Présentation générale des systèmes
d ’information
Animateur : Mohamed LOTFI
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Plan
Les architectures actuelles
Les grandes plate-formes informatiques AS400, NT, Unix
Introduction sur les outils au service de l ’information de gestion
Les outils d ’aide à la décision
Les opportunités offertes par les technologies de l ’échange d ’information
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De par la nature du poste client, certaines fonctionnalités sont généralement associées avec les applications client/serveur
Une interface utilisateur graphique conviviale : menu, multi-fenêtrage, représentation graphique des données, photos du produit liées avec le catalogue,…
Des possibilités de manipulation de données laissées à l'initiative de l'utilisateur. Exemple :
le directeur commercial construit son rapport mensuel sur les ventes en choisissant les données à restituer (CA, région, famille de produit,…), les critères de sélection (seulement les grands comptes),…
…, ces informations peuvent faire l'objet de calcul grâce aux outils bureautiques : mise à jour du tableau Excel et ajustement des prévisions commerciales glissantes,…
…, et alimenter en retour le système central pour diffusion aux acheteurs/contrôleurs de gestion/production,...
Les plus des applications client/serveur
4
Les traitements étant partagés entre le serveur et le client, des fonctionnalités demandant une puissance de calcul importante peuvent être réalisées en limitant l'impact sur les autres utilisateurs
En résumé les applications client/serveur sont particulièrement adaptées aux utilisateurs ayant besoin de manipuler les données (ex. : analyse financière, simulation, prévision, planification/ordonnancement,…)
Les terminaux passifs sont eux idéaux pour la saisie de données "au kilomètre" (saisie de facture, prise de commande dans un centre d'appel téléphonique,…)
Les plus des applications client/serveur (suite)
5
Architecture centraliséeArchitecture centralisée
Répartiteur Usine 1
Usine 2
Siège
Description : Un serveur central puissant gère les données et les transactions de tous les
utilisateurs
Il est relié à un "répartiteur" dans chaque usine. Les terminaux de l'usine sont reliés au "répartiteur"
Avantages : Une seule licence d'exploitation à payer
Maintenance des applications, des utilisateurs, des données,… centralisée
Sauvegarde simplifiée
Mais… La ligne de communication entre le serveur et l'usine doit être disponible pour
que l'usine travaille
Cette ligne doit être suffisamment bien dimensionnée pour permettre un temps de réponse acceptable par les utilisateurs
En cas de panne dans les communications ou sur le serveur central, les utilisateurs distants ne peuvent travailler
6
Architecture décentraliséeArchitecture décentralisée
Description : Un serveur dans chaque localisation gère les données et les transactions des
utilisateurs qui y sont localisés
Un lien entre les serveurs et le siège permet une consolidation des données
Avantages : Une panne d'un serveur ou de communication ne bloque pas les autres
utilisateurs
Les temps de réponses ne sont pas limités par la communication entre le siège et l'usine
Une connexion permanente entre le siège et l'usine est optionnelle
Mais… Une licence serveur par machine
Cette architecture n'est pas compatible avec la nécessité de consolider l'information en temps réel (ex. : le crédit client,…)
La maintenance des applications et des données doit être coordonnée et suivi pour chaque machine
Un responsable maintenance/back-up doit être formé dans chaque entité
Usine 1
Usine 2
Siège
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Les terminaux passifs : Un écran, un clavier, une connexion à l'ordinateur central. Le terme de passif vient
du fait que le terminal n'a pas de processeur propre
Les traitements informatiques sont effectués sur l'ordinateur central
Coûts faibles : ils ne nécessitent pas de maintenance
Client/serveur : Le poste client communiquant avec le serveur est un ordinateur personnel. Il a
donc son propre processeur, son disque dur,… et peut fonctionner en autonome
Une architecture client/serveur est caractérisée par un partage des traitements et/ou des données entre le serveur et le client
Les coûts sont plus élevés : coûts d'acquisition et de maintenance, support et gestion du parc micro la puissance pour profiter des fonctionnalités nécessitent des clients moyens et hauts
de gamme nécessité d'une architecture réseau bien dimensionnée. Les fonctionnalités associées
à l'architecture client/serveur sont consommatrices en "bande passante" En plus de la polyvalence des postes clients (utiles en bureautique), l'architecture
client/serveur peut offrir des bénéfices fonctionnels
Client/serveur et terminaux passifs
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Eléments de choix : Devez vous avoir les données centralisées en temps réel ?
Coûts : coûts des communications versus coûts d'acquisition et de maintenance
Comment sera géré la mise à jour à distance des programmes ? A contrario, les sites utilisent-ils des applications distinctes (ex. : GPAO en usine, commande et compta au siège) ?
Avez-vous les compétences dans chaque site pour assurer la maintenance de routine et les back-up ?
Choix d ’architecture
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Les bases données du marchéLes bases données du marché
Les éditeurs de progiciels s'appuient habituellement sur les grandes bases de données du marché pour construire leurs produits
Le marché a connu une forte concentration, Oracle étant le leader : De plusieurs bases de données : DB2, Oracle, Sybase, Informix, Ingres, Progress,…
Aujourd'hui, Oracle et DB2 sont les bases majeures. Oracle étant privilégié par rapport à DB2 par les éditeurs de progiciels de gestion
SQL Server de Microsoft étant un outsider sur les systèmes départementaux
Des standards de communication entre les bases de données existent mais ils ont un impact sur les performances
Le choix d'une base de données commune entre des applications distinctes est un facteur de performance et de simplicité des interfaces et permet de limiter les compétences nécessaires à l'administration des bases de données
Actuellement le débat à propos des bases de données porte sur le choix entre les bases centralisées et les bases réparties
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Plan
Les architectures actuelles
Les grandes plates-formes informatiques AS400, NT, Unix
Introduction sur les outils au service de l ’information de gestion
Les outils d ’aide à la décision
Les opportunités offertes par les technologies de l ’échange d ’information
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AS/400 : principales caractéristiquesAS/400 : principales caractéristiques
Un matériel fabriqué exclusivement par IBM
Une offre matérielle large en terme de puissance permettant de répondre aux besoins de groupe allant de quelques personnes jusqu'à 3 à 4000 utilisateurs
Un système d'exploitation (logiciel de base permettant de piloter la machine) mature et stable
Une offre progiciel large mais une plate-forme délaissée par certains éditeurs au profit des développement client/serveur sur Windows NT et Unix
Des compétences humaines disponibles tant pour l'administration de la plate-forme que pour les développements spécifiques
L'AS/400 est une plate-forme pérenne techniquement. Au niveau des applications, il faut noter que : Il y a encore des développements d'applications ayant des clients en terminaux passifs
Il y a un bon support des applications d'échange d'information (messagerie, workflow, commerce électronique) grâce aux efforts d'IBM et de ses filiales
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Unix : principales caractéristiquesUnix : principales caractéristiques
Unix est le nom d'un système d'exploitation. Unix existe en plusieurs variantes et peut fonctionner sur du matériel très varié (Hewlett-Packard, SUN, IBM, Digital, Bull, Silicon Graphics, …)
Unix est un système utilisé de la station de travail individuelle au serveur pour plusieurs dizaines de milliers d'utilisateurs
Unix est un système d'exploitation mature, sécurisé et stable. Souvent considéré comme complexe, sa gestion est de plus en plus simple
L'offre progiciel est très large. Unix est concurrencé par Windows NT principalement dans le monde des serveurs départementaux
Les compétences humaines disponibles tant pour l'administration de la plate-forme que pour les développements spécifiques sont d'un niveau de qualification élevé
Unix s'est développé principalement pour : son support de plusieurs types de matériel et de standards réseaux
ses fonctionnalités techniques particulièrement bien adaptées aux serveurs d'application (micro noyaux, protection de la mémoire, multi-processing, préemption des tâches,…)
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Windows NT : principales caractéristiquesWindows NT : principales caractéristiques
Le système d'exploitation Windows NT est très majoritairement installé sur des ordinateurs construits autour de la famille de processeur Intel Pentium
NT est un système utilisé de la station de travail individuelle au serveur pour 2000 utilisateurs
NT est un système d'exploitation reprenant l'interface utilisateur graphique de Windows. On lui reproche souvent sa jeunesse, son manque de stabilité et de sécurité en tant que serveur d'application. Sa prise en main et son installation sont relativement simples
L'offre progiciel autour de Windows NT se développe fortement
NT permet d'avoir sur la même plate-forme, un serveur de fichiers (partage de fichier et d'imprimantes) et un serveur d'application client/serveur
Les compétences humaines sont disponibles tant pour l'administration de la plate-forme que pour les développements. Du fait de la simplicité de sa mise en œuvre, les formations ne sont pas poussées ; les compétences très techniques pour répondre aux problèmes de sécurité ou de stabilité sont rares
Plan
Les architectures actuelles
Les grandes plate-formes informatiques AS400, NT, Unix
Introduction sur les outils au service de l ’information de gestion
Les outils d ’aide à la décision
Les opportunités offertes par les technologies de l ’échange d ’information
CONTEXTE ET ENJEUX
LES NOUVEAUX OUTILS DE GESTIONET D'AIDE A LA DECISION
COMMENT FAIRE SON CHOIX ?QUELS SONT LES PIEGES A EVITER ?
CONCLUSION
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Un environnement qui se complexifie ….
Une pression toujours croissante de la communauté financière :
exigence d'une communication financière régulière de qualité évaluation des entreprises sur le critère de création de valeur mise en pratique des référentiels comptables (IAS)
Une croissance fragilisée : baisse des investissements lancement de programmes d'amélioration des performances volatilité des clients ...
Des structures de groupe complexes et mouvantes : diversité des métiers, des systèmes d'informations, des référentiels
d'entreprise, ... banalisation des fusions, acquisitions, cessions responsabilisation des entités opérationnelles intégration de l'entreprise dans son environnement
L'utilisation des systèmes d'information : implantation des ERP et abondance d'informations avènement des nouvelles technologies (Internet, Business Intelligence, …)
ER
P
ERPERP
Client
Distributeur
Fournisseur
Transporteur
Etat
B2B Marketplace
CSP
BanquesInvestisseurs
Département
BU 1
BU 2
ERPERP
SSDDMMMM
PPPP
QAQAPMPM
HRHR
FFII COCO
ECEC
PPSSWFWF
ISIS
Le Contexte
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Corporate Opérationnels
Communauté Financière
Simplification du contenu
Cohérence entre résultat comptable et de gestion
Mise sous tension des zones de création de valeur
Maîtrise des risques
Reporting
Le Contexte
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• Communiquer rapidement aux actionnaires, investisseurs, analystes et opérationnels une information riche et transparente ;
• Intégrer les nouvelles réglementations (référentiels comptables, …) ;
• Accélérer les processus de reporting et de consolidation ;
• Produire fréquemment des rapports incluant une vision économique (indicateurs financiers et opérationnels) et des informations prévisionnelles ;
• Garantir l'adéquation entre le pilotage stratégique et le pilotage opérationnel ;
• Fournir des informations permettant un pilotage par les marges (clients, produits, marchés, …) ;
• Assurer une visibilité et la maîtrise des activités consommatrices et génératrices de cash.
Les défis de la fonction Finance
La fonction Finance, de part son positionnement au sein de l'entreprise, joue un rôle stratégique. Au delà de son objectif de garantir l'intégrité et la qualité des données, elle se doit de :
Les enjeux
19
• évaluer la performance des activités et des hommes
• anticiper les mesures correctives
• partager la vision de l'entreprise
• réallouer les ressources
• instaurer un dialogue de gestion
• harmoniser les résultats de gestion et statutaire
Le pilotage de l'activité résulte de la maîtrise de l'information.Son objectif est de :
Les enjeux
20
• des indicateurs
– de performance comparables aux différentes entités du Groupe
– financiers et opérationnels connectés à la stratégie de l'entreprise
– adaptés à chaque niveau de responsabilité
– accompagnés de commentaires et de plans d'action
• des référentiels d'entreprise
– des processus et procédures harmonisés
– des lexiques garantissant la cohérence et la qualité des données
• des nouvelles technologies
– Technologies "Web"
– Outils multi-dimensionnels
… se décline à tous les niveaux de l'entreprise et s'appuie sur :
Les enjeux
21
Un système de pilotage performant se décline de la stratégie
Les indicateurs sont consolidables aux
différents niveaux de l'organisation
Tableaux de bord
… et doit restituer un niveau de détail adapté aux responsabilités de chaque type d'utilisateur...
… tout en garantissant l'adéquation entre le pilotage stratégique et le pilotage opérationnel… les résultats de gestion et la consolidation statutaire
0
5
10
15
20
25
30
Les enjeux
22
Systèmes transactionnels
Enterprise Application Integration(EAI / ETL / P2P)
Reporting opérationnel
Reporting statutaire
et financierDécisionnel
L'amélioration du SI comme vecteur de contribution aux enjeux.L'évolution des modalités d'accès à l'information change la nature du système de pilotage
Les
pri
nci
pau
x éd
iteu
rs
Les enjeux
23
Les performances ne se mesurent plus seulement à la croissance duchiffre d'affaires ou des résultats mais également à la valeur actionnariale érigée en critère ultime.
Augmenter son niveau de performance : qualité des informations ;
niveaux des coûts de la fonction Finance ;
part des ressources consacrées à la production d'informations ;
...
Accroître la valeur ajoutée de la fonction Finance
Les enjeux
Le Directeur Financier est le mieux placé pour y répondre. Il est au cœur de tous les métiers de l'Entreprise. En conséquence il doit dès à présent :
La Direction Financière doit se doter d'outils lui permettantd'atteindre ces deux fondamentaux de la fonction
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Dans un environnement en profonde transformation, la fonction
Finance, acteur clé du processus de pilotage économique et financier
dans l'entreprise, doit aussi conduire sa propre mutation.
Partenaire
Expert fonctionnel
Contrôleur
Historien desdonnées financières
Valeur Ajoutée
Temps
Processus• Cloisonnement• Vision interne• Contrôles à prioriTechnologies• Systèmes manuels• Faible intégration des
systèmes• Données non
disponiblesOrganisation• Primauté des
compétences techniques
• Faible niveau de communication
Processus• Transversalité• Orientation Client• Contrôles à posterioriTechnologies• Saisie unique• Automatisation• Intégration des
systèmes• Données cohérentes
et disponiblesOrganisation• Contribution aux
objectifs de l'Entreprise
• Fonctionnement en équipe
Les enjeux
25
Réduire les ressources et le temps consommé par l'utilisation de systèmes d'information intégré
Accroître l'implication dans la prise de décision stratégique et opérationnelle grâce aux nouveaux outils de simulation / modélisation
Cette mutation se fonde sur deux principes majeurs.
Prise de décision
Traitement des données
Reporting et contrôlesTraitement des données
Reporting et contrôles
Prise de décision
Vale
ur A
jout
ée
Aujourd'hui Demain
Les enjeux
26
Hier, tourné vers :
l'analyse du passé
le Contrôle Budgétaire
le balisage du futur
Aujourd'hui, préoccupé par :
le pilotage par la valeur
les enjeux de l'e-business
Le rôle de la Fonction Finance a évolué
Conclusion
27
Les décisions optimales résultent de la maîtrise de l'information
Conclusion
Le rythme des évolutions doit induire le rythme de votre évolution
Une parfaite connaissance de son business au travers de ces outils doit permettre de saisir les opportunités et anticiper avec une plus grande
sérénité les prochaines évolutions de votre environnement
CONTEXTE ET ENJEUX
LES NOUVEAUX OUTILS DE GESTIONET D'AIDE A LA DECISION
COMMENT FAIRE SON CHOIX ?QUELS SONT LES PIEGES A EVITER ?
CONCLUSION
29
Nous aborderons :
Qu'est-ce qu'un progiciel ?
Les principaux avantages par rapport aux développements spécifiques
L'approche globale de l'entreprise par les ERP
Certaines limites des ERP
Un ERP est-il adapté à toute entreprise ?
Les principes courants de facturation des ERP
Les principaux acteurs du marché des ERP
Les outils progicielsLes outils progiciels
Les nouveaux outils de gestion
30
Un progiciel qu'est-ce que c'est…Un progiciel qu'est-ce que c'est…
C'est un produit conçu et développé par une entreprise, non pour elle-même, mais pour le vendre à d'autres entreprises qui l'utiliseront
Les progiciels applicatifs automatisent les fonctions de l'entreprise liées à son activité : comptabilités, gestion du personnel, achat, commercial, GPAO,…
Un progiciel ne peut être utilisé qu'avec les plate-formes informatiques et les bases de données qu'il supporte. Un progiciel stratégique pour l'entreprise peut conduire à l'introduction ou au changement de plate-forme
Les nouveaux outils de gestion
31
Principaux avantages des progiciels sur les développements spécifiques :Principaux avantages des progiciels sur les développements spécifiques :
Le coût et le temps de développement pour atteindre le même niveau de fonctionnalités et d'ergonomie : en répartissant les coûts de développement et de maintenance sur une base utilisateurs, les progiciels sont souvent plus
économiques à mettre en place
un développement spécifique d'une application majeure se chiffre en plusieurs centaines de mois hommes
L'indépendance par rapport aux compétences humaines : les compétences humaines sur le marché du travail existent et sont opérationnelles
Garanties de l'éditeur : c'est l'éditeur qui prend en charge, dans le cadre du contrat de maintenance, les évolutions dues aux changements
législatifs
c'est l'éditeur qui est responsable de la certification du produit
Les progiciels intègrent un capital de bonnes pratiques de gestion
L'internationalisation : les grands progiciels sont multi-lingues, multi-législations. Une entreprise pourra donc installer le même produit dans
toutes ses filiales
Les nouveaux outils de gestion
32
Les ERP ou PGI (Progiciel de Gestion Intégrée) proposent
une intégration fonctionnelle de tous les domaines de l'Entreprise qui définit des enchaînements logiques entre des interventions complémentaires
sur le système (ex : nécessité de connaître les prévisions commerciales pour prévoir les ressources de production) ;
qui permet de lier les informations entre elles ...
... allant souvent jusqu'au temps réel.
une intégration technique qui partage des fichiers, des plate-formes ;
qui limite les interfaces entre les domaines et simplifie l'architecture technique ;
qui permet de limiter les compétences produits dont l'Entreprise doit disposer.
ERP : ENTERPRISE RESOURCES PLANNING
Les nouveaux outils de gestion
33
ERP : ENTERPRISE RESOURCES PLANNING
ERP
ECONOMIE
FIABILITE EVOLUTIVITE
Produit "clé en main" (logiciel, documentation, assistance)
Développements internes spécifiques réduits
MODULARITE
Produit industriel vendu à des centaines d'exemplaires
Développements réalisés par des spécialistes
Base installée importante Technologie informatique
récente : client-serveur, base de données, ...
Couverture fonctionnelle globale
Optimisation des processus meilleure circulation de
l'information
Nouvelles versions mises à jour en fonction de la législation
Décentralisation des traitementsOBJECTIFS
Garantir le pilotageSuivre les coûts et mesurer la rentabilité
Assurer la communication financière avec les tiers
Les nouveaux outils de gestion
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L'approche globale des entreprises par les progiciels ERPL'approche globale des entreprises par les progiciels ERP
Les ERP (Entreprises Resource Planning) déclinent une logique de planification de production : en partant de la planification en fonction des stocks et des ressources machines en intégrant les besoins commerciaux et les capacités financières de l'entreprise
C'est donc d'abord une intégration fonctionnelle : nécessité de connaître l'encours client (domaine comptable) pour valider une commande (domaine commercial), nécessité de connaître
les prévisions commerciales pour prévoir les ressources de production… qui permet de lier les informations entre elles (permet en partant d'une ligne comptable de retrouver la commande correspondante, d'une
commande son ordre de fabrication,…) allant parfois jusqu'au temps réel (la saisie d'une commande client met à jour immédiatement l'encours du client et de ses filiales, les
objectifs commerciaux, les stocks,…, consomme les prévisions de production,…) C'est aussi une intégration technique : partage des fichiers, des plate-formes. Exemple : la base des clients en comptabilité est la même que celle du domaine commercial, les
spécifications produits saisies en commercial servent en production… ce qui limite les interfaces entre les domaines et simplifie l'architecture technique,… et permet de limiter les compétences produits dont l'entreprise doit disposer
Cette logique d'intégration s'accompagne souvent d'une réorganisation de l'entreprise pour en tirer partie
Les nouveaux outils de gestion
35
Certaines limites des ERPCertaines limites des ERP
Un ERP est très riche, il est consommateur en puissance informatique
Un ERP est très riche, il faut savoir ne pas tout mettre en place tout de suite
Un ERP n'a pas toutes les règles et principes de gestion. Pour réussir un projet progiciel et tirer les bénéfices en termes de maintenance :
il faut être prêt à adapter l'entreprise au produit il faut être prêt à faire l'impasse sur un certain nombre de fonctionnalités
Si certains modules métiers existent, des spécificités ne sont pas gérées en standard par les ERP. Elles doivent être gérées par des progiciels spécialisés ou des développements spécifiques
par exemple : la gestion des lois d'écoulement dans les silos à grain pour l'évaluation des stocks, le suivi de la maintenance dans l'aéronautique,…
Les nouveaux outils de gestion
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Un ERP est-il adapté à toute entreprise : critères de choixUn ERP est-il adapté à toute entreprise : critères de choix
L'intégration fonctionnelle et technique sont-elles des plus pour l ’ entreprise ? avez-vous besoin d'un échange d'information en temps réel ou de liens entre les
modules ? (ex : pour valider le délai à proposer au client, pour accepter une commande en fonction de l'encours, pour vérifier l'OF correspondant à une facture)
existe-t-il un nombre limité de données à partager (articles, clients, fournisseur, encours,…)
Avez-vous des besoins spécifiques forts qui ne peuvent être couverts par un ERP ?
Devez vous refondre complètement votre système d'information, ou simplement compléter un domaine fonctionnel ?
Les nouveaux outils de gestion
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L'aide à la décision prolonge les ERP, elle se déclineen plusieurs étapes :
Traiter le reporting de gestion et la consolidation statutaire : SUIG
Mettre à disposition les données de l'entreprise : Datawarehouse
Interroger et analyser l'information disponible dans ces bases dedonnées : Requêteurs, SIAD, EIS
Identifier des opportunités de création de valeur : Data mining
Les nouveaux outils décisionnels
DECIDER, PILOTER
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SUIG : SYSTEME UNIFIE D'INFORMATION GROUPE
Ces outils traitent globalement le reporting de gestion et la consolidation statutaire
Ils présentent de nombreux avantages : accélérer considérablement les deux processus réconcilier reporting et consolidation s'adapter très facilement à toute organisation et à ses évolutions s'insérer dans des architectures de système d'information hétérogènes intégrer les principales normes et réglementations comptables internationales produire des états financiers pertinents grâce à des générateurs d'états intégrés permettre l'accès sur leurs bases à des outils de simulation / modélisation
Toutefois, selon la culture des éditeurs, ces outils présentent une dominante reporting ou consolidation
Les nouveaux outils décisionnels
39
DATAWAREHOUSE et BASE DECISIONNELLE
"Entrepôts de données" qui accueille tout ou partie des informations nécessaires au processus de pilotage (données internes et externes)
Les bases décisionnelles utilisent la technologie OLAP (On Line Analytical Processing) ; elles structurent l'information dans un hypercube multidimensionnel.
Cette technologie permet de disposer d'une information : facilement manipulable
accessible en lecture et écriture pour des applications de simulation
dans un temps d'accès rapide
sécurisée et en toute confidentialité selon les profils utilisateurs
présentée sous forme hypercube
Les nouveaux outils décisionnels
40
REQUETEURS, SIAD, EIS
Les requêteurs Interrogation en langage SQL Capacité de restitution multidimensionnelle Pas de possibilités de simulations
Les SIAD : SYSTEME INTERACTIF D'ACCES AUX DONNEES L'utilisateur va évoluer dans la base à son gré selon tous les
axes disponibles Processus itératif et interactif d'aide à la décision
Les EIS : EXECUTIVE INFORMATION SYSTEM Consultation multidimensionnelle de données mises à
disposition dans des tableaux de bord prédéfinis Outil de pilotage au niveau Direction ; outil de suivi et de
contrôle au niveau managérial
Les nouveaux outils décisionnels
Analystes, contrôleurs de gestionavec culture système
Analystes, contrôleurs de gestionsans culture système particulière
Direction, membres de l'Exécutif
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REQUETEURS, SIAD, EIS (suite)
Les nouveaux outils décisionnels
Chacun de ces d'outils :
ont des fonctions spécifiques propres ;
s'adressent à des profils d'utilisateurs différents.
Si les requêteurs sont plutôt des outils de gestion opérationnelle, les SIAD / EIS sont davantage des outils de pilotage de l'Entreprise
Ces outils permettent d'accéder à l'information décisionnelle; Ils permettent de transformer les données du Datawarehouse en informations exploitables.
42
Les outils pour l ’intelligence économique
Les annuaires : Outils proposant une classification systématique (suivant une logique de répertoire) des pages Web
Le moteur de recherche : il se décompose en deux : Les spiders : outils parcourant le web de manière systématique pour en rapatrier le
texte, qui est alors indexé automatiquement
moteurs de recherche ,outils proposant à l'utilisateur d'effectuer une recherche par mots-clés sur les pages ainsi indexées
Les agents intelligents : ce sont des outils qui scrutent l ’ensemble du web et rapatrient des informations structurées sujet par sujet. Ils permettent de collecter des informations pertinentes et directement utilisables sur les offres des concurrents, les clients, l ’environnement économique, technologique et comportemental et d ’en suivre l ’évolution
Internet et l ’intelligence économique
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Exemple de l ’utilisation d Internet : Recherche d ’un client ou d ’un prospect d ’un Groupe suivant le nom de l ’entreprise, son secteur d ’activité, son implantation géographique, ...
Pour chaque entreprise, on obtient une fiche comprenant :
des informations signalétiques (identité, activité, structure et organisation de l ’entreprise),
les réalisations et les références du Groupe chez ce client,
la liste des actionnaires, des filiales et des établissements de l ’entreprise,
des informations financières,
des appels d ’offres
la liste des décideurs (les dirigeants, administrateurs et commissaires aux comptes,
des articles de la presse du jour (dépêches Reuters, Les Echos, La Tribune, Le Monde,…)
la liste des "tuyaux" internes concernant cette entreprise
éventuellement les personnes en contact avec le client
Internet et l ’intelligence économique
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Evaluer son besoin Parmi les différents types de veille évoqués plus haut (concurrentielle,
commerciale, etc.), certaines sont plus ou moins adaptées aux besoins précis de l'entreprise.
Identifier les sources pertinentes Internet n'est dans cette optique qu'une source d'informations parmi d'autres : il
convient de faire un recensement exhaustif des possibilités offertes par les diverses sources, formelles ou informelles.
Quelle organisation pour la veille? Cellule de veille, observatoire de veille, veille décentralisée : il n'y a pas de solution toute faite. Il s'agit d'abord de définir son besoin précis, puis d'évaluer les ressources avec réalisme.
Internet et l ’intelligence économique
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LES OUTILS BUDGETAIRES
BASES DE DONNEESMSACCESS
FOXPROD-BASE
...
SYSTEMES TRANSACTIONNELS
SAPOracle
...
TABLEURSEXCELLOTUS
...
LOGICIELPLANNING SOFTWARE
OLAP SOFTWAREREPORTING SOFTWARE
70 % des organisations sont insatisfaites de leur outil budgétaire75 % des entreprises utilisaient en 2002 un simple tableur pour construire et suivre leur budget
Les nouveaux outils décisionnels
46
LES OUTILS BUDGETAIRES
Les raisons de leur mécontentement
Vision de l ’information
Rigidité
Consolidation
Approche comptable
Transfert des données
Intégrité des données
Les nouveaux outils décisionnels
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Définir des modèles
Contrôler le processus budgétaire: contrôle du processus en cours
distribution de la structure
collecte de l ’information
Créer des consensus communiquer rapidement
transparence sur la construction budgétaire
accepter et comprendre les modifications
Anticiper
Consolider
Comment la technologie peut faciliter le processus budgétaire
Les nouveaux outils d ’élaboration budgétaire
48
Comment la technologie peut faciliter le processus budgétaire
Traiter des données d ’origines et de formats divers
Partager et communiquer l’information
Les nouveaux outils d ’élaboration budgétaire
S ’intégrer dans l ’environnement informatique
Pas de macro-langage de programmation
Gérer des historiques
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OrientationsbudgétairesOrientationsbudgétaires
DirectionsDirections DirectionsDirections DirectionsDirections
ServicesServicesServicesServices
ServicesServices
ServicesServicesFilialesFiliales
ServicesServices
ServicesServicesFilialesFiliales
FilialesFiliales
Processus itératif
L ’outil idéal
50
Processus itératif
L ’outil idéal
DirectionsDirections DirectionsDirections DirectionsDirections
Orientations / Arbitrages
budgétaires
Orientations / Arbitrages
budgétaires
ServicesServicesServicesServices
ServicesServices
ServicesServicesFilialesFiliales
ServicesServices
ServicesServicesFilialesFiliales
FilialesFiliales
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Approche multidimensionnelle
Produits
Canal de distribution
Zone géographique
NaturesProjets
Service / Direction
Clients
Priorités
L ’outil idéal
52
DATAMINING
De tels outils ont pour vocation de creuser les données de l'Entreprise pour y découvrir des informations cachées mais génératrices de valeur
Ces outils utilisent les techniques de l'intelligence artificielle
raisonnement basé sur la mémoire
analyse des associations
réseaux de neurones
détection de clusters
...
Selon leur technique de recherche, ces outils permettront de
corréler des données entre elles
mettre en évidence des facteurs d'influence
prévoir des évènements
Les nouveaux outils décisionnels
TableursApplications spécifiques
Requêteurs
Tableauxde bord
ReportingConsoli-dation
SimulationPlanifi-cation
Analysesdétaillées
Les architectures anciennes
Bases hétérogènesinterfacées ou non
Bases de production
54
Les nouvelles possibilités
Tableaux debord
Sources de données
Administration Formatage des données
Ecriture / Interrogation / Publication
Intranet
Réseau
DICTIONNAIRE DE
DONNEES
AGREGATION
MODELES DE DONNEES
Président
Directeur Commercial
Directeur Grands comptes
Directeur produits à imprimer
Directeurs Usines
...
Achats
Finance
Gestion deproduction
Stocks
RessourcesHumaines
GestionCommerciale
Données externes
55
ER
P
DemainAujourd'hui
Entités
Palier 1
Palier 2
Groupe
Transferts de fichiers
BaseCommune
ManagerUsine
ManagerBranche
Groupe
Entités
Le processus de reporting se concentre sur la livraison d'une information ciblée par niveau de responsabilité
L ’évolution de l ’architecture type d ’un processus de reporting
Un circuit plus rapide Une information plus partagée
CONTEXTE ET ENJEUX
LES NOUVEAUX OUTILS DE GESTIONET D'AIDE A LA DECISION
COMMENT FAIRE SON CHOIX ?QUELS SONT LES PIEGES A EVITER ?
CONCLUSION
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Le lancement d'un projet Progiciel et / ou Décisionnel au sein d'une
entreprise doit correspondre à de véritables attentes
ETUDE PREALABLEDES BESOINS
REDUCTION DESCOUTS
STRATEGIE DEL'ENTREPRISE
TECHNOLOGIE
BESOIN DESUTILISATEURS
ORGANISATIONINTERNE
CHOIX DES OUTILS
Productivité améliorée Maintenance réduite
Gain de performance Fonctionnalités
enrichies Fiabilité
Amélioration du pilotage et accroissement de la rentabilité
Volonté de se doter d'une culture globale
Optimisation desflux et fonctions
Redéfinitiondes processus
de fonctionnement
Matériel / architecture Nouvelles technologies de
l'information et de la communication
Comment faire un choix ?
58
Adéquation aux besoins L'identification des besoins est-elle clairement exprimée ?
Le ou les produits couvrent-ils les fonctionnalités recherchées ?
Ces outils offrent-ils des performances réelles acceptables ?
L'Entreprise est-elle prête à accepter les limites fonctionnelles des outils ?
Comment réglementer l'utilisation / l'accès aux possibilités "infinies" des outils d'analyse ?
Quels sont les pièges à éviter ?
59
Démarche de choix Le choix est-il objectif ou basé sur un effet mode ou "on dit" ?
Le retour sur investissement rentre-t-il dans les critères ?
Les utilisateurs, à tous les niveaux, sont-ils impliqués dans la démarche ?
Quels sont les pièges à éviter ?
60
Mise en place A-t-on une stratégie de mise en place clairement définie ? Des formations par type d'utilisateurs ont-elles été prévues, bien
dimensionnées ? Est-on conscient des besoins en nouvelles compétences pour une utilisation
optimale des outils d'aide à la décision ?
Quels sont les pièges à éviter ?
CONTEXTE ET ENJEUX
LES NOUVEAUX OUTILS DE GESTIONET D'AIDE A LA DECISION
COMMENT FAIRE SON CHOIX ?QUELS SONT LES PIEGES A EVITER ?
CONCLUSION
62
La puissance des outils de gestion et d'aide à la décision ouvre de nouvelles perspectives dans le pilotage et la
création de valeur pour l'Entreprise
De plus, les contraintes externes sont telles que vous ne pouvez plus vous passer de ces nouveaux outils
La difficulté n'est désormais plus d'obtenir l'information mais de la choisir et de l'exploiter
63
Plan
Les architectures actuelles
Les grandes plate-formes informatiques AS400, NT, Unix
Introduction sur les outils au service de l ’information de gestion
Les outils d ’aide à la décision
Les opportunités offertes par les technologies de l ’échange d ’information
64
PROCESSING
Information
INFORMATION
Processing
De l ’information transactionnelle… saisie et stockage de données opérationnelles
base du fonctionnement opérationnel de l ’entreprise
… A l ’information décisionnelle extraction d ’information depuis les donnés transactionnelles
clé pour la compréhension et l ’amélioration du business
Du transactionnel à l ’analytique
65
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
Entrepôt de bases de donnéesUn ensemble de données, intégrées, historisées etorganisées pour le support d'un processus d'aide à la décision. La notion de DWH peut être entendue soit comme concept général, soit comme projet d'entreprise par opposition au datamart.
• Les données, issues des systèmes opérationnels de l'entreprise, sont généralement présentées en fonction des sujets majeurs de l'entreprise et non par processus fonctionnels (ex : consolidation de la vue client)• Les données internes sont consolidées avec des données externes• Les données sont conservées de manière historique, associées à un référentiel de temps Un Data Warehouse n'est pas une copie des bases de données
opérationnelles
Décisionnel, SIAD, EIS
Concepts de base
Data Warehouse
66
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
"Magasin de données" départementalSous-ensemble d'un DWH, le datamart accueille une partie des données de l'entreprise.
Data Warehouse
• Traite une problématique spécifique métier (Finance, marketing)• Touche une population ciblée et restreinte d'utilisateurs• Moins coûteux qu'un DWH • Plus proche de l'utilisateur
Datamart
Concepts de base
67
L'utilisateur ne travaille que sur des données synthétiques et pertinentes : indicateurs globaux de l'activité, tendances
L'utilisateur travaille sur des scénarios intuitifs et pré-définis, correspondant à la stratégie retenue pour l'entreprise
L'interface utilisateur est extrêmement soignée : graphisme lié aux scénarios, utilisation quasi exclusive de la souris
Dans ce mode, l'utilisateur voit d'un coup d'œil l'état général de l'activité. C'est une fonction qui est destinée à être utilisée quelques minutes par jour
Concepts de base
Le système décisionnel : contrôler / piloter
68
Données ExternesDonnées ExternesDonnées deDonnées deVentes & MarketingVentes & Marketing
Données FinancièresDonnées Financières Données AchatsDonnées Achats
Données deDonnées deRessource HumaineRessource Humaine
Trend AnalysisRevenues, Costs and Profits By Month
Revenues
Costs
ProfitsJan Feb Mar Apr May Jun
25
20
15
10
5
0
-5
Mio. ECU
Gross Domestic Product in the EEC 1986(in 1000 M DM)
D
F
UK
I
E
NL
BX
DK
GR
P
IRL
LUX 12.0
61.0
141.2
154.4
165.8
276.6
472.5
772.7
1623.2
1623.4
1683.1
1937.0
Source: Statistisches Bundesamt, W. Germany 1988
Quality Control Study-for Transformer Spools-
35
30
25
20
15
10
5
01.0205 1.0225 1.0245 1.0265 1.0285
Width in cm
Percentage
Schedule for Well No. 121-005JUL01
JUL02
JUL03
JUL04
JUL05
JUL06
JUL07
JUL08
JUL09
JUL10
JUL11
JUL12
JUL13
JUL14
JUL15
JUL16Job ACTIVITY
1 DRILL WELL
2 CONSTRUCT POWER LINE
3 EXCAVATE
4 DELIVER MATERIAL
5 ASSEMBLE TANK
6 PUMP HOUSE
7 INSTALL PUMP
8 FOUNDATION
9 INSTALL PIPE
10 ERECT TOWER
LEGEND Duration of a Normal JobDuration of a Critical Job Break due to Holiday
Slack Time for a Normal Job
TARGET
Contrôler / Piloter : l'EIS du Manager
Concepts de base
69
L'utilisateur peut naviguer dans la base de données, indépendamment des requêtes qu'il peut formuler
Dans ce mode, l'utilisateur est guidé par des principes d'analyse qui sont cohérentes avec l'architecture de la base : axes d'analyse, rotation d'axes, simulation, etc..
L'utilisateur peut consulter le niveau de détail s'il le souhaite
Analyser
Concepts de base
70
Sites
MétiersM
archés
Temps
Comptes Ana
Natures de vente
Total ventes période
Analyser : la modélisation sur 6 axes
Concepts de base
71
Analyser : la navigation
Concepts de base
72
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
On-Line Analytical ProcessingNouvelle génération d'outils de recherche et de restitution de l'information sous forme multi-dimensionnelle
• facilement manipulable• accessible en lecture et écriture pour des applications de simulation
dans un temps d'accès rapide• sécurisée et en toute confidentialité selon les profils utilisateurs• présentée sous forme hypercube
Rolap, Molap, Holap
Concepts de base
OLAP
73
C'est l'utilisateur qui pose des questions relativement précises
Exemple : Quelle est l’évolution des recettes sur tel vol, en classe affaires, sur les trois derniers mois ?
Exemple : Donnez-moi le cumul du chiffre d’affaires depuis le début de l’année.
Typologie des requêtes : ad hoc, comme dans le premier exemple, ou récurrentes comme dans le second
Dans ce mode, c'est l'utilisateur qui prend l'initiative de la recherche des informations
Interroger
Concepts de base
74
La construction du modèle commence par un process de découverte de nouvelles corrélations (significatives), de tendances et de modèles prévisibles non évidents en passant au crible d'énormes volumes de données.
L'utilisateur peut, ensuite, utiliser le modèle pour prévoir et simuler, saisir des hypothèses, stocker et analyser les résultats
Le système aide la prise de décision
Simuler / prévoir
Concepts de base
75
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
Troisième génération d'outils d'aide à la décision (après les outils derequêtes et d'analyse multidimensionnelle), le datamining est un procédé d'exploration automatique des données d'un DWH,permettant de découvrir des informations insoupçonnables
• S'appuie sur des outils complexes d'analyses statistiques : arbre de décisions, systèmes de neurones, algorithmes génétiques....• Permet de découvrir des nouvelles corrélations entre les données• Est utilisé à des fins de classification, modélisation et prévision
Datamining
Concepts de base
Data Warehouse
76
IntraneIntranett
DataDataWarehouseWarehouse
Dataweb
Concepts de base
77
Dataweb
Deux approches
1. Le serveur décisionnel déclenche la génération d'un rapport sur un événement
2. Le serveur HTTP pousse les pages vers l'utilisateur lorsque ce dernier s'est connecté
Serveur décisionnel
HTTP
Browser
1
2
Serveur décisionnel
HTTP
Browser
1
23
MODE PUSH MODE PULL
1 et 2. L'utilisateur lance une requête qui est traitée par le serveur décisionnel
3. Le rapport est envoyé sous forme de pages HTML au browser
Concepts de base
Tableaux de BordAlertes
78
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
Accès au système décisionnel à partir d'un navigateur Internet
Décisionnel, SIAD, EIS
• réduction du coût du poste client• facilité d'extension du système• simplification de l'administration et de la distribution des mises à
jour• analyser et explorer les informations de l'entreprise à partir d'un
simple browser
Dataweb
Concepts de base
79
Architecture à 7 couches
Données source
Accès aux données source
Traitement des données
Stockage des données
Accès à l ’information
Restitution aux utilisateurs
ME
TA
DA
TA
Architecture
80
Un système de Datawarehousing repose sur une architecture globale
Bases deproduction
Basesexternes
Alimentation
Bases de donnéesrelationnelles
(RDBMS)
Bases de donnéesmultidimensionnelles
MOLAPROLAP
Stockage
Administration
Gestion de référentiel(Metadata)
Analyse
OLAP- Reporting
Requêteurs
Datamining
Modélisation
et simulation
Architecture
81
Bases relationnelles (RDBMS) : les bases de données relationnelles stockent toutes les données provenant des bases opérationnelles sous forme de tables
Bases multidimensionnelles (OLAP) : les bases de données multidimensionnelles organisent les données sous la forme d'un cube
la navigation au sein de la base se fait par jointure entre les
différentes tables (par caractéristique partagée ex. n° de fournisseur) ou
par des index d'accès
MarchésProduits
Canaux
la navigation au sein de la base se fait par axe d'analyse, (ou "dimension")
Stockage
Les deux architectures standards
82
Peut être comparé à un "Rubics Cube"multi-facettes
Chaque axe est appelé "dimension"
MarchésProduits
Canaux
RDBMS(Données de détail)
MDB (OLAP)(Données Agrégées)
Les bases multidimensionnelles OLAP organisent les données sous la forme d'un cube, ce qui est plus adapté à des requêtes statistiques
Stockage
83
Bases relationnelles (RDBMS)
Avantages :
permet de garder un niveau de détail très fin
permet un accès rapide à un enregistrement de base
permet de choisir n'importe quel chemin pour parcourir la base, pourvu qu'il y ait un élément commun entre deux tables à chaque étape
Inconvénients :
pour analyser les données sur plusieurs axes (ex. calculer le chiffre d'affaires par point de vente, par produit, puis par produit et par point de vente) il faut lancer de multiples requêtes et attendre les résultats
Stockage
Chaque approche a ses propres mérites ...
84
Les bases multidimensionnelles sont de deux sortes :
Relational OLAP = ROLAP
Multidimensional OLAP = MOLAP
Stockage
Il y a même des variantes d ’approche ...
85
Bases multidimensionnelles (OLAP)
Relationnel OLAPROLAP
Le cube multidimensionnel est construit quand nécessaire à partir de données de détail qui sont gardées sous forme de tables (donc dans une base relationnelle).
Multidimensionnelle "pure"MOLAP
Le cube multidimensionnel est construit lors de l'alimentation du data warehouse à partir des bases opérationnelles.
Avantages pas de contrainte préétablie sur les analyses possibles
Avantages temps de réponse rapide : tous les axes d'analyse sont
précalculés (y compris les agrégations)
Inconvénients temps de réponse plus lent parce qu'il faut construire
le cube dans la mémoire du poste client avant de l'exploiter.
Inconvénients impossible d'effectuer une analyse non prévue
le chargement du data warehouse est ralenti par les calculs nécessaires (ce qui peut obliger une approche par échantillonnage pour limiter ce délai)
L'approche ROLAP est d'avantage orientée vers la gestion courante de l'entreprise et l'analyse interactive des données de détail dites élémentaires
L'approche MOLAP est d'avantage orientée vers le pilotage de l'entreprise et l'analyse interactive de données agrégées
Stockage
Il y a même des variantes d ’approche ...
86
Bases multidimensionnelles (OLAP)
Relationnel OLAPROLAP
Multidimensionnelle "pure"MOLAP
par défaut l'utilisateur travaille avec un cube prédéterminé
au-delà d'un certain niveau de détail, ou pour des interrogations spécifiques, il débranche vers une base relationnelle
Hybrid OLAPHOLAP qui conduit à la notion de ...
Stockage
… qui peuvent se rejoindre
87
L’offre en matière de bases OLAP n ’est pas très mature :Les bases OLAP traditionnelles ne gèrent pas de grands volumes :
L’architecture HOLAP combinant une base OLAP avec une base relationnelle, permet de pallier cette faiblesse, mais est disponible depuis peu
Il n’y a pas de standard OLAP reconnu et respecté Ils sont en général propriétaires et s’intègrent mal dans l’architecture globale du
Data Warehouse 2 éditeurs viennent en tête : ORACLE et HYPERION, suivis de TM1 et GENTIA
La manipulation des outils nécessitent une forte expertise
Voies d’évolution des outils :élargissement de la gamme d’outil permettant de construire une architecture
optimale dans un contexte de grande volumétrie renforcer les modules de communication et de partage d’information : Internet,
GED, ...à quand le standard OLAP ?
Les bases OLAP : l ’état de l ’art
Stockage
88
La mise à disposition des utilisateurs des informations tenues dans un data warehouse crée des besoins techniques divers :
transformer les demandes des utilisateurs, exprimées en termes propres à leur métier, en requêtes SQL à lancer sur une base relationnelle (via une "couche sémantique" qui traduit le langage du business en langage de requête informatique)
interface conviviale de navigation multidimensionnelle reporting sur base de requêtes préétablies
Les besoins des utilisateurs peuvent globalement être repartis entre :
des besoins de reporting régulier et itératif des besoins d'analyse ponctuels et spécifiques
Requête et analyse
89
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
Executive Information SystemOutil qui permet aux décisionnaires de l'entreprise de disposer sousforme graphique conviviale des indicateurs de la société (CA, Bénéfice,production, ventilation suivant les régions, les produits...).
• Attaché à la technologie Rolap • Haut niveau de structuration des données• Reprend des données issues d'un SIAD• Fonctionnalités d'analyses mathématiques, statistiques, financières
Rolap, SIAD
EIS
Direction, membres de l'Exécutif
Requête et analyse
90
Système Interactif d'Aide à la Décision/Decision Support SystemOutil permettant la modélisation des données sous forme multidimen-sionnelle
• Généralement un serveur d'information d'EIS• Attaché à la technologie Molap• Haut niveau de structuration des données• Possibilité d'analyse de type "What-if" • Permet de comparer, de consolider, de modéliser les données sur des séries chronologiques ou périodiques selon les axes d'intérêt de l'utilisateur (par produit, par société, par région,...)
Molap, EIS
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
SIAD / DSSAnalystes, contrôleurs de gestionsans culture système particulière
Requête et analyse
91
Outils d'interrogation en langage SQL
• Capacité de restitution multidimensionnelle• Orientés vers la gestion courante de l'entreprise et l'analyse interactive des données de détails• Pas de possibilité de consolidations ou de simulations
SQL
DEFINITION
CARACTERISTIQUES
A RAPPROCHER DE
Requêteurs Analystes, contrôleurs de gestionavec culture système
Requête et analyse
92
Il s'agit Ces outils mettent en œuvre plusieurs techniques statistiques : Raisonnement basé sur la mémoire
Analyse des associations
Arbre de décision et induction des règles
Détection des clusters
Scoring
Algorithmes génétiques
Réseaux de neurones
L'utilisation de tels outils nécessite souvent des compétences en analyse statistique
En général, la puissance d'analyse d'un outil va de pair avec la difficulté d'interprétation des résultats qu'il fournit.
le niveau de complexité
s'accroît au fur et à mesure qu'on
descend vers le bas
"novice"
"connaisseur"
"expert"
Data Mining
Outils permettant de creuser les données de l'entreprise pour y découvrir des informations cachées
93
Dans les grandes entreprises, le concept de Datawarehousing donne lieu à des projets d'ampleur variable,
Datamart personnel
Datamart de
domaine
Datawarehouse d'entreprise
Coût de miseen œuvre
Nombre d'utilisateurs
X 15 K€ X 150K€ X 1,5M€
X 1 X 10 X 100
La démarche
94
La mise en œuvre de systèmes d'information décisionnels nécessite un ensemble de compétences
Management de projet
Secteur d’activité et domaines fonctionnel
Techniques spécifiques
des SID
Intégration de produits et de compétences
Maîtrise de la complexité d'une approche globale de l'entreprise
Développement incrémental
Méta-modèles types Maîtrise des outils logiciels Maîtrise des architectures
techniques
Efficacité du dialogue avec le client Focalisation du projet sur les enjeux
La démarche
95
Les approches traditionnelles sont peu efficaces dans la mise en place de Datawarehouses
L'approche "top-down" :
conduit à modéliser TOUTE l'entreprise avant d'entreprendre la réalisation
implique des délais trop longs pour la plupart des entreprises
L'approche "top-down" :
conduit à modéliser TOUTE l'entreprise avant d'entreprendre la réalisation
implique des délais trop longs pour la plupart des entreprises
L'approche "bottom-up", plus récente : se focalise sur de petits "DataMarts", ciblés sur
quelques utilisateurs accorde peu d'attention aux questions
structurantes d'architecture, ce qui rend impossible l'intégration ultérieure des DataMarts
risque de compliquer le dialogue entre décideurs de l'entreprise
L'approche "bottom-up", plus récente : se focalise sur de petits "DataMarts", ciblés sur
quelques utilisateurs accorde peu d'attention aux questions
structurantes d'architecture, ce qui rend impossible l'intégration ultérieure des DataMarts
risque de compliquer le dialogue entre décideurs de l'entreprise
La démarche
96
La méthode consiste à mener une série de projets incrémentaux après un minimum de réflexion architecturale
Phase 1Enjeux, Besoins,
Périmètre
Phase 2Architecture
& Outils
Phase 4
Phase 5
Phase 3Plan
Conception
Mise en œuvre et déploiementConstruire le cadre global
Enrichissement incrémental
Orientation sur les enjeux De fréquents livrables à valeur ajoutée (pas d'effet tunnel) Pas de Datamarts irréconciliables Architecture robuste et évolutive
Orientation sur les enjeux De fréquents livrables à valeur ajoutée (pas d'effet tunnel) Pas de Datamarts irréconciliables Architecture robuste et évolutive
La démarche
97
La mise en œuvre s'effectue par paliers successifs cohérents
Vision de l'entreprise
Point de départ
Palier 1
Palier 2
Palier 3
Processus Infrastructure
R.H.
Performance
Management & organisation
La démarche
98
Le choix des paliers dérive d’une analyse enjeux / complexité
Données facilementdisponibles
Données difficilement disponibles
Phase 1Enjeux forts
?
Phase 3
Phase 2Enjeux faibles
La démarche
99
Leçons apprises
Engendrer des attentes que l’on ne peut satisfaire et frustrer les
décideurs au moment de vérité
Charger le Datawarehouse avec des données “juste parce qu’elles
sont disponibles”
Croire que le modèle de données du Datawarehouse est le même que
celui de la base opérationnelle
Choisir un responsable de projet Datawarehousing orienté technologie
plutôt qu’orienté utilisateur
Les erreurs à éviter
Source: The Data Warehousing Institute
100
Se limiter aux données classiques internes et ignorer la valeur
potentielle des données externes et du multi media (texte, image,
audio-video)
Produire des données dont les définitions sont confuses ou ambiguës
Croire les promesses de performance et de capacité
Croire qu’une fois que le Data Warehouse rentre en production, tous
les problèmes sont résolus
Se limiter au développement de fonctions ad hoc de reporting et de
data mining
Source: The Data Warehousing Institute
Les erreurs à éviter
Leçons apprises
101
Les systèmes opérationnels peuvent être une mauvaise base de
construction du Data Warehousing. Analyser l’opportunité de
remplacer ces systèmes d’abord
Exploiter les forces de chaque technologie dans le cadre d’une
architecture technique intégrée. Faire un choix en fonction des profils
utilisateurs et des besoins métiers
L’exploration des données est clé. L’évolution de la technologie
permet de produire plus d’information par l’analyse. Les données sont
trop nombreuses pour être interprétées facilement. Laissez la
technologie travailler pour vous
Autres leçons apprises
Leçons apprises
102
Think big - start small
Se concentrer sur les avantages métiers immédiats - l’élégance et la pureté technique suivront.
Conserver des cycles de développement courts. Le développement des systèmes décisionnels est un processus incrémental et évolutif.
Assurer la conduite du changement. Penser à former tôt les utilisateurs. S’assurer d’un engagement à 100 % des équipes
Autres leçons apprises
Leçons apprises
103
Il DOIT exister un objectif Economique
Le Data Warehouse DOIT être conçu pour faciliter
la Découverte d’information
Le système DOIT être Administré
L’ Infrastructure Technique DOIT être planifiée et
exécutée de façon impeccable
Autres leçons apprises
Leçons apprises