diaporama sur la guerre de 1914 18 en ubaye
TRANSCRIPT
AMICALE UBAYENNE DES CHASSEURS ALPINS
La tragédie de la bataille de Ménil-sur-Belvitte du 28 août
1914 et aperçu sur les poilus ubayens
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La situation internationale oblige le président Poincaré à annuler son voyage en Ubaye.
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La mobilisation au sein du 157e RI,
d’après le JMO
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Le caporal Albert Gilly alors qu’il faisait son service militaire au 140ème RI en 1910 à Valence.
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Composition du 157e
RI
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Le bataillon est commandé par un chef de bataillon (commandant) assisté par un adjudant-major et un médecin. Le bataillon est divisé en quatre compagnies.
La compagnie est commandée par un capitaine, elle est divisée en deux pelotons à 2 sections (soit 4 sections en tout). Son effectif comprend le capitaine, 3 lieutenants, un sous-lieutenant ou un adjudant-chef, 1 adjudant, 1 sergent-major, 1 sergent fourrier, 8 sergents, 1 caporal fourrier, 16 caporaux, 2 tambours, 2 clairons, 1 infirmier, 4 brancardiers, 1 tailleur, 1 cordonnier, 1 cycliste, 3 conducteur et 210 soldats.
La section se décompose en 2 demi-sections à 2 escouades (environ 68 fusils), elle est commandée par un lieutenant (ou un sous-lieutenant, ou un adjudant ).
L'escouade : 15 soldats groupés sous le commandement d'un caporal forment une escouade.
La section hors-rang comprend des artificiers, armuriers, secrétaires, ordonnances, sous-officiers d'approvisionnement, maréchaux-ferrants, bouchers et 21 conducteurs.
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Une escouade, c’est 16 hommes.Une section, c’est 34 hommes.Une compagnie, c’est 256 hommes.Un bataillon, c’est 1024 hommes.Un régiment, c’est 3072 hommes.
Une brigade à deux régiments, c’est 6144 hommes.Une division à deux brigades, c’est 12 288 hommes.Un corps d’armée à deux divisions, c’est 24 576 hommes.
L’armée est à 5 CA, soit 122 800 hommes.Le 157ème Régiment d’Infanterie, à 4 bataillons se compose de :50 officiers, 264 sous-officiers, 4104 hommes de troupe mais aussi 117 chevaux de selle et 232 mulets.Le 15/7 fait partie de la 44e division (16 384 hommes) avec :
la 87e brigade d’infanterie 97e régiment d’infanterie (Chambéry) 159e régiment d’infanterie (Briançon)
la 88e brigade d‘infanterie 157e régiment d’infanterie (Gap et Ubaye), Colonel Castaing 163e régiment d’infanterie (Nice)
Quelques précisions sur les effectifs
Extrait du JMO du 30ème BCA, présent à Jausiers depuis le début de l’année, alors que sa garnison est Grenoble.
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JMO du 15/7 extrait concernant le départ en train
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Paul Gilly raconte dans une lettre le voyage de Chorges vers l’Alsace puis de l’Alsace vers St-Dié dans les Vosges.
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Participation du 15/7 et du 15/9 à l’offensive en Alsace
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Premiers combats en Alsace
l’Ubaye perd ses premiers enfants dont deux à Walheim : Eugène Masse de La Bréole et Calixte Tron de Revel, du 15/7.
Et 8 à Wittersdorf : Firmin Margaillan et Joseph Reynaud de La Bréole, Ernest Pons des Thuiles, Louis-Jean Bellon de Faucon, Hippolyte Meyssirel de La Condamine, Sébastien André et Alphonse Jourdan de St-Paul et Pierre-Léon dit Massène de Larche, tous du 15/9.
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Bois de Hertemeuche
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Bois de la Pèche
Forces allemandes
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Vers le bois de Hertemeuche
Ménil41
Route de Rambervillers
À Ménil
Nord
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L’Abbé Collé, curé de Ménil de 1908 à 1943 et Maurice Barrès, député des Vosges.
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Le bulletin mensuel du patronage des jeunes filles de Barcelonnette paru dés 1907 jusqu’en 1919.
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50 Beaucoup de cartes postales des différents cimetières ont été éditées… …
L’abbé Collé
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Et l’abbé Collé est toujours là…
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Un des carnets de l’abbé Collé relatif à ses recherches sur le terrain
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62 Le nom d’Albert Gilly
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L’abbé Collé, mécontent de l’aide du personnel, se permet quelques remarques…
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L’abbé Collé, mécontent de l’aide du personnel, se permet quelques remarques…
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Mademoiselle Aglaë Esmieu du Martinet écrit à l‘abbé Collé en avril 1915 et lui demande s’il a des information car elle est sans nouvelles de son frère Jean-Auguste depuis le 27 août.
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Elle est devenue par la suite Madame Fabre, tante de notre compatriote Roger Fabre de Rioclar.
Jean-Auguste Esmieu est lui aussi tombé à Ménil. Il y repose toujours en paix. Disparu, sa famille a dû attendre un jugement du tribunal du 12 août 1916 pour qu’il soit tombé à Ménil.
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69 Première cérémonie : le 2 novembre 1914
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Journal de Barcelonnette du 20 septembre 1914
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Le premier drapeau de Barcelonnette en hommageaux héros de Ménil confectionné en 1916 !
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Début 1917, Paul Gilly profite d’une permission pour se recueillir sur la tombe d’Albert et rencontre l’abbé Collé.Il accompagne sa lettre de cartes postales en indiquant l’endroit où se trouve la tombe d’Albert.
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77 3ème anniversaire en présence du maire de Barcelonnette
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Le Journal de Barcelonnette cite la lettre de l’abbé Collé du 16 septembre 1917 dans laquelle il demande un nouveau drapeau.
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Service funèbre du 22 mars 1918 en l’église de Barcelonnette
Journal de Barcelonnette, en juin 1918
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27 août 1918…On y distingue le nouveau drapeau de Barcelonnette
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Avant la cérémonie du 28 août 1918 où l’on distingue à nouveau et nettement le drapeau de Barcelonnette.
Hélas, le 29 août 1918, Paul-François Gilly, tombe à son tour au Bois du Quesnoy entre Campagne et Ecuvilly dans l’Oise, soit quatre ans après Albert….
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Lettre d’un ami de Paul qui écrit aux parents Gilly la fin de Paul.85
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Dimanche 29 août 010 à Ménil…« Avant d’entrer dans l’église, j’ai la curiosité de regarder dans ce coin de l’église ces drapeaux.Le premier… était bien celui de Barcelo. Quelle émotion : »
En posant plus tard la question au maire, M. Renard me disait que les 13 drapeaux encore présents, rangés dans le grenier, sortaient à cette occasion et c’était les villageois disponibles qui les portaient à ces cérémonies.
De très nombreuses années après…
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Avec Yvon Arnaud, le dimanche 29 août 2010
Octobre 192189
Même Enchastrayes qui
n’a pourtant aucun de ses
enfants tombés à Ménil va voter
25 Francs« pour les enfants…
qui dorment à Ménil… »
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91 Reçu… signé par l’abbé Collé, soigneusement collé dans le registre des délibérations de la commune de Faucon.
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Cérémonie du dimanche 29 août 2010
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Dimanche 29 août 2010,La délégation ubayenne dépose une gerbe…
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Après cette terrible bataille, le 15/7 va se battre à Bouconville, en Belgique, à Flirey, à Avocourt (à côté de Verdun) et rejoint l’Armée d’Orient et ne revient en France qu’en 1919.
Bouconville sept 1914, Flirey mars 1915
Avocourt, février 1916Souchez et Bois de Berthonval,octobre 1915
Nieuport, novembre 1914101
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Cette photo (en haut à gauche) se trouvait dans les correspondances de la famille Gilly, sans aucune annotation.Il s’agit bien de Flirey où Paul a combattu…
En bas, ce qui reste…
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108 Autres endroits où s’est battu le 15/7.
109 Dans la zone de Souchez
Région d’Avocourt, à l’est de Verdun.110
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1er et 2 août 1916, le lieutenant Brochard de la 9ème compagnie se lance à l’assaut du pain de Sucre avec 91 volontaires. Ils atteignent le sommet mais sont obligés de quitter les lieux.
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28 décembre 1916, le 15/7 part en Orient. Il combat en Albanie, en Grèce, à nouveau en Albanie à Monastir, puis en Bulgarie et en Serbie et enfin en Hongrie.
Il rentre en France… le 11 décembre 1919.
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Durant la guerre, le 15/7 va perdre :
51 officiers,189 sous-officiers
et 2722 caporaux et soldats.
Mais d’autres Ubayens ont été mobilisés
et certains d’entre eux vont également être tués au sein d’autres
régiments d’infanterie, de bataillons de chasseurs, de régiments d’artillerie
ou d’unités diverses.
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Recensement des régiments où des pertes ubayennes sont constatées.
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Liste provenant des Archives de Digne
Sans ceux d’Allos, ce sont 2131 jeunes hommes qui ont été mobilisés.
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On peut se faire une idée de tous ces poilus ubayens en consultant :
Les fichiers matricules des Archives départementales et les registres d’état-civil des mairies,
Les journaux, notamment le Journal de Barcelonnette,
Les quelques correspondancesdétenues par les familles.
Les bulletins paroissiaux, de Fours ou celui de Barcelonnette appelé « le Petit mois de Ste-Cécile », et la revue de Rioclar.
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Jules Esmieu du Lauzet a subi le tirage au sort (supprimé en 1905).Disparu le 22 juin 1917, fait prisonnier, il est rapatrié le 22 décembre 1918 et décède le 23 juin 1919 à l’hôpital auxiliaire N° 63 à St-Genis-Laval. Son nom est inscrit sur la plaque de la paroisse de St-Barthélémy et sur le monument au morts du Lautaret.
Exemple de fiche matricule
122 La fiche de Paul GillyPaul Gilly tombe au bois de Quesnoy le 29 août 1918.Il obtient à titre posthume la Médaille Militaire et la Croix de Guerre en 1920.
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Une partie de la fiche de Joseph Liotard de St-Vincent avec la mention curieuse écrite au crayon « sait tuer ».Dés le début de la guerre, on s’est aperçu qu’il fallait des bouchers pour tuer les animaux qui venaient prés du front vivants…
La fiche de Maximin Ailhaud
tombé au Ménil…
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Le Journal de Barcelonnette du 22 septembre.
On y donne des informations à partir de télégrammes officiels, ce qui signifie que ces informations sont évidemment censurées.
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Les nouvelles transmises par les journaux
Dès le début du conflit, une nouvelle rubrique apparaît :
« Nos Compatriotes au Feu. »
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Peu à peu, l’Ubaye se mobilise.
Le Journal de Barcelonnette cite souvent les actions menées par les nouvelles associations soucieuses de soutenir nos poilus.
Après la rubrique
« Nos Compatriote au Feu ».
Hélas, une nouvelle rubrique paraît régulièrement, intitulée :
« Nos Morts ».
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La fiche de Paul Rebattu du 52e BCA tué au Linge dans les Vosges, le 31 août 1915.
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L’annonce du décès de Paul Rebattu et sa fiche individuelle
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Le courrier
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Lettre datée du 3 novembre 1914. Ernest Michel évoque la mort d’Albert Gilly
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Même au front, on n’oublie pas Noël.
Ernest décore sa carte…
138 Autres sources de témoignages
139Le petit Mois de Ste-
Cécile
Le bulletin de Fours
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141 La revue de l’abbé Berlie de Rioclar
Quelques données
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Il faut rajouter aux 492 poilus « morts pour la France » inscrits sur le monument aux morts de Barcelonnette, 17 autres poilus dont on n’a hélas pour l’instant aucun renseignement.
N’oublions pas les 242 blessés et environ 94 prisonniers.
Les âges
Les plus jeunes avaient dix-neuf ans, comme Marcel Tron de Barcelonnette né en 1897 et tué à Vaux-devant Damloup dans la Meuse le 31 mars 1916 ou Marcel Manuel de Faucon, né le 31 janvier 1897 et tué le 15 décembre à Louvemont dans la Meuse.Le plus âgé était Frédéric Liotard de St-Vincent, âgé de 42 ans.Il était né le 27 septembre 1871 et servait au 112ème régiment territorial. Il est mort à l’ambulance 9/2 de la ferme de Manjouy dans la Meuse .
Et pourtant, citons le cas spécial de Féliciano Marsili, tué dans la Somme le 31 décembre 1914 à Lihons. Il faisait partie du 75ème RI. Il était né le 21 décembre 1863 à Foligno en Italie, rattaché à la classe de 1914. Il habitait La Condamine.
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Bilan par année145
En 1914, 123 pertesEn 1915, 145 pertes
En 1916, 113 pertesEn 1917, plus que 35
En 1918, encore 58 pertes.
En France, on dénombre 1 362 000 hommes morts pour la France
dont 350 000 en 1914.
En étudiant ces six classes, on peut se faire une autre idée du pourcentage de pertes pour la vallée.
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Les nécropoles nationales gérées et entretenues par le Secrétariat d’Etat aux Anciens Combattants
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Nécropole de Flirey au nord de NancyIci, la tombe d’Alexandre- Jean Pons de St-Paul
A Ménil149
A Notre Dame de Lorette150
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La basilique de Notre-Dame-de-Lorette
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A l’intérieur de la crypte, deux soldats inconnus de 1914/18, de 1939/45, d’Indochine et d’Afrique du Nord
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La vie économique de l’Ubayeest nettement perturbée. Le conseil municipal de Barcelonnette en sa séance du 24 avril 1915 traite du cas de Jacques Derbez en votant à l’unanimité l’envoi d’un courrier à l’état-major de Lyon pour surseoir à l’appel du bourrelier.
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Les monuments aux morts
A partir de 1919, toutes les communes se décident à réaliser un monument aux morts en honneur de leurs héros. Après le premier monument aux morts de Rioclar dès 1919, celui d’Ubaye est inauguré le 7 novembre 1920, celui des Thuiles, le 3 mai 1921, ceux de Fours et de St-Pons sont inaugurés le 9 octobre 1921. Le 26 septembre 1923, c’est au tour de Jausiers et enfin le 30 septembre pour Enchastrayes.
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Celui de Barcelonnette est inauguré le 19 août 1923
Photos provenant de la collection de Madame Gain, cousine
de Paul Reynaud.
Les Fantômes de Paul Landowski
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Les Barcelonnettes sont mécontents car non seulement le monument ressemble à un « calendrier des Postes », mais encore c’est une copie de celui de Neubourg dans l’Eure.
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…N’oublions pas les Mexicains…
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Enfin, en 1927, l’abbé Collé écrit le livre sur « la bataille de la Mortagne » Et il ose préciser sur cette page de couverture :
Oublier ?Jamais !
« Oublier ?
Jamais ! »
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11 novembre 1918
11 novembre 2011
C’était… il y a 93 ans…
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RemerciementsMerci à toutes les personnes qui m’ont aidé dans ces recherches, en l’occurrence :Yvon Arnaud, Les maires et les secrétaires des Communes,Bertrand Hubert, René Jean, Michel Carraud, Christian Michel, Régine Bardin, François et Mme de La Fuente, Jacques Visconti de notre amicale,Le Père François Marot et Didier Brenot de St-Paul,Michèe tron de St-Paul, Monique Isaïa de Méolans-Revel, Mme Tavozzo d’Aix et Marie-France Fosanelli toutes d’eux d’Aix,Madame Josette Chambonnet de Digne,M. Yves Revest et Mme . Gain de Marseille, Olivier Vaginay et Jean-François Delenat,Mme. Ribatto, Mme. Josette Andrau et Michèle Combe, Georges Barneaud,Hélène Homps et Marie-Reine Martel,M. Estachy et toutes les personnes que j’aurai involontairement oubliées.
