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Jeudi 7 décembre 2017 Ouest-France Salon Nautic de Paris (4-10 décembre) Le Nautic en Quicksilver é Le 605 Open, abord aux tendances. Pour 74 % des bateaux imm France, l’année dernièr bateaux à moteur. Le est massif. Le trophée d’entre eux, pour l’anné hier lors du Nautic, par Moteur Boat, était don ment à ne pas manque Le lauréat, le Quic 605 Open, « reflète bien du marché », estime S Loustal, rédactrice en c zine spécialisé. Conçu pour des sor née, sans cabine, il me plus de 6 mètres, com bateaux à moteur achet Un beau succès « Notre jury, co quinze plaisanciers et listes, a estimé qu’il av rapport qualité-prix, p concurrents. On a peu lui reprocher et il est 27 540 € avec un moteu vaux. Il faut y ajouter 2 le pack d’options basiq tamment stéréo et bain Étonnamment, cette du littoral n’est pas exp tic. La raison : il se ve ment bien que la marq en 2010, a préféré me ses autres nouveautés avons déjà vendu 200 La communauté Créée en 2015, la Con nautisme et de la plaisa les industries du nautis de plaisance, les usage rations sportives. Cette communauté n nise, tous les ans, un avec l’idée d’avoir « un p le monde du nautism Ils ont misé gros sur les trimarans Dragonfly En voulant acheter un multicoque, le jeune couple est devenu importateur exclusif de la marque danoise en France. Une opportunité saisie à la volée par deux marins passionnés et gonflés. « Nous étions tous deux cadres chez Bénéteau, lâche Charlotte Bi- nard-Matthijsse. Julien, mon mari, était responsable commercial et moi, chargée de la communication depuis dix ans. » En janvier 2017, le couple de voi- leux, gros amateur de multicoques habitables, se rend au Salon nau- tique de Düsseldorf. Il tombe sous le charme d’un trimaran de fabrication danoise, le Dragonfly 28. La jeune femme se remet d’un gros problème de santé et l’affirme : « La vie est trop courte pour naviguer à 7 nœuds ! » Une vitesse moyenne pourtant honorable de l’avis de nom- breux plaisanciers. De retour en France, le couple sou- haite passer commande. « Cette formalité s’avère alors très compli- quée. » Pour accélérer les choses, il prend contact avec le constructeur et se rend au Danemark durant trois jours. « Une opportunité à saisir » « Le courant est bien passé avec Jens Quorning, responsable de la marque. Julien et moi, on s’est re- gardés. À l’évidence, il y avait une opportunité à saisir. » Les deux cadres surmenés lâchent alors leurs emplois respectifs. Ils de- viennent importateurs exclusifs Dra- gonfly en France et créent la société Hellomulti. Trois principaux fabricants de tri- marans transformables se partagent ce marché de niche : Corsair, Tricat et Dragonfly. Cela ne représente, en France, que quelques dizaines d’exemplaires vendus chaque an- née. La particularité des quatre modèles Dragonfly, de 25 à 35 pieds (soit de 8,75 à 10,70 mètres), est d’être équi- pée du système swing wing. « Cela permet de rabattre les deux flot- teurs sur la coque centrale, explique Charlotte. En moins d’une minute et sans effort, la largeur du bateau est réduite de moitié. » Les Dragonfly peuvent ainsi occu- per une place de port équivalente à un monocoque de taille similaire. Les deux plus petits sont même transpor- tables sur une remorque. « Des curieux viennent à notre rencontre au stand du Nautic, ex- plique Charlotte. Ils veulent voir de près à quoi ressemble cette « libel- lule » qui les a doublés, les laissant sur place. » D’autres, croisés sur le stand, comme Hélène et André Bénard, témoignent de leur expérience. « Nous sommes allés acheter notre Dragonfly 35 en juillet dernier au Danemark. Nous avons ensuite navigué durant un mois dans ce paradis des trima- rans. » Le 1 er octobre, au départ de La Rochelle, ils ont accompagné les concurrents de la Mini-transat jusqu’aux Canaries. « Je voulais suivre mon neveu engagé dans la course, précise Hélène. Nous avons testé le comportement très sain du trimaran, doux et sécurisant. » Devenus propriétaires depuis une semaine d’un Dragonfly 28 basé aux Sables-d’Olonne, Charlotte, Julien et leurs deux jeunes enfants n’ont pas encore eu le temps d’en profiter. Ils ont chaussé leurs casquettes de concessionnaires et reçoivent les clients « potentiels » à tour de bras. « On n’arrête pas d’être sollicités pour des renseignements et des visites, indique Charlotte. J’espère que ça va marcher. » Michel GODIN. Charlotte et Julien Binard-Matthijsse devant le Dragonfly 25, élu bateau de l’année en 2016 au salon de Dusseldorf. David Adémas

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Page 1: CITROËNC1 LAVRAIE C1TADINE - Quicksilver Boats...Jeudi 7décembre2017 Ouest-France SalonNauticdeParis (4-10décembre) (1)2200 €TTCpourl’achatd’uneCitroënC1neuvehorsfinitionLive,composésd’uneremisede1200

Jeudi 7 décembre 2017Ouest-France Salon Nautic de Paris (4-10 décembre)

(1) 2 200 € TTC pour l’achat d’une Citroën C1 neuve hors finition Live, composés d’une remise de 1 200 € sur le tarif Citroën conseillé au 01/12/17 et d’une aide reprise Citroën de 1 000 €, sous condition de reprise d’un véhicule et ajoutésà la valeur de reprise de votre ancien véhicule. Cette valeur est calculée en fonction du cours de l’Argus®, selon les conditions générales de l’Argus® disponibles sur largus.fr, déduction faite d’un abattement de 15% pour frais et charges professionnels et des éventuels fraisde remise en état standard. Offre réservée aux particuliers, non cumulable, valable jusqu’au 31/12/17 dans le réseau Citroën participant. * Équipement de série, en option ou non disponible selon les versions.

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Le Nautic en bref

Quicksilver élu bateau à moteur de l’annéeLe 605 Open, abordable et pratique, colle parfaitementaux tendances. Pour son fabricant, c’est une réussite.

74 % des bateaux immatriculés enFrance, l’année dernière, étaient desbateaux à moteur. Le phénomèneest massif. Le trophée du meilleurd’entre eux, pour l’année 2017, remishier lors du Nautic, par le magazineMoteur Boat, était donc un événe-ment à ne pas manquer.

Le lauréat, le Quicksilver Activ605 Open, « reflète bien la tendancedu marché », estime Stéphanie deLoustal, rédactrice en chef du maga-zine spécialisé.

Conçu pour des sorties à la jour-née, sans cabine, il mesure un peuplus de 6 mètres, comme 38 % desbateaux à moteur achetés en France.

Un beau succès commercial

« Notre jury, composé dequinze plaisanciers et cinq spécia-listes, a estimé qu’il avait le meilleurrapport qualité-prix, parmi les neufconcurrents. On a peu de choses àlui reprocher et il est abordable. »27 540 € avec un moteur de 115 che-vaux. Il faut y ajouter 2 890 € pourle pack d’options basiques, avec no-tamment stéréo et bain de soleil.

Étonnamment, cette nouvelle stardu littoral n’est pas exposée au Nau-tic. La raison : il se vend déjà telle-ment bien que la marque, relancéeen 2010, a préféré mettre en avantses autres nouveautés. « Nous enavons déjà vendu 200 », précise Fe-

dra Generini, directrice marketing del’entreprise installée à La Rochelle(Charente-Maritime).

« Nous l’avons amélioré par rap-port au modèle que nous avionslancé en 2010. Nous y avons ins-tallé beaucoup de rangements.Ses lignes sont plus design et spor-tives. Il est facile à entretenir, in-dique-t-elle. Nous avons fait beau-coup d’efforts pour qu’il soit faciled’y installer le bain de soleil ou latable à l’avant, même quand le ba-teau bouge, sinon les clients s’enlassent vite. C’est une réussite : ilfonctionne très bien en France et àl’étranger. »

Julie DURAND.

Le Quicksilver Activ 605 Open

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La communauté du nautisme se projetteCréée en 2015, la Confédération dunautisme et de la plaisance regroupeles industries du nautisme, les portsde plaisance, les usagers et les fédé-rations sportives.

Cette communauté nautique orga-nise, tous les ans, une conférenceavec l’idée d’avoir « un partage entrele monde du nautisme et les res-

ponsables publics et collectivitésafin de travailler et se projeter », ex-plique Fabien Métayer, son déléguégénéral.Les trois temps forts de cette année :un échange sur les stratégies régio-nales du nautisme, les nouvelles pra-tiques sportives et l’emploi et la for-mation sur les métiers de demain.

Ils ont misé gros sur les trimarans DragonflyEn voulant acheter un multicoque, le jeune couple est devenu importateur exclusif de la marquedanoise en France. Une opportunité saisie à la volée par deux marins passionnés et gonflés.

« Nous étions tous deux cadreschez Bénéteau, lâche Charlotte Bi-nard-Matthijsse. Julien, mon mari,était responsable commercial etmoi, chargée de la communicationdepuis dix ans. »

En janvier 2017, le couple de voi-leux, gros amateur de multicoqueshabitables, se rend au Salon nau-tique de Düsseldorf. Il tombe sous lecharme d’un trimaran de fabricationdanoise, le Dragonfly 28.

La jeune femme se remet d’un grosproblème de santé et l’affirme : « Lavie est trop courte pour naviguer à7 nœuds ! » Une vitesse moyennepourtant honorable de l’avis de nom-breux plaisanciers.

De retour en France, le couple sou-haite passer commande. « Cetteformalité s’avère alors très compli-quée. » Pour accélérer les choses, ilprend contact avec le constructeuret se rend au Danemark durant troisjours.

« Une opportunité à saisir »

« Le courant est bien passé avecJens Quorning, responsable de lamarque. Julien et moi, on s’est re-gardés. À l’évidence, il y avait uneopportunité à saisir. »

Les deux cadres surmenés lâchentalors leurs emplois respectifs. Ils de-viennent importateurs exclusifs Dra-gonfly en France et créent la sociétéHellomulti.

Trois principaux fabricants de tri-marans transformables se partagentce marché de niche : Corsair, Tricatet Dragonfly. Cela ne représente,en France, que quelques dizainesd’exemplaires vendus chaque an-née.

La particularité des quatre modèlesDragonfly, de 25 à 35 pieds (soit de8,75 à 10,70 mètres), est d’être équi-pée du système swing wing. « Celapermet de rabattre les deux flot-teurs sur la coque centrale, expliqueCharlotte. En moins d’une minute etsans effort, la largeur du bateau est

réduite de moitié. »Les Dragonfly peuvent ainsi occu-

per une place de port équivalente àun monocoque de taille similaire. Lesdeux plus petits sont même transpor-tables sur une remorque.

« Des curieux viennent à notrerencontre au stand du Nautic, ex-plique Charlotte. Ils veulent voir deprès à quoi ressemble cette « libel-lule » qui les a doublés, les laissantsur place. »D’autres, croisés sur le stand, commeHélène et André Bénard, témoignent

de leur expérience. « Nous sommesallés acheter notre Dragonfly 35 enjuillet dernier au Danemark. Nousavons ensuite navigué durant unmois dans ce paradis des trima-rans. »

Le 1er octobre, au départ deLa Rochelle, ils ont accompagnéles concurrents de la Mini-transatjusqu’aux Canaries. « Je voulaissuivre mon neveu engagé dans lacourse, précise Hélène. Nous avonstesté le comportement très sain dutrimaran, doux et sécurisant. »

Devenus propriétaires depuis unesemaine d’un Dragonfly 28 basé auxSables-d’Olonne, Charlotte, Julien etleurs deux jeunes enfants n’ont pasencore eu le temps d’en profiter.

Ils ont chaussé leurs casquettesde concessionnaires et reçoivent lesclients « potentiels » à tour de bras.« On n’arrête pas d’être sollicitéspour des renseignements et desvisites, indique Charlotte. J’espèreque ça va marcher. »

Michel GODIN.

Charlotte et Julien Binard-Matthijsse devant le Dragonfly 25, élu bateau de l’année en 2016 au salon de Dusseldorf.

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