dissolution de la tchécoslovaquie

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Faculté de Philosophie et Sciences sociales Département de Science politique Exercices sur des questions d’histoire des relations internationales Groupe : Europe centrale et orientale dans la Guerre froide « La dissolution de la Tchécoslovaquie » 31 décembre 1992 Travail présenté par: Baptiste BUIDIN Titulaire : Thierry Kellner Responsable du groupe : Fanny Sbaraglia Année d’étude : POLI3 1

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Rappel historique et politique de la dissolution de la Fédération de Tchécoslovaquie, le 31 décembre 1992, avec les implications politiques et économique qu'elle a provoqué.

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Page 1: Dissolution de la Tchécoslovaquie

Faculté de Philosophie et Sciences sociales

Département de Science politique

Exercices sur des questions d’histoire des relations internationales

Groupe : Europe centrale et orientale dans la Guerre froide

« La dissolution de la Tchécoslovaquie »

31 décembre 1992

Travail présenté par: Baptiste BUIDIN

Titulaire : Thierry Kellner

Responsable du groupe : Fanny Sbaraglia

Année d’étude : POLI3

1

Page 2: Dissolution de la Tchécoslovaquie

L'histoire de la dissolution de la Tchécoslovaquie s'achève au moment où, le 31 décembre 1992, deux

nouveaux pays européens sont créés: la République tchèque et la Slovaquie. Pour décrire l'histoire de

cette partition, il est nécessaire de retourner quelques années en arrière, peu de temps déjà après la

fameuse révolution de velours, menée à Prague, en 1989.

Dans un premier temps, nous allons donc retracer les grandes étapes de cette dissolution, les mouvements

sociaux, les décisions politiques et institutionnelles qui vont mener à l'éclatement de la Fédération

tchécoslovaque. Ensuite nous verrons quels ont été les grands acteurs de cette dissolution. Ils seront

surtout tchécoslovaques (ou plutôt tchèques ou slovaques), mais nous constaterons qu'il a aussi existé

quelques forces extérieures qui ont tenté d'impacter cette partition. Enfin nous analyserons les logiques

ayant mené à ce "divorce de velours".

1. Les faits

Le facteur politique est prépondérant dans l'histoire de la dissolution de la Tchécoslovaquie.

En effet, dès le début de l'année 1990, juste après la révolution de velours et la sortie du pays de la zone

d'influence soviétique, des inquiétudes se font ressentir dans la société tchécoslovaque1. Le nationalisme

slovaque ressort des oubliettes où il avait été mis après 1945 et la fin du régime fasciste mené par

l'évêque Tiso qui lui avait procuré les 6 seules années de son indépendance2.

Les Slovaques, qui n'ont donc, à cette exception près, jamais été reconnus comme peuple indépendant,

voient dans la démocratie retrouvée suite à la guerre froide et le régime de fédération conservé par les

révolutionnaires de 1989 une opportunité de revendiquer plus de souveraineté pour la Slovaquie.

Pourtant, si le nationalisme apparaît très vite, la part qu'il va prendre dans la politique du pays ne sera pas

directement signifiante.

En effet, les municipales comme les législatives qui ont lieu en 1990 ne donnent pas aux nationalistes des

scores suffisamment importants pour peser dans la politique nationale3, l'opinion publique restant

fortement attachée aux personnalités libératrices du « Forum Civique » tchèque ou de « Public contre la

violence » en Slovaquie4.

Plusieurs heurts ont lieu en 1990 et 1991, les manifestations deviennent de plus en plus importantes à

Bratislava5, les nationalistes sont de plus en plus nombreux à sortir dans la rue, et des hommes politiques,

jusque là attachés aux partis consensuels de la sortie du communisme se sentent investis de la question

tchécoslovaque.

Quand, en mars-avril 1991, Vladimir Meciar, premier ministre slovaque, décide de quitter « Public contre

la violence », pour créer son propre parti baptisé « Mouvement pour une Slovaquie indépendante »

(HZDS), le nationalisme slovaque prend une nouvelle dimension6.

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Page 3: Dissolution de la Tchécoslovaquie

A la suite de cela, Meciar sera destitué de son poste7 ce qui va mécontenter une partie importante du

peuple slovaque qui admire le personnage. Cela affectera les relations entre Prague et Bratislava.

L'avenir de l'unité du pays sera au coeur des législatives qui ont lieu le 5 et 6 juin 19928. D'un côté l'ODS,

avec Vaclav Klaus, ministre des Finances, adepte des grandes réformes économiques. Il prône l'unité de

la Fédération et est le seul parti tchèque qui ait fait campagne en Slovaquie9. De l'autre, Meciar et son

parti, l'HZDS, plus populaire que jamais, prônant une souveraineté accrue de la Slovaquie dans un

système qu'il imagine comme une sorte de confédération. Par ailleurs, son programme économique

critique la politique de libéralisation débridée du gouvernement, arguant qu'elle n'est pas adaptée à la

Slovaquie, et qu'elle devrait être plus mesurée10.

Les résultats de ces élections sont sans appel, ces deux partis sont vainqueurs dans leur communauté

d'origine, avec 33,68 % des voix tchèques pour l'ODS et 33,65 % des voix slovaques pour l'HZDS11. Les

deux leaders commencent donc à négocier ensemble pour trouver un accord concernant le gouvernement

fédéral12. Dans un premier temps, Klaus va négocier pour l'unité de la Fédération13. Cependant, les

entrevues se succèdent et les deux leaders n'arrivent pas à trouver une position commune pour gouverner

le pays14.

Cette situation de blocage va amener les deux chefs de parti à faire une déclaration, le 20 juin 1992, où

ils prennent acte de cette incompatibilité politique et où Klaus réaffirme sa volonté d'une Fédération,

mais déclare par ailleurs qu'il n'y aura pas de confédération, ce système équivalant pour lui à

l'indépendance des deux Etats. Par ailleurs, ils annoncent leur volonté de mettre en place un

gouvernement fédéral restreint de transition15.

Cette déclaration est capitale, car elle est en fait la première étape de la rupture. Vaclav Havel va rester

très attaché à l'unité16, rencontrant les négociateurs, maintenant sa participation à l'élection présidentielle

de juillet. Il plaide pour l'organisation d'un référendum, seule solution morale au problème selon lui17.

Comme annoncé par Meciar18, la réélection d'Havel à la présidence est bloquée par les députés

slovaques19.

Le 17 juillet, un pas de plus est franchi : Meciar l'avait promis20, le Conseil national slovaque a proclamé

une déclaration de souveraineté21. Au même moment, Havel annonce sa démission de la présidence, qu'il

occupait faisant fonction depuis sa non-réélection22.

C'est un autre facteur de la rupture, car la Slovaquie est désormais souveraine et la personnalité

d'envergure qui représentait encore l'unité sort (provisoirement) de la vie politique.

En effet, après, il ne s'agira plus pour les deux leaders que de négocier sur la forme institutionnelle que

prendra la séparation et sur les traités qui uniront les deux futurs pays. Le 27 août, la date de partition est

décidée et portée au 1 janvier 199323. Le référendum est abandonné alors que le peuple tchécoslovaque

reste, selon les sondages, très divisé sur la question.

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Le dernier obstacle à la partition va être l'opposition politique à l'Assemblée fédérale. En effet, le 1er

octobre, les députés chrétiens-démocrates slovaques et les républicains tchèques, aidés de quelques

députés HZDS bloquent le projet de partition, proposant une « Union tchéco-slovaque » basée sur le

modèle de Maastricht, qui prendrait fin au moment de l'entrée dans la CEE24. Cette forme de

confédération refait surface et met les négociations dans l'impasse25. Klaus perd confiance en Meciar qui

n'a pas tenu ses députés, élus sur un modèle confédéral et non d'indépendance.

Après que Meciar ait confirmé sa volonté d'une indépendance de la Slovaquie, les négociations

reprennent26, et malgré encore une tentative infructueuse de faire passer la loi de partition à l'Assemblée

fédérale, celle-ci sera finalement adoptée le 25 novembre 199227.

Finalement, comme annoncé fin août, la Fédération tchécoslovaque est rompue le 31 décembre 1992 à

minuit, et ce sont la Slovaquie et la République tchèque qui apparaissent sur la carte d'Europe centrale le

matin du 1er janvier 1993.

2. Les acteurs

1. Acteurs Internes

Tous les acteurs suivants sont internes car ils ont participé directement aux événements en

Tchécoslovaquie.

1. Vaclav Havel

Vaclav Havel est un homme politique célèbre en Tchécoslovaquie et en Europe. Dissident pendant le

régime communiste, cet ancien dramaturge va prendre la tête de la « révolution du velours » en 1989 et

finir par devenir président de son pays28. Très attaché à l'unité de la Tchécoslovaquie, le rappelant sans

cesse à ses concitoyens29, il ne va abandonner la partie qu'en juillet 1992, refusant de devenir uniquement

un instrument administratif de la partition. Se faisant assez discret, malgré quelques apparitions, durant la

fin de l'année 1992, il sera élu président de la République tchèque, après la partition, début 199330.

2. Vaclav Klaus et l'ODS

Proche d'Havel, il représente le mouvement néo-libéral d'inspiration thatchérienne qui veut libéraliser à

tout prix la Tchécoslovaquie31. Ministre des Finances avant 1992, il quitte toute ambition fédérale après la

victoire de son parti en Bohème-Moravie en 1992. Il va très vite accepter, voire pousser l'indépendance

slovaque pour des raisons économiques, alors qu'il devient Premier ministre tchèque. Très rigoureux dans

les négociations, il va mener un bras de fer constant avec Meciar pour régler la partition, sur tous les

sujets. Il restera premier ministre tchèque après la partition et deviendra président en 2003.

3. Vladimir Meciar et l'HZDS

Ancien partisan communiste, il se retrouve dans le pendant slovaque du parti de Vaclav Havel après la

révolution de velours. En avril 1992, alors qu'il est déjà premier ministre slovaque, il crée un parti

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Page 5: Dissolution de la Tchécoslovaquie

dissident, « Pour une Slovaquie indépendante »32. Il est destitué de son poste de premier ministre, ce qui

va provoquer une agitation politique en Slovaquie, Meciar étant très populaire. Il va donc gagner les

élections en juin 1992, redevenant premier ministre, et négociant avec Klaus sur la séparation. Lui qui ne

voulait à la base que la souveraineté de la Slovaquie dans un système plus ou moins confédéral 33 va être

surpris par la rapidité du Tchèque à accepter une indépendance totale de la Slovaquie, ou rien (c'est à dire

le maintien d'une fédération). Cela va placer Meciar dans une position difficile, ce qui va expliquer les

différents moments de rupture qui vont exister dans les négociations, jusqu'au mois d'octobre 199234, où

il acceptera définitivement l'indépendance. Après la partition, il restera aussi Premier ministre slovaque35.

4. Les partis de l'opposition

Les partis de l'opposition (surtout les Chrétiens démocrates slovaques et les républicains tchèques) vont

jouer un rôle de blocage important, surtout au niveau de l'Assemblée fédérale où ils vont empêcher

plusieurs fois le vote de la loi sur la partition en octobre 1992, provoquant des ruptures dans les

négociations et un ralentissement du processus36. Malgré leurs efforts, ils ne parviendront pas à éviter la

partition.

5. Et le peuple ?

Vaclav Havel demandait un référendum sur la question depuis 199137, mais il n'a jamais été entendu. La

question a été définitivement tranchée en août 1992 : aucun référendum sur la question ne serait organisé

au niveau national, les Slovaques réfléchissant encore de leur côté38. Cependant, aucune initiative

référendaire ne verra le jour. Le peuple n'a donc pas eu son mot à dire, excepté durant les législatives,

mais les programmes n'envisageaient d'aucun côté une partition totale. Il n'est pas certain qu'un

référendum sur la question aurait été en faveur de la partition, ce qui a peut-être encouragé les dirigeants

à ne pas en faire, estimant le processus déjà trop bien engagé. On pointe souvent ce manque de

démocratie dans la partition tchécoslovaque39.

2. Acteurs Externes

1. La CEE

Il n'y a pas eu énormément de pression internationale sur la Tchécoslovaquie pour aller dans un sens ou

dans l'autre – partition ou fédération. La plus grosse crainte était que la situation vire à la guerre civile,

comme en Yougoslavie. Finalement, la réaction internationale la plus marquée fut celle de la

Communauté économique européenne, qui déplorait une éventuelle partition de la Tchécoslovaquie,

actant qu'il faudrait alors reprendre les négociations des accords d'association40. Cela n'a pas eu beaucoup

d'impact sur la partition au final, et ces questions n'ont pas été centrales dans les négociations.

2. La minorité hongroise et la Hongrie

Une forte minorité hongroise se trouve en Slovaquie. Celle-ci était pour la Fédération, craignant qu'une

Slovaquie indépendante fasse des lois anti-hongrois, ceux-ci parlant une autre langue et disposant de

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facilités dans l’État tchécoslovaque. Cette question va préoccuper la Hongrie41, et sera au centre des

relations entre le premier ministre slovaque et le premier ministre hongrois42.

La Hongrie va d'ailleurs faire ce qu'elle pourra avant et après pour retarder l'adhésion des deux nouveaux

pays aux institutions internationales comme le Conseil de l'Europe.

3. Les logiques

1. La logique nationaliste

C'est la logique unique de cette partition tchécoslovaque, mais elle va être causées par deux paramètres

différents.

En Slovaquie, deux facteurs vont jouer : l'identité et la contestation économique.

En effet, dès le moment où la Tchécoslovaquie est libérée, certains mouvements slovaques vont

demander l'indépendance ou en tout cas la souveraineté de la région. Le peuple slovaque qui au cours de

l'histoire a été balancé entre plusieurs grandes entités d'Europe centrale43 souhaite affirmer son autonomie

et devenir une entité politique autonome. Même si, on l'a vu, il y a eu des hésitations durant la partition,

certains mouvements l'ont réclamée. Bien sûr, et ce fut souligné dans la partie des acteurs, le peuple

slovaque était moins convaincu de l'indépendance que ses dirigeants qui croyaient dur comme fer à cette

possibilité historique44.

La Slovaquie se voit comme une nation d'Europe centrale qui veut bien collaborer avec les Tchèques,

mais qui tient aussi à une certaine forme de souveraineté45. Vladimir Meciar, durant la campagne de juin

1992, où son parti a remporté les élections en Slovaquie, ne parlait pas d'indépendance mais de

souveraineté slovaque, ce qui mettait au moins 33,65 % de la population slovaque d'accord, voire plus si

on y ajoute les 7 % de voix reçues par le parti nationaliste slovaque46.

De plus, il y avait cette idée en Slovaquie que les Tchèques décidaient pour tout le monde en

Tchécoslovaquie, avec « Prague » comme centre fédéral47. Certains préjugés couraient sur les uns et sur

les autres, et le leader slovaque Meciar, par sa manière d'être choquait souvent les Tchèques48.

Cependant, les Tchèques n'avaient pas ces revendications nationales, et voulaient a priori conserver une

fédération unifiée tchécoslovaque49.

L'autre facteur du côté slovaque est aussi l'économie, mais pour pouvoir bien comprendre le problème

qui s'est posé, il est nécessaire de revenir sur la transition économique en Tchécoslovaquie au début des

années 1990.

Dès la fin de la sortie du régime communiste en Tchécoslovaquie, une réforme économique fut mise en

place par les nouveaux dirigeants du pays. Ceux-ci, désormais hors du COMECOM50 vont s'efforcer de

se rapprocher de l'économie de marché présente dans les pays d'Europe occidentale, afin de pouvoir

espérer adhérer un jour à la Communauté économique européenne.

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Cette politique va s'appeler la « thérapie de choc » qui vise à faire passer, le plus vite possible, un pays

d'une économie communiste et planifiée à une économie de marché capitaliste51. Dès juin 1989 la

planification annuelle est abolie, début juillet 1990 la Commission du Plan disparaît à son tour52. C'est

l'heure de la privatisation en Tchécoslovaquie, elle se déroulera en quatre phases, surtout à partir de

1991.53

Cependant, cela ne se fait pas sans heurts et la libéralisation des prix va provoquer une forte hausse du

coût de la vie quotidienne54. Toutes ces réformes économiques sont portées par le Tchèque Vaclav Klaus,

le ministre des Finances fédéral (voir la partie « Acteurs »).55

Mais ces mesures économiques vont avoir un impact différent dans les deux régions du pays et catalyser

la demande d'indépendance de la Slovaquie. En effet, celle-ci possédait une industrie lourde, axée

notamment sur l'armement, qui était très dépendante du COMECON et de l'URSS. La restructuration de

l'industrie va être assez défavorable aux Slovaques56 qui vont en outre voir le chômage exploser en 2 ans,

passant d'un quasi plein emploi à 12 % de chômeurs au 1er Janvier 1993 (situation qui durait depuis des

mois)57. Cependant, en Bohème-Moravie, le taux de chômage n'a jamais explosé (4 % maximum ; il est

de 2,5 % au 1er janvier 199358) et les mesures ont été plutôt favorables aux industries tchèques (70 % de

la production industrielle tchécoslovaque est tchèque)59. De plus, on perçoit de nouveau ces mesures

comme une politique pragoise, portée uniquement par les Tchèques, en particulier, Klaus60.

On voit bien qu'avec ces différences économiques entre les deux régions, les Slovaques vont contester

ces décisions économiques, thème qui sera largement développé durant la campagne électorale de 1992.61

En République Tchèque, ce facteur économique a aussi engendré, en tout cas dans le chef de Vaclav

Klaus, un repli national. En effet, l'industrie tchèque, comme on l'a vu, fonctionnait très bien et la

constestation slovaque pouvait avoir comme conséquence de ralentir son développement, et en même

temps, le développement de la République tchèque toute entière.

Ainsi, en mettant les Slovaques face à leurs responsabilités indépendantistes, ils se détachaient d'un poids

économique et espéraient pouvoir s'ouvrir encore plus largement à l'économie de marché et à l'Europe de

l'Ouest. Et cela, même si le peuple tchèque en lui même, était plutôt défavorable à la dissolution de la

fédération…

4. Conclusion

Pou conclure, il est intéressant de relever les trois points qui rendent cette partition unique.

Premièrement, contrairement à la Yougoslavie, elle s'est accomplie sans violence, juste par la

négociations. Deuxièmement, elle a été réalisée très rapidement, en 6 mois nous sommes passé d'un Etat

fédéral à deux Etats séparés et troisièmement, elle s'est déroulée en quelque sorte sans le peuple, qui n'a

pas été réellement consulté sur cette question institutionnelle, qui constitue pourtant un événement

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Page 8: Dissolution de la Tchécoslovaquie

majeur dans l'histoire d'un pays. Grâce à ces particularités, il est très intéressant de comprendre ses

dynamiques, à la fois historiques ou économiques, et d'analyser les forces qui y ont mené.

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Page 9: Dissolution de la Tchécoslovaquie

BIBLIOGRAPHIE

Sources de première main

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« Lors d'une rencontre à Budapest Les premiers ministres hongrois et tchèques ont souhaité que la

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« M. Klaus et M. Meciar ont annoncé ensemble un accord sur la partition de la Tchécoslovaque. Le texte

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« M. Klaus et M. Meciar ont annoncé ensemble un accord sur la partition de la Tchécoslovaquie. », Le

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« POINT LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Divorce à l'amiable », Le Monde, 1 janvier

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« POINT LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Les étapes de l'accord », Le Monde, 1 janvier

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« POINT LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Naissance d'une frontière », Le Monde, 1

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« POINT LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE SLOVAQUIE Les craintes de la minorité

hongroise », Le Monde, 1 janvier 1993

« POINT/LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Deux nouveaux Etats, un seul héritage », Le

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« POINT/LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE L'économie slovaque à l'épreuve du

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« POINT/LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Soixante-quatorze ans d'histoire commune et

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« POINT/LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE Une course de vitesse », Le Monde, 18 juillet

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Page 12: Dissolution de la Tchécoslovaquie

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« TCHECOSLOVAQUIE : après le vote négatif du Parlement Les négociations sur la séparation sont

dans l'impasse », Le Monde, 6 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : artisan de la réforme économique radicale M. Vaclav Klaus va tenter de

former le nouveau gouvernement », Le Monde, 9 juin 1992

12

Page 13: Dissolution de la Tchécoslovaquie

« Tchécoslovaquie : au lendemain des élections législatives « I love Meciar ! » », Le Monde, 10 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : au lendemain des élections Les premières discussions sur la formation du

gouvernement fédéral n'ont pas abouti », Le Monde, 10 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : crise politique à Bratislava Le premier ministre slovaque fonde son propre

parti », Le Monde, 8 mars 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : en adoptant la loi sur la partition le parlement a ouvert la voie à une scission

constitutionnelle de la Fédération », Le Monde, 27 novembre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : en prévision de la scission Le gouvernement a mis au point la répartition des

biens fédéraux », 25 septembre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : en vue de la séparation Le Parlement fédéral a adopté une loi sur la

répartition des biens entre les deux Républiques », Le Monde, 15 novembre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la Fédération Le dirigeant slovaque Vladimir Meciar affirme qu'il

ne veut pas « briser l’État commun » », Le Monde, 14 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la fédération Le président Havel hué à Bratislava », Le Monde, 30

octobre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la fédération Les négociations entre M. Klaus et M. Meciar sont

dans l'impasse », Le Monde, 13 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la fédération M. Havel et M. Klaus conjuguent leurs efforts pour

éviter la scission », Le Monde, 11 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : l'élection présidentielle est reportée », Le Monde, 8 aout 1992

« Tchécoslovaquie : l'heure de vérité en Slovaquie », Le Monde, 31 décembre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : la crise de la Fédération Les députés slovaques refusent au président Havel

un référendum sur l'avenir du pays », Le Monde, 23 janvier 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : la crise de la fédération M. Vaclav Havel souhaite un accord de

« cohabitation » entre les Républiques tchèques et slovaque », Le Monde, 5 novembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : la fin de la fédération Les Tchèques s'interrogent sur leur identité », Le

Monde, 31 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : la partition suspendue », Le Monde, 3 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : la préparation de la scission Nouveaux accords pour régler les relations entre

les deux futures républiques », Le Monde, 11 novembre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : le 53e anniversaire de l’État fasciste de Slovaquie Les extrêmistes de

Bratislava en perte de vitesse », Le Monde, 17 mars 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : le débat sur les insitutions Le président Havel retire son projet de réforme du

Parlement fédéral », Le Monde, 24 janvier 1992

13

Page 14: Dissolution de la Tchécoslovaquie

« TCHECOSLOVAQUIE : Le premier ministre slovaque sur la sellette », Le Monde, 6 mars 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : les 5 et 6 juin Le maintien d'un Etat unitaire principal enjeu des élections

législatives », Le Monde, 5 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : les discussions sur la fédération MM. Klaus et Meciar ont reporté leur

troisème rencontre », Le Monde, 16 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : les modalités de la partition Pas de référendum et maintien d'une monnaie

commune », Le Monde, 29 aout 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : les négociations entre Tchèques et Slovaques Le refus de M. Klaus de diriger

le gouvernement fédéral pourrait accélérer l'éclatement du pays », Le Monde, 19 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : M. Meciar interrompt les négociations sur la partition de la fédération », Le

Monde, 26 aout 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : manifestations de soutien à M. Vaclav Havel », Le Monde, 23 novembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : Manifestations nationalistes à Bratislava », Le Monde, 12 mars 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : nouveau revers pour le chef de l’État Le Parlement refuse à M. Havel un

renforcement de ses pouvoirs », Le Monde, 30 janvier 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : nouvel échec des débats sur l'avenir de la fédération », Le Monde, 14

novembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : persistant à être candidat à l'élection présidentielle du 3 juillet M. Vaclav

Havel refuse de « capituler » », Le Monde, 27 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : pris à partie à Bratislava Le président Havel propose un vote sur l'avenir de la

Slovaquie », Le Monde, 16 mars 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : protestant contre la destitution de leur premier ministre. Des dizaines de

milliers de Slovaques ont manifesté à Bratislava », Le Monde, 26 avril 1991.

« TCHECOSLOVAQUIE : recomposition du paysage politique en Slovaquie Glissement à droite du

« Public contre la violence » », Le Monde, 22 octobre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE : reprise des négociations sur la séparation M. Vladimir Meciar se prononce

pour l'indépendance de la Slovaquie », Le Monde, 8 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : selon M. Meciar La souveraineté de la Slovaquie sera proclamée en juillet »,

Le Monde, 25 juin 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : Tchèques et Slovaques n'ayant pu se mettre d'accord Le Parlement fédéral

ajourne les débats sur sa nouvelle structure », Le Monde, 25 janvier 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : un échec pour M. Vaclav Klaus La scission de la Fédération est bloquée par

le Parlement », Le Monde, 3 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : un procureur annonce l'existence d'un plan pour créer une « Armée de

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Page 15: Dissolution de la Tchécoslovaquie

libération de la Slovaquie », Le Monde, 16 février 1992

« TCHECOSLOVAQUIE : vers un référendum sur l'avenir du pays », Le Monde, 8 novembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE », Le Monde, 9 juin 1992

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« TCHECOSLOVAQUIE Le président Havel demande à ses compatriotes de « garder l'espoir » », Le

Monde, 3 janvier 1991

« TCHECOSLOVAQUIE Le président Havel demande un référendum sur l'avenir de la fédération avant

la fin de l'année », Le Monde, 26 septembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE Le président Vaclav Havel a annoncé sa démission », Le Monde, 18 juillet

1992

« TCHECOSLOVAQUIE Le processus de l'élection présidentielle dans l'impasse », Le Monde, 18 juillet

1992

« TCHECOSLOVAQUIE Le retrait du président Havel », Le Monde, 19 juillet 1992

« TCHECOSLOVAQUIE Les déclarations de M. Klaus à Paris Les deux futurs pays conserveront une

monnaie commune », Le Monde, 14 octobre 1992

« TCHECOSLOVAQUIE Les négociations sur la future structure du Parlement fédéral progressent », Le

Monde, 11 février 1992

« TCHECOSLOVAQUIE M. Vaclav Havel n'a pas été réélu président de la République fédérale

L'homme de la « révolution de velours » a chuté sur l'affaire slovaque », Le Monde, 5 juillet 1992

« TCHECOSLOVAQUIE M. Vaclav Havel s'est démis de ses fonctions de président », Le Monde, 22

juillet 1992

« TCHECOSLOVAQUIE Manifestations de soutien au président Havel », Le Monde, 21 novembre 1991

« TCHECOSLOVAQUIE Manifestations nationalistes à Bratislava », Le Monde, 12 mars 1991

« TCHECOSLOVAQUIE Nouveau rassemblement indépendantiste à Bratislava », Le Monde, 13 mars

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« TCHECOSLOVAQUIE Scission du Forum civique », Le Monde, 12 février 1991

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15

Page 16: Dissolution de la Tchécoslovaquie

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l'indépendance », Le Monde, 21 novembre 1992

« Un entretien avec le premier ministre slovaque « Nous ne voulons pas l'indépendance, on nous y

pousse » nous déclare M. Vladimir Meciar », Le Monde, 7 juillet 1992

« Un entretien avec le premier ministre tchèque : « Le processus de séparation de la Slovaquie est

impossible à arrêter », nous déclare M. Vaclav Klaus », Le Monde, 17 juillet 1992

« Un entretien avec le président de la République tchécoslovaque M. Vaclav Havel : « L'Occident doit

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septembre 1992, p.9

AFP, « Vaclav Havel démissionne après la proclamation d'indépendance à Bratislava L'adieu à l’État

tchécoslovaque », Le Soir, 18 juillet 1992, p.6

AFP, « Vaclav Havel plaide pour l'unité La Tchécoslovaquie en campagne », Le Soir, 14 mai 1992, p.8

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COLLETTE, Jean-Paul, « Un mois après, leur indépendance se traduit encore par des symboles, malgré

l'introduction d'une nouvelle monnaie (I) », Le Soir, 5 février 1993, p.6

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chahutée par l'extrême-droite slovaque : élection bloquée », Le Soir, p.6

PEYRICHOUT, Pierre, « La Tchécoslovaquie en deux Etats indépendants », Le Soir, 31 décembre 1992,

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PEYRICHOUT, Pierre, « Les Parlements tchèque et slovaque élisent, mardi, les présidents des deux

nouveaux Etats Vaclav Havel va rempiler », Le Soir, 25 janvier 1993, p.6

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La course conre la montre de Vaclav Havel », Le Soir, 23 novembre 1992, p.11

VAN VELTHEM, Edouard, « Désaccords dans le divorce de veelours entre Tchèques et Slovaques Le

réveil tardif des députés fédéraux », Le Soir, 3 octobre 1992, p.7

VAN VELTHEM, Edouard, « Elections : quel contrat en Tchécoslovaquie ? », Le Soir, 4 juin 1992, p.8

VAN VELTHEM, Edouard, « Havel fait front dans la tempête Deux entités pour un pays », Le Soir, 10

juin 1992, p.6

VAN VELTHEM, Edouard, « Havel perd sa Tchécoslovaquie », Le Soir, 22 juin 1992, p.6

VAN VELTHEM, Edouard, « Klaus et Meciar se mettent d'accord sur le désaccord en Tchécoslovaquie

L'aveu d'incompatibilité à Prague », Le Soir, 19 juin 1992, p.9

VAN VELTHEM, Edouard, « La suite du dialogue tchéco-slovaque Le trio infernal à Prague », Le Soir,

11 juin 1992, p.8

VAN VELTHEM, Edouard, « La Tchécoslovaquie en quête d'identité entre ses communautés

concurrentes Des froissements dans le velours », Le Soir, 7 novembre 1991, p.10

VAN VELTHEM, Edouard, « Les députés slovaques l'avaient promis, Vaclav Havel n'est plus président.

La Tchécoslovaquie sans chef d’État, au revoir et merci. », Le Soir, 4 juillet 1992, p.6

VAN VELTHEM, Edouard, « Les négociations tchéco-slovaques Un juridisme de velours », Le Soir, 24

juillet 1992, p.6

VAN VELTHEM, Edouard, « Tchécoslovaquie : le calendrier est remis à jour »,Le Soir, 2 juillet 1992,

p.7

21

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Vidéo

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Sources de deuxième main

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1995, 291 pages.

DOSSIER DOCUMENTAIRE

Document 1 : REUTER, « Vaclav Havel : « Le pays est menacé d'éclatement » », Journal de Genève, 11

décembre 1990, p.3.

Un des premiers articles où le danger nationaliste est relevé, en particulier par le chef de l’État

tchécoslovaque, Vaclav Havel.

Document 2 : « M. Klaus et M. Meciar ont annoncé ensemble un accord sur la partition de la

Tchécoslovaquie Le texte de la déclaration », Le Monde, 21 juin 1992

Texte de la déclaration qui acte pour la première fois le projet d'une partition du pays. Cette déclaration a

été signée par Vaclav Klaus, leader tchèque et Vladimir Meciar, leader slovaque. C'est un moment clé

dans l'histoire de cette dissolution.

Document 3 : « Enter Slovakia, Exit Havel », The New York Times, 18 juillet 1992

Article du New York Times qui explique les événements du 17 juillet 1992, c'est à dire la démission de

Vaclav Havel de la présidence et la déclaration de souveraineté du Conseil national slovaque. C'est une

autre rupture importante de la partition, même si assez symbolique.

22

Page 23: Dissolution de la Tchécoslovaquie

1 WHITNEY Craig R., « Evolution in Europe, Burst of Freedom in Czechoslovakia May Split Czechs From the Slovaks », The New York Times, 3 juin 1990.

2 « Slovaquie : Quatorze siècles d'existence et six ans d'indépendance », Le Monde, 3 juin 1992. 3 AFP, « Municipales en Tchécoslovaquie. Avertissement au Forum et les nationalistes en échec », Le Soir, 27

novembre 1990, p.64 REUTER, « Le pays renoue avec les élections et favorise le Forum civique de Havel », Journal de Genève, 11 juin

1990, p.25 AFP, « Vaclav Havel pris à partie à Bratislava », Le Soir, 15 mars 1991, p.76 « TCHECOSLOVAQUIE : crise politique à Bratislava Le premier ministre slovaque fonde son propre parti », Le

Monde, 8 mars 19917 AFP, « La Slovaquie sur un volcan après Vladimir Meciar », Le Soir, 25 avril 1991, p.88 « TCHECOSLOVAQUIE : les 5 et 6 juin Le maintien d'un Etat unitaire principal enjeu des élections législatives »,

Le Monde, 5 juin 19929 « Slovaquie : l'émancipation en marche. Les élections des 5 et 6 juins en Tchécoslovaquie devraient sonner le glas

de la Fédération sous sa forme actuelle », Le Monde, 3 juin 1992. 10 Ibid.11 « TCHECOSLOVAQUIE », Le Monde, 9 juin 1992.12 « TCHECOSLOVAQUIE ; artisan de la réforme économique radicale M. Vaclav Klaus va tenter de former le

nouveau gouvernement », Le Monde, 9 juin 199213 « TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la fédération M. Havel et M. Klaus conjuguent leurs efforts pour éviter la

scission », Le Monde, 11 juin 199214 « TCHECOSLOVAQUIE : l'avenir de la fédération Les négociations entre M. Klaus et M. Meciar sont dans

l'impasse », Le Monde, 13 juin 199215 « M. Klaus et M. Meciar ont annoncé ensemble un accord sur la partition de la Tchécoslovaque. Le texte de la

déclaration », Le Monde, 21 juin 1990.16 ENGELBERG, Stephen, « Havel Calls for Preservation Of United Czechoslovakia », The New York Times, 26 juin

1992. 17 « Only Moral Solution Is Joint Referendum, Havel Tells Citizens. », The New York Times, 22 juin 1992.18 « TCHECOSLOVAQUIE : persistant à être candidat à l'élection présidentielle du 3 juillet M. Vaclav Havel refuse

de « capituler » », Le Monde, 27 juin 1992.19 « Les Slovaques font tomber Vaclav Havel », Journal de Genève, 4 juillet 1992, p.320 « TCHECOSLOVAQUIE : selon M. Meciar La souveraineté de la Slovaquie sera proclamée en juillet », Le Monde,

25 juin 199221 « Enter Slovakia, Exit Havel », The New York Times, 18 juillet 1992.22 AFP, « Vaclav Havel démissionne après la proclamation d'indépendance à Bratislava. L'adieu à l’État

Tchécoslovaque », Le Soir, 18 juillet 1992, p.6.23 AFP, « Le 1 er janvier, la fédération née de l'Empire austro-hongrois aura cessé d'exister. Tchèques et Slovaques

divorcent à l'amiable », Le Soir, 28 août 1992, p.624 AFP, « Coup de théâtre à Prague Le pied de nez du parlement fédéral aux indépendantistes », Le Soir, 2 octobre

1992, p.825 « TCHECOSLOVAQUIE : après le vote négatif du Parlement Les négociations sur la séparation sont dans l'impasse

», Le Monde, 6 octobre 1992.26 « TCHECOSLOVAQUIE : reprise des négociations sur la séparation. M. Vladimir Meciar se prononce pour

l'indépendance de la Slovaquie », Le Monde, 8 octobre 1992.27 « TCHECOSLOVAQUIE : en adoptant la loi sur la partition le parlement a ouvert la voie à une scission

constitutionnelle de la Fédération », Le Monde, 27 novembre 199228 « Les Slovaques font tomber Vaclav Havel », Journal de Genève, 4 juillet 1992, p.329 KAMM, Henry, « As Slovak Separatism Gains, Havel Faces the Unthinkable », The New York Times, 20 novembre

1991.30 PEYRICHOUT, Pierre et AFP, « Présidentielle en République tchèque : l'élection de Vaclav Havel chahutée par

l'extrême-droite slovaque : élection bloquée », Le Soir, p.631 ENGELBERG, Stephen, « THE WORLD ; Leaders Drive Apart Czech And Slovak », The New York Times, 28 juin

199232 AFP, « La Slovaquie sur un volcan après Vladimir Meciar », Le Soir, 25 avril 1991, p.833 ENGELBERG, Stephen, loc. Cit.34 « TCHECOSLOVAQUIE : reprise des négociations sur la séparation. M. Vladimir Meciar se prononce pour

l'indépendance de la Slovaquie », loc. Cit.35 COLLETTE, Jean-Paul, « Un mois après, leur indépendance se traduit encore par des symboles, malgré

l'introduction d'une nouvelle monnaie (I) », Le Soir, 5 février 1993, p.636 AFP, « TCHECOSLOVAQUIE : Le Parlement recommande la création d'une union tchéco-slovaque », Journal de

Page 24: Dissolution de la Tchécoslovaquie

Genève, 2 octobre 1992.37 « TCHECOSLOVAQUIE : pris à partie à Bratislava Le président Havel propose un vote sur l'avenir de la

Slovaquie », loc. Cit.38 « TCHECOSLOVAQUIE : les modalités de la partition Pas de référendum et maintien d'une monnaie commune »,

Le Monde, 29 août 1992.39 ENGELBERG, Stephen, « Czechoslovakia Breaks in Two, To Wide Regret », The New York Times, 1 janvier 199340 « TCHECOSLOVAQUIE : Après l'accord sur un processus de partition Les Douze se disent « attristés » », Le

Monde, 23 juin 1992.41 BODONI, Ildiko J., « What Hungary Lost at Czechoslovakia's Birth », The New York Times, 29 juin 199042 « La visite de M. Vladimir Meciar à Budapest. La création d'un Etat slovaque indépendant préoccupe la Hongrie »,

Le Monde, 11 septembre 1992. 43 « Slovaquie : Quatorze siècles d'existence et six ans d'indépendance », Le Monde, 3 juin 1992. 44 « Scènes de liesse et interrogation à Bratislava. La Slovaquie a proclamé sa souveraineté », Le Monde, 19 juillet

199245 VAN VELTHEM, Edouard, « La Tchécoslovaquie en quête d'identité entre ses communautés concurrentes Des

froissements dans le velours », Le Soir, 7 novembre 1991, p.1046 « TCHECOSLOVAQUIE », Le Monde, 9 juin 1992. 47 « TCHECOSLOVAQUIE : Manifestations nationalistes à Bratislava », Le Monde, 12 mars 199148 « THECOSLOVAQUIE : L'hypothèque slovaque », Le Monde, 25 avril 199149 « THE WORLD ; Where the Real Nations Are in the Center of Europe », The New York Times, 1 avril 199150 NOVELLO, Pierre ; « Thérapie de choc à l'Est », Journal de Genève, p.13, 31 décembre 1990.51 « Prague et la transition de velours Le passage à l'économie de marché est finalement plus progressif que ne l'avait

annoncé le très thatchérien ministre des Finances Vaclav Klaus », Le Monde, 1 octobre 1991. ET NOVELLO, Pierre, loc. Cit.

52 MATEJKA, Harriet, « La Tchécoslovaquie enterre la planification », Journal de Genève, 25 juillet 1990, p.4 53 ATS/AFP, « Tchécoslovaquie : plan de privatisation en quatre phases », Journal de Genève, 6 décembre 1990, p.1154 AFP, « Fortes hausses des prix en Tchécoslovaquie », Journal de Genève, 5 janvier 1991, p.555 AFP, « La Tchécoslovaquie, championne des réformes à l'Est, selon Vaclav Klaus », Journal de Genève, 1 juin 1991, p.656 « BILLET Tchécoslovaquie : deux pays en un », Le Monde, 10 juin 199257 « Point la partition de la Tchécoslovaquie », Le Monde, 1 janvier 1993. 58 Ibidem59 « Point/LA PARTITION DE LA TCHECOSLOVAQUIE, L'économie slovaque à l'épreuve du divorce », Le Monde,

18 juillet 199260 Ibidem61 Ibidem