BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALB.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 66.06.60
ÉTUDE SÉDIMENTOLOGIQUEDES COUPES DU CAUSSE ROUGE
PREMIÈRE PARTIE
Interprétations des études pétrographiques
- Interprétation paléogéographique
DEUXIÈME PARTIE
- Résultats d'analyses
par
A. L'HOMER
Département carte géologique et géologie généraleB.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 66.06.60
74 SGN 294 GEO
TABLE DES MATIERES
Résumé
PREMIERE PARTIE
- Interprétations des études pétrographiques
- coupe du Puech
- coupe de Sainte-Marthe
- coupe de Linas/La Roubière.
- Interprétation paléogéographique
DEUXIEME PARTIE
- Résultats d'analyses
- Etude pétrographique de la coupe du Puecfi
- Etude pétrographique de la coupe de Sainte-Marthe
- Etude pétrographique de la coupe de la Barque
- Recherche d'indices de phosphates
- Diagnoses palynologiques.
RESUME
Des échantillons provenant des coupes liasiques, levées dans le
Causse Rouge par A. Michard (DRMM/FE - Division S.O), ont fait l'objet d'études
pétrographiques systématiques regroupées en deuxième partie.
Ces éléments, rajoutés aux données de terrain et de sondages (anciens),
sont interprétés en termes de séquences et de milieux de dépôt.
Des esquisses paléogéographiques sont tentées. Au Sinëmurien les
dolomicrites laminées sont la règle. Elles ont dû se déposer sous faible tranche
d'eau dans des lagunes très plates, peut-être en relation avec un appareil deltaïque.
Le Lotharingien est caractérisé par des (bio)-calcarénites dont
certains horizons ont été dolomitisés par la suite. Des variations lithologiques et
des lacunes indiquent l'existence de déformations contemporaines de faibles amplitudes,
déformations qui peuvent expliquer l'existence des paléosurfaces karstifiêes, observées
sur le terrain et l'intense dolomitisation de certains secteurs.
B.R.G.M.
SGN/GEO -
- Syndicat des Causses -
ETUDE SEDIMENTÓLOSIQUE
DES COUPES DU CAUSSE ROUGE
1ère partie
Interprétations des études pétrographiques
Interprétation paléogéographique
par A , L1HOMER
- SGN/GEO -
- Syndicat des Causses -
Sedimento!ogie
INTERPRETATION DE LA COUPE DU PUECH
Faciès et milieux
Quatre groupes principaux peuvent être distingués de bas en haut.
I - Dolomies de VHettangien et de la base du Sinémurien (LP1 à 48,80m)
II s'agit de dolomicrites qui présentent trois variantes essentielles :
a) Dolomicrites argileuses varvées (lamines algaires) (LP 1 ) ,
b) Dolomicrites à lamines chargées de silts quartzeux avec gradded
bedding (lamines mécaniques) (LP4 - LP9),
c) Dolomicrites à quartz fins êpars et contenant de fins débris végé-
taux et de matière organique.
Le faciès c implique des phases successives d'inondation (par les
marées en Tidal flat, par exemple).
Tous ces faciès supposent des fonds plats en zone abritée, de faible
énergie, où venaient s'accumuler les vases carbonatées.
La formation de dolomie primaire nécessitait également un milieu plus
ou moins confiné. Les arrivées périodiques de quartz fins et de fins débris
végétaux est compatible avec des lagunes d'abords deltaïques.
C'est l'horizon LP10 qui contient le plus de silts quartzeux (15%).
Le LP6 se différencie quelque peu ^K II s'agit d'un faciès de dolomie irrëgu-
lier à zones et lits de micrite argileuse.
i-Présence de pelets, de rhomboèdres noirs, de quartz fins.
Ceci rappelle certains faciès -pve-evapovirtques. Le niveau LP 8 avec de
encroûtements siliceux (calcédoine) et des mudcraks doit appartenir également à un
contexte pré-évaporitique.
(1) - niveau avec un indice de blende mielleuse.
- 2 -
Le contrôle structural de la sédimentation est assez régulier.
Des saccades de faible amplitude se marquent par des surfaces oxydéeset bosselées (LP3 à LP5). Mais ces oscillations du niveau de base, qui fontvarier la vitesse de subsidence résultante n'ont pas de répercussion importantesur les faciès qui présentent une relative constance.
II - Zone de passage et de remaniements (LP 12 ä LP 17)
Un épisode assez court fait la transition entre les faciès dolomiti-ques précédents et les calcarénites qui viennent ensuite.
L'échantillon LP 12 est formé d'un mélange de lithoclastes et desédiments hérités des assises antérieures (hettangiennes) et remaniés en milieuplus franchement marin (bioclastes, oolithes, pelets). Les quartz et les finsdébris végétaux sont encore abondants.
Ces remaniements des couches antérieures sont forcément liés à desérosions locales. On peut donc s'attendre à l'existence »latéralement, de lacunesou d'ajouts intéressant cette partie de la série.
Le niveau LP 13 marque un retour passager au faciès de type dolonricri-te à lamines mécaniques (peu marquées ici).
LP 14 nous montre la première manifestation franche de calcarénitesfines (= Pelmicrite) à lithoclastes fins, bioclastes, pelets et oolithes (cortexmince). Les débris fins de lamellibranches, gastéropodes, bryozoaires et spiculessont la marque de sables néritiques de moyenne à faible énergie. Les quartz finset les débris végétaux, très fins également, sont toujours présents.
La sédimentation tend ensuite à devenir plus fine (calcilutite à pelets)( = LP 15). Les quartz deviennent plus rares. Le dernier terme de cette coupureest une mi crite légèrement dolomitique dans laquelle des bioturbations ont étéobservées sur le terrain. Ces derniers horizons évoquent une tendance à 1'emersionpar suite d'une phase d'envasement en zone abritée, peu éloignée du littoral.
III - Dominante de bio - et oo'- calcarénites
La base est marquée par un ravinement important avec éléments bréchi-ques et gros débris végétaux ainsi que l'a indiqué A. Michard.
La séquence-type (complète) serait représentée à la base par des cal-
carênites fines et des micrites clastiques riches en pelotes mi critiques, avec
présence de spicules, de spongiaires, de foraminifêres, de bryozoaires, de lamel-
libranches. Les observations de terrain montrent, avec justesse que les dépôts
qui font suite sont constitués de biocalcarénites s'enrichissant de plus en plus
en oolithes. \
- 3 -
Nous avons ici un exemple classique de séquence positive (gradientd'énergie croissant progressivement). Ceci s'explique le plus souvent par unprocessus de progradation * '- (cf. exemples actuels du golfe persique).
Ce schéma idéal de séquence ne semble exister qu'à, la partie inférieu-re de la coupe lithologique, de L 18 1 L 24, là où la vitesse de sédiemBntationétait inférieure à la vitesse de subsidence v '. Ensuite, la vitesse de subsi-dence décroissant, la partie inférieure de la séquence, (= faciès plus marinsnécessitant une certaine tranche d'eau) -, ne peut plus se déposer. A la placese dépose une succession de calcarénites, plus ou moins affectées par lesstratifications entrecroisées et les surfaces oxydées.
Tous ces faciès appartiennent au domaine néritique très littoral demer chaude, à faune riche, en contexte pararêcifal (oolithes, échinodermes,débris de polypiers).
Il y a permanence d'une faible quantité de quartz (5 à 10 % ) . L'échan-tillon LP 29 (15 à 20% de q. , 0 maxi. = 600 y) indique un milieu de hauteénergie et confirme le remaniement littoral d'apports détritiques continentaux.
IV - Calcarénites fines
Après une phase de remaniement (LP 31 = lithoclastes, 20 à 30 % dequartz) il y a retour à une sédimentation marine de calcarénites fines (moyenneénergie) à pelotes abondantes. La présence de spicules, fréquentes à certainsniveaux peut être en relation avec celle de chaules observées par le géologuede terrain.
Au sommet du Lotharingien, le pourcentage de quartz atteint 20 à 30 %la présence de débris végétaux et osseux implique une recrudescence d'apportscontinentaux annonçant 1'emersion qui fait suite.
(1) - Translation progressive des faciès littoraux grossiers sur les facièsmarins par comblement d'un plateau peu profond.(2) - Subsidence pris au sens large : que celle-ci se manifeste par saccadesou bien de façon lente, plus ou moins régulière.
- 4 -
Interprétation des coupes (LE PUECH)
- DIAGENESE -
L'examen des lames minces peut être interprété de la façon suivante :
1 ^Diagenese précoce (Antécarixien)
Recristallisation de l'aragonite en calcite microspathique.
2 -Diagenese sous compaction (1)
Silicifications locales : calcédoine, siloce amorphe, auréole dequartz de néogénèse autour de grains détritiques. Joints stylolithiques.
Néogënëse de minéraux phylliteux (rare).Dolomitisation (surtout des dolomies fines).
3 - Dissolution et recristallisation
3.1. - pre^nière_pjiase (emersion fin lotharingien ?).
Recristallisation du ciment à la faveur de pores et fissures.Migration diffuse et piegage des oxydes de fer dans les éléments à
trames, fine (bioclastes, oolithes) - Amorces de dolomitisations.
3.2. - deuxièmejDhase (liée à la fin du Tertiaire et au Quaternaire)
Importantes dissolutions (= porosité,notamment LP 24) - Dolomitisationpartielle possible.
Recristallisation de calcite. Dépôts de sels de fer et de limon argi-leux dans les pores et les fissures, provoqués par la circulation d'eaux prove-nant de la surface, (éch. 25, 27, 31, 32).
(1) - La majeure partie de ces phénomènes doit se situer entre le Carixien etle Sidérolithique.
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DEPARTEMENT GEOLOGIE
Service Sédimentologie etPétrographie sédimentaire.
Orléans, le 5.7.74
COMMENTAIRE' PETROGRAPHIQUE - CALCAIRE DES CAUSSES
(coupe du Puech)
Cette étude a porté sur 16 échantillons appartenant tous au groupedes calcarénites. Ces sédiments marins, d'environnement néritique se sontdéposés dans des milieux agités, très peu"profonds, oxydants. La présencefréquente d'éléments remaniés (intraclastes) et d'une fraction détritiqueparfois importante implique une instabilité du domaine sédimentaire.
La diagénèse se manifeste par des calcitisations importantes, unefaible dolomitisation sur certains échantillons, des néogénèses de silice(quartz et calcédoine), et plus rarement de minéraux phylliteux (argile ouhydro-micas).
Ce dernier type de nëogénèse est à ma connaissance exceptionneldans ces environnements.
D. GIOT
Siège : 74, rue de la Fédération - 75739 Paris Cedex 15 - R. C. Seine 58 B 46 14 - Tél.: 783.94.00 - Adresse télég. Burgeolog Paris.
- SGN/GEO -
INTERPRETATION DE LA COUPE DE SAINTE-MARTHE
Sinëmurien : trois coupures lithologiques s'y remarquent.
1 - SM1 - SM4 -
Sédimentation très fine (faible énergie) se marquant par des dépôtsrythmés probablement accumulés sous faible tranche d'eau. Quasi-permanence des faciès avec deux termes supposant un contrôle desdépôts par une vitesse de subsidence lente. Ces deux termes sont :
a) une micrite dolomitique à lamines, argileuse.
b) une micrite dolomitique à rares microquartz avec tracesde bioturbation.
L'existence de débris ligniteux fréquents et de micas flottés suggèreun paléoenvironnement de vastes lagunes alimentées par les lutitesd'apports périodiques continentaux.De telles lagunes peuvent évoluer localement vers des mangroves lorsde périodes stables ou légèrement régressives. Il s'agit de toutesfaçons de mil-feux confinés, peu propices au développement de la vie.Des variations de faible amplitude peuvent provoquer l'apparition desurfaces ondulées ou de fentes de retrait.Les algal-mats typiques et les coussinets stromatolitiques indiquentune position de fond de golfe ou de bordure très plate d'une zoneémergée.
2 - SM5 - SM9 -Apparition brutale d'un pourcentage notable (25%) de quartz dans lasédimentation. Celle-ci évoque, pour la base, des dépôts de lagune àsalinité légèrement anormale, tels que ceux qui s'accumulent derrièreles cordons littoraux. On observe ensuite une évolution graduelle versce qui pourrait être des faciès de colmatage de lagune. Les oscilla-tions périodiques du niveau des eaux, fréquentes dans ce type de milieupeuvent expliquer la coexistence de barideaux foncés et clairs.
- 2 -
La présence de la pyrite, (souvent oxydée ultérieurement), est tout àfait normale dans un tel environnement.
L'ensemble forme une séquence à peu près complète allant jusqu'à satu-ration en sédiments, de l'intervalle créé par un précédent "à-coup" de subsidence.C'est par un réajustement de ce type, vraisemblablement plus accusé, qu'on peutexpliquer les arrivées de silici-clastiques de la base de cette coupure, entrai-nant des modifications paléogëographiques.
Comme précédemment,les faciès présentent des affinités avec ceux desmilieux deltaïques.
3 - SM 14 - SM 17 -II s'agit d'une subdivision délimitée par deux discontinuités.Une discordance de ravinement suivie d'un dépôt de remaniement
(= brèche hétérogène) marque la base de cette subdivision. La nature des cons-tituants de la brèche permet de supposer qu'ils proviennent de l'érosion decouches appartenant aux coupures 2 et 3.
Le niveau d'énergie devient moyen (dolarénite bioclastique).La présence de spicules et d'echinodermes au sommet suppose une in-
fluence marine directe, un milieu beaucoup plus ouvert.
La porosité assez forte va de pair avec une intense activité derecristallisation. On remarque, comme précédemment, des amas pyriteux, le plussouvent oxydés, ainsi que la présence de micas de néogénèse.
Lotharingien :
Les faciès, très détritiques, diffèrent nettement de ceux du Sinému-rien.
Il s'agit de faciès de remaniement d'une micrite dolomitique primaire.La diagénèse se manifeste par une dolomitisation des bioclastes, une silicifi-cation calcédonieuse de certains éléments, une dolomitisation spathique massive.
Des dépôts tardifs de cal cite tapissent certains pores. Dans ce casil peut s'agir de pores résiduels, ou de pores de dissolution.
INTERPRETATION DES FACIES DE LA COUPE
LINAS/ LA ROUBIERE
I -Dolomies básales (15 à 32m)
Les descriptions de terrain n'indiquent pas la présence, comme àSainte-Marthe, de dolomies à lamines et de joints argileux noirs. En contre-partie des dolomies massives, généralement claires, et des dolomies à marbruresy ont été fréquemment observées par A. Michard.
Ceci plaide pour un milieu de lagunes peu profondes et relativementoxydantes, (lagunes internes), ou peuvent encore aboutir les fins débris végé-taux mais plus rarement les quartz.
L'échantillon L 2, de caractère marin franc (spicules, échinides, fora-minifères), implique une petite phase transgressive. En outre ce faciès présenteun début de dolomitisation et des aggrégats sulfureux.
Par contre le niveau L 1, bien que compatible avec un dépôt de Tidalflat (strates ondulées), ne présente pas de constituants spécifiquement marins.
La base du Lotharingien ne pourrait-elle se situer alors vers leniveau 21 m ?
Notons également que la zone L2 - L3 pourrait peut-être se corréleravec celle de Lpl2 - LP 17 (coupe du Puech).
II - Calcarénites et dolomies de la partie supérieure
Le niveau de 1'échantillon 13 est constitué par une calcarénite àintraclasts, pelotes, bioclastes/en majeure partie dolomitisée. Une corrélationentre cet horizon et SM 18 est à envisager.
Les dépôts de calcarënites fines alternant avec des dolomies à marbruresincitent à situer cette coupe - , au Lotharingien -, dans une zone un peu internepar rapport ä la bande où se situent les principaux cordons. Il s'agit d'une posi-tion d'arrière-cordDn pouvant aller jusqu'au cordon lui-même (dolomies du sommetà stratifications entrecroisées).
Il y a donc une certaine permanence des traits paléogéographiques dans
ce secteur entre le début du Sinémurien et la fin du Lotharingien. .
- SGN/GEO - SYNDICAT DES CAUSSES
Seryiçe_Sédirnento2oç[i e
INTERPRETATION PALEOGEOGRAPHIQUE
Pour esquisser une paléogéographie du Sinémurien, nous disposons decoupes dans deux zones (sud et nord).
Les coupes intéressant le Lotharingien sont plus nombreuses mais lesfaciès sont fréquemment dolomitisés, et dans ce cas il est difficile de recon-naître les types de dépôts d'origine. Les corrélations avec les zones calcairesne peuvent être que très approximatives.
SINEMURIEN
" Le paysage - Les mécanismes de dépôt -
Les types de sédiments rencontrés suggèrent une ère très plate où sedéposent principalement des lutites. Les vases qui sédimentent sont généralementcarbonatées et admettent des lits de marnes et d'argiles.
Les lamines, supposant un contrôle sédimentaire par des voiles algaires(cyanophycëes), sont fréquentes ainsi que les mud cracks (Sainte Marthe). Cesfaciès à "algal mats" se développent principalement dans des lagunes marines, abri-tées, peu profondes, à salinité légèrement anormale. De tels environnements serencontrent aujourd'hui derrière les cordons littoraux de Tidal flats (fond=de baielagunes para-récifales, lagunes associées à des appareils deltaïques).
Des apports continentaux se manifestent périodiquement. Ce sont desquartz fins, des silts généralement associés à des fins débris végétaux ; certainsfeuillets silteux sont riches en micas.
La finesse des détritiques laisse supposer un tri préalable en amont.Seuls les éléments les plus fins sont parvenus jusqu'à la zone étudiée.
Outre les arrivées périodiques de quartz et de débris végétaux,leseaux fluviátiles apportent sur les Tidal flats des limons, des argiles qui se
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combinent avec les carbonates de précipitation chimique ou biochimique donnant
des vases qui évoluent rapidement vers des dolomicrites.
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- 2 -
- Variations paléogéographiques -
Dans ce contexte de dépendance deltaïque (au sens large) le volumedes apports est important. Donc toute subsidence lente est aisément compenséeet "rattrapée" par la sédimentation. Lorsqu'il y a saturation en un point(dolomies à marbrures = colmatages de lagunes) la sédimentation ne peut sepoursuivre qu'au delà, en gagnant sur le domaine marin. De même il est logiquede penser qu'à l'ouest ou au Nord-Ouest de Filalets la série risque d'être moinsépaisse et de contenir davantage de passées sableuses.
Plus on s'éloigne de la zone hypothétique de l'estran contenant lesprincipaux débouchés fluviátiles * ', plus on risque de voir diminuer les pour-centages de débris végétaux et de quartz (zone sud) et de voir à l'inverse aug-menter la teneur en argile (zone du Puech).
La coupe de Roubière doit se situer en position plus "interne quecelle de Sainte-Marthe, ce qui expliquerait l'abondance de dolomies à marbrures,de dolomies massives claires (zone tendant vers l'oxydation par suite de la fai-ble tranche d'eau ?).
LOTHARINGIEN
L'accumulation de dépôts de dolomicritessinëmuriennes plus ou moinsargileuses, souvent laminées s'est effectuée sous faible tranche d'eau et aaboutit à l'édification d'une vaste étendue plane. C'est cette morphologie queva trouver la mer lorsqu'elle va transgresser en apportant des sables bioclas-tiques néritiques, au début du Lotharingien.
- Base du Lotharingien -
Cette limite est difficile à placer. On peut la fixer à la premièreincursion de faciès marins francs, sans tenir compte des récurrences de dolomi-crite qui peuvent lui faire suite. Cette façon de procéder n'est pas parfaitementsatisfaisante car cette première "trangression" a pu se faire moins sentir surles zones les plus hautesou proches de 1'emersion.
(1) II faut penser à des deltas de mer à marées.
(2) En position plus continentale
(3) C'est-à-dire dans une zone de lagunes en voie de colmatage.
- 3 -
Voici ce qui peut être retenu de l'examen
Coupe
La Barque
Rascal at
Vezouiliac
St Germain (SG2)
MeF.icamp (H5)
Ste-Marthe
Roubière
Le Puech
Première incursion marine
L B 2 W)
57,80
41,00
45,50 ou plus bas
SM 14 (mais ravinement
L 2 ?
L P 12
des microfaciês :1
Premier niveau decalcarénites franche«;
s donc lacunes possibles)
L 3
L P 18
Schéma de la sédimentation avant dolomitisation
Trois secteurs se distinguent :
1) - Secteur N-NE
La série est essentiellement calcaire. La coupe type est celle du
Puech. A la partie inférieure, des séquences positives (calcarénites fines pas-
sant à des oolithites) peuvent s'y développer. Les faciès deviennent ensuite
grossiers de façon quasi continue. La série se termine par des calcarénites
fines précédant les dépôts carixiens.
C'est Vezouillac qui présente les faciès les plus fins. Dans la
moitié inférieure de la coupe, le faciès de calcarénites fines de base de
(1) - Mais on se trouve là en base de coupe. Il n'est pas exclu que cette limite
existe en fait en dessous.
- 4 -
séquence s'y est plus développé qu'ailleurs.
A la base on y observe également des joints argileux noirs qui n'exis-tent pas au Rascal at, où toutefois les ravinements sont rares.
La coupe de Vezouillac est la plus représentative d'une zone basseparmi toutes les coupes étudiées.
La coupe du Puech présente par contre des ravinements et des micro-brèches (partie básale). Pour cette portion de la série, le Puech s'apparente-rait plutôt au 2e et au 3e secteur.
2) - Secteur centre et ouest
Les ravinements et stratifications obliques sont fréquents tout commeles gravel les. Lescuartz sont abondants à Méricamp (H5?.
L'alternance dolomies-calcarénites grossières devait y être primiti-vement la règle. La granulométrie grossière et l'existence de vides intergranu-laires a dû favoriser la dolomitisation qui s'est effectuée ultérieurement. (1).
Le niveau terminal du lotharingien (calcarénites fines) qui existedans le secteur 1 ne s'y observe pas , soit qu'il ait été érodé depuis la dernièreemersion des Causses soit, plus probablement, qu'il ne s'y soit pas déposé.
3) - Secteur sud
La sédimentation s'y apparente à celle des deux secteurs précédents.Les niveaux de calcarënites fines à chaules peuvent représenter des épisodestransgressifs où les faciès littoraux (ou lagunaires) font place à des vasesmarines riches en spicules.
Les calcarénites deviennent grossières et oolithiques au sommet.On ne retrouve pas les calcarénites fines du secteur 1, soit par suite
d'une variation latérale de faciès, soit plutôt par non dépôt.
Les oblitérations diagénétiques ultérieures
Deux phases principales semblent avoir existé :
(1) Ceci est développé plus loin.
- 5 -
I - Phase antécarixienne
La répartition des faciès à la fin du Lotharingien nous incite à penserque dès cette époque une déformation s'amorce, déformation qui ne fera que s'accen-tuer ensuite avec emersions lacunes de sédimentation et érosions.
Le secteur sud et surtout celui du centre sont affectés par une défor-mation positive tandis que le secteur N-E se déforme en sens inverse et conserveune sédimentation fine.
Ainsi que l'ont démontrés A. Michard et M. Aubague, c'est à la fin duLotharingien qu'il faut placer la majeure partie des événements conduisant à Vemersion, à la dolomitisation, suivie d'une karstification et des phénomènes deconcentration qui y sont liés.
La dolomitisation des calcarénites grossières poreuses doit être liéede très près à la phase d'émersion, tout comme l'oxydation diffuse des constitu-ants (déplacement des sels de fer).
Les calcarënites fines des zones basses ont pu faire écran à la dolo-mitisation dans les secteurs demeurés calcaires. Une autre raison peut être1'éloignement des lagunes riches en eaux magnésiennes.
II - Trangression carixienne
Le retour de la mer entraine le remplissage par les sédiments marinsdes creux du paléorelief et en particulier des appareils karstiques (cf. obser-vations de A. Michard).
Il peut y avoir là un facteur de dispersion des ions métalliques, saufpour les parties profondes des karöbs et, par conséquent, déjà colmatées.
III - Phase sidérolithique
L'érosion des séries mésozoîques permet la remise à jour des sériesliasiques. Les dolomies de la partie centrale de Sainte-Marthe sont attaquées parles eaux météoriques.' '
Des dissolutions et recristallisations (dolomie spathique puis calcite)se produisent.
(1) - D'autant plus facilement que le Lotharingien y est incomplet et que le
Carixien devait y être peu épais.
- 6 -
Empruntant le réseau dense de diaclases les eaux pénètrent assezprofondément et déposent des limons ferrugineux dans les pores et fissuresdes roches.
Les autres secteurs (certainement mieux protégés par les lambeauxde couverture liasique) ont été moins affectés par les circulations d'eauanciennes.
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Syndicat des Causses
ETUDE SEDIMENTOLOGIQUE
DES COUPES DU CAUSSE ROUGE
Syndicat des Causses
2ètne partie
Résultats d'analyses
- Pétrographie (D. GIOT)
- Recherche d'indices de phosphate
- Analyses palynologiques.
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Service de sédimentologie
RÉSULTATS D'ÉTUDES
ETUDE PETROGRAPHIQUE DE LA COUPE DU PUECH
Syndicat des Causses
Feuille à 1/50 0 0 0 :
Sondage:
V.Réf. demande du: M . MICHARD
N.Réf. N° d'étude: E . S . 11/7 /74
L'Ingénieur responsable de l'étude
D. GIOT
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et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
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ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
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Lithologie sommaire :
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ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
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A : abondantF : fréquent
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U ? 2,1N ° L M
Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉNOMINATION DE LA ROCHE:
R : rare
Tr : trace
i : diamètre
I 3 1 * I 5 I 7 I 8 \ 10 | 11 | 12
LN LP LR
£>ûUTH\Q! j£ .ft\ûCXf\tf l$O€..
DESCRIPTI0N:<O¿"
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie sommaire :
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par:
N ° éch.
Up VLN ° LU
R : rare
Tr : trace
i : diamètre
Gr lo~
DÉNOMINATION DE LA R O C H E : r>|L
2 | 3 | 4 | 5 8 | 7 I 8 | 9 | 10 ] 11 | 12
LN LP
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DESCRIPTION :
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Oemindeur:
Localisation:
Étage:
N ° éch.
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉNOMINATION D E LA
R:
Tr
i:
ROCHE :
N° LM
rare
: trace
diamètre
a
b
c
d
e
f
g
h
1 1 2 | 3 | 4 | 6 | 6 | 7 | 8
LN LP LR
9 | 10 | 11 | 12
X
DESCRIPTION
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B R G M • S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation:
Lithologie sommaire '•
ÉUge:
N° écb. N° LM
Orientation T / / 7
TA : tris abondant
A : abondant
F : fréquent
R:
Tr
e:
rare
: trace
diamètre
Diagnose établie par : T ) , Ç ,
DÉNOMINATION D E LA R O C H E :
1 I 2 8 | 9 | 10 [ 11 12
LN LP LR
DESCRIPTION :
V
9
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V'
v Ci \
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Oem.ndeur:
Localisation:
Lithologie sommaire : j ^ j^ j^
Étage : A
N ° éch.
Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondantF : fréquent
R:
Tr
i:
N ° LM
ran
: trace
diamètre
f
S
h
Diagnose établie par: Q . tri o r
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
DESCRIPTION :
NjLUi .V 'oJUl S f
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Deaatdeur: m ^ ' W » ;Laeaiution: O A v l S S ^
Uthafegie sommaire : Arjî
£tan:
IIe éch.
Orlntation T / / 7TA : très abondant
A : abondantF : fréquent
Diagnose établie par : V (
N ° LU
R : rare
Tr : trace
• : diamètre
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b
c
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1 1 2 1 3 |
LN
4 | 5 | S | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
OÉNOUINATION DE LA ROCHE:
DESCRIPTION :
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oca-i.cc
ÛV.I
B R G M - S 6 N / G E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
O t m m d e u r :
Localisation:
Lithologie sommaire :
Étage:
N ° éch. N ° LM
Orientation T / / ?TA : très ebondant
A : abondant
F : fréquent
R:
Tr
i:
rare
: trace
diamètre
Diagnose établie par : J) ^ i o T
DÉNOMINATION DE LA R O C H E :
10 12
LN LP LR
DESCRIPTION :
Í. < \ . O> JJU>O-<- -I ÍÚ jU-
\ V
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UL 0
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Otmmdeur:Localisation: C X \ O S ^ - C ^ .
lithologie sommaire :
Étags :
N° éch. N° LU
Orientation T / / 7TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par: V
R:
Tr
i:
rare
: trace
diamètre
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
I * I 5 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LN LP LR
DESCRIPTION: " T . - K
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Í M J ,
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation:
Lithologie sommaire :
Étige:
N ° éch. N ° LM
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par:
R : rare
Tr : trace
i : diamètre
G-voT
a
b
c
d
6
f
g
h
1 1 2 | 3 | 4
LN
6 | 6 | 7 | 8 | 9
LP LR
| 10 | 11 | 12
X
DENOMINATION DE LA ROCHE :
DESCRIPTION U
a< * V A V J
^«Xi *>
B R G M • S G N / 6 E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie sommaire : ( _ í J < C o x ¿ u x . o
É U g e :
N ° éch.
Orientation t i l lTA : tris abondant
A : abondantF : fréquent
Diagnose établie par:
DENOMINATION DE LA
y
R:
Tri:
ROCHE :
N° LU
rare
: trace
diamètre
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8 1 9 | 10 | 11 12
LN LP LR
DESCRIPTION:
í\ .
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D
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V<JUl
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\
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie sommaire :
Étage:
éch.
\?N° LM
W O 32.Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
R : rare
Tr: trace
i : dlamè
a
b
c
d
e
f
g
h
1 1 2 | 3 !
LN
4 1 5 | 6 | 7 | 8
LP LR
9 | 10 | 11 | 12
X
DESCRIPTION:
t <d> JXAS>HX~
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X
U«.< .
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur : v
Localisation:
Lithologie sommaire :
Étage:
N° éch.
L? 'bVH° LM
Orientation T / / 7TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
R : rare
Tr : trace
e : diamètre
3 G ioT
a
b
c
d
e
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S
h
1 1 2 | 3 |
LN
4 | 5 | 8 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
DESCRIPT.ON:^W-
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie sommaire
Étage:
N ° éch.
Vf V^N ° LM
Orientation T / / ?TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par : 5.(
R:
Tr
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rare
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T
a
b
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LP LR X
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BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALDépartement carte géologique et géologie générale
B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 66.06.60
Service de sédimentologie
RÉSULTATS D'ÉTUDES
ETUDE PETROGRAPHIQUE DE LA COUPE DELINAS / LA ROUBIERE
Feuille à 1/50 ooo : Syndicat des Causses
Sondage:
V.Réf. demande du : V\. A. MICHARD
N.Réf. N° d'étude: E.S. 12/7/74
L'Ingénieur responsable de l'étude
A. L'HOMER
B R G M - S 5 N / G E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Oemandeur: . V Hflrtf <U
Localisation : ' ¿
Ulnolsgla sommaire: î)0Ç,u*i& (>
Cuga :
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H° éch.
LIN° LU
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TA : très abondant R : rare
A : abondant Tr : trace
F : fréquent i : diamètre
Oiagnose établie par: J ^ G l « ?
OÉNOUINATION DE LA ROCHE :
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LN LP LR
DESCRIPTION: "twuu«-.V
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( P*\<iïri M
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation:
Lithologie sommaire :
Étage:
N° éch. N° LU
Orientation T / / 7TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par:
R:Tri:
do-
rara
: trace
diamètre
r
a
b
c
d
e
f
8
h
1 | 2 | 3 | 4 | S | 6 | 7 | 8 | 9
LN LP LR
| 10 | 11 | 12
X
DÉNOMINATION DE LA ROCHE:
DESCRIPTION :
h
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Y -¿o ¿fa \é^h \*bi
B R G M • S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur : V
Localisation :
Lithologie sommaire :
Étage:
N° ách.
1 &N ° LM
Orientation T / / 7
TA : très abondant R : rare
A : abondant Tr : trace
F : fréquent • : diamètre
Diagnose établie par : ^
DÉNOMINATION DE LA R O C H E :
a
b
c
d
e
f
g
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i | 2 1 3 |
LN
• 1 s | e |
LP
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LR X
DESCRIPTION :
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^ Aero y.
fe^alue, .
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALDépartement carte géologique et géologie générale
B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 66.06.60
Service de sédimentologie
RÉSULTATS D'ÉTUDES
ETUDE PETROGRAPHIQUE DE LA COUPE DE
SAINTE-MARTHE
Feuille à 1/50 000 : Syndicat des Causses
Sondage :
V.Réf. demande du : M . MICHARD
N.Réf. N° d'étude: E . S . 10 /7 /74
L'Ingénieur responsable de l'étude
D. GIOT
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie sommaire : Ó « ( Í \ J U * V
Étage:
N° éch.
bvuN° LU
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
R : rare
Tr : trace
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8 T 9 y 10 | 11 12
LP LR
DESCRIPTION:
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRÂPHIQUE
Oemindeur:
Ltcalisation :
Lithologie sommai™ : è o ta \wù«<
É U g e :
N° éch. N° LH
Orientation T / / 7TA : très abondant
A : abondantF : fréquent
R : rare
Tr : trace
i : diamètre
Diagnose établie par: * ) .
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
a
b
c
d
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1 1 2 1 3 1 4
LN
5 | 8 i 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
DESCRIPTION :
iè• 0
i \ \
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demindeur:
Localisation: Ç J O u u k . U t j | .
Lithologie sommaire :
Étage:
wùt y
N° éch.^ ^A &.0 * \ 0
N° LU
Orientation T / / 7
TA : très abondant R : rare
A : abondant Tr : traceF : fréquent l : diamètre
Diagnose établie par : V Q, iO"T
DÉNOMINATION D E LA ROCHE :
a
b
c
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f
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1 1 2 1 3
LN
4 | S 1 8 1 7 1 8 1 9 1 10 1 11 I 12
LP LR X
DESCRIPTION :
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédiment aire
ÉTUDE PÉTROGRÂPHIQUE
Demandeur: l
Localisation :
Utholooia sommaire :
Étage:
vjule i
H° éch. N ° LH
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉNOMINATION DE L A R O C H E :
R : rare
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• : diamètre
a
b
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d
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4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
DESCRIPTION :
<V W
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandaur:
Localisation :
Utbologie sommaire :
É U g e :
N° éch. N° LU
Orientation T / / ?TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
R:Tri:
rare
: trace
diamètre
Diagnose établie par : 3 (5V0T
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
DESCRIPTION :
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a
b
c
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1 1 2 1 3 | 4 | 6 | 8 | 7 | 8 | 9
LN LP LR
10 | 11 | 12
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Oemmdeur: C M ï ALocalisation:
Lithologie sommaire :
Étago:
N° éch. N° LH
Orientation T / / ?TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DENOMINATION DE LAR O C H E :
R:
Tr
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rare
: trace
diamètre
' I 2 I 3
LN
7 I 8 I 9 I 10
LP LR
DESCRIPTION :
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\ Y
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur: Y
Localisation :
Lithologie sommaire :
Étage:
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
N ° éch. N ° L U
R : rare
Tr : trace
• : diamètre
Diagnose établie par : y C l c T
DÉNOMINATION DE LA ROCHE:
I 3 I S I 8 I 7 1 8 I 9 I » I H I
LN LP LR
DESCRIPTION :
da-
B R G M • S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPWQUE
Demandeur: L1
Localisation :
Lithologie sommaire :
Ébge :
? \ ' V Ä -
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Oiagnose établie par :
DÉNOMINATION OE LA ROCHE :
R : rare
Tr : trace
i : diamètre
N ° éch. N ° LM
6 | 9 | 10 | 11 12
LN LP LR
DESCRIPTION :
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B R G M - S G N / 6 E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur :
Localisation:
Lithologie s o m m a l n :
Étage:
Orientation T / / ?TA : très abondant
A : abondantF : fréquent
Diagnose établie par: \
R:Tri:
gi-
rara
: trace
diamètre
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
N° éch. N° LU
2 I 3 I 4 I S I 6 I 7 I 8 I 9 I 10 I
LN LP LR
DESCRIPTION :
tcw'^ù.
tf
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demndeur :
Lecafisstion:
UtteloQl« sommaire :
Étiei:
M 9 éch. N° LM
Orientation T / / 7TA : très abondant
A .-abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
DÉKOMINATION DE LAROCHE :
R:Tr
• :
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rare
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diamètre
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a
b
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1 I 2 | 3 | 4 | 5 | 6 |
LN LP
7 | S | 9 | 10 | 11 | 12
LR X
h
DESCRIPTION :
"TV'./
\
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Localisation :
Diagnose établie par : y (, \0-f
DÉNOMINATION DE LA R O C H E :
Lithologie sommaire : ¿ ^
Étage:
N ° éch.
Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
U A À O tt'VU.
N ° LM
R : rare
Tr : trace
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e
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I 2 I 3 1 10 H I
LN LP LR
DESCRIPTION :
J^ yvu.
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur: l'Hot\t«j
Localisation : (j^tJüAi/i
Lithologie sommaire : ^
Étage:
N ° éch.
Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
•
N° LU
R : rare
Tr : trace
e : diamètre
Diagnose établie par : y &
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
DESCRIPTION :
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a
b
c
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g
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1 1 2 1 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
LN LP LR
10 | 11 | 12
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F \ oVAÀT»<JIAI
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédim en taire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur: t H o < \ € &Utilisation:
Lithologie sommaire :
Étage:
v̂
N ° éch. N ° LH
Orientation T / / 7
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par: 3 .
OÉHOUINATION DE LA ROCHE :
R : rare
Tr : trece
1 : diamètre
a
b
c
d
e
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g
h
1 1 2 1 3
LN
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
DESCRIPTION :
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B R 6 M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
fraudeur:
UcaBjation :
Lftkttogie sommaire :
Étage:
N ° éch. N ° LM
Orientation T / / 7T A : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
R:
Tr
e:
rare
: trace
diamètre
DÉNOMINATION D E LA ROCHE :
DESCRIPTION :
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LN LP LR
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B R G M - S G N / G E O • Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Locafitation :
Lltfctoflli sommaire :
Ëtagt:
N° éch. N° LU
k% WoOrientation T / / 7TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par :
R : rare
Tr : trace
• : diamètre
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
I 2 I 3 > * I 7 T a | s | io | ii 12
LN LP LR
DESCRIPTION:
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vf l t ¿
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BRGIUI - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur : \ > \ O t 4 £ £
Localisation:
Lithologie sommaire :
Étage:
N ° éch.
Srt \6N ° L M
Orientation T / / ?
TA : très abondant R : rare
A : abondant Tr : trace
F : fréquent i : diamètre
Diagnose établie par : ^.¿IOT.
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
I 2 I 3 I * I 5 I 6 I 7 I 8 1 9 I 10 I « «
LN LP LR
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V
T T T L Y i »
B R G M • S G N / G E O - Service Sédimentologie
et Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Localisation :
Lithologie s o m m a i ™ :
Ëtage :
N° éch. N° LM
<\is MbOrientation T / / 7
TA : tris abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par:
DÉNOMINATION D E LA R O C H E :
R : rare
Tr : trace
• : diamètre
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C L Î \
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DESCRIPTION:
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B R G M - S 6 N / G E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Lecalisation :
lithologie sommaire :
Étage:
Orientation T / / 7TA : très abondantA : abondantF ¡fréquent
N° écb. N° LU
R : rare
Tr : trace
e : diamètre
Oiaonose établie par: ^. (, \ o T
DÉNOMINATION DE LA ROCHE :
9 | 10 | 11 | 12
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DESCRIPTION :
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ben?,
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALDépartement carte géologique et géologie générale
B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 66.06.60
Service de sédimentologie
RÉSULTATS D'ÉTUDES
ETUDE PETROGRAPHIQUE DE LA COUPE DE LA BARQUE
Feuille à 1/50 0 0 0 : Syndicat des Causses
Sondage:
V.Réf. demande du : M . A . MICHARD
N.Réf. N° d'étude: E . S . 13 /7 /74
L'Ingénieur responsable de l'étude
A. L 'HOMER
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur:
Lithologie sommaire -Xj>$i&i.\t,
Étage:
N° éch.\ 1Q \ (
Orientation T / / 7
TA : très abondant R :
A : abondant Tr
F : fréquent • :
Diagnose établie par : V Cr\vrf
N° LU
rare
: trace
diamètre
DÉNOMINATION D E LA ROCHE :
I 3 I * 1 B I » 7 8 9 10 11 12
LN LP LR
DESCRIPTION: H«J, \ C . JL'e-^
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
B w n d e u r :
UcaBsation :
lWwlegle sommaire :
1° écn. N° LM
Orientation T / / ?
TA : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Oiagnose établie par:
DENOMINATION D E LA R O C H E :
R : ran
Tr : trace
i : diamètre
a
b
c
d
e
f
g
h
1 1 2 | 3 1 4 | 5 | 6 | 7 | 8
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9 | 10 | 11 | 12
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DESCRIPTION :
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B R G M • S 6 N / G E 0 - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur :
lecalisatioa:
Uthotogie seanaire :
Étage:
U/ R W
N°éch.
\ -b iN ° L M
Orientation T / / 7
TA : très aboatfant
A : abondant
F : fréquent
Oiagnose etabfe par :
DÉNOMINATION DE U ROCHE:
R : rare
Tr : trace
• : diamètre
2 I 3 I * I 5 I * I 7 I 8 I 9 I 10 I 11
LN
C ^ C \ t\\C*\f£. <\
LP LR
DESCRIPTION:
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B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur: L ' H o A ^
Localisation :
lithologie sommaire :
Étage:
N ° écb.
VfcMM 0 L H
Orientation T / / ?
T A : très abondant
A : abondant
F : fréquent
Diagnose établie par:
R : rare
Tr: trace
• : diamètre
Giof
a
b
c
d
e
f
S
h
1 1 2 1 3
LN
4 | 5 | 8 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12
LP LR X
DÉNOMINATION DE LA R O C H E :
DESCRIPTION:
j a v Ö N ^ ^ J C O
B R G M - S G N / G E O - Service Sédimentologieet Pétrographie Sédimentaire
ÉTUDE PÉTROGRAPHIQUE
Demandeur: V M * A C j A .
Localisation :
Lithologie sommaire :
Étage:
Orientation T / / 7
T A : très abondant R : rare
A : abondant Tr: trace
F : fréquent i : diamètre
Diagnose établie par:
DÉNOMINATION DE LA R O C H E :
N° éch.Ifc S"
M° LM
I 3 10 [ 11 12
LN LP LR
DESCRIPTION :
¿
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- SGN/GEO -
RECHERCHE DE PHOSPHATES
Analyse effectuée sur le niveau 27 de la coupe Pas des Gavatchesrenfermant des chaules, végétaux et os.
Teneur en P205 : <^5 %
- SGN/GEO - FICHE DE DIAGNOSE PALYNOLOGIQUE
Spores :
Pollens :
Phytoplancton :
Zone ou âge : L
Carte à 1/50 000 : C n0£$ Vr A
D e m a n d e u r : II""
Sondage ou tarière :
Coupe :
N° échantillon : O ê ^ 1
N° de lame : N 0 ^ J
Nature du résidu : -
àl s ....i
j
U|
- SOt/GEO - FICHE DE DIAGNOSE PALYNOLOGIQUE
Carte à 1/50 000 : Q
Demandeur: K"- l_'HoKl£ft.
Sondage ou tarière :
Coupe :
N° échantillon : 5 O -A\t>
N° de la»e : T í -A^>
Nature du résidu :
I
Spores :
Pollens :
Phytoplancton :
Zone ou âge :