compétence visée compétences sollicitées : dispositif...

Créé par Dugait Isabelle, institutrice primaire à l’Heureux Abri, enseignement primaire spécialisé, à Momignies avec la collaboration de Marie Champagne-Tilquin, institutrice aux cycles 3 et 4 à l’école libre fondamentale de Couvin (implantation des Trois Vallées de Frasnes-lez-Couvin) et de Joseph Stordeur, professeur à la Haute Ecole de Charleroi.

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Titre : les organisateurs textuels : textes mutilés.

Compétence visée : Dégager l’organisation générale du texte: repérer les marques de l’organisation générale : organisateurs textuels, temps verbaux, division en paragraphes, en strophes, … (Lf., p. 11, LIR. 3.)

Compétences sollicitées :

- Elaborer des significations (Lf., p. 11, LIR. 2) - Percevoir la cohérence entre phrases et groupes de phrases.

(Lf., p. 11, LIR. 4) - Etablir la cohérence entre phrases et groupes de phrases.

(Lf., p. 10, ECR. 4)

Dispositif pédagogique :

- Travail individuel - Partage par quatre (conflit socio-cognitif, confrontation des

démarches mentales et des pratiques mises en place). - Partage collectif (réflexion sur les moyens mis en place, les

difficultés rencontrées, sur ce qu’on a trouvé, …)

Matériel :

Par enfant. - Textes mutilés (certains textes sont accompagnés des mots

organisateurs dans le désordre, d’autres textes non (mais ils peuvent être donnés au cours de l’activité), dans d’autres textes encore les organisateurs sont donnés ainsi que quelques intrus.)

- Une gomme et un crayon Déroulement.

1. Présentation du contexte de départ et de l’objectif d’apprentissage. « Puisqu’on s’est rendu compte que sans certains mots (les mots organisateurs) il était difficile de comprendre un texte, on va apprendre à organiser un texte en utilisant ces mots organisateurs. »

2. Distribution du matériel.


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3. Consigne de travail : « lis le texte suivant et replace les mots « enlevés » au bon endroit. »

4. Travail individuel. L’enseignant laisse aux enfants le droit à l’erreur. Il observe le travail et peut intervenir individuellement pour aider à mieux prendre conscience du sens de la phrase ou du mot à replacer.

5. L’enseignant observe les procédures utilisées par les enfants : - projet de recherche ou travail au hasard ? - difficulté de vocabulaire ou de contexte ou de compréhension du

mot de relation en lui-même ? - difficulté sur certains mots de relation seulement (qui ne sont pas

ou peu connus des enfants) ou sur tous les mots de relation ? 6. Partage par quatre sur leur placement de mots. Discussion au sein du

groupe et rétroaction sur la justesse des placements de mots. L’enseignant peut intervenir car certains mots peuvent s’avérer être bien placés (la phrase est tout à fait correcte) mais alors on se retrouve « coincé » plus loin dans le texte.

7. L’enseignant donne une vue d’ensemble de l’apprentissage par la lecture du texte de l’auteur. Il ne doit pas être considéré comme la bonne réponse mais comme un modèle d’organisation propre à quelqu’un.

8. L’enseignant demande aux enfants (à tour de rôle) d’exprimer oralement leur ressenti face à cette activité ainsi que leur démarche pour arriver à placer les mots.

Aides pouvant être apportées durant la recherche.

- Des questions posées par l’enseignant, amenant la réflexion et la poursuite de la recherche.

- Aide des autres élèves (confrontations cognitives). Réflexion, analyse – questionnement (avant/après).

Base théorique. - DALCQ, ENGLEBERT, …, Mettre de l’ordre dans ses idées,

classification des articulations logiques pour structurer son texte, s.l., Editions Duculot, 1999, 107 p.


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- PIRON et TONNEAU, Construire son savoir lire, savoir écrire : la grammaire textuelle, outil d’apprentissage de la langue écrite, Namur, Erasme, 1990, 458 p.

Base méthodologique. * Cette activité entre bien dans la mise en œuvre de la compétence travaillée dans la recherche-action puisque pour pouvoir écrire un conte, une recette, une lettre, … il faut respecter certaines règles d’organisation du texte. Pour apprendre ces règles (petit à petit), il faut mettre en relation les textes lus et les textes écrits pour en dégager les caractéristiques de fonctionnement. * Il ne faut pas attendre des enfants qu’ils remplissent tous les vides, mais qu’ils essayent de prendre conscience de l’importance des mots organisateurs et du sens qu’ils apportent au texte. L’activité ne vise pas le produit fini mais bien la recherche et la mise en place de stratégies. * Dans certains textes, les contraintes sont données par la consigne et surtout par les mots figurants dans l’encadré. Ils laissent cependant une ouverture au niveau du sens puisque certains mots peuvent être employés à différents endroits. Dans d’autres textes, la contrainte est qu’aucun mot organisateur ne soit proposé (mais ils peuvent l’être par la suite). Dans d’autres encore, des mots organisateurs sont proposés ainsi que quelques intrus, identifiables au niveau du sens. * Beaucoup de mots organisateurs pourront être acceptés s’ils sont corrects au niveau du sens (lors d’activités avec un texte sans proposition de mots). * Ce genre d’activité doit être répété à plusieurs reprises pour que les enfants commencent à intégrer la compétence visée.


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« L’auteur utilise habituellement des indices comme des répétitions, des pronoms, des connecteurs pour établir les liens entre les phrases. Ce sont ces liens qui assurent, en partie du moins, la cohésion du texte. Il est donc important d’aider les élèves à identifier et à comprendre les indices de

cohésion ». (SPIEGEL, 1992, Zinar, 1990).

« Etant donné que les mots de relation sont importants pour le sens de la phrase, l’élève doit en apprendre graduellement le sens. » (GIASSON, La

lecture, de la théorie à la pratique, Belgique, 1997, p. 225)

« Les organisateurs temporels sont des éléments fondamentaux dans le déroulement du récit. Ils articulent la logique du texte : chaque stade du schéma est généralement introduit par ces types de mots. » PIRON V.,

TONNEAU J., Construire son savoir-lire savoir-écrire, p. 35)


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Lis le texte suivant. Replace les mots du cadre ci-dessous dans les

places vides.

La ronde des heures.

………………….… l’homme n’invente les machines à mesurer le temps, il fallait, ………………. savoir l’heure, s’en remettre à l’observation du Soleil ……………… des étoiles, ce qui n’était pas bien précis. ……………………………… on inventa la première horloge : le cadran solaire. La première mesure du temps, c’est mesurer la course de l’ombre d’un bâton (le gnomon) ………………….. le sol. Les Egyptiens mettent au point l’instrument, ……………….. en fabriquent de gigantesques : l’obélisque …………….. la place de la Concorde, à Paris, provient ………………… Thèbes. Ils en construisent ………………. de tout petits, ……………………… l’équerre solaire. ……………….. les Grecs ……………….. les Romains …………………………………………. en Occident …………………………………………….. , les heures étaient incroyablement élastiques, ………………………… elles représentaient la douzième partie du jour ou de la nuit. ………………. dire …………………… …… ……………………, les heures de jour ne mesuraient plus que 45 de nos minutes, ………………………….. …………………………………, elles arrivaient à durer jusqu’à 1h20 mn. Pas facile, …………………ces conditions, de fabriquer une horloge correcte. R. PINCE, Copain des Sciences, le guide des scientifiques en herbe, France Loisirs, Paris, 1999,

pp. 18 et 19.

Avant que – et - dans – en plein hiver - aussi – enfin - il y a 4 000 ans – et - jusqu’au XIVe siècle – même – de - et - comme – tandis que –

puisque – et – chez – autant que – pour – en été – de – sur


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La ronde des heures.

Avant que l’homme n’invente les machines à mesurer le temps, il fallait, pour savoir l’heure, s’en remettre à l’observation du Soleil et des étoiles, ce qui n’était pas bien précis. Enfin, il y a 4 000 ans, on inventa la première horloge : le cadran solaire.

La première mesure du temps, c’est mesurer la course de l’ombre d’un bâton (le gnomon) sur le sol. Les Egyptiens mettent au point l’instrument, et en fabriquent de gigantesques : l’obélisque de la place de la Concorde, à Paris, provient de Thèbes. Ils en construisent aussi de tout petits, comme l’équerre solaire.

Chez les Grecs et les Romains et même en Occident jusqu’au XIVè siècle, les heures étaient incroyablement élastiques, puisqu’elles représentaient la douzième partie du jour ou de la nuit. Autant dire qu’en plein hiver, les heures de jour ne mesuraient plus que 45 de nos minutes, tandis qu’en été, elles arrivaient à durer jusqu’à 1h20mn. Pas facile, dans ces conditions, de fabriquer une horloge correcte. R. PINCE, Copain des Sciences, le guide des scientifiques en herbe, France Loisirs, Paris, 1999,

pp. 18 et 19.


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De la clepsydre à l’horloge mécanique.

L’apparition de l’horloge mécanique va révolutionner la mesure

du temps. Des horloges de plus en plus précises vont permettre d’effectuer les premières expériences scientifiques.

En l’absence de soleil, les jours de mauvais temps, ou ………………………….. la nuit, il fallait trouver un remplaçant au cadran solaire. Les Egyptiens, ………………… les Grecs, utilisèrent …………………………….. des horloges à eau : ce sont les Grecs qui lui donnèrent le joli nom de Klepsydra, ou « voleur d’eau », devenu clepsydre en français.

C’est ………………………………………..qu’apparaît l’horloge mécanique : un système d’échappement ralentit la chute d’un poids, qui tombe d’une distance égale à chaque heure. …………………….. cette horloge est ………………………… bien imprécise : elle varie de quinze à trente minutes par jour, ……………………. n’a pas encore d’aiguille des minutes. …………………………………., Galilée ………………………… Huygens mettent au point l’horloge à pendule, qui varie de deux secondes ……………………………….. par jour ! Les cadrans de ces horloges ont………………………….. une aiguille des minutes. R. PINCE, Copain des Sciences, le guide des scientifiques en herbe, France Loisirs, Paris, 1999, pp. 20 et 21.

Complète les vides.


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De la clepsydre à l’horloge mécanique.

L’apparition de l’horloge mécanique va révolutionner la mesure

du temps. Des horloges de plus en plus précises vont permettre d’effectuer les premières expériences scientifiques.

En l’absence de soleil, les jours de mauvais temps, ou encore la nuit, il fallait trouver un remplaçant au cadran solaire. Les Egyptiens, puis les Grecs, utilisèrent couramment des horloges à eau : ce sont les Grecs qui lui donnèrent le joli nom de Klepsydra, ou « voleur d’eau », devenu clepsydre en français.

C’est au XIVe siècle qu’apparaît l’horloge mécanique : un système d’échappement ralentit la chute d’un poids, qui tombe d’une distance égale à chaque heure. Mais cette horloge est encore bien imprécise : elle varie de 15 à 30 minutes par jour, et n’a pas encore d’aiguille des minutes. Au milieu du XVIIe siècle, Galilée puis Huygens mettent au point l’horloge à pendule, qui varie de 2 secondes seulement par jour ! Les cadrans de ces horloges ont (enfin) une aiguille des minutes. R. PINCE, Copain des Sciences, le guide des scientifiques en herbe, France Loisirs, Paris, 1999, pp. 20 et 21.


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L’apparition de la vie.

………………. la Terre s’est formée, ……………………… 4,5 milliards d’années, aucune trace de vie n’existait ………………………... La vie est née ……………………. les mers chaudes, …………………………….. 3,8 milliards d’années. Les premiers organismes vivants, ……………………. les algues, sont faits de quelques cellules. ……………………………. apparaissent les invertébrés, suivis des poissons. Certains sortiront ………………… l’eau …………….. deviendront des amphibiens, vivant à la fois ………………. l’eau ……………… ………………… terre. ………………………. les reptiles colonisèrent la Terre ……………………… le ciel. Certains sont les ancêtres des dinosaures, qui régnèrent ……………………. ………………………………. 140 millions d’années. ……………………………. les dinosaures s’éteindront, commencera l’ère des oiseaux ………………….. des mammifères. La grande imagerie de la terre pour la faire connaître aux enfants de 5 à 8 ans, édition Fleurus, Paris, 1994, p. 12.


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L’apparition de la vie.

Quand la Terre s’est formée, il y a 4,5 milliards d’années, aucune trace de vie n’existait encore. La vie est née dans les mers chaudes, il y a 3,8 milliards d’années. Les premiers organismes vivants, comme les algues, sont faits de quelques cellules. Ensuite apparaissent les invertébrés, suivis des poissons. Certains sortiront de l’eau et deviendront des amphibiens, vivant à la fois dans l’eau et sur terre. Puis les reptiles colonisèrent la Terre et le ciel. Certains sont les ancêtres des dinosaures, qui régnèrent pendant plus de 140 millions d’années. Quand les dinosaures s’éteindront, commencera l’ère des oiseaux et des mammifères. La grande imagerie de la terre pour la faire connaître aux enfants de 5 à 8 ans, édition Fleurus, Paris, 1994, p. 12.


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La moquette.

« Soyez sages, mes chéris, maman revient ………………….. Elle va faire les courses. Les trois chéris donnèrent chacun un rapide baiser à maman qui s’était penchée vers eux ……………………… ils continuèrent à jouer ……………………… la moquette …………….. leurs petites voitures ……………… leurs poupées. C’était une belle moquette rouge, épaisse, moelleuse, splendide, qu’on venait d’installer ……………………………… ………………………...

Nathalie se roulait …………………….. délectation ……………………… cette moquette touffue. Stéphane ………….. Jean-Marc étaient ………………………… satisfaits : leurs voitures télécommandées roulaient …………………………….. ………………………… le parquet.

- C’est ……………………….. de l’herbe rouge, dit Nathalie. C’est doux ! - Oui, …………………………. l’herbe est trop haute, constata Jean-Marc. Il

faudrait la tondre. Stéphane, le plus âgé, comprit ……………………………….. ce qu’il convenait de faire. Il s’éclipsa ………………………….. ……………………. il revint ……………………………. le rasoir électrique de son père en position tondeuse.

- Qu’est-ce que tu fais ? demanda Nathalie. - Je tonds l’herbe rouge, répliqua Stéphane qui était …………………… en

plein travail. Il dessina des routes, entrelaça des courbes savantes ………………, ……………………….., il eut mis au point tout un circuit. ………………………, Stéphane …………………….. Jean-Marc purent se livrer à des courses plus rapides ………………………… leurs voitures télécommandées. …………………….., …………………………….. quelques accidents, ils décidèrent de ………………………… baliser les carrefours ……………………….. les côtes. Jean-Marc alla chercher des tubes de dentifrice …………………………. des brosses ; les deux frères se mirent à décorer le circuit de quelques lignes blanches pointillées ou continues suivant la largeur de la route. C’était très artistique.

- Il faudrait des stops, fit remarquer Jean-Marc. Stéphane acquiesça. Il utilisa des triangles de crème de gruyère : il enleva proprement le papier aluminium …………………………… il ficha les fromages, tête


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en bas, ……………………….. le bord de quelques routes, ……………………………. l’épaisseur de la moquette.

- …………………………….. des arbres, dit Nathalie qui se chargea de planter des feuilles de laitue ………………… des endroits judicieusement choisis.

……………………….. elle installa ses poupées ……………………….. ……………………… réclama le droit de manipuler, elle ……………………………., les télécommandes. ……………………………………………., Stéphane tondit une grande surface ovale, la tapissa d’un sac en plastique, vint y verser l’eau d’une casserole ……………………….. y fit sauter le poisson rouge : la route principale longeait ………………………………. un lac superbe. Des aiguilles à tricoter, empruntées à l’éternel travail de leur mère, firent d’excellentes cannes à pêche. Nathalie les compléta ……………………… du fil blanc en guise de ligne ………………………………. des épingles en guise d’hameçons. Le poisson vint s’y frotter sans s’y laisser prendre.

- Il faudrait indiquer le départ ……………….. l’arrivée, dit Jean-Marc. Stéphane utilisa son marqueur noir ……………………….. il s’appliqua à tracer deux lignes bien droites. Ils firent quelques courses ……………………. ils purent ……………………… essayer leur habilité. Ils réussirent …………………………………….ils décidèrent de compliquer peu à peu les choses : ils établirent des obstacles grâce à une poignée d’olives parsemées ………………….. la route, ils construisirent des chicanes ………………….. des pelotes de laine dévidées ………………. emmêlées, ils rendirent glissante une portion de la route …………………….. quelques gouttes d’huile habilement répandues. …………………………., ils s’amusèrent ………………………….. il convient à des enfants modèles, bien décidés à ne pas faire de bêtises.

- Vous avez été sages, mes chéris ? demanda maman en rentrant, ……………………………….. elle eut ouvert la porte.

- Oh, oui ! s’écrièrent-ils, en continuant gentiment à faire rouler leurs petites voitures ………………………… leur magnifique circuit.

………………… maman vint les voir… Ils ne comprirent pas pourquoi un jeu aussi intéressant …………… ……………… tranquille leur attira ……………………………… de tels désagréments …


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Source non trouvée.

avec – autrefois - et – sur – il était une fois - alors – aussi – et – et – dès que – bientôt – et – alors – deux jours – auparavant – dans – moins – sur – moins bien que – comme – mais – tout de suite - et – avec – déjà – mais – mieux - et – nulle part - et – sur – et – dans – dans une semaine - et puis – puis – avec - aussi – et – pendant ce temps – et – sur – avant tout - et – vraiment - et – il y a très longtemps - et – sur – et – premièrement - avec – et – bref – seulement- avec – comme – en clair - bientôt- et – un moment – à – à côté – avec – ainsi – si bien que – désormais – après – trois jours plus tard – avec – demain – maintenant – si l’on peut dire - réellement

compétence visée compétences sollicitées : dispositif...

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