conseil en energie partagé - cotita · données 2011 en € ttc par habitant ... etat des lieux...
TRANSCRIPT
Etat des lieux et fonctionnement Evolutions et perspectives
Conseil en Energie Partagé sur le département du Puy-de-Dôme
Le CEP a connu en 2012 un fort développement : • Une montée en charge du nombre d'adhésions des collectivités,
o 19 communes o 5 intercommunalités et les 43 communes qu’elles regroupent o 7 intercommunalités pour leur seul patrimoine … contre 15 collectivités en 2011
• Des enjeux majeurs et mieux compris et des contraintes financières, règlementaires toujours plus imposantes et qui engagent à agir
• Des collectivités à la recherche d’une expertise technique neutre sur les
questions d’énergie par rapport à leurs maîtrises d’œuvre
• Des partenaires mobilisés : l’ADEME Auvergne, les PNR VA et LF, le SMAD des Combrailles, le SIEG, le CG 63, etc.
• Des cadres de travail en lien avec le CEP : l’Observatoire de l’énergie et
du climat interne à l’Aduhme, les PCET territoriaux volontaires (AMI), les AUR et ARU des PNR, etc.
Un contexte de travail catalyseur
2
Le nécessaire [re]positionnement de la démarche
La définition du rôle et du positionnement du Conseil en Energie Partagé parallèlement à une lourde réflexion d’ordre fiscal ont eu lieu au sein de l’Aduhme début 2012 dans le but : • D’asseoir la démarche et d’en pérenniser le travail sur le terrain • De trouver sa juste place aux côtés des adhérents et des acteurs de l’énergie • D’en recentrer les objectifs
Un cabinet d’avocats spécialisé en droit fiscal et en droit des associations a accompagné cette réflexion. Statuts et règlement intérieur de l’association ont été refondus pour tenir compte des conclusions de cette consultation.
Aulnat : 4 313 habitants Cotisation 2013 = 3 850 € GVAC : 20 474 habitants Cotisation 2013 = 15 764 € Riom communauté : 32 221 habitants Cotisation 2013 = 3 310 €
3
TranchesTranches habitants
>> Coût par habitantAdhésion Commune
Adhésion intercommunalité
et communes qu'elle
regroupe
Adhésion
intercommunalité seule
Tranche 1 de 0 à 999 habitants 1.00 € 1.30 € 0.30 €
Tranche 2 de 1.000 à 2.999 habitants 0.90 € 1.20 € 0.30 €
Tranche 3 de 3.000 à 4.999 habitants 0.80 € 0.95 € 0.15 €
Tranche 4 de 5.000 à 9.999 habitants 0.70 € 0.80 € 0.10 €
Tranche 5 de 10.000 à 19.999 habitants 0.50 € 0.60 € 0.10 €
Tranche 6 20.000 habitants et + 0.30 € 0.35 € 0.05 €
Réaliser l’objet social de l’Aduhme • Maîtriser les consommations d’énergie et limiter l’empreinte carbone du territoire
• Réduire la facture énergétique de chacune des collectivités
Aider les collectivités à mieux percevoir les enjeux énergétiques et à mieux mesurer leurs marges de manœuvre en leur donnant :
• une vision énergétique, comptable et technique complète de leur patrimoine et de son fonctionnement
• des repères fiables, typologiques, thermiques, économiques
• les arguments pour anticiper leurs actions via la notion de coût global
• les moyens de définir un plan d’action patrimoine
• une juste évaluation de leurs actions et les moyens pour les justifier
Objectifs de la démarche
de Conseil en Energie Partagé
Comment travaillons-nous sur le terrain et avec qui ? Quels sont les impacts de cette démarche ? Quelles sont nos pistes de développement ?
4
Profil des collectivités adhérentes
368 bâtiments majeurs suivis 98 GWh EF consommés 7,737 M€ de dépenses d’énergie Des profils énergétiques qui laissent déjà soupçonner des enjeux spécifiques
5
26,3 € 26,8 € 21,2 €
33,0 €
6,4 € 10,2 €
8,7 €
9,6 €
- €
5,0 €
10,0 €
15,0 €
20,0 €
25,0 €
30,0 €
35,0 €
40,0 €
45,0 €
<entre 0 et 1000habitants
<entre 1001 et5000 habitants
<entre 5001 et10000 habitants
entre 10001 et20000 habitants
Aduhme CEP : Profil énergétique des communes suivies Données 2011 en € TTC par habitant
2011 - Coût Bâtiments en € TTC par an
2011 - Coût EP en € TTC par an
218 kWh
299 kWh
243 kWh
307 kWh
63 kWh
101 kWh
87 kWh
92 kWh
0 kWh
50 kWh
100 kWh
150 kWh
200 kWh
250 kWh
300 kWh
350 kWh
400 kWh
450 kWh
<entre 0 et 1000habitants
<entre 1001 et5000 habitants
<entre 5001 et10000 habitants
entre 10001 et20000 habitants
Aduhme CEP : Profil énergétique des communes suivies Données 2011 - en kWh PCI par habitant
2011 - Consommations EP en kWhPCI
2011 - Consommations Bâtimentsen kWh PCI
Développement opérationnel du CEP
Démarche individuelle, à l'échelle de chaque collectivité
Etape 1 Découverte du patrimoine Analyse du fonctionnement général Etat des lieux énergétiques et comptables
Suivi de la mise en œuvre de projets en cours : études, travaux, action de communication, etc. Inspections thermographiques Formations des agents, etc.
Etape 2 Définition concertée d'un schéma directeur d'intervention - PPI
Etape 3 Accompagnement de la mise en œuvre progressive et hiérarchisée des actions
Etape 1 bis Evaluation des impacts Poursuite de l’analyse des factures et consommations et de leur évolution
Fort intérêt de mutualiser les expériences de chacun et de mettre en avant de bonnes pratiques
Démarche collective, pour l'ensemble des adhérents
Rencontres Réunions techniques, visites de sites spécifiques, conférences élargies : Visite GTB, réunion « contrats d’exploitation, réunions et visites EP, etc.
Développement Outils de communication, exposition Notes techniques afin d’ouvrir la discussion sur des sujets d'actualité
Consolidation Renseignement d'une base de données ressources
6
Electricité Bâtiments 61 543 €
42%
Electricité EP 37 168 €
25%
Gaz naturel 47 684 €
33%
LES MARTRES DE VEYRE : répartition des dépenses d'énergie, par type (données 2011 - en kWh PCI)
Electricité Bâtiments
Electricité EP
Gaz naturel
Répartition des consommations et des dépenses en 2011
+ environ 4 700 € d’entretien
+ 24 000 € d’entretien préventif (dont illuminations)
146 400 € dépensés 1 616 MWh PCI consommés 264 tonnes de CO2 émises
1,76 millions de km de voiture 44 fois le tour de la terre
Electricité Bâtiments 449 780 kWh
28%
Electricité EP 404 899 kWh
25%
Gaz naturel 760 880 kWh
47%
LES MARTRES DE VEYRE : répartition des consommations d'énergie, par type (données 2011 - en kWh PCI)
Electricité Bâtiments
Electricité EP
Gaz naturel
7
146 k€
0 k€
20 k€
40 k€
60 k€
80 k€
100 k€
120 k€
140 k€
160 k€
180 k€
200 k€
220 k€
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020
Mill
iers
Budget année de référence Evolution base (sans travaux)Mise en œuvre travaux (-20% de consos sur 1/10 du parc par an) Mise en œuvre travaux (-40% de consos sur 1/10 du parc par an)
-11%
+48%
Simulation à l’horizon 2020 de l’évolution de la facture énergétique des Martres de Veyre
133 k€
208 k€
Mieux connaitre pour anticiper
>> Budget d’investissement mobilisable > 2020 : 339 000 €
8
Ecole de musique 6 145 €
Ecole élementaire 7 270 €
Ecole élementaire annexe
11 €/m² par an 4 060 €
Ecole maternelle et cantine
15 €/m² par an 22 012 €
Eglise ? 5 794 €
Mairie 9 €/m² par an
8 130 € Médiathèque
classes EE 8 €/m² par an
5 136 €
CCAS / Crèche 8 469 €
Salle de gymnastique 1 736 €
Salle des fêtes 18 €/m² par an
10 577 €
Salle des sports 9 €/m² par an
11 805 €
Terrain de rugby 3 205 €
Vestiaires du stade Emile Rive
26 €/m² par an 5 307 €
-10 €/m² par an
-5 €/m² par an
0 €/m² par an
5 €/m² par an
10 €/m² par an
15 €/m² par an
20 €/m² par an
25 €/m² par an
30 €/m² par an
LMDV : comparaison des dépenses d'énergie des principaux équipements au regard de leur surface chauffée (données moyennées sur 3 ans, en € TTC par an et € TTC/m² et par an)
Analyse des dépenses au regard des surfaces des équipements
9
Lot A : Optimiser : quels abonnements pour quels usages en tarif jaune ?
0
20
40
60
80
100
120
140
160
no
v.-0
9
jan
v.-1
0
mar
s-1
0
mai
-10
juil.
-10
sep
t.-1
0
no
v.-1
0
jan
v.-1
1
mar
s-1
1
mai
-11
juil.
-11
sep
t.-1
1
no
v.-1
1
jan
v.-1
2
mar
s-1
2
mai
-12
juil.
-12
sep
t.-1
2
LA ROCHE BLANCHE : Tarif jaune de la Salle des sports Puissances mensuelles atteintes (en kVa)
La puissance souscrite pour la Salle des sports n’a pas été atteinte depuis l’ouverture du site. Quid usages complets Une souscription en 120 kVa économiserait 730 € HT par an
0
20
40
60
80
100
120
140
no
v.-0
9
jan
v.-1
0
mar
s-1
0
mai
-10
juil.
-10
sep
t.-1
0
no
v.-1
0
jan
v.-1
1
mar
s-1
1
mai
-11
juil.
-11
sep
t.-1
1
no
v.-1
1
jan
v.-1
2
mar
s-1
2
mai
-12
juil.
-12
sep
t.-1
2
LA ROCHE BLANCHE : Tarif jaune du gymnase Puissances mensuelles atteintes (en kVa)
>>> Pour le gymnase, une souscription en 90 kVa économiserait 550 € HT par an
10
Lot B : Sites à améliorer : confort + maîtrise des charges
La Mairie
Ce bâtiment ancien en pierre a subi une rénovation d’ampleur en 2004. Il s’organise sur 2 niveaux complets, plus des bureaux sous-rampants et une petite cave sous une partie du bâtiment (1/4).
Il a la particularité d’être semi-enterré sur sa paroi Nord.
Enveloppe • Les combles et rampants ont été isolés correctement. • Les fenêtres sont en DV bois avec EA du côté rue et en DV PVC ou Alu FEA sans EA du côté cour. Elles sont
équipées de volets battants et persiennés fermés le soir. Seule la porte principale reste peu étanche. • La présence importante d’humidité, liée à la typologie du bâtiment et à sa construction semi-enterrée a
conduit Veyre a installé un système de caisson « mur tronic » qui en a semble-t-il limité fortement les effets indésirables.
Systèmes
Le chauffage des différents zones est assuré par une chaudière De Dietrich GN condensation de 40 kW (ventouse), dont les départs ne sont pas calorifugés. Une horloge contraint sont fonctionnement [quid paramètres] ; les émetteurs sont hétérogènes (acier), mais équipés de RT.
Une VMC autorèglable assure l’extraction partielle de l’air vicié.
L’ECS est assurée par un vieux ballon de grosse capacité. Quid besoins réels.
Par an : 47 MWh – 91 kWh/m² - 3 800 €
Cet équipement a des consommations globales tout à fait acceptables, du fait notamment des travaux engagés. Seule la porte d’entrée reste froide. La ventilation du RDC devrait cependant être améliorée (percement des huisseries) pour mieux renouveler l’air. Enfin, le ballon d’ECS est vieillissant ; s’il doit être renouvelé, un système instantané peut être suffisant. 11
Le GS Jules Ferry
Cette école a été construite en 1976 et accueille environ 240 enfants en maternelle et élémentaire (9 classes).
Elle est utilisée sur des temps scolaires et périscolaires ; le CLSH organise par ailleurs ses activités dans les locaux durant les mercredis et vacances scolaires (sauf Noël et août).
Les bâtiments originels ont une architecture classique des année 70 : ils ont été construits en préfabriqué béton / poteaux poutres.
• L’école élémentaire s’étend sur 2,5 étages, avec des classes distribuées de chaque côté d’un couloir central. Certaines classes sont situées au dessus du préau ouvert.
• L’école maternelle est séparée de l’EE par le réfectoire et la cantine, où sont cuisinés les repas. Le bâtiment principal, de plain-pied, a été agrandi par une construction en R+1 en 2003.
Par an : 461 MWh - 192 kWh/m² 30 250 €
Lot C : Sites en réflexion plus avancée [1]
12
Enveloppe des bâtiments originels
• Les murs ont été construit en panneaux préfabriqués béton, sans isolation. [quid isolation sur les murs de l’EM (5 cm ?)]
• Les toits terrasses n’ont subi aucune réfection depuis leur construction (sauf étanchéité). S’ils ont été isolés à l’origine, la résistance du matériau doit être mauvaise. [Quid isolation dans les plafonds des classes du 2d étage]
• Les huisseries sont en DV 4/6/4 alu coulissants, surmontées de volets roulants à fermeture mécanique, peu étanches. Des entrées d’air sont néanmoins présentes sur les caissons, souvent obstruées.
• Un préau s’étend sous une partie importante du bâtiment ; son plafond est traité par de la fibralith (peu efficace).
• Les parois de l’extension ont été isolées correctement et ses salles sont ventilées ; une RT contraignait bien plus les constructions.
Lot C : Sites en réflexion plus avancée [2]
L’enveloppe parait peu efficiente et confortable.
13
Lot C : Sites en réflexion plus avancée [3]
Systèmes
• L’école est chauffée par 2 chaudières GN montées en cascade, dont les brûleurs fonctionnaient au fioul jusqu’en 2000. Elles sont de fait vieillissantes.
• Elles distribuent la chaleur sur 8 circuits distincts dont une alimente l’échangeur à plaques produisant l’ECS.
• 3 régulations calent les consignes de confort et de réduit ; les programmations des vacances sont néanmoins gérés manuellement.
• La chaleur est distribuée via des émetteurs à air chaud, peu réglables (extension : acier avec RT)
• La cuisine consomme également du GN via ses pianos de cuisson.
• Aucune VMC n’est présente dans les bâtiments originels.
• Enfin, ponctuellement, des ballons d’ECS électriques sont présents.
Les consommations de ce site sont préoccupantes et significativement au-dessus des ratios 63. Des plages horaires d’utilisation élargies peuvent l’expliquer une partie. Néanmoins, enveloppe et systèmes présentent des états vieillissants et peu efficients. Le passage d’une caméra thermique est à programmer cet hiver afin de mettre en avant les déperditions et l’inconfort de l’enveloppe des bâtiments. A termes, le lancement d’un audit énergétique approfondi permettrait de travailler sur un programme de rénovation cohérent, intégrant une réflexion sur la ventilation. En effet, la rénovation des chaufferies paraît pressante compte-tenu des l’état des corps de chauffe ; néanmoins, leur redimensionnement sans traiter l’enveloppe des bâtiments serait illogique et malvenu. [quid avancement réflexion avec Euclid]
14
Ex. d’action individuelle : Suivi de la maîtrise d’œuvre - GS Beytout à Aulnat
15
Ex. d’action partagée : lancement d’un AMO sur les contrats d’exploitation à Beaumont
16
Ex. d’action individuelle : Lancement d’un audit énergétique sur l’EP à Riom
Electricité Bâtiments
2 273 MWh 21%
Electricité EP 2 097 MWH
20%
Gaz naturel 6 258 MWh
58%
Fioul 153 MWh
1%
RIOM : Répartition des consommations par énergie sur l'ensemble du patrimoine (2010)
« La Ville de RIOM, consciente de ses compétences et responsabilités en matière d’éclairage public, a pour objectif clair, par le biais de cette étude, de progressivement restructurer le fonctionnement et l’exploitation de son réseau d’éclairage public afin : D’éclairer juste, où il faut, quand il faut et comme il faut. »
17
Des enjeux majeurs et des marges de progrès évidentes • Clarification des compétences et responsabilités des élus
o Prestation d’un avocat, Docteur en Droit public o Rédaction d’une note détaillée et d’un arrêté municipal type
• Montée en compétence interne sur le volet technique o Formation ADEME MDE EP, réseaux CEP, etc.
• Création d’outils pour bien communiquer et bien concerter : o Mise à disposition d’un kit de communication ad hoc o Participations à des réunions publiques spécifiques o Rédaction d’articles, liens presses
• Multiplication des temps d’échanges entre collectivités
o Organisation de visites nocturnes techniques o Déplacement à OLAC Philips o Création d’une carte Web interactive o Rédaction d’une Charte d’engagement + rassemblement des élus
Ex. d’action collective : l’extinction de l’EP en milieu de nuit
1 669 MWh d’électricité économisés par nos adhérents en 1 an, soit 35 % de ce poste et 170 000 € de dépenses évitées
18
Impact énergétique simulé de
l’extinction en milieu de nuit de l’EP
L’EMN de l’EP 6 h par nuit (50 % du temps d’éclairage) tend vers une économie de : • 50 % des consommations soit 239 MWh • 40 % de la facture, soit 19 000 € en 2013
459 750 kWh 437 175 kWh 442 661 kWh 459 207 kWh
220 419 kWh
33 463 € 35 255 €
41 383 €
46 665 €
29 634 €
48 999 €
- €
10 000 €
20 000 €
30 000 €
40 000 €
50 000 €
60 000 €
0 kWh
100 000 kWh
200 000 kWh
300 000 kWh
400 000 kWh
500 000 kWh
600 000 kWh
2009 2010 2011 2012 2013
VEYRE-MONTON : Evolution des consommations (en kWh) et dépenses d'électricité (en € TTC) pour l'éclairage public entre 2009 et 2012 + simulations pour 2013 avec extinction 50% du temps
Consos Elec EP siextinction
Dépenses EP en € si extinction
Dépenses EP
19
Les collectivités engagées dans l’extinction
partielle de leur éclairage public
Dans le Puy-de-Dôme, de plus en plus de communes éteignent
Plus de 168 000 habitants sur 130 communes sont recensées, soit 28 % de la population du département
(le recensement se poursuit)
Dans l’Allier, mises à part Montluçon, Moulins et Vichy, la plupart des communes éteignent historiquement
Dans la Loire, les communes mettent en œuvre des plans d’efficacité énergétique de leur EP, allant jusqu’à l’extinction.
20
2 temps pleins :
• Aude LENOIR – prise de fonction en septembre 2010
• Sébastien BRUNET – prise de fonction en mai 2012
… appuyés par des métiers supports fondamentaux : communication, administration stratégique et relationnel
Postes financés par une partie des cotisations des collectivités adhérentes et par l’ADEME Auvergne
Les moyens mis en œuvre / besoins
40,8
60,8
61,2
40,8
60,8
61,2
326,4
486,0
489,6
- 100,0 200,0 300,0 400,0 500,0 600,0 700,0
Temps disponible théorique(2 postes CEP actuels)
Temps à réaliser théorique
Projection sur 3 postes CEP
ADUHME : Répartition du temps à passer avec l'ensemble des collectivités adhérentes au regard du temps disponible théorique sur 1 an cumulé - projection 2013 (en jours)
Temps "non-productifs"
Temps collectifs
Suivi individuel des communeset développement
Population de référence CommuneIntercommunalité et
communes qu'elle regroupeIntercommunalité seule
< 2000 habitants 10 8 5
de 2000 à 4999 habitants 12 15 8
de 5000 à 9999 habitants 15 20 10
10 000 à 12 499 habitants 17 30 12
12 500 à 14 999 habitants 20 35 15
15 000 à 17 499 habitants 20 40 18
17 500 à 19 999 habitants 20 45 21
20 000 à 25 000 habitants 20 50 24
25 000 habitants et plus 20 55 27
Jours théoriques pour chaque adhérent
Communes IntercommunalitésIntercommunalités
seules
19 5 [43] 7
21
408 jours
612 jours
608 jours
Objectifs qualitatifs :
• Démarche individuelle à lancer sur 5 intercommunalités, dont 2 avec les communes de leur territoire également
• Poursuite du suivi des plus « anciens » adhérents, avec lesquels les partenariats évoluent
• Démarches collectives à intensifier du fait de l’intérêt des échanges et de la motivation des adhérents : réunions techniques spécifiques, visites de sites, etc.
• Maintien de la réactivité, de la disponibilité et des niveaux d’exigences attendus
Objectifs quantitatifs : ouverture d’un 3ème poste ?
Un temps de travail théorique prévisionnel important, dont la ventilation doit évoluer pour faire face à la demande croissante
Les moyens à déployer en 2013
22
• Des sujets à creuser : o La GTB et l’optimisation des usages o Les contrats d’exploitation en chaufferies o L’éclairage public
• D’autres à ouvrir, avec nos adhérents, en réseau o Les CEE au service des collectivités o L’achat d’énergie et les contrats dérégulés o Les règlementations appliquées aux bâtiments anciens : des
complémentarité à trouver entre accessibilité, contraintes ABF, sobriété énergétique, etc.
o La MDE spécifique dans les bâtiments publics, et notamment les écoles o Vers de nouvelles pistes de financements…
• Avec des outils adaptés : réunions techniques spécifiques, visites localisées, édition de cahiers techniques, opérations coup de poing CEE, etc.
Ouverture vers de nouvelles réflexions
23
Merci de votre attention Sébastien CONTAMINE, Directeur de l’Aduhme
Aude LENOIR, Conseillère technique
24