cinq élèves infirmières en stage humanitaire au togo tp 27 ... · n° 27 janvier février mars...

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NOVEMBRE 2012 42G L e 8 février, Claire Lautru, Philadelphie Bonhomme, Pauline Chermette, Ninon Chenu et Blandine Bernichon, élèves en 3 e année de l'Institut de formation en soins infir- miers de Bellevue, s'envole- ront pour cinq semaines de stage humanitaire à l'hôpi- tal de Tsévié au Togo. «Nous allons découvrir cet hôpital, ses services de chi- rurgie, urgences, pédiatrie et maternité et ses techni- ques de soins différentes, ainsi que la culture médica- le et le système de santé du pays. Dès notre descente d'avion, nous serons accueillies et prises en charge au niveau de l'hébergement et des week-ends par l'association de solidarité internationale « Carrefour d'échanges cul- turels ». Sur le plan financier, nous ne bénéficions d'aucune subvention. Ce voyage devrait nous coûter 2 000 € chacune, avec l'avion, le passeport, les vaccins, les visas, l'hébergement, la partie découverte du pays et de sa culture. C'est pourquoi nous avons créé une association Mis- sion Togo pour mettre en place des actions et récolter des fonds» explique Claire Lautru, présidente de l'asso- ciation. C'est ainsi que ces élèves infirmières ont organisé une vente de brioches sur un marché et de gâteaux à l'Institut. Des décorations et cartes postales de Noël vont être proposées à la vente. Des particuliers, des entre- prises, des laboratoires sont sollicités pour soutenir ces actions mais aussi pour apporter du matériel médi- cal aux dispensaires. A leur retour, elles feront partager cette expérience enrichissante à leurs cama- rades de 2 e année et aux personnes qui les auront aidées. Contact : Claire Lautru, prési- dente de Mission Togo, 06 79 98 77 49. Cinq élèves infirmières en stage humanitaire au Togo Toutes les cinq seront prises en charge par l'association de solidarité internationale « Carrefour d'échanges culturels ». Pour ce voyage, elles n’ont aucune subvention et ont créé Mission Togo pour récolter des fonds. Philadelphie Bonhomme, Ninon Chenu, Blandine Bernichon, Claire Lautru et Pauline Chermette. Photo Marie-Louise Savoy 2 000 € Ce voyage devrait leur coûter 2 000 € chacune, avec l’avion, le passeport, les vaccins, les visas, l’héberge- ment, la partie découverte du pays et de sa culture. TP 27/11/12

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Page 1: Cinq élèves infirmières en stage humanitaire au Togo TP 27 ... · N° 27 janvier février mars 2013. LOI LUNDI 25MARS 2013-LE PROGRES

NOVEMBRE 2012 42G

Le 8 f é v r i e r , C l a i r eLautru, PhiladelphieBonhomme, Pauline

Chermette, Ninon Chenu etBlandine Bernichon, élèvesen 3e année de l'Institut de

formation en soins infir-miers de Bellevue, s'envole-ront pour cinq semaines destage humanitaire à l'hôpi-tal de Tsévié au Togo.«Nous allons découvrir cethôpital, ses services de chi-rurgie, urgences, pédiatrieet maternité et ses techni-ques de soins différentes,

ainsi que la culture médica-le et le système de santé dupays.Dès notre descente d'avion,nous serons accueillies etprises en charge au niveaude l 'hébergement et desweek-ends par l'associationde solidarité internationale« Carrefour d'échanges cul-turels ».Sur le plan financier, nousne bénéficions d'aucunes u b v e n t i o n . C e v o y a g edevrait nous coûter 2 000 €chacune, avec l'avion, lepasseport, les vaccins, lesvisas, l 'hébergement, lapartie découverte du pays etde sa culture.C'est pourquoi nous avonscréé une association Mis-sion Togo pour mettre enplace des actions et récolterdes fonds» explique ClaireLautru, présidente de l'asso-ciation.

C'est ainsi que ces élèvesinfirmières ont organisé unevente de brioches sur unmarc hé et de gâteaux àl'Institut. Des décorations etcartes postales de Noël vontêtre proposées à la vente.Des particuliers, des entre-prises, des laboratoires sontsollicités pour soutenir cesact ions mais aussi pour

apporter du matériel médi-cal aux dispensaires.A leur retour, elles ferontpartager cette expérienceenrichissante à leurs cama-rades de 2e année et auxpersonnes qui les aurontaidées. ■

Contact : Claire Lautru, prési-dente de Mission Togo, 06 7998 77 49.

Cinq élèves infirmières en stagehumanitaire au TogoToutes les cinq seront prises en charge par l'association desolidarité internationale « Carrefour d'échangesculturels ». Pour ce voyage, elles n’ont aucune subventionet ont crééMission Togopour récolter des fonds.

■ Philadelphie Bonhomme, Ninon Chenu, Blandine Bernichon,Claire Lautru et Pauline Chermette. Photo Marie-Louise Savoy

2 000 €Ce voyage devrait leur coûter2 000 € chacune, avecl’avion, le passeport, lesvaccins, les visas, l’héberge-ment, la partie découverte dupays et de sa culture.

TP 27/11/12

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Date : 01/01/1970 - Mise à jour : 07/12/2012 19:30

Ce vendredi, Les blouses roses ligériennes inauguraient les décorations de Noël du hall de l'Hôpital

Nord. L'occasion pour zoomdici.fr de rencontrer le président du comité ligérien de l'association.

Roger Chol, présentez-nous votre association et son comité de la Loire?

"Les blouses roses sont des bénévoles qui interviennent depuis 1924 dans les hôpitaux français, depuis

2008 dans la Loire. Le comité de la Loire a été créé par deux personnes très impliquées dans le milieu

hospitaliers. Nous avons 16 bénévoles, 32 normalement pour l'an prochain."

Où intervenez-vous dans le département?

"Les blouses roses interviennent dans la Loire dans les services de MPR (Médecine Physique de

Réadaptation) adultes et en gériatrie, bientôt nous nous rendrons dans les services de pédiatrie au CHU

de l'Hôpital Nord, et aux Sept collines. Elles s'y rendent à minima une demi-journée par semaine, mais ça

peut être tous les jours."

Elles rendent l'hôpital plus rose dans la Loire

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10/12/2012http://www.zoomdici.fr/actualite/Elles-rendent-l-hopital-plus-rose-dans-la-Loire-id126176.html?PHPSE...

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Que font-elles concrètement lors de leurs visites à l'hôpital?

"Elles sont chargées de distraire les patients, changer du quotidien de la maladie. Elles organisent des

rendez-vous collectifs et proposent des ateliers de travaux manuels, des jeux de société, des journées

crêpes, des lotos. Elles trouvent aussi des partenaires qui réalisent des animations-spectacles.

Récemment, on a fabriqué avec les patients des objets à vendre sur les marchés de Noël."

Les bénévoles viennent-ils du monde médical ou de tous horizons?

"Non pas forcément du milieu médical. Nous avons des enseignantes, des anciennes policières. Elles ont

de 19 à 70 ans. Je suis le seul homme, malheureusement. Nous cherchons des bénévoles pour nous

rejoindre, que ce soit pour être sur le terrain pour de la comptabilité, de la recherche de fonds. Nous

proposons des formations pour nos bénévoles également."

Propos recueillis par S. B.

Renseignements :

Comité de Saint-Etienne

06 48 22 01 26

[email protected]

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10/12/2012http://www.zoomdici.fr/actualite/Elles-rendent-l-hopital-plus-rose-dans-la-Loire-id126176.html?PHPSE...

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Gazette Loire 14/12/12

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L'ESSOR du vendredi 21 au 27 décembre 2012

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En bref

Le CHU de Saint-Etienne informe sur les dons de sang et de moelle osseuse

L’ARS Rhône-Alpes lance une concertation dans les 8 départements

Salies-de-Béarn: l'ARS explique le "Pacte territoire-santé"

A Saint-Etienne, le SAMU déménage de l'Hôpital Bellevue à l'Hôpital Nord

Une maison de santé prévue pour la rentrée 2013 à Montreynaud (Saint-Etienne)

Inauguration d'une unité mobile de soins dentaires à Rouen

Signature d'un CLS entre l'ARS et Saint-Etienne-du-Rouvray

Création d'un pôle gérontologique à Saint-Etienne

Saint-Etienne: transfert du service d'oncologie au CHU

Saint-Etienne : travaux d’agrandissement au CHU

1 de 4

Le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Saint-Etienne organise le 12 février à l’Hôpital Nord, une journée d’information sur les dons de sang et de moelle osseuse et sur la transfusion sanguine. Les représentants des associations de donneurs seront présents pour faire part de leur expérience. 5% de la population du département de la Loire donne son sang, contre une moyenne nationale de 4%.

Communiqué de presse, 01/02/13

L'info indépendante sur la santé et la politique de santé

Le CHU de Saint-Etienne informe sur les dons de sang et de moelleosseuse

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L E M A G A Z I N E D E S F E M M E S E T D E S H O M M E S D U C H U D E S A I N T - É T I E N N E

La nouvelle coordinatrice

de la Maison des UsagersAprès une création en mai 2009, la Maison des Usagers vient de prendre un second souffle en septembre dernier avec l’arrivée de Danièle Kristidès. Après avoir occupé la fonction d’assistante sociale au CHU, Danièle Kristidès est aujourd’hui coordinatrice de cet espace. CHU’mag est allé à sa rencontre…

CHU’Mag : Quelle est votre mission ?Danièle Kristidès (DK) : Ma priorité est de redonner vie à la Maison des Usagers. C’est un lieu important pour les usagers et il était indispensable de rétablir un lien avec les associations partenaires du CHU. Initialement, une dizaine d’associations occupait des permanences les après-midi au sein de l’Espace des Usagers.

CHU’Mag : Vous nous parlez d’usagers, qui sont-ils ?DK : Je parle d’usagers au sens large du mot. Ce sont aussi bien les patients, les consultants, les visiteurs et les personnels de l’établissement.

CHU’Mag : Pouvez-vous nous expliquer ce qu’est la Maison des Usagers ?DK : C’est avant tout un lieu d’accueil, comme l’indique d’ailleurs le terme de « Maison » et non plus d’ « Espace ». L’hôpital est souvent un milieu anxiogène pour les patients comme pour les visi-teurs et on s’y sent vite désorienté. La Maison des Usagers se veut un lieu à la fois rassurant et convivial pour toute per-sonne venant à l’hôpital. L’usager peut y trouver un accueil chaleureux, une écoute et un échange. Je l’oriente vers les moyens d’information disponibles, le renseigne dans la mesure du possible ou le dirige vers les personnes ressources.

CHU’Mag : Quelles demandes vous sont faites ?DK : Elles sont extrêmement variées ! Cela va du simple renseignement pratique (horaires de bus, mise à jour de la carte vitale…) à des questions plus complexes sur la manière de faire don de son corps à la science ou la recherche d’aide auprès des associations intervenant au CHU. Beaucoup de demandes d’information concernent le CHU, ce qui nécessite une bonne connaissance de l’établissement.En fonction des demandes, je constitue des dossiers thématiques et organise des journées d’information. C’est ainsi que nous avons réalisé en février avec l’EFS, des associations d’usagers et nos services une journée d’information sur le don d’organe, don de moelle et de trans-fusion. Les usagers me posent également beaucoup de questions sur les droits des patients ; pour autant, je ne recueille pas les plaintes mais les oriente vers les re-présentants des usagersEn fait je travaille beaucoup avec les services.

«Cet espace est un trait d’union entre les usagers

et les lieux de soins»

CHU’Mag : Quel rôle les associations jouent-elles aujourd’hui à la MDU ?DK : Les associations n’occupent plus de permanences. En revanche, elles inter-viennent sur rendez-vous lorsqu’il y a une demande. Je renseigne souvent les usa-gers sur les associations car je recueille beaucoup de demandes sur des patho-logies.Par ailleurs, je les sollicite régulièrement en vue d’organiser des journées théma-tiques au sein de la MDU. La Maison des Usagers est aussi un lieu d’animation, mis à la disposition des associations.

LA MAISON DES USAGERSHall CDG - Hôpital Nordouverte du lundi au vendredi de 9 h 30 à 17 h 00

Pour la contacter :[email protected] 77 12 92 02 - (poste 29 202 en interne)

Prochaines journées thématiques

vente de chocolats au profit des services de pédiatrie.

rénales

des droits du patient

dépistage de l’hypertension artérielle

d’organes

Le CHU a réuni en forum une cinquantaine d’associations à l’occasion de son 40ème

anniversaire.

La MDU a été inaugurée le 24 octobre 2012 lors du forum des associations.

Danièle Kristidès

UNE JOURNÉE AVEC...

16 L E M A G A Z I N E D E S F E M M E S E T D E S H O M M E S D U C H U D E S A I N T - É T I E N N E

N° 27 janvier février mars 2013

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LOI LUNDI 25 MARS 2013 - LE PROGRES ■ 13

Une conférence grand public estorganisée par l’association Jal-malv ( Jusqu’à la mort accompa-gner la vie). Le rendez-vous estdonné le mardi 9 avril à 20heures dans l’amphithéâtre dusiège social de Casino, 1 esplana-de de France à Saint-Etienne,près de la gare de Châteaucreux.L’entrée est libre.Le propos s’intitule « Parler de lamort avec les enfants et lesadolescents » et la conférencièreest Catherine Le Grand-Sébille,socio-anthropologue. Elle dira aupublic pourquoi il faut parler de

la mort, et comment s’y prendre.À l’occasion de la disparition d’unproche, ou même d’un animal decompagnie, la parole de l’adulteassurera une meilleure santépsychique aux jeunes généra-tions. En expliquant la nécessitéde la mort, l’adulte donne àcomprendre la continuité deslignages familiaux, il renforceaussi les liens de confiance avecl’enfant.Plus d’informations auprès de Jalmalv au04 77 37 70 38. Permanence les lundiset jeudis de 16 heures à 18 heures, 16rue Michel-Servet à Saint-Etienne.

CONFÉRENCE

« Parler de la mort avec les enfantset les adolescents » le mardi 9 avril

ANNIVERSAIRELa Maison de Jonathanfête ses 10 ansLa Maison de Jonathan a étécréée en 2002 pour accueillir lesfamilles des patients hospitali-sés. Le samedi 6 avril a étéchoisi pour célébrer le 10e anni-versaire de cette structure ins-tallée près de l’hôpital Nord, surla commune de Saint-Priest-en-Jarez.Plus d’information sur : maison-de-jona-than.org ou en composant

le 04 77 92 42 43.

DIABÈTEAméliorer la priseen chargeLe réseau diabète Dedicas pro-pose aux patients diabétiquesde rencontrer des professionnelsde santé pour améliorer la priseen charge. Un nouveau lieu estmis à disposition, à La Ruche ducitoyen, 7 cours du 11 novembreà Rive-de-Gier. Des rencontressont prévues, de 14 à 16 heures,les 2 avril, 7 mai et 25 juin.Inscriptions obligatoires au04 77 57 13 39.

L’Office stéphanois des per-sonnes âgées organise unejournée régionale de géronto-logie le 11 avril au Centre descongrès à Saint-Etienne de8 h 45 à 17 heures. Cettejournée a pour thème : « Lescitoyens âgés aujourd’hui :

une (r) évolution cachée etprofonde » et s’adresse auxretraités et à leurs représen-tants.Les inscriptions et les renseigne-ments se font à l’OSPA 28 rue Louis-Braille à St-EtienneTéléphone : 04 77 47 40 50

PERSONNES ÂGÉES

Journée sur la gérontologie

« Mes reins, j’y tiens, j’enprends soin » est le slogande la nouvelle campagnenationale de dépistage desmaladies rénales qui trouveraun écho dans la Loire égale-ment du mardi 26 au vendre-di 29 mars.Cette initiative revient à laFnair (Fédération nationaled’aide aux insuffisantsrénaux), une associationreconnue d’utilité publique.Ses buts sont de sensibiliserà la prévention, d’améliorer laqualité des soins et de pro-mouvoir le don d’organe et lagreffe.Les maladies rénales sontmalheureusement silencieu-ses. C’est-à-dire que lespremiers signes ressentisapparaissent tardivement. Or,un simple dépistage parbandelette urinaire permet-trait de poser un diagnosticprécoce et de mettre enplace les soins adéquats. On

éviterait ainsi de nombreusesséances de dialyses, voiredes greffes de rein. Maissurtout, on améliorerait con-sidérablement la qualité devie des patients.

Y.G.Les lieux de dépistages :Saint-Etienne, laboratoire Synerbio,rue Traversière, le mardi 26 marstoute la journée. Accueil par l’équiped’Artic et de la Fnair. Plus d’informa-tions au 04 77 91 03 80.Saint-Priest-en-Jarez, Hôpital Nord,maison des usagers au service denéphrologie, jeudi 28 toute lajournée. Accueil par la Fnair, lesétudiants en médecine et infirmiers.Renseignements au 04 77 39 01 42.Roanne, hall d’entrée du centrehospitalier, accueil par le service denéphrologie, le mardi 26 après-midiet le vendredi 29, après-midi aussi.Des précisions au 04 77 71 79 20.On peut aussi consulter le siteinternet : www.semainedurein.frPlus d’informations sur :http://www.fnairloire.fr

MALADIES RÉNALES

Semaine de dépistage dans la Loirede mardi à vendredi

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Journée des droitsdes patients au CHUJeudi 18 avril, de 9 à 18heures, le CHU de Saint-Etien-ne participe à la journée euro-péenne des droits despatients. Le Dr Pascale Oriol,responsable de l’hémovigilan-ce, sera présente pour répon-dre aux questions des visi-teurs. Le rendez-vous estdonné à la maison des usa-gers, de l’hôpital Nord, hallCDG.

SantéTP 15/04/13

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Date : 31/05/2013 - Mise à jour : 31/05/2013 16:13

En cette journée mondiale contre le tabac, la ministre de la santé Marisol Tourraine s'est exprimée

sur la cigarette électronique, expliquant qu'il faudrait "lui appliquer les mêmes règles que pour le

tabac". Nous avons voulu savoir ce que pensait le corps médical de cet objet polémique.

Isabelle Deshors est infirmière tabacologue au sein de l'unité de tabacologie du CHU de l'Hôpital Nord.

La ministre expliquait ce matin son souhait de voir interdire la cigarette électronique dans les lieux

publics. Que pensez-vous de cet objet?

"Ce qu'on peut dire aujourd'hui, c'est que la cigarette électrique est bien moins nocive qu'une cigarette

classique. La question que l'on se pose, c'est sur les effets d'une utilisation à long terme : là on a pas mal

d'interrogations, parce qu'on manque de recul sur la question, il nous faudrait plus de résultats d'études

scientifiques."

Est-ce que cet instrument est conseillé aux patients en consultation de tabacologie à Saint-Etienne?

"Pour les gros fumeurs, on leur explique qu'avec une cigarette électronique, il faut être accompagné. En

effet, en l'utilisant, on peut voir apparaître un phénomène de manque : le patient peut être en sous

dosage de nicotine. Nous on peut les accompagner en complément des substituts classiques. On ne leur

Des jobs é

Pass contrune appli

Le cartablRoannais

LancemenRoanne

Orages deentreprise

Adieu l'Eu

Une nouve

L'équipe d

Réforme Peuros pou

UE

SANTÉ

Cigarette électronique : "le danger du phénomène du mode"

Les

Les

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Journée mondiale contre le tabac

Chaque année, le CHU de l'Hôpital nord met

à disposition un stand dans le hall d'accueil.

On y trouve des conseils pour arrêter de

fumer, on peut également mesurer son taux

d'intoxication à la cigarette et rencontrer des

professionnels du seuvrage tabagique.

Recommander 24 personnes le recommandent.0

interdit pas la cigarette électronique. Cela peut être une aide pour l'arrêt, mais on reste prudent sur le

long terme."

Quel peut être les autres risques selon vous, outre

le manque, avec la cigarette électronique?

"Ce que l'on craint, c'est le phénomène de mode :

certaines personnes qui n'avaient jamais fumé se

mettent à la cigarette électronique parce que c'est

"fun", qu'il y a des arômes...Ca peut être un moyen

d'entrer dans le tabagisme."

Propos recueillis par S. B.

Relire l'article Cigarettes électroniques : un business qui pourrait partir en fumée

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Signaler un abusAnonyme - le 18 juin 2013 - 16h08 C'est plutôt bon signe que le personnel hospitalier recommande cette alternative avec un suivi pour les gros fumeurs et je pense que c'est plutôt bénéfique. En revanche, dire que c'est une entrée dans le monde du tabac, je ne pense pas car il existe des recharges sans nicotine ... Je vous mets un lien vers

un blog qui explique les conclusions du rapport de l'oft demandé par la ministre => http://blog-cigarettes-electroniques.fr/

Signaler un abusAnonyme - le 2 juin 2013 - 08h27 Ce calcul tient il compte du fait qu un fumeur à une espérance de vie plus courte (moins de retraite à payer etc...)

Signaler un abusAnonyme - le 1 juin 2013 - 16h38 a titre d information le tabac rapporte 12milliars et nous coute 43 milliars en maladie

Montbrison / Feurs © zoomdic

Fair

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