ecrire le debut ou la suite-cm

7/23/2019 Ecrire Le Debut Ou La Suite-CM

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Ecrire le début ou la suite d’un récit

Français pluriel Production d’écrits CM2 SED

Nous sommes en 1789 ! la "eille de la #é"olution $rançaise% &ouis'Domini(ue a "olé unemallette (ui contient des papiers compromettants%

« Pas un mot, pas un geste ou tu es mort! »

Par derrière, quelqu'un saisit Louis-Dominique à la gorge. On le poussa dans unangle de porte cochère. tou" sous une toile, ceintur", emport", il perdit la notion deslieu#. Le tra$et dura plusieurs minutes. %l ne tenta pas de se d"&attre, sachant qu'il n'auraitaucune chance de s'"chapper. Les chaos lui coupaient la respiration.

nin, il ut $et" au sol, tout "tourdi. On le li&"ra. %l reprit ses esprits, s'assit, it untour d'hori(on, crut d'a&ord que la nuit lui "tait tom&"e sur la t)te. Dense et oppressante.n ait, il se trou*ait dans une ca*e suintante, "clair"e par une &ougie pos"e sur un coinde marche. %l de*inait des pr"sences+ mais ne distinguait aucune silhouette. imulantl'"puisement, il attendit.

Deu# respirations au# rthmes di"rents se r"pondaient. ue lui *oulait-on /u'attendaient ces deu# hommes pour le questionner / 0llaient-ils le torturer a*ant de sed"&arrasser de lui /

1- Imagine un début possible à cette histoire- en indiquant le lieu et l1"poque- en donnant des inormations sur le personnage principal 2Louis-Dominique3

- en pr"cisant la situation initiale 2le pro&lème auquel le personnage estconront" au moment o4 commence l1histoire3

2- Ecris la suite de cette histoire en répondant aux questions du dernierparagraphe

- ue lui *oulait -on /- 5es deu# hommes allaient-ils le questionner /- 0llaient-ils le torturer et se d"&arrasser de lui /

)oici un para*rap+e (ui pourrait ,tre le dé-ut du récit

&ouis'Domini(ue dont le p.re était emprisonné ! la /astille 0 a"ait trou"é dans une malletteune lettre (ui donnait lordre darr,ter un certain nom-re de personnes% l décida de partirné*ocier la li-ération de son p.re en éc+an*e de la lettre%l tra"ersait Paris ! pied lors(ue soudain il sentit (uil était poursui"i% l se mit ! courirsen*ou$$ra dans une ruelle mal éclairée et se cac+a un moment sous le porc+e dunemaison% l prit ensuite un escalier pour atteindre les toits% l sortit par la lucarne et se remit! courir%

Mais soudain il *lissa se rattrapa ! la *outti.re et ris(uant le tout pour le tout il sautadans la rue% Sa c+e"ille était douloureuse pourtant il continua sa course% Essou$$lé ilsarr,ta un moment% 3rop tard 4 5ne om-re se 6eta de"ant lui% 5ne lame -rillait%



Imagine le début de ce récit

5ependant, depuis une semaine, cela ne *a plus du tout entre 6atou et moi. lle meregarde de haut, et "*ite de $ouer a*ec moi pendant les r"cr"ations. 7e ne sais pas ce quise passe. 7e suis triste et $'essaie &ien de $ouer a*ec les autres, mais ce n'est pas pareil.De plus, $e ne comprends pas pourquoi elle se comporte ainsi a*ec moi.

0lors, ce matin, a*ant d'entrer en classe, $'ai eu une discussion a*ec elle. lle m'a toute#pliqu". 5omme $'a*ais in*it" 8elissa à mon anni*ersaire, elle n'a pas appr"ci" car elle nel'aime pas. lle a donc d"cid" de ne plus me parler. n ait, $'ai d"cou*ert que 6atou "tait $alouse. 7e le lui ai dit, et $e me suis moqu"e d'elle 9 mais 6atou, qui d'ha&itude aime &ienles plaisanteries, s'est mise en colère et m'a dit des paroles m"chantes. 5'est la premièreois que $e la *oais ainsi ! Donc, $e n'ai pas insist" et $e suis rentr"e en classe.

8ais *oilà que pendant la r"cr"ation de l'après-midi, $'ai re:u le &allon dans la igure, ce quim'a ait très mal. 7e me suis mise à pleurer et 6atou est *enue me consoler. lle s'estm)me e#cus"e d'a*oir eu cette attitude en*ers moi, le matin m)me. ;oilà ! 7'ai compris que6atou m'aimait &ien, mais qu'il allait que $e asse attention à mon comportement *is-à-*isd'elle, puisque $e sais qu'elle est capa&le d')tre $alouse !

)oici un para*rap+e (ui pourrait ,tre le dé-ut du tete

l a (uel(ues années ! )incennes dans la -anlieue de Paris tout le monde mappelait u6u%En $ait mon "rai prénom était uliette mais personne ne ma"ait 6amais appelée ainsi% a"aisdi ans et demi 6étais -rune et pas tr.s *rande% Ma meilleure amie sappelait Fatou% Nous

+a-itions dans le m,me immeu-le et nous allions dans la m,me école lécole de l:uest%Cette année'l! nous étions au CM2 et nous étions tou6ours ensem-le%

Imagine le début de ce récit

Le directeur qui l'a*ait con:u se rendit compte que son tra*ail de patron "tait tout à ait simple. neet, ce ro&ot aurait pu diriger le commerce seul, sans pro&lèmes. De la m)me manière, il auraitpu couper les che*eu#, aire la compta&ilit", *endre les shampooings...

8ais, comme le directeur se croait irrempla:a&le, il d"cida de le consid"rer comme un emplo"

normal.

%l commen:a par lui aire &alaer les che*eu# du salon de coiure9 mais le tra*ail "tait si *ite et si&ien ait qu'il lui demanda de la*er la t)te des clientes. nsuite, le ro&ot de*int *ite celui quicoupait le mieu# les che*eu# et qui aisait aussi le plus rapidement les teintures9 cela rendit lasituation insupporta&le au# autres emplo"s qui n'a*aient plus rien à aire et de*enaient peu àpeu $alou# du ro&ot.

Puisque le ro&ot aisait tout à sa place, et mieu# que lui, le directeur licencia ses emplo"s etpartit en *acances.

8ais au retour, il eut une grande surprise. on salon "tait erm", plein de poussière et de toilesd'araign"es, et le ro&ot n'"tait plus là. Le directeur le rechercha dans toute la *ille, mais sanssuccès. La police s'en m)la et on retrou*a notre ro&ot sur une plage. %l a*ait tout ou&li". %l a*aitd"cou*ert la $oie des *acances, la plage, le soleil et ne *oulut plus $amais retourner au tra*ail.



Pour t1aider

uels sont les personnages pr"sent"s /O4 se d"roule l1histoire /uel est le pro&lème rencontr" par ledirecteur / 0 quel temps est le r"cit /

5onseils pour "crire

D"cris le lieu o4 se passe le r"citPr"sente les personnagesPr"cise l1"poque de l1histoire

Ecrire la partie manquante d’un récit&i"re miroir CM2 Ma*nard

Perdus dans la 5ordillères des 0ndes

Nous sommes en 6uin 1929% Mermo; et son mécanicien Collenot tentent déta-lir une liaisonaérienne au C+ili par'dessus la Cordill.re des <ndes% Mais leur a"ion "ient d’,tre pla(ué ausol= le train d’atterrissa*e est $aussé et la -é(uille a été arrac+ée%

8ermo( et 5ollenot "taient prisonniers de la 5ordillère à < =>> m d'altitude, en pleinhi*er, par ?>@ 5 au-dessous de ("ro.

L'appareil ut plac" ace au *ent qui soulait en temp)te, cal" a*ec de grossespierres et 5ollenot it l'in*entaire des d"gAts qui "taient des plus s"rieu# ! Bne seulesolution 2car il "tait impossi&le de regagner la *all"e à pied3 C tenter de r"parer l'a*ion.La nuit sur*int alors que les tra*au# a*aient à peine commenc". La neige tom&ait drue etla temp"rature "tait descendue, au-dessous de <>@ 5. 8ermo( et 5ollenot s'"tendirentau ond de la ca&ine, s'en*eloppant dans leurs com&inaisons de *ol. %ls durentn"anmoins descendre très sou*ent, marcher, *oire m)me courir, pour "*iter l'en-gourdissement et le sommeil qui leur eussent "t" atals...

n"ente un para*rap+e

... Lorsque le d"marreur eut mis en marche le moteur, 5ollenot constata qu'unepartie de la canalisation d'eau a*ait "clat" sous action du roid au cours de la nuit. %lr"ussit à &oucher ces uites a*ec des morceau# de com&inaisons enroul"s et i#"s par descolliers. Puis l'a*ion ut hiss" au aEte du plan inclin" que constituait la piste impro*is"e.Le moteur ut à nou*eau mis en marche, il tournait rond. Bn *ent *iolent soulait dans la&onne direction 9 8ermo( mit les ga(. L'appareil acc"l"ra sa course, et, de re&ond en re&ond, il atteignit le pr"cipice dans

lequel il plongea. 8ontant en spirale entre les parois du pr"cipice, il r"ussit à gagner lesquelques mètres qui lui "taient n"cessaires pour ranchir les murs de sa prison.

0u &out de quelques minutes de *ol, il passa par-dessus la cr)te et aper:ut la plainedu 5hili et la *ille de 5opiapo. 7uste à ce moment les emplAtres pos"s sur le circuit d'eau"clatèrent. Le moteur => gripp" stoppa 9 mais, dans un *ol plan" très lent, 8ermo( putgagner sans encom&re le terrain d'at terrissage.

Didier Daurat Dans le "ent des +élices >d% du Seuil .



Ecrire la suite d’une nouvelle

&e dra*on #a /#<D/5#? Bn remède à la m"lancolie @19A8B

Le *ent de la nuit aisait r"mir l1her&e rase de la lande 9 rien d1autre ne &ougeait. Depuis dessiècles, aucun oiseau n1a*ait ra" de son *ol la *oFte immense et som&re du ciel. %l a*ait une

"ternit" que quelques rares pierres n1a*aient, en s1eritant et en tom&ant en poussière, cr"" unsem&lant de *ie. La nuit r"gnait en maEtresse sur les pens"es des deu# hommes accroupis auprèsde leur eu solitaire. L1o&scurit", lourde de menaces, s1insinuait dans leurs *eines et acc"l"rait leurpouls.

Les lammes dansaient sur leurs *isages arouches, aisant $aillir au ond de leurs prunellessom&res des "clairs orang"s. %mmo&iles, era"s, ils "coutaient leur respiration contenue,mutuellement ascin"s par le &attement ner*eu# de leurs paupières. 0 la in, l1un d1eu# attisa le eua*ec son "p"e.

- 0rr)te ! %diot, tu *as r"*"ler notre pr"sence !- u1est ce que :a peut aire/ Le dragon la sentira de toute a:on à des Gilomètres à la ronde.

Hrands Dieu# ! uel roid ! i seulement $1"tais rest" au chAteau !- 5e n1est pas le sommeil C c1est le roid de la mort. I1ou&lie pas que nous sommes là pourJ- 8ais pourquoi, nous / Le dragon n1a $amais mis le pied dans notre *ille !- Ku sais &ien qu1il d"*ore les *oageurs solitaires se rendant de la *ille à la *ille *oisineJ- u1il les d"*ore en pai# ! t nous, retournons d1o4 nous *enons !- Kais toi ! couteJ

Les deu# hommes rissonnèrent.%ls pr)tèrent l1oreille un long moment. n *ain. eul, le tintement des &oucles des "triers d1argentagit"es, telles des pi"cettes de tam&ourin, par le trem&lement con*ulsi de leurs montures à laro&e noire et soeuse, trouait le silence. Le second che*alier se mit à se lamenter.

- Oh ! uel pas de cauchemar ! Kout peut arri*er ici ! Les choses les plus horri&lesJ 5ette nuit neinira t elle donc $amais / t ce dragon ! On dit que ses eu# sont deu# &raises ardentes, sonsoule, une um"e &lanche et que, tel un trait de eu, il once à tra*ers la campagne, dans unracas de tonnerre, un ouragan d1"tincelles, enlammant l1her&e des champs. sa *ue, pris depanique, les moutons s1enuient et p"rissent pi"tin"s, les emmes accouchent de monstres. Lesmurs des don$ons s1"croulent à son passage. 0u le*er du $our, on d"cou*re ses *ictimes "parsessur les collines. 5om&ien de che*aliers, $e te le demande, sont partis com&attre ce monstre et nesont $amais re*enus/ 5omme nous, d1ailleursJ- 0sse( ! Kais toi !- 7e ne le redirai $amais asse( ! Perdu dans cette nuit $e suis m)me incapa&le de dire en quelleann"e nous sommes !- Ieu cents ans se sont "coul"s depuis la nati*it"J

- 5e n1est pas *rai, murmura le second che*alier en ermant les eu#. ur cette terre ingrate, leKemps n1e#iste pas. Ious sommes d"$à dans l1ternit". %l me sem&le que si $e re*enais sur mespas, si $e reaisais le chemin parcouru pour *enir $usqu1ici, notre *ille aurait cess" d1e#ister, sesha&itants seraient encore dans les lim&es, et que m)me les choses auraient chang". Les pierresqui ont ser*i à construire nos chAteau# dormiraient encore dans les carrières, les poutres"quarries, au cMur des ch)nes de nos or)ts. Ie me demande pas comment $e le sais ! 7e le sais,c1est tout. 5ette terre le sait et me le dit. Ious sommes, tout seuls dans le pas du dragon. ueDieu nous protège !- i tu as si peur que :a, mets ton armure !- 0 quoi me ser*irait elle / Le dragon surgit d1on ne sait o4. Ious ignorons o4 se trou*e sonrepaire. %l disparaEt comme il est *enu. Ious ne pou*ons de*iner o4 il se rend. h &ien, soit !Ne*)tons nos armures. 0u moins nous mourrons dans nos *)tements de parade.

Le second che*alier n1a*ait pas ini d1endosser son pourpoint d1argent qu1il s1interrompit etd"tourna la t)te.



ur cette campagne noire, no"e dans la nuit, plong"e dans un n"ant qui sem&lait sourdre de laterre elle m)me, le *ent s1"tait le*". %l soulait sur la plaine une poussière qui sem&lait *enir duond des Ages. Des soleils noirs, des euilles mortes tom&"es de l1autre ct" de la ligne d1hori(on,tour&illonnaient en son sein. %l ondait dans son creuset les pasages, il "tirait les os comme de lacire molle, il igeait le sang dans les cer*elles. on hurlement, c1"tait la plainte de milliers decr"atures à l1agonie, "gar"es et errantes à tout $amais. Le &rouillard "tait si dense, cern" det"nè&res si proondes, le lieu si d"sol", que le Kemps "tait a&oli, que l1omme "tait a&sent. t

cependant deu# cr"atures arontaient ce *ide insupporta&le, ce roid glacial, cette temp)teeroa&le, cette oudre en marche derrière le grand rideau d1"clairs &lancs qui ("&raient le ciel.Bne raale de pluie d"trempa le sol. Le pasage s1"*anouit. %l n1 eut plus d"sormais que deu#hommes, dans une chape de glace, qui se taisaient, angoiss"s.- Là ! 5huchota le premier che*alier. Negarde ! Oh ! 8on Dieu !

Invente la suite et la rencontre avec le « dragon »

La suite "crite par l1auteur

plusieurs lieues de là, se pr"cipitant *ers eu# dans un rugissement grandiose et monotone C le

dragon.ans dire un mot, les deu# che*aliers a$ustèrent leurs armures et enourchèrent leurs montures. 0u ur et à mesure qu1il se rapprochait, sa monstrueuse e#u&"rance d"chirait en lam&eau lemanteau de la nuit. on Mil $aune et i#e, dont l1"clat s1accentuait quand il acc"l"rait son allurepour grimper une pente, aisait surgir &rusquement une colline de l1om&re puis disparaissait auond de quelque *all"e 9 la masse som&re de son corps, tantt distincte, tantt cach"e derrièrequelque repli, "pousait tous les accidents du terrain.- D"p)chons nous !%ls "peronnèrent leurs che*au# et s1"lancèrent en direction d1un *allon *oisin.- %l *a passer par là !De leur poing gant" de er, ils saisirent leurs lances et ra&attirent les *isières sur les eu# de leursche*au#.

- eigneur !- %n*oquons on nom et on secours ! 0 cet instant, le dragon contourna la colline. on Mil, sans paupière, couleur d1am&re clair, lesa&sor&a, em&rasa leurs armures de lueurs rouges et sinistres. Dans un horri&le g"missement, àune *itesse eraante, il ondit sur eu#.- eigneur ! 0e( piti" de nous !La lance rappa un peu au-dessous de l1Mil $aune et i#e. lle re&ondit et l1homme *ola dans lesairs. Le dragon chargea, d"sar:onna le ca*alier, le pro$eta à terre, lui passa sur le corps,l1"cra&ouilla.uant au second che*alier le choc ut d1une *iolence telle, qu1ils re&ondirent à trente mètres de làet allèrent s1"craser contre un rocher.Dans un hurlement aigu, des ger&es d1"tincelles roses, $aunes et orange, un a*euglant panachede um"e &lanche, le dragon "tait pass"J- Ku as *u / cria une *oi#. 7e te l1a*ais dit !- Qa alors ! Bn che*alier en armure ! Iom de tous les tonnerres !- 8ais c1est que nous l1a*ons touch" !- Ku t1arr)tes /- Bn $our, $e me suis arr)t" et $e n1ai rien *u. 7e n1aime pas stopper dans cette lande. 71ai les oies.- Pourtant nous a*ons touch" quelque chose.- 8on *ieu#, $1ai appu" à ond sur le silet. Pour un empire, le gars n1aurait pas recul"JLa *apeur, qui s1"chappait par petits $ets, coupait le &rouillard en deu#.- 6aut arri*er à l1heure. 6red ! Du char&on !Bn second coup de silet "&ranla le ciel *ide. Le train de nuit, dans un grondement sourd,

s1enon:a dans une gorge, gra*it une mont"e et disparut &ientt en direction du nord. %l laissaitderrière lui une um"e si "paisse qu1elle stagnait dans l1air roid des minutes après qu1il ut pass"et eut disparu à tout $amais.



%mage R

cris la l"gende de l1image 2l1id"e principale3

Invente le début de l’histoire en t’aidantde l’image

I1ou&lie pas de pr"ciser

- le personnage principal- les lieu#- l1action 2ce qui se passe3

%mage =


Raconte ce qui s’est passé entre l’image

1 et l’image 2

uelle relation a t-il entre les deu#personnages /

Dessine une des actions.

%mage ?


ui est ce personnage /

D"cris son attitude.

Invente la fin de l’histoire

Ecrire une histoire logique début! milieu! fin"



Ecrire la suite d’une histoire <llons -on 4 ?a #i"ais &école des loisirs

Kitre C

5hlo" a*ait d"cou*ert un $eu amusant. lle s'"tait assise au &ord du trottoir et regardait passerles gens. Sen$amin se tenait auprès d'elle. %l souriait largement, ce qui, en raison de ses dents dede*ant tom&"es, lui donnait l'air de Dracula. Des gens passaient. Sen$amin toucha le &ras de5hlo" C T;as- ! 6ais-le !T 7ustement une &ra*e dame passait a*ec son petit gar:on. %ls se donnaient la main. La damea*ait achet" une glace à la pistache à l'enant et elle lui disait C- urtout, mon ch"ri, ne tache pas ta chemise &lanche.- Ion, maman, r"pondait le petit mignon en su:ant sa glace. Sen$amin secoua le &ras de 5hlo" a*ec impatience C T;as- ! 6ais-le ! On *a rire !T 5hlo" se d"cida. lle se mit à loucher très ort, elle "tait areuse. Puis elle "tendit les deu#mains droit de*ant elle en r"citant par cMur cette $olie po"sie du U;%%e siècle C

TPlou ! Plou ! Natatouille !8"lange-moi ces deu# andouilles !T

5omme *ous pou*e( *oir, c'"tait un morceau d'une grande qualit" po"tique 9 mais ce qui est pluscurieu#, c'est que 5hlo" maintenant croisait ses &ras tendus de*ant elle et les tournait l'un autourde l'autre à toute *itesse comme un petit moulin. Sen$amin assis auprès d'elle, riait d"$à sous cape.8ais qu'allait-il donc se passer / %l regardait la dame et le petit gar:on d'un drle d'air. 0lors 5hlo"a&aissa ses deu# &ras et il se produisit une chose inattendue !- Qa marche ! s'"cria Sen$amin en se le*ant d'un &ond et en &attant des mains.

u'est-ce qui marchait donc /

Nomme les personna*es%

#ésume oralement ce (ui se passe%

3rou"e un titre%

Ecris une suite en (uel(ues li*nes en répondant ! la (uestion%u’est'ce (ui marc+ait donc

ecrire le debut ou la suite-cm

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