coopération

entre la Communauté Écono‐

mique Européenne et l’Union du

Maghreb Arabe”. Enfin, le 22 juin

2000, il est nommé Docteur Hono‐

ris Causa par l’Université George

Washington. Ceci atteste de fait

d’une formation politique et d’une

culture générale qui dénotent

avec les leaders arabes du mo‐

ment et en font un égal face à tous

les dirigeants du monde occiden‐

tal, qu’il connaît particulièrement.

Le Maroc, la référenceéconomique et socialeEn arrivant sur le trône, le 30 juillet

1999, Mohammed VI hérite d'un

pays placé au 130e

rang mondial

pour le développement écono‐

mique et social. Alors que fin 2012,

le “The Legatum Institute (LI)”, or‐

ganisme de recherche indépen‐

dant basé à Londres, réputé pour

ses études basées sur huit princi‐

paux critères de mesure à savoir :

l’économie, l’entrepreneuriat et

les opportunités, l’éducation, la

santé, la gouvernance, la sécurité,

les libertés individuelles et le capi‐

tal social, proposait son tout der‐

nier rapport sur l’indice de la

prospérité dans le monde et clas‐

sait, le Maroc à la 73e

place et

même en 23e

position en termes

de capital social. Un bond en avant

exceptionnel qui place, tous do‐

maines confondus, le royaume

chérifien en tête des pays du Ma‐

ghreb et d’Afrique. Mais aussi, en

matière d’économie pure, devant

Mosquée Hassan II à Casablanca

Page 7: Edition Num575okkkkkkk

07Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

med VIille du Maghreb

des pays comme l’Espagne, l’Italie

ou encore le Portugal, juste der‐

rière Israël... Alors que dans le

même temps tous les pays

concernés par le “Printemps

Arabe”, dégringolaient aux der‐

nières places… Même l’Algérie et

malgré toutes les richesses de son

sous‐sol est bien loin derrière.

Finalement ce n’est pas un hasard

si, conscient plus que beaucoup

d’autres des enjeux de la géopoli‐

tique internationale, l’arrivée sur

le trône de Mohammed VI,

marque alors une volonté de

changement qui apporte ses fruits

dix ans plus tard. Ainsi, lors de son

début de règne, il s’engage à re‐

dresser l'économie marocaine, à

lutter contre les inégalités sociales

et à rendre le Maroc attractif aux

IDE. Pour cela, il lance une poli‐

tique de grands chantiers et dé‐

veloppe les infrastructures du

pays qui compte aujourd’hui de

nombreuses autoroutes, des

tramways, et même un TGV qui

reliera Tanger à Casablanca puis

Tanger à Marrakech et enfin Ca‐

sablanca à Oujda. Marinas,

stades, complexes et centres

sportifs de dimension mondiale

comme à Ifrane, des centres

commerciaux à dimension unique

pour l’Afrique, voient le jour en

peu d’années. Le Maroc se dote

également d'infrastructures por‐

tuaires de hauts niveaux tels que

“Tanger‐Med” ou “Nador West

Med”, qui en font, là aussi, un lea‐

der incontesté dans le domaine.

De plus, toujours sous l'impulsion

de Mohammed VI, le Maroc dé‐

cide de se mettre aussi au vert et

développe les énergies renouve‐

lables et prévoit, notamment

grâce à la centrale de Ouarza‐

zate, la plus grande d'Afrique, de

pourvoir à une partie des besoins

en électricité de la population

afin de réduire sa dépendance

énergétique. Les investissements

directs étrangers en direction du

Maroc se multiplient dans plu‐

sieurs secteurs. Tandis que le tou‐

risme reste toujours le facteur clé

de l'économie nationale et n'a

pratiquement pas été affecté par

le “Printemps Arabe”.

Le 9 mars 2011, dans le cadre du

plan de régionalisation, une nou‐

velle étape vers plus de démocra‐

tie est franchie. Ainsi Mohammed

VI annonce‐t‐il une réforme de la

Constitution, approuvée par réfé‐

rendum le 1er

juillet 2011. Elle vise

à renforcer le pluralisme, les

droits de l'Homme et les libertés

individuelles, l’égalité hommes/

femmes… ainsi que de réduire

ses pouvoirs au profit du chef du

gouvernement et du Parlement.

Désormais, le nouveau chef du

gouvernement sera choisi parmi

les membres du parti majoritaire

élu aux élections législatives an‐

ticipées. Il est à noter aussi que

les indicateurs macroécono‐

miques entre 2000 et 2013 dé‐

montrent une croissance

économique moyenne de +5%,

un PIB par habitant qui en dix ans,

aura doublé. Le taux de chômage

de la population active serait de 8

à 9 % pour la période 2011‐2012.

L'inflation a tourné autour des 1%

entre 2005 et 2010 faisant du

Maroc l'un des pays maîtrisant le

mieux cet indicateur.

Que cachent les manifestations de ces derniers jours ?En juillet 2009, pour ses dix ans de

règne, sa majesté le Roi, décide

déjà de gracier 25.000 détenus.

Voilà quelques jours, lors de la tra‐

ditionnelle Fête du Trône 2013, il

gracie aussi et d’après une liste

établie par l’administration péni‐

tentiaire, un millier de prisonniers,

dont un pédophile espagnol Da‐

niel Galvan. Ce dernier a été

condamné en 2011 à 30 ans de pri‐

son au Maroc pour des viols sur

onze mineurs. Sa libération et son

extradition vers l'Espagne vont

comme de logique susciter la co‐

lère du peuple marocain et l'indi‐

gnation sur les différents réseaux

sociaux. Des milliers de Marocains

vont manifester violemment dans

les grandes villes du pays comme

à Rabat, Casablanca, Agadir et

même Tanger. Ils réclament des

comptes aux responsables de

cette libération y compris au Roi

et montrent leur colère face à ce

scandale. Sauf que ces événe‐

ments par leur manière de se ré‐

pandre, d’être artificiellement

entretenus de l’étranger, via les

nouvelles technologies, ont un

goût de déjà‐vu. Comme un retour

en arrière qui rappelle dans toutes

les têtes, les événements 2010

dans le Maghreb…

Av e c

u n e

volonté

externe de

prendre pré‐

texte de tout,

pour déstabiliser le

Maroc et sa Monarchie.

Comment peut‐on imaginer et

faire croire à la population maro‐

caine que le Roi Mohammed VI

peut être responsable d’avoir gra‐

cié un pédophile qui se trouvait au

milieu de 1 000 noms, dont une

quarantaine de ressortissants es‐

pagnols ? Il est évident que jamais

le souverain n'aurait consenti à ce

que cet odieux personnage puisse,

au regard de l'atrocité des crimes

monstrueux qu’il a commis, ne pas

aller au bout de sa peine. En outre,

à peine informé de la méprise, le

Roi a vivement réagi, en annonçant

qu'il n'était pas au courant de la

gravité des actes du pédophile,

qu’il annulait la libération de Daniel

Galvan, arrêté depuis à Murcie…

Mais aussi que des sanctions

étaient prises à l'encontre des vrais

responsables de cette libération.

Alors, aujourd’hui que toute la vé‐

rité est faite, qu’il est démontré que

le Roi Mohammed VI a lui aussi été

abusé, qui a intérêt à mettre à feu

et à sang le Maroc ? Oui, qui est

derrière tous ces appels lancés de‐

puis l’étranger, notamment sur les

réseaux sociaux pour encourager

de nouveaux sit‐in particulière‐

ment

à Casa‐

blanca, la

c a p i t a l e

économique,

et Rabat ? Oui

qui est derrière toute

cette manipulation qui, si

on n’y prend garde, pourrait met‐

tre à terre le Maroc ? A contrario

et pour montrer son amour du

pays, il serait plus judicieux de

prendre le contre‐pied de tous

actes malsains pour l’avenir du

pays… Si les Marocains décident

de descendre dans la rue, que ce

soit pour soutenir le Roi Mohamed

VI, lui montrer leur amour et leur

reconnaissance pour avoir fait du

Maroc et en à peine treize ans, un

pays prospère, respecté de tous,

un exemple pour les autres pays

d’Afrique et du Moyen‐Orient…

Mais qui malheureusement et

comme toujours fait des jaloux…

Car c’est bien connu : si au Maroc

on n’a pas de pétrole, on a des

idées et surtout des hommes et

des femmes fiers de leurs pays

pour les appliquer et les défen‐

dre… Avec un amour incondition‐

nel pour le Roi Mohammed VI et

toute la famille Royale. Longue vie

au Roi…

Marcial‐Gérald Layani

EXCLUSIF MAROC

Tram de Casablanca

Page 8: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.fr100% POLITIQUE08

LE BILLET DE STÉPHANE BAUMONTNotre politologue

Alors que les derniers

bouchons viennent de

donner raison à “Bison

Futé” (appellation doré‐

navant incontestable au

point de condamner les

cavaliers des vacances en

jockeys de mulets n'avan‐

çant plus sur l'asphalte

autoroutière) et que le

temps des catastrophes

(des plages aux voies fer‐

rées) et des disparitions

alimentent la chronique,

le moment est peut‐être

venu, pour les politiques,

de découvrir à nouveau

une méthode d'argumen‐

tation théologique très

ancienne, développée

notamment par les jé‐

suites : la casuistique re‐

posant sur quatre piliers :

proximité, pragmatisme,

principe et performance.

Il faut en effet d'abord

être empathique et soli‐

daire des cas particuliers,

de ce qui semble petit

pour remonter vers le

plan général ; mettre au

premier plan la pratique

plutôt que la théorie ;

rappeler les principes ori‐

ginels (la philosophie et

l'histoire de l’État‐Na‐

tion, de la République et

de sa philosophie, de l'in‐

trication de l'un et de

l'autre dans l'idée et la

politique européennes) ;

enfin performance (dans

une communication poli‐

tique enfin cohérente et

des politiques publiques

permettant de relever les

défis du chômage et de la

croissance). Dès lors que les

républicains du gouverne‐

ment sauront faire naître un

style nouveau et paraître

(«qui dit la vérité de l'être»

pour R. Camus) innovant,

alors la donne électorale de

2014 pourrait mieux faire face

aux destins populistes des

municipales et des euro‐

péennes. On peut toujours

rêver ! D'autant plus que le

Conseil d’État, pour la

deuxième fois en deux ans,

vient d'annuler un arrêté mi‐

nistériel d'interdiction de la

culture du maïs transgénique

MON810 en France. C'est

désormais aux politiques

d'assumer leurs choix, pleine‐

ment, absolument, en se po‐

sant les questions qui

méritent de l'être et que rap‐

pelle Le Monde du 4 août

2013 : «qu'ont à perdre ou à ga‐

gner les agriculteurs et les

consommateurs européens à se

priver des biotechnologies vé‐

gétales ? Et jusqu'où nos socié‐

tés veulent aller dans la

domestication du vivant ?» A

l'Union européenne de sur‐

monter ses divisions pour ré‐

former un système

d'autorisation aujourd'hui

dans l'impasse ; aux poli‐

tiques et aux médias de dé‐

passer le débat manichéen et

stérile entre Pro et Anti‐OGM ;

en un mot, être enfin à la hau‐

teur de défis que la science, la

médecine, Internet lancent

au monde politique qui n'a

pas tort de juridiciser les pro‐

blématiques mais qui aurait

tout intérêt à avoir le courage

de les traiter politiquement.

En suivant le vœu de Montes‐

quieu qui souligne que «dans

un État populaire, il faut un

ressort qui est la vertu,» tâ‐

chons d'être vertueux, c'est‐

à‐dire courageux.

Soyons vertueux !

© F

ran

ck A

lix/J

T

Les jeunes UDI commencent à se mobiliser

L’UDI est un nouveau parti

qui ne fait qu’entamer sa

structuration. Les jeunes

militants centristes sont donc en‐

core en pleine friche et tentent de

mettre en place une organisation

qui puisse rapidement servir leur

cause de manière efficiente. A

Toulouse, c’est Grigori Michel

(Nouveau Centre) qui a été

nommé coordinateur depuis

maintenant plusieurs mois mais

plusieurs têtes commencent éga‐

lement à émerger… Parmi elles

par exemple, François‐Charles

Berthois (lui aussi Nouveau Cen‐

tre) et Benjamin Vignau (Alliance

Centriste). C’est d’ailleurs ce der‐

nier qui a reçu le 27 juillet dans la

ville rose, le coordinateur national

des jeunes UDI, Rami Zouaoui,

tout en soulignant «l’importance

de l’implication des jeunes dans les

instances de direction des partis

pour les dynamiser et dans le débat

politique pour avancer des idées

nouvelles voire iconoclastes.»

Après une rencontre avec les com‐

merçants du quartier St Michel et

une distribution de tracts, le pa‐

tron des jeunes UDI a également

participé à un café politique dans

un bar de la place St Etienne. L’oc‐

casion d’échanger sur des théma‐

tiques telles la mixité sociale,

l’emploi des jeunes ou la sécurité…

Certains cadres de l’UDI 31 (Phi‐

lippe Lasterle, Sandra Mourgues,

Hervé Boco et Frédéric Lacaze)

étaient présents à ce rendez‐vous

autour de leur président Jean Igle‐

sis. Rami Zouaoui n’était pas non

plus à Toulouse totalement par ha‐

sard, Jean‐Louis Borloo l’ayant

chargé de repérer 1 500 jeunes à

travers le pays susceptibles de fi‐

gurer sur les prochaines listes mu‐

nicipales… Si les têtes de l’UDI 31

paraissent bien divisées sur la stra‐

tégie à mener pour la campagne à

venir, les jeunes commencent sé‐

rieusement à pointer le bout de

leur nez. La nouvelle génération

se sent donc prête pour le combat

électoral. Mais pour être sur quelle

liste ? Celle de Jean‐Luc Moudenc,

ou celle de Christine de Veyrac ?

Thomas Simonian

A gauche de Cohen, que se passe-t-il ?

Les tractations vont bon train

à gauche du PS, et le

contexte politique national

pourrait bien décider du lende‐

main de la campagne du maire

sortant. En effet, si le Front de

Gauche a fait le choix de ne pas

appartenir au gouvernement Ay‐

rault, il en est tout autrement des

écologistes (EELV). Cécile Duflot

(égalité des territoires et loge‐

ment) et Pascal Canfin (dévelop‐

pement) font partie de l’exécutif,

mieux ils font souvent partie des

ministres les mieux notés par les

spécialistes. Pourtant la base mili‐

tante écologiste est opposée à

toute participation du mouve‐

ment dans le gouvernement, et à

la rentrée, des questions vont se

poser du côté d’EELV. Le couple

Duflot/Canfin restera‐t‐il au gou‐

vernement ? Rien n’est moins sûr.

Un tel départ aurait certainement

des répercussions sur le plan local.

Cela légitimerait le principe d’une

liste autonome (aujourd’hui pas

forcément très visible), voire favo‐

riserait les négociations avec les

frondeurs toulousains du Front de

Gauche (Jean‐Christophe Sellin et

Myriam Martin), afin de mener en‐

semble un vaste mouvement local

anti‐austérité. Une option qui fra‐

giliserait alors le premier tour de

Pierre Cohen… Mais rien n’est en‐

core écrit, et il est également fort

à parier que le Capitole ne va pas

stopper pour autant le dialogue

avec les chefs de file écologistes

de la mairie (Régis Godec et An‐

toine Maurice) pour éviter l’éven‐

tualité d’une candidature de

Gérard Onesta, et va se servir du

communiste Pierre Lacaze pour

jeter le trouble auprès des mili‐

tants du Front de Gauche. Comme

quoi politique nationale et poli‐

tique locale sont parfois étroite‐

ment liées…

Thomas Simonian

Rami Zouaoui était à Toulouse

Régis Godec et Myriam Martin dialogueront‐ils à la rentrée ?

©D

Fra

nck A

lix/J

T

Le Le

TOULOUSAINTOULOUSAINest présent sur les réseaux sociaux

@jtoulousain�

Page 9: Edition Num575okkkkkkk

09Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Page 10: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frÉCONOMIE10

MIDI-PYRÉNÉES

Le projet DecidAIEsoutenu par l’Etat«Le projet de plate‐forme mutua‐

lisée d’innovation DecidAIE est en

bonne voie !», a annoncé Martin

Malvy, président de la Région

Midi‐Pyrénées. «Arnaud Monte‐

bourg, ministre du Redressement

productif, ainsi que Fleur Pellerin,

ministre déléguée à l’Innovation,

m’ont fait savoir ces jours‐ci qu’un

comité investisseur réuni dans le

cadre de la procédure en vigueur

pour les plateformes de ce type

vient de se prononcer favorable‐

ment sur ce dossier.» Le président

Malvy avait écrit fin avril aux mi‐

nistres pour soutenir la candida‐

ture de DecidAIE au Programme

d’Investissement d’Avenir (PIA)

du Gouvernement. Parmi les

treize projets présélectionnés au

niveau national, DecidAIE est le

seul lié à la production agricole. Il

représente un investissement

global de 19 millions d’euros dont

le financement devrait être as‐

suré à 60% par des fonds privés.

Labélisée dès 2010 par les pôles

AgriMip Innovation et Aerospace

Valley, cette plate‐forme per‐

mettra de croiser des compé‐

tences issues des technologies de

l’information, de la communica‐

tion, du spatial et de l’agriculture

et de valider les innovations qui

en résultent en situation réelle,

dans les exploitations agricoles.

CRÉDIT AGRICOLE TOULOUSE

Deux nouveaux experts bancairesLe Crédit Agricole Toulouse 31

agrandit son équipe. Yvon Ma‐

lard, Directeur Général de la PME

leader en Banque, Assurance et

Immobilier, a en effet annoncé

l’intégration de deux nouvelles

recrues au siège toulousain : Oli‐

vier Ferries, nommé Responsable

du département Qualité et Inté‐

gration du Changement, et Ioan‐

nis Gianniotis, désormais Res‐

ponsable du département Opé‐

rations Bancaires et Dépôts. Ces

recrutements, qui sont la marque

d’une politique de ressources hu‐

maines dynamique, confortent le

développement du Crédit Agri‐

cole Toulouse 31, acteur majeur

de l’emploi en Haute‐Garonne.

ENTEPRISE SPANGHERO

C’est reparti !Laurent Spanghero et ses asso‐

ciés Investeam Participation 1,

opérateur financier et Jacques

Blanc, entrepreneur immobi‐

lier, annoncent le démarrage

de la chaîne de production de la

nouvelle entité « La Lauragaise

Viandes et Plats Cuisinés », le

31 juillet dernier. Cette reprise

d’activité fait suite au plan de

cession de la SAS Spanghero

homologué par la décision de

justice du 5 juillet dernier au

profit de Laurent Spanghero et

de ses associés. L’activité plats

cuisinés, et avec elle la saucis‐

serie, démarreront dans un

premier temps avec 45 salariés.

La totalité des 95 salariés an‐

noncés seront ensuite progres‐

sivement intégrés à l’activité de

l’entreprise au gré du remplis‐

sage du carnet de commandes.

EN BREF AIR FRANCE

Un plan plus important que prévuAir France vient d’activer la deuxième phase de son plan de restructuration “Transform 2015” que la direction

a annoncé lors de son dernier Comité central d’entreprise. Et si les salariés se doutaient que des emplois

seraient menacés, ils s’avouent surpris du nombre de suppression de postes, porté à 2 500.

A Toulouse, le personnel reste dans l’expectative.

«C

’est la douche froide» pour

les salariés d’Air France qui

viennent d’apprendre de

leur direction que les suppressions

d’emplois seront supérieures à ce

qu’affirmaient “les bruits de cou‐

loirs.” En effet, si les syndicats

avaient avancé le chiffre de 1 500,

c’est finalement 2 500 postes qui se‐

ront supprimés en 2014. Cependant,

les représentants du personnel ont

obtenu de la Direction, une simple

modification de la convention entre‐

prise et non une dénonciation :

«ainsi nous avons la garantie qu’au‐

cun licenciement sec ne pourra être ef‐

fectué avant 2015», explique Michel

Labeur, délégué syndical central

CFDT Air France. Il s’agira donc d’un

plan de départs volontaires (PDV)

qui, selon le porte‐parole de la com‐

pagnie, «se poursuit selon le calen‐

drier prévu depuis le lancement du

plan en janvier 2012 grâce aux ac‐

cords signés avec le personnel.» Mais

ces derniers devront attendre sep‐

tembre ou octobre pour connaître le

fond du PDV car, si le nombre est

désormais connu, les services

concernés n’ont pas été divulgués.

«Je pense que les plus touchés seront

l’exploitation et la Direction générale

industrielle», confie Michel Labeur.

Quant au personnel navigant, un

plan indépendant leur avait déjà été

annoncé au printemps dernier, vi‐

sant près de 500 postes.

Toulouse ne sera pasépargnéeAvec une prime de départ équiva‐

lent à 24 mois de salaire, les syndi‐

cats se sont attachés à garantir au

personnel un “débarquement” ac‐

ceptable, à défaut de pouvoir l’em‐

pêcher. «Nous sommes conscients

qu’une entreprise qui est dans le rouge

depuis cinq ans, ne peut pas se redres‐

ser sans plan social, mais nous

sommes tout de même parvenus à

éloigner les licenciements collectifs»,

explique le représentant CFDT. Et

l’escale toulousaine ne sera pas

épargnée par le PDV, «mais nous ne

savons pas encore à quelle hauteur»,

confie Michel Labeur. Lors de la pre‐

mière vague de suppressions de

postes, la base de la ville rose n’a pas

été la priorité, ce qui pourrait augu‐

rer qu’elle le devienne pour la se‐

conde. Toujours est‐il qu’en quatre

ans, Air France aura perdu 12 à 15

000 salariés. Mais il semblerait que

cette stratégie porte ses fruits

puisque la compagnie a divisé ses

pertes nettes par cinq depuis la mise

en place du plan “Transform 2015”.

Selon Alexandre de Juniac, nouveau

PDG d’Air France, «le groupe a dé‐

gagé un bénéfice d’exploitation de 79

millions d’euros contre une perte de 79

millions un an plus tôt.» Pour Frédé‐

ric Cuvillier, ministre des Transports,

un tel plan aurait pu être évité, «mais

les mesures n’ont pas été prises au

bon moment !» Désormais acculée,

la compagnie ira au bout de son PDV

dont les orientations devraient être

précisées lors du prochain Comité

central d’entreprise le 4 octobre pro‐

chain.

Séverine Sarrat

©F

ranck A

lix/J

T

FORMATION ET MÉTIER EN MIDI-PYRÉNÉES

Un mariage qui ne va pas de soiPhénomène récurrent, le métier exercé par les actifs correspondrait de moins en moins à leur formation

initiale. La conjoncture du marché de l’emploi en serait la principale cause, mais d’autres explications

sont également avancées par l’Insee.

Exercer un emploi dans la spé‐

cialité correspondant à son

diplôme n’est plus de mise,

et ce depuis quelques années. Ceci

découle notamment d’une offre

d’emplois potentiels de plus en

plus large à laquelle les formations

donnent accès, mais les évolu‐

tions de carrière choisies par

chaque salarié restent une explica‐

tion complémentaire. En Midi‐Py‐

rénées, comme sur tout le

territoire français, un actif sur trois

exerce une profession étroite‐

ment liée à la spécialité de forma‐

tion. Plus particulièrement, les

salariés évoluant dans les secteurs

du commerce, du tourisme et des

transports gardent peu de lien

avec leur spécialité car cette der‐

nière est applicable à nombre

d’autres professions. De même,

certains emplois comme caissier

ou employé de libre‐service sont

peu liés aux formations suivies car

ils demeurent essentiellement

pourvus par des actifs peu ou pas

qualifiés, voire par des étudiants.

En ce qui concerne les emplois

plus qualifiés, comme les em‐

ployés administratifs ou de ges‐

tion ainsi que les cadres, la raison

d’une faible association des

études au métier se trouve dans

les cursus suivis qui restent divers

et peu spécifiques. En revanche,

certaines professions manuelles

font exception par la formation

initiale ciblée nécessaire à l’exer‐

cice. Ainsi 80% des coiffeurs et des

esthéticiens gardent une forte

tension entre leur apprentissage

et leur métier.

La formation reste déterminanteCe sont essentiellement les pro‐

fessions règlementées qui affi‐

chent le lien le plus fort avec les

spécialités de formation initiale

tels les médecins, sages‐femmes,

infirmiers… ou encore les avocats,

notaires et autres magistrats. Le

bâtiment se trouve également

dans le même schéma car quatre

cadres des travaux publics sur dix

sont architectes. Et, naturelle‐

ment, plus le niveau d’étude est

élevé, plus la corrélation entre for‐

mation et profession reste forte

car cette dernière nécessite une

qualification élevée et ciblée. C’est

notamment le cas pour les per‐

sonnels d’études et de recherche

ou les ingénieurs de l’informa‐

tique. De même, les emplois ap‐

pelant une formation pro‐

fessionnelle courtes spécifiques,

type CAP‐BEP, et qui comportent

souvent une phase d’apprentis‐

sage affichent également une re‐

lation formation/emploi très

importante. Et les agriculteurs in‐

tègrent également cette catégo‐

rie puisqu’ils sont nombreux à

avoir validé des études directe‐

ment liées à leur métier.

Aux vues d’un tel constat, le déve‐

loppement des formations profes‐

sionnelles prend tout son sens.

Ainsi, la Région, compétente en la

matière, a mis en place un Contrat

de plan qui en définit le cadre stra‐

tégique. Cette initiative ainsi que

l’implication des acteurs de l’édu‐

cation et de la formation profes‐

sionnelle, doivent permettre

d’identifier les relations qui exis‐

tent entre emplois, métiers exer‐

cés et cursus suivis, mais aussi de

construire des parcours d’inser‐

tion et de progression profession‐

nelle et d’observer les facteurs

influençant positivement les capa‐

cités à évoluer dans le monde du

travail.

Séverine Sarrat

©P. P

igeyre

Page 11: Edition Num575okkkkkkk

Pour que Toulouse joue enfin dans la cour des grands !

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�SEPTEMBRE 2013

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Le Journal Toulousain

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dans l’économie locale comme dans la vie sociale de notre pays.

Page 12: Edition Num575okkkkkkk

Toulouse, juillet 1962. Comme de nombreux Français

d’Afrique du Nord, Pierre Breau, 31 ans, et sa fa‐

mille, arrivent d’Algérie. «Nous sommes devenus par

la façon d’agir du général de Gaulle, des rapatriés» ex‐

plique‐t‐il. A vingt ans, ce militaire appelé dans l’aviation

quitte Bordeaux, sa ville natale, pour la base aérienne de

la Senia à côté d’Oran. Puis marié, père de quatre en‐

fants, il devient représentant de commerce en bijoute‐

rie‐joaillerie et ouvre trois magasins dans le centre

d’Oran. Mais au lendemain du Massacre d’Oran, le 5 juil‐

let 1962, c’est toute une vie qui bascule. «Nous étions

des rescapés» confie P. Breau. Après un tour de France,

il “flirte” avec Toulouse où l’accueil est chaleureux,

monte une bijouterie rue d’Austerlitz, et devient Vice‐

Président du CID, syndicat de défense des

commerçants et artisans : «Les rapa‐

triés étaient nombreux ici. Ils sont

devenus des clients.» Pierre

Breau se souvient

avec émotion de

« m e s s i e u r s

Netwiller et

Baeza»,

Fran‐

çais

d ’A l g é r i e

élus à Tou‐

louse, et du

maire Pierre Bau‐

dis, «un homme char‐

mant qui a fait un boulot

formidable pour nous», dit‐il en référence à

l’installation en 1972 du CEFANOM (Cercle

des Français d’Afrique du Nord et d’Outre‐

Mer) rue Mériel. Une maison «de l’amitié, dont

Just Fontaine est un fidèle», mais qu’il a fallu

quitter récemment. A regret : «Tous nos souve‐

nirs étaient dedans», déplore P. Breau.

TOULOUSAINLe

Jeudi 8Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.fr12

JOSÉ MARTINEZ COBO

«Viscéralement

je suis Toulousain,

c’est ma seule

certitude»

José Martinez Cobo a porté

trois combats : entre

médecine, politique

et identité, il raconte Toulouse

comme son unique repère

dans une éternelle dualité.

PIERRE BREAU

D’Oran à ToulouseToulousain depuis juillet 1962, Pierre Breau est le président

haut‐garonnais (et vice‐président national) de l’Union des

Combattants d’Afrique Française du Nord.m

aisjuin

1944 et mai 1945 restent gravées !»

Ils ont tous leur propre vécu. Une kyrielle bigarrée de chemins de vie, reli

ou presque. Albums de famille et souvenirs à l’appui, rencontre avec ces h

du Toulouse de chacun. Par Claire Manaud et Aurélie Renne.

Quand la mémoiretoulousaine se ra

DOSSIER

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DR

1

«J’avais 6 ans». José Martinez Cobo quitte Madrid avec sa

famille en 1939, fuyant le régime franquiste. Il rejoint Tou‐

louse pour un logement «minable et horrible au 14 de la rue

Saint Rome» se souvient‐il évoquant notamment l’absence

de salle de bain et de toilettes. Arrivé de manière clandes‐

tine, sans le sou, ni travail ou papier, il intègre l’école fran‐

çaise qui lui permet d’entamer des études de médecine

quelques années plus tard «sur les pas de mon frè

re». Edu‐

qué à la française, ses mots portent aujourd’hui encore les

stigmates de cette dualité : «Je suis de culture française mais

ma patrie, c’est l’Espagne. Et si je

me sens viscéralement Tou‐

lousain, je n’ai pas l’im

pression d’être Français.» Il intègre les

jeunesses socialistes espagnoles à 18 ans et travaille, de

Toulouse, au rétablissement de la démocratie en Espagne :

«le siège était situé au 69 rue du Taur, à l’e

ndroit de l’actuelle

cinémathèque.» Pendant vingt ans, il préside le Parti Socia‐

liste Ouvrier Espagnol et alors que sa carrière prend de l’am‐

pleur (il crée notamment la réanimation infantile à Toulouse

ainsi que la cardio‐pédiatrie), il se souvient : «Je me sentais

fondamentalement médecin, ce qui fut une entrave à ma car‐

rière politique et inversement.» Une vie de tiraillement entre

cœur, raison, travail et passion, qu’il résume en quelques

mots, comme résigné : «c’était mon combat.»

«Frères d’exil : Espagne-médecine-politique»,

aux éditions le Pas d’oiseau.

Aline Dupuy

«Je

suis

brouillé

e avec les dates

Aline Dupuy est de ces Tou‐

lousaines pure souche qui n’ont

même pas changé de quartier. Les envi‐

rons du faubourg Bonnefoy ont été pour

elle le théâtre d’autant d’événements qu’une

vie peut en contenir.

Adolescente sous l’Occupation, elle tient son journal intime,

consciente qu’elle traverse une époque charnière. «On avait

la sensation d’être sous un couvercle, on n’avait pas le droit de

se réunir, on ne pouvait ni dire, ni écrire ce qu’on voulait.» Elle

évoque avec humour la fermeture des dancings et autres bals

publics brutalement interdits alors qu’elle n’a que 17 ans. Les

souvenirs arrivent en pagaille : les croisillons de papier sur les

vitres pour se protéger des bombardements, l’envie de cho‐

colat alors que les tickets de ravitaillement rationnent les

familles. Ce sont aussi des anecdotes sur les Résistants, percés

à jour bien des années plus tard… Puis la Libération, tant attendue, qui

n’est finalement pas très sereine : «Au lieu d’embrassades, ce sont des règlements

de comptes qui ont suivi.» A la fin des années 50, c’est l’arrivée de l’école mixte à

Toulouse, une sacrée étape pour l’enseignante qu’elle était. Un saut de puce vers

mai 1968 et les grèves : «Un mois pendant lequel nous défilions rue Alsace Lor‐

raine.» Et Aline de fredonner : «Il était un petit navire, il était un petit mi‐

nistre, Pompidou navigue sur nos sous…» A travers ses souvenirs, un

fil rouge : une passion, déclarée à sa ville, son monde, dont elle

dit être une «inconditionnelle».

Journal d’une lycéenne sous l’Occupation, A. Dupuy, Th. Crouzet, F. Vivas,

éditions le Pas d’oiseau, 2013. MEMOIRES

Page 13: Edition Num575okkkkkkk

«Tous les jours, hiver comme

été, j'étais en ville en train

de peindre » C'était à Tou‐

louse dans les années cinquante.

Sur les recommandations d'un ami,

les parents de Rémy Peyranne ins‐

crivent l'adolescent de 17 ans aux

Beaux‐Arts de Toulouse. Le talent

de ce jeune Toulousain est arrivé

vite, surgi de nulle part : «A quatre

ans et demi, j'ai dessiné le portrait de

ma première fiancée comme l'aurait

fait un adulte» raconte‐t‐il, avec fa‐

cétie. Au cours de sa scolarité, celui

qui sera conseillé plus tard par

Brayer et Buffet à Paris, apprend ici

aux côtés du “maître”, le professeur

Raoul Bergougnan et fait égale‐

ment la connaissance du peintre

toulousain Renée Aspe : «Elle fré‐

quentait la galerie du Taur, rue des Pé‐

nitents gris. Je tremblais devant elle.

Elle était impressionnante, splendide

et m'avait dit :

«L'école c'est

dans la rue»

Entre 1958 et

1959, Rémy

Pe y r a n n e

fait des

études de

décor de

t h é â t r e

au Capi‐

tole. Là,

il se lie

d'amitié

avec l'actrice Bernadette Lafont, alors

sur scène au Grenier de Toulouse. «J'ai

connu beaucoup d'artistes. J'allais sou‐

vent à l'atelier de couture du Théâtre

du Capitole, quai de la Daurade. J'en

ai d'excellents souvenirs.» Lauréat

des Beaux‐Arts de Toulouse, il en

devient professeur à son tour. En

1994, la municipalité lui achète un

“Pont Saint‐Pierre” pour l'offrir à

François Mitterrand. Côté portraits,

Rémy Peyranne croque Claude

Nougaro, Dominique Baudis... En

peignant “tout Toulouse”, il en est

lui‐même la mémoire : «j'aime ma

ville, tout simplement !» s'exclame‐

t‐il. Mais malgré son amour incon‐

ditionnel pour elle, Rémy Peyranne

la quitte parfois. Voyageur infatiga‐

ble, il a réalisé en décembre 2012, sa

10 000e

toile.

Elle a Toulouse chevillée au corps et au cœur. Née à la

Grave, Yanne Rebeschini a grandi dans le quartier Saint‐

Cyprien : «“Saint‐Cypre” comme on disait à l’époque»

dit‐elle. D’abord infirmière diplômée d’Etat, puis démar‐

cheur d’assurances, elle poursuit une carrière à l’Institut

d’Administration des Entreprises après avoir obtenu une

maîtrise en droit public et privé. De sensibilité gaulliste,

Yanne Rebeschini fait la connaissance de l’adjoint

au maire de Toulouse, Antoine Osète : «Il avait

une librairie rue Lafayette et m’a faite entrer en

politique. Nous habitions le même quartier» ra‐

conte‐t‐elle. En 1989, la future conseillère muni‐

cipale en charge de l’art chorégraphique s’engage

aux côtés de Dominique Baudis. Elle crée la manifesta‐

tion “la vitrine de la danse” puis “Art Dance International” un

centre de formation professionnelle encore en activité rue des Arts. «J’ai vécu

mes douze années aux côtés de Dominique Baudis avec une grande passion. Il a été un

excellent maire. Il faut d’ailleurs rendre hommage à toute sa famille qui s’est investie de

manière remarquable. C’est grâce à elle que nous avons récupéré la ville» confie Yanne

Rebeschini. De cette époque, elle se souvient notamment d’un certain… Claude Nou‐

garo : «Il m’a beaucoup marquée. Je le rencontrais place de la Daurade. Il avait un

charme naturel. J’étais très émue par sa sincérité, son accent, sa manière très décontrac‐

tée et à la fois si noble dans ses sentiments.» Un peu de poésie dans un monde poli‐

tique «très dur» mais considère Yanne Rebeschini, «quand on a la passion de servir sa

ville, il faut le faire sans ne rien attendre en retour.»

RÉMY PEYRANNE

En hommage à ToulousePeintre toulousain de renommée internationale, à 78 ans,

Rémy Peyranne a réalisé près de 900 toiles sur la ville rose.

MEMOIRES

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ranck A

lix/J

T

DR

13TOULOUSAINLe DOSSIER

és par un point commun capital : leur attachement à la ville rose, où ils résident depuis toujours,

hommes et ces femmes comme autant de parcours qui font aujourd’hui la richesse

YANNE REBESCHINI

«Dominique Baudis a été un excellent maire»

Présidente du cercle littéraire Les Gourmets de Lettres, Yanne Rebeschini a

été conseillère municipale à Toulouse de 1989 à 2001.

e aconte…

Jeudi 8Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.fr

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art

inez -

Chaum

el

1 ‐ Le 13 juillet 1974, José Martinez Cobo préside le congrès de Suresnes, dernier des treize rassemblementsorganisés par le PSOE en exil. A sa droite F. Mitterrand, à sa gauche Alfonso Guerra2 ‐ Aline Dupuy (Sabatié de son nom de jeune fille) posant avec sa grand‐mère Antoinette le 12 juillet 19393 ‐ Ecole primaire supérieure, année scolaire 1940‐1941, classe de première C (Archives privées Aline Dupuy)4‐ En fond, Yanne Rebeschini entourée de Dominique Baudis et de Jacques Chirac

2

3

TOULOUSE

AVANT

4

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Page 14: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frLE BEST OF DE L’ECHO DES SOUPAPES14 Par Jean-Paul Réoule

Abarth un monde de perfor‐

mance depuis 1949, qui a

gardé toute son âme et sa

philosophie. Si l’on devait résumer

la marque, née sous le signe du

scorpion en trois mots, ce serait

sportivité, authenticité et plaisir.

Car qui que vous soyez, une

Abarth ne peut vous laisser indif‐

férent. Voici donc une nouvelle

déclinaison de l’Abarth 500 et de

sa version cabriolet 500C. Elle se

nomme 595 Turismo en coupé ou

595C en cabriolet. Cela en hom‐

mage à l’Assetto Corsa de 1964 qui

avait 595 centimètres cube de cy‐

lindrée. Aujourd’hui elle a bien en‐

tendu ce caractère fougueux qui

fait sa force, mais aussi l’élégance,

le raffinement, la classe, tout sim‐

plement. A sa vue, on craque. Nor‐

mal avec sa carrosserie bicolore

Gris Pista / Rouge Officina, dur de

résister même en option. Ainsi

hors de vous la discrétion ou ano‐

nymat. Posée sur des jantes de 17

pouces à 10 rayons, on ne voit

qu’elle. De face, la calandre se

pare du célèbre Scorpion signe zo‐

diacal de Carlo Abarth. Plus bas,

l’entrée d’air reprend le Gris Pista

comme sur sa partie supérieure.

L’arrière en clin d’œil à cette der‐

nière fait pareil, en remplaçant les

antibrouillard par des sorties

d’échappement chromé surdi‐

mensionnées. Sans omettre des

étriers de frein rouge, l’ensemble

procure un pur régal visuel. Avec

3.65 m de long, 1.63 m de large et

1.48 de haut ses dimensions cor‐

respondent à quelques mm près à

une 500 basique. Dans cette ver‐

sion 595C boîte auto son poids ar‐

rive à 1085 kg. Somptueux, il n’y a

rien à redire y compris côté équi‐

pement à l’abondante dotation.

De toute façon dans le cas où vous

seriez encore plus exigeant, il vous

restera à parcourir la longue liste

d’option. Prochainement vous

pourrez même profiter du pro‐

gramme de personnalisation sur

mesure appelé Fuori Série. Ou

comme dans une certaine publi‐

cité : Tout est proposé, rien n’est

imposé. Dans cette version

l’Abarth 595c Turismo développe

160 chevaux à 5750 tours/mn pro‐

venant du quatre cylindres de 1.4

T‐ Jet sur alimenté par un turbo à

géométrie variable. Le couple

maxi s’établit à 230 Nm et cela dès

3000 tours. Sur circuit, la vitesse

maxi est de 209 km/h voire 211 en

boîte méca 5 rapports. Il lui suffit

de 7.6 secondes pour passer de 0

à 100, une vrai bombinette. Cette

595C dispose d’une boîte roboti‐

sée à 5 rapports Abarth Competi‐

zione à palette au volant. Ainsi

l’Abarth 595C Turismo vous dérou‐

lera la partition de la route en

mode piano ou allegro suivant le

mode de fonctionnement choisi.

Côté suspension la 595C Turismo

reçoit quatre amortisseurs Koni à

valve FSD pour Fréquency Selec‐

tive Dumping qui procure de

belles sensations, mais aussi un

certain confort un brin viril. Quant

au châssis et aux sensations res‐

senties, vous êtes collé au bitume,

comme dans un kart. A quelques

semaines de Noël, ne l’oubliez pas

sur la liste. Que du plaisir cette

Abarth 595 C Turismo, mais si cela

ne vous suffit pas, optez pour sa

version Competizione, même mo‐

torisation, même performance

mis à part son équipement plus

compétition. Eh non, cela ne s’in‐

vente pas. Y compris son bruit

mais chut… Et de toute façon, dif‐

ficile de résister à l’une comme à

l’autre.

Abarth 595 Turismo : A partir de 21 800 €

DR

DR

DR

DR

DR

DR

Abarth 595C Turismo :du pur plaisir

Source site comparateur : www.zagaz.com

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Page 15: Edition Num575okkkkkkk

SPORTS 15Par Mehdi DjebbariJeudi 8Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Lundi, les Spacer’s repartiront

pour une saison de volley,

motivés comme jamais. Fi‐

nalistes de la dernière Coupe de

France, les récents 12e

du cham‐

pionnat (sur 14), s'apprêtent à re‐

trouver un groupe sacrément

chamboulé cet été, mais qui de‐

vrait néanmoins se montrer com‐

pétitif. En termes d'effectif, Cédric

Enard et son adjoint Stéphane Sa‐

pinart peuvent se féliciter d'avoir

bouclé leur recrutement assez ra‐

pidement. En effet, après les six

départs recensés*, il fallait con‐

vaincre des recrues de venir, et ce

en dépit d'un budget plutôt limité,

l'avant‐dernier en Ligue A.

De bonnes réputationsLe dernier arrivé se nomme Futi

Tavana. A 25 ans, ce central amé‐

ricain tentera d'apporter une di‐

mension physique supplémen‐

taire. Ses qualités de gros contreur

devraient être appréciées.

André Radtke, l'autre recrue bré‐

silienne devra faire de même. Le

pointu bulgare Danail Milishev

agira tel un leader offensif. Dans

son ancien club de Sora, il a ter‐

miné deuxième meilleur mar‐

queur du championnat dans

lequel il évoluait. Enfin, le libéro

Facundo Santucci débarque titré

du rôle de meilleur défenseur de

son championnat argentin : «Nous

avons optimisé l'enveloppe. Tou‐

louse se doit de vivre avec ses

moyens, au sein d'un championnat

compliqué. Les équipes qui sont

promues ne seront pas forcément

moins compétitives. Tout le monde

a recruté et il n'y aura ni citadelles

imprenables, ni formations battues

d'avance», précisait le coach

Enard, toujours aussi lucide. Sans

doute qu'il se rappelle encore la

difficulté dans laquelle son groupe

s'était retrouvé en championnat.

Toulouse qui fut relégable long‐

temps, mais qui s'en est sortie au

terme d'un final haletant.

Les Espoirs cartonnentPendant que leurs aînés galé‐

raient, les Espoirs des Spacer’s se

sont chargés de justifier leur rang

de meilleur centre de formation.

Deux fois vainqueurs de la Coupe

de France d'affilée, les joueurs en‐

traînés par Stéphane Sapinart

sont surveillés et les meilleurs

d'entre eux consolideront l'ossa‐

ture déjà existante. Si Thibault

Rossard et Trévor Clévenot ont

déjà fait leur apparition en Ligue

A, ils devraient être accompagnés

par d'autres jeunes tout au long de

la saison. Enard de toute manière,

n'hésite pas à promouvoir ses

jeunes, ne serait‐ce qu'à l'entraî‐

nement. Alors que le championnat

débutera seulement le 8 octobre à

Sète, les Toulousains vont se re‐

trouver la semaine sans grande

pression. Une fois le paquetage

remis à tout le monde, la bande

partira s'oxygéner en station ther‐

male de Luchon, c'est devenu une

habitude. En bon capitaine, le Bré‐

silien Diogenes Zago sera chargé

de mettre à l'aise les recrues, tout

en essayant de créer une cohésion

de groupe avant qu'il ne soit trop

tard. Au moment de rentrer à Tou‐

louse, quelques matchs amicaux

seront programmés, permettant

de tirer les premiers enseigne‐

ments de tout ce chamboule‐

ment.

* Gaël Vandaële, Nicolas Rossard, An‐

drew Hein, Evan Patak, Jean‐François

Pérez et Alex Damiao n'évolueront

plus sous le maillot toulousain.

VOLLEY

Les Spacer’s passent à autre chosePassés tout proche de descendre à l'échelon inférieur, les volleyeurs toulousains rentrent de vacances avec les compteurs à zéro.

Le groupe a été bien bouleversé et il faudra quelques semaines pour que tout le monde puisse se sentir prêt à démarrer une année,

qui s'annonce particulièrement excitante et imprévisible.

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Page 16: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe

Jeudi 8Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frCULTURE16

LE FIL’ M D’ARIANE par Ariane Riou

Cafard-naüm

Quinze ans plus tard, après le

tout premier épisode du dessin

animé français, on prend les

mêmes et on recommence.

Cette fois‐ci, un peu plus long,

puisque les gags cartoonesques

d'Oggy à la poursuite de cafards,

font l'objet d'un long‐métrage,

découpé en quatre épisodes.

Tout y est. Mais ce qui faisait rire

pendant dix minutes, le temps

d'un épisode, réussit difficile‐

ment à fonctionner pendant

1h20. On sourit au début, puis on

finit par s'ennuyer, devant des

gags parfois assez redondants.

Surtout que le grand principe

d'Oggy et les cafards, c'est la

course poursuite muette. A un

moment, on finit par se lasser du

concept, aussi rigolo soit‐il. Le

dessin animé est tout de même

reboosté par des petits clins

d'œil cinématographiques, qui

font sourire les plus grands.

Sherlock Holmes, Cendrillon,

Star Wars... la mise en abîme est

réussie. Finalement, ce qui fonc‐

tionne le mieux, c'est le décou‐

page du film. 4 épisodes, 4

époques, de la préhistoire à la fu‐

ture version science‐fiction. Et

l'animation évolue en même

temps, puisque Oggy et les ca‐

fards s'achève en images de syn‐

thèse. La forme est réussie, le

fond lui aurait plus tendance à

foutre... le cafard !

Sorties cinéAmerican NightmareRéalisé par : James DeMonaco

Avec : E. Hawke, L. Headey...

Film américain, thriller, 1h26Interdit aux moins de 12 ans avecavertissement

Dans une Amérique rongée par

une criminalité débridée et des

prisons surpeuplées, le gouverne‐

ment a donné son accord pour

qu’une fois par an, pendant 12

heures, toutes activités crimi‐

nelles, meurtres inclus, soient lé‐

galisées. La police ne peut

intervenir. Les hôpitaux suspen‐

dent leurs services. Une nuit du‐

rant, les citoyens sont à même de

définir leurs propres règles et de

faire leur propre loi, sans avoir à

craindre de sanctions. Au cours

d’une telle nuit hantée par la vio‐

lence et le crime, une famille va

devoir faire un choix – bourreau ou

victime ? – face à un inconnu venu

frapper à sa porte.

ImogeneRéalisé par : S. Springer Berman...

Avec : K. Wiig, A. Bening, D.Criss...

Film américain, comédie, 1h43

Après avoir tout tenté pour attirer

l’attention de son petit ami qui

vient de la quitter, Imogene, au‐

teur new yorkais sans succès, se

voit obligée de retourner dans le

New Jersey où elle doit à nouveau

cohabiter avec sa famille plutôt

excentrique. Imogene doit alors

faire face à sa mère déjantée,

Zelda et son frère mais ce sera

sans compter sur le nouveau petit

ami de Zelda, "le Bousche" et un

jeune et craquant locataire. En‐

semble ils vont aider Imogene à

retrouver le sourire, au prix d’in‐

nombrables péripéties.

Imogene marque le grand retour de

Shari Springer Berman et Robert

Pulcini au cinéma. Cela fait mainte‐

nant cinq ans qu’ils n’avaient pas

sorti de film dans les salles fran‐

çaises. Après le multi récompensé

American Splendor, ils ont dirigé

Scarlett Johansson en 2007 dans Le

Journal d’une baby‐sitter.

Les Derniers joursRéalisé par : A. Pastor, D. Pastor

Avec : Q. Gutiérrez, J. Coronado...

Film espagnol, action, 1h40

Depuis la propagation d’un étrange

et foudroyant virus, le monde est

devenu terrifiant : sortir est désor‐

mais impossible. Dans leurs mai‐

sons, leurs bureaux, les gares, les

gens sont condamnés à vivre cloi‐

trés et doivent se battre pour leur

survie. A Barcelone, Marc, piégé

dans son bureau, se retrouve sé‐

paré de sa femme Julia. Contraint

de faire équipe avec Enrique, son

pire ennemi, il part à sa recherche

dans les entrailles de la ville…

Les Derniers jours est le 2e

film des

frères Pastor. Pour leur nouveau

long‐métrage, ils ont décidé de re‐

tourner dans leur pays natal, l’Es‐

pagne.

Oggy et les cafards, d’Olivier Jean-Marie

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ilms

EnoaLe groupe

ZumbaSpécial

Du pop‐rockplein les oreilles

Interview et live

Un maximum d’émissions sur notre Web TV

www.lejournaltoulousain.fr/category/web‐tv

Les chroniqueurs du JTface à Serge Laroze (FN)

Zoom l’actusur

Le phénomènede l’année

Sculptrice

Art‐Thérapeutes

répondPierre Cohen

aux questions de

Radio Kol Aviv et du

Journal Toulousain

� Les transports� La sécurité� Les municipales

Le Journal Toulousain c'est aussi, tous les jours...

FollèreArtiste Toulousaine

Sandrine

Peintre

mais pas que…

Professeur

d’Arts plastiques

répondJean‐Luc Moudenc

aux questions de

Radio Kol Aviv et du

Journal Toulousain

� Les transports� La sécurité� Les municipales

Page 17: Edition Num575okkkkkkk

CULTURE 17Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Livres Des places à gagner*au Journal Toulousain au 05 34 40 60 32

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des stocks disponibles

Voyage sans retourRéalisé par : François Gérard

Avec : François Gérard,

Samy Naceri, Marie Vincent

Long‐métrage : Français

Genre : Thriller

Kad, jeune caïd d'une ban‐

lieue toulousaine, se voit

dans l'obligation de se met‐

tre au vert après avoir arna‐

qué une bande de trafi‐

quants de drogue.

Il est donc envoyé par des

amis à l'étranger dans une

association humanitaire.

Mais l'association se ré‐

vèle être un réseau de re‐

crutement terroriste. Kad, sans

repère, est transporté de Londres à Bombay et du Pakistan en Afgha‐

nistan où il sera formé dans les camps djihadistes.

De retour à Bombay, il y croise Nadine professeur de français à l'Alliance

Française qui lui ouvrira son

âme et son coeur. Kad, prend

alors conscience de la vacuité

de sa vie, de ses choix hasar‐

deux et de l'impasse dans la‐

quelle il s'est mis.

C'est alors que ses nouveaux

amis vont se rappeler à lui et

le renvoyer en France afin d'y

commettre des attentats.

L’Héritier des Beaulieu

Françoise Bourdin

La cin‐

quantaine

séduisan‐

te, Barthé‐

lémy est

l'aîné des

Beaulieu,

i m p r i ‐

meurs de

père en fils

d e p u i s

plus de

deux siè‐

cles. PDG

de l'entre‐

prise familiale dont il a fait un

groupe industriel prospère, il est à

la fois un homme d'affaires ac‐

compli, un mari résigné et un fils

mal aimé. Et il dirige son affaire

avec poigne, en regardant de

l'avant.

Pourtant, Barth n'a pas de fils à qui

léguer son patrimoine et, lorsque

sa mère tente de lui imposer un

pâle successeur, la tension monte

au manoir de Carrouges, où la fa‐

mille vit en tribu. Car chacun, bien

sûr, tient à préserver ses propres

intérêts.

Mais le sort va s'en mêler en révé‐

lant un terrible secret qui remettra

en question le passé de Barth... et

le placera face à la seule femme

qu'il ait jamais aimée. L'occasion

pour lui de mettre un peu d'ordre

et de sens dans sa vie.

Un magnifique roman sur la filia‐

tion et la transmission.

Editions Belfond

La plus vieille énigmede l'humanité

Jean-Jacques Lefrère Bertrand David

Pendant trente mille ans, nos an‐

cêtres préhistoriques ont créé une

oeuvre fascinante en réalisant, au

fond de cavernes souvent difficiles

d’accès, des peintures pariétales

témoignant d’une incroyable maî‐

trise du dessin. Face à ce mystère,

voici que le regard croisé d’un des‐

sinateur et d’un scientifique révèle

une découverte stupéfiante. Une

découverte qui permet de com‐

prendre comment les hom‐ mes

de la Préhistoire ont exécuté ces

dessins, et qui pourrait même

nous éclairer

soudain sur la

signification

et la fonction

de ces étran‐

ges peintu‐

res. Une dé‐

monstration

l u m i n e u s e

qui lève le

voile sur la

plus vieille

énigme de

l’Humanité.

Editions Fayard

Les Parfaits

Claude Mossé

1336. La fin des Cathares est

proche. Les “Parfaits”, comme ils

aiment aussi se faire appeler,

continuent leur quête d'une abso‐

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Amour & TurbulencesRéalisé par : Alexandre Casta‐

gnetti

Avec : Ludivine Sagnier, Nicolas

Bedos, Jonathan Cohen

Long‐métrage : Français

Genre : Comédie romantique

Alors qu'un avion la ramène de

New‐York à Paris où elle s'apprête

à se marier, la belle Julie se re‐

trouve assise à côté d'Antoine, un

séduisant débauché qu'elle a

aimé 3 ans plus tôt. Elle va tout

faire pour l'éviter alors qu'il

compte sur ces 7 h de vol pour la

reconquérir ! L'occasion pour nous

de voyager dans le passé et de re‐

vivre leur rencontre, leur amour,

leur rupture, autant de scènes ro‐

cambolesques, romantiques et corrosives qui vont faire de ce voyage le

plus bouleversant de leur vie.

Le réalisateur Alexandre Castagnetti a décidé de tourner Amour & Tur‐

bulences après avoir lu un scénario américain dont ses producteurs

avaient acquis les droits, “Stand by love” : «J’ai tout de suite accroché. Il

faut dire que, comme spectateur, je suis très client de comédies roman‐

tiques. Et que, logiquement, j’avais très envie d’en réaliser une un jour. J’ai

commencé à travailler sur l’adaptation en compagnie d’amis auteurs avec

qui j’avais déjà collaboré. Puis Nicolas Bedos a bien voulu rejoindre l’aven‐

ture comme comédien tout en souhaitant retravailler le scénario avec moi.

C’est ce que nous avons fait», confie le metteur en scène.

Bonus :

‐ Making Of

‐ Scènes coupées

‐ Bétisier

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Des gens qui s'embrassentRéalisé par : Danièle Thompson

Avec : Eric Elmosnino, Lou de Laâge, Kad Merad

Genre : Comédie dramatique

Ça tombe mal l'enterrement de la femme de Zef pendant que Roni

marie sa fille ! Cet événement inattendu aggrave les conflits entre les

deux frères que tout sépare déjà : métiers, femmes, austérité religieuse

de l'un, joie de vivre de l'autre, tout, à part leur vieux père au cerveau en

vadrouille et leurs deux filles qui s'adorent. Entre Londres, Paris, Saint‐

Tropez et New York, affronte‐

ments, malentendus, trahi‐

sons, vont exploser le paysage

de la famille, mais grâce à ces

disputes, à ces réconciliations

chaotiques, vont naître une

grande histoire d'amour... et

peut‐être deux.

Dans le film, Kad Merad et Eric

Elmosnino interprètent deux

frères entre lesquels les rela‐

tions sont quelque peu hou‐

leuses. La cinéaste a choisi de

faire reposer cette tension

avant tout sur les dialogues,

et de les faire s'affronter sur le

mode de la joute verbale :

«J’ai simplement eu envie et

besoin que ces deux frères s’af‐

frontent ; que ça vire au rouge

chaque fois qu’ils se parlent»,

commente Danièle Thomp‐

son.

lue pureté

de mœurs,

malgré l'In‐

q u i s i t i o n

m e n é e

d'une main

de fer par le

pape Benoît

XII. La me‐

nace du bû‐

cher plonge

alors le Sud

de la France

dans la terreur.

Dans cette athmosphère de fiè‐

vre religieuse, Philippe, un tail‐

leur de pierre en plein doute

spirituel, parcourt le royaume de

chantier en chantier. De passage

en Avignon, il croise la route de

l'inquiétant Benoît XII et de l'intri‐

gante Aude. Cette femme est

d'une beauté envoûtante et nul

ne sait si elle est une hérétique ou

une âme damnée du pape, prête

à livrer tous ceux qui doutent à

l'Inquisition. Avec son talent de

conteur, Claude Mossé entraîne le

lecteur à la découverte d'une

époque mal connue, une période

de questionnements, durant la‐

quelle l'Église faisait régner sur

l'Europe une des persécutions les

plus atroces que dût connaître la

chrétienté. Sur les pas de Philippe

et des derniers Parfaits, Claude

Mossé mène une intrigue aussi

policière qu'historique.

Editions HC

La Fille de la fabrique

Georges-Patrick Gleize

En 1960, Gaston Maréchal, patron

autoritaire d’une fabrique de

faïence à Martres‐Tolosane non

loin de Toulouse, est retrouvé

noyé après une partie de pêche…

Quatre ans plus tard, sa fille Mo‐

nique revient au pays et s’installe

dans la belle demeure familiale

bâtie sur les contreforts des Pyré‐

nées. Elle espère se consoler d’un

récent veuvage en renouant avec

les racines d’une enfance tour‐

mentée. Mais le bourg bruit de ru‐

meurs et son retour n’est pas du

goût de tout le monde. Sa volonté

de reprendre la petite entreprise

se heurte à la méfiance des em‐

ployés et à l’hostilité du contre‐

maître qui se conduit comme s’il

était maître chez lui.

Monique a‐t‐elle sa place dans le

monde légué par son père, un homme

taciturne et cassant, aux nombreuses

inimitiés ? Dans quelles circonstances

exactes est‐il

mort ? Menant

l’enquê‐te, elle

prend peu à

peu conscience

du secret qui

entoure sa pro‐

pre naissance…

Editions CalmanLévy

Page 18: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe

Jeudi 8 août 2013 - n°575

www.lejournaltoulousain.frANNONCES LÉGALES18 [email protected]

SCI TRISTANTSociété civile

au capital de 1 000 euros Siège social : chez Parso, 5 rue Saint

Pantaléon 31000 TOULOUSE

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d'un acte sous seing privéen date à TOULOUSE du 9 juillet 2013, ila été constitué une société présentant lescaractéristiques suivantes :

Forme sociale : Société civile Dénomination sociale : SCI TRISTANTSiège social : Chez Parso, 5 rue Saint

Pantaléon, 31000 TOULOUSEObjet social : l’acquisition et location de

tous immeubles bâtis et non bâtis et l’ex-ploitation par bail, location ou autrementde toute construction appartenant à la So-ciété, l’acquisition de tous terrains, leur ex-ploitation et leur mise en valeur,l’édification de toute construction, éven-tuellement et exceptionnellement l'aliéna-tion du ou des immeubles devenus inutilesà la Société, au moyen de vente, échangeou apport en société, tous placements decapitaux sous toutes formes

Durée de la Société : 99 ans à compterde la date de l'immatriculation de la So-ciété au Registre du commerce et des so-ciétés

Capital social : 1 000 euros, constituéuniquement d'apports en numéraire

Gérance : Monsieur Goulwenn TRIS-TANT demeurant 10 rue Temponières,Bât. B, 31000 TOULOUSE

Clauses relatives aux cessions departs :

agrément dans tous les casagrément des associés représentant

plus de la moitié du capital socialImmatriculation de la Société au Regis-

tre du commerce et des sociétés de TOU-LOUSE.

La Gérance

YANGALOBASociété civile

au capital de 600 euros Siège social : 7 square Elsa Triolet

31600 SEYSSES

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d'un acte sous seing privéen date à SEYSSES du 23 juillet 2013, il aété constitué une société présentant lescaractéristiques suivantes :

Forme sociale : Société civile Dénomination sociale : YANGALOBASiège social : 7 square Elsa Triolet

31600 SEYSSESObjet social : l’acquisition et location de

tous immeubles bâtis et non bâtis et l’ex-ploitation par bail, location ou autrementde toute construction appartenant à la So-ciété, étant précisé que dans le cadre dela location des biens immobiliers dont ellesera propriétaire, la Société pourra no-tamment conclure des conventions d’oc-cupation gratuite au profit d’un ouplusieurs de ses associés, l’acquisition detous terrains, leur exploitation et leur miseen valeur, l’édification de toute construc-tion, éventuellement et exceptionnelle-ment l'aliénation du ou des immeublesdevenus inutiles à la Société, au moyende vente, échange ou apport en société,tous placements de capitaux sous toutesformes, et généralement toutes opérationsquelconques pouvant se rattacher directe-ment ou indirectement à l'objet ci-dessusdéfini, pourvu que ces opérations ne mo-difient pas le caractère civil de la Société.

Durée de la Société : 99 ans à compterde la date de l'immatriculation de la So-ciété au Registre du commerce et des so-ciétés

Capital social : 600 euros, constitué uni-quement d'apports en numéraire

Gérance : Monsieur Jocelyn ABADIEdemeurant 7 square Elsa Triolet 31600SEYSSES

Clauses relatives aux cessions departs :

agrément requis dans tous les cas àl’exception des cessions consenties à desassociés

agrément des associés représentant aumoins les trois-quarts des parts sociales

Immatriculation de la Société au Regis-tre du commerce et des sociétés de TOU-LOUSE.

La Gérance

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte SSP en date du18/07/2013, il a été constitué une SARL aucapital de 8000,00€ présentant les carac-téristiques suivantes : Dénomination :SARL PIZZA DU SUD Objet : livraison,restauration rapide Siège social : 15, ave-nue de Muret, 31300 Toulouse Durée : 99ans Gérance : TANDJA HALIMA demeu-rant, 7, rue Dieudonné Costes 31500 Tou-louse Immatriculation RCS Toulouse.

AVIS DE CONSTITUTION

Suivant acte ssp du 31/07/2013, il a étéconstitué une SARL.

Dénomination : AEKIUM Siège social :15 chemin des Maraichers 31400 Tou-louse Capital : 800 € Objet : cabinet de re-crutement Durée : 99 ans Gérance : MmeCéline PAINDAVOINE 15, chemin des Ma-raichers 31400 Toulouse Immatriculationau RCS de Toulouse.

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d'un acte sous seing privéen date du 1 juin 2013, il a été constituéune société dont les principales caracté-ristiques sont les suivantes :

Dénomination Sociale : LDC 2014Forme : Société civile immobilièreCapital social : 5000 €Siège social : Lieu-dit Catalan, 31220

LAVELANET DE COMMINGESObjet social : Acquisition et gestion de

bâtiments à usage industrielGérance : Monsieur Paul MARIE de-

meurant 6 Ancien Chemin de Muret,31120 ROQUES

Clause d'agrément : Les statutscontiennent une clause d’agrément descessions de parts.

Durée : 99 ans à compter de son imma-triculation au RCS de TOULOUSE

ALOCATRAITSociété à responsabilité limitée

au capital de 45 760 eurosporté à 740 740 euros

Siège social : Chemin de Malaret, Bâtiment G, Lieudit Martinon

31220 CAZERES452.261.266 RCS TOULOUSE

L'Assemblée Générale Extraordinaireréunie en date du 28 juin 2013 a décidéd'augmenter le capital social de 694 980euros par l'incorporation directe de ré-serves au capital, ce qui rend nécessairela publication des mentions ci-après rela-tées.

Ancienne mention :Le capital social est fixé à quarante-cinq

mille sept cent soixante euros (45 760 €)Nouvelle mention :Le capital social est fixé à sept cent qua-

rante mille sept cent quarante euros (740740 €)

Pour avisLa Gérance

UNLIMITWEBSociété par actions simplifiée

au capital de 1 000 eurosSiège social : 41, Chemin de la Ga-

ronne - Appartement B 39 - 31200 TOULOUSE

532 445 863 RCS TOULOUSE

Suivant décisions de l'associé unique endate du 25 juillet 2013, il résulte qu’àcompter du même jour, l’objet social a étéétendu aux activités de « la production, laréalisation et la distribution d’albums mu-sicaux, la production de spectacles musi-caux », et la dénomination sociale a étémodifiée et devient « BEATIME ».

En conséquence les statuts ont été mo-difiés.

Mention sera faite au Registre du com-merce et des sociétés de TOULOUSE

Pour avisLe Président

BELLECOMBESociété par actions simplifiée

au capital de 39 000 eurosSiège social : Allée des Roncevaux,

31240 L’UNION 320720410 RCS TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 19 juin 2013,

- la société ERNST & YOUNG et Autres,demeurant à Paris La Défense 1, 1-2Place des Saisons – 92400 COURBE-VOIE, a été nommé en qualité de Com-missaire aux comptes titulaire enremplacement de la société CONSEILAUDIT ET SYNTHESE,

- la société AUDITEX, demeurant ParisLa Défense 1, 1-2 Place des Saisons –92400 COURBEVOIE, a été nommée enqualité de Commissaire aux comptes sup-pléant en remplacement de la société CA-BINET AUDIT ET DIAGNOSTIC.

Pour avisLe Président

CENTRE DE REPOS ET DE CONVALESCENCE

L’AQUITANIASociété par actions simplifiée

au capital de 40 000 eurosSiège social : Allée de Roncevaux,

31240 L’UNION 472 203 397 RCS TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 19 juin 2013 :

- la société ERNST & YOUNG et Autres,demeurant à Paris La Défense 1, 1-2Place des Saisons – 92400 COURBE-VOIE, a été nommée en qualité de Com-missaire aux comptes titulaire enremplacement de la société CONSEILAUDIT & SYNTHESE,

- la société AUDITEX, demeurant àParis La Défense 1, 1-2 Place des Sai-sons – 92400 COURBEVOIE, a été nom-mée en qualité de Commissaire auxcomptes suppléant en remplacement de lasociété CABINET AUDIT & DIAGNOSTIC.

Pour avisLe Président

CHATEAU DE LA VERNEDESociété par actions simplifiée

au capital de 60 000 eurosSiège social : Allée de Roncevaux,

31240 L’UNION661 850 149 RCS TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 19 juin 2013 :

- la société ERNST & YOUNG et Autres,demeurant à Paris La Défense 1, 1-2Place des Saisons – 92400 COURBE-VOIE, a été nommée en qualité de Com-missaire aux comptes titulaire enremplacement de la société CONSEILAUDIT & SYNTHESE,

- la société AUDITEX, demeurant àParis La Défense 1, 1-2 Place des Sai-sons – 92400 COURBEVOIE, a été nom-mée en qualité de Commissaire auxcomptes suppléant en remplacement de lasociété CABINET AUDIT & DIAGNOSTIC.

Pour avisLe Président

HOLDING AUSTRUY BURELSociété par actions simplifiée au capital de 403 540 euros

Siège social : Allée de Roncevaux,31240 L’UNION

399 573 351 RCS TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 14 juin 2013 :

- la société ERNST & YOUNG et Autres,demeurant à Paris La Défense 1, 1-2Place des Saisons – 92400 COURBE-VOIE, a été nommée en qualité de Com-missaire aux comptes titulaire enremplacement de la société CONSEILAUDIT & SYNTHESE,

- la société AUDITEX, demeurant àParis La Défense 1, 1-2 Place des Sai-sons – 92400 COURBEVOIE, a éténommé en qualité de Commissaire auxcomptes suppléant en remplacement de lasociété CABINET AUDIT & DIAGNOSTIC.

Pour avisLe Président

LE MONT BLANCSociété par actions simplifiée au capital de 960 000 euros

Siège social : Allée de Roncevaux,31240 L’UNION

350 547 436 RCS TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 12 juin 2013 :

-la société ERNST & YOUNG et Autres,demeurant à Paris La Défense 1, 1-2Place des Saisons – 92400 COURBE-VOIE, a été nommée en qualité de Com-missaire aux comptes titulaire enremplacement de la société CONSEILAUDIT & SYNTHESE,

-la société AUDITEX, demeurant à ParisLa Défense 1, 1-2 Place des Saisons –92400 COURBEVOIE, a été nommée enqualité de Commissaire aux comptes sup-pléant en remplacement de la société CA-BINET AUDIT & DIAGNOSTIC.

Pour avisLe Président

S2S INTERVENTION SARL au capital de 8000€

Siège social : 25 Rue Vestrepain et 1Rue Tellier, 31100 TOULOUSE

51291498700023 RCS TOULOUSE

Aux termes de l'AG extraordinaire du01/08/2013, il a été décidé de transférer lesiège social 2 Rue Antoine De Malras31100 Toulouse à compter du 01/08/2013.Statuts modifiés en conséquence. RCSToulouse.

CIDSOCIETE PAR ACTIONS SIMPLIFIEE

AU CAPITAL DE 75 000 EUROSSIEGE SOCIAL : 6, RUE

DE L’OURMEDE BATIMENT 431620 CASTELNAU-D’ESTRETE-

FONDS (HAUTE GARONNE)524 812 948 RCS TOULOUSE

Suivant décisions extraordinaires del’Associée Unique en date du 22/07/2013,il a été décidé de transférer le siège socialà compter du 22/07/2013, de CASTEL-NAU-D'ESTRETEFONDS (31620), 6 Ruede L'Ourmède, Bâtiment 4 à LABASTIDESAINT PIERRE (82370), Zone d'Activitéde Lauzard, Lieudit Catrou.

L’Article 1.4 – SIEGE SOCIAL des sta-tuts a été modifié en conséquence.

La société sera désormais immatriculéeau R.C.S. de MONTAUBAN.

Pour avis,le représentant légal

LA FRANCILIENNESARL au capital de 10 000 €

Siège social : 22, Rue DES NOYERS93170 BAGNOLET

538 189 200 R.C.S. BOBIGNY

En date du 31/07/2013, l'AGE a décidéde transférer le siège social au 50/58,Chemin de Baluffet et Avenue de LionelDe Marmier ZA BALUFFET BAT 6/731300 Toulouse à compter du 01/08/2013.Gérance : M. AMINE CHENA 80, Routede Salignac Villa E 11 33240 Saint Andréde Cubzac Radiation du RCS de BOBI-GNY. Immatriculation au RCS de TOU-LOUSE.

EURL MS2Aau capital de 300 euros

Siège social : 7 Rue du Cherche Midi31140 PECHBONNIEU

RCS Toulouse 518 399 985

Aux termes d’une AGE en date du20/03/2013, l’associé unique a décidé detransférer le siège social du 7 Rue duCherche Midi – 31140 PECHBONNIEU au18 quart Chemin du Moureau – 31140PECHBONNIEU à compter du01/04/2013. L’article 4 des statuts a étémodifié en conséquence.

Pour avis et mention

INSERTION

Aux termes d’une Assemblée Généralede la société dénommée SCHAULER,dont le siège social se situe à AUCAM-VILLE (31140) Résidence le Marequier, 24Chemin du Mazurie, Appart B6, identifiéeau SIREN sous le n°793 110 180 RCSTOULOUSE, en date du 24 juillet 2013,les associés ont décidé de procéder à laréduction du capital social de104.200,00 € à 1.000,00€ et de modifierl’article « CAPITAL SOCIAL » en consé-quence.

Pour avis

Suite à l’AGE du 29/07/2013 de la SARLAUTO PRIM Siège social : 4 rue LouisTastavin 31100 Toulouse, capital fixe de1000 € RCS Toulouse 512303702, il a étédécidé de transférer le siège social au 172route de Seysses 31100 Toulouse à partirdu 29/07/2013. RCS Toulouse.

PATRIMUM GROUPESociété par actions simplifiée

au capital de 42.000 EurosPorté à 34.147 euros

Siège social : 2 Boulevard de Strasbourg 31000 TOULOUSE

499.352.367 RCS TOULOUSE

Il résulte :- du procès-verbal de l'Assemblée Gé-

nérale Extraordinaire du 1er juillet 2013,- du procès-verbal des décisions du Pré-

sident du 29 juillet 2013 que le capital so-cial a été réduit d'un montant de 7.853euros par voie de rachat et d'annulation de7.853 actions.

L'article 7 des statuts a été modifié enconséquence.

Ancienne mention :Le capital social est fixé à quarante deux

mille euros (42.000 euros).Nouvelle mention :Le capital social est fixé à trente quatre

mille cent quarante sept euros (34.147euros).

POUR AVIS, Le Président

SALAMANDRESOCIETE A RESPONSABILITE

LIMITEE AU CAPITAL DE 47 936 EUROSSIEGE SOCIAL : 2 AVENUE DU

REGIMENT NORMANDIE NIEMEN91700 SAINTE GENEVIEVE DES BOIS

398 664 706 RCS EVRY

Suivant décisions mixtes ordinaires etextraordinaires de l’Associée Unique endate du 10/05/2013:� il a été décidé de transférer le siège

social à compter du 10/05/2013 deSAINTE GENEVIEVE DES BOIS (91700),2 Avenue du Régiment Normandie Nié-men à TOULOUSE (31200), 174 Avenuedes Minimes.

L’article 4 – SIEGE SOCIAL des statutsa été modifié en conséquence.

Objet social :- l’étude, la conception et l’exploitation

par concession de licence d’utilisation, lo-cation, cession de droits ou autrement delogiciels et progiciels,

- l’audit, l’assistance et le conseil en in-formatique,

- la vente de matériel informatique, ordi-nateurs, imprimantes, machines à calcu-ler, caisses enregistreuses et tous produitsaccessoires,

- l’enseignement et la formation profes-sionnelle en informatique et gestion infor-matisée,

- La formation professionnelle danstoutes disciplines et plus particulièrementcelles

intéressant les secteurs d’activités del’hôtellerie et de la restauration,

- A ces fins la société peut acquérir tousbrevets, licences, marques et autresdroits.

Elle peut également acheter, échanger,prendre à bail ou en location-gérance touslocaux et fonds de commerce nécessaireà objet ci-dessus,

- Et généralement, faire toutes opéra-tions commerciales, industrielles, finan-cières, mobilières ou immobilièrespouvant être nécessaires ou utiles à laréalisation et au développement des af-faires sociales.

Durée : 99 ans à compter de son imma-triculation.

La société sera désormais immatriculéeau R.C.S. de TOULOUSE.

Pour avis,le représentant légal

LEGI-CONSEILS SUD-OUESTSELAFA – Société d’Avocats

2, rue des Feuillants – BP 312731026 Toulouse cedex 3

SARL BIJOUTERIE AUCHERESociété à Responsabilité Limitée

Au capital de 7.622,45 Euros porté à 202 160 Euros

Siège social : 6 Avenue de Toulouse31270 CUGNAUX

RCS TOULOUSE B 411 586 076

Aux termes d’une délibération de l’As-semblée Générale Extraordinaire en datedu 27/06/2013 les associés ont décidéd’augmenter le capital social de 194537,55 euros soit à hauteur de 512 eurospar capitalisation de créance et 194025,55 euros par incorporation de primed’émission et réserves, ce qui entraîne lapublication suivante :

Ancienne mention :Capital social : 7622,45 EurosNouvelle mentionCapital social : 202 160 Euros divisé en

532 parts de 380 euros de nominal uni-taire.

Pour avisLe Gérant

ORLIMAN EUROPESociété par actions simplifiée

au capital de 6 000 eurosSiège social : Chez PARSO

5 rue Saint-Pantaléon, 31000 TOULOUSE

508.108.099 RCS TOULOUSE

Aux termes d'une décision en date du 29juillet 2013, l’associée unique a pris actede la démission de Monsieur IgnacioFRANQUESA CASTRILLO de son man-dat de Président, à compter du31/07/2013 et a nommé en remplacement,en qualité de Président, pour une durée il-limitée, à compter du 31/07/2013, Mon-sieur Marcos LLADO BERTRANDdemeurant Serrano 120 3Dcha Madrid28006, Espagne.

POUR AVIS, le PrésidentNotre numérode fax

05 34 40 69 31

Page 19: Edition Num575okkkkkkk

ANNONCES LÉGALES [email protected] 8 août 2013 - n°575

www.journaltoulousain.frTOULOUSAINLe

AVIS DE CESSION D’UN

BRANCHE COMPLETE ET

AUTONOME D’ACTIVITE

Suivant acte sous seing privé en date àTOULOUSE du 23/07/2013, enregistré auService des Impôts des Entreprises deTOULOUSE-NORD, le 30/07/2013, Bor-dereau n°2013/1354, case n° 10 l'Asso-ciation TOULOUSE METROPOLEBASKET (T.M.B), association constituéeen vertu des dispositions de la loi du 1erjuillet 1901, dont le siège est sis 3, Rue La-place, Palais des Sports à TOULOUSE(31000), déclarée auprès de la Préfecturede la Haute-Garonne sous le numéroW313009045, a cédé à la société TOU-LOUSE METROPOLE BASKET (T.M.B),SAS au capital de 3.000 €uros, dont lesiège social est sis 3, Rue Laplace, Palaisdes Sports à TOULOUSE (31000), encours d’immatriculation au RCS de TOU-LOUSE, une branche d’activité de «ges-tion et animation d'activités sportivesdonnant lieu à l'organisation de manifes-tations payantes et à des versements derémunération dans le domaine du BasketBall féminin professionnel et de formationdes jeunes et des sportifs de haut niveaupar le biais d'un centre de formation», siset exploitée 3, Rue Laplace, Palais desSports à TOULOUSE (31000), et pourl’exploitation de laquelle L’ASSOCIATIONTOULOUSE METROPOLE BASKET(T.M.B) est identifiée à l’INSEE sous le nu-méro 504 082 421 00026, et moyennantle prix de 190.000 €, avec un transfert depropriété et entrée en jouissance fixés ré-troactivement au 30/06/2013. Les opposi-tions au paiement du prix seront reçuesdans les formes prescrites par l'articleL.141-14 du Code de commerce au siègedu cabinet d'avocats SELARL AR-CANTHE, sis 4 allée Paul Feuga, 31000TOULOUSE.

Pour avis

ALIZE CONSEILSOCIETE D’AVOCATS

38 AVENUE GAMBETTA – BP 44382004 MONTAUBAN CEDEX

TEL. : 05.63.21.48.70FAX : 05.63.21.48.35

CESSION DE FONDS

DE COMMERCE

Aux termes d'un acte sous seing privéen date à MONTAUBAN du 31 juillet 2013,enregistré au Service des Impôts des En-treprises de TOULOUSE NORD le 5 août2013 sous le bordereau n° 2013/1393 -case n° 1

La SARL NATURONSSociété à Responsabilité Limitée au ca-

pital de 10.000 €Dont le siège social au 36 Bis rue du

Canon d’Arcole – 31000 TOULOUSEImmatriculée au Registre du Commerce

et des Sociétés de TOULOUSE sous le n°537 983 504

A cédé à :

La SARL NATURONS DEVELOPPE-MENT

Société à Responsabilité Limitée au ca-pital de 10.000 €

Dont le siège social au 36 Bis rue duCanon d’Arcole – 31000 TOULOUSE

Immatriculée au Registre du Commerceet des Sociétés de TOULOUSE sous le n°793 963 257

� Le fonds de commerce de « restaura-tion de type rapide » exploité à TOU-LOUSE (31000) 36 bis rue du Canond’Arcole,

avec tous les éléments corporels et in-corporels en dépendant, moyennant leprix de SOIXANTE MILLE EUROS(60.000 €), s'appliquant aux éléments in-corporels pour 27.540 € et aux élémentscorporels pour 32.460 €.

L'entrée en jouissance est fixée au 31juillet 2013.

Les oppositions, s'il y a lieu, seront re-çues, dans les dix jours de la dernière endate des publicités légales, au cabinetd'Avocats COTEG & AZAM associés - 25rue de Metz – 31014 TOULOUSECEDEX.

Pour avis

SARL ERASMUS IMMOBILIER,au capital de 1000 €,

siège social : 24 avenue de la Gloire31500 Toulouse,

RCS Toulouse 793 752 650

Au terme d’un procès-verbal en date du20/06/2013 Mr Hakim Giesen demeurant1 bd Armand Duportal 31000 Toulouse aété nommé gérant en remplacement deMr Ahmed Achouri démissionnaire aveceffet au 20/06/13 pour une durée indéter-minée.

STÉ BOULANGERIE LE COLIBRI

SARL transformée en SASAu capital de 7 500 euros

Siège social : 45 Bd Vincent AURIOL31170 TOURNEFEUILLE

501343412 RCS TOULOUSE

AVIS DE TRANSFORMATION

Aux termes d'une délibération en datedu 16 juillet 2013, l'Assemblée GénéraleExtraordinaire des associés, statuant dansles conditions prévues par l'article L. 227-3 du Code de commerce, a décidé latransformation de la Société en sociétépar actions simplifiée avec effet au 1eraoût 2013, sans création d'un être moralnouveau et a adopté le texte des statutsqui régiront désormais la Société.

La dénomination de la Société, sonobjet, son siège, sa durée et les datesd'ouverture et de clôture de son exercicesocial demeurent inchangées.

Le capital social reste fixé à la sommede 7 500 euros.

Monsieur Edouard MATEUS, gérant, acessé ses fonctions du fait de la transfor-mation de la Société à compter du 31 juil-let 2013.

Sous sa nouvelle forme de société paractions simplifiée, la Société est dirigéepar : Président : Monsieur Edouard MA-TEUS demeurant 52 Rue du 11 novembre1918 à PLAISANCE DU TOUCH (31830)

Directeur Général : Madame Katia MA-TEUS demeurant 52 Rue du 11 novembre1918 à PLAISANCE DU TOUCH (31830)

Pour avis, Le Président

PLANET CASH MURETSociété à responsabilité limitée

au capital de 20 000 eurosSiège social : 14 Rue Pierre de Fermat

31600 Muret520 484 643 RCS Toulouse

Aux termes du procès-verbal de l'as-semblée générale extraordinaire du27/06/2013, il résulte que : L'assembléegénérale extraordinaire, statuant confor-mément à l'article L 223-42 du Code decommerce, a décidé de ne pas dissoudrela Société.

Mention sera faite au RCS : TOU-LOUSE.

Pour Avis

POMMESociété par Actions Simplifiée au Capital de 100.800 Euros

Siège social : 31 rue Lafayette 31000 TOULOUSE

RCS : TOULOUSE B 660 802 703

Aux termes d’une délibération en datedu 28 juin 2013, les associés ont décidéde poursuivre l’activité sociale en applica-tion des articles L. 227-1 alinéa 3 et L.225-248 du Code de Commerce.

La Gérance

ACTIV’ FISociété par actions simplifiée

en liquidation au capital de 5 000 EurosSiège social : 297 chemin

de Narquières 31620 BOULOC510.226.699 RCS TOULOUSE

Aux termes d'une délibération en datedu 22/07/2013, l’assemblée générale ex-traordinaire a décidé la dissolution antici-pée de la Société à compter de ce jour etsa mise en liquidation amiable sous le ré-gime conventionnel dans les conditionsprévues par les statuts et les délibérationsde ladite assemblée. Elle a nommécomme liquidateur Madame Marie-LineMALATERRE, demeurant 297 Chemin deNarquières 31620 BOULOC, pour toute ladurée de la liquidation, avec les pouvoirsles plus étendus tels que déterminés parla loi et les statuts pour procéder aux opé-rations de liquidation, réaliser l'actif, ac-quitter le passif, et l'a autorisée à continuerles affaires en cours et à en engager denouvelles pour les besoins de la liquida-tion. Le siège de la liquidation est fixé ausiège social. C'est à cette adresse que lacorrespondance devra être envoyée etque les actes et documents concernant laliquidation devront être notifiés. Les acteset pièces relatifs à la liquidation seront dé-posés au Greffe du Tribunal de Commercede TOULOUSE en annexe au Registre ducommerce et des sociétés. L'AssembléeGénérale a mis fin aux fonctions de Com-missaire aux Comptes de Madame Fran-çoise PLAS ROQUES, titulaire et lasociété CSA AUDIT, suppléante, et ce, àcompter du jour de la dissolution.

Pour avis, Le Liquidateur

APELLE GALLERYSOCIETE PAR ACTIONS SIMPLIFIEE

AU CAPITAL DE 45.600 EUROSSIEGE SOCIAL : 67, RUE PRADAL

31400 TOULOUSE503 847 444 RCS TOULOUSE

AVIS DE DISSOLUTION

SUITE À FUSION

Aux termes d’un projet de traité de fu-sion en date du 6 mai 2013, la SociétéAPELLE GALLERY, société par actionssimplifiée au capital de 45.600 euros dontle siège social est à TOULOUSE (31400),67 Rue Pradal, immatriculée au registredu commerce et des sociétés de TOU-LOUSE sous le numéro 503 847 444 atransmis à la Société APELLE GROUPE,Société par actions simplifiée au capital de220.880 euros, dont le siège social est àTOULOUSE (31000), 7, Place Wilson, im-matriculée au RCS de TOULOUSE sousle n°502 922 4 20, tout son patrimoine.Dès lors que la Société APELLE GROUPEa toujours détenu, depuis la date du dépôtau greffe du traité de fusion, la totalité desactions composant le capital la SociétéAPELLE GALLERY :

- il n’a pas été procédé à l’échange d'ac-tions de la société APELLE GROUPEcontre des actions de la société APELLEGALLERY en rémunération de cette fu-sion et, en conséquence, il n’y a pas eulieu de procéder à une augmentation ducapital de la société APELLE GROUPE,conformément aux dispositions de l’articleL.236-3 alinéa 2 du code de commerce ;

- cette fusion n’avait pas à être soumiseà l’approbation de l’Assemblée GénéraleExtraordinaire de la société APELLEGROUPE, ni de l'Associée Unique de lasociété APELLE GALLERY, conformé-ment aux dispositions de l’article L.236-11du Code de Commerce.

Aucune opposition émanant des créan-ciers sociaux n’ayant été formée dans ledélai de trente jours prévu à l’articleR.236-8 du Code de commerce, la fusionest devenue définitive en date du 21 juillet2013, conformément à l’article R.236-2 duCode de commerce.

La fusion des sociétés APELLEGROUPE et APELLE GALLERY étant dé-finitive, la société APELLE GALLERY setrouve dissoute de plein droit ce mêmejour, sans qu’il soit procédé à aucune opé-ration de liquidation.

Le dépôt légal sera effectué au Greffedu Tribunal de Commerce de TOU-LOUSE.

POUR AVIS

ACTIV’ FISociété par actions simplifiée

en liquidation au capital de 5 000 EurosSiège social : 297 chemin

de Narquières 31620 BOULOC510.226.699 RCS TOULOUSE

L'Assemblée Générale réunie le 22 juil-let 2013 a approuvé le compte définitif deliquidation, déchargé Madame Marie-LineMALATERRE de son mandat de liquida-teur, donné à ce dernier quitus de sa ges-tion et constaté la clôture de la liquidationà compter du jour de ladite société.

Les comptes de liquidation seront dépo-sés au greffe du Tribunal de commerce deTOULOUSE, en annexe au Registre ducommerce et des sociétés.

Pour avis, Le Liquidateur

Cliche79Société à Responsabilité Limitée en

liquidation au capital de 10 000 eurosSiège social et de liquidation : 5 Ave-nue Joseph Le Brix, 31500 TOULOUSE

R.C.S. TOULOUSE 538 196 924

L'Assemblée Générale réunie le 17 juil-let 2013 a approuvé le compte définitif deliquidation, déchargé Monsieur RomainAURIAC et Monsieur Jérôme DUNYACHde leur mandat de liquidateur, donné à cesderniers quitus de leur gestion et constatéla clôture de la liquidation à compter du 30juin 2013.

Les comptes de liquidation seront dépo-sés au greffe du Tribunal de commerce deTOULOUSE, en annexe au Registre ducommerce et des sociétés.

Pour avisLe Liquidateur

APELLE INVESTSOCIETE PAR ACTIONS SIMPLIFIEE

AU CAPITAL DE 19.100 EUROSSIEGE SOCIAL : 67, RUE PRADAL

31400 TOULOUSE507 671 022 RCS TOULOUSE

AVIS DE DISSOLUTION

SUITE À FUSION

Aux termes d’un traité de fusion en datedu 6 mai 2013, la Société APELLE IN-VEST, société par actions simplifiée au ca-pital de 19.100 euros dont le siège socialest à TOULOUSE (31400), 67 Rue Pradal,immatriculée au registre du commerce etdes sociétés de TOULOUSE sous le nu-méro 507 671 022 a transmis à la SociétéAPELLE GROUPE, Société par actionssimplifiée au capital de 220.880 euros,dont le siège social est à TOULOUSE(31000), 7, Place Wilson, immatriculée auRCS de TOULOUSE sous le n°502 922420, tout son patrimoine. Dès lors que laSociété APELLE GROUPE a toujours dé-tenu, depuis la date du dépôt au greffe dutraité de fusion, la totalité des actions com-posant le capital la Société APELLE IN-VEST :

- il n’a pas été procédé à l’échange d'ac-tions de la société APELLE GROUPEcontre des actions de la société APELLEINVEST en rémunération de cette fusionet, en conséquence, il n’y a pas eu lieu deprocéder à une augmentation du capitalde la société APELLE GROUPE, confor-mément aux dispositions de l’article L.236-3 alinéa 2 du code de commerce ;

- cette fusion n’avait pas à être soumiseà l’approbation de l’Assemblée GénéraleExtraordinaire de la société APELLEGROUPE, ni de l'Associée Unique de lasociété APELLE INVEST, conformémentaux dispositions de l’article L.236-11 duCode de Commerce.

Aucune opposition émanant des créan-ciers sociaux n’ayant été formée dans ledélai de trente jours prévu à l’articleR.236-8 du Code de commerce, la fusionest devenue définitive en date du 21 juillet2013, conformément à l’article R.236-2 duCode de commerce.

La fusion des sociétés APELLEGROUPE et APELLE INVEST étant défi-nitive, la société APELLE INVEST setrouve dissoute de plein droit ce mêmejour, sans qu’il soit procédé à aucune opé-ration de liquidation.

Le dépôt légal sera effectué au Greffedu Tribunal de Commerce de TOU-LOUSE.

POUR AVIS

SARL LAUVIN SARL au capital de 1 000Euros Siège : 12 rue des Tanneurs, 31250REVEL 505029652 R.C.S. Toulouse

Par décision de I'AGO en date du 27 juil-let 2013 les Associés ont : - approuvé lescomptes définitifs de la liquidation, - donnéquitus au Liquidateur, Monsieur AYMESBernard, pour sa gestion et décharge deson mandat, - prononcé la clôture desopérations de liquidation à compter du jourde ladite Assemblée. Autres modifica-tions :

Suivant délibération en date du 27 Juil-let 2013 à 10h, les associés, après avoirentendu le rapport du liquidateur MonsieurAYMES Bernard 12 rue des Tanneurs -31250 REVEL ont approuvé les comptesde liquidation, et aptes avoir donné quitusau liquidateur et déchargé son mandat, aprononcé la clôture des opérations de li-quidation. Les comptes de liquidation se-ront déposés au greffe du tribunal decommerce de TOULOUSE. Pour avis etmention. Le liquidateur. Radiation au RCSde Toulouse.

SARL WITZGALL au capital de 1 500 €Siège social : 4, route de la Gare – Lot N°64 31860 Pins-Justaret RCS Toulouse B503 161 572

Aux termes d'une décision en date du 30juin 2013, l'associé unique, en sa qualitéde liquidateur, a établi les comptes de li-quidation et a prononcé la clôture de la li-quidation. Les comptes de liquidationseront déposés au greffe du Tribunal decommerce de Toulouse, en annexe au Re-gistre du commerce et des sociétés.

Additif à l'insertion parue le 18/07/2013pour la société SAS PADWAYS, RCSTOULOUSE 533 578 266, par décision duPrésident du 31 mai 2013, il a été constatéla réduction du capital social à 0 euros etson augmentation pour le porter à 6 500euros.

iFAKT FranceSociété par actions simplifiées

au capital de 10 000 €Siège social : 8, Esplanade Compans

Caffarelli, Immeuble Atria, 31000 Toulouse

791 174 253 RCS Toulouse

Rectificatif à l’annonce parue dans leJournal Toulousain n°574 du 1er août2013. Il fallait lire « Mikaël Carassou-Mail-lan », né le 16 janvier 1977 à Marseille ».

EURL Cyclenville (Journal Toulousainn°569 du 27/06/2013) : il fallait lire : Sui-vant décision de l’associé unique.

Société Anonyme à Conseil d’Adminis-tration « GROUPE TERRENCIEL » au ca-pital de 2 649 350,63 €, siège social : 29,rue Jean Monnet -31240 SAINT-JEAN -RCS Toulouse N°493 444 954.

Convocation à l’AGO du mardi 27 août2013 à 9 heures, au siège de la société29, rue Jean Monnet - 31240 Saint-Jean.

Préambule : La présente AssembléeGénérale Ordinaire est convoquée par lesreprésentants du nouveau bloc decontrôle, Thierry Barrial en nom propre eten tant que représentant de la SAS TER-RENCIEL, Antoine Martinez et VéroniqueBadet, conformément à l’article 32 § 4 desstatuts. Ce nouveau bloc de contrôle estissu de la sentence arbitrale du22/05/2013 donnant rétroactivement au30/12/2011 la Présidence de la SAS TER-RENCIEL à Thierry Barrial. Ce nouveaubloc de contrôle est constitué par ThierryBarrial, en nom propre (détenant33,013 % du capital social et 33013 droitsde vote), par Thierry Barrial, en tant quereprésentant de la SAS TERRENCIEL(détenant 24,050 % du capital social et10000 droits de vote), par Antoine Marti-nez (détenant 3,822 % du capital social et3822 droits de vote) et par VéroniqueBadet (détenant 0,334 % du capital socialet 334 droits de vote). Ce nouveau bloc decontrôle détient ainsi 61 219 actions ayantdroit de vote sur 100 000 actions du capi-tal social de la SA GROUPE TERREN-CIEL (soit 61,219 %) auxquelles sontattachées 47 169 voix sur un total de 85950 voix (soit 54,879 %). Ordre du jour :

- Signature de la feuille de présence- Présidence de séance assurée par

l’associé représentant la majorité des ac-tions et des voix

- Proposition de révocation des mem-bres actuels du Conseil d’Administration

- Proposition des actionnaires postulantau Conseil d’Administration (Thierry Bar-rial, à titre personnel et en tant que repré-sentant de la SAS TERRENCIEL, AntoineMartinez et Véronique Badet)

- Constat de l’élection du nouveauConseil d’Administration

- Proposition de révocation du Présidentactuel, Jacques Palau, par le nouveauConseil d’Administration

- Constat du départ de l’ancien Prési-dent, Jacques Palau et restitution de tousles biens meubles, documents et moyensde paiement appartenant à la SAGROUPE TERRENCIEL

- Proposition du ou des membres duConseil d’Administration se présentant àla Présidence du nouveau Conseil d’Ad-ministration de la SA GROUPE TERREN-CIEL puis nomination du nouveauPrésident

- Rémunération annuelle et rembourse-ment de frais du nouveau Président ainsique prime de prise de Présidence à déter-miner

- Nomination d’un Directeur Général parle nouveau Conseil d’Administration, défi-nition de ses attributions et de sa rémuné-ration annuelle

- Politique générale - Questions diverses

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Avec : Mehdi Dehbi, Maria

de Medeiros, Emmanuel Sa‐

linger

Yacine, brillant étudiant en

sciences politiques d’origine

modeste, obtient un soutien

inattendu de la part de Ri‐

chard, son professeur de

philosophie politique. Celui‐

ci propose notamment de

l’aider à décrocher un stage

à l’Élysée. Mais une nuit, Ya‐

cine se réveille paniqué. En

transe, il se dirige vers le

domicile de son professeur

où il apprend son décès.

Étrangement serein, il

s’emploie à rassurer la fa‐

mille : “Ne vous inquiétez

pas, personne n’est mort. Je

suis Richard !”...

Jeudi 08 Aôut à 18h05 ‐22h00 ‐ Vendredi 09 Aôut à16h50 ‐ 21h30 ‐ Samedi 10Aôut à 16h35 ‐ 21h30 ‐ Di‐manche 11 Aôut à 18h15 ‐Lundi 12 Aôut à 15h00 ‐18h05 ‐ Mardi 13 Aôut à20h10 ‐ Mercredi 14 Aôut à16h40 ‐ Jeudi 15 Aôut à15h00 ‐ Vendredi 16 Aôut à18h30 ‐ Samedi 17 Aôut à16h40 ‐ Dimanche 18 Aôutà 20h10 ‐ Lundi 19 Aôut à15h00 ‐ Mardi 20 Aôut à21h40

Cha CCha CChaDe : Marco Risi

Avec : Luca Argentero, Eva

Herzigova, Claudio Amen‐

dola

À Rome, à la sortie d’une

boite de nuit, un adolescent

trouve la mort dans un acci‐

dent de voiture. Tout laisse à

penser qu’il s’agit d’une sim‐

ple collision, mais Corso, an‐

cien flic devenu détective

privé, est persuadé du

contraire. Michelle, la mère

du jeune homme et ancienne

maîtresse de Corso, est à pré‐

sent avec un homme de pou‐

voir, l’influent avocat Argen‐

to. Au cours de l’investigation

s’ajoute la découverte du ca‐

davre d’un ingénieur, appa‐

remment proche de l’avocat.

Corruption, écoutes télépho‐

niques, espionnage, règle‐

ments de compte : l’enquête

va s’avérer difficile pour

Corso, qui tente de faire écla‐

ter la vérité sur la mort du fils

de Michelle.

Jeudi 08 Aôut à 15h00 ‐18h30 ‐ Vendredi 09 Aôut à20h10 ‐ Samedi 10 Aôut à16h45 ‐ à 22h00 ‐ Dimanche11 Aôut à 16h35 ‐ 22h00 ‐Lundi 12 Aôut à 14h55 ‐18h25 ‐ Mardi 13 Aôut à16h55 ‐ à 22h00 ‐ Mercredi14 Aôut à 15h00 ‐ Jeudi 15Aôut à 22h00 ‐ Vendredi 16Aôut à 22h00 ‐ Samedi 17Aôut à 15h00 ‐ Dimanche 18Aôut à 18h30 ‐ Lundi 19Aôut à 16h50 ‐ Mardi 20Aôut à 21h00

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Un style énergique et ac‐tuel qui se moque des

conventions pour rire del’hypocrisie, des injustices

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scène depuis 2002, signent

plusieurs spectacle avant de

rencontrer un vif succès en

2007 avec “J’achète”, specta‐

cle sur la société de consom‐

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teurs qui va basculer !

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Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.fr20 SORTIR À TOULOUSE

Page 21: Edition Num575okkkkkkk

21Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Page 22: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frDETENTE22

RECETTE

Coupez le poisson en fins bâ‐

tonnets. Lavez et hachez

ensemble les différentes

herbes aromatiques. Pelez et cise‐

Nid de poissons blancs aux herbes

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Préparation : 20 min

Cuisson : 10 à 15 min

Ingrédients : 600 g de poissons

blancs (lotte ou saule), 400 g de

spaghettis aux herbes, 2 gousses

d’ail, 2 ou 3 tiges de persil, de ci‐

boulette et de coriandre, beurre,

vin blanc, graines de sésame, sel,

poivre.

lez finement les gousses d’ail. En‐

suite, faites revenir à la poêle l’ail

et le poisson. Ajoutez les herbes,

une bonne noisette de beurre et

un peu de vin blanc.

Laissez cuire pendant 10 mn.

Entre‐temps, faites cuire les spa‐

ghettis dans de l’eau salée. Puis,

égouttez‐les et ajoutez une noix

de beurre. Dressez les assiettes en

préparant dans chacune d’elles un

petit nid de pâtes. Déposez le

poisson au centre des nids et sau‐

poudrez de graines de sésame.

Servez bien chaud.

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DETENTE 23Jeudi 8 Août 2013 - N° 575

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

BÉLIERAmour : Priorité à votre vie pri‐

vée. Vous attacherez une impor‐

tance capitale à la qualité de vos

relations avec votre partenaire et

vous lui consacrerez le plus de

temps possible. Travail‐Argent :Vous allez devoir affronter de

nouvelles responsabilités qui exi‐

gent de vous plus de disponibilité

et un grand investissement.

Santé : Belle résistance physique.

TAUREAUAmour : Vous ne serez guère sur

la même longueur d'onde que

votre partenaire. Mais vous devez

prendre, ensemble, des décisions

concernant votre vie familiale.

Travail‐Argent : Vous aurez l'oc‐

casion de prouver votre efficacité

et détermination sur le terrain.

Exploitez à fond cette opportu‐

nité. Santé : Vous avez enfin dé‐

cidé de manger des fruits.

Excellent pour la forme.

GÉMEAUXAmour : La famille sera votre

principale préoccupation. Un en‐

fant ou un parent proche pourrait

vous donner quelques soucis. Tra‐vail‐Argent : Vous feriez bien de

jeter un œil sur vos finances ou

vous pourriez avoir quelques sur‐

prises désagréables. Santé : Vous

risquez de souffrir du stress. Vos

repas auront du mal à passer.

CANCERAmour : Vous aurez bien du mal

à résister à l'amour fou qui fera

brusquement irruption dans votre

vie. Travail‐Argent : Il vous sera

difficile de venir à bout de toutes

les résistances. Santé : Ménagez‐

vous un peu plus.

LION

Amour : Un être proche de vous

affectivement pourrait vous de‐

mander de l'aide. Vous répondrez

présent. Travail‐Argent : Soyez

vigilant. Dans votre entourage

professionnel, on pourrait vouloir

vous mettre des bâtons dans les

roues. Santé : Prenez rendez‐

vous avec l'ophtalmologue pour

un examen de votre vue.

VIERGEAmour : Vous passerez des mo‐

ments inoubliables auprès de

l'homme ou de la femme de votre

vie. Travail‐Argent : Les projets,

les affaires sont toujours plus ou

moins en gestation et ne peuvent

réellement démarrer. Néan‐

moins, les amis, les relations ai‐

dent et sont efficaces. Santé :Vous n'avez qu'une envie c'est de

profiter de la vie et la forme vous

accompagne.

BALANCEAmour : Priorité à l'harmonie !

Vous ne ménagerez pas vos ef‐

forts pour éviter les tensions et

faire souffler un bel esprit de fa‐

mille dans votre foyer. Travail‐Ar‐gent : Vous vous montrerez très

efficace, surtout si vous exercez

un métier indépendant. En effet,

le travail en équipe vous posera

quelques problèmes. Santé :Quel tonus ! Faites quelques exer‐

cices sportifs et ce dès le matin.

SCORPIONAmour : Vous pourriez recevoir

des nouvelles de certains membres

de la famille dont vous vous êtiez

éloigné. Bonnes ou mauvaises ?

Travail‐Argent : Pas de souci à

avoir dans ce domaine. Vous serez

apprécié pour vos compétences et

votre dévouement. Santé : Vous

manquez de souplesse. Et si vous

vous mettiez à la gym ?

SAGITTAIREAmour : C'est une période senti‐

mentale plutôt calme qui s'an‐

nonce. Travail‐Argent : Attention

à un passage professionnel délicat.

Il y a un motif de conflit qu'il ne faut

pas négliger. Un incident pourrait

avoir des conséquences irrépara‐

bles. Santé : C'est toujours la

forme, mais n'en abusez pas.

CAPRICORNEAmour : Vous traversez une pé‐

riode d'incertitude, un désir de

changer de peau ou un besoin de

changer de partenaire. Travail‐Argent : Vous vous imposerez

une discipline rigoureuse pour sa‐

tisfaire votre besoin de progresser,

de vous élever professionnelle‐

ment. Santé : Gardez votre calme

et votre sérénité, quelle que soit

la situation.

VERSEAUAmour : Vous serez amené à re‐

manier votre échelle de valeurs.

Travail‐Argent : Vous traversez

une période d'intense activité qui

peut vous permettre d'accroître

votre réseau de relations. Santé :Vous ressentez une certaine ner‐

vosité.

POISSONSAmour : Vos amours oscillent

entre fougue et froidure, entre

quiétude et soucis familiaux...

Travail‐Argent : Étudiez soigneu‐

sement les propositions que l'on

vous fera. Elle ne sont pas toutes

mirobolantes. Ne vous lancez pas

tête baissée et demandez conseil

auprès de vos proches. Santé : Un

peu de surmenage, prenez le

temps de vous reposer.

HOROSCOPEGTI : Trois lettres synonymes de sportivitéTrois lettres également liées à une

époque “phare” pour les petites

sportives de grande série : les an‐

nées 1975‐1995. De l’arrivée de la

première Volkswagen Golf GTI, vé‐

ritable jalon fondateur du genre,

aux paroxysmes du style que repré‐

sentent les Peugeot 309 GTI 16 et

Renault Clio Williams, l’ouvrage re‐

vient sur toute cette saga excep‐

tionnelle. Premier du genre à

revenir sur cette formidable

époque que l’on redécouvre au‐

jourd’hui avec nostalgie, “GTI les

sportives populaires” revient sur la

plupart des modèles mythiques de

cette période, de la Ford Escort

RS1600 i à la cultissime Peugeot

205 GTI, en passant bien évidem‐

ment par la Fiat Ritmo Abarth ou la

Renault 5 GT Turbo. Il n’oublie pas

cependant de revenir également

sur des modèles atypiques qui ont

aussi marqué cette

période des bombi‐

nettes, comme la to‐

nitruante Ford Fiesta

Turbo ou l’étonnante

Fiat Uno Turbo. Avec

un texte didactique

qui revient en détail

sur la carrière de

chacun de ces mo‐

dèles et leur impact

technique et cultu‐

rel, “GTI les spor‐

tives populaires”

offre également

une iconographie

inédite et de pre‐

mier intérêt. Bernard Sara est jour‐

naliste et passionné d'automobile

depuis son plus jeune âge. Il a déjà

publié chez E‐T‐A‐I : “Alpine la pas‐

sion bleue” dans la collection Auto‐

focus et “Abarth la magie du

scorpion”, “Audi les anneaux ma‐

giques” dans la nouvelle collection

Labelauto.

GTI Les sportives populaires ‐E.T.A.I – 29.90 €

Le vélo écolo…Michelin lève le voile sur le tout

nouveau vélo à assistance élec‐

trique. Adapté à un usage principa‐

lement urbain, il associe qualités

pratiques et sécurité à un niveau

inédit. Le vélo pliable à assistance

électrique Michelin a été conçu

comme un instrument qui prolonge

la mobilité urbaine de manière du‐

rable. Il se range facilement dans

un coffre d’automobile ou dans un

appartement exigu. Que son utili‐

sateur circule en voiture ou em‐

prunte les transports en commun,

il peut parcourir les derniers kilo‐

mètres, au cœur de la ville par

exemple, avec son vélo Michelin fa‐

cilement transportable. Il peut tout

aussi bien ne faire usage que de son

seul vélo pour ses trajets quotidiens

puisqu’il bénéficie d’une autono‐

mie de batterie de 45 km. La mobi‐

lité chez Michelin se conjugue

nécessairement avec la sécurité.

C’en est une composante néces‐

saire et indispensable. Le vélo à as‐

sistance électrique Michelin se

conforme à cette exigence. Du

cadre en alliage d’aluminium au

pneu doté d’une protection anti

crevaison, en passant par la cham‐

bre à air de forme “carrée” annu‐

lant les effets

d’une crevaison ou

au système de vi‐

tesses intégré

dans le moyeu de

la roue empêchant

le déraillage, tout

concourt à lui offrir

un usage sûr. Pour

s’assurer que les

utilisateurs dispo‐

seront de véhicu‐

les conformes à ses exigences de

sécurité et de qualité, Michelin

s’engage à ce que tous les vélos

soient contrôlés individuellement

avant leur mise en circulation. Le

vélo à assistance électrique Miche‐

lin ajoute à cette sécurité à multi‐

ples composantes une facilité

d’utilisation au quotidien. Il est plia‐

ble, compact et léger (pour cette

catégorie de véhicules avec

17,6 kg). Il propose une autonomie

moyenne de 45 km pour un temps

de charge de 4h30. Il peut être

conduit en mode classique comme

tout vélo, c’est‐à‐dire sans le con‐

cours des batteries, aussi bien

qu’avec l’assistance électrique.

Trois niveaux de sollicitation mo‐

teur ont été définis auxquels

s’ajoute un programme “piéton”

permettant de circuler à 6 km/h.

Une garantie de trois ans pour le

cadre et une de deux ans pour la

motorisation et les composants

électriques sont assorties à l’offre

de Michelin. Tout a été pensé pour

procurer de la sérénité à l’utilisa‐

teur du vélo à assistance électrique

Michelin. Ce vélo innovant, adapté

aux centres urbains et péri urbains

œuvre au quotidien pour une meil‐

leure mobilité, plus sûre, moins

consommatrice d’énergie, plus res‐

pectueuse de l’environnement,

plus durable en somme. L’acquisi‐

tion du vélo pliable à assistance

électrique Michelin s’effectue sur

Internet, en se rendant sur le site

www.michelin‐ebike.com

Le téléphone résidentiel design…Faisant suite au succès rencontré

avec l’ePure et sa gamme de télé‐

phones design, swissvoice est de

nouveau sur le devant de la scène

avec eSense : un téléphone rési‐

dentiel, au design novateur et

dont les courbes évoquent la sen‐

sualité et la douceur. L’eSense in‐

tègre les critères essentiels de la

téléphonie moderne dans un design

sensuel. Ses courbes raffinées et sa

base arrondie en font un objet de

décoration pour toutes les pièces de

la maison. Compact et rond, il

trouvera une place idéale sur une

table de chevet. En noir brillant, il

se fera discret dans le salon près

des univers laqués des écrans

plasma et de la chaîne Hifi. Mais

avec ses couleurs vives, il appor‐

tera du dynamisme dans la cuisine

et les chambres d’ados. L’eSense

peut être placé sur sa base en po‐

sition couchée ou debout pour ob‐

tenir deux rendus différents.

Fidèle à sa tradition de créateur de

téléphones pour utilisateurs ap‐

préciant la qualité, Swissvoice a

particulièrement soigné les détails

de l’eSense comme le montre son

bouton central en finition chro‐

mée et le revêtement duveteux du

combiné, offrant une sensation

agréable sur le visage. Il possède

une fonctionnalité innovante : le

mode fulleco. Celui ci réduit l’émis‐

sion d’ondes, ainsi que la consom‐

mation électrique. Cette

technologie développée par swiss‐

voice est au service de l’écologie et

du bien‐être. Notre environne‐

ment ambiant quotidien est saturé

d’ondes de toutes sortes (Wi‐Fi,

GSM, Bluetooth...) ; cette solution

rassurera ceux qui se sentent

concernés par cette pollution élec‐

tromagnétique.

Téléphone eSense avec écran encouleur ‐ 54,90 €

Page 24: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Le + mensuel du Journal Toulousain

3 Titres du Groupe Première Réponse dirigé par Monsieur Marcial‐Gérald Layani

TOULOUSAINTOULOUSAINLeLe

Un autre accent pour l’info locale

L’Actualité YANNICK DELPECH

Le “Sandy An” bientôt rue Alsace

Chef du restaurant gastronomique

“l’Amphitryon” à Colomiers, dans

la banlieue toulousaine, Yannick Delpech,

a de nouveaux projets. Après avoir été

le plus jeune étoilé de l’Hexagone

à 24 ans, c’est à présent la pâtisserie,

son premier amour, qui prend le dessus.

Le 6 septembre prochain il ouvre

avec son associée Sandrine Batard

un Salon de Thé, le “Sandy An” situé

rue Alsace Lorraine.

Le rendez‐vous est pris !

« Je pourrais largement me contenter

de l’Amphitryon car il y a encore de

nouvelles choses à apporter, mais je

me suis toujours dit que je reviendrais

à la pâtisserie. Cela a toujours fait

partie de mon premier but dans ma

vie professionnelle » explique Yan‐

nick Delpech. A la tête d’un restau‐

rant gastronomique étoilé par

deux fois, Yannick Delpech, ne

veut néanmoins pas se cantonner

à la cuisine. A 37 ans, le jeune chef

a de belles ambitions en ouvrant

au centre‐ville de Toulouse, – 54

rue Alsace Lorraine – un second

établissement destiné cette fois‐

ci à la pâtisserie comprenant un

coin salon de thé. Ce n’est pas

sans connaissance qu’il se lance

dans cette nouvelle aventure. Son

projet, il l’a mûrement réfléchi : «

Je suis avant tout pâtissier de for‐

mation. Cela me tenait à cœur de

revenir à mon premier amour. J’ai

travaillé pendant huit ans dans la

pâtisserie avant de débuter dans la

restauration» confie Yannick Del‐

pech. « A la base, l’idée était d’ou‐

vrir un autre restaurant. Mais je

me suis rendu compte que cela

n’allait pas être évident avec l’Am‐

phitryon par rapport aux créneaux

horaires qui seraient évidemment

identiques. Dans le domaine de la

pâtisserie tout se passe la nuit.

Donc avec le salon de Thé, ce sera

compatible. »

Comme pour le restaurant, Yan‐

nick Delpech forme la même

équipe avec son associée San‐

drine Batard pour ce nouveau

projet. Ce n’est pas par hasard si

la pâtisserie‐salon de thé porte le

nom de “Sandy An”. Mais ce super

héros de dessin animé, mascotte

de la pâtisserie, est avant tout la

combinaison des deux prénoms :

Sandrine et Yannick.

Une pâtisserie 2 étoiles ?

Avec ses deux étoiles dans le do‐

maine de la gastronomie, on n’en

attend pas moins de lui dans le

domaine du sucré. « Nous voulons

faire évoluer la carte en perma‐

nence. Nous allons travailler sur

les saisons, nous utiliserons seule‐

ment des produits frais. Il n’y aura

donc pas de tartes aux fraises au

mois de décembre !» explique le

jeune chef ambitieux. « Les vi‐

trines ne seront pas garnies de gâ‐

teaux à défaut de quelques‐uns

pour présenter les entremets. L’es‐

sentiel se passera dans le labora‐

toire. Les pâtissiers finiront un

maximum de gâteaux au dernier

moment, le but étant de travailler

sur l’instant. » Mais son objectif

est de « viser plus haut ». La tête

sur les épaules, Yannick Delpech

sait ce qu’il veut : « Pour le “Sandy

An”, j’ai envie de présenter la

même gamme de produits que je

propose à l’Amphitryon pour la pâ‐

tisserie. Pour cela, il nous faudra

du temps, nous n’allons pas y arri‐

ver du jour au lendemain.»

Fidèle à sa manière de travailler

d’un établissement à l’autre, Yan‐

nick Delpech mettra là aussi son

savoir‐faire à la portée des pâtis‐

siers en herbe. Cerise sur le gâ‐

teau, il devrait comme pour

“l’Amphitryon”, proposer d’ici jan‐

vier 2014 des cours de pâtisserie

dans le laboratoire du “Sandy

An”… Avis aux amateurs !

Elsa Nardari

« Pour le “Sandy An”, j’ai envie de présenter lamême gamme de produit que je propose à l’Amphitryon pour la pâtisserie »

Né le : 6 janvier 1976

1er étoile : en 2000 à l’âge

de 24 ans

2e étoile : en 2008

220m² de surface au total,comprenant 100m² pourle laboratoire, 60m² deboutique et autant pourle salon de thé.

REPERES

©D

R

©D

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Page 25: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe

Supplément jeuxSavoir s’enrichir pour mieux partager

Jeudi 8 Août 2013 - 1 € - Numéro 575 (15e année) www.lejournaltoulousain.fr

Page 26: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe JEUXII

Jeudi 8 Août 2013

b

a

BÂTIR

IL A BON PIED BON ŒIL

b

d

EXPLOITE

PASSEREAU

b

d

SERVICEEN OR

ORATEURGREC

b

d

CHIFFONNÉ

IL FUT MIS EN

RÉSERVE

b

d

NULLITÉ

SALLE DE BAINS

bFILS

DE FAMILLE

c

a

BOIS DE SOURCIER

MAGISTRAT

c

a

VOIE D’EAU

TERREÀ POTS

a

N’EST PLUS TENDRE S’IL

EST MÛR

c

a

EXTRAIT

PRIS DANS UN LIVRE

c

a

DÉESSE ROMAINE

SECTAIRE

cLE PESSI-MISTE N’EN

A PLUS

GAId

ELLE REND INCOR-

RUPTIBLE

d

cNOTE

PHASE ASTRALE

d

cPRÉCÈDELE PAS

PETIT IF

d

PRÉSUMÉS

d

cJUSTESORTI

JEU DE TABLIERd cMOYEN-

NANT

QUELLE TRUFFE !d

cRÉGLEMEN-TAIRE

HOLLAN-DAISd cTÉMOIN

ANONYME

SITUATION

d

cD’UN BEIGE TIRANT SUR

LE GRIS

ARGONd cELLE EST

BORNÉE

PAGE

d

cDONT LE LIT EST VIDE

SANS MOTIFSdcTERME

FAMILIER

MOURIR EN FINd

cBAR-BOUILLEUR DE MARINE

SEMBLESd c

SE PREND POUR UN

CAMÉLÉON

cILS ÉVITENT LES DÉVIA-

TIONS

Mots fl échés Mots croisés

Training cérébral

HORIZONTALEMENT – A – Elle est de faction. – B – Mouvement populaire. Hors limites. – C – Frottée pour être reluisante. Il mange goulûment. – D – Monnaie suédoise. Très polies. – E – Fabrication de pièces. Symbole du titane. – F – Présent destiné au futur. Non atteint. – G – A Madagascar, c’est là que se situe Antananarivo. Il indique l’origine. – H – Pour lui uniquement. Au Nigeria, elle fit l’objet de fouilles scientifiques. – I – Instrument à pistons. Sans emballage (en). – J – Chacune d’elles possède ses joies et ses peines.

VERTICALEMENT – 1 – Il porte la croix ou le crois-sant rouge. – 2 – Chefs d’Etat du golfe Persique. Ils ont bien souvent leurs remèdes – 3 – Nymphe de la mer. C’est pour deux. – 4 – Provoque la dispa-rition. Chaînes de montage. – 5 – Qui revient donc souvent. – 6 – Qui s’est fait désiré plusieurs mois, mais qui est enfin là. Tête d’iguane. Neige éternelle. – 7 – La Scala de Milan. Grand-route. – 8 – Compartiment d’une salle de spectacle. Bagage à main. – 9 – Belle, il y a bien longtemps. Démonstratif. – 10 – Comme certains vents.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10ABCDEFGHIJ

3 2 66 1

1 98 7 3 2

9 73 6 56 5 1 8

4 1 34 7 9 6

SUDOKULes chiffres vont de 1 à 9

et n’apparaissent qu’une seule fois par ligne, colonne et carré.

Mat

hieu

Rhu

ys

Mathieu Rhuys FORCE 1

D’UNE MARCHE À L’AUTRETrois définitions doivent te suffire

pour monter l’escalier. 1- Une des deux parts égales.

2- Un peu humide.4- La partie tendre du pain.

Pars du premier mot et remonte jusqu’au sommet en enlevant

à chaque étage une lettre du mot précédent.

E

I

M

I

RÉCRÉKIDS

LES PENDULES À L’HEUREIl suffi t de colorier les bâtonnets de l’horloge digitale pour représenter avec des chiffres l’heure indiquée par les aiguilles. Attention ! n’oublie pas de repérer si l’on est le matin ou l’après-midi.

après-midi

matin

après-midi

a

LES SOSIESDeux illustrations sont identiques. Sauras-tu trouver lesquelles ?

1 2 3 4

Solutions du numéro précédent

4 1 3 8 2 7 9 5 6

8 9 7 5 6 4 2 3 1

6 2 5 9 1 3 8 4 7

2 3 1 7 8 6 5 9 4

7 8 9 3 4 5 1 6 2

5 4 6 2 9 1 7 8 3

1 5 2 6 3 8 4 7 9

9 6 8 4 7 2 3 1 5

3 7 4 1 5 9 6 2 8

SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A A R B I T R A I R EB R O U G E I N E SC C U U T E R I N SD H E R A U T N O EE I A N S E I N NF T A I E R P C CG E U S A N I M E EH C R I S P I N RI T E N U T E L OJ E C E R V E L E E S

MOTS CROISÉS :

C A P P D E

G U A D E L O U P E E N

P R E L U D E O N T

B I G R E M E N T T I

D U M E T I G R E

P I E T E O S U E R

T R A N S V A S E E

J E S T A N C E C S

A S V I E R G E

G A M E T E R A I D E

D E R O U T E T E R

D O S P R E S S E E S

MOTS FLÉCHÉS :

D’UNE MARCHE À L’AUTRE : 1- ÉPILER - 2- PLIER - 3- PILE - 4- ÎLE -

5- LE.

LES SOSIES :2 et 4.

LES PENDULES À L’HEURE : 04:00 - 16:40 - 00:15.

RÉCRÉKIDS

Les jeux de l’écrit et du web

QUATRE FOIS DEUXImbriquez les formes deux par deux afin de reconstituer quatre formes identiques.

CHAÎNONS MANQUANTSTestez votre mémoire. Observez bien le premier alignement de formes, cachez-le et reconstituez-le. Une minute de réflexion doit vous suffire.

© E

yew

ave

- Fo

tolia

.

EX ÆQUOEchangez deux chiffres de la colonne

« a » contre deux chiffres de la colonne « b » pour obtenir le même

résultat de chaque côté.

1

8

3

2

9

23

6

1

6

7

7

27

obtenir le même résultat de chaque côté.

a b

QUATRE FOIS DEUX : a-b ; c-d ; e-f ; g-h.

EX AEQUO : a. 9 + 4 + 2 + 6 + 7 = 28b. 2 + 6 + 8 + 3 + 9 = 28

Page 27: Edition Num575okkkkkkk

JEUX IIIJeudi 8 Août 2013 TO ULOUSAIN

Le

b

a

DÉPAN-NEUSE

JARGON

b

d

DIVERTIES

ROUSPÉTER

b

d

PRINCE TROYEN

PETIT COIN DE PARADIS

b

d

ALUMINIUM RÉDUIT

QUALIFIE LA POSITION

b

d

PLUS TRÈS VERT

DÉCORÈ-RENT

b

d

CHOISIÀ NOUVEAU

PETIT IF

c

a

SUSCITER

RÉUNIONS DE

CAVALIERS

c

a

APPELÉES À DISPARAÎ-

TRE

VERNI

a

DÉPÔT DE BOIS-

SONS FER-MENTÉES

c

a

EMBRI-GADENT

EXPOSÉ AU SOLEIL

a

REPASRELIGIEUX

cSONGE

COMPO-SANTS

d cDIEU CRÉATEUR

JOUR DE FÊTEd

cLIEUDE

DÉLICES

cTERRESCEINTES

IDENTIFIENT

d

CELA MARQUE

L’ENDROIT

dN’EMPÊCHE

PAS

d

cSANS RÉACTION

PROGRESSA

dcPLANTE À GRAINS

ELLE FORMEL’ÉLITE

cPHASE

ASTRALE

IL S’AGGLO-MÈRE EN CAILLOT

d

cDÉROBENT

RENVOIS

d cPOUSSEAU RÊVE

ÉLIMINÉ

dPOUR SI-

TUER DANS LA PRO-FESSION

d

cMONCEAU

DÉSOR-DONNÉ

dcSOUS

FAMILIERS

cINCOMPLÈ-

TEMENT CHARGÉ

cVONT AVECD’AUTRES

Mots fl échés Mots croisés

Training cérébral

HORIZONTALEMENT – A – Ils feintent ou se fendent dans les salles d’armes. – B – Ecusson de prunier. Les voyages qu’il procure virent aux cauchemars. – C – Qui n’a donc plus aucun doute. – D – Il est grand amateur de son. Sur la rose des vents. – E – Donc réconciliés. Qui a donc réussi à séduire (a). – F – Ses fruits sont appelés pommes ou citrons de mer. – G– Hep là ! Imbibés de résine. – H – Lac écossais. Sélection méthodique. – I – On les échangeaient à Florence. Difforme. – J – Philosophes de l’école de Mégare.

VERTICALEMENT – 1 – Bourse suspendue à la ceinture du gentilhomme. – 2 – Plateau d’étoiles. Son nom apparaissait sur le testament. – 3 – Blanc jaunâtre. Protestation véhémente. – 4 – Il vient après la tétée. Abris de bergers. – 5 – Parfaitement inconscient. Pour l’élu. – 6 – Placé à l’intérieur. – 7 – Dans le 66, près de Perpignan. D’une sobriété sans doute exa-gérée. Becquerel en équation. – 8 – Las aussi. Soupe provençale très parfumée. – 9 – Symbole du rad. Père d’Ulysse. – 10 – Soumises au feu un peu trop longtemps.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

8 6 1

9 2 6

5

4 3 9

5 6

9 2 7 5 8

7 6 5 8

8 4

2 7

SUDOKULes chiffres vont de 1 à 9

et n’apparaissent qu’une seule fois par ligne, colonne et carré.

Mathieu Rhuys

M athieu Rhuys FORCE 1

D’UNE MARCHE À L’AUTRETrois définitions doivent te suffire

pour monter l’escalier. 1- Eloigné.

2- L’as, le roi ou la dame.4- La peinture en est un grand. Pars du premier mot et remonte

jusqu’au sommet en enlevant à chaque étage une lettre

du mot précédent.

R

T

C

T

RÉCRÉKI

DS

LES PENDULES À L’HEUREIl suffi t de colorier les bâtonnets de l’horloge digitale pour représenter avec des chiffres l’heure indiquée par les aiguilles. Attention ! n’oublie pas de repérer si l’on est le matin ou l’après-midi.

matin

après-midi

matin

LES SOSIESDeux illustrations sont identiques. Sauras-tu trouver lesquelles ?

1 2 3 4

Solutions du numéro précédent

5 8 7 3 9 6 1 4 2

6 1 9 4 2 8 5 3 7

2 3 4 1 5 7 6 9 8

9 6 5 8 4 3 2 7 1

7 2 8 6 1 9 3 5 4

1 4 3 2 7 5 9 8 6

4 9 2 5 8 1 7 6 3

8 5 6 7 3 2 4 1 9

3 7 1 9 6 4 8 2 5

SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A L U D O T H E Q U E

B O V A T I O N V T

C N U M E N T S E A

D G L A S T O T A L

E D A N P E U R O

F R I N O R I E N

G I R R E E L L E N

H N E U F I E U E

I K E L A S T I N E

J S U R E T E S I S

MOTS CROISÉS :

F A A P O C

P E R S E V E R A N C E

D E C R E T E R R R

C E P E S R N L E T

R A T E R E N T U E

G A R E A S E S S S

L E N P N A G E

M I R E P A T R I E S

S P R E T I T A

E M M I E L L A S O S

E U E S A N T A L S

I S E R E S U E T T E

MOTS FLÉCHÉS :

D’UNE MARCHE À L’AUTRE : 1- ÉMILIE - 2- ÉMILE - 3- MILE - 4- MIL -

5- MI.

LES SOSIES :2 et 4.

LES PENDULES À L’HEURE : 12:15 - 12:55 - 23:45

RÉCRÉKIDS

Les jeux de l’écrit et du web

QUATRE FOIS DEUXImbriquez les formes deux par deux afin de reconstituer quatre formes identiques.

CHAÎNONS MANQUANTSTestez votre mémoire. Observez bien le premier alignement de formes, cachez-le et reconstituez-le. Une minute de réflexion doit vous suffire.

© E

yew

ave

- Fo

tolia

.

EX ÆQUOEchangez deux chiffres de la colonne

« a » contre deux chiffres de la colonne « b » pour obtenir le même

résultat de chaque côté.

7

8

5

7

9

36

3

6

3

2

4

18

q

a b

QUATRE FOIS DEUX : a-e ; b-f ; c-g ; d-h.

EX AEQUO : a. 4 + 5 + 2 + 9 + 1 = 21b. 2 + 4 + 1 + 6 + 8 = 21

Page 28: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe JEUXIV

Jeudi 8 Août 2013

b

a

CAPTIVANTE

ACHETEUR DE BIENS

b

d

PEUPLE INDO-

EUROPÉEN

APPARENT

b

d

DÉPLACÉ SEULEM ENT

VOIXFORTES

bEXPÉRIM EN-TATIONS

b

d

GRAIN M ARIN

BONDIS

b

d

DÉAM BULES

UNION ÉCO-NOM IQUE

c

a

RÉALISE DONC

M ALADIE GRAVE

c

a

FUTILITÉS

IL PERM ET DE SURFER

c

a

NAVIRES

ELLE ABORDE LE JAPON

a

OBTENU NATURELLE-

M ENT

c

a

SUBSTANCES CHÈRES AUX BORDELAIS

DOUBLÉES

cDONNERDU GOÛT

cLETTRES À L’ÉTUDE

FAISAIT PARAÎTREd

PARAIS-SAIENT

dÉCOLE

NORM ALE SUPÉRIEURE

dcBEAU POINT DE VUE

FILLE DE CADM OS

dPETITEBAIE

d

cÉCORCEDE CHÊNE

REDEVA-BLESd

cLUM IÈRE D’ÉGYPTE

VILLE D’AL-LEM AGNEdcDE

REYKJAVIK PEUT-ÊTRE

ÉLÉGANTd cTRÈS

ÉTONNANTE

SUR-TILLE

d

AM ÉRICIUM RÉDUIT

d

cTHULIUM

SYM BOLISÉ

cM ARM ITE SICILIENNE

cM OTIF ORNE-M ENTAL

cCELA POUSSE À LA SORTIE

EN RESTEd

cELLE TOM BE DES NUES

ESSUIE-TOUTd

M ots fl échés M ots croisés

Training cérébral

HORIZONTALEM ENT – A – Prise provisoirem ent à l’enfant pour le punir. – B – Vilainem ent courbés. – C – Bien entretenue. – D – Hanoi en est la capitale. – E – Elles se croisent en salle d’arm es. De bouche à oreille. – F – Vallée im m ergée. Farce m oyenâgeuse. – G – Gratté au fond. Il signale la fin inopinée de la partie. – H – Appréciation de l’élève. Il est l’un des fils de Noé. – I – Ecclésiastiques. Elle fut m ise à jour par des fouilles m enées par sir Leonard W oolley. – J – Réunion de cardinaux. Elle est la conséquence d’un gros effort.

VERTICALEM ENT – 1 – Rencontre au som m et. – 2 – C’est une petite flûte. – 3 – Elles viennent juste de sortir. – 4 – Form e de rire. On s’y bouscule le m atin com m e le soir. – 5 – Elle donne une gueule de bois. Tête de chef. – 6 – Adm ettons ! Points de repère sur la carte. – 7 – Elle n’est que de lait chez le bam bin. – 8 – Donnait le ton bien avant do. M ât situé à l’arrière du navi-re. – 9 – Elles term inent la jour-née. Allée bordée d’arbres. Elles sont en fuite. – 10 – Cardinal. Certes, elle est tim brée, m ais pas folle pour autant.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

3 2

8 1

4 2

7 9 6 8

6 5 4

1 9

1 3

7 8

9 7 3

SUD O K U

Les chiffres vont de 1 à 9 et n’apparaissent qu’une seule fois

par ligne, colonne et carré.

Mathieu Rhuys

M athieu Rhuys FO RCE 1

D’UNE MARCHE À L’AUTRETrois définitions doivent te suffire

pour m onter l’escalier. 1- poudre blanche utilisée pour les gâteaux.

2- Fruit du hêtre.4- Il a ses idoles.

Pars du prem ier m ot et rem onte jusqu’au som m et en enlevant à chaque étage une lettre

du m ot précédent.

A

F

N

RÉCRÉKI

DS

LES PENDULES À L’HEUREIl suffi t de colorier les bâtonnets de l’horloge digitale pour représenter avec des chiffres l’heure indiquée par les aiguilles. Attention ! n’oublie pas de repérer si l’on est le m atin ou l’après-m idi.

m atin

après-m idi

m atin

LES SOSIESDeux illustrations sont identiques. Sauras-tu trouver lesquelles ?

1 2 3 4

S olutions du num éro précédent

8 2 1 7 4 3 9 6 5

9 6 4 8 5 2 7 3 1

3 7 5 1 9 6 2 8 4

6 1 2 5 3 4 8 9 7

7 5 3 9 8 1 6 4 2

4 9 8 2 6 7 1 5 3

2 3 6 4 1 8 5 7 9

5 4 7 6 2 9 3 1 8

1 8 9 3 7 5 4 2 6

SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A H A R A N G U E U R

B A V A N I E R I O

C L O R I O T M S

D L I E S T R I E S

E E R E T E I N T E

F B E T I R E E S

G A R E T E S T A

H R A S E R O T A N

I D I T C R U E L S

J E D I T E U R I E

M O TS CROISÉS :

D B N V T O

S E N A T O R I A L E S

M E L A N G E S X E

B E S A C E L E S E R

N I L A L S A C E

B A S S E S S E A R N

G E E T S B L E T

C E R I S I E R F E

M I E P M E E S T

S E N W E B A L O

N A S A L A R D O N

B T S P L A C E U S

M O TS FLÉCHÉS :

D’UNE M ARCHE À L’AUTRE :1- CROULE - 2- CRUEL - 3- CURÉ -

4- ÉCU - 5- CE.

LES SOSIES :1 et 4.

LES PENDULES À L’HEURE : 01:55 - 00:30 - 14:20.

RÉCRÉKIDS

Les jeux de l’écrit et du web

Q UATRE FO IS D EUX

Im briquez les form es deux par deux afin de reconstituer quatre form es identiques.

C H AÎNO NS M ANQ UANTS

Testez votre m ém oire. Observez bien le prem ier alignem ent de form es, cachez-le et reconstituez-le. Une m inute de réflexion doit vous suffire.

© Eyewave - Fotolia.

EX Æ Q UO

Echangez deux chiffres de la colonne « a » contre deux chiffres de la

colonne « b » pour obtenir le m êm e résultat de chaque côté.

7

6

2

7

6

28

9

1

9

3

4

26

a b

QUATRE FOIS DEUX : a-b ; c-d ; e-f ; g-h.

EX AEQUO : a. 5 + 1 + 3 + 4 + 2 = 15b. 2 + 5 + 4 + 3 + 1 = 15

Page 29: Edition Num575okkkkkkk

JEUX VJeudi 8 Août 2013 TO ULOUSAIN

Le

SO LUTIO NS D U N° PRÉCÉD ENT

b

a

IL EST DUR D’OREILLE

PAS TROP M AL

b

d

CAPITALE DE M IE

POINTLUNAIRE

b

d

PORT DU JAPON

DÉCOU-VERTS

bEXPRES-SION

DE DÉGOÛT

b

d

CE N’EST PAS UNE COM ÉDIE

ÉTENDUED’EAU

b

d

À CHAQUE JOURLE SIEN

APPARUS

c

a

NOURRICEDE REM US

COM PARA-TIF

c

a

TOILEDE COTON

INDISPEN-SABLE

c

a

FINDE M ODE

BÊTESDE SOM M E

a

BRANCHESDE VIGNE

c

a

TERM ED’EXCLU-SION

SEM BLEZ

cCOURSD’AFRIQUE

CONDUC-TEURSd

LONGUESPÉRIODES

dPHASEASTRALE

d

cVAPORISE ICI ET LÀ

cLONGERAIS

SUPPORT DE

CHARRUEd cILS RENSEI-

GNENT

VIEUXBOVINd

PRESSÉ

d

ÉCORCHE

d

TRIOROM AIN

dcGRAND LAC

DROGUELAXATIVE

d

cON PEUT LUI FAIRE

CONFIANCE

DÈSPOTRON-M INET

d

cIM PÉRA-TRICE

TENDREM ILIEUd

À LA M ODE

d

cPOUR ALLER DROIT

CONNEC-TEURdc

SEGM ENTD’INTESTIN

cANNONCELA M ATIÈRE

cRÉCIPIENTPOUR

LE BEURRE

M ots fl échés M ots croisésHORIZONTALEM ENT – A – Il rem et à neuf la tôle froissée. – B – M onnaie du nord. Européenne au charm e latin. – C – Passaient un bon m om ent. – D – Il fut lum ineux dans l’Antiquité. Sous m i. Il est le prem ier fleuve de France, m ais pas le plus grand. – E – Bien soudées. Cela ne fait donc aucune exception. – F – Pièce m obile de serrure. Application scolaire. – G –Trouble sanguin. – H – Queue de pie. Hors des lim ites réglem entaires. – I – Verger des clim ats m éditerranéens. – J – Sans aucune am biguïté. La m êm e chose !

VERTICALEM ENT – 1 – Elle em ploie des dessous-de-table. – 2 – Une européenne dans l’espace. Tem ps assez long. – 3 – Ce n’est qu’un tas de cailloux ! Elle est égalem ent appelée la déesse blanche. Tête d’attelage. – 4 – Com m e un œ uf. Form e d’avoir. – 5 – Ce fut oui jadis. Pot de cochons. – 6 – Elle tient le haut de l’affiche. Greffés. – 7 – Brosse l’argenterie. – 8– Terre m inus. Em barcation esquim aude. – 9 – Les Italiens le choisirent com m e Président en 1948. Deux à Rom e. – 10– Touchée avec une attention redoublée. En effet.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

Mathieu Rhuys

M athieu Rhuys FO RCE 1

C H AÎNO NS M ANQ UANTS

Testez votre m ém oire. Observez bien le prem ier alignem ent

de form es, cachez-le et reconstituez-le. Une m inute de réflexion doit vous suffire.

8 9 7 3

5

3 2 1

2 9 8 7

2

3 1 9

4 5 9 1

5 1

3 9 8

5 8 9 4 6 7 1 2 3

1 4 7 2 3 9 5 6 8

6 3 2 8 5 1 9 7 4

3 9 8 7 4 6 2 1 5

2 7 6 1 8 5 3 4 9

4 5 1 3 9 2 7 8 6

7 6 5 9 2 8 4 3 1

8 2 4 5 1 3 6 9 7

9 1 3 6 7 4 8 5 2

SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A A B D I C A T I O N

B U R A N E A B O

C T I L D E C A I N

D O L L E S O U T E

E G L A S N O S T

F R E G A U E D E

G A R E N I C O L E S

H P S O T I E T P

I H E E R E I N T A

J E T A L E L I E R

M O TS CROISÉS :

M I P N A P

P A M P L E M O U S S E

G U E R R I E R T U

T I R S T R O S E R

S I F I A B L E E

S T R I E N T O S S U

R S E E A G E X

G A L A M A T I E S

T O T E M S E S S E

B U R I N E E S T I N

R I S N S P E L E

T E S E T P U R E E

M O TS FLÉCHÉS :

Les jeux de l’écrit et du web

SUD O K U

Les chiffres vont de 1 à 9 et n’apparaissent qu’une seule fois

par ligne, colonne et carré.

SO LUTIO NS D U N° PRÉCÉD ENT

b

a

TRÈSARROGANT

ABUSANTVRAIM ENT

b

d

TRÈSM ORDANTE

SOINSANIM ALIERS

b

d

SURVEILLA DE PRÈS

ERBIUM EN RÉDUCTION

b

d

FRAPPERDUREM ENT

LA M ÈREDE M ARIE

bSE DÉCOM -POSÈRENT

b

d

PROBLÈM ECIRCULA-TOIRE

OU ÉNIÈM E

c

a

SOUPES À L’OIGNON

FAITUN CHOIX

c

a

POURM ADAM E

C’ÉTAITCELLE-CI

c

a

INDIEND’AM ÉRIQUE

SE DIVERTIT BIEN

c

a

LANÇA UNE FLÈCHE

INCISERALE TRONC

c

a

SANSBAVURES

ÉTABLISSE-M ENTS

cS’ENTÊTEDONC

cSORTIS DE LEUR NID

cPOISSONSDE M ER

LETTRESPIEUSESd

cDIEUSOLAIRE

TEM PSCOM PTÉd

PAUSE

d

CHICOS !

d

cSΠURDE RACHEL

PALM IERS

dcPERLESDE M OULE

DIEUDU CIELd cDÉM ESURÉ

DÉFRICHÉGRÂCEAU FEUd

cTABLE

À DÉBITER

cIL EST JAUNECANARI !

POÈM Ed

cFIGURETROYENNE

IL SERT DE LIENd

cTOUR SYM -BOLIQUE

BESOINVITALd

cLEVÉE DE BOUCLIERS

CHALEURANIM ALEd

cPIÈCE DE CHANTIERNAVAL

M ots fl échés M ots croisésHORIZONTALEM ENT – A – Qui n’est plus en m esure de savoir où il en est. – B – Planche à découper. M asques de velours. – C – De m anière indécente. – D – Ordre religieux. En fin de récit. Elle n’a pas toujours été reliée au continent. – E – Hausses le ton. Im agerie m édicale. –F – En Allem agne, elle se trouve au cœ ur du bassin houiller. Un coin chaleureux. – G– Dieu Egyptien. Rassem blés pour la m êm e cause. – H – Bonne retraite. En début de route. – I – Bande de tissu. Vraim ent étourdi. – J – Tiges squelettiques. Appel urgent.

VERTICALEM ENT – 1 – L’ensem ble des reven-dications. – 2 – Transform as en adm inistration d’Etat. – 3 – Plutôt exagérées. Petit bout de terre. – 4 – Cri d’encouragem ent. Tout seul. – 5 – Ne se rapporte donc qu’à m oi. – 6 – Grains d’un chapelet. Des lettres im possi-bles à oublier. – 7 – Charles de Beaum ont, chevalier travesti. Coupe exotique. – 8 – Elles four-nissent l’énergie vitale. – 9 – Ils sont pratiques à l’école. Se pro-m ène sans destination précise. Dram e japonais. – 10 – Trois points sur carte. Offices reli-gieux.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J Mathieu Rhuys

M athieu Rhuys FO RCE 1

C H AÎNO NS M ANQ UANTS

Testez votre m ém oire. Observez bien le prem ier alignem ent

de form es, cachez-le et reconstituez-le. Une m inute de réflexion doit vous suffire.

3 1 6

5 8 4 9

2 8

9 6 1 8

8 2 5 7

8

7 4

7 3 9 4

1 7

4 7 9 3 5 8 1 2 6

5 2 6 7 1 9 4 3 8

8 1 3 6 2 4 9 5 7

2 9 8 1 6 5 3 7 4

6 4 5 8 3 7 2 1 9

7 3 1 9 4 2 8 6 5

1 6 7 4 9 3 5 8 2

3 5 4 2 8 6 7 9 1

9 8 2 5 7 1 6 4 3

SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A L A B Y R I N T H E

B A L E U D E M I S

C B I Z U T F R A

D O T E S A P O T

E R E B E L L I O N

F A R A L B E D O

G N O U R R I E E M

H T I R A G E P L I

I I S E U S U E L S

J N E S T E S U E E

M O TS CROISÉS :

C U A E C E

C O N S C I E M M E N T

N O I E S I O N I E

A S I N I E N S T A T

E R E E U C R I E

A C C E S S I B L E S

R I S T S O I S

P A R R A I N E T T E

T M E B I N E R A

M I N I T E L T I A N

O U S T E V E N T E

A N S E E S E S T E S

M O TS FLÉCHÉS :

Les jeux de l’écrit et du web

SUD O K U

Les chiffres vont de 1 à 9 et n’apparaissent qu’une seule fois

par ligne, colonne et carré.

Page 30: Edition Num575okkkkkkk

TOULOUSAINLe JEUXVI

Jeudi 8 Août 2013

Vente

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Vends M ercedes diesel 220 CDInoire 248 000 km - M odèle 1999 –Bon état 3 200 € toit ouvrant pano-ram ique – attelage – radio + char-geur CD 1ère m ain Tél : 06.07.31.51.35.

Vends Ford KA, 04/97,130 000 km . Clim atisation. CD.Batterie neuve. 1 500 E. 06.64.01.42.53.

Vends C4 Picasso, m odèle exclu-sive, noir, année 2011. 27 000 km .TBE. EHDI. 110 cv. 17 900 E .Contact: 05.63.24.16.68 ou06.85.34.05.85.

Vends 404, année 66, 9cv, ess, vé-hicule de collection. Prix à débattre.Contact: 06.84.98.32.80.

A vendre, 500 AM G , 7a,134 000 km s, 44 cv. Carrosserie re-faite. Prix 30 000 €. Noire et du19/07/2006. TEL :06.98.59.15.16.

M ercedes 411 sprinter, turbo die-sel, 2002, caisse alum inium ,154 000 km s. Prix: 10 500 €. Tel:06.98.59.15.16.

M ercedes CLS 500 AM G noire,2006, BA7 7G , 133 000 km s,35 000 €. Tel: 06.98.59.15.16.

Part vend VW Golf IV TDI, finition,confort plus: 130 cv, boite 6v. Ex-cellent état, 175 000 km s, 1ère m ain.Freins, batterie, pare-brise : neufs.Factures et livret d’entretien fournis.CT ok. Prix: 4 350 euros à débat-tre. Constact: 06.84.07.15.02.

M oto

Vends, m oto trail kawasaki 500KLE,TBE - 07/1992 - 44 600 km s.Aucun frais à prévoir 1 500 € ferm e.Tél le soir 05.34.48.16.08 ou au06.31.77.64.99.

Vends scooter X8, 125 révisé.Très bon état 14.500 km . Prix1 800 €. A débattre. Tél:06.35.93.89.02.

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O ffre

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Etudiant (20ans),détendeur duBAFA, propose ses services en tantque baby-sitter. Disponible à toutm om ent de Juin à fin août 2011(secteur proche Labarthe surLèze). Tél : 06.10.59.63.98 ou va-lerienpetit@ free.fr.

Dam e expérim entée, 65 ans,ayantperm is de conduire, accom pagneraitpersonne âgée pendant les vacan-ces d’été sur son lieu de vacances.Téléphone : 06.83.53.97.89 ou 09.53.53.55.81 (avant 9h ou après 18h).

Dam e sérieuse, 40 ans, cherchem énage bureau, cantine ou plongerestauration ou self-service, secteurBalm a ou centre-ville Toulouse. Tel:06.13.34.14.88.

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