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M îf'ff !j'{j -'îi'Bt© ’fjO fclÆ; •<'' ‘/ û ‘>.ijr*jui/ liW .M P^ll US pj^M nUHt m.4» t , . . M.k- ' ’i:. Umn ................. Itlir Bit M b . r ; . . TràÜBMb. .... 4 i t JI p RUUGnttlR .KN B. eOUjUtriBiti^ ' PROPnitTURK«HUIT B. PA.YEN. ijr-v. -■ m .'lH '' P JIH W I^ j lllMllll! A«i» U.#mM ■i k l'apiMlMiw , *%IM, I fr. àgBNUliWBwtHd» raient M. ‘^ ie n de dormir! It-tKrtueenilMÉiit-ÿioBHaiit que B^. T h iers 3 ' ce réniltât. En reranc^, les hommes odérés'dela Chamhra ' bnt Visir dodi»:' it^rné. Ils M.dçn^andent, non s^^qqui^, tyide» où itou^ A l'abf^ t p^i^t tye. Entouseas, ces komme^. modérés* s’àiai^ept aiijburd'tiui* auront* plus •< f « ’tô w 4 cpndurà. ' PbûrqUpi Icn conservateurs. sont4ls qiib'lëi' sfmldée* paroe^qU'U n'^.a pan de majorité cbnsénràtHce fpiiement constituée. As^ siirén^ept,'-il T a uqe ma|pltitf, d ^ i qn s’éteilt trompé ; on avait trop compté sur son esprit d'abnégation et de dévouepQ^ ; nous avions pris nps AroecasionideJa loi'iniUtaire, comme é l'^occasion de la liâ sur lès matières pra' mi^ifès* M. ‘^ é r s à mfs le marché. main à rAssmohlée»Ja cpndamnant.à subir.^sa volonté oid &jetf^ lé pays dans le désàrroi. vistôlra lui échap- podtiiül PUSifmndaimoyenm; étunfait pèlpableauii yeuu deilaFranee.; aux^moyèps infaillibles: « Si vous ne Vdlçà desidi^çonunudM^ elle n'< lidrariâef .VjlCraq ’aiis, c'est.épmpldre tidhstable* dnchefscertains ; en unm dt' on à laisser: Et voilà comment qn mène. unqAsRffPWéa.qm, rfprésente un grand ^S^Utiepl Thiiùm est assurément un grand patriote qui aime la France, à bà' manière* qiii n’âpas dnplùs.ardéiU. .dé(ûr que ide .la sauver*-mais qui tient-à-la- sauver sut* vent ha,H(^nMié* Mets alors, à quoi dpné sert une A ^m blée! A quoi sert de diS' cuttf! Le grand discoùra'de samedi était pakMtçmtmt inutile. M. Thien pourrait •e’ljil>m«r.l.iBfoiit.r * 1« tribun» »t k mettre l'Assemblée en demeure de vot^ tdiftbb teUefloi,^ sOuS pcUè de un aütre président. «Xaites ce veSy£,q.u jé,ip>P vais* ^ ep. je liimelepays à l'anarchie, en des Prussiens. » 11 n '^ t pas iMsoin d'au- ^ argument; c'est clair,, commode* Irailc et e x ^ itif. l»a Chamtue. eontgis- tr«eeil.<lfcrotmnent lea idées de M. Thiers. Jes ttiiories'de'M . 'Thiers. les tnanics t f e , « p»l#«. I»,. nlu» .^(Uirüin du mwd» sou. le régime lé plus personnel possible.- . HrdiH|qu'4 touft instant .nous sommes à h^i^Hé-'dè.ydir ainiiKc gouvernement ftotWr'«i.l>MWd ! niro qu», deniite pareil -dissentiment peut éclat«^ soi^Wuibrà apr la loi militàire, soit sûr- toàfifcàufccafl'ùràtinÀlll^ contiancerenait* Wnil^A •'u'Trjrfr'ni T . awMtait .Ml T h k m il yA<lofll4oo« joorp:^ C iljf^ h p(MUe; mais il faut avouer uc-|Mi«w<oinlKr.iapii||i,t9y.i,c«,.chQ<. iiirfrtlnifti ' «eïW i.d e w o r. ly w w s A.->WWiei m radfctl^tieiNrtrdjan.rndicidt l«.Snmme;U0 . radical trioti» :,.d«At Jtooisagb es^icommo' •f'* poipi iipposer;^ yués au- go^yeipemept et prnir- 'ralUer, dans.. ht, payn* tous. les. lijoinmes pièmsde bonne’Volonté* ihais héÿi^t^. YoM UOtUd-quiM#. I>*y», quiumsad»#, coDsèi^ateurs; otms quai Ud coaseriùa* ‘'•W p. w p tw 'tflv , T p p i i p . q K ' î ’^ Qu;il.,. uw>./ .^.!,»rogrwW»Sr •’ifB if4,i bien défini* bien clair», On, nu 'votci pas., polié.ce|qu'on né connait-p^.-oü-poùr 'ce'. qu|pn.ne,sa^it comp^^n^.e, ' ' ...... ' Or, ce progcaroroe, Ü n’est pas.diffiwtei à tracer ; cette unionforieetiécoiide^ ellé' serqit.^j^ér si , oq^ lé d^i|râ^|' uni p«u.. Que veulent- les. hommes modâvésidu: Cent^. diroit et dti centre gauCbe?'TIs vénleqt sauver la.Fraqiçe en.la r^rgpiw^,, sant, défendre l'ordre social, contré! les. attaques des radicaux^ inrotéger la liberté parl^inpntaire contre le^s p.réténtjàpà',4u.‘ -dcapptiwme. - QUe-leur manque*t>il- donc. pour, s'en tendre! il ne. leur manque qne d'essayer. h y u un.àuqU^jà', it!g<*dital Cbqwk a dit le motdeila situaticm }*:{! o tràoé Ja politique des hommes sans préventions' et sans parti ÿr>s. qui n'écouteqt .que l^qr instinct.et que leur patriotismei» er^rn (^nisàtion du pays par des institutions libérales, etes^ i loyal.de là 'Répÿbl^ue^, conservatrice. >■ Il n'y a qu’àouvrirjlesyeux. pour voir-, la vérité. La-vérité, c’èàt<'quç léali^ti- , mhtes, ne, pardonneront. ja,r!HMR; aq ,éuc d'Aumale sa glor^oation du. drapeau. tricolpre ; la vérité, c'est que les ortéà- .jàmç^ le . drapi^u blanc; la vérité, c’est.que-,nii les .légiti^ mistes, ni .les. orléanistes ne sont- 'eU P W , fews, ^IH tn ri.V ï suit !»;»«,«(#,d*|(,ri«riï*. irM^'ehfln^'c'estrquéu lc’>pmti ^mith' àanikikus NfdàWE çpé9W-l,Wi par l’autre,, la monaMbie>.estj Cest donc sur le terrain de la"Répd< ' Inique que le centre droit et le centre muciie doivent s’mkir ; entehàohàrnoiù^ w le tennin de la République préeervi^* C^çe* dont; ,le> nom serait Ip sjnon|ine* don pas de convoitise, d'utopiel d'agi^r tjon ou de convulsion stérile, mais ide r^ Mration, d'ordra^ de travail et de gran- mur nà’ tionale. ' ' ‘~ P ar le seul fait de son existence, cettM luiion serait la meilleure garantie cOntTe mut im pi^u, que cet imprévu soit une ^m i^on toujouri suspendue kur dés Lètéë, ou uneinort qui peut noussurprei^ Ire d'un jour à l'autre. ! Elles serait aussi'lia meilleure garantie mtre leà entrepriSéS des radicaux* ën idnissanttotis les cëhseivateiiraUbéradx' r'Ia France soùs un métne diapeail, ihs qn but itommim* pour le ti’idmplhe l'iïn p r o ^ m id e èldii‘’eli défini. éMd'heàùdbup pàrié'dë iW bd: voilà si^riÜëble fil >iob* la seblesalutairéétfàr- ifiantei la meilleure parce que c'est là [eùle'p^ible aujourd'hui. I l^h.dehors de cetté'fuslon, il n'y à plus iue confusion. ‘ ' - E. Courtier. ECHDS L'articlo S7 est volé ; c'est entendu. Le seri- ëico mUitaii)o sora de ejnq opa P0 ur|a m<^é. du conllDgen^ et' de mi an! ménié de six ihols* pour l’autre rooilié.-'' - { M. Thiers r« voulu; la'Chambre a cédé. Nous aurons -les exceptions; les'dlspenses, m |«m pl^m ent dégyisé, et tout cq qui s;en C'est une loi bâtarde. Bnflà^ eUeoat votée.- tmlse à neuf; repeindrnin*eslipaB: rajeunir. Elle est vermoulue soue sa coucbe.de dnture. MM.' Deregnecourt, Beii et Barni sont - M- Bert fut, aux derniers jours de la dé fense, le préfet de U. (^mbetta, à Ulle; M. Bdrni étdit l’ancien fournisseur des bulletins de victoire à l'usage de la déléga tion'de Tours. Les votes sont donc significatif. M< Bjçrgerot, qui s’était déclaré en faveur du gouvernement actuel. MM. Lejeune et javll, qui sont républicains modères, n'ont pas été élus. Ce n’est pas seulement la monarchie qui a ôté battue; c’est la république libérale et Conservatrice. Jej rie que les radicaux de l’extrémo gaudie ne ae moqueront plus avec tant d’m<deuk> deb malheureux ruraux. yaiehl aàsiàlbr à la prochaine inauguration du monument'érigé au bdron de’Ste'ln*dans la villa de- Nàsàâu! Les journaux Allemands commentent 3tte nouvelle à laquelle ils attachent une inde importance. )n ÿaiLeti effbt^que lo.baron de Stein, mme irétat’ étoiment au ' Servicè' de là le, dont M reforma l’administratibn, . ta iM enpeinis les plus redou- ibles de la France sous le premier em-- sujet, les iouniaug étaélànt les msd’iine triple alliance dela'Prusse, lie l’Autriche et de rltéllè, qui serait la nr eil- leure garanUanlé la paix Européenne, parce hu’elle aurait pour effet de renfermer etroi- sment et de conteRirüdànbi.àea-Unites la rance* toujours ipmuante, ambitieuse et nvahisHMiif - : Envahissante* hélas! Cette moquerie est yrahnefit kplritüellér I Envahissante, In, France* quand elle est epcprq^ envahie t ^ Voua vous 1^1 j compte atee _____ qeauX} prétendait réfora at le rubener aux idaBi églhe.--.'-'! lier aoiie'oe titre-pUéchant 3 Les MpaMrta <FitnE0éeAé. Le tribunal de B<mleaux vient de le eon- damhMKpoàkioMtrageiii là'morale.publiqüe; à deu]^ aqàjde pripoa.el à 3*^.,foapç» d'ar Aude. » Encore ùa martyr. )S hottoMi, «sses dohnrimis aujoniti’liui; .. ------------- . ------------ .... a^je^teïnè;la f.ÉLP5!œ ui, pmtvj j o u i ^ t e de la renomma qhemltt Veniu* vnàms pàT Verse. iiihs, ehefojh'^de^ira^ Un réformateur, condamné pour avoii; éoriFtoraiiMalfoMürier/' -•— 'i^ pjféparaMon à.la rôfor- j Andrieux ëe complique. On espérait que la démission donnée par ^e-^qmisljral tera^erajjL toqte. diflhmitéi lisais il q’eq est neii. plttsienrs dtoutBà, eneffet, ont foit remar- qui^au minisuteide la justice*, que.-si .une, profession d’aUiéisme avait été publiquement n ie par l'ex-procureur de la République, ée -n^étmt pas d unSi^lriiaftwifonqu'il s’a g iss a it “ Î K e 1 & ^ ^ if â 3 té k prétendent, il est vrai, que pour indemniaer. M. Andneux de ' eé éerâit bien-àxlraprdinaire. Mais nous avons déjà vu tant de choses, et tant de gens, qui chassés parla porte se hâtent de rentrer par lu fehôti'e! . que vbin'ile savdX pas «u’eat>,devqpu le.gépéral.dOile Commune'! Cécilia. La Cécilia, en sa qualité d’italien, est doué d’une très-jqlie.voix,! il chanté en ce moment l’opérà 5dria A la Nouvelle^iiéans. ' ' Ce qu’il p a dé oomiVfe, f’eat que Tlmpre»- sarlo mit mettre éur l’affiche en vedette : « LéMléd’é Ruiêrt'iséik âiaritê pé'r fëpd- fidralTLaCéietlia.--*.-'; Toü^lnàt^'s'cAfaM dira* ces coinmuneux. ; On se préoccupe déjà, dans les cercles politiques, de l’époque àlai|uellé l’Assemblée prendra ses vacances. ^ u x dÿtes sont en présence : le 15 juillet La derniérâ nmm parait préférable. 11 fout régler le^udget de 1873; ,1a loi mi litaire prendra encore quelques séances; mais, cette loi Votée, passons, vite au budget, le^nspira- tions présidentielles sont connues^ conseille |S » 'ï & 52e'rlS «”r '’ Noua aimerionë mieux moins, de brus querie et plus de réflexion» surtout sur le budget. : Rién-ne serl^de courir; on s’expose alors à fairp des feux pas pour arriver au. but. Le résultat le plus clajr de la séance de lundi et des élëcuons radicâlrà sera peut- ébe dé feelliter l\iAfon du oentrè droit et dn ) gaqplie, a.ëàce ipomeni un courant dans le des forcescon- mtce gaqriie, llya.ëàcei. sens d’àné-réniifon servatrices. ! ' On parie d’un programme rédigé en nopudun» Ûn demanderait : 1* La proclamation de la République. La nomination d^ùà Tiëe-prèslaent. »?Uo ------ V 4* Le rënpuvellisment partiel d» 1A»« sèmUée nationales I M: Casimir Périer se ferait le promotenr de l’alliance. Le jour où cette m ajnt^ ffitiàte^tj étj ië sêr^t.mhfo ÿaeqqid, sui; te nooÿ d uq .vtc^ président, Ni. Thie^ serait moins,prpn^.à obnnersa démission. ’ Si,1a si^iùtiob arit^Hn putée, puiMit»- teur'i aanlai isterailà approuver tonjonr* aérait bien plus simple d’achqteir. uqe - làachine à voter. où. Garibaldi dévoiloi enfin sa^. > Cher Ferrera* , NteB!id»8 éBil»»e. , le8 4 '|fll^ ,J 8 mràgUf . n'»v«8»,rà8 élé votrâ cQiQMàttota. dEA orieùéé défense de Pons; « Tontà'vons* • Gànfeiôlg.. • i Pourquoi donc .le héros a>t»il- refUàé ^ parttcip^^ceUe défensaen- Iprsqt^ëlltf estait encorê qudquies dibif Æ ar'SisaifîM n'-i des courâes. on cdmmentait cette attitude Ml Thiers. reste, debout pour prouver.' q^iH n’e s tnas feUguôv E— P a r a ^ c’est, to.^t.eiippléntent, PënT, iqdiquqr que sa République n '^ lp é s ëlipora ' : x. ï. ï. m ;. T ’H IÏB »»; 1|T LK SKRVICE OBUGIIUB . Un cKèf-dTtèùvre et une merreillè. Lcj chef-d’cquyrf,- c’pst Iq dinçpprs de M. Thiers, discouraioi. ipgéoÂeux, ai bari bile; si lumineux*'meaé à travers des-dU fessions vobitfes, avec tant de màljçe 'et tant.diart; ici,,l‘art cpnsiste m iil^t A se dissimuler et- à faire écoutersansefEorto ce qui semble avoir été'dit sans j^iife. Une merye^e*.,ç’éj^.'M. même*.alerte,,allègrù, infatigàUih-.iwiA de sève, tour à toiir familier et; m ôiida^ ’ bonhomme et épiiqde au besoin, prêhànf ' tous les tonà.ettoutes'les attitudes, mais restant.malgré ses transformations, toUr jours le M. Thiers que l'on connaît, jeune surtout,, tellement jeûne que, lorsqu'il rencontre un vieux lieu conarnup yur sa, route,' il trouve le moyen de le rajeunir en lé touchant. Enfin, disons le mot : M.- Thiers est resté égal à lui-méme. C'est plus court et cela nous dispense de tout autre éloge. La part faite à l'admiration, arrivons aux idées : Quel est le système de recrutement pré féré de M. Thiers ! 11 a prétendu qu'avec un contingent de 100*000 hommes par an, en retmirat les soldats pendant huit ans sous. les dra peaux, la.Frazice avrait, Tannée la plus forte et la plus solide de l’Europe. C’est- à-dire que, sous prétexte de défendre la loi de 1872, il a plaidé la cause de la loi de 1882. Il est bien possible, après tout, que cette loi de 1832 soit suffisante et qu'elle ait été si sagement Conçue que, même après quarante ans, die n'alf pas>l détre modifiée. H. Thiera Ta affirAiàt- destyn^homme d'expérience*-qui'a<ra*- ' conté les campagnes de Napoléon jcb- • reçoit, ainsi qu'il Ta dtelaré, denxi par. mois, les confidences de tons le* de l'armée; on serait compétenfi.i, moins de frais. Donc la loi de 1832 esfei . 'Comment se fait-il alors qüe*. sons . IVmiùred» cette loi pai^ite* nous ajmo* . éjtAd.bien battus par la Prusse* qui adr - , m ^ le service obligatoire pour tous ! ... ; —I*araison en est bi«a8im|ilt*répfNld.q ]|l;.'nüers. Nous avqns été battus pAQ}q f* que.nousn’étions pas prêts. On a déd*ilf;p là guarre;trop précipitammént* Eurar« attmdre, trdner les, négpcj^plMI.o ^ettdantideux mois. En deux m oix,|,no^j Augiops été prêts. , j . j £klL Admettons cela. lm Fran«ç im}^{j.;. ^ p ré te en deux mois. hfMà |«otiï^$nlni a-tril suffi à la Prusse de 20 jours, pmiÿr,. passer la frontière du Rhin et, ppurqiv^: * aurah-41 fallu à la France 60 JowT*rf|Ow, river au même résultat? S'il nqusirfMtt;. jours pour foire ce que la Pniq^ fffjft lire en 20 jours* notre systènqe* .sj. admire ^ mbie qu'il soit, est donc mmas pswfipÜii queicdui de la Prusse. . . - ^ IL Thiers se. contenterait aisémtPt.dÀ:-. C|M>iOOO:hommes» C’est un-beau; qhift*»i.: Ijlaia si de 800*000 hommes, on retira IfA^. troupes laissées en Algérie, daâfijqfo*,..,; polonies, dans . les places fprtcs,,)es.feMRu8 valeurs enfin, on est réduit bieittMdtIk. de 600,000 hommes. C'csI 44iko. noins beau. 600,000 hommes en rffftrttT.- ['un million,—la Prusse peut mettre aisé- lent un million de soldats sous les armes la différence commence àêtresenublè. Aujourd'hui, n'est pas à yention des armes de iqréPàion r, quoi <^'on,en dise*le à tir ëfhgpfié a ^ l u ^ p n t lesço^li^ aariennesdeia. s^téÿé.:. jpé ; n W h |8B|èi: par des ottaques-de vive-fbixe* dra>îMMbpsi; de main hardiment menés.qu'od ' je succès ; c’est par des des concentrations, des', inv) toutes opérations qui exigent lé namhMü * Le nombre a pris l'Importance q^fovift", autrefois la qualité personnqUei dra») soldats. M. Thiers préfère les bons batâiltoi^’i aux gros bataillons. Mais Tidié^, cq, serait d’avoir de gros bataillons qat>) fussent en même tempsde bons batailIcM.^ Or, on n’a pas prouvé, et M. plus que personne, qu'il est impossible de- foirà un bon fantassin en trois ans.' 11 faudrait huit ans, selon M. Thièry; Mais comme il a désespéré d’obtenir huit ans, il a accepté les cinq ans que-lai. offrait la commission. ^ ' Cinq ans. Vous voyez le grand résulte^, Le budgef n'étant pas assez riche pour qu'on puisse conserver tout le contingent" tous les drapeaux, en renverra 'TOdOO ;■ hommes au bout d'un an de service et on gardera les 75000 autres pendant lé*- - cinq ans demandés. fi*r - DiXWBi.- «W.-tîPHRsfflÇ, pw» ' l’arma • . maia dank, une-, au^ft. pife admirer rw Francis tomber elle, tout couvert le poursuivant le ".l</taÂiain, elle se sang, et révolvererin hurla : . A Tasasilin ! à Tassassm 1 ' A ses cris, deux ou trois-.bomoies ac I m m t. Monit ; Untélégramn|é(pyéAétttt.fojrqtppr,.d||; iVnUiam Morris; ce tél^ràniAe lacb^ * [ue, adrëàtA'd mrJÉDâesJ portait iees Vmots i: à Nous sommes vriigés; !nranéhrvtt MutAtre encore* Ftime fh s h s lrâ ; V raoei g^deAEdithi. » >lMtth> était scMir fumsUe dé Flavic, ifit Aon* AvbnS'ràeonMIa naiséance en < ffine tempiqtte nouà'riiildns Imi'càtMs jlàfÂlieet dè"i* mort’d«i leur: fttiu>verrohs pliis' taëd que la IVdiCb ne devait p«* ’étie moini ' bells dësa jumcHn' n N DE LA PRXMlfeRB DlVlStOK DEOKiÉIfSiPIVISION ÙL SŒUR DE XJh rOLLBv t poche M«n,i M m aa — A qifolle hëure parti* malle? — ’OàAs ùbe heure* sir. — ^mbiM .lii^pe! ; —. o l l ^ ^ e ^ u m ^ 'e à t furieusement Ichef!-'^' ' • — Cest le prix. — Fort bien. Voici mille dollars pour mon ami que vous voyex assis là4>as et pour. moi. Biais, bigre de bigrel. c'est salé! — C’est, à prendre ou à laisser. — Je le vois. Àh! Encoiv un-root, Tami; où donc est Tcscorte que votbe. gquyernem«ht , s’engage ,à fqura^ sxijt voyageurs et qui. doit nous accompagner et nous protégé! ; —' Elle nous rejoindra à Junction- dHy. L'homme qui,pose cette série de ques-, tions n’est autre que notiA Vieille eon- nefissance le peintre Stanislas, le nevajt , du savetier. Bloyemloux* et, Thpora.^ ivient de lui répondre est un .emptpW de, la malle-poste nationale des Sua&Unià d'Amériqué.- Ai-je besoin d'^outtri oim' cet employé* assez brusque,n'«pMti|4péi La caSquettbd’bn'ynnkeefifitoofps aved son m utre; elle est rivée sur sod criùw* la tète, il ed 8brt sanfe plus >ae> foçdno'y eut-U des daméfe.abeohimeiri co0 UiM]tàft il. Je connais nombre « cheni^e c^nais nomi^raâ% FlAdcé,' TaAcicK'pàys’dè Tifmàlfi singent ces «aut^ra». LaiB«èiw,wi^qHiLnQÿF7fflPW quisser se passe donc en Amérique, dàns I ouest, au milieu d'une mauvaise boiDN' gade àppàlée Wëùnqgb. c'est-A*‘dira> là fraîche ^raMPce*. prahabl«meptiP*rmMià( frotitim ' des'état*' dtf iCaniMs e« du Mis^ ' soÂrii Stanislas reprend fSB questions» — .Où.estThommoquidoU nous con- - duir«!d«iMndùrttM-v^ t Une sorte d'animal, qui tient Vours que de T o r^ des bimaiM, ratfül du fond d'un lourd véhicule, et grogne cette réponse avec fine humeur mar- ' quée: i. — Je suis le gentleman condud Crt. ènfèmt Touest, .Wràjfâ porté sur sa.têttf'un bodnet dé ** faiit ràdpëUè lesfletAoûc^tis 'di dièrede là. gat^ë nbtiom^' ^ n ip p e ; ses jàmbeà'àbnt Û _. d'éÂÂmes bbttes, et, à ëà |un gros révolvet- de'CijH àceniUAI Xemble howie-knife, ce liç*^-^-"®* icaTabipise que le rude' elp manié avec taht dë dëxtéftil.,' — Où est notre.v^ture!‘idemà|i^'j)é' V Lé cbnductepr, jmontre june sérte _ dé npm,dànà aucui qUë lès .-^nriCdins déCdùint' ^ m ^ t dù titré dé iAâ1Ië>pâlrA^ it il 'ësT tellem'ént' bdditfiviit*^ isétilblé: au' prrtnier hbOM?' bM impossible d'y introditirë^VbVâl JtdfilTerAh Jnislfaset sbricapL.., __ trançàls 'mànte :ëdt ' le ' mart, —'M n! deux ■ de plusl — Hein! Rien. Je ë I> condilrtènr àqontra albrs âStatidhÉ - son camarade'assis à T éc^‘W mcS'Aïadrieirs, et qui aetiB» Ittim ® '!* t<m;içërqnl paWmAWbAéBe' (Laêuiie au prochain miméra).

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3' ce rén iltâ t. E n r e r a n c ^ , les hommes o d é rés 'd e la Cham hra ' bnt Visir dodi»:'

it^rné. I ls M.dçn^andent, non s ^ ^ q q u i^ , tyide» où itou^ A l 'a b f ^ t p^i^ttye. E n to u s e a s , ces komme^. modérés*

s’à ia i^ e p t aiijburd'tiui* auront* p lus• < f « ’tô w 4cpndurà .

' PbûrqUpi Icn conservateurs. sont4ls q iib 'lë i '

sfmldée* paroe^qU'U n '^ .a pan de m ajorité cbnsénràtHce fpiiem ent constituée. As^ siirén^ept,'-il T a uqe ma|pltitf, d ^

i qn s’éteilt trom pé ; on avait tro p compté su r son esprit d'abnégation e t de dévouepQ ^ ; nous avions pris nps

A roecasion ideJa loi'iniUtaire, comme é l'^occasion de la liâ s u r lès matières p ra ' mi^ifès* M. ‘ é r s à mfs le marché. m ain à rAssm ohlée»Ja cpndam nan t.à subir.^sa volonté oid & jetf^ lé pays dans le désàrroi. vistôlra lui échap-podtiiül PUSifmndaimoyenm; étun fait pèlpableauii y euu deilaFranee.;aux^m oyèps infaillibles: « S i vous ne V d lç à desid i^çonunudM ^ elle n'<

l id r a r iâ e f .VjlCraq ’aiis, c 'est.épm pldre tidhstable* dnchefscertains ; en u n m d t'on à laisser: E t voilà comment qn mène. unqAsRffPWéa.qm, rfprésente un grand

^S ^ U tie p l Thiiùm est assurément un grand patriote qui aime la France,

à bà' manière* qiii n ’â p a s dnplùs.ardéiU . .dé(ûr que ide . la sauver*-mais qui tien t-à-la- sauver sut* v en t ha,H(^nMié* Mets alors, à quoi dpné sert une A ^ m b lé e ! A quoi se rt de diS' c u t t f ! Le grand discoùra'de samedi était pakM tçmtmt inutile. M. T h ie n pourrait •e ’ ljil>m«r.l.iBfoiit.r * 1« tribun» »t k m ettre l'Assemblée en demeure de v o t^ td if tb b teUefloi,^ sOuS pcUè de u n aütre président. « X a ite s ceveSy£,q.u jé,ip> P vais* ^ ep.je l iim e le p a y s à l'anarchie, en d e s Prussiens. » 11 n '^ t pas iMsoin d'au- ^ argum ent; c'est clair,, commode* Ira ilc e t e x ^ i t i f . l»a Cham tue. eontgis- tr«eeil.<lfcrotmnent lea idées de M. Thiers. Jes t t i io r ie s 'd e 'M . 'Thiers. les tnanics

t f e , «p » l# « . I»,. nlu» .^(Uirüin du m w d» sou . le régime lé plus personnel possible.- . H rd iH |q u '4 touft instan t .nous somm es

à h^i^Hé-'dè.ydir ainiiKc gouvernem ent ftotW r'«i.l>M W d ! n i r o qu»,

den iite pareil -dissentiment peut éclat«^ soi^Wuibrà apr la loi m ilitàire, soit s û r - toàfifcàufccafl'ùràtinÀlll^ contiancerenait*Wnil^A •'u 'Trjrfr'ni T.awMtait .Ml T h k m il yA<lofll4oo« joorp:^ C i l j f ^ h p (M U e ; m ais il fau t avouer

uc-|M i«w<oinlK r.iapii||i,t9y.i,c«,.chQ <. iiirfrtlnifti '

« e ï W i . d e w o r . l y w w s A .-> W W iei m radfctl^tieiNrtrdjan.rndicidt l«.Snmme;U0 .

‘ radical trio ti»

:,.d«At Jtooisagb es^icom m o'

•f'*poipi i ip p o s e r ;^ yués au- go^yeipemept et prnir- 'ralUer, dans.. ht, payn* tous. les. lijoinmes p ièm sde bonne’Volonté* ihais h é ÿ i^ t^ .

Y oM UOtUd-quiM#. I>*y», quiumsad»#, coD sèi^ateurs; o tm s quai Ud coaseriùa*‘ '•W p. w p t w ' t f l v , T p p i ip .q K 'î ’Qu;il.,. uw>./ .^.!,»rogrwW»Sr •’i fB if 4 ,i bien défini* bien clair», On, n u 'votci pas., polié.ce|qu'on né connait-p^.-oü-poùr 'ce'.q u |p n .n e ,s a ^ i t comp^^n^.e, ' ' ...... '

O r, ce progcaroroe, Ü n’est pas.diffiwtei à tracer ; cette unionforieetiécoiide^ ellé' serqit.^j^ér si , oq^ lé d^ i|râ^ |'uni p«u..

Q u e veulent- les. hom m es modâvésidu: C ent^. diroit et dti centre gauCbe?'TIs vénleqt sauver la.Fraqiçe e n .la r^rgpiw^,, san t, défendre l'ordre social, contré! les. attaques des radicaux^ inrotéger la liberté parl^inpntaire contre le s p.réténtjàpà',4u.‘ -dcapptiwme. -

QUe-leur manque*t>il- donc. pour, s'en­tendre! i l ne. leur m anque qne d 'essayer.

h y u un .àuqU ^jà ', it!g<*dital C b q w k a dit le m otdeila situaticm }*:{! o tràoé Ja politique des hommes sans préventions' e t san s p a rti ÿr>s. qui n'écouteqt .que l^qr instinct.et que leur patriotismei» e r ^ r n (^nisàtion du pays p a r des institutions libérales, e te s ^ i loyal.de là 'Répÿbl^ue^, conservatrice. >■

Il n 'y a qu’à o u v rir jle sy eu x . pour voir-, la vérité. L a-vérité, c’èàt<'quç lé a l i^ t i- , m htes, ne, pardonneront. ja,r!HMR; aq ,éuc d'Aum ale sa g lo r^oation du . d rap e a u . tricolpre ; la vérité, c 'est que les ortéà-

.jà m ç ^ le . d rap i^u blanc; la vérité, c’e s t .que-,nii les .légiti^ m istes, ni .les. orléanistes ne sont- 'eU

P W , fews,^ I H t n r i . V ï suit !»;»«,«(#,d * |( ,r i« riï* . i rM ^ 'e h f ln ^ 'c 'e s trq u é u lc’>pmti ^m ith '

àanik ikus NfdàWE çp é9 W -l,W ipa r l ’autre,, la monaMbie>.estj

C e s t donc su r le terrain de la"Répd< ' Inique que le centre droit e t le centre muciie doivent s’mkir ; entehàohàrnoiù^ w le ten n in de la République préeervi^* C^çe* dont; ,le> nom serait Ip sjnon|ine* don pas de convoitise, d'utopiel d 'a g i^ r tjon ou de convulsion stérile, m ais ide r ^ M ration, d'ordra^ de travail et de gran- m ur nà’tionale. ' ' ‘~

P a r le seul fait de son existence, cettM luiion serait la meilleure garantie cOntTe mut im p i^ u , que cet imprévu soit une ^ m i ^ o n to u jo u ri suspendue kur dés Lètéë, ou u ne inort qui peut noussurprei^ Ire d 'un jo u r à l'autre.! Elles serait aussi'lia meilleure garantie m tre leà entrepriSéS des radicaux* ën idnissanttotis les cëhseivateiiraUbéradx' r'Ia F rance soùs u n métne diapeail, ihs q n b u t itommim* pour le ti’idmplhe

l'iïn p r o ^ m id e èldii‘’eli défini. éM d'heàùdbup pà rié 'd ë iW b d : voilà

si^riÜëble fil >iob* la seblesalutairéétfàr- ifiantei la meilleure parce que c'est là [eù le 'p ^ ib le aujourd'hui.I l^h.dehors de cetté'fuslon, il n 'y à plus iue confusion.‘ ' - E. Courtier.

ECHDSL'articlo S7 est volé ; c'est entendu. Le seri-

ëico mUitaii)o sora de ejnq opa P0 u r |a m<^é. du conllDgen^ et' de mi an! ménié de six ihols* pour l’autre rooilié.-'' -{ M. Thiers r« voulu; la'Chambre a cédé.

Nous aurons - les exceptions; les'dlspenses, m |« m p l^ m e n t dégyisé, e t tout cq qui s;en

C'est une loi bâtarde. Bnflà^ eUeoat votée.-

tmlse à neuf; repeindrnin*eslipaB: rajeunir.Elle est vermoulue soue sa coucbe.de

dnture.

MM.' Deregnecourt, Beii et Barni sont

- M- Bert fut, aux derniers jours de la dé­fense, le préfet de U. (^mbetta, à U lle;

M. Bdrni étdit l’ancien fournisseur des bulletins de victoire à l'usage de la déléga­tion'de Tours.

Les votes sont donc significatif.M< Bjçrgerot, qui s’était déclaré en faveur

du gouvernement actuel. MM. Lejeune et jav ll, qui sont républicains modères, n'ont pas été élus.

Ce n’est pas seulement la monarchie qui a ôté battue; c’est la république libérale et Conservatrice.

Je j rie que les radicaux de l’extrémo gaudie ne ae moqueront plus avec tant d’m<deuk> deb malheureux ruraux.

yaiehl aàsiàlbr à la prochaine inauguration du monument'érigé au bdron de’Ste'ln*dans la villa de- Nàsàâu!

Les journaux Allemands commentent 3tte nouvelle à laquelle ils attachent une

inde importance.)n ÿaiL eti effbt^que lo.baron de Stein, mme irétat’ étoiment au ' Servicè' de là

le , dont M reforma l’administratibn, . ta iM enpeinis les plus redou-

ibles de la France sous le premier em--

sujet, les iouniaug étaélànt les m sd’iine triple alliance dela'Prusse,

lie l’Autriche e t de rltéllè, qui serait la nr eil- leure garanUanlé la p a ix Européenne, parce hu’elle aurait pour effet de renfermer etroi-

sment et de conteRirüdànbi.àea-Unites la

rance* toujours ipmuante, ambitieuse et nvahisHMiif -: Envahissante* hélas! Cette moquerie est

yrahnefit kplritüellér I Envahissante, In, France* quand elle est

epcprq^ envahie t ^

Voua vous 1^1j compte a te e _____

qeauX} prétendait réfora at le rubener aux idaBiéglhe.--.'-'!

l ie r aoiie'oe titre-pUéchant 3 Les MpaMrta <FitnE0éeAé.

Le tribunal de B<mleaux vient de le eon- damhMKpoàkioMtrageiii là'morale.publiqüe; à deu]^ aqàjde pripoa.el à 3*^.,foapç» d 'ar

Aude. »Encore ùa martyr.

)S hottoMi, «sses dohnrimis aujoniti’liui; . . ------------- . ------------ .... a^je^teïnè;la

f .É L P 5 ! œui, pmtvj

j o u i^ te de la renomma qhemltt Veniu* vnàms pàT Verse.

iiihs,ehefojh'^de^ira^

Un réformateur, condamné pour avoii; é o r iF to ra iiM a lfo M ü r ie r / ' ’

-•— ' i ^ pjféparaMon à.la rôfor-

j Andrieux ëe complique.On espérait que la démission donnée par

^e-^qmisljral tera^erajjL toqte. diflhmitéi lisais il q’eq est neii.

plttsienrs dtoutBà, eneffet, ont foit remar- q u i^au minisuteide la justice*, que.-si .une, profession d’aUiéisme avait été publiquement n i e par l'ex-procureur de la République, ée -n^étmt pas d unSi lriiaftwifon qu'il s’agissait

“ Î K e 1 & ^ ^ i f â 3 t é k prétendent, il est vrai, que pour indemniaer. M. Andneux de

' e é éerâit bien-àxlraprdinaire. Mais nous avons déjà vu tant de choses, et tant de gens, qui chassés parla porte se hâtent de rentrer par lu fehôti'e! .

que vbin'ile savdX pas «u’eat>,devqpu le.gépéral.dOile Commune'! Cécilia.

La Cécilia, en sa qualité d’italien, est doué d’une très-jqlie.voix,!

il chanté en ce moment l’opérà 5dria A la Nouvelle^iiéans. ' '

Ce qu’il p a dé oomiVfe, f ’eat que Tlmpre»-sarlo mit mettre éur l’affiche en vedette :

« LéM léd’é Ruiêrt'iséik âiaritê pé'r fëpd- fidralTLaCéietlia.--*.-';

Toü^lnàt^'s'cAfaM dira* ces coinmuneux.

; On se préoccupe déjà, dans les cercles politiques, de l’époque àlai|uellé l’Assemblée prendra ses vacances.

^ u x dÿtes sont en présence : le 15 juillet

La derniérâ nmm parait préférable.11 fout régler le^udget de 1873; ,1a loi mi­

litaire prendra encore quelques séances; mais, cette loi Votée, passons, vite au budget,

le^nsp ira -tions présidentielles sont connues^ conseille| S » ' ï & 5 2 e ' r l S « ” r ' ’

Noua aimerionë mieux moins, de brus­querie et plus de réflexion» surtout sur le budget.: Rién-ne serl^de courir; on s’expose alors à fairp des feux pas pour arriver au. but.

Le résultat le plus clajr de la séance de lundi et des élëcuons radicâlrà sera peut- ébe dé feelliter l\i Afon du oentrè droit e t dn

) gaqplie,a.ëàce ipomeni un courant dans le

des forcescon-mtce gaqriie, l ly a .ë à c e i .

sens d’àné-réniifon servatrices.! ' On parie d’un programme rédigé en nopudun»

Ûn demanderait :1* La proclamation de la République.

La nomination d^ùà Tiëe-prèslaent. » ? U o ------ V

4* Le rënpuvellisment partiel d» 1 A»« sèmUée nationales

I M: Casimir Périer se ferait le promotenr de l’alliance.

Le jour où cette m a jn t^ ffitiàte^tj étj ië sêr^t.mhfo ÿaeqqid, sui; te nooÿ d uq .vtc^ président, Ni. T h ie ^ serait moins, p rp n ^ .à obnnersa démission.’ Si,1a si^iùtiob arit^Hn

putée, puiMit»- teur'i aanlai isterailà approuver tonjonr*

aérait bien plus simple d’achqteir. uqe - làachine à voter.

où. Garibaldi dévoiloi enfin sa^.

> Cher Ferrera*, NteB!id»8 éBil»»e. ,

le 8 4 ' | f l l ^ , J 8 mràgUf. n'»v«8»,rà8 élé votrâ cQiQMàttota. dEA orieùéé défense de Pons;

« Tontà'vons*• Gànfeiôlg.. •

i Pourquoi donc .le héros a>t»il- refUàé ^ parttcip^^ceU e défensaen-Iprsqt^ëlltf esta it encorê qudquies dibif

Æ a r ' S i s a i f î M n ' - ides courâes. on cdmmentait cette attitude

Ml T hiers. reste , debout pour prouver.' q^iH n’e s t n a s feUguôv

E— P a r a ^ c’est, to.^t.eiippléntent, PënT, iqdiquqr que s a République n '^ l p é s ëlipora

' : x . ï . ï .

m ;. T ’H I Ï B » » ;

1|T LK SKRVICE OBUGIIUB. U n cKèf-dTtèùvre e t une m erreillè.

Lcj chef-d’cquyrf,- c’pst Iq dinçpprs de M. Thiers, discouraioi. ipgéoÂeux, ai bari bile; si lumineux*'meaé à travers des-dU fe s s io n s vobitfes, avec tan t de màljçe 'et tan t.d iart; ici,,l‘a rt cpnsiste m i i l^ t A se dissimuler et- à faire écoutersansefEorto ce qui semble avoir été'dit sans j^iife.

Une merye^e*.,ç’éj^.'M . même*.alerte,,allègrù, infatigàUih-.iwiA de sève, tou r à to iir familier et; m ô iid a ^ ’ bonhomme et épiiqde au besoin, prêhànf ' tous les tonà.e ttoutes'les attitudes, mais restant.malgré ses transformations, toUr jou rs le M. T hiers que l'on connaît, jeune surtout,, tellement jeûne q u e , lorsqu'il rencontre un vieux lieu conarnup yur s a , route,' il trouve le moyen de le rajeunir en lé touchant.

Enfin, disons le m ot : M.- Thiers est resté égal à lui-méme. C'est plus court et cela nous dispense de tout autre éloge.

L a p art faite à l'adm iration, arrivons aux idées :

Quel est le système de recrutem ent pré­féré de M. Thiers !

11 a prétendu qu'avec un contingent de 100*000 hom mes p ar an, en retm irat les soldats pendant huit ans sous. les dra­peaux, la.Frazice avrait, Tannée la plus forte et la plus solide de l’Europe. C’est- à-dire que, sous prétexte de défendre la loi de 1872, il a plaidé la cause de la loi de 1882.

Il est bien possible, après tout, que cette loi de 1832 soit suffisante et qu'elle ait été si sagement Conçue que, même

après quarante ans, d ie n 'alf pas>l d é tre modifiée. H . T hiera Ta affirAiàt- d estyn^hom m e d'expérience*-qui'a<ra*- ' conté les campagnes de Napoléon jcb- •

reçoit, ainsi qu'il Ta dtelaré, denxi par. m ois, les confidences de tons le*

de l 'arm ée; on serait compétenfi.i, m oins de frais. Donc la loi de 1832 esfei .

'Comment se fait-il alors qüe*. sons . IVmiùred» cette loi p a i^ ite* nous ajmo* . éjtAd.bien b a ttus p a r la Prusse* qui adr - , m ^ le service obligatoire pour tous ! ...; — I*araison en est bi«a8im|ilt*répfNld.q

] |l;.'nüers. N ous avqns été b a ttus pAQ}q f* que.nousn’étions pas prêts. O n a déd*ilf;p là guarre;trop précipitammént*Eurar« attm dre, t rd n e r les, négpcj^plMI.o ^ettdantideux mois. E n deux m o ix , |,n o ^ j Augiops été prêts. , j .j £klL Adm ettons cela. lm Fran«ç im }^{j.;. ^ p r é t e en deux mois. hfMà |«otiï^$nlni a-tril suffi à la P russe de 20 jou rs, pmiÿr,. passer la frontière du Rhin et, ppurqiv^: * aurah-41 fallu à la France 60 JowT*rf|Ow,

river au même résultat? S 'il nqusirfMtt;. jou rs pour foire ce que la P n iq ^ fffjft

lire en 20 jours* notre systènqe* .sj. admire mbie qu'il soit, est donc m m as pswfipÜii queicdui de la P russe . . . -

I L Thiers se. contenterait aisémtPt.dÀ:-. C|M>iOOO:hommes» C’est un-beau; qhift*»i.: Ijlaia si de 800*000 hommes, on retira IfA^. troupes laissées en Algérie, daâfijqfo*,..,;polonies, dans . les places fprtcs,,)es.feMRu8valeurs enfin, on est réduit bieittMdtIk.

de 600,000 hommes. C 'csI 44iko. noins beau. 600,000 hommes en rffftrttT .- ['un million,—la P russe peu t m ettre aisé- lent un million de soldats sous les arm es

la différence commence àêtresenub lè .

Aujourd'hui, n 'est pas à yention des arm es de iqréPàion

r, quoi <^'on,en dise*le

à tirë f h g p f i é a ^ l u ^ p n t l e s ç o ^ l i ^

a a r ie n n e s d e ia . s ^ t é ÿ é . : . jpé ; n W h |8B|èi: p ar des ottaques-de vive-fbixe* dra>îMMbpsi;de m ain hardim ent m enés.qu'od 'je succès ; c’est p a r des des concentrations, des', inv) toutes opérations qui exigent lé namhMü * Le nombre a pris l'Importance q^fovift", autrefois la qualité personnqUei dra») soldats.

M. Thiers préfère les bons batâilto i^’i aux gros bataillons. Mais Tidié^, cq, serait d’avoir de gros bataillons qat>) fussent en même tempsde bons batailIcM.^ O r, on n’a pas prouvé, e t M. plus que personne, qu'il est impossible d e - foirà un bon fantassin en tro is ans.'

11 faudrait huit ans, selon M. Thièry; Mais comme il a désespéré d’obtenir huit ans, il a accepté les cinq ans que-la i. offrait la commission. ■ ^ '

Cinq ans. Vous voyez le grand résulte^, Le budgef n 'é tan t pas assez riche pour qu'on puisse conserver tout le contingent" tous les drapeaux, en renverra 'TOdOO ; ■ hom m es au bout d 'un an de service et on gardera les 75000 autres pendant lé*- - cinq ans demandés.

fi*r - •

D iXW Bi.-

«W.-tîPHRsfflÇ,

p w » 'l’a rm a • . maiadank, une-, au^ft. pife

admirer

r w

Francis tomber elle, tou t couvert le poursuivant le

" .l< /ta ia in , ellese sang, et rév o lv e re rinhurla : .

A Tasasilin ! à Tassassm 1 'A ses cris, deux o u trois-.bomoies ac

Im

mt. Monit

; Untélégramn|é(pyéAétttt.fojrqtppr,.d||; iVnUiam M orris; ce té l^ rà n iA e lacb^

* [ue, adrëàtA'd mrJÉDâesJ portait iees V m ots i: à N ous somm es vriigés;

!nranéhrvtt M utA tre encore* F tim ef h s h s l r â ; V r a o e i g ^ d e A E d i t h i . »>lMtth> était scMir fumsUe dé Flavic, ifit Aon* AvbnS'ràeonMIa naiséance en < ffine tem piq tte nouà'riiildns Imi'càtM s

j là f l ie e t dè"i* m ort’ d«i leur: fttiu>verrohs pliis' taëd que la IVdiCb ne devait p«* ’étie moini

' bells d ë s a jumcHn'nN DE LA PRXMlfeRB DlVlStOK

DEOKiÉIfSiPIVISION

Ù L S Œ U R D E XJh rO L L B v

t poche

M«n,i M m aa

— A qifolle hëure p a rti* malle?— ’OàAs ùbe heure* sir.— ^ m b i M . l i i ^ p e !

; —. o l l ^ ^ e ^ u m ^ 'e à t furieusementI c h e f ! - '^ ' • ' • •

— C e s t le prix.

— F o rt bien. Voici mille dollars pour

mon ami que vous voyex assis là4>as et pour. moi. Biais, bigre de bigrel. c'est salé! ■

— C’est, à prendre ou à laisser.— Je le vois. À h! Encoiv un-root,

Tami; où donc est Tcscorte que votbe. gquyernem«ht , s’engage ,à fq u ra^ sxijt voyageurs et qui. doit nous accompagner e t nous p ro té g é !; —' Elle nous rejoindra à Junction- dHy.

L'hom me qui,pose cette série de ques-, tions n ’est au tre que notiA Vieille eon- nefissance le peintre Stanislas, le nevajt , du savetier. Bloyemloux* et, T hpora.^ ivient de lui répondre est u n .emptpW de, la malle-poste nationale des Sua& Unià d'Amériqué.- Ai-je besoin d '^o u ttri oim ' cet employé* assez b rusque,n'«pM ti|4péi

La caSquettbd’bn'ynnkeefifitoofps aved son m u tre ; elle est rivée su r sod criùw*

la tète, il ed 8brt sanfe p lu s >ae> foçdno'y eut-U des daméfe.abeohimeiri co0 UiM]tàft

il. J e connais nom bre «c h e n i ^ e c ^ n a i s n o m i ^ r a â %FlAdcé,' TaAcicK'pàys’dè T ifm àlfi singent ces «aut^ra» .

L a iB « è iw ,w i^ q H iL n Q ÿ F 7 f f lP W quisser se passe donc en Amérique, dàns I ouest, au milieu d 'une mauvaise boiDN' gade àppàlée Wëùnqgb. c'est-A*‘dira> là fraîche raMPce*. prahabl«meptiP*rmM ià(

fro titim ' des'état*' d tf iCaniMs e« du Mis^ ' soÂrii

Stanislas reprend fSB questions»— .O ù.estThom m oquidoU nous con- -

d u ir« !d « iM n d ù r ttM -v ^ t Une sorte d 'anim al, qui tient Vours que de T o r ^ des bim aiM , ratfül du fond d 'un lourd véhicule, et grogne

cette réponse avec fine hum eur m ar- ' q u ée : i.

— Je suis le gentleman condud Crt. ènfèmt Touest, .Wràjfâ

porté su r sa .tê ttf'un bodnet dé ** faiit ràdpëUè lesfle tA oûc^ tis 'di d ièrede là. gat^ë n b tiom ^'^ n ip p e ; ses jàmbeà'àbnt Û _ . d'éÂÂmes bbttes, et, à ëà |un gros révolvet- de'CijH àceniUAI Xemble howie-knife, ce liç* - -"®* icaTabipise que le rude' elp manié avec tah t dë dëxtéftil.,'

— Où est n o tre .v ^ tu re ! ‘idem à|i^ 'j)é '

V L é cbnductepr, jmontre june sé rte _ dé npm ,dànà aucuiqUë lès .-^nriCdins déCdùint' m ^ t dù titré dé iAâ1Ië>pâlrA^

i t i l 'ësT tellem'ént' b d d itf iv i it* ^ isétilblé: au ' p rrtn ie r hbOM?' bM impossible d 'y introditirë^V bV âl

Jtd filT erA hJnislfaset sb ricapL ..,__Ué trançàls 'm ànte :ëdt ' le ' m art,

—'M n ! deux ■ de plusl

— H ein!Rien. J e ë

I> condilrtènr àqontra albrs âS tatidhÉ - son cam arade'assis à T é c ^ ‘W mcS'Aïadrieirs, et qui ae tiB » I t t i m ® '! * t<m;içërqnl paWmAWbAéBe'

(Laêuiie a u prochain miméra).

Page 2: ECHDS 1|T LK SKRVICE OBUGIIUBbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_06_13_MRC.pdf · 2014-02-27 · Elle est vermoulue soue sa coucbe.de dnture. MM.' Deregnecourt, Beii et

' is ' : l '

I.

C m d i r n ic T s M r o n t d * 1H a i s q u t ' v a u ^ r p ^ t . c e u x 5 )!* . t f g u r o n t , • t r r i q « « pencC trit i i a e S t t tn é b R ie n ; ■ M M iN m e n t ; c a ^ < |pfln . i l f a u t s’e n t e n d r e :

S i t r o i s a n s n e s u f f is e n t p a s ’p ô u r f o i tn l î r ' « n b o n s o ld a t , u n e a n n é e n é ^ s s a i r e m e n t • s r a t r o i s f o i s m ô ln à s u f f is a n te .

C in q a n s . E t c o m m e c in q a n s p a s s é s à l a c a s e r n e em péslK O Tnicnt l e s j e u n e s g e n s : q u i s e d e s t i n e n t à c e q u 'o n a p p e l le le s p n r f i s s io n s l i b é r a le s , d 'a p p r e n d r e l e u r mé> t i e r , o n p e r m e t t r a a u ^ r i c h e s d e s ’e n g a g e r p o u r u n a n s e u le m e n t , s ’i l s p e h v e n t p à y e r l e u r é q u ip e m e n t e t s 'i l s o h t u n d ip lô m e ; q u i s a i t? p e u t - ê t r e r e v i e n d r a - t - o n , c o m m e I t d é s i r e M x I h i e r s , à l 'a n c ie n r e m p la c e ­m e n t . E t q u a n d o n a u r a a in s i o b te n u « n e a r m é e m é d io c re e t u n r e c r u te m e d t b a s é s u r l e p r iv i lè g e , o n s e r a c o n te n t d e

V o y e i d o n c ; q u e l a v a n ta g e ! o n a u r a m é n a g é le s t r a n s i t i o n s .

A h f lè g é l ié r a l T r o c h u a v a i t b ie n r a i s o n q u a n d il s 'é c r ia i t : « L a t r a n s i t i o n e s t-é O u te f a i t e ; c 'e s t l 'i n v a s io n d e la

F r a n c e . »E n v é r i té ; i l n e s ’a g i t p a s s e u le m e n t

a u j o u r d 'h u i d e c r é e r u n e a r m é e r e d o u ­ta b l e . 11 s ’a g i t a u s s i d e r a p p r o c h e r c l a s s e s , ' e n le s s o u m e t t a n t a u x m ê m e s r è g lM e t a u x m ô m e s d e v o i r s ; i l s 'a g i t d e r é u n i r ; s o u s le m ê m e d ra p e a u , le r ic h e e t i b p a u v r e , l e s a v a n t e t l 'i g n o r a n t , le p a y s a n e t le b o u rg e o is , e t e n l e u r im - p c js a n t le s m ê m e s p r iv a t io n s e t le s m ê m e s d a n g e r s , d e d i s s ip e r b ie n d e s p r é v e n t io n s q u i 'k s d iv i s e n t ; il s 'a g i t d e m o n t r e r a u x o t iv n ie r s q u e le s f i ls d e s m e s s ie u r s s o n t c o tn m e e u x à l a p e in e e t t o u t a u s s i lo n g ' t e in p s 'q n 'e u x , q u a n d il e s t q u e s t io n d e M p r é p a r e r à l a d é fe n s e d e la p a tr ie ^ i l s fa g it d e d is c ip l in e r e t d ’u n i r s o u s la m ê m e d is c ip l in e la n a t io n fim n ç a ise t o u t e n t i è m . P o u r a r r i v e r à c e b u t , C o m m is s io n e t M . T h i e r s n 'o n t t r o u v é

■ r ié t f de< ^m ieux q u e d e la i s s e r e n c o r e e t t o à j  i r s erUx m a lh e u r e u x la b e s a c e .

A h C q u e t ’ b e a u j e u i l s f o n t , s a n s v o u k ^ v a n x p o l i t i q u e u r s r a d i c a u x e t a u x r h é t ^ l r « r « 0 g e o i

• N o u s s a v o n s b ie n q u e l a C o m m is s io n c t 4 L T k i e r s o n t v o u lu p a r c e s deml-< m e s u r e s , m é n a g e r le s c o n s e r v a te u r s , e s t p o s s ib le q u e q u e lq u e s - u n s p a r m i e u x l e s '-ep p N M ^ en t. Q u a n t à n o u s , n o u s p e so a lW * s--^ i> a » 'd e c e t te r a c e é g o ïs te d e ' cc rtU N ^M cu ia i, q u i n e t i e n n e n t â m q * ' s e r i n r d V a n t t o u t q u e le s p r é ju g é s e t i e s

p r iv i lè g e s .^ E . C o u h t ie h ;’ '

00 le s a it, e s t hos ti le a » to lre e t p erson t

L e ré su lta t d in a tte n d u , a éi« jo r ité , d e l'am e d u se rv ice d e ti

TouleTou le ton

s u r l e -L e re je t de q u e l ta u i d e t . .sen s ib lem ea i f a i l l i m o e r T & r t l ^ ^ ' l . e v ice ac tif no s e ra p a s r e s t r e in t à t ro is a n n é e s , m a is le s e r a - t il à q u a tr e , com m e le v e u le n t MM. A u d ré e t le g é n é ra i G u tllem au t, oit d u re ra - t- i l c in q a n s , com m e le v eu t H . T h ie rs , com m e l'a déc id é la c om m ission , e t c om m e le réc lam e M . C b au g a rn ic r?

i dom inait é ta it le ton ne b u t rien pecdre. N ous l'avons lu e h je u n ; t-é tre rst-oo p lus

G ^ l l e de la C hanbre.SésNti* d« 8 J m r .

d o n n e r . lai p h y rionom le d e la salle i l su ffit d e ren v o y e r le lec teu r tire d e s syn o n y m es p a rlem en -

ro n tro u v e : d e H . T h ie rs , — silence de

‘I T l h i m tie n t a v an t to u t i s e ven g er d es é p lm m u e s d e V . R a u d o t : il s’ex cu se , avec n u e év id en te iro n ie , d e p re n d re la p aro le , lo i d v i t , s u r u n sq je t m ilita ire . U ne corn- p b is a o ie h ila r ité d u c e n tre g au ch e accom pa- a m e le s p ie r r e s q u e H T h ie rs lan ce d a n s la p é p in iè re d u v én é ra b le M . R au d o t.

L 'e x o rd e d u p ré s id e n t a é té consacré à a ffirm er le s e n tim e n t d 'e n te n te q u e la F ran ce ea ten d aU co n se rv e r av ec le s p u issan ces é trà iM èrâs. H . Thim -s a p a ra p h ra sé , p ou r cxpU quer b d iscussion d e la loi m ilita ire , le d m o n h l in : s i tu veux la p a ix , p ré p a re la g u e rre ! C ro y ez - le s i vous voulez.

H . T h ie rs n 'ad m e t p a s les accusa tions q u ’oq a p o r té e s c o n tre le ré g im e m ilita ire de la 1h«nce,* e t s u r to u t q u 'o n a ttr ib u e à des

~ * e iuven tio ii la décadence ou lau d e l 'a rm ée .

Il re p ro c h e a ux h o m m es de 1810 d’avo ir d é d a ré la g u e r re e n h u i t jo u r s , san s ê tre p r ê a , dTétre r e s té v in g t jo u r s en p résence d e lb n p e m i s a n s p re n d re u n e position m ili- t a h e j d e n 'a v o ir p o in t e u u n e a rm é e de r & m c , au , m om en t o ù p a r ta it l’a rm ée d u

C e qu ’a u ra i t v oulu M . T h ie rs , c 'es t l ’a p p l i - ca ih h i j t e l 'an c ien n e loi e t h u it co n tin g en ts , c e q u i a u ra i t d o n n é 86 4 ,0 0 0 h o m m e s; ce qu ’il v e u t, — c’e s t la d u ré e d e c in q a n s d è a e r r ic e d a n s l’a rm é e a c tiv e ; c a r il faut ■iiffiiiiawl | i i tiîT*— ^ •U ffiut « n s s i d e v ieu x so ld a ts p o u r so u te n ir

d rea . Q u qpd h l 'id é e d e c r é e r d es éco les u -o lB d e r s , e lle e s t ch iin é riq iie ; le sous-

B.ae fo rm e q u 'a u rég im en t, e ré g to n a te e s t b o n n e à cause d e 1

J s l a m ob ilisa tiou . E lle pst m a u v a i^ u f a t m p ro v in ce e n tiè re p e u t ê tre ru in ée tU s t r u c i id o d’un ré g im e n t ; parce q u e

. S " ' * ''d c M p rov ince , ta n d is q u e ra rm é e Iran -

p o litiq u e . 11 rep o u sse‘n l M M r â p h a l e .' ^ g t o k é f l a l i o n te n d h p ro u v e r qu 'il

K ^ ' d ij Jlem'pi e t en co re d u tem ps

i^ / in o i t i f ^ sen lenspnt d u ^ o n iin -

M to u s lè s déve lo p p em en ts d e son

IM io q t d ,ré « .f> r, d g d c o la , « I d »

i>‘^ ô t d e c in g looi». u v e B t

•, « o è té s iè n n e s b o t a ^ o t i e

Le g é n é ra l Chxreton a d é fendu la th è se I so lda i. L e g én é ra l Guii.i.KHiUT l’a é g a le -

m cu l so u te n u e avec u n e g ra n d e c la r té d e p a ­ro le e t u n e lu m in eu se d ém o n s tra tio n d ’a r i tb -

dH êlique* O p .«ô t d i t u n p ro fe sse u r au tab leau fa isan t u n e dém o n stra tio n roa ib ém e tiq u e à eesé ièv es.

J e g lisse s u r les d é ta ils , afin d 'a r r iv e r a l'iflélAettt t a r a t^ r i s t iq t te d e lr s é a n c e .- ^

H . T h ie rs e s t d é p lu s e n p lus i r r i té ; ia te rrup iioD s s e su ccèd en t. U se n t q u e l’A s­sam blée lu i éch ap p e , c a r l 'A ssem blée c o m - u en ce à rc p o u d ra p a r d e s m u n u u re s ù se s f te rru p tio n s .

Au to u r d e H . K e l l b r , à p ré sen t ; u n le jR n a u t d e tro is a iis . 11 a tta q u e la su b s iitu lion ; il. se fait applaudit*. L es q u a tre an s gp en en t è v ue d ’œ il.

M ais voici le c o m b le : M . L io N ce tiE L a - VERONE, lin e d e s vo ix le s p lu s a u to r isé e s de là d ro ite , m o n te à la tr ib u n e . C 'est e n vain (Hi'on c rie : A ux vo ix ! a u x voix! I l p a r le . Ë t il p a r le p o u r d ire : qu o i ? Q u 'il v o te ra p o u f q u a tre ans .

; C 'est u n e v ra ie lèp re q u e ce t am en d em en t G u illem an i. I l g ag n e , g a g n e , e t fa it d e s r a ­vages te r r ib le s d a n s l’A ssem blée .

H . T h ie r s déleiid en co re u ne fois le s e r v iced e c in q a n s , m a is il le f a ita v e c ir r i tn tio n sa p a ro le e s t m o rd an te p o u r se s ad v e rsa ire s .Il va ju sq u 'à c o n te s te r 1 a u to r ité d es o fficiers d u g én ie d a n s la q u ësiio n , c e q u i e s t u n e m d- chau cc ié à l 'ad re sse d e s g é n é ra u x C bareton e tC u ilie in au L 11 a u n e m an iè re d 'in te rp e lle r le gén é ra l G u iilem au t, e n l 'a p p i^ n t u m o n - ^ e u n » , q u i e s t p le ine d e fiel e t de ran cu n es .

Les m ouvem ents d e la C h am b re , l 'ag ita tion , l 'iiupaiienco , l’ô to tinem eb l p e in t su r to u s les v isages ne fon t qu ’e x c ite rse s su scep tib ilités e t se s nerfs.

« Q uan t à m oi, d it- i l . D ieu m e g a rd e d e vou lo ir b le s se r l'A ssem b lée ... » E l com m e rA ssem blée s 'ag ite , in q u iè te , il co n tin u e ^ « J e so r tira i d ’ici prufoii'déâM nl affligé, sT vous n e v o tez p a s le s c in q a n s . » C ette rois la

t siu 'pcfaction , 1 im pa tien ce , la co lè re ch ez les lin s , le déco u rag em en t ch ez les a u tre s , m ille sèn tim eu is 'd iv c rs rem u cn t, sa is issen t, a g ite n t

' l ’A ssen ib lce .i La C ham bre n e veu t p a s c é d e r . M. de

• A crd re l m a iq t ie n v ^ p ro p o s itio n . E u ce m o­m en t la c o rd e e s t te lle m e n t ten d u e qu 'u n e th in tu iaen co re , e t e lle v a s e ro m p re .

m U m ac le> a rriv * '^e il(^a iT tv R aa m ilieu d u b ru it d e la confusion , sa n s qu 'on p u isse se oo n su lie r;:sau s qu 'on e n a i t le tem ps ; chacun t ire de son cô té .! Ü f G âm b é tia e s t à la tr ib u n e . L a d ro ite ,

debout,■ 'criê; h u rle , tem p ê te . O n n 'e a te h d r ie n .d&ce q u 'il d it . 11 p a ra it q u 'en p ré sen ce d e ce tte s i tu a tio n , il co n se ille l'ab sten tio n à s e s am is. '

N . X ré v y n e p e u t p a s m êm e p a rv e n ir à p o ser les q o estio n s à l 'ê ^ e m b lé c ; Il fau t u n e g ran d e beupe d e d iscussion s u r le rè g le m e n t, S 'in te rru p iio n ^ d e c r is , d e c lam eu rs , avant q u i l p u isse e l r e p ro céd é a u sc ru tin .

L’A ssem blée c M e à M . T h ie rs . E l l 'a m e n ­d em en t C barq ton est r q je té p a r b 3 4 v o ix co n ­tr e 5d. C 'est le vote d e la p eu r .

Séance d u 11 ju in 1872.

A p rès l'o ra g e , ca lm e p la t , lo t d iscussion co n tinue a sse z pa is ib lem en t s u r l 'a r t ic le 3*7 d e la com m ission . A p rè s l 'u ltim atum posé lu n d iq )a r M. T h ie rs , to u te s ré s is tan ces au se rv ice d e c in q a n s s e so n t évanouies.

U n s eu l am en d em en t d o n n e lien à u n d é b a t assez vif e n tre M. d e C asie llane e t la com ­m ission . M. d e C aste llanc n e v eu t p as de l'a rm ée te rr ito r ia le , qu’il re g a rd e com m e le sp ec tre re ssu sc ité d e la g a rd e n a tiona le . Il p rofite d e ce tte th è se p o n r ra p p e le r à la g au ­ch e s a co n d u ite av an t e t a p rè s le 4 S ep tem ­b re , e t p o u r d o n n e r q u e lq u e sc o u p ^ d e g riffe s à M . Ju le s F e r ry e t à H . P icard .

11 e s t fi'cqiiem m ent in te rro m p u p a r la g a u ­c h e : m ais son am en d em en t, co m b attu avec ta len t p a r M. d’H arco u rt, e s t repoussé .

A son to u r , M. R au d o t d éfend on systèm e d e re c ru te m e n t rég io n a l, e t il co m p are e n

Rassau t re u tè ie m e u i d e M. T h ie rs à ce lu i de apoléo ii I* '. On r i t e t l'on a p p lau d it.F in a lem en t, l’a rtic le 37 d e la com m ission

e st ad o p té .X. Y. Z.

gé. On lu i ibre a lla it lu i échaj

A ussi, ce n’t voix trem blait:

ineQIrs petits b ras se '" i r sa po itrine :

lit d ix fois, m êm e m o l, avec une énergie étrange qiâdépasfie à peine la tr ib u n e , avait, d c N ^ i; l è m ^ i M éla it ( ^ u e n t : c a ^ n t , ÀerVeui^, im périaux . Quand ■ rS i vous ro tez les t r a i r e ans, je d 'ic i, > il ne p arla it peattil inenavaitu'

Un député résum ait ainsi les doux a ll i tu d 4 du Présiden t : -

~ Sam edi, il était m nlire de son 'e t j e t ; ' lund i, il n 'é ta it mému p lu a m alfrc dé Ip)^ '

Ce q u i ne l’a |>as em pêché de se rend re m altfe d e f ^ è i h m é é . '" * '

mI K>nc la femme

ffi incipée ; ou diacui Ji NT davantage, e t il 4 p rê ten t leur

itre le bon m f r y i i l i Méwi, vieil!

tè te,M è iv s^ fa ïq iU p , p lu s de layettes,

p e a u ; p C a e p o fa

' IT M V R a d é é h lr fh f f lm e . Uhtls n o tr e I t^ d l t ib iT ' v o ^ tll

dans le m ariage.

au feu , u ne urao{ la fummo,

voasH aêm e d e v o tre m ao lère d e t^ m b aU re .im ble,

a v o u a é ir e l-

d an s la Is itre q u ’il è c r li m i d irec teu r d e jouro*! l’AréiiitI; des /efNi»M,.>quQ la fem m e est une esclave

■ L 'hom m e a chargé inégalem ent ces deux 'plataM X.diu code d o n t l'éqnilibr» im porte a la coB scünc»hum aine: l 'I io m m ea Ihit verser tous les d ro its d e ^ n côté e t tous leedcvo irs d u côté d e la fnm m e. De là u n troub le profond . De là

lUt vous . irsonnes

......................... o l do lara iso n n em en t; m a is , je vous

qu 'e lle m o répugne so u vera inem en t, lu 'e lle m e p a ra it m an q u e r d o d ig n ité e t

.iiifti, p a r ex em p le , lo rsque vous avez ren se ig n em en t c o n g rég an is te d ’ê tre

, . je vous a i 'd é m o n tré l 'in lu s tic e doc e ttê acci|8ation p a r le s succès q u 'o b tien n en t e t q u 'o n t tou jou rs o b ten u s , d an s les concours,la s d isc ip les d e c e t en se ig n im e n t; e t par. Te g ra n d n om bre d 'in s ti tu te u rs fo r t .iwuM Ua-qiti. o r ie n t to u s le s jo u rs d es éco les norm ales.

iliécs à la d irec tio n d es é ^ n g ré g a n ls te s . Io n argum cutalioD é ia i t_ p é r e ^ t o l r e , e t

m n A m I iM rM q w indoM pM ,. • • k M ,M u r i M M r t a r o m ip l iw e . d e

l , ! . , i M l w W l q a . M i e b » l ü - I t n g r a M n i m i e i dlKH»;

II a e , e , H 4 . i r t t , M I I w o n b ,» d e . h '« h r o o d , M ocM t t K K it.l l ,

te* e « p f ih e iM ü l , , r t b - M r to o , ce» p o in u . U .,

d iM f rn n I t » e e > o o e iB i» » ^ , « i i t i p n B b e t H » u u t a e d a i u h c M M iM e , r d n i e e r e e , » ^ W e d le t w d d e i M i t c , q i l ,

DE OBOITE ET DE GAUCHE.J O U R N A U X E T L I V R E S .

^ M . T b t e r M à l a t r i b u n e .

,11 y a deux U . T h ie rs ; le M. T liièrs Je eaincdi e t le M. T hters.de lundi.

Sam edi, il é ta it a im able , enjoué, m échant e t Spirituel. Il avait m û rem en t préparé son d is­coure; il é ta it m aître de la tr ib u n e ; ses m oindres m o ts p ortaien t.

11 avait dans sa p o d ie des « amer» • pour -tous les partis. 11 élevait h a rd im en t devant les 'parlem eutaécs ce tte p réten tion q ue le président *a le d ro it, dans certaines c irconstances de pré- iférçr.sô'n .a ^ l j ro é q j p e re o n n e rà la volonté du ||>ays, rq iréàentée et exprim ée p ar lep a -lement. jll a lU quu it la '|;auche en infligeant à ^ théorie | d ^ ‘ . : n 9f u r ^ l i ^ » u n e vi*.e m ercuriale» Il .nvhionlvalm À U dreito eu reprenant la théorie du (Lionel .Denfert su r l ’éhéiasance • légale •

.dér sçtdaiÿ. .Oi) eû t , d it qu 'il é u i t vehu à la 'cbéinbrecja poobe pleine de petite paquets à l'adres-se de sra adverM irre. Haie il lesd ia tribua it 8i.j»ree^mei)t qu*eceux^qiil éu ie rit oMjjçfe de jlea ayaleriSnnblaieBl y p tendrego& l.

'E t p u lsaa petite v o iia ig rr ie tte a v a it d q tem pe en le'fnps.des aécéhtejdyeüx . D paraissait con­ten t d e l i t i ; a av a it J a ir d e d ire : « Q ue peut- on répondre à ce que j ’avance î Vous le v o y «

■ bien , 11 n 'y a qne rpol q u i conna'is bien la ques-

;tioD..«I II savait p rend re des a ttitu d es p leines de boh llom ie ; il racon ta it d es anecdotes; il causait fa^ 'iliè rem en i; to iiU -c o u p , il s’â e v a i t ; il se hasaildait dans une. digteseion philosophique, m a is sans déclam ation, sans em phase; l'idée .pouvait ê tre grandiose, m ais le m o t é ta it Vimplê; «M lênfenl on aenUH dans l'accent d e ^ 'o ra teu r u ne certa ine ém otion conteiiuè, m aU '

P r n s A i c n M c S A l M c t c M »

Les Prussiens ne m anquent pas d e d ira que les Alsaciens sont très heu reux d 'ê tre ren trés dans la grande fam ille A llam ande. Seulem ent, ce qu’ils a 'avouent pas, c 'e s t q u 'il ne se passe |n s de jo u r sans que dee quorelies «V;bteatentre les Prussiens Et les Praqça'iB. , ' v .

Dans les brasseries, aussitô t q u ’un Prussien s'assied à une t a b l e , im m M iatém ent les Alsaciens prt*nnent le u r chope e t vont plus loin.

A S trasbourg e t à llu lh o u se , partou t su r les m urs, de? annonces de p ropriétés à vendre, de com m erces à céder. A tous les coins de rue des agences d 'èm iéyation. Certes, il est regrettables que les Français q u itten t leu r pays, c a rd ia q u e Alsacien qui s’en va laisse p lace à deux P ru s­siens. Ma'ui la vio p ou r eux est-elle supporta- bip ?

Malgré les protestations généreuses d u géné­reux B ism ark, to u t hom m e q u i laisse échapper une parole de sym pathie pour la F ran m ct de haine pour la P n issé , est a rrê té e t con­dam né.

A M etz, il est in te rd it d ’em ployer les FTan- ça'n a tou t travail dépendant de l ’adminis- tra tion , sous peine d 'im o am ende de six thalere.- A Strasbourg , les ouvriers son t sans ouvrage,

U misère est très g rande c l tous ceux l]ui le I^uven t songent à ém igrer.

On le v o i t ; les Alsacivns son t très heureux d 'ô tre ren trés dans la graodei-fam ille- i l l t - mande.

‘ i H A p s I é e n , B a b e e n f e t J u m M iim .

M. H ichelet, le célèbre historien , vient de fkire paraître lo prem ier velum e d 'u n e Aifjoire du X IX * siècle, p ou r faire su ite à son histoire de ta révolution.

M. M iclielet, daqs ce nouveau liv re , nous apprend deux choses extraordinaires.

La prem ière, c’est q u e N apoléon I ^ n ’avait ni génie m ilitaire, n i génie politique, n i génie adm inistra tif. On a su rfait Napoléon I**;iO na inventé une Icgtmde ; p e n d a n t. so ixante ans, la France s’cst trom pée, les h istoriens se sont Irom pœ ; N apoléon 1" ô tait u n bom m e vulgaire, rien de plus. Nous ne som m es pas un dévot du prem ier em piré; cependant il nous scmM ail q u e l'hom m e du C oncordat e t d'AusIerlitz

n 'é ta it pas to u t à fait le p rem ier venu. Nous nous étions trom pés.

M. Hichelet nous a rem is dan.s la bonne vole. Feut-ôtre ^ p e n d a n t pourrait-on lui dire: < qui veut trop prouver, ne prouve rien. •

l.a seconde chose, non m oins extraordinaire, que M. M ichelelnous dévoile, c’cst q u 'u n des héros de la révolution fu t Babm uf, surnom m é le citoyen Craccilus Le citoyen Gracchus p rê­chait le prem ier lesocialism c, m aisunsocialism e b ru ta l, d o n t la principale form ule ô lail le par^ tagc des biens. D 'ailleurs, le citoyen Gracchus m ettait ses th râ rie s en p ra tique : il fut con­dam né deux fois, la p rem ière pour faux, la 'se­conde [Hiiir vol (tn com prend q u 'i l n 'aim ait g iiire la pro[iriôté. Toi est le joli (tersonnige q u cM . Micholol m et su r un piédestal e t q u 'il recouvre d e là roI>e de P la to n . C 'est Ikole l’his­toire un peu trop fanlais'iste.

Si M. Hichelet glorifie B a b o u f , il flétrit Roliespierre e t la te rreu r. Le som bre e t sec d icfatear n 'es t pas épargné^.'!! n w H K aussi -le« ho rreu rs du tribunal révolutionnaire, q u i con­dam na à m o it ta u td e victim es.

qu 'elle e st, la fem m e nu possède pas, ellen ’r a tp a a en justice, «Ile ue vote pas , ul|o ne com pte pas, elle n ’est |>as. 11 y a dus citoyens, il n 'y a pas de citoyennes. C 'est là un état violent, jt Ihut q u ’il cesse. >

Des citoyennes, il ne m anquerait p lu s que cela, quand les citoyêns o n t déjà ta n t d e peine à s’enttmdro en tre e ux .

J e M X , «•H i'M C i» rX é o t l e é d c * .

Un chroniqueur q u i se rcsiiccle do it parler des courses.

Dim anche dern ie r, on a couru le g rand prix d e . 100,000 francs, appelé le grand prix de P aris, parce q u 'ou le gagne à Boulogue-sur- Scine.

Les tribunes é ta ien t , com bles e t débordaient jusqu 'aux grilles. Beaucoup d e loiUitles p rin ta ­nières, qui brilla ien t en tre deux averses. Des milliers de calèches, dans lesquelles s 'étaient fkufilés quelques fiacres dém.ocratiqucq.^Enfip il ne faut pas ê tre tro p difficile. La République a repris quelques partisans à l 'E m pire , en leur prouvant qu’ulle p eu t s'a ccom oder avec le Jockey-Club.

— La France ressuscite, d isait ù cô té de moi une jeune daiiio. Il es t vrai qu ’elle venait de parier cinq louis su r Fleur-de-Péché e t q u ’elle avait gagné. Le gain rend l 'àm c ouverte à l'es­pérance.

J e n 'a i pas besoin de vous d ire q u e C rm o rp c a rem porté la v ic to iroe lJiiue Crcmorne i*sl un çheval anglais. Encoih.uÀè i tv a n c h e a prendre.' D’ailleurs, quo ique Anglais, Cremorno a été

appU nd i p ar nos sporCsmen, q u i o n t ainsi tra ­d u it le vers de L am artine :

Je auia coocitoyen de tou t chovnl qui 'gagiio.

Savei<arotis ce q u 'i l se 'joue d 'a rg en t d ans unè

jou rn ée d e courses. — h P a ris?La question e | l in téressante au m om en t o ù le

rélabliaseinent des jeu x rencontre d e ai vives c ritiques.

Il se déplace en un seul jo u r p lu s de deux m illions. Les petits employés, les garçons coiiTeure, les sim ples ouv riers pa rien t aux courses, ou , to iit au m oins, p ren n en t ü n ticket, un bon de poule, u n b ille t de lo terie en un m o t, à l'une des nom breuses agences (ou m ai­sons d e jeu) q u i s ’é ta len t p arto u t dans Paris.

U ne rou lette e t u n tren te-et-quaran te ne 1 ra ien t pas m ieux, — ni p lu s m al.

Si vous autorisez certa ins jeu x , pourquoi vous voiler la Tace quand on vous parle d e cer­ta ins au tres? ü n {teu de logique, s 'il vous plait.

NOUVELLES DËPARTENENTALES

« Les j u |œ (du T ribunal révolutioanaira) se m orfondaient à a ttend re les jn ré s q u i ne vou­la ien t plus venir. 0 o faisait u q ed u itlu e d e ju r is dans le voiainage, comme fa froyso d e t /u rM , et on Ire forçait d e siéger. De m êm e a u . triUunal d 'O range, le-plus solide ju ré qu i fu i iam aio , un canul lyonnais, Fcroex , q u i -,avait icondaom é. des centaines Ü 'bom m es è r e n d a n t , à:R obespierre (qui lui dem andait ^ w i oaast),- Fernex lui exprim é tristem en t,liiiw le ip en tt9Ui: Us ju ré s n'cn peuvent p hss, q u 'ils ^ u v eq A - U; m étier trop d u r , n 'ayan t plus à condam ner que des imbéciles. » - ' '

Un tra it curieux em prun té à M. M irbelet : Lorsque Bon S rin l-A ndré futenvoyé en mission dans le M idi, il v it avec élonnem ent • q ue les Jacobins de Marseille, à qui l 'on dem andait com pte d e l'em ploi des deniers puM ics, rapon- da ien tq u e ceux q u i voulaiim t ,lce ép lucher là dessus étaient des tra îtres.

Voilà une façon com m ode de répondêe àlix

curieux . . , o '< J . f ; ' l U - ' . • - J — V o u sn o u sd em an d e id es co m p te s; donc

vous êtes des tra ltro i.Je sais quelques hom m es du 4 septem bre

q u i voudraient b ien pouvoir ra isonner ainsi.

K i* a v e » i r f e a a a n M .

On a h ie r, n 'u i f é G bratze, b m l|u e té , bu e t toasté i l’avenir dee fem m es 1 Ha é ta ien t là deux cents convives, parm i lesquels brilla ien t MM. Svhœlcher, N aqu« l,,G uérou lt, Lacretelle, A l l a n t , LalK)u)aye. TictOêAugq s’é ta it excusé; m ais il avait envoyé u ne le ttre d'adhésion^ q u ’on a lue au dessert.. Lfl Happel eu donne piausem ent le tex te ; il

M. Alliért Desjardins vient d 'ê tro nom m é n ieinbre do la com m ission rhaigée d e l’exam en d 'u n p ro je tde loi ayant pour objet d 'iiilrodu ire des niodific-ttions dans la form ation d u ju r y en m atières crim inelles.

Tous les d éputés da l'O ise o n t voté contre l'ainaudcm ent fim iit â q u a tre années le service sous les drapoaux. •

CORRESPDNDANÇEA H . E . C ^ a r t t e r .

M onsieu r le R éd ac teu r, l i y a h u it jo u rs , q u an d j 'é c r iv is m a tro i

fMiT* k a i y x ia i» t o n y a ia a g ,qu ’e lle s e ra it la d e rn iè rà e t l 'ç n a v a is le p lu s v il d ésir .

U n e nouvelle p rovoca tion d e la pàrt^ 'dè m o n ad v ersa ire e t c e r ta in e s aecu sa tio n s d e la p a r t d e son g ro u p é d 'a m is m ’o b lig e n t à ren - I re ird a n s là liée . J e v ien s do n c vous p r ie r d ’ m é t t r e , d a n s Vos co lonnes, c e lte tô u re

' iB léffiëdtaire. On' m e d i t q u e M . T btrion , i e « 1 e p re fn ie r m o t d a n s la q u es tio n dè-

èoirt ï É i e t — * ---------- - ............iqdl'

m o i, veu t en èô re av o ir ledeAifèT; I d ' iié m ’O p ^ s e p as à ce q u 'il s d o à b ô ^ I t é sé tisfàé tiob d 'a m o u r-p ro p ré ' < c e ^ Û â n t ' i l ^ t d éc la ré n aguè M q u ’il n'. . . ava it d éc la ré n a g u è re l q u 'i l o’V

^ o b s t in e r d e p a r t e t 'd’a u tre se rà fl l^iaBdfnà d ’éfléh iiser le s d é b a ts . J e ne' le veux

n 'a i p r i s la p a r t ie q u e p o ttr 'd é fe n d rt i r r  i i e e t m d ro it . M ain tenan . q u e lé In ie t d e 'la discussion e s t é p à isé , je c r t n ^ o c a ra c tè re m ’o b ljg e h r é r t f è r d a b s lè 'étlèticé

l'expressionR édacteu r,

L a u r b n t , C u ré ^ Senlis.

A M » T h l r l o mLITTAB COMPLéHRNTAiRE.

H o n tie n r ,E n p ren a iit co n g é d e v o u s, i ly a b o i t jo u rs ,

j ’ava is to u t Heu d ’esp é re r qtfe la po lé-

iroroj so n t 1'

e t d ire : J e m e su is trom pé. A vez-vous«a le co u rag e d e le fa ite ? N un. V ous avez n(ieux a im e vous é chapper p a r u n e évolu tion ' gauche .

L orsque vous avftz a ttaq u é la le t t re d ’obé- _ ence, je % t is a l répondu q u e pas un iu s ti lu ie u r co n g rég an is te o e d ir ig e ,e n F ran ce , u ne éco le sao s a v p ir , aveç sa le t l r e d 'p b é - dienco , un certifica t d e capac ité . C 'e s t là un

' incon te stab le c on fre lequel v o tre a lleg a - . . . j e s t venue se b r is e r . V otre d ev o ir é ta i t d e d ire ,: C 'e s t v ra i. ,.L’uve*'V0u s d it,? N on. Vou's avez fa it a lo rs u ne évolu tion à d ro ite .

J e vous a î . 'd é m o n tré q ue v o tre systèm e <rtf«fruch'<m exc lu sivem en t laîq&è a t te h te à la l ib e r té de.s co n g rég an is tes q u i so n t c ito ­y en s ' frança is com m e d ’a u t r e s , . c rée un iriv ilëgc (m ur le s c lasses a isée s , im pose un ou g ty ran n iq u e aux chefs d e fam ille néces

s itÆ x -e t d é tru it V égatité éoclale . T o u t cela e s t.p a ria item en t v ra i. U n peu d e g én é ro sité v o u s l 'e û t fa it ' reco n n a ître . V ous n e l'avez pas voulu . V ous avez tro u v é p lu s com m ode d 'é te iid re su r m a dénfi'onstraiion le vo ile de v o tre sileneé.

A- v o tr e . a ffirm ation q u e lU u ti'u c tio n ne )ei(t fitre ob liap to ire sa n s é^re exc lM ivem en l

la ïq u e , i’à l r épondu : L a p reuve q u e vous vous lîZ, c 'e s t q u ’cli 'A llem aghe, où lesseC les eau co u p in u s no m b reu ses qu 'cn-France,<

.'in s tru c tio n e s t obliga to ire d e p u is nq m b re d 'an n ées , e t c e p en d an t, loin d^être e^tclusive- n e n t la lgné , e l l e e s t , au contraire .; p rofondé­m e n t ra lig iea se . Ecà-asé p a r ce fa it, g ro s com m e u ne ,-m on tagne , rnav cz^v o u s donné, ra ison ? N on. V ous vous ê te s en co re esquivé, 011 vous je ta n t d a n s un la b y rin th e d hypo­th è se s ch im ériques e t d 'a rg u tie s v a ln fô d o n t l 'exem ple d e rA U h m ag n e esb, la p lu s viclo* rie u se ré fu ta tion .- J e vdiis a i.p ro u v é ensu ite q u e ' l ’in s ti tu te u r

la ie , queltè*^que' so it ào ’b b n n c vo lon té , se tro u v e dansai iM possib ilité ab so lu e d e d o n n e r r in s tru c l io n .te l le /q u e vous T en ten d ez . S 'i | fa it ap p ren d ra l’h is to ire , e t il n e p e u t, s’en

il y rèn co n tré , à chaq u e p a g e , la à 'to u s les g ra n d s év énem en ts

B sse , i l .n e^ p e u io o

fa it ; i f exp rim era do n c s^iJf a p p ro b a tio n ou son blAme, e t d è s lo rs son en se ig n em en t cessera -d 'é tre e xc lusivem en t la ïc . C a ira iso n - nem en t e s t , ce m o aem blc , p a rfa item en t ju s te . Q uel c a se n avez v ous fa it? V ous l'avez éliîdé e t c o h s id é r t com m e n o n avenu . T ou­jo u rs fidèle à v o tre sy stèm e, q u an d vous ne

ou v ez id ém o lir u n a rg u m e n t, v o u s le couvrez le v o tre silencieux d éd a in . .

D ans v o tre d e rn iè re le ttre , vous m 'ad re ssez le rep roche d mto//ronc<*. M ais de b o n n e fol. M onsieur; q td , d e v o n s ou d e m o i, le m érite le p lu s? P Ja c é s ,ru n .e t l’a u tre , en face de deu x so rte s d 'in s ti tu te u rs , que lle e s t vo tre co n d u ite e t que lle e s t ' l a m ie n n e ? X o in de to lé re r les con g rég au is le s , v o u s les chassez d e l'éco le , e n le u r p ro d ig u an t les tém oignages d e v o tre m é p ris , e t , p a r co n tre , vous fa ites fu m er l'èncens e n l'h o n n eu r d e s in s ti tu te u rs la ïcs p o u r q u i vous réclam ez le m onopo le d e l'en se ig n em en t. P lu s im partia l e t p lu s ju s te , j e ticq s p o u r ' inviolable.s. e t s a c ré s les d ro its d e s deux classes d 'in s ti tu te u rs , e t je p ré ten d s q u e le soleil d e la lib e rté d o i t ' l u ire p o u r les

p e i l b U Ê Ê m -------O a l, « « M » , «M oM Ia iM i l lé m q a l ix m lr e I ro p b l « ju q g 'o l i i lU i l I» u n o f o r ia d o | r u d

^ E n lS tilé iiT ll tb l l j iû o u ^ f tr i^ tf f t 'fw /* d ir if V o lt i i r e é ta il- l l , a u m o in s, u n am i d e la F ra n c e , sa p a tr ie , donk U fu t. d i t -o n , n a e II- lu lr a t lo n g io r ie É s e f P o u r a d ju g e r , éotKilons- le lü l-m ém e . .

* FatriêHtm de Foftafi^.A d iveraes d a te s . V o lta ire dieriAA F ré d é rie ,

ro i d e P ru s se :\ V ou» êt«k -fldt p o u r ê tre Mon Rbl,' biOR p l u u - « u rêm o n t quo S t P rs iM Io b d 'A n U M o u S t D om t- n iq u o M u r ê tre m e» Münt*. ü 'e i t d o o e 'i mon roi q u e J 'o o r ii . . . . ‘

V o tre v o t r e eM étirgR énK dreDe* P rançoia w fe ro n t o h é n c ;V ous Sitt«s le d o à b le n k is i r E t d e n o u s t a in o r i e t d e n o u a p l x ir b .

L ’e n v o y é d e V o tre M qjeaté p e u t d ire A p ré se n t :Les Français son t tous P russten t. O Paris, so is digne, s i m pen d , du v a in q n eo r q u e t u reoev ras d a M to t f « à fc in te ir r é g u liè te e t c ro t t é e . . . .

. Sire, meyqUA daçatParâE e’M t,de-«roia, v o » a je . n ’y p y is p lu s 'te n ir ; le eôté de

V. vo tre aimant m 'a ttire , tàndia q u e le côté 4e l’td» tcIbfflP^là'* — >R»^etp >ra»ee->ni àawleaM .t t’» ■ ’i"u<at

E n 176 7 , F ré d é ric , ro i d e P ru s se , a v a it g a - ié co n tre n o u s la à g n s lM te la ta lU e d e R o s -

,ich, q u i f u t t ^ è i ^ l e B M l o . ^ hum iliée é ta i ta a f is 'le o è u f le t d a n s i r a la n i ie s . l^n hom m e ad ressa, en flrançals d M féU e itt-

t ip n s jo y e u se a jiu v a in q u eu r. I l é c r iv it è o r^ s a r coup d e u A e ttre s * à F ré d é rio ,- q a l lu tp p n d it : r j •

| / « vo^s.retnercie u u .u ,p ^ , f y s f . v a v a PRUiipz a u x houroux h au rd a qm m 'ont aecondô. ^

S ix m o is a p rè s , V o lta iré y re v ie n t, c e t i e ' fp is, é n v e rs :

Héroa du N ord, Jé aavrâ bien : Que voRi aviez vu lea derrièrea -

Dea guerriera du roi trèa chrétien A qui vous taillez dea CToui^reél"

i L e 27 av ril 177 6 , V o lta ire é c r i t à F ré d é r ie , ‘ q u i lu i a v a i t envoyé so n p o r tra it .: ,

j II n 'y a point de W elohe (1) qw UR trecablo A* '' voyant ce portra it lé. C 'k s t p b ic is rh rn t , pa nim Jg VOUL.ua. ’i . I ,-A . .

T out W elobe qui vdua «XMnlM ' /P e terreur, pan lquqe ifrta ttûn t, .E l chacun dit é votre mine

' -Qne dans RdaSacR ob vOuà a peitat.‘ / •Déjà V o lta ire d ira it à F ré d é r ie le ^ m à n

1776 : . u ,i L jToutes loê.f?»: quR J’écna A V otrai.t i ^ t é r f w .

une affaire uujûou wrieuae, Je trem 1Â «j55ïm /«o»■ rèffiinen li i Fosààeh.

A illeu rs-: v . . u -

Tondia que Votre « r^ea tô (ait p rohaU éiK M t 4tf*ncBuvror tren te ou quarante nulle-gueim 'eM j à ^ . cro it ne pouvoir mieux prendre w on teiapaviM Qr ' loi p ré U è W là batafflo dè’1 t^ b a c r < H l î f i 2 M \^

' T I n - v . - , ,.id’Eatallonde.C T .au . MUBle, i w » l 'a r loa lou , par lea azta .et aurtout {

. Le siicte de la U«gu'

re lig tO B _____d e 1 b um àttité . Q uoi q u 'i l E m o n tre r jpd^fférent à l a n

tin s to u t au ss i b ien q u e p o u r les o u tre s . O serez-vous d ire q ue 1 in to lé ran ce n 'q st pas d e v o tre c ô té?

J 'a rr iv e m a in ten an t a iix deii!f iWi«(ra(iOTii frança ises q u e l'o n m 'acc iise d 'a v o ir a ttaq u ées , e t j e com m ence p a r M. tia m b c ttn , p e rsonna­lité v ivante , po litiq u e e t p u b liq u e ; son la n -

c de ais à

_____, __________ a p ­p réc ie r. H a is qu e l m al a i- je d i t d e ce p e r­sonnage , s 'il vous p la ît? J 'a i affirm é q u 'il es t.

g a g e e t sa co n du ite re lèv en t d u d o m aine de Popinion e t il n 'e s t pas un c itoyen fran ça is à |u i l'on pu isse c o n te s te r le d ro i t de les a p -

*. H a is ...................................

com m e MottUi B d n v a le t'é t c o n so rts , partisan • • J pa tro n n ez .

N 'c st-ce p*as v r a ^ * ' ' 'd e s idées péd ag o g iq u es q u e vous

r v ra iT Ai-je com m is co n sta té q u 'e n tre voi m essieu rs H y a ; so u s ce ra p p o rt;

n a u té d e s e n l im e i i ls e t d 'id ées? E n to u t càs ,

A i-je com m is un c rim e e t ces

QuOil e 'w t 9on'(?'éét hdàreux'véitiqéeû* R tdB l'A utrich«j9 t< fA tn-Franc«J^/ ,

L e 1 7 DOvepabre 1 7 7 4 ; ?; jVoui-approqdçez.iVix tVelçhç»,

dctostor le muatisme, pomme voualeur'avex appriR * lé m étiér d e là guerré„sitaÙ tctSt qU'Ue ré ir â t li|p- !»“ • , : . . ■, : '. I J , -ni

Le 7 d écem b re 1,774, il é c r it en co re am rg id e P ru s se :

Voua Bouvoaoz-vouB é'uno pièce cA arm anta q m you* daigi^tre m'odvoyoF, il y tf u i ^ d » qi

no pièce cA arm anta q m ’, il y t f ^ u i^ d » quiBi>''<

daua UquoUe voU«'jlôp«ieiiezai bi«ik-:<Ce peuple aot e t yolago . . : ' v ' ;Ausal vaillant au pilUKeQuO LiOBE DXM L es dOUBATS? /•- ^ <

Kn n l â i m » : ' ’ •I L’aoifonne: pnusiea no-4oU' u r r i r qu'C'VUiM-i'<

UKTyBB A O B ^U X LKa,W ELOtlB3. . . j

A près ce la , H . de T ocquev ille q ' t - l r i l . j ^ e u ra iso n d e d ire : « . P en d a n t td k te 'sa vie»« Volta ire n e cessa de d én igrer i a p à tr ie 'ê é ^ - i ■ i v a n t les é trangère. » | -./ :»i: E t vo ilà d o n c , H o u sieu r, l ’h o m m e qM iiV fli

a m is ap p e llen t u n e t /f iu tra tro q f i ra n ç a to e .lÀ • e 'e s tè ce tte à(ne b asse , ra ropan te l fé lo n a e V q u i,, p e n d an t lèé n o r o b r e a ^ ah n ées d e ' ^ t t i t t h ' '

Îxistence , ai b lasphém é D ieu , jiOOM paé'lâ-- 'rance , a p p la q # à se s d é sa s tre s , viUpaitd4<

aes a rm ées e t appe lé n o s p è re s lâches d ig ê les com bats i c’eé t à c e t idso ltèu ir d e J e a m e " d ’A rc , l ’u n e d e n o s g lo tre s o a t io u lA t , ce tl i - ’*» là , à c e t bom m e in d tr e à «a p a tr ie e t o o oehé

len rs d ’un p a n é g y riq a e l. E l v o u s é te a Fra*>> ;a is l F ran ca is -V o lta irien ! A h! sacbeB tM m H L. lieur, que .pea d c ^ x .m p is h u r le n t d e ae t r ^ rer ensem ble . P ru ssien -V o lta irién , à U b o p n e ic iira l Là* t n i t - d ’iihion ‘ ic i vh d e soD’- l l a i l “ '‘

a i j e d o is ê t r e p eu d ü p o u r ce p ré ten d u* • • • ' ; l e P r é -----------

àv raé li ........... . . . jn b e tta

.|m *sttia«N sl4>-biea e u deçà

fa it, M o n s le u rle P ré s id e n t d e n o tre in sig n e R épu b liq u e d ev ra é lre n n o r la co rd e , c a r 11 a déco ré H . G 'am betta du nom d e /o u fu r ie u x e t

d!i

R épu b liq u e d e v ra é lre n n o r la co rd e , c a r déco ré M . .........................................................

M_é p ith è te à l’ad re sse de î ’am i d e vos a in is .

n .— . V jg m ain tien s d a n s .iv u ,s q ue j 'a i c ité e s com m e

__ „ co rresp o n d an ce e t q u ijrô n v en i, de là m ap lère |a p lu s C laire, q u e Jes m o ts : écra so n s C ln fém e, son t'A ynonvines de écrasonsle 'ea tho lic ism e\6 t, n o n seu lèm en t je les m ain tien s, m ais je prott^stè. avec ( ^ t e rind ig q a t^o p d ’û iie ' àm è lo ya le ; co n tre les so iis-en lead iis c l je s p o in ts tro p sign ificatifs d o n t vôds à c c o m ila n e z vos raflexlOHs. C eU t l è ’, M » .............................................................s tè s ex p éd ien ts tfnx-

5 oua i ^ l â e t'idè b ^ 'u c ô u p d 'a u t r f ô ; e t,

i te la s tid leu se é tiid o " ,» sou tié ità , p h s i lamals,im àie , qu ’i ï es t'rm p o ^^ tb fi à tq iÿ ''h o % h ië |tfè ' .onpé'fb l e t d e ' I ^ se n s , in it ié à la vo lii-

n lbéO se 'co^rèsim nqance de V blifiirc, 'i tè n e

Sï f i j S u W . d an s V lh U fn eon t I v d e m n rd e s r so u v en t Y écr 'a sm en tl '

' Q de ‘ re u tH ljfb lta . d é ‘ F K rh ë j à lf ten d ,fé la 'n f l^ e qM . v tn i . )^Hez.. f, P oni* ta i ^ l^ 'io n

^ fttiâè'chm nù Je â 'e d dlsètjoViéns pas ; m a is qii’^ t - c e

Iqllè’ c iia lp ro b v è , s jn h n q u II sav a it sé c ô f if r t - ’ V m ,iè 1 ô o T e s b w |n a â e s a c a u se , e t qllif son. * fàbssfeelhypbçrilè ,

couvrir d u m asq u e die Is

m iq u e , sou levée e n tr e vous e t m oi p a r vopie sy stèm e d ’in s im e tio n exch u ivem eM la ïq ké , é ta i t irrév o cab lém en t te rm in ée . V o tre lan ­g ag e m 'a n to r ira it à p en se r a in si. M ais pas d u to u t. V oici q u ’a n m o m en t o b jf f croyaism o n a rc e t m o n u r q u o l s a u repos lo ng tem ps, vous rep ren ez l'o rfensive e t m e décochez un nouveau tra i t . V o tre groupe

. dévotté acco u rt à v o tre seco u rs , e o .o fa c c u - r a n t d ’avo ir a tta q u é deux g rd n d e t Illustra-:

fra n ça ises : y e t t a l r e e t G am betto .J e d escends d o rie d e n ouveau d a n s l 'a rèn e ,

p n isq a e vous m ’y prefvoquez: m a isa u p a ra v a n l perineitez-fflo i, H o n s le u r , d e m e p la in d re à

taljéürtâU p as h s e c o t . . . . , ___ ______

to irea d o n t jé p a r ia is d an s inia d e rh lè r c le t t r e : S i l l i e u i Y e m t a h p a A , {I fa u d ra it F inventer. D d n e v in g t'a r tf p ie 9 a u r a b e a u je u ? L u i n u i, (dihs tine ie 'tlre d u 8 m ars 1702 , a D am ilav llle , n ie T a D iv in ité d a n s la confession e t la tr a n - e ilb s lan tia tl0 D ,d an s t'E u ch ari8 lie , ne pouZse- t - i l p a s l’im p ié té ju sq u 'à s 'a p p ro c h e r d e la i i b l e sa in te avec c es m auvaises d isp ositions? I l s 'e i i ren d u coupable de ce tto abom inab le p ro fana tion ép 1754. I I H i ; e t a iix F àq u es d e

H ûcqpfen t d é ce lte d erriiè re cbm rau - q lo o , d ' A b e r i l u i ^ r i t . l e 81 ^ a i 1768 : r a i b ià t p e à f que vous h 'oye» r ie n ga g n é à e e ^ coM u iil, p e u i'é lr e d g n g e re u u p o u rv o u s .

n en râ d ’un p a n é g y riq a e l. E l v o a s é te e Fra*>> * f a i s ! F ran ca is -V o lta irien ! A h! 8 a c b e B » M o t^ , s ie u r , ( v e r e b c u ra l IF ran ça is -V o lta ir ien l l is p o s s ib le l J a m à U I O n - b ie n , s i vquS y ten ez , j e oq inp rqpds > g l< ^ v o tre a n tip a th ie p o u r les In s ti tu te u rs c d i û ^ g a n is te s e t v o ire c h a n d a n te tdéd dé* falrë-$ôri-^ ' t i r l e s p é t r ô l e u r s d e l e u r s 'é o o le s . ' ' > i ' >

Q uo iqu 'il e n so it, M onsieur; j 'o u y re e n t e

d e s CfoHéà e t l e s ’d l r d e V o tta lre to u t i e s t im possib le . H a is n o o , m on c t e u r n . »

m iè re cte n d re .

d o p M * hn e v e u t p a s ren o n ce r ît l'e spo ir, q u 'u n ou l 'a u tre , v o tre ftme à 'o n v r in i 11 j n - « e t q u ’a lo rs nous f in irons p a r no u a é n ^8 f in irons p a r n

' ^ ü r é ^ m t i s T ^

î r . J M 'i

' M .~ T h lrion rt'bom m e com p te ti n o u s fa itfa i g râce d e n e p a s nous tro u v e r sé rieux . D am e I

d é c ^ ^ ^ S d ^ d ^ c r a ^ i ^ ^

I T o u t c ë id é iirlii lie 'F é m p fc b é ^ ÿ lH de iB O fa ire sé rieu sem en t, trè s s é rieu sem en t, com m e à u ne q u es tio n t r è s séüTéitse, l a déso p ilan te

land e rn eau d e la S o u sp ré fe c tu re l— M . 'T hirion

D creim el, l’on avance d c ^ r e u v è s , H . T b ir io nd è ù r ffans p é r ils .(a it u n e fe in te

im e n t v e rs le s .f te p p e s de

ectjle indé

daéa' und 'am o u r.

t b « d

D è d e la d é Q aton éia lta i p a té l in ,U stÿldsi pouvait a tsé iu n tli'y tro m i^ f.

F rère VMs«it B#zUv), «ftoorivunt U volNoua,»* •oInWH,plus « a qqereU*;Pais g ên ên l* m it* fo ii; •Je viôni te l’anuoRrer, dèaeM da'dM M

' ' (F e iÉ h W i 'i

Algsl pw U li (é, m i r A el r tU O i . jw ! » n a ïvem en t à t i à n à g b q , ,vu q u e le C l te y e o -e x -P rw d w t

](!} Nom qù« Vultaire donakft àux Fraaig*li.*

heiira 'â

Page 3: ECHDS 1|T LK SKRVICE OBUGIIUBbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_06_13_MRC.pdf · 2014-02-27 · Elle est vermoulue soue sa coucbe.de dnture. MM.' Deregnecourt, Beii et

JO U R N A l. M S E N U S .

■ i i i i ' ^ n l U R ^ b l l - «a in l i t é U f i i $ « l  ‘^ I V i M r t U n p i i i r i « « n C’e t i , d i u l i , M le liM M u e m , s a r i i n sim p le ln v iu u o H M < a o im iiÉ r le 8 M » > m e t q u e le C o a H é J 'M t4 lM 0 U L .. s p M lM é n e B lI (sic) • I u j u eonc in t «vieo c e t ip le m b q e l le e tn e * té r i i t i i q e ’i U b i p u é l é c m M i . M n M e l l e - l-U le B o t .£ , |ip ie p l t d e H U ilN i ; - iM p M tà » ,4 lv if «h se ra is fo r t ^ r i e u m ssTOlr d a n s que l

leïmioB è r t a a s q , « p o u r ê t r e exacte ,. . . p f tfp e s iU b d d o ii 'e lre a ia s lfo rm u lé e :

u j l ^ l t é R ép o b llca ia a é té o u n ’a p a s é té

il | e d isso u d re , < e s t q a ’ll ‘ “ lec la loi» i

se .d iasood i

laW lé ^ se d isso u d re .S ’il , a é lé .ta a tU ii t ______

n ’étali'piîB e t I î g i B avec la h^ i O r , il a é té tnw 'fd b

e a u x lo is qp aoo p ay s . L a calo i B tt r im p u ta iio n d ’im f iü t fa u x .

p o u r ^ éi d l e l r â r ^ tro p d ’ex p érien ce

, l e sav o ir , è r i e n i t q u e j ’a i M tp rocbé a u C om ité ré p u b lic a in su b s is te tou ­jo u rs , e t m e n ro tè m û iIB sam o ien i «

ossière-inaiDilalTott -qué le pUbHc «w a d é jà ju g é e com m e e lle l e m érita it . A u

so ro lu s , Je a n s d ’acco rd év ce M . T h lrio n : Ouii^dom-Bazlle!4i f t l t d e s é lèv es , m a is je n ’a i pas> o u b lié le ’ty p e ' q u i e a ra c té r ise ce per­so n n a g e d e la o o ib é d le , r e g a rd o b liq u e , ch e f to u jo u rs b a issé , a tü tu d e ra m p a o te . M on p a sse ' p o n 'e b t e n rè g le , M o d s ia ié , e t j e n*y u rien v n d e sem blab le . .

) . t e p f ta ç ,) M , . f h ÿ i w p « lB a a d q u e pari d e ta fo id e u r ae p rm c tp és d e s r ^ é f t c a t r u : c e tte ro id e u r so uven t cb e rcb ép , j e n e l'a i t ro n v ib ié n e d a t a J a c o rd e s u r la au a lle il b a - lan o e ,av ecu n e re in arq u ab lq i{ac ilité ,Ies p r in ­c ip es s e lo n je s boM lns d e l a cause .

l 'a i d i t p lu s h a a t . i o u ^ n 'é c r i r a i t p lu s ; chose b iz a rre . Je n 'eu c ro is p a s u n t r a l t r e m o t. D ans to u s é e s e a s , q u 'i l re tie n n e q u e je m e fe ra i unsc ru p u le n i d ev o ir de n e j a q u l s ê t re e n re ta rd avecIutV ^ '

A g réez, e tc . . ’* ' •i- i '* d . DU ROQUarSUlL.

— D an sja n u i j d u aaroedi au d im à n c h e S iu ii^ q ^ a 'm tif lte o d o it dans l'ëtêise d ’AhlheuU. V ers ô o w heures d u so ir, com m e le s t e t t ' l é l n r ^ lU a réd u éd b rtan t.rav en a itd a che i saiD èK .:etpaasait, p f te d e T é g ^ , aoa c h i tn ' s 'e a ti la iû é d ans i e a b o u n t d eto u te sm .forces,, ()e OUI >011 p ro b » lem eQ l e R ra v é le ro le u r , c a r i l s 'e s t - n l t r é «arm riea p r t t m i k à n s fiW iu rer les U oùes. ' » L :

ju in , vers deux h cu fe i d u m a tin , le n o m m é - B ^ u e t , cultivai te u r k Grapm, b tm m u dettceu iU Ie-Sec, accou< ru t'ch es le g aninrebam pélre O onat e t lui

^ * de .TOUg," *PPf‘l

S|ue Dapoty. scièdé dp TOtig, ava it é trangle éa ettmopi PqpplM FPO<bl e u e d lè t 'du r |m l i e u i ,

m aiaJe.coupable avait p ris la fuite.Après avoir com m is son c r i i i ^ P ançty é ta it

a llé tibüver B O cqiie t'e tId l q v ^ i e n n ' ce tan­gage : • J 'a i péitM ré A iez hiV fem m e en b risan t un,M T|B qi|.'de l ' a ^ w / e r d i t f ;a c p o m p ^ o te d'uBuaemme. 1I& s o n t ensu ite so r tis tous lés deu x . Un peu j ) | i ^ , ^ i . q u a u é j 'a i pensé q u e m a fem m e ^ t seule, j a | o u v e rt l^>porte d e sa ch am b ré C é t^ d la i^ rd iU t • ' (7ést a u jo u rd ’hui ton dern ier jo u r i 'f a is la p rière e t d em ande p ar- dop . > A ces m ots, je i’ai saisie e t . lu i passant m on foulard au to u r du cou , j e l’ai accrochée aulo q u e t d e là po rte ..

L attM llieureiise ne d onnait p lu s a ucun signe d e . ^ t ^ n d D o n a t'a rr iv a .«liéz elle, 'D apoty n 'a PO encore ê tre re trouvé.

t e h s i m l i l l j . — M. le d u c d ’A um ale r e c e - v r a J e ^ ip r o c b a ln & G hauiilly .

i i y a u r a c u o c e rt, d a n s leq u e l s e f e r a e n - te e d c e , j io u » a s su re r t-o n , V iardo t. .

C è A lÉ ip lé p ^ e ' — L 'aasem bléeigéhérale e | la (été annuelle d e la Société d e s S auveteurs de rO lse qqrppl.lieu è Coropiègne, le d im anche 16 j u j i f o u r v i l r . .

.Volet l’ordre d u jo u r d e ce tte céréafionie :A onze h t'u rrs d u m atin , réunion dana la

' ty ru rd e le g a re d u chem in d e f e r ;

A o n ie h e u re * e t dem ie, d ép art p o u r l 'é g U a o |*: • D u é im o u z crA no 'de Sainl-JacqueB ; un serm on sera prêché p a r o u a v a it b i t l o in i t r r n f i in e M. l 'abbé Braater, ru té d e S o in t- J o s e i^ d e P a r iee t m em bre d 'hou iicu r d e la SoclÂé ;

Une q uête sera l'itte p ou r les m alades d e l ’a s ­sociation ; à m idi et dem i, séance solennrile dans ta salle d u (.^m naee com raunnl, e t d is tri- bu tîM d es p rix (imidailles d 'o r e l d 'a rgest) , d é ­cernés p a r fa üoc é té pour encourager le* actes de dévouem ent.

M. le colonel, (tu 18* d ra sen s a bien voulu p erm ettre à lu fa illir* du i-^ im on l J e p rêter son concoure à la cérémonie.

L’O rphéon e t la Société thé&trule se ferootéga- leroeaL.enteudre, „

C s N ^ I . — L e feu d ’a rtifice an n o n cé p o u r l e m ard i 11 Ju in , à T o c é a s Io n d e la fê te p a ­tro n a le , n 'a y a n t p u a v o ir l ie u à c a o s e d a m au ­vais tem pe , s e ra t iré d im a n c h e 1 0 jn ln , i 6 h e u re s e t dem ie d u so ir.

C s> ép7. — Nous avons p arlé , d it le C b u rn e r d e rd is n e , d 'iine femme de Gréjpy q u i avait ten lA de se pendre c l n’é ia lt parvenue a se b ir e m ourir q u 'en se (ffécipitaatdans u n a b reu ­voir.

Le jo u r de son eu terrem ent, son m ari d isait ê plusieurs personnes q u ’il ne voudrai^ jam a is term iner ainsi sa vie, ca r c’é ta it tou jou rs un déshonneur pour la famille. Malgré sa louable Intention d a ttend re u n e m o rt o alu relle . il, s ’est pendu cette nu it dans son g rep idr,'

I l ra ra i t q u6 ce t hom m e éta it d ’nn carac tè re très faible. Il a accom pli son tris le p ro je t en a rriv ap t de l»aon, où il avait é té appelé devant le ju g e d 'in struc tion com m e sim fde téraoi*

.................................... ’m i 'daua une a f la ii^ d s vol. L’ém otion 8’..^- d e lu i, e t , d a u rs o n (roub le , il a m is fin jo u rs .

nom m é Levasseur, H ip ^ ly te , ftgé d e 8S an s , m anouvrier, é tait a tte in t'd ’épilepsie. Le 8 ju in , vers r iz heures e t dem ie d u m a tin , il a é té trouvé m o rt, à quinze cen ts m ètres d 'E pineuse, su r le chem in vicinal de ce tte com m une, h Luchyi H . Lié- n ard , m édecin à Sacy-le-grand, app rié è cons­ta te r le décès, déclara q ue Levasseur avait suc­com bé a u m al d o n t il é ta it a tte in t.

■ 'M s i g r a j . — L’au jeu r d u m eurtre de Lassigny, Ë u ^ i ie B onvàlèt, m algréson h o rrib le blessure, est tou jou rs i l’Ilétel-D leu de Com - piègne. U lui est im possible de parier n i de

f(rendre aucune n ou rritu re . O n est o b lM de ui d onner è b o ire è l 'a id e d 'u n blberM » II-!

est égalem ent d an é -l’im possibilité d e p a r le r ; son langage consiste en des sons fauquee e t ioarlicu im .

U a u s M a r t . — Un iudividii nom m é N on d ercq , chaud ronn ier à L ab ru y ërt, ten ta dern ièrem en t d e d u p e r p lurieura n ^ o c ia n t i en p a s u n t de la fausse m onnaie. I l en tré chez un déb itan t d e boissons, chez un épicier atd iB ëreots a u tre s c o m m e r^ n ta , | ^ t quelques p a titsv m e a , ach e lad ly ers çilqets e t voulu t payer a ie e .d e s - p iëcrédéicinq e t d e -d ix 'c e n tiio e e Ü lancb ia è l ’aide d ’u c m étal im itan t l 'a rg e n t, q p 'lv d o h w it ponr des pièces d e un e t d e dmix fréncs; V ais la

; ru se é ta it t io p g ro ssiè re : Iw^ sous suqÎ ' élus g ran d s q ue les pièces d 'a ig en t, aiissi i l en (h t p ou r ses frais ou' à-peu -p rès, ' c a r , a p E te .u o ilr trom pé u ne pauvre ibm m e q u i iie. v o it p ^ bien c lair, il v it les au tres com m erçante refuser ea m onnaie, e t finalem ent fu t p ris p a r la gendar-

COIITÉ MCHÉOLOGIQUE DE SENLIS

SéANCS DU 11 AVRIL 1878P résidence de M . le com te de lo n g p é t ie r -

G ritnoardi(S u ite .)

• H . d o Q u atre fag es e t te d o c te u r P ru n e r - Bey n 'a d o p te n t p a s ce tte conc lusion , m a lsô n n an te p o n r la v a n ité in h é re n ie h n o tre eapèoê. I l e s t im poesib te , d a n s u n ra p p o r t si succIdci, d e ré p é te r le u r a rg u m e n ta tio n . T ouJonrs est-il q u e le d o c te u r P ru n e r-B e y , re o re n a n t to u s les dé ta ils a n a to m iq u e s d e se s ad v e rsa ire s , ostéo log ia , m yo log ie ,; ip la n - c h n o lt^ ie , p ièces en m a in , cfest-ù-dire avec d e s c rê n e s d e s in g es trè s -é lev és d a n s la h ié ­ra rc h ie , e t d e s c râ n e s d 'hom m es au ss i d é ­g ra d é s q u e p o ssib le , d é m o n tre q u e . m a lg ré d e s s im ilitu d es p lu s a p p a re n te s q n e ré e lle s , il y a là d e u x ty p es, n o n -seu lem en t d is tin c ts , m a is o p p o sé s , d o n t l’év o lu tio n s’o p è re .en s e n s inverse .

. ........................... indertba ll d o n to n a v a it Hait le i r a i t d ’a n l p o i n i r e rh o m n e e t le s in g e a u lh ro p u lJe , le p(>|ni do tran s illo n d 'a a e « sp è o e A ra u ira , l a ti-adsform atlon p rise s u r le fa it , M. P ru n er-B ey firit u n e p re u v e k l’jm p u i d e sa th è se , c a r il d é m o n tre q u e ce c r i a e e a t c e lo i d e rAoipiiie, d e to u te s p ièces, n o rm a l 'm alg ré se s ano m a lie s s p é c ie u se s , e t r e n tr e d a n s l e type AiMMiti. p récéd em m en t défini oom ine p iq w s é a u type sim ien .

• C e q u 'il y a d e 'ren m rq n .n b le d a n s c e s d iscu ssio n s, c e s t q n e d e p a r t o i d ’a u tr e to u te coB Sidérallon p u isée d a n s l’o rd re raoraJ, re lig ie u x , o u d e sim p le convention ,’ s 'e fb c e p o u r la is se r le ch am p lib l'e â la science p n re .

■ A q u o i b o n c e lte in cu rs io n , s i fug itive qu’e lle s o i t , d a n s u ne rég io n d’idees q u i nons e s t é tra n g è re ? l e ré p o n d ra i q u e d ’in stin c l II e s t d ilfic ile d e r e b i r e l 'h is to ire du m o n u m en t sa n s s o n g e r à l ’a rc h ite c te , q u e l’h ls to lra n a ­tu re lle d e to m es se s I m n c b e s fo u rn it d’u tiles ia d k a l lo iu à l’archéilh>gue, q u e la q u esiio o m ise A l’o rd re d u Jo u r , q u estio n s i p le in e d e r é v é la tio n s Jad is In a tten d u es , e t q iii n o u s e n p ré sa g e d e n o u v e l lè s ,b q u estio n d e l'hom m e

* irg it p o u r a in si d ire en a illou w r lé so l q u e nous

fo u lo n s . J e n ’e n v o u d ra is p a s c ite r d’a u freex e m p te q u e le tona àarrow d e C bam ao t, fou illé e t é tu d ié d è s I a b o rd avec d e s p ré o c ­c u p a tio n s ex c lu siv em en t a rch éo lo g iq u es q ue n e s eco n d a it p a s l 'a n th ro p o lc ^ e .

« P l u i e u r s d e n o s co llèg u es (on t p a r tie d e la Sofâété -de ' P a r is , q u i s e liv re â ces é lu d e s , e t le u r c o n co u rs nous s e ra it p réc ieux d a n s p lu s d’u ne c iro o q stan ce . Vbilâ p o u rquo i j ’a i c ru d ev o ir in s is te r s u r ce tte p a r tie d n r a p p o r t

U u s ^ .• J e p r ie IL l’a b b é C audel e t m on co llègue

M. V ine t d e vou lo ir b ie n c o n s is te r q u e « o i u fivons com m encé n o tâ t i n v a i l de classem erit d e s o b je ts . \ • '

• L e p re m ie r so in a é té u n n e tto y ag e g é ­n é r é q u e la M a s s lè re re n d a it In d isp e n sa b le ;' m ais c e s e r a I tftravail d e P én é lo p e , t a n t q ue Ton n e e e d éc id e ra p a s A fe rm e r les v itr in e s d u c ô té d n murVsQit avec d es v e ir e s (don t le c o û t s e r a i t d e w f r .) so it a u m o y e n d e p e tite s p lao « d iM .aér-lesq u e lles o u co lle ra it d u p a p ie r r o i ^ , fodd s p r leq h e l lé s o b je ts se d é ta c b e ra ie iit a v an tag eu sem en t.

f M ous av o n s é tab li le ca ta lo g u e d e s liv re s co n te n u s d a n s le c o rp s d e b ib lio th èq u e d e . la g r a n d e s a lle . N’ay a n t p a s l ’e sp ace vou lu p o u r c la s se r p a r o rd re d e m a tiè re s n i, ra n g e r en sem b le le s o u v rag es d u m êm e a u te u r , o e s t la com m o d ité q u e n o u s av o n s d û c o n su lte r ,

= e t l e fo rm a t d e s v o lum es a é té n o tre g u id e ; d ’a ille u rs u n è ' ta b le a lp h ab é tiq u e p a r no m s d ’a u te u r s s e ra jo in te a u cata logue .

f Celui-GÎ n’e s t q u ’u n e p a r tie d u ca ta lo g u e . g é n é ra l : m a is av a n t d’y p ro c é d e r , i l f a u d ra it

--adop ter « n e -m é th o d e die c la ssem en t p o u r ^ o s le s o h je ts d u m uséè . Q r , voici e n q u e l- q irè sa so ts q u e l s e ra it n o tr e p ro je t :

« 1* A d o p te r u n e sp ace d é te rm in é ( 6 â 6 v itr in ra e t ,d e sso u s « ficelles) p o u r y .ra n g e r s o u s la ru b r iq u e A H n e s to q t ce q u i s ^ t trq u v é «tans his fouillèsJ 'L es  iè iie s so n t en effet p o u r a in si d ire le c b e f^ J ’œ u v reS en lis ien , le p ro d u it d n .,crû , e t to n i h è B o e o r l e a r e s t d û ;V « P o u r le s a u tre s o b je ts d e provènanoes

' d iv e rse s , j ’a d o p te ra is a u systèm e p e u sc ien ti­f ique p e u t-ê tre , m a is trè s com m ode e t d o n n an t u n ré su lta t t r è s satisTaisapt à f œ i i , c’c s t- â - d |? e l e d a s s e m e n t .p a r m a tiè re p r e m iè r e ^ p ie r r e ^ v e c p ie r re —r m é ta l avec m éta l. •

« J e v o u d ra is affec te r à la scu lp tu re p ro ­p re m e n t d ite le p e tit o ra to irS | e t tâ , .clas:ier m é th o d iq u em en t p a r ép o q u e , è p a r t i r dq s ilex Ju sq u 'au x p lus d é lica te s s cu lp tu re s .

« Id em p o u r le s m é tau x .• Ic i s e p ré se n te n t d eu x sp é c ia lité s ’K iié-

re ssa n te s .t 1 * D esg rav u re s(lith o g .. p lan s, p h o t.,e tc .)« fi* L e s m o n n a ie s e t m édailles.M L esp rem iè re s , o ù s e tro u v en t d e s p ièces

d’u n v ra i m ê m e .( e n t r e a u t r e s d iv e rse s d u es a u d o c te u r M oreau ) g isa n t p è le m ê le d an s

. dm im es d e la p o u s r iè re e t d e l'h u m id ité , M .^ in e t a com m encé uii c lasse- m e u t, m a is p o n r q u e c e s r ichesses n e so ieu t p a se n fo u le se tp e rd u c s , U faudi-aitqm : d an s le c o r r id o r a tte& ao tâ la g ra n d e sa lle , d a n s c e lte sa lle e lle -m é m e , o u p û t fa ire 'c o u rir deu x tr iu g le s ,s o u te n a n t te s g ra v u re s , e tc ., e tc . J e

prl^d’dilleura H. Vlnet; d’exposer verbale- •(« idées à ee sujet.

« Q uan t a u x monnaies, c’i-st A n o tr e a i­mable et sivatsl secrétaire M. D upu ls , que j ’aurai recours pour la d é ie m in a t lo n e t le rangfmeai des no m b reu ses p ièces en co re enfouies dans les tiroirs. In sn lh san ce d e v i­trines!!

« S a fin , en c o re u n m o t p o u r l’o s t é u l c ^ ta u i h am a lae q u ’an im ale! u n co in sp é c til p o u r e lle e t u n e m é th o d e d e d a ss ilic a tlu n .

. • D’ap rè s c e s id é e s ém ises o u plutA t Je tée s A la M ie ,o a oom torend q u e je v o u d ra is c in q . à s ix s M e s «l’o id e is an a lo g u es p a r le u r i n a tu re , e t le c a ia lo g a e p o u rra it ê t r e réd ig é roétbodiqueineB t.

« E xem ple. D ans la s é r ie B. — P ierres, vqici u n silex p o r ta n t le n u m é ro d 'o rd re 9 .

« L e n u m éro c o rre sp o n d a n t d u ca ta lo g u e con su lté d’a p rè s l in d e x g én é ra l re n v e r ra A sé r ie IL n* 9 , e t l e v is ite u r t ro u v e ra : P o in te d e flècM o n g ra tto ir d e te lle p é rio d e , (elle p ro v en an ce , o o n n é p a r M. X . , e n 1 8 . . .

« J e p r ie en c o re u n e fols c e s M esrieu rs , d e d éve lopper m o n p r td e te i d e le p ro p o se r A l'ad o p llo n d e la ScMciété. H a is d a n s le cas affirm atif, nons n o u s tro u v e ro n s e n face (Tune q u estio n p é c u n ia ire , e t Je v o u d ra is q ue la Com m ission d e s fonds, H . le T ré so rie r , fu ssen t a iq w lés à d i r e d a n s q u e lle s lim ites Je p a ls c o m p te r s u r d e s seco u rs p o u r le s d iflé- re n te s «lépeoses qu’occasio n n e ra ien t ces rem an iem eo ts . »

;L’ab sen ce d e H . d e H a ric o u rt n e p e rm e t p a s d e d is c u te r la p roposition c o n te n u e d an s la d e rn iè re p a r ti^ d e s a no te ; on fa it o b se r­v e r , d 'a i l te u n . qu’u n c ré d it e s t o u v e r t a u ^ d g e t p o u r l 'e n tre tie n d u m u sée , e t q u e m . le C o n se rv a teu r p e u t lu d é p e n se r su iv a n t les diSM sitions «lu’il ad o p te ra .

— H . le D 'A . M oreau analyse le sH é m o ire s d e rA cadéro ie d u G a r d , q u i lu i o n t é té con­fiés.' 11 sig n a le d 'a b o rd les d éco u v ertes fa ites p a r M. Q erm é .D u râu d d 'un g ra n d n o m b re d e m arq u es «le G dirique «le vases, d its S am ien s. L e s m êm es nm n s se re tro u v e n t so u v en t sn r- d e s frag m en ts d e v ases. U n a u tre a r tic le se r a i ^ r t e a n litto ra l «TAigues-ftlortes a u x A in * e l XIV* s ié c te s : il y a u ra it , d ’a p rè s l ’a u te u r , ex ag é ra tio n s u r le m o nvem en t d e r e t r a i t d e U m e r , e t il e s t p ro b a b le qu ’au teiBps d e ’ in tp L o u is les n av ires a rr iv a ie n t à la vd le pZ r u n c a n a l Com m e p re u v e , on au ­r a i t découvert d e s tom bes a n té r ie u re s a u t e à p q «m isad esi «laus d e s t e r ra in s q u ’on su p p d éàh cd nvertâ p a r la m e r â c e tte ép o q u e , H . I|«>reau m o n te «lue d es re n se ig n em en ts q u i liii o n t é té d o n n es p a r u n o ffic ier d e m a ­r in e côo firm era ien i c o tie o p ln io n , q u e la m er s’e s t e n effet re t i ré e , m a is b eau co u p m oins qu ’o n n e l ’a c ru .

H . M oreau sig n a le en co re u n e é tu d e in té ­re s sa n te d e M. J . C an ro o g e , s u r la lé te a n ­tiq u e q u i se tro u v e d a n s la g a le r ie d u d u c d 'À rém b erg , A B ru x e lle s , M 'q u i a é fé lo n g ­te m p s co n sid érée com m e u n e v a r ia n te d u Iriw ÿofu . L ’a u te u r a r r iv e â c e tte conclusion q«rii la tê te «le l’h ê te l d 'A rém b erg e s t an té - -rieu re a u g roupe célM ire d u pa lq is «les C é sa rs , q u e l’A p re s s io n d e s t r a l t s n ’e s t p a s la m êm e, e t qu’e lle do it re p ré s e n te r u u P b ilo c tè te d o n t, a u d ire d e P lin e , u n e s ta tu e , œ u v re d e P y - (h ag p ras , se iron 'valt à A thènes. O r, c 'e s t

d’A thènes q u e la lê té d e l l iê te l d ’A rcm - e n m arb re d e P a ro s , fu t d écouverte .

. le D* B ourgeois a p p e lle l’n tten tltin d o C om ité su r des fum uft situ é s p rè s d e C répy , e l ( la i n’o n t p a s en c o re é té fouillés.

H . le P ré s id en t, A c e tte «>ccasiuii, re g re t te q u e Iq Comité, n e so it p a s re p ré se n té d a n s ce can to u p a r uii m em b re q u i p ù t s 'a d jo in d re A U . le l y B ourgeois, afin d 'é tiu lie r le s m onu­m en ts in té re ssan ts .

M .'lé D* M orean ap p u ie ce tte o b se rv a tio n , en s ig è a la n t A C répy m êm e la dém olition p ro c M M e 'd 'a a e an c ie n n e m aison , q u i re n ­fe rm e u n e che ih in ëe très-curieuse.

P lu s ieu rs m em b res e sp è re n t q u ’il s e ra it possib fe d ’av o ird e s d e ss in s d e c e tte chem inée a v a n t t a d e s tru c tio n , si l'in ten tio n d u p ro - ' p r ié la ire n ’e s t pas de la con se rv e r.

— M. V a iiie r lit u n e no te s u r le s p ie rre s tom bales d e S a in t-L éo n a rd , à laqu e lle il jo in t une liste d es p r ê tr e s q u i o n t d esserv i la p a ­ro isse d ep u is le «commencement d u XVl* siècle .

Il offre e n o u tre a u Com ité u ne p e tite b ro ­chu re c o n te n a n t le p ro g ram m e d 'm iu tra g é d ie — S a in t-L o u is e n PalesU ne, — re p ré se n té *

p a r l e i é lèv es , A S a lo t - T l o o e à l ^ r o é l i i l d a d 'u n e d is ir ib n tlo n d e p r i£ , e n 'f i n ? . '

• C o n fo rm ém en t A l 'o rd re d u io w , o a o om m a e n su ite m em b Jes d e là Cÿmiqiairitto d e s p ie rre s to m b a le s MM. A m . d e C a tx , F n iü ^ D o f f , J . G é rin e t V attie r. T o u s l«ÿ p iem b res d a Co­m ité so n t p r ié s d ’a p p o rte r A fa C«wuaIssioB le s r e n s e ig n e n e n u q u l l ip o u r r e u l recue illir .

—f M. C audel ann o n ce q u i! s’e s t en teo d o d e rn iè re m rn tsv e c M M . B :d m e t H U Iescanps, e t q u ’il d o it, a vec ces nteSbicnr*, fÛ ra l a r l e s lie u x m êm es u u e E tu d e s u r le tra c é «le la v o le ro m a in e q u i le s o o c u ^ d ep u is p lu sieu rs a n n é e s , e t p a r s u ite s u r l’e inp lacB iieB l «le L l- ta o o b rig a .

M . M oreau ap p e lle l 'a tten tio n d e M. Cau-^ d e l s u r u n e c a r te , d u d ^ p i e m e n i ,, so n s p re s s e e n c e m o m en t,'q u l d e v ra In d iq u e r le s ' vo ie s e x is ta n te s a u tem p s d e la do m tn aü o n ro m a in e , e t p e n se qu ’il s e ra it t i ê ^ t i l e q u e n o tr e sav q p i c o n frè re s e m it e n ra i^port avec f a u te u r d e c e tte c a r te .

— L a q u es tio n d e s C a riu la ire s ra m è n e e o - su ite A l’o rd re d u jo u r le d épou illem en t «fAf- fo r ty , in te rro m p o p a r les événem en ts . L a C om m ission co n s titu ée il y a d e u x an* p o u rra r e p re n d re s e s t ra v a u x , e t o n déc id e q u ’u ne n o u v e lle dem an d e se ra (hite p o u r r e t i r e r d e la B ib lio th èq u e les v o lu m es nécessa ire s . L a C om m ission d é te rm in e ra le m ode d e trava il le p lu s com m ode p o u r m en e r A b o n n e fin son e n tre p r is e .

— M. V erno is . p ré s id en t dé la C om m ission d e s a rè n e s , fa it e sp é re r u n e re p ris e pr«>cbaiue d e s o p é ra tio n s d e déb la iem en t ; il inv ite los m em b res d u C om ité à se r é u n ir A u n e h e u re av a u i t a séan ce d u m o is d e m a i, p o u r Caire u n e v isite a u x a rè n e s .

— H . le P ré s id e n t rap p e lle qu’A la s éan ce p ro ch a in e e t « fap rès le rè g le m e n t, on p ro c é ­d e ra a u ren o u v e llém eu t d u b u re a u . U e sp è re

Su e la ré u n io n se ra assez n o m b reu se p o u r o n n e r a u b u re a u u n e a u to r ité su ffisan te.

L a séan ce e s t lev ée à q u a tre h e u re s un q u a r t .

L e Secrétaire',E . D upuis.

O o u x ' d ' a s s l & t Q B d e l ' O i t a e ^ (Deusnème trim estre i V H .)

Présidence de M. SOURDAT, conseiller à la C ourd 'appel d ’Amiens.

Audience du lund i lO ^ f n 1 872.

A f l b k l r c C é r i i l l e t M l l e B a a a e . —Kol'jyNqlijU.

Le sam edi 3 'fév rie r 1872, les époux MUlet, m archands de noiive.iutés, dem eurant à Laigne- v ille, s 'absentèrent d e leu r dom icile pour a ller, com m e ils o n t l 'hab itude de le faire,.au m arché de C om pi^ne .'

A leu r re tou r, le lendem ain, vers m id i. Ils s'aperçuren t q u 'o n s 'é ta it in tr()du it chez eux , p endant la nu ij, e t q u 'o n avait enlevé une assez g rande quan tité do marchandises.

P o u r com m ettre celle .soustraction, le malfai­te u r avait, ainsi que le dém ontrait l 'em prein te ' de .ses pas profonném ent m.irq<iée su r le ^ 1 , es­caladé le m u r servant de d fitu ro à la propriété, pu is , jl avait pénétré dans la cham bre a cou­c h e r d ès époux Millet, en b risan t un des car­reaux d e la fenêtre. De la maison, il était entré d ans u n magasin,''don('il avait forcé la porte, ê t s 'é ta ien t em parés de tous les objets qui étaient à s a convenance. E n finapri-savoiraccom plison crim es il s’é ta it enfiii p s r la porte dé la« » iir qu 'il é ta it facilç d 'o u v rir de l'Intcrieiir.

(..es prem ières constatafidns d u sieu r S illet t 'am enèren t à peiiser que l'au teu r d u vol pour­r a i t ê tre u n nom m é Cérutti (André); q u ’il avait em ployé, en qualité de com m is, quelques an - néfs au|>aravant. Scs soupçons p riren t b ien têt p lu s d e consistance, InrMpi'A la gare d eC re tl, où il se ren d it, on l'inform a que, le m atin m êm e, vers d eux houreL.un individu avait pris un billet pour Paris e l ava it fait enregistrer deux ballots de marchandises.

S u r les indiralions d e Mdlet la police de Paris rechercha le nom m é Cérutti et le m it en état d ’arrestation . Dès sbn prem ier in terrogato ire , leprévenu , loin d e n ie r les faits q u i lui étaient imputé.», fil im m édiatem ent reconnaître toutes les circonstances d 'escalade e t deffraction . 11 révéla, en nu ire , à la justice, q ue sa concubine, la nomiîféo Ju lie tte Desse, àg ccde2U ans,l'avn it a idé à transpo rte r à leur domicile com m un, les

h..l ls iX ballo ts do m a r c h a n d i M t l o n t ^ c e i H H ^

V M d e s a cu lM kililê r i r o c q n n u f m l H a a i ^•Q ooreaux p lw iln e p â l r c d ép a r C éru tti « faM I'habite tion d u H M r l M i L *

L e prévenu a d e fnaurais an téoéM H IPl flf 'l M b I« t ia A o a tb m n a U o n s ; < im u >ilÿ>ihA.i

J f . n e i , p ro cu reu r «le la R é |iâU iÿM r « l i A ^ .le liège d u m in istère p ub lic ;.

M ^Pin -’insofl, avocat, présente la >défiM a^;4ii actàtaés; . v .

La r ^ o s e d u ju ry e a l n égq tive iqqceqp lipo it c eroe la fille Beese.1 ' ((.■■iit'jh .tiisv

En conséquence, H . le p ré s id a it ,piq o À1 >iU . l’sc q u ittem ra t.d e ladite fille B e m , M q r a i M I

JMrile sera rtnnisc immédialeraèal.apif.BtM rW siit i r i l e n ’e s tre te n u e p o u ru n e a u lre c a iifp . ' i!.;'. itb

Le v e rd ia est affirm atif e t sans d reoaeU aeas- - p o u r Ç é ru lli.:.

La Cour condam ne C érutti en,;i;iijq ai|«iégs,iM/„

i « e . -ideur.put

L e nom m é E loi-C aslm ii' D eb ru g e , Âgé 4sii 7 3 a n s , né A M areu il-la -H o tte , ouvriaK/Cliarij r o n , sa n s dom icile , e s t accusé d ’avftliv 4qpwM DBOlns d e d ix a n s , e t a n té r ic iire m e a t A U 1 8 av ril 1872 , à Ë lincourt-S ain te-M i c o m m is u n o ù p liisicfirs a tten th l «leur c onsom m és du ten té s sa n s vIeM âee u n e je u n e fille d e in n in s do tre iz e aosu •('! t

A p rè s la iectui-e de l'ac te d 'a c ç a ia iiè il e l« le l 'a r r é t d e rc p v q i, le liu is-cloa e 's tp re M M ^ A I

M. N ez , p ro cu ren r- d e la R é p iB l ik w i* so u te n u l’accu sa tio n .

H ’’ F é lix L e R o u x , avo«:at,' e s t a a la défense.

L e Ju ry r a p p o r te do la cb a m b re d e lib é ra tio n s un v e rd ic t affirm atif, m itig é pqf. l’adm ission d e circonsi'ances a tttoaa liteq f,.!

D egirage e s t co o d a rao q A tro is a u s tf r e f i - p r iso u n em eu t ; la C our p ro n o n c e eD o a lrè |i> co n tre lu i , r in te rd ic tio n p e n d a n t d ix a n a e e i J d e s d ro its m eu tiq u q ^ s eu l'articJe 4 2 d p p é n a l . .

N ous rccommandoiiS'ii m v lec leu n i u p e nou- velip préparai ion nom m ée jVt)i.*(éau<ii,i d a n t la découverte est d ue à HM. M .\u R B L p ^ c t - ^ s , D octeurs en médccinu do lu fa c u w d s Paris» P hannaciens de prem iêrn classe, e tc .

Avec la V ulnérinu ou picut spçouriirim aridia- tem ent l is blessés. • ' ’ *

V ulnérine g u érit toutics l i« bissBhM,'*coupu* res, déchirures, coninsions, hrûfuieê^ ten te s ou anciennes san:» rfr iiliv r , nlfireas h irii qneux e ta u tre s e t (ait d isparaître ' t o u te a ik a r t

A rrête les liém orragii's, iU '(itraliselee.^aA »éi d 'insectes vréiim(>iix,(l(« m ouches daagseetlM lil abrilles, guêp<s, cousins, a>aigiiées,ceM y|boset au tres. . t

I S n g r o t . '^ t ,- r a n d 'IJ'ighien, à p d r k f e h e u * P u u p i 'E e t - i . < 3 '|-

L A . V E r i , f à t . ^ V l l e a j t « > e : -

Société d'As.«iirauçri liiutjit^les contrô la éta ld ie à P aris, ruc'' ' ntiïhéf^‘aux clievaiixjl atiUulséc par oi-dotm A ôèé® V ju in |8 8 < el «léfi-ct (ly 'JS l;'vricr |8h3!V‘-

Dir«‘«:tenr, M.G.-Ad. n'aiily. nia!tredè1aiN|â(* aux ch ^ 'â u x d» PaH sU iiiom breda'ia!<6«jrié |é Im p é ria lo c t Centrale li'.Vgriculturè d e FniM Éiix ;

Celte] Société rond (V eii ISM asaureiffeM M i^. hi^-Gri-le toiitc-s Ic.s riW iik's p ro v e iré h l / t ld d a k * rage, grain* e t |iaill(si, aux oonditioas <Aas.'plMsr avantageuses. ^ .n

(« D ire c te u r , lu'C(Misoil d 'adm inistra tioai'lA A .Conseil général son t cicliisn-oiiient c h i iâ a parm i les assurés. . . ' 1

Pendant-les 8 6 première.» années, d e lifiA A — 1 8 7 1 ,1 . a %’c rs f tt l lU riM i:. a .a a ra a ti . .l . ,m il> i liaru 10 ,481,211 fr. - de rri‘(>llra 7 m illions 6 2 m ille l'r. :iiiXH-tiliivateuraMSH]rH^ do n t [(«s réc'olKs o n t é!û a ilc iu tes^M r la Q ivie ; ses opérations s 'é irudeiil ù 19,^cpartepMÇj|*!jF

. “ M- ti's propi'iéliùi'os. ferm iers, e tc ., tW W * ses .H connaitre suii mode d'.issuranjce, s e s q a o i^ les rendus .mnii'.'Is. iloivoiit s 'adresser

A M. Diiricour: 'K nt(‘sl), Ageiit-générml A S enlis. ^

/« Pi'iiprii'lair, ■icrant ; E rnest I AVAIÎ'. ‘

A B i t o n M f i t J u « l l e i i i î i * e 8 .

à a t . 1 .E tude de M* E r s a e a l C b a l o a i n ,

avoué à Séniis,. r u e S a in t- ' l l ila ire , n* 10 .

V e a t e s u r I j ie îto A lo u.R n t d M e e t jm t U m in is tire de

M* LàMoini, notaire à C kan tillg ,

Située A. CHANTILLY^ G rande Rue. n -0 4 e l6 6 ,

arrondissem ent d e S enlis (Oise),EN U N 'SE Ü L LOT.

L 'A djiidication aiira lieu le I» u m I I V |M re m le p J u i l I r A f i f

h eu re de m idi.

Q n j^ itaav o frA to u s qu’il apparU en-d U f: -

.Qu’e a verlu d 'u n jugem ent read u p u le tribunal civil d e prem ière instance- de Senlis, le tfingt-«jnq avril m i l 'h u i t cent so iian te-tfouze, en reg i^ ré et signifié;

U seraauz,re< iuêie , poursu ite e td ili- g è p r t .d è f ^ i m e , l(^;e-Eugéb*te Béry,

H .) jf^nsteb t-A im é Jb cq x tn ,'ancâen garde concierge d u château de ChahtjHyt a«itoellement boulanger A C h a n tiw , évbc lequel'rills d e m e u r e .e t ’ de ce dw iiièr, Tant en to n nom péraon^

quèyMwY l’assistanoe e t l 'au tô rltt^ tiouM oaaïaâBeaA i» i t a Znatîta ai la validité d e la procédure.

Ayant p ou r avoué M* E rnest Cffulmin, d e iM un |n t à Senlis, rue % iiiri-H iIaire,

Pfèsenra ou eux d u te e n t a ppe llf

1* M adame L ouise-H eoriette Béry. é |W U M de.H . F rançols^lélestin D uvai,

tadC ed B on'psh|pi\d«d,''cèm m e m aître «là* d ro its m o b ilien de la damie sop épôiiw i que p ô ù r l^ssulm r r t l’aU tom ar e t là valid itéde la p r o c é d u re . '' .

'A rant peu r àVoué coiislituéU* Vicbtr- LôuisjP llW is, dem euran t A Stmlis, Aie R « iiù « ^ ille ! n* 14;

E l ehcore en présence ou lu i dûm en t app e li de. M Picrin-Eugène Béry, ahclefl iùarêhand b o u l a i ^ , dem *«rabt à CliahlUiy. G rande Rué,

fykaX p ou r pvAué constilué M* Ëi’neet CliauÀin, d o in e u lin t A Senlis.

H sèra protiérié le Z«ad« p rem ù è J u i t té t lm it k u t l o ra l seûN iafralekN ,

m iili m!n lia SSf V',»vii«i^ .

sigoatioo su it :

D É S I O m A T lO I V TcH9 qu’elle est insérée au ca­

hier des charges.Maison situéeà C hantilly ,G rande Rue,

n “ 6 4 r i 66.Cette m aison q u i «^ttievée, pa rtie su r

cavçe e t partie s u r te rre -p le in d 'u n rez- d e < h a u a m . e t d ’un prem ier étage, avec ch am b re e t g reniers au-dessus, couverts a » la ile a « com prend :

l 'U n e p rem ière portion do bâtim ents louêéA 'M . ot m adam e Jacq u in , m ar­chands boulangers, e t se com posant >

AU'VÇz-de-chaussée, d 'u n e bou tique à lafluelle on a accès par une porto vitrée, salle A m anger avec alcùve à côté, éclai­rée ^ r une fenêtre s u r la ru e , cuîoine In su lte , co rrido r auquel on arrive de la ru e p a r u ne p o rte A deux ba ttan ts, grand fournil d e m è re , d ans lequel est un fou r A cuir.

Au prem ier é tage , de deux cham bres A «muchef, A cêté . cham bres de garçons e t d e dom estique.' A n fond de la c o u r ; un grand bù -

chfjff. u n e écurie , un to it à porcs, g ren ie r au-dessus du bûcher couvert entuilrë.

fi* U ne au tre portion de UMiments n tl partie est louée verbalem ent it

. . M Icjtebon, e t so «^imposant au rez- le-chaumée d ’une Im utique avec sa |le A

fPSPger derriè re .A u prcra ie ré tage ,cham bre A coucher»

salle à m anger etciflxine.Gcande cham bra AUHjf!mos.A telier de m e n i i i^ ie au fond d e la

co u r, avec g ren ier au-dessus c ouvert en tu ilte .

BUiS’ ta "ébur, p u lts ' e t " t a b h û'piaiMisto.

C ette p roprié té lien t p a r d irian t A M rtfé, p a r derrièra A m adam e BellaL..d'ün

«A Ml W eU, e t d ’au tre cè té A l |I a d f ( i ) è ^ l le t .

M I S B A ÿ l I l X .O iitte les charges, clauses st-éondi-

tjo jis insérées au cah ie r des cha ises , les enchères seront reçues s u r la-' m isa' A p rix fixée par le jugem ent .du vipgt- è inq avril m il hu it cen t soixanto .dopw , é Ù ^ o i i c é , A la som m e de vindt-ciiKi m ille francs, ci . . . . f iS ,0 6 o fr,

F a it e l l ligé à Sçnlis par l'av o x é p oursu ivant soussigné, ^

Senlis, le onze juin mil h u it oedt soixant(»riot)ie.

Signé : E rnkst CHALHIN. ^ r e g ls t iè . à Senlis, le douze Jb in

4 8 7 3 , reçu tin franc «luatre-vingts ceA-' t im ia , dw im es com pris.

S igné i D ora. S ’adresser p o u r tes renseigaem ekis : 1* A K*GHAU11N, avoué p o u n a iv a n t.

dem euran t à Senlis, ru e S aint-Ililaire, n * 1 0 ;

2* A M* PELBO IS, avoué colic itan t, dem eu ran t à Senlis, ru e Rougemaille, n * 1 4 ;

3*A M *LEM 0IN E, no taire A C han­tilly , déposita ire d u cah ier d ts charges.

P o u r insertion :Signé : E . C a itx iu .

A rt. 3 .E tude Vie M * t . e a l e q |M a , no taire

à Nanleuit-le-Haudouln .

A v e a « l i * t t p a r ladf a d i e a l S o nAprès Irilh te ,

P ar le m in ù l i fe de M* Lxmioqve, ssolaire i N enltuif-Jr-ifa ïufetiia , -

ju d ie ia ie e tn e n te o n sm sà c e te ffe t ,A Gh EVr EVILLE, can ton d e N anteuil,

e n la d e m n ire de M. Bonacaois, .I* L e.B jm ancbe 3 3 J u in 1873 , A miffi,-

Divers Meobles aeBliiaols• i M J c I a a a a M I i e r a ,

C onsistan t n o tam m en t en : ustensiles d e cu isine, p o tie-cu iriq ière , chaises, tab les, bdlTet, com m odes, couchettes, etc .

3* E t le Lundi.34 Ju in l8 7 S „au ss i A m id i, ^ •

U a i P o a d s d « M a r é c h a l» F o r a r a r a n

Explo ité A GhevrevnM,Aar H . Bourgeois A vec le I M t a » M w <Im U este.

M ise d P r ix : 5 # f r a n c s ''''A vèc' 'obligatTéo ‘b a r l'acquéreur do* p rend re le ptolériM Iri Me inarcliandisœ.ti on sua, A B irè 'd ’exp c rtt. ^ é d é fà s s t-d ^ m m te s s s e p o n r le fonds. V ise ra procédé de su ite , e t les jo u rs Atdvants, é'i1 y a lieu ,/ ' « h v r l i t o B N M i T A I I . d u . ■ a t é i 4 e l e * â e e i i à r e l i * w i l w e *

Le M atérM com prend :[Soum ets d e forge, é taux , bigornas, '

m isrtM ux, naoses, poinçons, tenailku d é tous genres, m andrin s , boulonnières, r iv o ir s ,i 'a u c h ia e A pdrcer avec acces­so ires, com posés d e deux vilebrequins ail q u a ran te 'm èch es , filiêresA essieux, filières A m ainsgaro ieS 'de leu rs c o n » i- b i t s e t d e leu rs ta raude , u ne m achine A pércev A veU nta, u n e m achine A 'è in trê r les roues, a n to u r à ch a rio t avec acces­so ires e t réïichets, clefs d 'écrou ; crics, f r is , serganté, g o û te s , pinces, mouton» poulie* e t au tres o b jets.

, L’ad jud ica tion -au ra lieu en présence 00 en l’abeeDco d e M. Chirleedllovis Bourgeois, A la requête d e M* E rnest G h ilm in , avoué , dem eurant A ^ l i s , ap n o n e t com m e n a d i c déQnUif de ad ikillit* e t en vertu «l'un Jugem ent rendu p a r le tr ib u n a l d v il d * Senlis, Is t r a i te

m ai 1872, e t d 'u n e ordonnance rendue p a r M. François de la Haye, juge com ­m issaire, le tren te e lu n du m êm e mois.

E xpre fsé tnen t a u eem ptenl. jV a is ordiMAires.

A rt. 3 .

F r é d ë r i e L A L L O U B T T Bet G*, sucreries de l’Oise.

D 'une délibération de l'assemblée générale ex traordinaire des actionnaires «le la Société en com m andite e t par ac­tions F r ^ é r i c LALLouEne e t Gie, sucre­ries de l ’O ise, au capital de d eu x m il­lions cen t m ille francs, do n t le r i é ^ est A B arberie, p rès Senlis. (Oise), en date à Paris dn dix-sepi m ai mil hu it ce.it soixante-douze, enregistrée à Paris, 13* B ureau , le cinq ju in sijivanl, e t do n t le procès-verbal a clé déitosé pour m inute A M* A m y, notairfi^A n r i s , suivant acte par liii dressé e t son c o l l é e le q u a tre «ludU m ois da-ju in ,- aussi enre­gistré ;

Ladite 86ciété, formée pour une d u ­rée de vingt années q u i o n t com m encé A c o u rir le . q u a to n e m ars inil h u it c«nt> aoixante e( u n , siiivan tacte passé devant M*Amy, le six d u d it m ois d e m ars, mo­difié par acte devant le m êm e notaire, d u r i i m ars rail hu it^en tso ixan te-cinq , le to u t enregistré e t puU ié.' ^ q u e l le Société.a p o u r b u t l’exploi­

ta tion d e la (Abrique de sucre de bett«'- ràVes é tablie A Barfierié. ' "

De la (Abri,que de d è betteravesétablie A Oea'urains, com m une de T ru- m illy . .

E t de la fsb riqee du sucre d e betlera- v'cy établie A B aron, ctNnm nné de Ba­ron.

11 ap p ert q ue , su r la proposition do M. Efrédéric Lallouettè, géran t d e ladite Société, e t de l'aviit du conseit de surveil­lance.

• P rem ièrem ent : l'assembléecorisnltée a ap))Touvéà l'unan im ité après épreuve e t con tre épreuve la création d'une. rA- pcrie, e\i rem pU cem ent de la bascule élablio à H onlaM y, q u i enverrait ses ju s A l'usine de Baron, par tuyaux soe- terra ins.

D euxièm em ent : ladite assem blée a déclaré A l'unan im ité , après épreuve e t con tre épreuve, «ionner son assen tim ent A la création de m ille obligations de fw aira «sent ciufiMNla franc» ém bes A quatre cent» firanr», rapportsB t u n in té ­rêt annuel de VMpf-qaoIr* ^ u c s , so it six p ou r cen t e t rem bouIxabUs e n d ix u n n « s par vole d e tirages au so r t en sAsemblée g éo én le o rd inaire annuelle du mo'is « ra o ù t, A p a r tir d e cello d 'aoû t m il h u it c en t so ixan te-qna to rw .

Troisièm em ent : la m êm e assem blée a déclaré à l 'unan im ité après épreuve et co n tre épreuve d onner son approbation à la prolongation de la durée d e la So­ciété ju sq u ’en m ars 1 ^ ! , - M. Lal- louette, p renant l'engagem ent do con­server la Gérance ju squ en m il h u it cent

e t après m il h u it cen t quatre-vingt deux , faculté da lu i laisser la Gérance à l'époque q ui lui conviendrait.

Q uatrièm em ent : enfin lad ite assemblée a déclaréaprès épreuve e t c oo ti^ép reuve d onner de nouveau e t A l 'unanim ité son approbation à la m odification «lans les d ispositions de l'ank-le neuvièm e des s ta tu ts , .vot«'(e A la dern ière assem blée généi aic du v ingt-quatre aoû t m il hu it cen l soixante e t onze, po iir rem placer la re tenue de d ix p ou r cen t, à l’effet de form er un fonds do réserve et d 'a m o r­tissem ent , lad ite modification ainsi conçue :

« 2* Prélèvem ents su r les b én éfice « de v in^f-rinç m i/ /e / ‘ran ra p ar chaque « falirique, so it ensem ble so ixan te '• q u in te 'm i l le francs pour les trois ê usines, afin de form er u n fonds de < réserve et d 'am ortissem ent, à l’effet « de pare r A leur driirécialiOn lors-de ta 4 liquidation de la ^ i é t é . •' Les in térêts de ce fonds a insi consti­

tu é chaque année, é tan t a jou tés annuel­lem ent au créd it d e l'am ortlestunent lu t- ' m êm e.

P our (aire publier lad ite délibér.iUon e t'so n acte d e d é p ê t , tous pouvoirs o n t é té d o n n ri au p o rteu r d 'u n e expédi- tfbn 011 d ’un ex tra it.

' Dépôts a u x Greffes :

l« a expéditions d e l ’acte d e d ép ô t du qu a tre ju in m jl h u itc o n t soixante-douz» avec expéditi()U8 A la su ite d e la délihé- ra tion (lé l'assem blée générale d u dix- si'pt m ai précédent, o n t é té dép o « sécs :

Au greffe d u trib u n a l de «‘om m crce d e la Seine, le h u it Ju in m il hu it()cn l soixanté^douse.

Au greffe d e la Justice de paix d u pre­m ier arrondissem ent de P a n s , le mémo jo u r.

Au greffe d u trib u n a l de com m erce d e Senlis (Oise), le douze ju in m il hu it cen t soixanle-tlouzo.

Au grcITé d e la Justice de paix de Scn- lia , le m êm e jo u r .

Au greffe d e la ju stice de paix de C rtoy , Te m ém o jo u r .

E t au greffé d e la justice de paix de N an leu lM a-lIaudouin , le m êm e jo u r.

P o u r insertion .S ig n é : AMY.

G r e f f e d u T r i b u n a l d e S e n l i s (oisb).

B E D D IT IO I J E C 4 1 F T E

Les créanciers en é ta t d 'un ion d u sieur Fenlinand-D om inique Mixiver, ancien lim onadier à Crépy, failli, son t invités A se trouver le trois ju i l le t 1872, eeze h eu r ts du fflafin, an grelTe du trib u n a l, sis au palais de justice A Senlis, A l ’efTet d 'cn teiu lre le com pte définitif q u i leu r sera rendu par H* A ubert, avoué A Senlis, syndic d e l’union.

P our Insertion,Le gre ffier d u tribunal,

Léon D ouchbr.

Ai t . 5 .

G r e f f e d u T r i b u n a l d é S e n l i s (oisx).

S T IM C A T .

liTO p éan c i" rs présum és du sieu r Adülphé-Xavier Lansert, escom pteur A Pont-Sainte-M axence, déclaré en é ta t de faillite par ji^ e m e n t du v ingt-tra is avril 1872. son t invités A se trouver le je u d i em</(-iept a v r il 1873, oa se Aewre* du m a lin , au grelTe du trib u n a l, au nahî'is de justice , A Senlis, p ob r '«Ionner leur.avis sur. la com position de l 'é ta ld e s . civVinciers e t su r la nom ination d 'u n ou plusieurs syndics d e la faillite.

. .P o u r insertion.L e g r e v e r d u tribuna l,

Léon Boucuak.

G r è f f e d u T H b u i i o l d e S e n l lA ‘ (oise). . ..

v t B i r i u n o i s D E { a C i i e E s '

L«s créanciers présuinés d è la aociélé SrioARR e t C*. ayant p o u r objet l'exploi­ta tion des verreries «le 1 ^ 1 , «il sq^ siègoK G red, en é ta t d é liqU idiU to iti- diciuire, son t invités A rea te ttre daùs le délai do vingt jo u rs A H *G od|n, avoué A Senlis, syndic défin itif de U liqu'ida- tib n , leuré titres d e créances, e t A' trouver, le VeNdredi a n q J u ille t 1873, onze heures (lu m ah'tt, au i ^ f f e du tr i­b una l, sis au palais de justice, A Senlis, pour l'affirm ation do Inurs créances.

P our Insertion,.f ie r i L tribunal,

i Boucy .

A r t . 7 . ’ ' i

C o m p a g n i e «ht G n z d e ^ S e f t t i ^* (üiscy. "

S O C I É T É , 'A I tR S f O N S .V I t l I J T É L IX tlT É É '

Capital.Hociai : 5 0 , 0 9 | j B ^

Assemblée générale des

Le Conseil d 'adm in is tra tioh '. 'do ' l a Com pagnie du Gaz de Senlis 'ÿ rév ieô t Me^vlellrs W Aciionnaires q ue , c o i t ^ ' i m ém cnt A l'arlii-h! 3 3 des sta to la w l k ' ' d ite Compagni(>, il sera ten u u de asSithnA blée gému-alc le Lund i 17 J u in 4 873:i - .

La réunion au ra lieu en l 'é to d e 'da.'-..i H* Bmu-hez. notaire A Séniis, A d su x - heures précises . • .iH

L'.Assembléâ .se. compose ^ lim stès!. Actionnaires p o itru rs de deux acUoM ^ au m o in s . ,''AiiielR 3 1 H esstitu ta .) '

Ar t . 8 .

. / V d i n i i i i H t i ' a t i O z i î < l M . I D i ^ o i i X r t l n e s . . .

“ ^ ' t S 1 4V E î V T i i e S

D e P lk i iU 'K à r e u i l l a g e e t d e S lm ti* c h î i m l o - p i - o v é u a n t

d u P o l n i s d t î C o m - ' ’.y

Le d ix -n ru f Jn in y n il I xanle-douse, à une heure de refefév. dans Ice liAlimcnts de l'O raugsri* à Coaipiègny.. -..ar' 'V en te aux cnclièit^i p a r te ReeerMir dra'D«>n){iincK.i|(r.387 p lA n te sA 'M iiK a ici de Si'rrc cliniule, culüvéee a ^ rornem eiifa iion des .ippartéeàM ie ÛR ' Palais. . ^

Elles fOii!>i.-;li‘nt u u tem m eal t e ^ ^ ^ L i l a i t i s , llo i1 io in ca ,,P an (lM É B n H tffdlbilcnljron 'periii.4um,Aiéca L iitcscchs. Dradoem Rhapis Ûabclli furmis, e î c ^ ^ ^ ; . •

d u rowpfq,i|pi(«ti y!:*;;

E tude do M * U riiK N li- c s m c>).. avQi/e A Seniia . y , i

V K P V T I b ' i . ■'■!Aux Eiichèreé pùbliqo lp ;M «l

- P o r sii||o«lolicitBliDb4! ' . i p a i l 'P a rle lu iu is lh r de M *G aiaéh ,.« iré tiA

à mflbû>ÿ.Sainl^PM eî^< . u i é n i ^ m m i s à M e f fa i , ,t.i

. PEIJX :m,.,S iw s il SAINT-CI.KM Él..

• • d e MnrienvsÂt

Page 4: ECHDS 1|T LK SKRVICE OBUGIIUBbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_06_13_MRC.pdf · 2014-02-27 · Elle est vermoulue soue sa coucbe.de dnture. MM.' Deregnecourt, Beii et

i o i a m u D E / i t t M d s .

1 :

i î .

« M M I M f « f % : i M a r e de ' i S S en U I U i r t f | | 0 i l i . < n c i - i. t f e A nef* Im *

1 ^ S rS îf

, i»<*M'lMered*^I l nM*! d e la H e iie a :

Ik H M e a n l .r InrelnfaneK ito : U m i , avoué M tf iw lr

Séolis, riHi Satnt*

f r i t I f . « f tè O N . noU ira k Bé-.. . . . J i t ir t4 ) in v e ' ( p in ) , d ^ io d U lre

d s n U n i l è i e l N i g w .Il <eMl>>lfi«v n ii I

A id e id e , H* B n i M i C h a l m l n » *i f W n ' f t h i » ^ B àin t-H îlalre; n*iO ,

m o o n w u r de M*Hee r i D o m . ‘

, V E N T EA n inoatiLM pdw qitbs .

P a r M ile de lia tëtioH , E a fW d iw ic e < w criée» d u trib u ae l d v il

d i f l h ù l i j 10 P a ld s de Justice de ladite «lHii>kM>lfMreK)e4^ri8,

t'U M

M a i s o n s' 8ieii<a> figM lil8 , l’une ru e d u PuiU -

^phBÙMwiQ^ S , e t l’au tre m e de .1) H I tA n ie ilrM 'P a in , n* 8 .

L 'A A llk i l$ b 6 ’''a u ra lieu le l l a r j l e h y i l t i H A i l n t f k t B , heure de m id i pciécis.

m i i m e ¥ ‘àéur U t ren teignem entt : i * A l f C B A U IIN . avoué k Senlis,

p e m i t ^ d t 'U Vente;V l 'A ' l f e O D IN , avoué cod id -

k H* H O R E L , DOUire

l é v e u i a é r « j « ,Neuv ‘ *

m

! ‘‘ 'V ' i S w.1 S iv M in e im nek iére ,

H ’ i i n e P ^ ' o p r l é i é• I ;Cok^ÙlUHT;.

PavUloR, grauda pk litnen ts . Hangars

A eee r n e h e t jdan tée t d e m è re , I n to u tV tu é k V 4V M 0|3B , can ton de

. Grêp; (Dite). L 'Adjudication, a u ra lieu le l l n r J l

y f n y < ; i e i n n J n l i a l  V B , heure m id i, eu raudience des criées du

liilfunal civil de Senlis (Oise), au Palais de Justice.

^ a d r m e r fo u r avoir des r tn te i- gÀem e»lt :

A U* VANTROYS, avoué iioursuivaut la VMite.

3 * 'Au GrefTe d u tr ibuna l civil de Senlis où le cahier des chaïues est* ’ yré

• B t à H* DELAITRE, huissier à

Ik r à e 'a e k f B v w » « t C l M l a a i a ; avoué k S enlis (Oise).

V B N T lîA ux OKhères publiques,

- • "P ar m ite de I te ifa ltm ,< « » n i « i m m s r r MiMBuas.

JlaV At ia im M re d e H* D x sm im rs, ù e ld m i B e ts {Oise),

- i . i i | . . f j | , 0 { l i a i s o n

• k'.'O e l i B é p e e d a m e e sE S, com m une d e H a-

, , can to n d e Betz, ar> m l die S ra lis , d épartem o it

M t m U a r c s î i > i ! i i |m r i U e MB J a r t i e ,

î * . , « t « l P i t c e s l e T e r r e .

r i Ü É e t M A I M L I SAu UfTOir d u d it P L A IN E S ,

B ia M B i I m t s i ' j f ln é l f M u r r w l ê tre réu n it.

L 'id in d jte tio o au ra iieu le D i a u M a e h e r # t o J m l m f S f » , en U Mairie de H arcu ib eu r^u rcq , inidi.

. T ld r e in r jM tir Us renseignemeuU f « ‘A H *.'B aK un CHALMIN, avoué

liiiu iu m ïih t. d e m m n n t k S solis, m e { fâtabB ib im , uom éro 10;

• t i A tt* VANTROTS, avoué co-lici- U M l’d a a k e a ra n ti Senlis, m e Neuve-de P a r i i , n um éro <7;A B e ls t » A H * DESJARDINS, no

' ta ire , dépod taire d u eu- b ie t des c h a p e s .

vau t U :veiM[B,;deineurant A Paris, m e ' ■OM p ld CvA* S t .

RtiA If* R ly l to B , avoué codid lan t» d e m e n r ln l.k > M i« i rue Thérèse, roém A ftiii. :

A^A H t GARRk , no taire k Paria,, place de» Retits-Pkffêe, n . Ot

P o u r l o - l i O s p t im b f pttiobain iM^aire

e vouve D«v>FovNeuvè-diH 'arttv

È û d T S e M » B ^ p U d e i f p a . eommiaé e a ir e > p r i^ r k Sanlis

V è * é e . i i u m£ fp re isé in fN l UHiCMNpIaiil,

P a r su ite de ceuMlion d ’u ne partie d e c id tu re , I

A SE N U S t en la F eju ie d e H** Luovc, ù iu b o u rg S a in t'* H irtin ,v r;

J> iNuiMcAe 16 duin 1873, d une Aeure d e reieoée,

d’un

M ^ i é r ; i ( ' l < l<* c u l t n i ' eConsistant en :

S ix g randes v o ilu res d ites guiiu* bardes.

U n sem oir.C harrues en bo is e t en 1er, herses,

rouleaux.U ne b û ch eu se .T rois ta ra res , tro is cabanes de

bergerT re

E tude d e M * A sjiM v iB ae 'V iaB a im y ii,avoué k Senlis. m e N euvé-de-Paris,

0*17 , successeur de U* Fn iuv .

S u r Baisse de MUe d P rix ,E n tre M ajeurs k M ineurs,

o u :

O i e t l r a a d e e l B e l l e H a i s o i' éA « n u i H M i i M b t I a

A v e e H A i f ê ^ ^A HAREUIL-SIR-GURCQ,

H U e a x P ièc e s 4 e T erreA n i ^ i r s d é HAREUIC è l NEUF-

GBELLES, canton d e 'B è ^ (Oise),E m i r e A v l e t e

Q ui p e u r n n t ê tre l u s . L 'sd iudicationaura lie‘u le e lg M M ie l

v lm k t - A r e jU J m l m W 0 t 9 . deux h e u iw de relevée, en la m aison d ’école

. d e H a re o i l ; ' 'p i r le m inistère d e H* B a u n u , no taire k Acy-en-Hultien, coroqiis k cet elTét.S a d ie sse r uour avoir des renset^^iw-

M fM a i \1* A ' M* VANTROYS, avoué, peur*

survantt3* A|H* D E jijO V E , avoué, présent

la venté; „ :3* A'H* BRETTE. no taire k Acy, d è

positaii» du cah ier des charges ;4* E t k H* D E U IT R E , huissier

B eu . '

reilleur cy lindrique k blé de Marol, au tre s petits tieilleurs.' Gr.iride d iau d iè re k cu ire les pom ­

m es d e te rre à la vapeur.Pressoir, m oulin k pom m es, ton*

•eau x .Cuves.Coupe-racines, bascules, coitres

avoine.Ustensiles e t lite rie d ’écurie.C h e v a n m , v s m h e s , harnais.U ne grande quan tité de paille de

s ttg le e t de fagots secs,E l beaucoup tFautres objets.

E tude d e ■ * A m |; v » é c V u t r o y s ,avoué k Senlis, eue Neuve-de-

t>ari8, Q* 1 7 , successeur de H* F^Éuv.

E r m t C h a l M l B ,avMiMi Senlis, m e Saint-H ilaire, n* 10,

n r dé H* H enri D u r ir .

V l M t é m m r l i c i U > é l o m' I t t r i s « riiiû fére de H* GRISON,'* a e h ir e à B iO tttg S a in t-P ierré ,

eoNHNÛ à cet e ffe t,■“ ■ Ds :

, i * U n e M a l s o nSisqk.OSÂODY, can ton d e Crépy, a r-

riiodlsaem ent de Senlis (Oise), lieu d i t H onllaville,

A v » 4 0 U R , BATIMENTS e t JARDIN, 8* kt

5 1 P i è c e s d e t e i - r e■ M , . P l - < , F r i c h e s , B c i s

, 3 n C , A h h c i c c t B c a c B e tB iset a u territm re d 'O R R O U i.

Q ui ja m r r tn f ê tre réun is partU lU m eut

L 'A diudicatw itauralieu le D i o B O M h e « m « è V U t n I S V » , une heure

en la m aison d ’éole d ’O r-

■pour Us renseignements : M* «BNisT CHALMIN. avoué

pooM nvaPV i d en ieo ran t k Senlis, rue & A ia£ |i)a iS f, num éro 1 0 ;

S trf lb è H^G W SO N , noU ire k BéthU BV >8aiiM i4tf«v\déporitaire d u cah ier d iH ia lB m

leeM otHilaire, o* 10,

V e m t o « n i * l i i e i t e é i o mP ar U m ùùatère de M* CORPECHOT,

notaire à H oup (Oise),COMMÙ i cet e ffe t,

D ’ i i n e M a i s o n

« p i é c e s u d e : t e r r eS t e s i B Â U G N y.S in i-T nÉ R A IN ,

E b t r * i s l c * t eOui p o u rro n t être réunis.

L’A djudication a u ra lieu le S a a a c i - J a l m 1 H 9 B , une

heure d é l’après-m idi, en l'é lude de H* CeuPECBOT, notaire k H ouy. S ’ad resser p ou r Us renseignem ents 1* A M* VANTROYS, avoué, p ou r­

su ivan t la veille;3^ A M* CHALMIN. avoué co-licitant; 3 * A M* GORPECUOT, noU ire

H ouy, dépositaire du cahier des charges.

! E tudes d e M * ll« m g ;ir« A , avoué, dem euran t k P aris , m e Bonaparte,

I n * 8 ,

T de M * notaire a iSenlis(Oise).

V eille SQP lic ila lio aAu plus ofTraol e t d ern ie r |enchéris9eur, f a r U tn in is tire de M* B ihoist , notoire I i den lis,

I* En la Maison d ’école de Lagny-le- Sec, can ton d e Nanieuil-le-Haudouin, a rrondissem ent d e Senlis,Le Dbmanehe v ingt-trois Ju in 1873,

d u n e heure de reUvée,

7 P i è c i - s d » ‘ T e i - rdises te rrito ires de LAGNY-LE-S i (Oise), de BAINT-PATHUS e t de ! . ROUVRES (Seino-etM acne);

r En la Maison d ’école de B arberif, can ton e t arrondissem 'ént de Senlis,

-A « » E e c tiè n is p u b liq u es .P a r le m im s t im d e H* B a i in à o x ,

« M iiiib é U tiffî. com m it d cet e/U i,

I l p i è c e s d e T è r r eflH si a n tenviM d e M T Z , arrondisso-

9 l ) M » ( 0 « ) ,'• H V i A t X v t e

q t i f K n » u , e n I*N W « rife llM i™ !' o « M JslaiiM .

L 'A d iid ie â tio o iu ra lie iile B li

L e DrmaacAa trenf: J u in 1873, d u M heure da reUvée,

7 P i è c e s d e T e i - r e^ a e s s u r les Im ito irv s d e BARBERIE,

de B A U G N T e t d e CRAMANT (Oise). ,

S a d r ts se r pour U t rem eignem enU

1* A M* W O l S T , no taire k Senlis, < é ^ tu r e d ( tÆ a b iè r d e é charges;

ÿ À k * . itQUGEOTÿ avoué poursui-

é • i i .. ,n n C ' '

Paaam gm m t

b é t. lB 7 i

î ï t r f f l î

M i b ; k S 8 r j . T l

M O887 m 4 0 0 1 0 1 7 0 • •

.bS O O fr,I 5 0 0 ' l . p

S ’adreseri^k M. GORBIMGBOMARD.

. A . ^ e r 4 è .* I I M « 0-P ô u rtau m de san té ,

F O N O B

S'adrem er au Buroau d u Jou rna l.Ou A iB aran, can ton d e N anteuil-ie-

HaudoiUuiijOife), k H . ILEDOUX, q u i rw ndqits..- »•'___

P o u r en trer en jouissance de su ite . •U N E

M a i s o n l » « , u p * g ; ç o i s cé i t ù ^ r'fifi d^P igc(H is^8 laik s| 'h * 7 ,

G o m p iw do : cuisine, salle k m anger e t salon au raâido<baussée ;, Trois cham bres a u prem ier étage;

Grenier e t cham bre m ansarde.Un. beau jard in .S ladnw aerkH . ApBERT-POUPART,

place BUIon, k Sentis.

A i^eu rh iesl 0 a ;tq M iH ia N lrè » 4 e ,.Le DimanclMi 38Jn jn irm heure,. l 'e a ja s u M i té te .no lqh 'o -

8*»diyaer.ai^<tt. Ml M w iw » nol»irv>

M a i i s o j q ( j é p i i r lQ |H liJlJ)j„|lîr*n4e.1 iie, n * .^ ,

A v n d r e p a r U R i i a « a t i s aB f r« u < h '< l , lU U lM » ,‘ I GhMIlHy, ' par l«< m i n h l ^ d u d it

, H* liSueiNB, e td eH * B U D éi, potairq,■ k P r é c y , ' - '- ■" ' T ; ‘ . U DIroancheiad Juin 1873. k 8, S'adresser auidils If* Lxmoin ef. 9 0 0 ^

M1 2 B e c l i t K S l e R M i e4 e 'L i i k i t f p m e s i i P p i é 4

S u r lés tcT ro ii^ 'de D orarii Bruyèros e t................... 'G nùvU aïï,' ‘ •

A. vea4pe|>eièki4ia4ie«éion' E A U M à i r i é d è W n ,^

L a D im anche 16 'Jè in 1873: ‘k u ne heu re Pklr le m inistère de M^Hsiteu-DcvAtLON

hotalrii k Chainbl;]f,E n p réco ce de H* BvDiNi no ia |rék Précy

A D J U D I C A T I O I I Î( • i n ^ t é r e t d f H* Duevgv, n o ta ire ,

. Iq^ kM iriedeN égp ilM ce-V ierges ,' ' l a p im a a c h e .iG Ju iu 1873, k 8 h a u n s , 4 e f t h ie e t iip a 118 « p m 4 8 « •

de'Tèiiré ',. '{ B D .3pièceérituééstM T off(ié I^o g ^L

"a d reste r 'a ù d il M* O u o d rt. nolavré. '

A V e a 4 p e à l ^ m m e U b l e

L a R é c o l t e d e F o i nS u r p ied (1** coupe),

A b i r e su r environ (> HEuTARES de Prairies_et Verger,

Dans U f V e d e B aroa, A ppartenant aux héritiers F ouknkt.

P o u r Ira iie r, s’a d re sse r 'k M. MASSON, régisseur, q u i recevra les olDes ju s ­q u ’au 3S Ju in .

E tn d e d e M l * l l e 4 « l s l i iiu ta lèe I SeHtls.-

8 0 l i e e i e p * ^ 0 a r a I Q e .

« l e T e i - i - cS u r les le rro ift dé Brasseuse, Barberie,

Brav ctO gnon, se pièces

A ¥ « 11111*6 p a r a < H H 4 i « a é k a mI AiBarberie. ett la maisoti d ’éèéle,

Le Dimanobe 16 Ju in 1873. k 1 heu re ,.. PsrJfM M U ttérsdeH ’ BKWHBT,

nototre d tSenlii.S’adresser au d it M* Bbkoist, nolairv.

E tu d e d e M* B e a a l i v t , no taire k Senlis.

’ A E i O u e r m « n b l é u

C h à l e a i i « l e B a i - o n

Avec PARC de 15 heA ares en touré de m urs.

A i L o o e r 4 r a a a i a b l e

B e l l e M a l s o s d e G a i p a g i eA Soiat-iV iroiai,

BEAU JARDIN bo rdé par u ne rivière.

A ' t ^ e m 4 r e o n A L o m o f

l U S O H D E U l P t C H EAvec Ja rd in , E curie e t Remise,

A Saint-N icoïas.' Le to u t conteium lb ,0 0 0 m ètres.

A V R Â l O t t E

■ i l S O H D E C A V A G H EAve« Jo rd m b ré h p la n té e t dessiné.

Contenant 1 hectare 7 ares,A Saint-Léonard.

A i .ô î J e ;r

■ U S O R D £ G i l P i G H EAvec Ja rd in et Dépendances,

A V illem étrie.

A V e m 4 i * e o u à I j o n e r

I t l S O H D E G i n P t e H EA Verrigny

Avec Ja rd in e t Dépendances. S a d r t ts e r a ud it J h B enoitl, notaire.

EtuUv de M* B M id s i« a o x , no ta ire kS èn lis-

A ¥ « 1 a 4 p é M a r â 4 f u A ^ e a é ^ m ,A S pnIü, e n t ,é h m ,e t p a r U m in ie tire

de M (B*LézuDx, .Lej.IKmaiKÿe Ju in 1873, a m id i, '

U n e J o u e P i - o p r i é t éSise k Seolik, en b c e la rueile 'B eauvais,

à f jo H é d u rou lds d e Chantilly ' e t 'd eC re il,

Comprenant m aison d 'h ab ita tion , hangard è l com m uns. — Jard in b ien plan té . '

S’adresser pour tous rensrignem ents e t p ou r tra iter, k H* BAlAlZEAUX, no­ta ire k Senlis.

E jude d e l | * n o ta ire k' AcÿlA « è 4 « p 4 e « u i i e ,

Dans le.'càntôrt de B eti;A des conditions avâdtageuaeM,

l i n e E x p l o i l a l ü » è j n c o l e' D e 1 8 0 h e c t a e è s tS’a d rM u r aUdii 'M*'Rrktti, no taire .

U n z e r n e i f t T r è f l è. S u r pied,

MEULEde PAILLE a a l^ ig le e t ^v o in s de bo ttés environ , .

A VpiSDRË AUX ENCHÈRES Le:D im anobe 1 0 J ido 1873, à 1 heure,

'£ H 'J’d<«de e l tw r J a n i tk t t f J r e df^ M v 'B rb ttb . notaere d Aeÿ-en-M uitjen,

S ’adrekaeraudilM * B d rv tb , iioiqire.

E tnde d e M ’. B m a c h e x , notaire k Senlis, soccf de Scdu in n e t De m d t .

U n e P i è i u ? « I« - l « - r i - eS u r Senlis,

A v e u 4 r e p a r à 4 | R | 4 i e a i i a i t iLe Dimaoclic l u Ju in 1873, à 3 heures,

E n Pétude e t p a r U m in is tir e de M* Béi'CiEZ, notaire à Senlis.

S 'adresser audit H* B ouchbi, notaire.

U n e M a i s o nSituée k 'C ham ant, rue e t p rès do

l’Eglise,A v e n 4 r e p a r a 4 | a 4 i e a t i o aLe ÜimaoçbéSO Ju in 1 ^ , k u ne heure

A Chamaut, eu la Maison d ’école, P ar U mtNÛMre de H* Boucbbs, notaire.

S'adresser aud it M 'B oucbez , notaire.

M a i s o n b o u r g e o i s eA S enlis, ru e N euve-de-Paris, 3 6 ,

A V e a 4 r e à l * a a i i a l i l éP o o r e n tre r en jouissance d e suite. S 'adresser d H* Boccbex, notaire.

A K i O V E R

U n e R e m i s ePOUR DEUX TOITURES

BTONR

E c u r i e p o u r . , d e u x C h e v a u xl ^ c a Ù m s A v a i a a t é .

S 'adresser au B ureau du Jo u rn a l deSentis. ' ,.l • • ,1 . -__________

U I N E M A I S O NS ituée V ieille-rue-de-Paris, n* 3 1 .

S a d r e t te r d M adame D oriixa .

A X i O l J E RP o u r le I*t Ju ille t prochain ,

U n « ! M a i s o nO c c u p é e p a r u n e Im p r im e rie ,

R ue N euvo^le-Paris, n* 9 , S ’a d fc i» » k M. ÇORBl&GROMARD,

A f t i O V E RP o u r la 15 Ju jn prochain .

Uu b e lOccupé par H . CuLvaD,

Rue N euve-de-Paris. S ’adresser k M. CORBl&GROMARD.

A L i e a e r à l ’a i i a i a b l eP o u re n tf t f en jouissance le 11 novem ­

bre 1873,U N L O T

d e T e r r e e t P r é17 Hectares 75 A res 54 Céoliares,

En quinze pièces Situées te rnû ra des Ageux e t S a rro n ,

canton de L iancourt, e t de P o n t- Sainte-Maxeoce.

S’adresser k H* Douchez, no ta ire k Senlis.

E ludes d e M** P a y e a h t n iéB iM P ul.notaiyesli Pbnt-^Saîélè^Méxenoèi ’

V e n t e M o b i l i è r eA PONT-SAINT&HAXENGE, ra e 't fC l t

V ille, ap rès le décès d e H . J . OxhfiBa, J^i* Je iMiiniMivdelf^PATfai e t R itnkhb,

• nô/a»ras A JtMil, 'U V enilredi.l3 Ju illè t-1873 . k m idi,

e t jours^suivants, a’il-y a l ié iU ''

A ¥ e i t 4 r e p a r à 4 J M 4 i ^ )iM r J è 'b r i f l t^ e (feM^^Pivlèv

E n ' Pétude dh 'll* ' PaySn, Tan d f ^ . Le Dim anche 14‘Ju ille t 1873, k' midi,

1 3 P i è c e s ' d è T e r r eT l/^ ir s l d e ^ i^ '-T e-P e ill, Qranil-À 'és-

hôÿ , 'Sari’On, li^ A ^ u x , Honçeanz, Pont|K>int et PonU Saihtè-^axehce,

e t q n c l H a î s o nSituée k Ponl-Sainle-Vaxerice, en la n ip

• d e la V i t le . ^S ’adresser' auxdiM M” -P a ten

R ichard, n o ta ire sk 'P o n t. '

E tude d e H * P a v c b , liolaire k Pont-Sainte-Maxfflce.

A V e a 4 ^ 4 r a n k i a l f l e

7 P i è e é s d , e P r é. Au terrpiR d e M onceaux.

S’adresser audit M* P atbk, no taire.

A t M W I l C Ï Ï I W ,E n J'éloda e t p a r U m fâUUra.de

Ht Duoiinv, «MiNra 4 OreJJ,Le p im a n c le 16 Ju in 1878» k m id i |

I P i i n c M n i i i t i M i i iSituéea.G reilj G rande-Rue, n* 8 ,

fit co u r d u Cliktoau. S ’adresBer a u d it M’ PoQ uar, n o ta i i |.

d e d e M * ' i r B u a p a e ia e , notaim A V erberle . -

A v e u 4 i * e p u r a « y u 4 i e i i l t o aA V crneun , en la salle d ’iéèoleJ !

L eD iro an ch é 'lfi J u in 1873,‘ k 3 heurim, P arU m ittitU rëd e H*TouaNxuR,iioJair«j;

U i i M a r c h é ( l e T e r r eE n 9 Pièceé'sises au té rro irde 0 ^ 1 ; - GMleiiaNfA A ecJo m 9 a re s 8 1 éenî.

S’adresser au d it M*’ TQHRWMn. no^aife.

. " I t t c n t i T M m i â l l I i i u . .S M M 'iir lIM IiM D M IiiM A i M A m M il: ' '• ■> ' ’ ii/ii «ifiiidti C h ÏB M fj i 'n » • f M , » ) ' /

ivrft ol I

noiniT'

Greflb d e la Jualice d è 'W lk dk

K r l e V d t ih ^ 'd e ,H * 'D ié iu

S E E U n .

A v e m 4 r é ' i M i P M d U a 4 i ë i i é i o M '£ n J*Jlud« e t p d r U m in is fé h de 1 ,

H 'T o u r n s u r , Holoirn d . fe r b e r ie i ' L e 'D im ancheaS Ju in 1873, k k h n u re a ,

1 4 P i è c e s - d e T e r r eP a ^ e i B Îati*

Sises terro irs de Verberie e t St-V aast- de-Longm ont.

C ontenant 7 hectares 83 ares 61 sent, ^ o d r a i ie r aMdil. H* T o u rn u ir , notaUé.'

GIlAtlDE E T BEI1.E

M a i s o à l t o n r g « - o i ^ < -Sisé k Ghambly^ m es db Prtit-FcB ir e t

d u M<Miiin^i,nl‘A u b in ,. 1 !

A v e a i 4 r | e p i w P a r U m i n u ^ i d e M! GnAKod, «wtéir»

d CAaméJp, e l en to n étude,. 'L e D im anche 7 J ..........S 'adresser au d it

V e i x t e ' i d à ' , . l i ' i P * n ,A P U Ü h L T .

Sa rA H o c ta rak d aP ré ,:.U DliM iM bk 9 J u in 1871^ k ttOeibcarfi, P ar U m in i t l ir a d n d i tH ^ d .I lo u n im M u :

On.ifl réuMr%«bqx

. e W ® " ^>nt-Sainle-M aitff|iiGqi,

H t I b ^ s ( ^ b e v a u K /

■ d e - l ^ ' d e ’ S ' l ' ' ? ^ ; ■A PONT-Sva-HAKBNOK, iv rii d a G a rr .

n ia ia o n 4 e lJ i l l (m q 4 t» v ! '' \ L e V endredi 3 8 Ju in l iT I v A ù n e h r itra ,

fo in Je p to f iM n d e M llu H a m a w h / i '

D M M n 4 é . ,

U » S « « « o n d C l « - r cE t a n I V n t o U n i e d m .

A h e e t m ^ 1 ^ . a r e s . A O j e n

J e , T e r r i , J a r d i a e t B l i nE n 3 0 pièces situées te rro irs d e Pei(lye-

.lee-Gambries e t Boissy-FTeanoy, I

A ven4re|MipE h la m aison d école dePei^oyè,!

Le D im anche 1 6 Ju in 1873,.k tipe h eb re ^ a r Je m in iiU re de H* L sfiicqus, fM |aire,

' S’ad resser au d it I t Lknioqub, uo totre.

E tu d e de M* ■ ë n a c i , huissier-priseur

V e n t e M o h i | i è i - eP a r su ittrd u décès de H . L .-A . M ichri,

AGHANTILLY,G rande Une, n * 9 7 .

Le Dimaimhe 16 et le L undi 17 Ju in , k xme heure de rrievée.

P a r le dèolH H* lIÉHEiy

U» lcoi8iem«t u tero

D e u i a i t i l e u n t â ê r e

' . « t . I ^ W ' . X C c t U t d M O . . .'H

■ ^ U d W ë r / M U I t t k S M ^ '

Un- E z |^ ltro M ai|u .

U n l r « ^ i s i è m i ^ , Ç l e r e . .

U n M a r c h é d e T e r r ede 13 h e c l tM 7 8 ares 4 0 centiares,

' M 4 3 tuJcei S ur Baron e t M ontingnon,

A V e n 4 p e p a r a 4 J a 4 i e a i t l o noéràiLj

La D im an ch eM Ju in 1872, k une heure, A Baron, en la salie d e là M airie,

P a r /e m in u fJ iv de M* B ooceix , no latre 4 5enJis.

S ’adresser au d it H* BougnEi. no taire .

J n l i e . P r o j H ' i é l é ,A Chantilly, m e d ’Aum ale, do n n an t su r

la pelouse, o 1

A v e H 4 i * e p a r a 4 | n 4 l e a t l o nLe Mardi 18 Ju in 1873, k u ne heure,A Chantilly, en la salle d e la M airie,

f a r U tn im siire de M* B o u c a n , oefoira 4 SsMJti.

S ’adresser audit H* B o u c a n , notaire.

E tude de M * M * a r e l , no taire k Senlis.successeur de M* Eontainb.

A v e n 4 r e p « r « 4 | n 4 l c a t l « n

Uni' MaisonSises k La O uprile -en -S erva l,

è t 0 P l é e e e 4 e é e v r e / p t p r éSidee terro irs de La O iapelleM K Serval,

Ponlarm é, O rry-la-T llle e t Posaes,A L a ChapelU, en ta m a itoa fféeoU ,

Le Dim aoche 16 Ju in 1 873 , k une heure. P ar U m in itt ir é de M* H oM bl, notaire

S ’adresser au d it H* H oaiL , notaire.

i de V illers-èous-SaInt-Leu,A ven 4reEn la Mairie — ________ ,f a r i e m t in ^ è r a d « ‘M* Budin, nofa ira

a Préeif-fur-O ise,Le Dim anclie 16 Jo in 1873, k 3 heures,

U i i o M a i s o i iS iso à VDIera-soiis-Salnt-Leu,

e t 3 6 P i è c e s d e T e r r eTerroirs de T illers eLSt-Leu-d'K seereet*

S 'adresser aud it M* Budin, notaire.

■USOH DESjtuée k Piécy-sui'-O’ise, GtiinÀe R ée ,

A à ' e i i 4 r e p a r « 4 i a 4 l e a Ü i e nE n Pétude e t p a r le m in istère de

M* Budin, notaire à P réeg , 'Le Dim anche 3 3 Ju in 1 873 , k 3 heures.

S ’adresser aud it M* Budin, notaire.

B e l l e , F r o p r i é l éAppelée autrefois F i e f de M onttm sant,

Située k Précy-sur-Oise, ijuartier du H kvre, ' . ;

A v e n 4 r e p « r 4 i i 4 J n 4 l e « 1 i e M E a f e lu d a e t 'p a r Je 'h iT aJB é^ de

M* Boom , noUnre 4 IVMiŸ,'’.''w a I . . OA . ■ È i ». A .1.Le Dim anche Ja in 1973 ; 8 4 hétrjM .

i * B abiN ,'notairé. 'S’âdrdm er a u d it H* I

.A ven4i<e 'p4ir ad |f a4 le ib tfo nE n Félude a i p a r U u i n ^ è r e de

M’ AibAN, N ohiJéè 'i JreJJo,'Le D im ancheSV Jiini 1873 ; A 44k h eure,

U n e M a i s o nNduvéllenmnt c o n s lru ite ,.

Située k CIris-les-Hrilo, riie de r ^ i

V e à 4 l r a |N h rD im aocbalO dpin 1 8 7 3 ,A u o p lw iy vEn 1 é lude e t

E tu d e deM* B e a i l l l é , h u i l e r ; k^CreiL V e n ie m ax ËaeÉMéires

H a r c h a D d i s e s e l B a h r i e lD U L A B O R A T O I R E

De M. CAUCHOIS Ob,Le L undi 17 Ju in 1873, k m id i,

A VAUX, com m . de Greil, en son nsm e. P a r le m inislère d n d it- M* B ouffé .

13 Bons ('.heyauxPropres f ux gros tra its ,

A V en 4re a a x Etaeliér«0A C REIL-SU lrO ISE, en la dem eure de

M. H aacuBaiQ é, q u a i d e l’O ite ,

U i D im anclie «0 Ju in m a . « m H i.f l*ur te m M ilé r e i l id i i I I - B q c tK .

] cÔ lIN JN E DE B tm C O D B i'.*

d e T r a v à t i t

i e D im a n è h e 3 3 J iiin l8 7 3 ,k u ne heure; E h la Maison com m une d e BlihcoUrt. ”

O a - J n M M e

, , U t i U b a r r e u é r .■1 . gacbanti l ire e t écrira. >

S 'ad rtsse r k Ik' Brassérie de l ^ î s , jdace 'de C ée il,!^

i i a i é M è è ÿ r a ' f f i . ^ r a ; ! .désire se placer com m e d e m à ^ ^ q é ' dans une benne.M aiM n. A u^bsM m , b m ir i pourkaR té o îr u n é c o A tp ta n l^

S ’adresser p o u r les 'r^se im M iB jb t^ ,*» Buyeyu di) Jou fné l. •’

Uharhon-Ainadoii’k R B t^ 'S . O.B. k .'' ' -

3 5 e . la p a g u i t de 54 «woi'raees. D épùtcheiM . L e lb fc w iw A B è M ié l ië n , 3 , p b c e S rio t-F fam boiàif;

I 8 e o lb ((lfa>|. i ' '

H j i i l _ e s * « r O l l v e s“ f e W i l i r t c t e d u e céhtiMANiHekfk.*'' f rix cou ran t de E .L a n B a v e tc* , déN ite .

' ' ■ a s i l e vkep fpe .< ' i : " ' f L’Estagnon k v is d e 50 l itres f r . 4 R

d ' ' '3 k d*. 75

■ a s i l e 4 i i i e ..L’Estagnon k v is deS O liti

Tff. 100

6 0F ranco de p o rt e t 'd ’e m ^ lla |( k , \c a

I p r e d e 'l ’kcheleuF, paiem ent

■ - 8 JvIh

• qw tU è 41

e r< ie e * îr& c l .^ i3 9 3 . — *1 75■ é tc i l lk T S — S e lf le l l M — O r |« '0 » » . — à;*Di»'e07 I*. ■

r d n ( i i i e o « c i « l l€ ) U k H . 1*S '.«pw iitê SOc.

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5* «M l. « a w t — ^ , ‘IS 50 — Orf* io 0. — A w »* *'••1- • «ét,.

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j U j u j i . i T i M f r■OMé o e N .. pjn tn ,

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14, 08 />-» *v«iaa

ic oBcic«âe} U .k l | , !**,«.

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17 00 -1 -« 4 0 0

faiH kUac (b<3 4’.” 3*1 V!• q M r- i ï» ,? !

.. - I « M « . 7 io t a ,. V f i o . l K ^ l i ' t i t k ,8 ' « M l. 18110. — M atcil U 45.— S c ta k ii I l 40 - 'O r t« 8 tO. -H kM lka I'* 0 ( 7 0 .8 * .q M U t4 ,0 5 .t8 . . . • . _i ra { a l> b R e tc k U .4 ^ e .f4 * ,^ i5 7 a .

s i i S ê i s a wiséo .i! . .'- ’- ''^ t ' ■ ........ ■ "

VrwaM tl'Iwct- « frqsalilé

it 'm o b ilie r .................................ipfL co u r .. 135 0>,P

^ irale, 3 5 0 fir. jk . itos, 400 Or. p .................

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^ M arse ille .....................ipom ié parisienne du fa x . ipofoie uDmobIlièrc. . . . — ^ transatlah lique , .

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