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Souria ADELE 4 square André Lichtenberger 75014 PARIS 06 60 67 0 776 1

DIEP AND CIE (Titre provisoire)

Histoire d’un sein retrouvé

Court-métrage

Ecrit par Souria ADELE

Réalisation : William PITT et Souria ADELE

Dépôt SNAC le 26 avril 2011

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DIEP and CIE

PITCH Souria 50 ans, Ester 40 ans et Valérie 45 ans, trois françaises qui, suite à un cancer du sein ont du subir une ablation, optent pour une reconstruction par DIEP. Elles témoignent avec humour de ce choix et de cette expérience.

Souria ADELE

Ester LYNNE Valérie SABATIER


NOTE D’INTENTION

Je m’appelle Souria ADELE et je suis comédienne. En 2002, j’ai 41 ans et je suis maman d’un petit garçon de 12 ans. On me dit plutôt radieuse, souriante et jolie… Je prends soin de moi ; je suis une ancienne danseuse. La partie que je préfère chez moi ? mes seins, armes de séduction massive. Oui on peut dire que j’ai une très belle poitrine et c‘est la partie de mon corps à laquelle je tiens le plus. En décembre 2002, on me diagnostique un cancer du sein. Mais j’ai de la CHANCE, il n’y a pas d’envahissement ganglionnaire, et mon traitement consistera en une tumeroctomie et de la radiothérapie. Plus de peur que de mal ! Malheureusement en 2005, suite à une biopsie de contrôle, on trouve de nouvelles cellules cancéreuses dans mon sein déjà opéré. Là le verdict tombe et est sans appel, je vais non seulement avoir des séances de chimiothérapie, mais je vais devoir subir l’ablation de mon sein gauche. L’opération aura lieu le lundi 20 juin 2005. Un drame innommable, moi qui tenait tant à mes seins, mais je tenais aussi à la vie…. Alors pendant 4 ans, je suis restée avec une prothèse externe : un poids d’un kilo à coller tous les jours sur la peau. Cette période a été très difficile pour moi. Au début on est content d’être en vie mais après quelques temps on oublie à quoi on a échappé…… Ne pas pouvoir s’acheter de la lingerie comme l’on veut, ne plus pouvoir mettre de décolleté, ne pas pouvoir prendre sa douche comme tout le monde après une séance de sport, acheter un maillot spécial pour aller à la plage mais pour moi, le pire c’était ma relation avec les hommes. C’était très, très compliqué. Comment leur dire ? Ca en faisait fuir certains, mais surtout je me sentais très diminuée. Je ne m’aimais pas comme cela, et quand on ne s’aime pas ….. Dans le travail c’était pareil. Je ne voulais pas en parler mais pour certains rôles il fallait que j’informe à la costumière. En quatre ans j’ai perdu tout intérêt pour la mode, la séduction, je me desséchais. Je n’étais plus la même. Mon chirurgien m’a parlé de la reconstruction Tram,, lambeau dorsal, etc ;…autant de techniques sur lesquelles j’ai du me pencher… mais aucune ne me séduisait . Et puis lors d’une réunion d’information à l’Institut CURIE ou un professeur évoquait toutes ces techniques de reconstruction, une jeûne femme prénommée Ester s’est levée à la fin de séance en disant qu’elle ne comprenait pas pourquoi on ne parlait pas du DIEP (en anglais Deep Inferior Epigastric Perforator flap) qui pour elle était ce qui il y avait de mieux. Il faut dire que cette technique demande un talent certain du chirurgien. L’opération dure 7 heures car c’est de la micro-chirurgie. On raccorde la veine épigastrique avec l’artère du bras. Ester était incroyable et tellement pleine d’énergie. J’ai pris un rendez vous avec le DR LANTIERI qui exercait à Hôpital Henri Mondor, et qui maitrise la technique du DIEP, un grand professeur mais à la deuxième consultation, je n’étais toujours pas convaincue. Cinq pour cent d’échec, par nécrose, tu vas voir ça va tomber sur moi.

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Après réflexion, je retourne à une troisième consultation et dans la salle d’attente qui vois je ? Ester et Valérie qui venaient juste à une consultation de contrôle de leur DIEP. Je ne suis pas convaincue, j’émets des doutes , mais comment va être mon sein , les cicatrices, la forme , est ce que ce sera joli, et si ça rate, car les photos qu’on vous montre dans les colloques sont toutes plus horribles les unes que les autres. Et là, Valérie devant mon désarroi, me demande : TU VEUX VOIR ????? OUI JE VEUX VOIR.

Et nous voilà dans les toilettes de l’hôpital. Elle me montre son sein. C’est que Valérie a des petits seins, mais tout de même……… oui le mamelon est un peu plus haut. Il faut bien dire quelque chose. Voilà, je suis décidée je fais mon DIEP ; Le 22 juin 2009, quasiment 4 ans jour pour jour Dr LANTIERI remplit cet espace vide, fantôme que je n‘arrivais pas à apprivoiser. L’opération a été longue, et il m’a fallu deux autres petites interventions de simétrisation. Mais c’est du passé. Non, je ne regrette pas mon DIEP Et c’est parce que les témoignages d’Ester et Valérie ont été décisifs pour moi, que je fais ce film. Seulement, 20 pour cent des femmes qui ont eu une ablation optent pour une reconstruction. Pour les femmes qui hésitent pour la reconstruction de leur sein. Je leur dis voilà, ce que ça peut-être un sein refait par DIEP…………… Je redeviens coquette, je m’occupe de moi, je refais du shopping. Cette reconstruction fait partie de la guérison. D’ailleurs la semaine dernière mon fils âgé aujourd’hui de 22 ans m’a dit « c’est super maman, tu es redevenue comme avant … » et avant, …… c’était bien. Souria ADELE .


ESTER ET VALERIE

Leur Histoire ESTER LYNNE A 33 ans, jʼai senti une petite "boule" dans l'un de mes seins. Intervention chirurgicale pour l'enlever, avec la surprise du réveil : l'annonce d'un cancer du sein. On m'informe ensuite du traitement : chimio, radiothérapie, et une nouvelle opération pour...l'ablation du sein ! "Jamais de la vie" ai-je crié ! Puis le chirurgien a mentionné la possibilité de reconstruction... J'ai réfléchi, pesé le pour et le contre, puis décidé de me séparer de ce sein qui m'avait apporté la maladie. Je n'ai accepté l'ablation que parce que j'avais eu l'information d'une reconstruction naturelle, sans corps étranger, et sans prélèvement musculaire, par la technique du DIEP. Seul le DIEP m'a convaincue d'envisager la mastectomie Depuis 6 ans, je vis avec mon nouveau sein "dieppé" et le décolleté qu'il a rendu possible, et j'en suis toujours aussi ravie ! Ester Ester LYNNE a écrit un ouvrage « AU SEIN DU CANCER » et est Présidente de lʼassociation R.S.DIEP VALERIE SABATIER Pourquoi le DIEP ?: pas d'élément étranger dans mon corps, pas besoin de changer la prothèse, pas de muscle utilisé et donc je conserve, je retrouve l'intégrité de mon corps. Avant le DIEP : tous les jours dans le miroir la cicatrice, la différence, lʼabsence de sein, le rappel de la maladie. A la piscine avec mes élèves la gymnastique rapide dans la cabine pour faire passer la prothèse dans la poche du maillot, le contraire à la sortie, la prothèse qui ne colle plus bien à cause de l'eau. Aujourd'hui sur la plage je me sèche et me rhabille en tombant le haut du maillot, comme avant, comme toutes les autres femmes : ni vu ni connu. Valérie

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SYPNOSIS Souria, 50 ans, Ester 40 ans et Valérie 45 ans ont du suite à un cancer du sein subir une ablation. Avec courage, elles ont accepté de lourds traitements pour sauver leur peau. On pourrait croire que c’était gagné. Certes elles étaient censées être guéries médicalement parlant, mais la mutilation de leur corps était insupportable. Valérie institutrice était mal à l’aise avec les enfants quand elle les accompagnait à la piscine, Souria vivait mal le regard des hommes sur son infirmité, quand à Roseline il était inenvisageable de rester avec un seul sein. La reconstruction pour elles était l’ultime étape dans la guérison de leur maladie. Outre la décision de refaire leurs seins, ces trois femmes ne voulaient pas de prothèses. Selon elles, le port d’une prothèse était source de nombreux désagréments et d’inconfort. Elles ont décidé de prendre le risque d ‘expérimenter une nouvelle technique. Malgré la lourdeur des opérations, elles ont opté pour une reconstruction par DIEP( Deep Inferior Epigastric fLap) (La reconstruction d’un sein après cancer est beaucoup plus complexe qu’une simple opération de chirurgie esthétique.) Par la plus grande des coïncidences, ces trois femmes se sont retrouvées chez le même chirurgien. Pour toutes les trois, l’opération a été réussie. Aujourd’hui, elles sont heureuses et ne regrettent en rien ce choix. Dans ce film, elles nous témoignent de leur bien-être retrouvé avec humour.


DIEP AND CIE

Séquence 1 – Int jour salon Souria est devant son miroir et danse comme une « folle » avec des robes aux décolletés les plus hollywoodiens sur de la musique funk soul (Lady marmelade, James Brown). Elle prend des poses de pin-up. Séquence 2 -INT JOUR STUDIO PHOTO fond noir Plan américain Valérie : cette femme n’est pas folle, elle vient juste de bénéficier d’une reconstruction du sein par DIEP. Séquence 3 :Int jour magasin Ester est dans un magasin de lingerie et achète de façon « compulsive » de la lingerie. Une vendeuse la conseille. Ester : Alors je vais vous prendre celui ci ,… celui là Ya combien de jours dans un mois ??? La vendeuse : Et bien ca dépend 30, 31 Ester (très autoritaire): il m’en fout un par jour. La vendeuse : Ca fait un peu beaucoup, non ??? Ester (très snob) Il m’en fout un par jour et même parfois deux, quand j’ai une soirée. Regard interloqué de la vendeuse avec la chef de caisse. Ester remplit son panier de façon très hautaine. La vendeuse subit. Arrivée à la caisse. La chef caissière : ça fait 2000 euros !

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Ester : ah ! Quand même ! Au moment de payer la vendeuse sort l’appareil de carte bleue. Ester insert sa carte, mais le code n’est pas bon. Sourire narquois de la chef caissière. Ester : Oh excusez moi, j’ai oublié mon code. J’peux payer en chèque ? La chef caissière (suspicieuse) : non, c’est espèce ou carte bleue. Ester : prend son téléphone portable. Ester : Tu me donnes la date de mon DIEP. Ah, c’est bon. Elle refait son code et cette fois ci ça marche. Ester pousse un cri !!! Ester : Oh, j’ai oublié les culottes assorties !!!! La chef-caissière : (avec un sourire) Oh ! C’est pour la bonne cause. ! Séquence 4 - INT Jour Studio PHOTO. Fond noir Plan américain SOURIA: cette femme n’est pas une acheteuse compulsive, elle vient juste de bénéficier d’une reconstruction de son sein par DIEP. Séquence 5 Ext jour-Mer et plage Des hommes regardent sous leurs lunettes. On voit Souria sortir de l’eau mer façon « James Bond Girl ». Avec un maillot de bain adéquate sur la musique du film de James Bond) Séquence 6 – INT Jour Studio PHOTO. Fond noir Plan américain ESTER: cette femme ne se prend pas pour une James Bond Girl, elle vient juste de bénéficier d’une reconstruction du sein par DIEP.


Séquence 7 Ext jour- devant le Crazy Horse Souria , et Ester attendent Valérie à la sortie du Crazy Horse(Paris) Nathalie sort du Crazy raccompagnée par le chorégraphe,. Elle semble déçue. Le chorégraphe lui dit gentiment mais avec regret: Chorégraphe : Ecoutez. Il ne suffit pas d’avoir deux seins, encore faut-il savoir danser. Souria et Ester : T’inquiètes ! Elles s’en vont toutes les trois en criant dans la rue et en dansant. Sourire du Chorégraphe. Séquence 8 -Int Jour Studio PHOTO. Fond noir. VALERIE : cette femme n’est pas………. Souria : Ah non c’est bon, on n’a compris. Ester nous attend, au couscous. Après on avait dit qu’on allait au hammam. Dépêche toi. Séquence 9 : INT HAMMAM Ester, Souria et Valérie se prélassent dans un hammam. Elles sont enveloppées chacune dans une serviette blanche. Arrive Carole une ancienne connaissance de Souria Carole : Oh comment tu va Souria ? T ‘es en forme ? Souria : (surprise) Oui et toi ? Carole : Ouais. J’ai pensé à toi, (gênée) avec les histoires de prothèses. Je me suis dis la pauvre, elle avait pas besoin de ça.… Souria : Ah mais moi, tout va bien, parce que j’ai jamais eu de prothèse ! Carole : Ah bon. ? T’as pas perdu ton sein ? Souria : oui, mais je l’ai retrouvé. J’ai fais un DIEP. Carole : un quoi ? Valérie : Je t’explique. On refait un sein en prenant la graisse et la peau de votre ventre, et l’artère épigastrique Ester : c’est un sein qui aura la forme de l’autre sein. Un sein naturel, quoi.

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Valérie : C’est génial si on grossit le sein grossit et si on maigrit, il maigrit. Et quand on vieillit, il se casse la gueule comme l’autre ! Ester : Pas de prothèse, pas de rejet, pas d’opération dans 10Ans, Ester : Le DIEP est une méthode de reconstruction qui permet aux femmes qui comme nous ont du subir une ablation, de retrouver l’harmonie de leurs corps. En tous les cas c’est ainsi que je le vois. Carole : Waouh ! C’est TOP ça, et moi aussi je pourrais ? Souria/Nathalie/Ester : regard moqueur des trois comparses. Souria: (face caméra) je voulais vous parler du DIEP. C’est Ester qui m’en a parlé et ça a changé ma vie. Carole : grand sourire de Carole Souria/Nathalie/Ester : On ne va pas laisser un cancer nous gâcher la vie !

Musique SALSA

Fin GENERIQUE


Séquence 3 : Magasin de lingerie

Séquence 5 : James Bond Girl

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Séquence 8 devant le CRAZY HORSE

Séquence 9 de fin au Hammam


Biographie Souria ADELE Souria ADELE est née en Algérie, pendant la guerre, de parents martiniquais, sa mère est de Case-Pilote et son père de Sainte-Marie. Elle débarque à Paris à l’âge de deux mois et passe son enfance à Bagneux en région parisienne. Elle commence la danse africaine vers 13 ans et dès 16 ans va commencer à travailler avec les Grands Ballets d’Afrique Noire, puis elle s’initie au Modern jazz avec le maître Matt MATTOX. Après deux années de droit, elle décide de se consacrer exclusivement à la scène. Elle accompagnera de nombreux artistes (Nino FERRER, Julien CLERC, etc ) et fera partie de groupes comme Le Grand Orchestre du Splendid. etc…… Parallèlement elle donnera dans des centres culturels des cours de claquettes et de danses brésiliennes. Après une formation professionnelle en chant et piano au CIM, elle participera dans plusieurs spectacles en tant que choriste comme : « La résistible ascension d’Arturo UI » au théâtre de Chaillot mise en scène par Jérôme SAVARY et c’est en interprétant le rôle de Joyce HETH dans la comédie musicale BARNUM, qu’elle va se rendre compte de son talent de comédienne. Pendant plusieurs années elle va se former avec John STRASBERG, le fils de Lee Strasberg, l’un des maitres de l’Actor Studio aux États-Unis. Sa carrière de comédienne commence en 1996 dans une série pour M6 « Professions Infirmières » avec un rôle récurent, Joséphine son premier joli rôle. Mais là elle se rend compte que surtout dans l’audio-visuel il ya du racisme Lors de la négociation du contrat on lui dit : « pour une personne de couleur, vous devriez être contente ! ». Malheureusement suite à une OPA, la série s’arrête. Malgré s’être trouvée un agent artistique, Souria va se rendre compte de la difficulté quand on n’est noire en France d’avoir un rôle décent à la télé ou au cinéma. Il ya très peu de casting pour les non-blancs et on ne lui propose que des rôles de subalterne. Trois ans plus tard, lors d’un stage d’écriture théâtrale avec Maria DUCCHESKI elle prend conscience de l’importance de la plume et va écrire son premier spectacle, un seul en scène « Marie-Thérèse Barnabé, Négresse de France ! ». Dans ce spectacle, elle reprend les traits d’une Tatie martiniquaise pour raconter de façon humoristique ses déboires de femme noire en France Hexagonale. Le personnage va apparaître sur scène pour la première fois au Théâtre de Charenton en avril 2000 dans le show« Les drôles de Négresses » devant un public essentiellement antillais et c‘est une succès.

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Après une grande tournée aux Antilles-Guyane, en 2001, elle crée avec des amis une structure « La Compagnie Man Lala » dont elle sera la responsable artistique. La Cie Man Lala a pour objet d’aider et de promouvoir les talents afro-caraibéens dans l’hexagone. Le spectacle va commencer à vivre en France Hexagonale à Bagneux, au Café de la Gare, à la Comédie Bastille, à deux reprises au festival d’Avignon et dans de nombreux autres festivals et tous les publics noirs ou blancs sont sensibles à sa parole. Grace à Marie-Thérèse Barnabé, Souria ADELE va enfin pouvoir vivre de son art alors qu’elle était prête à renoncer. Depuis 2002, elle a obtenu grâce à ce show plusieurs prix : Prix du festival de l’humour de Bagneux (2002) Prix du tremplin de l’humour de Clichy sous Bois (2005) Prix du public du festival de Villard de Lans (2007) Mais de gros problèmes de santé vont lui faire manquer de belles opportunités ……. Malgré tout, dans le même temps elle se bat pour la défense du créole au Bac dans l’hexagone. Elle demande à ce que les créoles puissent être présentés au Bac en Ile de France comme cela est possible pour le breton ou le corse. Elle crée donc en 2005 le CCBH (Collectif pour le Créole au Bac dans l’Hexagone). Et son militantisme a payé puisque depuis 2011, il est enfin possible de passer les créoles martiniquais et guadeloupéens au Bac en obligatoire et facultatif en île de France. Pour cette année 2012, Souria ADELE va continuer et initier plusieurs projets • Ecriture et co-réalisation d’un court-métrage "DIEP and Cie »

• RIRE EN COULEURS Magasine de divertissement TV écrit avec

Gustave PARKING

• Création « LA VERITABLE HISTOIRE DE MARY PRINCE Esclave

antillaise » (Monologue)

• Mise en scène, traduction et production « « d’UN AIR DE

FAMILLE » en créole

Souria ADELE Site : www.souria-adele.com

Agent : Jean-Luc DARIER Agence A

34 Rue Vivienne 75002 PARIS Tél : 01 40 88 20 88


William PITT Auteur Réalisateur Tél. 0603307928

FILMOGRAPHIE 2010 Compagne Publicitaire "Sogeci-Cosmétiques"

Direction Artistique

3, rue du Général Rapp – 67450 Mundolsheim (Strasbourg)

2009 Co auteur "Boss made in France"

Lauréat du Livre d’entreprenariat 2009

Chambre du Commerce & de l’Industrie de Paris

2008/2009 Dix séries de courts métrages de fiction avec les jeunes des lycées

D’Île-de-France (option Cinéma) : Atelier d’écriture

Employeur : "Cercle d’action pour la diversité en France"

"Goldin Boy"

Scénario : Long métrage de fiction

ADR Production

Auteur "Jeunesse à fleur de peau"

Astharte Production

2005 Auteur "Bienvenue au centre social"

Traitement et synopsis

Telfrance 2004 "Le noir te va si bien"

(Film documentaire 52 mn)

Co Auteur Réalisateur

ADR Production Festival international d’Amiens 2005

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