deuxième partie programme cinefac 2014

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l BRIGADOON (1956) de Vincente Minnelli, etats-Unis, Comédie musicale, 1h48 Avec Gene Kelly et Cyd Charisse Jeff Douglas, homme désabusé et Tommy Albright, idéaliste, découvrent au cours d’un voyage dans les Highlands d’Ecosse un village fantastique qui surgit tous les cent ans. Tandis que Jeff décide de rester dans Brigadoon, Tommy, bien qu’amoureux de Fiona, quitte le village. De retour à New York, il s’aperçoit de son erreur. Il retourne en Ecosse, mais le village a disparu. Adapté d’un succès de Broadway, Brigadoon est de par son argu- ment, ses partis pris stylistiques et son atmosphère générale, le plus minnellien de tous les films du réalisateur. A partir d’un sujet de conte fantastique très original, le film oppose le monde réel à l’imaginaire. w TERRA INCOGNITA D’Olivier Cotte, animation, France, 1995, 12 min De Walid Mattar, Tunisie, 2011, 15 min (fiction) w CONDAMNATIONS Mardi 21 janvier 20.30 éance d’ouver- w CASA De Raja Amari, France/Tunisie, Drame, 1h40 Avec Hiam Abbass, Maher Kamoun De Sylvie Leonard, animation, France, 2003, 7 min l SATIN ROUGE (2001) Lilia élève seule sa fille Salma, une lycéenne qui cherche à s’éman- ciper. La soupçonnant d’avoir de mauvaises fréquentations, elle se rend dans le cabaret où travaille Chokri, un musicien qu’elle soupçonne de plaire à sa fille. Dans le cabaret, elle s’évanouit et est ranimée par les danseuses. Elle est fascinée par ce milieu de danse et de plaisirs. Les nuits suivantes, elle retourne au cabaret et sym- pathise avec Folla, la danseuse vedette qui la fait monter sur scène. La réalisatrice dresse le portrait de cette femme dont les sens et le corps se réveillent après des années d’ennui et de vie sans piquant. Jamais insistante, elle filme au plus près Lilia, incarnation de certaines femmes de Tunisie qui aimeraient s’échapper de la routine quotidienne et de la main dominatrice de l’homme. Ce film leur laisse la parole et procure à la danse un moyen d’existence et de métamorphose. De la chrysalide, Lilia est devenue un papillon. w LE BLEDIA De Claude Autant-Lara, France/Italie, Drame, 2h08. Avec Jean Dubucourt, Yves Montand, Michèle Morgan D’Olivier Legan, comédie fantastique, France, 1992, 14 min l MARGUERITE DE LA NUIT (1955) Paris, 1924. Le vieux Docteur Faust rencontre un étrange per- sonnage, Monsieur Léon qui n’est autre que Méphistophélès. Ce dernier lui présente une jeune danseuse, Marguerite, dont le vieux docteur tombe éperdument amoureux. Le film reprend la légende Faust en la modernisant, et s’inspire du roman épo- nyme de Pierre Mac Orlan. Les acteurs sont excellents (Michèle Morgan, Yves Montand). C’est une oeuvre majeure dans le cinéma français qui doit être réévaluée. Mardi 11 février 20.30 Dans le cadre des «Journées de la Tunisie» Diptyque Scandale Mardi 25 février 20.30 w CORRIDOR de Sam Peckinpah , Royaume-Uni / Etats-Unis, Drame, 1h58 avec Dustin Hoffman et Susan Georges Interdit aux moins de 16 ans De de Alain Robak, Comédie, France, 1989, 8 min l LES CHIENS DE PAILLE – STRAW DOGS (1971) David, jeune mathématicien, fuit l’Amérique et son atmosphère ora- geuse. Il émigre en Cornouailles où il est confronté dès son arrivée à l’agressivité des autochtones. Atteint dans ses convictions, il aura lui aussi recours à une violence qu’il exècre. D’un pessimisme noir, le film de Peckinpah s’inscrit dans le ciné- ma des années 70, celui des Boorman, Penn, Altman ou autre Schlesinger. Un cinéma à la narration travaillée et destructurée, au formalisme marqué par un sens aigu du cadrage et du montage, et au scénario sombre, voire désespéré. de Louis Malle, France, Comédie dramatique, 1h58 Avec Léa Massari, Benoît Ferreux, Daniel Gélin l LE SOUFFLE AU CœUR (1970) Dijon 1954. Une famille bourgeoise parmi d’autres. Le père est gyné- cologue et particulièrement absorbé par son travail. La mère est gaie et légère, les trois fils sans histoires. Laurent le plus jeune est particu- lièrement intelligent et souffre de son statut d’adolescent. Atteint d’un souffle au cœur il part en cure avec sa mère. Un tendre marivaudage s’instaure entre eux… Malgré sa sortie en pleine révolution sexuelle du début des années 70, ce film a quand même créé un émoi certain chez beaucoup de spectateurs. Non seulement l’inceste y est évoqué mais sans toutefois que l’auteur n’y apporte aucun jugement moral comme il le fera plus tard avec son film « Lacombe Lucien » retraçant l’histoire d’un collaborateur. Mardi 4 mars 20.30 Mardi 18 mars 20.30 Ciné-concert avec une musique originale de Jacky Delance au piano. de Max Linder, Etats-Unis, Comédie burlesque, 1h10, NB Avec Max Linder, C.E. Anderson l SEPT ANS DE MALHEUR - Seven Years Bad Luck (1921) Max enterre sa vie de garçon et rentre saoul chez lui. À son domi- cile, un valet brise un miroir et ne pouvant le remplacer, déguise un cuisinier afin que ce dernier joue le rôle du reflet du maître de maison. D’abord troublé, Max découvre la supercherie mais un appel téléphonique l’éloigne du miroir un moment. L’Art de Max Linder a été oublié, et c’est un tort. Car il y eut un temps où l’homme fut, sinon la première vraie star de l’histoire du cinéma, au moins l’une de ses plus grandes vedettes internationales ; un temps où Charlie Chaplin lui-même reconnaissait à quel point son style était redevable de l’influence exercée par Max Linder, au point de fermer ses studios en son hommage le jour de sa disparition. Cycle « Contes » Mardi 25 mars 20.30 l LES VACANCES DE M HULOT (1953) de Jacques Tati, France, Comédie burlesque, 1h 36 Avec Jacques Tati, Nathalie Pascaud, Louis Perrault L’été est arrivé. Au volant de sa vieille guimbarde péta- radante, monsieur Hulot, célibataire dégingandé et farfelu, gagne le littoral breton, où il a loué une chambre dans une paisible station. A peine a-t-il franchi la porte de l’Hôtel de la Plage qu’il provoque catastrophe sur catastrophe… Pour son 2 ème long métrage, après le rural Jour de fête, Jacques Tati dépêche un huluberlu à la plage où se côtoie sans se mêler la France des congés payés de l’après-guerre . Mais ce Hulot que tout singularise (vêtements, posture, voiture, pipe, manières) est le seul à réellement désirer ce temps de vacances. Le comique naît de ce que son engouement est en contradiction avec les choses ou les gens qui l’entourent. « Hulot est l’incarnation métaphysique d’un désordre qui se perpétue longtemps après son passage » A. Bazin Mardi 1 er avril 20.30 l LA BELLE ET LA BêTE (1946) Un film de Jean Cocteau, France, Fantastique, 1h36 Avec Josette Day et Jean Marais w LE BAL DU MINOTAURE De Lorenzo Recio, animation, France, 1997, 10 min Mardi 8 avril 20.30 Cycle Tunisie Mardi 28 janvier 20.30 Cycle Méphistophélès En Partenariat avec l’association Tanora Pour l’offrir à sa fille, le père de la Belle cueille, sans le savoir, une rose appartenant au jardin de la Bête, qui s’en offense. Afin de sau- ver son père, la Belle accepte de partir vivre au château de la Bête. « Devant un ouvrage aussi colossal et téméraire Cocteau somatise et lutte en permanence contre la douleur, l’épuisement. C’est un journal de souffrance physique, où le poète se plaint des terribles maladies de peau, furoncles, allergies, infections qui affligent son corps, le défigurent, comme s’il s’imposait par amour et solidarité les souffrances de la Bête et celle de son acteur Jean Marais obligé de supporter des heures quotidiennes d’un maquillage difficile, pour aboutir au résultat prodigieux que l’on connaît.» Olivier Père l CARTE BLANCHE à L’ETRANGE FESTIVAL Mardi 22 avril 20.30 Cinéfac accueille l’Etrange Festival et lui a laissé la programmation de cette soirée. Ce sera donc une soirée pleine de surprises. Jeudi 22 mai 20.00 Soirée court métrage en partenariat avec l’association des Tunisiens de Clermont-Ferrand du Puy-de-Dôme De Walid Mattar, Tunisie, 2011, 14 min 30 (fiction) w OFFRANDE De Nadia Rais, Tunisie, 2012, 12 min 30 (animation) w LES LUNETTES De Malik Amara, Tunisie, 2010, 21 min (fiction) w LINGE SALE De Olfa Chakroun, Tunisie, 2010, 26 min (documentaire) w LA MAISON D’ANGELA De Amine Chiboub, Tunisie, 2013, 9 min 44 (fiction) w RéSISTANCE w L’HOMME SANS TêTE de René Clair, France, Drame, 1h36 avec Gérard Philipe, Michel Simon De Juan Solanas, animation, France, 2003, 15 min l LA BEAUTé DU DIABLE (1949) Vieux et près de la mort, le professeur Faust sent le vide de son existence. Le diable lui envoie Méphistophélès qui lui propose un pacte : richesse et jeunesse contre son âme. Faust accepte. Mais il va jouer au plus fin avec le démon qui essaie d’exciter contre lui la colère populaire. Le mythe de Faust revu par le réalisme poétique. Mardi 18 février 20.30 présente un programme vidéo en avant-goût du festival 2014 qui se déroulera du 19 mars au 6 avril 2014. Diptyque Cinéma Burlesque w LAKMé De Pascal Roulin, animation, France, 1993, 5 min l O MON CORPS ! (2012) en présence du réalisateur De Laurent Aït Benalla, France, Documentaire, 1h10 Alger, le chorégraphe Abou Lagraa, assisté de Nawal Aït Benalla Lagraa, travaille à la formation de la première génération de danseurs contemporains en Algérie. Ce projet, conçu comme un pont culturel méditerranéen, a retenu 10 jeunes danseurs qui donnent naissance à Nya. Pendant plusieurs mois, le film suit la structuration de ce groupe de danseurs, pour la plupart autodidactes issus du hip-hop de rue, jusqu’au soir de la première mondiale au Théâtre National d’Alger. Un film sensible, délicat et subtil sur le travail de cette compagnie de danse. La caméra est proche, au cœur de la situation, nous livrant ainsi un regard intimiste, qui accompagne les danseurs et les chorégraphes dans leur travail, leur doute et leur succès. Prix du meilleur documentaire du 23 ème festival de cinéma d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine de Milan en 2013. Ciné Danse Mardi 15 avril 20.30 Soirée en partenariat avec les ateliers danse du SUC et du SIUAPS ainsi que de Musique improvisée. l CINéMA PLEIN AIR Cinéfac organise une séance ciné plein air gratuite au campus des Cézeaux avec une projection à 21h précédée de concerts et de différentes animations. 25 ans de Cinéfac : Les 11,12 et 13 avril, Cinéfac fête ses 25 ans avec une programmation spéciale que vous trouverez sur un autre programme et sur notre site.

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Page 1: Deuxième partie programme cinefac 2014

l Brigadoon (1956)de Vincente Minnelli, etats-Unis, Comédie musicale, 1h48

Avec Gene Kelly et Cyd Charisse

Jeff Douglas, homme désabusé et Tommy Albright, idéaliste, découvrent au cours d’un voyage dans les Highlands d’Ecosse un village fantastique qui surgit tous les cent ans. Tandis que Jeff décide de rester dans Brigadoon, Tommy, bien qu’amoureux de Fiona, quitte le village. De retour à New York, il s’aperçoit de son erreur. Il retourne en Ecosse, mais le village a disparu.Adapté d’un succès de Broadway, Brigadoon est de par son argu-ment, ses partis pris stylistiques et son atmosphère générale, le plus minnellien de tous les films du réalisateur. A partir d’un sujet de conte fantastique très original, le film oppose le monde réel à l’imaginaire.

w Terra incogniTa D’Olivier Cotte, animation, France, 1995, 12 min

De Walid Mattar, Tunisie, 2011, 15 min (fiction)w condamnaTions

Mardi 21 janvier 20.30Séance d’ouver-

w casa

De Raja Amari, France/Tunisie, Drame, 1h40

Avec Hiam Abbass, Maher Kamoun

De Sylvie Leonard, animation, France, 2003, 7 min

l saTin rouge (2001)

Lilia élève seule sa fille Salma, une lycéenne qui cherche à s’éman-ciper. La soupçonnant d’avoir de mauvaises fréquentations, elle se rend dans le cabaret où travaille Chokri, un musicien qu’elle soupçonne de plaire à sa fille. Dans le cabaret, elle s’évanouit et est ranimée par les danseuses. Elle est fascinée par ce milieu de danse et de plaisirs. Les nuits suivantes, elle retourne au cabaret et sym-pathise avec Folla, la danseuse vedette qui la fait monter sur scène. La réalisatrice dresse le portrait de cette femme dont les sens et le corps se réveillent après des années d’ennui et de vie sans piquant. Jamais insistante, elle filme au plus près Lilia, incarnation de certaines femmes de Tunisie qui aimeraient s’échapper de la routine quotidienne et de la main dominatrice de l’homme. Ce film leur laisse la parole et procure à la danse un moyen d’existence et de métamorphose. De la chrysalide, Lilia est devenue un papillon.

w Le BLedia

De Claude Autant-Lara, France/Italie, Drame, 2h08.

Avec Jean Dubucourt, Yves Montand, Michèle Morgan

D’Olivier Legan, comédie fantastique, France, 1992, 14 min

l margueriTe de La nuiT (1955)

Paris, 1924. Le vieux Docteur Faust rencontre un étrange per-sonnage, Monsieur Léon qui n’est autre que Méphistophélès. Ce dernier lui présente une jeune danseuse, Marguerite, dont le vieux

docteur tombe éperdument amoureux.Le film reprend la légende Faust en la modernisant, et s’inspire du roman épo-nyme de Pierre Mac Orlan. Les acteurs sont excellents (Michèle Morgan, Yves Montand). C’est une oeuvre majeure dans le cinéma français qui doit être réévaluée.

Mardi 11 février 20.30

Dans le cadre des «Journées de la Tunisie»

Diptyque Scandale Mardi 25 février 20.30w corridor

de Sam Peckinpah , Royaume-Uni / Etats-Unis, Drame, 1h58

avec Dustin Hoffman et Susan Georges

Interdit aux moins de 16 ans

De de Alain Robak, Comédie, France, 1989, 8 min

l Les chiens de paiLLe – sTraw dogs (1971)

David, jeune mathématicien, fuit l’Amérique et son atmosphère ora-geuse. Il émigre en Cornouailles où il est confronté dès son arrivée à l’agressivité des autochtones. Atteint dans ses convictions, il aura lui aussi recours à une violence qu’il exècre. D’un pessimisme noir, le film de Peckinpah s’inscrit dans le ciné-ma des années 70, celui des Boorman, Penn, Altman ou autre Schlesinger. Un cinéma à la narration travaillée et destructurée, au formalisme marqué par un sens aigu du cadrage et du montage, et au scénario sombre, voire désespéré.

de Louis Malle, France, Comédie dramatique, 1h58

Avec Léa Massari, Benoît Ferreux, Daniel Gélin

l Le souffLe au cœur (1970)

Dijon 1954. Une famille bourgeoise parmi d’autres. Le père est gyné-cologue et particulièrement absorbé par son travail. La mère est gaie et légère, les trois fils sans histoires. Laurent le plus jeune est particu-lièrement intelligent et souffre de son statut d’adolescent. Atteint d’un souffle au cœur il part en cure avec sa mère. Un tendre marivaudage s’instaure entre eux… Malgré sa sortie en pleine révolution sexuelle du début des années 70, ce film a quand même créé un émoi certain chez beaucoup de spectateurs. Non seulement l’inceste y est évoqué mais sans toutefois que l’auteur n’y apporte aucun jugement moral comme il le fera plus tard avec son film « Lacombe Lucien » retraçant l’histoire d’un collaborateur.

Mardi 4 mars 20.30

Mardi 18 mars 20.30ciné-concert avec une musique originale de Jacky delance au piano.

de Max Linder, Etats-Unis, Comédie burlesque, 1h10, NB

Avec Max Linder, C.E. Anderson

l sepT ans de maLheur - seven Years Bad Luck (1921)

Max enterre sa vie de garçon et rentre saoul chez lui. À son domi-cile, un valet brise un miroir et ne pouvant le remplacer, déguise un cuisinier afin que ce dernier joue le rôle du reflet du maître de maison. D’abord troublé, Max découvre la supercherie mais un appel téléphonique l’éloigne du miroir un moment. L’Art de Max Linder a été oublié, et c’est un tort. Car il y eut un temps où l’homme fut, sinon la première vraie star de l’histoire du cinéma, au moins l’une de ses plus grandes vedettes internationales ; un temps où Charlie Chaplin lui-même reconnaissait à quel point son style était redevable de l’influence exercée par Max Linder, au point de fermer ses studios en son hommage le jour de sa disparition.

Cycle « Contes »

Mardi 25 mars 20.30

l Les Vacances de m huLoT (1953)

de Jacques Tati, France, Comédie burlesque, 1h 36

Avec Jacques Tati, Nathalie Pascaud, Louis Perrault

L’été est arrivé. Au volant de sa vieille guimbarde péta-radante, monsieur Hulot, célibataire dégingandé et farfelu, gagne le littoral breton, où il a loué une chambre dans une paisible station. A peine a-t-il franchi la porte de l’Hôtel de la Plage qu’il provoque catastrophe sur catastrophe…Pour son 2ème long métrage, après le rural Jour de fête, Jacques Tati dépêche un huluberlu à la plage où se côtoie sans se mêler la France des congés payés de l’après-guerre . Mais ce Hulot que tout singularise (vêtements, posture, voiture, pipe, manières) est le seul à réellement désirer ce temps de vacances. Le comique naît de ce que son engouement est en contradiction avec les choses ou les gens qui l’entourent. « Hulot est l’incarnation métaphysique d’un désordre qui se perpétue longtemps après son passage » A. Bazin

Mardi 1er avril 20.30

l La BeLLe eT La BêTe (1946)

Un film de Jean Cocteau, France, Fantastique, 1h36

Avec Josette Day et Jean Marais

w Le BaL du minoTaure De Lorenzo Recio, animation, France, 1997, 10 minMardi 8 avril 20.30

Cycle Tunisie

Mardi 28 janvier 20.30

Cycle Méphistophélès

En Partenariat avec l’association Tanora

Pour l’offrir à sa fille, le père de la Belle cueille, sans le savoir, une rose appartenant au jardin de la Bête, qui s’en offense. Afin de sau-ver son père, la Belle accepte de partir vivre au château de la Bête.« Devant un ouvrage aussi colossal et téméraire Cocteau somatise et lutte en permanence contre la douleur, l’épuisement. C’est un journal de souffrance physique, où le poète se plaint des terribles maladies de peau, furoncles, allergies, infections qui affligent son corps, le défigurent, comme s’il s’imposait par amour et solidarité les souffrances de la Bête et celle de son acteur Jean Marais obligé de supporter des heures quotidiennes d’un maquillage difficile, pour aboutir au résultat prodigieux que l’on connaît.» Olivier Père

l Carte blanChe à l’etrange festival Mardi 22 avril 20.30

Cinéfac accueille l’Etrange Festival et lui a laissé la programmation de cette soirée. Ce sera donc une soirée pleine de surprises.

Jeudi 22 mai 20.00

Soirée court métrage en partenariat avec l’association des Tunisiens de Clermont-Ferrand du Puy-de-Dôme

De Walid Mattar, Tunisie, 2011, 14 min 30 (fiction)w offrande De Nadia Rais, Tunisie, 2012, 12 min 30 (animation)w Les LuneTTes De Malik Amara, Tunisie, 2010, 21 min (fiction)w Linge saLe De Olfa Chakroun, Tunisie, 2010, 26 min (documentaire)w La maison d’angeLa De Amine Chiboub, Tunisie, 2013, 9 min 44 (fiction)w résisTance

w L’homme sans TêTe

de René Clair, France, Drame, 1h36avec Gérard Philipe, Michel Simon

De Juan Solanas, animation, France, 2003, 15 min

l La BeauTé du diaBLe (1949)

Vieux et près de la mort, le professeur Faust sent le vide de son existence. Le diable lui envoie Méphistophélès qui lui propose un pacte : richesse et jeunesse contre son âme. Faust accepte. Mais il va jouer au plus fin avec le démon qui essaie d’exciter contre lui la colère populaire.Le mythe de Faust revu par le réalisme poétique.

Mardi 18 février 20.30

présente un programme vidéo en avant-goût du festival 2014 qui se déroulera du 19 mars au 6 avril 2014.

Diptyque Cinéma Burlesque

w Lakmé De Pascal Roulin, animation, France, 1993, 5 min

l o mon corps ! (2012) en présence du réalisateur

De Laurent Aït Benalla, France, Documentaire, 1h10

Alger, le chorégraphe Abou Lagraa, assisté de Nawal Aït Benalla Lagraa, travaille à la formation de la première génération de danseurs contemporains en Algérie. Ce projet, conçu comme un pont culturel méditerranéen, a retenu 10 jeunes danseurs qui donnent naissance à Nya. Pendant plusieurs mois, le film suit la structuration de ce groupe de danseurs, pour la plupart autodidactes issus du hip-hop de rue, jusqu’au soir de la première mondiale au Théâtre National d’Alger.Un film sensible, délicat et subtil sur le travail de cette compagnie de danse. La caméra est proche, au cœur de la situation, nous livrant ainsi un regard intimiste, qui accompagne les danseurs et les chorégraphes dans leur travail, leur doute et leur succès. Prix du meilleur documentaire du 23ème festival de cinéma d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine de Milan en 2013.

Ciné DanseMardi 15 avril 20.30

soirée en partenariat avec les ateliers danse du suc et du siuaps ainsi que de musique improvisée.

l Cinéma plein air

Cinéfac organise une séance ciné plein air gratuite au campus des Cézeaux avec une projection à 21h précédée de concerts et de différentes animations.

25 ans de Cinéfac : Les 11,12 et 13 avril, Cinéfac fête ses 25 ans avec une programmation spéciale que vous trouverez sur un autre programme et sur notre site.