contamination d'air et de surface aun neveau hospitalier
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Réalisé par:
Sara Saïdi
Dirigé par:Mdm lachachi
Thème :Contamination de l’air et de surfaces au niveau des
structures hospitalier
Faculté des Sciences Biologiques
Module: Microbiologie de l’enverenment
REPUBLIC ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE Ministère de L'Enseignement supérieure et de la Recherche Scientifique
Introduction 1.Devenir les germes de l'air
• La sédimentation spontanée• La survie
2.Où trouve-t-on ces germes en prenant comme exemple : une chambre de malade ? 2.1Experience 2.2protection
3.Air des salles d'opération 4.La quantité de germes présents dans l'air durant une opération
5.Multiplication bactérienne 6.Emissions des particules
7 .Contamination des surfaces (formation des bio-film) 8.Niveaux de bio-contamination des surfaces
9.Bio -contamination 10.support des germes
11.Origine de la présence des microorganismes dans l’air 12.Origine de la présence de microorganismes sur les surfaces
13.Qui sont les microorganismes des surfaces préoccupant a l hôpital ?14.Objectifs de la recherche d’Aspergillus dans l’air
15.Technique du prélèvement d’air et de surface 16.Techniques de nettoyage des surfaces
Conclusion
Plan de travail
Introduction
•L'environnement hospitalier est largement contaminé par des micro-organismesd'origine humaine ou spécifiquement environnementaux. •La contamination de l'environnement hospitalier varie qualitativement et quantitativement d'un établissement à un autre, et au sein d'un même établissement, en fonction des services, des patients, des soins pratiqués, de la capacité de survie des micro-organismes dans l'environnement et de la présence de bio- film.
•Les microorganismes présents dans l'environnement hospitalier sont extrêmement variés (bactéries, levures, champignons filamenteux, virus et parasites)qui localisant soit dans l’air ou sur les surface .
•La contamination de l’air et de surface au niveau des structure hospitalier élève lorsque les condition son favorable (humidité , la présence de la matière organique) .
•Pour l’identification des bactérie contaminent il faut faire des prélèvement (air,surface).
•Cette identification permettre a nous de connaitre la degré de dangé de chaque germe et leur survie et ansi le traitement pour une zone hospitalier stérile.
Ce devenir peut être considéré à un double point de vue
1.Devenir les germes de l'air
la sédimentation spontanée la survie.
a. La sédimentation spontanée
Lorsque une culture bactérienne diffusée dans l'atmosphère d'une pièce fermée (chambre d’un malade ) les microorganisme sédimentait assez rapidement en l'absence de turbulence aérienne sur les surface (table des soins ,murs ,let).
La courbe de densité des germes dans l'air décroît régulièrement et devient négligeable en 4 à 5 heures
La survie des germes dans l'air dépend de plusieurs facteurs parmi lesquels il faut compterait
la température la lumière
degré d'hydratation de
l'atmosphère
le principal entre eux
l'humidité est très favorable à
la survie
b.La survie
2.Où trouve-t-on ces germes en prenant comme exemple : une chambre de malade ?
Le plafond d'une chambre de malade ne révèle généralement pas la présence des bactéries. en trouve peu sur les murs. Ce n'est que dans la mesure où ceux-ci sont souillés par des éclaboussures de sang, de pus, par des empreintes digitales que des germes peuvent survivre.
La grande majorité des bactéries, quelque 95 %, se trouve sur les surfaces horizontales de la chambre d'hôpital, en premier lieu sur le sol.
2.1Experience
Des germes placés sur des lames de verre périssent rapidement (en 2 heures environ) en air sec; les mêmes survivent bien plus longtemps à l'humidité.
Aussi que Certaines espèces survivent longtemps, d'autres au contraire périssent rapidement.
Après 2 h, de 100 germes il reste 5 colibacilles, 50 pyocyaniques, 75 staphylocoques.Des staphylocoques dorés (MRSA y compris) peuvent survivre plus de 6 mois à la dessiccation.
Les courbes de la figure montrent la survie moyenne de 3 espèces microbiennes courantes dans l'air. On remarquera que les bacilles gram négatif périssent rapidement, mais que le staphylocoque est beaucoup plus durable.
Germes Survie maximum E. coli 175 jours*
P. aeruginosa 175 jours* S. aureus 175 jours*
A. baumannii > 120 jours Entérocoque 5 à 7 jours
Spores bactériennes ++++
la survie est encore plus longue :•Dans les conditions d’humidité et en présence des matières organiques, •quand les microorganismes Résistance à la dessiccation
Il en va différemment lorsque l'air de la pièce est agité, par l'ouverture de fenêtres,curants d'air, remettent les germes en suspensionAprès un certain temps, toutes ces particules, en fonction de leur grandeur et au gré des courants d'air dans la chambre, et que le moindre mouvement d'air les empêchent de se poser sur le sol ,Il s'agit donc bien de nettoyer avant tout le sol et les surfaces horizontales
2.2protection
En effet, lorsque l'aspirateur est mis en marche, il y a souvent un déplacement d'air qui fait que les poussières chargées des germes peuvent être remises en suspension dans l'air.On n'utilise donc pas l'aspirateur à poussière pour le nettoyage des locaux hospitaliers et il reste donc que le nettoyage humide est le seul valable.
La sédimentation des germes et leur production par l'homme jouent un rôle primordial en salle d'opération, où les tissus stériles sont exposés à l'air ambiant et où les germes sédimentent dans la plaie, comme une pluie de particules.
3.Air des salles d'opération
• du nombre de personnes dans la salle• de leur activité• du type de travail, FAU: Flux d'air unidirectionel• Filtre à particule dans l'étage final• Surventillation de la zone de protection de manière stable ⇒protection dynamique de la pénétration de contaminations• renouvellement de l’air.
4.La quantité de germes présents dans l'air durant une opération dépend:
Dans un milieu favorable (humidité, chaleur, aliments...) une bactérie donne naissance, en 20 minutes, à deux bactéries identiques.
0 h 4 h
1 bactérie (1x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2 x 2) 4000 bactéries
soit 12 multiplications en 4 heures
Ces bactérie provoque une contamination de surface
5.Multiplication bactérienne
6.Emissions des particules
Par minute : D > 0,3 µm
Activité d’une personne
100 000 sans activité
500 000 debout ou assis, mouvements légers de la tête ou des mains
1 000 000 debout ou assis, mouvements importants des bras, de la tête ou du corps
2 500 000 s’asseoir sur une chaise
5 000 000 marcher à 3,5 km/heure
7 500 000 marcher à 6 km/heure
10 000 000 marcher à 9 km/heure, monter un escalier
15 – 30 000 000 exercices physiques
7. Contamination des surfaces (formation des bio-film)
Les bactéries se fixent et se développent sur des supports inertes pour former un biofilm . Le biofilm : ensemble de micro organismes et de leurs secrétions permettant l’adhésion d’une colonie bactérienne sur une surface.
8.Niveaux de bio-contamination des surfaces
•flore bactérienne 20 UFC /100 cm2 de surface et absence de germes indésirables
•Aspergillus sp. ou autre champignon filamenteux : < 1 UFC /100 cm2 de surface
contamination d’une matière, d’un appareil, d’un individu, d’une surface, ou de l’air par des particules viables.particule viable : particule qui se compose d’un ou de plusieurs micro-organismes vivants, ou qui leur sert de support.
9.Bio -contamination
10.support des germes
Air de l’enverenemt Parsonnel Surface
Air de chambre Air de bloc opératoire
Air de patient malade
Chambre de malade
Table de soins Sol
MursVêtement
MaladeVisiteur Docteur
Dans les locaux hospitaliers, les germes en suspension dans l'air sont principalement d'origine humaine.
On distingue :
* gouttelettes de salive tombent dans un périmètre de 1,5 m* poussières + squames cutanées sédimentent de 30 cm par min.* droplet nucléi ne sédimentent pas.
11.ORIGINE DE LA PRÉSENCE DES MICROORGANISMES DANS L’AIR
L’activité humaine: les personnels, les visiteurs ou les patients eux-mêmes contaminent l’environnement proche avec leurs microorganismes
L’air: la proximité de travaux peut contaminé l’air puis donc les surfaces en aspergillus
L’humidité: les lavabos, sanitaires et eaux stagnantes favorisent le développement des microorganismes
12.ORIGINE DE LA PRÉSENCE DE MICROORGANISMES SUR LES SURFACES
Staphylococcus aureus
13.QUI SONT LES MICROORGANISMES DES SURFACES PRÉOCCUPANT A L HÔPITAL?
LES BACTERIE D’origine de
l’enverenement D’origine humain
Sont des bacilles à Gram-comme Pseudomonas aeruginosa, Acinetobacter baumannii
Champignons Virus
rotavirus sont capables de survivreplusieurs jours sur les mains et un à 10 jours ou plus sur les surfaces sèches et nonporeuses dans un environnement faiblement humide
les champignons filamenteux environnementaux (Aspergillus spp.
•Nécessité d'une surveillance de l'environnement :
Il est souhaitable qu'une surveillance fongique de l'environnement hospitalier se généralise en se fondant sur des procédures standardisées et validées.
L'intérêt d'une surveillance systématique de la situation aspergillaire des sites où sont hospitalisés des malades à risque n'est pas démontré.
En revanche, une surveillance doit être impérativement instaurée dans les secteurs bénéficiant d'un système de traitement d'air efficace.
• Contrôler l’efficacité des mesures prises lors de travaux dans l’hôpital pour protéger les unités (contamination de surface) où des patients à risques sont hospitalisés. •Aspergillus Germe ubiquitaire :En milieu hospitalier : textiles, cartons, poussières, aliments…Spore :Forme de résistance +++ : T° ext, sécheresse…
14.Objectifs de la recherche d’Aspergillus dans l’air
• Sédimentation spontanée (favorise les grossesparticules)• Impaction (volume d’air connu est aspiré et impacté sur unmilieu gélosé)• Filtration (volume d’air connu est aspirer et passe à traversune membrane filtrante en gélatine qui est ensuite mise enculture)
15.Technique du prélèvement d’air et de surface :
la technique la plus simple pour mettre en évidence les micro-organismes vivant dans l'air qui nous entoure et que nous inhalons. Une boîte de Pétri, remplie d'un milieu gélosé nutritif spécifique est laissée ouverte pendant 8h. Elle est placée ensuite à incuber plusieurs jours. Il reste à dénombrer et identifier les colonies qui apparaissent à la surface du milieu.
Boîte pendant prélèvement
Boîte après incubation, avec colonies bactériennes
La poussière peut héberger quantité de micro-organismes. Il importe de distinguer l'accumulation de la contamination
Aspiration des poussières d'un
matelas
Filtre et poussières à l'intérieur de l'embout spécifique d'aspiration
ensemencement par dilutions successives sur
milieux gélosés spécifiques
•Le dépoussiérage et le balayage humides: étape préalable, indispensable. Consiste à récupérer les poussières et les salissures en limitant la remise en suspension dans l’air.•Le nettoyage: consiste à éliminer les souillures pour assurer une propreté visuelle.•La détergence: consiste à détacher les souillures de la surface avec un produit de type savon.La désinfection: permet de tuer les microorganismes présents sur les surfaces à l’aide d’un désinfectant.•Le nettoyage-désinfection: permet en une seule étape, un nettoyage et une désinfection simultanés, par utilisation d’un produit détergent/désinfectant.Le bionettoyage désigne l’opération consistant en:
Un nettoyage avec un produit détergentUn rinçageUne application de désinfectant
16.Techniques de nettoyage des surfaces
Conclusion
•Les milieux de l’environnement (air, surfaces, eaux) présentent une contamination microbiologique permanente mais variable dans le temps et d'un espace a une autre. •L'environnement hospitalier nécessite un contrôle bactériologique de lair et de surface pour combattre les microorganisme qui provoque défère contamination au source . •L’application de ce contrôle nécessite d’abord des directives organisationnelles d’une part l’administration centrale de l’hôpital et d’autre part une bonne collaboration avec le comité de lutte contre les infections nosocomiales .
•Un local « propre » restera propre si : •Les surfaces sont propres, donc nettoyées .•L’air est propre, donc filtré ou ventilé .•L’activité est non contaminante .
Merci pour votre attention