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Citations choisies

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Même en tant que personnes simples, nous devons essayer, avant de mourir, d’utiliser cette précieuse opportunité

de réaliser le dharma, l’enseignement du Bouddha. Si nous faisons cela, nous n’aurons pas à craindre la mort. Un bon pratiquant peut mourir en paix, sans regrets, parce

qu’il ou elle aura accompli son potentiel humain.

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Ce n’est qu’en travaillant dur et en soutenant cet effort sur une longue période que nous pourrons atteindre

l’illumination. Il n’est pas facile d’atteindre tous les niveaux spirituels et d’accomplissements sans fournir d’efforts.

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Il n’est pas possible d’éliminer la négativité et de cultiver des activités positives en se contentant simplement de

changer notre attitude physique ou verbale. Cela ne peut se faire qu’en transformant l’esprit. Dans la pratique du bouddhisme, notre but est d’atteindre le nirvana

et l’état de bouddhéité.

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CITATIONS CHOISIES

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La nature intrinsèque de l’esprit est pure ; les émotions perturbatrices qui l’affligent ne sont que des défauts

temporaires. Toutefois, les émotions négatives ne sauraient être supprimées même par la chirurgie la plus avancée.

Seule la transformation de l’esprit peut y parvenir.

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Les constructions extérieures, si bien réalisées soient- elles, finiront par s’effondrer et se désintégrer.

Ce que nous créons à l’intérieur de notre esprit durera bien plus longtemps.

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Les souffrances, comme la maladie, le vieillissement et la mort, sont des problèmes liés à la nature même de notre existence, et nous ne pouvons les surmonter avec

des conditions externes. Tant que notre esprit sera assailli par des pensées négatives, même si nous avons de beaux

vêtements confortables et une délicieuse nourriture à manger, nos problèmes ne seront pas résolus.

7

Même notre naissance se fait dans la souffrance ; nous devons ensuite affronter la maladie, la vieillesse, la

frustration, et nombre de situations que nous ne désirons pas. Les problèmes comme celui du travail sont inhérents à l’homme. Mais tant que nous serons nés dans le cycle de

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CITATIONS CHOISIES

l’existence et que des émotions perturbatrices baigneront notre esprit, nous ne trouverons ni la paix ni le bonheur.

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Si nous comprenons que le cycle global de l’existence est par nature souffrance, nous nous engagerons dans

la pratique des trois entraînements : l’éthique, la méditation et la sagesse. Puisqu’il est possible de se libérer du cycle

de l’existence, entraîner son esprit à aspirer à la bouddhéité est essentiel.

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Pour les bouddhistes, le nirvana, ou véritable état de cessation des souffrances, est le vrai refuge.

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C’est le manque de discipline de notre esprit qui est la cause de nos souffrances. Si nous pouvons éliminer les causes de la souffrance, nous atteindrons l’état de libération ou

nirvana, ou un bonheur durable et authentique.

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Nous avons trouvé cette précieuse vie sous la forme d’un être humain libre et chanceux ; mais tôt ou tard,

nous devrons affronter la mort. Si nous tombons ensuite dans un état d’existence défavorable, il sera alors

très difficile de s’engager dans la pratique du dharma.

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CITATIONS CHOISIES

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Il ne suffit pas d’être né dans un état d’existence favorable comme celui d’être humain ou de bodhisattva. Tant que

nous ne domptons pas notre esprit et n’en éliminons pas les émotions perturbatrices, nous n’aurons guère l’occasion de connaître la joie et une paix durable.

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L’esprit d’Éveil est l’intention d’atteindre la bouddhéité afin de libérer de la souffrance tous les êtres de l’univers.

Pour développer l’esprit d’Éveil, nous devons méditer. Cela ne peut pas être simplement cultivé par des prières ou des vœux pieux. Cela ne peut pas être simplement cultivé par une compréhension intellectuelle de ce que cela signifie,

ni en se contentant de recevoir des bénédictions. Cela peut

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se faire par la méditation et une habituation répétée et prolongée.

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L’esprit d’Éveil comporte deux aspirations. C’est une conscience mentale induite par une aspiration à voir

tous les êtres se réaliser, et secondée par une aspiration à atteindre la bouddhéité. En d’autres termes, il s’agit de la compassion dirigée vers tous les êtres sensibles,

et de la sagesse orientée sur l’illumination.

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Les Quatre Nobles Vérités nous aident à réfléchir à nos souffrances et à obtenir la détermination pour nous

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CITATIONS CHOISIES

en libérer. Elles peuvent être classées en deux catégories. Les deux premières vérités, les vraies souffrances et leurs vraies origines, constituent l’ensemble des causes et des

effets pénibles associés aux émotions perturbatrices et aux souffrances que nous voulons dépasser. Les deux suivantes, la vraie cessation et le vrai chemin, constituent l’ensemble

des causes et des effets relevant de la pureté. Les deux dernières nobles vérités révèlent un chemin complet pour

le déroulement futur de nos actions.

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Chacune des Quatre Nobles Vérités peut être expliquée en fonction de quatre caractéristiques. Les quatre

caractéristiques des vraies souffrances sont l’impermanence, la souffrance en soi, la vacuité, et l’absence de soi.

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Les causes et les conditions engendrent des souffrances de telle sorte que, par leur nature même, elles se désintègrent et changent d’un moment à l’autre.

Par conséquent, les vraies souffrances sont clairement dépendantes de leurs causes.

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Pour faciliter la méditation, il y a trois manières principales de penser à la souffrance. Il s’agit de la souffrance de la douleur, de la souffrance du changement,

et de la souffrance omniprésente comme condition de l’existence.

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CITATIONS CHOISIES

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Nos principaux méfaits commis sous l’influence des émotions perturbatrices sont résumés dans les dix

actions non vertueuses. Au niveau du corps, il s’agit de tuer, de voler, et de l’inconduite sexuelle. Au niveau de la parole,

on y trouve le fait de mentir, de médire, d’employer des mots blessants et de converser inutilement.

Et au niveau de l’esprit, il s’agit de la convoitise, de la malveillance et des vues erronées.

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Que nous pensions être un moine pleinement ordonné, un grand pratiquant tantrique ou un simple pratiquant

du dharma, il est fréquent que notre motivation ne soit pas bonne à l’origine, que notre pratique de visualisation

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