Deux pièces deClaude Ponti

[Edition L’école des loisirs]

Mise en scène deLéna Bréban

Contact diffusion (Aïleen Hearn) - Le Tamanoir - 01 43 66 00 79 / contact@letamanoir.fr

sommaire II

GÉNÉRIQUE DE CREATION ET MENTIONS OBLIGATOIRES page III

SYNOPSIS page IV

NOTE D’INTENTION page V à VII

LA SCENOGRAPHIE page VIII et IX

L’EQUIPE & LA DISTRIBUTION page X à XIII

TOURNEE 2007/2008 page XIV

“Bonjour” et “Où sont les Mamans ?”de Claude Ponti

Mise en scène Léna BrébanCollaborateur artistique Alexandre Zambeaux

Scénographie Pascal Crosnier sur les dessins de Claude PontiLumières Jean-Luc ChanonatCostumes Julie Deljehier

Avec Léna Bréban, Laure Calamy, Benjamin Guillard, etAlexandre Zambeaux

Textes publiés à l’Ecole des Loisirs (mars 2006), sous le titre laTrijolie 2

Spectacle créé le 2 mai 2007 au Théâtre du Jardin

Production : Compagnie du Tamanoir, Compagnie Ingaleo, avecle soutien de l’ADAMI, la participation artistique du Jeune Théâtre

National, et avec l’Aide à la création du Centre National du Théâtre

générique de création et mentionsobligatoires de production III

«Bonjour» &«Où sont les mamans ?» IV

«Bonjour», c’est la pièce ou Koua et Hétoi se rencontrent etse disent bonjour, mais il y aussi un ibis, un lapin, unevache, une mouche et un éléphant- fourmi, et un pipi ici,mais c’est interdit.

«Où sont les Mamans ?», c’est la pièce où deux enfants sebalancent dans un square et se préparent une bonne cras-tabouille, pendant que les mamans font la course et leurscourses derrière les arbres, là-bas, par là.

L’auteur fait se rencontrer deux enfants qui, par le biais du jeu (demots, de sonorités), s’affrontent et interrogent leur rapport aumonde. Claude Ponti n’utilise pas une narration habituelle : ces deuxpièces sont une suite de situations surréalistes et hilarantes, maisaussi parfois effrayantes. Il n’utilise pas des personnages au sensclassique. Dans «Où sont les mamans ?», les enfants sont nommésEnfant 1 et Enfant 2. Le texte est construit comme une partitionmusicale. Dans les dialogues, Claude Ponti joue avec les sonorités,avec la langue : des mots inventés qu’on comprend quand même, desquiproquos…

Les pièces de Claude Ponti s’écoutent et surtout elles se jouent. Carc’est bien de cela dont parle l’auteur à sa manière singulière :du jeu. Voilà, c’est cela que l’on pourrait dire : «Bonjour» et «Où sont lesmamans ?» sont des pièces où des enfants jouent. De manière déli-rante et folle.Claude Ponti a su utiliser la force de l’écriture théâtrale pour évoquercette liberté suprême : utiliser son imaginaire, et par le jeu s’inven-ter des aventures extraordinaires.

note d’intention V

KOUA : Comment tu t’appelles ?HÉTOI : Hétoi.KOUA : Moi ? Je m’appelle Koua.HETOI : Tu t’appelles comment ?KOUA : Koua.HÉTOI : Quoi ?

(Extrait de «Bonjour»)

L’École des loisirs m’avait demandé de faire une mise en espace de«Bonjour» et de «Où sont les mamans ?» de Claude Ponti. En lesjouant, nous nous sommes rendu compte à quel point ce texte estune matière extraordinaire pour les acteurs.

Claude Ponti écrit du jeu.

Les acteurs aussi. Avec leur corps et leur voix.

Dès que l’on met ce texte dans la bouche des acteurs, tout apparaît.C’est à pleurer de rire. C’est délirant et pourtant comme ça, sansqu’on s’en rende compte, cette trilogie parle superbement de l’en-fance. Parce que ce sont des phrases libres. Des associations d’idéesfolles et pourtant oui, on comprend. Ca parle de la vie des enfants, dupoint de vue des enfants : Tout est possible tout le temps.

Ce que propose Claude Ponti avec cette Trijolie, et particulièrementdans «Bonjour» et «Où sont les mamans ?», c’est...

du jeu.

Deux enfants jouent. Point.

Et pourtant du coup c’est le monde qui est joué sous nos yeux.On voit comment naît une idée, sur quoi se construit le rapporthumain.

La Trijolie ne s’appuie pas sur des ressorts traditionnels d’écriturethéâtrale, ce sont avant tout des phrases qui se répondent, qui s’in-terrompent, qui s’entrechoquent. C’est un théâtre musical sansmusique, ce sont des numéros de clowns sans nez rouges…

Ce texte est une grande aire de jeu ; de propositions. C’est cela qui m’a plu.

Alors, notre travail consiste à nous mettre au service de ce souffle-là.Ne pas faire semblant de jouer, mais jouer.

Ce qui m’est apparu important aussi c’est de pouvoir parler de l’en-fance de cette manière. J’avais vu il y a quelques années«Récréations» de Claire Simon et j’avais été frappée par l’inventivitédes enfants qu’elle filmait. Comme si, devenu adulte, on perdait devue cette liberté d’esprit. En voyant ces enfants, je me suis souvenuede ces mondes dingues et fabuleux que j’avais construits, à l’abrid’un arbre ou perchée sur un portique.

Quand nous avons travaillé avec les acteurs, j’ai compris que c’estcette richesse là que nous retrouvions : une enfance qui n’est pasniaise ni tendre. Une enfance où tous les possibles sont encoreouverts.

Pour porter ces textes, j’ai demandé aux acteurs d’aban-donner leur retenue d’adulte. De ne pas jouer aux enfants, sur-tout pas, mais de se dépouiller de leurs facilités ; je leur ai demandéde partir d’eux, de se mettre en état d’invention qui est le traitd’union entre l’enfant et l’acteur. Que sur scène, on voit leur imaginaire se mettre en marche. Que l’on voit leurs idées naîtrent et se développer, puis s’essouffler,et à partir de ce rien, découvrir comment un nouveau jeu s’invente.

Donc, bien sûr, c’est tout l’espace du théâtre que nous investironscar, quand un enfant joue, il n’est pas restreint, son imaginaire n’apas de limite. Nous investissons toute la salle : le plateau mais aussile public, les recoins du théâtre.

Je voudrais que ce moment soit une expérience plutôtqu’un spectacle. À partir du texte de Claude Ponti, c’est unmoment vivant que j’ai voulu créer. C’est un travail fragile car ilrepose sur l’harmonie entre les acteurs. A l’image des trapézistes :un qui s’élance, et l’autre qui le rattrape au vol.

Il y a du clown dans l’écriture de Claude Ponti. Nous n’avons pas denez rouge, mais nous avons travaillé ce rythme là. Comme une par-tition.

Travailler sur le ping-pong de la langue, sur la musicalité.Délier les corps. Il faut que ça respire. Que le texte res-pire, que l’acteur respire et que le spectateur soit pris dansce souffle.

«La Trijolie» est une formidable matière à jouer. Mais elle ne pro-pose pas que des jeux tendres. Je veux que sur ces jeux-là nous nenous dérobions pas.

Il y a ainsi des jeux qui frôlent l’abîme : quand les deux personnagesinventent la disparition de leurs mamans. Plus de maman, ils sontseuls. Il y a de la terreur dans cette pensée. Je veux mettre en scène

BonjourOù sont les mamans ?Note d’intention - 2/3

cet effroi : la limite où le jeu n’est plus drôle, où il peut devenir dan-gereux.

Notre travail met en exergue ces moments différents. Comme dansune palette de couleurs. Il y a le bleu mais juste à côté il y a le noir.Quand les enfants jouent à avoir peur, il faut qu’on ait froid dans ledos ; quand ils inventent une île, qu’on ait le goût du sel dans la bou-che et le bruit de la mer dans les oreilles.

Nous invitons le spectateur, non pas à une succession deséquences mais à un voyage ; un voyage dans l’imaginaire,loin de toutes contraintes, exempt de toutes restrictions.Coloré et dingue, comme l’est l’œuvre de Claude Ponti.

BonjourOù sont les mamans ?Note d’intention - 3/3

la scénographie VIII

L’AIRE DE JEUNous avons élaboré un décor sur deux principes :- Les enfants, quand ils jouent dans un coin, font vivre cetespace le temps du jeu puis, ils l’abandonnent pour passerà autre chose.- D’autre part, une aire de jeu n’a pas de limite. On peutjouer partout.

Notre décor est constitué de plusieurs modules distincts et adapta-bles à chaque espace.Ce sont des petits espaces indépendants, évoquant les jeux pourenfants, que l’on peut installer dans n’importe quel ordre. Donc, dans chaque théâtre, nous disposerons nos différents élé-ments sur le plateau et dans la salle selon les possibilités et la confi-guration des lieux.

UN DÉCOR EN MOUVEMENT- Mais où sont passés les dessins de Claude Ponti ?- Au théatre !

Une balançoire, un banc public, deux arbres, deux portes que l’on-nomme « portes troncs », une structure représentant un livreouvert muni de deux tulles qui permettent en lumière de varier lacomposition des tableaux, un mobile (une lune en forme de crois-sant) et quelques accessoires. Cette perspective a pour vocation dedévelopper l’imaginaire des enfants à partir d’une reflexion menéesur l’œuvre de Gutenberg. Il invite les spectateurs à voyager accom-pagnés par le jeu des comédiens, l’écriture et la reproduction àl’échelle humaine des illustrations de Claude Ponti qui a dessinépour le spectacle plusieurs éléments.

D’autre part les acteurs évoluent librement d’un module à l’autre. Iln’y a pas de règles. On accentue ainsi la sensation pour le public qu’ilest au milieu de l’action et que, d’un moment à l’autre, celle-ci peuts’installer juste à côté de lui.

UN DÉCOR QUI NAÎT DE L’IMAGINAIRE DES PERSONNAGES Nous voulions donner la sensation que ce sont les personnages qui,par la force de leur imaginaire, inventent leur décor selon les aven-tures qu’ils ont envie de vivre.

Les enfants jouent à être sur une île : le public devient la mer quientoure cette île. Au fur et à mesure que les acteurs jouent qu’il y adu sable, celui-ci s’écoule des cintres et apparaît comme par magie.Ce sont ces deux enfants qui le font apparaître par la force de leurconviction.

LES ACCESSOIRES Dans «Où sont les mamans ?», ce sont les mamans qui apportent lesaccessoires. Ceux-ci ne sont jamais de taille réelle ou réaliste. Ellesapportent de gigantesques bouteilles de jus d’orange, des tablettes dechocolat d’1m80. Tous les accessoires sont disproportionnéspuisqu’ils témoignent de la perception du monde du point de vue del’enfant.

LA LUMIÈRELa lumière isole l’endroit où les acteurs jouent et lui donne vie, maisdès qu’ils partent vers un autre jeu, le petit lieu se fane : quand lesacteurs sont sur la balançoire, la lumière est vive et chaleureuse,mais quand ils s’en éloignent, on doit avoir la sensation que le porti-que est rouillé et d’une apparence un peu terne.

BonjourOù sont les mamans ?Scénographie - 2/2

Metteur en scèneLéna BrébanLéna Bréban a étudié au conservatoire national supérieur d’art dramatique.

Claude Ponti

l’équipe

Elle a travaillé depuis sa sortie de l’école avec JacquesLivchine et Hervée De Lafond sur plusieurs spectacles,

dont 2500 à L’heure; avec Pascal Rambert dans Asservissement sexuelVolontaire (Théâtre de La Colline); avec Jean-Yves Ruf dans Commeil vous Plaira de Shakespeare (MC93 de Bobigny). Elle a égalementtravaillé à plusieurs reprises avec Thierry de Peretti sur Valparaiso(Théâtre de la Bastille), puis Richard II de Shakespeare (Théâtre de laVille). Dernièrement, elle a joué sous la direction de Charles Tordjmandans deux spectacles : Le retour de Sade de Bernard Noel (Théâtre dela Colline) et Daewoo de François Bon, Moliere 2005 du meilleur spec-tacle régional et prix de la critique 2005 (CDN de Nancy). En 2006,elle a joué Phèdre de Sénèque, mis en scène par Julie Recoing auxThéâtre des Amandiers à Nanterre. Au cinéma, elle a tourné dans Unefemme d’extérieur de Ch.Blanc, Autrement de Ch.Otzenberger, Le laitde la tendresse Humaine de Dominique Cabrera et Backstage d’Em-manuelle Bercot. Elle a collaboré avec Jean-François Auguste à la miseen scène de Happy People, création collective présentée au Festival deHédée (Bretagne).

Après avoir fréquenté les Beaux-Arts d’Aix-en-Provence, Claude Ponti devient dessinateur depresse. Il va aussi se tourner vers la peinture etexpose ses dessins à Paris. Il continue sa car-rière et donne de nombreuses illustrations pour

les éditeurs et la presse enfantine chez Gallimard d’abord puisensuite pour l’Ecole des loisirs. Il a commencé en 1986 et continued’éveiller la curiosité des plus petits avec ses beaux dessins. Cetauteur réalise son premier livre pour enfants à 37 ans à la naissancede sa fille Adèle. Il déclare avoir voulu lui créer une fratrie imagi-naire mais joyeuse. Claude Ponti est aujourd’hui un auteur reconnuqui fait rêver des milliers d’enfants chaque année.

l’auteur X

LumièresJean-Luc Chanonat

Concepteur d’éclairages, Jean-Luc Chanonat a travaillé au théâtre avecMarcel Maréchal, Jerzy Klesyk et Patrice Chéreau. Pour Thierry dePeretti, il a conçu les lumières de Salinger, Retour au désert,Valparaiso, Richard II, Gengis parmi les Pygmées et Le mystère de larue Rousselet. Il a également travaillé avec Anne Bourgeois, Jean-MarcForêt, John Malkovich, Catherine Marnas, Jean-Michel Ribes, HaroldPinter, Luc Bondy, Maria Madau et conçu de nombreux éclairagesmuséographiques avec le scénographe architecte Richard Peduzzi.

CostumesJulie DeljehierTitulaire d’un DEA Théâtre et Arts du spectacle, elle a travaillé notam-ment avec Madeleine Marion (La cantate à trois voix) à la ComédieFrançaise, Guy Lombroso (sur Roberto Zucco et Lilliom) et dernière-ment avec Florian Sitbon (La petite Catherine). En danse, elle a colla-boré entre autres avec Karine Saporta au Centre Chorégraphique deCaen et André Lepère au Théâtre de Saint-Cloud. Elle enseigne depuisjuin 2000 au GRETA des arts appliqués et au lycée Paul Poiret.

ScénographiePascal CrosnierFormé au cours René Simon, il est à la fois acteur - il a été dirigéentre autre par Philippe Adrien, Elisabeth Chailloux et LaureMandraud-, metteur en scène - Sermons joyeux de Jean-PierreSiméon-, et scénographe - il collaborre avec Hédi Tillette deClermont Tonnerrre sur Marcel B. et Le Rolland (Théatre de la CitéInternationale)-. Il a également réalisé la scénographie et laconstruction du Phèdre de Sénèque mis en scène par Julie Recoingau Théâtre des Amandiers à Nanterre.

BonjourOù sont les mamans ?L’Équipe - 2/2

Collaboration artistiqueAlexandre Zambeaux

Alexandre Zambeaux a étudié au Conservatoire NationalSupérieur d’Art Dramatique.

Depuis il a joué au théâtre, entre autres, dans CountryMusic de Simon Stephens mis en scène par Tanya

Lopert, Roméo et Juliette et Beaucoup de bruit pour rien deShakespeare, mis en scène par Benoit Lavigne au Théatre 13, L’île desesclaves de Marivaux, mis en scène par Emmanuel Daumas, 2500 àL’heure mis en scène par Jacques Livchine et Hervée De Lafond. A latélévision il a tourné dans Vénus et Apollon (J-M.Vervoort), Le négo-ciateur (J.Pinheiro), Navarro (P.Jamain), Le Mensonge (L.Carcélès),Dormir avec le diable (Y.Boisset). Avec la Fondation 93, AlexandreZambeaux a collaboré à plusieurs projets en direction de la jeunesse.

Au théatre il a joué entre autres, sous la direction de Philippe Adriendans Yvonne, princesse de bourgogne et Meurtres de la princessejuive, sous la direction de Muriel Mayette dans La dispute, l’épreuve,les acteurs de bonne foi au Studio de la Comédie Française. Il a étéégalement assistant à la mise en scène sur Bien des choses, le spec-tacle de François Morel. Sur grand écran, on l’a vu dans L’école pourtous d’Eric Rochant. Benjamin Guillard est également scénaristepour le cinéma .

Depuis elle a joué dans de nombreux spectacles, dont Le chapeau depaille d’Italie de Labiche, mis en scène par Olivier Balazuc au CDNde Montreuil ; Kroum l’ectoplasme de Hanokh Levi, mis en scènepar Clément Poirée au Théâtre de la Tempête ; Le langue à languedes chiens de roche, mis en scène par Michel Didym au Théâtre duVieux Colombier ; Les paravents de Jean Genêt, mis en scène parJean Baptiste Sastre au Théatre National de Chaillot ; Le complexedes Thénardiers de José Pliya, mis en scène par Jean-Michel Ribesau Théatre du Rond Point ; Au monde comme n’y étant pas de et parOlivier Py à la Manufacture des Oeillets. Au cinéma, outre ThankGod d’Anton Solnitski, elle vient de terminer le tournage d’un longMétrage suédois de Carsten Barandt, Gentle Pain et enchaînerabientôt avec le prochain film d’Alain Guiraudie.

Laure Calamy

Laure Calamy a étudié au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.

Benjamin Guillard

Benjamin Guillard a étudié au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.

la distribution XII

LES ENFANTS

BonjourOù sont les mamans ?La distribution - 2/2

Léna Bréban

Outre la mise en scène, Léna Bréban interprète laMaman n°2.

LES MAMANS Céline Carrère

Céline Carrère a étudié au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.

Céline Carrère a debuté au théâtre sous la directiond'Eric Ruf. Elle joue notamment sous la direction de PatriceChéreau, Philippe Calvario, Alain Milianti, Nicolas Bigard, BakiBoumaza, Emmanuel Demarcy-Mota. Depuis 2004 elle a intégré lecollectif artistique de la Comédie de Reims créé par EmmanuelDemarcy -Mota réunissant un auteur associé, Fabrice Melquiot, unmusicien, Jefferson Lembeye ainsi qu 'une dizaine de comédiens.

Alexandre Zambeaux

Alexandre Zambeaux interprète la Maman n°1 en alternance avec Céline Carrère.

tournée XIV

Après une vingtaine de représentations au Théâtre du Jardin(Paris) en mai et juin 2007, le spectacle “Bonjour” et “Où sont lesmamans ?” part en tournée.

Centre Culturel La Passerelle à Fleury-Les-Aubrais12 et 13 octobre 2007 (3 représentations)

Théâtre Nanterre - Amandiers, Le Planétarium21 octobre 2007

Théâtre municipal de La Celle Saint-Cloud14 novembre 2007

Le Salmanazar, scène conventionnée d’Epernay10 et 11 janvier 2008 (4 représentations)

Scène Watteau, théâtre de Nogent-Sur-Marne14 avril 2008 (2 représentations)

Auditorium Jean Pierre Miquel, Vincennes25 mai 2008 Salle des fêtes, Gisors - Lire en Fête 2008 14 octobre 2008 (2 représentations) La boîte à musique, Issoudun18 janvier 2009 Palais des Congrès, Pontivy 3 février 2009 (2 représentations)