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Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.3
Exposition
Rodin, la lumièrede l’Antique du 19 novembre 2013 au 16 février 2014
Organisée par
le musée départemental
Arles antique
et le musée Rodin, Paris
MuséE RoDin
Contact avec la presse Agence Observatoire
T. 01 43 54 87 71
Communiquéde pressep. 4
éditorialp. 5
parCoursde l’expositionp. 7
autourde l’exposition p. 14
listedes œuvres exposées p. 16
visuelsdisponiblespourla pressep. 22
Conception graphique Intégral Ruedi Baur Paris
Auguste Rodin, La Voix Intérieure. Musée des Beaux-arts, palais Longchamp, Marseille, ph. © J. Bernard
Auguste Rodin, Assemblage : torse feminin agenouillé dans une coupe. © musée Rodin, ph. C. Baraja
Auguste Rodin, Pallas au Parthénon. © musée Rodin, ph. C. Baraja
Contact presse ObservatoireSarah T. +33 (0)1 43 54 87 [email protected]
Musée Rodin 79, rue de Varenne75007 ParisT. +33 (0)1 44 18 61 10M° VarenneDu mardi au dimanche de 10h à 17h45Nocturne le mercrediJusqu’à 20h45
Billetterie et programmewww.musee-rodin.fr
édition du 27 septembre 2013
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.4
« L’antique est ma jeunesse » déclarait Rodin, signifiant par là même que sa passion pour l’antique était une grande source d’inspiration. Cette exposition propose un dialogue passionnant entre les antiques de sa propre collection, ceux venus de prêts extérieurs et les oeuvres du grand artiste.
L’exposition met en scène le lien unissant Rodin à l’antiquité gréco-romaine depuis ses années
de formation jusqu’à sa mort en 1917, dans le contexte de l’atelier de l’artiste. Le visiteur dé-
couvre une sélection de quarante cinq sculptures, dix-sept dessins et une peinture de Rodin,
mises en regard avec douze grands modèles antiques qu’il a admirés – la Vénus de Milo ou
le Diadumène, par exemple – et qui entrent en résonnance avec son œuvre. Le musée Rodin
sort pour la première fois de ses réserves quatre-vingt neuf oeuvres de sa collection d’antiques
grecs, étrusques et romains, vases et figurines en terre cuite, statues en bronze et en marbre, qui
ont été restaurées à cette occasion.
S’il commença par voir l’antique comme un objet de copie, Rodin, dès les années 1880, l’envi-
sagea à travers le filtre des œuvres de Michel-Ange, sans pour autant abandonner les modèles
du Torse du Belvédère ou de la Vénus accroupie. A partir des années 1890-1900, le sculpteur
s’appropria totalement la leçon de l’antique, en dépassant la question de l’influence, pour y
puiser « bonheur de vivre, quiétude, grâce, équilibre, raison » La trace de l’antique, celle de la
Vénus de Milo, en particulier, presque invisible, réapparaissait alors dans ses œuvres tardives,
comme la Méditation ou le Monument à Whistler, exemples de son travail sur la figure par-
tielle. Avec la figure de L’Homme qui marche, Rodin inscrivait sa modernité dans la tradition
des torses héroïques. Rodin retrouvait dans l’observation de la nature, désormais seule source
de son inspiration, ce « sentiment antique » qui transparaît dans ses portraits, comme Pallas au Parthénon.
À la même époque, le sculpteur accumula une gigantesque collection d’antiques, parmi lesquels
il puisa, parmi les vases grecs en particulier, un matériau d’assemblages pour ses sculptures.
Un diaporama présente au public, à travers un choix de photographies anciennes issues des
collections du musée, la collection d’antiques dans les lieux de l’artiste ainsi que les pages d’al-
bums de son musée imaginaire. L’exposition a bénéficié de prêts exceptionnels de la National
Gallery of Victoria de Melbourne, du Museum of Fine arts de Boston, du Walker Art Gallery de
Liverpool, du Victoria and Albert Museum de Londres, du musée d’art et d’histoire de Genève,
du musée des Beaux-arts de Marseille, du musée des Moulages de Montpellier, et, à Paris, de la
Bibliothèque Nationale de France, de l’École nationale supérieure des Beaux-arts, du musée du
Louvre et du musée du Petit Palais.
L’exposition a été réalisée à l’initiative de Pascale Picard, Conservateur du Patrimoine,
et en co-production avec le musée départemental de l’Arles antique, qui a présenté
l’exposition du 6 avril au 1er septembre 2013 dans le cadre de « Marseille-Provence 2013,
année capitale européenne de la culture ».
Commissaire de l’exposition à Arles Pascale Picard, Conservateur du Patrimoine
Commissaire de l’exposition à paris Bénédicte Garnier, Responsable scientifique
de la collection d’antiques de Rodin
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.5
Vie, jubilation et lumière sont peut-être les trois réalités les plus souvent associées
par Rodin à l’Antique dans les commentaires qu’il en fit, des témoignages rapportés
par Paul Gsell, Judith Cladel ou Camille Mauclair à ses propres écrits, publiés
ou non. Sa quête passionnée des volumes vivants passe par l’Antique comme l’image
photographique par le bain du révélateur pour la faire advenir à la pleine clarté.
Le sous-titre de l’exposition présentée à Arles et à Paris, loin d’être fantaisiste, exprime
certainement l’une des clés de l’esthétique rodinienne.
Qu’il les expose dans le plein soleil de la campagne meudonnaise ou du jardin
de l’hôtel Biron, qu’il leur bâtisse un musée baigné de larges verrières, qu’il les épie
à la lueur de la chandelle comme un explorateur à la recherche d’un mystère
aveuglant, Rodin place les Antiques au centre du regard, comme une mire sur laquelle
il s’agit de s’étalonner, et qui finir par agir sur lui comme dans une transfiguration
au sens mystique : l’Antique ne révèle pas parce qu’il est éclairé, mais rayonne d’une
lumière propre. Comme d’un corps vivant, il en émane lumières et ombres. La Grèce,
Rodin l’assimile à l’ivresse d’un ciel de printemps. Elle correspond mystérieusement
à une autre ivresse, celle du sculpteur qui « n’atteint à la grande expression
qu’en donnant toute son étude aux jeux harmoniques de la lumière et de l’ombre »
(Cathédrales, 1921, p. 5).
L’exposition explore donc la place de l’antique dans l’œuvre et la vie de Rodin sous
toutes ses facettes, sans se limiter à une seule réponse. En sortant de la stricte
notion d’influence, dès les années 1890, Rodin se retourna sur son œuvre passée
et présente en l’inscrivant dans un nouveau temps. Après celui de Michel-Ange, vint
celui le temps de l’Antique, jusqu’à confondre et assembler les objets de sa collection
à ses propres figures. La confrontation de ses sculptures et ses dessins aux grands
modèles de son musée imaginaire et aux antiques de sa collection plongent le visiteur,
d’emblée, dans le processus créatif du sculpteur.
La collaboration avec le musée archéologique d’Arles a enrichi une nouvelle page
des études rodiniennes et permis, grâce à la générosité des prêteurs publics et privés,
l’emprunt d’œuvres peu souvent vues à Paris, en particulier la Tête de Minerve,
conservée à la National Gallery of Victoria de Melbourne. Elle a également ouvert
un vaste chantier de recherche sur un aspect méconnu de la vie de Rodin, sa passion
de collectionneur, qui accompagna ce retour à l’antique. Le projet a permis de nouer
des partenariats scientifiques avec différentes institutions, auxquels nous disons
toute notre reconnaissance, comme l’Atelier de conservation et de restauration
du musée d’Arles, qui a procédé à l’étude et à la restauration de deux fragments
de mosaïques romaines appartenant au musée Rodin, et le musée d’Arles, qui a permis
la restauration d’une soixante d’œuvres de Rodin et de sa collection. Des éléments
de bronze ont été étudiés par le c2rmf. Enfin, l’ensemble des cent deux antiques –
marbres, vases et figurines en terre cuite – ont été étudiées par l’équipe des Antiquités
Grecques, Étrusques et Romaines du musée du Louvre, tandis que le musée
de l’Arles antique s’est chargé des bronzes et le cnrs (maison Camille Jullian, mmsh,
Aix en Provence) des mosaïques. Qu’il soient tous chaleureusement remerciés
de ce grand aggiornamento des connaissances scientifiques sur les collections
de Rodin.
Nous sommes heureux que le public le plus large puisse se laisser entraîner dans
un véritable parcours esthétique, permis par cette remise au plein jour de tout un pan
de la création rodinienne. Depuis Athènes, écrivait le sculpteur, les chefs-d’œuvre
grecs « se sont transformés à travers les siècles, et continuent à se transformer sous
l’influence du soleil, sans jamais avoir été ni pouvoir devenir inférieurs à eux-mêmes.
Au contraire ! » (Cathédrales, 1921, p. 121).
Catherine ChevillotConservateur général du patrimoine
Directrice du musée Rodin
édito-rial
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« L’art antique signifie bonheur de vivre, quiétude, équilibre, raison » Auguste Rodin, 1911
L’Antiquité traversa la vie de Rodin, des années de jeunesse jusqu’à sa mort, telle une leçon, éclairant sans cesse son œuvre d’un jour nouveau. tout d’abord objet de copie, puis dans l’ombre de Michel-Ange, l’antique finit par incarner la part lumineuse et heureuse de l’œuvre du sculpteur et devint le symbole de la nature et de la vie qu’il cherchait à saisir dans sa sculpture et son dessin. Rodin admira avec une ferveur grandissante les modèles de l’Antiquité qui apparurent de manière de plus en plus subtile, presque invisible, dans ses recherches des dernières années. son bonheur fut alors de vivre à la Villa des Brillants, à Meudon, puis à l’hôtel Biron, entouré d’une collection de plus de six mille antiques. il acheta auprès des antiquaires parisiens, entre 1893 et 1917, des centaines de fragments grecs, hellénistiques, étrusques ou romains, en marbre et en bronze, ainsi que des vases et autres figurines en terre cuite.
parCours de l’expositionRodin, la lumièRe de l’antique
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.8
C’est en regardant quelques célèbres
modèles de l’Antiquité et de
la Renaissance que Rodin explore
la représentation du corps masculin.
Dans le musée imaginaire de l’artiste,
le sculpteur grec Phidias rivalise avec
Michel-Ange. Rodin emprunte tout
d’abord la composition de l’antique
Torse du Belvédère pour réaliser
sa statue du Penseur. Il en retient aussi
la leçon du fragment, aussi fort
et complet que la figure entière, qu’il
illustre dans ses œuvres partielles, le
Torse de l’Étude de Saint Jean-Baptiste
puis L’Homme qui marche.
« Voici des statues abîmées, trouvées
dans des ruines ; et parce qu’elles
sont incomplètes, ne sont-elles plus
des chefs-d’œuvre », écrivit l’artiste
en 1907. Cette vision du corps dans son
inachevé apparaît sous la forme
des multiples fragments de pieds,
de bras et de jambes, qui composent
la collection d’antiques du sculpteur.
Héros, fragment d’un groupe dit « Achille et pentésilée », iie s. ap. J.-C., marbre, Rome, Italie.Collection des Musées d’art et d’histoire de la Ville de Genève ; don Etienne Duval, 1878 ; 8937© Musée d’art et d’histoire, Ville de Genève, Achille, 8937. Photo : B. Jacot-Descombe
Auguste Rodin, Torse de l’Étude pour Saint Jean-Baptiste, 1878-1887, bronze, fondeur inconnu, 1888. Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, Don Sir Joseph Duveen, 1923, PPS01256.© Philippe Ladet / Petit Palais / Roger-Viollet
seCtion 1— VeRs l’Homme qui maRcHe ou la RecHeRcHe suR le coRps masculin
seCtion 2— la naissance de Vénus ou l’expRession de la figuRe féminine
A partir des années 1890, Rodin
œuvre à faire émerger sa nouvelle
Vénus, à travers plusieurs
représentations féminines, toutes
saisies dans l’atelier, d’après le modèle
vivant. Mais le sculpteur n’ignore
rien des modèles antiques. Après s’être
inspiré du type de la Vénus accroupie,
qui imprègne ses figures féminines
des années 1880, il se tourne vers la
Vénus de Milo qui impose sa présence,
en filigrane, dans les années
1890-1900, à travers la Méditation puis
la Muse Whistler. L’antique Vénus de l’Esquilin incarne la quête de plénitude
que l’on retrouve dans les œuvres
tardives de l’artiste, comme l’Aphrodite,
le Torse de jeune femme cambrée ou
la Prière. En parallèle, Rodin n’amasse
pas moins d’une centaine de fragments
de Vénus romaines, qui constitue un
vaste répertoire de formes et de drapés.
Venus accroupie, ier - iie s. ap. J.-C., d’après un original du IIe s. av. J.-C.,marbre, trouvée en 1827 ou 1828 à Sainte Colombe (commune de Saint Romain en Gal, Rhône), dans l’aile ouest des thermes appelés « Palais du Miroir »140 x 42 x 60 cm.Paris, musée du Louvre, département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ;Achat collection Gerantet, 1878, ancienne collection Michoud ; Ma 2240 © rmn - Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Lewandowski
Torse d’Aphrodite du type de la « Vénus de l’Esquilin »,ier ou iie s. ap. J.-C., réplique d’un original du ier s. av. J.-C. ?,marbre, Italie, Brindisi ?,96 x 36 x 26 cm. Paris, musée du Louvre, département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ;Ancienne collection Nivergna, consul de France à Brindisi, acheté par M. Franck en 1927, vendue au Louvre en 1939, Ma 3438. © rmn - Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Landowski
Auguste Rodin,La Prière, 1909, bronze, fonte Georges Rudier, 1973. Musée Rodin ; épreuve réalisée pour les collections ; Inv. S.1065
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seCtion 3— l’aRt des méta-moRpHoses, « fleuRs dans un Vase »
Dès les années 1895, Rodin pratique
l’assemblage des vases antiques
de sa collection avec ses propres figures
en plâtre. L’objet du passé change de
statut pour se confondre avec l’œuvre,
réunis tous deux dans un même
espace-temps. Le matériau antique
en terre cuite, ou sa reproduction
en plâtre, accueille dans sa forme des
figures de Rodin pré-existantes, pour
la plupart issues de La Porte de l’Enfer, telles des « fleurs dans un vase » (selon
l’expression de Rainer Maria Rilke).
Ces maquettes peuvent être ensuite
traduites en marbre ou en bronze.
Autour d’un vase de Canosa, que Rodin
admire au musée du Louvre, sont
exposés des vases antiques de
sa collection, où la figure humaine entre
dans la composition du vase et sert
d’anse, de panse, de contenant ou de
support, comme dans les assemblages
de l’artiste.
Auguste Rodin,Assemblage : torse féminin agenouillé dans une coupe,coupe : deuxième quart du vie s. av. J.-C. ; Ionie, Asie mineure,plâtre et terre cuite.Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3611
Vase composite à appliques (askos globulaire),fin du ive siècle av. J.-C.,terre cuite, Canosa (Italie du Sud),75 x 45,9 x 48,5 cm.Paris, musée du Louvre, département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ;Ancienne collection Campana, achat 1862 ; B.492. © Musée du Louvre, dist. rmn /Philippe Fuzeau
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.10
Rodin est un lecteur assidu
de la littérature antique, en particulier
d’Ovide et d’Apulée. Il y puise tout
d’abord l’esprit même de ses sculptures,
nées sous le signe de la métamorphose
et autrement appelée « assemblage ».
Il réinterprète avec de plus en plus
de liberté et de distance les grands
récits de l’Antiquité : « La mythologie,
elle-aussi, n’existe qu’en tant que
gardienne des souffrances éternelles,
des joies éternelles qui doivent être
recréées à chaque fois par l’artiste... »
Le sculpteur se passionne pour
l’étrangeté du fragment antique, dont
les cassures sont créatrices
de « monstres » ainsi que pour la
mythologie de l’hybride qui parcoure
autant son œuvre que sa collection.
Auguste Rodin,La Voix intérieure,1896, plâtre,150 x 70 x 52 cm.Musée des Beaux-arts de Marseille ; Don de l’artiste, 1896 ; Inv. S.101,© Musée des Beaux-arts de Marseille / Jean Bernard
seCtion 4— l’aRt des méta-moRpHoses, l’HybRide
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seCtion 5—le dessin de Rodin et l’aRt de l’antiquité
Le dessin est tout d’abord pour
le jeune Rodin le médium de la copie,
plus ou moins fidèle, des plus
célèbres statues de l’Antiquité.
Le musée du Louvre ou les recueils
de gravures de la Bibliothèque
impériale sont ses premières sources
d’inspiration. Dès son voyage en
Italie, à l’hiver 1875-1876, devant les
chefs-d’œuvre de Michel-Ange et
de l’Antique, son trait se fait plus libre
vis-à-vis du sujet. Sur les dessins plus
tardifs, peu avant 1900, l’Antiquité
n’est déjà plus un sujet en soi mais
réapparaît, sous forme d’annotations
à caractère mythologique, pour
qualifier l’attitude d’un personnage,
saisi d’après modèle vivant, dans
le secret de l’atelier. Ses modèles
à demi-drapés ainsi que l’érotisme
des figures, renvoient encore à l’art
de l’Antiquité.
Satyre,époque hellénistique ?,bronze à la cire perdue à la patine brune ; les pieds ont été modelés en cire par Auguste Rodin en 1907-1908, 12 x 5 x 4 cm. Paris, Bibliothèque nationale de France, cabinet des Médailles, legs du vicomte de Janzé, 1865 ; Bronze 425.© Bibliothèque nationale de France
Auguste Rodin,L’Ombre, vers 1885,bronze, 96 x 46 x 27,5 cm.Musée des Beaux-arts d’Orléans ; Mo 37.© Musée des Beaux-artsd’Orléans / François Lauginie
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seCtion 6— dans le sentiment antique
C’est dans l’art du portrait – art
du fragment par excellence – que Rodin
exprime avec le plus de vigueur
son rapport à l’antique. Il puise dans
la nature même de son modèle,
les sentiments d’intériorité, de repli sur
soi et de méditation qu’il prête
à l’art gréco-romain. À partir du portrait
de Mrs Marianna Russell, dont
le caractère antique l’a frappé, Rodin
dérive vers des versions mythologiques,
coiffées d’attributs iconographiques,
Pallas au Parthénon ou Bacchus indien.
La tête de Minerve sans casque,
enfin débarrassée de tout accessoire,
apparaît, en miroir de la Tête Warren,
comme un fragment antique. Les
graves portraits romains de la collection
du sculpteur interrogent a posteriori
les recherches de l’artiste sur un de ses
premiers bustes, L’Homme au nez cassé.
Tête féminine, dite Tête Warren,iiie - iie s. av. J.-C.,marbre de Paros,Paros (Grèce).Museum of Fine Arts, Boston ; don de N. Thrayer, 1910 ; 10.70. © Courtesy Museum of Fine Arts, Boston
Auguste Rodin,Mariana Russell portant un casque,plâtre, 55 x 26 x 28,5 cm.Musée Rodin, Photo : Christian Baraja
Auguste Rodin,Minerve sans casque,vers 1896, marbre,48,2 x 26,4 x 26,7 cm.Melbourne, National Gallery of Victoria ; Legs Felton, 1905 ; 235-2.© National Gallery of Victoria, Melbourne
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Exposition
du 19 novembre 2013au 16 février 2014
infoRMAtions pRAtiquEs
Musée Rodin79 rue de Varenne, 75007 Paris
T. 01 44 18 61 10
Horairesouvert de 10 h à 17 h 45,
fermé le lundi,
nocturne le mercredi
jusqu’à 20 h 45
Billetterie et renseignements www.musee-rodin.fr
Réservation pour les groupes au 01 44 18 61 24
du lundi au vendredi de 10 h à 16 h
tarif de l’exposition
du 19 novembre 2013
au 5 janvier 2014
9 €
(collections permanentes
et exposition temporaire)
du 6 janvier
au 16 février 2014
7 €
(exposition temporaire)
Catalogue sous la direction de Pascale Picard
et de Bénédicte Garnier,
22 x 28 cm, 408 p., 500 ill.
en couleur, Éditions Gallimard,
2013, 45 €
VisitE-ConféREnCE
Le dimanche à 15 hUn conférencier présente l’exposition
temporaire Rodin, la lumière de l’Antique tous les dimanches.
Du dimanche 24 novembre 2013
au dimanche 16 février 2014,
droit d’entrée à régler, droit de
conférence, location d’audiophone
VisitE En fAMiLLE
pendant les vacances de noël à 15 h
ANTIqUES EN STOCk
Rodin fut un collectionneur qui
amassa un nombre impressionnant
d’objets d’arts. Ceux dont il loua
le plus la beauté restent ses chers
antiques, sculptures ou plutôt
morceaux de sculptures grecques
et romaines qui peuplaient son
jardin, sa maison et son atelier.
Partez à la découverte de ces héros
et dieux mutilés qui passionnaient
Rodin et qui nourrissent aujourd’hui
encore notre imaginaire.
Mardi 24 décembre, jeudi 26 décembre,
mardi 31 décembre, jeudi 2 janvier
à 15 h
LECtuREs tHéâtRALEs
en liaison avec l’exposition
Mercredi 4 décembre à 19 hLE BONHEUR DE CES HEURES
SOLENNELLES
Les œuvres antiques que Rodin
collectionne avec passion forment
un terreau fécond dans lequel
il puise des références esthétiques
ou plastiques. Leur contemplation
me procure le bonheur de ces heures
solennelles à partir desquelles
désormais l’Antique vous parle
toujours écrit-il en 1904. Pausania,
Michel-Ange, Léonard de Vinci,
Rainer Maria Rilke ou Auguste
Rodin ont, chacun à leur façon, suivi
au cours des siècles cette voix
de l’antique. Avec les comédiens Marie-José nat et Charles Gonzalès.
Mercredi 8 janvier 2014 à 19 hDE L’ANTIqUE à RODIN
à travers les écrits d’Aristophane,
Sophocle, Platon ou Euripide, de
la comédie à la tragédie, de la poésie
à la prose, de la narration aux
dialogues, l’art de la sculpture s’est
sans cesse inspiré des récits
les plus légendaires ; de l’Antiquité
à Rodin et du Maître à nos jours.
Avec les comédiens Denis podalydès et Charles Gonzalès.
autourde l’expo-sitionRodin, la lumièRe de l’antique
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.14
Mercredi 5 février à 19 hL’ANTIqUE, DE L’OMBRE
à LA LUMIèRE
Lorsque les sculptures descendent
enfin de leur fameux piédestal
pour nous livrer un florilège inattendu
de réflexions, de méditations et
de textes mis en chair et en voix pour
entendre la nuance des genres,
le contraste des époques et les
variations, entre ombres et lumières.
Avec les comédiens Bruno putzulu et Charles Gonzalès.
Durée 1 h, tarif 9 €
Réservation et achat de billets en ligne,
des billets sont mis en vente à la caisse
du musée en fonction des places
disponibles le jour de la représentation
à partir de 18 h 30
JouRnéE D’étuDEs
Vendredi 17 janvier 2014
RODIN, LECTEUR DE L’ANTIqUITÉ
Dans le cadre de l’exposition Rodin,
la lumière de l’Antique, le musée
ouvre une première réflexion sur le lien
entre l’art et la littérature de l’antiquité.
Dans les années 1890-1900, alors
qu’il devint collectionneur d’antiques,
Rodin se plongea dans une lecture
créative des textes anciens. Cette
journée permettra de resituer l’œuvre
du sculpteur dans le contexte littéraire
de la redécouverte de l’antique et
de relire ses œuvres à la lumière des
textes du passé.
Auditorium du musée,
entrée libre en fonction des places
disponibles
CinéMA
Jeudi 9 janvier, Cinéma étoile pagode
Projection de films en lien
avec l’antiquité suivie d’un débat.
En partenariat avec Étoile cinémas
renseignements
www.etoiles-cinemas.com
Tarifs sur présentation du billet
du partenaire, entrée
Pagode 7,5 € et entrée musée 7 €
foRMAtions
POUR LES ENSEIGNANTS
DU PREMIER ET SECOND DEGRÉ
La formation, en lien avec l’histoire
des arts, permet d’aborder les notions
de référence, de modèle et de copie,
d’interprétation et d’appropriation.
Mercredi à 14 h
Académie de Paris le 20 novembre
Académie de Créteil le 27 novembre
Académie de Versailles le 18 décembre
POUR LES RELAIS DU CHAMP SOCIAL
Accompagner les relais du
champ social dans leur démarche et
leur proposer une offre de visites
adaptée
Mardi 17 décembre à 14 h, 25 places
formations gratuitesDurée 2 h 30, sur réservation
Contact enseignants T. 01 44 18 61 24
du lundi au vendredi de 10 h à 16 h
Contact public du champ social
Céline van Brabant T. 01 44 18 78 23
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.15
1—Auguste RodinL’Âge d’Airain1877PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; S. 165
2— et 3—Fragments de mosaïque aux gazelles bondissantesOpus tessellatum noir et blanc à décor figuré, tesselles en calcaireiie s. ap. J.-C. ?Italie ?Musée Rodin ; entrée dans la collection Rodin en 1896 ; Inv. Co.1719 et Co. 1721
4—Statue masculine, dite Diadumène de Vaison-la-RomaineMoulage d’après une œuvre en marbre, découverte à Vaison-la-Romaine en 1862, réplique romaine d’après un original grec en bronze attribué à Polyclète et daté vers 430 av. J.-C., conservé à Londres, British Museum, inv. 500PlâtreParis, Musée du Louvre, provient de l’École nationale des beaux-arts de Paris, Gy 615
5—Torse masculin, dit Torse du Belvédère Moulage d’après une œuvre en marbre d’Apollonios d’Athènes, réplique d’un modèle hellénistique, daté du ie siècle avant J.-C., conservé à Rome, Musées du Vatican, Musée Pio-Clementino, inv. 1192Plâtre Paris, Musée du Louvre, réalisé dans l’atelier de moulages du musée du Louvre, Gy 283
6—Auguste RodinTorse de l’Étude pour Saint Jean-Baptiste1878-1887Bronze, fondeur inconnu, 1888Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, Don Sir Joseph Duveen, 1923, PPS01256
7—Auguste RodinPenseur sur chapiteauVers 1882PlâtreMusée Rodin, S. 3469
8—Esclave mourantVers 1869, moulage d’après l’original de Michel-Ange, vers 1513, conservé au musée du LouvrePlâtre École nationale supérieure des beaux-arts de Paris ; achat à l’atelier de moulage du musée du Louvre, vers 1869 ; Inv. MU.3663-1
9—Esclave révoltéVers 1869, moulage d’après l’original de Michel-Ange, vers 1513, conservé au musée du LouvrePlâtre École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris ; achat à l’atelier de moulage du musée du Louvre, vers 1869 ; Inv. MU.3663-2
10—Auguste RodinL’OmbreAvant 1886BronzeAcquis en 1954, fondu en 1949 par Alexis RudierOrléans, Musée des Beaux-arts, Mo 37
11—Aphrodite accroupieier- iie s. ap. J.-C., d’après un original grec du iie s. av. J.-C.MarbreTrouvée en 1827 ou 1828 à Sainte-Colombe (commune de Saint-Romain-en-Gal, Rhône), dans l’aile ouest des thermes appelés « Palais du Miroir »Paris, Musée du Louvre, Département desAntiquités grecques, étrusques et romaines ; achat, collection Gerantet, 1878 ; ancienne collection Michoud ; Inv. Ma.2240
12—Auguste RodinCariatide tombée portant sa pierreVers 1881-1882PlâtreMusée Rodin, S. 2856
13—Auguste RodinFemme accroupie1881-1882Plâtre patiné Musée Rodin ; don de Mme Eugène Rudier, 1954 ; Inv. S.107
14—Auguste RodinNu féminin levant la jambe gauche ou Torse féminin adipeuxAvant 1900Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.326
15—Auguste RodinLa Sculpture grecqueVers 1911Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.222
16—Auguste RodinLa RenaissanceVers 1911Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.223
17—Auguste RodinLa Voix intérieure1896PlâtreMusée des Beaux-arts de Marseille ; don de l’artiste, 1896 ; Inv. S.101
18—Moulage de la Vénus de MiloMoulage de l’atelier du musée du Louvre exécuté d’après le moule réalisé en 1821, par François-Henri Jacquet, d’après l’original grec daté de la fin du iie s. av. J.-C. PlâtreMusée des Moulages, Université Paul Valéry, Montpellier iii, acquis en 1890 ; Inv. 217
19—Auguste RodinProjet de monument au peintre américain James McNeill Whistler (1834-1903) Muse Whistler, esquisse pour le monument1905Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.120
20—Auguste RodinProjet de monument au peintre américain James McNeill Whistler (1834-1903)Muse nue, bras et jambes coupés, grand modèle1907PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ? ; Inv. S.5676
liste des œuvres exposées
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.16
21—Auguste RodinProjet de monument au peintre américain James McNeill Whistler (1834-1903)Muse nue, bras coupés, étude pour le monument, grand modèle1907PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.2453
22—Autel funéraire de Ravius EpictetusFin du ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.417
23—Torse d’Aphrodite nue ier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.405
24—Aphrodite demi-nueier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.961
24 bis—Partie inférieure d’Aphrodite anadyomène demi-nueier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1102
25—Torse d’Aphrodite pudique, du type du Capitoleier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.472
26—Torse d’Aphrodite,du type de la « Vénus de l’Esquilin »ier ou iie s. ap. J.-C., réplique d’un original du ier s. av. J.-C. ?Marbre Brindisi, ItalieParis, Musée du Louvre, Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ; acquise de M. Franck, 1939 ; achetée par M. Franck en 1927 ; ancienne collection Nivergna, consul de Franceà Brindisi ; Inv. Ma.3438
27—Aphrodite nueier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.959
28—Auguste RodinLa Prière1909Bronze, fonte Georges Rudier, 1973Musée Rodin ; épreuve réalisée pour les collections ; Inv. S.1065
29—Auguste RodinTorse de jeune femme cambrée, grand modèle1909PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.5686
30—Auguste RodinTorse de femme, dit Torse du Victoria and Albert MuseumVers 1910-1914Bronze, fonte Alexis Rudier, avant 1914, monté sur un pilier en plâtreVictoria and Albert Museum, Londres ; don de l’artiste, 1914 ; Inv. A38-1914
31—Auguste RodinAphroditeVers 1913Bronze, fonte à la cire perdue de Godard, 1973Musée Rodin ; S. 522
31 bis—Aphrodite anadyomèneier - iie s. ap. J.-C. ?MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.262
32—Aphrodite ier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.294
33—Aphrodite à la sandaleier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.330
34—Aphrodite pudiqueiie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.653
35—Aphrodite demi-nue, du type de SyracuseFin du iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.689
36—Aphrodite anadyomèneiie s. ap. J.-C. MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.266
37—Aphrodite anadyomène accroupie, du type de Rhodesier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.263
38—Aphrodite anadyomène accroupie, du type de Rhodesier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.MarbreÉgypte ?Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; acquise par l’artiste auprès de l’antiquaire Spiridon Castellanos, le 30 juin 1910 ? ; Inv. Co.562
39—Aphrodite au pilierier - iie s. ap. J.-C. MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.259
40—Aphrodite vêtue ?ier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.714
41—Sirène, fragment de couronnement de stèle funéraire3e quart du ive s. av. J.-C.Marbre pentélique et restes de polychromie, rouge pour les cheveux et la bouche, bleue pour les ailesAttique, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.412
42—Isis-Aphroditeiie s. ap. J.-C.Bronze et pâte de verre blanche en incrustationMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.214
43—Aphrodite anadyomèneier - iie s. ap. J.-C.BronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1435
44—Vénus anadyomène gallo-romaineÉpoque romaineTerre cuiteMusée RodinInv. Co.6134
45—Vénus anadyomène gallo-romaineÉpoque romaineTerre cuiteSaint-Valery-en-Caux, Seine-MaritimeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.700
46—Ephèbe au coq Vers 450-420 av. J.-C.Terre cuiteBéotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2493
47—Péplophore Vers 450 av. J.-C.Terre cuiteBéotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2492
48—Femme à « coiffure riche »Vers 400-375 av. J.-C.Terre cuiteBéotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2489
49—Baubo ier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteÉgypteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2714
50—Baubo ier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteÉgypteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.6120
51—Pleureuse agenouilléeTroisième quart du ive s. av. J.-C.MarbreGrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.436
52—Fragment de statue d’Erosier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.998
53—Fragment d’un groupe des Trois Grâcesiie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.423
54—Auguste RodinIris messagère des dieux1890-1891PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.851
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55—Auguste RodinHomme qui marche sur colonne1900PlâtreMusée Rodin, S. 2039
56—Auguste RodinCybèle, sur pilierVers 1890 ? 1900 ?PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.2998
57—Auguste RodinBaigneuse accroupie sans bras, sur pilierVers 1885PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3537
58—Auguste RodinHomme qui marche1907BronzeFondu en 1913 par Alexis RudierMusée Rodin, S. 998
58 bis—Héros, fragment d’un groupe dit Achille et Pentésiléeiie s. ap. J.-C.MarbreRome, ItalieCollection des Musées d’art et d’histoire de la Ville de Genève ; don Etienne Duval, 1878 ; Inv. 8937
59—Héraclès au reposier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; acquise par l’artiste auprès du marchand E. Géladakis,le 20 août 1905 ? ; Inv. Co.1107
60—Statue colossale,jambe droite et cuirasseDébut du iie s. ap. J.-C.Marbre pentéliqueMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.498
61—Pied droit nuBronzeOrigine grecqueMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.3371
62—Jambe de cavalieriie s. ap. J.-C.BronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1741
63—Avant-bras nu et mainÉpoque impérialeBronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1405
64—Main gauche tenant un pan de manteauier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; offerte à l’artiste par l’archéologue et marchand J. Marshall, le 2 janvier 1914 ? ; Inv. Co.561
65—Main gauche de statue colossale, tenant une syrinxier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.707
66—Enfant à l’oieier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.439
67—Satyre au reposier ou iie s. ap. J.-C.Marbre Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.492
68—L’Apollon de ThéraDébut du xxe s., moulage d’après l’original en marbre, vers 570-560 av. J.-C., conservé au musée national d’AthènesPlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1727
69—Vase composite à appliquesAskos globulaireFin du ive -début du iiie s. av. J.-C.Terre cuiteCanosa, ItalieParis, Musée du Louvre, Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ; ancienne collection Campana, achat 1862 ; Inv. B.492
70—KorèFin du ier s. av. J.-C. -ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.271
71—Auguste RodinFleurs dans un vase1907Marbre taillé par Mathet en 1907-1908Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.1418
72—Auguste RodinFleurs dans un vase, maquette1907Plâtre monté sur une briqueMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3700
73—Auguste RodinAssemblage : torseféminin à tête de femme slave, enserré dans un vaseVers 1900 ?Vase : fragment d’un support en bucchero d’origine étrusque, 2e moitié du vi e s. av. J.-C.Plâtre et terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3712
74—Auguste RodinAssemblage : nu féminindit de la Naissance de Vénus, debout dans une coupePlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3612
75—Auguste RodinAssemblage : Galatée coupée aux cuisses dans une coupePlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3721
76—Auguste RodinAssemblage : torse féminin agenouillé dans une coupeCoupe : deuxième quart du vie s. av. J.-C. ; Ionie, Asie mineurePlâtre et terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3611
77—Coupe à oiseaux béotienneVers 550-530 av. J.-C. Terre cuite Béotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1373
78—Auguste RodinBacchus à la cuve ou Le Faune1904Marbre exécuté par Jean-Marie MengueMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.1104
79—Auguste RodinBacchus à la cuve ou Le Faune1904Plâtre, pâte à modeler ; modèle de mise aux pointsMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.6511
80—Auguste RodinAssemblage : nu féminin assis dans un potVers 1900 ?Skyphos : ive s. av. J.-C. ; Campanie ? Italie Plâtre et terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3714
81—Auguste RodinLes Bénédictions ou Les GloiresAvant 1894 ou 1896 ?PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.936
82—Lébès à figures noiresEpoque moderne ? Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.3469
83—Vase plastique en forme d’askosModerne ?Terre cuite Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2900
84—Oenochoé plastique : Eros tenant une crucheVers 375-350 av. J.-C.Terre cuiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2527
85—Attribuée au Groupe du pilier à la chouette (Owl-Pillar Group) Amphore à col campanienne à figures rouges2e moitié du ve s. av. J.-C.Terre cuiteCampanie, ItalieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1266
86—Applique de vase :porteuse de coupe iiie s. av. J.-C.Terre cuiteCanosa, ItalieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.6133
87—Coupe étrusque à figures rouges, dite coupe Rodin1er quart du ive s. av. J.-C. ?Terre cuiteMusée Rodin ; anciennes collections Antoine-Edme Durand et Raoul-Rochette ; Inv. Co.1387
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.18
88—Satyre saisissant une nympheiie s. ap. J.-C., d’après un original grec dela fin de l’époque hellénistiqueMarbreParis, Musée du Louvre, Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ; don, 1875 ; Inv. Ma.248
89—Auguste RodinTriton et néréideAvant 1908PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.5687
90—Pan tirant une épine du pied d’un satyreiie s. ap. J.-C., d’après un original grec de la fin de l’époque hellénistiqueMarbreItalieParis, Musée du Louvre, Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines ; achat collection Borghèse, 1807 ; Inv. Ma.320
91—Auguste RodinAssemblage : torse de Centauresse et MinotaureAprès 1910PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.3366
92—Auguste RodinMinotaure, sur gaine1885-1886PlâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.46
93—Auguste RodinFaunesse ZoubaloffVers 1890Plâtre enduit d’un agent démoulantMusée Rodin ; épreuve réalisée vers 1927 et intégrée aux collections ; Inv. S.3333
94—Auguste RodinDeux sirènesVers 1895-1900BronzeMusée Rodin, S. 6677
95—Auguste RodinTriton et néréïde sur un dauphinVers 1899PlâtreMusée Rodin, S. 3106
96—Auguste RodinLa CentauresseVers 1889 ? Marbre, pratique de Victor Peter,vers 1901-1904Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.1031
97—Fragment d’une statuette de Mithraiie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.484
98—Attribué au Peintre d’Edimbourg Lécythe attique à figures noires Vers 500-490 av. J.-C.Terre cuite Athènes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1268
99—Attribué au Peintre de la Centauromachie du Louvre Cratère à colonnettes attique à figures rouges Vers 450-440 av. J.-C.Terre cuite Athènes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1402
100—Attribué au Peintre de Rodin 966 (vase éponyme) Cratère en calice attique à figures rouges Vers 360-350 av. J.-C. Terre cuite Athènes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.215
101—Attribué au Peintre de Rodin 1000 (vase éponyme) Skyphos attique à figures noires Vers 500-490 av. J.-C.Terre cuite beige Athènes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.216
102—Attribué au Peintre de Rodin 971 (vase éponyme) Cratère à volutes apulien à figures rouges4e quart du ive s av. J.-C.Terre cuiteApulie, ItalieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1382
103—Attribuée au « Gallatin neck-amphora » Amphore à col attique à figures noires Vers 510-490 av. J.-C.Terre cuite beige orangée, décor incisé, rehauts rouges Athènes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1263
104—Près du Peintre du Louvre MNB 626 Lékané béotienne à figures noires et son couvercleVers 570 av. J.-C. Terre cuite Béotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1384
105—Près du Peintre du Laurion Aryballe corinthien à figures noires Vers 585-575 av. J.-C.Terre cuite Corinthe, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1269
106—Attribué au Peintre du Boréade Alabastre corinthien à figures noires Vers 580-570 av. J.-C.Terre cuite Corinthe, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.6212
107—Pied de coffre ou de foyer en forme de sirèneiie s. ap. J.-C.BronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1915
108—Attache d’une anse de situleiie s. ap. J.-C.BronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916Inv. Co.1463
109—Grotesque :tête couronnée iie - ier s. av. J.-C.Terre cuiteÉgypteMusée RodinInv. Co.2513
110—Grotesque : torse fragmentaire cynocéphale couronné iie - ier s. av. J.-C. ?Terre cuiteSmyrne, TurquieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2505
111—Tête couronnée de Vénus, de type cnidienÉpoque romainePlâtre peintMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2705
112—Grotesque : tête féminine coiffée du cécryphale ier - iie s. ap. J.-C.Terre cuiteÉgypte ?, Smyrne ?Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2741
113—Tête caricaturale masculine chauve iie s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteSmyrne, TurquieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2729
114—Tête caricaturale masculine de type oriental à bonnet pointu iie s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteÉgypteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2721
115—Tête d’homme chauve caricaturaleiie s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteBasse Égypte, Smyrne, TurquieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.669
116—Pilier hermaïque ve s. av. J.-C.Terre cuiteBéotie ?, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2533
117—Acteur comique Vers 350 av. J.-C. ? Terre cuiteAttique ?, Grande Grèce ?Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2449
118—Tête de femme à perruqueVers 400-375 av. J.-C.Terre cuiteBéotie, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.6094
119—Tête masculine barbue iie s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.Terre cuiteSmyrne, TurquieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.2710
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.19
120—Aphrodite et Priapeiie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.713
121—Satyre Époque hellénistique ?Bronze ; pieds modelés en cire par Auguste Rodin en 1907-1908Bibliothèque nationale de France, cabinet des Médailles ; legs du Vicomte de Janzé, 1865 ; Inv. Bronze 425
122—Harpocrate et moulage d’une Tête d’enfantMilieu du iie s. ap. J.-C.BronzeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; acquis par l’artiste d’une collection privée à Paris, par l’intermédiaire du marchand A.D. Pignatelli, en 1906 ; Inv. Co.1287
123—Tête d’enfant ou d’ErosFin du ier ou 1ère moitié du iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.314
124—Auguste RodinHomme au nez casséVers 1903Bronze, fonte au sable A. Rudier, 1916Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.496
125—Auguste RodinBacchus indienVers 1898 ?Plâtre et armatures métalliques pour mise aux pointsMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.1561
126—Auguste RodinMinerve sans casqueVers 1896MarbreNational Gallery of Victoria, Melbourne ; achat grâce au legs Felton, 1905 ; Inv. 235-2
127—Auguste RodinPallas au Parthénon Vers 1910 ?Marbre et plâtreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. S.1197
128—Tête féminine, dite Tête Warreniiie - iie s. av. J.-C.Marbre de ParosChios, GrèceMuseum of Fine Arts, Boston ; don de N. Thrayer, 1910 ; Inv. 10.70
129—Portrait d’un prince julio-claudien, Caius César ?Début du ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.374
130—Portrait de prince julio-claudienier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.226
131—Têtes d’un double pilier hermaïqueDébut du ier s. ap. J.-C.MarbreRome ? , ItalieMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.415
132—Fragment d’une tête de souveraine lagide 2e moitié du iiie ou iie s. av. J.-C. MarbreRhodes, GrèceMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.753
133—Portrait dit de ThucydideFin du ier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.432
134—Portrait d’Agrippine l’AncienneMilieu du ier s. ap. J.-C.Marbre pentélique ?Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.380
135—Auguste RodinLa Mort d’Athènes ou Lamentation sur l’Acropole1902 ?Marbre exécuté par Lucien ou Gaston SchneggNational Museums Liverpool, Walker Art Gallery ; legs de James et Betty Smith, 1923 ; acquis de l’artiste par James et Betty Smith en 1903 ; Inv. WAG.4182
139—Auguste Rodin Feuille de croquisDeux statues-colonnes d’après les reines de la cathédrale de Chartres, groupede deux personnages enlacés, groupe de trois personnages, cortège de quatre hommes près d‘un bœuf d’après les Porteurs d’offrandes de la Frise Sud du Parthénon, lutte d’un homme et d’un centaure d’après la lutte d’un Centaure et d’un Lapithe d’une métope de la Face Sud du Parthénon.Vers 1874 Crayon au graphite, plume et encre brune et lavis d’encre brune sur papiers découpés et collés en plein sur papier cartonnéMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D. 134-138
140—Auguste Rodin Feuille d’études Deux silhouettes enlacées, Léda et le cygne (?), personnage debout les mains aux hanches, trois têtes, char d’après un sarcophage romain, Diane et Endymion du musée du Capitole à Rome, jeune fille drapée, personnage d’un sarcophage (?), guerrier tenant un écu d’aprèsle Saint-Georges de Donatello à Florence, Léda et le cygne d’après un marbre romain du musée Saint-Marcde Venise, cavalier de profil d’après le Colleone de Verrocchio à Venise, homme à demi agenouillé, les mains jointes, d’après une des figures du tombeau de Jules ii par Michel-Ange à l’église Saint-Pierre-aux-liens à Rome, scène antique avec un couple près d’une femme nue qui renverse une urne, cavalier de dos d’après le Gattamelata de Donatello à Padoue, torse du Moïse de Michel-Ange de Saint-Pierre-aux-liensà Rome, cavalier dedos d’après le Gattamelata de Donatello à Padoue, femme drapée et assise, personnage à mi-corps.Vers 1875 – 1876 ? Crayon au graphite, plume et encre brune sur papiers découpés et collés en plein sur papier cartonnéAnnoté : seule ; jeune fille sarcophage ; le nu des draperies se modelera d’abord sur le nu de
l’académie et les plis seront toujours coupés en biais. Musée du Vatican. Salle des nils sarcophages. Bas-reliefs saillants et en biais. Chevaux Marly ? formant cuillerMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.180-194
141—Auguste Rodin Femme debout, de profil à droite, maintenant un vêtement sur les hanches Crayon au graphite et estompe sur papier vélinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.991
142—Auguste Rodin Femme drapée sous les hanches Crayon au graphite et estompe sur papier vélinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.2218
143—Auguste Rodin Femme debout de face aux vêtements entrouverts sur le buste Crayon au graphite et estompe sur papier vélinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.3098
144—Auguste Rodin Vénus Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papierannoté au crayon graphite, en bas : bas – Venus et à droite : basParis, Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.3952
145—Auguste Rodin Naissance de Vénus Crayon au graphite et aquarelle sur papierannoté au crayon au graphite au recto, en haut, à droite : naissance de Vénus et au verso : 796 / 15 / Naissance de VénusSigné au crayon au graphite en bas, à droite : RodinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4000
146—Auguste Rodin Femme drapée, unemain aux cheveux Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papier vélinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4175
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.20
147—Auguste Rodin Neptune Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papierannoté au crayon au graphite sur la droite : neptune - bas Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4257
148—Auguste RodinFemme nue tenant une draperie Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papierCachet violet Rodin, en bas, à droiteMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4562
149—Auguste RodinHomère Crayon au graphite et aquarelle sur papierMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4637
150—Auguste RodinDiane qui tire Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papierAnnoté au crayon au graphite, en bas, à droite : HomèreSigné en bas, à droite : A. RodinMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.4655
151—Auguste RodinAriane Crayon au graphite, estompe et aquarellesur papier vélinAnnoté à la plume et à l’encre, en haut à droite : bas et au crayonau graphite en haut à droite et en bas : vase / ArianeMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.5038
152—Auguste RodinNaissance de Vénus Crayon au graphite et estompe sur papier vélinAnnoté au crayon au graphite, en haut, à gauche : naissance de Vénus / le coucher (? ou la création)Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.5100
153—Auguste RodinDiane Crayon au graphite, estompe et aquarelle sur papier vélinAnnoté au crayon au graphite, en bas à droite, à gauche et en travers : diane /les roseaux basMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.5721
154—Auguste RodinNeptune Crayon au graphite et aquarelle sur papiervélinAnnoté au crayon au graphite, en bas à droite : neptune – HomèreSigné au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.5726
155—Auguste RodinNéréides Crayon au graphite et estompe sur papierannoté au crayon au graphite en haut et en bas : néreide Musée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; D.6169
156—Auguste RodinScène antique Huile sur toileMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; P.7219
157—Aphrodite anadyomène demi-nueier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.245
158—Aphrodite au pilierier s. av. J.-C. - ier s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.366
159—Aphrodite nueier - iie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.762
160—Aphrodite anadyomèneiie s. ap. J.-C.MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.850
161—Fragment d’une statue d’Aphroditeier - iie s. ap. J.-C. ?MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1066
162—Personnage masculinier s. av. J.-C. - iie s. ap. J.-C. ? Moderne ?MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.347
163—Ephèbe, dit NarcisseMontage du xixe s., à partir de fragments d’époque impérialeMarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.870
164—Marsyas supplicié - Fragment de sarcophage ?2e moitié du iie s. ap. J.-C. ?MarbreMusée Rodin ; donation Rodin, 1916 ; Inv. Co.1294
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.21
visuels dispo-nibles pour la presse
1—Harpocrate, iie siècle après J.-C., bronze, 80 x 21,1 x 27,5 cm.© musée Rodin, ph. Angèle Dequier
7—Applique d’un grand vase, ive -iiie siècle avant J.-C., terre cuite, 23 x 11,8 x 8,5 cm. © musée Rodin, ph. Angèle Dequier
8—Pleureuse agenouillée, 340-330 avant J.-C., marbre , 44 x 20 x 21 cm. © musée Rodin, ph. Angèle Dequier
9—Femme nue accroupie - Baubo, Époque romaine, terre cuite, 7,90 x 4,50 x 2,10 cm. © musée Rodin, ph. Christian Baraja
10—Rodin tenant une statuette égyptienne, photo : Eugène Druet, vers 1914, épreuve gélatinoargentique, 23,2 x 22 cm. © musée Rodin
1 bis— Rodin au milieu de ses antiques, vers 1910, épreuve gélatino argentique.© musée Rodin, ph. A. Harlingue
2— Sirène pleureuse, ive siècle avant J.-C.,marbre, 39,5 x 25 x 13 cm. © musée Rodin, ph. Angèle Dequier
3— Torse féminin drapé, fin ier - début iie siècle après J.-C., marbre, 57 x 29,4 x 23,4 cm. © musée Rodin, ph. Angèle Dequier
4— Amphore, vers 500 avant J.-C.,terre cuite, hauteur 21,2 cm, diamètre 13,5 cm.© musée Rodin, ph. Angèle Dequier
5— Satyre au repos, début du iie siècle après J.-C., marbre de Carrare, 105 x 54 x 36,5 cm.© musée Rodin, ph. Angèle Dequier
6— Main gauche colossale tenant une draperie, ier siècle après J.-C., marbre, 21,2 x 23,5 x 28 cm.© musée Rodin, ph. Angèle Dequier
Musée Rodin | Rodin, la lumière de l’Antique | Dossier de presse | p.22
13—Auguste Rodin, Pallas au Parthénon,marbre, 47 x 38,7 x 31 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
14—Auguste Rodin,Torse féminin agenouillé dans une coupe, plâtre et terre cuite, 23 x 25,7 x 18,5 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
15—Auguste Rodin,La Prière, bronze, 124,4 x 51 x 49 cm.© musée Rodin, ph. Angèle Dequier
16—Auguste Rodin,Iris messagère des dieux, plâtre, 41,5 x 46 x 21,5 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
17—Auguste Rodin,L’Âge d’airain,plâtre, 183 x 68,5 x 61 cm.© musée Rodin, ph. Adam Rzepka
18—Auguste Rodin,L’Homme qui marche, bronze, 213,5 x 71,7 x 156,5 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
19—Auguste Rodin,Mariana Russell portant un casque, plâtre, 55 x 26 x 28,5 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
20—Auguste Rodin,Nu féminin debout dans une coupe, plâtre, 35 x 21,4 x 23,4 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
11—La collection d’antiques sous le péristyle du pavillon de l’Alma à Meudon, anonyme, entre 1906 - 1917,épreuve gélatino-argentique, 14 x 8,80 cm.© musée Rodin
12—Auguste Rodin, Méditation sans bras, plâtre, 54 x 18,8 x 15,9 cm.© musée Rodin, ph. Christian Baraja
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