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Page 1: L ab ùeul journal quotidien de Cannes et de l

ORGAN L ab ,, [,% TIONS HIVERNALES

ùeul journal quotidien de Cannes et de l'arrondissement de Grasse

ABONNtDiEN'Iy

LE NUMÉRO : 5 CENTIMES

INS RTïerrsFAAPCE

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7tTA9.AG+3s

La ligne : En 4— page, lier . c . 8 .0 fr.25 ; en 3 — page, 0 50 ; en ÆnUn an go[' .

Un u~,, 40 fr .

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de chroniyug2 fi . ; dans le corps de la chroniqur, de gré è gré.satisan HO a

Si . unis oz, .

8 Année . —

Saint Raymond

— Num . 198 .,.ADMNISTRATION & RÉDACTION : 24, RUE. HOCHE

VENDREDI 23 JANVIER 1891

Lee Annonces sont raques au Bareau du Journal, 24, rue Hoche.

Les manuscrits non lnsérés ne sont naç. rentrera cs, - Les Lettres non affranchies isont refusées,- Les Abonnements partent des l' r et le de chaque mois.

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Le LITTORAL est adressé ù tousles Etrangers a leur arrivée ùCannes. Les personnes qui ne dé-sireraient pas le recevoir sontpriées de le renvoyer.

A TRAVERS

1,'CXI'6SITION D'NURTICOLTORE

Grâce au temps magnifique quenous avons depuis : hier, notre Expo-sition est un vrai succès . On crai-gnait que la neige et les froids deces jours derniers n'eussent fuit tortaux plantes et aux fleurs dertinées àvenir figurer sin• nos Allées, il n'euest rien, Dieu merci.

Le spectacle de ces jardins impro-visés, arrangés avec goût, est char-matif, aussi hier orle foule aristocra-tique se pressait-elle dans l ' enceintede l'Exposition pendant que la nmsi-quo municipale exécutait les mor-ceaux les plus brillants de sou ré-pertoire, suivant le vieux cliché . 11 vavait entre autres des essains de ,jeil-rles filles charriantes et i] a fallu leprofuud sentiment du devoir profes-sionoel qui distingue les rédacteursdu Littoral pour que: les fleurs n 'aientpas été négligées.

Il l'ut un temps oti les glaïeulspoussaient librement dans les champstels que la nature les faisait . Noshorticulteurs ont réussi à transfor-mer ces humbles fleurs et à en fairedes merveilles de coloris, de formeet de taille . La série de ces fleurs quenou, présente M . Julien Pageot flousmontre les magnifiques résultats ob-tenus.

A côté de M . Pageot, M . Barthéle-my Tournaire nous fait admirer unebelle suite d'u,illets.

Bien que je n'aime pas beaucouppersunnellemeut les plantes exotiqueschez lesquelles la fleur compte peu etoù le feuillage est tout, je suis bienfore(• d'avouer que les différentes eu-phorbes, les bégonias multicolores etaracfléeiis ainsi que le-, imautophvllade NI . Guilliu, Jardinier de la cillaCronlbez, out leur charme . Si le leurpréfère les roses ou les millets jecomprends qu'il y ait des gens qui euraffolent.

M . Berggreun, ]'habile et expéri-menté fleuriste de l ' établissernenthorticole de la villa La Skanie, a ex-posé trois lots hors concours ; deuxlots de fleurs et un lot d'arbustes etlégumes-primeurs . Les fleurs sontd'une iucum ;iarable fraîcheur.

Aussi sommes-nous certain (lueles combattants ire notre prochainebata lie de fleurs qui s' adresseront àM Berggrenu amont des merveillesd'ornementation pour leurs équipa-ges.

Dans lit section des fruits, outreles fraises et les pommes d'amour deMM . Naturelle et Carriat déjà nom-més, nous avons remarqué uis ana-nas d'une taille extra,)rdliai le, desmandarines grosses comme (lesoranges, des physalis et des prunessais nuyaux, t'euaut de la Trait-yl-vat)ie, un pays où l'auteu r de lachan : un :

Si voue mangez des pruneauxN'ovulez pus lus n'ynu--

ire doit pas toucher de forts droitsd'ailleurs . Ces fruits remarquablessortent du magasin Aux produitsE(rangers et dit 3lirdi,rue d'Antibes,75, (lotit la réputatiun n'est plus àfaire.

A quelques pas de là nous trouvous le comptoir de poteries artisti-ques de M . .lérôme Massier, de Val-lauris . Non, nous bornerons à meu-tiumler une ,jardinière émaux sousémail et une autre eu bleu-Lapis, lesnomeautes de Panure . Le noir deM . Jérôme Massier trous dispense detout commentaire.

Avant de quitter cette section flousciterons les appareils à gaz pour lechauffage des serres, de M . Preslode Sainte-Marie, les baches et chas-sis vitrés de NI . Sas,ani, un tuudéle,de rocailles de M . Furluué Brun etmie collection ci oiseaux de toute es-pPce expu-ée pas NI . Peraciuo, mé-daillé du guuvernemrut, qui a égale-ment de superbes cauardsmaucLtrius,des faisans dorés et argentés, des pi-geons varie-,, etc.

M . Etienue Granier (de Cagne-, )estl'inventeur d'un remède contre lesmaladies de la vigne à l'efficacité du-quel cous sommes bien forcé decroire étant donuée la beauté des cepstraités par ce moyen . Les arbres fruit-tiers de M . Granier Bout aussi dignesde remarque.

La section réservée aux animauxde toute espèce est à coup sûr unedes plus intéressantes.

Parmi les superbes vaches laitiè-res qui y saut exposées il faut remarquer le D• 19 fourni par la laite-rie Mul de Pégomas et le un (il à M.Dubset- de Mandelieu.

M, Rost a envoyé 2 biches et unjeune faon peu sauvages, qui fontla joie des bébés.

La gent emplumée est largementreprésentée à notre exposition . Lapalme revient à notre avis à M . Gilet-

te-Arrimondy pour ses Houdans etses superbes croisements de coqs deLa Fièche avec des poules du pays.Quels rôtis I Monselet doit en tres-saillir dans sa tombe.

M . Gilette-Arrimondy a bien voulunous expliquer le mécanisme de sacouveuse artificielle et de sou éle-veuseoù l'on voit piailler unedouzai-De de poussins âgés de 8 jours et quin'ont pas l'air de souffrir Io noiesdu monde de l'absence de la mère.

Ces deux appareils nous semblentdevoir rendre des services signalésaux éleveurs de volailles . Ils ontd'ailleurs été déjà primés.

Il nous est impossible de lie pasnous arrèter titi instant devant unroqrannoi.s d'une taille phénométiale .Quidonc disait que la vieille race can-noise était 1n'és de .s'éteindre? Quel-que Gra=sors sans doute . Avec d'aussibous coqs que celà cette prophétiemal intentionnée n'est pas près de serealiser.

Nous devons à M . Nllgno deuxbeaux canards . Le nielle, dit une pafl-carte,est autel, ce qui le distinguedes canards du -1-11 , Sûcle qui foutplus de hruit qu'ils ue valent . Ni.Migno exhibe aussi un lapin qui de-timide a divorcer sous prétexte quelui est noir, sa femme blanche et sesenfants d,- ,je ire sais quelle teinte . Ilfaudrait d ' abord savoir si ce n'estpas le lapin qui a commencé.

Dans la section vinicole nous avonsremarqué les vins rouges et blattesrécoltés par M . Hugues au clos desI'i!ons, à NLw:ors-Sartoux, (piodu-teurs directs et greffés sur plantsaméricains), puis les vignes du payset les t igt)om italienne- cultivres ailsle pays par M . Depaoli à qui ellesfournissent d'excellents vins rougeset blancs,

A 3 heures de l'après-midi, hier,le jur .v n'avait pas encore terminéses opérations.

Si danscette rapide excursion nousavons omis beaucoup d'exposantsdignes d'étre cités c'est faute de sa-voir leurs noirs qu'ils avaientoublié de nous faire counaitre Dofdt-ce que par une simple cartede comillerce . Comme nous auronsPocca-ion d'y revenir nous répare-rousces laeuues involontaires dansla uiesule du possible.

Uti souhait pour fil.ir, j'entendaismi jour ce dialogue de 2 pays'uis

— Alors tu a eu une médaille àl 'exposition d'HVet-es.

— Oui.— Pourquoi ne la porta-tu pas 7— Pour di pas . A ges d, Neroal .(Je

ire puis pats, elle n'a pas d,, queue).Souhaitons que les médailles at-

tribuées à nus lauréats aient des pe-coat .

M . RAndnAULT.

CHAMBRE DES DÉPUTÉS

Séance do 22 janvier Is9)L

La séant, est ouverte à 2 heures sous laprésidence de M . Floquet.

Le p-,c -vrrbal de la céance précéJenterst lu et adopb•-

yueellons diverse.Un projet de loi modifiant l'arucle lï de

la loi mrhtaire relatif aux jeunes gens onus,tir les hi tes de tirage, est ruts aux voir et

adopté,M . Mège demande au ministre de la justice

du mettre fin aux abus causés par la drstri-buton des cartes d'entrées lors der, séancesrio lrortanles des Cours d'assises.

Le ministre de 1 . jue,ice convient qu'il y aeu des abus, mais ils dexrsteront plus ci i--mais.

M . IB&mbert dcmamle des explications surl'merdent 'ilizon et sur l'application del'acte Je Berlin relatif à la liberté de la q avi-g, rios sin le Niger.

M . Ribot, niinrt ce des affaires étrangères,répond que l'Angleterre a reconnu nos récla-nations sur la liberté de navigation sur leNiger.

L'incident est clos .

La TripolitaineM . Pichon demande au ministre des affaires

étrangi•rrs si par un ac .e quelconque il adonné lieu aux insinuations de la presse ita-lienne qui nous représente comme avant desvues sur la Tripolitaine.

M . Ribot, numstre des- affaires étrangères,dé,ne e que sur le fond de la question il n 'arien à ajouter à la réponse yu il a faite ré-cemment parce qu'il n'y a rien à dire . (Ap-plaadts.rcrnen(.[~.

Quant aux accusations de la presse ita-lienne, elles sont tellement absurdes que legouvernement italien doit être des premiersà les regretter . (Applaudb+rnicnls).

Le ministre ajoute clac nos rapports avecla Turquie sont e[cellen ts, et que ce n'estpas à la Russie que nous inspirons des ap-préhensions.

Les autorités de l'unis et de la Tripolitaineont reçu des instructions recommandant d 'é-rtter les incidents de frontière, et depuis plu-sieurs moi, il n' y eu a eu aucun.

M . Ribot conclut en disant lire si les insi-nuation, de la presse italienne continuent, cen 'est pas à nous quelles feront du tort . (l'ifsapplm[dtarrrmmtsl . L'incident est clos.

Aeeou,N publiesM. Moreau dépose nue propositio q de loi

tendant à 1 organisation des secours publicset à la rremion de Comitès départementauxde secoua.

L'urgence est déclarée.Lee aeelelentc d'anal les mlaesL'ordre du jour appelle la reprise de la dis.

on du rapport de la Com missioq d'en-quèh, sur les causttvplies des mines de Saint-Etienne.

M . Dumay soutient les conclusions de sonrapport.

M . Yves Guyot, ministre des travaux publicsdit que le meilleur r mède, lest d'aérer lesmines, mais l'Etat est insuffisamment armécontre les Compagnies.

Le nunistre déclare qu'il a chargé uneCoin misioo d 'ingénieurs de rdiger nu règle-ment sur l', xplmtation des mines. Le mmis-tre s 'engagea donner la plus grande publi-cité poss i blr au rapport de ces ingénieurs,

M . Souhet appuie les conclusions de la Com-masion, et il demande que loisqu'une catas-trophe se produit dans une mine, les Compa-gnies soient obligées a faire des pensions auxveuves etaux orphelins des victimes.

M . Deeprès, an nom de la minorité de ]aCommission proteste contre ; s conclusionsdu rapport.

Après une réplique de M. Terrlor, la suiteda la discussion eu renvoyée, jeudi.

La séance est le—.

-4

LA FILLE ELISA

Nous avoirs anttonci• l'autre jour.dans nos dépèches,que le ministredesBeaux-Arts avait interdit les repré-sentations publiques de la Fille Elisa.C'est là un tout petit événement dontla presse et les auteurs n'ont pas às'émouvoir outre mesure.

Ait demeurait, comme le dit notreconhere Louis Besson, pie l'Evéne-uucnt, la valeur de la Fille Elisa estl'u : t dis•utahle au point de vue dra-matique, et la majorité des critiques,tout eu reudant hommage au talentde M . Ajalhert, a été d'acrurd pourblâmer ja mise H. la scène d'une ou-vre parl'aitemeut pénible et par cer-tains côtés ab-olunient répugnante.

Dunc, que la Fille Elisa soit re-Préseutée ou lion, peu iluus importe.

Le ministre n'a faitqu'adupter lesconclusions du rapport de la com-missiun d'examen . Il a agi dans laplénitude de sou droit : voilà le l'ait.

Ou pourra dire qu'il a porté attein-te à la liberté de la pensée . C'est pus-sible . Niais tant que la censure exis-tera, son devoir sera d'interdire despièces comme la Fille Elisa et Enlàniille.

Re,toàsavoir si la censure doitêtre supprimée.

La question est bien grosse pourle cas particulier dont il s'agit.

Dans l'intérèt même des théàtreselle devrait étre maintenue : et celapour rassurer un peu les bourgeoistimides qui ne veulent point exposerleurs femmes et leurs tilles à desspectacles dangereux.

Hais on pourrait faire l'essai ab-solu de la liberté, puisqu'on l'accor-de presque sans contrôle aux dessi-nateurs et aux romanciers.

Eu Belgique, on da pas eu à seplaiudrD Jusqu'ici de l'absence des

A tout seigneur tout honneur.L'exposition de M . Solignac se fait

1~lAI~DNJ

RECOI~IAfdDEESremarquer

par

]'arrangement

trèssimple, et par suite d'ut) goùt

excel-"' '— -- lent,

de ses

bottes

de

lilas blanc etHOL'SI ; aC ESTATE AGENTS de plantes exotiques aux formes bi-

JOHN TAYLOR & RIDDETT Zar 'rCS . Niais son triomphe est u q Cal'-4 ~ & 4s, Rne dr Fré,ins, canars . ré d'azalées de toutes couleurs,d'uttc

AND F-c""GEENGLISH EAN1~

fraicheur et

d'un

éclat

incolupara-OFFICE . bles, Disons acaut de quitter Ni . So-

JoRN

& Riul F , lignite que ses belles décuuvertes lui43 & -15, rio de Fréjus, Canars.43 à -1

mit valu la croix d'officier du MériteCCiE

rû~ F

h1 r1UTf1 N . Villov

Hetels,1\il

Terrain,

aeatiena,Arhat

e[v n- Agricole et qu'il

est

hors

concour si

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de bureau

arts. -T<i~ph eonne,taa« ..

Knemanis

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ph depuis Iongteti Ps déjà.rlxea dao

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MM . Naturelle et Carriat sbcceu-Db:x

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rluNnes .—sgaaroNuire -1inma,l lare du Cuior

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Ler,i :uns nrbats etvseennte-. du

.peut surtout

de

la

production

desfleurs et des fruits .

Aussi q nus out-wllns. B ^ lep, et eropriet,, . ilsfait voir nuesplendide gerbe d'(xil-Corre~pondxntx pour ta rranre. et l'E"r .0t-.- R_•elgnemeats grata ;ta .— rnnm>a en lacs . lets

affectant la

forme

d'au pallier-,cr:.,x

I:u1CrrE'r,

,r,rrr,ar . dos auémorles aux couleurs

aussiROUX . — L

pparteomrauen

onts,

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li JdedeVill.

aGs e.

et d''AA vives que variées,

du

réséda d'une~7

chaLS taille

extraordinaire, des

CO~eR,

ditAc

rt Vrntrs . - rb,il(s Tonnai Oj/ire .—71 . sec d'Andbrs, O'anms lilas blanc émergeant d'une urne de

Vallauris, puis des pommes il amourAGENCE EUItOPEENNE (je préfère ce nom à celui de tomates,

A .

Dateur• .

lai . . ., si

banal)

et des fraises!

Cui,

ules-vam-gomt

.Ili.a, " i~r~~ed immeable= .—Ga . .' :

n~irr.Tr.,arsr seigneurs,

des

fraises,

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Ren- .iynemen taratnirs .

n . vIUA1,

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du illélite

Agricole,

avec

AGLNCE

LITTORALune

admirable

collection

d'œilletsDui remoutauts dont les

fleurs s'étalentan n plancheA .RI BAUD . a nci

5,er

nue

notaire, des, liresi

àllCé en droit

Lo,ation -Achat et Venir. de Villas, HLtels',sur une,recouverte de C'eloursnoirbUlIuelle

met

eu

calent-

leursPropriétés et Fonds de cor imeree, teintes 5i variées, Sl éClatltllles

ou SlConsultations - Itcrouvremrnh de. créait- douces.

litigieuses — RPtrac,

nts de comptes — Les u'illets de Ni . Fulconis sont unq

ceaLiuidations- Arbitrage.-Espertisrs . etc .

ne peut mieux encadrés par les fuu-gèlrs

aux filles découpures de M.Loth.

M .

Gardenq

cultive

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lesfleurs .

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place est elle large-

PHARMACIE ANGLO-FRANÇAISEment tenue par d'aristocratiques gar-

RONDEr & C° S^défilas, par des bouquets de violette,

BREARLEY ET L'AS('OUI„ odorantes,

de

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( .'INNEs'mones

et

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jauniesnaaalD

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Rhumes..>, et B Bronc

e—chiteseonver venus en

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e rr . ao bleui pas avoir cuufiert du mauvais

MIXTURE BASCOULtemps'

N'Ime Dorothée

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Téië-pphone, TAJAEQuE, pharmacien de Ire Classe .

bouquet de fleursaux amateurs . . . und'oranger et pas en

cellui

id, Celui-des

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du comte ],} 1 Que venait-on

nous dire que

laMaar ; . fleur d'oranger devenait rare par le

PHARMACIE ANGLAISE._ temps qui cou't?

Partent

ailleurs,GiNNEx, 40, rue c'est

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