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  • ENCHAÎNÉSeptembre 2018 | NO. 1

    LE

    •MOBILISATION

    Grève interprofessionnellele 9 octobre !Construire un mouvement d'ampleur pour faire combattre les contreréformes du gouvernement

    Une grève et unemanifestation interprofessionnelles sont organisées par laCGT, FO, Solidaires, l’UNEF etl’UNL le 9 octobre. Pour toutesces organisations syndicales, leconstat est clair : legouvernement de Macron mèneune politique idéologique quivise à la destruction de notremodèle social, favorisanttoujours plus les inégalités et lacasse des droits.

    La sélection généralisée àl’université, les atteintes auxservices publics avec CAP22, lesattaques du système de santéavec toujours moins de moyens,la destruction du système deretraites, le gel des prestationssociales... Le tableau est horribleet il est plus que nécessaire de semobiliser pour lutter contre cesmesures.

    À la CGTDauphine, nouspartageons ce constat, et noussouhaitons convaincre lessalarié∙e∙s et étudiant∙e∙s deDauphine qu’il faut qu’ils et ellesse mobilisent. Nous allonsorganiser dans le courant du moisune Assemblée Générale pourdébattre de nos moyensd’actions, et des possibilités quenous avons.

    Mais une chose est claire pournous : pour mettre à mal ungouvernement aussi brutal, il vanous falloir construire unmouvement d’ampleur, ralliantdifférents secteurs(fonctionnaires, ouvrier∙e∙s,chômeurs/ses, étudiant∙e∙s, etc.)pour bloquer le pays par unegrève massive, et en finir avecles journées de mobilisationsespacées qui ne permettent pasde faire reculer Macron (comme

    on a pu le constater même avecla grève perlée très importante etremarquable des cheminot∙e∙savant les vacances).

    Alors toutes et tous dans larue le 9 octobre pour construireun mouvement général decontestation et enfin obtenir desavancées sur nos conditions devie et de travail !

    Qui sommes-nous ?CGTDauphine de l'université ParisDauphine : CGT FercSup, et SNTRSCGT.

    Parmi les syndiqué∙e∙s de laCGT, nous nous sommes renducompte que bon nombre desinformations qui circulent dansles différents conseils (CT, CA,CS, CHSCT, etc.) pouvaientintéresser les agent∙e∙s deDauphine. Nous avons fait lechoix de prendre un ton légeravec des petites brèves relatanttelle ou telle info, tantôtrigolotes, tantôt rageantes, avecle souci de montrer lesdysfonctionnements auxquels seconfrontent la plupart d’entrenous.

    Bien évidemment, nous ne nous limiterons pas aux seules brèves, etnous essaierons de produire aussi quelques articles de fond sur dessujets d’actualité. Dans ce numéro, nous avons d’ailleurs un article surle statut de fonctionnaire, et l’importance de sa défense face auxréformes annoncées du gouvernement Macron. Nous appelons aussi àconstruire la date de mobilisation du 9 octobre, pour construire unmouvement massif face aux attaques historiques du gouvernement deMacron.

    Nous vous donnerons bientôt la date de notre prochaine réunionpour échanger de vive voix !

    Pour nous écrire et nous rencontrer :

    [email protected].

    — César Faivre, bureau B620— Sarah Abdelnour, bureau P415bis— François Simenhaus, bureau B640— JeanPaul Fourmas, bureau D515—Maxime Chupin, bureau B513

    Quelques personnes de la CGT :Participez, vous aussi, au Dauphin enchaîné ! Cette gazette peut aussi être lelieu d'expression des injustices que vous pouvez rencontrer au quotidien.N'hésitez donc pas à nous contacter et nous transmettre ces informations !

    Comme le canard enchaîné, nous protégeons nos sources [email protected].

    La CGTDauphine organise ce mardi 2 octobre une réunion d'information syndicale en amphi 6 à 12h. Nous vousproposons de discuter autour de plusieurs thèmes.

    — La politique de primes del'université ParisDauphine.Les primes apportent descompléments de rémunérationévidemment appréciables. Maislaissées à l’appréciation deschef∙fe∙s de service, sur descritères flous, elles sont aussitrop souvent arbitraires et injustes. Nous voulons unepolitique indemnitaire plus justeet transparente. Et vos retoursd'expériences, avis etpropositions nous sont précieux !

    — La gestion de l'enseignement en MSO. Sous couvertd'innovation pédagogique lesréformes en cours baisseront levolume de cours en présentielsans pour autant revaloriser letravail de suivi des étudiant∙e∙s...De l'austérité qui ne se dit passon nom mais transformera bel etbien le métier d'enseignant∙e etle travail des équipesadministratives.. Et ce n'est pasla seule conséquence desréformes en cours...

    — Le dialogue social enpanne ? Le conseil technique,ainsi que le CHSCT sont deslieux importants de la vie del'établissement. Les représentant∙e∙s du personnel de la CGTessaient d'y défendre les intérêtsdes salarié∙e∙s, mais la directionprend de plus en plus souvent desdécisions hors de ces instances ettransforme peu à peu le CT enchambre d'enregistrement.

    — De local au national, unelutte qui ne s'arrête pas auxportes de Dauphine. Si la contractualisation est extrêmementavancée à Dauphine, que lasélection est instaurée depuis bien longtemps, ces problèmes làne se posent pas qu'à Dauphine.Le gouvernement continue sansrelâche ses attaques contre lemonde du travail, contre les plusexploité∙e∙s. Pour ce qui nousconcerne le plus directement, il ya évidemment CAP2022 dont le

    rapport montre que le gouvernement veut détruire le statut defonctionnaire. Il y a Parcourssup, la réforme des lycées,la suppression de postes, dans lafonction publique et dans l'éducation, les projets de réforme dusystème de retraite. Nous pensons que la situation est grave, etque nous devons arrêter legouvernement. Autant decontreréformes majeures àdébattre et à combattre !

    •MOBILISATION À DAUPHINE

    Informations syndicales le 2 octobreAmphi 6 à 12h

    Venez discuter de tout ça, et des thèmes que vous voulez aborder avec nous !!!

    ENCHAÎNÉ• ÉDITO

    Septembre 2018 | NO. 1

    #pourunavenirsolidaire

    Profitant des 50 ans de mai 68— et donc des 50 ans deDauphine ! — la CGT de notreuniversité se propose de faireadvenir un autre futur, sanshashtag, sans globish et sansagence de com’, sans travailprécaire ni marchandisation dusavoir. Un avenir oùl’enseignement est au service del’émancipation et de l’espritcritique, où l’université estouverte à tou.te.s, où

    l’organisation du travail estréellement démocratique etrespectueuse des personnels.

    Pour qu'advienne un mondemeilleur, l’engagement dechacun∙e est essentiel ; il passepar des discussions et desrésistances collectives à toutesles échelles. Il démarre aussi parune information qui ne se réduitpas à de la communication. Danscette optique, notre gazette vous

    fera régulièrement découvrir à lafois les injustices les pluscriantes observées dans cetteuniversité et le pire des (contre)réformes à venir, mais aussi lespetites et grandes victoires et lesmoments heureux.

    Pour ce premier numéro, nousavons préparé un petit “best of”de l’année dernière !

    • BRÈVES

    Ce à quoi vous avezéchappéRémunérer les enseignant∙e∙s à hauteur des fraisd’inscription ? Jacques Attali en rêvait, Dauphine l’afait !

    Vos élu∙e∙s du comité technique ont été consulté∙e∙s sur leréférentiel des enseignants du département de formation continue. Letexte proposait d’indexer la rémunération des heures de cours au prixdes formations. On vous fait le tableau :

    Les élu∙e∙s s’y sont opposé∙e∙s et ont eu gain de cause. Ils ont aussiréussi à remplacer le terme de ‘clients’ par celui d’usagers. Ce qui n’apas empêché d’autres propositions tout aussi ahurissantes de passer,comme :

    1/ L'indexation de la rémunération des enseignant∙e∙s sur le nombred’étudiant∙e∙s de la formation

    2/ La rémunération de l’encadrement d’une promotion d'EDBA(sorte de doctorat en formation continue) à 240 HTD

    Attendezvous à voir fleurir les propositions d’individualisation desrémunérations et les incitations à mieux s’occuper des étudiant∙e∙s quiont les plus gros portefeuilles...

    • BRÈVES

    L'usine à gaz 2018

    « L’appel à projets devraitsortir en fin d’année ; ce quisignifie que nous sommes enmesure de bien anticiper cetappel et de nous y préparer.L’EUR est le prolongement d’unprogramme gradué. Le juryévaluera de manière globale lastructuration d’une université derecherche comme PSL enprogrammes gradués, sera

    attentif aux recouvrements et auxéventuelles contradictions, entout cas vérifiera la cohérenceglobale.

    L’enveloppe totale annoncéeà ce jour au niveau national estde 700 millions d’euros. Lavolonté des autorités est de voirles Idex structurés enprogrammes gradués, lesquels

    seront financés de manièreglobale pour une Idex. Audelàde la qualité des programmes, lacohérence globale de lastructuration en programmesgradués sera appréciée. »

    À quoi ça sert par contre...Pour toute proposition deréponse, envoyez un mail à[email protected] !

    Qu'estce qu'une EUR ? Mais c'est d'une simplicité enfantine !

    • BRÈVES

    Le chiffre de mai 2018

    27 000 heures, c’est lenombre d’heures de décharge

    d’enseignement qui sontproposées dans le cadre duréférentiel des tâches desenseignants chercheurs pour ledépartement MSO (contre 3 000en MIDO et LSO). Si cesdécharges permettent de prendreen compte des activitésd’organisation etd’administration, reste à savoirqui profite de ces décharges et

    qui va assurer les heures de coursainsi abandonnées…

    Les décharges pour les jeunesenseignant∙e∙schercheur∙se∙s etles délégations sont trèsimportantes, mais avec 27 000heures, et si peu de nouveauxpostes, on se demande bien d'oùviennent ces heures et ce qu'ellesdeviennent.

    • BRÈVES

    Alerte précaritéUne enseignante assure des

    vacations depuis plus de 30 ans, etelle fait actuellement plus de 200heures de cours par an. Proposition aété faite au comité technique d’ouvrirun poste de CDD. Après trente ansde bons et loyaux services, que neferaiton pas pour nos enseignant∙e∙s?

    Si la contractualisation est une solution ponctuelle admissible, lesbesoins en enseignement et en recherche sont énormes et nous avonsbesoin de postes de titulaires BIATSS, Enseignant∙e∙s etChercheurs/ses !!

    • BRÈVES

    Comment enquête-t-on sur votre « Qualitéde vie au travail »

    L’université a fait appel à un cabinet pour faire un audit sur la« qualité de vie au travail », qui coûte environ 100 000€, dépense nonprévue dans le budget.— 85 260 EUR concernent la phase 1 : diagnostic qualitatif,

    questionnaire, traitement des données, construction du plan d’action.— 13 200 EUR concernent la phase 2 du projet : accompagnement

    technique pour la mise en œuvre du plan d’action.

    Dommage de ne pas avoir davantage misé sur la connaissancequ’a le personnel des situations de conflit, ni sur l’expérience desreprésentant∙e∙s syndicaux et syndicales !

    LE

  • ENCHAÎNÉLE• BRÈVE DE COMPTOIR

    Reçue sur la liste mail de laCGT

    « Cher collègue

    Je ne soutiens PAS les cheminots dans leur grève.

    J'ai le plus grand respect pour les cheminots en tant que travailleur, c'est à

    dire QUAND ils travaillent.

    Je ne soutiens pas les cheminots quand ils ne travaillent PAS, c'est à dire en

    fait beaucoup d'heures dans une semaine ouvrée (ce dernier mot veut dire

    étymologiquement "travaillée")

    Je ne soutiens PAS les cheminots quand ils préservent leurs RENTE historique,

    je ne soutiens pas les cheminots quand ils bloquent des concitoyens qui leur

    servent de paravent pour leurs intérêts catégoriels.

    Désolé

    PS: en plus vous utilisez ce français déplorable, certes politiquement correct,

    mais grammaticalement faux »

    Nous rappelons à notre pas si cher collègue que le droit de grève est inscrit dans la Constitution, etque sans rancune, on se battra pour préserver son statut :)

    • BRÈVES DE COMPTOIR

    Point ParcoursupVoici quelques chiffres au 2 septembre 2018... Pendant que legouvernement nous enfume !

    À la suite d'un mail de soutien à la grève des cheminot∙e∙s

    — Étaient inscrit∙e∙s surParcoursup' au départ : 812 000

    — Ont accepté un choix surParcoursup' (et ont quitté laplateforme) : 519 500

    — Ont quitté Parcoursup(échec au Bac, école privé, écoleingé ou commerce, sciences po,ou renoncé aux étudessupérieures) : 154 500

    — Ont une réponse positivequi ne les satisfait pas et quirestent sur Parcoursup enespérant une meilleure réponse :75 000

    — Sont toujours sur listed'attente ou n’ont reçu que des«non» : 63 000. Et parmi ces 63000, le ministère considère que42 000 sont «inactifs» parcequ’ils ou elles ne répondent pasaux mails du ministère.

    Au total, ce sont 128 000étudiant∙e∙s qui ne savent pas oùils et elles seront inscrit∙e∙s à larentrée le 2 septembre !!! Et nousne comptons pas ici lespersonnes qui se sont autoexclues du processus sans quel’on sache vraiment ce qu’ils etelles deviennent...

    • LE SUJET LONG

    Les contractuel.le.s dans lafonction publique

    Point histoireL’État comme employeur

    constituetil un dernier rempartcontre la précarité, alors qu’unrapport alertant sur l’essor de laprécarité dans la fonctionpublique paraissait en 2011 ?

    La fonction publique, quirassemble fonction publiqued’État, fonction publiqueterritoriale et fonction publiquehospitalière, totalise uncinquième de l’emploi en France.Après une hausse continuedepuis 1980, l’emploi public estdésormais stabilisé, voire enrecul pour la fonction publiqued’État, et ce dans le cadre de ladécentralisation et de la RGPP(révision générale des politiquespubliques) qui viseessentiellement, sous couvert demodernisation de l’État, uneréduction des dépensespubliques.

    Ces restrictions sur les postesde fonctionnaires ont uneconséquence directe : lamultiplication de celles et ceuxque l’on appelait dès les années1970 les horsstatuts de lafonction publique. Si la majoritédes travailleurs/ses de la fonctionpublique sont titulaires, les nontitulaires représentent toutefois16 % de l’ensemble des effectifs,et en dix ans leur nombre aaugmenté en moyenne de 2,8 %par an alors que le nombre totald’agents progressait en moyennede 1,3 %.

    Ce sont les agents territoriauxqui sont les plus concernés,comme l’atteste le rapport sur laprécarité dans la fonctionpublique territoriale présenté enmars 2011. Le rapport indiqueque plus d’un∙e agent sur cinqoccupe un emploi nontitulaire,alors même que plus de la moitiéde ces personnels nontitulairessont affectés à des postespermanents.

    Le rapport, s’appuyant sur destravaux sociologiques, définittrois dimensions de la précarité :l’emploi, les revenus et les droits.Les précaires de la fonctionpublique sont alors présent∙e∙sparmi les agents nontitulaires etles personnels à temps partiel,catégories toutes deux marquéespar une nette surreprésentationdes femmes. Si le rapport aconduit à la promulgation de laloi Sauvadet qui permet àcertains agents contractuelsd’être titularisés, cela est loin decompenser les attaques multiplescontre les embauches dans lafonction publique, et notammentle nonremplacement d’unfonctionnaire sur deux, mesuremise en place dans le cadre de laRévision générale des politiquespubliques depuis 2008.

    ENCHAÎNÉ• LE SUJET LONG

    Les contractuel.le.s dans lafonction publique

    — Un agent sur cinq dans lafonction publique est contractuel.

    — Plus de six contractuel∙le∙ssur dix sont des femmes.

    — Depuis cinq ans, laproportion de contractuel∙le∙sdans la fonction publique estrestée stable. C'est ce que révèlele dernier rapport annuel,évaluant leur part à 21,7% en2015 sur plus de cinq millionsd'agents.

    Autre caractéristique quesoulève le rapport : la présence

    de contractuel∙le∙s diminue àmesure que le niveauhiérarchique augmente. Ainsi,plus de la moitié (53,8%) sont encatégorie C, la moins élevée dela fonction publique. Enfin,parmi les contractuel∙le∙s, 38%occupent un temps partiel contre16% des fonctionnaires.

    Près de la moitié de précaireschez les BIATSS et plus du tierschez les enseignant∙e∙s. Et tenezvous bien, ces chiffres neprennent pas en compte les contractuel∙le∙s saisonniers ou lesvacataires ! Ces chiffres sont

    donc largement sousévalués etdépassent doncvraisemblablement les 50 % dansles deux cas...

    Bravo Dauphine ! toujours enpointe dans sa gestion des ressources humaines, que ce soitpour les BIATSS ou pour les

    Enseignant∙e∙sChercheur∙se∙s !

    Point Chiffres

    La réforme de la fonctionpublique et le Comité d'actionpublique 2022 (Cap 2022)

    Le Comité mis en place pourréfléchir à la transformation desservices publics est constituéd'une moitié d'énarques,d'anciens membres de laCommission (très libérale) Attaliainsi que des économistesnéolibéraux. Pas un∙etravailleur/se, pas un usager desservices publics.

    Parmi les idées qui circulentpour améliorer la qualité desservices publics, sont proposésd'ici 2022 : la suppression de120 000 fonctionnaires, la baissedes dépenses publiques de 3%, ledéveloppement des contrats horsstatuts, la suppression duministère des Sports, le transfertde la gestion des écoles auxintercommunalités. Laproposition de certains membresdu Comité de supprimer laFonction publique hospitalièreallait un peu trop loin pour legouvernement. Ça donne uneidée du progressisme de cetteCommission !

    Pourquoi ne pas faire descours d’une heure à l’universitéet des semestres de 8 semaines ?On ferait des économies !

    Le gouvernement et leComité souhaitent que la gestiondes établissements publics mimede plus en plus la gestion desentreprises publiques. Autonomiede décision des chefsd'établissement,responsabilisation des chefs deservices pour en faire des petitschefs qui pourront user à loisirdes contrats précaires et desprimes pour gouverner leursservices.

    N'oublions pas que le statutde fonctionnaire a vocation àproduire des salariésresponsables devant l'État, que lefait de ne pas avoir peur duchômage leur permet d'œuvrer etde protéger l'intérêt général audelà, au besoin, des consignesdes supérieurs directs davantagelà pour coordonner les équipesque pour les manager. Bref, lesréformes en cours ont vocation àproduire des salarié∙e∙s dociles etnon pas des salarié∙e∙s

    responsables de l'intérêt général.La sécurité de l'emploi n'est nullepart un ennemi du bon boulot ;les coupes budgétaires si !

    Dépecer les services publicspour les accuser de mal remplirleurs missions, la stratégie a tropduré !

    Dauphine, première de cordée !

    Figure : Effectifs physiques globaux selon le statut et la fonction en 2016 (source :Bilan social de l’université, 2016)

    Rester mobilisé∙e∙s pour un service public de qualité


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