1/ Les combats
2/ La propagande
3/ Le rôle des femmes à l'arrièredans le domaine économique
4/ Les innovations des armes
6/ Les progrès médicaux pendant la Première guerre mondiale
7/ La Bataille de Verdun
8/ Les symboles de cette guerre : Les monuments aux morts
9/ Les "Gueules Cassées"
10/ Les marraines de guerre
11/ Otto Dix Le dénonciateur de la guerre
12 /Les innovations dans le domaine des télécommunications
13/ Sources
Les combats
En 1914, une guerre se livre entre la Triple Entente (la France, l’empire Russe, le Royaume-Uni) et
la Triple Alliance (l’empire Allemand, l’empire d’Autriche-Hongrie et l’empire Ottoman) jusqu’en
1918. Ce fut une « guerre totale ».
Dans cette guerre, nous pouvons distinguer trois phases :
_ La guerre de mouvement ( Août 1914- Octobre
1914) : les Allemands veulent attaquer les
Français, pour cela ils passent par la Belgique et
le Luxembourg. Ils sont ensuite stoppés lors de la
bataille de la Marne. Les deux camps font la
course à la mer sans arriver à leurs fins.
_ La guerre de position ( fin 1914- début 1918) : La Triple Alliance et la Triple Entente défendent
leurs positions et s’entèrent dans des tranchées. Les camps vont faire plusieurs attaques pour
gagner quelques mètres, en général sans grand succès.
_ La reprise de la guerre de mouvement (début 1918- 11
novembre 1918) : Cette reprise est due au retrait des Russes
et à l’entrée en guerre des Américains.
Lors de cette guerre, plusieurs batailles se sont produites :
_ La bataille de la Marne (5 septembre-12 septembre 1914) : Lors de cette bataille, divisée en
plusieurs batailles plus restreintes (bataille de Revigny, …), les troupes franco-britanniques arrêtent
les Allemands, mettant ainsi fin au plan Schlieffen qui prévoyait l'invasion rapide de la France en
passant par la Belgique, pour éviter les fortifications françaises de l’Est. Après avoir repoussé les
Français vers l’ouest, les allemands se seraient dirigés vers le front Russe. La retraite allemande se
termine sur la rive droite de l’Aisne dès le 14 septembre.
_ La bataille de Verdun dit la guerre d’usure (février-décembre 1916)
Charge de l’Infanterie française lors de la guerre de mouvement
Soldats dans les tranchées lors de la guerre de position
_ La bataille du Chemin des Dames ou la deuxième bataille de l’Aisne (16 avril- fin mai 1917) : Cette
bataille, située sur un plateau calcaire du Chemin des Dames dans l’Aisne, est due a l’offensive
française commandée par le générale Nivelle dans le but de rompre le front Allemand.
_ La deuxième bataille de la Marne ( mars-juin 1918) : Cette bataille est une série d’assauts
Allemands et de contre offensives Françaises dans le Nord de la France.
Image réalisée par
Sylvain & Nolwen
carte des batailles
explication de la course à la mer
La propagande
La propagande française
Durant la Première Guerre Mondiale, on fait croire grâce à des affiches ou cartes postales que
l'armée française est bien meilleure que l'armée allemande, que cette guerre n’est meurtrière que
pour l’ennemi et que celui-ci est capable de toutes les horreurs. Une affiche est composée d’un
slogan (un message) et d’un visuel (image qui renforce et illustre le slogan).
La propagande est tellement utilisée qu’elle conduit au « bourrage de crâne ». Elle oriente les
opinions et porte atteinte à la liberté de penser. Son but est de récolter de l’argent pour financer la
guerre, recruter de nouveaux soldats et dénoncer l’ennemi en le faisant passer pour un monstre.
Un autre objectif de la propagande est d’obliger les pays encore neutres d'une manière ou d'une
autre à rallier un des camps et s'engager dans la lutte.
Elle diffuse des mensonges pour rassurer les familles et l’Etat censure de nombreuses lettres de
soldats qui décrivent à leurs familles l’horreur des combats. Les « bienfaits » de la guerre sont
vantés pour faire croire aux familles que la guerre n’est pas si mauvaise et qu’il faut à tout prix
poursuivre les efforts et détruire les ennemis.
En France, la plupart des illustrateurs venaient de la presse. Plusieurs journaux comme le Canard
Enchainé (journal satirique) naissent lors de cette
guerre et participent à la propagande.
Cettte affiche a été réalisée par Abel Faivre
en 1915. Publiée par l’imprimerie Devambez à Paris
et tirée à plus de 200 000 exemplaires, l’affiche
française « On les aura » est la plus connue des
affiches. A travers elle, le gouvernement demande à
la population de soutenir financièrement la guerre.
« On les aura ! » est écrit manuellement, ce qui
donne l’illusion que ce sont les paroles du soldat
français. C’est une phrase exclamative chargée de
détermination et d’espérance.
« Souscrivez » doit être compris comme une prière
du soldat à ses proches
La propagande à l’école
On retrouve également la propagande dans les écoles pour préparer
l’esprit et le corps des jeunes générations à la guerre. On diffuse des
idées aux enfants par le biais de puzzles, de figurines, de
déguisements, de jeux, d’images, de lectures en rapport avec la
guerre. On remarque alors que la production de livres de jeux pour
enfants ayant pour sujet la guerre se développe fortement.Dans toutes
les écoles de garçons, les thèmes patriotiques et guerriers
envahissent l’enseignement et un entraînement militaire est pratiqué;
les filles, elles, sont destinées à soigner leur famille envoyée sur le
Front.
La propagande allemande
Les affiches de propagande allemande utilisent toutes les mêmes critères : l’esprit du sacrifice, pas de solidarité, pas de pitié envers l’ennemi, des serpents, des couleurs sombres…Elles utilisent également les symboles de l’Allemagne comme des aigles.
« Die Grosse Schlacht in Frankreich » (Une grosse guerre en
France) a été dessinée par Hans Rudi Erdt.
Elle montre des allemands bien équipés et forts. On peut penser
que le canon pointe la France.
Cette affiche permet de faire comprendre aux allemands qu’ils vont
gagner la guerre et que la France est perdue d’avance.
Les Allemands répondent aux accusations de barbaries avec des affiches de contre-propagande. Ils s’illustrent dans des situations d’aide et d’humanisme.
Le rôle des femmes à l'arrière
dans le domaine économique durant la Première Guerre Mondiale .
Pour assurer le ravitaillement du front en nourriture, en armes, on mobilise toute la main d'œuvre disponible. Les femmes, les mères, les filles et les personnes âgées sont contraintes de travailler pour remplacer les hommes partis à la guerre Elles sont obligées de travailler pour relancer l'économie, survivre et aider leurs proches au front.
Ces femmes font des travaux très durs et très physiques, comme s'occuper des champs. Elles
les labourent elles-mêmes et rentrent les récoltes.
Mais elles travaillent aussi dans des usines
d'armement ou dans des bureaux. Dans les aciéries,
les femmes tournent les obus, ce qui était une tâche
particulièrement difficile. Elles sont appelées les
munitionnettes et gagnent deux fois moins que les
hommes. Elles se mettent parfois en grève pour
obtenir l'égalité des salaires mais leurs efforts sont
cruciaux comme nous le prouve la citation de
Maréchal Joffre:
"Si les femmes qui travaillent dans les usines s’arrêtaient vingt minutes, les alliés perdraient la
guerre."
« Appel aux Femmes Françaises » lancé René Viviani le 7 août 1914
afin de mobiliser les femmes des campagnes pour assurer les moissons
et les vendanges.
En tant que vérificatrices, calibreuses, forgeronnes,
pontonnières, elles prouvent qu'elles peuvent remplacer les
hommes. Elles montrent leur résistance en portant des obus
atteignant sept kilos des centaines de fois par jour et en
redoublant d’efforts pour ravitailler les soldats au front.
Parfois majoritaires dans les usines car elles gagnent moins
à cause de la crise due à la guerre, elles se mettent alors à
revendiquer des droits pour plus tard devenir l'égal des
hommes, ce qui marchera, car peu après les hommes les
considèreront davantage.
Ces femmes ouvrières sont les mères du féminisme
Image réalisée par Hugo Barroux et Etienne Renollet
Les innovations des armes
durant la première guerre mondiale
Les armes légères
Les Allemands et les Français ont dû mettre au point de
nouvelles armes pour pouvoir surpasser leurs adversaires.
Le changement de types de guerres a obligé les soldats à
innover pour augmenter leurs puissances.
Pour répondre aux nouveaux
types de guerre, les soldats ont
des armes spécifiques à la
guerre de mouvement et d’autre
à la guerre de position.
Pendant la guerre de
mouvement, les soldats
français vont développer des fusils Lebel équipés de baïonnettes, pour
le corps à corps. Comme arme de poing, ils ont des revolvers Mle 1892.
Quant aux soldats allemands, ils
utilisent des fusils nommés Gewher 98
et des armes de poing nommées le
Mauser C96 qu’ils utilisent durant toute
la guerre. Ils ont des grenades qu’ils
fabriquent eux-mêmes.
Pendant la guerre de position, les
soldats français utilisent toujours les mêmes armes et Ils fabriquent toujours leurs propres grenades.
Les premiers fusils mitrailleurs automatiques et des mortiers apparaissent. On les remplit de poudre
et de clous. Les soldats Allemands utilisent les mitraillettes automatiques et des grenades
industrielles avec un manche (appelées «presse-purée»).
Soldat avec fusil
Lebel
Fusil lebel
L’artillerie lourde Dans l’artillerie lourde il y a les canons dont la Grosse Bertha et le Canon de Paris, le but de ces armes lourdes est de faire des blessés sur le front et de démoraliser les ennemis. Ces armes se
situent en retrait du front. Dans l’artillerie lourde il y a notamment le lance-flamme inventé par l'Allemand Richard Fiedler en 1901. Il est plutôt utilisé au corps à corps et très peu utilisé lors de la première guerre mondiale. Son but est de vider les tranchées ennemies tout en les brûlant.
Les gaz
La première guerre mondiale est la première guerre chimique, c’est la première fois qu’on utilise
les gaz. Ils n’ont pas été efficaces car ils pouvaient forcer à sortir les soldats de leurs tranchées mais
l’effet du gaz ne durait pas longtemps donc les soldats pouvaient rapidement reprendre les
tranchées.
Les véhicules aériens et terrestres
Quand aux avions, ils ont deux utilités : la reconnaissance aérienne servant à espionner l'ennemi
pour savoir leur position (les G.4 et les Caudrons R.11) et ceux de combats servant à détruire les
avions de reconnaissance (les Hanriot 3).
Les chars d’assaut et autres véhicules blindés appartiennent aux
grandes innovations de la Première Guerre Mondiale. Déterminant,
pour les attaques, rapides ils sont plutôt utilisés à la fin de la guerre. Ils
ont un rôle important dans la victoire des français car ils ont permis de
repousser les allemands jusqu'à ce qu’ils signent l’armistice.
Grosse
Bertha
Avion Hanriot
Les innovations dans les transports
L’aviation
L'Halberstadt CL.II est un biplace monomoteur léger destiné à
l'exécution de missions d'escorte et d'attaque au sol. Introduit
en août 1917, c'est dans cette deuxième fonction qu'il fera
valoir principalement son efficacité.
L’Automobile
Durant la Première Guerre mondiale, en France, l’automobile joue un rôle
important. Les soldats qui avaient l’habitude d’utiliser le cheval ou de
marcher à pieds, profitent désormais des automobiles pour se déplacer
rapidement, mais également à transporter facilement les munitions, et les
vivres. Les blessés de guerre peuvent aussi être plus facilement évacués
de la zone de combat et être transportés plus rapidement vers les hôpitaux
voisins. Marie Curie inventa durant la guerre les «petites curies»,
qui sont des voitures sur lesquelles sont installées des postes de
radiologies ; ce qui permet d’établir un diagnostic pour permettre
aux blessés d’être opérés plus rapidement et efficacement.
Une petite curie
Marie CURIE
Halberstadt CL.II
Image réalisée par
Bastien, Léo et
Manoah
Les progrès médicaux pendant la Première Guerre mondiale
Pendant la guerre, la médecine et les médecins ont fait de gros progrès car les besoins se sont fait ressentir. Le corps médical fut dans l’obligation de changer ses méthodes à cause de la guerre. La transfusion sanguine
La transfusion sanguine fut une des nouvelles techniques les plus importantes. C’était le début de celle-ci, elle servait à remplacer le sang perdu des blessés pour qu’ils n’entrent pas en état de choc. Même si la transfusion se soldait parfois par un échec, elle constitua une évolution importante de la chirurgie de combat. Chirurgien effectuant une transfusion sanguine
-Progrès des traitements Les médecins ont découvert plusieurs nouvelles méthodes comme l’extraction du métal à l’aide d’un aimant, le nettoyage des plaies et le traitement contre les effets de gaz toxiques. Près de 90% des soldats blessés qui reçurent des traitements médicaux survécurent. Les médecins rapportèrent avec eux ces progrès chirurgicaux et se servirent de ces nouvelles connaissances pour traiter des patients civils. -Les petites curies
Au début de la Première guerre mondiale, Marie Curie s’est beaucoup impliquée pour que la radiologie s'installe au front. Elle participe à la conception d'unités mobiles et met au point une vingtaine d'ambulances radiologiques surnommées les « petites Curies ». La radiologie permet de voir où sont les fragments d’obus ou les balles dans le corps très précisément et donc de sauver la vie à de nombreux soldats. Marie Curie au volant d’une
ambulance radiologique -La chirurgie
Lors de la Première Guerre mondiale, la chirurgie a beaucoup évolué. La tête était la partie du corps la plus vulnérable dans les tranchées. Il y a eu donc beaucoup de blessures qui défiguraient totalement les soldats. Les chirurgiens ont donc fait tout leur possible pour réparer, soigner les blessés.
Une gueule cassée (avant/après l’intrervention) Les médecins utilisaient beaucoup la greffe. Il y avait différentes sortes de greffes.Tout d’abord, il y avait la greffe ostéopériostique lorsque le blessé avait besoin d’une greffe d’os. Les médecins utilisaient également la greffe italienne. Cette méthode consisitait à prendre un morceau de peau sur le bras et de l’appliquer sur la surface blessée. Ensuite le patient levait le bras sur la tête pour unee bonne vascularisation de ce dernier.Ensuite, à la fin de la guerre, les médecins utilisaient le cuir chevelu pour combler les trous de chair, il le greffait beaucoup au menton.
La Bataille de Verdun
La bataille de Verdun a eu lieu pendant la
Première guerre mondiale (1914-1918).
Elle a débuté le 21 février 1916. Les
allemands ont choisi Verdun car c’est une
place forte emmenant directement les
troupes allemandes sur la route de la
Champagne et du bassin parisien. Le but
des Allemands est de faire sauter l’un des
verrous les plus efficaces de la défense
française. La bataille de Verdun se finit le
19 décembre 1916.
Déroulement de la bataille
Le lundi 21 février un obus de 380 explose
dans la cour du palais épiscopal de Verdun.
1300 obusiers ravagent la zone.
L’infanterie allemande monte à l’assaut des
lignes françaises. Les poilus français
résistent à la première attaque. Philippe
Pétain, commandant de la 2eme armée,
organise la riposte. Mais les attaques se
renouvèlent pendant plusieurs mois. Il
renouvelle souvent les troupes.
La citadelle
La citadelle de Verdun
était conçue pour pouvoir
abriter 2000 hommes et
les faire vivre. Elle avait
des galeries de 4km de
longueur. Elle était
composée de
boulangerie, de magasins
à poudre et de munition.
Les soldats dans les tranchées
Carte de la bataille de Verdun
Citadelle souterraine de Verdun
La voie sacrée
Du 21 au 26 février, les Français ont dû
céder plusieurs kilomètres de terrain et
évacuer la plaine de la Woëvre. Leurs
pertes ont été de 25 000 hommes. Le
général Pétain s’occupe notamment
d’assurer la circulation sur la route de
Bar-le-Duc à Verdun, qui relie le front à
l’arrière : cette route départementale
prendra le nom de VOIE SACRÉE. C’est
par elle que les hommes et le matériel
sont acheminés. Pour la rendre toujours
praticable, des milliers de cantonniers
sont affectés à la réparation quotidienne
de la chaussée, où se succèdent chaque
jour 3500 camions dans les deux sens.
Bilan de la bataille
Ne parvenant pas à faire tomber la
ville de Verdun, les Allemands
décident d’organiser une simple
défense de leurs positions. L’armée
française, commandée par le général
Nivelle en remplacement de Pétain,
parvient à reconquérir des sites
emblématiques comme le fort de
Douaumont et le fort de Vaux. La
ligne de front devient à nouveau
stable. Durant 302 jours de carnage,
il y a eu 163 000 morts du côté
français contre 143 000 du côté
allemand. Toute l’armée française
connaît « l’enfer de Verdun ». Le
paysage après la guerre est à jamais
changé est bosselé
Carte de la Voie Sacrée
Un champ de bataille de Verdun pendant la guerre
1914-1918 qui conserve les impacts d'obus
Les symboles de cette guerre :
Les monuments aux morts
La Première Guerre Mondiale, une guerre meurtrière
La Première Guerre Mondiale a fait de nombreuses victimes. On dénombre 12 millions de morts dont 1,8 millions en Allemagne, 1,7 millions en Russie, 1,4 millions en France et dans ses colonies et 1,2 millions en Autriche-Hongrie. La Grande Guerre a aussi fait 21,8 millions de blessés militaires.
Les monuments aux morts
Suite à cette guerre, il s’établit un culte des morts : le 11 novembre devient un jour férié et un moment de recueillement leurs est consacré.
Pour honorer ses héros, la France crée de nombreux monuments aux morts, désormais, chaque village et chaque ville possède son monument aux morts. Ces monuments ont donc un rôle important, ils sont chargés de ranimer le souvenir des morts et des disparus dans la mémoire de ce qui ont survécu. Ils ont aussi un côté patriotique car ces soldats sont morts pour la patrie. Les monuments aux morts rendent ainsi hommage aux soldats mais sont aussi des lieux de recueillement pour les familles.
Les cénotaphes et les mémoriaux
Il existe deux types de monuments aux morts. Les cénotaphes sont des monuments mortuaires n’abritant aucun corps et sont généralement dans le centre d'une ville ou d’un village. Les mémoriaux sont des monuments nationaux élevés sur les champs de bataille abritant les tombes de soldats.
Pour accomplir ce devoir, de nombreuses inscriptions sont présentes sur les cénotaphes, généralement, on retrouve l’expression « A nos héros » suivie de la liste de ceux qui ne sont pas ressortis vivants de la guerre. Ces listes sont généralement dorées et en relief. Les grades ne sont pas inscrits pour un souci d’équité.
Cénotaphe du jardin du poilu, Libourne, France. On peut lire l'expression « A nos morts glorieux » sur le devant ainsi que la liste des morts sur le côté en doré.
Parmi les monuments aux morts, on trouve aussi des nécropoles comme celles de Verdun et la Marne. Ce sont des champs de batailles où se trouvent les tombes aussi appelées mémoriaux, de ceux qui sont tombés au combat.
Nécropole ou mémorial de Verdun situé au Nord-est de la France. Ce sont les tombes des soldats qui sont tombés à Verdun.
Le culte du soldat inconnu Enfin, le culte du soldat inconnu rend hommage à tous les soldats morts pour la patrie. Le 11 novembre 1920, un cercueil d'un soldat inconnu est déposé sous l'Arc de triomphe. Quelques semaines plus tard, il est inhumé solennellement après avoir été décoré. Cet anonyme symbolise tous les morts français de la Grande Guerre. Son cercueil est recouvert d'une plaque de bronze sur laquelle une flamme brûle perpétuellement. Chaque soir, des associations d'anciens combattants raniment la flamme. Une initiative semblable a été prise dans plusieurs autres pays belligérants.
A gauche, la tombe du soldat inconnu sous l'arc de triomphe situé à Paris. Sur la tombe, on peut lire les inscriptions : « Ici repose un soldat français mort pour la Patrie_1914-1918 ». A droite, la tombe du Soldat inconnu britannique dans lequel repose un soldat non identifié tué en France. Il fut enterré à l'abbaye de Westminster de Londres le 11 novembre 1920.
Les "Gueules Cassées"
Que signifie le terme "Gueules Cassées"?
Durant la première guerre mondiale (1914-1918), lors de la guerre de position
ou de tranchées, de nombreux hommes furent blessés. Parmi eux, des
hommes furent si défigurés au visage qu’on leur donna le nom de « Gueules
cassées ».
Comment ont-ils pu être soignés?
L'emploi de tirs d'artillerie, de bombes, de
grenades, et le phénomène des tranchées a
multiplié le nombre des blessés de la face et a
augmenté la gravité de ces blessures. Durant
cette guerre, les obus n’étaient pas assez
performants pour tuer directement ils déchiraient
les chairs lorsqu’ils arrivaient dans les tranchées.
Leur visage était la partie du corps la plus exposée
aux blessures.
Au début du conflit, les services de santé de l'armée ont été débordés par ces blessés et les ont laissés mourir par milliers. Puis la médecine a beaucoup évolué. Elle n’avait encore jamais eu de cas défigurés, mutilés par une telle violence. Ce fut au départ les premières expériences de la chirurgie maxillo-faciale. Les progrès des désinfectants et des débuts de la chirurgie réparatrice ont permis de sauver beaucoup de blessés qui n’avaient aucune chance de s’en sortir. Afin de les aider, les femmes de la bourgeoisie soignaient, lavaient et consolaient les soldats, ce qui leur valut d’être surnommées "les anges blancs".
Quels sont les conséquences psychologiques sur "les Gueules Cassées" et leur
entourage?
Ils vivaient un « cauchemar »: ils avaient honte de
se montrer. Les regards, y compris parfois, ceux de
leur famille, se détournaient sur leur passage. Ils
n’avaient également pas également de travail car
rien n’avait été prévu pour eux après la guerre.
Le 21 juin 1921, une quarantaine de soldats blessés au visage créent « l’Union des Blessés de la Face » qu’ils surnomment les « Gueules
Une gueule cassée avant, pendant et après la chirurgie
Hôpital militaire français pendant la Première Guerre
mondiale
Cassées ». Le Colonel Yves Picot devient le président de cette association. Leur devise est « Sourire quand même » et leur arme, la Solidarité, beaucoup de personnes ont ainsi pu les aider moralement et administrativement. Cette solidarité leur a permis une vie digne des sacrifices qu'ils ont faits au nom de la France. La souffrance de ses hommes était donc physique mais aussi psychologique. Privés de certaines
parties de leur visage, ils avaient du mal à exprimer leurs émotions et étaient perçus par certaines
personnes comme des hommes pas tout à fait humains donc des monstres.
Une gueule cassée
Voici un extrait de la chambre des officiers: « Il me voit le premier, détourne son regard pour s’approcher des autres blessés dont il scrute le visage, s’immobilise, se retourne à nouveau vers moi. Alors que je lis l’horreur dans son regard et que je le crois près de repartir en espérant s’être trompé de salle, je lui fais un petit signe de la main. Pendant qu’il s’approche à petits pas gênés, je saisis maladroitement mon ardoise d’écolier et la craie, et j’écris en grosses lettres « C’est moi mon vieux ». Il s’assied au bord du lit, me prend la main et se met à pleurer, submergé par un flot de larmes contre lequel la pudeur de notre vieille camaraderie ne peut rien. »
Marc DUGAIN, La chambre des officiers, Presse pocket
Les gueules cassés à la signature du Traité de Versailles Lors de la signature du traité de Versailles, Clémenceau a voulu associé des mutilés de la face à la cérémonie. Ils étaient donc cinq à y assister. Il a voulu que les ennemis se rendent compte des dégâts qu’ils avaient causés. .
Les « Gueules Cassées » sont donc le symbole de
conflits violents et sanglants.
La délégation des gueules cassés au traité de Versailles le 28 juin 1919
Les marraines de guerre
Définition et rôle
Pendant la Première Guerre Mondiale (1914-1918), les marraines de
guerre étaient des femmes ou des jeunes filles qui correspondaient avec
des soldats et leur envoyaient des colis. L’Etat avait encouragé cette
initiative en raison du prolongement du conflit. Cette démarche visait à
soutenir sur le front le moral des soldats car ils étaient démoralisés et
fatigués. Les marraines les ont aidés à surmonter les combats en leur
donnant l’espoir de rester en vie et de pouvoir les rencontrer ensuite. Elles
envoyaient des lettres et des colis remplis de nourriture et parfois de
vêtements comme des gants ou des couvertures. Elles rendaient aussi
visite aux poilus blessés dans les hôpitaux.
L’origine de leur création
Des femmes de la haute société ayant perdu des proches au front ont alors fondée « les marraines de
guerre », un système d’échange épistolaire. Par la suite, elles fondent l’association « La famille du soldat »
en janvier 1915, suivie de l’association « Mon soldat » soutenue par le Ministre de la guerre Alexandre
Millerand. De nombreux journaux, comme « le Figaro», encouragent ces idées et servent
d’intermédiaires entre les femmes désireuses de devenir marraines et les soldats.
De plus en plus de soldats veulent une
marraine pour échapper à la solitude, ce qui
prouve l’importance qu’ont prises les
marraines de guerre. Deux décrets de 1914
établirent donc la gratuité du service postal
aux militaires mobilisés, c’est ce qui a permis
l’essor des marraines.
Le contenu des lettres et des colis
Chaque marraine envoie à son poilu des
lettres qui ont pour but de les distraire en
leur racontant leur quotidien et leur vie professionnelle. Elles les
poussent à la bravoure et leur communiquent l’admiration du peuple envers eux. Certaines
femmes, déjà fiancées, précisaient dans leurs lettres qu’elles ne voulaient rien de plus qu’une
amitié.
Elles pouvaient parfois leur envoyer des colis qui répondaient à des besoins matériels : du tabac
et des vêtements. Ils leur arrivaient de recevoir de la nourriture : du pain, du saucisson et du
fromage. Les soldats leur demandaient des nouvelles de leur famille et donner de leurs nouvelles
en espérant que leur marraines les transmettent : c’est la correspondance triangulaire.
Avec le temps, les marraines les appelaient avec des petits noms amicaux tels que « mon frère
de guerre » ou « mon petit poilu » et eux signaient par « votre fils de guerre ».
L’après-guerre
Suite à certaines correspondances, des relations amoureuses pouvaient naître ainsi que de belles
amitiés. Les marraines continuaient souvent à voir leurs correspondants après la guerre. Ils
pouvaient se rendre visite dans leur ville ou village respectifs
1Exemple de brevet de marraine
Otto Dix
Le dénonciateur de la guerre
Il est né en 1891 à Untermhaus en Allemagne dans une famille d’artiste. Il s’engage avec
enthousiasme du côté de l’Allemagne au poste de mitrailleur pendant la Première Guerre
Mondiale. Il a combattu sur le front ouest et en Russie. Il participe aussi à la bataille de la Somme
(de juillet à novembre 1916) à la suite de laquelle il a reçu la Croix de fer (récompense attribuée
aux soldats allemands pour leur mérite pendant la guerre).
Autoportrait d’Otto Dix peint en 1913
Pendant les combats, il fait des croquis de ce qu’il voit. Puis après la bataille, terrifié par les
horreurs de la guerre, il se met à les peindre en adoptant l’expressionnisme et la technique du
collage comme style artistique. Il peint les gueules cassées dans les joueurs de Skat et les
champs de bataille pour en donner une vraie vision qui s’oppose à la vision glorieuse de la
République de Weimar. Ses œuvres sont donc ciblées sur les thèmes de la mort, la vieillesse et la
violence.
Pour dénoncer les horreurs de la guerre il représente des personnages grotesques et effrayants.
C’est une manière pour l’artiste de dénoncer l’atrocité et l’inutilité des conflits armés
A l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933, son œuvre est qualifiée d’art dégénéré, interdit au musée et
parfois même détruit.
La guerre d’Otto Dix peint en 1932
Faux bras
métallique
Sourd et
aveugle
Il se sert de
son pied pour
tenir les
cartes car il a
le bras
amputé.
Croix de fer : signe
qui montre qu’il a
combattu aux côtés
de l’armée allemande.
C’est un cul-de-
jatte (jambes
amputées).
Ce porte-manteau
vide symbolise la vie
qui a déserté.
On peut
apercevoir une
tête de mort. Cela
signifie que la
mort les guette à
chaque instant.
Les Joueurs de Skat (1920, musée Neue Nationalgalerie à Berlin)
Jambes de
bois
Nez éclaté par un
obus et protégé
par un cache-nez.
Prothèse
authentique de la
marque « Dix »
qui remplace la
mâchoire.
Appareil
auditif de
l’époque
Ce joueur a perdu ses
mains, il tient donc ses
cartes entre ses dents.
Sur son crâne scalpé, on
peut apercevoir le corps d’un
homme et celui d’une femme
nu en train de danser. Ce qui
signifie qu’en plus d’avoir
perdu des membres il a aussi
perdu sa famille.
Les innovations
dans le domaine des télécommunications
La communication, essentielle pour la guerre
Communiquer avec le front et fournir aux troupes le matériel et les vivres nécessaires est essentiel
pour toutes les armées. Elles doivent mettre au point un système de logistique performant pour le
transport des denrées et des munitions.
Sur le front ouest, c’était particulièrement difficile en raison de son étendue et du grand nombre de
soldats engagés. Le transport se faisait surtout avec des voitures, mais la mécanisation progressait.
On utilisait autant que possible le chemin de fer pour transporter les hommes et les vivres vers le
front. Le téléphone et les liaisons radio assuraient un contact permanent avec les quartiers généraux
et les unités.
Au front, les appareils sont protégés dans des tranchées-abris et les câbles sécurisés de par leur
intégration au réseau des tranchées lui-même. Lorsque le système fonctionne correctement, il est
possible de communiquer immédiatement et correctement avec le quartier général et les services
arrières, telle que l’artillerie et la logistique. Les téléphones sont particulièrement utiles à l’artillerie
Le téléphone de campagne :
Le téléphone était le principal moyen de communication, entre le front et les quartiers généraux. Il
transmettait la voix et les messages codés en morse.
Les missiles messagers :
Les lignes de téléphone étaient souvent coupées par les tirs. Les messages étaient alors portés par
des obus désamorcés. Une torche s’allumait pour signaler l’arrivée de l’obus. Grenades et fusées
de signalisation étaient aussi fréquemment utilisées pour transmettre des messages convenus
d’avance.
Les pigeons messagers :
En l’absence de téléphone, les pigeons voyageurs portaient des
messages. Mais, perturbés par le bruit et la confusion qui régnaient
au front, les oiseaux partaient souvent dans la mauvaise direction. Les
Allemands employaient aussi « des chiens de guerre » et leur
attachaient des messages au collier.
La télégraphie sans fil :
En 1914, le téléphone et télégraphe existent déjà, mais ont besoin
d’un fil pour fonctionner. Ils le feront en développant la télégraphie
sans fil (TSF). La TSF est l’ancêtre de la radio.
Pigeon équipé d'un appareil photo
Sources
Ce dossier documentaire a été réalisé en Novembre 2015 par la classe de 3ème3 du collège
Saint – Joseph à Libourne sous la conduite de Me Bréelle, professeur de Français, de Me
Faccin, professeur d’Histoire-Géographie, de M. Barillon, professeur d’Arts Plastiques de M.
Loquin, professeur-documentaliste. Les travaux de recherche et de mise en page ont été
réalisés au CDI. Par la suite les élèves sont allés aux Archives Départementales pour
travailler sur les femmes en Gironde au temps de la Grande Guerre et ont suivi une
conférence sur la bataille de Verdun par M. Arsène Lux, ancien maire de la ville de Verdun.
1.Les combats par Miossec Nolwenn & Rouby Sylvain
Sources texte
_ http://slideplayer.fr/slide/1476932/ _ http://erra.perso.neuf.fr/ranguin/Fiche-14-18.htm _ Prost, Antoine. La Grande Guerre expliquée en images. [Livre]. Seuil, 2013. 1 vol. (161 p.) : illustrations en noir et en couleur ; 29 x 25 cm. - Cours de Madame Faccin, chapitre 2, 3eme Source images _ https://en.wikipedia.org/wiki/First_Battle_of_the_Marne#/media/File:Infanterie-fran%C3%A7aise-rol.jpg
_ https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Periscope_rifle_Gallipoli_1915.jpg
2 . La Propagande par Despagne jeanne, Rancinangue Clelia
Bourrage de crâne. Science & vie junior. Hors série N°054 [Périodique]
- Des nouvelles de la guerre. Journal des enfants 1418 Supp [Périodique]
- http://tpe-liberty-censure-propagande.e-monsite.com/pages/pendant-la-1ere-guerre-mondiale/la-propagande-durant-la-
premiere-guerre-mondiale-1914-a-1918.html
- http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?i=103
- http://laviedesfrancaispendant1418.e-monsite.com/pages/la-vie-a-l-arriere-et-l-engagement-des-femmes.html#
- Pastor, Annie. Images de propagande 1914-1918 ou L'art de vendre la guerre. [Livre]. Hugo Desinge, 2013. 1 vol. (157 p.) :
illustrations en noir et en couleur ; 29 x 22 cm. 940.3 PAS*
- Humor im Krieg, Witzpostkarten von Artur Emil Bormann - See more at: http://europeana1914-
1918.eu/fr/contributions/1517#prettyPhoto in http://www.europeana19141918.eu/
- http://www.bildpostkarten.uni-osnabrueck.de/displayimage.php?album=search&cat=0&pos=0
- Hans Rudi Erdt/Library of congress in
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Die_grosse_Schlacht_in_Frankreich_LCCN2004665857.jpg
- Photo On les aura
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:On_les_aura%5E_2e_Emprunt_de_la_Dfense_Nationale._Souscrivez._We_will_b
eat_them%5E_2d_National_Defense_Loan._Subscribe._Colo_-_NARA_-_516341.jpg
3.Le rôle des femmes à l'arrière dans le domaine économique par Ayguesparsse Cleo, Le Bihan Anabelle, & Vergne Ines Sources : AU TEMPS DE Bournier, Isabelle / Tardi. Des hommes dans la Grande Guerre. [Livre].
CASTERMAN, 2008. 64p.LA GRANDE GUERRE. [Livre]. Hachette, 1984. Photo 1 https://fr.wikipedia.org/wiki/Munitionnette#/media/File:Women_shell_workers_Royal_Arsenal_WWI_AWM_H08115.jpeg Photo 2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Munitionnette#/media/File:Appel_aux_Femmes_Fran%C3%A7aises.jpg
4.Les innovations des armes par Corre Audren, Daudier De Cassini Léo & Hauer Charles
Sources texte http://matu-easy.com/wp-content/uploads/2013/05/Les-Armes-durant-la-Premi%C3%A8re-Guerre-mondiale2.pdf http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/theme-lance-flamme.htm http://www.guerredesgaz.fr/Les%20gaz.htm
Sources images
Source 14 May 2006 Own work Author : Quickload sur https://commons.wikimedia.org/wiki/File:FSA-1917-detoured.jpg Image retouchée (Antonov14) sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Troupier#/media/File:798px-French_soldier_early_uniform_WWI(1).JPG File:Kar 98K - AM.033696.jpgHochgeladen von Thomas.WHochgeladen: 1. Februar 2012 sur https://de.wikipedia.org/wiki/Mauser_Modell_98#/media/File:Kar_98K_-_AM.033696.jpghttps://de.wikipedia.org/wiki/Mauser_Modell_98#/media/File:Kar_98K_-_AM.033696.jpg {PD-US} Deutsch: Dicke Bertha.English: Big Bertha howitzer in action.Date Source Originally uploaded on nl.wikipedia by Paul Hermans.sur https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dicke_Bertha.Big_Bertha.jpg
8 December 2011Source Own workAuthor Blackcat in https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Vigna_di_Valle_20110812_%E2%80%94_Macchi_Hanriot_HD.1.jpg
5/Les innovations dans les transports par Callegarin Matéo &
Vizerie Antoine sources des images :
Australian armed forces/ June 1918 Australian Copyright Council (ACC), ACC Information Sheet G023v17
(Duration of copyright) (August 2014) sur
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Captured_Halberstadt_CL.II_side_view_1918.jpg
Marie Curie sur https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Marie_Curie_c1920.jpg
Marie Curie - Mobile Military Hospital X-Ray-Unit/ Eve Curie: Madame Curie. S. 32 sur
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Marie_Curie_-_Mobile_X-Ray-Unit.jpg
6/ Les progrès médicaux pendant la Première Guerre mondiale
par Barroux Hugo & Renollet Etienne
Sources textes :
http://aufildesmotsetdelhistoire.unblog.fr/2012/10/22/solidarite-franco-belge-
la-transfusion-de-sang/ http://www.museedelaguerre.ca/premiereguerremondiale/histoire/la-vie-au-front/medecine/progres-
medicaux/
http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/10/29/26002-20141029ARTFIG00084-marie-
curie-la-radiologie-et-la-grande-guerre-1914.php
Sources images :
Photo2
https://en.wikipedia.org/wiki/Marie_Curie#/media/File:Marie_Curie_-_Mobile_X-Ray-Unit.jpg
Photo 3 : image MEDIC@ : medpont_gc_album_01x0026 /: Pont, Albéric
ouvrage : Album de photographies de Gueules Cassées I 1914-1920. http://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/image?medpont_gc_album_01x0026
photo5 http://www.biusante.parisdescartes.fr/1418/cadre2f.htm dans
Sophie DELAPORTE Les Gueules Cassées : les blessés à la face de la Grande Guerre. Préface de Stéphane
Audoin-Rouzeau Paris : Noêsis, 1996
7 la bataille de Verdun par Aguillon Paul, Alcaïde Paul &
Fontalirant Thomas
Winock, Michel. 1914-1918 raconté par Michel Winock. [Livre]. PERRIN, 1998. 161 p.: ill.; 28 cm.
Verney, Jean-Pierre / Segrétain, Franck. Les guerres mondiales : 1914-1918, Première Guerre,
1939-1945, Seconde Guerre. [Livre]. FLEURUS, 2014. 1 vol. (159 p.) : illustrations en noir et en
couleur, cartes ; 28 x 22 cm.
Office du tourisme Verdun.com
Citadelle souterraine de verdun.com
images vasse nicolas,antoine. Anonyme 14 - Tranchée Doberitz, probable ancienne tranchée Allemande
(France) - Photo de Plaque de verre positive stereo sur
https://www.flickr.com/photos/vasnic64/8551690334
« Battle of Verdun map » par Drawn by Gdr — Drawn by Gdr From en wiki. Sous licence CC BY-
SA 3.0 via Wikimedia Commons –
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Battle_of_Verdun_map.png#/media/File:Battle_of_Verdun_map.p
ng
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:15_Citadelle.jpg
Carte voie sacrée sur http://www.cc-meuse-voie-sacree.fr/public/?code=page207
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Battelfield_Verdun.JPG
8/ Les symboles de cette guerre : Les monuments aux morts par, Carde Bastien, Daudier De Cassini Léo & Dillon Kavanagh Manoah
Sources texte :
Sites Internet:
-http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/premiere-guerre-mondiale/monuments-aux- morts.shtml
-https://fr.wikipedia.org/wiki/Tombe_du_Soldat_inconnu_%28Royaume-Uni%29
Livres :
-Collectif, « La Première guerre mondiale, Conflits du XXème siècle », édition GAMMA-Trécarré, paru
en 1988.
-Jean-Pierre Verney, « La Première guerre mondiale », édition Fleurus, paru en 2006.
-Gary Sheffield, « La Première guerre mondiale en 100 objets : Ces objets qui ont écrit l’histoire de la
Grande Guerre », édition Elcy, paru en 2014.
-Isabelle Bournier et Tardi, « Des hommes dans la Grande Guerre », édition Tardi, paru en 2008.
Photo1et2 photos personelles
photo 3
Chmee2/ Douaumont ossuary - present time. France near Verdun. Summer 2005
https://en.wikipedia.org/wiki/World_War_I_casualties#/media/File:Douaumont_ossuary3.jpg
photo 4
adam from Sheffield, UK/ Arc de Triomphe - Tomb of the Unknown Soldier
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Tombe-du-soldat-inconnu-Paris_(8).jpg
photo5
Mike from England/ 9 November 2010, 14:00
https://en.wikipedia.org/wiki/David_Railton#/media/File:Tomb_of_the_Unknown_Warrior_-_Westminster_Abbey_-_London,_England_-_9_Nov._2010.jpg
9/ Les "Gueules Cassées" par Martin Charlotte, Sirac Mathilde, et
Messien Alexis Image1
Hôpital militaire français pendant la Première Guerre mondiale dans https://commons.wikimedia.org/wiki/File:H%C3%B4pital_1914-1918.jpg Numérisé le 27 janvier 2008SourceCarte postale/Author :Yelkrokoyade
Image2
Portrait de trois quarts à gauche préopératoire / Portrait de face postopératoire / Portrait de face à distance de l'intervention] / "28e
Bon de Chasseurs / Blessé le 18 Juin 1915 à Metzéral par balle / dans
http://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/image?medpont_gc_album_01x0088 <table border="0" width="150" cellspacing="0" cellpadding="2"><tr><td><a
href="http://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/image?medpont_gc_album_01x0088"><img alt=""
src="http://www.biusante.parisdescartes.fr/images/banque/pt/medpont_gc_album_01x0088.jpg"
border="0"></a></td></tr><tr><td><p align="center"><font face="Verdana" style="font-size: 10px">[Cas de traumatisme
maxillaire 83 / Portrait de trois quarts à gauche préopératoire / Portrait de fa [...]<br/>Collection - Licence
ouverte</font></td></tr></table>
Image 3
Réf. image MEDIC@ : med156766x306x016x0012
Le calvaire d'une gueule cassée. Décembre 1914. 3 mois après la blessure. Juin 1915. Mai 1916. Juillet 1917 - Appel en faveur du
"Foyer des gueules cassées", par Georges Gelly, chef de clinique à l'École dentaire de France, médaillé militaire, croix de guerre,
médaille d'honneur de l'Assistance publique, conseiller technique de l'Union des blessés de la face
20e siècle dans
http://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/image?med156766x306x016x0012 table border="0" width="150" cellspacing="0" cellpadding="2"><tr><td><a
href="http://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/image?med156766x306x016x0012"><img alt=""
src="http://www.biusante.parisdescartes.fr/images/banque/pt/med156766x306x016x0012.jpg"
border="0"></a></td></tr><tr><td><p align="center"><font face="Verdana" style="font-size: 10px">Le calvaire d'une gueule
cassée. Décembre 1914. 3 mois après la blessure. Juin 1915. Mai 1916. Juill [...]<br/>Collection BIU Santé - Licence
ouverte</font></td></tr></table>
Image 4
Congrès de la Paix, Versailles 28 juin 1919 : délégation des mutilés français
http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/images/index.php?mod=s&tout=gueules+cass%C3%A9es
10/Les marraines de guerre par Descos Melina, Mounet
Berenice & Ratouin Camille Sources de textes
# Consoler et encourager le soldat : les marraines de guerre /Marie Cappart IN
https://www.rtbf.be/14-18/thematiques/detail_consoler-et-encourager-le-soldat-les-
marraines-de-guerre?id=8262431
http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/08/22/26002-
20140822ARTFIG00065-des-marraines-de-guerre-pour-les-soldats-1915.php
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/les-marraines-de-guerre
Sources d’images
Image1
Brevet de marraine illustré par Victor Descaves 1916.Musée de la Grande Guerre du pays
de Meaux
11. Otto Dix par Duclaud Lea, De Marcillac Solene, Pruvost Léa France, Manuela. Otto Dix dénonce les horreurs de la guerre. Ca m'intéresse (N°402) [Périodique]. 01-08-
2014. p.46-47.
-L’art face à l’histoire. 50 évènements racontés par les artistes de Martin Nicolas et Rousseau Eloi par les
éditions Palette. Sources image
http://www.clg-desproges-chalus.ac-limoges.fr/spip.php?rubrique69
12 Les innovations le domaine des télécommunications par Perrot Alexiane & Malbec Anaïs La première guerre mondiale (J 940.3 ADA)
• Sheffield, Gary D.. La Première Guerre mondiale en 100 objets : ces objets qui ont écrit l'histoire de
la Grande Guerre. [Livre]. Elcy, 2014. 1 vol. (256 p.) : illustrations en noir et en couleur ; 24 x 20 cm 940.3
SHE
• Science & Vie Junior Hors-Série n° 107 août 2014
• LOPEZ, JEAN. 1562 jours de guerre. Science & vie junior. Dossier hors série, 10/2003, 054, p.20-37
Sources images :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pigeons_voyageurs_de_l%27arm%C3%A9e_fran%C3%A7aise_pendant_la_Pr
emi%C3%A8re_Guerre_mondiale#/media/File:Bundesarchiv_Bild_183-
R01996,_Brieftaube_mit_Fotokamera.jpg