concert de noËl - abbaye saint-victor · 2013-12-09 · c’est avec un plaisir chaque année...

MARSEILLE, ALLAUCH & PLAN-DE-CUQUES

CONCERT DE NOËL

12 décembre 2013 Abbaye de Saint Victor

19, avenue Gaston Castel – 13016 MARSEILLE Tél. : 04 95 06 84 97 – Fax : 04 91 69 36 87

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13011 Marseille

PLAN-DE-CUQUES 2, avenue du Général de Gaulle – 13380 Plan-de-Cuques

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Le mot de Régine Blanc

Chers Amis,

C’est avec un plaisir chaque année renouvelé qu’il me revient de vous accueillir pour le Concert de Noël des Lions Clubs de Marseille, Allauch et Plan-de-Cuques. En effet, vous répondez en nombre à notre invitation à venir partager l’écoute, en cette magnifique Abbaye de Saint-Victor, d’un grand concert de musique classique.

Cette soirée ne pourrait être organisée sans de nombreux soutiens : en premier lieu le vôtre, spectateurs chaque année aussi nombreux et fidèles, mais aussi l’aide financière, technique et artistique de celles et ceux qui, parfois dans l’ombre, œuvrent à la réussite de cette soirée : la Ville de Marseille, le Conservatoire National à Rayonnement Régional de Marseille, la Paroisse de Saint-Victor et le père Philippe RAST, les entreprises partenaires… sans oublier bien entendu les Lions de la région et ceux qui m’entourent au sein du Comité d’Organisation de cette soirée.

Le bénéfice de ce concert sera principalement affecté à l’Université d’Été Lions de la Musique (UDELM). J’ai donc souhaité que deux pages de ce programme soient consacrées à vous présenter cette œuvre qui bénéficie, une nouvelle fois cette année, du soutien de tous les Clubs de notre district Lions.

Je vous souhaite une excellente soirée et de bonnes fêtes de fin d’année.

Régine Blanc Coordonnatrice du Concert de Noël

Le mot du Père Philippe Rast

Voici une belle coutume qui s’est installée maintenant depuis quelques années.

Immédiatement après la clôture du Festival des Amis de Saint-Victor, le Lions Clubs International invite pour un concert qui est presqu’un concert de Noël.

Son charme tient à trois ingrédients : • l’amitié qui joyeusement, cordialement et simplement, tisse tant de liens dont la vigueur vous réunit

ce soir ici ; • le goût de ce qui est beau à Marseille, dans son héritage et dans sa création aujourd’hui ; • la générosité qui vous appelle à concourir aux actions sociales des Lions Clubs.

Je souhaite à tous, au terme de ce temps de l’Avent, de belles et saintes fêtes de Noël, pour ensuite commencer l’année dans la grâce du Sauveur.

Philippe Rast Curé de Saint Victor

Lions Clubs de Marseille, Allauch et Plan-de-Cuques

Concert de Noël – Abbaye de Saint Victor – 12 décembre 2013

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Le Comité d’Organisation du

Concert de Noël des Lions Clubs de Marseille, Allauch et Plan-de-Cuques

remercie pour leur soutien :

M. Marc Crès et les ÉDITIONS CRÈS pour la photographie de la page de couverture

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M. Patrick Roman et la société E.F.C.2 Electricité – Froid – Climatisation 06 61 03 60 46 – [email protected]

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Un peu d’histoire

Bienvenue dans la basilique Saint-Victor si chère au cœur des chrétiens de Marseille. Elle a été, au Moyen Âge, le sanctuaire d’une importante abbaye bénédictine, puis, au XVIIIe siècle, une collégiale confiée à des chanoines d'origine noble, avant de devenir, au XIXe siècle, une église paroissiale. En 1934, le pape Pie XI l'a élevée au rang de basilique mineure.

Pour comprendre sa longue histoire, il faut mesurer que le site sur lequel elle est installée n’était pas originellement dans Marseille, mais face à Marseille. En effet, la ville est née, il y 2600 ans, sur l’autre rive du Vieux-Port où elle est restée cantonnée jusqu’à la fin du Moyen Âge. Elle ne s'est étendue qu’à partir du XVIe siècle sur la rive sud, appelée à cause de cela rive neuve. Le quartier autour de Saint-Victor date des XVIIIe et surtout XIXe siècles.

Vous êtes entré dans l'église par la tour dite « d’Isarn », un abbé du XIe siècle auquel est faussement attribuée la construction du monastère en ce lieu. Il ne subsiste aujourd'hui du monastère médiéval que l’église où nous sommes, dont l’essentiel date d’une reconstruction du XIIIe siècle et dont le chœur est du XIVe siècle.

L’originalité de Saint-Victor est qu’elle comporte des cryptes englobant les restes d’une première basilique du Ve siècle. Disposée transversalement à l'église haute dans laquelle vous vous trouvez, cette basilique a été édifiée à la gloire du martyr Victor et de ses compagnons, dont l'histoire est obscure. En effet, dès la fin de l'Antiquité, Victor est présenté comme une victime, avec d’autres fidèles, des persécutions anti-chrétiennes du début du IVe siècle. Deux versions concurrentes circulaient sur son martyre. L’une fait de lui un soldat qui meurt broyé sous une meule ; l’autre, un pilote de navire exécuté par décapitation. Dans la première moitié du XIe siècle, ces textes ont inspiré un troisième récit. D’abord soumis au supplice de la meule qui se rompt, Victor périt décapité comme il convient à son état de soldat qui l’a définitivement emporté sur celui de pilote.

Sur la clé de voûte du chœur comme sur la représentation au-dessus du porche de la basilique, Victor est figuré comme un chevalier terrassant ou non un dragon. La même image se retrouve au XIIIe siècle sur le sceau de la ville de Marseille, avec pour légende « Victor, toi qui est vraiment victorieux, protège Marseille et ses citoyens ».

Les récits de l’Antiquité rapportent qu’après l’exécution du saint et de ses compagnons sur le forum, les fidèles dérobent leurs corps, traversent le port et « cachent leurs restes en un lieu à flanc de colline après avoir entaillé prestement le rocher. » Ce qui permet d’identifier où ces restes étaient vénérés : dans une galerie taillée dans le roc que vous découvrirez dans les cryptes.

Selon l'historien et évêque du VIe siècle, Grégoire de Tours, les Marseillais y venaient nombreux demander au saint d’intercéder auprès de Dieu pour leur guérison.

Au milieu du XIe siècle, les bénédictins ont aussi choisi de présenter leur monastère comme le successeur de celui qu’un moine, Jean Cassien, aurait fondé au Ve siècle auprès de la basilique primitive. Ce moine est fameux pour avoir acclimaté en Occident les pratiques monastiques qu'il avait connues en Orient. Pourtant, Cassien est arrivé à Marseille trente à quarante ans avant la construction de cette basilique et les premières traces sûres de moines à Saint-Victor datent seulement du IXe siècle. Aussi son lien avec Saint-Victor est-il discuté.

Texte issu de la visite guidée de la basilique, disponible en version mp3 sur le site : www.saintvictor.net . Rédacteurs : Jean Guyon, Michel Fixot et Régis Bertrand, avec le soutien de l’association Arteolog-CPPM (directeur : Claire Reggio).



http://www.saintvictor.net/

Le mot de Lionel Pons

La personnalité de Giovanni Battista Pergolesi (1710-1736) offre un exemple fascinant de fécondité musicale et artistique, personnifiant la diversité de l’idéal baroque. Qu’il s’agisse de sa musique sacrée ou de ses œuvres profanes, le compositeur fait preuve d’une maturité stupéfiante et d’une totale maîtrise de ses moyens expressifs, au service d’une inspiration toujours renouvelée et d’une souplesse dans la gestion des moyens qu’il utilise, aussi bien en termes de langage qu’en termes d’options stylistiques ou formelles, qui continue à forcer l’admiration des interprètes comme des publics. Partition célèbre entre toutes de ce compositeur très tôt disparu, le Stabat Mater a été composé en 1736 suite à une commande de la Confraternité de Saint Louis du Palais. Le musicien l’a commencé à Naples et terminé au monastère des capucins de Pozzuoli. Quelques jours seulement avant de mourir, il en a légué le manuscrit au compositeur et pédagogue Francesco Feo, qui avait été son maître au Conservatoire des Pauvres de Notre Seigneur Jésus Christ. Parvenu, malgré sa jeunesse, à un très haut degré de maîtrise de son art, Pergolese a conjugué tout au long de l’œuvre une profonde ferveur et une exigence expressive qui sont à l’origine de son éclat particulier au firmament du répertoire sacré. L’effectif mobilise deux voix solistes (soprano et mezzo soprano) et un orchestre à quatre parties comprenant deux violons, alto et basse continue. Fidèle à l’habitude qui demeure celles des créateurs ayant mis en musique le texte de la séquence des Sept Douleurs de la Vierge, Pergolese a divisé l’œuvre en numéros qui suivent les versets, dont deux sont présentés dans le concert de ce soir. Après la tension dramatique du premier numéro, l’air de soprano du Cujus animam gememtem renouera avec une coupe plus régulière et un ton plus profane, qui anticipe très clairement les tendances à venir du classicisme propre à Joseph Haydn ou à Wolfgang Amadeus Mozart. Ce sont, en revanche, une gravité et une mélancolie pudiques qui animent l’air de soprano Vidit suum dulcem natum, vision à la fois douloureuse et intériorisé de la mère, elle-même témoin du martyre de son fils. La vie de François-Adrien Boieldieu (1775-1834) est en premier lieu marquée par son attirance pour la scène et pour l’alliance subtile entre la légèreté de touche et la délicatesse de l’opéra-comique, genre qu’il a marqué du sceau d’une personnalité qui conjugue sens de l’équilibre et propension à un romantisme teinté de mélancolie. Son Concerto pour harpe et orchestre en ut majeur, bien qu’édité en 1803 a été selon toute vraisemblance composé dès 1795, et s’insère dans une série d’œuvres inspirées par un instrument dont la facture, au tournant des XVIIIe et XIXe

siècles, connaît une évolution décisive. Le mécanisme des pédales, connu dès les dernières années du XVIIIe, deviendra en 1810, via les travaux de Sébastien Érard, le vecteur d’une ouverture nouvelle dans le répertoire de l’instrument, que Boieldieu, en dehors de la place qu’il lui assigne dans l’orchestre, mettra au centre non seulement de ce concerto, mais également de sonates et duos pour harpe et violon ou harpe et piano. Le Concerto en ut majeur se réfère à la coupe classique en trois mouvements. Le premier, Allegro, se fonde sur une écriture presque pianistique et un dialogue vif et alerte entre soliste et orchestre. L’Andante lento surprend par la

…/…



couleur mineure qui le nimbe délicatement, et par la somptuosité quasi-vocale du déploiement mélodique. Contre toute attente, c’est un Allegro agitato nourri de tension dramatique qui referme l’œuvre, en la reliant à l’esthétique romantique, laquelle se substitue progressivement à la lumière toute classique de l’Allegro introductif. Henriette Renié (1875-1956) laisse dans l’histoire de la musique l’empreinte d’une harpiste virtuose et d’un professeur pour lequel la mission d’enseignement n’était nullement dissociable de ses activités musicales. De là à éclipser la compositrice, il n’y a qu’un pas que notre capricieuse mémoire franchit trop souvent. La Légende pour harpe, composée en 1901, prend appui sur le poème Les Elfes de Leconte de Lisle, et traduit, en utilisant toutes les ressources expressives de l’instrument, la ronde qui séduit puis entraîne vers la mort le sensible et crédule chevalier. La composition, en 1786, des Nozze di Figaro par Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), marque une apogée dans l’expression du génie théâtral du musicien. Approfondissant, avec un instinct que relaye un besoin toujours aigu de vraisemblance psychologique, la pièce de Beaumarchais, le compositeur campe en particulier des caractères féminins attachants autant que complexes. Suzanne se révèle bien plus riche que ce que son statut de soubrette de théâtre aurait pu le laisser supposer. Le récitatif et l’air qui lui sont dévolus à l’acte IV de l’opéra, Giunse al fin il momento, prennent place au moment où, se sachant observée par Figaro, qui lui-même se croit trompé, elle lui adresse indirectement un touchant et pudique aveu d’amour. Cet air, parfois nommé Air de Maronniers, est un miracle de délicatesse, de désir frémissant teinté de pudeur autant que de malice. Mozart dépasse les limites de la scène, celles de la pièce, pour atteindre sans forcer le trait à l’exploration d’un état d’âme universel. La forme, suprêmement maîtrisée, laisse oublier sa rigueur, vecteur paradoxal d’une liberté musicale qui demeure saisissante, plus de deux siècles après la création de l’ouvrage. Bien que souvent classé dans les « partitions de jeunesse » du même Mozart, l’opéra Il Pastor fido (1775) sur un livret de Métastase, que le jeune musicien a habilement condensé, est une partition très riche et déjà représentative de la vitalité théâtrale qui deviendra l’un de ses domaines privilégiés. L’air L’amero, sarò costante s’insère dans l’acte II et se présente comme une supplique et une sereine déclaration d’amour, dont la plénitude et l’intensité dépassent de très loin les contingences de l’opera seria encore en vigueur. Le Don Pasquale (1843) de Gaetano Donizetti (1797-1848) est l’un des plus beaux fleurons du répertoire d’opera buffa italien, alliant le sens du rythme et celui de la mélodie. Le musicien ne s’interdit aucune inflexion sentimentale, mais ne s’attarde jamais sur une confession musicale, privilégiant une versatilité dans l’action, une légèreté arachnéenne de touche. La scène dans laquelle s’insère l’air Quel gardo il Cavaliere … son anch’io la virtù magica fait la part belle à la virtuosité vocale sans sacrifier jamais l’efficacité théâtrale de l’ensemble, portant haut le témoignage du génie donizettien.

Lionel Pons Professeur au Conservatoire National à

Rayonnement Régional de Marseille



Philip Bride

Né à Paris, Philip BRIDE obtient à 13 ans un Premier Prix de violon à l’unanimité dans la classe de René Benedetti, puis un Premier Prix de Musique de Chambre dans la classe de Maurice Crut au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il y étudie également l’harmonie et le contrepoint auprès d’Henri Challan. Parallèlement, il poursuit ses études à la Faculté des Langues Orientales. Il est alors l’élève d’Henryk Szeryng, de Nathan Milstein puis de Zino Francescatti dont il est aujourd’hui le disciple le plus représentatif de sa génération. Après quatre années à l’Orchestre de Paris, il est depuis 1978, le Premier Violon Solo de l’Ensemble Orchestral de Paris. En 1983, Philip BRIDE prend la succession de Jean-Pierre Wallez comme Directeur Musical de l’Ensemble Instrumental de France. Depuis 1991 Directeur du Conservatoire National à Rayonnement Régional de Marseille où il anime une Master Class de violon. De 1994 à 1997, Premier Chef invité de l’Orchestre Philharmonique de l’Opéra de Marseille. Il s’est produit dans les plus grandes salles du monde, ainsi que dans les plus grands festivals comme Montreux, Salzbourg, Dubrovnik, Carthage, Divonne, Stavelot, Spoleto, Menton, Prades, et a joué auprès de grands solistes tels que A. Benedetti-Michelangeli, J.P. Rampal, M. André, H. Szeryng, Y. Menuhin, M. Rostropovitch, C. Eschenbach, I. Stern, A. Ciccolini, M. Argerich... Il a joué sous la baguette de : Bender, Capolongo, Entremont, Dutoit, Ferro, Houtmann, Plasson, Boulez, Wallez, Bergel, Bernstein, Jordan, Rowicki, Pfaff, Jacquillat, Goleminov, Venzago, Redel.. Il a enregistré de nombreux CD et a obtenu 2 disques d’Or chez Forlane et JVC .

L’Orchestre de Chambre

L’Orchestre de Chambre du Conservatoire National à Rayonnement Régional de Marseille est une des réalisations du département de préparation aux métiers d’orchestre du CNRR. C’est sous l’impulsion et la direction de Philip BRIDE que ces jeunes artistes âgés de 15 à 19 ans se produisent lors de nombreux concerts. C’est ainsi que l’on peut apprécier leur talent lors de diverses manifestations au CNRR, au palais Longchamp, à l’auditorium du Pharo, à l’église Saint-Michel lors du Festival de Musique Sacrée, à la basilique du Sacré-Cœur à l’occasion du Festival de musiques anciennes et aux concerts de Noël des Lions Clubs de Marseille en l’Abbaye de Saint-Victor.



Pauline Courtin

C’est à la suite d’une rencontre avec la soprano coréenne Sumi Jo, que Pauline Courtin entreprend des études musicales au Conservatoire d’Aix en Provence, sa ville natale. Elle obtient un Premier Prix de chant au Conservatoire de Marseille, parallèlement à une maîtrise en Droit public, puis se perfectionne au Conservatorio di Santa Cecilia de Rome et au CNIPAL de Marseille. Sa carrière débute avec le répertoire Mozartien au Teatro Argentina de Rome dans le rôle de Blondchen (Die Entführung aus dem Serail), rôle qu’elle reprend avec succès au Teatro del Giglio de Lucca. Elle chante ensuite Despina (Cosi fan tutte) à Rome et au Festival de Feldkirch; Barbarina (Le Nozze di Figaro) au Théâtre des Champs Elysées, au Barbican Center de Londres, à l'Opéra de Marseille et à l'Opéra de Paris; Zerlina (Don Giovanni) au Festival de Saint-Céré; Blondchen à l'Esplanade Opéra de Saint-Étienne. Révélée par le Festival International d'Aix-en-Provence dans le rôle d’Eurydice (Orphée aux Enfers), Pauline Courtin travaille sous la direction de chefs prestigieux comme Evelino Pido, René Jacobs, Alain Guingal, Tiziano Severini, Claude Schnitzler, Philippe Auguin, Jean Yves Ossonce, Claire Gibault, Yoel Levi, Alain Altinoglu, Lothar Zagrosek, Sylvain Cambreling… En France, elle interprète Gilda (Rigoletto) à l'Opéra de Bordeaux et à Antibes; Ygraine (Ariane et Barbe Bleue) à l’Opéra de Nice ; le Feu, la Princesse, le Rossignol (l’Enfant et les Sortilèges) au Théâtre du Châtelet ainsi qu’en tournée à l’Opéra de Nantes, à l’Opéra d’Angers et à l’Opéra de Rennes ; Le Chat (Le Luthier de Venise) de Gualtiero Dazzi au Théâtre du Châtelet; L'Héritière de Damase à l'Opéra de Marseille; La Vie parisienne au Capitole de Toulouse; Amour (Orphée et Eurydice), Despina (Cosi fan tutte) et Blondchen (Die Entführung aus dem Serail) à l'Opéra de Saint-Etienne ; Eurydice (Orphée aux Enfers) au Grand Théâtre de Dijon, à l'Opéra de Metz, à l'Opéra de Toulon, à l'Opéra Royal de Versailles et au Grand Théâtre de Provence ; Soeur Constance (Dialogues des Carmélites) à l'Opéra de Massy et à l'Opéra d'Avignon; Micaëla (Carmen) à l’Opéra de Rouen et à l’Opéra de Versailles A l'étranger, elle chante Marie (les Oiseaux de Passage) de Fabio Vacchi au Teatro Comunale de Bologne ; La Donna delle carte (Il Letto della storia) de Vacchi au Teatro del Maggio Fiorentino; Hansel et Gretel à l'Opéra de Rome, Pelleas et Mélisande à l'Opéra de Manaus (Brésil), Anna Reich (Die Lustigen Weiber von Windsor de Nicolaï) à la Stadthalle de Bayreuth, Isabelle (L’Irato de Méhul) au Festival Beethoven (enregistrement chez Cappriccio), le rôle titre de Pollicino au Teatro Vascello à Rome ; Ygraine (Ariane et Barbe Bleue au Concertgebouw d'Amsterdam ; Thérèse (Les Mamelles de Tirésias) à Bangkok avec le Bangkok Symphony Orchestra… Prochainement elle chantera Gabrielle dans la Vie Parisienne à L’Opéra de Nice, Pamina dans la Flûte enchantée au Dôme de Marseille, la création du rôle de Lydia dans Colomba de Jean-Claude Petit à l’Opéra de Marseille, une tournée au Japon avec l’Orchestre de l’Opéra de Rouen, Leila dans Les Pêcheurs de Perles à Bangkok…



Anaïs Gaudemard

Artiste internationalement reconnue, Anaïs Gaudemard s'est rapidement imposée dans le monde musical parmi les meilleures harpistes. Après avoir brillamment obtenu ses diplômes de harpe ainsi que de piano au Conservatoire National de Région de Marseille, elle poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon dans la classe de Fabrice Pierre dont elle sort récompensée d'un Premier Prix à l'Unanimité avec les Félicitations du Jury en 2013. Ayant remporté le 1er Prix du prestigieux Concours International d'Israël en 2012, ainsi que le Prix Spécial pour la meilleure interprétation de l'oeuvre The Crown of Ariadne de Murray Schafer pour harpiste jouant percussion, elle est invitée à jouer sur les plus grandes scènes internationales en tant que soliste.Elle a par ailleurs remporté le 1er Prix du Tournoi International de Musique en 2012, ainsi que d'autres prix internationaux dont le 1er Prix à l'unanimité du jury du Festival Musical d'Automne des Jeunes Interprètes, le prix Pierre Salvi et le Prix Jean-Paul Neu pour la meilleure interprétation de l'oeuvre contemporaine imposée en 2011 et le 1er prix du Franz Joseph Reinl Stiftung Competition à Munich en 2009. Anaïs Gaudemard a le privilège de collaborer avec les plus grands chefs et des orchestres aussi prestigieux que le Lucerne Festival Orchestra, l'Orchestre Philharmonique d'Israël, l'Orchestre Symphonique d'Israël, l'Orchestre National de Lyon, l'Opéra de Lyon sous la direction de Claudio Abbado, Leonard Slatkin, Kazushi Ono, Nir Kabaretti. Soucieuse de faire connaître son instrument et de "casser" les préjugés qui l'accompagnent, elle défend un répertoire allant du XVI ème siècle à aujourd'hui et sa volonté de faire vivre son instrument l'amène à travailler avec des compositeurs tels que Philippe Hersant et Tristan Murail. Cet engagement se poursuit actuellement dans la commande d'oeuvres, en particulier pour la formation alto et harpe. Sa vie d'interprète particulièrement riche lui permet toutefois de se consacrer à ses passions pour la musique de chambre et l'enseignement puisqu'elle est régulièrement invitée à donner des masterclasses et stages et participe activement aux Jeunesses Musicales de France, reconnues d'utilité publique pour leur action engagée dans l'accompagnement des enfants et des jeunes dans la découverte active des artistes, des oeuvres et des pratiques musicales. Ses projets pour la saison 2014/15 comprendront une tournée de concerts aux Etats-Unis, en Europe, en Israël et en Australie où elle se produira en soliste avec le Symphony Orchestra Rishon-LeZion, Israel Sinfonietta Beer Sheva, au "Concert d'ouverture" du 19ème Concours International de Harpe en Israël, au Congrès Mondial de la Harpe à Sydney, au Lyon & Healy Concert Hall à Chicago… Ainsi que la préparation d'un disque offert par la maison Lyon & Healy. Anaïs joue sur une harpe Style 23 Gold fabriquée sur mesure pour elle, offerte par la maison Lyon & Healy, Chicago.



Concert de Noël

Giovanni Battista Pergolesi Stabat Mater

Cujus animam gementem pour soprano et orchestre Vidit suum dulcem natum

François-Adrien Boieldieu

Concerto pour harpe et orchestre

Entracte

Henriette Renié Légende pour harpe

Wolfgang Amadeus Mozart

Les Noces de Figaro Giunse al fin il momento pour soprano et orchestre

Le Roi Pasteur L'amero, sari costante

Gaetano Donizetti

Don Pasquale Quel gardo il cavaliere...so anch' io la virtù magica

Pauline Courtin, soprano

Anaïs Gaudemard, harpe

Orchestre de Chambre du Conservatoire National à Rayonnement Régional de Marseille

Direction : Philip Bride



L’Université d’Été Lions de la Musique

L’Université d’Été Lions de la Musique, Association Fille du District Multiple Lions 103 France, est une Association Loi 1901 créée au sein du District 103 Sud Est en 1999.

Elle a été choisie comme « Œuvre de District » successivement en 2003 et 2004 et à nouveau pour l’exercice 2013-2014.

L’Université d’Été Lions de la Musique est au service des jeunes musiciens français et étrangers dans le but :

• de développer leurs qualités musicales d’interprètes ; • de les aider à s’intégrer comme musiciens de rang d’orchestre ou

comme chambristes ; • de favoriser l’expression publique de leur talent en donnant des

concerts organisés, pendant et après le stage par des Lions Clubs.

Dans ce but elle organise et finance partiellement des stages regroupant de jeunes musiciens autour de maîtres, concertistes de notoriété internationale, dans les disciplines suivantes: piano, violon, alto, violoncelle, mandoline, guitare, harpe, clarinette, flûte, hautbois, trompette, cor.

La gestion de l’UDELM est assurée par des Lions. L’association est financée principalement par les dons Lions (personnes physiques, clubs, districts et District Multiple) et de sympathisants ainsi que par des partenaires, des sponsors locaux, des subventions d’organismes publics, et par le produit de concerts donnés pendant ou hors Université.

Le montant de la participation aux frais, par élève, pour un internat de neuf jours de stage sera en 2014 de 800,00 € alors que le prix de ce stage reviendra à environ 1.400,00 €.

Depuis sa création, grâce aux dons, l’UDELM a pu organiser ces masterclass et aider plusieurs élèves méritants, encourager leur talent et leur travail, sur recommandation de leur professeur, action conforme à l’Ethique Lions, que nous devons pérenniser grâce à la générosité des donateurs.

La treizième session de l’UDELM a été exceptionnelle. Elle a reçu 51 stagiaires pour des masterclass dans 10 disciplines. Parmi eux 12 stagiaires étrangers : 6 pianistes russes, 4 violons (serbe, croate, hongroises) 1 chinois (trompette) 1 franco anglaise (piano). 26 stagiaires avaient moins de 18 ans. 16 ont pu être aidés financièrement.

Indépendamment des cours individuels et des heures d'exercices personnels dirigés par leurs Maîtres, les stagiaires "montent" des ensembles de musique de chambre (duos, trios, quartets) qui se produisent dans les églises de l'Embrunais. Ils ont enchanté l’Embrunais en jouant six concerts et une aubade à Embrun. Les pianistes russes, les violons croates, serbe, hongrois, l’ensemble des clarinettes, le «groupe altos, guitares, mandolines, violoncelles », ont démontré leur talent.



L’un d’eux témoigne : « L'ambiance joyeuse et chaleureuse assez unique qui se ressent tout au long du séjour ne perturbe en rien ce pourquoi tout le monde est là : jouer, écouter de la musique, seul ou à plusieurs. Et c'est à reculons que l'on repart, des notes de musique plein la tête et des sourires dans le coin des yeux » En effet, le site des Orres dans le Département des Hautes Alpes et de la région embrunaise offre aux jeunes musiciens venus se perfectionner un cadre majestueux et l'hébergement à l'Hôtel des Écrins, dans une ambiance familiale des Maîtres et des élèves crée des conditions propices au travail et à la concentration. L’université 2013 nous a fait vivre la musique intensément ! Des 4 concerts donnés par les Maîtres, du concert inaugural du « Festival dans l’Embrunais » à la Cathédrale d’Embrun, (mandoline, trompette et orgue) en passant par l’enchantement de la harpe et du violoncelle à l’Abbaye du Boscodon, au Concert final des Maîtres de la Cathédrale d’Embrun, notre mémoire gardera d’intenses émotions telle que la saisissante interprétation du Trio N°2 de Chostakovitch. L'Université d'Été Lions de la Musique se déroulera pour la quatorzième année du vendredi 25 juillet au dimanche 3 août 2014 aux Orres Station à l'Hôtel des Écrins. Elle accueillera environ 70 stagiaires français et étrangers et souhaite vous accueillir nombreux Après 13 années de fonctionnement, l'UDELM a acquis une notoriété auprès des conservatoires français et étrangers ainsi que du public fidèle et toujours enthousiaste du « Festival dans l’Embrunais ». Ce Festival créé par notre Université est attendu par les municipalités de la région embrunaise, il participe à sa vie culturelle, il est une vitrine humaniste du Lions Clubs International.

Marguerite Favre Présidente

Pour en savoir plus ou soutenir l’UDELM :

Marguerite Favre Présidente

Tél. 04 91 91 22 83 - Mob. 06 10 60 28 44 Mail : [email protected]

Claude Lantenois Vice-Président & Directeur Artistique Tél. 04 91 42 39 06 - Mob. 06 07 58 19 04

Mail : [email protected]

Gilbert Oré Secrétaire

Tél. 04 91 66 39 42 Mail : [email protected]

www.universite-musique.com



mailto:[email protected]



Quelques actions récentes des Lions…

La Nocturne de Marseille Lions Club Marseille Doyen Parmi les actions en faveur des déficients visuels, le Lions Club Marseille Doyen organise depuis 9 ans une course pédestre en soirée, « La Nocturne de Marseille » au profit d’associations qui luttent contre la cécité et aident les non-voyants. S’ils en sont les bénéficiaires, les non-voyants en sont aussi les acteurs car ils participent en courant avec leur accompagnateur à cette manifestation sportive.

En 2013 sur plus de 1 300 coureurs, 60 non-voyants ont pris le départ et ont couru les 5 km aux côtés des valides dans une ambiance extraordinaire d’encouragements et de dépassement de soi. Quel bel exemple de courage pour nous tous. Pour cette année, l’équipe d’organisation met tout en œuvre pour que les déficients visuels soient encore plus nombreux pour la neuvième édition de « la Nocturne » qui se déroulera, comme les années précédentes, le long de la majestueuse promenade de la Corniche à Marseille, le vendredi 23 mai 2014.

Une course solidaire : C’est, pour les marseillais, une occasion unique de participer à un élan de solidarité collective et contribuer à une action en faveur de la lutte contre la cécité. Le départ est donné à 21h du jardin du Pharo pour arriver sur les plages du Prado. Le Lions Club Marseille Doyen est très motivé et se mobilise tout entier pour mener à bien l’organisation de cette manifestation en conservant à cette course de 5 km, un caractère familial. En 2013, nous avons comptabilisé 1 200 heures de don de soi dans le Club.

Enfin, c’est avec fierté et satisfaction que nous constatons un engagement croissant des non-voyants dans la prise en compte de cet événement qui est devenu LEUR événement incontournable sur Marseille. On agit pour rendre le sourire aux enfants ! Leo Club Marseille Azur « Par nos actions, on allie l’utile à l’agréable. On agit pour rendre le sourire aux enfants et c’est bien à la fois pour eux et pour nous ! » Par ces mots, Moez Regaya, membre du Leo Club Marseille Azur, témoigne de l’enthousiasme qui résonne au sein de l’Association. Depuis trois ans, les membres du Club déploient toute leur énergie et multiplient les actions en faveur de l’Abri Maternel de Marseille qui accueille des mères et leurs enfants en situation de détresse. L’objectif ? Donner à ces jeunes issus de milieux défavorisés une nouvelle chance de croquer la vie à pleine dents et rugir de plaisir. Et ce peu importe qu’ils soient encore de petits bambins ou qu’ils aillent vers leur dixième bougie. Afin d’atteindre ce but, soutien scolaire, sorties et loisirs se sont succédés. Histoire de panser les plaies d’une vie pas toujours facile. « Leur quotidien est fait de problèmes et on les laisse souvent se débrouiller car il faut régler d’autres soucis bien plus graves que de jouer avec eux », raconte Amandine André, présidente du Leo Club Marseille Azur. « Leur apporter un peu de temps et d’attention leur permet de redevenir des enfants ».D’un atelier peinture à un bon dessin animé au cinéma, tout est mis en œuvre pour que les petits de l’Abri Maternel puissent découvrir de nouveaux centres d’intérêts. Au-delà d’une bouffée d’oxygène le temps d’un après-midi, les actions menées par le Club visent également à favoriser l’insertion de ces enfants dans la société. « Il faut arrêter de se voiler la face : l’accès aux études et à l’intégration tout court est très compliqué pour des jeunes issus de milieux défavorisés », déplore Amandine André. Avant de clamer : « Si nous, jeunes et motivés, pouvons apporter notre pierre à l’édifice, pourquoi pas ! »



Quelques actions récentes des Lions…

Soirée Jeunes Talents Lions Club Allauch Sabline de Provence

Le LIONS Club Allauch Sabline de Provence a organisé le 6 avril 2013 sa 2ème soirée « Jeunes Talents », à la salle Robert Ollive d’Allauch. De nombreuses disciplines artistiques furent représentées par 44 jeunes, bénévoles, très investis, qui ont permis d’offrir un spectacle haut en couleur et de qualité, pimenté d’humour et de glamour. Un public chaleureux et conquis fût leur meilleure récompense .Les bénéfices de cette soirée ont permi , via Vacances et Plein Air, à des jeunes défavorisés de partir en vacances.

Encore un grand merci à tous ces jeunes au service d’autres jeunes, de chaleureuses félicitations à nos artistes et rendez-vous pour l’édition 2014

1er Salon des Métiers d’Art de Marseille Lions Club Marseille Résonance Parmi les membres de notre Club, nous avons deux Maîtres Artisans d’Art, Jean AILHAUD, Artisan Santonnier, et Marcello ZERILLI, Artisan Luthier. Sur leur proposition, le Lions Club Marseille Résonance, en partenariat avec le Lycée Poinso-Chapuis, a organisé un Salon des Métiers d’Art les 6 et 7 avril 2013.

Le choix du lieu pour accueillir notre salon était fondamental car il devait permettre de faire œuvre de pédagogie. Il fallait associer l’Ancien qui possède l’expérience et le Jeune en attente de découverte. Le lycée professionnel Germaine Poinso-Chapuis à Marseille, établissement réputé pour la qualité de ses enseignements aux métiers d’art, s’est imposé comme un lieu emblématique pour accueillir ce type d’évènement.

Ce 1er Salon des Métiers d’Art de Marseille, manifestation officielle des Journées Européennes des Métiers d’Art, a permis de valoriser les entreprises artisanales les plus emblématiques du département : la sélection a grandement privilégié les Meilleurs Ouvriers de France, Maîtres Artisans d’Art et autres Entreprises du Patrimoine Vivant des Bouches-du-Rhône. Ce salon haut de gamme était destiné au plus grand nombre, car gratuit pour le public, et les démonstrations de savoir-faire ont été multiples et variées.

Notre Salon des Métiers d’Art a été dédié à la jeunesse et à lutte contre l’illettrisme, œuvres nationales et internationales. Deux magnifiques causes ont notamment pu être accompagnées grâce aux résultats financiers de notre manifestation : une petite école primaire, à Jendouba en Tunisie, en lui apportant un complément de matériel scolaire nécessaire à l’instruction de ses jeunes élèves (livres, cahiers, crayons, stylos, etc.) et l’école « Prendre un Enfant Par la Main », plus proche de nous, à Gréasque, entièrement portée par une association loi du 1er juillet 1901, prenant en charge 8 à 10 jeunes enfants de 6 à 13 ans, tous porteurs d’un handicap cognitif et mental. La vie scolaire s’y appuie sur des ateliers utilisant, pour certains, la méthode Montessori.

Rendez-vous pour la 2e édition du Salon des Métiers d’Art les 5 et 6 avril 2014 !



Communiqué

Des balades en calèche pas tout à fait comme les autres…

La thérapie par le loisir

HIPPOTHERA

Aidez-nous !

Créée il y a 9 ans par Alain Beyma, l’association Hippothera propose grâce à une calèche spécialement adaptée d’emmener des personnes en situation de handicap pour une promenade au rythme rassurant de deux chevaux. La calèche d’Hippothera permet d’accueillir jusqu’à trois fauteuils roulants (dont deux électriques) et 6 autres passagers. Chacun peut se voir confier les guides de l’attelage !

Le cheval, auxiliaire aux thérapies conventionnelles, favorise

des situations relationnelles qui accélèrent et facilitent la communication.

Les personnes marginalisées par leur handicap, maladie ou grand âge, échangent, réagissent,

vibrent au contact des chevaux et éprouvent un réel sentiment de liberté !

En soutenant Hippothera à titre personnel, comme l’ont déjà fait certains Lions Clubs dans le cadre de leurs œuvres sociales, vous permettrez que son action se poursuive pour offrir à plus d’enfants ou adultes en situation de handicap un moment de bien-être, de rêve et de joie partagée !

ENVOYEZ VOTRE DON DÈS AUJOURD’HUI !

(66% SERONT DÉDUCTIBLES DE VOTRE IMPÔT SUR LE REVENU)

MERCI !

HIPPOTHERA

Association affiliée à la Fédération Française du Sport Adapté

reconnue d’utilité publique

Le Clos des Sagattes – 1077, chemin de Barcelone 83470 Saint Maximin La Sainte Baume

Tél. : 06 80 87 05 01 – Fax : 04 94 59 91 06

Mail : [email protected] http://hippothera.over-blog.com

mailto:hippothera@voilà.fr

http://hippothera.over-blog.com/

concert de noËl - abbaye saint-victor · 2013-12-09 · c’est avec un plaisir chaque année...

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