E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A P L U M E L I B E R E E   »   :N° Hors série du 3 au 10 mai 2009 - Parution Spéciale en commémoration et en souvenir de recueillement pour le 11 MAI 2009

Editorial et divers articles à trouver dans le Sommaire

de ce Numéro Hors série de mai + UN POSTER de

MIRIAM MAKEBA (I’N’I) !

Edition Hors série du 11 MAI 2009 - Parution du jour-

Lendemains d’EID 2008: ET APRES ?!!!

HISTOIRE:plaidoyer pour la (re) fédération du Mali : restez

branchés à cette page ! Testez vos souvenirs ; Page4

CULTURE ET LITTERATURE : n’oubliez pas d’apprendre un

seul vers de ce poème…… ; Page 2 (Inédite œuvre)

ACTUALITE POLITIQUE : rappel de notions politiques utiles et

pérennes ; …Page 3 (archives web sur le Sénégal)

*La NATION en DEUIL : l’AFRIQUE EN PLEUR (suite au décès de

Miriam MAKEBA) En cadeau Poster de Mama Africa.

A LIRE ET CONSERVER : LA CHARTRE DE L’UNESCO SUR

LA DIVERSITE CULTURELLE. En Page 6

*ESPACE D’INTERPELLATION DEMOCRATIQUE : du

10 DECEMBRE 2008 au 10 Mai 2009 : POINT DE VUE DU

MOU.RAS.MA NEW LOOK :«REGARDEZ VERS L’EST,

VOUS VERREZ UN ROI S’Y LEVER» (Old Marcus

Garvey) 41.221.180.90

Cette Prophétie de Marcus GARVEY s’est révélée dans le temps et l’espace, en son absence, pendant qu’il avait cessé de vivre en tant qu’être humain; mais son esprit savant immortel et riche d’idées nouvelles ensemencées par on ne sait quelle puissance (qui allait se révéler être CELUI que les Rastas nomment JAH). Old Marcus, le 17 août 1940 s’en était allé et celui là même sur qui il avait eu à prophétiser juste, en ses noms secrets et glorieux, s’en était rendu à l’évidence, en venant de lui-même jusqu’en Jamaïque, lui rendre visite et à son peuple et au successeur de lui qu’il allait susciter témoin au jour universel entre lui et les hommes d’au sein du peuple de Marcus Mosiah Garvey, le Moïse noir de la religion panafricaniste : le rastafari. C’était le 21 avril 1966, à l’année de ma naissance à Dakar, où il fût escale le 16 avril à l’Hôtel de Ville, accueilli par le Président de l’Assemblée Nationale de la jeune République du Sénégal, M. Amadou Cissé DIA et le Président poète Léopold Sédar Senghor et épouse Colette, couple présidentiel légitime de l’époque. En partance vers Kingston Palissadoes airport, le roi des rois, seigneur des seigneurs, et premier des premiers, sa majesté Haïlé Sélassié 1er n’avait sans doute pas conscience du  «mystère» qu’il emportait avec lui, et puiser dans les tréfonds spirituels du trésor local : la réalité d’époque du Cheikh, Ahmadou Bamba, Serigne Touba, mystère de ce que lui, Sélassié 1er est justement en apparence (zahir, bâtin) : NEGUS NEGASS. Pour avoir subi les mêmes épreuves face à l’italien et au français, ces deux hommes et leurs acolytes et disciples respectifs ne pouvaient que co-voyager dans les airs et les contrées survolées de Gorée à l’île de Mayombé-Wir-Wir-Lambéréné, au Gabon français, ou qui les ont accueillis de Dakar Yoff (AILSS) à Saint Domingue et à Trinidad et Tobago, avant d’atterrir à Kingston et d’y devoir gérer le flux émotionnel, mystique et les sensations divines multiples vécues ce jour en vibrations et apparitions divines de

songes et phénomènes naturels (pluie, grêle, horizon, arc en ciel, oiseau blanc etc.). Jusqu’à être obligé de refermer les

1

Bonjour Mon Capitaine! Thomas, mister Noel Merry Christmas in the morning!

Mystique man ! Cela fait un bail, depuis le 15 octobre 1987, que je n’avais plus eu à correspondre avec toi ainsi, à travers ce canal de la plèbe réunie, à la pyramide du souvenir. C’était ce samedi 18 octobre 2008, correspondant au jour anniversaire de ma Monique (barô), la plus Burkinabé des maliennes, que j’aimais pour femme et compagnon de route. Car l’ayant connue, l’année où tu accédais au pouvoir, un an après. C’est dire donc combien je tiens ici à remercier tous les organisateurs du club thomas sankara et le jeune frère Sankara : l’honorable député, qui a eu tout le loisir d’animer la conférence rappel avec le docteur Omar Mariko du parti Sadi. Je tiens à dire merci aussi à l’aimable public, révolutionnaires organiques et intellectuels intègres, honnêtes gens de plus, qui ont tout laissé pour venir se souvenir auprès des pères, héros de l’indépendance en effigie représentés à côté de toi, et trois jours durant, se prosterner sur ton œuvre politique, tout en critiquant ta révolution nationale démocratique et populaire (rndp) ; sans jamais oublier les doyens d’âges, qui n’ont eu de cesse de chahuter les cadets un peu bleus dans l’affaire, autour du nom de sa Majesté, mon christ noir et le tien aussi. Avant Lumumba et le Che. Comme tu peux le voir, le bébé est encore canard boiteux pour diverses raisons. Le journal qui n’a pas pu encore obtenir son récépissé est bien le dernier né perpétuel des journaux de la place : «La Plume Libérée». Bien que connecté sur le net et s’appliquant toujours à mériter son droit de diffusion large et maximale (délivrance du récépissé légal ou autorisation d’éditer et de faire paraître).Comme tu le disais tantôt sur les ondes de la radio djekafo, en mode rediffusion de tes discours qui passent et repassent, «l’esclave qui n’assume pas sa condition d’esclave, ne mérite pas que l’on s’apitoyât sur son sort». En ces termes et en bon français que tu savais manier, j’en conclus, qu’il faut oser inventer l’avenir, une fois après avoir pauser le pas de la révolution ; qui n’est que d’un laps de temps ; non pour tout le temps, tous les temps, inquiéter les pouvoirs établis et la paisible quiétude de nos citoyennes, en paix civile et sociale, hors la cherté de la vie, qui elle s’explique. Mais pas dans les palais qu’on y trouverait sa solution ou les réponses adéquates. Pas ailleurs, qu’ici, dans les colonnes de votre journal. Toujours très en forme à chaque nouvelle parution clandestine, furtive, pour ne pas dire illégale en date et dépôt légal. NOUS ! La base du parti de la demande sociale et son école. Freedom NOW Barack Obama ! Bobka_rasstaf@yahoo.fr, directeur de la publication du journal «La plume Libérée» et coordinateur permanent du son Gié fondateur dit cercle de réflexion des africains démocrates et intellectuels pour le fédéralisme (gié international Cradif Sa BGOM). «UJJAMA TRUE DEMOCRACY!»Bureau internet: cradif.bgom@hotmail.com,

Gié éditeur panafricain de votre journal

« La l iber té d’express ion es t ce t te seule LIBERTé qui ne pourra r ien d ire sans une p lume l ibérée   » ( L P L C r a d i f ) ,

G i é é d i t e u r p a n a f r i c a i n p r i n c i p a l d e L P L , v o t r e V S D l o c a l J e u n e à 2 0 0 F C F A   !

TAUX de CHANGE de

Devises en Fcfa Bceao-XOF

1¥en = 4,0221Dollar US = 416,901Euro = 6581Dirham = 571 Franc Suisse = 408,1 Livre Sterling = 8321 Dinar Soudanais = 1,77661 Dollar Canadien = 415,401Cedi Ghanéen (Nouveau) = 424,341 Dinar Tunisien = 360,831 Rand Sud africain = 53,4841 Dollar de Namibie = 53,6631 Dollar Jamaïcain = 5,76331 Dollar Zimbabwéen = 0, 013881 Shelling Kenyan = 6, 74221 Dollar Hong-Kongois = 53,4201 Naira Nigérian = 3,51391 Franc Guinéen = 0,093681 Birr Ethiopien = 45,8091 Nafka Erythréen : 01 Dollar de Singapour = 307,221 Dinar Libyen = 01 Riyal Saoudien = 111,021Real Brésilien = 249,341 000 F CFA = 9,960854 Franc français9,960854 Euro = 6.558,55 f CFACours de la semaine dernière (fin avril

2008). Source ; bourse info on line, http://www.boursorama.fr change aux

valeurs réactualisées en date et heure de

capitalisation.

VOTRE JOURNAL : «LA PLUME LIBEREE »- EDITION INEDITE D u 3 mai 2009 au 10 mai 2009 - N° hors série, SPECIAL 11 MAI - hebdomadaire national des vendredis, pouvant paraître à l’improviste BONNE LECTURE GRATUITE d’LPL N° Hors série

100 F CFA EST CEDE CET EXEMPLAIRE-LPL N°01

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E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A P L U M E L I B E R E E   »   :N° Hors série du 3 au 10 mai 2009 - Parution Spéciale en commémoration et en souvenir de recueillement pour le 11 MAI 2009

ouvertures latérales de l’Ethiopian Airlines de sa Majesté, une heure de temps durant. Ainsi replongeâmes nous tous en prières intenses de sollicitations avérées, manifestes et d’imploration divine du Créateur de nous réaliser la prophétie de Marcus Mosiah GARVEY en cet homme magnifique, beau, impérial et noble et digne roi de son pays invaincu par l’homme blanc. L’Honorable Citoyen, chef de la communauté noire jamaïcaine, invité par les autorités à accueillir Sa Majesté auprès des autorités officielles jamaïcaines, Mortimer PLANER, pût enfin obtenir, après moult et âpres et délicates négociations, l’expression divine de la manifestation de la volonté de SA MAJESTE IMPERIALE SIR HAILE SELASSIE 1er, l’Homme RAS TAFARI couronné par l’Eglise orthodoxe éthiopienne, une des plus vieilles du monde, le 2 novembre 1930. Le reste, c’est de l’histoire que l’on raconte en Jamaïque aux curieux, badauds absents au jour d’alors et aux touristes, initiés de la chose, grâce à la musique reggae de bunny, tosh, bob, burning spear. C’est de cette «UJJAMA TRUE DEMOCRACY» que nous appelons ce 15 août 2009, à venir se fondre, fusionner, communier, avec nous le jour de l’assomption. Au concert de la paix, pour la paix dans le monde, au stade Modibo kéïta. Qui

voudra bien nous aider ? «One man, one vote» ! Devise du festival rasta ballon d’oxygène pour la paix. Du 18 juillet au 17 août 2009 à Bamako ! NEW BLACK AFRICA MALI 2009 de la CIO NBA-OMATHO-MOURASMA- EMP(http://www.empbamako.org) + d’autres partenaires commerciaux co-organisateurs attitrés choisis sponsors officiels NBA 2009

COMPOSITION DU BUREAU EXECUTIF DU MOURASMA NEW LOOK-

ASSEMBLEE GENERALE DU 11 OCTOBRE 2008 tenue à

LASSA, colline de l’Espoir

Président du bureau exécutif, du directoire et du MOURASMA

(MALIEN dit KING FAYIRA) ;

Trésorier général, administrateur des biens du MOURASMA(TOGOLAIS dit RAS THEO) ;Secrétaire permanent, directeur administratif du MOURASMA : KHALY-MOUSTAPHA LEYE, JOURNALISTE, POETE, SOCIOLOGUE, CHERCHEUR (RAS STAF dit BOBKA RASSTAF) ;Commissaire aux comptes, 1er assesseur, vice-président du MOURASMA : MOUHAMADOU DIAGNE, Employé d’ONG (dit RAS DOUDOU) ;Secrétaire national à l’organisation, 2ème secrétaire du MOURASMA : MAHAMADOU TOURE, ADEPTE DE LA VERITE, ETUDIANT FSJP,AMI DU PEUPLE DE JAH, (dit RAS ZIGGUE) ;Animateur culturel, chargé des cours du NKO au MOURASMA : GUIMBALA KEÏTA, DISCIPLE DE JAH, PARTISAN DU MOUVEMENT NKO,STYLISTE-CREATEUR(RAS GUIMBALA) ;Délégué général, chargé des problèmes de l’école au sein du MOURASMA:IBRAHIM KEBE, LEADER ETUDIANT, JEUNE PREMIER, CADET FRERE, MILITANT (dit RAS AFRICAIN) ;Monitrice déléguée, chargée des relations avec les médiats pour le MOURASMA : AMINATA SANGARE, SŒUR DU MOURASMA, ELUE MARRAINE ET GARANTE (diteQUEEN MAMY) ;Porte-parole nationale, 1ère Secrétaire du MOURASMA, chargée des relations avec les institutions : MARIAM SANGARE, ANIMATRICE, MILITANTE SINCERE ELUE LEADER (SISTA MAM)NB   : Le Directoire se compose de RAS BALLASKY, RAS YOUSSOUF, RAS BABINA, RAS DAMA, RAS BLACKY, RAS CONDE, pour le moment parmi les anciens du Conseil des SAGES du MOURASMA NEW LOOK, SAISON 2008-2012. Cette liste n’est pas exhaustive, ni fermée à la société civile africaine, mondiale et malienne. Aucunement !PS : RAS BATH pressenti à l’abord Porte-parole national avait été, suite à auto-exclusion, remplacé par Sista Mam, purement et simplement. Le Bureau Exécutif du MOU.RAS.MA. fera entériner cette décision, faisant suite à constat, prolongé «obstruction», lors de l’AG prochaine. Article 6 de la LOI AN-RM N°04-38 du 5 Août 2004 nous régissant et en vigueur.

P U B L I C I T E

RETENEZ CET EVENEMENT COMME EVENEMENT MAJEUR DE L’ANNEE 2009 : LE TOURISME SOLIDAIRE ET DURABLE SUR LES CHEMINS DE LA PAIX RETROUVEE. AU MALI NOUS VOUS OFFRONS L’HOSPITALITE, NOTRE DEVISE POUR TOUT L’UNIVERS SANS DISTINCTION : LA JATTIGGUIYA, SOYEZ EN SÛR! ELLE EST BIEN DE CHEZ NOUS ! 21 décembre 1949 – 21 décembre 2009 : les ANNEES SANKARA EN AVENEMENT ! 60 ANS déjà, que le capitaine THOMAS NOËL ISIDORE SANKARA EST REVENU AU MONDE DANS LA GLOIRE DU PERE ETERNEL, SON ESPRIT, ELU-VEILLEUR ET VIGILE-GARDIEN SUR SON MONDE QUI LUI RESTE SEULE POSSESSION VRAIE ET PART UTILE . TOUS ENSEMBLE «PREPARONS» LES 1ères ASSISES FEDERALES DEMOCRATIQUES DU CONGRES DU FUTUR AFRICAIN (AFD-CFA) FORUM GLOBAL ELITISTE ET PACIFISTE D’ADOPTION DU PROJET DE CHARTE UNIVERSELLE DU CITOYEN DU XXIème SIECLE. AU CICB DU 20 au 23 JUILLET 2009. FESTIVAL RASTA BALLON D’OXYGENE POUR LA PAIX-CONCERT POUR LA PAIX MONDIALE, SOUND SYSTEM INTERNATIONAL DU MOURASMA, NUIT DU REGGAE ET CAMPING TOURISTIQUE DE LA NEW BLACK AFRICA MALI 2009 ; Festival panafricain international et sous-régional d’Afrique de l’Ouest. Copyright/CIO-

2

4) LITTÉRATURE LPL DU JOUR :

Nous vous recommandons ce poème-maison, d’LPL, Hebdo

jeune et votre bulletin-papier

WONDERFUL WOLRD (UN MONDE MERVEILLEUX)

*XÂMUL

1. Waw ! Où suis-je Seigneur ? Que sont-ce ces

merveilles ? Si belles !

2. Etonnant monde féérique, aux étages si hauts !

3. Luxuriance débordante, hors sentiers battus d’elles.

4. Chèries âmes-sœurs qui détonnent comme canon d’en

haut.

5. Oublions les un tout petit instant d’Amour,

6. Même si cela nous profiterait à notre tour.

7. Evidence pour évidence, l’humain genre est neutre.

8. Mariage de raison l’amène à se faire homme-feutre.

9. Itératif moment d’inertie des temps vieux,

10. Comme le monde si beau, si féérique, qui est là !

11. Humanité nouvelle de notre propre siècle des

pieux…

12. Avec raison, le voilà l’ange versatile : là !

13. Entonnant la sainte profession de foi :

M.I.C.H.A.Ë.L !

14. Loisirs terminés, récréation finie : qu’elle !

15. Jeune idole de la génération oubliée….

16. Adulé frère de la diaspora reniée…

17. «Chairman» nouveau arrivant, « sauveur » seul qui

sauve.

18. Kaléidoscopique monde ! Cosmopolite «love-love» !

19. Sansandrinh, ennemis du Christ, s’en trouvent très

mal.

20. Oraison funèbre pour conversion morale :

MAL ????

21. Noé serait, l’Arche aurait déjà suivi BIEN !

22. A Mama Africa, Miriam MAKEBA: a beautiful

people salvation!

«Chez nous aux Etats-Unis, il n’y a qu’un seul mal : l’ignorance ; il n’y a qu’un seul Bien : le savoir, la science, la connaissance, la sagesse ». Pour sa biographie, voir le site web qui se fait appeler tel quel : http://www.........com, et adressez nous vos poèmes pour qu’on vous les publie pour qui vous aurez de la compassion ou de l’admiration Ecrivez, n’hésitez plus, car «écrire, c’est une façon de veiller», selon l’auteur Georges Henein (égyptien). Merci d’avance à vous lecteurs !

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ANNONCE LEGALE-AVIS PUBLIC-COMMUNIQUE DE PRESSE DES ASSOCIATIONS DE LA DEMANDE SOCIALE-ECOLE DU PARTI- JAHCLUB ATT LOCAL (jeunesse active et humaniste) du MOUVEMENT FARAFINA DAMBE des Maliens fédéralistes et démocrates (MFD²) POOL ASSOCIATIF CREATEUR Du CRADIF (cercle de réflexion des Africains démocrates et Intellectuels pour le fédéralisme, Gié international des maliens de l’extérieur et des africains de la diaspora)Siège local : 20-22-81-74, rue 360 Bamako coura, porte 93, commune 3

Avis de réunion et CONVOCATION GENERALE DES MEMBRES ADHERENTS VIRTUELS,PRO - ACTIFS DE LA BASE (CITE des ENSEIGNANTS). Ce SAMEDI 9 et dimanche 10 mai 2009. Au siège de la permanence locale de la Jeunesse Active et Humaniste de Bamako coura – cité des enseignants. Face école de dravéla.Les personnes civiles informées du parti de la demande sociale, et, qui sont initiées du mouvement citoyen ou de l’Adp, sont priées et invitées, par conséquent, à participer à l’assemblée générale constitutive de :* l’association libre de coopération et d’amitié France Afrique (ALCAFA Mali 2005, alcafamali2005@live.fr) et de la jahclubatt@hotmail.com (courriel du pool associatif commun du MFD²)  * Jeunesse Active et Humaniste de Bamako-Coura cité des enseignants (JAH CLUB ATT local) réseau du Mouvement Farafina Dambé* Fondation JBH-ALAM-FAW, OIG (organisation intergouvernementale de lutte contre la pauvreté et le chômage) Mali-Sénégal pour l’emploi jeune et l’insertion socioprofessionnelle, la solidarité nationale et la prise en charge des démunis sociaux, la mobilité géographique et leur promotion, des emplois sociaux, jeunes, neufs et communautaires en espace uemoa-Fondation Amadou et Wade pour l’emploi des jeunes- BNPNP : Bureau national de placement non – payant. « Peace and love for ever-love beu faw ». Organisation Mère des organisations, associations,Gié, Institut et commission festival du mémorandum de création du 11 août 2002, plateforme commune de travail de la base du parti de la demande sociale : LDA-PCNAO ! Ligue Démocratique Africaine- Parti Communautaire National d’Afrique de l’Ouest ! One I! One Vote ! One Man ! « S’affirmer -s’entraider- se défendre » (Devise commune).

2) MARKETING ORTMMISS BAMAKO, MADEMOISELLE FATOUMATA KONE, ELUE MISS ORTM 2008 : une beauté confirmée, après une lutte acharnée et très serrée, dont le bal fut ouvert par Abdoulaye DIABATE, (artiste originaire de la cité de l’or blanc) aux enfants désormais élus filleuls de N’Fa Sidiki Konaté, Directeur Général de l’ORTM et parrian choisi pour Iba et sa sœur par leur père, principal animateur de la soirée. En direct sur le petit écran et à la radio mali+Chaîne II. Evènement désormais institutionnalisé. Mais à quand une organisation de «MISS MALI» ? Et quand est ce qu’on aura une Miss Uemoa ou NBA festival ? En tout cas, moi ras Staf, j’attends toujo ur s la Miss (ou la malienne) qui voudra bien de moi, et qui aurait le culot de venir récupérer sa dot initiale (mise de départ) de 1.990.000 F Cfa. A bien informée lectrice, salut, ma Miss future (avis matrimonial numéro 1). Vous aussi, écrivez pour rechercher vos correspondantes et partenaires en mariage. Nous vous les publierons à un tarif forfait qui vous motivera dans la recherche de conjoint ( e ). Ayez foi en Dieu et c’est LUI qui EST Maître de nos destinées communes. Alors prions pour la venue de la bonne étoile à laquelle chacun a droit, et chaque couple pourrait s’attendre à recevoir dans son foyer, un enfant béni et annonciateur de signes et d’espoir, qui nous serait né !

INFO-MARCHE : RECARBUREZ-VOUS AVANT D’ALLER PARTICIPER A UN SOUND SYSTEM DU 11 MAI, POUR NE PAS

AVOIR A MANQUER DE CREDIT SUR VOTRE PORTABLE MOBILE ET DE DEVOIR VOUS RECREDITEZ SANS POUVOIR

TROUVER UN SEUL REVENDEUR DE CARTE D’APPEL OU DE ZERIN ! CHEZ KORO IBRIM (78905830), près BOUTIQUE

SOUNKALO, zérèn à votre portée tous les jours pour vos appels, vos envois de sms! Composez ! Envoyez ! Communiquez avec qui

vous voulez dans le monde. Le 10 mai, journée internationale de l’abolition de l’esclavage et le 11 mai, journée de souvenir et de

commémoration du roi du reggæ ;… ?!

INFO-WEB : SURFEZ EN CE DEBUT D’ANNEE SUR LE SITE CHIC DE : http://www.maliweb.net, http://www.campusfrance.org,

http://www.bobmarley.com, http://www.medecinsdafrique.org, http://www.iipt.org(insitut international pour la Paix par le Tourisme) et

écrivez-nous à cette adresse : info@nelsonmandelafoundation.org, forafricawomen@aol.com, (organisation de bienfaisance des femmes

africaines) Oakland, Californie, Po Box 20074

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E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A P L U M E L I B E R E E   »   :N° Hors série du 3 au 10 mai 2009 - Parution Spéciale en commémoration et en souvenir de recueillement pour le 11 MAI 2009

«   J e s u i s l a p l u m e l i b é r é e , n é e l e 2 4 f é v r i e r 1 9 9 2 à A i x - e n — P r o v e n c e   : m e v o i c i   ! L i s e z - m o i   !   »

5 ) A C T U +   : T O U T S U R V O T R E J O U R N A L « L A P L U M E L I B E R E E »Journal «La Plume Libérée» ! Numéro 03 de ce mois de décembre 2008, dernier mois et dernier trimestre, mois final de l’année et mois des bilans sociaux, économiques, culturels, politiques, financiers et familiaux. Mois béni de la fête de Tabaski et de Noël, mois de lancement aussi du MOURASMA NEW LOOK (Mouvement Ras Tafari au Mali). Après le concert de Ras Manjul et Ras Takana Zion au Blon BA. Ce vendredi 28 novembre 2008. C’était vraiment explosif. Une 1ère   impressionnante, pour qu’on n’en redemande pas pour le 15 août prochain, en version géant méga-mix du concert de la paix Hebdomadaire National de ce Vendredi 19 décembre 2008, votre journal est aussi un magazine culturel jeune d’informations générales, pouvant paraître à l’improviste et de parution irrégulière sur le marché de l’édition locale. Pour le moment. Jusqu’à la délivrance de notre récépissé d’existence légale, par M. le Procureur de la République du Tribunal de la Commune III, notre tutelle juridique de dépendance territoriale, sous la LOI AN-RM N°046. A cause du siège social d‘émergence du journal «La Plume Libérée», au sein du quartier de Bamako coura/Dravéla, cité des enseignants, rue 360x363. Notre base sociologique d’émanation, en tant que foyers du «parti de la demande sociale» et école du parti de la demande sociale, dite JAH CLUB ATT LOCAL ou Jeunesse Active et Humaniste. Aux statuts en adoption ce samedi 20 décembre 2008 (demain), à la Cité même. C’était le 21 Novembre 2001, avant le premier Mandat légal de Son Excellence, le Premier Magistrat, camarade ATT National (M. le Chef de l’Etat, AMADOU TOUMANI TOURE).Ce canard boiteux, comme son nom l’indique se veut une plume libre d’écrire ce qu’il veut dans le cadre strict de la LOI. Pas comme certains de nos journaleux de la place, qui écrivent tout et n’importe quoi, n’importe comment et n’importe quand. D’où son bandeau devise qui se résume ainsi, en cette phrase simple à retenir citation directe à comparaître : « LA LIBERTE D’EXPRESSION EST CETTE SEULE LIBERTE QUI NE POURRA RIEN DIRE SANS UNE PLUME LIBEREE » (LA PLUME LIBEREE). Mais, cette vérité n’est rien, sans avoir fait passer le cap au journal «LPL», pas encore journal comme il faut, du stade de son statut de «feuille de chou», à sa position légitime d’hebdo jeune, apte à occuper sa place et son standing, dans le concert des journaux vendus en kiosques, de bien mis en évidence, à l’attention du lecteur et pour l’attrait des abonnés clients, sur le présentoir de certains bons revendeurs, acteurs associés à la profession d’hommes de média de la presse écrite. Un VSD –magazine est né, et nul ne veut porter la paternité du bébé, ni baptiser l’enfant bien né sous sa composition organique et ses éléments web intégrés. Qui des lecteurs ou des sponsors vont débloquer notre situation ? Voudront de nous, benjamins ?Alors, c’est là qu’entre en ligne de compte, l’apport particulier de tout un chacun. A commencer par le Juge civil, Notaire attitré, chez qui l’on devrait commencer à créer le Groupement d’intérêt économique, éditeur panafricain principal de votre journal «La Plume Libérée», en tant que «Cercle de Réflexion des Africains Démocrates et Intellectuels pour le Fédéralisme», maison d’éditions panafricaines et de la culture noire. Bureau de gestion organisation et méthode (BGOM) des Maliens de l’extérieur et des Africains de la Diaspora. Section Africaine (SA), bureau régional de Bamako et 1 er bureau sous-régional Afrique de l’Ouest des sections nationales et territoriales à créer. Voilà en gros votre journal, qui se décompose en maison de la culture, en maison d’éditions, en bureau de gestion et sections locales de représentations territoriales, en conseil exécutif et conseil d’administration, puis en comité de rédaction et comité de relecture, et, enfin, en cercles des lecteurs abonnés actionnaires ou clubs des membres actifs, militants de la «demande sociale», «délégués culturels» et «agents fédéraux», praticiens du concept «FÉDÉRALISME NOIR», si cher au Professeur Cheikh Anta Diop. Et du reste, le CRADIF SA BGOM- Journal «LA PLUME LIBEREE» n’est-il pas, à l’origine, un projet des étudiants africains expatriés et étudiant en France, dans la ville universitaire d’Aix-en-Provence, où il leur vînt à l’idée de lancer l’appel d’Aix-en-Provence du 24 février 1992. Pour sonner le glas de la fin de la dépendance économique et appeler à une reprise en main par nous-mêmes, de nous mêmes et de nos propres affaires civiles, religieuses, politiques, économiques etc., des mains de l’Occident  ; en crise avec sa culture de «consommation de masse» et en butte au «surendettement» de ses ménages, poussés vers la faute bancaire et encouragés à cela par les prêts immobiliers concessionnels. Jusqu’à ne plus pouvoir payer ; ni leurs ETATS (G20) espérer pouvoir continuer à nous gérer. Comme à l‘origine, lorsque, fraîchement néo-indépendants et encore amis, nous étions avec l’Occident. Ce changement radical, dans l’air depuis 1991-1992, puis en 1994-1995, et, se manifestant entre 1999 et 2009, nécessite aussi pour chacun de nous, une prise de conscience sur le gaspillage des ressources et des deniers publics. Chose bizarre, c’est lui qui disait que, je cite  : «Pour survivre, les peuples africains feront leur jonction. Un jour ou l’autre la soupape sautera. Pourquoi ne pas conduire le mouvement au lieu de le subir ? » (Professeur Cheikh Anta Diop). Toutes choses sur lesquelles nos centres d’intérêt de géographes, économistes, linguistes, sociologues, juristes et politistes, portaient déjà, à Aix, en 1992, lorsque nous (GEORGES TADONKI, SAIDOU DIALLO, DAOUDA KONE, MADANI TOURE, MAMADOU KONATE, ALICE KAREKEZI, MOUHAMADOU DIAGNE ET moi-même, LEYE KHALY MOUSTAPHA, pour vous servir, bobka_rasstaf@yahoo.fr, éditorialiste, rédacteur en chef et directeur de la publication, promoteur du Gié et des actifs sociaux de la JAH CLUB ATT LOCAL, porte-parole du Mouvement Farafina Dambé des Maliens Fédéralistes et Démocrates) nous suffisions à suppléer aux lacunes de la défunte OUA. Avant qu’elle ne soit transformée en Union Africaine le 10 juillet 2002. Qu’il s’agisse des émeutes de la faim, de l’immigration clandestine, des contentieux post-électoraux, de la crise financière et des hausses du prix du baril ou de la chute des prix des matières premières, nous-mêmes devons prendre les devants, avoir les coudées franches pour arrêter des mesures concrètes et apporter des réponses crédibles aux attentes de nos populations respectives et sous-régionales. La Plume sert aussi à cela  : libérer son peuple par sa musique, comme il nous l’avait promis BOB MARLEY, roi du REGGAE. «So much trouble in the world» jusqu’à présent, 27 ans après son départ vers Zion, auprès du Père JAH Peace & Love For Ever ! SalaM Na Wa DADA ! YES I !LE CRADIF GIE « Salus Populi Suprema Lex Esto » (Que le Salut du Peuple soit la Loi Suprême). «Mes frères ! Je suis parti, mais je reviendrai ». «Un visage caché à jamais, mais un esprit qui rôdera éternellement». «Sa lumière était si dense, qu’elle éclairera l’Humanité des siècles et des siècles durant». Tel était BOB, que ce journal et ce projet lui sont intégralement dédié, ainsi que le Festival rasta «Ballon d’oxygène pour la paix», en cours de préparation courant premier semestre 2009, et prévu du 18 juillet au 17 août 2009 ici à Bamako. Avec l’appui technique de l’OMATHO et le généreux concours de l’Ecole de Maintien de la Paix de Bamako «Alioune Blondin BEYE» (http://www.empbamako.org). Au sein d’un syndicat d’initiative, CIO BA MALI 2009 à créer.LE GIE : Cradif.bgom@hotmail.com/+223.74.72.01.10, rue 360, porte 93, Bamako coura, Commune III

Président Bill Clinton et le Président Nelson Mandela en photo d’archive. Source, Fondation Mandela, http://www.nelsonmandelafoundation.org,Parrain officiel du camp international de la paix Alioune blondin BEYE de l’école de maintien de paix de Bamako et du MOURASMA

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http://officetourisme-mali.com/ et l’Office Malien du Tourisme (OMATHO), rue Mahomed V, centre ville de Bamako,

siège social de la Commission internationale d’organisation (CIO NBA Mali 2009) vous présentent :

La 1ère Edition du festival rasta Ballon d’Oxygène pour la paix, intitulé

NEW BLACK AFRICA MALI 2009Thème directeur : mini colloque international sur «les bilans sociaux, les dimensions anthropologiques et les perspectives politiques de l’expérience démocratique africaine contemporaine : de 1992 à l’horizon 2012»Annonce légale : camp international de la paix Alioune Blondin Beye de la CIO NBA OMATHO-MOURASMA-EMP, université d’été, stage linguistique et fora médiats agora du forum global élitiste et pacifiste sur la paix : New Black Africa Mali 2009Motivation nationale : la ville de la commune III accueille les hôtes du District de Bamako, en compagnie des nouveaux élus municipaux de l’Association des Municipalités du Mali (www://amm-mali.org,). Recevons les délégués fédéraux des pays invités et les délégués culturels du continent et de la diaspora lors des premières assises fédérales démocratiques du congrès du futur africain (afd-cfa) du premier festival panafricain international et sous régional d’Afrique de l’ouest : la New Black Africa Mali 2009Taux d’impact économique recherché : De Kidal à Tombouctou, de Djenné à Gao, de Kayes à Sikasso, de Ségou à Koulikoro, de Mopti à Bamako et Etats de la sous région, du 18 juillet au 27 août 2009, pendant un mois entier, faisons leur découvrir notre beau mali, la Patrie du pays profond, le Continent africain, sa partie occidentale et les vestiges du patrimoine universel classé de nos cités et localités touristiques et sites historiques du Mali : de l’empire de Soundiata au royaume bambara, d’hier à aujourd’hui.Message à véhiculer : Avec l’appui, le conseil et les recommandations du Gouvernement de la république du Mali et des organisations communautaires d’intégration africaines, invitons les à venir discuter, amender et adopter un avant projet de charte universelle du citoyen du 21è siècle, document au menu des discussions au cours des afd du CFA NBA MALI 2009. Proposition africaine concrète de paix, de prévention des conflits, d’appel à cessez le feu immédiat et convention de pacte de non agression mutuelle inter -Etats et ethnies locales. Résolution finale des discussions menées sur les crises, les guerres et les conflits : enjeux géopolitiques et armes secrètes de la négociation diplomatique face aux questions de survie de la petite enfance, de sécurité alimentaire, de pandémies, de maladies etcRappel circonstanciel: la jaatigguiya, une tradition malienne d’hospitalité bien africaine qui est bien de chez nous : le Mali de la IIIème République, un pays de colloque, de séminaire, de conférence et de séjour touristique solidaire, social, culturel, scientifique et de voyage d’agrément et d’affaire (mine, pétrole, bétail, etc.). Conséquence : le tourisme malien est la seconde source de croissance économique du pays, après l’or et devant le coton (principale source de rentrées de devises). Apprenons leur notre langue nationale parlée et ouvrons nous à eux et à elles, les bras accueillants les Hôtes de Bamako et du Mali, pacificateurs, festivaliers, participants, inscrits, candidats, étonnants voyageurs et amis du Mali. Welcome ! Bienvenue ! Le Mouvement Ras Tafari au Mali (MOURASMA) et la CIO NBA.

CRISE FINANCIERE ET PAUVRETE   : POURQUOI ça ne va nulle part ici-bas? A qui la faute?

Réflexion : CONTRIBUTION LPL sur la crise

Sais-tu ? Mon cher ami, cette histoire de cherté de la vie, hier lundi et mardi 28, 29 avril 2008, les cadres et 27 agences et organisations des Nations Unies, se sont réunis à Berne en Suisse, pour y réfléchir. Et le secrétaire général a tout de suite demandé 2,5 milliards de dollar de fonds spéciaux pour entamer des mesures d’urgences. C’est dire donc combien l’urgence en dicte la nécessité, eu égard et au vu et au su du degré de surarmement de certaines couches spéculatrices de la population, face à d’autres spéculateurs détenteurs de stocks immenses d’invendus et stockées denrées de première nécessité ci et là, pour cause inflationniste de surenchère et d’envolée des prix (temps de pénurie). Ici au Mali, on apprenait ce soir là, que le richissime Bakoré SYLLA, «Monsieur Riz» et milliardaire parvenu, a compris de lui même qu’il se devait, en bon croyant musulman, de se porter au secours des populations suburbaines de Bamako. N’est-ce pas là une heureuse initiative pour nous autres bamakois, accoutumés au riz ? Et d’ailleurs se peut-il que ce geste, qui est fort à saluer, soit sincère, c’est-à-dire, dénué d’intérêts et de velléités d’escroquer à nouveau l’Etat Malien sur son propre dos, pensant lui venir en secours ? Je ne veux que pour exemple la nouvelle taxe sur l’emploi jeune. Car si la taxe de société à 5% sur les bénéfices de la société se répartit désormais, après adoption du projet de loi gouvernemental, de céder les 3% de taxes et impôts sur les bénéfices de la société, en retenant à la source 2% sur les 5% initiales, pour les consacrer au fonds national pour l’emploi jeune et aux projets des jeunes en général, est-ce bien sûr qu’un Bakoré SYLLA n’a pas plus d’un tour dans son sac pour tirer partie et profit de tels avantages à taux forfaits de remise concessionnelle intempestive dite des fameuses «exonérations» ? Question légitime qui nous fait dire, si c’était à refaire, que la taxe pour l’emploi jeune doit être une assurance de survie et de protection médicale obligatoire, allant directement à nous. Oui, à çà, j’y crois ! Moi «LPL» ! Qu’en dites-vous chers lecteurs, lectrices ! A vos plumes et réagissez à cet article d’actualité SVP! Chers lecteurs et chères lectrices, futurs abonnés LPL ! Ne vous laisser pas impressionner par le G20 et les casseurs de G20.United ! La Rédaction

E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A P L U M E L I B E R E E   »   :N° Hors série du 3 au 10 mai 2009 - Parution Spéciale en commémoration et en souvenir de recueillement pour le 11 MAI 2009

B I E N V E N U E A T O I B A B A M A D I B A E N J U I L L E T 2 0 0 9 A B A M A K O   ! U N E I N V I T A T I O N d e l a C I O N B A M A L I 2 0 0 9 - O M A T H O - M O U R A S M A - E M P - A I R F r a n c e - C o c a C o l a - N e s t l é - E t h i o p i a n A i r l i n e s A i r S é n é g a l - C o m p a g n i e A i r

M a l i - G r o u p e A m i , O r a n g e m a l i , M a l i t e l - S o t e l m a e t c .

LISEZ ET FAITES VOUS LIRE PAR D’AUTRES - DONNEZ-NOUS A VOUS LIRE- RECEVEZ DE BONNES LECTURES DE NOUS ET AIMONS LIRE ET OFFRIR UN NUMERO DU JOURNAL «   LPL   »   : LA PLUME LIBEREE QUI LIBERE LE CONFORT DE L’ESPRIT PLUS LIBRE   !

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E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A PL U ME L I BE RE E   »   :N°01 du Vendredi 9 janvier 2009 - Parution hebdomadaire des Vendredis saints, pouvant aussi paraître à l’improviste-Hebdomadaire national d’informations générales, magazine culturel jeune, VSD local du

week-end des jeunes bamakois-Bulletin Papier légal des associations du mémorandum de création du 11 aôut 2002, fondant le pool associatif annexé au Gié Cradif international. Editeur panafricain principal de votre organe en format A4 double pages recto-verso +1 feuille

3) CITATION DU JOUR À RETENIR POINT-FOCAL DU MOIS«Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas ; c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles»

(Sénèque, philosophe Grec)

SENEGAL : LA POLITIQUE POLITICIENNE ET le rappel de quelques notions politiques utiles et pérenne

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(Par Ras STAF*)

1. Oui pépé ! tu dois rejoindre les assises nationales sans conteste !...

Qui sommes nous ? ne se pose donc plus comme question, je pense, dans les faits ; si le pouvoir c’est la pensée et que penser veut dire «concevoir» des choses, «à animer» et «faire exister» physiquement, dans la réalité et dans les faits. Quittons donc ce cher Mali et allons voir à côté dans le Pays SUNUGAL, proche voisin, ce qui s’y passe avec un Me Wade réélu à 57% et au pouvoir pour un second mandat républicain de 5 ans, sans opposition parlementaire légale, hors les assises nationales actuelles. Un Président à la foi, jamais ébranlée en ses solides convictions (bona fides), les plus fortes. Et au pouvoir alternatif (travailliste, libéral, ultra-libéral, orthodoxe etc.), -ah ! si alternance 2000 savait!- et jamais piégé, ni tombé de ses mains. Pendant qu’aux abois, sont nos opposants,et eux, mes «pseudos» confrères, grincheux journalistes, à ses trousses et tout le temps en face de SA MAJESTE(i.e. : Président de la république du Sénégal), et des fâchées populations, orphelines du P.S., du P.D.S. et du Joola, couches sociales défavorisées, avec, en leur sein, des pro «séparatistes casamançais». Autant de mécontents sociaux, éléments dynamiques, parmi les casseurs, et taupes enfouies. Comme dans l’Etat, où les agents les plus véreux et les magistrats les plus légers, sont adeptes à 47% près, de la «drogue dure» en général, et de son argent sale, qui demeure objet de blanchiment, pour ceux qui sont corrupteurs de corrompus fonctionnaires sénégalais. Car, se disent-ils, insatisfaits éternels de la marche et du fonctionnement de l’Etat ; de notre indépendance en 1959 (fédération du Mali), à la première et peut-être - sait-on jamais ? et de plus, qui sait l’avenir ? - dernière investiture présidentielle de Me Wade en avril 2007.

Un peu comme en Guinée Bissau quoi! Une «fable» qui ne se raconte à personne et qui s’y nomme «administration bancale» ; une tour à voir et avoir rien qu’envie de lui donner u coup de pied dans sa fourmillière ; car rongée et gangrénée à tous les échelons, par le traffic d’influence d’une part, et le népotisme d’autre part. Ainsi, là où le népotisme passe bien comme «passable» chez Me Wade et aux yeux de «RIMKA», -ce que beaucoup de compatriotes sincères ont tendance à lui reprocher- pas de voie de passage pour le traffic d’influence, et la promotion parallèle par enrichissement illicite (surfacturation)supplémentaire.

1. Et, y être amener à prendre la parole pour décrisper la situation

Avis à Makcy Sall, le «frondeur» et à Idy Seck, le «fils rebelle». Tous deux ex-directeurs de campagne, ex-Premiers Ministres et ex-leaders et barons du Pds. Ce qui a le mérite d’être au moins clair : Bour dou mbokk (Kocc Barma Fall).

Cependant l’aliénation au pouvoir, de façon monocratique (sous Senghor), puis autocratique (sous le PS d’Abdou Diouf) et oligarchique (régime actuel du Pds de Me Wade et fils), fait qu’au Sénégal d’aujord’hui, on est obligé de critiquer, sans réserve, -comme nos artistes modernes et les cadres organiques de la Nation au sein des Assises nationales- l’état de corruption avancée de la «chose politique» : Res Publica ! Non pas la verte plante innocente, persécutée au Sénégal comme nul part ailleurs. A savoir donc que : ce pays (Soudan français et Aof), d’après la prédiction de Serigne Touba (khadim rassol, «sopey nabbi»), sera, après lui (rappelé à Dieu en 1927, après 74 ans d’existence ascétique), gouverné par des «mécréants» (période coloniale) ; puis, après ceux-là, par leurs auxiliaires et collaborateurs locaux et remplaçants nationaux (période post-indépendance),et, enfin, par un disciple de sa voie (tarikha mouride), qui, s’il l’a (le Pouvoir Africain) en partage avec un des condisciples suggérès (candidats multiples à une élection présidentielle), laissera le pouvoir à celui-ci. Et ce, au temps où, il devrait, devra, réapparaître (ou réapparaîtra) au monde actuel. Sous le califat (1990-2007) -disait-on- du disparu et défunt marabout, feu Serigne Saliou M’Backé, l’illustre serviteur d’Allah (Rdla, que Dieu soit satisfait de lui et de Serigne Mourtada, son frère, d’El Hajj Fallou

Mbacké (1945-1968) et de son aîné frère, le Cheikh, Mouhamadou Moustapha (1927-1945) -Khalife des «temps difficiles»- et des frères de la confrérie, qui ont œuvré avec lui, pour l’avènement de la grande Mosquée de Touba, et qui ont donné à la cité sainte son visage actuel et réfléchi. Dont Abdul Ahad Mbacké (1968-1988) et Abdou Khadre Mbacké (1988-1990), dit «imam mourslimin», le choisi élu..)

2. Non ramené à tes «ENNEMIS» et livrer à leurs chefs du peuple en

christ-Roi, coupable !

Toutes connaissances dont est imbu un professeur d’Histoire comme Iba der Thiam, l’honorable député et homme de confiance de Wade, idéologue de son régime, en lieu et place d’Idrissa Seck, et qui leur impose de composer -ni collaboration, ni coopération, est un «pis-aller» papy ! Conseil de Tapha Lèye- avec la société civile sénégalaise ; avec toutes les composantes politiques ; et toutes ces couches sociales qui ont gardé un mauvais souvenir politique et un goût amer, des élections présidentielles et législatives, dites «truquées d’avance», de l’année 2007. Une année électorale comme jamais on n’en en avait vu au Sénégal ; et, au cours de laquelle, on a excellé dans l’art de dissimuler (mentir vrai) et d’apprendre (taire la vérité) à calomnier promptement, plutôt que d’avoir à divulguer les résultats positifs et les bons fruits de la croissance économique sénégalaise à deux chiffres (je veux rire, mais je ne le puis. Par respect et amour de la patrie:SUNUGAL, le PAYS!).

3. Mais emmène les vers LUI (Méhari), ton Dieu du Sénégal

Ah Bon Dieu ! Que n’AS-Tu pas offert à ce pays ? Pendant 25 ans, dans l’ombre de la Citadelle eopposition», entreouverture/élargissement/arrestatiion, emprisonnement/libération, Me Wade l’a su, le sait, Pr bathily ! Que nenni ! Non seulement il n’a pas à le dire, a fortiori à le penser, avant Blaise Diagne et les métis de la famille Carpot, qu’il, ou son parti libéral, serai(en)t les principaux «précurseurs de la lutte politique au Sénégal». Ce qui est évidemment faux, archi-faux, et évident comme tout que c’est fausseté. C’est une tautologie de la Science Politique Sénégalaise. Mais, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, le Professeur le plus célèbre du Sénégal dans le Monde (feu le Pr Cheikh Anta Diop), est à l’instar de Me Wade (non à son image). 1er opposant de renom, au Sénégal et le plus connu sur le plan international comme s’étant opposé 25 ans durant à la presse manipulatrice (Bara Diouf), au monde universitaire (FEANF) et des Affaires (Consultations de l’expert en économie et en droit), à

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la classe politique (gauche sénégalaise) et à ses branches récalcitrantes, frappées de cécité politique (RND-PLP).

4. Lachons du lest ! Ouvrons les vannes ! Faisons accéder le Peuple

sénégalais à la félicité promise (Nouvelle Héloïse)

Ce qui est sûr, reste vrai. Donc évident! «Le RND ne siègera dans aucn gouvernement de la république du Sénégal», disait Cheikh Anta Diop dans ses écrits politques résumés (à commander auprès du siège, villa N°36, sicap Darabis, permanence locale dakaroise ; sinon, par email, auprès du Secrétaire Général, Dr Dialo DIOP, actuel au poste, dialod@gmail .com ). Ce que le Pr Madior Diouf, en 2001, n’a pas cru bon de respecter comme charte du défunt fondateur de son propre parti : le RND. Et celui-ci, même s’il n’est pas entrain de se retourner dans sa tombe, pour tout ce que le parti et le Pays viventactuellement, reste et continue à être l’incarnateur du plus grand

opposant sénégalais de tous les temps : Mame Cheikh Ibra Fall, talibé de Serigne Touba et père par alliance de Cheikh anta Diop, de par sa mère, qui fut une des épouses de Cheikh Ibrahima Fall.. Des gens qui s’opposeront toujours, à cause de la vérité d’avec laquelle, ils sont restés en étroit rapport, et qui est seule bonne à dire. Au nom du Seigneur de l’Univers, Bienfaiteur Créateur.

Ainsi, au nom de notre gourmandise pour les friandises et notre «thiebou dièun» national, de notre goût du lucre, du luxe et de la parure (bazzin et teintures de Bamako), de notre penchant majoritaire pour l’ostentatoire et l’ornemental (voiture de luxe), le gain facile et l’éphèmère ( superbe villa de fonction et services liés aux jeux), le périssable et le futile (sorties nocturnes et vie mondaine, aux relations crypto-personnelles

extrêmement compliquées à démêler comme «pelote de laine», à un degré tel, qu’on dirait un gros nœud dans la conscience humaine).

Pauvre Sénégal! Mon Pays! Mon beau pays! Pays aux Riches hommes! Aux terres neuves! A la mer agitée et calmée! Pourvoyeuse de pêche fructueuse! Qu’accompagne une bonne campagne de récolte!Grâce à une bonne saison pluvieuse! Bonne Année 2009 à tous et toutes! MEILLEURS VŒUX à vous aussi, revendeurs en kiosques de LPL N°3, Edition panafricaine du 8-9-10 et 11 mai 2009. Aidez-nous à vendre LPL! Le Directeur de la publication du journal VSD/bob ka_r ass t a f@ yahh o . f r ,

LEYE Khaly-Moustapha, sociologue

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REQUIEM BIS ET TER : PLAIDOYER POUR LA (RE) FEDERATION

DU MALI

(Suite et fin de l’Editorial de la UNE, Tableau de bord N°6) Ô Mali d’aujourd’hui ! Ô Mali de demain !

*La Rédaction de votre journal favori du week-end, LPL

Ah ! Si seulement nous pouvions arriver ensemble et parvenir enfin, à bâtir une cité prospère, aux composantes sociétales composites, reflétant toute la diversité culturelle de notre mosaïque ethniciste, alors le pluralisme politique et le régime démocratique de l’Etat de droit seraient effectifs, pour que nous puissions parler de multipartisme intégral dans une écconomie, non plus néolibérale, mais solidaire. Une invention bien malienne, comme la loi d’orientation agricole, la lettre de cadrage de son excellence, le pacte de croissance et de solidarité pour le développement et le programme de développement économique et social. Ce dernier cité, actuellement en cours, retrace toutes les étapes fixées et voulues par le Premier Magistrat et qui sont considérées nécessaires pour réussir à faire en sorte que «la cité idéale engendre le meilleur homme» (Le Cheikh, Ahmadou Bamba). C’est-à-dire, «insuffler un nouvel esprit», un nouveau souffle aux Maliennes et Maliens, hommes et femmes, aux capacités renforcées en facteur humain de production des ressources humaines disponibles rendues performantes,car améliorées.A vous donc sera dédié cet article, en des mots simples, peu chers payés sur le marché de la discographie locale et des idées politiques émises par faisceau d’ondes hertziennes et réseau d’interconnexion mondiale (toile mondiale du world wide web ou http://www.ortm.ml, par exemple), Je veux dire par là, chers futurs électeurs et chères futures électrices aux élections municipales, que notre équipe pour la campagne électorale, sera parrainnée par le parti civil pour le renouveau, et sera conduite par un camarade investi légalement. Cependant la question se pose : est-ce que, du fait du droit communautaire de résidence, d’établissement, de liberté de circulation des biens et des personnes, en espace www.uemoa.int, nous autres expatriés, étrangers locau, ressortissants nationaux d’autres Etats de la sous région, membres comme le Mali de l’Union Africaine, du Népad, de la Cedeao, de la Censad, de l’Uemoa, de l’Omvs et de l’ABFN etc., aurons-nous droit, à l’instar de certaines villes du Nord, où les immigrés sont invités à participer aux

élections locales, communales, départementales et municipales, en général, à se constituer «ELECTEUR-ELECTRICE» d’une manière ou d’une autre, ici au Mali et dans ses 703 localités et collectivités territoriales (cercles et régions = élections départementales et régionales des Sénateurs et des Conseillers ) ?Grande question qui mérite réponse, car valant son pesant d’or. Surtout à l’heure actuelle, où la crise financière se fait ressentir lourdement déjà, dans nombre de secteurs-pilotes et vitaux (dégraissage administratif et licenciement technique obligatoires).Cependant, que l’on soit patriote panafricain, fédéraliste nègro-africain, démocrates loyaux, fidèles républicains, pacifistes sincères et laïcs nationalistes ou ultra radicaux, nous savons tous, d’un même point central (la rareté de l’argent) et à partir de nos postes respecifs d’observationde la réalité sociale (rapports économiques de production) qu’il va falloir changer de fusil d’épaule et mettre de l’eau à son vin. Pour pouvoir continuer à apporter de l’eau au moulin de la concession familaile (dépenses quotidiennes). Nos économies extraverties, fragilisées par la dévaluation, la mondialisation et la globalisation, continuent de perdre dans les voies légales des termes de l’échange inégal et interplanétaire. Si tous sont plus ou moins mieux lôtis ou défavorisées par leurs balances de paiements, il n’en demeure pas moins que tous ne sont pas, du nord au sud, des pays émergeants comme le Mali. Même si la notion de «pays émergeants» voudrait se limiter à l’Inde, au Brésil et au Mexique, en général. Il n’y a qu’à voir : le pétrole, l’or, le bétail exporté, le coton bio, tous ces essais sont en cours sur notre territoire, et même les laboratoires le plus réputés, ont cherché à venir s’implanter, ou s’installer au Mali. Après l’expérience concluante de la société France Télécom (Orange mali) et de Transrail (résultat plus mitigé). Il est temp qu’on se mette à comprendre par nous-mêmes, ce qu’ils ont toujours coutume de mieux connaître que nous, pour nous en enseigner les rudiments. En cela, effectivement, les Etats africains sont à la croisée des chemins : vu leurs qualités avérées parmi les cadres expatriés, cerveaux africains, compétences notoires et quelques professions

pointues et intrinsèques et assimilées. Ainsi, si l’on revient quelques années en arrière, on s’aperçoit que ce pays émergeant qu’est le Mali, n’en est pas à son premier essai d’émerger des bas fonds de la déshérence financière palpable. Rappelons dans quelles conditions l‘Armée malienne et l’intelligence politique des premiers leaders de la Nation moderne ont du faire preuve de solidarité, d’entente participative, pour écouler les nouveaux billets, tous neufs, du FRANC MALIEN dans le circuit économique, en masse monétaire en circulation, remplaçant la monnaie de la communauté francophone africaine (CFA) devenu plus tard communauté financière africaine, avec la BCEAO et l’Uemoa, notamment. Cela est une raison suffisante pour croire en ce pays, en ses hommes et femmes, qui, une fois reguingués, parce que travailleurs aussi, peuvent donner le meilleur d’eux mêmes, pour être si exigeants envers leurs éléments footballistique sur le terrain. Il n’y a pas que le Mali, dans ce domaine. Certes ! Ni non plus que le Mali envoie déjà des fusées dans l’espace comme l’Inde ou la Chine, ou est entrain de faire de l’enrichissement de l’uranium pour posséder l’arme nucléaire, à l’instar des iraniens. Nous ne sommes pas des lybiens que la France pourrait aider dans le nucléaire civil ou la construction d’une manufacture d’armes. Cependant, vu nos liens étroits avec l’Algérie voisin, il sied à nous de se détourner de la malédiction du métal jaune (vite dépréciable, mais a sa valeur-refuge de tout temps) et pivoter vers l’Adrar des Ifoghas, pour devenir, tout bon jeune entrepreneur que nous sommes, des avisés prospecteurs et des courtiers et agents en bourse BRVM, pour mettre en valeur les sédiments des vallées fossiles du Nord Malien, riche en nappe pétrolifère. Ce que les satellites d’autres espions peuvent voir et nous contrecarrer dans tous nos desseins, pour la valorisation des puits de pétrole qui seront exploitables au Mali. Assurément, le Mali se trouve à un carrefour de son Histoire, comme l’Algérie. Encore faut-il qu’on parvienne à liquider notre service de la dette et éponger notre dette publique, et régler entièrement la facture de l’endettement excessif sur le compte des futures génération, à qui on semble ne rien réserver

E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A PL U ME L I BE RE E   »   :N°01 du Vendredi 9 janvier 2009 - Parution hebdomadaire des Vendredis saints, pouvant aussi paraître à l’improviste-Hebdomadaire national d’informations générales, magazine culturel jeune, VSD local du week-

end des jeunes bamakois-Bulletin Papier légal des associations du mémorandum de création du 11 aôut 2002, fondant le pool associatif annexé au Gié Cradif international. Editeur panafricain principal de votre organe en format A4 double pages recto-verso +1 feuille

pour le moment, si ce n’est le trou noir du chômage et l’horizon obscurci par le tunnel de l’immigration clandestine et risquée. Une voie du salut, en contrepied de la lettre, vers notre seconde chance économique et indépendance politique nouvelle.Le fédéralisme, mission sacrée du CRADIF, commence donc par la «refondation» de l’Etat. Retenons bien ce mot ! Car le Mali, ni le Sénégal, n’existent pas en tant que tel sur le plan juridique, si l’on maintient la réserve des fidèles citoyens de l’eX-FEDERATION DU MALI, en vigueur. La seule entité politique à qui avait été attribué l’INDEPENDANCE, étant elle bien évidemment. Il nous reste à la ressuciter et en vivre de ses fruits de saisons de ses petits jardins paradisiaques du bassin du fleuve sénégal (OMVS-SOGEM-SINSAH). Tâche pas du tout facile, tellement que la ligne de rupture demeure objet obsolète et occulté bienfait pérenne à battre en brèche. La restaurer dans ses fondemnts éthiques, culturels, politiques et socioéconomiques participe d’un même effort binational de rédemption sur tous les plans. Il y a si peu de choses qui nous séparent et tellement d’avantages à en tirer ensemble de notre nouvelle union, que chacun ferait bien, dès à présent, de prendre conscience contre l’alibi ; de se battre fin calculateur contre l’inconséquence ; de se limiter en desseins et intrigues pour se soulever en révolté et aigri social non-violent, pacifiste et habilement rusé (homo strategicus). Alors, peut-être le capital culturel national, l’héritage historique, viendront-ils à nous, pour nous soutenir dans nos actions, efforts et peines vécues salaires et misères ?! Et que les Cheikh Ahmadou, Ibra Fall, El Hajj Omar, Bou Kounta, Cheikhna Hammalah, Saïdou Nourou Tall etc., donneront ce qu’ils ont toujours su bien garder auprès d’eux comme secrets du divin, et qu’ils réservent toujours à la meilleure génération d’un futur où ils ne seraient plus présents, ayant déjà agi pour son avènement (black feeling) et dans sa gloire méritée (Etats-Unis d’Afrique) : le régne du pouvoir black (black power). A ne pas confondre avec l’accession au pouvoir, le 20 janvier 2009, d’un Barack OBAMA, nouveau 44è président des Etats-Unis d’Amérique fraîchement élu le 4 novembre 2008. Ou avec la promotion d’un

Souleymane Déré N’Diaye, nouveau Premier Ministre de puis hier, de Me Wade, avec Karim, aussi promu.D’où est que le Professeur Cheikh Anta Diop nous renseignera sur trois démarches, qui sont nos « perspectives », soit dit en passant réalistes, à savoir et retenir citations célèbres : « L’idée de fédération, doit réfléter chez nous tous, et, en particulier, chez nos dirigeants, un souci de survie, au lieu de n’être qu’une expression démagogique et dilatoire, prononcée sans conviction, du bout des lèvres ». Commentaire à l’appui : un tiens, vaut mieux que deux, tu l’auras ! «Les Peuples africains, pour survivre, feront leur jonction. Un jour ou l’autre, la soupape sautera. Pourquoi ne pas conduire le mouvement au lieu de le subir?» No comment, svp ! «L’ETUDIANT AFRICAIN qui nous aura compris, est, celui-là même, qui, après la lecture de nos ouvrages, aura senti naître en lui un homme nouveau, un être doué d’intelligence et doté d’une conscience historique, un acteur responsable et intègre ; un Prométhée, parfaitement conscient de tout ce que la terre entière doit doit à ntre Génie ancestrale dans tous les domaines de la science, de la culture et de la religion » (Page 378, Civilisation ou Barbarie). Commentaire : deux précautions en valent mieux qu’une seule, de prise.Conclusion   : «L’unification planétaire et la fraternisation sincères, seront réalisables, à partir du moment, où les différents peuples, forts, éduqués, ne puissent plus se tromper, l’un, l’autre». «Ô Mali d’aujourd’hui   ! ô Mali de demain   ! Les champs fleurissent d’espérances, les cœurs vibrent de confiance…../ L’Afrique se lève enfin   ! Saluons ce jour nouveau   ! Saluons la liberté   ! Marchons dans l’unité   ! Dignité retrouvée, soutient notre combat   ! Fidèle à notre serment, de faire l’Afrique unie, ensemble, debout mes fres tous au rendez-vous de l’honneur, pour l’Afrique et pour toi   : MALI   !.... ». Ainsi donc, cher Pays Maliba, ce que le professeur s’est toujors refusé d’accréditere de faire accroire, nous sommes danss a lignée ; ce que le poète-Président, Léopold Sédar SENGHOR a bien voulu nous gratifier, c’est ce qui nous restera et nous survivra : l’appellation de MALI, d’empire rayonnant, à pays émergeant nouvellement indépendants ou

fédération mort-née ; puis là, IIIème République du Mali, après deux aventures malencontreuses pour les citoyens tous bords, toutes cultures; et, enfin, la trouvaille, découverte, initiatives politiques et initiatives diplomatiques, actes concrets posés jalons historiques, du premier Président de la république du Mali indépendant et accédant à la magistrature suprême et à la reconnaissance internationale de sa souveraineté républicaine d’Etat libre, indépendant et démocratique, c’est elle : la IIIème République de la Constitution du 25 février 1992. Chose qui n’est pourtant ni de lui (père Modibo kéïta), ni de son bourreau et tortionnaire de régimes (Général Moussa Traoré, déchu président en vie). C’est ce que nous savons tous à peu près ; mais pas l’esprit de la Loi fondamentale elle-même dans son intégralité, ni toues les codes et les textes de lois issus du parlement national, ni les actes Ohada et les autres traités et conventions.c’est ce ravail qui est à entamer aussi, pour parfaire notre attachement et notrre amour pour la patrie : MALI. La connaissance du droit, de l’économie et des langues, à côté des autres sciences du social ou du secteur primaire (agriculture) et secondaire (industrie et technologie manufacturière). Dans cette optique, le PDEs est une chance, si chacun, en tirer sa dépendance et sa stabilité, et, en dressant, à partir de lui, son propre programme d’activités génériques d’équipée et d’entente (pagée page à la UNE du PDES d’ATT), comme la société coopérative développement harmonieux et communautaire et pour la sécurité alimentaire : «TCHIWARA». Elle vous souhaite une Bonne Fête du TRAVAIL et UNE BONNE JOURNEE INTERNATIONALE DE LA LIBERTE DE PRESSE. CE 3 MAI 2009 DES GENS DE LA MAISON (siège de Dar Salam) et Gens de la rédaction (acteurs UNAJOM-UJAO).A vous aussi, membres du MOURASMA et des autres associations du sérail, adhérents virtuels, passez de bonnes fêtes le 25 MAI, anniversaire de la charte d’Addis abeba, née en 1963, etle 23 mai, de Sa Majesté Impériale, Haîlé Sélassié 1er. Rasta ne trahit pas sa bonne foi ! Et JAH EST PLEIN de MISERICORDE   ! Pour tous   ! Daddy ! Cool ! Fine ! Nice ! Zin-zin! ANNEE 2009, ANNEE ZEN, s’il plait à ELOHIM (JAHVE = GOD IS)Contacts   LPL :Macki Niang : 74421077 (commercial) ; Charles Traoré,

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E D I T I O N N O U V E L L E D U J O U R N A L «   L A PL U ME L I BE RE E   »   :N°01 du Vendredi 9 janvier 2009 - Parution hebdomadaire des Vendredis saints, pouvant aussi paraître à l’improviste-Hebdomadaire national d’informations générales, magazine culturel jeune, VSD local du week-

end des jeunes bamakois-Bulletin Papier légal des associations du mémorandum de création du 11 aôut 2002, fondant le pool associatif annexé au Gié Cradif international. Editeur panafricain principal de votre organe en format A4 double pages recto-verso +1 feuille

74129996(distribution) ;Ami KEBE, 73311075 (rédactrice en chef) ; Moustaphe LEYE, 74720110 (directeur de la rédaction) ; Tiémoko Koné, 76714151, (directeur du comité de rédaction) ; Gié éditeur : cradif.bgom@hotmail.com (Bureau Internet), +223-20.22.81.74 ; Siège social : rue 360, porte 93, Bamako-coura ; directeur de la publication : bobka_rasstaf@yahoo.fr,Mali, ; Imprimeur   : IMPRIMERIE Locale de BAMAKO Coura ; Dépôt Légal : Bibliothèque Nationale – Codi – CSC-AN ; Permanence locale, adressage courrier : maison de la presse, Dar Salam, BP :2579, CRADIF-LA PLUME LIBEREE. ; Couverture juridique : LOI AN-RM N°046 du 18 juillet 2000 et lettre N°506 à M. le Procureur de la CIII/Prb C3. ; Assistance juridique : sitominta@yahoo.fr, Notaire Cabinet chez Amadou TOURE.

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DECLARATION UNIVERSELLE DE L’UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE Adoptée à PARIS«La richesse culturelle du Monde, c’est

sa diversité en dialogue»

La Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle a été adoptée à l’unanimité dans un contexte très particulier. C’était au lendemain des événements du 11 septembre 2001, et la Conférence générale de l’UNESCO, qui se réunissait alors pour sa 31e session, était la première réunion de niveau ministériel à se tenir après ces événements terribles. Ce fut l’occasion pour les États de réaffirmer leur conviction que le dialogue interculturel constitue le meilleur gage pour la paix, et de rejeter catégoriquement la thèse de conflits inéluctables de cultures et de civilisations.

Un instrument d’une telle envergure constitue une première pour la communauté internationale. Il érige la diversité culturelle au rang de « patrimoine commun de l’humanité », « aussi nécessaire pour le genre humain que la biodiversité dans l’ordre du vivant », et fait de sa défense un impératif éthique, inséparable du respect de la dignité de la personne humaine.

La Déclaration vise à la fois à préserver comme un trésor vivant, et donc renouvelable, une diversité culturelle qui ne doit pas être perçue comme un patrimoine figé, mais comme un processus garant de la survie de l’humanité.

Elle vise aussi à éviter des ségrégations et des fondamentalismes qui, au nom des différences culturelles, sacraliseraient ces différences, allant ainsi à l’encontre du message de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

La Déclaration universelle insiste sur le fait que chaque individu doit reconnaître non seulement l’altérité sous toutes ses formes, mais aussi la pluralité de son identité, au sein de sociétés elles-mêmes plurielles. C’est ainsi seulement que peut être préservé la diversité culturelle comme processus évolutif et capacité d’expression, de création et d’innovation. Le débat entre les pays qui souhaiteraient défendre les biens et services culturels « qui, parce qu’ils sont porteurs d’identités, de valeurs et de sens, ne doivent pas être considérés comme des marchandises ou des biens de consommation comme les autres », et ceux qui espéraient promouvoir les droits culturels a été ainsi dépassé, ces deux approches se trouvant conjuguées par la Déclaration qui a mis en évidence le lien causal unissant deux démarches complémentaires. L’une ne peut exister sans l’autre.

Cette Déclaration, accompagnée des lignes essentielles d’un Plan d’action, peut être un superbe outil de développement, capable d’humaniser la mondialisation.

Elle ne formule évidemment pas de prescriptions, mais des orientations générales qui devraient se traduire en politiques innovantes par les Etats membres, dans leurs contextes spécifiques, en partenariat avec le secteur privé et la société civile.

Cette Déclaration, qui oppose aux enfermements fondamentalistes la perspective D’un monde plus ouvert, plus créatif et plus démocratique, compte désormais Parmi les textes fondateurs d’une nouvelle éthique promue par l’UNESCO au début du XXIe siècle. Je souhaite qu’elle puisse revêtir un jour la même force que la Déclaration universelle des droits de l’homme.» Koïchiro Matsuura, Directeur général

Parmi lesquels, en particulier, «l’Accord de Florence» de 1950 et son «Protocole de Nairobi» de 1976, la «Convention universelle sur les droits d’auteur» de 1952, la «Déclaration de principes de la coopération culturelle internationale» de 1966, la «Convention concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicite des biens culturels» de 1970, la «Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel» de 1972, la «Déclaration de l’UNESCO sur la race et les préjugés raciaux» de 1978, la «Recommandation relative à la condition de l’artiste» de 1980, et, la «Recommandation sur la sauvegarde de la culture traditionnelle et populaire» de 1989.

Définition conforme aux conclusions de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles (MONDIACULT, Mexico, 1982), de la Commission mondiale de la culture et du développement (Notre diversité créatrice, 1995) et de la Conférence intergouvernementale sur les politiques culturelles pour le développement (Stockholm, 1998).

LA CONFÉRENCE GÉNÉRALE,

Attachée à la pleine réalisation des droits de l’homme et des libertés fondamentales proclamés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans d’autres instruments juridiques universellement reconnus, tels que les deux Pactes internationaux de 1966 relatifs l’un aux droits civils et politiques et l’autre aux droits économiques, sociaux et culturels,

Rappelant que le Préambule de l’Acte constitutif de l’UNESCO affirme « (...) que la dignité de l’homme exigeant la diffusion de la culture et l’éducation de tous en vue de la justice, de la liberté et de la paix, il y a là, pour toutes les nations, des devoirs sacrés à remplir dans un esprit de mutuelle assistance»,

Rappelant également son Article premier qui assigne entre autres buts à l’UNESCO de recommander «les accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées par le mot et par l’image»,

Se référant aux dispositions ayant trait à la diversité culturelle et à l’exercice des droits culturels figurant dans les instruments internationaux promulgués par l’UNESCO,

Réaffirmant que la culture doit être considérée comme l’ensemble des traits distinctifs spirituels et matériels, intellectuels et affectifs qui caractérisent une société ou un groupe social et qu’elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les façons de vivre ensemble, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ;

Constatant que la culture se trouve au coeur des débats contemporains sur l’identité, la cohésion sociale et le développement d’une économie fondée sur le savoir,

Affirmant que le respect de la diversité des cultures, la tolérance, le dialogue et la coopération, dans un climat de confiance et de compréhension mutuelles sont un des meilleurs gages de la paix et de la sécurité internationales,

Aspirant à une plus grande solidarité fondée sur la reconnaissance de la diversité culturelle, sur la prise de conscience de l’unité du genre humain et sur le développement des échanges interculturels,

Considérant que le processus de mondialisation, facilité par l’évolution rapide des nouvelles technologies de l’information et de la communication, bien que constituant un défi pour la diversité culturelle, crée les conditions d’un dialogue renouvelé entre les cultures et les civilisations,

Consciente du mandat spécifique qui a été confié à l’UNESCO, au sein du système des Nations Unies, d’assurer la préservation et la promotion de la féconde diversité des cultures, Proclame les principes suivants et adopte la présente Déclaration :

DECLARATION UNIVERSELLE DE L’UNESCO SUR LA DIVERSITE

CULTURELLE

IDENTITE, DIVERSITE ET PLURALISME

ARTICLE 1: La diversité culturelle, patrimoine commun de l’humanité

La culture prend des formes diverses à travers le temps et l’espace. Cette diversité s’incarne dans l’originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l’humanité.

Source d’échanges, d’innovation et de créativité, la diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire qu’est la biodiversité dans l’ordre du vivant. En ce sens, elle constitue le patrimoine commun de l’humanité et elle doit être reconnue et affirmée au bénéfice des générations présentes et des générations futures.

ARTICLE 2 : De la diversité culturelle au pluralisme culturel

Dans nos sociétés de plus en plus diversifiées, il est indispensable d’assurer une interaction harmonieuse et un vouloir vivre ensemble de personnes et de groupes aux identités culturelles à la fois plurielles, variées et dynamiques. Des politiques favorisant l’inclusion et la participation de tous les citoyens sont garantes de la cohésion sociale, de la vitalité de la société civile et de la paix. Ainsi défini, le pluralisme culturel constitue la réponse politique au fait de la diversité culturelle. Indissociable d’un cadre démocratique, le pluralisme culturel est propice aux échanges culturels et à l’épanouissement des capacités créatrices qui nourrissent la vie publique.

ARTICLE 3 : La diversité culturelle,

facteur de développement.

La diversité culturelle élargit les possibilités de choix offertes à chacun ; elle est l’une des sources du développement, entendu non seulement en termes de croissance économique, mais aussi comme moyen d’accéder à une existence intellectuelle, affective, morale et spirituelle satisfaisante.

DIVERSITE CULTURELLE ET DROITS DE L’HOMME

ARTICLE 4 : Les droits de l’homme, garants de la diversité culturelle.

La défense de la diversité culturelle est un impératif éthique, inséparable du respect de la dignité de la personne humaine. Elle implique l’engagement de respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales, en particulier les droits des personnes appartenant à des minorités et ceux des peuples autochtones. Nul ne peut invoquer la diversité culturelle pour porter atteinte aux droits de l’homme garantis par le droit international, ni pour en limiter la portée.

ARTICLE 5 : Les droits culturels, cadre propice de la diversité culturelle, les droits culturels sont, « partie intégrante » des droits de l’homme, qui sont universels, indissociables et interdépendants. L’épanouissement d’une diversité créatrice exige la pleine réalisation des droits culturels, tels qu’ils sont définis à l’article 27 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et aux articles 13 et 15 du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Toute personne doit ainsi pouvoir s’exprimer, créer et diffuser ses oeuvres dans la langue de son choix et en particulier dans sa langue maternelle ; toute personne a le droit à une éducation et une formation de qualité qui respectent pleinement son identité culturelle ; toute personne doit pouvoir participer à la vie culturelle de son choix et exercer ses propres pratiques culturelles, dans les limites qu’impose le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

ARTICLE 6 : Vers une diversité culturelle

accessible à tous, tout en assurant la libre

circulation des idées par le mot et par l’image, il

faut veiller à ce que toutes les cultures puissent

s’exprimer et se faire connaître. La liberté

d’expression, le pluralisme des médias, le

multilinguisme, l’égalité d’accès aux

expressions artistiques, au savoir scientifique et

technologique - y compris sous la forme

numérique - et la possibilité, pour toutes les

cultures, d’être présentes dans les moyens

d’expression et de diffusion, sont les garants de

la diversité culturelle.

DIVERSITE CULTURELLE ET

CREATIVITE

ARTICLE 7 : Le patrimoine culturel,

aux sources de la créativité, chaque

création puise aux racines des traditions

culturelles, mais s’épanouit au contact

des autres. C’est pourquoi le patrimoine,

sous toutes ses formes, doit être

préservé, mis en valeur et transmis aux

générations futures en tant que

témoignage de l’expérience et des

aspirations humaines, afin de nourrir la

créativité dans toute sa diversité et

d’instaurer un véritable dialogue entre

les cultures.

ARTICLE 8 : Les biens et services

culturels, des marchandises pas

comme les autres

Face aux mutations économiques et

technologiques actuelles, qui ouvrent

de vastes perspectives pour la

création et l’innovation, une attention

particulière doit être accordée à la

diversité de l’offre créatrice, à la

juste prise en compte des droits des

auteurs et des artistes ainsi qu’à la

spécificité des biens et services

culturels qui, parce qu’ils sont

porteurs d’identité, de valeurs et de

sens, ne doivent pas être considérés

comme des marchandises ou des

biens de consommation comme les

autres.

ARTICLE 9 : Les politiques

culturelles, catalyseur de la

créativité

Tout en assurant la libre circulation des idées

et des oeuvres, les politiques culturelles

doivent créer les conditions propices à la

production et à la diffusion de biens et

services culturels diversifiés, grâce à des

industries culturelles disposant des moyens

de s’affirmer à l’échelle locale et mondiale.

Il revient à chaque Etat, dans le respect de

ses obligations internationales, de définir sa

politique culturelle et de la mettre en oeuvre

par les moyens d’action qu’il juge les mieux

adaptés, qu’il s’agisse de soutiens

opérationnels ou de cadres réglementaires

appropriés.

DIVERSITE CULTURELLE ET

SOLIDARITE INTERNATIONALE

ARTICLE 10   : Renforcer les capacités de

création et de diffusion à l’échelle

mondiale, face aux déséquilibres que

présentent actuellement les flux et les

échanges des biens culturels à l’échelle

mondiale, il faut renforcer la coopération et

la solidarité internationales destinées à

permettre à tous les pays, en particulier aux

pays en développement et aux pays en

transition, de mettre en place des industries

culturelles viables et compétitives sur les

plans national et international.

ARTICLE 11 : Forger des partenariats entre secteur public, secteur privé et société civile, les seules forces du marché ne peuvent garantir la préservation et la promotion de la diversité culturelle, gage d’un développement Humain durable. Dans cette perspective, il convient de réaffirmer le rôle primordial des politiques publiques, en partenariat avec le secteur privé et la société civile.

ARTICLE 12 : Le rôle de l’UNESCO

L’UNESCO, de par son mandat et ses fonctions, a la responsabilité de : promouvoir la prise en compte des principes énoncés par la présente Déclaration dans les stratégies de développement élaborées, au sein des diverses instances inter – gouvernementales, servir d’instance de référence et de concertation entre les Etats, les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux internationaux, la société civile et le secteur privé pour l’élaboration conjointe de concepts, d’objectifs et de politiques en faveur de la diversité culturelle ; poursuivre son action normative, ainsi que son action de sensibilisation et de développement des capacités dans les domaines liés à la présente Déclaration qui relèvent de sa compétence ; faciliter la mise en oeuvre du Plan d’action, dont les lignes essentielles sont annexées à la présente Déclaration.

DECLARATION UNIVERSELLE DE L’UNESCO SUR LA DIVERSITE

CULTURELLE : LIGNES ESSENTIELLES D’UN PLAN D’ACTION POUR LA MISE

EN OEUVRE DE LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DE L’UNESCO SUR LA

DIVERSITÉ CULTURELLE

Les États membres s’engagent à prendre les mesures appropriées pour diffuser largement la Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle et pour encourager son application effective, en coopérant notamment à la réalisation des objectifs suivants :

1. approfondir le débat international sur les questions relatives à la diversité culturelle, en particulier celles qui ont trait à ses liens avec le développement et à son impact sur la formulation des politiques, à l’échelle aussi bien nationale qu’internationale ; avancer notamment la réflexion concernant l’opportunité d’un instrument juridique international sur la diversité culturelle ;

2.progresser dans la définition des principes, des normes et des pratiques, tant au niveau national qu’international, ainsi que des moyens de sensibilisation et des formes de coopération les plus propices à la sauvegarde et à la promotion de la diversité culturelle ;3.favoriser l’échange des connaissances et des meilleures pratiques en matière de pluralisme culturel, en vue de faciliter, dans des sociétés diversifiées, l’inclusion et la participation de personnes et de groupes venant d’horizons culturels variés ;4. avancer dans la compréhension et la clarification du contenu des droits culturels, en tant que partie intégrante des droits de l’homme 5. sauvegarder le patrimoine linguistique de l’humanité et soutenir l’expression, la création, et la diffusion dans le plus grand nombre possible de langues ;

6. encourager la diversité linguistique - dans le respect de la langue maternelle - à tous les niveaux de l’éducation, partout où c’est possible, et stimuler l’apprentissage du plurilinguisme dès le plus jeune âge ;7. susciter, à travers l’éducation, une prise de conscience de la valeur positive de la diversité culturelle et améliorer à cet effet tant la formulation des programmes scolaires que la formation des enseignants 8. incorporer dans le processus éducatif, en tant que de besoin, des approches pédagogiques traditionnelles afin de préserver et d’optimiser des méthodes culturellement appropriées pour la communication et la transmission du savoir ;9.encourager l’«alphabétisation numérique» et accroître la maîtrise des nouvelles technologies de l’information et de la communication, qui doivent être considérées aussi bien comme des disciplines d’enseignement que comme des outils pédagogiques susceptibles de renforcer l’efficacité des services éducatifs ;

10.promouvoir la diversité linguistique dans l’espace numérique et encourager l’accès universel, à travers les réseaux mondiaux, à toutes les informations qui relèvent du domaine public ;

11. lutter contre la fracture numérique - en étroite coopération avec les institutions compétentes du système des Nations Unies - en favorisant l’accès des pays en développement aux nouvelles technologies, en les aidant à maîtriser les technologies de l’information et en facilitant à la fois la circulation numérique des produits culturels endogènes et l’accès de ces pays aux ressources numériques d’ordre éducatif, culturel et scientifique, disponibles à l’échelle mondiale ;12. stimuler la production, la sauvegarde et la diffusion de contenus diversifiés dans les médias et les réseaux mondiaux d’information et, à cette fin, promouvoir le rôle des services publics de radiodiffusion et de télévision dans le développement de productions audiovisuelles de qualité, en particulier en favorisant la mise en place de mécanismes coopératifs susceptibles d’en faciliter la diffusion ;13.élaborer des politiques et des stratégies de préservation et de mise en valeur du patrimoine culturel et naturel, notamment du patrimoine culturel oral et immatériel, et combattre le trafic illicite de biens et de services culturels ;

14.respecter et protéger les savoirs traditionnels, notamment ceux des peuples autochtones ; reconnaître l’apport des connaissances traditionnelles, particulièrement en matière de protection de l’environnement et de gestion des ressources naturelles et favoriser des synergies entre la science moderne et les savoirs locaux ;15. soutenir la mobilité des créateurs, des artistes, des chercheurs, des scientifiques et des intellectuels et le développement de programmes et de partenariats internationaux de recherche, tout en s’efforçant de préserver et d’accroître la capacité créatrice des pays en développement et en transition ;16. assurer la protection du droit d’auteur et des droits qui lui sont associés, dans l’intérêt du développement de la créativité contemporaine et d’une rémunération équitable du travail créatif, tout en défendant un droit public d’accès à la culture, conformément à l’article 27 de la Déclaration universelle des droits de l’homme ;17. aider à l’émergence ou à la consolidation d’industries culturelles dans les pays en développement et les pays en transition et, à cet effet, coopérer au développement des infrastructures et des compétences nécessaires, soutenir l’émergence de marchés locaux viables et faciliter l’accès des biens culturels de ces pays au marché mondial et aux circuits de distribution internationaux ;18. développer des politiques culturelles susceptibles de promouvoir les principes inscrits dans la présente Déclaration, y compris par le biais de mécanismes de soutien opérationnel et/ou de cadres réglementaires appropriés, dans le respect des obligations internationales propres à chaque État.

INFO-ROUTE – INFO-SYSTEME- INFO DU JOUR- INFO-SOURCE-INFO SURE-TOP INFO :

Selon la LOI N°04-38 du 5 AOUT 2004, re la t ive aux associa t ions, associat ions cul tue l les , mutuelles,

commerciales , socié ta i res , congrégat ionalis tes , syndica les , professionnel les et d’ordre ou de part is pol i t iques,

fondations, exclues , «l ’associa t ion» est la convent ion par laquel le plusieurs personnes met tent en commun

d’une façon permanente leurs connaissances ou leurs act ivi tés dans un but non lucra t if ou de non par tage des

bénéfices. En substance, la Sect ion 1 de la LOI (Défini t ion) e t en son ar t ic le 2 , di t que   l ’ «associa tion» «est

régie , quant à sa val idité , par les principes généraux du droi t appl icables aux contrats e t obl iga tions».L’art icle

8 , Sect ion 3 (Des ASSOCIATIONS DECLAREES) précise que   :   «  Les associat ions sont tenues de fa i re

connaît re , dans un délai de t rois mois , les changements survenus dans leur adminis t ra t ion ou direct ion a insi

que les modifica tions apportées à leurs s tatuts , les nouveaux établ issements fondés, les changements d’adresse

de leur s iège social , les acquis i t ions ou al iénat ions du local et des immeubles dest inés à leur adminis trat ion e t

à l’accomplissement du but qu’el les se proposent . En cas d’acquis i t ions, un é tat descript i f e t l ’ indicat ion du

prix d’acquis i t ion ou d’al iénation doivent êt re joints à la déclarat ion  ». NUL N’EST CENSE IGNORER LA

LOI EN REPUBLIQUE DU MALI-«Un Peuple -Un But Une Foi»  ! Peace & Love for ever – love beu-

jeunesse bleue horizon alpha logos act ion+mobili té fondation Amadou et Wade pour l ’emploi des jeunes

(Lettre DNT N°07/086/24 mai 2007/MFPRERI, demande d’agrément et déclaration de recette N°055954 du

24 janvier 2008) . Pour l’ouverture d’un bureau de placement payant, à la caution de 100.000FCFA

acquittée , puis rest ituée, pour f inancer cette édit ion et transformer le projet jeune JBH-ALAM-FAW-OIG

«Mali Sénégal» sous la forme d’association -mère, non plus en organisat ion mère des associat ions créées à

côté d’el le et act ifs sociaux   «JAH Club ATT» du mémorandum de création du 11 août 2002, relati f à la

promesse jeune et plate forme de travai l du Gié CRADIF-BGOM-SA, rédacteur des différents statuts et

règlement intérieur des associations créées , ou restant à créer, ou en instance de création, courant 2008-

2009. Au siège social de la permanence locale . Bamako coura, c ité des enseignants , rue 363x360. Famille

NIANG IBA et VEUVE AOUA, née N’DIAYE (Mme NIANG). Prions pour eux à la TABASKI et leur f i l le

(Mme DEMBELE KARIM), mère de notre frère , (LEYE MOUSTAPHA). Rappel de texte de lois du Mali ,

en coutume et bienséance (Civil i tés notoires indispensables au maint ien des relations humaines et des

connaissances parentales) .KML, votre serviteur (free lance, analyste , chroniqueur, enquêteur, reporter ,

animateur consultant radio bénévole et chercheur en sociologie du développement (en mission

d’ invest igat ions empiriques sur le terrain au Mali depuis avril 1993). 15 ans déjà  !

P O S T E R C A D E A U S O U V E N I R

DORS EN PAIX MAMA AFRICA QUE LA TERRE TE SOIT LEGERE ET QUE LE PARADIS TE SOIT ACCORDE PAR LA GRACE DU CIEL AU TOUT-

PUISSANT MISERICORDIEUX ET BIENFAITEUR CREATEUR, TEMOIN UNIVERSEL !