EDITO :
Sournoise, cette véritable «épidémie» (selon les
termes de l’Organisation Mondiale de la Santé - OMS) représentée par le surpoids et l’obésité, se propage dans de nombreux pays occidentaux, de façon concomitante à une alimentation trop calorique, et n’épargne pas la France. Le surpoids et l’obésité ont longtemps été considérés comme la conséquence d’un excès de l’apport calorique. Cette explication semble globalement exacte puisque ces troubles s’observent essentiellement dans les pays à haut niveau
de vie. Or, cette explication de l’excédent calorique ne permet pas d’élucider les raisons pour lesquelles certains sujets, dans les mêmes conditions alimentaires, ne grossissent pas. Les avancées déterminantes en biologie moléculaire permettent aujourd’hui de soulever le voile du mystère. Le tissu adipeux a longtemps été considéré comme un tissu de stockage. Actuellement, il est clairement établi que ce tissu est aussi capable de sécréter des molécules, les adipocytokines, dotées de propriétés régulatrices. Elles peuvent agir à distance, par voie endocrine (comme la leptine) ou agir localement (TNFα). De nombreuses et récentes études montrent que la clé pour une perte de poids durable est une signalisation correcte de la leptine et de l’insuline. L’ère des régimes ananas est probablement révolue ! Le surpoids et l’obésité entraînent
de graves conséquences pour la santé : • les maladies cardiovasculaires sont déjà la
première cause de décès dans le monde, • le diabète : l’OMS prévoit une augmentation de
plus de 50% du nombre de décès liés au diabète dans le monde au cours des dix prochaines années,
• les troubles musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose,
• certains cancers. Outre ces maladies, le surpoids engendre des troubles psychologiques tels que mauvaise image de soi, pulsions boulimiques... Bien que souvent considérées comme moins graves, ces affections sont néanmoins débilitantes et douloureuses. Ces problèmes ne sont donc pas à prendre à la légère : une alimentation équilibrée et la pratique régulière d’une activité physique et sportive sont les principes de base d’une normalisation du poids. Nous vous souhaitons une agréable lecture et restons à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire au :
Laboratoire SOFINNOV - Compléments Nutritionnels
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Le conseil scientifique
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LE SURPOIDS ET SES CONSÉQUENCES
MAI 2019Lettre d’information nº 138
OFINNOVGamme expert du laboratoire Sofibio
LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 2019
L’OMS définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 et l’obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30. Ces seuils servent de repères pour une évaluation individuelle, mais il est
prouvé que le risque de maladies chroniques augmente progressivement au-delà d’un IMC de 21.
02
Epidémiologie (selon l’OMS) :
La progression est inquiétante car elle affecte des personnes de plus en plus jeunes. La répartition géographique est très inégale : les campagnes sont plus touchées que les villes et le pourtour méditerranéen subit une évolution rapide et défavorable.
La cause fondamentale est un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Deux facteurs sont en cause : • un changement d’alimentation : la population consomme
une plus grande quantité d’aliments très caloriques riches en graisses et en sucres mais pauvres en vitamines, en minéraux et autres micronutriments,
• la tendance à la sédentarité : nous pratiquons moins d’exercice physique en raison de certaines formes de travail, de l’évolution des modes de transport et de l’urbanisation.
La régulation du bilan énergétique fait schématiquement appel à trois intervenants majeurs :
• le système nerveux central dans lequel deux noyaux hypothalamiques exercent un effet puissant sur la prise alimentaire ;
• la cellule adipeuse (adipocyte) présente dans le tissu adipeux blanc qui stocke l’essentiel de l’énergie sous forme de triglycérides et dans le tissu adipeux brun qui a un rôle majeur dans la thermogénèse. De nombreuses cytokines sont produites par l’adipocyte : la leptine, l’adiponectine, le TNFα, les interleukines 1 et 6. Elles peuvent augmenter ou diminuer l’appétit et le métabolisme, contrôlant ainsi le poids ;
• les connexions adipo-hypothalamiques faisant intervenir le système nerveux autonome et les adipocytokines.
SURPOIDS ET OBÉSITÉ : quelques chiffres
CAUSES DU SURPOIDS
LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 2019
CONSÉQUENCES DU SURPOIDS ET DE L’OBÉSITÉ
Risque grandement accru Risque modérément accru Risque légèrement accru
• Diabète Non Insulino Dépendant ( DNID)
• Cholécystopathie• Dyslipidémie• Résistance à l’insuline• Essoufflement• Apnées du sommeil
• Cardiopathie coronarienne• Hypertension• Arthrose du genou• Hyperuricémie et goutte
• Cancer (du sein chez la femme ménopausée, de l’endomètre, du côlon)
• Anomalies des hormones de la reproduction• Polykystose ovarienne• Altération de la fécondité• Douleurs lombaires• Risque accru de complications au cours de
l’anesthésie• Anomalies fœtales associées à l’obésité de la
mère.
MALADIES CHRONIQUES ASSOCIÉES A L’OBÉSITÉ
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LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 201904
Les tensions systolique et diastolique augmentent avec l’IMC et les obèses présentent un risque accru d’hypertension par rapport aux sujets minces.
Cancers hormono-dépendants Cancers gastro-intestinaux, hépatiques/rénaux
Endomètre Colorectal
Ovaire Vésicule biliaire
Sein Pancréas
Col utérin Foie
Prostate Rein
LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 2019 05
NUTRITION ET HYGIÈNE DE VIE
L’éducation diététique constitue une étape cruciale tout comme la promotion de l’activité physique.
Action de l’OMSAdoptée par l’Organisation Mondiale de la Santé en 2014, la Stratégie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé décrit les mesures nécessaires pour encourager les gens à avoir une alimentation saine et à faire régulièrement de l’exercice. La stratégie demande à toutes les parties prenantes d’agir aux niveaux mondial, régional et local pour améliorer les habitudes alimentaires et favoriser la pratique d’une activité physique dans la population.
LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 201906
PRODUITSSLIM CURE
Information nutritionnelle
Pour 1 comprimé “Jour”
Thé vert 287,50 mgdont polyphénols 143,75 mgdont catéchines 57,50 mgdont EGCG** 20,13 mgCaféine 100 mg
5-HTP
Ce complément alimentaire favorise l’élimination de l’eau et la perte de poids, stimule l’élimination des déchets, en plus des mesures hygiéno-diététiques. Sa richesse en Iode lui permet de contribuer à un métabolisme énergétique normal. Conseils d’utilisation : 2 gélules avant le petit déjeuner.
PONDÉRUM
LACTIPHYT
Information nutritionnelle
Pour 1 comprimé “Nuit” %VNR*
Thé vert 200,00 mg -dont polyphénols 100 mg -dont catéchines 40 mg -dont EGCG** 14 mg -Cannelle 100 mg -Vitamine B6 1,72 mg 122,86%Chrome 0,01 mg 25%
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Information nutritionnelle Pour 2 comprimés %VNR*
Griffonia 404 mg - dont 5-HTP 400 mg -
Magnésium 112,50 mg 30%
Vitamine B3 16 mg 100%
Bergamote 10 mg -Vitamine B6 1,40 mg 100%Curcuma 10 mg -
dont curcuminoïdes 1 mg -
Chrome 40 µg 100%
Information nutritionnelle Pour 2 gélules %VNR*
Levure de Riz rouge 500 mg - dont monacoline K 10 mg -Ail 75 mg - dont allicine 0,15 mgAcérola 10 mg 2,13% dont vitamine C 1,70 mg -Canne à sucre 20 mg - dont policosanols 19 mg -Coenzyme Q10 20 mg -
Information nutritionnelle Pour 2 capsules %VNR*
Oméga 3 700 mg - dont EPA 400 mg - dont DHA 200 mg - dont EPA + DHA 600 mg -
Vitamine E 5 mg 42% Romarin 0,50 mg -Vitamine D3 5 µg 100%
Information nutritionnelle Pour 4 gélules
Inuline 323,24 mg Fructose 35,80 mg Ferments lactiques : 20 milliards d’UFC* Bifidobacterium bifidum 4 milliards d’UFC* Lactobacillus rhamnosus 4 milliards d’UFC* Bifidobacterium breve 4 milliards d’UFC* Lactobacillus acidophilus 4 milliards d’UFC* Lactobacillus plantarum 4 milliards d’UFC*
Information nutritionnelle Pour 2 gélules %VNR*
Figue de Barbarie 200 mg -Piloselle 200 mg -Fucus 200 mg - dont Iode 140 µg 93,33%
CHOLESTÉRUM
OMÉGA PROTECT
*UFC : Unité Formant Colonies
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LETTRE D’INFORMATION Nº 138 | Mai 2019
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BIBLIOGRAPHIE
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